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  • Les femmes se remettent-elles plus en question que les hommes ?

    Les femmes se remettent-elles plus en question que les hommes ?

    Libérée, délivrée… Désolée, si je vous mets cet air en tête pour toute la journée… mais c’est en écoutant ce refrain que je me suis dit : les femmes sont tout de même devenues de véritables battantes. Et cette liberté, cette délivrance, elles ne tombent pas du Ciel.

    Un grand nombre de femmes dénoncent de plus en plus leurs difficultés et ne se contentent plus de subir, mais elles cherchent comment s’en sortir, comment les résoudre.

    On dit souvent que les femmes se posent trop de questions, qu’elles se remettent plus en question… plus que les hommes ? Est-ce un problème ?

    Car se remettre en question et s’interroger sur soi-même sont des démarches saines et même salutaires. L’introspection donne à chacun (et chacune) d’entre nous des atouts psychologiques qui permettent de nous libérer de certitudes parfois trop ancrées, et aussi de trouver une issue pour sortir des moments difficiles.

    Et curieusement, il semble que les femmes soient plus enclines que les hommes à pratiquer cette remise en question. L’introspection serait donc une activité essentiellement féminine. Est-ce une simple impression ? Pas si sûr.

    La remise en question s’accorde au féminin

    Nous pouvons le vérifier chaque jour dans notre entourage : les femmes se posent globalement plus de questions que les hommes. Sur le sens qu’elles donnent à leur vie, sur les raisons de leurs passions amoureuses, sur les ambiguïtés qui naissent de leurs relations, sur leur rôle de mère parfaite ou d’épouse idéale… la liste est loin d’être exhaustive (rires).

    Sommes-nous les seules à nous poser ces questions existentielles ? Les hommes ne s’en posent-ils aucune ?

    Dans les faits, il est fort probable que femmes et hommes se posent autant de questions au cours de leur existence.

    Mais on a culturellement appris aux hommes à ne pas exprimer leurs émotions, à masquer ce qui serait considéré comme « une faiblesse ». Les questions existentielles sont ainsi souvent refoulées par pur « virilisme » dans une activité annexe (le travail, le sport, le jeu…) qui occupe le « temps de cerveau disponible ».

    Les femmes, au contraire, expriment plus volontiers leurs émotions, leurs craintes, leurs interrogations. Elles y sont « autorisées ». Ce qui laisse en effet à penser que la remise en question s’accorde au féminin.

    Un questionnement permanent

    La femme se pose mille questions. Elle a constamment besoin de faire le point. Elle se considère plus terre à terre, plus proche des contingences de la vie quotidienne. Une femme est globalement plus inquiète pour sa santé ou celle de ses proches, pour son avenir, pour l’image qu’elle donne d’elle-même. Elle s’inquiète aussi beaucoup pour son entourage, pour ses enfants et leur potentiel, pour son mari et sa réussite, pour la famille et les amis…

    Et lorsqu’elle est amoureuse, la femme s’interroge encore plus. Sur l’engagement de son conjoint dans cette relation… sur sa capacité à vraiment aimer. Elle décortique, pèse le pour et le contre, traque les axes d’améliorations, évalue les hypothèses… tandis que l’élu de son cœur (s’il est masculin) se contente de vivre sa passion au jour le jour, le sourire béat. Il ne se posera des questions que le jour où il commencera à avoir des doutes sur sa compagne, lorsque la relation commencera à se dégrader.

    C’est souvent salutaire mais pas toujours sauf si…

    Dans le cerveau d’une femme, l’intellect et les émotions sont moins compartimentés que dans celui d’un homme. Son analyse d’une situation diffère ainsi de celle de son compagnon. Là où lui classe rapidement le dossier, elle cherche encore et toujours à comprendre, à expliquer, à émettre des hypothèses, à remettre en cause. Son questionnement est permanent.

    Mais attention… Une femme qui se montre trop réceptive aux pensées négatives, et qui est dépassée par tous ces questionnements multiples, peut vite sombrer dans la déprime. La femme se trouve ainsi plus exposée qu’un homme aux périodes d’anxiété et à la dépression. Son éveil permanent l’empêche de se construire une carapace aussi imperméable aux émotions que celle de l’homme.

    Les femmes ont donc un besoin plus fort de réfléchir à leur situation. J’ai déjà évoqué dans un article précédent le problème de la charge mentale (le syndrôme de la femme épuisée) dont sont sujettes de nombreuses femmes. Celles-ci font de la bonne tenue de leur foyer une mission à laquelle elles ne peuvent déroger. Je proposais comme principal « remède » un changement de comportement vis-à-vis du conjoint mais aussi de soi-même. Or ce changement, très profond, souvent difficile, nécessite une vraie remise en question.

    Et la bonne nouvelle, c’est qu’elles y parviennent de plus en plus ! Elles osent affronter leurs peurs, entre autres.

    Ainsi les femmes sont plus disposées que leurs compagnons masculins à réaliser les changements qu’elles estiment nécessaires. Là où l’homme cherchera le plus souvent un compromis, la femme n’hésitera pas à modifier radicalement son comportement, ses habitudes, son cadre de vie. Elle envisagera ainsi plus rapidement une séparation, par exemple.

    Mais très souvent, ce processus n’est obtenu qu’après une thérapie plus ou moins longue.

    Le recours aux thérapies

    La femme, c’est un fait, a besoin de rêver, de se nourrir d’émotions (quitte à se laisser parfois (souvent même) envahir par des émotions négatives). Et ce besoin, elle l’exprime couramment. Auprès de son compagnon, de ses amis, de sa famille. Et si elle ne trouve ni écoute, ni solution, elle se tourne plus volontiers vers un spécialiste.

    Les études démontrent que 70 % des personnes qui consultent un psychothérapeute sont des femmes. Moi-même, sophrologue et hypnothérapeute, j’ai une patientèle qui est composée à 80% de femmes.

    Pourquoi une minorité d’hommes ? Les hommes rechigneraient-ils à bousculer leurs convictions ?

    • Oui… pas tous mais une majorité.

    Un homme a-t-il plus peur d’être confronté à des vérités qu’il n’accepterait pas ?

    • Oui… pas tous mais une majorité.

    Ou peut-être plus simplement estime-t-il, suite à notre système éducatif, que consulter un thérapeute n’est pas une démarche “normale”, qu’elle relève une faiblesse, voire un psychisme défaillant.

    Le problème est bien là, à mon avis…

    Conclusion

    Alors oui : la femme se remet plus souvent en question que les hommes. Elle s’interroge constamment sur le sens de ses actions, de ses relations, de sa vie.

    Elle est plus curieuse d’elle-même que peut l’être un homme « naturellement ». Et franchit plus rapidement la porte lorsqu’il s’agit d’essayer les thérapies alternatives et la médecine douce qui peuvent l’accompagner dans sa démarche.

    S’interroger sur soi, c’est chercher à vivre pleinement sa vie. Il faut juste apprendre à ne pas se laisser parasiter par les sentiments négatifs et destructeurs. Et très certainement faire comprendre aux hommes qui intériorisent toutes leurs émotions, qu’ils devraient essayer, eux aussi, de se remettre en question. De mon point de vue, lequel je pense est largement partagé, ce serait plutôt un signe de courage que de faiblesse.

    Et pour aller encore plus loin… on peut même penser que cela réduirait considérablement les problèmes de violence…

    À bon entendeur…

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

  • Bienvenue à nos Combattantes

    Bienvenue à nos Combattantes

     

    La vie n’est pas un long fleuve tranquille… loin de là…

     

    Nous avons tous notre propre histoire, et notre propre destin, diront certains…

    Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. On ne naît pas sous la même étoile. Et même si on a la chance de naître sous une bonne étoile, ce n’est pas pour autant que notre vie est toute tracée d’avance et qu’elle est vouée à être parfaite !

    Une multitude d’évènements ou de circonstances peuvent interagir dans notre chemin de vie. Des évènements que nous pouvons parfois maîtriser, d’autres pour lesquels nous ne pouvons pas faire grand-chose, voire strictement rien. Des traumatismes dans l’enfance, par exemple, peuvent nous marquer pour la vie, même si nous pouvons en apaiser quelques-uns.

    Quoi qu’il en soit, pour certains, la vie ne les a pas gâtés et cela, dès la naissance. Et pourtant, il faut vivre, il faut avancer !

    Subir ou agir ?

    Et c’est à partir de ces constats, de ces vécus que certains « destins » se construisent… ou pas… !

    En effet, en fonction de notre nature même, et/ou de notre passé, certains vivront leur vie comme une fatalité. Ils subiront les évènements parfois parce que c’est inévitable, parfois par manque de courage ou par peur.

    Et d’autres, à l’inverse, essaieront de « s’en sortir », de se battre, de mordre la vie à pleines dents, et ce, contre vents et marées. Pour ce faire, ils oseront défier le destin, prendre des décisions radicales, renoncer à certains privilèges matériels, sortir de leur zone de confort (si l’on peut dire), pour :

    • Se construire une vie différente, meilleure et apaisée
    • Réaliser leur(s) rêve(s)
    • Vivre de leur passion

    Vous l’aurez compris, il s’agit de combattant(e)s ! D’individus qui refusent l’avenir qui leur était tout tracé, et qui se battent pour trouver le bonheur, ou tout au moins quelque chose qui s’en approche.

    Leur objectif commun : vivre en adéquation avec eux-mêmes.

    Des exemples à valoriser et à suivre

    Et ce sont à ces individus que j’ai décidé de consacrer du temps. Admirative, mais également directement concernée, car si vous me suivez, vous connaissez mon parcours…, j’ai voulu relater leurs histoires pour montrer (et prouver) que l’on peut changer sa destinée, si bien sûr, on parvient à faire resurgir les forces qui sont en nous, forces dont parfois on ne soupçonne même pas l’existence !

    C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en valeur ces personnes, toutes admirables, car elles sont des exemples de courage qui doivent servir d’espoir à celles et à ceux qui ne sont malheureusement pas gâtés par la vie, ou qui subissent leur vie comme une fatalité.

    Aussi, depuis le mois de septembre, j’effectue des interviews qui sont diffusées sous forme de podcasts. J’ai eu la chance de rencontrer des femmes et des hommes extraordinaires !

    Et, si à date, je me suis penchée à la fois sur des hommes et des femmes, à terme, je prioriserai les femmes, car dans notre société encore très masculine, il demeure encore plus difficile pour une femme de « se faire une place », de vivre une vie épanouie. Très souvent prises dans un rythme infernal, il leur est encore plus difficile de rompre avec « leur routine », et de penser à elles.

    C’est donc possible

    Vous constaterez dans mes podcasts, que certaines ont eu le courage de quitter des « positions socialement confortables » pour réaliser leur rêve, et surtout pour trouver une vie qui a du sens !

    Rappelons ici, que vivre en porte-à-faux avec ses envies et ses valeurs conduit inévitablement à des problèmes de santé : stress, angoisses, burn-out, dépressions sévères, troubles alimentaires (boulimie, anorexie), suicides… Si vous vous levez tous les matins en soupirant, si vous vous couchez tous les soirs avec l’estomac noué… Il est temps de faire quelque chose… !

    Sinon…

    Lorsque l’on ne vit plus en adéquation avec soi-même, on ne vit plus en adéquation avec les autres, et la vie peut vite devenir un calvaire, voire un enfer. Il est donc fondamental d’être en mesure non seulement de savoir se poser, réfléchir, se remettre en question. Mais le plus difficile n’est pas cela. Le plus difficile, c’est d’être en mesure de prendre certaines décisions parfois très difficiles, des décisions qui remettent en question une vie entière ! Faire fi du regard des autres et de la famille demande également beaucoup de courage.

    Les podcasts de mes combattant(e)s

     

    Certain(e)s y sont donc parvenu(e)s, et je trouve important de partager leur histoire, leur combat et surtout leur victoire.

    Ces expériences, riches et denses, sont à la fois émouvantes et surtout pleines d’espoir !

    C’est pourquoi, je vous invite à me(nous) rejoindre sur : Apple Podcasts, Deezerfr, spotify et souncloud pour écouter leurs histoires, et vous convaincre que vous aussi, vous pouvez y parvenir

    https://podcasts.apple.com/fr/podcast/combattant-e-s/id1480753178?i=1000458856438 .

    Vous m’y retrouverez en compagnie de :

    • Olivia Zeitline qui s’est consacrée à l’écriture après avoir obtenu son diplôme d’avocat. Passionnée de poésie et de spiritualité sous toutes ses formes, elle nous parle de son rapport très pointu à l’intuition. Celle-ci guide en effet sa vie, et lui a permis de changer de voie dès qu’elle l’a souhaité.
    • Anne-Laure avait « sur le papier » une vie de rêve, en tant que chez de projet événementiel dans une belle compagnie, et pourtant elle a fait un burn-out.Elle s’est alors remise en question et a suivi un accompagnement avec un coach de vie durant plusieurs années. Celui-ci lui a changé sa vie et ses perceptions du monde. Elle a fini par se reconvertir en tant que chanteuse et se sent aujourd’hui alignée et apaisée.
    • Gipsy, est une jeune femme qui a appris à s’écouter avec l’âge , et qui partage son quotidien, sa passion pour le sport, ses objectifs à venir.Aujourd’hui, Gipsy est une jeune femme alignée, avec des peurs comme tout le monde. Le combat guide sa vie notamment depuis qu’elle a réussi à perdre plus de 30 kilos et qu’elle a pris conscience qu’elle n’était pas faite pour être salariée.
    • Francky 31 ans, est arrivé en France d’Haïti à l’âge de 5 ans. Il ne parlait pas un seul mot de français et était très seul. Il a souffert d’obésité et cela a été très difficile.Aujourd’hui il est aligné, et sait ce qu’il veut. Sa petite timidité le rend encore plus humble et agréable.
    • Sébastien, est un jeune homme téméraire de 31 ans. Il peut tomber 10 fois, il se relèvera 11 fois. Il a le combat dans le sang et une rage de vivre qui le rend conscient et optimiste. Son passé fut par moments semé d’embûches. Son quotidien, aujourd’hui, est aligné et en cohérence avec ce qu’il est et avec ses valeurs. Venez découvrir son témoignage touchant et à la limite du supportable. Un combattant !

    Conclusion

    Alors, si vous êtes en conflit avec vous-même ou si vous avez vécu un traumatisme, ne sous-estimez pas l’énergie et la force qui sont en vous. Plus vous subirez, plus votre corps vous rappellera à l’ordre.

    Tout le monde a des capacités et du talent. Ce qu’il faut, c’est connaître son potentiel et savoir l’exploiter. Le cheminement est souvent assez long. Mais croyez-moi, cela en vaut vraiment la peine !

    Et parfois, souvent même, il est utile, voire indispensable de se faire coacher ! Échanger, se confier, être encouragé sont souvent essentiels pour révéler votre personnalité, votre potentiel, et pour parvenir à faire ce qu’il y a de plus difficile : prendre une décision. N’hésitez pas dans ce cas à me contacter !

     

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…

    En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.

    Petit rappel sur le droit des femmes

    Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.

    Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.

    Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.

    Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !

    Quelque chose de lourd…

    De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.

    Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.

    A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

    Égalité… des quoi ? des chances… ?

    On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.

    Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.

    De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.

    Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !

    Discrimination inconsciente… pas tant que cela

    La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.

    Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».

    Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.

    Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

    Des solutions données aux femmes pour faire leur place

    Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

    Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.

    La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).

    Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.

    C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.

    Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.

    Il reste donc encore un long chemin à parcourir…

    Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

  • L’intuition féminine, un mythe ou une réalité ?

    L’intuition féminine, un mythe ou une réalité ?

    « Tiens, ça fait longtemps que je n’ai pas eu de nouvelles de Juliette » Et quelques secondes plus tard, le téléphone sonne, et c’est Juliette !  « Ce mec n’est pas fait pour toi. Je le sens », vous a dit une amie. Et en effet, il n’était pas bon pour vous !

    Eh oui, c’est comme si certaines (certains ?) d’entre nous possédaient un don… celui de prévoir les choses. Mais paraît-il que ce don, appelons-le tout de suite « intuition », est typiquement attribué à la gent féminine.

    En effet, on parle souvent « d’intuition féminine ». Voici donc un avantage que nous possédons sur les hommes ! Mais, les hommes n’en ont-ils vraiment pas ? Sommes-nous les seules, nous les femmes, à posséder cette faculté ? D’ailleurs l’intuition, est-ce que ça existe vraiment ?

    Mais tout d’abord, qu’est-ce que l’intuition ?

    On emploie le terme d’intuition lorsqu’un ressenti se révèle exact, lorsqu’une hypothèse spontanée se transforme en réalité, lorsque l’on a le sentiment de déjà bien connaître un domaine alors qu’on le découvre.

    Avoir une intuition, c’est souvent deviner au premier abord si une personne est digne de confiance, c’est savoir quel est le bon chemin alors qu’aucun panneau ne le confirme. C’est aussi ressentir que quelque chose ne va pas, ou même parfois qu’il va se passer quelque chose.

    Contrairement à l’instinct, qui est un comportement inscrit dans nos gènes, dans notre disque dur, l’intuition se base sur la sensibilité, l’éducation, le vécu, sur une somme de données sauvegardées dans notre mémoire vive. C’est cette somme d’expériences, de souvenirs, souvent nichés dans l’inconscient, qui nous permet une analyse très rapide d’une situation, avec un temps de calcul infinitésimal. D’où mon analogie à l’informatique.

    L’intuition serait-elle exclusivement féminine ?

    Mais pourquoi parle-t-on d’intuition spécifiquement féminine ? Serait-ce un genre d’intuition propre au sexe féminin, qu’aucun homme sur terre n’aurait connu ?

    Peut-être que la sensibilité des femmes est plus exacerbée que chez les hommes, ce qui permettrait de ressentir ou de pressentir des choses ? Écoutons notre entourage.

    Un jour, mon petit ami devait prendre la route. Je ne sais pas pourquoi, je voulais l’empêcher de prendre le volant, quelque chose n’allait pas, c’était indéfinissable. Une heure après, il a été victime d’un accident. Il s’en est sorti avec une jambe cassée, mais j’avais eu ce pressentiment, cette intuition”. Nathalie a gardé ce souvenir, cette révélation de l’intuition.

    Mais est-ce proprement féminin ? “Je pense que ça se produit surtout quand tu connais bien une personne, que tu as des sentiments très forts pour elle. Et peut-être aussi une sensibilité à fleur de peau.”

    L’intuition féminine, ce sont peut-être les hommes qui en parlent le mieux. Kévin, 34 ans : “J’étais revenu d’un séjour à l’étranger. Je retrouve mon épouse à l’aéroport. Elle est d’abord très chaleureuse puis rapidement elle devient bizarre. Arrivé à la maison, elle m’accuse de l’avoir trompée pendant mon voyage. Ce qui, j’ai honte de l’avouer, n’était pas faux. Mais comment a-t-elle pu le deviner ? Il a peut-être suffi d’un tic, d’un regard fuyant, d’un sourire forcé. Allez savoir.

     

    On accorde également à la femme beaucoup plus d’empathie qu’à l’homme. Question d’éducation, de culture. La femme étant, reconnaissons-le, plus à l’écoute de son interlocuteur, elle devine par expérience certaines choses. C’est notamment le cas avec les enfants. Assignée le plus souvent à son éducation, la femme perçoit provenant d’un enfant des signes que l’homme ne ressent pas. On évoque dans ce cas une notion d’instinct maternel, un sujet qui fait autant débat que l’intuition féminine.

    Bref, nous pouvons conclure ce paragraphe, en affirmant qu’il existe un lien entre sensibilité, écoute, concentration et intuition. Ne vous vexez pas messieurs, certains d’entre vous le sont (sensibles, et si c’est votre cas, vous devez très certainement, tout comme nous, être dotés d’intuition.

    Acquis ou inné ?

    Du côté des opposants à la féminité de l’intuition, les arguments ne manquent pas. L’intuition serait humaine et n’aurait pas de sexe. Elle serait seulement due à la sensibilité de la personne, à son vécu, ses expériences, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme.

    Certaines personnes, hommes et femmes confondus, voient même dans cette notion d’intuition féminine quelques relents de sexisme. Depuis l’aube de l’humanité, on attribue l’intelligence, la logique cartésienne, le rationnel aux messieurs, et aux dames l’émotion, l’intuition, la sensibilité. On apprend très tôt aux garçons à réprimer leurs émotions (“on ne pleure pas quand on est un homme”) alors que les jeunes filles sont plus souvent invitées à exprimer leur ressenti, leurs douleurs, leurs craintes.

    Ainsi la femme serait-elle plus disposée à écouter son intuition, contrairement à l’homme.

    Alors nous pouvons conclure sans prendre trop de risques que l’intuition est plutôt acquise qu’innée.

    Et la science dans tout ça ?

    On trouve donc difficilement des éléments tangibles qui nous prouvent que l’intuition serait avant tout féminine, du moins inhérente à l’inné plutôt qu’à l’acquis. Même la science s’est penchée sur le problème. Des travaux très sérieux ont démontré que l’homme est plus enclin à faire fonctionner l’hémisphère gauche du cerveau, celle où réside la logique et la raison. Alors que les femmes utiliseraient équitablement les deux parties, dont celle de droite qui gère les émotions et l’imagination.

    La plupart des expériences réalisées sur des panels d’hommes et de femmes au sujet de l’intuition ont donné des résultats très mitigés. Aucune étude n’a donné de chiffres démontrant une incontestable féminité de l’intuition.

    Mais on peut se poser une question plus générale : qu’est-ce que la science et sa logique primaire peuvent comprendre à l’intuition, une chose qui dépasse les esprits les plus cartésiens ?

    Alors ? Féminine or not féminine ?

    On peut donc conclure que l’intuition féminine est une réalité. Il ne s’agit pas d’une sorte de don reçu à la naissance, mais bien d’une capacité que l’on acquiert au cours de la vie, où la femme est finalement plus libre d’exprimer ses émotions, son empathie, ses ressentis. Une sorte de sixième sens que la population masculine aurait perdu et rejeté par convention.

    Alors, mesdemoiselles, mesdames, sachez utiliser votre intuition, comme il se doit !

     

    Charlotte Vallet, Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Au mois d’août, on profite des joies de la nature

    Au mois d’août, on profite des joies de la nature

    Les abeilles butinent les belles fleurs du jardin, les brochettes sont sur le gril, les belles tomates rouges et le melon sucré régalent nos papilles, le soleil brille et réchauffe nos cœurs…

    Ce sont les vacances, et donc la période idéale pour se ressourcer, se détendre et profiter des beaux jours loin des villes, de la vie trépidante et de la pollution ! Un bikini, une futa, des lunettes de soleil, une crème protectrice UV 50, des claquettes, un chapeau et c’est parti !

    Si certains d’entre nous savent apprécier le chant des oiseaux, le vent dans les feuilles des arbres, ou même le silence loin des zones urbaines fourmillantes, d’autres y sont moins sensibles. Et c’est dommage ! Car, la nature procure énormément de bienfaits sur notre santé physique et mentale. Elle est plus qu’un simple lieu de vacances. Et si elle pouvait guérir nos maux ? Eh oui ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, la nature est un trésor, de surcroît gratuit, pour notre corps dont les bienfaits ne sont plus à prouver, et ils sont nombreux !

    Des trésors, des bienfaits, des vertus… Oui ! Mais lesquels ?

    Une réduction du stress, de la fatigue et un antidépresseur naturel

    Si les chercheurs ont encore du mal à expliquer pourquoi la campagne nous fait du bien, plusieurs études révèlent que se mettre au vert réduit le stress. Le bourdonnement des insectes, le parfum de l’herbe fraîchement coupée… La nature, ses odeurs et ses bruits, ont un réel effet apaisant sur nos cerveaux surmenés. Le psychologue Charles Spence de l’université d’Oxford en est convaincu. Il s’est d’ailleurs livré à une expérience assez amusante : il a convié des mangeurs d’huîtres sur un rivage en leur faisant écouter le bruit des vagues pendant leur dégustation. Résultat : plaisir gustatif décuplé pour tous ! Notre cerveau est en effet multi sensoriel. Manger, écouter, voir, marquent nos expériences cognitives, dans ce cas, en bien. Il n’est pas pour autant aisé de justifier scientifiquement parlant, pourquoi nous nous sentons si bien dans un environnement campagnard même si nous pouvons deviner que le cerveau s’oxygène davantage et que l’environnement nous tranquillise.

    Une autre menée par des chercheurs du Queensland sur 1 500 Australiens âgés de 18 à 70 ans, révèle que passer 30 minutes au moins par semaine dans la nature serait efficace pour lutter contre la dépression, le stress, la fatigue et l’hypertension artérielle. « Si chacun d’entre nous se rendait dans un parc pendant une demi-heure chaque semaine, il y aurait 7 % de cas de dépression en moins, et 9 % de cas d’hypertension artérielle en moins », explique le Dr Danielle Shanahan, principale auteure de l’étude.

    Une source de productivité et de créativité

    Des chercheurs de l’université Australienne de Melbourne viennent de montrer que le simple fait de prendre le temps de contempler la nature augmente la concentration et ainsi la productivité au travail. Comment ? Ils ont fait visionner des images d’environnement naturel et urbain à 150 étudiants et ont remarqué une croissance significative des performances de ceux ayant bénéficié de ces « pauses vertes » pendant quelques secondes. D’autres études, ont également démontré que la présence de plantes au bureau et/ou la vue sur des paysages arborés réduisaient le stress des employés et accroissaient leur productivité. Le tout accompagné d’une diminution des arrêts de travail.

    Outre ces deux réels points positifs, la nature réveillerait également notre créativité. Une étude, réalisée par la Regent’s University de Londres, viendrait apparemment confirmer ces dires. Mais cela est en fait connu depuis bien longtemps. Plusieurs recherches avaient été effectuées à ce sujet, et toutes avaient mené à la même conclusion : le vert nous rend heureux et créatifs ! En 2000, des chercheurs japonais se sont penchés sur le sujet et ont conclu que la verdure favoriserait l’exécution de tâches créatives, et encore plus chez les hommes que les femmes. En 2012, une autre étude publiée dans Personality and Social Psychology Bulletin, nous affirme que la couleur verte stimule la créativité, l’inventivité et la motivation face à une tâche ardue. Et plus récemment, Ruth Ann Atchey, chercheuse à l’Université du Kansas, a démontré en passant trois jours dans la nature, que celle-ci booste la créativité de 50 %. Selon elle, « la nature est un refuge contre la cacophonie du monde et la douce fascination qu’elle exerce rafraîchit l’esprit ».

     

    Yoga, sophrologie, méditation… Oui mais en pleine nature, s’il vous plaît !

    Et si au mois d’août, on profitait justement du beau temps pour aller faire notre yoga, notre sophrologie et/ou notre méditation dans un parc verdoyant, rempli d’arbres et de fleurs, bercé par le chant des oiseaux ?

    La sophrologie, en jouant sur les organes et la circulation sanguine, permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Elle va aussi entraîner le renforcement de nos connexions neuronales, utiles au travail !

    Le yoga, lui aussi peut, grâce à certaines postures, avoir des effets stimulants qui nous font un bien fou. Certaines postures ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol.

    Et la méditation, nous apaise en nous recentrant sur nous-même et sur notre environnement.

    Un cocktail de bien-être pour notre corps et notre cerveau dont il ne faut absolument pas se priver cet été. Alors, ne perdons plus de temps, la nature nous attend !

    Au mois d’août oui, mais pas que…

    Si la plupart des Français profitent du mois d’août pour déserter les villes, c’est qu’ils ont pris leurs vacances d’été à cette période. Rien d’incroyable me direz-vous ! En effet, en France, nous prenons tous nos vacances entre le 1er juillet et le 31 août. Il fait beau, il fait chaud, la mer se réchauffe… C’est le bon moment pour profiter d’une retraite au grand air !

    Si la nature a de nombreuses vertus dont nous voulons absolument profiter, elle ne les a pas seulement l’été. Eh oui, bonne nouvelle, la nature est notre meilleur allié santé toute l’année ! Alors, si celle-ci a eu un goût de « trop peu » à la rentrée, réitérez l’expérience cet automne, cet hiver et au printemps prochain ! À la mer, à la campagne, à la montagne ou dans les parcs des villes, ne perdez pas une seule opportunité pour vous mettre au vert tout au long de l’année.

    Conclusion

    Les bienfaits de la nature sur notre bien-être au quotidien ne sont plus à démontrer mais nous restons trop peu à ne pas assez en profiter tout au long de l’année. En effet, si nous faisons une cure de soleil et de nature pendant la période estivale, il ne faut pas oublier pour autant que le reste de l’année, le corps en a aussi besoin pour recharger les batteries. Que ce soit en campagne, à la montagne, à la mer ou tout simplement dans les parcs arborés, profitions de tout ce que nous apporte la nature ne serait-ce qu’une heure par semaine. Nous serons plus apaisés, moins stressés, moins déprimés et plus productifs !

    Alors, on y va au petit matin, à la fraîche, on se trouve un petit coin paisible près d’un arbre, on respire le grand air et ses délicieux parfums pour une séance qui nous fera le plus grand bien. On peut aussi prévoir un petit pique-nique réconfort, à déguster après l’effort, à l’ombre, pour parfaire cette belle journée d’été et recharger nos batteries avant la rentrée !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

  • Le pardon : un pansement sur nos blessures émotionnelles

    Le pardon : un pansement sur nos blessures émotionnelles

    Non ! Jamais, je ne lui (leur) pardonnerai ! On a eu si mal, et parfois on a encore si mal, qu’il est souvent inenvisageable de pardonner. Avouons même, que l’on est plutôt dans un esprit de vengeance que dans un esprit de pardon…

    Pourtant, c’est une erreur. Car lorsque l’on a été blessé, la blessure ne peut se refermer que si on la soigne. Et souvent la vengeance ne fait que l’aggraver. Le seul moyen de guérir est d’apprendre à pardonner.

    Contrairement à ce que l’on pense, pardonner n’est pas un acte de faiblesse. Le pardon est une réelle faculté. Il permet d’abandonner nos rancunes, de changer notre regard sur celui qui nous a fait du mal, et surtout de nous apaiser et de nous libérer. Mais qu’est-ce que le pardon ? Et comment faire ?

    Je n’ai jamais réussi à pardonner. Certes, mais ce n’est pas sans conséquences

     

    Il nous est, à tous, arrivé un jour, et après avoir subi « quelques » traumatismes, de nous fâcher (restons poli…) avec quelqu’un : une amie, un petit ami, ses parents… Et ici, je ne parle pas d’une « petite dispute », mais de quelque chose de sérieux ayant conduit à une rupture plutôt violente, par exemple. S’en suit, au niveau émotionnel, tout un tas de réactions : révolte, colère, tristesse, désarroi, voire souvent une déprime…

    Progressivement, une rancune profonde s’installe en nous, rancune consciente ou inconsciente qui, d’une part nuit à notre bonheur sur des périodes plus ou moins longues, et d’autre part peut aussi avoir des conséquences sur notre propre comportement. De surcroît, on passe beaucoup de temps à ruminer. Et ruminer, c’est une véritable source de stress et de mal-être dont il faut se débarrasser.

    Mais attention, je ne dis pas que le pardon est la panacée ! Car si de nombreuses blessures peuvent être soignées par le pardon, tout n’est pas toujours pardonnable. Toutes les blessures peuvent-elles se refermer ? À cette question, pas de réponse par oui ou par non ! C’est à chacun de nous d’en juger. Mais si vous choisissez la voie du pardon, j’espère vous donner dans cet article quelques pistes pour y parvenir…

     

    Mais pardonner, ça consiste en quoi ?

     

    Nous pensons souvent que pardonner est une façon d’excuser ou d’oublier le mal fait. FAUX !

    Nous pensons aussi que pardonner veut forcément dire : se réconcilier. Encore FAUX !

    Le pardon, ce n’est donc pas « s’excuser ». Ce n’est pas non plus oublier, ou même se réconcilier.

    Pardonner, c’est être capable d’abandonner la rancune qui nous ronge pour retrouver la paix avec nous-même. C’est la clé pour nous libérer de toutes les pensées négatives qui nous envahissent et nous obsèdent : une sorte de pansement émotionnel qui nous permet de ne pas nous autodétruire par le stress du ressentiment.

    Mais comment y parvenir ?

     

    Parfois, se mettre à la place de l’autre peut suffire

     

    Essayons d’abandonner notre rancune et mettons-nous à la place de l’autre au moment où il nous a fait du mal. Peut-être avait-il(elle) des problèmes personnels ou professionnels. Le but, ici, est d’essayer de comprendre ce qui pourrait expliquer son geste, ses faiblesses, sa zone de vulnérabilité. Il faut également essayer de se remémorer les bons moments passés ensemble et décider de passer l’éponge. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ! Mais en faisant ces efforts, nous permettons à notre cerveau de réévaluer, en quelque sorte, l’événement traumatisant en des termes plus positifs. C’est un moyen de changer notre regard sur la situation afin que cette rancune toxique qui nous grignote, se transforme et commence à disparaître.

     

    Et si on n’y parvient pas, pardonner ça s’apprend !

     

    Vous l’avez compris, il n’y a pas de baguette magique. Le processus ne s’enclenche pas aussi vite pour tout le monde. En effet, certaines personnes le mettent en place spontanément et d’autres avec beaucoup plus de difficultés. Mais rien n’est perdu, nous pouvons tous apprendre à pardonner et y arriver. Nous pouvons comparer ce processus à un entraînement sportif. Vous serez sûrement d’accord avec moi : il faut de la volonté et beaucoup de travail pour atteindre la première place du podium. Eh bien, ces deux qualités sont aussi nécessaires pour atteindre le pardon.

    Alors, place à l’exercice et aux techniques pour atteindre notre objectif.

     

    Le processus du pardon, un petit exercice

     

    Pour accompagner toutes les personnes qui souhaitent emprunter le chemin du pardon, le centre Greater Good de l’université de Californie, à Berkeley a mis au point des exercices inspirés des dernières découvertes en neurosciences et en psychologie. Voici un exemple d’exercice conçu par le Dr Fred Luskin de l’université de Stanford.

    Cet exercice (résumé) comporte huit étapes :

    • Étape 1 : Avoir une vision claire du mal qui nous a été fait et être capable d’exprimer précisément pourquoi nous avons été blessé.
    • Étape 2 : Se faire la promesse d’aller mieux ; le pardon étant une démarche que l’on fait avant tout pour nous-même.
    • Étape 3 : Garder à l’esprit que pardonner ne veut pas dire se réconcilier.
    • Étape 4 : Se rendre compte que ce que l’on ressent n’est pas la conséquence de l’offense qui nous a été faite mais de nos propres pensées.
    • Étape 5 : Pratiquer des exercices antistress dès que l’on se sent envahi par des pensées négatives.
    • Étape 6 : Faire le choix de ne pas attendre des autres ce qu’ils sont incapables de nous donner.
    • Étape 7 : Avoir une vision positive de la vie tournée vers l’avenir plutôt que nous focaliser sur nos sentiments négatifs liés au passé.
    • Étape 8 : Vous êtes en mesure de pardonner !

    La méditation, une technique vers le pardon…

     

    La méditation fait partie des techniques qui peuvent aider dans ce processus long et intime qu’est le pardon. Elle permet de développer de la matière grise dans une zone bien précise de notre cortex, ce qui nous confère une capacité plus importante à imaginer les pensées des autres, et nous permet donc de pardonner plus facilement.

    Et rassurez-vous, contrairement à ce que beaucoup pensent, méditer n’est pas se vider ! Ce n’est pas non plus, ne plus rien ressentir, bien au contraire.

    La méditation, ce n’est pas « être autrement » mais c’est « être posé ». C’est prendre conscience de chaque partie de son corps dans son environnement, au sens large du terme. Elle permet de nous rapprocher de nous-même, de réaliser pleinement ce que nous sommes et de l’accepter.

    Et comme toute pratique la méditation s’apprend !

    … mais aussi l’hypnose et la sophrologie

     

    Ces deux autres techniques, toutes aussi bénéfiques que la méditation, nous permettent de nous libérer de ces poids dont nous sommes lestés et qui nous empêchent de vivre en paix !

    En ce qui concerne l’hypnose, le but est de mettre le patient dans un état hypnotique qui permet d’accéder à son inconscient. Le thérapeute, via un dialogue, induit une modification de l’état de conscience. Son rôle est ensuite de soutenir l’imaginaire, pour aider le patient à trouver lui-même les ressources qu’il possède et qui peuvent l’aider à guérir de ses souffrances.

    La sophrologie, autre technique, vise à amplifier la sérénité et le mieux-être. La sophrologie repose sur des techniques de relaxation et d’activation du corps et de l’esprit. Elle amène les individus à travailler sur leurs propres valeurs et à mieux se connaître. Et ainsi à trouver les solutions qui leur correspondent.

     

    Sophrologue et hypnothérapeute à Paris, je suis en mesure d’en parler et de vous aider. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en discuter.

     

    Conclusion

     

    Pardonner, quand c’est possible : c’est possible ! Mais ça peut être long. Il faut en avoir conscience lorsque l’on décide d’entrer dans ce processus. Avec de la volonté et du travail, nous pouvons tous y arriver, et nous libérer enfin de toute cette rancune et cette colère qui nous envahissent au quotidien. Pardonner nous rend donc plus heureux, lesté de ce poids, débarrassé de ce mal qui nous ronge. C’est donc encore plus qu’un pansement sur nos blessures émotionnelles ! C’est guérir.

     

     

    Charlotte Vallet

    Hypnotherapeute et Sophrologue sur PARIS

  • 8 bonnes raisons d’être amoureux du lundi !

    8 bonnes raisons d’être amoureux du lundi !

    Hier, nous étions lundi !

    Et le lundi, c’est souvent un jour morose pour beaucoup d’entre nous. En tout cas, j’ai souvent constaté à quel point les êtres humains passent du côté obscur de la force, ce jour-là (rires).

    Il a été prouvé que nous sommes tous un peu “bipolaires” et “versatiles” dans nos comportements, et le lundi le confirme. Nous adoptons des comportements souvent étranges. Fatigue, susceptibilité, manque de bienveillance, ras le bol…  Des émotions fortes nous envahissent, et sont le plus souvent en dents de scie, en cette terrible journée…

    Ce qui est certain, c’est qu’il y encore peu de temps, je faisais clairement partie de ceux qui ont une boule au ventre très pénalisante, le dimanche soir. C’était d’ailleurs extrêmement pénible et fatigant, car cela me faisait broyer du noir au moins une fois par semaine, dès que j’en approchais.

    Jusqu’au jour où j’ai trouvé enfin la voie pour laquelle j’étais destinée, et qui, désormais, me passionne au quotidien : celle de sophrologue et d’hypnothérapeute. Un chemin semé d’embûches, car se reconvertir n’est pas toujours facile (à lire : https://www.charlottevallet.fr/faut-il-sans-cesse-courir-apres-le-bonheur/), mais que je ne regrette pas !

    Grâce à ces pratiques et des outils précis que je mets en oeuvre au quotidien pour les autres dans mon métier, j’ai aussi appris à prendre soin de moi, en respirant, et en prenant un maximum de recul par rapport au quotidien souvent fort éprouvant et agressif.

    J’ai réussi à concilier ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Et j’ai surtout mis en pratique, à titre personnel, ce que je proposais à mes patients.

    Raison pour laquelle, le lundi n’a plus jamais été une journée désastreuse. Même si, je vous l’accorde, je suis bien plus fatiguée le lundi que les autres jours de la semaine.

    Lundi et fatigue

    Mais pourquoi le lundi est-il perçu comme tel ?

    Une étude a été menée aux États-Unis dans le but de comprendre pourquoi le lundi avait une si mauvaise réputation, et pourquoi l’être humain subissait cette journée avec tant de difficultés.

    3 000 personnes ont été interrogées et 30% des personnes interrogées ont déclaré que la nuit du dimanche au lundi était souvent une nuit plus courte au cours de laquelle, elles avaient du mal à trouver le sommeil. Le réveil est alors plus difficile que les autres jours, et l’envie de repousser l’heure du lever est inévitable.

    En réalité, notre vie est différente le week-end, ce qui crée une sorte de “jet lag”, au même titre que lorsque nous rentrons de voyage.

    Le week-end, nous nous octroyons des nuits peut-être plus longues, mais nous nous couchons également plus tard. L’alimentation est aussi un peu différente à cause des sorties, et on se permet bien souvent des plats plus copieux et plus gras.

    Le corps se dérègle et ne comprend plus rien. À cela s’ajoute le stress du premier jour de travail, stress d’autant plus important que vous ne l’aimez pas.

    Savez-vous que “près de la moitié des salariés (48,4%) considèrent leur travail satisfaisant mais sans plus, selon un sondage réalisé par l’institut GFK pour le site d’offres d’emploi Monster.fr”. Il y a donc un réel problème, en France, quant au bien-être au travail.

    Il est alors plus difficile d’aller au travail après un week-end de festivités et d’affection envers les activités réalisées surtout lorsque l’on n’aime pas son job.

    Lundi et fatigue

    Savez-vous que le mardi est pire que le lundi ?

    Mais il serait intéressant d’arrêter de pointer du doigt le lundi, car, croyez-le ou pas, le mardi est souvent un jour plus pénible que le lundi.

    Le lundi, nous avons encore en tête les moments festifs que nous venons de passer. Et puis, nous nous sommes souvent reposé durant le week-end ! (pas pour tous, je vous l’accorde) !

    Le mardi représente finalement le véritable début de la semaine, avec la prise de conscience de toutes nos responsabilités.

    Comment combattre ses pensées négatives ?

    Quoi qu’il arrive, il faut impérativement réussir à s’enlever de la tête toutes nos idées négatives, de façon à vivre le lundi comme si vous étiez un poisson dans l’eau.

    Et cela commence par une grosse dose d’amour et de gratitude envers soi-même. Vous ne pouvez pas attendre des autres qu’ils vous apportent un amour inconditionnel, en l’occurence soyez en sûr, on est jamais mieux servi que par soi-même.

    Débutez alors la journée du lundi en :

    • Respirant, en fermant les yeux
    • En vous étirant
    • En vous plongeant dans une méditation pleine conscience
    • Suivie d’un petit déjeuner vitaminé / protéine

    Ce que je conseille très souvent à mes patients, c’est de venir en consultation, le lundi matin, pour bien commencer la semaine.

    La sophrologie et l’hypnose sont deux très bonnes méthodes pour se relaxer et prendre du recul.

    Je serai bientôt sur Doctolib, mais en attendant, n’hésitez pas à me contacter par le biais de ce blog si vous souhaitez une consultation.

    Lundi et fatigue

    8 bonnes raisons d’aimer profondément le lundi

    Voici quelques raisons d’apprécier enfin le lundi :

    1. Le lundi représente le début de semaine, donc aussi un “commencement”. Ce qui signifie que vous allez vivre de nouvelles aventures. Un peu comme l’été, ou le mois de septembre, ou un retour de vacances, le lundi est un moment charnière pour commencer quelque chose de nouveau. Entreprendre, se mettre en couple, divorcer, s’inscrire à un atelier sur le culot…
    2. Le lundi, il y a les “lundi philos” de Charles Pépin lien par ici . Charles Pépin propose des sujets philosophiques traités sous un angle existentiel et concret en y apportant des réponses engagées avant d’être soumises au débat. Très intéressant.
    3. Le lundi, c’est aussi un renouveau pour les sites d’actualités et les blogs. De nouveaux récits et informations sont en ligne. Nous pouvons alors nous informer autrement.
    4. Le lundi, c’est un vrai test de la passion sur nous-même. Nous sommes mis à l’épreuve sur notre vie et sur notre passion pour notre travail. Si vous allez au travail à reculons, avec cette fameuse boule au ventre dont je vous parlais au début de cet article, c’est que votre quotidien est à remettre en question. Le lundi doit être constructif et évolutif, et ne doit pas vous faire ruminer.
    5. Tous les lundis soirs, il y a de nouveaux épisodes de séries sur TF1, et malgré la mauvaise réputation de cette chaîne, vous en deviendrez bien trop vite accro.
    6. Le lundi, on a beau être très fatigué, on est aussi très bavard. Ce qui est fort agréable, c’est de pouvoir raconter à nos proches nos histoires du week-end.
    7. Le lundi, c’est un jour exceptionnel si vous êtes amoureuse de votre patron. Et que vous allez ENFIN le revoir, après un week-end qui fut, dans ce cas, bien long.
    8. Pour tous les fans de Cloclo, c’est aussi le moment de chanter “Le lundi au soleil”, et souvent sous la pluie… Quelle originalité !

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

  • Faut-il sans cesse courir après le bonheur ?

    Faut-il sans cesse courir après le bonheur ?

    Soyez heureux, comment trouver le bonheur, etc., etc.…  Le bonheur est à la mode !

    Dans un monde pourtant de plus en plus violent, et de plus en plus individualiste, il semble que le bonheur soit pourtant quelque chose de facilement accessible. Même au travail ! Certaines sociétés recrutent désormais des Chief Happiness Officer (CHO), qui sont des responsables du bonheur.

    Il faut être heureux avec ses proches, heureux au travail et même heureux avec soi-même. Et quand je dis, il « faut », je choisis volontairement ce mot. Être heureux est presque une obligation !

    Et croyez-le ou pas, il paraît même qu’il existe des recettes pour trouver le bonheur. Des retraites de Yoga, des séminaires de travail, des livres, des millions d’articles sur le net, des milliards de photos et de citations sur instagram ou sur Facebook…

    Mais comment s’y retrouver ? D’abord, qu’est-ce que le bonheur ? Faut-il se fier à tout ce que l’on lit ou voit ? Y a-il un bonheur universel ?

    Tout d’abord, qu’est-ce que le bonheur ?

    Je me suis souvent posée la question. Et c’est aussi un sujet de discussion qui peut être très animé lorsque l’on en discute entre amis.

    C’est en effet, une notion très difficile à définir, et de nombreux philosophes et écrivains se sont essayés à en donner une définition… faisant l’objet de livres entiers. C’est pour dire que ce n’est pas facile de résumer en une ligne ce qu’est le bonheur.

    Mais si l’on se réfère au dictionnaire, le mot bonheur se définit comme : un état de complète satisfaction. C’est déjà un bon départ pour en parler.

    Un état de complète satisfaction… Avouons que ça fait rêver.

    Mais si l’on y réfléchit vraiment, il est clair que le bonheur, selon cette définition, est inaccessible. Quelle que soit notre situation, personne n’est jamais vraiment satisfait de ce qu’il a. C’est la nature même de l’homme qui veut cela. On a tous tendance à en vouloir toujours plus.

    Aussi, soyons clair. Le bonheur, tel qu’il se définit, est quelque chose d’inatteignable surtout dans nos sociétés occidentales qui nous poussent à être d’éternels insatisfaits.

    En revanche, si l’on se réfère à ce qu’il se dit, certains l’ont atteint. Il s’agit des moines tibétains ou des bouddhistes, qui ont appris à renoncer à tout.

    La clé du bonheur résiderait-elle dans la renonciation ?

    Mais encore faudrait-il s’assurer qu’ils sont vraiment heureux. Je ne connais personnellement aucun moine tibétain dans mon entourage.

    Mais revenons chez nous, et soyons réaliste, mais surtout soyons moins ambitieux.

    Ce qu’il faut, c’est tendre vers le bonheur, et plus particulièrement tendre vers SON bonheur. Se poser les bonnes questions, et trouver ses propres bonnes réponses. Mais en général, le problème, c’est que l’on se laisse influencer par ce que l’on nous « vend ».

    Et c’est pour cela que c’est, pour certains très difficile d’être heureux.

    Mais pourquoi est-ce si difficile d’être heureux ?

    Si tant d’efforts sont menés pour nous conduire vers ce sacré bonheur, c’est qu’il y a un public prêt à investir de son temps et de son argent pour y parvenir. Et effectivement, la quête du bonheur se vend bien.

    Mais c’est aussi en grande partie parce que l’on nous vend du rêve. Ou que l’on ne fait croire que le bonheur, c’est être riche, de s’offrir maison de luxe, des séjours sur des îles paradisiaques, etc., etc. Et bien sûr, tout ceci avec un corps parfait, digne d’une barbie. Même lorsque nous sommes enfants, on nous fait croire aux contes de fées. Tout est toujours beau et se termine toujours bien.

    On nous vend du rêve, des illusions, et cela depuis notre plus tendre enfance.

     

    Nous sommes formatés à penser que le bonheur existe, et qu’il faut passer sa vie à se battre pour obtenir une vie parfaite.

    Ce qui crée, par ailleurs, des tensions entre les gens, de la jalousie, de la haine. Le contexte social actuel en est la preuve.

    Autre conséquence, le mal-être et le nombre grandissant de dépressions. Combien de gens sombrent dans la dépression ou dans d’autres maladies psychiatriques, car ils ont une image déformée d’eux-mêmes. Une image qui les font se sentir inférieurs, moins bien que…, ou alors parce qu’ils vivent en porte à faux avec ce qu’ils sont vraiment.

    J’ai une amie qui a été poussée par ses parents à faire de longues études. Objectif : gagner de l’argent plus et toujours plus. Pour eux, l’argent, c’est la clé du bonheur. Mais elle, elle voulait faire du théâtre, et en vivre. Elle a pourtant fait un bac +7, et elle gagnait 8 000 € par mois à 28 ans. Mais, parallèlement se développait un mal insidieux en elle, et ce depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, à 30 ans, elle pèse 38 kg. Elle est anorexique et ne peut plus travailler…

    Comment réussir à être le plus heureux possible ?

    Je n’ai malheureusement pas de recette magique. Juste quelques éléments de réponse qui, pour ma part, contribue à mon bonheur. Les voici.

    Être en accord avec soi-même

    À mon avis, une première façon d’être heureux, c’est d’être en accord avec soi-même. Et pour cela, oui, il faut se battre. Si je prends mon exemple (et croyez-moi, je n’ai pas trouvé le bonheur et l’épanouissement absolu…loin de là), j’ai travaillé des années dans le marketing, alors que ça ne plaisait pas du tout. Me lever le matin pour travailler était devenu une véritable corvée, au point d’en avoir une boule au ventre et plus aucun repères. Je vous parle de vrais repères, ce qui signifie respecter vos envies, vos besoins et ce que vous êtes.

    J’ai alors pris la décision de changer. D’être en accord avec ce que j’avais vraiment envie de faire. J’ai tout lâcher. Je suis partie faire un tour du monde avec mon sac à dos, et quand je suis revenue, j’ai pris la décision de tout faire pour faire le métier que j’aime. Ce tour du monde fût l’expérience la plus difficile de ma vie car je me suis retrouvée avec moi même et face à mes réels besoins.

    En rentrant, j’ai fait des formations à gogo, j’apprends beaucoup des autres, je m’appuie sur des mentors que j’admire et j’ai fini par monter mon entreprise. C’est le début et je sais que j’ai enfin trouvé ma voix.

    Et voilà. Je me lève enfin de bonne humeur !! Et même si ce n’est pas toujours facile, car la vie d’entrepreneur est une difficulté à elle toute seule, j’aime ce que je fais. Et ça contribue à mon bonheur.

    Petite anecdote : hier, je travaillais dans un Starbuck, et je me suis mise à discuter avec mon voisin de table (j’ai cette capacité à parler avec tout le monde, et souvent dans des circonstances assez improbables (rires)), et ce monsieur m’a posé la question: “Pourquoi avoir quitté la sécurité pour vivre un rêve parfois un peu idéaliste ?”.

    Monsieur d’une soixantaine d’années qui ne comprend pas “encore” l’évolution du travail chez nous les jeunes mais avec lequel j’ai pris un malin plaisir à échanger. Ce fossé des générations m’étonnera toujours et est si intéressant après tout (ça me fait penser à une idée d’article).

    Je lui ai simplement répondu : “je préfère avoir le sourire dans une vie “bohème” qu’un mal-être profond dans une vie qui parait plus normale aux yeux de tous. De plus la normalité n’existe plus et  je vivrais toujours ma propre normalité et non pas celle des autres.”

    Il m’a regardé assez chaleureusement en me répondant “vous avez tout à fait raison”.

     

    e culte du bonheur est-il réel ?

    Ne pas se comparer aux autres – Savoir se contenter de ce que l’on a

    Un des grands dangers dans la recherche du bonheur, c’est également de se comparer aux autres. Vouloir être mince comme Angelina Jolie, vouloir un appartement plus grand que sa copine, vouloir le dernier IPhone pour épater la galerie. Les exemples ne manquent pas.

    Cette course à être « toujours plus » et « toujours mieux » que l’autre est toujours vouée à l’échec.

    On trouvera toujours quelqu’un qui aura plus que nous. Vivre ainsi, c’est vivre dans une éternelle insatisfaction. C’est un combat perdu d’avance, d’autant que lorsque l’on vit comme cela, on ne profite même pas de ce que l’on a.

    Il faut donc apprendre à se comparer à ceux qui ont moins, et pas à ceux qui ont plus. Je sais c’est facile à dire, mais c’est tellement vrai !

     

    Se fixer des objectifs atteignables et se donner les moyens de les atteindre

    Que ce soit dans sa vie personnelle ou professionnelle, le bonheur passe aussi par une bonne connaissance non seulement de ce que l’on veut mais aussi de ses limites. Se fixer des objectifs surdimensionnés ne sert à rien, qu’à vivre des déceptions encore plus grandes.

    Si dans votre vie amoureuse, vous attendez le prince charmant, beau riche et intelligent, vous n’êtes pas là de le rencontrer. Et vous risquez fort d’être seule un long moment. Il faut savoir être réaliste et prendre les gens tels qu’ils sont, et pas tels que nous voudrions qu’ils soient. Il faut également faire l’effort de le chercher. En général, il ne frappe pas à la porte…

    Dans la vie professionnelle, et je vous en ai déjà parlé plus haut… il est essentiel de faire un métier qui nous plaît. On y passe au moins 8 heures par jour, si ce n’est plus avec le transport… Alors même s’il on a fait « une erreur de jeunesse », on peut très souvent la réparer si on le veut vraiment.

    En tout cas, faute de ne pas être vraiment heureux, on peut tous mettre en place des actions qui nous rendront moins malheureux.

    Conclusion

    Il n’y a pas qu’un seul bonheur. La vie est une somme de petits bonheurs qu’il faut savoir apprécier aux moments où ils sont là.

    Chacun est maître de son destin, et est responsable en grande partie (pas toujours, je vous l’accorde), de ce qu’il fait.

    Ce qu’il faut aussi retenir, c’est que nous avons tous une vision différente du bonheur. Le point commun reste qu’il faut être en accord avec soi-même et surtout savoir apprécier ce que l’on a. Que l’on soit d’accord ou pas, l’inverse est encore plus vrai. Plus on est en désaccord avec ce que l’on est, plus on souffre.

    En effet, beaucoup de gens ont beaucoup de choses et pourtant, ils ne sont jamais vraiment heureux. Il suffit de regarder toutes ces stars telles que Amy Winehouse ou Avicii qui semblaient avoir tout : talent, argent, amour… et qui ont fini par se suicider. En fait, ils avaient tout mais leur vie ne leur plaisait pas. L’un comme l’autre avait envie d’une vie paisible, et se sont forcés à vivre en porte à faux avec leur vraie personnalité.

    Le bonheur est donc avant tout la mise en adéquation entre ce que l’on a envie de vivre et ce que l’on vit. Plus on s’en approche, plus on est heureux.

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

     

  • Le sport, cette merveille !

    Le sport, cette merveille !

    Il y a encore 10 ans de cela , lorsque j’entendais le terme « sport » , j’avais des frissons. De réels frissons bien présents ! Je n’étais pas une très grande sportive à l’adolescence; ce genre de fille qui faisait tout pour être « malade » le jour de l’EPS. Vous souvenez-vous de cette pratique au collège ? Éducation, Physique et Sportive … voilà ce que ces initiales signifient et je viens de les comprendre.

    Pour moi le sport représentait juste une activité désagréable, dans laquelle il fallait se surpasser. Et à cet âge, rares sont les jeunes qui apprécient se surpasser. Du coup , un peu à la traîne, je n’étais pas à la pointe de l’information sur les sujets sportifs.

    J’avais juste besoin de calme et de facilité , comme beaucoup de jeunes « ingrats ».

    Sport

    Prise de conscience

    Les années ont passé, les responsabilités ainsi que certaines souffrances de vie se sont intensifiées et c’est à ce moment là que j’ai ressenti que j’avais de l’énergie en moi à dépenser. Une boule d’énergie et de furie. Hyper active, et nerveuse sont deux termes qui me caractérisaient bien. Je démarrais au quart de tour dans tout. J’agissais avant de réfléchir constamment.

    A l’âge de 19 ans, une de mes amies m’a conseillé que nous fassions de « la gym suédoise » ensemble.

    Elle me dit avec beaucoup d’aisance « C’est un sport ouvert à tous, quel que soit son âge ou sa condition physique. Pas besoin d’avoir un passé d’athlète pour s’y mettre. Il suffit de choisir un cours d’intensité légère comme le cours “basic” si l’on commence ».

    En effet quand je suis arrivée là-bas pour la première fois, j’ai remarqué qu’il y avait des personnes de tous les horizons et de tous les âges. Ça m’a conforté dans l’idée que ce premier cours allait être agréable.

    A la Gym Suédoise, c’est la bonne humeur qui prime. Il n’y a pas de compétition, ni même de personnes qui se regardent entre elles. Tous les participants se mettent en cercle, et regardent attentivement l’animateur qui se situe au milieu pour suivre ses mouvements. Ce sont des mouvements qui allient cardio, renforcement musculaire, stretching et respiration.

    On attend pas des débutants qui reproduisent ces mouvements à la perfection.  « Tant mieux » me suis-je dit à plusieurs reprises.

    Premier cours achevé… j’ai ADORÉ !!

    Résultat des courses : j’y suis allée à hauteur de quatre fois par semaine durant un an , et c’est à ce moment là que je me suis rendue compte que j’étais devenue accro au sport.

    Finalement, j’adorais le sport, mais je l’ai su tardivement. Je n’ai jamais été cette petite fille accroc à la danse, ou au tennis étant petite.

    Mais avec l’âge, c’est devenu rapidement une vraie passion ! Et surtout un vrai besoin !

    Sport

    Habitudes sportives quotidiennes

    Depuis cette période, je fais du sport entre quatre et six fois par semaine. Ça fait partie intégrante de mon quotidien.  Je n’arrive plus à m’en passer. Certaine personnes ressentent le besoin de voir du monde chaque jour, détestant la solitude; quant à moi je ressens le besoin de faire du sport chaque jour détestant le fait de me laisser aller.

     Voici les salles dans lesquelles j’ai déjà été inscrite; il ne s’agit que de chaînes.

    • Club Med Gym : salles de sports de quartiers, agréables et surtout « belles ».
    • Club Med Gym Waou : c’est le même principe que le Club Med Gym basique avec une qualité supérieur ++. Une salle de sport de qualité, très propre et qui sent booon. En l’occurrence , un peu chère au vu des prestations proposées. Il n’est pas nécessaire de mettre un tel prix par mois pour une salle de sport.
    • Les Cercles de la Forme : c’est ma salle du moment , et j’en suis très satisfaite. Il y a une panoplie de cours de sports avec des professeurs de qualité. Les salles sont simples, propres, avec le matériel nécessaire.
    • Fitness Park : salles aux prix battants toute concurrence. Pas de cours collectifs , uniquement des écrans en guise de « cours ». Ce sont des salles plutôt bien, si vous ne souhaitez pas être encadré durant votre entraînement.

    sport

    Mon programme

    Je n’ai pas de programme défini chaque jour. J’ai surtout des pratiques sportives de prédilection. J’essaie de changer de routine sportive régulièrement de façon à ne pas habituer mon corps à une seule activité.

    Voici mes sports préférés :

    TRX : le TRX est une discipline sportive originale, durant laquelle on effectue une série d’exercices en suspension, à l’aide de sangles. C’est la pratique sportive que je préfère pour réussir à me gainer.

    Cross Fit : le Crossfit est pratiqué dans le monde entier par les pompiers, les militaires ou les sportifs de haut niveau.C’est un entrainement croisé avec tout plein d’exercices en duo et à la suite. Vous vous sentirez vidé après chaque séance, mais si bien à la fois.

    Body Pump : BODYPUMP est pour toutes les personnes qui souhaitent s’affiner, se tonifier et se remettre en forme – rapidement. En faisant un grand nombre de répétitions avec des poids légers à moyens attachés sur une barre. C’est un sport assez complet pour se muscler de partout.

    RPM : le RPM est un cours de Fitness  pratiqué sur un vélo en salle très largement inspiré du cyclisme extérieur. Si vous aimez la cardio, foncez-y. Vous perdez en moyenne 675 calories/ l’heure. Améliore la capacité cardio vasculaire, l’endurance et la force.

    Action Sport : bon pour être honnête avec vous, il s’agit des nouveaux concepts sportifs « chers ». Tout comme le Dynamo Cycling ou l’aquabiking, c’est un vrai budget. 40 euros la séance, pour au final 20 minutes de sport. Vous n’avez pas besoin de ce sport dans une routine hebdomadaire, mais il faut l’avouer que les résultats sont impressionnants. Une nouvelle façon de vous tonifier/renforcer. Condensez une semaine d’entraînement en seulement 20 minutes avec les séances action sport.

    Exercices maison : abdos/fessiers, poitrine/ bras / dos

    Pour les exercices maison , j’ai téléchargé une application qui s’appelle « Entraînement », qui est vraiment facile d’utilisation.  Auparavant j’adorais aussi suivre les cours et les conseils de « Gym Direct » sur YouTube. Ce sont des entraînements très complets.

    Comme quoi il n’y a pas besoin de dépenser beaucoup d’argent pour le bien être physique. Le sport n’est pas une pratique excessive. Il suffit d’enfiler une paire de baskets en bon état, et de partir courir en pleine nature.

    Effets sur le corps

    Il existe différents types de morphologies :

    • Ectomorphe : vous avez du mal à prendre du poids
    • Mésomorphe : vous grossissez ou maigrissez assez facilement
    • Endomorphe : vous grossissez facilement et vous avez du mal à perdre du poids

    Je fais partie de la première catégorie. J’ai du mal à prendre du poids, mais j’ai aussi du mal à prendre en muscles.

    Raison pour laquelle je fais du sport aussi régulièrement, au quel cas je peux être amenée à maigrir facilement (alors que je mange beaucoup).  Le sport me permet de prendre des muscles et de conserver de la masse.  Aujourd’hui, avouons-le, les formes c’est la vie !

    De façon plus précise, le sport m’aide surtout à :

    – mieux dormir 

    – avoir une meilleure circulation du sang 

    – me tenir plus droite en musclant mon dos 

    – avoir une peau plus lumineuse avec des porcs resserrés

    – avoir des fesses galbées 

    – Avoir le ventre moins ballonné 

    – Garder des bras fins 

    – être plus joyeuse 

    – être plus moi même

    Dans ma routine sportive je rajoute aussi de façon régulière un bon massage palper rouler, (vous avez les contacts de mes masseuses dans la catégorie « bonnes adresses »), et des séances de sauna (3 x 15 minutes après une bonne séance sportive) ainsi que des douches gelées.

    Le sport devrait être une pratique régulière pour améliorer de nombreux maux mentaux et pas uniquement physiques. Je vous le conseille fortement

    Les bienfaits sdu sport sur notre corps et notre mental

     

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  • Croisement entre aptitudes et appétences 

    Croisement entre aptitudes et appétences 

     Paraît-il que le bonheur dans son travail, et même plus encore dans son quotidien, se situe dans le croisement entre les aptitudes et les appétences que nous avons tous, êtres humains. De nombreuses personnes ont des aptitudes bien définies (des compétences) dans un domaine en particulier, mais peu d’appétences dans ce même domaine (aimer faire et reproduire cette action) ; et l’inverse existe aussi. A ce moment-là cette cassure peut créer de nombreuses frustrations.  Il faudrait alors trouver dans l’idéal un univers de travail qui conjuguerait les deux. De façon générale, une personne très passionnée par son travail, arrive à lier aptitudes et appétences. Un descriptif plus concret de ces deux termes pour mieux comprendre 

    Aptitudes

    Il s’agit une disposition naturelle ou acquise d’une personne à faire quelque chose.

    Pour exemple :

    • Capacité à travailler seul
    • Ponctuel
    • Polyvalent
    • Facilité à répondre à un besoin d’un groupe
    • Facilité à calculer très rapidement
    • Facilité à être fiable
    • Sociable
    • Aptitude pour le service à la clientèle
    • Bonne endurance physique
    • Capacité de synthèse et d’analyse
    • Facilité à motiver les autres
    • Facilité à analyser le potentiel des individus
    • Facilité à susciter à susciter la communication
    • Facilité à accepter des points de vue différents
    • Respect des délais
    • Organisation …

    Aptitudes et appétences

    Appétences

    Il s’agit d’un désir instinctif et non réfléchi qui penche vers ce que l’on aime et uniquement ce que l’on aime;

    Aptitudes et appétences

    • Aimer cuisiner
    • Aimer se sentir libre et indépendant
    • Aimer la routine
    • Aimer manger
    • Aimer faire des synthèses écrites
    • Aimer la danse
    • Aimer être entouré
    • Aimer travailler en équipe
    • Aimer la hiérarchie …

    Aptitudes et appétences

    Pourquoi est-il important que de le comprendre ?

    Il est extrêmement important de comprendre ces deux termes et se demander à quel endroit vous vous situez. Si une personne a une aptitude à travailler seule et à être organisée, il sera compliqué de se plaire dans un univers d’équipe où les collègues sont désorganisés. De même si une personne a pour aptitude d’être dans la communication et se retrouve avec un binôme peu sociable et peu communiquant.

    Problématique : Il est possible qu’une personne ait des aptitudes qui rentre en cohérence avec les valeurs de l’entreprise, mais n’ait pas d’appétences pour le domaine de l’entreprise.

    Exemple : j’aime le marketing opérationnel, mais je n’aime pas la cause pour laquelle mon entreprise s’engage (la cigarette).

    Aptitudes et appétences

    Il faut bien réfléchir à tout cela et se poser les bonnes questions afin que “aptitudes” et “appétences” soient corrélées.

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue