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Comment accepter son passé et en faire une force ?
Je suis Charlotte Vallet, coach spécialisée en émancipation féminine à Paris, et aujourd’hui, je souhaite parler du passé et de son pouvoir de transformation.
Mon parcours de vie n’a pas toujours été facile. J’ai vécu des épreuves difficiles, telles que l’enfance en foyer, l’abandon et l’humiliation. Mais aujourd’hui, à 34 ans, je ressens une paix intérieure profonde et une guérison émotionnelle que la petite fille en moi n’aurait jamais imaginée. C’est une transformation incroyable !
En tant que coach pour femmes à Paris, j’accompagne les femmes à surmonter leurs blessures passées, à se libérer du poids du passé et à retrouver leur confiance en soi. Si tu cherches à guérir des blessures émotionnelles, à retrouver ton équilibre et à t’émanciper de tes peurs, je suis là pour t’aider à transformer ta vie.
« Laissons au passé ce qui appartient au passé », plus facile à dire qu’à faire ! Si nous cherchons tous à « passer à autre chose », « enfouir » ou encore carrément « oublier », il n’est pas rare que le passé resurgisse de temps en temps dans notre quotidien, voire même un peu trop souvent pour certains ! Et ce retour en arrière est rarement positif. Une séparation, un conflit avec un proche, une maladie, un traumatisme grave, trop de souvenirs peuvent nous envahir au quotidien et sont sources d’angoisses, de peurs et de stress. Ne pas accepter notre passé nous empêche d’être heureux et d’avancer. Pour pouvoir vivre l’instant présent sereinement, il faut accepter son passé, apprendre à pardonner, déculpabiliser, et lâcher prise. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ? Oui ! C’est vrai. Mais un moyen d’y parvenir est de le transformer en autre chose ! En quelque chose qui nous fait grandir. Et si l’on pouvait en faire une force ?
Et si je pouvais devenir une « super moi » grâce à mon histoire personnelle aussi chaotique et douloureuse qu’elle soit ?
Un passé douloureux : le poids des regrets et l’envie d’oublier
Maladie, échecs, ruptures, expériences traumatisantes qui se transforment en cauchemars… Nous ne réagissons pas tous de la même manière face à des souvenirs douloureux.
Il y a ceux qui vont vivre dans le regret permanent et ceux qui mettent tout au placard et qui balancent la clé !
Les premiers, éternels nostalgiques, se passent en boucle le même refrain : « si j’avais su », ou « j’aurais dû » avec cet espoir de pouvoir peut-être changer quelque chose du passé voire de le reconstruire totalement.
Les seconds, eux, enfouissent pour mieux oublier. « Faire l’autruche », comme si rien n’avait existé. Mais cette stratégie, ou plutôt ce comportement, n’aboutit qu’à l’inverse de l’effet escompté. Plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l’oublier, plus il va revenir en force, malgré nous. Eh oui ! En voulant effacer un souvenir, en réalité, nous le renforçons ! Il faut donc changer notre état d’esprit pour vivre une nouvelle vie. Mettre un terme aux regrets et à la culpabilité. Le passé n’est pas que cette part d’ombre dans notre vie qu’on lui attribue souvent ! Il peut aussi être une force, un moteur pour avancer, pour réussir à bâtir notre avenir.

Et si nous pouvions faire de notre passé une force ?
Si le passé ne rimait pas forcément avec négativité ? En général, 6 personnes sur 10 se raccrochent aux aspects négatifs de leur passé et cela finit indéniablement par faire partie de leur personnalité. Mais cela veut aussi dire que 6 personnes sur 10 subissent un quotidien lourd des maux du passé qu’ils portent. Constat assez triste non ?
N’avons-nous pas une mauvaise perception de notre passé ? Pouvons-nous le voir autrement ? Est-il possible qu’il puisse nous donner la force d’avancer encore plus loin ? Peut-il être un booster plutôt qu’un boulet ? Eh bien moi, je serais tentée de répondre : pourquoi pas ?
Nous avons tous un passé, plus ou moins chahuté, plus ou moins douloureux, et nous devons tous avancer. Alors prenons le temps d’apprendre à vivre avec lui et surtout grâce à lui. Faisons de ce passé un allié pour affronter le présent et le futur et non pas un ennemi ! Acceptons ses mauvais côtés, ses cabosses, ses blessures et tentons de le voir différemment.
Et si nous pouvions l’aimer après tout ? Il n’a certainement pas que des défauts ! Il est aussi fait de merveilleux moments comme les moments entre amis, notre évolution personnelle et professionnelle, de bons souvenirs en famille, et tous les petits bonheurs qui rythment notre quotidien.
Alors pourquoi ce ne sont pas ces souvenirs qui nous accompagnent aujourd’hui ? Pourquoi devons-nous nous infliger cette lutte permanente contre nos démons du passé ? Existe-t-il une ou des solutions pour s’apaiser et faire la paix avec notre passé ? Pouvons-nous juste vivre l’instant présent ? Lâcher prise ? Et si oui, comment faire ?
Voir le passé autrement, des solutions pour y parvenir…
Il n’y a aucun remède miracle pour guérir de nos blessures du passé. Mais il est possible de les laisser se refermer, ne plus souffrir et avancer. Certes, quelques cicatrices resteront, mais ce sont elles, d’une certaine manière, qui font ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. Vivre l’instant présent n’est pas chose aisée, mais on peut y arriver ! Pierre Geluck, lui, avait sa propre méthode et a dit un jour : « Je bois pour oublier. Mais j’ai tellement bu que je ne me rappelle plus ce que je dois oublier ». Évidemment, inutile de préciser que cette méthode n’est pas celle qu’il faut choisir ! Si plusieurs techniques, méthodes, astuces existent pour se détacher des mauvaises ondes de son passé, savoir tourner la page dépend tout de même de notre force de caractère, de l’intensité des évènements vécus et de la capacité à gérer nos émotions. Nous ne sommes pas tous égaux face à notre passé. Le but étant pour chacun de voir son passé autrement pour mieux vivre le présent.
Dans un processus de deuil d’un passé douloureux, il y a trois étapes fondamentales :
Tout d’abord, il faut le comprendre, puis gérer les émotions qu’il nous renvoie et se tourner vers l’avenir.
Comprendre son passé
Le charme du passé, ne serait-il pas justement qu’il soit le passé ? Ne serait-il pas finalement surtout une idée, une image qui n’existe que dans nos mémoires ? A priori, il ne serait plus vraiment réel, plutôt abstrait même. Mais alors comment une chose irréelle peut-elle tenir les ficelles de notre réalité actuelle, en la déformant et en nous faisant souffrir ? Réponse : nos émotions. Eh oui, ce que l’on croit revivre quand on se tourne vers le passé, ce n’est pas l’évènement mais les émotions qui lui sont rattachées, celles que l’on a ressenties auparavant. Et c’est en grande partie à cause d’elles que nous souffrons du poids du passé.

Mais alors comment gérer ce trop-plein d’émotions ?
Autant vous dire tout de suite, il existe autant de solutions, astuces, méthodes que de personnes qui en cherchent ! Ce qui veut dire que chacun doit trouver sa/ses techniques pour ne plus souffrir. Et croyez-moi, plus on les combine, mieux c’est !
Voici quelques exemples :
- L’écriture
- La thérapie (seul(e), en couple, en famille…)
- Le sport
- Le yoga
- La méditation de pleine conscience
- Le coaching
- L’hypnose
- Le breathwork
- Les soins énergétiques
- Le magnétisme
- Le chamanisme
J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros.
Cette liste étant, bien évidemment, non exhaustive, à vous de trouver ce qui vous conviendra le mieux, ce qui vous aidera à avancer. Gardez en tête qu’il faut vous libérez de toutes les mauvaises émotions du passé qui vous envahissent en essayant, pourquoi pas, de les remplacer par des positives, celles qui vont vous booster, vous faire avancer.
N’hésitez pas me contacter… !
Tourné(e)s vers le futur !
Et maintenant que l’on a, plus ou moins, géré ce fameux passé, en route vers le futur… On décolle nos yeux du rétroviseur et on appuie sur la pédale ! Je sais, encore une étape difficile. En effet, si nous tentons souvent d’enfouir les souvenirs du passé, nous angoissons aussi de ce qui va nous arriver dans le futur…
Et si, être « coincé(e)s dans le présent était la meilleure chose qui nous arrivait ? Vivre l’instant présent, en pleine conscience… !

Faire de notre passé une force c’est possible, la preuve…
Si les mots ne suffisent pas toujours à convaincre, les exemples concrets oui ! Et il en existe beaucoup autour de nous.
Prenons celui d’un chanteur bien connu, Andréa Bocelli. En 1970, il devient aveugle suite à la réception dans l’œil d’un ballon de football. C’est à ce moment-là que sa passion pour le chant a pris ton son sens. Il y a en effet puisé toute sa force et a réussi à devenir le ténor lyrique que nous connaissons tous aujourd’hui en faisant de cette tragédie le booster de sa vie.
Prenons, à présent, un tout autre exemple. Celui de Flavie Flamant, violée par David Hamilton dans son enfance. Si certaines femmes ne réussiront jamais à s’en remettre, elle a décidé d’en faire une force, une rage qu’elle a mise au service de l’écriture dans son livre « la consolation ». Réel exutoire pour elle, et prise de conscience pour d’autres femmes, sa parole libérée sur ce sujet est le symbole de cette lutte contre le passé qui hante, le passé qui détruit et celui d’une lutte pour être heureuse malgré les blessures encore douloureuses.
Dernier exemple et non des moindres, Théo Curin, 18 ans, quadri-amputé à l’âge de 6 ans après une méningite foudroyante. Aujourd’hui vice-champion du monde de natation paralympique et égérie d’une grande marque de cosmétique pour Homme, est le parfait exemple de cette force que les épreuves du passé peuvent nous donner.
Si eux y arrivent, nous le pouvons aussi !
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Conclusion
Nous ne pouvons ni effacer ni changer le passé, c’est un fait, mais rien ni personne ne nous oblige à le traîner comme un boulet toute notre vie ! Alors, il est peut-être temps de dire stop à cette souffrance et de profiter de tout ce que peut nous offrir l’instant présent. Bien que cela puisse être compliqué pour certains, le lâcher-prise est une étape essentielle dans notre quête du bonheur. Et si la tâche vous paraît colossale, n’hésitez pas à faire appel à une tierce personne pour vous aider ! Nous méritons tous de trouver cette paix intérieure, ce bien-être qui nous permet de réaliser nos projets et de profiter de toutes les merveilleuses choses que nous offre la vie !
Charlotte Vallet – Coach, spécialisée en émancipation féminine sur Paris – Si tu veux aller plus loin, je te propose un appel téléphonique pour connaitre tes besoins.
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Fais de ta solitude une force !
Lorsque l’on tape le mot « solitude » sur le Net, on s’aperçoit rapidement que la solitude est presque unanimement présentée comme un fléau, un problème à traiter. Les titres des articles sur ce sujet sont très évocateurs : Comment vaincre la solitude ? Comment lutter contre la solitude ? Comment sortir de la solitude, etc., etc.
La solitude est donc souvent comparée à une maladie. Même avoir le statut de célibataire est parfois assimilé à une malédiction. « Tiens, elle est seule, elle doit avoir un problème ! ». Ou alors, on provoque la pitié « oh, elle est seule, la pauvre ! »
De nos jours, la norme veut que l’on soit en couple, et que l’on soit entouré(e) d’amis, de plein d’amis ! Sinon, on est considéré comme « bizarre ».
Mais souvent, deux choses sont confondues : la solitude et l’isolement. Dans le premier cas, la solitude peut être « voulue ». Dans le second cas, en effet, elle est « subie ». Mais dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas pour autant que la solitude doit faire l’objet d’un jugement.
Je suis plutôt solitaire, et je peux vous dire, que je vis plutôt très bien cette solitude ! Quand c’est un choix (enfin presque), la solitude « voulue » est un véritable levier pour son épanouissement personnel.

Mais tout d’abord quelques nuances
En effet, en écrivant ces mots, je m’aperçois que le mot « voulu » n’est peut-être pas le bon. En fait, on ne fait jamais vraiment le choix d’être seul. En effet, on rêve tous et toutes de partager notre vie en parfaite osmose avec quelqu’un.
Mais ce n’est malheureusement pas toujours possible. Et c’est là que se trouve toute la nuance.
Pour ma part, je préfère vivre seul(e) qu’avec quelqu’un qui ne me correspond pas. D’autres feront un choix différent parce que justement, ils craignent la solitude.
Et c’est à ce stade que se fait toute la différence : soit on assume sa solitude, soit on ne l’assume pas.
On parlera donc plus de solitude « assumée » plutôt que de solitude « voulue ». Dans le sens où certains vivront leur solitude comme une aubaine, alors que d’autres la vivront comme un calvaire.
Pour résumé, nous pouvons dire qu’il y a donc 2 grands types de solitude :
- Une solitude qui peut être épanouissante
- Une solitude subie qui est plutôt destructrice
Commençons par la dernière.
La solitude subie
La solitude subie, c’est lorsque l’on n’a pas choisi d’être seul(e), et qu’on vit mal cette situation. Cet état engendre un sentiment d’exclusion, qui est, en général, accompagné d’anxiété et d’un véritable mal-être.
Je n’ai pas fait de sondage… mais il semble que dans la majorité des cas, c’est ainsi qu’est vécue la solitude.
Je ne sais pas ce qui nous différencie les uns des autres, mais en effet, pour une majorité, la solitude est quelque chose d’effrayant, d’inenvisageable, de douloureux. La solitude est synonyme de rejet, d’échec. Elle renvoie à un manque d’amour.
Et parfois, ces sentiments sont si violents qu’ils conduisent certains à faire n’importe quoi pour créer du lien, quitte à avoir des relations superficielles ou nocives. Ces individus ont un besoin vital de vivre à travers le regard des autres.
En général, ce sont les mêmes qui ont plus de 1 000 amis sur Facebook… et qui ne peuvent vivre sans avoir un lien permanent avec le monde extérieur.
Mais elles n’en sont en rien responsables ! C’est notre société qui nous fait croire que notre vie se résume à l’attention que l’on nous porte. Les réseaux sociaux en sont la parfaite illustration. Il faut exposer sa vie sociale, et bien sûr avoir le plus de « j’aime » possibles sur ses photos…
En tout cas, il est clair que l’on nous incite à penser que la solitude est un état anormal contre lequel il faut se battre. Et je ne suis pas vraiment d’accord !
La solitude épanouissante
En effet, si l’on y regarde de plus près, la solitude peut aussi être une véritable aubaine. Bien sûr, je le répète, c’est toujours mieux d’être accompagné(e) de son alter ego, mais lorsque l’on n’en a pas, tout n’est pas si sombre ! Et voici quelques avantages… en tout cas, les principaux.

Mieux vaut être seul(e) que mal accompagné(e)
Qu’y a-t-il de plus pénible que de se retrouver dans une relation qui ne nous correspond pas ou plus ? Franchement, j’ai vécu une relation extrêmement nocive, et je peux vous affirmer qu’elle revit depuis que cette relation s’est terminée. Car ce n’est pas parce que l’on est deux, ou à plusieurs, que l’on ne sent pas seul(e).
Désolée de le dire si abruptement, mais beaucoup de personnes, en couple, subissent leurs relations, sans pour autant les rompre. Dans ce cas, il s’agit d’incompréhension, de relations toxiques, de dépendance affective…
De même, on peut se retrouver en soirée et s’ennuyer à cent sous de l’heure, car on se retrouve avec des amis… ou plutôt des gens… avec lesquels on n’a pas vraiment envie d’être, mais on y est « parce qu’il faut que » l’on y soit. C’est la pression sociale…
Ça me fait penser, à ces fameuses soirées de Nouvel An. Socialement parlant, si quelqu’un vous demande « tu fais quoi pour le nouvel an ? », et que vous répondez « je reste chez moi, et je suis seule », vous passez pour un extraterrestre. Voire quelqu’un d’asocial(e).
Eh bien, croyez-moi ou pas, mieux vaut être seule avec sa bouteille de champagne, qu’à une soirée où tout le monde (ou presque) se force à faire acte de présence, parce que c’est le Nouvel An, et que ce n’est pas « bien vu », de ne rien faire au Nouvel An.
On est vraiment libre
Se retrouver seul(e), et c’est une réalité, c’est la liberté à l’état pur. Non seulement libre au sens, avoir la possibilité de faire tout ce que l’on veut, au moment où on le veut, mais aussi en termes d’indépendance. Oui ces deux notions se rejoignent, mais je les distingue volontairement.
Car d’une façon générale, les personnes qui craignent la solitude, sont des personnes dépendantes, qui vivent beaucoup en fonction des autres. Elles ont besoin de l’avis des autres, de leur approbation. Elles n’existent qu’à travers l’autre.
Ainsi lorsque l’on assume sa solitude, on profite non seulement de sa liberté d’agir, et mais on ne dépend plus d’un autre (ou des autres). On gagne en sincérité envers soi-même et envers les autres.
Quoi de plus agréable de ne plus se sentir « obligée de » ! Se lever quand on veut, traîner en pyjama, les cheveux ébouriffés toute la journée, regarder ce que l’on veut à la télé, manger ce que l’on veut à l’heure où on veut, etc., etc.
On gagne une sacrée en confiance en soi
Être seul(e), c’est aussi s’apercevoir de capacités que l’on ne se connaissait même pas. En effet, lorsque l’on dépend des autres, on ne sait même plus ce que l’on est capable de faire ou pas. Et être seul(e), nous confronte obligatoirement à des situations complexes que l’on est obligé(e) de résoudre seul(e). Et on y arrive ! Et c’est plutôt valorisant !
Combien de femmes pensent qu’elles ne sont pas capables de réparer un volet électrique, de purger un radiateur, etc. Eh bien, croyez-moi, quand on seul(e), on se débrouille !
Réussir à résoudre des problèmes, c’est une excellente façon de gagner en confiance. « On est capable de ». On s’aperçoit que l’on se sous-estimait. L’ego est valorisé. On prend confiance.

Faire le point et réapprendre à être soi-même
Quand on n’est pas seul(e), très souvent, on manque de temps. On se laisse envahir par la vie, par tout ce qui nous parvient de l’extérieur. Sans compter les informations que l’on nous transmet, il y a aussi tous ces messages subliminaux : il faut être comme ceci, il faut être comme cela, il faut, il faut, il faut…
Et selon notre personnalité, l’influence de ce monde extérieur, peut nous dépasser, nous dévorer même. Combien se calquent à ce que l’on attend d’eux ? Jusqu’à en perdre leur propre personnalité. Ils deviennent des autres.
Être seul permet de se retrouver. Parfois même de se trouver. On prend conscience de ce que l’on aime vraiment. On apprend à se connaître. Et comme on a beaucoup plus de temps, on peut réaliser certains rêves personnels que l’on ne vivrait pas à deux ou se consacrer à ses passions. Là encore, c’est plutôt très épanouissant.
Conclusion
On rêve tous d’une parfaite osmose avec quelqu’un. Mais malheureusement, ce n’est pas toujours possible. Certains préféreront alors opter pour une vie à deux qui est devenue médiocre, d’autres essaieront de se faire des amis à tout prix, d’autres assumeront leur solitude et en feront plutôt une force.
Je fais partie de ces gens qui pensent que la solitude n’est ni un fardeau, ni une maladie, comme on voudrait souvent nous le faire croire.
Bien sûr, il y a des moments parfois difficiles, il ne faut pas non plus se le cacher !
Mais lorsque l’on fait la balance entre ces moments difficiles et tous les autres avantages que peut procurer la solitude quand on apprend à la gérer, on s’aperçoit que les avantages prennent largement le pas sur les inconvénients.
Et pour ceux qui ont vraiment du mal à vivre la solitude, n’oubliez pas ce proverbe : « aime-toi, et les autres t’aimeront ». Vivez cette solitude pour réapprendre à vous aimer, et le reste suivra !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
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Comment réussir à se libérer d’un pervers narcissique ?
C’est un sujet dont on entend de plus en plus parler depuis quelques années. Et le film “Mon roi” de Maiween a placé ce problème au coeur de toutes les conversations.
À tel point que de nombreuses femmes sont, aujourd’hui, persuadées qu’elles vivent avec un pervers narcissique. Comme si c’était un effet de mode, et qu’il était de bon ton de connaître au moins une fois dans sa vie ce type de relation malsaine.
Mais, avant d’aller plus loin, je souhaite attirer votre attention sur deux points :
- Il n’y a pas que les hommes qui peuvent faire preuve de cette perversion : certaines femmes ont également des comportements qui s’en approchent. Et ce, même s’il a été prouvé que les hommes sont bien plus concernés par ce phénomène. Dans cet article, je parlerai du pervers narcissique en tant qu’homme.
- Il vaut mieux ne pas utiliser ce terme à mauvais escient. C’est malheureusement une maladie assez complexe qu’il faut prendre très au sérieux. La personne qui souffre de ce trouble est en souffrance, et le conjoint est tout aussi malheureux, voire plus car il en est la victime, on peut même dire la proie (Il est également bon de savoir que ce type de relations peut aussi exister dans une relation amicale).
Certains types de personnalité ont plus de chances d’être victimes de quelqu’un atteint d’un trouble de la personnalité narcissique. Il s’agit des individus vulnérables ou en situation de faiblesse. C’est à dire des personnes :
- Ayant une faible estime d’elles-mêmes, et qui dépendent de l’autre dans le couple (grande dépendance affective).
- Qui ne savent pas ce qu’est le trouble de la perversion narcissique, et qui n’associe pas cela à une maladie.
Mon expérience en la matière
Pour ma part, j’ai vécu, pendant plusieurs années, une relation extrêmement malsaine. Mais ce n’est que depuis peu, que j’en prends véritablement conscience.
Écrire sur ce sujet me semble être le meilleur des exutoires (évidemment, je resterai pudique sur ma vie privée et aucun détail très précis ne sera donné).
Beaucoup de mes amis m’avaient mise en garde car elles avaient remarqué que je n’étais plus aussi joyeuse et que je n’étais pas vraiment épanouie dans ma relation amoureuse. Et c’est peu de le dire…, je vivais dans le conflit, car son jeu consistait à le créer. Alors que je suis d’une nature plutôt zen et peace, j’en arrivais à être hors de moi.
J’aurais pu tenir compte des remarques de mon entourage, mais je me trouvais souvent (toujours) une excuse ou plutôt, je lui trouvais souvent (toujours) une excuse. Je me disais qu’il avait d’autres qualités, et qu’il m’aimait profondément (l’excuse facile). Et puis, je n’ai jamais été influençable, je suis même très solitaire et marquée dans ce que je pense, et les avis de mes proches m’étaient un peu égal. En fait, je les sollicitais en leur faisant part de ma souffrance, mais je n’écoutais jamais leurs retours bienveillantes. Avec du recul, je leur donne raison évidemment !
Etant de nature plutôt forte, même dure, j’ai compris avec le temps que j’étais, en fait, la béquille parfaite pour une personne mal dans sa peau et qui était en manque d’oxygène.
Mais, à force d’être un pilier, vous ne recevez rien en échange, car vous ne comptez pas pour elle.
Ce qui m’a fait fuir plus d’une fois. Mais plus je fuyais, plus il me faisait culpabiliser. Et je revenais.

Qu’est-ce qu’un pervers narcissique ?
Un pervers narcissique est très souvent une personne qui ne s’aime pas, et qui n’éprouve, contrairement à ce que l’on pourrait penser, aucune admiration pour elle-même. Mais bien plus encore, c’est une personne qui a une image plutôt désastreuse d’elle-même, et qui pour réussir à se valoriser, humilie adroitement les autres (ou qui s’invente une vie idyllique qui n’existe pas).
Quand vous discutez avec une personne souffrant de ce syndrome, vous avez souvent l’impression de n’avoir que des défauts. Très souvent, elle ne souligne que vos points négatifs, vos faiblesses sans jamais faire part de ce qui est positif et agréable chez vous.
Dans les cas les plus fréquents, le pervers narcissique se donne une image forte, il se montre toujours sous son meilleur jour auprès des autres, et se fait passer pour meilleur que les autres pour réussir à se donner un peu de consistance.
Dans les cas les moins fréquents (mais qui existent) , c’est quelqu’un qui se victimise, qui joue le “Caliméro” pour faire croire à sa partenaire qu’elle a mal agi. Qui est Caliméro ? “C’est un poussin anthropomorphe charmant mais malchanceux. Le seul poussin noir dans une portée de jaunes, et il porte sur la tête sa coquille d’œuf à moitié brisée.”
Ce sont les mêmes qui vous feront croire qu’ils ont moins de chance que les autres, qui se plaidront sans cesse de leur situation, et qui vous le feront subir (payer) comme si vous en étiez la cause.
Le pervers narcissique prend un énorme plaisir à susciter un sentiment de culpabilité chez sa victime, qui finit par croire qu’elle est responsable du mal-être de l’autre. Leur grande particularité (force) est de se défausser de tous leurs torts.

Et en amour ?
Dans une relation amoureuse, le pervers narcissique adore faire culpabiliser l’autre. Ses besoins passent avant ceux d’autrui. D’ailleurs, généralement, la personne atteinte de ce trouble ne cherche même pas à comprendre si sa conjointe a des besoins ou des envies. Il est le centre du monde.
Dans mon cas, par exemple, j’étais selon lui trop sportive, trop active, trop voyageuse, trop amicale, trop sociable, trop dynamique… j’avais trop de projets alors qu’il aurait fallu que je n’ai qu’un unique centre d’intérêt : lui.
Il ne m’encourageait jamais à pratiquer des activités qui me convenaient, mais il m’attirait vers des choses dans lesquelles il aurait fait partie. La bienveillance n’était pas le mot d’ordre !
Ce qui a fini par créer un amour déséquilibré fondé sur des réflexions acerbes, des mots durs et de la culpabilité. Et de mon côté de la fuite, car j’étouffais. Mais je ne partais pas pour autant.
Cependant pour compenser et donner l’impression qu’un amour fort existe, le pervers narcissique sait se montrer, de temps à autre, extrêmement affectueux et terriblement présent. Encore plus présent que ce que vous aviez potentiellement déjà connu dans le passé. On se laisse entraîner… Et il est alors très difficile d’être objectif sur sa relation.
Il sait aussi montrer à l’autre, et avec insistance, qu’il a besoin de l’autre, ce qui donne envie à la partenaire de poursuivre la relation malgré une énorme incohérence.
Et c’est un cercle vicieux assez difficile à quitter. Car on vit au quotidien dans deux extrêmes émotionnels, on a l’impression d’être animé(e) d’émotions opposées : amour/haine, pulsion/répulsion, joie extrême/tristesse profonde, apaisement/colère, rire/pleurs, en couple/rupture..
Ce qui est certain, c’est que lorsque vous êtes en couple avec ce genre d’individus, il n’y a pas de place pour la routine… Bien au contraire, il y a de l’animation 365 jours de l’année.

Comment s’en rendre compte ?
Dans les débuts d’une relation amoureuse, il est souvent compliqué de percevoir les aspects négatifs ou malsains de la personne sur laquelle on a jeté son dévolu. En général, ce garçon est, au premier abord, séduisant, drôle, sociable, charmeur et doux. C’est d’ailleurs très agréable, surtout dans notre quotidien où l’individualisme prime bien trop souvent.
Mais, bien plus que cela, il s’agit le plus souvent d’un individu profondément amoureux, et qui vous donne TOUT très rapidement : des mots doux, des messages affectueux, des dîners aux chandelles, la présentation de sa famille/de ses amis, des envies de voyages, des projets communs, des passions communes.
Je me suis d’ailleurs rendu compte avec mon ancien copain que nous n’avions, en fait, aucune passion ou ni envies communes. En fait, il s’adaptait à ce que j’étais, de façon à ce que je m’attache encore plus.
Mais le malaise s’installe assez rapidement, après quelques semaines de vie commune. Et là, c’est l’hécatombe.
Vous pouvez vous réveiller un matin, et prendre conscience que votre partenaire est différent de ce qu’il est d’habitude : Il se montre susceptible, très très violent, agressif et incohérent alors que le sujet sur lequel vous étiez en train de débattre n’a pas grande importance. Les sujets sur lesquels vous débattez ensuite ne sont guidés que par la jalousie et la possessivité.
À cause de cela, il n’y a plus aucune place pour la curiosité. Et les conversation passionnantes ou constructives diminuent pour ne laisser place qu’à des disputes constantes.
Comment les reconnaître ? Pourquoi les fuir ?
Si vous tombez sur un profil qui répond à ces critères, posez-vous des questions :
- Une séduction irrésistible
- Un double langage
- De la jalousie
- Un refus systématique de reconnaître ses torts
- Une communication parfois floue
- De la dévalorisation et des critiques (sans en avoir l’air)
- La création de conflits
Tout d’abord, pour ne pas tomber dans les mailles de ces personnages, il faut avant toute chose, bien se connaître soi-même, de façon à ne pas se laisser influencer par les propos parfois médisants et malveillants de l’autre. Mais ce n’est pas si facile, car ils sont très doués pour instaurer le doute.
Il faut également savoir se fixer des limites avec l’autre, et ne pas accepter qu’elles soient franchies.
Il faut aussi savoir que le pervers narcissique est souvent très capricieux, il n’a pas d’affect propre et exagère toutes ses émotions. On pourrait lui attribuer l’Oscar du meilleur rôle…
Il est adulte, mais il est très immature et même si, dans les débuts il ne montre que le meilleur de lui-même, il ne faut rien attendre de lui car il est rarement très fiable.
Dans les débuts de votre relation, si vous détectez rapidement quelqu’un de très présent mais de très excessif à la fois : fuyez !!
Le manipulateur narcissique vous dérobe énormément d’énergie ! En sa présence, vous êtes plus fatiguée, voire épuisée, et vous êtes surtout malheureuse.
Une fois qu’il a laissé place à tous ses démons après la période de séduction, il redoublera de nombreuses manipulations afin de vous garder dans les mailles de son filet.
Une fois séparée d’un pervers narcissique
Une fois que vous trouverez le courage de partir, ou qu’il trouvera une nouvelle copine (amen), essayez de vous redonner de la force et de l’amour en :
- Vous entourant de personnes bienveillantes (et en les écoutant)
- Ayant de la gratitude envers les bonnes actions que vous menez au quotidien
- Vous méfiant davantage des hommes que vous laissez entrer dans votre vie
- Vous écoutant : corps et esprit confondus (vous êtes votre meilleure amie)
À très bientôt !
Charlotte Vallet – coach spécialisée en émancipation féminine

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Quand une souffrance se transforme en force
Comme le dit la citation: « Les plus grandes qualités de l’âme ne se développent que par la souffrance. »
Aujourd’hui je souhaite-vous conter l’histoire d’une de mes meilleures amies ; ce ne seront que ses mots. Je n’ai rien transformé, car son histoire est extrêmement personnelle et touchante. Cette jeune femme a perdu son unique frère à l’âge de 16 ans, mais a fait face à cette épreuve avec beaucoup de courage et de force.
J’attaque fort aujourd’hui, mais ce sujet me tenait terriblement à coeur, ayant aussi de nombreuses souffrances du passé au fond de moi.
L’objectif de cet article est de montrer à quel point une souffrance profonde peut se transformer en vraie force, et surtout comme vous pouvez gagner en maturité mais aussi en optimisme lorsque vous vivez des épreuves difficiles.
14 ans après, cette jeune femme est resplendissante est a une appétence pour la vie que peu de personnes ont. Elle ne se laisse jamais décourager et va au bout de chacun de ses projets avec ambition.

Interview de mon amie
Jeune femme de 30 ans, sportive, dynamique, bosseuse, qui aime profondément la vie et le sens de celle-ci. Mais cela n’a pas toujours été le cas.
Voici ses propos :
« On croit toujours que ça n’arrive qu’aux autres et pourtant nous y voilà.
On nous parle de la vitesse sur la route, de l’alcool, de la mauvaise conduite mais jamais de tous ces camions qui sillonnent nos autoroutes ; non nous n’en parlons pas, car c’est un point économique, on ne nous dit pas que traverser ces routes à grandes vitesses c’est comme marcher dans un champ de mines.
Un appel d’air, une voiture incontrôlable, et nous y voilà, une mort à la clé.
J’avais 16 ans, mon grand frère seulement 18.

Comment vivre sans mon binôme, comment envisager rien qu’une seconde devoir porter la souffrance de mes parents sur mes petites épaules. Je n’étais qu’une enfant.
Vivre dans l’ombre de moi-même, ne plus avoir goût à la vie, l’injustice devient une obsession, le réveil une souffrance.
Les années passent, les moments défilent. Il faut revenir à la vie, goûter de nouveau au quotidien, sécher ses larmes.
Qu’est ce qui est le plus difficile dans cette tragédie ?
L’absence de l’autre, le travail de deuil.
Mais quand le temps fait son travail, la souffrance s’atténue, le plus dure devient de ne pas culpabiliser, comment puis-je esquisser un sourire alors que l’être tant aimé n’est plus ? Comment accepter de vivre des moments de bonheur alors que lui est sous terre.
Les années passent. Les traits de son visage s’estompent dans mon esprit, sa voix ne résonne plus. Les sourires deviennent de plus en plus affirmés, mon ambition à réussir ma vie se développe au fil du temps, les projets s’accumulent, les moments de bonheur s’intensifient à tel point qu’ils redeviennent partie intégrante de mon quotidien.
Les années passent. 1 an, 2 ans, 5 ans, 10 ans. Je ne les compte plus. Elles défilent de plus en plus vite. Puis vient l’année de mes 28 ans. Ce drame a 12 ans.
Je comprends que cette épreuve m’a forgée. Que je suis désormais plus forte. Je sais, au combien, chaque moment est précieux, je n’ai pas peur de notre issue. Je le retrouverais. Mais mon passage sur cette terre doit être le plus merveilleux.
Mon amour pour les autres est décuplé, ma meilleure amie prend ce rôle de sœur que je n’ai jamais eu, mes parents deviennent de plus en plus fort, les amours que je vis me remplissent de bonheur. Durant tout ce chemin j’ai eu la chance d’être entourée de personnes fabuleuses, à l’écoute et bienveillantes.
Je ne peux pas me réjouir de mon passé mais je peux affirmer sans aucune gêne que je suis heureuse, que cette épreuve à dupliquer l’amour que je porte à la vie, intensifié les sentiments que je porte pour les personnes que j’aime, le moindre moment de bonheur du quotidien, même le plus simple est extrapolé.
Le bonheur ce n’est pas de rêver de ce que l’on a plus ou de ce qu’on souhaiterait avoir.
Le bonheur c’est ce chemin, parfois semé d’embûches, mais ce n’est pas le but ou l’issue de celui-ci. »
Pour réussir à combattre une souffrance, la sophrologie peut vous aider; pensez-y !!

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