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Étiquette : souffrance
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Comment accepter son passé et en faire une force ?
Je suis Charlotte Vallet, coach spécialisée en émancipation féminine à Paris, et aujourd’hui, je souhaite parler du passé et de son pouvoir de transformation.
Mon parcours de vie n’a pas toujours été facile. J’ai vécu des épreuves difficiles, telles que l’enfance en foyer, l’abandon et l’humiliation. Mais aujourd’hui, à 34 ans, je ressens une paix intérieure profonde et une guérison émotionnelle que la petite fille en moi n’aurait jamais imaginée. C’est une transformation incroyable !
En tant que coach pour femmes à Paris, j’accompagne les femmes à surmonter leurs blessures passées, à se libérer du poids du passé et à retrouver leur confiance en soi. Si tu cherches à guérir des blessures émotionnelles, à retrouver ton équilibre et à t’émanciper de tes peurs, je suis là pour t’aider à transformer ta vie.
« Laissons au passé ce qui appartient au passé », plus facile à dire qu’à faire ! Si nous cherchons tous à « passer à autre chose », « enfouir » ou encore carrément « oublier », il n’est pas rare que le passé resurgisse de temps en temps dans notre quotidien, voire même un peu trop souvent pour certains ! Et ce retour en arrière est rarement positif. Une séparation, un conflit avec un proche, une maladie, un traumatisme grave, trop de souvenirs peuvent nous envahir au quotidien et sont sources d’angoisses, de peurs et de stress. Ne pas accepter notre passé nous empêche d’être heureux et d’avancer. Pour pouvoir vivre l’instant présent sereinement, il faut accepter son passé, apprendre à pardonner, déculpabiliser, et lâcher prise. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ? Oui ! C’est vrai. Mais un moyen d’y parvenir est de le transformer en autre chose ! En quelque chose qui nous fait grandir. Et si l’on pouvait en faire une force ?
Et si je pouvais devenir une « super moi » grâce à mon histoire personnelle aussi chaotique et douloureuse qu’elle soit ?
Un passé douloureux : le poids des regrets et l’envie d’oublier
Maladie, échecs, ruptures, expériences traumatisantes qui se transforment en cauchemars… Nous ne réagissons pas tous de la même manière face à des souvenirs douloureux.
Il y a ceux qui vont vivre dans le regret permanent et ceux qui mettent tout au placard et qui balancent la clé !
Les premiers, éternels nostalgiques, se passent en boucle le même refrain : « si j’avais su », ou « j’aurais dû » avec cet espoir de pouvoir peut-être changer quelque chose du passé voire de le reconstruire totalement.
Les seconds, eux, enfouissent pour mieux oublier. « Faire l’autruche », comme si rien n’avait existé. Mais cette stratégie, ou plutôt ce comportement, n’aboutit qu’à l’inverse de l’effet escompté. Plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l’oublier, plus il va revenir en force, malgré nous. Eh oui ! En voulant effacer un souvenir, en réalité, nous le renforçons ! Il faut donc changer notre état d’esprit pour vivre une nouvelle vie. Mettre un terme aux regrets et à la culpabilité. Le passé n’est pas que cette part d’ombre dans notre vie qu’on lui attribue souvent ! Il peut aussi être une force, un moteur pour avancer, pour réussir à bâtir notre avenir.

Et si nous pouvions faire de notre passé une force ?
Si le passé ne rimait pas forcément avec négativité ? En général, 6 personnes sur 10 se raccrochent aux aspects négatifs de leur passé et cela finit indéniablement par faire partie de leur personnalité. Mais cela veut aussi dire que 6 personnes sur 10 subissent un quotidien lourd des maux du passé qu’ils portent. Constat assez triste non ?
N’avons-nous pas une mauvaise perception de notre passé ? Pouvons-nous le voir autrement ? Est-il possible qu’il puisse nous donner la force d’avancer encore plus loin ? Peut-il être un booster plutôt qu’un boulet ? Eh bien moi, je serais tentée de répondre : pourquoi pas ?
Nous avons tous un passé, plus ou moins chahuté, plus ou moins douloureux, et nous devons tous avancer. Alors prenons le temps d’apprendre à vivre avec lui et surtout grâce à lui. Faisons de ce passé un allié pour affronter le présent et le futur et non pas un ennemi ! Acceptons ses mauvais côtés, ses cabosses, ses blessures et tentons de le voir différemment.
Et si nous pouvions l’aimer après tout ? Il n’a certainement pas que des défauts ! Il est aussi fait de merveilleux moments comme les moments entre amis, notre évolution personnelle et professionnelle, de bons souvenirs en famille, et tous les petits bonheurs qui rythment notre quotidien.
Alors pourquoi ce ne sont pas ces souvenirs qui nous accompagnent aujourd’hui ? Pourquoi devons-nous nous infliger cette lutte permanente contre nos démons du passé ? Existe-t-il une ou des solutions pour s’apaiser et faire la paix avec notre passé ? Pouvons-nous juste vivre l’instant présent ? Lâcher prise ? Et si oui, comment faire ?
Voir le passé autrement, des solutions pour y parvenir…
Il n’y a aucun remède miracle pour guérir de nos blessures du passé. Mais il est possible de les laisser se refermer, ne plus souffrir et avancer. Certes, quelques cicatrices resteront, mais ce sont elles, d’une certaine manière, qui font ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. Vivre l’instant présent n’est pas chose aisée, mais on peut y arriver ! Pierre Geluck, lui, avait sa propre méthode et a dit un jour : « Je bois pour oublier. Mais j’ai tellement bu que je ne me rappelle plus ce que je dois oublier ». Évidemment, inutile de préciser que cette méthode n’est pas celle qu’il faut choisir ! Si plusieurs techniques, méthodes, astuces existent pour se détacher des mauvaises ondes de son passé, savoir tourner la page dépend tout de même de notre force de caractère, de l’intensité des évènements vécus et de la capacité à gérer nos émotions. Nous ne sommes pas tous égaux face à notre passé. Le but étant pour chacun de voir son passé autrement pour mieux vivre le présent.
Dans un processus de deuil d’un passé douloureux, il y a trois étapes fondamentales :
Tout d’abord, il faut le comprendre, puis gérer les émotions qu’il nous renvoie et se tourner vers l’avenir.
Comprendre son passé
Le charme du passé, ne serait-il pas justement qu’il soit le passé ? Ne serait-il pas finalement surtout une idée, une image qui n’existe que dans nos mémoires ? A priori, il ne serait plus vraiment réel, plutôt abstrait même. Mais alors comment une chose irréelle peut-elle tenir les ficelles de notre réalité actuelle, en la déformant et en nous faisant souffrir ? Réponse : nos émotions. Eh oui, ce que l’on croit revivre quand on se tourne vers le passé, ce n’est pas l’évènement mais les émotions qui lui sont rattachées, celles que l’on a ressenties auparavant. Et c’est en grande partie à cause d’elles que nous souffrons du poids du passé.

Mais alors comment gérer ce trop-plein d’émotions ?
Autant vous dire tout de suite, il existe autant de solutions, astuces, méthodes que de personnes qui en cherchent ! Ce qui veut dire que chacun doit trouver sa/ses techniques pour ne plus souffrir. Et croyez-moi, plus on les combine, mieux c’est !
Voici quelques exemples :
- L’écriture
- La thérapie (seul(e), en couple, en famille…)
- Le sport
- Le yoga
- La méditation de pleine conscience
- Le coaching
- L’hypnose
- Le breathwork
- Les soins énergétiques
- Le magnétisme
- Le chamanisme
J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros.
Cette liste étant, bien évidemment, non exhaustive, à vous de trouver ce qui vous conviendra le mieux, ce qui vous aidera à avancer. Gardez en tête qu’il faut vous libérez de toutes les mauvaises émotions du passé qui vous envahissent en essayant, pourquoi pas, de les remplacer par des positives, celles qui vont vous booster, vous faire avancer.
N’hésitez pas me contacter… !
Tourné(e)s vers le futur !
Et maintenant que l’on a, plus ou moins, géré ce fameux passé, en route vers le futur… On décolle nos yeux du rétroviseur et on appuie sur la pédale ! Je sais, encore une étape difficile. En effet, si nous tentons souvent d’enfouir les souvenirs du passé, nous angoissons aussi de ce qui va nous arriver dans le futur…
Et si, être « coincé(e)s dans le présent était la meilleure chose qui nous arrivait ? Vivre l’instant présent, en pleine conscience… !

Faire de notre passé une force c’est possible, la preuve…
Si les mots ne suffisent pas toujours à convaincre, les exemples concrets oui ! Et il en existe beaucoup autour de nous.
Prenons celui d’un chanteur bien connu, Andréa Bocelli. En 1970, il devient aveugle suite à la réception dans l’œil d’un ballon de football. C’est à ce moment-là que sa passion pour le chant a pris ton son sens. Il y a en effet puisé toute sa force et a réussi à devenir le ténor lyrique que nous connaissons tous aujourd’hui en faisant de cette tragédie le booster de sa vie.
Prenons, à présent, un tout autre exemple. Celui de Flavie Flamant, violée par David Hamilton dans son enfance. Si certaines femmes ne réussiront jamais à s’en remettre, elle a décidé d’en faire une force, une rage qu’elle a mise au service de l’écriture dans son livre « la consolation ». Réel exutoire pour elle, et prise de conscience pour d’autres femmes, sa parole libérée sur ce sujet est le symbole de cette lutte contre le passé qui hante, le passé qui détruit et celui d’une lutte pour être heureuse malgré les blessures encore douloureuses.
Dernier exemple et non des moindres, Théo Curin, 18 ans, quadri-amputé à l’âge de 6 ans après une méningite foudroyante. Aujourd’hui vice-champion du monde de natation paralympique et égérie d’une grande marque de cosmétique pour Homme, est le parfait exemple de cette force que les épreuves du passé peuvent nous donner.
Si eux y arrivent, nous le pouvons aussi !
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Conclusion
Nous ne pouvons ni effacer ni changer le passé, c’est un fait, mais rien ni personne ne nous oblige à le traîner comme un boulet toute notre vie ! Alors, il est peut-être temps de dire stop à cette souffrance et de profiter de tout ce que peut nous offrir l’instant présent. Bien que cela puisse être compliqué pour certains, le lâcher-prise est une étape essentielle dans notre quête du bonheur. Et si la tâche vous paraît colossale, n’hésitez pas à faire appel à une tierce personne pour vous aider ! Nous méritons tous de trouver cette paix intérieure, ce bien-être qui nous permet de réaliser nos projets et de profiter de toutes les merveilleuses choses que nous offre la vie !
Charlotte Vallet – Coach, spécialisée en émancipation féminine sur Paris – Si tu veux aller plus loin, je te propose un appel téléphonique pour connaitre tes besoins.
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Comment réussir à se libérer d’un pervers narcissique ?
C’est un sujet dont on entend de plus en plus parler depuis quelques années. Et le film “Mon roi” de Maiween a placé ce problème au coeur de toutes les conversations.
À tel point que de nombreuses femmes sont, aujourd’hui, persuadées qu’elles vivent avec un pervers narcissique. Comme si c’était un effet de mode, et qu’il était de bon ton de connaître au moins une fois dans sa vie ce type de relation malsaine.
Mais, avant d’aller plus loin, je souhaite attirer votre attention sur deux points :
- Il n’y a pas que les hommes qui peuvent faire preuve de cette perversion : certaines femmes ont également des comportements qui s’en approchent. Et ce, même s’il a été prouvé que les hommes sont bien plus concernés par ce phénomène. Dans cet article, je parlerai du pervers narcissique en tant qu’homme.
- Il vaut mieux ne pas utiliser ce terme à mauvais escient. C’est malheureusement une maladie assez complexe qu’il faut prendre très au sérieux. La personne qui souffre de ce trouble est en souffrance, et le conjoint est tout aussi malheureux, voire plus car il en est la victime, on peut même dire la proie (Il est également bon de savoir que ce type de relations peut aussi exister dans une relation amicale).
Certains types de personnalité ont plus de chances d’être victimes de quelqu’un atteint d’un trouble de la personnalité narcissique. Il s’agit des individus vulnérables ou en situation de faiblesse. C’est à dire des personnes :
- Ayant une faible estime d’elles-mêmes, et qui dépendent de l’autre dans le couple (grande dépendance affective).
- Qui ne savent pas ce qu’est le trouble de la perversion narcissique, et qui n’associe pas cela à une maladie.
Mon expérience en la matière
Pour ma part, j’ai vécu, pendant plusieurs années, une relation extrêmement malsaine. Mais ce n’est que depuis peu, que j’en prends véritablement conscience.
Écrire sur ce sujet me semble être le meilleur des exutoires (évidemment, je resterai pudique sur ma vie privée et aucun détail très précis ne sera donné).
Beaucoup de mes amis m’avaient mise en garde car elles avaient remarqué que je n’étais plus aussi joyeuse et que je n’étais pas vraiment épanouie dans ma relation amoureuse. Et c’est peu de le dire…, je vivais dans le conflit, car son jeu consistait à le créer. Alors que je suis d’une nature plutôt zen et peace, j’en arrivais à être hors de moi.
J’aurais pu tenir compte des remarques de mon entourage, mais je me trouvais souvent (toujours) une excuse ou plutôt, je lui trouvais souvent (toujours) une excuse. Je me disais qu’il avait d’autres qualités, et qu’il m’aimait profondément (l’excuse facile). Et puis, je n’ai jamais été influençable, je suis même très solitaire et marquée dans ce que je pense, et les avis de mes proches m’étaient un peu égal. En fait, je les sollicitais en leur faisant part de ma souffrance, mais je n’écoutais jamais leurs retours bienveillantes. Avec du recul, je leur donne raison évidemment !
Etant de nature plutôt forte, même dure, j’ai compris avec le temps que j’étais, en fait, la béquille parfaite pour une personne mal dans sa peau et qui était en manque d’oxygène.
Mais, à force d’être un pilier, vous ne recevez rien en échange, car vous ne comptez pas pour elle.
Ce qui m’a fait fuir plus d’une fois. Mais plus je fuyais, plus il me faisait culpabiliser. Et je revenais.

Qu’est-ce qu’un pervers narcissique ?
Un pervers narcissique est très souvent une personne qui ne s’aime pas, et qui n’éprouve, contrairement à ce que l’on pourrait penser, aucune admiration pour elle-même. Mais bien plus encore, c’est une personne qui a une image plutôt désastreuse d’elle-même, et qui pour réussir à se valoriser, humilie adroitement les autres (ou qui s’invente une vie idyllique qui n’existe pas).
Quand vous discutez avec une personne souffrant de ce syndrome, vous avez souvent l’impression de n’avoir que des défauts. Très souvent, elle ne souligne que vos points négatifs, vos faiblesses sans jamais faire part de ce qui est positif et agréable chez vous.
Dans les cas les plus fréquents, le pervers narcissique se donne une image forte, il se montre toujours sous son meilleur jour auprès des autres, et se fait passer pour meilleur que les autres pour réussir à se donner un peu de consistance.
Dans les cas les moins fréquents (mais qui existent) , c’est quelqu’un qui se victimise, qui joue le “Caliméro” pour faire croire à sa partenaire qu’elle a mal agi. Qui est Caliméro ? “C’est un poussin anthropomorphe charmant mais malchanceux. Le seul poussin noir dans une portée de jaunes, et il porte sur la tête sa coquille d’œuf à moitié brisée.”
Ce sont les mêmes qui vous feront croire qu’ils ont moins de chance que les autres, qui se plaidront sans cesse de leur situation, et qui vous le feront subir (payer) comme si vous en étiez la cause.
Le pervers narcissique prend un énorme plaisir à susciter un sentiment de culpabilité chez sa victime, qui finit par croire qu’elle est responsable du mal-être de l’autre. Leur grande particularité (force) est de se défausser de tous leurs torts.

Et en amour ?
Dans une relation amoureuse, le pervers narcissique adore faire culpabiliser l’autre. Ses besoins passent avant ceux d’autrui. D’ailleurs, généralement, la personne atteinte de ce trouble ne cherche même pas à comprendre si sa conjointe a des besoins ou des envies. Il est le centre du monde.
Dans mon cas, par exemple, j’étais selon lui trop sportive, trop active, trop voyageuse, trop amicale, trop sociable, trop dynamique… j’avais trop de projets alors qu’il aurait fallu que je n’ai qu’un unique centre d’intérêt : lui.
Il ne m’encourageait jamais à pratiquer des activités qui me convenaient, mais il m’attirait vers des choses dans lesquelles il aurait fait partie. La bienveillance n’était pas le mot d’ordre !
Ce qui a fini par créer un amour déséquilibré fondé sur des réflexions acerbes, des mots durs et de la culpabilité. Et de mon côté de la fuite, car j’étouffais. Mais je ne partais pas pour autant.
Cependant pour compenser et donner l’impression qu’un amour fort existe, le pervers narcissique sait se montrer, de temps à autre, extrêmement affectueux et terriblement présent. Encore plus présent que ce que vous aviez potentiellement déjà connu dans le passé. On se laisse entraîner… Et il est alors très difficile d’être objectif sur sa relation.
Il sait aussi montrer à l’autre, et avec insistance, qu’il a besoin de l’autre, ce qui donne envie à la partenaire de poursuivre la relation malgré une énorme incohérence.
Et c’est un cercle vicieux assez difficile à quitter. Car on vit au quotidien dans deux extrêmes émotionnels, on a l’impression d’être animé(e) d’émotions opposées : amour/haine, pulsion/répulsion, joie extrême/tristesse profonde, apaisement/colère, rire/pleurs, en couple/rupture..
Ce qui est certain, c’est que lorsque vous êtes en couple avec ce genre d’individus, il n’y a pas de place pour la routine… Bien au contraire, il y a de l’animation 365 jours de l’année.

Comment s’en rendre compte ?
Dans les débuts d’une relation amoureuse, il est souvent compliqué de percevoir les aspects négatifs ou malsains de la personne sur laquelle on a jeté son dévolu. En général, ce garçon est, au premier abord, séduisant, drôle, sociable, charmeur et doux. C’est d’ailleurs très agréable, surtout dans notre quotidien où l’individualisme prime bien trop souvent.
Mais, bien plus que cela, il s’agit le plus souvent d’un individu profondément amoureux, et qui vous donne TOUT très rapidement : des mots doux, des messages affectueux, des dîners aux chandelles, la présentation de sa famille/de ses amis, des envies de voyages, des projets communs, des passions communes.
Je me suis d’ailleurs rendu compte avec mon ancien copain que nous n’avions, en fait, aucune passion ou ni envies communes. En fait, il s’adaptait à ce que j’étais, de façon à ce que je m’attache encore plus.
Mais le malaise s’installe assez rapidement, après quelques semaines de vie commune. Et là, c’est l’hécatombe.
Vous pouvez vous réveiller un matin, et prendre conscience que votre partenaire est différent de ce qu’il est d’habitude : Il se montre susceptible, très très violent, agressif et incohérent alors que le sujet sur lequel vous étiez en train de débattre n’a pas grande importance. Les sujets sur lesquels vous débattez ensuite ne sont guidés que par la jalousie et la possessivité.
À cause de cela, il n’y a plus aucune place pour la curiosité. Et les conversation passionnantes ou constructives diminuent pour ne laisser place qu’à des disputes constantes.
Comment les reconnaître ? Pourquoi les fuir ?
Si vous tombez sur un profil qui répond à ces critères, posez-vous des questions :
- Une séduction irrésistible
- Un double langage
- De la jalousie
- Un refus systématique de reconnaître ses torts
- Une communication parfois floue
- De la dévalorisation et des critiques (sans en avoir l’air)
- La création de conflits
Tout d’abord, pour ne pas tomber dans les mailles de ces personnages, il faut avant toute chose, bien se connaître soi-même, de façon à ne pas se laisser influencer par les propos parfois médisants et malveillants de l’autre. Mais ce n’est pas si facile, car ils sont très doués pour instaurer le doute.
Il faut également savoir se fixer des limites avec l’autre, et ne pas accepter qu’elles soient franchies.
Il faut aussi savoir que le pervers narcissique est souvent très capricieux, il n’a pas d’affect propre et exagère toutes ses émotions. On pourrait lui attribuer l’Oscar du meilleur rôle…
Il est adulte, mais il est très immature et même si, dans les débuts il ne montre que le meilleur de lui-même, il ne faut rien attendre de lui car il est rarement très fiable.
Dans les débuts de votre relation, si vous détectez rapidement quelqu’un de très présent mais de très excessif à la fois : fuyez !!
Le manipulateur narcissique vous dérobe énormément d’énergie ! En sa présence, vous êtes plus fatiguée, voire épuisée, et vous êtes surtout malheureuse.
Une fois qu’il a laissé place à tous ses démons après la période de séduction, il redoublera de nombreuses manipulations afin de vous garder dans les mailles de son filet.
Une fois séparée d’un pervers narcissique
Une fois que vous trouverez le courage de partir, ou qu’il trouvera une nouvelle copine (amen), essayez de vous redonner de la force et de l’amour en :
- Vous entourant de personnes bienveillantes (et en les écoutant)
- Ayant de la gratitude envers les bonnes actions que vous menez au quotidien
- Vous méfiant davantage des hommes que vous laissez entrer dans votre vie
- Vous écoutant : corps et esprit confondus (vous êtes votre meilleure amie)
À très bientôt !
Charlotte Vallet – coach spécialisée en émancipation féminine

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Dites au revoir à vos peurs
Cela fait un certain temps que je médite sur le sujet de « la peur ». Que ce soit à titre personnel, ou que ce soit chez mes proches, j’ai l’impression que les peurs empêchent l’exécution de nombreuses actions. A longueur de journée j’entends des affirmations à ce sujet : « j’ai peur qu’il ne m’apprécie pas » « j’ai peur de ne pas savoir le faire » « j’ai peur de partir à l’étranger », « j’ai peur qu’il/ elle me quitte », « j’ai peur de la solitude » … « j’ai peur de perdre mon travail » …Cependant, de savoir que nous avons des peurs c’est un fait, mais de tenter de guérir ses peurs c’est autre chose. C’est donc sur cela qu’il faut réfléchir et agir. Réussir à mettre le doigt sur une peur et tenter de faire un gros travail de fond pour que cette peur ne nous pénalise plus.
J’ai longtemps eu de nombreuses peurs en tous genres. J’en ai encore quelques-unes c’est évident , et j’en aurais toute ma vie; ceci-dit, ma grande solitude lors de mes voyages, m’a grandement fait réfléchir, et fait mûrir le sujet de mes peurs personnelles. J’essaie chaque jour de guérir mes démons intérieurs pour avancer et pour canaliser certaines émotions.

Avant toute chose : Qu’est-ce que la peur ?
La peur est une force négative qui nous freine dans notre élan. Celle-ci a des répercussions face à notre envie et notre besoin d’avancer. Elle est comme un démon qui ronge une partie de notre esprit. Nous sommes tous éperdument conscient d’avoir des peurs en nous, mais elles ne sont pas faciles à assumer. Voir très difficiles à assumer. Surtout lorsque nous sommes dans un culte de « l’hyper-performance » ou il n’y a aucune place qui est laissé à la peur. Les médias nous renvoient d’ailleurs à longueur de journée, des images positives de personnes fortes « BE STRONG ». Comme si , sans cette force , vous n’avez pas le droit d’exister.
Prenons pour exemple, les personnalités connues. Elles sont souvent mises au-devant de la scène dans un moment de leur vie où elles sont au « top ». Une Taylor Swift, un Obama, ou un Nadal, dans un autre registre, n’auraient pas la même popularité en étant « de façon assumée » remplis de peurs. Aujourd’hui, nous avons d’ailleurs tous cette tendance à nous dire que plus on se montre fort, mieux ce sera. La fuite de la vulnérabilité à tout prix … (je vous ferai un article à ce sujet ce week-end).
Mais, ce sera mieux pour qui ? A part de se mentir à soi-même, personne d’autre n’en paiera les conséquences. Au final , on fini par se mettre des œillères et ne plus vouloir les voir ces peurs, car elles en deviennent pour beaucoup une honte.
L’être humain est constitué de forces et de faiblesses et ce sont ces deux antagonistes qui nous permettent d’être ce que l’on est. Il ne faut alors pas mettre de côté nos peurs ou nos blocages comme s’ils représentaient « l’ennemi ». La peur est essentielle, elle est là pour éviter le danger, il faut alors se réconcilier avec celle-ci. L’assumer et puis tenter de l’améliorer, sans la bannir pour autant.
N’oublions pas qu’une peur ça se travaille constamment de façon à réussir à vivre avec. Si jamais nous nous mentons à nous même, en nous disant que nous n’avons aucune peur et que nous sommes forts, nous risquons alors de subir une contradiction interne à un moment donné.
Pour revenir sur la peur, Jules Renard disait que « la peur est une brume de sensations ».
En effet la peur n’est pas manifestée de la même manière selon les profils, et cela proviendrait de notre vécu. Ce sont des blessures internes et profondes provenant de l’enfance qui entretiennent nos peurs quotidiennes a l’âge adulte.

Identifions nos blessures principales
Lise Bourbeau met le doigt sur 5 blessures importantes, sur lesquelles il ne faut surtout pas tirer une croix.
Elle les appelle, les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même.
- Les blessures du rejet : personnes très sensibles à la moindre remarque, se sentant facilement rejetées et blessées en cas de contradiction. Ne se donnent pas le droit à l’erreur, sabotent leurs relations, n’osent pas donner leur opinion et parlent peu. Pour se guérir elles devront se pardonner et pardonner aux autres, affronter leur peur, oser s’affirmer et prendre leur place.
- Les blessures de l’abandon : ce sont des personnes qui ne se sont pas sentis assez nourris affectivement parlant. Ce sont aussi des personnes qui dépendent des autres et qui cherchent constamment leur soutien et leur approbation. Cherchent à attirer l’attention, et dramatisent énormément. Pour se guérir elles devront apprendre à être bien dans les moments de solitude, sans tout le temps avoir besoin d’autrui et chercher l’attention des autres. Ces personnes doivent apprendre à apprécier de se balader seules, de lire un bouquin, d’écrire … Des activités qui sont souvent liées aux solitaires.
- Les blessures de l’humiliation : ce sont des personnes qui se sont senties rabaissées et comparées toute leur vie, mais surtout durant l’enfance. Les personnes qui en souffrent se croient indignes et se sentent rabaissées constamment toujours. La masque de cette personne est le « masochisme ». Il faut que ces personnes apprennent à avoir confiance en elle, et soient remplies de gratitude face à ce que la vie leur donne.
- Les Blessures de la trahison:la trahison est lié à l’abandon. La personne ayant souffert de trahison veut montrer sa force et être dominatrice par rapport au sexe opposé. Elle a aussi beaucoup de difficultés à gérer le mensonge. Le masque de cette personne est « contrôleur ».
- Les blessures de l’injustice: cette blessure est liée au rejet. La personne qui en souffre souhaite être parfaite : au plan physique et dans ses actions. Ainsi, ces personnes préfèrent se couper de leur sensibilité plutôt que de risquer de mal faire. Le masque associé à l’injustice est « rigide».
Comment se manifestent les 5 blessures, et sont-elles guérissables ?
Nous les avons toutes plus ou moins en tant qu’être humain, mais certaines blessures sont plus importantes que d’autres.
Face à une situation X personne ne réagira de la même manière. Selon les circonstances personne ne percevra la situation de la même façon. Quoi qu’il arrive nous rencontrerons au moins 4 de ces blessures au courant de notre vie, et à ce moment la nous ne serons plus nous mêmes.

Comment guérir nos blessures fondamentales ?
Il faut prendre le temps de travailler sur ses blessures afin que les peurs s’atténuent au quotidien. Tout comme nous prenons du temps pour manger, ou respirer de façon essentielle, il faut s’accorder le même temps pour soigner ses blessures les plus profondes. Il faut commencer par prendre conscience de nos peurs et de les regarder bien en face. Les regarder avec un regard perçant, un regard d’homme bien assumé et qui sait ce qu’il veut. Se réconcilier avec la notion de peur, c’est aussi vivre en s’écoutant, et comme nous sommes notre meilleur ami, il faut passer par là.
Frappez à la porte de votre bien être intérieur si jamais vous n’avez pas la clef et discutez avec vos émotions ! Il ne faut jamais saccager ce qu’on ressent car une blessure intérieure n’est en rien une honte. Tout le monde en a même si personne ne vous en parle. Écouter ses peurs, c’est aussi se demander de quels dangers elles nous avertissent. Parfois cela permet aussi d’anticiper les mauvaises surprises. Il ne faut surtout pas oublier de les rassurer avant toute chose.
Petit + : Faire de la médiation aide beaucoup ainsi que de respirer chaque jour calmement et paisiblement.

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Quand une souffrance se transforme en force
Comme le dit la citation: « Les plus grandes qualités de l’âme ne se développent que par la souffrance. »
Aujourd’hui je souhaite-vous conter l’histoire d’une de mes meilleures amies ; ce ne seront que ses mots. Je n’ai rien transformé, car son histoire est extrêmement personnelle et touchante. Cette jeune femme a perdu son unique frère à l’âge de 16 ans, mais a fait face à cette épreuve avec beaucoup de courage et de force.
J’attaque fort aujourd’hui, mais ce sujet me tenait terriblement à coeur, ayant aussi de nombreuses souffrances du passé au fond de moi.
L’objectif de cet article est de montrer à quel point une souffrance profonde peut se transformer en vraie force, et surtout comme vous pouvez gagner en maturité mais aussi en optimisme lorsque vous vivez des épreuves difficiles.
14 ans après, cette jeune femme est resplendissante est a une appétence pour la vie que peu de personnes ont. Elle ne se laisse jamais décourager et va au bout de chacun de ses projets avec ambition.

Interview de mon amie
Jeune femme de 30 ans, sportive, dynamique, bosseuse, qui aime profondément la vie et le sens de celle-ci. Mais cela n’a pas toujours été le cas.
Voici ses propos :
« On croit toujours que ça n’arrive qu’aux autres et pourtant nous y voilà.
On nous parle de la vitesse sur la route, de l’alcool, de la mauvaise conduite mais jamais de tous ces camions qui sillonnent nos autoroutes ; non nous n’en parlons pas, car c’est un point économique, on ne nous dit pas que traverser ces routes à grandes vitesses c’est comme marcher dans un champ de mines.
Un appel d’air, une voiture incontrôlable, et nous y voilà, une mort à la clé.
J’avais 16 ans, mon grand frère seulement 18.

Comment vivre sans mon binôme, comment envisager rien qu’une seconde devoir porter la souffrance de mes parents sur mes petites épaules. Je n’étais qu’une enfant.
Vivre dans l’ombre de moi-même, ne plus avoir goût à la vie, l’injustice devient une obsession, le réveil une souffrance.
Les années passent, les moments défilent. Il faut revenir à la vie, goûter de nouveau au quotidien, sécher ses larmes.
Qu’est ce qui est le plus difficile dans cette tragédie ?
L’absence de l’autre, le travail de deuil.
Mais quand le temps fait son travail, la souffrance s’atténue, le plus dure devient de ne pas culpabiliser, comment puis-je esquisser un sourire alors que l’être tant aimé n’est plus ? Comment accepter de vivre des moments de bonheur alors que lui est sous terre.
Les années passent. Les traits de son visage s’estompent dans mon esprit, sa voix ne résonne plus. Les sourires deviennent de plus en plus affirmés, mon ambition à réussir ma vie se développe au fil du temps, les projets s’accumulent, les moments de bonheur s’intensifient à tel point qu’ils redeviennent partie intégrante de mon quotidien.
Les années passent. 1 an, 2 ans, 5 ans, 10 ans. Je ne les compte plus. Elles défilent de plus en plus vite. Puis vient l’année de mes 28 ans. Ce drame a 12 ans.
Je comprends que cette épreuve m’a forgée. Que je suis désormais plus forte. Je sais, au combien, chaque moment est précieux, je n’ai pas peur de notre issue. Je le retrouverais. Mais mon passage sur cette terre doit être le plus merveilleux.
Mon amour pour les autres est décuplé, ma meilleure amie prend ce rôle de sœur que je n’ai jamais eu, mes parents deviennent de plus en plus fort, les amours que je vis me remplissent de bonheur. Durant tout ce chemin j’ai eu la chance d’être entourée de personnes fabuleuses, à l’écoute et bienveillantes.
Je ne peux pas me réjouir de mon passé mais je peux affirmer sans aucune gêne que je suis heureuse, que cette épreuve à dupliquer l’amour que je porte à la vie, intensifié les sentiments que je porte pour les personnes que j’aime, le moindre moment de bonheur du quotidien, même le plus simple est extrapolé.
Le bonheur ce n’est pas de rêver de ce que l’on a plus ou de ce qu’on souhaiterait avoir.
Le bonheur c’est ce chemin, parfois semé d’embûches, mais ce n’est pas le but ou l’issue de celui-ci. »
Pour réussir à combattre une souffrance, la sophrologie peut vous aider; pensez-y !!

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