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  • Une approche captivante : l’hypnose spirituelle pour un bien-être profond

    Une approche captivante : l’hypnose spirituelle pour un bien-être profond

    L’hypnose spirituelle t’ouvre la porte d’un voyage unique, entre introspection et transformation. Et si tu pouvais explorer les dimensions cachées de ton être pour apaiser tes blessures et retrouver un alignement intérieur ?  Découvre cette méthode douce et puissante pour reconnecter ton corps, ton esprit et ton âme.

    Hypnose spirituelle : une exploration de l’âme pour un bien-être profond

    As-tu déjà eu cette sensation qu’il y a plus à découvrir en toi que ce que ton esprit conscient te permet d’accéder ? Comme si une partie de toi, plus profonde, plus spirituelle, détenait des réponses sur tes émotions, tes blocages ou même ton chemin de vie ? C’est ici qu’intervient l’hypnose spirituelle : une méthode puissante et introspective qui te connecte à ton essence, ton âme, et à des dimensions de toi que tu n’as peut-être jamais explorées.

    Loin des clichés ou des pratiques mystiques, l’hypnose spirituelle est un soin de l’esprit qui allie profondeur et sérénité. Elle te permet d’explorer les parties cachées de ton inconscient, d’apaiser des blessures émotionnelles et de retrouver un alignement avec toi-même.

    Qu’est-ce que l’hypnose spirituelle ?

    L’hypnose spirituelle va au-delà des techniques classiques d’hypnose qui se concentrent souvent sur des problèmes spécifiques comme le stress, les phobies ou les dépendances. Ici, il s’agit de te connecter à une dimension plus subtile de ton être. Guidée par un praticien, tu entres dans un état modifié de conscience, un espace où ton esprit conscient et inconscient se rencontrent pour explorer tes mémoires, tes émotions, et parfois même des vies antérieures ou des blessures ancestrales.

    Cette pratique repose sur l’idée que ton esprit n’est pas limité à ce que tu vis ici et maintenant. En plongeant dans cet état d’introspection, tu accèdes à des informations qui peuvent t’aider à mieux comprendre tes blocages, tes peurs et tes aspirations profondes. L’objectif n’est pas seulement de guérir, mais aussi de t’aider à avancer avec plus de clarté et d’harmonie.

    Les bienfaits de l’hypnose spirituelle

    L’hypnose spirituelle agit comme un accompagnement global, alliant soin de l’esprit et transformation personnelle. Voici ce qu’elle peut t’apporter :

    • Libération des blocages émotionnels : Que ces blocages proviennent de ton passé récent ou d’émotions plus anciennes, l’hypnose spirituelle t’aide à les identifier et à les relâcher.
    • Une meilleure compréhension de toi-même : En te connectant à ton inconscient, tu explores tes motivations, tes aspirations profondes et tes vérités intérieures.
    • Apaisement des blessures profondes : Certaines blessures, qu’elles soient émotionnelles ou spirituelles, peuvent peser sur ton bien-être sans que tu en sois pleinement consciente. L’hypnose spirituelle agit comme un soin de l’esprit pour apaiser ces tensions.
    • Reconnexion avec ton chemin de vie : Si tu te sens perdue ou en quête de sens, cette pratique te permet de retrouver une direction alignée avec qui tu es vraiment.
    • Un ancrage dans le présent : Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’hypnose spirituelle ne te détache pas de la réalité. Au contraire, elle te permet de vivre le moment présent avec plus d’intensité et d’authenticité.

    Hypnose spirituelle et vie quotidienne : un pont entre l’âme et le concret

    Ce qui rend l’hypnose spirituelle si puissante, c’est sa capacité à lier le subtil et le concret. Après une séance, tu ne te contentes pas de comprendre ce qui bloque ou ce qui te freine. Tu repars avec des clés, des outils pour intégrer ces prises de conscience dans ta vie de tous les jours.

    Imagine être capable de mieux comprendre pourquoi certaines relations te perturbent, pourquoi tu ressens certaines peurs, ou encore ce qui t’empêche de t’épanouir pleinement. Cette clarté, tu peux la transformer en actions concrètes, en décisions alignées avec tes valeurs et ton essence.

    Qui peut bénéficier de l’hypnose spirituelle ?

    L’hypnose spirituelle s’adresse à toutes celles qui cherchent à mieux se connaître, à guérir des blessures émotionnelles ou à retrouver un alignement intérieur. Tu n’as pas besoin d’être spirituelle ou d’avoir des croyances particulières pour en profiter. Ce soin s’adapte à tes besoins et à ton chemin personnel, qu’il soit émotionnel, mental ou énergétique.

    Elle est particulièrement bénéfique si tu :

    • Traverses une période de doute ou de transition.
    • Ressens un blocage émotionnel ou spirituel que tu ne parviens pas à surmonter.
    • Cherches un sens plus profond à ta vie.
    • Es attirée par l’idée d’explorer des mémoires ou des dimensions inconscientes de toi-même.

    Une séance d’hypnose spirituelle : à quoi t’attendre ?

    Une séance commence toujours par un moment d’échange où tu partages tes attentes, tes questions ou les blocages que tu ressens. Ensuite, guidée par la voix du praticien, tu entres dans un état de relaxation profonde. Cet état, proche de la méditation, te permet d’accéder à des zones de ton inconscient que tu ne touches pas habituellement.

    Pendant la séance, tu peux ressentir des émotions, visualiser des scènes ou simplement te connecter à des sensations subtiles. Chaque expérience est unique et adaptée à ton cheminement. L’objectif est toujours de t’aider à libérer ce qui ne te sert plus et à avancer avec plus de clarté et de sérénité.

    Pourquoi choisir l’hypnose spirituelle comme outil de transformation ?

    Parce qu’elle agit sur tous les plans : physique, émotionnel et spirituel. C’est un véritable coaching pour ton âme, un accompagnement profond qui te reconnecte à ton essence. Contrairement à d’autres approches, l’hypnose spirituelle ne cherche pas à “fixer” un problème, mais à t’aider à comprendre son origine pour mieux le transcender.

    Prête à explorer ton essence ?

    Si tu ressens cet appel à mieux te connaître, à libérer ce qui te pèse et à avancer avec plus de sérénité, l’hypnose spirituelle est faite pour toi. C’est un cadeau que tu t’offres, un moment où tu peux te recentrer et te reconnecter à ta vérité intérieure.

    Découvre mes prestations ici : Hypnose spirituelle et bien-être

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    Agis maintenant : ta vie ne t’attendra pas

    Tu peux continuer à trouver des excuses, ou tu peux agir. C’est aussi simple que ça. Si tu es prête à changer, à sortir des schémas qui te bouffent et à créer une vie qui te ressemble vraiment, je suis là pour toi. Mais le premier pas, c’est toi qui dois le faire.

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  • COMMENT BOOSTER SON IMMUNITÉ ?

    COMMENT BOOSTER SON IMMUNITÉ ?

        Suite à la crise sanitaire due à l’apparition d’un virus (COVID19), il est nécessaire de booster son immunité.

       Plus on avance sur notre âge, plus notre immunité baisse à cause de la diminution de production de nos cellules immunocompétentes  qui sont nécessairement des macrophages et qui servent à s’organiser pour défendre notre corps contre des organismes extérieurs, à titre d’exemple : les microbes.

        Malheureusement, il n’y a pas un traitement pour booster son immunité. En revanche, il y a des astuces et des conseils pour renforcer ses défenses immunitaires.

        Pour toute personne qui présente des symptômes de faiblesse immunitaire devrait d’abord se pencher sur son mode de vie et éviter tous des éléments qui affaiblissent le système immunitaire, à savoir : le manque de sommeil, beaucoup de stress, la pollution de l’environnement (les relations toxiques), le tabagisme, etc..

          L’alimentation saine et bio est un facteur très important dans la santé du système immunitaire. En effet, il faut absolument opter une alimentation équilibrée, variée et adaptée selon chaque saison et qui contient des protides, glucides, lipides, ainsi les apports d’aliments fibreux, tels que les légumes, fruits et céréales.

         Dormir suffisamment (au moins 7 à 8 heures) aide à réparer l’organisme et à produire des enzymes, des hormones et des globules blancs. C’est pourquoi que les nuits blanches ont un impact néfaste sur la santé voire aussi le système immunitaire.

        Naturellement, le stress brusque l’immunité parce que le système immunitaire est en relation étroite avec le psychisme et le comportement de l’humain. C’est pourquoi qu’il est préférable d’éviter tous les conflits relationnels qui altèrent d’une manière directe le fonctionnement de votre immunité.  

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

    J’ai aussi un podcast qui s’appelle “Combattantes” que vous pouvez trouver sur Deezer , Sportify, Soundcloud et Apple Podcasts.

  • Comment se débarrasser des kilos émotionnels grâce à l’hypnose ?

    Comment se débarrasser des kilos émotionnels grâce à l’hypnose ?

    D’où viennent-ils ?

    Vous avez multiplié les régimes , les cures détox, et les salles de sport ? Mais vous continuez à faire Yo-Yo avec votre poids ? Et si ces petits kilos en trop n’étaient pas seulement dus à une mauvaise hygiène alimentaire ? Et, si vos mauvaises habitudes, ou vos petits craquages étaient une défense contre des émotions déplaisantes ? Et, si vous vous cachiez simplement derrière ces kilos ?

    Pourquoi ces craquages ?

    Vous avez été au top depuis des semaines , repas équilibré , sport…. Et là le drame !! Vous vous êtes englouti le pot de pâte à tartiner, les cookies restants , et 1 litre de soda. Vous avez honte, et vous vous culpabilisez…. Premièrement un peu d’indulgence avec vous-même, ça fait des semaines que vous aviez entretenu une ligne de conduite exemplaire. Deuxièmement, il est normal et sain de craquer de temps en temps. Il est même recommandé d’avoir un « cheat-day » en période de régime, ou autrement dit un jour où on peut se permettre de manger ce que l’on veut, à fin qu’il soit plus facile de tenir notre diète le reste de là semaine. Troisièmement, identifiez les facteurs extérieurs lors de vos craquages. Étiez-vous stressé ? Fatigué ? Triste ?

    Très souvent face à des émotions négatives nous avons tendance à manger pour se réconforter, et cela remonte au premier stade de notre développement. Quoi de plus rassurant pour un bébé que le moment de la tétée, ou du biberon ? De même si lors d’un chagrin, ou d’une frustration votre mère vous réconfortait à l’aide d’un bonbon, ou, d’un gâteau , vous aurez tendance à répéter ce geste.

    Manger une friandise ou un aliment qu’on aime particulièrement permet de pallier temporairement à l’émotion négative et de produire un sentiment de bien-être sur le moment , mais très souvent provoque honte et culpabilité , c’est pourquoi il est important d’identifier les facteurs qui provoquent ce besoin.

    Les conséquences directes de nos émotions sur notre poids

    Avez-vous déjà entendu parler du « cortisol » ? Cette hormone dérivée de la cortisone joue un rôle essentiel de régulation de fonctions de l’organisme : métabolisme des sucres, défenses immunitaires et inflammation. C’est l’hormone du réveil et de la mise en alerte, autrement dit c’est lui qui permet de supporter les situations de stress. Si vous êtes un(e) stressé(e) chronique, vous produisez certainement trop de cortisol.

    Et trop de cortisols est synonyme de prise de poids : l’organisme bascule en mode « danger », et commence à stocker . Le cortisol modifie le stockage du sucre, réduit la masse musculaire, modifie le stockage de l’eau et des fluides dans l’organisme. Il est directement lié à la prise de masse grasse au niveau de l’abdomen : il augmente le tour de taille, surtout chez les femmes. Ne serait-il pas temps de se mettre en mode Yoga-camomille ?

    Des kilos comme carapace

    Bien que mal dans leur peau certaines personnes ont peur de maigrir. Peur de maigrir ? Et, OUI !! Il y a quelques jours, je suis tombée sur le témoignage d’une femme. Elle racontait sa perte de poids, et comment pendant des années malgré son mal-être , elle était terrorisée par le fait de maigrir. Terrorisée de ne pas se reconnaître, peur d’être face à une inconnue, peur que ça ne lui aille pas. Beaucoup de personnes construisent leur identité autour de ces kilos en trop, comme une carapace.

    Et que ce passe-t-il quand la carapace, n’est plus là ? On se retrouve à nue !! Parfois si l’on n’arrive pas à se débarrasser de ces quelques kilos en trop, car on a tout simplement peur de dévoiler qui on est vraiment.

    Il y a aucun mal à être en chair, tant que ce n’est pas dangereux pour notre santé, et surtout tant qu’on se sent bien dans notre corps. Si au contraire vous ne vous sentez pas bien avec cela, et que vous voulez perdre du poids sachez que l’hypnose peut-être VOTRE solution . En effet, en comprenant votre relation avec la nourriture , l’hypnose pourra la modifier et ainsi vous faire perdre du poids.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_

    Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.

  • Top 7 des bonnes raisons d’arrêter de fumer:

    Top 7 des bonnes raisons d’arrêter de fumer:

    1 – La santé

    Plutôt évident vous me direz, et c’est bien pour cela qu’elle mérite la première place de notre classement. La principale raison de votre arrêt doit être pour votre santé, sans parler des maladies graves dues au tabagisme, la cigarette fait du tort à votre santé au quotidien : hypertension, sensibilité aux maladies respiratoires, favorise le diabète…
    Et n’oubliez pas que chaque cigarette fumée équivaut à 11 minutes de vie en moins…Vous y pensez à deux fois avant de fumer la prochaine, n’est ce pas ?

    2- Sortir de l’addiction

    Même si on a tendance à l’oublier, la cigarette est une drogue et elle engendre donc des comportements addictifs. En effet, au début souvent réservée aux occasions , elle finit par ponctuer les moments de notre journée, et surtout influence notre humeur et notre état de stress. L’addiction sous toutes ses formes est néfaste car elle restreint toujours d’une certaine manière le contrôle qu’on peut avoir sur nos vies.

    3- Retrouvez une condition physique et son souffle

    Quand il s’agit d’aller courir un peu, ce n’est pas très glorieux n’est ce pas ? Et bien bonne nouvelle, c’est un des effets de l’arrêt de la cigarette que vous remarquerez le plus rapidement. Pour les poumons, la récupération intervient très vite, dès le troisième jour vous respirez mieux, car les bronches ne sont plus soumises à la fumée. D’ici 1 mois les, cils bronchiques repousseront, et en 5 ans le risque de cancer diminue presque de moitié.

    4- Donnez une nouvelle jeunesse à votre corps

    Chaque bouffée de cigarette dégage environ 200 000 radicaux libres qui vont directement s’attaquer à la peau, ce qui aura comme conséquence une perte de souplesse, un teint terne et un vieillissement précoce des cellules. A tous ça on y ajoute les cheveux cassants, les ongles, les doigts et les dents jaunis…Pas très ragoûtant !!

    5- Retrouvez un sens disparu : Le Goût !!

    Tout comme pour la respiration, l’arrêt de la cigarette a un effet quasi-immédiat sur notre sens du goût et notre odorat. En effet, dès l’arrêt du tabac, les terminaisons nerveuses des papilles gustatives commencent à repousser et des les premières 48 heures suivantes on peu noter les premières améliorations.

    6- Votre porte-feuille vous dit MERCI

    Le prix du tabac n’a jamais été aussi cher ≈ 10 euros , et d’autres augmentations sont déjà prévus. En faisait un rapide calcule une personne fumant une moyenne de 10 paquets par mois, économisera au moins 1200 euros sur une année. Alors avec cet argent , pourquoi ne pas s’offrir un beau voyage au bout du monde plutôt ?

    7- Votre chéri(e) vous remerciera

    L’odeur du tabac froid coincée dans la barbe ou dans le col de la chemise, pas très appétissant, on est d’accord?
    Il a été prouvé qu’une personne puisse perdre sa libido à votre égard car l’odeur de la cigarette est bien trop présente. Ce qui à terme tuera le couple.
    En arrêtant la cigarette, les disputes sont souvent moins nombreuses ce qui laisse place à un peu de calme entre vous.
    On en a tous besoin.

    Un peu plus convaincus ? J’espère que ce top 7 vous aidera à trouver la motivation nécessaire pour arrêter la cigarette. Sachez que l’hypnose peut-être VOTRE solution, il s’agit en fait de modifier votre perception de la cigarette, et ainsi vous aider à sortir de son emprise.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

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    Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.

  • Cap vers la trentaine : la fleur de l’âge ! Quelles habitudes prendre ?

    Cap vers la trentaine : la fleur de l’âge ! Quelles habitudes prendre ?

    Dernière année dans la vingtaine avant le passage fatidique dans la trentaine ! Certains diront que l’on entre dans la fleur de l’âge mais nous… On en pense quoi ? « Ça fait bizarre », « Hier encore j’avais 20 ans, là je vais vers 40 », « J’ai 30 ans et pas d’enfant »…

    Entre l’insouciance de la jeunesse et l’âge de la maturité, le combat commence. Alors on fait comment ? Pas de panique ! On passe tous par cette période transitoire un jour et, a priori, on survit ! Mais d’après les dires de ceux qui sont passés par là, il y a tout de même quelques petites habitudes à prendre pour vivre au mieux cette trentaine et l’arrivée des cheveux blancs qui vont avec :-).

    La trentaine : coup de blues ? Ou…

    Vous allez avoir 30 ans et, je suis bien placée pour le savoir, c’est l’affolement ! Vos potes se marient, ont déjà un ou deux enfants, une maison avec le chien et le petit jardin… Et vous ? Eh bien vous, vous êtes célibataire, sans enfant, et vous commencez à visualiser ces premières petites rides que vous tentez de gommer quand vous publiez un selfie… L’horreur !

    À 20 ans, on met son argent dans les fiestas du week-end, les billets de train ou d’avion, les dernières baskets à la mode… Et aujourd’hui, à l’approche de la trentaine, c’est plutôt masque pour les cheveux (abîmés par toutes les couleurs que l’on a pu déjà faire), crème de jour supra ultra-hydratante, crème de nuit antirides, et LE paracétamol pour les gueules de bois de lendemains de soirées (chose que je ne connaissais pas il y a encore quelque temps) ! 30 ans ! Moi-même, je n’y crois pas ! C’est un cap… Un cap qui a certes un côté angoissant, mais qui d’un autre, est plutôt excitant.

    C’est un peu comme si l’on refermait le livre de l’adolescence définitivement et que l’on ouvrait le tome II, celui de la femme jeune, active et pleine de projets. Cette femme pour qui tout est à construire, pour qui l’avenir se déroule à l’infini !

    Alors la trentaine est-ce réellement le coup de blues, un coup de déprime ? Pas du tout !

    … Coup de peps ?

    Le cap de la trentaine, c’est à nous de le transformer en coup de peps ! On ne dépend plus des parents (pour la plupart), on a un job et on s’assume financièrement (pour les plus chanceux). On a trouvé notre petit cocon (plus ou moins petit et plus ou moins cocooning), et on profite de tous ces atouts pour enfin vivre la vie dont on rêve depuis toujours. On a enfin la possibilité de faire nos propres choix, de réaliser des projets qui fourmillent par milliers dans notre tête et de vivre le moment présent, tout simplement.

    30 ans, c’est un cap, soit, mais c’est surtout une chance ! Notre indépendance nous permet de vivre de nouvelles expériences, de rencontrer de nouvelles personnes, de voyager, de réaliser de nouvelles activités… d’être en accord avec nous-même !

    30 ans : les astuces pour passer, au mieux, ce cap !

    Comme tout passage dans une nouvelle dizaine, la trentaine fait peur… Alors pour franchir cette étape dans la joie et la bonne humeur, voici quelles astuces :

    • Dites-vous que l’âge n’est qu’un chiffre, rien d’autre
    • Ne vous comparez pas aux autres. Chacun son parcours, chacun son histoire.
    • Fêtez votre anniversaire en organisant une fête mémorable
    • Faites un tableau dans lequel vous indiquez tout ce que vous avez déjà réalisé jusqu’à maintenant et les projets que vous avez pour l’avenir
    • Arrêtez de compter, tous les jours, les petits cheveux blancs et les petites ridules qui apparaissent
    • Faites un bilan de votre peau et de ses besoins et achetez des crèmes adaptées et hydratez-vous bien chaque jour
    • Respectez le rythme de votre corps et dormez suffisamment pour bien récupérer. Mais surtout prenez l’habitude de vous coucher et de vous lever à la même heure tous les jours. Selon les experts, si vous dormez différemment ne serait-ce que quelques jours, vous risquez de dérégler votre horloge interne et vous vous sentirez fatigué plus tard le soir. Évitez-vous une vie de troubles du sommeil en vous forçant à respecter un rituel de coucher et de lever chaque fois que c’est possible.
    • Si vous fumez, arrêtez tout de suite, suggère Cyndi Perlman Fink, écrivain et entrepreneur. Vous ne pourrez pas réparer les dégâts déjà causés mais, selon une étude, le risque de mortalité est moins élevé de 90 % chez les personnes qui abandonnent la cigarette avant 40 ans.
    • Mangez le plus sainement possible en vous faisant plaisir
    • Pratiquez une activité physique régulière pour vous défouler et/ou vous apaiser car passé 35 ans, vous commencerez à perdre de la masse musculaire. Faire du sport devient donc particulièrement important. Mais choisissez toujours une activité qui vous plaît. Si vous optez pour quelque chose qui ne vous convient pas, il est peu probable que vous vous y teniez.
    • Déconnectez-vous des réseaux, des mails, des appels, le plus souvent possible afin de profiter au maximum de l’instant présent !
    • Sortez, profitez, rencontrez de nouvelles personnes
    • Respectez vos priorités, celles qui vous rendent heureux (ses)

    Écouter son corps et se faire du bien n’a pas d’âge !

    30 ans ou plus, il n’y a en réalité pas d’âge pour prioriser son bien-être. Si les priorités changent au fil du temps, votre corps, lui, demande toujours la même chose : que l’on prenne soin de lui.
    Sans que ce soit une prise de tête au quotidien, il est simple de faire du bien à notre corps et à notre esprit. Et pour garder la forme (ou la retrouver), il faut avant tout savoir écouter ce qu’ils ont à nous dire… Eh oui, comme tout, savoir s’écouter s’apprend ! Encore faut-il en avoir l’envie ! Mais alors comment faire me demanderez-vous ? Je vous répondrai qu’il faut d’abord prendre un temps pour se poser réellement et ne rien faire. Installez-vous dans un endroit qui vous rassure, que vous aimez et écoutez votre respiration. Pendant ce moment d’apaisement, fermez les yeux et prenez conscience de tout ce qui constitue votre corps dans son environnement. Sentez vos muscles qui se détendent, votre respiration qui se ralentit et savourez cet instant de bien-être profond.

    Si ces moments sont précieux pour évacuer le stress, s’apaiser et se détendre, ils ne sont pas les seuls. En effet, le bien-être du corps et de l’esprit s’acquiert grâce à une association de plusieurs choses au quotidien, citées précédemment. Mais s’il faut en retenir 5, les voici :

    • Manger sainement
    • S’hydrater
    • Bien dormir
    • Pratiquer une activité régulière
    • Et, s’obliger à se détendre en se recentrant sur soi grâce aux techniques comme le yoga, la méditation, ou encore la sophrologie

    Voilà les clés de votre bien-être. Il n’est pas toujours simple dans nos vies si rythmées de respecter cette liste, mais le but est de l’avoir en tête et de s’en rapprocher le plus possible. Si l’on veut passer au mieux ce cap des trente ans et tous les autres qui suivent, ces points sont la règle d’or à suivre au quotidien. Car en effet, on n’y pense pas vraiment à 30 ans, mais quel que soit l’âge, on a toujours envie d’être plus jeune et d’être en forme ! Et ça se prépare.

    Conclusion

    Fêter… ses 30 ans, c’est un cap, mais avouons que ce n’est pas le pire ! Bien au contraire. On est encore jeunes, pleins d’ambition et de projets. Alors profitons-en ! 30 ans, c’est « le bel âge », « la fleur de l’âge ». Demandez à celles et ceux qui vous entourent s’ils souhaitent revenir à cet âge et vous verrez ! 30 ans, c’est l’âge où tout est réalisable, le commencement d’une vie de tous les possibles, si l’on s’en donne les moyens, bien sûr ! 30 ans, c’est l’indépendance, les voyages, les nouvelles rencontres, la réalisation de soi et de ses nombreux projets ! Avoir 30 ans, c’est normalement le bonheur, alors profitons-en pour vivre pleinement ces belles années qui nous attendent. On garde toutes les petites astuces dans un coin de sa tête, pour vivre au mieux, en harmonie avec son corps et son esprit et on fonce vers l’avenir qui nous attend à bras ouverts !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

  • Comment vaincre la peur du rejet de l’autre ?

    Comment vaincre la peur du rejet de l’autre ?

    « J’ai peur qu’on ne m’aime pas », « Je n’y arriverai pas », « Il ne restera jamais avec moi », « Je suis nulle » Autant de phrases qui tournent en boucle dans la tête de ceux qui ont peur d’être rejetés et qui les paralysent chaque jour un peu plus, que ce soit dans leur vie professionnelle et personnelle.

    Les raisons sont multiples et trouvent souvent leur origine dans des traumatismes durant l’enfance. Les conséquences : un manque d’estime de soi, de confiance, un besoin d’exister à travers l’autre, une hypersensibilité… Et dans notre société du paraître, où plaire aux autres est presque une obligation, ce phénomène a tendance à s’amplifier. Certains en arrivent même à perdre leur personnalité, leur identité. C’est alors un cercle vicieux ! Car on ne peut pas plaire à tout le monde. Et plus on veut plaire, plus on se confronte au rejet de l’autre.

     

    D’où vient cette peur du rejet de l’autre ?

    Pour la majorité d’entre nous, nous naissons entourés de nos parents. Puis, au fur et à mesure que nous grandissons, le cercle s’élargit : professeurs, amis, collègues, simples connaissances… Nous parcourons donc la vie avec ces « autres » qui forment notre propre société. Nous devons donc « vivre » avec l’autre, avancer avec lui, elle, eux… proches de nous ou parfait(e) inconnu(e)…`

    Et si, pour certains, cette vie en communauté n’est pas un problème, voire plutôt une chance, pour d’autres, ce schéma est plus compliqué. Pourquoi ? À cause de certains ressentis qui les rongent : la peur ne pas être conforme à ce que l’autre attend, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur de ne pas être apprécié, la peur de la solitude, la peur d’être rejeté par les autres…

    Cette peur trouve, le plus souvent, son origine au moment de l’enfance. En effet, un enfant abandonné ou délaissé par ses parents aura plus de chance de développer cette peur en grandissant. Les enfants humiliés, battus grandiront également avec un manque de confiance en eux, un sentiment d’infériorité qui pourront entraîner de nombreux troubles dans leurs rapports avec les autres. Mais sans même aller si loin, une autorité excessive conduit quasiment tout le temps un enfant à se construire dans la peur.

    Le sentiment de rejet ou d’abandon peut donc naître très tôt et avoir de nombreuses répercussions plus tard sur nos relations avec les autres. Mais ce sentiment peut aussi se développer dans notre vie d’adulte, suite à un traumatisme ou à un évènement particulier (trahison, divorce, licenciement…).

     

    Comment cette peur se manifeste-elle ?

    Une personne qui vit avec cette peur du rejet au quotidien créée, malgré elle, des barrières à son bonheur qui peuvent être nombreuses et non sans conséquences… En voici une liste non exhaustive :

    • Ne pas savoir prendre de décisions sans l’avis des autres
    • Être hypersensible
    • Éprouver un besoin permanent de plaire
    • Développer de la jalousie
    • Culpabiliser très souvent et très facilement
    • Ne jamais exprimer sa propre opinion et/ou ajuster son opinion en fonction de celles des autres
    • Vivre constamment dans l’angoisse et l’anxiété
    • Procrastiner
    • Développer des complexes qui nuisent dans tous les domaines de la vie
    • Donner à outrance pour espérer recevoir
    • Ne jamais demander de l’aide pour ne pas déranger quitte à tout faire soi-même ou à ne rien faire
    • Chercher en permanence l’approbation des autres pour se sentir en sécurité
    • Agir contre sa propre volonté
    • Se laisser entraîner dans des situations à risques

    Résultats : une vie à vivre en porte-à-faux, un mal-être permanent et surtout obtenir l’inverse de ce qui est recherché. Car à force de vouloir plaire à tout le monde, on ne plaît plus à personne. Un véritable cercle vicieux… Alors comment s’en sortir ?

     

    Mais, si l’on veut, on peut sortir de ce cercle vicieux

    À chaque problème sa solution ! Si vous souffrez de cette peur qui vous pollue depuis des années et que vous souhaitez enfin vous en libérer, bonne nouvelle, il existe des solutions. Nul besoin d’aller les chercher bien loin, elles sont en nous. Eh oui ! Mais pour se sortir de cette situation de mal-être, il va falloir faire un peu de travail sur soi.

    Les buts :

    • Retrouver l’estime de soi
    • Retrouver l’estime des autres

    Afin de réussir à atteindre ces objectifs, plusieurs exercices peuvent vous aider. Exercices personnels ou en groupe, ils peuvent être combinés pour une meilleure efficacité.

    Mais tout d’abord, penchons-nous sur l’histoire de Jia Jang, un jeune entrepreneur chinois. Intelligent, bosseur et obstiné, il n’a cessé de travailler dur pour réussir. Il s’est marié, a été engagé dans une grande entreprise aux États-Unis. Une réussite personnelle et professionnelle. Mais malgré tout cela, il était toujours déprimé. Pourquoi ? Il rêvait de monter son entreprise mais il était incapable de sortir de son confort de salarié et de prendre des risques. La peur de l’insécurité et surtout celle du rejet le paralysaient. C’est pourquoi, un jour, il décide de se confronter à ses peurs et se donne 100 jours pour les vaincre. Le meilleur moyen selon lui : se confronter chaque jour à des situations au cours desquelles il est susceptible d’essuyer des refus. Au bout des 100 jours, il s’aperçoit en fait, qu’il a eu plus d’accords que de refus ! Suite à cette expérience, il donne des directions pour prendre de l’assurance et oser :

    • Accepter que le rejet fait partie de nous. C’est une réaction humaine face à l’inconnu
    • Avant de battre en retraite face au NON, il faut demander à notre interlocuteur les raisons de ce refus. Analyser les motivations du refus et étudier ce qui peut être modifié
    • Ne pas se priver de la liberté de demander par peur du « NON » et du jugement de l’autre. Si nous n’osons pas demander, nous ne risquons pas d’avoir de « NON », certes, mais nous ne risquons pas non plus le succès.
    • Ne pas faire d’une mauvaise relation avec l’autre une généralité mais une expérience pour avancer.
    • Prendre conscience que chaque personne est unique avec ses qualités, ses défauts et ses expériences.
    • Prendre du recul sur le jugement, les critiques des autres à votre égard.

    Et plus simplement :

    • Il faut identifier l’origine de la peur et avoir conscience de la façon dont elle se manifeste. Pardonner, lorsque c’est possible, à ceux qui sont à l’origine de cette peur, en se disant qu’ils agissaient sûrement pour notre bien. Sinon, il faut décider d’affronter la réalité.
    • Il faut se forcer à faire des choses nouvelles qui boostent notre confiance en nous.
    • Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide et à se confier.
    • Il faut assumer sa sensibilité et apprendre à accepter la critique. Ou plutôt apprendre à la comprendre.
    • Il faut se dire que tout le monde éprouve des peurs. Si ce n’est que certains arrivent mieux à les cacher d’autres (ou les expriment différemment).
    • Il faut ne plus avoir peur que l’on vous dise NON, et soi-même oser dire NON. Essayez, vous verrez… vous serez surpris du résultat.
    • Il faut aussi et surtout accepter d’être le maître de son destin. Ne pas se laisser dominer et comprendre que la différence est plutôt une force. Beaucoup sont dans le mimétisme d’un parent par exemple, de peur de le décevoir. Mais si vous ne décevez pas une personne… vous êtes perçu par TOUS les autres comme quelqu’un n’ayant aucune personnalité.
    • Et surtout, il faut se rendre compte que lorsque l’on a pas d’estime de soi, on ne peut pas obtenir l’estime des autres.

    Aussi pour réussir à s’en sortir, une première étape consiste à identifier la cause et à concrétiser les conséquences. Pour ce faire, des techniques telles que la sophrologie ou l’hypnose peuvent être des solutions particulièrement efficaces. Ensuite, en parallèle, le yoga ou la méditation peuvent venir apaiser les angoisses, l’anxiété, et à être en meilleure harmonie avec ce que nous sommes et ce que nous voulons au plus profond de nous-même.

    Sophrologue et hypnothérapeute à Paris, n’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en discuter.

     

    Conclusion

    La peur du rejet de l’autre est un véritable handicap et un véritable cauchemar au quotidien. Soit on la subit… soit on essaye de la combattre. Une chose est sûre, la combattre permet de retrouver de la confiance, de l’estime de soi et surtout l’estime des autres. Et finalement, n’est-ce pas le but recherché ?

     

    Charlotte Vallet 

    Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS

  • Comment réussir à lâcher prise ?

    Comment réussir à lâcher prise ?

     

    Lâcher prise ! Voilà encore un concept très à la mode… et qui peut sembler étrange lorsque l’on est élevé dans un monde dominé par le diktat de la compétition et de la performance. On nous inculque pendant toute notre enfance et adolescence qu’il faut « être ainsi et pas comme ça », « être le meilleur », « être quasiment parfait » « faire le mieux possible », et j’en passe et des meilleures… Et voilà qu’arrivés à l’âge adulte, on nous rabâche, « sois plus zen », « relativise », « vis au jour le jour », il faut « lâcher prise »…

    Quel paradoxe !

    Soit le meilleur, mais soit zen ! Avouez que c’est antinomique. D’autant que le monde dans lequel nous évoluons ne semble pas se diriger vers de la zénitude… La pression existe bel et bien, et à mon avis, elle ne fera que s’amplifier. Et malheureusement, elle engendre tout un tas de phénomènes qui nous sont néfastes. Parmi eux, la peur. Nous sommes très tôt confrontés à la peur. Peur de ne pas plaire à nos parents, peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas être aimé, peur de manquer… et petit à petit, nous développons des systèmes d’autodéfense qui se traduisent par des comportements plus ou moins extrêmes selon les individus : besoin de perfectionnisme, besoin de contrôle, obsession, addiction… qui eux-mêmes engendrent angoisse, stress, mal-être, dépression et maladies graves. C’est un cercle infernal.

    Et en effet, le seul moyen de se sortir de ce cercle vicieux est d’apprendre à lâcher prise. Disons-le d’emblée, ce n’est pas si facile.

    Qu’est-ce que le lâcher-prise ?

     

    D’après le Larousse : le lâcher-prise est le « moyen de libération psychologique consistant à se détacher du désir de maîtrise. »

    Autrement dit, d’après cette définition, la cause de certains maux est liée au désir de maîtrise. Certes… c’est bien vrai ! Mais le mot le plus important dans cette définition, c’est « libération ».

    En effet, le lâcher-prise, c’est se libérer d’un état d’angoisse quasi permanent lié à un état d’effervescence mentale que l’on ne maîtrise pas non plus. L’objectif est donc d’apprendre à se détacher « temporairement » de cet état, de souffler, et comme nous allons le voir, de vivre !

    À qui s’adresse le lâcher-prise ?

     

    • À ceux qui se posent sans cesse des questions sur tout.
    • À ceux qui vivent soit dans le passé (et dans la culpabilité ou le regret), soit dans l’avenir (et dans le souci de vouloir tout prévoir pour que tout soit parfait).
    • À ceux qui ont un besoin d’être souvent rassurés.
    • À ceux qui idéalisent la vie et qui court après un idéal inatteignable.
    • À ceux qui n’ont pas suffisamment confiance en eux, ou à l’inverse, à ceux qui n’ont plus confiance dans les autres.
    • À ceux qui veulent tout maîtriser de leur propre vie, et qui veulent aussi maîtriser celles des autres (ou changer les autres).
    • La liste est longue…

    Si vous prononcez souvent ces mots : « j’aurais dû » ou « je devrais » ou ces mots « mais, si ? » ou « et, si ? » ou « il faudrait que », « c’est nul », « je suis nulle », « il est nul » « c’est pas assez » … vous êtes un parfait candidat.

    Si vous avez l’impression d’être sans cesse insatisfait de vous et par les autres, de votre situation, si vous êtes angoissé, toujours stressé, souvent malade… eh bien, vous pouvez continuer à lire cet article. 🙂

    Mais avant toute chose, ancrez-vous dans la tête, et à longueur de journée, s’il le faut, les trois « postulats » qui suivent.

    Trois éléments essentiels indispensables au lâcher-prise

     

    Le passé est immuable. Vous pouvez toujours vous triturer la tête dans tous les sens, vous ne changerez pas le passé. Il faut soit l’accepter, soit le travailler en thérapie pour apprendre à vivre avec lui.

    L’avenir est incontrôlable. Vous pouvez tout planifier de A à Z, il peut toujours se produire un évènement qui remettra en cause ce que vous aviez envisagé. Vous ne pouvez pas maîtriser tous les éléments.

    La perfection n’existe pas. Vous aurez beau essayer de faire votre maximum, c’est sans fin. On peut toujours faire mieux, et il y a toujours quelqu’un qui pourra faire mieux.

    Est-ce facile de lâcher prise ?

    Je l’ai déjà évoqué en introduction : non, et c’est peu de le dire. Lâcher prise demande des efforts personnels importants. C’est comme si nous devions nous déprogrammer. Laver notre cerveau de tout ce qui nous a été inculqué, transmis, de toutes nos expériences de vie qui nous fait devenir ce que nous sommes…

    C’est un vrai travail. C’est un cheminement qui demande beaucoup de volonté et qui demande du temps.

     

    Comment faire pour y parvenir ?

     

    Se rendre compte, avoir conscience que l’on se pose trop de questions, une majorité étant inutiles

    Déjà, la première étape à mon sens, et ce n’est pas si évident que cela : c’est de prendre conscience que notre esprit surchauffe, et surtout que cet état est nocif à notre bien-être et par voie de conséquence à notre santé.

    Savoir distinguer les situations sur lesquelles on peut agir de celles sur lesquelles on ne peut rien faire.

    Il y a en effet des choses dans la vie sur lesquelles on peut intervenir. Exemple, si votre santé se dégrade parce que vous fumez, vous pouvez de vous-même arrêter. D’ailleurs, je vous conseille fortement l’hypnose. Mais en revanche, il y a beaucoup de choses sur lesquelles on ne peut pas intervenir. Exemple, vous avez un entretien d’embauche dans 15 jours à 8 h 30. Ce n’est pas que les dés sont jetés d’avance, mais il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu (transport, forme du jour, interlocuteur, feeling, véritables besoins de l’entreprise…) qu’il est inutile de ne penser qu’à cela et de stresser pendant 15 jours. Tout anticiper est impossible et surtout inutile…

    Apprendre à relativiser

    Une déception, un problème… ? Il nous arrive à tous d’être confrontés aux aléas de la vie, certains étant plus ou moins graves. Mais dans la plupart des cas, ce n’est pas la fin du monde. C’est juste qu’ils viennent perturber « notre quotidien et notre planification bien établie » et qu’ils déstabilisent l’équilibre que l’on s’efforce d’atteindre. Et pour un grand nombre d’entre nous, ils engendrent une espèce de panique, de stress. Car on a tendance à amplifier les conséquences du problème. On a tous connu l’ordinateur en panne, le métro en grève, bref, ces aléas qui, en soi, ne sont pas dramatiques… mais qui nous mettent dans un état de panique. Dans ces moments, il est alors important de se poser. Et de relativiser, de se dire que ce n’est pas si grave. Mieux vaut une imprimante en panne, qu’une inondation dans un appartement ! Croyez-moi…

    Savoir faire le deuil

    Pour ceux qui vivent dans le passé, il est primordial d’apprendre à tourner la page, ou tout au moins à accepter que tout ne se soit pas déroulé comme on le voulait ou le pensait. Je vous accorde que c’est très long. On peut en effet avoir du mal à oublier une histoire d’amour malheureuse, le décès d’un proche, un échec professionnel… mais passer son temps à ressasser le pourquoi du comment… ne changera rien au problème. Il faut tirer des leçons du passé, et transformer, quand c’est possible, ses peines en force.

    Faire plus confiance aux autres. Travailler son ego…

    Si dans de nombreux cas, le manque de confiance en soi engendre de la peur et du stress, le fait de ne pas faire confiance aux autres est également source de stress. Parmi les gens qui ont besoin de lâcher prise, on trouve souvent des gens qui n’aiment pas renoncer ou qui n’aiment pas déléguer (ce fameux besoin de maîtriser). Ils pensent qu’ils sont les seuls à pouvoir trouver une solution ou à faire correctement les choses. Certes c’est une question d’ego, mais pas que. Il faut juste trouver les bonnes personnes. Quant à la confiance en soi, elle se travaille.

    Se forcer à apprendre à vivre le moment présent

    Il faut également prendre conscience qu’une journée qui passe est une journée qui ne reviendra plus. Prendre conscience de l’instant et le vivre avec plaisir. Si l’on passe son temps tourné vers le passé ou dans l’anticipation, la conclusion est rapide : on n’est jamais dans l’instant. Autrement dit : on ne vit pas.

    Quelques outils ou techniques pour vous aider !

     

    La sophrologie

    Développée dans les années 60 par un neuropsychiatre, la sophrologie est une alternative efficace aux antidépresseurs que l’on vous prescrira pour « supporter » la vie… D’ailleurs, le mot sophrologie vient du grec, « sos » tranquillité, « phren » qui signifie cerveau, et logos qui veut dire étude. C’est donc l’étude de la sérénité de l’esprit. Sophrologue, je pense donc être en mesure d’en parler et de vous aider. D’ailleurs, je vous invite à me contacter si vous souhaitez en discuter. C’est à mon sens, un excellent moyen d’apprendre à se libérer de sa charge émotionnelle.

    La méditation

    Il est aujourd’hui prouvé scientifiquement que la méditation, qui est LA gymnastique de l’esprit, aide à diminuer stress, angoisse, anxiété, etc. Elle participe à une amélioration du bien-être. L’avantage est que vous pouvez la pratiquer seule.

    Vous déconnectez du monde et notamment des réseaux sociaux

    Si les réseaux sociaux peuvent parfois aider à communiquer, ils deviennent pour beaucoup d’individus, une source de stress. Entre les drames, les injustices, la haine, les fake-news, les incitations qui nous sont transmis toutes les secondes sur Facebook, et les images idylliques de paysages, les mannequins photoshoppées, les citations censées nous motiver sur Instagram… nous imposons à notre esprit tout un tas d’informations contradictoires, qu’il ne peut pas gérer. Le soir notamment, obligez-vous à vous déconnecter des réseaux sociaux.

    Faire du sport et/ou s’adonner à une activité que l’on aime

    Les bienfaits du sport ne sont plus à justifier… La pratique d’une activité physique permet, entre autres, de se reconnecter à l’instant présent. On se vide la tête, on souffle… De même, on aime tous faire quelque chose : lire, cuisiner, regarder des séries, jardiner… Et souvent, on se trouve des excuses pour ne pas s’y consacrer… Eh bien, stop ! Obligez-vous, en vous fixant un horaire strict, à vous décontracter en vous consacrant à quelque chose qui vous plaît.

    Il existe d’autres outils, bien sûr, et si vous avez la chance d’habiter Paris, je me ferai un plaisir de vous le transmettre. N’hésitez pas à vous inscrire aux ateliers que j’anime sur ce sujet.

    Conclusion

    Vous l’aurez compris. Lâcher prise, c’est s’obliger (et le mot est volontairement choisi) à se déconnecter du quotidien, à prendre de la distance par rapport à ce qui nous perturbe l’esprit, à ne pas mener des combats perdus d’avance contre ce qui est inéluctable, c’est renoncer à l’inaccessible, c’est savoir aussi pondérer les conséquences ou les enjeux des situations, et c’est aussi savoir apprécier le moment présent.

    Finalement, si vous apprenez à lâcher prise, vous découvrirez ce que veut dire « vivre ».

    Lâcher prise, c’est tout simplement apprendre à vivre !

     

    Charlotte Vallet, sophrologue et hypnotherapeute sur Paris

  • L’hypnose : en quoi cela consiste et pourquoi y avoir recours ?

    L’hypnose : en quoi cela consiste et pourquoi y avoir recours ?

    On y croit ou pas… On y est sensible ou pas… On en a peur ou pas. Quoi qu’il en soit, l’hypnose intrigue. Mais aujourd’hui, c’est un outil thérapeutique reconnu, et qui est de plus en plus utilisé notamment pour soulager, voire traiter de nombreux maux de différentes natures et ayant différentes causes. Comment ? En échangeant sans contraintes, avec son propre corps.

    Les plus sceptiques d’entre vous devraient se référer aux résultats. Eh oui ! Car même si les mécanismes de l’hypnose ne sont pas encore véritablement connus et explicables, son efficacité ne peut plus être mise en question.

    Une preuve ? Depuis une dizaine d’années, l’hypnose remplace l’anesthésie générale pour un certain nombre d’interventions chirurgicales. C’est donc que ça fonctionne ! Qui irait se faire triturer le ventre sans anesthésie ?

    Il n’y a pas une seule et unique définition de l’hypnose. De nombreux psychiatres, médecins, etc., en ont donné leur propre définition : Milton Erickson, Daniel Araoz, André Weitzenhoffer, Jean Godin, Michel Kérouac, Olivier Lockert, Bernheim pour ne citer qu’eux… Et contrairement à ce que l’on pense, l’hypnose existe depuis fort longtemps ! Il est difficile de dater exactement ses premières utilisations, mais il est reconnu que dans l’Égypte ancienne, les Égyptiens essayaient déjà d’en tirer des bénéfices. Le pharaon Ramsès II y avait recours notamment pour motiver ses soldats à partir au combat.

    Et de nos jours, l’hypnose est reconnue comme une médecine douce, de plus en plus pratiquée, qui participe à atténuer, voire à traiter de nombreux troubles qui nuisent à notre bien-être.

    Alors, en quoi cela consiste ? Qui est concerné ? Pourquoi y avoir recours ?

    Mais d’abord quelques petits rappels de base (et simplifiés)

     

    L’objectif d’une séance d’hypnose est de modifier l’état de conscience, pour atteindre un état de transe dans lequel des évènements ou des émotions enfouis dans l’inconscient ont plus de chances de refaire surface. Et à partir de ces éléments, une solution est recherchée. Mais conscience, inconscience, transe, quèsaco ?

    L’état de conscience : l’état de conscience est celui qui nous guide lorsque nous sommes “éveillés”. Autrement dit, c’est être dans en état de vigilance et de contrôle qui nous permet de guider nos actes en fonction d’un grand nombre de paramètres qui nous conduisent à raisonner et à agir, mais qui nous bloquent aussi.

    L’état d’inconscience : c’est un état beaucoup plus subjectif dans lequel s’entremêlent des souvenirs plus ou moins enfouis, des émotions plus ou moins fortes, des intuitions… Mais pour faire plus simple, disons que l’inconscient concerne tout ce qui n’est pas conscient et que nous ne pouvons pas maîtriser.

    L’état de transe : non, ce n’est pas uniquement l’état dans lequel se trouve un drogué après avoir pris son héroïne… C’est d’ailleurs même un état que nous connaissons tous très bien sans même le savoir. C’est un état dans lequel on focalise tellement notre attention sur quelque chose de bien précis que l’on en oublie tout le reste. Un état proche d’une ultra concentration. Il nous arrive à tous, en exerçant une activité, d’être tellement concentré que l’on ne se rend plus compte de rien.

    Et c’est à partir de ce principe que l’hypnose fonctionne. L’objectif est de se frayer un chemin entre l’état de conscience et l’état inconscience.

    Les différents types d’hypnose

     

    Il existe différents types d’hypnose, mais je n’aborderai ici que les deux plus connues, l’hypnose classique (traditionnelle) et l’hypnose Ericksonienne.

    L’hypnose classique, c’est celle que tout le monde connaît. En effet, lorsque l’on prononce le mot hypnose, le commun des mortels pense aux hypnotiseurs que l’on voit dans les spectacles, et qui ont « le pouvoir d’endormir » les gens. La personne est passive, et l’hypnotiseur utilise des injonctions pour modifier l’état de conscience des individus. C’est un type d’hypnose autoritaire, si l’on peut dire.

    Mais dans le cadre d’une démarche thérapeutique, ce n’est pas le même type d’hypnose qui est utilisé. Dans ce cas, il s’agit de l’hypnose appelée « hypnose Ericksonienne ». Ce type d’hypnose dite « moderne » doit son nom à Milton Erickson, un psychiatre américain mort en 1981, qui était dans son enfance daltonien et dyslexique. À 17 ans, il contracte la poliomyélite qui le rend complètement paralysé. Il ne peut alors que parler et bouger les yeux. Et c’est dans ce contexte qu’il découvre le pouvoir de l’autosuggestion. Autrement dit, il se convainc qu’il peut se guérir. Peu à peu, il réussit à faire bouger ses muscles, et en quelques mois, il recouvre toutes ses facultés motrices. Un miracle ? Non, les miracles n’existent pas. Nous avons en nous une force qui nous permet de vaincre certains maux.

    Dans le cas de l’hypnose Ericksonienne, le patient est dans un état de profonde relaxation, en transe, comme je l’ai défini précédemment. Contrairement à l’hypnose traditionnelle, le patient participe activement à sa mise en situation hypnotique.

    Et pour ceux qui veulent aller plus loin encore, ils peuvent avoir recours à l’hypnose « spirituelle », au cours de laquelle l’hypnothérapeute guide le patient à la recherche de ses vies antérieures.

    Tout le monde peut-il être hypnotisé ?

     

    Dans le cadre de l’hypnose dite classique (celle des spectacles), il se dit que seuls 10 % des gens peuvent être hypnotisés. Il s’agit de personnes « suggestibles ». Dans les salles de spectacle, les personnes montant sur scène ont été choisis préalablement selon leur suggestibilité.

    À l’inverse, de nombreuses études montrent que 80 % des individus sont réceptifs à l’hypnose Ericksonienne. Bien évidemment, le patient doit être consentant. D’une part, cet outil thérapeutique requiert l’adhésion du patient, mais d’autre part, il ne faut pas faire partie de 5 % d’individus qui y sont complètement réfractaires.

    Bien sûr, dans les 80 %, c’est plus difficile pour les gens qui sont perpétuellement dans le contrôle, mais même les plus tenaces peuvent être hypnotisés. Il faut alors plus de séances et surtout de la bonne volonté.

    Que peut-on attendre de l’hypnose ?

     

    Même s’il est difficile de généraliser, l’hypnose a fait ses preuves notamment pour affronter une situation particulière qui nuit à notre quotidien et donc pour trouver des solutions afin d’adopter de nouveaux comportements. Le champ des problèmes traités est très vaste, et je ne citerai ici les principales problématiques pouvant relever de l’hypnose Ericksonienne.

    • Lutter contre certaines addictions comme le tabac, par exemple.
    • Lutter contre la douleur. En état d’hypnose, le corps libère des endorphines qui sont des antalgiques naturels.
    • Lutter contre l’obésité ou pour maigrir tout simplement.
    • Diminuer les troubles du sommeil.
    • Diminuer les troubles de la sexualité (et notamment des blocages induisant des problèmes de stérilité).
    • Diminuer les angoisses et le stress.
    • Traiter des troubles dermatologiques tels que le psoriasis.
    • Soulager des problèmes musculaires, de dos notamment.
    • Soulager le syndrome du côlon irritable.
    • Comprendre les troubles alimentaires (anorexie, boulimie).
    • Faire resurgir, entre autres, des blessures et des traumatismes que le cerveau a enfoui dans l’inconscient et qui nuisent à l’épanouissement (méthode utilisée par Freud).

    Comment se déroule une séance d’hypnose ?

     

    Elle s’effectue en présence d’un thérapeute qui a suivi les formations nécessaires. Elle consiste en un échange entre le patient et le thérapeute.

    D’une façon générale, une première séance est cependant nécessaire afin que le thérapeute recueille, avec l’accord du patient, des éléments de vie qui lui seront nécessaires pour guider les entretiens.

    Puis lors des séances suivantes, le thérapeute grâce à ses outils, amène le patient dans un état de transe, dit « hypnotique » qui peu à peu le conduit vers son inconscient.

    Pour ma part, voici comme je procède lors d’une séance d’hypnose :

    • Accueil, mise en confiance du patient.
    • Phase de questionnement notamment sur la problématique à traiter et les attentes du patient.
    • Phase d’explication de l’hypnose avec des mots simples et réconfortants.
    • Phase de relaxation-projection dans un souvenir agréable suggéré par le patient dans le questionnement initial.
    • Phase de travail. Le principe est de travailler sur l’inconscient du client en état de transe.
    • Sortie de la phase transe-hypnotique.
    • Débriefing.
    • Planification de la prochaine séance.

    Une séance dure environ une heure. Mais en général, une séance ne suffit pas… Selon le problème à traiter, il faut prévoir entre 5 et 10 séances.

    Quelques exemples concrets :

    • Arrêt du tabagisme : entre 1 à 5 séances. S’il en faut plus c’est qu’il y a un problème plus important à gérer. Un manque de volonté de la part du patient, par exemple.
    • Perte de poids : entre 8 et 12 séances.
    • Insomnies : entre 1 à 3 séances.

    Est-ce dangereux ?

     

    Non, disons-le d’emblée. Quel que soit l’état d’hypnose, vous restez toujours maître de vos actions. Et pour ceux qui se posent la question (à juste titre), on finit toujours par se réveiller. Et contrairement à ce qu’il peut se dire, un hypnothérapeute ne peut pas avoir d’influence sur vos pensées. L’hypnose n’est pas un lavage de cerveau. Vous pouvez donc y aller en toute confiance, sous réserve bien sûr de choisir un véritable thérapeute.

    Vous êtes intéressé(e) ?

     

    À la fois sophrologue et hypnothérapeute, j’ai suivi diverses formations m’octroyant les compétences et les aptitudes pour pratiquer l’hypnose et vous aider à résoudre divers problèmes. J’interviens à Paris et en proche banlieue. N’hésitez pas à me consulter ma page pro ou à me contacter directement en MP ou par mail : charlottevallet@hotmail.com.

    « L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne »

     Erickson

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue