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  • Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…

    En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.

    Petit rappel sur le droit des femmes

    Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.

    Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.

    Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.

    Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !

    Quelque chose de lourd…

    De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.

    Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.

    A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

    Égalité… des quoi ? des chances… ?

    On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.

    Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.

    De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.

    Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !

    Discrimination inconsciente… pas tant que cela

    La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.

    Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».

    Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.

    Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

    Des solutions données aux femmes pour faire leur place

    Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

    Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.

    La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).

    Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.

    C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.

    Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.

    Il reste donc encore un long chemin à parcourir…

    Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Et si on faisait une cure sans laitages en ce début d’automne ? Quels bienfaits et pourquoi ?

    Et si on faisait une cure sans laitages en ce début d’automne ? Quels bienfaits et pourquoi ?

    Le lait ! Oulala… On aura tout entendu sur le lait. Souvenez-vous : « Les produits laitiers sont nos amis pour la vie ! » Qui ne se souvient pas de ce slogan diffusé en boucle à partir des années quatre-vingt-dix ?

    Et pour les trentenaires, comme moi…, ce sont les bony boys, ces petits squelettes qui ont fait leur apparition ! Le nouveau message ? « Consommer trois produits laitiers par jour ».

    Les vertus du lait font partie de notre éducation : « bois du lait sinon tu ne grandiras pas ! »

    Pourtant en 2007, le discours change un peu. Thierry Soucarr, un journaliste publie un livre polémique : « Lait, mensonges et propagande ». Il y dénonce alors les effets nocifs du lait et surtout le lobby de l’industrie laitière capable de tout pour vendre ses produits. Le consommateur étant devenu une véritable vache à lait !

    Alors qu’en est-il ? Je n’ai bien sûr pas la prétention de vous faire une leçon ! Cet article a pour but de faire un petit point et d’en tirer quelques leçons.

    Le lait est incontestablement nécessaire notamment aux enfants

    Le lait est une véritable source de calcium et de protéines. Et le calcium est indispensable, entre autres, à la minéralisation des os et des dents. Le lait (et plus spécifiquement le calcium) est donc en effet nécessaire à la croissance, et donc même si le lait ne fait pas grandir, le calcium qu’il contient est essentiel à la croissance. Il contient également des vitamines A, B et D.

    Par ailleurs, les nourrissons supportent très bien le lactose, contrairement aux adultes comme nous le verrons plus bas.

    On rapporte aussi que le lait participe à la prévention de l’ostéoporose, de certaines maladies cardiovasculaires, du cancer du côlon… Mais, ça, est-ce vrai ?

    Mais pourquoi alors la consommation de lait est-elle remise en question ?

    Tout simplement, car de nombreuses études ont démontré que les bienfaits du lait n’étaient pas si probants, voire même devaient être remis en question.

    Quelques faits

    Une étude, dont les résultats ont été publiés dans le British Medical Journal, a été réalisée sur près de 62 000 femmes entre 1987 et 1990. L’état de santé de ces femmes a été surveillé pendant 20 ans. Voici les conclusions :

    • Les femmes buvant plus de trois verres de lait par jour (700 ml) ont présenté un risque de décès 90 % plus élevéet un risque de fracture de la hanche 60 % plus élevé par rapport à celles qui boivent moins d’un verre par jour.

    Voilà de quoi s’interroger !

    D’autres études ont également démontré qu’une consommation trop importante de lait favorisait l’apparition de diabète de type 1.

    Et surtout, l’un des problèmes majeurs concernant le lait est l’intolérance au lactose. Cette intolérance se manifeste surtout chez les adolescents et les adultes par des maux de ventre, des ballonnements et des diarrhées. Elle est due au fait que l’intestin ne produit pas assez de lactases, une enzyme qui digère le lactose.

    Et il y a d’autres problèmes… liés aux hormones. Je vous en parle plus bas.

    Alors, doit-on arrêter de consommer du lait et des produits laitiers ?

    La réponse est non s’il s’agit d’arrêter tous les produits de façon indéterminée. Car quels que soient les produits, ils contiennent d’autres éléments nécessaires à notre organisme.

    Aussi, dans le cas d’un régime strict sans aucun produit laitier, il faut compenser avec des compléments alimentaires ou d’autres aliments.

    Cependant, arrêter la consommation de lait pendant quelques jours, sous la forme d’une cure, peut faire un bien fou ! Voyons cela. Mais tout d’abord, où trouve-t-on du lait ?

    Ou trouve-t-on du lait ?

     

    Lorsque l’on parle lait, il s’agit bien sûr du lait à proprement parler mais aussi de tous les produits dérivés :

    –       Le beurre

    –       La crème fraîche

    –       Les desserts : fromages blancs, cake, crêpe, pâtisserie.

    –       Les fromages

    –       Les sauces à base lait, style la sauce béchamel

    –       Les chocolats

    –       Certaines charcuteries

    –       Etc.

    Le plus simple est de consulter les étiquettes, mais il y en a dans beaucoup de produits.

    Quels sont donc les effets bénéfiques d’une cure sans produits laitiers ?

    Réduire la consommation de produits à base de lait peut faire dégonfler votre ventre

    On connaît toutes cela ! On se lève le ventre gonflé, et pire, il ne dégonfle pas de la journée. Certains se demandent même si vous n’êtes pas enceinte. NON ! Je ne suis pas enceinte. C’est tout simplement que votre intestin n’a pas suffisamment de lactases, la molécule dont je parlais plus haut et qu’il n’élimine pas correctement le lactose. Résultat : On enfle !

    65 % des individus digèrent mal le lait d’après la « National Library of Medicine ». En arrêtant le lait et les produits laitiers quelques jours vous dégonflerez et vous vous sentirez nettement moins ballonnée.

    Réduire la consommation de produits à base de lait améliore la qualité de la peau

    Le lait de vache contient beaucoup d’hormones qui vont venir s’ajouter aux nôtres. Ce qui induit une surproduction de sébum. Ce sébum obstrue les pores et rend la peau brillante. Et avec comme petits cadeaux supplémentaires de jolis petits boutons !

    Réduire la consommation de produits à base de lait peut réduire les sautes d’humeur

    Là encore, c’est une question d’hormones ! Le lait de vache contient des taux de progestérones et d’œstrogènes très importants. Une fois encore, ajoutées aux vôtres, le corps ou plutôt le cerveau peut réagir en faisant varier votre humeur. Diminuer ou arrêter les produits laitiers peut vous rendre d’humeur plus stable.

    Réduire la consommation de fromage peut diminuer les maux de tête

    Les fromages contiennent, outre le lait, un composé : la tyramine. Cette molécule organique est à l’origine de migraines. Aussi si vous êtes de nature migraineuse, limiter votre consommation de fromage ne peut que vous faire du bien.

    Mais, attention, si vous n’êtes pas sujet aux migraines, le fromage contient de la vitamine B2. Et la carence en vitamine B2 entraîne des migraines. Il s’agira alors de compenser en favorisant des aliments riches en vitamine B2 : les œufs, le poisson et la viande, des amandes, des champignons ou encore certaines céréales enrichies en vitamine B2.

    C’est aussi l’occasion de diminuer ses apports en calories : la balance vous remerciera

    Je vous ai cité plus haut les produits contenant du lait… Avouez que ce ne sont pas des produits très plébiscités en cas de régime. En effet, ils sont tous très caloriques et riches en graisses saturées. Ils sont aussi riches en sucre, provoquant un pic d’insuline laquelle est censée réduire le taux de sucre dans le sang, mais qui active en même temps le stockage des graisses. Et dans le même temps, on peut ressentir une baisse d’énergie et une sensation de faim.

    Contrairement aux idées reçues, consommer trop de produits laitiers augmente les problèmes d’ostéoporose

    Oui, nous n’en sommes pas là ! Mais pensons-y ! Ce n’est pas moi qui le dis : c’est le cancérologue Henri Joyeux. Il certifie que la consommation de trop de produits laitiers induit une fragilité osseuse. Pour lui, le lait et les produits laitiers, apportent des hormones de croissance inadaptées à notre organisme. Je le cite « Lorsqu’un aliment laitier est ingéré, l’organisme utilise uniquement 40 % de calcium venant d’un produit d’origine animale. Ainsi, les 60 % restant s’installent donc dans les articulations, ce qui peut engendrer l’ostéoporose. La Suède, l’un des premiers consommateurs de lait, est le pays où ses habitants sont les plus touchés par les problèmes d’ostéoporose. »

    Quels sont les effets « moins bénéfiques » d’une carence en produits laitiers ?

    Je ne peux conclure cet article sans vous présenter également les dangers d’une cure trop longue sans produits laitiers. Ce ne serait pas sérieux. Aussi si vous entamez une cure sans produits laitiers, soyez vigilant quant à certaines carences.

    Ne pas négliger la carence en vitamines B12

    La vitamine B12 est essentielle à notre système immunitaire. Une carence en vitamine B12 empêche notre système immunitaire de jouer son rôle et nous sommes alors beaucoup plus faibles et sujets aux maladies qu’il ne peut plus combattre. Il est donc essentiel en cas de cure prolongée sans produits laitiers de consulter un médecin pour se faire prescrire de la vitamine B12.

    Ne pas négliger la carence en calcium et en vitamine D qui le fixe

    Même si le lait que nous consommons aujourd’hui n’en contient presque plus, le calcium demeure un nutriment important. Comme précédemment, il est essentiel d’en parler à un professionnel, comme un nutritionniste, par exemple. Et de compenser, par exemple, avec des aliments tels que les sardines, les amandes, les épinards, le cresson, les brocolis, le thym et certaines eaux minérales…

    Ne pas négliger la carence en protéines

    Les produits laitiers sont aussi une source de protéines, qui elles aussi sont indispensables pour notre équilibre et notre masse musculaire. Remplacez alors les produits laitiers par d’autres aliments sources de protéines : soja, morue, œufs, thon, agneau, lentilles…

    Que retenir ?

    Eh bien qu’il faut être prudent. Et ce, dans tous les sens. Trop, ce n’est pas bon, Pas assez ce n’est pas bon non plus. En tout cas, une chose est sûre, attention aux publicités. Avec le lait, tout semblait magique. Or c’est archi faux !

    Le meilleur comportement est donc, comme pour beaucoup de choses dans la vie, de trouver le juste milieu. Soit on réduit sa consommation, soit on fait des cures « SANS » pendant 4 ou 5 jours maximum pour se « nettoyer ». Et on s’informe sur les effets pervers. Mais on ne tombe dans aucun excès !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Comment accepter son passé et en faire une force ?

    Comment accepter son passé et en faire une force ?

    Je suis Charlotte Vallet, coach spécialisée en émancipation féminine à Paris, et aujourd’hui, je souhaite parler du passé et de son pouvoir de transformation.

    Mon parcours de vie n’a pas toujours été facile. J’ai vécu des épreuves difficiles, telles que l’enfance en foyer, l’abandon et l’humiliation. Mais aujourd’hui, à 34 ans, je ressens une paix intérieure profonde et une guérison émotionnelle que la petite fille en moi n’aurait jamais imaginée. C’est une transformation incroyable !

    En tant que coach pour femmes à Paris, j’accompagne les femmes à surmonter leurs blessures passées, à se libérer du poids du passé et à retrouver leur confiance en soi. Si tu cherches à guérir des blessures émotionnelles, à retrouver ton équilibre et à t’émanciper de tes peurs, je suis là pour t’aider à transformer ta vie.

    « Laissons au passé ce qui appartient au passé », plus facile à dire qu’à faire ! Si nous cherchons tous à « passer à autre chose », « enfouir » ou encore carrément « oublier », il n’est pas rare que le passé resurgisse de temps en temps dans notre quotidien, voire même un peu trop souvent pour certains ! Et ce retour en arrière est rarement positif. Une séparation, un conflit avec un proche, une maladie, un traumatisme grave, trop de souvenirs peuvent nous envahir au quotidien et sont sources d’angoisses, de peurs et de stress. Ne pas accepter notre passé nous empêche d’être heureux et d’avancer. Pour pouvoir vivre l’instant présent sereinement, il faut accepter son passé, apprendre à pardonner, déculpabiliser, et lâcher prise. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ? Oui ! C’est vrai. Mais un moyen d’y parvenir est de le transformer en autre chose ! En quelque chose qui nous fait grandir. Et si l’on pouvait en faire une force ?

    Et si je pouvais devenir une « super moi » grâce à mon histoire personnelle aussi chaotique et douloureuse qu’elle soit ?

    Un passé douloureux : le poids des regrets et l’envie d’oublier

    Maladie, échecs, ruptures, expériences traumatisantes qui se transforment en cauchemars… Nous ne réagissons pas tous de la même manière face à des souvenirs douloureux.

    Il y a ceux qui vont vivre dans le regret permanent et ceux qui mettent tout au placard et qui balancent la clé !

    Les premiers, éternels nostalgiques, se passent en boucle le même refrain : « si j’avais su », ou « j’aurais dû » avec cet espoir de pouvoir peut-être changer quelque chose du passé voire de le reconstruire totalement.

    Les seconds, eux, enfouissent pour mieux oublier. « Faire l’autruche », comme si rien n’avait existé. Mais cette stratégie, ou plutôt ce comportement, n’aboutit qu’à l’inverse de l’effet escompté.  Plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l’oublier, plus il va revenir en force, malgré nous. Eh oui ! En voulant effacer un souvenir, en réalité, nous le renforçons ! Il faut donc changer notre état d’esprit pour vivre une nouvelle vie. Mettre un terme aux regrets et à la culpabilité. Le passé n’est pas que cette part d’ombre dans notre vie qu’on lui attribue souvent ! Il peut aussi être une force, un moteur pour avancer, pour réussir à bâtir notre avenir. 

    Et si nous pouvions faire de notre passé une force ?

    Si le passé ne rimait pas forcément avec négativité ? En général, 6 personnes sur 10 se raccrochent aux aspects négatifs de leur passé et cela finit indéniablement par faire partie de leur personnalité. Mais cela veut aussi dire que 6 personnes sur 10 subissent un quotidien lourd des maux du passé qu’ils portent. Constat assez triste non ?

    N’avons-nous pas une mauvaise perception de notre passé ? Pouvons-nous le voir autrement ? Est-il possible qu’il puisse nous donner la force d’avancer encore plus loin ? Peut-il être un booster plutôt qu’un boulet ? Eh bien moi, je serais tentée de répondre : pourquoi pas ?

    Nous avons tous un passé, plus ou moins chahuté, plus ou moins douloureux, et nous devons tous avancer. Alors prenons le temps d’apprendre à vivre avec lui et surtout grâce à lui. Faisons de ce passé un allié pour affronter le présent et le futur et non pas un ennemi ! Acceptons ses mauvais côtés, ses cabosses, ses blessures et tentons de le voir différemment.

    Et si nous pouvions l’aimer après tout ? Il n’a certainement pas que des défauts ! Il est aussi fait de merveilleux moments comme les moments entre amis, notre évolution personnelle et professionnelle, de bons souvenirs en famille, et tous les petits bonheurs qui rythment notre quotidien.

    Alors pourquoi ce ne sont pas ces souvenirs qui nous accompagnent aujourd’hui ? Pourquoi devons-nous nous infliger cette lutte permanente contre nos démons du passé ? Existe-t-il une ou des solutions pour s’apaiser et faire la paix avec notre passé ? Pouvons-nous juste vivre l’instant présent ? Lâcher prise ? Et si oui, comment faire ?

     

    Voir le passé autrement, des solutions pour y parvenir…

    Il n’y a aucun remède miracle pour guérir de nos blessures du passé. Mais il est possible de les laisser se refermer, ne plus souffrir et avancer. Certes, quelques cicatrices resteront, mais ce sont elles, d’une certaine manière, qui font ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. Vivre l’instant présent n’est pas chose aisée, mais on peut y arriver ! Pierre Geluck, lui, avait sa propre méthode et a dit un jour : « Je bois pour oublier. Mais j’ai tellement bu que je ne me rappelle plus ce que je dois oublier ». Évidemment, inutile de préciser que cette méthode n’est pas celle qu’il faut choisir ! Si plusieurs techniques, méthodes, astuces existent pour se détacher des mauvaises ondes de son passé, savoir tourner la page dépend tout de même de notre force de caractère, de l’intensité des évènements vécus et de la capacité à gérer nos émotions. Nous ne sommes pas tous égaux face à notre passé. Le but étant pour chacun de voir son passé autrement pour mieux vivre le présent.

    Dans un processus de deuil d’un passé douloureux, il y a trois étapes fondamentales :

    Tout d’abord, il faut le comprendre, puis gérer les émotions qu’il nous renvoie et se tourner vers l’avenir.

    Comprendre son passé

    Le charme du passé, ne serait-il pas justement qu’il soit le passé ? Ne serait-il pas finalement surtout une idée, une image qui n’existe que dans nos mémoires ? A priori, il ne serait plus vraiment réel, plutôt abstrait même. Mais alors comment une chose irréelle peut-elle tenir les ficelles de notre réalité actuelle, en la déformant et en nous faisant souffrir ? Réponse : nos émotions. Eh oui, ce que l’on croit revivre quand on se tourne vers le passé, ce n’est pas l’évènement mais les émotions qui lui sont rattachées, celles que l’on a ressenties auparavant. Et c’est en grande partie à cause d’elles que nous souffrons du poids du passé.

    Mais alors comment gérer ce trop-plein d’émotions ?

    Autant vous dire tout de suite, il existe autant de solutions, astuces, méthodes que de personnes qui en cherchent ! Ce qui veut dire que chacun doit trouver sa/ses techniques pour ne plus souffrir. Et croyez-moi, plus on les combine, mieux c’est !

    Voici quelques exemples :

    • L’écriture
    • La thérapie (seul(e), en couple, en famille…)
    • Le sport
    • Le yoga
    • La méditation de pleine conscience
    • Le coaching
    • L’hypnose
    • Le breathwork
    • Les soins énergétiques
    • Le magnétisme
    • Le chamanisme

    J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros.

    Cette liste étant, bien évidemment, non exhaustive, à vous de trouver ce qui vous conviendra le mieux, ce qui vous aidera à avancer. Gardez en tête qu’il faut vous libérez de toutes les mauvaises émotions du passé qui vous envahissent en essayant, pourquoi pas, de les remplacer par des positives, celles qui vont vous booster, vous faire avancer.

    N’hésitez pas me contacter… !

    Tourné(e)s vers le futur !

    Et maintenant que l’on a, plus ou moins, géré ce fameux passé, en route vers le futur… On décolle nos yeux du rétroviseur et on appuie sur la pédale ! Je sais, encore une étape difficile. En effet, si nous tentons souvent d’enfouir les souvenirs du passé, nous angoissons aussi de ce qui va nous arriver dans le futur…

    Et si, être « coincé(e)s dans le présent était la meilleure chose qui nous arrivait ? Vivre l’instant présent, en pleine conscience… !

    Faire de notre passé une force c’est possible, la preuve…

    Si les mots ne suffisent pas toujours à convaincre, les exemples concrets oui ! Et il en existe beaucoup autour de nous.

    Prenons celui d’un chanteur bien connu, Andréa Bocelli. En 1970, il devient aveugle suite à la réception dans l’œil d’un ballon de football. C’est à ce moment-là que sa passion pour le chant a pris ton son sens. Il y a en effet puisé toute sa force et a réussi à devenir le ténor lyrique que nous connaissons tous aujourd’hui en faisant de cette tragédie le booster de sa vie.

    Prenons, à présent, un tout autre exemple. Celui de Flavie Flamant, violée par David Hamilton dans son enfance. Si certaines femmes ne réussiront jamais à s’en remettre, elle a décidé d’en faire une force, une rage qu’elle a mise au service de l’écriture dans son livre « la consolation ». Réel exutoire pour elle, et prise de conscience pour d’autres femmes, sa parole libérée sur ce sujet est le symbole de cette lutte contre le passé qui hante, le passé qui détruit et celui d’une lutte pour être heureuse malgré les blessures encore douloureuses.

    Dernier exemple et non des moindres, Théo Curin, 18 ans, quadri-amputé à l’âge de 6 ans après une méningite foudroyante. Aujourd’hui vice-champion du monde de natation paralympique et égérie d’une grande marque de cosmétique pour Homme, est le parfait exemple de cette force que les épreuves du passé peuvent nous donner.

    Si eux y arrivent, nous le pouvons aussi !

    J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros. PROFITEZ-EN !

    Conclusion

    Nous ne pouvons ni effacer ni changer le passé, c’est un fait, mais rien ni personne ne nous oblige à le traîner comme un boulet toute notre vie ! Alors, il est peut-être temps de dire stop à cette souffrance et de profiter de tout ce que peut nous offrir l’instant présent. Bien que cela puisse être compliqué pour certains, le lâcher-prise est une étape essentielle dans notre quête du bonheur. Et si la tâche vous paraît colossale, n’hésitez pas à faire appel à une tierce personne pour vous aider ! Nous méritons tous de trouver cette paix intérieure, ce bien-être qui nous permet de réaliser nos projets et de profiter de toutes les merveilleuses choses que nous offre la vie !

    Charlotte Vallet – Coach, spécialisée en émancipation féminine sur Paris – Si tu veux aller plus loin, je te propose un appel téléphonique pour connaitre tes besoins. 

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Viens me suivre sur Instagram pour en savoir un peu plus ! 

  • Quand l’esprit domine le corps

    Quand l’esprit domine le corps

    Platon disait « les MAUX du corps sont les MOTS de l’âme, ainsi on ne doit pas guérir le corps sans chercher à guérir l’âme. »

    Dans les traditions indiennes et chinoises, le corps et l’esprit ne font qu’un, depuis la nuit des temps. Pourtant, c’est encore loin d’être le cas dans notre civilisation occidentale, où pour monsieur Tout-le-monde, le corps et l’esprit sont deux entités indépendantes. La faute à Descartes (et à ses disciples), qui considérait que l’âme (entité immatérielle) était radicalement distincte du corps (machine). C’est ce que l’on appelle le « dualisme ».

    Mais, heureusement, depuis Descartes, la science a évolué, et la médecine reconnaît aujourd’hui l’interdépendance entre le corps et l’esprit. L’esprit peut influer sur le corps, et le corps sur l’esprit.

    De nos jours, dans une société qui nous soumet à de multiples émotions en tout genre, notre corps subit de nombreux chocs émotifs que nous ne sommes pas toujours en mesure de gérer, et qui peuvent se traduire par un mal-être qui se répercute en maladie(s).

    Cependant tout ceci est assez complexe, et c’est la raison pour laquelle j’ai souhaité rédiger cet article afin de tenter de vous livrer des explications simples, mais aussi des solutions.

    Quelques définitions préalables et quelques explications

    Le corps

    Commençons par le plus simple : le corps. Et contentons-nous de la définition du Larousse. Le corps se définit comme « La partie matérielle d’un être animé considérée en particulier du point de vue de son anatomie, de son aspect extérieur ». Rien de très difficile jusqu’à présent.

    L’esprit

    Mais si l’on tape le mot « esprit » sur internet, on y trouve une dizaine de définitions, selon que l’on se place d’un point de vue psychologique, psychanalytique, philosophique, métaphysique, spirituel, religieux…

    Pour le commun des mortels, l’esprit est « associé » au cerveau. Cependant, ce sont deux choses différentes. Le cerveau est concret : on peut le visualiser, l’analyser, le traiter. L’esprit n’est pas matérialisable. Il est invisible, propre à chacun, privé, subjectif.

    Demandez à quelqu’un de vous donner une définition du mot esprit ? Personne n’aura la même.

    C’est pourquoi, pour simplifier, j’associerai dans cet article, le mot « esprit » à « pensées et émotions », et que je me baserai sur l’hypothèse émise par les neurosciences : l’esprit siège dans notre cerveau.

    Désormais, un nombre important d’études montrent que nos pensées, nos émotions, nos ressentis ont une influence sur notre santé. Il a été prouvé que des pathologies graves telles que le cancer, les AVC et les infarctus peuvent avoir un lien direct avec notre « esprit ».

    Et ne l’oublions jamais au cours de cette lecture, l’inverse est également vrai. Des pensées positives améliorent la qualité de vie et peuvent même améliorer l’état de santé. D’ailleurs, illustrons cela tout de suite et parlons de l’effet placebo.

    L’effet placebo : la preuve que l’esprit et le corps sont en lien direct

    Pour ceux qui ne connaissent pas l’effet placebo, il s’agit d’obtenir un effet thérapeutique réel en faisant croire à un patient qu’il prend un médicament alors qu’il prend du sucre. Précisons que tout le monde n’est pas réceptif à ces expériences, mais bon nombre de personnes y sont sensibles.

     

    Pour votre culture générale, on parle de l’effet placebo depuis des siècles. Mais c’est Henry Beecher qui était anesthésiste, pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a publié la première véritable étude sur ce sujet, suite à ce qu’il avait observé pendant la guerre. En effet, n’ayant plus de morphine pour soulager ses patients, il leur injectait, sans leur dire, des doses d’eau salée. Et pour 35 % d’entre eux, la douleur diminuait. Même si l’on dit qu’il avait surestimé ce chiffre, il n’en demeure pas moins que l’effet placebo est aujourd’hui incontesté et incontestable. Certaines personnes qui pensent recevoir un véritable traitement voient leurs maux diminuer, ce qui prouve par A + B que la pensée agit sur le corps et dans ce cas, dans le bon sens.

    Mais à l’inverse, lorsque nos pensées ou émotions sont négatives, elles agissent dans le mauvais sens. Et l’on parle alors, le plus souvent de maladies psychosomatiques.

    Qu’est-ce qu’une maladie psychosomatique

    C’est la conséquence de ce que je viens d’évoquer. Par exemple, en cas de stress, d’angoisse, de mal-être induits par des pensées négatives, le corps réagit, et des maladies se déclarent. Contrairement à ce que certains pensent, les maladies psychosomatiques sont de véritables maladies.

     

    Mais comment est-ce possible ?

    En reprenant l’hypothèse que l’esprit siège dans le cerveau, cela s’explique facilement. Notre système nerveux est composé de dizaines de milliards de neurones. Et le système nerveux agit directement sur notre système endocrinien et notre système immunitaire.

    Aussi, dès lors que nos émotions sont négatives, des phénomènes chimiques se déclenchent, ce qui crée un déséquilibre du système nerveux, ce qui entraîne un déséquilibre dans les autres systèmes qui sont censés nous protéger.

    Si le système immunitaire ou le système endocrinien deviennent défaillants, eh bien on est malade, et pour de vrai !

    Un exemple ?

    Lorsque nous sommes stressés, des réactions en chaîne se déclenchent, et de véritables pathologies peuvent en découler :

    • Troubles de la digestion : ballonnement, diarrhées, constipation, crampes abdominales
    • Troubles de l’alimentation : anorexie-boulimie
    • Hypertension et migraines
    • Crises de panique
    • Épuisement, neurasthénie, douleurs inexpliquées

    De même, lorsque nous sommes de bonne humeur, les signaux sont inversés, et nous sommes moins sujets à tous ces maux, voire nous pouvons en guérir certains.

    Certains vont même plus loin : chaque maladie a un sens

    Dans le livre « Ton corps dit : Aime-toi ! » de Lise Bourbeau, une coach en développement personnel, une relation directe est établie entre nos émotions et vingt pathologies.

    Que l’on y croie ou pas, Lise Bourbeau vous démontre que chaque maladie nous livre un message. Et pour elle, tout passe par un travail sur soi.

    Un exemple, et en simplifiant énormément, pour l’auteur, le mal au dos peut traduire différentes choses :

    • Lorsque l’on a mal dans le bas du dos, c’est que l’on se sent submergé par des contraintes et que l’on y répond par devoir, alors que l’on a plutôt envie de liberté.
    • Lorsque l’on a mal au milieu du dos, c’est un signe d’insécurité matérielle.
    • Et s’il s’agit du haut du dos, c’est une souffrance affective ou que l’on se sent surveillé.

    D’ailleurs, on connaît toutes les expressions : en avoir plein le dos, avoir quelqu’un sur le dos

    Bien sûr, ici je vous résume sa vision qui est largement argumentée dans son ouvrage.

    Un petit résumé s’impose

    De nos jours, la dualité entre le corps et l’esprit est révolue. Il est désormais reconnu que des interactions incessantes se produisent entre les deux, et dans les deux sens.

    Notre esprit recueille nos émotions.

    En fonction de ces émotions, notre cerveau déclenche des réactions en chaîne.

    Selon notre « façon de faire face », notre fébrilité, notre état de fatigue, etc., notre corps réagit plus ou moins bien, souvent “moins” que “bien” d’ailleurs.

    Les solutions

    Si vous allez consulter un médecin, rares seront ceux qui vous diront de traiter la cause d’origine, et dans notre exemple précédent, de traiter la cause d’une difficulté à gérer le stress, par exemple. Si le stress engendre chez vous des maux d’estomac ou des ballonnements, le médecin vous enverra faire une fibroscopie, et vous prescrira trois ou quatre pilules différentes. Attention, je ne généralise pas, ni pour les médecins, ni pour les pathologies. Mais à titre personnel, j’ai plutôt rencontré des médecins qui se préoccupent plus des conséquences que de la cause. Sachant aussi que certaines maladies ne sont pas liées à notre état mental.

    Cependant, dans de nombreux cas, des alternatives existent, alternatives qui tenteront de s’attaquer au problème de fond. Citons par exemple, l’hypnose, l’acupuncture, la méditation, la sophrologie dont j’ai fait mon métier.

    Ainsi pour finir cet article, je vous parlerai de deux techniques, l’une que l’on peut pratiquer seule : la méditation, et l’autre pour laquelle vous êtes accompagné(e) : la sophrologie.

    La méditation

    Pour certains, le mot méditation fait sourire, et pourtant cette pratique millénaire fait désormais l’objet d’un consensus dans le corps médical. Lors d’un congrès, en avril 2012, réunissant 700 médecins, psychologies, neurologues, les effets positifs de la méditation ont été observés par IRM et par Scanner.

    La méditation consiste à apprendre à vous détacher de vos préoccupations et à ne vous concentrer que sur le moment présent.

    L’avantage, c’est que vous pouvez pratiquer la méditation seule, mais c’est aussi un inconvénient, car certains éprouvent le besoin d’échanger.

    La sophrologie

    Sophrologue de métier, je vous livre ici en quoi la sophrologie peut vous aider dans la gestion de vos émotions.

    La sophrologie a pour but d’apprendre à gérer les tensions, le stress, les peurs afin d’harmoniser le corps et l’esprit.

    C’est d’ailleurs la raison d’être de ce blog !

    Avec la sophrologie, vous êtes guidé(e) par un professionnel qui sait adapter son travail à votre état. Si vous êtes intéressé(e), je vous invite à me contacter et à prendre un rendez-vous, ou à participer aux ateliers que j’organise.

    Conclusion

    Si toutes les pathologies ne sont pas en lien direct avec nos pensées et nos émotions, une partie d’entre elles le sont, et c’est désormais admis et reconnu par le corps médical. Pour autant, les patients ne sont pas toujours orientés vers les « bons » traitements ou les « bons » praticiens. Ils sont soulagés de leur douleur « physique », mais ne le sont pas de leur douleur « mentale ». Les médecine douces peuvent donc être LA solution.

    A Bientôt,

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute sur Paris et proche banlieue