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  • Domination parentale et impact psychologique : la vérité captivante qui change tout

    Domination parentale et impact psychologique : la vérité captivante qui change tout

    La domination parentale et impact psychologique est une dynamique toxique qui freine l’épanouissement de l’enfant, détruit sa confiance en soi, et marque son identité. Découvrez comment reconnaître ces schémas destructeurs et vous libérer de leur emprise pour reprendre le contrôle de votre vie.

    La domination parentale et impact psychologique : une honte qui freine l’évolution de l’enfant

    La domination parentale sur l’enfant est un fléau qui persiste encore trop souvent dans nos sociétés. Une forme de pouvoir abusif qui repose sur une relation de soumission, de contrôle, et d’oppression psychologique. Et pourtant, nous devrions comprendre une chose essentielle : un enfant n’est pas là pour être dominé, il est là pour grandir, s’épanouir et s’autonomiser.

    La domination des parents sur leurs enfants est une honte, un non-respect absolu de leur individualité. Une dynamique toxique où l’adulte impose ses croyances, ses peurs et ses désirs sur un être en formation, brisant ainsi toute chance pour cet enfant de se découvrir et de se développer dans sa propre vérité.

    J’ai personnellement connu cette domination. J’ai été sous l’emprise de cette forme de pouvoir, enfermée dans des schémas parentaux où l’individualité était étouffée sous un amas de règles et de contrôles injustes. Une oppression psychologique, émotionnelle, où la liberté de penser et d’agir était constamment muselée par l’autorité d’un parent qui croyait que son rôle était de tout diriger.

    C’est cette expérience qui m’a forgée, m’a poussée à comprendre qu’il n’y a rien de plus destructeur que de dominer un enfant. Et pourtant, tant de parents, par ignorance ou par tradition, croient que la domination est la seule manière d’éduquer. C’est un mensonge, et il est temps de l’abolir une bonne fois pour toutes.

     

    Pourquoi la domination parentale est une erreur fatale

    La domination parentale repose sur des bases erronées : l’idée qu’un enfant doit être “corrigé”, “discipliné”, ou “formaté” pour répondre aux attentes de la société. C’est une forme de violence psychologique, souvent insidieuse, où l’adulte impose une vision du monde figée et où l’enfant est contraint de se soumettre à des attentes qui ne sont pas les siennes.

    Au lieu de permettre à l’enfant de grandir librement, l’adulte impose sa propre vision du monde, ses croyances, ses peurs et ses limites, et ce, souvent sous forme de critiques constantes, de comparaisons, ou de dévalorisation. Chaque parole dominante est un coup porté à la confiance en soi de l’enfant.

    Dans ce type de relation, l’enfant ne peut qu’apprendre à se cacher, à réprimer ses désirs, à étouffer ses émotions pour éviter la réprimande, l’humiliation, ou le rejet. Il apprend que l’amour conditionnel est la seule forme d’amour qui existe : un amour basé sur la performance, la conformité, et non sur l’acceptation inconditionnelle.

    Et il ne s’agit pas uniquement de critiques verbales. Parfois, la domination prend d’autres formes : des manipulations émotionnelles, des menaces implicites, ou des culpabilisations. L’enfant, dans ce cadre, est privé de sa capacité à être lui-même, à prendre des décisions autonomes, à se rebeller sainement, à apprendre de ses erreurs.

     

    Les conséquences dévastatrices de la domination parentale

    Les conséquences de cette domination parentale et impact psychologique sur l’enfant sont profondes et durables. Les enfants élevés dans ce type d’environnement peuvent développer plusieurs types de problématiques :

    • Manque de confiance en soi : L’enfant apprend à douter de lui-même, à croire que ses idées et ses émotions ne valent rien, que l’amour et l’acceptation sont réservés à ceux qui sont conformes aux attentes des parents.
    • Dépendance émotionnelle : L’enfant peut développer une dépendance excessive vis-à-vis de l’approbation de ses parents, incapable de faire des choix ou de prendre des décisions par lui-même.
    • Comportements de soumission : Un enfant qui a été dominé apprendra à se soumettre dans ses relations futures, à accepter des situations où il se sent opprimé, contrôlé ou manipulé.
    • Problèmes d’estime de soi : L’enfant peut développer une estime de soi très fragile, car il a grandi dans un environnement où son identité était rejetée ou niée.
    • Tendances à l’autosabotage : La peur de décevoir les autres, la crainte de prendre des risques, et l’incapacité à se libérer des schémas imposés par la domination peuvent mener à des comportements auto-destructeurs.

      Domination parentale et impact psychologique.   Domination parentale et impact psychologique

    Comment s’en sortir : se libérer de la domination parentale

    Heureusement, il est possible de se délivrer de cette domination et de reconstruire une vie plus saine et plus épanouie. Voici quelques étapes pratiques pour s’en sortir :

    1. Prendre conscience du schéma : La première étape consiste à reconnaître les schémas de domination dans votre histoire. Accepter que vous avez été soumis à un contrôle excessif permet de commencer à guérir.
    2. Distinguer les voix parentales de votre propre voix : Ce qui est essentiel, c’est de faire la distinction entre ce que vous avez appris sous la domination parentale et ce que vous êtes réellement. Réappropriez-vous votre voix intérieure. Ce sont vos désirs, vos besoins, vos choix qui doivent guider votre vie, pas ceux de l’adulte dominant.
    3. Pratiquer l’autocompassion : La guérison passe par l’acceptation de soi. Vous n’êtes pas responsable des abus que vous avez subis. Apprenez à vous aimer et à vous accepter sans condition. Vous méritez d’être heureux et d’évoluer librement.
    4. Établir des limites saines : Apprenez à poser des limites claires et saines avec vos parents ou toute autre figure d’autorité. Cela peut être difficile au début, mais c’est nécessaire pour reprendre votre pouvoir personnel et créer des relations respectueuses et équilibrées.
    5. Chercher un soutien professionnel : La guérison d’une domination parentale prend du temps, et il peut être extrêmement bénéfique de travailler avec un coach ou un thérapeute pour vous aider à sortir de ce schéma toxique.
    6. Me suivre sur Instagram : je partage souvent des solutions.

     

    Prenez le contrôle de votre vie : ne laissez pas le passé diriger votre futur

    Si vous vous reconnaissez dans ces mots et que vous sentez que vous êtes prisonnier d’un schéma de domination parentale, il est temps de passer à l’action. Ne laissez pas votre passé détruire votre futur. Vous avez le pouvoir de changer, de vous libérer, et de vivre selon votre propre vérité.

    Si vous avez besoin d’un soutien dans ce processus de libération, je suis là pour vous aider. Grâce à mon coaching personnalisé, nous pouvons travailler ensemble sur la déconstruction de ces schémas toxiques, vous apprendre à créer des limites saines, et vous aider à retrouver votre pouvoir personnel.

     

    Contactez-moi dès maintenant pour commencer votre transformation. Il n’est jamais trop tard pour reprendre votre vie en main.Domination parentale et impact psychologique
    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

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    Viens me suivre sur instagram, pour plus de contenu à propos de l’émancipation !

  • LA MUSIQUE, SON HISTOIRE ET SES BIENFAITS

    LA MUSIQUE, SON HISTOIRE ET SES BIENFAITS

    Elle nous fait danser, rire, pleurer, changer, évoluer et elle a le pouvoir de raviver les souvenirs !! Mais, avez-vous réellement conscience de son pouvoir ?

    1- L’utilisation de la musique au travers de l’histoire

    Les premiers instruments remontent à il y a 37 000 ans (flûtes en os de mammouth), on peut donc dire que l’homme fait de la musique depuis son apparition. Mais bien évidemment sa symbolique et son utilisation ont évolué.

    Au fil de l’histoire celle-ci avait 3 fonctions principales : pour la chasse et la guerre, le sacré , et la berceuse.
    Les antiques attribuaient même un certain pouvoir à la musique, celui d’enchanter, d’ensorceler comme le montre de nombreux mythes tel que que celui d’Orphée ou encore celui de David et Saul. C’était aussi pour eux un moyen de se rapprocher du divin. Saint Auguste philosophe médiéval disait « qui chante, prie deux fois ». Nietzsche distinguait la musique dionysiaque, de celle Apollinaire. La première représente les passions, l’animalité des l’homme quant à la seconde elle représente le sacré. La musique a avant tout le pouvoir de raconter et de transmettre des émotions , et nous pouvons le constater quotidiennement au travers des films, et des publicités. Dans ce cadre, la colonne sonore est étudiée afin de transmettre les émotions justes aux spectateurs, de même à l’époque des films muets la musique servait de narration.

    2 – Une société sonore

    À l’heure des smartphones, tablettes et compagnie nous sommes énormément stimulés visuellement, et pourtant notre société est bien considérée comme sonore, car n’importe où nous allons il est impossible de trouver un silence complet (le bruit du vent, de la pluie, les oiseaux, le métro , la musique dans les lieux publics , notre respiration… )

    De plus l’audition est le seul sens qu’on ne peut pas contrôler naturellement, et c’est aussi le premier sens que nous développons. En effet, depuis le ventre de sa mère un bébé peut entendre ce qu’il se passe à l’extérieur, c’est pourquoi les médecins conseillent de parler avec son bébé dès le 3ème mois de grossesse. Quand le bébé naîtra il reconnaîtra la voix de sa mère, et celles familières qu’ils entendaient pendant la grossesse.

    3- Une fonction cognitive

    Il est important de faire écouter de la musique aux enfants dès le plus jeune âge car cela lui permet de développer ses capacités cognitives. Il a été prouvé qu’un enfant qui fût stimulé à la musique développe plus rapidement des capacités de raisonnement, l’acquisition du vocabulaire et du langage (ainsi que des langues étrangères).

    D’après certains neuro scientifiques, il faudrait que nos enfants prennent des cours de musique avant l’âge de 7 ans. La musique ferait aussi de nous des personnes plus emphatiques, et sociables.
    Les musiciens sont capables de mieux reconnaitre les émotions. Ils sont particulièrement doués pour identifier des émotions comme la tristesse ou la peur, et même si celles-ci sont exprimées dans une langue complètement inconnue du musicien. La musique par conséquent améliore nos capacités sociales et développent notre sens de l’écoute. Encore plus impressionnant, certains musiciens sont même capables de détecter les changements subtils dans les pleurs d’un bébé. C’est ce que les scientifiques appellent la « discrimination auditive fine ».
    De même, chez les enfants, c’est ce que montre une étude faite sur des enfants âgés de 8 à 11 ans. Ils ont été divisés en 3 groupes :

    • Le premier groupe a reçu des leçons de musiques collectives avec des improvisations rythmiques, des jeux musicaux, des apprentissages et répétitions de mélodies et des expériences musicales partagées.
    • Le deuxième groupe a eu des activités ludiques avec imitations et expériences interactives mais sans musique, essentiellement verbales.
    • Le troisième groupe a suivi une année scolaire habituelle.

    Les enfants du premier groupe ont le plus amélioré leur empathie et sont davantage capables de décoder les informations émotionnelles à la fois verbales ou non verbales.
    Ces observations sont même faites chez des enfants en bas âge de 6 mois qui ont pris des leçons de musique avec leurs parents. Dans ce contexte, les tout-petits chantent, tapent sur des instruments, apprennent et répètent des chansons avec leurs parents, ce que l’on pourrait définir comme de l’éveil musicale.

    Les résultats de cette étude sont impressionnants : les bébés musiciens sourient davantage, rient également davantage et sont plus faciles à calmer en état de stress. Des gestes simples comme dire au revoir avec la main ou même montrer des objets ou des personnes avec le doigt étaient également améliorés.

    3- Les bienfaits de la musique comme thérapie

    La semaine dernière dans l’article « les kilos émotionnels », je vous parlais du cortisol. Vous vous en rappelez ? C’est l’hormone du stress !! Eh bien, bonne nouvelle la musique a le pouvoir de la diminuer.
    Avez-vous remarqué que parfois lors d’un coup de blues il suffit de la bonne musique pour nous redonner la pêche ? La musique peut en effet complètement nous transporter. Elle provoque la libération par notre cerveau d’un neurotransmetteur du plaisir, la dopamine. Elle serait aussi très efficace pour les personnes souffrants de dépression.

    La musique peut-aussi raviver la mémoire, comme le dit le neurologue Pierre Lemarquis :
    « Écouter une musique qui nous plaît active et développe les circuits de la mémoire qui nous permettront de retenir les notes entendues et d’anticiper sur celles à venir. Certains de nos souvenirs sont aussi associés dans notre cerveau à des musiques. Tel un tunnel spatio-temporel, elles sont capables de nous replonger dans le passé et de nous faire revivre des émotions. La musique est une formidable machine à remonter le temps ! »
    C’est pourquoi on utilise de plus en plus la musique pour traiter certaines pathologies tels que la maladie d’Alzheimer, ou de Parkinson. Bien que encore peu connue la thérapie par la musique commence à se frayer un chemin dans les salles de réanimation, et de neonatologie, et l’année dernière un symposium de 4 jours lui a été consacré à Harvard.
    Dans le monde, plus de quatre-vingts laboratoires travaillent sur les effets de la musique sur le cerveau !

    4) La musicothérapie, qu’est-ce exactement ?

    « La musicothérapie est l’utilisation de la musique, du son, dans une démarche de soin. C’est une thérapie à support non verbal utilisant le sonore, le musical. La musique est le médiateur dans la relation soignant/soigné. »

    Comme on l’a dit précédemment, la musicothérapie peut aider pour le stress, la dépression, la démence mais pas que. Elle contribuerait aux soulagements des douleurs , à l’amélioration de la qualité de vie des schizophrènes , au soulagement de certains symptômes de l’autisme , et améliorer le sommeil.
    Les grecs considéraient la musique comme une science au même titre que les mathématiques, ou que la physique. Ils l’utilisaient même comme thérapie pour l’humeur.
    Et, si la musique était la solution à vos maux ?
    Pour autant attention, près de 5% de la population ne seraient pas réceptifs aux bienfaits de la musique, cela viendrait sûrement d’un manque de stimulation durant l’enfance (je vous avais pourtant prévenu « rires») !!

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • TOP 10 des choses à faire pendant le confinement!

    TOP 10 des choses à faire pendant le confinement!

    1 – Passer du temps de qualité en famille :

    Alors oui vous allez me dire que votre famille vous la voyez parfois déjà trop !! Mais quelle est la dernière fois où vous avez partagé un moment de qualité avec ? Vivre ensemble, et passer du temps ensemble sont deux choses distinctes.
    Jeux de société, films, séances de sport dans le jardin, ou tout simplement prendre du temps pour partager sur nos vies, nos centres d’intérêts… Il y en a des choses à faire en famille, alors profiter de cette période pour la partager avec vos proches, autour de moment de qualité.

    2 – On se met à la cuisine :

    Alors là pas d’excuse !! Plutôt que de se jeter sur tout et n’importe quoi dans les magasins, on fait ses courses de manière INTELLIGENTE !! Il faut être solidaires, et pensez aussi aux autres. N’oubliez pas qu’on a la chance de vivre en France, comme tout pays Européen nous avons 3 ans de réserves de nourriture pour les cas de crises !! Alors on respire, et on achète des produits frais, des céréales, des féculents, on évite les plats préfabriqués, et autres cochonneries. Et vue qu’on a le temps, à la maison, on cuisine de bon petits plats équilibrés et sains, on mange des fruits, tout ça à fin de booster le système immunitaire. En cette période de pandémie, il ne faut surtout pas négliger son alimentation. Les sucres, et gras sont néfastes pour nos défenses alors on les évite.
    Bien sûr, je ne vous dis pas de vous les interdire complètement parce que régime sec + confinement = déprime assurée, seulement de les réduire et privilégier le fait maison.
    En plus, c’est une super occasion de passer le temps, développer vos talents de chef, et/ou de passer du moment en famille, ou avec votre partenaire.

    3 – On prend du temps pour nos passions :

    En grandissant, au fil du temps, on a souvent du mal à trouver du temps pour nos passions. Plus jeune, on pouvait y dédier des heures, avec des vies d’adultes s’est parfois plus compliqué. Pourtant, c’est un excellent moyen de décompresser, et de s’épanouir au quotidien. Si c’est une passion qui nécessite une certaine compétence, ne vous laissez pas décourager si vous avez l’impression d’avoir perdu un peu la main, je suis certaine qu’après quelques jours de pratique tout reviendra en ordre.
    Vous êtes passionné de randonnée, voile, ou tout autres activités extérieures ? Dites-vous que c’est l’histoire de quelques semaines, alors on en profite pour préparer nos prochaines aventures. On fait un peu d’activité physique tous les jours, on vérifie et trie son matériel, on recherche des sites inédits ou les pratiquer, on rejoint des communautés sur Internet à fin d’échanger des conseils, et/ou , des expériences. De même pour le voyage, vous vouliez partir faire le tour de l’Amérique du Sud ? Si on respecte les consignes, tout devrait retourner à là normal d’ici peu. Pendant ce temps-là, on planifie le voyage parfait : on travaille son espagnol, on se créait notre parfait itinéraire photos avec les plus belles photos des lieux que vous souhaitez visiter, on se renseigne sur la météo , on lit des livres , on écoute de la musique traditionnelle, on essaie de se concocter des petits plats typiques… Il y a mille façons de vivre une passion, soyez créatifs !!

    4 – Je travaille depuis la maison :

    Si tout comme moi vous êtes à votre compte, vous n’avez pas à vous arrêter à 100%. Comme on le sait quand on est auto entrepreneur, on est souvent débordés par le travail, et, certaines choses passent donc en second plan, ou carrément à la trappe. Ne serait-il pas le parfait timing pour ENFIN refaire votre site internet ? Remettre à jour votre catalogue ? Ou comme moi préparer votre mooc !!
    Vous êtes un roi de l’organisation, et tout est à jour ? Alors, pourquoi pas anticiper la prochaine année ? Planifier vos prochaines activités, ateliers, revoyez vos offres , prévoyez votre plan communication. Je peux vous l’assurer étant moi-même à mon compte, on trouve toujours quelque chose à faire.

    5 – On fait du SPORT :

    Pas la peine de vous cacher, je vous vois !! Hors de questions de rester tout ce temps, nos petites fesses sur le sofa. Je n’ai pas de tapis, je n’ai pas de poids….Pas d’excuses !! On prend deux bouteilles d’eau, et HOP des poids , on plie un plaid et HOP un tapis. Si vous ne restez pas active, vous serez un véritable flambi à la fin du confinement. De plus tout comme avoir une bonne alimentation, le sport booste le système immunitaire. Vous ne savez pas par où commencer ? Il existe un tas de chaîne YouTube qui vous propose des exercices sans matériel pour vous entraîner depuis la maison.
    On peut même créer des défis en famille pour rendre ça plus divertissant : 10 flexions à chaque fois qu’on passe une porte , 30 abdos quand on dit un gros-mot… À vous le choix des règles.

    6 – Je DORS :

    Vous en rêviez ? Et bien, vous avez finalement le temps pour. On profite à fond, et on exagère des grasses matinées !! Quitte à être stoppé autant recharger les batteries, pour un retour au TOP de la forme. Vous n’arrivez pas à dormir tard le matin ? Faites une courte sieste en début d’après-midi, essayez d’en faire de même avec vos enfants, elle en sera doublement reposante.
    Rien à faire vous êtes un hyper active, et pour vous dormir est une perte de temps ? Alors premièrement ne négligez pas l’importance du sommeil car cela permet de réguler notre stress, notre poids, et un corps reposé, est un corps qui se défendra mieux contre les attaques extérieures.
    Deuxièmement, si vous n’êtes vraiment pas un dormeur alors privilégiez un sommeil de qualité : on se couche-tôt car au cas où vous ne le saviez pas les heures avant minuit comptent double, et 30 minutes avant de dormir on coupe tous les écrans, on prend un livre afin d’avoir un sommeil le plus sain possible.

    7 – FINALEMENT finir mes lectures :

    Il y a le Marguerite Duras qui traîne dans la cuisine, le Dickens dans le salon, le dernier Donato Carisi sur votre table basse, et , un bon vieux Beigbeder au fond de votre sac…. Pour une moyenne de 30 pages par livre, pas vrai ? Je crois qu’il est à présent le moment parfait pour les finir. Entre le stress quotidien, et nos écrans divers, il est vrai que nous avions un peu laissé de côté la lecture donc on s’y remet en douceur. Si vous avez déjà fini toutes vos lectures, je proposerai chaque semaine une sélection de livres, de films, et de musiques sur mon compte Instagram @charlotte_vallet_
    Aussi, en commentaire, n’hésitez pas à nous faire profiter de vos coups de cœur, ça peut donner des idées à chacun.

    8- Je PROCRASTINE :

    Ça fait des mois que Netflix nous annonce toutes les sorties de nos séries préférée, mais on a pas une minute à nous, et on a déjà 3 saisons de retard. Même si il est important de rester actif durant le confinement, il n’y a AUCUNE culpabilité à s’autoriser quelques journées de « glandage ».
    Vous êtes contraint de rester chez vous, si vous ne vous le permettez pas maintenant, quand le feriez vous ? Alors on sort le popcorn, on allume Netflix, et on se remet à jour sur nos séries. Vous êtes plus films, que séries ? Dans ce cas-là, on revoit nos classiques, et ou on se fait des marathons type : Star Wars , Seigneur des Anneaux , Harry Potter …

    9 – Je trouve un moyen d’évacuer le stress du confinement :

    Chacun sa méthode, mais il très important de trouver un moyen de se détendre. Le confinement pour l’homme est une situation qui peut devenir très vite anxiogène. Pourquoi pas s’essayer au yoga ? Ou à la méditation ? N’hésitez pas aussi à contacter les spécialistes du bien-être ( thérapeutes, hypnothérapeutes, coach de vie … ) certains, comme moi, proposons des séances via Skype à fin de pouvoir répondre à vos besoins, dans une période où c’est essentiel pour certains.

    10 – Tenir un journal :

    Un journal ? Et, pourquoi pas ? Juste faire un point à la fin de chaque journée sur comment vous vivez la situation au jour le jour. Pourquoi ? La situation est stressante pour tout le monde, alors vos proches n’ont pas besoin d’écouter vos lamentations à longueur de journée. Mais d’un autre côté il est sain d’évacuer ses frustrations, alors on pose ça par écrit. Puis, je suis sure que d’ici quelques mois, ça vous fera bien rire de relire tout ça.

    J’espère que ce TOP vous aidera à relativiser un peu sur la situation, et, surtout vous donnera de nombreuses idées pour affronter le confinement.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • 30 ans et pas d’enfant… ?

    30 ans et pas d’enfant… ?

    Comment ça ? Vous avez 30 ans et vous n’avez pas d’enfant ? La plupart de vos copines en sont déjà au deuxième…Eh bien non ! Vous n’en avez pas. Et c’est votre choix.

    Les raisons peuvent être très différentes d’une femme à l’autre, mais une fois de plus, la société dans laquelle nous évoluons, nous laisse à penser que ne pas avoir d’enfant à 30 ans, ce n’est pas très « normal »…

    Pourtant, aujourd’hui, de plus en plus de femmes ayant la trentaine passée n’ont pas d’enfant voire n’en désire pas. Les grossesses tardives sont de plus en plus répandues et le nombre de naissances en baisse. Il ne fait d’ailleurs que baisser depuis 2015.

    Une question se pose alors : pouvons-nous vraiment parler de « normalité » ? En effet, la place des femmes dans la société et au travail ayant tellement changé ces dernières années n’est-ce pas tout simplement logique qu’il y ait une répercussion sur le taux de natalité, sur l’âge auquel elles tombent enceintes, mais aussi sur l’envie d’être mère tout simplement ?

    Pourtant, il semble encore très ancré (c’est même sûr) qu’il est dans la nature des choses d’avoir des enfants, et si possible avant 30 ans. Et encore plus, qu’il est normal d’avoir envie d’avoir un enfant. Serait-ce donc une obligation ? Voyons déjà ce qu’il en est en termes d’âge…

     

    Où en est-on sur l’âge moyen d’une première grossesse ?

     En 2015, l’âge moyen était de 28,5 ans (source INSEE). En 2017… devinez ?

    30,6 ans. Eh oui !

    Bien sûr, c’est une moyenne, et cela ne veut pas dire grand-chose. Si ce n’est tout de même que le constat est sans appel : les Françaises ont des enfants de plus en plus tardivement.

    L’institut National des études démographiques (INED) a publié, le 23 janvier 2019, une étude sur les maternités tardives. Le constat : de plus en plus de femmes font leur premier enfant la quarantaine passée. En 1984 ces grossesses représentaient seulement 0,5% contre 2 à 4,7% en 2014. On peut noter aussi une hausse de la natalité chez les femmes de plus de 50 ans. Elles étaient 287 en 2002 contre 1293 en 2016.

    Les principales causes de ce décalage dans le temps sont multiples selon l’étude :

    • Le fait que de plus en plus de femmes font des études supérieures longues
    • La difficulté d’entrer sur le marché du travail
    • Les postes à responsabilité qui se multiplient et qui laissent moins de temps
    • Les recruteurs qui ne souhaitent pas embaucher une femme de 25 ans sachant qu’elle va « tomber » enceinte.
    • L’hétérogénéité des parcours sentimentaux
    • La procréation médicalement assistée (PMA)
    • La généralisation de la contraception
    • Le recours de plus en plus fréquent à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG)
    • Etc.

    Des changements de mentalité assumés

     Hormis ces phénomènes, de nombreuses femmes assument également le fait de ne pas encore avoir d’enfant, et de ne pas en vouloir.

    La procréation n’est-elle pas liée à l’envie ou non d’avoir un enfant ? N’est-il pas mieux d’attendre lorsque l’on n’a pas l’envie d’en avoir un tout de suite même si nous avons passé la trentaine ? Des femmes témoignent :

    « Avoir un enfant pour se faire plaisir, et ne pas trouver le temps de s’en occuper comme il faudrait, est-ce une décision généreuse ? On m’a parfois prédit que je finirais seule, sans personne pour veiller sur moi lorsque je serai vieille. Je trouve bizarre de vouloir procréer pour combler sa peur du vide. Suis-je pour autant égoïste ? », « j’en ai marre de me justifier », « notre génération veut s’épanouir par elle-même avant tout, tout simplement. »

     « Si tu as la trentaine, que tu es une femme et que tu ne veux pas d’enfant, soit tu es douteuse soit tu vas “forcément changer d’avis”. Comme si la finalité de toute existence était de vouloir, que dis-je, de devoir procréer. Mais je ne vais pas faire d’enfants pour me tenir compagnie quand j’aurai 70 ans. », « Quand LA question a commencé à m’être posée, j’ai senti le piège se refermer. J’allais sur mes 30 ans, j’étais en couple depuis plus de trois ans, et j’avais sans arrêt le droit à : « C’est pour quand le bébé ? » »

    Pour résumer, on vous fait véritablement culpabiliser… et pourtant…

     Même si l’on n’y pense pas tous les jours, le fait de ne pas avoir d’enfant à 30 ans peut devenir peu à peu une source de stress… une charge mentale supplémentaire.

    Pourtant, si l’envie n’est pas là, il n’y a aucune raison de culpabiliser ! Et surtout de se sentir “obligée” !

    Pour vous déculpabiliser, voici quelques bonnes raisons de ne pas se forcer à avoir un enfant lorsque l’on n’est pas prête :

    • Vous devez tout de même avoir un travail stable et un salaire qui vous permettent d’accueillir l’enfant dans de bonnes conditions financières.
    • Vous devez prendre le temps de profiter à deux. Et bien sûr, de faire cet enfant avec un père que vous aimez et respectez.

    Mais surtout…

    L’enfant doit être voulu et attendu ! La fibre maternelle n’arrive pas forcément au même moment pour toutes les femmes.  Certaines ne l’ont même jamais.

    Pourtant, on peut voir des femmes, qui « casent » la conception d’un enfant en fonction de leur carrière professionnelle. Elle décide de le concevoir avant leur entrée dans le monde du travail. L’enfant est conçu pour ne pas être un obstacle à l’évolution professionnelle (la faute (en partie) aux mentalités des recruteurs). Résultat, l’enfant n’est pas réellement désiré… avec toutes les conséquences que cela peut avoir, et pour la mère (babyblues, dépression) et pour l’enfant qui, dès sa naissance, peut se sentir rejeté.

    Et puis, il y a celles qui refusent d’avoir un enfant tout simplement parce qu’elles ont pris conscience qu’élever correctement un enfant passe par des sacrifices qu’elles ne sont pas en mesure d’assumer. Et ça c’est plutôt noble.

    Puis, il y a celles qui ont peur de l’avenir, et qui se demandent s’il est raisonnable de faire un enfant dans le monde dans lequel nous vivons et vers lequel nous allons…

    Bref, comme pour beaucoup de choses dans la vie, peu importe la raison. Ce qu’il faut avant tout, c’est être en accord avec soi-même et ne pas se calquer sur « les autres ». La maternité n’est pas quelque chose que l’on peut prendre à la légère. De plus en plus de femmes commencent à refuser cette idée d’enfanter à tout prix. Et là encore, c’est plutôt une très bonne chose.

    Attention cependant aux risques des grossesses tardives

    Si les femmes primipares sont de plus en plus nombreuses à la trentaine voire à la quarantaine passée, certains risques existent :

    • Fausses couches
    • Malformation du fœtus
    • Trisomie 21

    Mais, là encore, pas de panique Mesdames ! À 30 ou 35 ans tous ces risques sont bien moindres qu’à 40 ou 45. De plus, les progrès de la médecine et les suivis médicaux renforcés nous permettent d’envisager des grossesses « tardives » sans souci.

    Alors ?

    Pas d’enfant à 30 ans ?

    Déculpabilisez… Avoir un enfant n’est pas une obligation !

    Bien au contraire…

    Vivez avant tout ce que vous désirez et non pas ce que « les autres » attendent de vous.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris