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Étiquette : peau
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Un conseil santé et beauté : de la crème solaire sur le visage même en hiver !
Petit retour en arrière… Nous sommes en juin… on se prépare pour l’été. Et qu’est-ce qu’on trouve dans son caddie ? L’indispensable crème solaire bien sûr ! Mais je ne vous dis pas le casse-tête quand, pour ma part, je dois faire un choix face à toutes ces marques, leurs compositions et les différents indices UV. Bref ! Je m’arrache les cheveux, ce qui, je ne vous le cache pas, ne m’aide pas beaucoup ! J’en choisis une, un peu au hasard, avec un indice intermédiaire, en me disant que ça fera bien l’affaire.
Fin août, retour des vacances, au revoir le soleil et la bronzette et bonjour à la déprime, aux jours qui raccourcissent et à la grisaille de l’automne… On a rangé les valises, lavé les serviettes de plage et rangé les produits solaires au fond du placard. On les ressortira l’année prochaine. À quoi bon mettre une protection sous un ciel gris et pluvieux ? Eh bien, détrompez-vous ! Qu’il neige, qu’il pleuve, qu’il vente, on doit se protéger contre les ultraviolets tous les jours de l’année !
Pourquoi ? Un peu de patience et de lecture et vous saurez tout…
Se protéger contre les UVA, c’est toute l’année !
Si les Japonaises et les Américaines ne sortent jamais sans leurs crèmes blindées d’anti UV, en France, c’est loin d’être le cas ! Et pourtant… Même si le soleil ne frappe plus aussi fort, si la chaleur n’est clairement plus de la partie et que la grisaille de l’automne pointe le bout de son nez, prudence ! En effet, bien que les rayons ultraviolets ou UVB, responsables des coups de soleil, diminuent l’hiver, les UVA, eux, qui ne brûlent pas mais qui abîment la peau et provoquent des taches brunes (entre autres), sont toujours présents.
Petit aparté « mnémotechnique » pour savoir qui est quoi et qui fait quoi car on peut vite faire la confusion. Retenons : A pour Âge et B pour Brûlure.
Les UVA sont donc responsables du vieillissement de la peau et les UVB, des brûlures causées par le soleil. Donc si vous me suivez toujours, tandis que les UVB diminuent avec le soleil qui disparaît, les UVA eux, persistent toute l’année et toute notre vie. Invisibles et indolores, ils sont les plus sournois des deux.
C’est pourquoi, les lunettes de soleil restent également indispensables, surtout si vous avez des yeux sensibles. Eh oui, ils nous suivent partout ces coquins et peuvent même traverser les fenêtres de chez vous ou de votre bureau. Je vous l’accorde, c’est assez incroyable !
Vous l’aurez compris… Une protection semble s’imposer tout au long de l’année.

Les dangers d’une mauvaise protection…
Un peu de rayonnement UV réchauffe le corps, et provoque un réel bien-être mais il est surtout indispensable à l’organisme, car il stimule la production de vitamine D. Celle-ci a un rôle important puisqu’elle accroît l’absorption du calcium et du phosphore présents dans les aliments et joue un rôle décisif dans le développement du squelette, la fonction immunitaire et la formation des éléments figurés du sang. Il ne fait aucun doute qu’un peu de lumière solaire est bonne pour la santé mais jamais sans protection et surtout pas une journée entière ! Car le danger nous guette…
En effet, les effets nocifs de l’exposition au rayonnement UV l’emportent malheureusement sur les avantages. Outre les effets à court terme d’une surexposition au soleil, tels que les coups de soleil, insolations, vomissements ou réactions allergiques, les effets à long terme font courir un risque à vie. La surexposition au rayonnement UV a des effets sur la peau, les yeux et probablement le système immunitaire, mais cela n’a pas encore été prouvé.
Ses effets sur la peau :
- Photosensibilité
- Augmentation des rides
- Les cancers cutanés non mélanocytaires
- Les épithéliomas cutanés basocellulaires. Ils constituent le type de cancer le plus courant
- Les épithéliomas malpighiens spinocellulaires de la peau. Ils sont la deuxième forme de cancer la plus répandue.
- Le mélanome malin. Il est le cancer le plus rare mais aussi le plus dangereux. Il peut se présenter sous la forme d’un nouveau grain de beauté ou d’une modification de sa couleur, de sa forme, des dimensions ou de la texture d’une tache de rousseur ou d’un grain de beauté existant. Il a tendance à avoir des contours irréguliers et à être polychrome.

Ses effets sur les yeux :
- La photokératite et photoconjonctivite
- La cataracte
- Le cancer de l’œil
Euh… ça refroidit plutôt tout cela…
Qu’en pensent les dermatologues ?
Les dermatologues, en France, commencent à éduquer la population aux effets du soleil l’hiver et à l’application d’une crème solaire. Déjà, sachez que le nombre de cancers de la peau a fortement augmenté ces dernières années avec cette mode d’être bronzée à tout prix.
Mais pourquoi préconisent-ils un anti UV toute l’année ? Pour préserver notre peau du vieillissement et surtout pour éviter les cancers cutanés provoqués par les rayons du soleil. En Belgique, par exemple, le nombre de cancers de la peau a augmenté de 350 %, oui vous avez bien lu, en 10 ans. Les preuves, ici.
Et bien sûr, cette protection permet aussi de retarder la perte d’élasticité de notre peau, son épaississement, et l’apparition de toutes les taches brunes que l’on voit souvent sur les mains des personnes qui vieillissent. Donc, pas de doute sur ce sujet, des UVA on se protège toute l’année si on ne veut pas avoir la peau toute fripée à 50 ans (dans le meilleur des cas) !
Mais bien sûr, tout dépend aussi de votre activité ! Quand on pose la question au dermatologue DR Michel Jeanmougin, voici ce qu’il répond : « Je ne vois pas l’intérêt d’utiliser une crème d’indice 50 lorsqu’on part à 8 heures pour le bureau et qu’on rentre chez soi à 18 heures, quand il fait nuit ou presque. » Effectivement, s’enduire de crème si l’on passe 8 heures dans un bureau, c’est très certainement inutile. Mais alors quand est-ce nécessaire ?
Lorsque l’on prévoit de rester exposé 2 heures ou plus, là il faut se protéger des UV, quelle que soit la saison, surtout entre 12 heures et 14 heures, lorsque le soleil est au zénith.
Alors quelle crème l’hiver pour une peau saine et rayonnante ?
Une bonne protection, d’accord mais laquelle ? Parmi toute cette offre de produits cosmétiques et pharmaceutiques, quels choix faire ? Avec un nombre incalculable de marques, comment savoir laquelle choisir ? Comment se retrouver dans la composition de tous ces produits surtout quand ils sont aussi compréhensibles que le chinois ? Comment éviter de passer une journée entière à parcourir les magasins, les sites internet et les pharmacies afin de choisir THE crème qui nous protégera parfaitement ?
En ville, un indice 20 suffit à une exposition de la vie quotidienne à condition que votre crème contienne aussi un indice UVA.
Petit truc pour choisir sa crème : l’indice UVA doit être égal ou supérieur à un tiers de l’indice UVB : Exemple : Pour un SPF 15, l’indice UVA devra être de 5.
Mais, nous sommes tous différents par rapport aux effets du soleil sur notre peau. Pourtant, l’application de cette fameuse crème est la phase indispensable de notre quotidien afin de préserver au mieux notre capital santé. La question n’est pas qu’esthétique, elle est surtout vitale.
La meilleure solution, selon moi, est de demander un diagnostic de notre peau à un professionnel qui vous aidera à faire le choix d’une protection adaptée à votre peau.
Et bien évidemment, même si je n’ai pas abordé le sujet, la crème solaire est incontournable si vous avez la chance d’aller skier… ! Mais cela, j’espère que vous le savez déjà.

Conclusion
Nous l’avons tous bien compris, notre comportement vis-à-vis de l’exposition solaire détermine aujourd’hui les chances que l’on a de présenter un cancer cutané ou une cataracte à l’avenir ! Alors si l’on veut préserver notre capital santé « peau », prudence et surtout protection ! Car si les rayonnements du soleil nous apportent chaleur, bien-être et production de vitamine D, une surexposition à long terme nous apporte plutôt rides, cataracte et parfois mélanomes, ce qui est pour le coup beaucoup moins sympathique !
Alors on adopte une rigueur absolue et on se protège été comme hiver. De l’indice 50 toutes les deux heures minimum l’été, et un indice 20 l’hiver sous son maquillage, dès lors que l’on s’expose au soleil. Et surtout, on prend un rendez-vous chez son dermatologue pour un petit check-up complet !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

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Mon expérience du traitement des cicatrices d’acné par laser CO2
Avant de lire cet article, je souhaitais vous informer que je propose (en 2024) des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Paris 19.
Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Je propose les deux.
2018 : Cela fait quelques années que je souffre de vilaines cicatrices d’acné au niveau du visage.
Et même si mon entourage ne m’a jamais fait de remarques, et qu’apparemment j’étais la seule à les voir, je le vivais mal. Comme quoi, quand vous avez un complexe, vous ne voyez plus que cela.
Ce blog étant consacré au bien-être corps et esprit, il m’est apparu important de partager avec vous mon expérience, car pour se sentir bien dans sa peau, il est tout de même plus agréable d’avoir une peau saine.
Alors, si tout comme moi, vous souffrez de problèmes de peau, cet article est fait pour vous.
PS : cet article date de 2018, je souffre considérablement moins de problèmes de peau en 2024...
On trouve toujours des subterfuges, mais ce n’est pas évident pour tout le monde. Pour ma part, je suis une fan inconditionnelle des soins pour la peau et du maquillage, et j’ai la chance de m’y connaître assez bien. Assez naturelle mais glamour de nature, j’arrivais probablement à les cacher avec mon sourire et mon rire constant (rires).
Ci-dessous, vous verrez la photo de ma peau avant le traitement. Alors, soit mes amis sont des petits coquins qui ne me disaient pas la vérité, soit je mettais ma peau très en valeur. Quoi qu’il en soit, pour moi, je le vivais assez mal.
C’est pourquoi, j’ai décidé de m’en débarrasser et de pratiquer une intervention au laser CO2. Et bien sûr, de partager avec vous mon expérience, qui je l’espère vous aidera.
QUELLES SONT LES DIFFERENTS TYPES DE CICATRICES D’ACNÉ
Quand on pense ” cicatrices d’acné “, on imagine tout de suite des grosses cicatrices en creux (aussi appelées cicatrices en pic à glaces), ce qui n’est pas mon cas. Quelques petites cicatrices font partie de cette catégorie, mais elles ne sont pas majoritaires. Cela dit, j’en ai quelques-unes de cette catégorie au niveau des pommettes.
Il existe, en effet, différentes sortes de cicatrices, et pour ma part, j’ai surtout des cicatrices déprimées à bords prononcés (cicatrices larges, rondes ou ovales, donnant l’impression de trous poinçonnés dans la peau. Elles peuvent être profondes ou superficielles) et des cicatrices hypertrophiques (ces cicatrices, qui sont moins courantes, sont le résultat d’une cicatrisation excessive, c’est-à-dire que trop de collagène s’accumule durant le processus de cicatrisation).
À l’origine, cette satanée acné, qui a duré assez tardivement dans mon cas ! J’ai subi 3 vilaines crises hormonales suite à des arrêts de ma pilule et de la reprise d’une nouvelle pilule qui ne me convenait pas.
J’ai aujourd’hui 28 ans, et ma dernière crise (la plus dévastatrice) s’est déroulée lorsque j’avais 24 ans.
Cette année là, je travaillais au journal Le Monde entourée de beaucoup de personnes sérieuses … et moi, j’avais des boutons (rires). Je n’ai aucune photo de cette période… car vous comprendrez que ce n’était pas ma période la plus glorieuse (selon moi). Mais croyez-moi… je m’en souviens très bien et ma peau aussi.
En résumé, voici ma peau avant l’intervention laser (ce ne sont pas les photos les plus objectives, je les ai prises dans la rue en marchant, oui… j’aurais pu faire mieux, je l’avoue. Mais, je vous ai fait un vrai zoom donc il n’y a pas plus représentatives comme photos). Vous pouvez constater le type de cicatrices que j’avais sur la peau.
Cela dit, et sans aucun chichi, mes cicatrices se voyaient suffisamment pour avoir recours au laser CO2.

APARTÉ
Petit aparté des plus importants. Comme j’ai fait ma séance de laser hier, je suis en semaine de cicatrisation, et je ne sais pas si je dois parler au présent ou au passé.
Étant très marquée et rouge par la puissance du laser, je n’ai aucune idée de ce qui m’attend en dessous des rougeurs.
Patience, j’en ai apparemment pour une dizaine de jours, je le saurai donc d’ici peu. Du moins à la fin de cet article, vous aurez quant à vous le résultat, puisque j’écris cet article jour après jour.
À savoir aussi : je vous conseille de débuter ce type de traitement en hiver. C’est l’idéal, car suite à l’intervention, vous ne devez pas exposer votre visage au soleil pendant au moins 4 mois.
Me suivre sur instagram.
RENSEIGNEZ-VOUS LE PLUS POSSIBLE
Cette intervention n’est pas anodine. Et il est impératif de bien se renseigner avant de se lancer dans cette aventure…
La solution la plus simple est de faire appel à ses connaissances. Y a-t-il quelqu’un qui connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un…
Pour ma part, personne ne pouvait me conseiller. La seule solution que j’ai trouvée, c’est de me renseigner via le Net. Et après quelques heures de navigation et de lecture, j’ai pris rendez-vous dans plusieurs cliniques.
J’ai entendu différents discours, et le choix n’était pas simple. Mais que faire sinon que de se laisser guider par son intuition. C’est donc ce que j’ai fait.
Croyant beaucoup à la bienveillance des médecins et des gens qui m’entourent, j’ai craqué sur la sympathie et la patience d’un des médecins de la clinique FOCH dans le 16e arrondissement de Paris.
Et si pour nous, c’est angoissant, là-bas, c’est leur routine… et vous avez l’impression d’être dans une usine. Mais le médecin que j’ai rencontré, était vraiment professionnel. Il n’a fait aucun forcing et m’a particulièrement bien expliqué la démarche. Il a pris son temps pour répondre à la multitude de questions que je me posais.
En résumé, il m’a proposé de traiter mes cicatrices à raison de 2 séances espacées d’un mois. Et il m’a suggéré, à suivre, un traitement à l’acide hyaluronique pour un rendu encore plus parfait.
Bon… je n’en suis pas encore là… J’avoue qu’à cet instant, j’étais plus préoccupée par la réussite de cette intervention. À mon âge, comme à tout âge d’ailleurs, une intervention sur le visage est toujours un peu préoccupante. J’étais donc plus guidée par la peur que par l’acide hyaluronique !
Mais, il a réussi à me convaincre. Le rendez-vous fut fixé au 15 novembre.
LE PRIX
Bien évidemment, c’est un élément important. Selon les centres ou les cliniques, les prix varient considérablement et peuvent attendre des montants aux alentours de 700 €.
Pour ma part, le prix de la séance est de 285 €, un tarif tout de même plus raisonnable que certains qui sont complètement abusifs.
LE TRAITEMENT LE JOUR J
Le rendez-vous était fixé à 16 heures, et je ne vous cache pas que même si vous avez tout de même beaucoup de choses à faire dans la journée, votre esprit est focalisé sur le rendez-vous.
Le stress est monté progressivement. Et à juste avant de partir, ce n’est plus ma tête qui me guidait, mais mes jambes… qui disons-le étaient quelque peu vacillantes.
Heureusement, le médecin ne m’a pas fait trop attendre dans la salle d’attente.
Et voilà, c’est parti… !
Une fois installée dans la salle de soins, je lui ai demandé s’il pouvait tester le laser sur ma main pour que je puisse évaluer la douleur. Sa réponse fut sans appel : non… sinon je risquais d’être marquée. Pas très rassurant…
Voici à quoi ressemble l’appareil :

Petite précision dont je ne vous ai pas parlé mais qui a tout de même son importance… Il est possible d’appliquer une crème anesthésiante (EMLA). Mais les écoles, à ce sujet, divergent. Certains médecins pensent qu’elle atténue les effets du laser. Mon médecin en faisant partie…, j’ai donc opté pour une intervention sans anesthésie.
Puis, le médecin m’a demandé d’entourer, avec un crayon blanc de maquillage, les zones de mon visage qui me dérangeaient le plus. Son objectif est d’appliquer le laser à l’ensemble des zones que je définissais.
J’ai alors dessiné des cercles sur le visage (je ressemblais à une sorte d’animal un peu fantastique).
Une fois, ces zones délimitées, et il m’a dit : « nous sommes partis pour le laser ».
J’appréhendais beaucoup la douleur. En effet, j’avais lu de multiples avis inquiétants sur des forums…
Alors soyons clair… Sur une échelle de 1 à 10, je mets tout de même un bon 7 pour la douleur ressentie. À tel point que j’avais des petites larmes qui coulaient.
Sachez que l’intervention ne dure que 7 minutes par joue. 7 longues minutes… sans crème anesthésiante !
Mais le pire finalement, ce n’est pas la douleur… c’est l’odeur de cochon grillé qui émane assez rapidement de votre visage et qui se répand dans la salle.
14 minutes se sont ainsi écoulées ! Et je suis repartie avec de belles compresses sur les joues sur lesquelles j’ai appliqué une crème apaisante.
Heureusement que je n’habite pas loin… Car j’étais tout de même très ” repérable “.
C’est pourquoi… avant le traitement…
Vous devez penser à tout ce dont vous avez besoin. Car inutile de vous préciser qu’une fois la séance passée, vous ne pouvez plus vraiment vous déplacer.
En effet, compte tenu de l’agressivité du traitement, la peau est ” brûlée ” une bonne dizaine de jours. Il est d’ailleurs conseillé d’attendre que les croutes tombent pour remettre un pied dehors.
Bon, on ne va pas se mentir ce traitement vous demande d’avoir quelques jours devant vous.
Donc, il faut anticiper cette période. Pour ma part, j’ai prévu la rédaction de quelques articles, de lire et de regarder des films. Je vais également essayer de travailler à distance avec mes patients, et commencer à préparer mes nouveaux ateliers bien-être. Mais pour une hyper active comme moi, ça va être très long ! Ce qu’il me manquera le plus, c’est évidemment le sport, même si je pense bien en faire à la maison.
Mais surtout, avant le traitement, il est indispensable de se procurer l’intégralité des crèmes dont vous aurez besoin après l’intervention. Voici celles que j’ai achetées.

LES SUITES DU TRAITEMENT
Jour 1
Le pire. J’ai vraiment mal dormi, car la peau me brûlait et je sentais les sensations de picotements et de chaleur jusque dans mon sommeil. En termes de résultats, ce n’est pas vraiment très glamour, je vous laisse apprécier l’état de ma joue sur la photo ci-dessous.
C’est très rouge et ça peut saigner par moment, et surtout c’est sur une surface beaucoup grande que celle que j’avais dessinée sur mes joues.
Lors des premières 24 heures, j’ai mis de la crème CICABIO de Bioderma tout au long de la journée. Il fallait impérativement que la sensation de grosses brûlures s’estompe. Car croyez-moi, c’était plutôt très désagréable.

Jour 2
C’est un peu mieux. Je ne ressens plus la sensation de brûlures, mais cette fois, je ressens des tiraillements. Je sens que ma peau est très sèche. D’ailleurs elle craquelle légèrement. Les rougeurs se transforment en croûtes.
Mon médecin m’a préconisé de ne pas mettre de crèmes en tous genres les 3 premiers jours (après la phase des premières 24 h où j’avais le droit de mettre une crème apaisante). En effet, il m’a expliqué qu’il valait mieux laisser la peau faire son travail naturel : la création de croûtes.
Une fois que celles-ci seront tombées, je pourrai alors utiliser de la Cicalfate d’Avène ou du Cicaplast de la Roche Posay.
Sur certains autres blogs, je vois que des jeunes femmes, qui ont eu recours à la même intervention que moi, ont quant à elles mis de la crème grasse dès les premiers jours… En fait, je ne sais pas trop quoi faire. J’ai décidé d’écouter mon médecin, en tout cas pour cette première séance. J’aviserai lors de ma deuxième séance, si nécessaire.
Jour 3
Je décide de ne pas toucher à ma peau encore pour cette journée. Elle tiraille un peu et me joue des tours, mais je sens que les croûtes se forment naturellement. La peau est magique, elle peut réussir à se reconstituer seule.
Je vais donc attendre que les croûtes tombent d’elles-mêmes avant de me badigeonner de Cicalfate. Et à ce moment-là, ce sera des couches épaisses durant toute la journée et toute la nuit.
Je compte alterner de la Vaseline en couche pour éviter que des marques restent, par la suite, sur le visage et de la crème Cicalfate d’Avène pour que ma peau cicatrise plus vite.
Une fois que mon tube de Cicalfate sera fini (c’est un vieux tube), je passerai à la crème Cicaplast toujours en couche.
Je tiens également à préciser qu’une autre crème assez fantastique existe. Mon médecin ne l’a pas évoquée, c’est FLAMIGEL. Elle semble géniale pour cicatriser dans les débuts, avant même que les croûtes ne se forment.
Pour ma part, je l’ai mise une fois les croûtes tombées, mais lors de la 2eme séance, je la mettrai avant.
Jour 4
Peu de différence avec hier. Il me reste encore de nombreuses croûtes, mais j’arrive à percevoir ma peau qui a la couleur d’une fraise TAGADA, photo à l’appui…
Je commence à devenir très impatiente !!! J’aimerais sortir de chez moi.

Me voici au 7e jour…
Voici à quoi ressemble ma peau, aujourd’hui. C’est certes encore très rouge, mais nettement mieux. Je peux même me maquiller, et c’est particulièrement appréciable, car ça y est, je sors !!!

Heureusement que je ne dois pas attendre la fin des rougeurs, car apparemment ma peau restera rouge et dans cet état durant encore 10 jours.
Je vous mets ici ma peau maquillée, vous pouvez constater tout de même que de nombreuses cicatrices ont disparu (à savoir qu’avant mes cicatrices se voyaient même lorsque j’étais maquillée). J’étais d’ailleurs maquillée sur la première photo.


Mais selon la luminosité, je perçois tout de même que toutes les cicatrices n’ont pas disparu, raison pour laquelle la 2ème séance sera très utile…
CONCLUSION
Traiter des cicatrices liées à l’acné par un laser CO2, est un ” soin ” agressif qu’il ne faut pas prendre à la légère. Ce n’est pas un soin de confort que l’on décide de faire pour resserrer les pores, par exemple. D’autant qu’ils finiront par se dilater à nouveau… Vous risquez par ailleurs, d’abimer prématurément votre peau, et de constater l’apparition de taches.
Il ne faut envisager ce traitement que si vous souffrez à la fois physiquement et psychologiquement de cicatrices en tout genre, voire de marques prononcées.
Au moment où je vous écris, je suis à mon onzième jour, et les rougeurs s’estompent petit à petit, mais sont encore bien présentes sans maquillage. J’ai pris mon rendez-vous pour la seconde séance, et la jeune femme de l’accueil m’a dit ” j’espère que l’intégralité des rougeurs seront parties d’ici là “. Ce qui prouve que pour certaines personnes, les rougeurs mettent un peu plus de temps à disparaître que d’autres personnes.
En tout cas, les résultats sont là ! Désormais, il n’y a plus qu’à croiser les doigts !!!
Résultats en 2024…
Ma peau va beaucoup mieux, et cela n’est pas uniquement dû au laser, que j’ai d’ailleurs abandonné après une première séance médiocre. En réalité, c’est grâce à une combinaison de techniques efficaces et naturelles comme le micro-needling, les skin boosters, les peelings, et les massages du visage que j’ai réussi à retrouver une peau éclatante et en meilleure santé. Ces méthodes nécessitent du temps, de la patience et, surtout, de l’amour de soi.
Je vous informe que je propose des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Paris 19.
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Régler ses problèmes de peau avec Miltaderm
J’ai testé pour vous : les séances Miltaderm pour régler mes problèmes de peau
Voici plusieurs années que je teste différentes techniques & machines de soins pour la peau.
Ancienne acnéique tardive (je sais … ce n’est pas très glamour et pourtant ça arrive) à cause d’un choc hormonal (vilaine pilule qui m’a mal été prescrite), j’ai été obligée de trouver plusieurs solutions pour régler ce soucis.
Tout y est passé : le Roaccutane, la pilule Diane 35, le laser , les soins du visage en tout genre … les dermatologues , les naturopathes , les endocrinologues ! Que Nenni, lorsque les boutons ne veulent pas partir , ils ne partent pas , je vous le confirme. Il n’y a que la patience qui fait évoluer un choc hormonal , afin que le corps et les hormones s’équilibrent de nouveau.
Bon , avec le temps ,(j’ai maintenant 28 ans) et une nouvelle pilule micro dosée de la génération 4 (Zoely), ces coquins ont disparu; mais jusqu’à quand …. ? je ne sais pas!!
Il suffit d’un arrêt de pilule et l’envie d’un bébé … et je suis bien consciente que ces vilains ennemis peuvent revenir du jour au lendemain avec le dérèglement hormonal et la situation. Sans être défaitiste bien évidemment , car j’ai une personnalité très optimiste bien au contraire. Mais une femme peut avoir des boutons jusqu’à 40 ans.
D’après le Docteur Valérie Leduc de chez “Médecine de la beauté”, notre génération souffre davantage d’acné tardive et hormonal que sa génération à elle.
En attendant , ma peau s’est plutôt stabilisée , mais il me reste encore quelques cicatrices d’acné. L’acné m’a réellement ravagé la peau à une période de ma vie (trois grosses crises a l’âge de 18 ans , 21 ans et 24 ans), forcément il reste des séquelles (c’est ça que d’être parfois un peu tête en l’air et d’en oublier sa pilule en vacances , du coup de sauter des jours/mois … et hop c’est parti pour la crise ! ).
De plus j’ai encore quelques boutons en période de règles; mais ça comme tout le monde je pense…
Mais bien maquillée ma peau paraît quand même bien saine et lumineuse.
D’ailleurs sans maquillage , j’ai aussi une peau relativement saine , mais avec des pores parfois dilatés, des cicatrices et des légers microkystes; je suis la seule à le voir j’ai l’impression ainsi que les médecins spécialistes qui trouveront toujours des irrégularités.
Comment j’ai connu Miltaderm et qu’est ce que Miltaderm?
Je suis tombée récemment nez à nez avec une page Instagram se prénommant « Médecine de la beauté », et ses photos archi vendeuses de femmes bien dans leur peau, grâce à une hygiène de vie irréprochable … et à une belle peau. Je suis bien dans ma peau ça tombe bien, mais ma peau laisse parfois à désirer.
Il est vrai que je n’ai pas atterri sur cette page par hasard, car certaines blogueuses influenceuses en parlaient déjà. Ça faisait un certain temps que j’avais envie de faire un bon soin pour régulariser ma peau et soigner mes anciennes cicatrices profondes.… alors au vue des bons commentaires , je me suis dit « pourquoi pas ».
Apparemment d’après ce que j’avais vu , cette machine fonctionnait sur ces petits tracas.

A quoi sert cette machine ?
Il s’agit d’une machine pour toutes les peaux, du plus clair au plus foncé. Procédé novateur associant un laser froid fractionné et des LEDs. Le rayonnement photonique est ensuite potentialisé par des tunnels magnétiques qui stimulent la production de nouvelles fibres de collagène et restructure les fibres existantes, d’où une régénération en profondeur avec un résultat exceptionnel.
Soins anti-âge
* Réjuvénation cutanée.
* Tâches de vieillesse.
* Effet liftant.
* Imperfections.
* Anti-rides.
Soins médicaux
* Biostimulation.
* Cicatrisation.
* Acné.
* Oedèmes.
* Inflammation.
Soins du corps
* Détoxication.
* Vergetures.
* Raffermissement.
Soins minceur
* Amincissement.
* Cellulite.
* Drainage.

Comment se déroule une séance Miltaderm ?
Le médecin me met dans une salle un peu à l’écart (la salle spéciale pour le Miltaderm, pas n’importe quelle salle ;)) et souhaite s’assurer que vous n’êtes pas claustrophobe.
En effet , le médecin m’a mis une machine au-dessus de mon visage , à quelques centimètres seulement de ma peau. Au départ ça peut être un peu impressionnant et surtout très peu commun.
Une machine qui allait par la suite diffusait les lumières rouges et bleues.
Elle n’a pas oublié de me mettre des petites lunettes (un peu les mêmes lunettes que lorsque vous faites des UV – ce qui n’est pas préconisé).
Elle m’a annoncé qu’elle restait avec moi en début de séance pour être certaine que je sois à l’aise et qu’il n’y aient pas d’effets indésirables durant la séance. (Ce qui n’arrive vraiment jamais , à moins que vous soyez justement un peu claustrophobe sans le savoir , ou que les lumières bleues et rouges vous surprennent).
La séance passe très vite … en début de séance je discutais avec le médecin (qui est d’ailleurs une superbe femme à la peau PARFAITE), puis j’ai fini par m’endormir.
Une micro sieste réparatrice ne dure-t-elle pas 20 minutes ? Parfait combo pour repartir avec une peau lumineuse , et requinquée grâce à la sieste.

Les résultats sur ma peau
Le médecin m’avait indiqué que je ne verrais pas les premiers effets tout de suite. Seulement après 2,3 jours le temps que la peau comprenne qu’on venait de lui faire un traitement d’attaque.
En effet , les 2 premiers jours j’ai même eu des boutons qui sont ressortis ; comme si la peau se libérait de ses impuretés.
Mais lorsque les deux jours sont écoulés , mon teint était bien plus lumineux , et surtout régulier.
Les pores resserrés , la peau moins fatiguée , disparition des microkystes et des cernes moins marquées.
Comme quoi , il y avait encore beaucoup de choses à améliorer (rires).
Quel coût pour une séance Miltaderm ?
Ceci-dit , on ne va pas se voiler la face , ce type de soin c’est quand même un vrai budget : 120 euros la séance , et le premier mois 1 séance / semaine est préconisée , puis 2 séances / mois, pour finir sur « une fois de temps en temps ». C’est donc un soin qui n’est pas miraculeux , il faut du temps et de la patience.
Mais de tous les soins que j’ai fait ces dernières années , il fait partie des meilleurs. Et le médecin Valérie Leduc vous conseille avec patience, professionnalisme, et empathie.
Sans oublier le salon du docteur qui est magnifique !!!
Depuis la salle d’attente on est déjà impatient de faire le soin.
Contact : Médecine de la beauté – 5 rue Chambiges 75008 Paris – 01 45 63 07 82

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