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Coach de vie à Paris : arrête de subir, prends enfin le contrôle
Tu cherches une coach de vie à Paris car tu en as marre de tourner en rond et de subir ta vie ? Mes séances de coaching sont conçues pour te bousculer, t’aider à casser tes schémas limitants, et te permettre de créer une vie à ton image. Découvre comment reprendre les rênes dès aujourd’hui.
Je suis Charlotte Vallet, coach en émancipation féminine depuis 8 ans, et mon objectif est d’accompagner les femmes à prendre leur place et à se libérer du patriarcat. Pour cela, il est essentiel de se sentir équilibrée à la fois sur le plan physique et mental. En effet, la forme est le reflet du fond, et c’est cette harmonie entre le corps et l’esprit qui permet à chaque femme de s’épanouir pleinement et de révéler sa puissance intérieure.
Tu tournes en rond. Tu sais que quelque chose ne va pas, mais tu restes bloqué(e), paralysé(e) par la peur, le doute ou les excuses. Combien de temps encore vas-tu continuer à vivre comme ça ? À Paris, je ne suis pas là pour te caresser dans le sens du poil. Je suis là pour te bousculer, te faire bouger, et t’aider à reprendre les rênes de ta vie, une bonne fois pour toutes.
Pourquoi tu as besoin d’un coach de vie à Paris ?
Arrête de te mentir : si tu pouvais tout régler seule, tu l’aurais déjà fait. Mais la vérité, c’est que tu te perds dans tes schémas, dans tes peurs, dans ton besoin de validation ou ta peur de l’échec. Faire appel à un coach de vie à Paris, ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est le contraire. C’est reconnaître que tu veux avancer, que tu refuses de rester coincée dans ta zone de confort pour une vie qui ne te ressemble pas.
Paris, c’est une ville fascinante, pleine de promesses, mais c’est aussi une ville qui peut te pousser dans tes retranchements. Le rythme effréné, les attentes sociales, les ambitions personnelles… Tout ça te laisse peu de répit pour te poser les bonnes questions. Tu cours, tu bosses, tu réponds aux demandes des autres, et à la fin, il te reste quoi ? Une impression de vide, de ne jamais vraiment avancer, ou pire, de ne plus savoir ce que tu veux. Et pourtant, cette confusion, ce blocage, ce sentiment de tourner en rond, c’est exactement ce qui peut devenir ton point de départ vers une vie différente. C’est là qu’un coach de vie entre en jeu.
Le rôle d’un coach de vie à Paris, ce n’est pas de te dire quoi faire, ni de te donner des solutions toutes faites. Non, je ne suis pas là pour ça. Mon rôle, c’est de t’aider à t’arrêter, à faire le point et à reprendre la main sur ta vie. À Paris, où tout va vite, où la performance est valorisée au détriment de ton bien-être, ce travail est essentiel. Souvent, on ne prend même pas le temps de se demander ce qu’on veut réellement. On avance par automatisme, en suivant les schémas qu’on nous a appris, ou pire, en vivant pour les attentes des autres. Résultat ? Tu te perds dans une routine qui ne te ressemble pas, dans des décisions qui ne sont pas les tiennes.
Un coach de vie à Paris, c’est cette personne qui te pose les questions que tu n’as jamais osé te poser. Pourquoi fais-tu ce que tu fais ? Est-ce que ça te correspond vraiment ? Est-ce que tu avances vers quelque chose qui te fait vibrer, ou est-ce que tu essaies simplement de survivre ? À Paris, où la pression est constante, ces questions sont souvent reléguées au second plan. Mais ce sont elles qui te permettront de reprendre le contrôle. Parce qu’avancer sans but clair, sans alignement avec toi-même, c’est comme naviguer sans boussole. Et ça, c’est le meilleur moyen de finir épuisée, frustrée et insatisfaite.
Peut-être que tu te dis que tu peux t’en sortir seule, que tu n’as pas besoin de quelqu’un pour te guider. Et je comprends. Mais soyons honnêtes : si c’était si simple, tu aurais déjà réglé tes blocages, n’est-ce pas ? La vérité, c’est que parfois, on a besoin d’un regard extérieur. Quelqu’un qui n’est pas là pour te juger, mais pour t’aider à y voir plus clair. Quelqu’un qui t’apporte une méthode, des outils, et surtout, le soutien nécessaire pour avancer. Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de courage. Demander de l’aide, c’est reconnaître que ta vie mérite mieux que ce que tu vis aujourd’hui.
À Paris, on te pousse à performer, à réussir, à toujours en faire plus. Mais est-ce que quelqu’un t’a déjà appris à te comprendre ? À gérer tes émotions, à dénouer tes blocages, à construire une vie qui te ressemble ? Probablement pas. On te forme pour le travail, pas pour la vie. Et c’est là que j’interviens. Mon rôle, c’est de t’accompagner à retrouver cette clarté, à te reconnecter à tes envies, à tes besoins, et à toi-même. Parce que la clé de ton bien-être, ce n’est pas de courir plus vite ou de cocher plus de cases. La clé, c’est de savoir pourquoi tu fais tout ça.
En travaillant avec moi, tu vas découvrir ce qui te freine vraiment. Pas les excuses superficielles, mais les véritables blocages, souvent inconscients, qui te retiennent. Et une fois que tu les as identifiés, on travaille ensemble pour les surmonter. Mais je ne vais pas me contenter de te faire réfléchir. Je suis là pour t’aider à agir, à transformer tes idées en actions concrètes. Parce qu’au bout du compte, ce qui compte, ce n’est pas ce que tu veux faire, mais ce que tu fais vraiment.
Un coach de vie, c’est une opportunité de changer la donne. De sortir de la confusion, de la procrastination, et des schémas qui te tirent vers le bas. C’est te donner les moyens de construire une vie alignée, une vie où chaque choix a du sens. Alors si tu es prêt(e) à faire ce pas, à Paris, je suis là pour toi. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t’aider à devenir maître de ta propre vie. Parce que tu mérites bien plus que de simplement exister. Tu mérites de vivre pleinement, et de le faire à ta manière.
Avec moi, tu n’auras pas de solutions toutes faites. Mais tu auras des questions puissantes, des méthodes concrètes, et un plan clair pour casser tes barrières et construire la vie que tu mérites.
Ce que tu gagnes avec mon coaching
Travailler avec moi, coach de vie à Paris ; c’est arrêter de subir et commencer à créer. Voici ce que tu vas obtenir :
- Une clarté totale sur ce qui te bloque et pourquoi tu n’as pas encore avancé.
- La fin des schémas toxiques et répétitifs qui te maintiennent au même endroit.
- Une confiance renouvelée, parce que tu sauras enfin qui tu es et ce que tu veux.
- Un plan d’action solide, avec des étapes claires et réalisables pour atteindre tes objectifs.
- Une vraie liberté émotionnelle, où tu ne vis plus pour les autres, mais pour toi.
Une séance avec moi, c’est quoi ?
C’est simple : on va droit au but. Pas de blabla inutile, pas de “on verra plus tard”. Avec des outils comme l’hypnose , les neurosciences, la programmation neuro-linguistique, la psychologie, l’énéagramme, et des exercices percutants, on creuse là où ça fait mal pour débloquer ce qui te retient. Chaque séance est personnalisée, parce que ta vie, tes défis et tes besoins sont uniques.
Les bienfaits de l’accompagnement avec moi : pourquoi ça marche vraiment
Si tu veux savoir ce que tu peux attendre de travailler avec moi, je vais être honnête : je ne vais pas te promettre des miracles, mais je vais te promettre du vrai. Mon rôle, en tant que coach de vie à Paris, ce n’est pas de te donner une formule magique ou de te dire quoi faire. Mon rôle, c’est de t’aider à voir clair, à poser les bonnes bases, et à avancer avec des outils concrets. Ce que tu gagnes avec moi ? Une transformation profonde et durable. Et crois-moi, tu vas sentir la différence.
D’abord, tu vas enfin comprendre ce qui te bloque. Beaucoup de gens avancent à l’aveugle, avec des boulets émotionnels qu’ils traînent sans même s’en rendre compte. On va creuser ensemble pour identifier ces boulets, ces schémas qui te freinent et t’empêchent d’atteindre ce que tu veux. Que ce soit des peurs, des croyances limitantes ou des relations toxiques, je vais t’aider à mettre le doigt dessus et, surtout, à les désamorcer.
Ensuite, tu vas apprendre à te faire confiance. Trop souvent, on délègue notre pouvoir aux autres : l’avis des proches, les attentes de la société, ou même nos propres doutes. Avec moi, tu vas reprendre les rênes. Je vais te montrer comment écouter tes propres besoins, comment t’affirmer et comment avancer sans attendre la validation de qui que ce soit.
Et puis, tu vas passer à l’action. Parce qu’on ne va pas juste parler de tes rêves, on va construire un plan pour les atteindre. Que tu sois bloquée dans ta carrière, ta vie amoureuse ou ton développement personnel, je vais t’accompagner pour transformer tes envies en réalité. Et crois-moi, il n’y a rien de plus puissant que de voir tes idées devenir tangibles.
Enfin, tu vas retrouver une paix intérieure. Pas la paix factice où tu fais semblant que tout va bien, mais une vraie sérénité. Celle qui vient de savoir que tu es sur la bonne voie, que tu as les clés pour avancer, et que plus rien ni personne ne peut t’arrêter. Avec moi, tu ne te contentes pas de rêver ta vie, tu la vis. Et ça, ça change tout.
Pourquoi Paris est le bon endroit pour ce changement
Paris, c’est le chaos. C’est le bruit, la pression, la course perpétuelle. Mais c’est aussi l’endroit parfait pour tout arrêter, pour souffler et enfin prendre le temps de te poser les bonnes questions. À Paris, je t’offre un espace où tu peux respirer, réfléchir, et reprendre le contrôle de ton quotidien.
Agis maintenant : ta vie ne t’attendra pas
Tu peux continuer à trouver des excuses, ou tu peux agir. C’est aussi simple que ça. Si tu es prête à changer, à sortir des schémas qui te bouffent et à créer une vie qui te ressemble vraiment, je suis là pour toi. Mais le premier pas, c’est toi qui dois le faire.
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Prête à prendre le contrôle de ta vie ? Ne perds plus une seconde. Réserve une séance avec moi dès aujourd’hui et commence ta transformation.
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Comment se débarrasser des kilos émotionnels grâce à l’hypnose ?
D’où viennent-ils ?
Vous avez multiplié les régimes , les cures détox, et les salles de sport ? Mais vous continuez à faire Yo-Yo avec votre poids ? Et si ces petits kilos en trop n’étaient pas seulement dus à une mauvaise hygiène alimentaire ? Et, si vos mauvaises habitudes, ou vos petits craquages étaient une défense contre des émotions déplaisantes ? Et, si vous vous cachiez simplement derrière ces kilos ?
Pourquoi ces craquages ?
Vous avez été au top depuis des semaines , repas équilibré , sport…. Et là le drame !! Vous vous êtes englouti le pot de pâte à tartiner, les cookies restants , et 1 litre de soda. Vous avez honte, et vous vous culpabilisez…. Premièrement un peu d’indulgence avec vous-même, ça fait des semaines que vous aviez entretenu une ligne de conduite exemplaire. Deuxièmement, il est normal et sain de craquer de temps en temps. Il est même recommandé d’avoir un « cheat-day » en période de régime, ou autrement dit un jour où on peut se permettre de manger ce que l’on veut, à fin qu’il soit plus facile de tenir notre diète le reste de là semaine. Troisièmement, identifiez les facteurs extérieurs lors de vos craquages. Étiez-vous stressé ? Fatigué ? Triste ?
Très souvent face à des émotions négatives nous avons tendance à manger pour se réconforter, et cela remonte au premier stade de notre développement. Quoi de plus rassurant pour un bébé que le moment de la tétée, ou du biberon ? De même si lors d’un chagrin, ou d’une frustration votre mère vous réconfortait à l’aide d’un bonbon, ou, d’un gâteau , vous aurez tendance à répéter ce geste.
Manger une friandise ou un aliment qu’on aime particulièrement permet de pallier temporairement à l’émotion négative et de produire un sentiment de bien-être sur le moment , mais très souvent provoque honte et culpabilité , c’est pourquoi il est important d’identifier les facteurs qui provoquent ce besoin.
Les conséquences directes de nos émotions sur notre poids
Avez-vous déjà entendu parler du « cortisol » ? Cette hormone dérivée de la cortisone joue un rôle essentiel de régulation de fonctions de l’organisme : métabolisme des sucres, défenses immunitaires et inflammation. C’est l’hormone du réveil et de la mise en alerte, autrement dit c’est lui qui permet de supporter les situations de stress. Si vous êtes un(e) stressé(e) chronique, vous produisez certainement trop de cortisol.
Et trop de cortisols est synonyme de prise de poids : l’organisme bascule en mode « danger », et commence à stocker . Le cortisol modifie le stockage du sucre, réduit la masse musculaire, modifie le stockage de l’eau et des fluides dans l’organisme. Il est directement lié à la prise de masse grasse au niveau de l’abdomen : il augmente le tour de taille, surtout chez les femmes. Ne serait-il pas temps de se mettre en mode Yoga-camomille ?
Des kilos comme carapace
Bien que mal dans leur peau certaines personnes ont peur de maigrir. Peur de maigrir ? Et, OUI !! Il y a quelques jours, je suis tombée sur le témoignage d’une femme. Elle racontait sa perte de poids, et comment pendant des années malgré son mal-être , elle était terrorisée par le fait de maigrir. Terrorisée de ne pas se reconnaître, peur d’être face à une inconnue, peur que ça ne lui aille pas. Beaucoup de personnes construisent leur identité autour de ces kilos en trop, comme une carapace.
Et que ce passe-t-il quand la carapace, n’est plus là ? On se retrouve à nue !! Parfois si l’on n’arrive pas à se débarrasser de ces quelques kilos en trop, car on a tout simplement peur de dévoiler qui on est vraiment.
Il y a aucun mal à être en chair, tant que ce n’est pas dangereux pour notre santé, et surtout tant qu’on se sent bien dans notre corps. Si au contraire vous ne vous sentez pas bien avec cela, et que vous voulez perdre du poids sachez que l’hypnose peut-être VOTRE solution . En effet, en comprenant votre relation avec la nourriture , l’hypnose pourra la modifier et ainsi vous faire perdre du poids.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_
Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.
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Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ?
La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…
En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.
Petit rappel sur le droit des femmes
Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.
Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.
Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.
Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !
Quelque chose de lourd…
De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.
Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.
A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

Égalité… des quoi ? des chances… ?
On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.
Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.
De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.
Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !
Discrimination inconsciente… pas tant que cela
La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.
Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».
Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.
Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

Des solutions données aux femmes pour faire leur place
Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.
La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).
Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.
C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.
Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.
Il reste donc encore un long chemin à parcourir…
Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.
Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

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La charge mentale : le syndrome de la femme épuisée
À peine réveillée, votre esprit est déjà en suractivité et passe en revue tout ce que vous avez à faire dans la journée ? Penser à aller chercher les enfants au sport, prévoir les courses pour le dîner (et pour celui de demain où vous avez invité quelques amis). Passer au pressing chercher les chemises de votre conjoint, aller à la pharmacie pour prendre le sirop pour Antoine, téléphoner au vétérinaire pour le vaccin de minou, envoyer le paiement de vos impôts, etc. etc. etc. etc. etc.
Ah j’oubliais. Et bien sûr, aller travailler !
Vivement le week-end durant lequel vous pourrez prendre le temps de faire les machines à laver, repasser, le ménage et vous occuper un peu plus des devoirs de vos enfants !
Et votre conjoint ? Il fait quoi ? Beh… il travaille !?! Mais sûrement plus, plus tard, plus loin ? Voilà ce que nous entendons systématiquement.
Notre société a beau évoluer dans le sens de l’égalité homme-femme, la bonne tenue d’un foyer reste, dans nos mentalités, même au 21e siècle, l’affaire des femmes. Et dans une société qui évolue en mode accéléré, il est donc normal que les femmes finissent par s’épuiser… Pourtant, on parle de plus en plus du partage des tâches…

Le partage des tâches… où en est-on vraiment ?
Il faut reconnaître que de plus en plus d’hommes participent à la vie quotidienne. Pourtant les femmes demeurent encore les impliquées dans la tenue du foyer.
Les femmes seraient-elles donc conditionnées pour se sentir obligées d’être de parfaites épouses, mères et d’irréprochables maîtresses de maison ? Oui, c’est une réalité. Il semble d’ailleurs que même dans un couple où le partage des tâches est avéré, l’épouse reste la plus inquiète des deux dans la bonne gestion des actes de la vie quotidienne.

Mais avant tout, le partage des tâches est-il aujourd’hui une réalité ?
Des études menées en 1985 révélaient que les femmes en France étaient chargées de 69% des tâches ménagères du foyer, et à 80% de l’éducation des enfants. 25 ans plus tard, les mêmes études démontrent un net progrès sur le plan parental (71%) mais une très infime progression sur le plan des tâches ménagères (64%).
Il reste donc du chemin à faire pour atteindre un parfait 50/50. Les hommes ont beau s’efforcer de faire la part qui leur revient, les femmes restent sujettes à ce qu’on appelle aujourd’hui la charge mentale. Mais qu’est-ce que la charge mentale ?
Qu’est-ce que la “charge mentale” ?
C’est une théorie développée par une chercheuse canadienne, Nicole Brais. La compagne, se met plus de pression que son conjoint dans le bon ordonnancement du foyer. Elle doit « penser à tout ». Même lorsque monsieur fait, madame se sent obliger de superviser, de vérifier la bonne exécution des tâches. Celles du conjoint, des enfants, mais aussi de la femme de ménage alors que les services de celle-ci ont été demandés pour éviter le problème.
Cette charge est d’autant plus stressante de nos jours que les femmes ont désormais un emploi. Au stress du travail s’ajoute donc celui de la maison, ce qui alimente un épuisement mental très élevé. Nicole Brais, la chercheuse canadienne, insiste beaucoup sur une petite phrase malheureuse qui survient lors d’une situation que connaissent beaucoup de couples.
Madame, au four et au moulin, oublie le fer sur la table à repasser ou le lait sur le feu. Monsieur croit alors venir la consoler en lui adressant un malheureux « Pourquoi tu ne me demandes pas de t’aider ? ».
La phrase qui fait souvent exploser une femme. En quelques mots, le conjoint admet considérer que c’est la femme qui est la responsable des tâches ménagères. Consciemment ou non, les hommes n’interviennent pas tant que les femmes ne leur auront pas spécifiquement assigné à une mission.
Ainsi dans chaque foyer, il y a un membre victime de charge mentale, et c’est quasiment toujours la femme. Celle-ci prend donc le leadership du foyer sur les tâches ménagères, les courses, l’éducation des enfants tout en assumant un métier exigeant et en essayant même de se dégager du temps pour une vie sociale.

Comment en finir avec la charge mentale ?
Ne pas trop se réjouir d’être une bonne ménagère !
Il faut d’abord faire admettre aux hommes qu’ils ont un rôle à jouer. Mais il faut également que les femmes comprennent que leur attitude peut engendrer ces comportements inégaux. Souvent, l’investissement remarquable des femmes reçoit l’approbation passive des hommes. Beaucoup de femmes semblent alors s’épanouir dans ce rôle ! Mais jusqu’à quand ? Jusqu’à… l’épuisement…
Ne pas être systématiquement reconnaissante
Lorsqu’un homme prend l’initiative de faire la vaisselle (par exemple), la femme approuve souvent la démarche et adresse un remerciement qui confirmerait le caractère « exceptionnel » de la situation. Alors qu’elle devrait faire comme si de rien n’était, ne pas habituer son conjoint à des remerciements à chaque effort réalisé. C’est normal !
En finir avec le besoin de tout contrôler et le besoin que tout soit parfait
Il y a aussi le syndrome de « l’inspectrice des travaux finis », ce moment (que l’on a évoqué plus haut) ou la femme vérifie si le travail de son conjoint a été bien fait. Un irrépressible besoin de contrôler qui, finalement, déresponsabilise celui qui l’a fait. C’est encore pire quand on reproche systématiquement à son conjoint qu’il s’est encore trompé de marque ou de produit quand il revient des courses, ou que décidément il n’est pas doué pour telle ou telle tâche. Avec au bout du compte l’expression qu’il faut pourtant éviter à tout prix “Laisse, je vais faire…”.
Un amas de clichés ? Certes, le trait de mes exemples est quelque peu grossi, mais ce sont des situations que vivent réellement, avec plus de nuances, de nombreux couples. La solution est souvent d’inviter le conjoint à faire sa part. Non pas en lui assignant des tâches d’autorité, mais en lui laissant implicitement l’espace des tâches à réaliser. Laisser traîner des choses. Le laisser s’en occuper et, surtout accepter qu’il s’en occupe à sa façon. Une démarche qui ne se fera pas du jour au lendemain, et qui peut même générer quelques tensions. Mais on sait que les choses ne peuvent que s’aplanir et s’améliorer dans le dialogue et le respect mutuel.

Casser les clichés et changer notre attitude
Il est donc important de briser la figure un peu vieillotte de la maîtresse de maison. Casser le cliché selon lequel monsieur rentre à la maison pour se reposer, après une longue journée de travail. Aujourd’hui un homme n’est plus le seul à assurer les revenus du foyer. L’épouse du XXIe siècle à un job, il arrive même qu’elle soit mieux payée que son conjoint, qu’elle exerce un métier beaucoup plus exigeant ! L’époque n’exige plus qu’elle soit la wonder-woman du foyer.
Plus facile à écrire qu’à faire. Nous sommes tous (toutes) un peu conditionné(e)s par l’image que donnaient nos parents, cette espèce d’harmonie du couple qui semblait émaner de la maman « multitâches » et du papa moins concerné. Une harmonie pourtant fort trompeuse… car on en voit aujourd’hui les dégâts… Mais c’est à nous désormais de changer les choses et nos propres comportements !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris
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Comment vaincre la peur du rejet de l’autre ?
« J’ai peur qu’on ne m’aime pas », « Je n’y arriverai pas », « Il ne restera jamais avec moi », « Je suis nulle » Autant de phrases qui tournent en boucle dans la tête de ceux qui ont peur d’être rejetés et qui les paralysent chaque jour un peu plus, que ce soit dans leur vie professionnelle et personnelle.
Les raisons sont multiples et trouvent souvent leur origine dans des traumatismes durant l’enfance. Les conséquences : un manque d’estime de soi, de confiance, un besoin d’exister à travers l’autre, une hypersensibilité… Et dans notre société du paraître, où plaire aux autres est presque une obligation, ce phénomène a tendance à s’amplifier. Certains en arrivent même à perdre leur personnalité, leur identité. C’est alors un cercle vicieux ! Car on ne peut pas plaire à tout le monde. Et plus on veut plaire, plus on se confronte au rejet de l’autre.
D’où vient cette peur du rejet de l’autre ?
Pour la majorité d’entre nous, nous naissons entourés de nos parents. Puis, au fur et à mesure que nous grandissons, le cercle s’élargit : professeurs, amis, collègues, simples connaissances… Nous parcourons donc la vie avec ces « autres » qui forment notre propre société. Nous devons donc « vivre » avec l’autre, avancer avec lui, elle, eux… proches de nous ou parfait(e) inconnu(e)…`
Et si, pour certains, cette vie en communauté n’est pas un problème, voire plutôt une chance, pour d’autres, ce schéma est plus compliqué. Pourquoi ? À cause de certains ressentis qui les rongent : la peur ne pas être conforme à ce que l’autre attend, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur de ne pas être apprécié, la peur de la solitude, la peur d’être rejeté par les autres…
Cette peur trouve, le plus souvent, son origine au moment de l’enfance. En effet, un enfant abandonné ou délaissé par ses parents aura plus de chance de développer cette peur en grandissant. Les enfants humiliés, battus grandiront également avec un manque de confiance en eux, un sentiment d’infériorité qui pourront entraîner de nombreux troubles dans leurs rapports avec les autres. Mais sans même aller si loin, une autorité excessive conduit quasiment tout le temps un enfant à se construire dans la peur.
Le sentiment de rejet ou d’abandon peut donc naître très tôt et avoir de nombreuses répercussions plus tard sur nos relations avec les autres. Mais ce sentiment peut aussi se développer dans notre vie d’adulte, suite à un traumatisme ou à un évènement particulier (trahison, divorce, licenciement…).
Comment cette peur se manifeste-elle ?
Une personne qui vit avec cette peur du rejet au quotidien créée, malgré elle, des barrières à son bonheur qui peuvent être nombreuses et non sans conséquences… En voici une liste non exhaustive :
- Ne pas savoir prendre de décisions sans l’avis des autres
- Être hypersensible
- Éprouver un besoin permanent de plaire
- Développer de la jalousie
- Culpabiliser très souvent et très facilement
- Ne jamais exprimer sa propre opinion et/ou ajuster son opinion en fonction de celles des autres
- Vivre constamment dans l’angoisse et l’anxiété
- Procrastiner
- Développer des complexes qui nuisent dans tous les domaines de la vie
- Donner à outrance pour espérer recevoir
- Ne jamais demander de l’aide pour ne pas déranger quitte à tout faire soi-même ou à ne rien faire
- Chercher en permanence l’approbation des autres pour se sentir en sécurité
- Agir contre sa propre volonté
- Se laisser entraîner dans des situations à risques
- …
Résultats : une vie à vivre en porte-à-faux, un mal-être permanent et surtout obtenir l’inverse de ce qui est recherché. Car à force de vouloir plaire à tout le monde, on ne plaît plus à personne. Un véritable cercle vicieux… Alors comment s’en sortir ?

Mais, si l’on veut, on peut sortir de ce cercle vicieux
À chaque problème sa solution ! Si vous souffrez de cette peur qui vous pollue depuis des années et que vous souhaitez enfin vous en libérer, bonne nouvelle, il existe des solutions. Nul besoin d’aller les chercher bien loin, elles sont en nous. Eh oui ! Mais pour se sortir de cette situation de mal-être, il va falloir faire un peu de travail sur soi.
Les buts :
- Retrouver l’estime de soi
- Retrouver l’estime des autres
Afin de réussir à atteindre ces objectifs, plusieurs exercices peuvent vous aider. Exercices personnels ou en groupe, ils peuvent être combinés pour une meilleure efficacité.
Mais tout d’abord, penchons-nous sur l’histoire de Jia Jang, un jeune entrepreneur chinois. Intelligent, bosseur et obstiné, il n’a cessé de travailler dur pour réussir. Il s’est marié, a été engagé dans une grande entreprise aux États-Unis. Une réussite personnelle et professionnelle. Mais malgré tout cela, il était toujours déprimé. Pourquoi ? Il rêvait de monter son entreprise mais il était incapable de sortir de son confort de salarié et de prendre des risques. La peur de l’insécurité et surtout celle du rejet le paralysaient. C’est pourquoi, un jour, il décide de se confronter à ses peurs et se donne 100 jours pour les vaincre. Le meilleur moyen selon lui : se confronter chaque jour à des situations au cours desquelles il est susceptible d’essuyer des refus. Au bout des 100 jours, il s’aperçoit en fait, qu’il a eu plus d’accords que de refus ! Suite à cette expérience, il donne des directions pour prendre de l’assurance et oser :
- Accepter que le rejet fait partie de nous. C’est une réaction humaine face à l’inconnu
- Avant de battre en retraite face au NON, il faut demander à notre interlocuteur les raisons de ce refus. Analyser les motivations du refus et étudier ce qui peut être modifié
- Ne pas se priver de la liberté de demander par peur du « NON » et du jugement de l’autre. Si nous n’osons pas demander, nous ne risquons pas d’avoir de « NON », certes, mais nous ne risquons pas non plus le succès.
- Ne pas faire d’une mauvaise relation avec l’autre une généralité mais une expérience pour avancer.
- Prendre conscience que chaque personne est unique avec ses qualités, ses défauts et ses expériences.
- Prendre du recul sur le jugement, les critiques des autres à votre égard.

Et plus simplement :
- Il faut identifier l’origine de la peur et avoir conscience de la façon dont elle se manifeste. Pardonner, lorsque c’est possible, à ceux qui sont à l’origine de cette peur, en se disant qu’ils agissaient sûrement pour notre bien. Sinon, il faut décider d’affronter la réalité.
- Il faut se forcer à faire des choses nouvelles qui boostent notre confiance en nous.
- Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide et à se confier.
- Il faut assumer sa sensibilité et apprendre à accepter la critique. Ou plutôt apprendre à la comprendre.
- Il faut se dire que tout le monde éprouve des peurs. Si ce n’est que certains arrivent mieux à les cacher d’autres (ou les expriment différemment).
- Il faut ne plus avoir peur que l’on vous dise NON, et soi-même oser dire NON. Essayez, vous verrez… vous serez surpris du résultat.
- Il faut aussi et surtout accepter d’être le maître de son destin. Ne pas se laisser dominer et comprendre que la différence est plutôt une force. Beaucoup sont dans le mimétisme d’un parent par exemple, de peur de le décevoir. Mais si vous ne décevez pas une personne… vous êtes perçu par TOUS les autres comme quelqu’un n’ayant aucune personnalité.
- Et surtout, il faut se rendre compte que lorsque l’on a pas d’estime de soi, on ne peut pas obtenir l’estime des autres.
Aussi pour réussir à s’en sortir, une première étape consiste à identifier la cause et à concrétiser les conséquences. Pour ce faire, des techniques telles que la sophrologie ou l’hypnose peuvent être des solutions particulièrement efficaces. Ensuite, en parallèle, le yoga ou la méditation peuvent venir apaiser les angoisses, l’anxiété, et à être en meilleure harmonie avec ce que nous sommes et ce que nous voulons au plus profond de nous-même.
Sophrologue et hypnothérapeute à Paris, n’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en discuter.
Conclusion
La peur du rejet de l’autre est un véritable handicap et un véritable cauchemar au quotidien. Soit on la subit… soit on essaye de la combattre. Une chose est sûre, la combattre permet de retrouver de la confiance, de l’estime de soi et surtout l’estime des autres. Et finalement, n’est-ce pas le but recherché ?

Charlotte Vallet
Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS
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Comment réussir à lâcher prise ?
Lâcher prise ! Voilà encore un concept très à la mode… et qui peut sembler étrange lorsque l’on est élevé dans un monde dominé par le diktat de la compétition et de la performance. On nous inculque pendant toute notre enfance et adolescence qu’il faut « être ainsi et pas comme ça », « être le meilleur », « être quasiment parfait » « faire le mieux possible », et j’en passe et des meilleures… Et voilà qu’arrivés à l’âge adulte, on nous rabâche, « sois plus zen », « relativise », « vis au jour le jour », il faut « lâcher prise »…
Quel paradoxe !
Soit le meilleur, mais soit zen ! Avouez que c’est antinomique. D’autant que le monde dans lequel nous évoluons ne semble pas se diriger vers de la zénitude… La pression existe bel et bien, et à mon avis, elle ne fera que s’amplifier. Et malheureusement, elle engendre tout un tas de phénomènes qui nous sont néfastes. Parmi eux, la peur. Nous sommes très tôt confrontés à la peur. Peur de ne pas plaire à nos parents, peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas être aimé, peur de manquer… et petit à petit, nous développons des systèmes d’autodéfense qui se traduisent par des comportements plus ou moins extrêmes selon les individus : besoin de perfectionnisme, besoin de contrôle, obsession, addiction… qui eux-mêmes engendrent angoisse, stress, mal-être, dépression et maladies graves. C’est un cercle infernal.
Et en effet, le seul moyen de se sortir de ce cercle vicieux est d’apprendre à lâcher prise. Disons-le d’emblée, ce n’est pas si facile.

Qu’est-ce que le lâcher-prise ?
D’après le Larousse : le lâcher-prise est le « moyen de libération psychologique consistant à se détacher du désir de maîtrise. »
Autrement dit, d’après cette définition, la cause de certains maux est liée au désir de maîtrise. Certes… c’est bien vrai ! Mais le mot le plus important dans cette définition, c’est « libération ».
En effet, le lâcher-prise, c’est se libérer d’un état d’angoisse quasi permanent lié à un état d’effervescence mentale que l’on ne maîtrise pas non plus. L’objectif est donc d’apprendre à se détacher « temporairement » de cet état, de souffler, et comme nous allons le voir, de vivre !
À qui s’adresse le lâcher-prise ?
- À ceux qui se posent sans cesse des questions sur tout.
- À ceux qui vivent soit dans le passé (et dans la culpabilité ou le regret), soit dans l’avenir (et dans le souci de vouloir tout prévoir pour que tout soit parfait).
- À ceux qui ont un besoin d’être souvent rassurés.
- À ceux qui idéalisent la vie et qui court après un idéal inatteignable.
- À ceux qui n’ont pas suffisamment confiance en eux, ou à l’inverse, à ceux qui n’ont plus confiance dans les autres.
- À ceux qui veulent tout maîtriser de leur propre vie, et qui veulent aussi maîtriser celles des autres (ou changer les autres).
- La liste est longue…
Si vous prononcez souvent ces mots : « j’aurais dû » ou « je devrais » ou ces mots « mais, si ? » ou « et, si ? » ou « il faudrait que », « c’est nul », « je suis nulle », « il est nul » « c’est pas assez » … vous êtes un parfait candidat.
Si vous avez l’impression d’être sans cesse insatisfait de vous et par les autres, de votre situation, si vous êtes angoissé, toujours stressé, souvent malade… eh bien, vous pouvez continuer à lire cet article. 🙂
Mais avant toute chose, ancrez-vous dans la tête, et à longueur de journée, s’il le faut, les trois « postulats » qui suivent.
Trois éléments essentiels indispensables au lâcher-prise
Le passé est immuable. Vous pouvez toujours vous triturer la tête dans tous les sens, vous ne changerez pas le passé. Il faut soit l’accepter, soit le travailler en thérapie pour apprendre à vivre avec lui.
L’avenir est incontrôlable. Vous pouvez tout planifier de A à Z, il peut toujours se produire un évènement qui remettra en cause ce que vous aviez envisagé. Vous ne pouvez pas maîtriser tous les éléments.
La perfection n’existe pas. Vous aurez beau essayer de faire votre maximum, c’est sans fin. On peut toujours faire mieux, et il y a toujours quelqu’un qui pourra faire mieux.

Est-ce facile de lâcher prise ?
Je l’ai déjà évoqué en introduction : non, et c’est peu de le dire. Lâcher prise demande des efforts personnels importants. C’est comme si nous devions nous déprogrammer. Laver notre cerveau de tout ce qui nous a été inculqué, transmis, de toutes nos expériences de vie qui nous fait devenir ce que nous sommes…
C’est un vrai travail. C’est un cheminement qui demande beaucoup de volonté et qui demande du temps.
Comment faire pour y parvenir ?
Se rendre compte, avoir conscience que l’on se pose trop de questions, une majorité étant inutiles
Déjà, la première étape à mon sens, et ce n’est pas si évident que cela : c’est de prendre conscience que notre esprit surchauffe, et surtout que cet état est nocif à notre bien-être et par voie de conséquence à notre santé.
Savoir distinguer les situations sur lesquelles on peut agir de celles sur lesquelles on ne peut rien faire.
Il y a en effet des choses dans la vie sur lesquelles on peut intervenir. Exemple, si votre santé se dégrade parce que vous fumez, vous pouvez de vous-même arrêter. D’ailleurs, je vous conseille fortement l’hypnose. Mais en revanche, il y a beaucoup de choses sur lesquelles on ne peut pas intervenir. Exemple, vous avez un entretien d’embauche dans 15 jours à 8 h 30. Ce n’est pas que les dés sont jetés d’avance, mais il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu (transport, forme du jour, interlocuteur, feeling, véritables besoins de l’entreprise…) qu’il est inutile de ne penser qu’à cela et de stresser pendant 15 jours. Tout anticiper est impossible et surtout inutile…
Apprendre à relativiser
Une déception, un problème… ? Il nous arrive à tous d’être confrontés aux aléas de la vie, certains étant plus ou moins graves. Mais dans la plupart des cas, ce n’est pas la fin du monde. C’est juste qu’ils viennent perturber « notre quotidien et notre planification bien établie » et qu’ils déstabilisent l’équilibre que l’on s’efforce d’atteindre. Et pour un grand nombre d’entre nous, ils engendrent une espèce de panique, de stress. Car on a tendance à amplifier les conséquences du problème. On a tous connu l’ordinateur en panne, le métro en grève, bref, ces aléas qui, en soi, ne sont pas dramatiques… mais qui nous mettent dans un état de panique. Dans ces moments, il est alors important de se poser. Et de relativiser, de se dire que ce n’est pas si grave. Mieux vaut une imprimante en panne, qu’une inondation dans un appartement ! Croyez-moi…
Savoir faire le deuil
Pour ceux qui vivent dans le passé, il est primordial d’apprendre à tourner la page, ou tout au moins à accepter que tout ne se soit pas déroulé comme on le voulait ou le pensait. Je vous accorde que c’est très long. On peut en effet avoir du mal à oublier une histoire d’amour malheureuse, le décès d’un proche, un échec professionnel… mais passer son temps à ressasser le pourquoi du comment… ne changera rien au problème. Il faut tirer des leçons du passé, et transformer, quand c’est possible, ses peines en force.
Faire plus confiance aux autres. Travailler son ego…
Si dans de nombreux cas, le manque de confiance en soi engendre de la peur et du stress, le fait de ne pas faire confiance aux autres est également source de stress. Parmi les gens qui ont besoin de lâcher prise, on trouve souvent des gens qui n’aiment pas renoncer ou qui n’aiment pas déléguer (ce fameux besoin de maîtriser). Ils pensent qu’ils sont les seuls à pouvoir trouver une solution ou à faire correctement les choses. Certes c’est une question d’ego, mais pas que. Il faut juste trouver les bonnes personnes. Quant à la confiance en soi, elle se travaille.
Se forcer à apprendre à vivre le moment présent
Il faut également prendre conscience qu’une journée qui passe est une journée qui ne reviendra plus. Prendre conscience de l’instant et le vivre avec plaisir. Si l’on passe son temps tourné vers le passé ou dans l’anticipation, la conclusion est rapide : on n’est jamais dans l’instant. Autrement dit : on ne vit pas.

Quelques outils ou techniques pour vous aider !
La sophrologie
Développée dans les années 60 par un neuropsychiatre, la sophrologie est une alternative efficace aux antidépresseurs que l’on vous prescrira pour « supporter » la vie… D’ailleurs, le mot sophrologie vient du grec, « sos » tranquillité, « phren » qui signifie cerveau, et logos qui veut dire étude. C’est donc l’étude de la sérénité de l’esprit. Sophrologue, je pense donc être en mesure d’en parler et de vous aider. D’ailleurs, je vous invite à me contacter si vous souhaitez en discuter. C’est à mon sens, un excellent moyen d’apprendre à se libérer de sa charge émotionnelle.
La méditation
Il est aujourd’hui prouvé scientifiquement que la méditation, qui est LA gymnastique de l’esprit, aide à diminuer stress, angoisse, anxiété, etc. Elle participe à une amélioration du bien-être. L’avantage est que vous pouvez la pratiquer seule.
Vous déconnectez du monde et notamment des réseaux sociaux
Si les réseaux sociaux peuvent parfois aider à communiquer, ils deviennent pour beaucoup d’individus, une source de stress. Entre les drames, les injustices, la haine, les fake-news, les incitations qui nous sont transmis toutes les secondes sur Facebook, et les images idylliques de paysages, les mannequins photoshoppées, les citations censées nous motiver sur Instagram… nous imposons à notre esprit tout un tas d’informations contradictoires, qu’il ne peut pas gérer. Le soir notamment, obligez-vous à vous déconnecter des réseaux sociaux.
Faire du sport et/ou s’adonner à une activité que l’on aime
Les bienfaits du sport ne sont plus à justifier… La pratique d’une activité physique permet, entre autres, de se reconnecter à l’instant présent. On se vide la tête, on souffle… De même, on aime tous faire quelque chose : lire, cuisiner, regarder des séries, jardiner… Et souvent, on se trouve des excuses pour ne pas s’y consacrer… Eh bien, stop ! Obligez-vous, en vous fixant un horaire strict, à vous décontracter en vous consacrant à quelque chose qui vous plaît.
Il existe d’autres outils, bien sûr, et si vous avez la chance d’habiter Paris, je me ferai un plaisir de vous le transmettre. N’hésitez pas à vous inscrire aux ateliers que j’anime sur ce sujet.
Conclusion
Vous l’aurez compris. Lâcher prise, c’est s’obliger (et le mot est volontairement choisi) à se déconnecter du quotidien, à prendre de la distance par rapport à ce qui nous perturbe l’esprit, à ne pas mener des combats perdus d’avance contre ce qui est inéluctable, c’est renoncer à l’inaccessible, c’est savoir aussi pondérer les conséquences ou les enjeux des situations, et c’est aussi savoir apprécier le moment présent.
Finalement, si vous apprenez à lâcher prise, vous découvrirez ce que veut dire « vivre ».
Lâcher prise, c’est tout simplement apprendre à vivre !

Charlotte Vallet, sophrologue et hypnotherapeute sur Paris
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L’hypnose : en quoi cela consiste et pourquoi y avoir recours ?
On y croit ou pas… On y est sensible ou pas… On en a peur ou pas. Quoi qu’il en soit, l’hypnose intrigue. Mais aujourd’hui, c’est un outil thérapeutique reconnu, et qui est de plus en plus utilisé notamment pour soulager, voire traiter de nombreux maux de différentes natures et ayant différentes causes. Comment ? En échangeant sans contraintes, avec son propre corps.
Les plus sceptiques d’entre vous devraient se référer aux résultats. Eh oui ! Car même si les mécanismes de l’hypnose ne sont pas encore véritablement connus et explicables, son efficacité ne peut plus être mise en question.
Une preuve ? Depuis une dizaine d’années, l’hypnose remplace l’anesthésie générale pour un certain nombre d’interventions chirurgicales. C’est donc que ça fonctionne ! Qui irait se faire triturer le ventre sans anesthésie ?
Il n’y a pas une seule et unique définition de l’hypnose. De nombreux psychiatres, médecins, etc., en ont donné leur propre définition : Milton Erickson, Daniel Araoz, André Weitzenhoffer, Jean Godin, Michel Kérouac, Olivier Lockert, Bernheim pour ne citer qu’eux… Et contrairement à ce que l’on pense, l’hypnose existe depuis fort longtemps ! Il est difficile de dater exactement ses premières utilisations, mais il est reconnu que dans l’Égypte ancienne, les Égyptiens essayaient déjà d’en tirer des bénéfices. Le pharaon Ramsès II y avait recours notamment pour motiver ses soldats à partir au combat.
Et de nos jours, l’hypnose est reconnue comme une médecine douce, de plus en plus pratiquée, qui participe à atténuer, voire à traiter de nombreux troubles qui nuisent à notre bien-être.
Alors, en quoi cela consiste ? Qui est concerné ? Pourquoi y avoir recours ?

Mais d’abord quelques petits rappels de base (et simplifiés)
L’objectif d’une séance d’hypnose est de modifier l’état de conscience, pour atteindre un état de transe dans lequel des évènements ou des émotions enfouis dans l’inconscient ont plus de chances de refaire surface. Et à partir de ces éléments, une solution est recherchée. Mais conscience, inconscience, transe, quèsaco ?
L’état de conscience : l’état de conscience est celui qui nous guide lorsque nous sommes “éveillés”. Autrement dit, c’est être dans en état de vigilance et de contrôle qui nous permet de guider nos actes en fonction d’un grand nombre de paramètres qui nous conduisent à raisonner et à agir, mais qui nous bloquent aussi.
L’état d’inconscience : c’est un état beaucoup plus subjectif dans lequel s’entremêlent des souvenirs plus ou moins enfouis, des émotions plus ou moins fortes, des intuitions… Mais pour faire plus simple, disons que l’inconscient concerne tout ce qui n’est pas conscient et que nous ne pouvons pas maîtriser.
L’état de transe : non, ce n’est pas uniquement l’état dans lequel se trouve un drogué après avoir pris son héroïne… C’est d’ailleurs même un état que nous connaissons tous très bien sans même le savoir. C’est un état dans lequel on focalise tellement notre attention sur quelque chose de bien précis que l’on en oublie tout le reste. Un état proche d’une ultra concentration. Il nous arrive à tous, en exerçant une activité, d’être tellement concentré que l’on ne se rend plus compte de rien.
Et c’est à partir de ce principe que l’hypnose fonctionne. L’objectif est de se frayer un chemin entre l’état de conscience et l’état inconscience.

Les différents types d’hypnose
Il existe différents types d’hypnose, mais je n’aborderai ici que les deux plus connues, l’hypnose classique (traditionnelle) et l’hypnose Ericksonienne.
L’hypnose classique, c’est celle que tout le monde connaît. En effet, lorsque l’on prononce le mot hypnose, le commun des mortels pense aux hypnotiseurs que l’on voit dans les spectacles, et qui ont « le pouvoir d’endormir » les gens. La personne est passive, et l’hypnotiseur utilise des injonctions pour modifier l’état de conscience des individus. C’est un type d’hypnose autoritaire, si l’on peut dire.
Mais dans le cadre d’une démarche thérapeutique, ce n’est pas le même type d’hypnose qui est utilisé. Dans ce cas, il s’agit de l’hypnose appelée « hypnose Ericksonienne ». Ce type d’hypnose dite « moderne » doit son nom à Milton Erickson, un psychiatre américain mort en 1981, qui était dans son enfance daltonien et dyslexique. À 17 ans, il contracte la poliomyélite qui le rend complètement paralysé. Il ne peut alors que parler et bouger les yeux. Et c’est dans ce contexte qu’il découvre le pouvoir de l’autosuggestion. Autrement dit, il se convainc qu’il peut se guérir. Peu à peu, il réussit à faire bouger ses muscles, et en quelques mois, il recouvre toutes ses facultés motrices. Un miracle ? Non, les miracles n’existent pas. Nous avons en nous une force qui nous permet de vaincre certains maux.
Dans le cas de l’hypnose Ericksonienne, le patient est dans un état de profonde relaxation, en transe, comme je l’ai défini précédemment. Contrairement à l’hypnose traditionnelle, le patient participe activement à sa mise en situation hypnotique.
Et pour ceux qui veulent aller plus loin encore, ils peuvent avoir recours à l’hypnose « spirituelle », au cours de laquelle l’hypnothérapeute guide le patient à la recherche de ses vies antérieures.

Tout le monde peut-il être hypnotisé ?
Dans le cadre de l’hypnose dite classique (celle des spectacles), il se dit que seuls 10 % des gens peuvent être hypnotisés. Il s’agit de personnes « suggestibles ». Dans les salles de spectacle, les personnes montant sur scène ont été choisis préalablement selon leur suggestibilité.
À l’inverse, de nombreuses études montrent que 80 % des individus sont réceptifs à l’hypnose Ericksonienne. Bien évidemment, le patient doit être consentant. D’une part, cet outil thérapeutique requiert l’adhésion du patient, mais d’autre part, il ne faut pas faire partie de 5 % d’individus qui y sont complètement réfractaires.
Bien sûr, dans les 80 %, c’est plus difficile pour les gens qui sont perpétuellement dans le contrôle, mais même les plus tenaces peuvent être hypnotisés. Il faut alors plus de séances et surtout de la bonne volonté.

Que peut-on attendre de l’hypnose ?
Même s’il est difficile de généraliser, l’hypnose a fait ses preuves notamment pour affronter une situation particulière qui nuit à notre quotidien et donc pour trouver des solutions afin d’adopter de nouveaux comportements. Le champ des problèmes traités est très vaste, et je ne citerai ici les principales problématiques pouvant relever de l’hypnose Ericksonienne.
- Lutter contre certaines addictions comme le tabac, par exemple.
- Lutter contre la douleur. En état d’hypnose, le corps libère des endorphines qui sont des antalgiques naturels.
- Lutter contre l’obésité ou pour maigrir tout simplement.
- Diminuer les troubles du sommeil.
- Diminuer les troubles de la sexualité (et notamment des blocages induisant des problèmes de stérilité).
- Diminuer les angoisses et le stress.
- Traiter des troubles dermatologiques tels que le psoriasis.
- Soulager des problèmes musculaires, de dos notamment.
- Soulager le syndrome du côlon irritable.
- Comprendre les troubles alimentaires (anorexie, boulimie).
- Faire resurgir, entre autres, des blessures et des traumatismes que le cerveau a enfoui dans l’inconscient et qui nuisent à l’épanouissement (méthode utilisée par Freud).
Comment se déroule une séance d’hypnose ?
Elle s’effectue en présence d’un thérapeute qui a suivi les formations nécessaires. Elle consiste en un échange entre le patient et le thérapeute.
D’une façon générale, une première séance est cependant nécessaire afin que le thérapeute recueille, avec l’accord du patient, des éléments de vie qui lui seront nécessaires pour guider les entretiens.
Puis lors des séances suivantes, le thérapeute grâce à ses outils, amène le patient dans un état de transe, dit « hypnotique » qui peu à peu le conduit vers son inconscient.
Pour ma part, voici comme je procède lors d’une séance d’hypnose :
- Accueil, mise en confiance du patient.
- Phase de questionnement notamment sur la problématique à traiter et les attentes du patient.
- Phase d’explication de l’hypnose avec des mots simples et réconfortants.
- Phase de relaxation-projection dans un souvenir agréable suggéré par le patient dans le questionnement initial.
- Phase de travail. Le principe est de travailler sur l’inconscient du client en état de transe.
- Sortie de la phase transe-hypnotique.
- Débriefing.
- Planification de la prochaine séance.
Une séance dure environ une heure. Mais en général, une séance ne suffit pas… Selon le problème à traiter, il faut prévoir entre 5 et 10 séances.
Quelques exemples concrets :
- Arrêt du tabagisme : entre 1 à 5 séances. S’il en faut plus c’est qu’il y a un problème plus important à gérer. Un manque de volonté de la part du patient, par exemple.
- Perte de poids : entre 8 et 12 séances.
- Insomnies : entre 1 à 3 séances.
Est-ce dangereux ?
Non, disons-le d’emblée. Quel que soit l’état d’hypnose, vous restez toujours maître de vos actions. Et pour ceux qui se posent la question (à juste titre), on finit toujours par se réveiller. Et contrairement à ce qu’il peut se dire, un hypnothérapeute ne peut pas avoir d’influence sur vos pensées. L’hypnose n’est pas un lavage de cerveau. Vous pouvez donc y aller en toute confiance, sous réserve bien sûr de choisir un véritable thérapeute.

Vous êtes intéressé(e) ?
À la fois sophrologue et hypnothérapeute, j’ai suivi diverses formations m’octroyant les compétences et les aptitudes pour pratiquer l’hypnose et vous aider à résoudre divers problèmes. J’interviens à Paris et en proche banlieue. N’hésitez pas à me consulter ma page pro ou à me contacter directement en MP ou par mail : charlottevallet@hotmail.com.
« L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne »
Erickson
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
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Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !
Vous êtes gourmand ? Vous êtes curieux ? Vous ne savez pas vraiment où aller selon votre humeur? Cet article est fait pour vous.
Alphonse Daudet disait ” La gourmandise commence quand on a plus faim “, mais il est encore plus plaisant d’aller au restaurant quand la faim nous prend. Pour ce qui est de la gourmandise, c’est à l’heure du goûter que l’on prendra plaisir à s’y attarder.
Vous habitez Paris, vous adorez la gastronomie et parcourir les plus belles rues de la capitale pour y découvrir de nouveaux lieux ? Alors, réjouissez-vous ! Vous faites partie des hédonistes, ceux qui aiment profondément la vie et le plaisir.
Cependant, force est de constater que nos envies varient selon la saison, selon notre humeur et surtout selon qui nous accompagne… Et ce n’est pas toujours facile de trouver le lieu qui correspond à nos états d’âme. De même, nous n’aurons pas les mêmes envies, si nous sommes seul(e), entre ami(e)s ou en amoureux !
Alors, ayant parcouru la capitale avec les mêmes états d’ésprits que vous, j’ai eu envie de vous partager des idées de restaurants en fonction de votre mood du moment. Je sais, c’est l’hiver, et l’hiver c’est parfois compliqué d’avoir envie de sortir de chez soi, et pourtant, croyez-moi ou non, c’est important de vous aérer l’esprit, et surtout de vous faire plaisir.
Nous avons une chance inouïe d’habiter la capitale avec un choix presque illimité en termes de cultures et de restaurants. Il est d’ailleurs souvent difficile de faire un choix parmi cette panoplie de lieux gourmands !
Outre les restaurants que nous allons évoquer, et que j’ai pu tester et approuver, je vous conseille l’application @Dojo sur laquelle sont répertoriés une multitude de restaurants classés par thématique.
De mon côté, tout comme beaucoup de jeunes de mon âge, j’ai une affection plus prononcée pour les 2e, 3e, 9e, 10e et 18e arrondissements. La majorité des restaurants que je vous conseille se situent dans ces quartiers magiques. C’est également l’occasion de les visiter seul(e) ou en amoureux en guise d’apéritif ou de digestif !
Dimanche, c’est jour de brunch
Que la journée soit pluvieuse ou plus lumineuse (ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas à Paris), le dimanche, c’est jour de BRUNCH. On oublie la déprime dominicale, on ne se trouve pas d’excuses, on se remue, et on profite de cette journée pour se faire plaisir et découvrir quelques adresses incontournables.
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- Les Bonnes soeurs, 8 Rue du Pas de la Mule, 75003 Paris
- Bénédicte, 19 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris
- Le China, 50 Rue de Charenton, 75012 Paris
- Holly Belly, 5 Rue Lucien Sampaix, 75010 Paris
- Klay Saint Sauveur, 4 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris
- Marlette, 63 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris
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Avec sa “target”
Un dîner ou un déjeuner pour faire connaissance ? Avouons-le, ces prémices font partie des moments les plus agréables dans le couple. Ces premiers rendez-vous où l’on se découvre peu à peu, où chaque minute est un délice de plaisir indéfinissable. Quoi de plus agréable que de partager dans l’intimité quelques petits plats succulents ? Voici mes recommandations :
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- Chez nous,10 Rue Dauphine, 75006 Paris
- Le Chalet des Iles, Bois de Boulogne
- Favela Chic, 18 Rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris
- Grazie, 91 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
- Eperozzo, 49 rue Pierre Charron, 75008 Paris
- Septime, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris
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C’est merveilleux quand on est amoureux
L’amour, l’amour, l’amour … À tous les amoureux qui ont la chance d’habiter Paris, profitez autant que possible de la ville de l’Amour. Et même si vous n’habitez pas Paris, vous y viendrez peut-être en amoureux ! Quoi de plus romantique que de se programmer un tête à tête dans l’un de ces fabuleux lieux qui honorent la plus belle ville du monde ?
Il existe dans cette merveilleuse capitale un nombre incroyable de lieux et de restaurants à découvrir en compagnie de votre âme soeur. Difficile de faire un choix, et impossible de tous vous les citer ! Voici ceux qui ont retenu mon attention lorsque j’étais très très amoureuse.-
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- Le Kong, 1 Rue du Pont Neuf, 75001 Paris
- Maison Maison, Face au, 16 Quai du Louvre, 75001 Paris
- Hôtel Amour, 8 rue de Navarin, 75009 Paris
- Les Ombres,27 Quai Branly, 75007 Paris
- Soma, 13 rue de Saintonge, 75002 Paris
- L’oiseau blanc, 19 Avenue Kléber, 75116 Paris
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Et si nous parlions des hommes, des vrais !
Les hommes, tout comme les femmes, adorent se retrouver entre eux, et ils apprécient particulièrement la bonne cuisine. Ils ont, en plus, moins d’états d’âme que nous à se délecter : il est tout de même plus rare d’entendre de la bouche d’un homme qu’il fait attention à sa ligne (même si c’est parfois le cas). Et souvent, leurs choix de restaurants sont souvent plus gourmets que les nôtres. Alors, messieurs, voici quelques bonnes adresses !
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- Chez Volver, 34 rue Keller, 75011 Paris
- Ober Mama, 107 Boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris
- Le relais de l’entrecôte, 101 boulevard du Montparnasse, 75006 Paris (il en existe plusieurs)
- Le barbe à papa, 18 Rue Condorcet, 75009 Paris
- Pollop, 15 Rue d’Aboukir, 75002 Paris
- Candelma, 73 Rue de Seine, 75006 Paris
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La bonne nourriture fait aussi la belle créature
Manger sainement, c’est en effet à la mode, mais pas que ! Il est prouvé que lorsque nous mangeons sainement, les répercussions sur le corps et l’esprit sont incommensurables. Non seulement nous gardons la ligne, mais nous améliorons notre forme, notre digestion, notre capacité à cicatriser et bien d’autres choses encore ! Alors pourquoi hésiter quand on peut manger sain et bon ?
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- Maison Sauvage, 5 Rue de Buci, 75006 Paris
- Season, 1 Rue Charles-François Dupuis, 75003 Paris
- Primeur, 4 Rue Lemon, 75020 Paris
- Le potager de Charlotte, 12 Rue de la Tour d’Auvergne, 75009 Paris
- Les bols de Jean, 2 Rue de Choiseul, 75002 Paris
- Wild & The Moon, 55 rue Charlotte, 75003 Paris (il en existe plusieurs)
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La fièvre du samedi soir entre femmes
Les femmes sont particulièrement bavardes… et c’est peu de le dire! Quand un homme explique quelque chose en 2 mots bien précis, les femmes racontent la même chose en 372 mots. Nous aimons les petits détails croustillants, et nous l’assumons pleinement !
C’est pourquoi nos soirées durent aussi plus longtemps, nous avons tant de choses à nous raconter. Alors voici 6 lieux incontournables dédiés aux femmes. À la fois confinés et chaleureux, vous vous y sentirez tellement bien que vous y passerez de longues heures à papoter de tout et surtout de rien (rires).
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- Yoom, 20 rue des Martyrs, 75009 Paris
- Les Chouettes, 32 Rue de Picardie, 75003 Paris
- La Bocca della Verità, 2 Rue du Sabot, 75006 Paris
- Pink Mama, 20bis Rue de Douai, 75009 Paris
- La Mangerie, 7 Rue de Jarente, 75004 Paris
- Clamato, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris
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L’heure du goûter, c’est précieux
Il n’y a pas d’âge pour apprécier les bonnes choses et notamment le goûter. Tout comme il n’y a pas d’âge pour aimer Noël, et surtout pour croire au Père Noël. Quoi de plus attirant qu’une pâtisserie ? Quel plaisir de les contempler. Elles nous narguent… On a souvent l’impression qu’elles n’attendent que nous ! Encore faut-il qu’elles soient bonnes. Les grands pâtissiers se font la part belle de nos jours, et à juste titre. Mais sachez que l’on trouve également d’excellentes pâtisseries dans certains coffee-shop, qui ne payent pas forcément de mine, vus de l’extérieur. Et voici mes endroits à pâtisseries préférés.
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- Le Loire dans la théière, 3 Rue des Rosiers, 75004 Paris
- Ibrik, 43 Rue Laffitte, 75009 Paris
- Pâtisserie salon de thé Yann Couvreur, 23 bis rue des Rosiers, 75004 Paris (il en existe plusieurs)
- La patisserie Cyril Lignac, 55 boulevard Pasteur, 75015 Paris (il en existe plusieurs)
- Le 86 champs de Pierre Hermé, 86 Av. des Champs-Élysées, 75008 Paris
- Angelina, 226 rue de Rivoli, 75001 Paris (il en existe plusieurs)
- Alma the Chimney Cake Factory, 59 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
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Plus c’est tamisé, mieux ce sera !!
Et si vous recherchez un restaurant, comment dire…, plus discret, moins lumineux, dans lequel vous vous sentirez plus à l’aise pour éventuellement cacher quelques petites (ou grosses) imperfections, sachez qu’il en existe aussi ! Ce serait dommage de rester enfermé(e), et de vous priver d’un bon petit repas, alors que vous pouvez très bien éviter que tous les regards se portent sur vous. Lumière tamisée garantie, on déstresse ! Personne ne remarquera vos petits boutons ou ne verra que votre jean est un peu (beaucoup) trop serré…
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- Kadawari Ramen, 29 Rue Mazarine, 75006 Paris
- Mama Shelter, 109 Rue de Bagnolet, 75020 Paris
- Miss Ko, 49-51 Avenue George V, 75008 Paris
- Brasserie Barbès, 2 Boulevard Barbès, 75018 Paris
- L’Alcazar, 62 Rue Mazarine, 75006 Paris
- Les petites écuries, 40 Rue des Petites Écuries, 75010 Paris
- Derrière, 69 Rue des Gravilliers, 75003 Paris
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Et pour sortir … !
Et bien sûr, on ne rentre pas directement après le restaurant ! Allez boire une verre s’impose. Là encore, les bonnes adresses sont nombreuses, et si vous êtes en mode “festif”, je vous conseille quelques adresse méconnues et qui valent le détour. Ce sont des bars dits “clandestins”… Vous ne serez pas au bout de vos surprises… Vous entrez dans un lavomatic, un garage…, et derrière une autre porte, se cache… un bar. Franchement, allez-y, vous ne serez pas déçu(e).
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- Le Gravity, 44 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris
- Le très particulier, 23 Avenue Junot, 75018 Paris
- La Candelaria, 52 Rue de Saintonge, 75003 Paris
- Pavillon du lac, Place Armand Carrel, 75019 Paris
- La Mezcaleria, 13 Boulevard du Temple, 75003 Paris
- Fine mousse, 4 bis Avenue Jean Aicard, 75011 Paris
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Un semi marathon de 21 kilomètres grâce à la force mentale
Le running, un sport à part entière
4 mars 2018, le semi-marathon de Paris a ouvert ses portes aux plus courageux d’entre nous, c’est à dire 45 000 coureurs « à la motivation forte et admirable ».Chaque année, au moment des courses les plus connues de notre belle capitale, voici comment je qualifiais les inscrits à ces événements : « de réels héros ».Mais cette année, il s’avère que suite à un concours de circonstances inqualifiable, j’étais inscrite à ce semi marathon de l’année 2018 !« Motivation forte et admirable » ? Me demandais-je ? Pas vraiment …Je me suis inscrite par « challenge » comme je les adore, en septembre de l’année d’avant sous l’influence de mon amie Tiphanie.Je n’avais jamais couru plus de 1 kilomètre dans ma vie, et puis après tout, je haïssais la course. Ça m’ennuyait profondément !A chaque fois que j’ai essayé de courir, je regardais un arbre précis, 500 mètres plus loin, en me disant que ce serait mon point d’arrivée.Donc de mentionner « 1 kilomètre », je reste un peu marseillaise quand je donne cette distance.J’avais pourtant sortie la panoplie de la grande sportive à chaque fois : baskets derniers cris, legging de compétition et puis écouteurs colorés pour mettre un peu de vie à ma tenue, et dans mes oreilles en priorité .Ceci dit, la tenue, ça ne change finalement peut être rien (rire).Après, je ne vais pas vous mentir : je suis sportive et j’aime profondément le sport (certains sont drogués de cigarette, je suis droguée de sport) , mais attention les sports de renforcement musculaire uniquement : cross fit, TRX, Body Pump, action sport …
Mon rapport à la cardio
J’ai tendance à fuir le cardio, car je n’y prends pas vraiment goût. Et quand je n’y prends pas goût, je n’arrive pas à le faire. Je suis entière dans chaque domaine !
Le seul cardio que je fais c’est à travers ma vie d’hyper active, et de « psychopathe », comme le qualifieraient certaines personnes, par moment.– Prendre le métro 11 fois dans la journée, je ne sais pas pourquoi– Courir après le bus, sans jamais réussir à l’attraper– Enchaîner 6 rendez-vous d’affilés en oubliant le jour et l’heure, donc les rendez-vous ne respectent pas toujours l’ordre dicté le matin même .– Cumuler deux déjeuners l’un après l’autre car j’avais oublié que j’avais fixé plusieurs déjeuners tout simplement, et que je ne sais pas lequel annuler– Travailler pour plusieurs entreprises en free-lance en oubliant parfois les noms de certaines compagnies , étant consciente que dans quelques mois j’aurais ma propre entreprise– M’investir dans des associations, qui d’après chacune d’entre elles sauvent le monde (sauf que chacune se qualifie comme la meilleure)– Développer mes compétences à travers mille et une formations, parce que « mieux vaut trop que pas assez ».Mais le CARDIO, en salle de sport , non merci !!!Le profil de Tiphanie, mon influenceuse pour ce challenge
Tiphanie, 30 ans, jeune femme à la personnalité drôle, spontanée et bosseuse, c’est tout simplement mon amie au féminin que j’admire le plus.Ce genre de femme qui est indépendante depuis son plus jeune âge, qui est passionnée par son travail et qui ne se pose pas de questions sur celui-ci, qui a un appartement à la pointe des dernières tendances (il faut savoir qu’elle passe sa vie chez IKEA aussi …), et qui ne s’entend avec aucun de ses voisins ni même avec ses collègues, mais de façon assez assumée après tout. Car Tiphanie elle s’assume !!!Le propre d’une femme qui s’assume ? De faire beaucoup de sport pour se détendre aussi un peu.Je voulais alors faire comme Tiphanie : faire du cardio tout en assumant détester ses voisins et courir toutes les courses un peu à la mode de Paris.Pour tout vous avouer, je me suis inscrite tel un automate en septembre 2017 , et jusqu’au 23 février de l’année 2018, j’avais oublié que je m’étais inscrite à cette course.Heureusement que Tiphanie, mon petit héros (qui boit du café et qui qui fume), qui court sans problème 42 kilomètres quant à elle, était là.Elle me rappelait chaque jour qu’il fallait que je m’entraîne, avec force et fermeté en plus de mon sport quotidien dans le renforcement musculaire.Elle a d’ailleurs programmé avec moi plusieurs sessions d’entraînements , jamais réalisées au final, car elle ne me trouvait pas si motivée, je pense avec le temps.Ma façon de me préparer
Parce que je n’ai pas fait comme tout le monde, il faut tout de même que je vous parle de ma préparation à moi.On est différente ou on ne l’est pas. Je le suis c’est officiel !A deux semaines du jour J , je ne m’étais toujours pas entraîné, et je ne comptais pas me faire me semble t’il quand j’y repense.J’allais, ceci-dit, à la salle de sport tous les jours , et je poursuivais les pratiques sportives qu’on me déconseillais pour cet entraînement « Charlotte, le body Pump c’est bien beau, mais tu vas te casser quelque chose avant ton semi-marathon!!! Et puis, travailles ton cœur et ton endurance !!! ».Ma foi , je n’y arrivais pas!! C’était au dessus de moi !Je continuais alors Body Pump , cross fit et marche chaque jour, mais le running ne faisait pas parti de mon dictionnaire à ce moment là.Pour ce qui est de la nourriture, j’évitais les excès (alcool, trop de gras) comme ce qui était préconise, mais « purée les pizzas », je les engloutissais encore un peu trop souvent dans ma semaine.Je vous parlerai un jour de mon addiction pour la pizza : j’en mange au moins 4 fois par semaine (dans mes « bonnes adresses » vous trouverez mes meilleurs restaurants italiens selon moi).Le jour J
Ahhhh, voici que nous sommes le 4 mars 2018 !!Quel stress malgré tout !!Je me suis inscrite au semi-Marathon, ce n’est pas pour m’arrêter au premier arbre que je repère, comme durant mes entraînements.Il fallait, au moins, par fierté (oui oui je suis fière comme tout) que je le finisse.En plus de cela , mon père, mon tuche, (son surnom) que je ne vois jamais, allait être là !Quelle pression ! Il pense que je suis une spécialiste de la course !Pour tout vous avouer ce jour là , heureusement que mon héros Tiphanie était là pour me couvrir avec son matériel de compétition, en stock.Ma foi il pleuvait à torrent et j’étais là avec mon petit débardeur et mes chaussures peu imperméables. Quelle cruche !!On se rapproche du départ après avoir englouties avec Tiphanie des barres magiques de chez Décathlon, qui donnent la force d’Obelix.On se rapproche de la ligne de départ, avec les 45 000 coureurs (peut être moins car les départs sont en décalés en fonction des objectifs), et on s’apprête à partir.Enfin à partir … les coureurs sont tous dans nos pattes au niveau de la ligne de départ, donc il faut être patient.Comment patienter ? En jetant notre surplus par terre : TEE shirt de trop, bouteilles … c’est un peu la tradition le jour de ce type de courses. Ensuite ça ne va pas à la poubelle : il y a des associations, ou des personnes comme mon père qui s’occupent de tout ramasser derrière les coureurs (rire).Vous faites alors une bonne action pour plusieurs types de personnes.Le sifflet retentit aïe aïe aïe … c’est parti !!
J’étais distraite à regarder ce qu’il se passe par terre, mais il fallait que je me concentre : « 21km me disais-je, quel enfer » … « Charlotte ne t’arrête pas à l’arbre stp » … « Mets une bonne musique qui te motive » … « Essaies de capter l’attention de ton père à Porte Dorée de façon à retrouver de la force » … « Mets de la musique entre temps et pense au fait que tu es la meilleure » !!Je me parlais seule dans ma tête, tout en écoutant de la musique.Sauf qu’au 1 kilomètre ma musique a coupé. Ce satané iPod prêté par un ami à coupé !! Il a lâché, je me sentais alors fichue, finie, nulle… que vais-je faire sans musique ??Je regarde alors Tiphanie dépitée, elle me regarde aussi dépitée pour moi. Elle tente de me partager sa musique, ça ne fonctionne pas.Je voyais la fin de ma course à ce moment là. La fin de la course dès le premier kilomètre (presque a l’arbre finalement).Je me voyais être la déception de mon père qui s’est déplacé sous la pluie juste pour me voir.Mais non !! Tiphanie mon héros a enlevé son casque audio et a décidé de courir à mes côtés en me tenant la conversation du début à la fin.En gros, en plus de la ralentir car je n’avais pas le même rythme qu’elle , je lui cassais la tête avec mes histoires (rire).La consécration
Le temps est passé à toute vitesse , et c’est avec difficultés mais « ambition admirable » que nous avons atteints la ligne d’arrivée après 2h30 de course ! Et sans jamais s’arrêter !!Évidemment que mon exemple n’est pas le meilleur et qu’un médecin vous dirait que je suis inconsciente.Mais je voulais vous montrer de quelle façon on conditionne son petit cerveau, et à quel point tout est possible.Fière de moi comme jamais, fière de mon amie, je le referai l’année prochaine…. mais avec de l’entraînement cette fois-ci.Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest ! -

Je Switch, tu Switch, il Switch… nous Switchons …. !
Vous est-il déjà peut-être arrivé de vous demander si vous aimez réellement ce que vous faites dans la vie ? Je veux dire par là : avez-vous une forte passion pour votre métier, ou l’exercez-vous de façon linéaire juste pour répondre aux besoins vitaux quotidiens : payer son loyer, payer ses factures, rembourser son prêt … manger à sa faim, et réussir à aller au cinéma une fois de temps en temps ?
La raison ou la passion ?
Selon une étude menée par BFM, 2 français sur 5 souhaiteraient transformer leur métier en passion, mais sont actuellement même dans une position où leur métier n’est qu’alimentaire alors qu’il est perçu comme « prestigieux » pour beaucoup de leur entourage. Comme quoi l’entourage, il faut parfois le laisser où il est, et n’écouter que son cœur.
Quand je dis alimentaire, il s’agit souvent d’un métier qui a été choisi dans la continuité d’études ou d’une formation exercée ou même influencée par le souhait d’une personne extérieure « mon père veut que je sois dans l’immobilier, il veut que je sois médecin », ou alors d’un métier choisi par obligation, car aucune étude n’a été faite.
Souvent, ces personnes se disent alors « c’est comme ça et pas autrement … mon boulot je l’exerce depuis des années, et puis j’avance dans l’âge, ce ne sont plus des questions à me poser ».

Même si nous ne passons finalement que 12 % de notre vie au travail, soit 10 ans si nous aplatissons le tout, c’est déjà énorme, surtout si vous allez chaque jour à reculons au travail. Imaginez, 10 ans de trop à souffrir d’un mal-être professionnel, ou d’un ennui profond. Et puis, tous les petits tracas mentaux sont source de maladies graves. Il faut vraiment y remédier … !
Beaucoup n’aiment pas leur travail mais se disent , « oui mais que puis-je faire si je n’ai finalement des compétences que dans ce domaine? ». Faux et archi faux. Chaque être humain a des compétences multiples, et surtout, sans le savoir, dans des secteurs souvent enfouis.
Le problème de fond c’est qu’ils ne se connaissent pas assez, car ils ne se posent pas les bonnes questions, au bon moment. Ces personnes-là suivent le mouvement – et ce que le conformisme et le jugement de la société – veulent faire d’eux.
D’un point de vue personnel
J’ai fait partie intégrante de ces personnes pendant 7 ans de ma vie professionnelle. Et encore, je n’ai que 28 ans, je suis jeune, et je ne fais pas partie de ces personnes qui switchent après 30 ans de carrière. Je ne suis peut-être pas l’exemple parfait… Mais j’admire ces personnes qui osent franchir le pas.
De mon côté, j’ai fait des études en marketing durant 5 ans, il fallait alors de façon linéaire que je travaille dans un grand groupe, car il y a une plus forte NOTORIÉTÉ quand vous travaillez chez L’Oréal , que dans une start-up à faible budget. Ma foi, ce ne sont que des étiquettes et des étiquettes, c’est tout ce que je déteste, mais j’ai été victime de ces étiquettes, extraites de l’élitisme à la française.
Et puis de façon toute aussi robotisée, il fallait que je sois en CDI, car en France c’est le seul et unique graal… et pour finir il fallait que je passe plus de 2 ans dans une entreprise à chaque fois, car cas contraire, tu es considérée comme une personne « perdue », et qui semble être instable.
Sauf que de mon côté, j’aurais pu m’attacher aux signes d’un besoin de changement, bien plus rapidement qu’après 7 ans de contrat.
Je changeais de travail (tout en respectant mon idée de rester dans de grands groupes), tous les ans, et puis je n’étais pas tant que ça attachée au CDI, car je n’aimais pas me sentir enfermée dans un cadre. A l’heure actuelle où j’écris ces lignes, je n’aime toujours pas cela…Pour en finir avec mon passé professionnel, la hiérarchie plus qu’ancrée du grand groupe, et les lourdeurs administratives n’étaient pas faites pour moi.
Bien que ces signes étaient bien présents je continuais à me dire que j’aimais le marketing, j’aimais les grands groupes, j’aimais les Open Space, j’aimais le conformisme car tout simplement il fallait aimer cela, sous peine d’être montrée du doigt comme une personne « marginale » et « différente ».
Une vraie prise de conscience
Les années ont passé, j’ai pris le temps de voyager, de voir autre chose, de partir loin de tout, de m’aérer, et puis je me suis officiellement découverte, en effet comme une personne « différente » clairement, « marginale » sûrement pas, mais qui comprenait que les mœurs et la notion du travail pour chacun d’entre nous évoluaient et qu’il fallait l’assumer et s’assumer.
Le travail n’a plus la même valeur qu’il y a 30 ans et il faut le comprendre. A l’époque, dans la génération de nos parents, il fallait à tout prix être « stable » en évoluant dans une même entreprise et un même secteur toute sa vie. Il ne fallait pas déjouer son schéma de vie. Aujourd’hui vous pouvez être boulanger, puis restaurateur, puis comptable, puis entrepreneur dans l’It… et cela en une seule vie.
Tout va très vite, voire trop vite, notamment grâce à la montée en puissance d’internet, et du surplus d’informations reçuu à la minute. Ce qui n’existait pas à l’époque de nos parents… La vie est ainsi ! Ils ne faut pas rester fermé dans une case.
« Charlotte, tu es faite pour conseiller les autres »
De mon côté je commençais à prendre goût pour les métiers liés au social et à l’introspection; j’étais déjà « la psychologue » de beaucoup de mes amis et on me répétait sans cesse « Charlotte tu es faite pour conseiller les autres et les faire clairement évoluer. » Certes j’étais faite pour conseiller, mais je ne savais pas par où commencer et de quelle façon pour m’implanter dans ce domaine.
Fallait-il que je refasse des études, ou juste une formation à distance ? Est-ce qu’il fallait lire des livres en particulier ? Est-ce qu’il fallait que je me tourne vers des personnes précises ?
Toutes ces questions qui me trottaient dans la tête, me faisaient un mal fou car elles me confrontaient à la réalité de ma vie… mais à la fois m’ont permises de me connaître.
SWITCH COLLECTIVE ? Qu’est-ce ?
Un jour, une amie me parle de Switch Collective, nouvelle start-up d’accompagnement vers la reconversion professionnelle. Elle me dit « Charlotte, c’est une formation qui dure un mois et demi, à hauteur d’un jour par semaine. Nous sommes un groupe de 40 personnes de tout âge, et je suis d’ailleurs la plus jeune. 40 personnes qui veulent se reconvertir mais qui ne savent pas par où commencer. Tu vas rencontrer des gens fabuleux, tu vas faire des exercices très profonds, qui vont changer ta vie ».
Switch Collective me disait-elle ? Je cherche sur internet, je regarde le groupe Facebook, je regarde des vidéos You Tube et ma décision était prise : il faut que je le fasse !!
Inscription archi facile, pas grand-chose à remplir (la corvée administrative que chacun évite), et puis des contacts forts réactifs. Dix jours avant le commencement, il y a eu une phase de travail en amont. Réception de mail chaque jour, ou nous devions répondre à des test de personnalités, de valeurs, d’habitudes… ! Il fallait arriver dans la Switch house avec un minimum (je dirais même un maximum de contenus) sur soi.
« Moi différente ? Moi marginale ? »
Arrivée la bas le premier jour, je me suis dit pour la première fois de ma vie : « Moi différente? Un peu marginale? « Qui file un mauvais coton » ? Absolument PAS. Je me retrouve avec 40 personnalités extrêmement fortes et affirmées, et en effet de tout âge.
Des personnes qui ont évolué dans des domaines différents. Certains étaient dans la banque, dans la finance, dans le commercial, le marketing, d’autres comédiens, d’autres dans l’informatique… beaucoup avaient des postes à fortes responsabilités avant de décider de Switcher. Assez impressionnant d’ailleurs !!! Quoi qu’il arrive nous étions tous là pour « switcher ». Alors Switchons et faisons le bilan de façon progressive et ludique. C’est parti !!!
Il fallait choisir un binôme qui serait une sorte de miroir à soi, durant toute la formation. Les consignes des exercices se donnaient en groupe, mais nos réponses étaient analysées par notre binôme. Quelle puissance de devoir se livrer avec tant de liberté et de sincérité à un inconnu.
Les exercices sont des exercices pour apprendre à se connaître et ressortir après 6 semaines de formation, avec une personnalité encore plus affirmée, assumée, et dans la direction d’un nouveau métier.
Tu fais le bilan à travers des exercices de 30 minutes/ 1heures qui répondent à : d’où tu viens ? Quelles sont tes qualités principales? Tes défauts principaux ? Tes soutiens dans la vie ? Tes inspirations au quotidien? Tes rêves réalisables ou plus difficilement atteignables? Ton rapport aux règles ? Ta capacité à juger? Ton rapport aux émotions… ? Les pensées qui traversent le plus souvent ton cerveau…? Tes plus grandes déceptions dans la vie? Tes moments les plus marquants? Ton rapport à ton corps? Ce qui aggrave tes peurs, ta nervosité …. ?
L’objectif principal est d’apprendre à se connaître par cœur, à tel point de réussir à savoir ce que tu ne feras plus jamais, ce qui va à l’encontre de ce que tu es, de tes valeurs… Et surtout prendre confiance en soi pour se lancer dans une nouvelle vie professionnelle, malgré le fait que ce soit certes difficile.
Quitter une zone de confort, tirer une croix sur l’aspect financier régulier, les horaires cadrées, les consignes… ! Faire preuve d’indépendance, en passant certes par des moments difficiles, mais pour la bonne cause : celle d’être enfin heureux.
Comme le disait si bien Confucius « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour dans votre vie ».
Vous trouverez ci-dessus, trois vidéos de switcher, qui ont parlé de leur Switch avec aisance devant des sessions d’élèves Switch Collective.
Cette formation a officiellement changé ma vie et ma perception envers le changement et le fait de se poser des questions. Notez bien qu’il existe de nombreuses formations de ce type, à prix variés, et que je ne fais aucunement une publicité pour cette entreprise en particulier, mais plutôt un article sur le concept.
C’est finalement la meilleure chose qui puisse nous arriver. Creusez, et découvrez ce qu’il y a en vous !!! On ne se le demande malheureusement pas assez, par peur de souffrir, ou d’être mal vus !
Aujourd’hui je suis officiellement sophrologue, et je vous en parle dans d’autres articles de ce blog, en espérant que cela vous intéresse.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
