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COMMENT BOOSTER SON IMMUNITÉ ?
Suite à la crise sanitaire due à l’apparition d’un virus (COVID19), il est nécessaire de booster son immunité.
Plus on avance sur notre âge, plus notre immunité baisse à cause de la diminution de production de nos cellules immunocompétentes qui sont nécessairement des macrophages et qui servent à s’organiser pour défendre notre corps contre des organismes extérieurs, à titre d’exemple : les microbes.
Malheureusement, il n’y a pas un traitement pour booster son immunité. En revanche, il y a des astuces et des conseils pour renforcer ses défenses immunitaires.
Pour toute personne qui présente des symptômes de faiblesse immunitaire devrait d’abord se pencher sur son mode de vie et éviter tous des éléments qui affaiblissent le système immunitaire, à savoir : le manque de sommeil, beaucoup de stress, la pollution de l’environnement (les relations toxiques), le tabagisme, etc..
L’alimentation saine et bio est un facteur très important dans la santé du système immunitaire. En effet, il faut absolument opter une alimentation équilibrée, variée et adaptée selon chaque saison et qui contient des protides, glucides, lipides, ainsi les apports d’aliments fibreux, tels que les légumes, fruits et céréales.
Dormir suffisamment (au moins 7 à 8 heures) aide à réparer l’organisme et à produire des enzymes, des hormones et des globules blancs. C’est pourquoi que les nuits blanches ont un impact néfaste sur la santé voire aussi le système immunitaire.
Naturellement, le stress brusque l’immunité parce que le système immunitaire est en relation étroite avec le psychisme et le comportement de l’humain. C’est pourquoi qu’il est préférable d’éviter tous les conflits relationnels qui altèrent d’une manière directe le fonctionnement de votre immunité.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet
J’ai aussi un podcast qui s’appelle “Combattantes” que vous pouvez trouver sur Deezer , Sportify, Soundcloud et Apple Podcasts.
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LA MUSIQUE, SON HISTOIRE ET SES BIENFAITS
Elle nous fait danser, rire, pleurer, changer, évoluer et elle a le pouvoir de raviver les souvenirs !! Mais, avez-vous réellement conscience de son pouvoir ?
1- L’utilisation de la musique au travers de l’histoire
Les premiers instruments remontent à il y a 37 000 ans (flûtes en os de mammouth), on peut donc dire que l’homme fait de la musique depuis son apparition. Mais bien évidemment sa symbolique et son utilisation ont évolué.
Au fil de l’histoire celle-ci avait 3 fonctions principales : pour la chasse et la guerre, le sacré , et la berceuse.
Les antiques attribuaient même un certain pouvoir à la musique, celui d’enchanter, d’ensorceler comme le montre de nombreux mythes tel que que celui d’Orphée ou encore celui de David et Saul. C’était aussi pour eux un moyen de se rapprocher du divin. Saint Auguste philosophe médiéval disait « qui chante, prie deux fois ». Nietzsche distinguait la musique dionysiaque, de celle Apollinaire. La première représente les passions, l’animalité des l’homme quant à la seconde elle représente le sacré. La musique a avant tout le pouvoir de raconter et de transmettre des émotions , et nous pouvons le constater quotidiennement au travers des films, et des publicités. Dans ce cadre, la colonne sonore est étudiée afin de transmettre les émotions justes aux spectateurs, de même à l’époque des films muets la musique servait de narration.2 – Une société sonore
À l’heure des smartphones, tablettes et compagnie nous sommes énormément stimulés visuellement, et pourtant notre société est bien considérée comme sonore, car n’importe où nous allons il est impossible de trouver un silence complet (le bruit du vent, de la pluie, les oiseaux, le métro , la musique dans les lieux publics , notre respiration… )
De plus l’audition est le seul sens qu’on ne peut pas contrôler naturellement, et c’est aussi le premier sens que nous développons. En effet, depuis le ventre de sa mère un bébé peut entendre ce qu’il se passe à l’extérieur, c’est pourquoi les médecins conseillent de parler avec son bébé dès le 3ème mois de grossesse. Quand le bébé naîtra il reconnaîtra la voix de sa mère, et celles familières qu’ils entendaient pendant la grossesse.
3- Une fonction cognitive
Il est important de faire écouter de la musique aux enfants dès le plus jeune âge car cela lui permet de développer ses capacités cognitives. Il a été prouvé qu’un enfant qui fût stimulé à la musique développe plus rapidement des capacités de raisonnement, l’acquisition du vocabulaire et du langage (ainsi que des langues étrangères).
D’après certains neuro scientifiques, il faudrait que nos enfants prennent des cours de musique avant l’âge de 7 ans. La musique ferait aussi de nous des personnes plus emphatiques, et sociables.
Les musiciens sont capables de mieux reconnaitre les émotions. Ils sont particulièrement doués pour identifier des émotions comme la tristesse ou la peur, et même si celles-ci sont exprimées dans une langue complètement inconnue du musicien. La musique par conséquent améliore nos capacités sociales et développent notre sens de l’écoute. Encore plus impressionnant, certains musiciens sont même capables de détecter les changements subtils dans les pleurs d’un bébé. C’est ce que les scientifiques appellent la « discrimination auditive fine ».
De même, chez les enfants, c’est ce que montre une étude faite sur des enfants âgés de 8 à 11 ans. Ils ont été divisés en 3 groupes :- Le premier groupe a reçu des leçons de musiques collectives avec des improvisations rythmiques, des jeux musicaux, des apprentissages et répétitions de mélodies et des expériences musicales partagées.
- Le deuxième groupe a eu des activités ludiques avec imitations et expériences interactives mais sans musique, essentiellement verbales.
- Le troisième groupe a suivi une année scolaire habituelle.
Les enfants du premier groupe ont le plus amélioré leur empathie et sont davantage capables de décoder les informations émotionnelles à la fois verbales ou non verbales.
Ces observations sont même faites chez des enfants en bas âge de 6 mois qui ont pris des leçons de musique avec leurs parents. Dans ce contexte, les tout-petits chantent, tapent sur des instruments, apprennent et répètent des chansons avec leurs parents, ce que l’on pourrait définir comme de l’éveil musicale.
Les résultats de cette étude sont impressionnants : les bébés musiciens sourient davantage, rient également davantage et sont plus faciles à calmer en état de stress. Des gestes simples comme dire au revoir avec la main ou même montrer des objets ou des personnes avec le doigt étaient également améliorés.
3- Les bienfaits de la musique comme thérapie
La semaine dernière dans l’article « les kilos émotionnels », je vous parlais du cortisol. Vous vous en rappelez ? C’est l’hormone du stress !! Eh bien, bonne nouvelle la musique a le pouvoir de la diminuer.
Avez-vous remarqué que parfois lors d’un coup de blues il suffit de la bonne musique pour nous redonner la pêche ? La musique peut en effet complètement nous transporter. Elle provoque la libération par notre cerveau d’un neurotransmetteur du plaisir, la dopamine. Elle serait aussi très efficace pour les personnes souffrants de dépression.
La musique peut-aussi raviver la mémoire, comme le dit le neurologue Pierre Lemarquis :
« Écouter une musique qui nous plaît active et développe les circuits de la mémoire qui nous permettront de retenir les notes entendues et d’anticiper sur celles à venir. Certains de nos souvenirs sont aussi associés dans notre cerveau à des musiques. Tel un tunnel spatio-temporel, elles sont capables de nous replonger dans le passé et de nous faire revivre des émotions. La musique est une formidable machine à remonter le temps ! »
C’est pourquoi on utilise de plus en plus la musique pour traiter certaines pathologies tels que la maladie d’Alzheimer, ou de Parkinson. Bien que encore peu connue la thérapie par la musique commence à se frayer un chemin dans les salles de réanimation, et de neonatologie, et l’année dernière un symposium de 4 jours lui a été consacré à Harvard.
Dans le monde, plus de quatre-vingts laboratoires travaillent sur les effets de la musique sur le cerveau !4) La musicothérapie, qu’est-ce exactement ?
« La musicothérapie est l’utilisation de la musique, du son, dans une démarche de soin. C’est une thérapie à support non verbal utilisant le sonore, le musical. La musique est le médiateur dans la relation soignant/soigné. »
Comme on l’a dit précédemment, la musicothérapie peut aider pour le stress, la dépression, la démence mais pas que. Elle contribuerait aux soulagements des douleurs , à l’amélioration de la qualité de vie des schizophrènes , au soulagement de certains symptômes de l’autisme , et améliorer le sommeil.
Les grecs considéraient la musique comme une science au même titre que les mathématiques, ou que la physique. Ils l’utilisaient même comme thérapie pour l’humeur.
Et, si la musique était la solution à vos maux ?
Pour autant attention, près de 5% de la population ne seraient pas réceptifs aux bienfaits de la musique, cela viendrait sûrement d’un manque de stimulation durant l’enfance (je vous avais pourtant prévenu « rires») !!De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet
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Apprendre à s’en foutre
Et si c’était la solution ?
Une vie où on aurait confiance en soi, et en ses idées…Une vie détendue, libérée du regard de l’autre… Utopique, n’est ce pas ? Et si une phrase aussi simple que “je m’en fous”, pouvait changer votre vie ?
Prendre de la distance pour changer son angle de vision

Entre les soucis de famille, d’argent, de santé, et de boulot nos vies peuvent parfois devenir stressantes, voir carrément anxiogènes.
C’est pourquoi savoir prendre de la distance avec certaines situations est essentiel. Plus facile à dire, qu’à faire ? Pas forcément, il est important de comprendre que parfois un problème n’est grave que par le pouvoir qu’on lui donne. Très souvent face à une frustration , ou un simple petit mécontentement de la vie,on a la fâcheuse tendance à surréagir émotionnellement. Je m’explique, vous vous rappelez de votre crise de la semaine dernière parce que votre collègue Marie vous a piqué votre dernier sachet de thé ? Vous avez passé la matinée à ruminer… Voilà, c’est exactement de ça que je parle. Avec le recul, ce n’était pas si grave n’est ce pas ?“ Un problème n’est grave que par le pouvoir qu’on lui donne ”
www.charlottevallet.frOn ne vous dit pas que vous avez tort. On le sait bien qu’elle est agaçante, Marie a toujours touché aux affaires des autres. Mais au final, qui fût la victime de ces sentiments négatifs ? Qui a passé une matinée pourrie ? Et oui, c’est bien TOI. Alors oui évidemment que la technique “ je m’en fous” ne peut pas s’appliquer à tous les cas, mais cela peut vous épargner du stress inutile. Libérez-vous des broutilles qui parasitent vos vies.
Se libérer du regard de l’autre pour vivre pleinement
Que ce soit au travail,en famille, dans la rue, sur les réseaux sociaux nous sommes toujours à la recherche de l’approbation , de la validation d’autrui. Nous soumettons nos idées, notre physique, nos réalisations à son jugement, et très souvent nous bâtissons notre confiance en nous sur ce qui en résulte. Combien de fois avez eu peur d’exprimer un point de vue, ou une idée de peur de passer pour un idiot ? Combien de fois avez vous mis un projet de côté car on vous avez dit que ça n’aboutirait à rien ? Combien de fois vous a-t-on dit que vous n’étiez pas à la hauteur ? “JE M’EN FOUS” criez le bien fort.
Il est fondamental de ne pas se laisser affecter par les “ qu’en-dira-t’on”. J’ai envie de porter cette robe un peu courte mais j’ai peur de ce que diront les voisins ? Je m’en fous car je me sens belle dans cette robe. J’ai envie de partir faire un roadtrip en Afrique mais ma famille ne me dit pas assez débrouillard pour ça ? Je m’en fous car c’est mon rêve et je m’en sais capable. Il est normal de faire face à des doutes, à des peurs mais il faut savoir passer au dessus pour pouvoir se réaliser. De même face à l’échec, il y aucune honte à se tromper ou à échouer cela peut même être une source d’apprentissage.
Il ne s’agit pas d’être désintéressé face aux situations de la vie. Apprendre à s’en foutre, c’est savoir prendre du recul pour éviter les sentiments négatifs qui nous épuisent quotidiennement. Apprendre à s’en foutre, c’est se détacher du regard de l’autre pour reprendre le contrôle de sa vie. Bien évidemment il ne s’agit pas de la solution miracle, mais cela vous aidera surement à avoir une vie moins stressante.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_
Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.
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Comment bien préparer la rentrée avec dynamisme et joie ?
Toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit !
Je déteste ce proverbe et pourtant il est bien vrai. On tourne la page des vacances et on commence le nouveau chapitre de la rentrée. Mais qui a dit que septembre doit rimer avec méandres ? Pourquoi pas avec détendre ou surprendre ? Et rentrée avec été, profiter, jouer, chanter, danser ? Car, oui, même à la rentrée, il fait beau, chaud, le soleil brille encore et il n’y a aucune raison de ne pas en profiter !
Mais quand le blues voire le stress s’invite au barbecue de fin d’été comment faire ? Comment gérer la panique de la rentrée ? Comment s’y préparer au mieux afin qu’elle se fasse dans la joie et la bonne humeur ? Comment adapter son corps à un nouveau rythme de vie ? Comment réadapter le sommeil, l’alimentation, le sport, quand le programme était plutôt au farniente et aux apéritifs ?
Oui, je vous l’accorde, ce n’est pas de gaieté de cœur que l’on renonce à tout cela, mais avec quelques pensées positives, la transition peut être moins douloureuse. Alors comment se réapproprier le quotidien en douceur et avec le sourire ?
Une reprise en douceur sans stress ni déprime
On a tous connu ce petit coup de blues de la rentrée qui vient nous tirailler le ventre quelques jours avant le « D day ». Pas de panique, c’est normal ! Mais ne laissons pas ce vague à l’âme se transformer en un stress paralysant ! Dites-vous que tout le monde vit la même chose en même temps que vous, et que ce « deuil » des vacances est difficile au début mais qu’il n’est pas du tout insurmontable.
Alors, oui ! La rentrée est souvent synonyme de rush, de réunions, de nouveaux projets… Une effervescence qui contraste radicalement avec l’oisiveté des vacances, mais il ne faut pas pour autant céder au surmenage ! On s’organise ! On se donne des petits objectifs à atteindre et on choisit de vivre cette rentrée au jour le jour sans se mettre la pression.

Au travail, le maître mot : Hiérarchiser ! On traite les tâches importantes d’abord, sans se laisser déborder par la tonne de travail qui nous attend. On s’organise et on trie. Et surtout, on ne procrastine pas ! Remettre au lendemain ce que l’on aurait pu faire le jour même va nous mettre en retard sur notre planning des tâches à accomplir et ainsi, augmenter notre stress et diminuer notre estime de soi. On applique également cette technique pour le traitement des 2 millions de mails qui saturent notre boîte :
- Commencer par un tri rapide, et les répartir dans 3 boîtes (« à faire dans les 24-48 heures », « à faire dans la semaine », « pas urgent »)
- Les lire en plusieurs fois (par paquets de 50 ou 100)
- Le faire plutôt le matin en arrivant : c’est mieux de commencer par le plus rébarbatif
- Gérer un mail à la fois.
Et on ne se prive pas des pauses habituelles avec les collègues pour se remémorer ensemble les bons moments de l’été ! On continue les petits plaisirs des vacances et on s’octroie une tomate mozza en terrasse entre midi et deux !
Les plaisirs de l’été que l’on fait perdurer…
Pourquoi se mettre au régime strict et bosser comme un acharné dès le premier septembre? Pourquoi ne pas continuer à s’octroyer les petits plaisirs de cet été ? Une fois que nous avons accompli les tâches de la journée au travail, il n’y a aucune raison de s’empêcher de déguster un bon petit apéro en terrasse entre amis. Au contraire ! Une reprise réussie, c’est aussi ça. On continue de prendre du temps pour soi, pour ceux que l’on aime, on profite des moments de détente en solo et les moments de partage entre amis. On fait le marché, on se balade dans la nature ou au bord de l’eau le week-end… On se fait plaisir sans culpabiliser.
Et pourquoi ne pas adopter ce mode « détente », « stressless » au travail ? Ne serait-il pas bénéfique ? Ne travaillons-nous pas mieux lorsque ce n’est pas dans l’urgence ? Laissons un peu s’inviter dans notre bureau le calme et la détente et chassons l’urgence, la pression et l’angoisse.
Du boulot, d’accord ! Mais dans un dynamisme positif et avec le sourire. On prend un peu de recul et surtout beaucoup de plaisir.

Malgré tout, il y a quelques petits efforts à faire…
Eh oui ! Si la rentrée doit être vécue de la manière la plus positive qu’il soit, notre corps va avoir besoin d’un léger rééquilibrage au niveau du sommeil, de l’alimentation et de l’activité physique ! Un « mal » nécessaire pour qu’il vous accompagne au mieux dans ce nouveau rythme de vie. Alors on s’y met doucement mais sûrement !
On commence par reprendre de bonnes habitudes alimentaires sans pour autant bannir les petits plaisirs des vacances. On adopte le « un peu moins, et un peu plus » :
- un peu moins de rosé et un peu plus d’eau
- un peu moins de chips et un peu plus de légumes
- un peu moins de glace et un peu plus de fruits
- On n’oublie pas non plus le sommeil, facteur très important pour redémarrer sur de bonnes bases. Voici donc 2 ou 3 petits conseils pour un sommeil réparateur :
- on évite de boire de l’alcool trop tard le soir…
- on apaise son corps et son esprit en finissant le bon bouquin des vacances

Et pour finir, on continue ou on reprend une activité physique régulière pour se décharger du stress, de la pression, et faire du bien à notre corps et à notre esprit. Inutile de se fixer des résolutions de sportif de haut niveau : on va à son rythme, l’essentiel est dans l’action.
On se fait plaisir et surtout du bien ! On peut le faire solo ou entre amis, dans un parc, le long d’un fleuve, sur la plage ou en montagne, peu importe. On se défoule et on prend son pied ! On court, on pédale, on nage et on se détend aussi…
On s’oxygène et on se recentre sur soi et sur l’essentiel
On se défoule mais pas que ! On laisse aussi la place à la détente de notre esprit et de notre corps. On s’oxygène, on respire et on apaise toutes les mauvaises tensions liées au stress de la rentrée. Et rien de mieux pour cela que les activités comme le yoga, la méditation ou encore la sophrologie. Les jours sont encore longs, alors on profite jusqu’au bout du beau temps et de la lumière apaisante du soir pour aller faire notre activité dans le jardin ou dans un parc pour respirer l’air frais et pur de la nature. Mais quels sont les bienfaits de ces trois techniques ?
Le yoga, tout d’abord, peut, grâce à certaines postures, avoir des effets stimulants qui vont nous faire un bien fou. Certaines ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol.
La sophrologie, elle, en jouant sur les organes et la circulation sanguine, permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Elle va aussi entraîner le renforcement de nos connexions neuronales, utiles au travail !
Et enfin, la méditation, va nous apaiser en nous recentrant sur nous-même et sur notre environnement.
N’oubliez que si vous souhaitez des renseignements, je suis à votre disposition !
Mieux qu’un smoothie détox, ces activités nous apportent l’énergie mais aussi l’apaisement nécessaires à la remise en route de notre corps et notre cerveau.

Alors…
C’est la rentrée… Oui, mais on ne se met pas la rate au court-bouillon pour autant ! Pas de stress, pas de panique ! Inutile de mettre en place un régime drastique car vous ne ferez qu’augmenter le blues de la rentrée ! On effectue un rééquilibrage en douceur sans pour autant se priver des petits plaisirs de cet été. De la méthode sans frustrations !
Alors, bonne rentrée à tous sous le soleil et avec quand même quelques petits cocktails (avec modération bien sûr !).
Charlotte Vallet -Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris
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10 conseils pour combattre le stress
Ce matin, je me suis réveillée en sueur, et très fatiguée. J’avais pourtant bien dormi. Et j’en avais besoin.
J’avais fait l’effort de me coucher relativement plus tôt que d’habitude. J’avais retiré de mon lit tous les objets superflus. En effet, il m’arrive de laisser traîner des livres et des crèmes un peu partout autour de moi, ce qui n’est pas des plus judicieux, car c’est le meilleur moyen de se réveiller quand on les sent sous son corps pendant son sommeil.
Je n’ai fait aucun cauchemar, ni rêves trop marquants, en tout cas, je ne m’en souviens pas.
Auparavant je notais sur un cahier l’intégralité de mes rêves et cauchemars de façon à pouvoir analyser mon subconscient. J’ai arrêté de le faire, car être sans cesse dans l’analyse m’épuisait aussi. Déjà que je réfléchis énormément, lâcher prise de temps en temps fait un bien fou.
Tout ce dont je me souviens, c’est que, dès mon réveil, j’ai éprouvé une fatigue importante, accompagnée d’un petit stress qui m’a encombré l’esprit.
Je me suis alors lancé le défi de réussir à être moins stressée pour l’heure de midi, une heure que j’affectionne particulièrement car c’est celle du déjeuner (défi irrationnel, je vous l’accorde mais qui fait du bien).
Tout d’abord, je me suis assise. Et je me suis demandé pourquoi j’étais si angoissée ? Je ne suis pas d’une nature stressée, voire pas du tout.
Et finalement, j’en ai déduit que si croire au culte du bonheur pouvait être positif, le fait de ne jamais se laisser aller dans le côté obscur de ses émotions pouvait être plutôt néfaste. Je fais en effet partie de ces personnes qui veulent tout contrôler, et qui sont anti-procrastination, anti-faiblesses, anti-vulnérabilité, anti-plaintes…
Et pourtant, paradoxalement, je suis une femme très vulnérable et très sensible, selon les dires de mon entourage.
Mais dans ce monde parfois violent, il est difficile de le montrer. C’est pourquoi, je me suis mis une barrière de protection énorme, sur laquelle j’essaie de travailler constamment.
L’année 2019 ne serait-elle pas celle de l’évolution ?
Ce qui est certain, c’est que je fais également partie des individus qui sont sans cesse dans la recherche de solutions. Et ce matin, face à mon problème, j’en ai cherché, et j’en ai trouvé !
Le stress, c’est quoi ?
Le stress, c’est ce sentiment étrange et à la fois intense que l’on ressent dans tout le corps et dans tout le cerveau, dans un moment complexe de sa vie ou face à une situation nouvelle pour laquelle on n’a pas de solutions. Ce qui arrive souvent puisque la vie est souvent faite de surprises… bonnes ou mauvaises…
Lorsque l’on stresse, tout le corps se contracte, et des douleurs dans le bas du dos se font sentir.
Les pensées nous traversent à plus de 100 km à l’heure et se démultiplient. Il n’y a alors plus aucune place pour la relaxation, et nous en oublions même de respirer. Ce qui est fondamental.
Pendant ces moments d’angoisse, on se sent souvent vulnérable, fatigué et au bout de sa vie.
On perd toute objectivité, toute raison. L’impulsivité nous domine et prend le dessus sur tout le reste.
Souvent, lors de ces moments, tout et tout le monde nous agacent. Le monde devient sombre et triste.
Pourquoi tant de dureté envers soi-même ?
Mes 10 astuces anti-stress
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Ecrire son mantra sur le miroir
Il s’agit d’une formule sacrée dotée d’un pouvoir spirituel. Une formule qui vous représente de façon positive. Ensuite, il faut que la visualisiez. Le plus pratique est de se préparer ou de se maquiller devant son miroir et regarder avec insistance son mantra.
Pour ma part, mon mantra est écrit sur un papier. ” je suis exceptionnelle “. Je l’ai coincé dans les recoins du miroir. À vrai dire, c’est mon ancien petit ami qui m’avait écrit cela afin que je m’en souvienne chaque matin.
Et franchement, croyez-moi, ça marche.
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Respirer doucement avec le ventre
Un autre moyen consiste à respirer lentement avec le ventre. Quelques minutes suffisent à retrouver un peu de paix.
Pensez aussi à vous parler à la 3e personne du singulier. Vous vous attribuez un petit surnom (du type “Magic Charlotte”, “Super Justine”, “Incroyable Carla”), et vous discutez avec votre personnage imaginaire. Vous réfléchissez ensemble à une solution dans le calme, en vous accordant une belle douche de bienveillance envers vous-même.
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Ecouter de la musique qui vous détend
Ecouter de la musique permet de s’épargner le surplus de bruit qui nous entoure, et qui en général amplifie nos contrariétés. Le fait d’écouter de la musique qui nous ressemble, c’est aussi une façon d’être dans son monde. Quand je suis angoissée, j’aime écouter de la musique un peu “hippie”. Et, ce n’est pas qu’un effet de mode. Voici mes tubes préférés :
- Radio solo – Njomza Remix- Hippie Sabotage
- OM – Hippie Sabotage
- Lights Out – Hippie Sabotage
- Caught Up – Hippie Sabotage
- I Found You – Hippie Sabotage

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Ecouter des podcasts notamment les ” Paumé-e-s “
Ils retracent les parcours un peu atypiques de personnes qui souhaitent faire des choses tout aussi atypiques. Pour ma part, je me suis reconnue à 100 % dans ces profils.
Typiquement, Sarah, qui a quitté la pub pour fabriquer des pots, ou encore Alice, qui veut partir caresser des loutres au Mexique… Toutes ces femmes souhaitent se reconvertir ou faire autre chose mais ne savent pas par où commencer. Ça fait du bien ! Car c’est léger, et à la fois tellement représentatif de cette nouvelle génération que nous représentons.

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Se détendre dans un Starbucks
Alors oui oui ! Je sais.
Starbucks sert du mauvais café, ne traite pas ses employés comme il le faudrait, et est une entreprise américaine qui représente, par excellence, le Capitalisme. Et alors ?
J’y vais quand même.
Il y a toujours beaucoup de gens qui adorent vous culpabiliser sur le sujet, surtout lorsque vous avez choisi une voix professionnelle en lien avec le bien-être. Mais, en général, je ne me laisse pas influencer, car j’ai mon avis sur la question.
Et ce qui est certain, c’est que j’ai fait de ce lieu, mon QG pour travailler. Quand je suis dans un Starbucks, je me sens bien. La décoration, le bois, les couleurs, la chaleur humaine… c’est un lieu de rencontres professionnelles, notamment de gens seuls, qui n’a pas son pareil. Il y a un dynamisme que je ne vois nulle part ailleurs.
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Ecrire pour exister
L’écriture est un excellent exutoire, et c’est prouvé. Tout comme le sport, ou encore le sommeil.
Pour ma part, j’y ai trouvé beaucoup de réconfort. Avant même de tenir ce blog, sur lequel je tente de donner un maximum de conseils, j’écrivais surtout pour moi. J’avais mon petit cahier, avec une citation écrite sur la première page, et j’écrivais tout ce qui me passait par la tête.
C’est une sacrée thérapie, et cela permet surtout d’évacuer les mauvaises émotions qui sont en vous.

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Apprendre à être seul(e)s
Aujourd’hui, nous sommes souvent dépassés par les événements et nous recevons un trop plein d’informations. Des dizaines à la minute. D’ailleurs, nous sommes en droit de nous interroger : toute information est-elle bonne à prendre ? (je ferai un article sous peu sur ce sujet).
Ce qui est certain, c’est que pour se sortir de là, il est important de savoir apprécier d’être seul(e), et de se concentrer sur qui nous sommes. Non pas sur “ce que nous faisons” mais sur “qui nous sommes”. Nous l’oublions bien trop souvent.
Vous pouvez rester seul(e)s dans le calme, ou aller au cinéma, ou encore lire. Tout est bon à prendre.
Il existe de nombreuses activités que vous pouvez faire seul(e). Si vous êtes intéressée, je vous invite à lire mon article intitulé “Hiver, je t’aime et je t’accepte“.
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Courir en groupe
A contrario, vous pouvez aussi rechercher de la présence, et aller courir en groupe. Avec des amis, ou alors avec des groupes d’entraînement. Nike et Adidas en organisaient chaque semaine.
Je ne suis pas une grande fan de course, mis à part par pur challenge personnel, mais je dois reconnaître que c’est l’un des sports qui défoule le plus.
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Manger quelque chose que vous vous interdisez habituellement
Gâteau au chocolat, tarte aux fraises, chausson au Nutella … Toutes ces merveilles ne sont, en effet, pas vraiment géniales si vous les consommez quotidiennement. Mais de temps en temps, qu’est ce que ça fait du bien !
Un petit moment de “down” ? Alors, on n’hésite pas à se jeter sur son dessert préféré. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir !!

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S’évader dans un endroit calme et méconnu
Maison de campagne, montagne, plage … Peu importe, mais il est important de s’évader pour se couper de son quotidien quand on ne se sent pas très bien.
Sinon, on a du mal à prendre le recul suffisant pour faire face aux difficultés du moment. Pire, on risque même de les amplifier.
Ce qui est sympa, c’est que même lorsque l’on habite Paris, il existe de nombreux plans pour aller se balader en forêt.
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La sophrologie ou l’hypnose (un petit dernier pour la route)
Je pratique la sophrologie depuis peu.
La sophrologie repose sur des techniques de respiration et de visualisation positive.
Je me forme actuellement à l’hypnose. D’ici quelques semaines, je pourrai aussi bien pratiquer la sophrologie que l’hypnose. L’une et l’autre sont excellentes pour lutter contre le stress, l’impatience, le manque de confiance en soi, les insomnies…
Conclusion
Le stress se combat. Il suffit (façon de parler) de prendre conscience de son état et de se dire : attention… fais quelque chose. Et ne pas se laisser envahir.
Ensuite, il faut croire en soi, vivre avec de l’espoir et penser de façon positive, sans pour autant frôler la naïveté…
Un livre qui m’a beaucoup aidée est le livre intitulé : Le Secret de Rhonda Byrnes. Il aide à aller de l’avant, à croire en soi, en son potentiel et en ses différents projets. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous le conseille vivement !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
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