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  • Entre-soi : une prison invisible qui étouffe ton évolution

    Entre-soi : une prison invisible qui étouffe ton évolution

    L’entre-soi : la prison mentale de ceux qui refusent d’évoluer

    Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.

    Une question récurrente que de nombreuses femmes me posent est celle de l’entre-soi. Il s’agit d’un concept souvent lié à la recherche de sécurité et de confort, mais qui, au final, limite l’évolution personnelle. En effet, l’être humain évolue véritablement lorsqu’il se confronte à la différence et à de nouveaux défis. L’entre-soi devient un piège qui enferme l’egoet empêche toute remise en question nécessaire à l’épanouissement personnel. Rompre avec cet enfermement est une étape essentielle pour s’ouvrir à de nouvelles opportunités et vivre une vie plus authentique et épanouie.

    L’entre-soi : ce cocon confortable où l’on se sent bien parce que tout autour de soi répète les mêmes choses. C’est un club fermé, où tout est lissé, où l’on n’est pas challengé, où tout le monde pense pareil, vit pareil, et où tu n’es jamais mis face à la réalité du monde extérieur. C’est l’endroit où l’évolution s’étouffe. Et pourtant, l’illusion de sécurité que l’on y trouve est tellement tentante que peu de gens s’en échappent.

    Je l’ai vécu, cette fausse sécurité. Il m’a fallu du temps pour comprendre que l’évolution personnelle n’est pas simplement un processus linéaire où l’on avance dans un joli jardin, mais une bataille constante contre soi-même. Et pour cette bataille, il est essentiel de casser les murs de l’entre-soi. Ce n’est que lorsque tu t’ouvres à la différence, que tu mets tes convictions en péril, que tu te confrontes à l’inconnu, que ton humanité prend toute son ampleur.

    L’entre-soi : la zone de confort qui t’empêche d’évoluer

    L’entre-soi, c’est là où tu te perds dans tes habitudes, où tout te semble logique, compréhensible, mais où en réalité, tu es figé. Ce que je vois chez trop de gens aujourd’hui, c’est cette mauvaise habitude de s’entourer de gens qui leur ressemblent : même vision de la vie, même cercle social, même milieu. Tout est lissé. Tout est sûr. Mais rien n’évolue.

    Tu crois qu’en restant dans ton petit cercle tu vas grandir ? Tu crois que rester avec les mêmes gens va faire de toi un meilleur humain ? Non. L’évolution, ce n’est pas rester confortable, c’est sortir de la zone de confort, c’est tout remettre en question, c’est déranger tes certitudes.

    L’entre-soi est une zone où l’ego trouve refuge. Parce que dans cet espace clos, tes opinions, ton identité, ta manière de vivre sont validées, répétées, confortées. Mais en réalité, tu n’évolues pas. Tu t’agrippes à ta petite vérité comme si ta vie en dépendait, sans oser la confronter à autre chose. Et c’est cette peur de la confrontation qui t’empêche de grandir.

    Briser l’entre-soi : la liberté que peu de gens oseront connaître

    Tu te sens à l’aise avec tes amis, ta famille, tes collègues, mais et après ? Où es-tu quand tu fais face à des idées nouvelles, à des perspectives opposées, à des gens qui te bousculent ?

    Briser l’entre-soi, c’est accepter d’être mal à l’aise. C’est accepter la dissonance cognitive, c’est se mettre face à l’inconnu, et réaliser que ce n’est pas dans le confort que tu grandis. Le changement arrive quand tu fais sauter ces chaînes de la prévisibilité et que tu acceptes que ton monde intérieur doit se confronter à l’extérieur pour qu’il existe réellement.

    Briser l’entre-soi, c’est se libérer de l’illusion de la sécurité pour embrasser la vraie liberté. C’est comprendre que ta vérité n’est qu’une version parmi d’autres, et que c’est seulement quand tu écoutes l’autre, quand tu comprends l’autre, que tu commences vraiment à t’élargir.

    C’est se libérer de la petite bulle de confort dans laquelle tu es enfermé, et ça demande du courage. Le courage de confronter tes failles, de remettre en question tes croyances, d’ouvrir ton esprit à ce qui t’était jusque-là inconnu.

    La vérité qui dérange : si tu ne casses pas l’entre-soi, tu restes un esclave de toi-même

    Ose dire la vérité : le vrai danger, c’est d’avoir peur de l’évolution. La vraie menace, c’est de rester figé dans un monde où tu ne rencontres aucune remise en question. Ose admettre que tu vis dans un cocon de confort. La vérité, c’est que si tu ne brises pas les codes de l’entre-soi, tu te condamnes à rester stagnant. Et si tu refuses de voir ça, si tu choisis d’enfouir cette réalité sous un tapis confortable de « bien-être », alors tu choisis de rester esclave de tes habitudes. Tu choisis de ne pas grandir.

    C’est là que l’on meurt à petit feu. Dans l’entre-soi, tu t’auto-satisfais, mais tu t’éteins.

    Pourquoi il est essentiel de s’ouvrir à la différence : ton évolution ne commence que là

    L’ouverture à la différence, c’est la clé pour réinventer ton identité. Chaque fois que tu te confrontes à une idée différente, une culture différente, un autre mode de vie, tu es en train de t’ouvrir à un champ de possibilités infini. Tu es en train de voir que ce que tu crois vrai n’est pas nécessairement la seule vérité.

    C’est dans la confrontation que tu fais la rencontre avec toi-même. C’est dans le doute, dans la différence, dans l’inconfort que tu trouves la force de te transformer, de t’adapter, de t’élever. Ce processus est un défi quotidien, mais il est nécessaire pour que ton évolution ne soit pas un mirage.

    Ne pas se confronter à la différence, c’est risquer de rester figé dans une version limitée de soi-même, ne pas connaître la vraie profondeur de l’humain. C’est rester coincé dans une version dégradée de ce que tu pourrais être.

    L’essentiel : briser les codes, vivre hors des murs de l’entre-soi

    Si tu veux véritablement évoluer, il est préférable de sortir du cadre, casser les règles, et accepter l’imperfection. Oser la différence, oser être dérangé, oser remettre en question ce que tu sais, ce que tu crois, ce que tu fais. Briser l’entre-soi n’est pas une option, c’est une nécessité vitale. Si tu veux vraiment te rencontrer, tu dois d’abord oser t’écarter de ceux qui pensent comme toi.

    L’évolution personnelle commence là où l’entre-soi se termine. Ose briser les chaînes, choisis de sortir de cette prison, embrasse la différence et sois prêt à tout remettre en question. Parce qu’en fin de compte, le plus grand risque, c’est de ne pas risquer d’évoluer.

    Et si tu as le courage de faire ce saut, tu découvriras que, au-delà de l’inconfort, il y a une liberté absolue et une évolution sans fin.

    C’est ici que je t’accompagne par le biais de mes coaching.



    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

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  • Et si l’on parlait ego ?

    Et si l’on parlait ego ?

    Déjà sachez que le mot « ego » ne prend pas d’accent. Car comme l’a twitté Bernard Pivot, en 2018, « jamais d’accent sur le e de ego ! Ce serait un pléonasme puisqu’un ego ne cesse de mettre l’accent sur lui ».

    Eh oui, nous associons tous le mot « ego » à égoïste ou égocentrique, en tout cas à quelque chose de péjoratif, surtout quand il s’agit des autres. Mais nous avons tous notre part d’ego…

    C’est pourquoi j’ai souhaité faire un petit tour sur le sujet, et voir dans quelles mesures trop d’ego peut nuire non seulement à sa vie personnelle, professionnelle, sociale, mais aussi à celle des autres.

    C’est parti…

    Mais tout d’abord qu’est-ce que l’ego ?

    Il existe plusieurs définitions selon que l’on se place d’un point de vue philosophique ou psychologique. Mais nous n’allons pas dans cet article, entrer dans des définitions complexes. Soyons concret.

    Pour faire simple, on peut définir l’ego comme la représentation que l’on se fait de soi-même. L’image que l’on se renvoie. Le moi, plutôt le « moi je ».

    Selon les individus, on pourrait dire qu’il y a 3 types de manifestation de l’ego :

    • Ceux qui ont un ego « normal ». Ce qu’ils pensent d’eux-mêmes est en adéquation avec ce qu’ils sont.
    • Ceux qui ont un ego « sous-dimensionné ». Ce sont des gens qui ont toujours tendance à se sous-estimer.
    • Ceux qui ont un ego « surdimensionné ». À l’opposé des précédents, ils se surestiment.

    Tout est donc une question de dosage. Et sur ce plan, nous sommes tous très différents, et c’est très souvent lié à notre histoire.

    Si ceux qui ont un ego sous-dimensionné peuvent développer certains troubles dont je parlerai sûrement dans un prochain article, ceux qui ont un ego surdimensionné sont aussi à l’origine de troubles graves, qui ont parfois des conséquences graves, et pour eux et pour leur entourage.

    Ego, égoïste, égocentrique, narcissique : De quoi parle-t-on ?

    Bien sûr, il y a un lien entre ego, égoïste, égocentrique, puisqu’ils ont tous la même racine « ego » qui signifie « moi ».

    On pourrait dire :

    • Qu’un égoïste manipule les autres pour servir ses propres intérêts, sans pour autant se soucier de l’image qu’il renvoie aux autres.
    • Qu’un égocentrique est égoïste qui est en plus centré sur lui-même et sur l’image qu’il renvoie aux autres.
    • Qu’un narcissique relève de la pathologie. Il est à la fois égoïste et égocentrique avec, en plus, l’intention de nuire.

    Nous sommes tous un peu égoïstes et égocentriques. Nous pourrions également débattre de l’individualisme qui est encore une notion qui s’en rapproche. Mais ce n’est pas le sujet.

    Comment reconnaître un ego surdimensionné ?

    On parle d’ego surdimensionné lorsqu’un individu a une haute image de lui-même. Mais attention, il peut s’agir aussi d’un jugement porté par quelqu’un sur quelqu’un. En effet, la personne concernée n’en a pas forcément conscience.

    Mais quand elle en a conscience, elle se croit unique, indispensable.

    Voici quelques signes pour les reconnaître. Ces personnes :

    • Détestent avoir tort
    • Cherchent sans cesse de la reconnaissance
    • N’aiment pas l’imprévu
    • Ont une vision limitée des choses
    • Ne sont jamais responsables de rien
    • Se trouvent toujours des excuses

    Les psychologues attribuent souvent ces comportements à des blessures, à un manque de reconnaissance dans l’enfance. Ce qui fait, qu’arrivés à l’âge adulte, elles ont une soif d’exister à tout prix.

    On cite souvent comme exemples, les chefs d’entreprise qui ont une soif de tout contrôler et de vouloir plus et toujours plus, ou les hommes politiques qui ont une ambition démesurée.

    Mais si on critique souvent les personnes à l’ego développé, ce « défaut » est pour elles, porteur. Mais, encore une fois, tout est une question de mesure.

    Car si l’ego peut être un ami, il peut aussi être un véritable ennemi.

    Ego quand tu nous nuis…

    Trop d’ego dans la vie professionnelle

    Qui n’a pas rencontré Superman (ou Superwoman) dans sa vie professionnelle ? Il sait tout, il a tout fait, il ne parle que de lui, et en plus, c’est à lui que l’on doit tout.

    Quoi de plus insupportable que de côtoyer au quotidien ce genre d’individus. En tout cas, le sort qu’il leur est réservé n’est pas des plus enviables. S’ils peuvent briller un temps, ils se retrouvent souvent isolés, et ils finissent souvent par être confrontés à plus forts qu’eux. Et la chute peut être terrible.

    Au travail, mettre son ego de côté est fondamental lorsque l’on travaille en équipe. L’humilité paye souvent beaucoup plus.

    Trop d’ego dans la vie personnelle

    Comme au travail, vivre avec quelqu’un qui manifeste des signes d’égoïsme ou d’égocentrisme peut virer au calvaire surtout lorsque cela atteint le narcissisme. Et depuis quelques années, les articles sur les pervers narcissiques ne cessent de nous alerter sur les dangers de ce type de relations toxiques.

    L’ayant moi-même vécu, je suis bien placée pour en parler. D’ailleurs, je vous invite à lire mes deux articles sur ce thème, Ici, le premier, là, le second. On dit souvent que l’amour est un don de soi… Ego et amour sont donc deux mots complètement antinomiques.

    Si vous avez la malchance de rencontrer ou de vivre avec quelqu’un qui présente des signes d’égocentrisme… n’hésitez pas un seul instant. Prenez vos jambes à votre cou.

    Trop d’ego dans la vie sociale

    Dans la vie sociale, les réseaux sociaux n’ont pas arrangé les choses. Ils ont permis aux égocentriques non seulement de se dévoiler, mais de s’exprimer ouvertement. Qui n’a pas dans ses amis, celui ou celle qui publie (ce qu’il veut laisser paraître) pour chercher à se valoriser ou à chercher de l’admiration ?

    Je suis là (sous un parasol alors que vous bossez), j’ai fait ça (un super exploit), je pense ça (quel con celui qui ne pense pas comme moi), je suis belle (regardez comme je suis mince), voici ma nouvelle moto (bien posée devant l’Audi)… Les exemples ne manquent pas.

    je, je, je, ma, mon, moi…

    L’objectif étant double : se prouver et prouver aux autres que « j’existe » et obtenir le plus de « j’aime » possible pour en mettre plein la vue aux copains.

    Si, au début, on peut parfois porter un regard indifférent, à force, ça agace… et le mot est faible.

    Mais, il n’y a pas que sur les réseaux sociaux. On a tous en tête ce pote, en soirée, qui sait tout, qui a tout fait, et qui rentre dans une colère monstre quand on le contredit.

    Le résultat final est le même, à force, ces individus finissent par s’isoler socialement tant ils sont insupportables.

    L’avantage de « soigner » son ego

    Ce n’est pas si évident. Car comme dit plus haut, les individus ayant un ego surdimensionné n’en sont pas forcément conscients. Ce sont les autres qui le voient. Et lorsqu’ils en sont conscients, et compte tenu de leur personnalité, ils n’en voient pas les inconvénients.

    C’est pourquoi dans cet article, je m’adresse plutôt aux personnes qui sont plus ou moins conscientes que leur ego leur nuit. En général, cela se traduit souvent par de l’orgueil. Bien sûr, ce n’est pas si simple, mais sachez que plus vous vous vexez facilement, plus votre ego vous domine.

    Et je fais partie de ces personnes qui se vexent facilement. Et c’est un point que j’ai travaillé en Sophrologie, comme je vais vous l’expliquer dans le paragraphe suivant. Et depuis, je me sens mieux !

    On retrouve son libre arbitre

    Travailler sur son ego permet de se débarrasser des émotions négatives. On n’a pas sans cesse ce besoin de posséder, d’être reconnu… Car ses émotions créent beaucoup de frustrations quand les besoins ne sont pas assouvis. Moins on veut, moins on est déçu.

    On s’apaise

    Lorsque notre ego prend le dessus, on vit dans une pression permanente. On vit dans la compétition. Tout le monde est un rival. Un égocentrique n’est jamais satisfait, il lui faut toujours plus, toujours mieux, et on mène une véritable compétition avec soi-même et avec les autres.

    La vie n’est pas un ring de boxe. En tout cas, pas toujours ! Et la considérer comme tel engendre un stress permanent et bon nombre d’angoisses.

    On gagne en bienveillance, donc en respect des autres

    Ce n’est pas en essayant de montrer aux autres que l’on est le plus fort que l’on gagne leur respect, bien au contraire. On attise surtout la jalousie. En diminuant son ego, en étant plus tourné vers les autres, on a des retours beaucoup plus sincères.

    En quoi la sophrologie peut nous aider à mieux gérer notre ego ?

    Si vous ne connaissez pas la sophrologie, je vous invite à vous renseigner et surtout à lire mon prochain article sur ce sujet. Pour ce qui concerne le sujet traité aujourd’hui, la sophrologie peut aider à :

    • À regarder les autres de façon différente
    • À enclencher un processus inverse
    • À apprécier le quotidien, la vie
    • À voir le bien plutôt que le mal
    • Bref, à lâcher prise et à retrouver une véritable estime de soi.

    Si vous me suivez, vous savez que je suis sophrologue et que je peux soit vous aider, soit aider quelqu’un de votre entourage qui est concerné. N’hésitez pas à me contacter en MP.

    Conclusion

    L’ego peut donc se résumer à l’amour que nous nous portons et qui, quelque part, nous rassure. S’il est fondamental de se porter de l’amour et de se regarder avec bienveillance, il est également fondamental de ne pas se surestimer, ni se sous-estimer.

    L’ego peut être porteur mais trop d’ego peut être destructeur. C’est souvent la conséquence d’un mal-être très profond qui nécessite d’être pris en considération.

    N’hésitez pas à en parler pour vous libérer !

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue