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  • Entre-soi : une prison invisible qui étouffe ton évolution

    Entre-soi : une prison invisible qui étouffe ton évolution

    L’entre-soi : la prison mentale de ceux qui refusent d’évoluer

    Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.

    Une question récurrente que de nombreuses femmes me posent est celle de l’entre-soi. Il s’agit d’un concept souvent lié à la recherche de sécurité et de confort, mais qui, au final, limite l’évolution personnelle. En effet, l’être humain évolue véritablement lorsqu’il se confronte à la différence et à de nouveaux défis. L’entre-soi devient un piège qui enferme l’egoet empêche toute remise en question nécessaire à l’épanouissement personnel. Rompre avec cet enfermement est une étape essentielle pour s’ouvrir à de nouvelles opportunités et vivre une vie plus authentique et épanouie.

    L’entre-soi : ce cocon confortable où l’on se sent bien parce que tout autour de soi répète les mêmes choses. C’est un club fermé, où tout est lissé, où l’on n’est pas challengé, où tout le monde pense pareil, vit pareil, et où tu n’es jamais mis face à la réalité du monde extérieur. C’est l’endroit où l’évolution s’étouffe. Et pourtant, l’illusion de sécurité que l’on y trouve est tellement tentante que peu de gens s’en échappent.

    Je l’ai vécu, cette fausse sécurité. Il m’a fallu du temps pour comprendre que l’évolution personnelle n’est pas simplement un processus linéaire où l’on avance dans un joli jardin, mais une bataille constante contre soi-même. Et pour cette bataille, il est essentiel de casser les murs de l’entre-soi. Ce n’est que lorsque tu t’ouvres à la différence, que tu mets tes convictions en péril, que tu te confrontes à l’inconnu, que ton humanité prend toute son ampleur.

    L’entre-soi : la zone de confort qui t’empêche d’évoluer

    L’entre-soi, c’est là où tu te perds dans tes habitudes, où tout te semble logique, compréhensible, mais où en réalité, tu es figé. Ce que je vois chez trop de gens aujourd’hui, c’est cette mauvaise habitude de s’entourer de gens qui leur ressemblent : même vision de la vie, même cercle social, même milieu. Tout est lissé. Tout est sûr. Mais rien n’évolue.

    Tu crois qu’en restant dans ton petit cercle tu vas grandir ? Tu crois que rester avec les mêmes gens va faire de toi un meilleur humain ? Non. L’évolution, ce n’est pas rester confortable, c’est sortir de la zone de confort, c’est tout remettre en question, c’est déranger tes certitudes.

    L’entre-soi est une zone où l’ego trouve refuge. Parce que dans cet espace clos, tes opinions, ton identité, ta manière de vivre sont validées, répétées, confortées. Mais en réalité, tu n’évolues pas. Tu t’agrippes à ta petite vérité comme si ta vie en dépendait, sans oser la confronter à autre chose. Et c’est cette peur de la confrontation qui t’empêche de grandir.

    Briser l’entre-soi : la liberté que peu de gens oseront connaître

    Tu te sens à l’aise avec tes amis, ta famille, tes collègues, mais et après ? Où es-tu quand tu fais face à des idées nouvelles, à des perspectives opposées, à des gens qui te bousculent ?

    Briser l’entre-soi, c’est accepter d’être mal à l’aise. C’est accepter la dissonance cognitive, c’est se mettre face à l’inconnu, et réaliser que ce n’est pas dans le confort que tu grandis. Le changement arrive quand tu fais sauter ces chaînes de la prévisibilité et que tu acceptes que ton monde intérieur doit se confronter à l’extérieur pour qu’il existe réellement.

    Briser l’entre-soi, c’est se libérer de l’illusion de la sécurité pour embrasser la vraie liberté. C’est comprendre que ta vérité n’est qu’une version parmi d’autres, et que c’est seulement quand tu écoutes l’autre, quand tu comprends l’autre, que tu commences vraiment à t’élargir.

    C’est se libérer de la petite bulle de confort dans laquelle tu es enfermé, et ça demande du courage. Le courage de confronter tes failles, de remettre en question tes croyances, d’ouvrir ton esprit à ce qui t’était jusque-là inconnu.

    La vérité qui dérange : si tu ne casses pas l’entre-soi, tu restes un esclave de toi-même

    Ose dire la vérité : le vrai danger, c’est d’avoir peur de l’évolution. La vraie menace, c’est de rester figé dans un monde où tu ne rencontres aucune remise en question. Ose admettre que tu vis dans un cocon de confort. La vérité, c’est que si tu ne brises pas les codes de l’entre-soi, tu te condamnes à rester stagnant. Et si tu refuses de voir ça, si tu choisis d’enfouir cette réalité sous un tapis confortable de « bien-être », alors tu choisis de rester esclave de tes habitudes. Tu choisis de ne pas grandir.

    C’est là que l’on meurt à petit feu. Dans l’entre-soi, tu t’auto-satisfais, mais tu t’éteins.

    Pourquoi il est essentiel de s’ouvrir à la différence : ton évolution ne commence que là

    L’ouverture à la différence, c’est la clé pour réinventer ton identité. Chaque fois que tu te confrontes à une idée différente, une culture différente, un autre mode de vie, tu es en train de t’ouvrir à un champ de possibilités infini. Tu es en train de voir que ce que tu crois vrai n’est pas nécessairement la seule vérité.

    C’est dans la confrontation que tu fais la rencontre avec toi-même. C’est dans le doute, dans la différence, dans l’inconfort que tu trouves la force de te transformer, de t’adapter, de t’élever. Ce processus est un défi quotidien, mais il est nécessaire pour que ton évolution ne soit pas un mirage.

    Ne pas se confronter à la différence, c’est risquer de rester figé dans une version limitée de soi-même, ne pas connaître la vraie profondeur de l’humain. C’est rester coincé dans une version dégradée de ce que tu pourrais être.

    L’essentiel : briser les codes, vivre hors des murs de l’entre-soi

    Si tu veux véritablement évoluer, il est préférable de sortir du cadre, casser les règles, et accepter l’imperfection. Oser la différence, oser être dérangé, oser remettre en question ce que tu sais, ce que tu crois, ce que tu fais. Briser l’entre-soi n’est pas une option, c’est une nécessité vitale. Si tu veux vraiment te rencontrer, tu dois d’abord oser t’écarter de ceux qui pensent comme toi.

    L’évolution personnelle commence là où l’entre-soi se termine. Ose briser les chaînes, choisis de sortir de cette prison, embrasse la différence et sois prêt à tout remettre en question. Parce qu’en fin de compte, le plus grand risque, c’est de ne pas risquer d’évoluer.

    Et si tu as le courage de faire ce saut, tu découvriras que, au-delà de l’inconfort, il y a une liberté absolue et une évolution sans fin.

    C’est ici que je t’accompagne par le biais de mes coaching.



    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

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  • Attire des relations authentiques : le secret pour une évolution personnelle époustouflante

    Attire des relations authentiques : le secret pour une évolution personnelle époustouflante

    Et si la qualité des relations que tu attires était le reflet direct de ton travail sur toi-même ? Pour attirer des relations alignées avec ton évolution personnelle, il est temps de couper avec ce qui ne te nourrit plus. Découvre comment libérer de l’espace en toi et autour de toi pour créer des liens authentiques et enrichissants qui propulseront ta croissance.

    La qualité des personnes que tu attires : le miroir de ton travail personnel

    Depuis plus de 15 ans, j’ai consacré une grande partie de ma vie à un travail acharné sur moi-même. Chaque jour, j’ai fait face à mes zones d’ombre, mes croyances limitantes, mes blessures et mes peurs, en les transformant en leviers pour grandir. Ce travail constant m’a permis de bâtir une exigence élevée envers moi-même, une remise en question permanente.

    Si tu veux attirer des personnes qui élèvent ton énergie, qui partagent ta vision et tes valeurs, il faut commencer par un principe fondamental : couper avec tout ce qui ne te convient plus. Si tu veux que de nouvelles opportunités, de nouvelles relations plus nourrissantes entrent dans ta vie, il est essentiel de libérer de l’espace en toi et autour de toi. Ce n’est qu’en lâchant ce qui te tire vers le bas, ce qui te freine ou t’épuise, que tu peux faire de la place pour ce qui te permet de grandir.

    Le miroir des relations : ce que tu attires est le reflet de toi-même

    La qualité des personnes que tu attires dans ta vie est un miroir direct de ce que tu es aujourd’hui, de ton travail intérieur, de tes standards. Si tu veux des relations plus authentiques, des personnes inspirantes et ambitieuses, commence par être cette personne toi-même. Il n’y a pas de secret : tu attires ce que tu es prêt à devenir. Et ce que tu es aujourd’hui résulte directement de ton travail sur toi-même, de ton niveau d’exigence et de remise en question.

    Lorsque tu t’engages dans un chemin de développement personnel, de transformation, de guérison et de dépassement de soi, tu vas commencer à attirer des personnes qui partagent cette même quête de croissance. Mais pour cela, il est crucial de faire le ménage dans ta vie, d’éliminer ce qui te tire vers le bas, de te séparer de ce qui ne correspond plus à ta vision, à tes objectifs.

    Il n’y a pas de place pour les relations superficielles, pour les personnes qui ne sont pas prêtes à évoluer avec toi. Si tu restes entouré de ceux qui stagnent, de ceux qui ne veulent pas se remettre en question, chaque interaction devient une perte d’énergie. Chaque rencontre avec eux est un frein à ton épanouissement. Là où il n’y a pas de mouvement, il y a de l’épuisement. Et plus tu restes dans ces relations, plus tu freines ton propre élan.

    Une exigence élevée : pourquoi il faut couper avec ce qui ne te sert plus

    J’ai appris à la dure que se respecter, c’est savoir couper avec ce qui ne te convient plus. Cette démarche est cruciale pour éviter que tes ressources émotionnelles et énergétiques ne soient épuisées par des relations ou des situations qui te freinent. Couper n’est pas toujours facile, mais c’est nécessaire. Il ne s’agit pas seulement d’éliminer des personnes toxiques, mais aussi de t’éloigner des relations qui, même si elles ne sont pas négatives, ne te permettent pas de grandir. Ces relations te maintiennent dans un certain confort, mais elles t’empêchent d’aller plus loin.

    J’ai compris que pour avancer, il faut savoir laisser partir ce qui ne fait plus sens, ce qui ne résonne plus avec l’adulte que tu es devenu. Cette coupe est salutaire, car elle crée de l’espace pour que de nouvelles personnes arrivent, des personnes qui partagent ton désir de te réinventer, des personnes prêtes à faire le même travail sur elles-mêmes.

    Se respecter, c’est savoir dire non à ce qui ne nourrit plus ton âme, même si ça fait mal ou si c’est difficile. Mais au final, cette coupe permet d’apporter un renouveau. En te détachant de ce qui t’alourdit, tu ouvres la porte à de nouvelles énergies, à des relations plus profondes et plus nourrissantes.

    Le pouvoir de l’exigence : attirer des personnes qui t’élèvent

    L’exigence que je mets dans mon travail sur moi-même, et dans les relations que je choisis de nourrir, me permet aujourd’hui d’attirer des personnes exceptionnelles. Ceux qui partagent ma vision, mon ambition, mes valeurs, ce sont eux que je souhaite avoir près de moi. Et je ne peux le faire que parce que j’ai eu le courage de couper avec tout ce qui ne me correspondait plus, de me libérer des relations qui ne m’apportaient pas cette même volonté de grandir.

    Ces personnes sont comme des alliés dans ma quête de transformation. Elles m’encouragent à aller plus loin, me challengent, m’inspirent à être une meilleure version de moi-même chaque jour. Les relations qui t’élèvent sont basées sur une énergie commune, sur une volonté partagée de se dépasser et de grandir. Et pour les attirer, il est impératif de faire le vide et de se débarrasser de tout ce qui n’est plus aligné avec qui tu veux devenir.

    Se réinventer : pourquoi faire de la place est essentiel

    Pour se réinventer, il est nécessaire de créer de l’espace. De l’espace dans tes pensées, dans tes émotions, et dans tes relations. Couper avec ce qui ne te convient pas est un acte radical, mais c’est un acte d’amour de soi. Sans cela, tu risquerais de continuer à répéter des schémas du passé, d’attirer les mêmes types de personnes et de situations, de tourner en rond sans jamais avancer et finalement ne jamais attirer des relations alignées avec toi.

    Le plus beau dans tout ça, c’est que cette coupure fait de la place à ce qui est réellement aligné avec tes aspirations profondes. Elle te permet de faire entrer dans ta vie des relations authentiques et enrichissantes. En lâchant ce qui ne fonctionne plus, tu libères de l’espace pour la liberté, la croissance et la créativité.

    Conclusion : attirer des relations alignées qui nourrissent ton évolution

    En définitive, les relations que tu attires sont un reflet direct du travail que tu fais sur toi-même. Si tu choisis de t’engager dans un travail profond sur toi-même, si tu fais preuve d’une exigence sans faille, tu commenceras à attirer des personnes qui sont dans la même démarche. Mais pour cela, il est essentiel de couper avec tout ce qui ne te convient plus. Laisse partir ce qui te freine et crée de la place pour des relations qui t’élèvent, qui t’inspirent et qui nourrissent ton évolution.

    N’aie pas peur de te libérer de ce qui ne résonne plus avec toi. Couper, c’est grandir. Et grandir, c’est attirer des relations qui te soutiennent et te propulsent dans la direction de tes rêves.

    Alors, prends la décision de te respecter, de t’entourer uniquement de personnes qui partagent tes valeurs, et commence dès aujourd’hui à couper avec ce qui te tire vers le bas. La véritable transformation commence là où les vieux schémas s’effondrent et où tu choisis, enfin, de créer l’espace nécessaire à ta propre évolution.

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  • Relation entre classes sociales et développement personnel : absolument comprendre leur impact

    Relation entre classes sociales et développement personnel : absolument comprendre leur impact

    Les classes sociales influencent bien plus que notre position économique : elles façonnent notre identité, nos comportements et notre vision du monde. En comprenant la relation entre classes sociales et développement personnel, découvrez comment ces dynamiques peuvent devenir un levier puissant pour mieux se connaître et contribuer à une évolution collective harmonieuse.

    Les classes sociales : un miroir pour l’individu et un catalyseur pour le collectif

    L’une des vérités souvent ignorées, mais pourtant fondamentales, est que les classes sociales jouent un rôle crucial dans le processus de connaissance de soi. Trop souvent abordées sous un angle strictement économique ou politique, les classes sociales sont bien plus que cela. Elles sont un terrain fertile pour l’épanouissement individuel, un miroir qui nous permet de comprendre notre identité, nos valeurs et nos limitations. Mais ce n’est pas tout : c’est également à travers l’individu que le collectif se renforce et trouve sa véritable force.

    Les classes sociales : un reflet de soi

    Les classes sociales représentent bien plus qu’une simple catégorisation économique. Elles façonnent nos interactions, nos croyances et la manière dont nous percevons le monde. L’identité d’un individu est souvent marquée par son environnement social, les normes collectives auxquelles il est confronté et les valeurs transmises au sein de sa classe sociale. Ce cadre social, qu’il soit bourgeois, populaire, ou de toute autre catégorie, agit comme un miroir : il nous révèle des aspects de notre personnalité que nous n’aurions peut-être pas perçus autrement.

    En prenant du recul et en analysant nos propres origines sociales, nous pouvons mieux comprendre pourquoi nous réagissons de telle ou telle manière dans certains contextes. Par exemple, un individu issu d’un milieu modeste peut être plus sensible aux inégalités, tandis qu’une personne issue de la bourgeoisie peut avoir des réflexes plus ancrés dans le conformisme. Les classes sociales influencent nos comportements et attitudes, et il est essentiel de les comprendre pour mieux se connaître.

    Le collectif : un terreau pour l’individu

    Le collectif joue un rôle tout aussi crucial dans ce processus de connaissance de soi. En effet, c’est à travers l’appartenance à une classe sociale, un groupe ou une communauté que l’individu développe sa compréhension de lui-même. Nous apprenons à nous définir par rapport à ce que nous vivons collectivement : dans une société, à une époque donnée, au sein d’une classe sociale. L’échange, la solidarité et parfois même la confrontation entre les membres d’un même groupe façonnent notre vision de nous-mêmes et des autres.

    Dans ce cadre, l’individu est une partie intégrante du collectif. Ce dernier lui permet de se situer, de comprendre où il se trouve dans la société et de tester sa propre résilience, créativité et capacité à s’adapter. Le collectif aide à nourrir l’individu en l’ancrant dans une réalité partagée, en lui offrant un cadre de références communes. Comprendre la relation entre classes sociales et développement personnel. C’est au sein de ces interactions sociales qu’un individu peut se sentir en sécurité, s’affirmer et trouver des pistes pour évoluer.

    Le collectif permet également à l’individu de s’affirmer par contrastes. L’interaction avec les autres met en lumière ce qui nous distingue, mais aussi ce qui nous lie. C’est à travers ce jeu complexe entre similitudes et différences que se révèle la véritable force du collectif : un reflet dynamique qui aide l’individu à se connaître en profondeur.

    L’individu qui se connaît bien : un pilier pour le collectif

    Cependant, l’individu qui se connaît bien joue un rôle encore plus important dans l’équation. Car une fois que l’individu a pris conscience de ses forces, de ses faiblesses, de ses croyances et de ses limitations personnelles, il devient un véritable acteur de changement pour le collectif. Un individu bien équilibré et conscient de lui-même peut apporter sa contribution de manière plus efficace à la société. Il devient un catalyseur pour l’évolution collective.

    Comprendre la relation entre classes sociales et développement personnel

    Lorsqu’une personne travaille sur elle-même, prend du temps pour développer son intelligence émotionnelle, sa conscience de soi et ses capacités relationnelles, elle aide indirectement le collectif dans lequel elle évolue. Ce n’est qu’en devenant un individu pleinement épanoui, avec une bonne connaissance de soi, que l’on peut véritablement contribuer au bien-être général.

    Un individu qui se connaît et qui comprend les dynamics de classes sociales sera capable de créer des ponts, d’agir avec empathie et d’apporter de nouvelles perspectives à son groupe. Il maîtrise la relation entre classes sociales et développement personnel. Il sera également plus à même de remettre en question les normes injustes et de contribuer à un changement profond et positif pour la société. Le collectif bénéficie de l’évolution de chaque individu qui a pris le temps de comprendre son propre rôle et de se libérer des limitations imposées par sa classe sociale d’origine.

    Les bénéfices d’une connaissance profonde de soi dans le contexte social

    • Compréhension et acceptation des différences : Un individu qui a exploré son environnement social, compris son propre conditionnement, et pris conscience de ses biais aura une meilleure capacité à accepter et à respecter les différences des autres.
    • Évolution collective par l’épanouissement personnel : Lorsqu’un individu se sent libéré de ses limitations, qu’il ait grandi dans une famille pauvre ou riche, il peut ensuite utiliser sa connaissance de lui-même pour contribuer à la société de manière plus éclairée et plus constructive.
    • Renforcement du lien social : La meilleure compréhension de soi et des autres crée des relations plus authentiques. Une personne qui se connaît bien saura comment apporter de l’énergie positive au collectif, qu’il s’agisse d’une famille, d’un lieu de travail ou d’une société en général.

    Conclusion : l’individu et le collectif, un tandem indissociable

    Les classes sociales ne sont pas seulement une question de position économique. Elles sont une clé essentielle pour se connaître soi-même et comprendre son propre rôle au sein de la société. C’est pour cela qu’on évoque souvent la relation entre classes sociales et développement personnel. Connaître ses racines sociales permet de mieux comprendre les forces qui nous façonnent et de nous libérer des schémas limitants.

    Dans ce processus, le collectif joue un rôle fondamental en nous offrant un cadre de référence pour grandir. Mais l’individu, lui, doit aussi se libérer des carcans de sa classe sociale pour véritablement évoluer. C’est à ce moment-là qu’il peut offrir au collectif sa pleine contribution et participer activement à l’évolution sociale.

    Commencez dès aujourd’hui à mieux vous connaître, à explorer vos origines, et à comprendre l’impact des classes sociales sur votre vie. C’est le premier pas pour créer une société plus harmonieuse, évolutive, et épanouie.

    Prenez le contrôle de votre évolution personnelle et sociale

    Si vous souhaitez aller plus loin dans votre connaissance de soi et dans votre évolution personnelle afin de comprendre la relation entre classes sociales et développement personnel, je vous invite à découvrir mes programmes de coaching personnalisé. Ensemble, nous pourrons explorer vos racines sociales, travailler sur vos croyances limitantes et vous aider à libérer tout votre potentiel, pour que vous puissiez apporter une contribution authentique et positive à la société.

    Cliquez ici pour réserver votre session de coaching personnalisé et commencer votre transformation dès aujourd’hui.

     

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  • TOP 10 DES LIVRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

    TOP 10 DES LIVRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

    Cette période de confinement nous laisse un peu plus de temps que d’habitude pour nos passes-temps. Vous appréciez la lecture ? Alors pourquoi ne pas lire des livres qui vous feront du bien ? Voici mon Top 10 des livres de développement personnel !!

    1) “Le pouvoir du moment présent” – Eckhart Tolle

    Dans ce livre vous découvrirez le pouvoir du moment présent, et surtout comment le vivre pleinement vous permettra d’être enfin totalement et durablement heureux !!
    Vous apprendrez aussi à :

    • Utiliser votre mental et à vous en libérer
    • Trouver des clés pour vivre dans le présent
    • Ne plus souffrir inutilement
    • Améliorer vos relations avec les autres
    • Lâcher prise.

    À 29 ans, Eckhart Tolle fait une expérience si intense qu’elle change radicalement le cours de sa vie et lui permet de sortir d’une longue dépression : c’est le début d’un cheminement intérieur qui l’amène à devenir guide spirituel. Dans Le pouvoir du moment présent, il raconte son vécu et il tente d’aider ce dernier à se débarrasser des pensées encombrantes, à se libérer de son mental et à être heureux.

    2) “La semaine de 4 heures” – Timothy Ferriss

    Écrivain et entrepreneur américain, Timothy Ferriss est né le 20 juillet 1977 à East Hampton, New York. En 2007, il publie son premier best-seller, “La Semaine de 4 heures”, qui prône le concept d’ignorance sélective comme méthode de développement personnel.
    Dans ce livre il démontre que le travail n’est pas un but en soi, mais un moyen de gagner de l’argent. Et s’il permet parfois de se réaliser, la plupart du temps, il est abrutissant et ennuyeux. Réduire drastiquement le temps passé au travail est donc essentiel : vous vous réapproprierez votre liberté et agirez selon votre désir.

    Vous apprendrez aussi comment :

    Échapper à la routine métro-boulot-dodo

    Recruter une armée d’assistants dévoués

    Avoir du temps libre à ne plus savoir qu’en faire

    Réaliser vos rêves sans attendre la retraite

    Vivre comme un nomade des temps modernes

    3) “L’art subtile de s’en foutre” – Mark Manson

    “L’art subtil de s’en foutre : Un guide à contre-courant pour être soi-même” : Mark Manson nous propose de sortir du discours cliché du développement personnel qui consiste à nous pousser à toujours être le “meilleur” ou le “plus”, en pratiquant l’art subtil de s’en foutre, autrement dit en arrêtant de focaliser sur des choses qui ne sont pas essentielles dans notre vie.

    Vous apprendrez comment :

    Être plus indulgent avec vous-même

    Se détacher du regard de l’autre

    Clarifier nos choix de vie et faire le tri entre ce à quoi nous choisissons d’accorder de l’importance ou pas.

    4) “L’Alchimiste” – Paolo Coelho

    « Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
    Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
    Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs. »

    Ici l’auteur nous invite à retrouver l’enfant qui est en nous, et découvrir notre « légende personnelle » pour se recentrer avec qui nous sommes vraiment.

    5) “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”- Stéphane Covey

    Stephen R. Covey est vice-président de Franklin Covey Co. et enseigne les méthodes de Vie centrée sur les principes et le Leadership centré sur les principes. Il est également le fondateur et l’ancien directeur général du Covey Leadership Center. Il a écrit de nombreux ouvrages. Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent a été un best-seller durant de nombreuses
    Il nous présente dans ce livre les habitudes à prendre pour nous mener au succès :

    1- Ils prennent des initiatives. ‘Soyez proactifs.’
    2- Ils se concentrent sur des objectifs. ‘Sachez dès le départ où vous voulez aller.’
    3- Ils fixent des priorités. ‘Donnez la priorité aux priorités.’
    4- Ils ne gagnent que quand les autres gagnent. ‘Pensez gagnant/gagnant.’
    5- Ils communiquent. ‘Cherchez d’abord à comprendre, ensuite à être compris.’
    6- Ils coopèrent. ‘Profitez de la synergie.’

    6) “La huitième habitude” – Stéphane Covey

    Suite de “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”. Montre que le challenge crucial de tout individu, aujourd’hui, est de trouver sa place dans toute organisation et de permettre à ceux qui l’entourent (dans la sphère professionnelle, familiale ou amicale) de trouver la leur..
    Grâce au livre « la 8 habitude » Stephen Covey, vous allez découvrir les clés pour trouver votre « voix»
    La 8e habitude vous apportera les outils pour vous épanouir: comprendre votre vraie nature, l’exprimer au travail et dans votre vie personnelle, et inciter les autres à faire de même.

    7) “L’intelligence émotionnelle” – Daniel Goldman

    ” Les émotions sont indispensables à la pensée, tant pour prendre des décisions sages, que tout simplement pour réfléchir de façon plus claire.”
    Cet ouvrage de Daniel Goleman a sensibilisé des millions de lecteurs au concept d’intelligence émotionnelle, qu’il définit lui-même comme étant la somme des compétences mentales et des traits de personnalité qui contribueraient à 80 % de la réussite dans notre vie. Les aptitudes telles que la connaissance de soi et l’auto-motivation sont inculquées (ou détruites) durant l’enfance, mais Goleman soutient que ces compétences peuvent encore être acquises et mises en pratique à l’âge adulte.

    Pourquoi certaines personnes intelligentes échouent dans la vie, alors que d’autres, au QI plus modeste, réussissent mieux ? Les réponses résident dans un ensemble d’aptitudes désignées par le therme « intelligence émotionnelle »

    8) “Comme par magie, vivre sa créativité sans la craindre”, Elizabeth Gilbert

    Dans ce livre , l’auteure nous encourage à aller à la recherche de notre inspiration.
    Elle nous montre comment réaliser ce que nous aimons le plus et comment tenir tête à ce qui nous fait le plus peur. Que nous souhaitions écrire un livre, relever de nouveaux défis professionnels, poursuivre un rêve trop longtemps mis de côté ou simplement insuffler un peu plus de passion dans notre quotidien, Comme par magie nous ouvre les portes d’un monde de bonheur.

    9) “Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une”, Raphaëlle Giordano

    Ce livre me semble particulièrement intéressant au vue de la période.

    « Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce. À travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…»

    Au travers de l’histoire de Camille, apprenez vous-même à reprendre contrôle de votre vie, et finalement réaliser vos rêves !!

    10) “La philosophie expliquée à ma fille” – Roger Pol

    Dans un registre un peu différent, pourquoi ne pas introduire la philo à vos ados ?
    Dans ce livre l’auteur au travers d’une conversation entre un père, et sa fille explique et pose les bases de la philosophie de manière simple et éducative.
    Philosophie ? Un mot qui fait souvent peur. On imagine des questions compliquées, des livres dont on ne comprend même pas le titre, un vocabulaire énigmatique. Ce ne serait pas une activité pour tout le monde. On se trompe, en croyant cela car tout le monde s’interroge sur le sens de la vie, sur la mort, la justice, la liberté…
    Ici, l’auteur nous prouve que la philosophie n’est donc pas un casse-tête, mais une activité qu’on peut pratiquer comme la musique ou le sport : en débutant, en amateur ou en professionnel. L’essentiel est de bien commencer… Et pour cela ce livre est juste parfait, et cela même si vous n’êtes plus un ado.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_

    Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.

  • Le confinement ou LE GRAND NOUVEAU DÉPART !!

    Le confinement ou LE GRAND NOUVEAU DÉPART !!

    Et, si, je vous disais que c’est le début d’un nouveau départ.
    Le début d’une nouvelle ère… un repli sur soi et une prise de conscience générale qui va faire du bien.

    Nous sommes plusieurs à avoir été interpelés par la longue durée du confinement imposée , un peu comme si la vie s’arrêtait durant un moment ou que les rues qui nous entourent deviendraient sou peu les rues d’une ville fantôme.
    Un peu comme si dorénavant nous n’existons plus et que nous allons nous éteindre sur une courte période.
    C’est ce qui prouve à quel point nous sommes bien plus dans le « faire » que dans « l’être » au quotidien.
    Sauf que Socrate disait si bien « connais toi toi même »C’est alors le moment pour vraiment écouter notre corps, nos émotions et ce qu’ils nous demandent.
    Et c’est sans doute de ce confinement qu’ils ont besoin. Et cela depuis bien trop longtemps !

    Pourquoi ? Vous voulez savoir pourquoi ?

    1) Apprendre finalement à s’écouter

    Ça fait des mois et des mois qu’on se promet d’écouter notre corps et notre esprit mais qu’on ne le fait pas. Des mois qu’on se persuade que nous avons besoin de repos mais que nous dormons seulement 4h à 6h max pas nuit. Alors, en cette période on écoute son corps et ses besoins. Pour ça rien de plus simple que suivre son horloge corporelle. Vous vous sentez HS des 20H ? alors allez vous coucher !! On enlève son réveil, et on privilégie le naturel : si on se réveille en forme dès 7h alors on se lève , si au contraire on se lève à 11h c’est bien aussi. Si vous vous réveillez tard, ou si vous avez sommeil assez tôt, c’est sûrement le signe d’une fatigue de fond. Alors on profite de cette période de calme pour apprendre à écouter les signes que notre corps nous donne, et on se promet de ne plus jamais les ignorer.

    2) Découvrir, ou redécouvrir son partenaire

    En cette période de confinement, vous vous rendrez sûrement compte qu’il y a encore pleins de choses que vous ne savez pas sur votre partenaire. Ne serait-il pas le moment parfait, pour redécouvrir son/sa chérie ? Au fil du temps, les gens évoluent, les besoins et les envies d’hier ne sont plus forcément ceux d’aujourd’hui. Alors quels sont ses rêves, et ses projets pour demain ? De quoi il ou elle a besoin dans sa vie aujourd’hui. Il est temps de donner une bouffée d’air frais nécessaire à votre relation. De plus, pour les jeunes couples ou ceux qui n’ont pas l’habitude de vivre ensemble, cela vous permettra de voir tous les aspects de la personnalité de votre compagnon.
    Dans tous les cas, cette situation n’en sera que bénéfique pour vous : ou votre couple se renforcera, ou, alors cela vous permettra de réaliser que vous n’êtes plus épanouie dans cette relation, et vous pourrez donc prendre un nouveau départ, peut-être plus sain pour vous-même.

    3) Envisager de nouveaux horizons

    Ça fait des mois qu’on souhaite quitter son travail, mais qu’on ne le fait pas car nous avons peur de la suite ? Si il y a bien UNE chose que nous devons retenir de toute cette situation, c’est que dans la vie rien n’est prévisible, rien n’est écrit , et rien ne se contrôle Comme vous pouvez le voir en ce moment , dans la vie on est prévoit rien. En l’occurrence , la seule chose qu’on peut contrôler c’est nos envies les plus chères. Laissons nos peurs inutiles de côté , à fin de pouvoir se réaliser. Vous allez vite prendre conscience de si votre travail vous manque ou pas. Dans le cas où vous ne vous sentiriez plus en phase avec celui-ci, il est peut-être temps de penser à une reconversion professionnelle.

    4) Printemps, saison du foie, on le nettoie.

    D’ici quelques jours ce sera le printemps. Les arbres retrouvent leurs feuilles, les animaux sortent de leurs cachettes, les fleurs poussent, bref la nature s’éveille !! Le printemps,c’est la saison du renouveau, et un mouvement similaire s’opère dans notre corps , et ceci a un impact particulièrement sur notre foie. Voilà pourquoi, il faut effectuer un grand nettoyage.
    Sauf qu’avec nos vies à 100 à l’heure , on a vraiment d’autres priorités.
    Et pourtant entre nos excès du week-end, les sandwichs sur le pouce à midi , et la fatigue chronique… il en aurait bien besoin. Pendant cette période on fait une cure de détox grâce à des plantes : pissenlit, artichaut, radis noir, romarin, que ce soit dans vos plats, ou en infusion on les consomme à l’excès pendant quelques jours. Bien évidemment pendant cette cure on s’interdit tout genre d’excès, on peut aussi penser à de courtes périodes de jeûne ( toujours après avoir consulté son médecin). Pour désintoxiquer votre foie quotidiennement, et même votre corps en règle générale, je vous recommande de mélanger le jus d’un citron avec de l’eau chaude, et en boire un grand verre tous les matins à jeûn.

    5) Et puis pour toutes les autres cures jamais tenues.

    Puisque c’est une période de renouveau, on change nos mauvaises habitudes !!
    C’est finalement le moment pour débuter des programmes et des vrais, et surtout les finir !!
    Que ce soit : 45 jours pour développer des abdos en béton
    45 jours pour s’aimer
    45 jours pour prendre son complément pour la peau
    45 jours de vitamines et de fruits et légumes

    Chacun son programme, chacun ses objectifs. Même si les début peuvent être difficiles, faites-vous confiance et vous verrez les résultats d’ici peu. Vous vous rendrez compte qu’il n’y a pas de meilleure satisfaction, qu’aller au bout des choses.

    6) Mettre de l’ordre dans nos comptes.


    Tu ne sais plus où tu en es dans tes comptes car tu es dépassé par le temps et le quotidien.
    C’est donc le moment pour t’occuper de tout cela au calme. Comme on l’a dit précédemment, cette période nous montre que rien n’est prévisible , alors on en profite pour faire un point sur notre situation financière, et , on essaie de mieux s’organiser. En cherchant un peu vous vous rendre compte qu’il y a énormément d’applications pour vous aidez à gérer votre budget : Bankin’, Linxo, Money board, et j’en passe…

    7) Ne pas oublier de dire aux gens qu’on les aime.

    Et si, en cette période de confinement on se promettait de ne plus oublier d’exprimer notre amour à nos proches.
    Alors, on envoie un message par jour à une personne qu’on aime, on prend des nouvelles des amis qu’on a négligés, et on recontacte une personne avec qui on a coupé court et qu’on regrette.

    8) On fait du trie dans nos vies, et dans nos amis.

    Puisqu’on fait du ménage, faisons aussi du tri dans nos cercles d’amis. Il y en a marre des personnes égoïstes, égocentriques… Marre des personnes qui ont besoin de rabaisser les autres pour se sentir existé, marre des personnes fermées d’esprit. Toutes ces relations toxiques ne mènent à rien, si ce n’est à nous faire perdre du temps, et de l’énergie. Après une bonne discussion avec les concerner, on prend son portable, on ouvre Facebook, Instagram et on supprime toutes les personnes qui sont malsaines pour nos vies. Je vous entends déjà mais c’est ridicule de supprimer les personnes des réseaux sociaux, ça fait très enfantin… Absolument pas, c’est symbolique : je te supprime de ma vie « virtuelle», je te supprime de ma vie réelle. Il est parfois dur d’ouvrir les yeux sur les gens, mais vous ne vous sentirez que mieux une fois débarrasser des relations toxiques.

    9) Le moment pour enfin respirer car on ne sait pas le faire.

    Comment ça apprendre à respirer ? Et, oui !! Tout comme toi j’ai été surprise de l’apprendre, la plupart d’entre nous ne savent pas respirer. Sur le moment, on se sent bête pas vrai ? Même la chose la plus basique, on ne sait pas le faire : TRAGÉDIE ! Mais non, pas de panique vous êtes loin d’être le seul croyez-moi. En plus il existe une super application appelée « RespirRelax », qui t’apprend à respirer correctement. Alors, pendant ces 45 jours on apprend enfin à respirer.

    10) Le moment pour regarder les détails de son quotidien.

    On est souvent trop durs avec nous-mêmes, et on ne voit souvent pas les choses sur lesquelles on n’a déjà fait un énorme pas dans la vie. À partir d’aujourd’hui, on prend le temps pour savourer nos petites victoires. Car ne l’oublier pas dans 99% on ne tire pas le gros lot dès le départ, c’est nos petits accomplissements , et progrès qui finissent par nous y mener.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • Bienvenue à nos Combattantes

    Bienvenue à nos Combattantes

     

    La vie n’est pas un long fleuve tranquille… loin de là…

     

    Nous avons tous notre propre histoire, et notre propre destin, diront certains…

    Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. On ne naît pas sous la même étoile. Et même si on a la chance de naître sous une bonne étoile, ce n’est pas pour autant que notre vie est toute tracée d’avance et qu’elle est vouée à être parfaite !

    Une multitude d’évènements ou de circonstances peuvent interagir dans notre chemin de vie. Des évènements que nous pouvons parfois maîtriser, d’autres pour lesquels nous ne pouvons pas faire grand-chose, voire strictement rien. Des traumatismes dans l’enfance, par exemple, peuvent nous marquer pour la vie, même si nous pouvons en apaiser quelques-uns.

    Quoi qu’il en soit, pour certains, la vie ne les a pas gâtés et cela, dès la naissance. Et pourtant, il faut vivre, il faut avancer !

    Subir ou agir ?

    Et c’est à partir de ces constats, de ces vécus que certains « destins » se construisent… ou pas… !

    En effet, en fonction de notre nature même, et/ou de notre passé, certains vivront leur vie comme une fatalité. Ils subiront les évènements parfois parce que c’est inévitable, parfois par manque de courage ou par peur.

    Et d’autres, à l’inverse, essaieront de « s’en sortir », de se battre, de mordre la vie à pleines dents, et ce, contre vents et marées. Pour ce faire, ils oseront défier le destin, prendre des décisions radicales, renoncer à certains privilèges matériels, sortir de leur zone de confort (si l’on peut dire), pour :

    • Se construire une vie différente, meilleure et apaisée
    • Réaliser leur(s) rêve(s)
    • Vivre de leur passion

    Vous l’aurez compris, il s’agit de combattant(e)s ! D’individus qui refusent l’avenir qui leur était tout tracé, et qui se battent pour trouver le bonheur, ou tout au moins quelque chose qui s’en approche.

    Leur objectif commun : vivre en adéquation avec eux-mêmes.

    Des exemples à valoriser et à suivre

    Et ce sont à ces individus que j’ai décidé de consacrer du temps. Admirative, mais également directement concernée, car si vous me suivez, vous connaissez mon parcours…, j’ai voulu relater leurs histoires pour montrer (et prouver) que l’on peut changer sa destinée, si bien sûr, on parvient à faire resurgir les forces qui sont en nous, forces dont parfois on ne soupçonne même pas l’existence !

    C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en valeur ces personnes, toutes admirables, car elles sont des exemples de courage qui doivent servir d’espoir à celles et à ceux qui ne sont malheureusement pas gâtés par la vie, ou qui subissent leur vie comme une fatalité.

    Aussi, depuis le mois de septembre, j’effectue des interviews qui sont diffusées sous forme de podcasts. J’ai eu la chance de rencontrer des femmes et des hommes extraordinaires !

    Et, si à date, je me suis penchée à la fois sur des hommes et des femmes, à terme, je prioriserai les femmes, car dans notre société encore très masculine, il demeure encore plus difficile pour une femme de « se faire une place », de vivre une vie épanouie. Très souvent prises dans un rythme infernal, il leur est encore plus difficile de rompre avec « leur routine », et de penser à elles.

    C’est donc possible

    Vous constaterez dans mes podcasts, que certaines ont eu le courage de quitter des « positions socialement confortables » pour réaliser leur rêve, et surtout pour trouver une vie qui a du sens !

    Rappelons ici, que vivre en porte-à-faux avec ses envies et ses valeurs conduit inévitablement à des problèmes de santé : stress, angoisses, burn-out, dépressions sévères, troubles alimentaires (boulimie, anorexie), suicides… Si vous vous levez tous les matins en soupirant, si vous vous couchez tous les soirs avec l’estomac noué… Il est temps de faire quelque chose… !

    Sinon…

    Lorsque l’on ne vit plus en adéquation avec soi-même, on ne vit plus en adéquation avec les autres, et la vie peut vite devenir un calvaire, voire un enfer. Il est donc fondamental d’être en mesure non seulement de savoir se poser, réfléchir, se remettre en question. Mais le plus difficile n’est pas cela. Le plus difficile, c’est d’être en mesure de prendre certaines décisions parfois très difficiles, des décisions qui remettent en question une vie entière ! Faire fi du regard des autres et de la famille demande également beaucoup de courage.

    Les podcasts de mes combattant(e)s

     

    Certain(e)s y sont donc parvenu(e)s, et je trouve important de partager leur histoire, leur combat et surtout leur victoire.

    Ces expériences, riches et denses, sont à la fois émouvantes et surtout pleines d’espoir !

    C’est pourquoi, je vous invite à me(nous) rejoindre sur : Apple Podcasts, Deezerfr, spotify et souncloud pour écouter leurs histoires, et vous convaincre que vous aussi, vous pouvez y parvenir

    https://podcasts.apple.com/fr/podcast/combattant-e-s/id1480753178?i=1000458856438 .

    Vous m’y retrouverez en compagnie de :

    • Olivia Zeitline qui s’est consacrée à l’écriture après avoir obtenu son diplôme d’avocat. Passionnée de poésie et de spiritualité sous toutes ses formes, elle nous parle de son rapport très pointu à l’intuition. Celle-ci guide en effet sa vie, et lui a permis de changer de voie dès qu’elle l’a souhaité.
    • Anne-Laure avait « sur le papier » une vie de rêve, en tant que chez de projet événementiel dans une belle compagnie, et pourtant elle a fait un burn-out.Elle s’est alors remise en question et a suivi un accompagnement avec un coach de vie durant plusieurs années. Celui-ci lui a changé sa vie et ses perceptions du monde. Elle a fini par se reconvertir en tant que chanteuse et se sent aujourd’hui alignée et apaisée.
    • Gipsy, est une jeune femme qui a appris à s’écouter avec l’âge , et qui partage son quotidien, sa passion pour le sport, ses objectifs à venir.Aujourd’hui, Gipsy est une jeune femme alignée, avec des peurs comme tout le monde. Le combat guide sa vie notamment depuis qu’elle a réussi à perdre plus de 30 kilos et qu’elle a pris conscience qu’elle n’était pas faite pour être salariée.
    • Francky 31 ans, est arrivé en France d’Haïti à l’âge de 5 ans. Il ne parlait pas un seul mot de français et était très seul. Il a souffert d’obésité et cela a été très difficile.Aujourd’hui il est aligné, et sait ce qu’il veut. Sa petite timidité le rend encore plus humble et agréable.
    • Sébastien, est un jeune homme téméraire de 31 ans. Il peut tomber 10 fois, il se relèvera 11 fois. Il a le combat dans le sang et une rage de vivre qui le rend conscient et optimiste. Son passé fut par moments semé d’embûches. Son quotidien, aujourd’hui, est aligné et en cohérence avec ce qu’il est et avec ses valeurs. Venez découvrir son témoignage touchant et à la limite du supportable. Un combattant !

    Conclusion

    Alors, si vous êtes en conflit avec vous-même ou si vous avez vécu un traumatisme, ne sous-estimez pas l’énergie et la force qui sont en vous. Plus vous subirez, plus votre corps vous rappellera à l’ordre.

    Tout le monde a des capacités et du talent. Ce qu’il faut, c’est connaître son potentiel et savoir l’exploiter. Le cheminement est souvent assez long. Mais croyez-moi, cela en vaut vraiment la peine !

    Et parfois, souvent même, il est utile, voire indispensable de se faire coacher ! Échanger, se confier, être encouragé sont souvent essentiels pour révéler votre personnalité, votre potentiel, et pour parvenir à faire ce qu’il y a de plus difficile : prendre une décision. N’hésitez pas dans ce cas à me contacter !

     

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Adaptez votre livre à votre humeur

    Adaptez votre livre à votre humeur

    Toute comme l’article sur les conseils de restaurants à Paris selon votre humeur https://www.charlottevallet.fr/une-liste-de-restaurants-selon-votre-mood/, je partage aujourd’hui avec vous des idées de livres en fonction de votre état d’esprit.

    J’ai un rythme de lecture qui est régulier, mais j’aimerais lire encore plus et j’ai du mal à trouver du temps.

    J’ai découvert une application récemment @Koober, qui donne la possibilité d’écouter la majorité des résumés de vos livres préférés en version audio. C’est pratique, même si cela ne remplacera jamais au grand jamais la beauté d’un livre papier.

    La beauté… et l’odeur d’un livre, qui me fascineront toujours autant !

    Cet article sera court, mais j’irai à l’essentiel rapidement afin que vous puissiez rapidement aller à la FNAC pour acheter et dévorer ces livres.

     

    Conseils lectures

    Ma vie de couple est en crise

    Les 5 langages d’amour de Gary Chapman

    “Nous avons tous besoin d’amour. Mais donner de l’amour aux autres et à soi-même n’est pas toujours simple : nous ne parlerions pas tous le même langage ? Art-mella illustre les 5 manières d’exprimer son amour définies par Gary Chapman : cinq clefs précieuses pour mieux se comprendre, communiquer et prendre soin de soi et des autres.”

    La puissance de l’acceptation de Lise Bourbeau

    “Nous vivons quotidiennement de nombreuses situations dont certaines s’avèrent difficiles à accepter, ce qui, hélas, génère des conflits, des malaises ou des insatisfactions. Cet ouvrage fait le point sur les fondements de l’amour inconditionnel et de l’acceptation.

    Grâce à de nombreux outils et à l’aide d’histoires vécues, ce livre vous amènera à mieux vivre ces situations dans votre propre vie et, surtout, à les prévenir. Il porte un accent particulier sur l’acceptation de la maladie (pour soi et les autres), la mort (la sienne et celle des autres), la vieillesse, la perte, les choix faits par les proches, l’apparence physique, les faiblesses et les blessures. En somme, il vous apprendra à accepter ce qui peut paraître inacceptable.”

    Lecture

    Je réfléchie trop, cela me fatigue

    Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkame

    “L’auteur rappelle, dans son livre, les 7 principes fondamentaux qui permettent aux gens les plus efficaces de réaliser leurs objectifs. Traduits en habitudes quotidiennes, ces principes aideraient ceux qui les mettent en pratique à vivre, durablement, une vie personnelle et interpersonnelle heureuse, équilibrée et réussie.”

    Je pense trop de Christel PetitCollin

    “Qui pourrait penser qu’être intelligent puisse faire souffrir et rendre malheureux ? Pourtant, je reçois souvent en consultation des gens qui se plaignent de trop penser. Ils disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont marre de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de leurs sens trop développés auxquels n’échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit, mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris et blessés par le monde d’aujourd’hui. Ils concluent souvent par : ” Je ne suis pas de cette planète ! ” Ce livre propose des cours de mécanique et de pilotage de ces cerveaux surefficients.”

    Fouttez-vous la paix et commencez à vivre de Fabrice Midal

    “Et si le grand problème actuel était que la plupart des injonctions qui nous sont assénées pour nous calmer ne font que nous mettre une pression plus grande ? Il faudrait « méditer », manger comme ceci, faire tel entraînement pour être en forme, avoir de l’initiative, ne pas parler comme cela, être à la fois calme et dynamique, chaleureux et sérieux… Et si au contraire il fallait plutôt commencer par se foutre la paix pour commencer à vivre ? Mais comment lâcher-prise et se donner l’autorisation d’être soi-même ?”

     

    Fouttez vous la paix et commencez à vivre

    Je souhaite entreprendre

    Les 7 habitudes ce ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent de Stephen R Covey

    “Chacun de nous vit selon des schémas, des habitudes qui sont autant de traits de caractères acquis. Ainsi, nous adoptons souvent des habitudes inefficaces, destructrices, négatives qui mènent à l’échec professionnel et personnel. Dans ce livre, je vous présente sept habitudes de gagnants. Ce ne sont pas des formules de dynamisation ; ni des remèdes miracles ; surtout pas des trucs ; mais la possibilité globale qui vous mènera à un développement individuel et social positif. Les sept habitudes conduisent petit à petit à une sorte d’échelle de la maturité.”

    La semaine de 4 heures de Timothy Ferriss

    “La majorité des personnes restent employées toute leur vie, et travaillent de 9H à 17H pendant 40 ans pour prendre leur retraite à 60 ans (ou plus) ; par le biais du livre La semaine de 4 heures, Tim Ferriss nous explique comment briser ce schéma, en réduisant significativement notre temps de travail, en nous libérant de la contrainte géographique”

    lecture

    J’aime le voyage et j’ai besoin de m’évader

    L’alchimiste de Paulo Coelho

    “Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
    Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
    Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.”

    L’âme du monde de Fréderic Lenoir

    “Pressentant l’imminence d’un cataclysme planétaire, sept sages venus des quatre coins du monde se réunissent à Toulanka, monastère perdu des montagnes tibétaines, pour transmettre à Tenzin et Natina, deux jeunes adolescents, les clés de la sagesse universelle. Au-delà des divergences culturelles et historiques de leurs traditions respectives, ils s’appuient sur leur expérience personnelle et se savent inspirés par ce que les philosophes de l’Antiquité appellent l’Âme du monde : la force bienveillante qui maintient l’harmonie de l’univers.”

    Journal Intime d’un touriste du bonheur de Jonathan Lehmann

    “Avocat d’affaires à New York, amateur de fêtes et de drogues…, Jonathan plaque tout du jour au lendemain pour partir à la recherche du bonheur. Pendant 3 ans, il va à la rencontre de penseurs et de maîtres spirituels à travers le monde, et découvre la méditation, une pratique qui va bouleverser sa vie.”

    Journal intime d'un touriste du bonheur

    Je n’ai pas confiance en moi, aidez-moi !

    Imparfaits, libre et heureux de Christophe André

    “Christophe André signe ici un ouvrage libérateur car il répond aux questions essentielles que nous nous posons avec une grande simplicité et de nombreux exemples. On a l’impression de discuter avec un ami bienveillant !”

    Celle qui a dit fuck d’Anne Sophie Lesage

    “Le journal d’une jeune imparfaite qui décide d’en finir avec les prises de tête : à travers ses chroniques pleines de piquant, de nombreuses pistes, des rituels express et des outils pour assumer une féminité décomplexée. Oser dire ” Fuck “, ça se travaille… Beyoncé ne s’est pas faite en un jour !”

    Le jour où j’ai appris à vivre de Laurent Gournelle

    “Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.”

    Le jour ou j'ai appris à vivre

    Et, pour la fin je vous partage mes livres préférés

    J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian

    “Lee Anderson, vingt-six ans, a quitté sa ville natale pour échouer à Buckton où il devient gérant de librairie. Il sympathise dans un bar avec quelques jeunes du coin. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire, Lee, qui sait aussi chanter le blues en s’accompagnant à la guitare, réussit à séduire la plupart des adolescentes. Un jour il rencontre Dexter, le rejeton d’une riche famille qui l’invite à une soirée et lui présente les soeurs Asquith, Jean et Lou (17 et 15 ans), deux jeunes bourgeoises avec “une ligne à réveiller un membre du Congrès”. Lee décide de les faire boire pour mieux les séduire… et poursuivre son sinistre dessein.”

    La symphonie pastorale d’André Gide

    “L’action se déroule à la fin des années 1890. Le pasteur et sa famille recueillent une jeune orpheline aveugle de quinze ans. N’ayant pas de nom, Charlotte, la fille du pasteur, l’appelle Gertrude. Amélie, l’épouse, se montre plutôt réticente devant le choix de son mari d’accueillir cette jeune fille.Gertrude ne sait rien de la vie, ni de ce qui est mal. Le pasteur va en faire une jeune femme intelligente et cultivée, même si au premier abord elle se montre difficile à apprivoiser et à éduquer.”

    L’étranger d’Albert Camus

    “Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu’il faisait chaud. On n’en tirera rien d’autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l’annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l’universelle équivalence du tout et du rien.
    La conscience de n’être sur la terre qu’en sursis, d’une mort qui, quoi qu’il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu’indifférent à tout après ça ?” 

    L'étranger Albert camus

     

  • Fais de ta solitude une force !

    Fais de ta solitude une force !

    Lorsque l’on tape le mot « solitude » sur le Net, on s’aperçoit rapidement que la solitude est presque unanimement présentée comme un fléau, un problème à traiter. Les titres des articles sur ce sujet sont très évocateurs : Comment vaincre la solitude ? Comment lutter contre la solitude ? Comment sortir de la solitude, etc., etc.

    La solitude est donc souvent comparée à une maladie.  Même avoir le statut de célibataire est parfois assimilé à une malédiction. « Tiens, elle est seule, elle doit avoir un problème ! ». Ou alors, on provoque la pitié « oh, elle est seule, la pauvre ! »

    De nos jours, la norme veut que l’on soit en couple, et que l’on soit entouré(e) d’amis, de plein d’amis ! Sinon, on est considéré comme « bizarre ».

    Mais souvent, deux choses sont confondues : la solitude et l’isolement. Dans le premier cas, la solitude peut être « voulue ». Dans le second cas, en effet, elle est « subie ». Mais dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas pour autant que la solitude doit faire l’objet d’un jugement.

    Je suis plutôt solitaire, et je peux vous dire, que je vis plutôt très bien cette solitude ! Quand c’est un choix (enfin presque), la solitude « voulue » est un véritable levier pour son épanouissement personnel.

    Solitude

    Mais tout d’abord quelques nuances

    En effet, en écrivant ces mots, je m’aperçois que le mot « voulu » n’est peut-être pas le bon. En fait, on ne fait jamais vraiment le choix d’être seul. En effet, on rêve tous et toutes de partager notre vie en parfaite osmose avec quelqu’un.

    Mais ce n’est malheureusement pas toujours possible. Et c’est là que se trouve toute la nuance.

    Pour ma part, je préfère vivre seul(e) qu’avec quelqu’un qui ne me correspond pas. D’autres feront un choix différent parce que justement, ils craignent la solitude.

    Et c’est à ce stade que se fait toute la différence : soit on assume sa solitude, soit on ne l’assume pas.

    On parlera donc plus de solitude « assumée » plutôt que de solitude « voulue ». Dans le sens où certains vivront leur solitude comme une aubaine, alors que d’autres la vivront comme un calvaire.

    Pour résumé, nous pouvons dire qu’il y a donc 2 grands types de solitude :

    • Une solitude qui peut être épanouissante
    • Une solitude subie qui est plutôt destructrice

    Commençons par la dernière.

    La solitude subie

    La solitude subie, c’est lorsque l’on n’a pas choisi d’être seul(e), et qu’on vit mal cette situation. Cet état engendre un sentiment d’exclusion, qui est, en général, accompagné d’anxiété et d’un véritable mal-être.

    Je n’ai pas fait de sondage… mais il semble que dans la majorité des cas, c’est ainsi qu’est vécue la solitude.

    Je ne sais pas ce qui nous différencie les uns des autres, mais en effet, pour une majorité, la solitude est quelque chose d’effrayant, d’inenvisageable, de douloureux. La solitude est synonyme de rejet, d’échec. Elle renvoie à un manque d’amour.

    Et parfois, ces sentiments sont si violents qu’ils conduisent certains à faire n’importe quoi pour créer du lien, quitte à avoir des relations superficielles ou nocives. Ces individus ont un besoin vital de vivre à travers le regard des autres.

    En général, ce sont les mêmes qui ont plus de 1 000 amis sur Facebook… et qui ne peuvent vivre sans avoir un lien permanent avec le monde extérieur.

    Mais elles n’en sont en rien responsables ! C’est notre société qui nous fait croire que notre vie se résume à l’attention que l’on nous porte. Les réseaux sociaux en sont la parfaite illustration. Il faut exposer sa vie sociale, et bien sûr avoir le plus de « j’aime » possibles sur ses photos…

    En tout cas, il est clair que l’on nous incite à penser que la solitude est un état anormal contre lequel il faut se battre. Et je ne suis pas vraiment d’accord !

     

    La solitude épanouissante

    En effet, si l’on y regarde de plus près, la solitude peut aussi être une véritable aubaine. Bien sûr, je le répète, c’est toujours mieux d’être accompagné(e) de son alter ego, mais lorsque l’on n’en a pas, tout n’est pas si sombre ! Et voici quelques avantages… en tout cas, les principaux.

    Solitude

    Mieux vaut être seul(e) que mal accompagné(e)

    Qu’y a-t-il de plus pénible que de se retrouver dans une relation qui ne nous correspond pas ou plus ? Franchement, j’ai vécu une relation extrêmement nocive, et je peux vous affirmer qu’elle revit depuis que cette relation s’est terminée. Car ce n’est pas parce que l’on est deux, ou à plusieurs, que l’on ne sent pas seul(e).

    Désolée de le dire si abruptement, mais beaucoup de personnes, en couple, subissent leurs relations, sans pour autant les rompre.  Dans ce cas, il s’agit d’incompréhension, de relations toxiques, de dépendance affective…

    De même, on peut se retrouver en soirée et s’ennuyer à cent sous de l’heure, car on se retrouve avec des amis… ou plutôt des gens… avec lesquels on n’a pas vraiment envie d’être, mais on y est « parce qu’il faut que » l’on y soit. C’est la pression sociale…

    Ça me fait penser, à ces fameuses soirées de Nouvel An. Socialement parlant, si quelqu’un vous demande « tu fais quoi pour le nouvel an ? », et que vous répondez « je reste chez moi, et je suis seule », vous passez pour un extraterrestre. Voire quelqu’un d’asocial(e).

    Eh bien, croyez-moi ou pas, mieux vaut être seule avec sa bouteille de champagne, qu’à une soirée où tout le monde (ou presque) se force à faire acte de présence, parce que c’est le Nouvel An, et que ce n’est pas « bien vu », de ne rien faire au Nouvel An.

     

    On est vraiment libre

    Se retrouver seul(e), et c’est une réalité, c’est la liberté à l’état pur. Non seulement libre au sens, avoir la possibilité de faire tout ce que l’on veut, au moment où on le veut, mais aussi en termes d’indépendance. Oui ces deux notions se rejoignent, mais je les distingue volontairement.

    Car d’une façon générale, les personnes qui craignent la solitude, sont des personnes dépendantes, qui vivent beaucoup en fonction des autres. Elles ont besoin de l’avis des autres, de leur approbation. Elles n’existent qu’à travers l’autre.

    Ainsi lorsque l’on assume sa solitude, on profite non seulement de sa liberté d’agir, et mais on ne dépend plus d’un autre (ou des autres). On gagne en sincérité envers soi-même et envers les autres.

    Quoi de plus agréable de ne plus se sentir « obligée de » ! Se lever quand on veut, traîner en pyjama, les cheveux ébouriffés toute la journée, regarder ce que l’on veut à la télé, manger ce que l’on veut à l’heure où on veut, etc., etc.

     

    On gagne une sacrée en confiance en soi

    Être seul(e), c’est aussi s’apercevoir de capacités que l’on ne se connaissait même pas. En effet, lorsque l’on dépend des autres, on ne sait même plus ce que l’on est capable de faire ou pas. Et être seul(e), nous confronte obligatoirement à des situations complexes que l’on est obligé(e) de résoudre seul(e). Et on y arrive ! Et c’est plutôt valorisant !

    Combien de femmes pensent qu’elles ne sont pas capables de réparer un volet électrique, de purger un radiateur, etc. Eh bien, croyez-moi, quand on seul(e), on se débrouille !

    Réussir à résoudre des problèmes, c’est une excellente façon de gagner en confiance. « On est capable de ». On s’aperçoit que l’on se sous-estimait. L’ego est valorisé. On prend confiance.

    Lecture

    Faire le point et réapprendre à être soi-même

    Quand on n’est pas seul(e), très souvent, on manque de temps. On se laisse envahir par la vie, par tout ce qui nous parvient de l’extérieur. Sans compter les informations que l’on nous transmet, il y a aussi tous ces messages subliminaux : il faut être comme ceci, il faut être comme cela, il faut, il faut, il faut…

    Et selon notre personnalité, l’influence de ce monde extérieur, peut nous dépasser, nous dévorer même. Combien se calquent à ce que l’on attend d’eux ? Jusqu’à en perdre leur propre personnalité. Ils deviennent des autres.

    Être seul permet de se retrouver. Parfois même de se trouver. On prend conscience de ce que l’on aime vraiment. On apprend à se connaître. Et comme on a beaucoup plus de temps, on peut réaliser certains rêves personnels que l’on ne vivrait pas à deux ou se consacrer à ses passions. Là encore, c’est plutôt très épanouissant.

     

    Conclusion

    On rêve tous d’une parfaite osmose avec quelqu’un. Mais malheureusement, ce n’est pas toujours possible. Certains préféreront alors opter pour une vie à deux qui est devenue médiocre, d’autres essaieront de se faire des amis à tout prix, d’autres assumeront leur solitude et en feront plutôt une force.

    Je fais partie de ces gens qui pensent que la solitude n’est ni un fardeau, ni une maladie, comme on voudrait souvent nous le faire croire.

    Bien sûr, il y a des moments parfois difficiles, il ne faut pas non plus se le cacher !

    Mais lorsque l’on fait la balance entre ces moments difficiles et tous les autres avantages que peut procurer la solitude quand on apprend à la gérer, on s’aperçoit que les avantages prennent largement le pas sur les inconvénients.

    Et pour ceux qui ont vraiment du mal à vivre la solitude, n’oubliez pas ce proverbe : « aime-toi, et les autres t’aimeront ». Vivez cette solitude pour réapprendre à vous aimer, et le reste suivra !

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue