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TOP 10 DES LIVRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL
Cette période de confinement nous laisse un peu plus de temps que d’habitude pour nos passes-temps. Vous appréciez la lecture ? Alors pourquoi ne pas lire des livres qui vous feront du bien ? Voici mon Top 10 des livres de développement personnel !!
1) “Le pouvoir du moment présent” – Eckhart Tolle
Dans ce livre vous découvrirez le pouvoir du moment présent, et surtout comment le vivre pleinement vous permettra d’être enfin totalement et durablement heureux !!
Vous apprendrez aussi à :- Utiliser votre mental et à vous en libérer
- Trouver des clés pour vivre dans le présent
- Ne plus souffrir inutilement
- Améliorer vos relations avec les autres
- Lâcher prise.
À 29 ans, Eckhart Tolle fait une expérience si intense qu’elle change radicalement le cours de sa vie et lui permet de sortir d’une longue dépression : c’est le début d’un cheminement intérieur qui l’amène à devenir guide spirituel. Dans Le pouvoir du moment présent, il raconte son vécu et il tente d’aider ce dernier à se débarrasser des pensées encombrantes, à se libérer de son mental et à être heureux.
2) “La semaine de 4 heures” – Timothy Ferriss
Écrivain et entrepreneur américain, Timothy Ferriss est né le 20 juillet 1977 à East Hampton, New York. En 2007, il publie son premier best-seller, “La Semaine de 4 heures”, qui prône le concept d’ignorance sélective comme méthode de développement personnel.
Dans ce livre il démontre que le travail n’est pas un but en soi, mais un moyen de gagner de l’argent. Et s’il permet parfois de se réaliser, la plupart du temps, il est abrutissant et ennuyeux. Réduire drastiquement le temps passé au travail est donc essentiel : vous vous réapproprierez votre liberté et agirez selon votre désir.Vous apprendrez aussi comment :
Échapper à la routine métro-boulot-dodo
Recruter une armée d’assistants dévoués
Avoir du temps libre à ne plus savoir qu’en faire
Réaliser vos rêves sans attendre la retraite
Vivre comme un nomade des temps modernes
3) “L’art subtile de s’en foutre” – Mark Manson
“L’art subtil de s’en foutre : Un guide à contre-courant pour être soi-même” : Mark Manson nous propose de sortir du discours cliché du développement personnel qui consiste à nous pousser à toujours être le “meilleur” ou le “plus”, en pratiquant l’art subtil de s’en foutre, autrement dit en arrêtant de focaliser sur des choses qui ne sont pas essentielles dans notre vie.
Vous apprendrez comment :
Être plus indulgent avec vous-même
Se détacher du regard de l’autre
Clarifier nos choix de vie et faire le tri entre ce à quoi nous choisissons d’accorder de l’importance ou pas.
4) “L’Alchimiste” – Paolo Coelho
« Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs. »Ici l’auteur nous invite à retrouver l’enfant qui est en nous, et découvrir notre « légende personnelle » pour se recentrer avec qui nous sommes vraiment.
5) “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”- Stéphane Covey
Stephen R. Covey est vice-président de Franklin Covey Co. et enseigne les méthodes de Vie centrée sur les principes et le Leadership centré sur les principes. Il est également le fondateur et l’ancien directeur général du Covey Leadership Center. Il a écrit de nombreux ouvrages. Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent a été un best-seller durant de nombreuses
Il nous présente dans ce livre les habitudes à prendre pour nous mener au succès :1- Ils prennent des initiatives. ‘Soyez proactifs.’
2- Ils se concentrent sur des objectifs. ‘Sachez dès le départ où vous voulez aller.’
3- Ils fixent des priorités. ‘Donnez la priorité aux priorités.’
4- Ils ne gagnent que quand les autres gagnent. ‘Pensez gagnant/gagnant.’
5- Ils communiquent. ‘Cherchez d’abord à comprendre, ensuite à être compris.’
6- Ils coopèrent. ‘Profitez de la synergie.’6) “La huitième habitude” – Stéphane Covey
Suite de “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”. Montre que le challenge crucial de tout individu, aujourd’hui, est de trouver sa place dans toute organisation et de permettre à ceux qui l’entourent (dans la sphère professionnelle, familiale ou amicale) de trouver la leur..
Grâce au livre « la 8 habitude » Stephen Covey, vous allez découvrir les clés pour trouver votre « voix»
La 8e habitude vous apportera les outils pour vous épanouir: comprendre votre vraie nature, l’exprimer au travail et dans votre vie personnelle, et inciter les autres à faire de même.7) “L’intelligence émotionnelle” – Daniel Goldman
” Les émotions sont indispensables à la pensée, tant pour prendre des décisions sages, que tout simplement pour réfléchir de façon plus claire.”
Cet ouvrage de Daniel Goleman a sensibilisé des millions de lecteurs au concept d’intelligence émotionnelle, qu’il définit lui-même comme étant la somme des compétences mentales et des traits de personnalité qui contribueraient à 80 % de la réussite dans notre vie. Les aptitudes telles que la connaissance de soi et l’auto-motivation sont inculquées (ou détruites) durant l’enfance, mais Goleman soutient que ces compétences peuvent encore être acquises et mises en pratique à l’âge adulte.Pourquoi certaines personnes intelligentes échouent dans la vie, alors que d’autres, au QI plus modeste, réussissent mieux ? Les réponses résident dans un ensemble d’aptitudes désignées par le therme « intelligence émotionnelle »
8) “Comme par magie, vivre sa créativité sans la craindre”, Elizabeth Gilbert
Dans ce livre , l’auteure nous encourage à aller à la recherche de notre inspiration.
Elle nous montre comment réaliser ce que nous aimons le plus et comment tenir tête à ce qui nous fait le plus peur. Que nous souhaitions écrire un livre, relever de nouveaux défis professionnels, poursuivre un rêve trop longtemps mis de côté ou simplement insuffler un peu plus de passion dans notre quotidien, Comme par magie nous ouvre les portes d’un monde de bonheur.9) “Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une”, Raphaëlle Giordano
Ce livre me semble particulièrement intéressant au vue de la période.
« Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce. À travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…»
Au travers de l’histoire de Camille, apprenez vous-même à reprendre contrôle de votre vie, et finalement réaliser vos rêves !!
10) “La philosophie expliquée à ma fille” – Roger Pol
Dans un registre un peu différent, pourquoi ne pas introduire la philo à vos ados ?
Dans ce livre l’auteur au travers d’une conversation entre un père, et sa fille explique et pose les bases de la philosophie de manière simple et éducative.
Philosophie ? Un mot qui fait souvent peur. On imagine des questions compliquées, des livres dont on ne comprend même pas le titre, un vocabulaire énigmatique. Ce ne serait pas une activité pour tout le monde. On se trompe, en croyant cela car tout le monde s’interroge sur le sens de la vie, sur la mort, la justice, la liberté…
Ici, l’auteur nous prouve que la philosophie n’est donc pas un casse-tête, mais une activité qu’on peut pratiquer comme la musique ou le sport : en débutant, en amateur ou en professionnel. L’essentiel est de bien commencer… Et pour cela ce livre est juste parfait, et cela même si vous n’êtes plus un ado.De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_
Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.
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Le confinement ou LE GRAND NOUVEAU DÉPART !!
Et, si, je vous disais que c’est le début d’un nouveau départ.
Le début d’une nouvelle ère… un repli sur soi et une prise de conscience générale qui va faire du bien.Nous sommes plusieurs à avoir été interpelés par la longue durée du confinement imposée , un peu comme si la vie s’arrêtait durant un moment ou que les rues qui nous entourent deviendraient sou peu les rues d’une ville fantôme.
Un peu comme si dorénavant nous n’existons plus et que nous allons nous éteindre sur une courte période.
C’est ce qui prouve à quel point nous sommes bien plus dans le « faire » que dans « l’être » au quotidien.
Sauf que Socrate disait si bien « connais toi toi même »C’est alors le moment pour vraiment écouter notre corps, nos émotions et ce qu’ils nous demandent.
Et c’est sans doute de ce confinement qu’ils ont besoin. Et cela depuis bien trop longtemps !Pourquoi ? Vous voulez savoir pourquoi ?
1) Apprendre finalement à s’écouter
Ça fait des mois et des mois qu’on se promet d’écouter notre corps et notre esprit mais qu’on ne le fait pas. Des mois qu’on se persuade que nous avons besoin de repos mais que nous dormons seulement 4h à 6h max pas nuit. Alors, en cette période on écoute son corps et ses besoins. Pour ça rien de plus simple que suivre son horloge corporelle. Vous vous sentez HS des 20H ? alors allez vous coucher !! On enlève son réveil, et on privilégie le naturel : si on se réveille en forme dès 7h alors on se lève , si au contraire on se lève à 11h c’est bien aussi. Si vous vous réveillez tard, ou si vous avez sommeil assez tôt, c’est sûrement le signe d’une fatigue de fond. Alors on profite de cette période de calme pour apprendre à écouter les signes que notre corps nous donne, et on se promet de ne plus jamais les ignorer.
2) Découvrir, ou redécouvrir son partenaire
En cette période de confinement, vous vous rendrez sûrement compte qu’il y a encore pleins de choses que vous ne savez pas sur votre partenaire. Ne serait-il pas le moment parfait, pour redécouvrir son/sa chérie ? Au fil du temps, les gens évoluent, les besoins et les envies d’hier ne sont plus forcément ceux d’aujourd’hui. Alors quels sont ses rêves, et ses projets pour demain ? De quoi il ou elle a besoin dans sa vie aujourd’hui. Il est temps de donner une bouffée d’air frais nécessaire à votre relation. De plus, pour les jeunes couples ou ceux qui n’ont pas l’habitude de vivre ensemble, cela vous permettra de voir tous les aspects de la personnalité de votre compagnon.
Dans tous les cas, cette situation n’en sera que bénéfique pour vous : ou votre couple se renforcera, ou, alors cela vous permettra de réaliser que vous n’êtes plus épanouie dans cette relation, et vous pourrez donc prendre un nouveau départ, peut-être plus sain pour vous-même.3) Envisager de nouveaux horizons
Ça fait des mois qu’on souhaite quitter son travail, mais qu’on ne le fait pas car nous avons peur de la suite ? Si il y a bien UNE chose que nous devons retenir de toute cette situation, c’est que dans la vie rien n’est prévisible, rien n’est écrit , et rien ne se contrôle Comme vous pouvez le voir en ce moment , dans la vie on est prévoit rien. En l’occurrence , la seule chose qu’on peut contrôler c’est nos envies les plus chères. Laissons nos peurs inutiles de côté , à fin de pouvoir se réaliser. Vous allez vite prendre conscience de si votre travail vous manque ou pas. Dans le cas où vous ne vous sentiriez plus en phase avec celui-ci, il est peut-être temps de penser à une reconversion professionnelle.
4) Printemps, saison du foie, on le nettoie.
D’ici quelques jours ce sera le printemps. Les arbres retrouvent leurs feuilles, les animaux sortent de leurs cachettes, les fleurs poussent, bref la nature s’éveille !! Le printemps,c’est la saison du renouveau, et un mouvement similaire s’opère dans notre corps , et ceci a un impact particulièrement sur notre foie. Voilà pourquoi, il faut effectuer un grand nettoyage.
Sauf qu’avec nos vies à 100 à l’heure , on a vraiment d’autres priorités.
Et pourtant entre nos excès du week-end, les sandwichs sur le pouce à midi , et la fatigue chronique… il en aurait bien besoin. Pendant cette période on fait une cure de détox grâce à des plantes : pissenlit, artichaut, radis noir, romarin, que ce soit dans vos plats, ou en infusion on les consomme à l’excès pendant quelques jours. Bien évidemment pendant cette cure on s’interdit tout genre d’excès, on peut aussi penser à de courtes périodes de jeûne ( toujours après avoir consulté son médecin). Pour désintoxiquer votre foie quotidiennement, et même votre corps en règle générale, je vous recommande de mélanger le jus d’un citron avec de l’eau chaude, et en boire un grand verre tous les matins à jeûn.5) Et puis pour toutes les autres cures jamais tenues.
Puisque c’est une période de renouveau, on change nos mauvaises habitudes !!
C’est finalement le moment pour débuter des programmes et des vrais, et surtout les finir !!
Que ce soit : 45 jours pour développer des abdos en béton
45 jours pour s’aimer
45 jours pour prendre son complément pour la peau
45 jours de vitamines et de fruits et légumesChacun son programme, chacun ses objectifs. Même si les début peuvent être difficiles, faites-vous confiance et vous verrez les résultats d’ici peu. Vous vous rendrez compte qu’il n’y a pas de meilleure satisfaction, qu’aller au bout des choses.
6) Mettre de l’ordre dans nos comptes.
Tu ne sais plus où tu en es dans tes comptes car tu es dépassé par le temps et le quotidien.
C’est donc le moment pour t’occuper de tout cela au calme. Comme on l’a dit précédemment, cette période nous montre que rien n’est prévisible , alors on en profite pour faire un point sur notre situation financière, et , on essaie de mieux s’organiser. En cherchant un peu vous vous rendre compte qu’il y a énormément d’applications pour vous aidez à gérer votre budget : Bankin’, Linxo, Money board, et j’en passe…7) Ne pas oublier de dire aux gens qu’on les aime.
Et si, en cette période de confinement on se promettait de ne plus oublier d’exprimer notre amour à nos proches.
Alors, on envoie un message par jour à une personne qu’on aime, on prend des nouvelles des amis qu’on a négligés, et on recontacte une personne avec qui on a coupé court et qu’on regrette.8) On fait du trie dans nos vies, et dans nos amis.
Puisqu’on fait du ménage, faisons aussi du tri dans nos cercles d’amis. Il y en a marre des personnes égoïstes, égocentriques… Marre des personnes qui ont besoin de rabaisser les autres pour se sentir existé, marre des personnes fermées d’esprit. Toutes ces relations toxiques ne mènent à rien, si ce n’est à nous faire perdre du temps, et de l’énergie. Après une bonne discussion avec les concerner, on prend son portable, on ouvre Facebook, Instagram et on supprime toutes les personnes qui sont malsaines pour nos vies. Je vous entends déjà mais c’est ridicule de supprimer les personnes des réseaux sociaux, ça fait très enfantin… Absolument pas, c’est symbolique : je te supprime de ma vie « virtuelle», je te supprime de ma vie réelle. Il est parfois dur d’ouvrir les yeux sur les gens, mais vous ne vous sentirez que mieux une fois débarrasser des relations toxiques.
9) Le moment pour enfin respirer car on ne sait pas le faire.
Comment ça apprendre à respirer ? Et, oui !! Tout comme toi j’ai été surprise de l’apprendre, la plupart d’entre nous ne savent pas respirer. Sur le moment, on se sent bête pas vrai ? Même la chose la plus basique, on ne sait pas le faire : TRAGÉDIE ! Mais non, pas de panique vous êtes loin d’être le seul croyez-moi. En plus il existe une super application appelée « RespirRelax », qui t’apprend à respirer correctement. Alors, pendant ces 45 jours on apprend enfin à respirer.
10) Le moment pour regarder les détails de son quotidien.
On est souvent trop durs avec nous-mêmes, et on ne voit souvent pas les choses sur lesquelles on n’a déjà fait un énorme pas dans la vie. À partir d’aujourd’hui, on prend le temps pour savourer nos petites victoires. Car ne l’oublier pas dans 99% on ne tire pas le gros lot dès le départ, c’est nos petits accomplissements , et progrès qui finissent par nous y mener.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet
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Bienvenue à nos Combattantes
La vie n’est pas un long fleuve tranquille… loin de là…
Nous avons tous notre propre histoire, et notre propre destin, diront certains…
Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. On ne naît pas sous la même étoile. Et même si on a la chance de naître sous une bonne étoile, ce n’est pas pour autant que notre vie est toute tracée d’avance et qu’elle est vouée à être parfaite !
Une multitude d’évènements ou de circonstances peuvent interagir dans notre chemin de vie. Des évènements que nous pouvons parfois maîtriser, d’autres pour lesquels nous ne pouvons pas faire grand-chose, voire strictement rien. Des traumatismes dans l’enfance, par exemple, peuvent nous marquer pour la vie, même si nous pouvons en apaiser quelques-uns.
Quoi qu’il en soit, pour certains, la vie ne les a pas gâtés et cela, dès la naissance. Et pourtant, il faut vivre, il faut avancer !
Subir ou agir ?
Et c’est à partir de ces constats, de ces vécus que certains « destins » se construisent… ou pas… !
En effet, en fonction de notre nature même, et/ou de notre passé, certains vivront leur vie comme une fatalité. Ils subiront les évènements parfois parce que c’est inévitable, parfois par manque de courage ou par peur.
Et d’autres, à l’inverse, essaieront de « s’en sortir », de se battre, de mordre la vie à pleines dents, et ce, contre vents et marées. Pour ce faire, ils oseront défier le destin, prendre des décisions radicales, renoncer à certains privilèges matériels, sortir de leur zone de confort (si l’on peut dire), pour :
- Se construire une vie différente, meilleure et apaisée
- Réaliser leur(s) rêve(s)
- Vivre de leur passion
Vous l’aurez compris, il s’agit de combattant(e)s ! D’individus qui refusent l’avenir qui leur était tout tracé, et qui se battent pour trouver le bonheur, ou tout au moins quelque chose qui s’en approche.
Leur objectif commun : vivre en adéquation avec eux-mêmes.

Des exemples à valoriser et à suivre
Et ce sont à ces individus que j’ai décidé de consacrer du temps. Admirative, mais également directement concernée, car si vous me suivez, vous connaissez mon parcours…, j’ai voulu relater leurs histoires pour montrer (et prouver) que l’on peut changer sa destinée, si bien sûr, on parvient à faire resurgir les forces qui sont en nous, forces dont parfois on ne soupçonne même pas l’existence !
C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en valeur ces personnes, toutes admirables, car elles sont des exemples de courage qui doivent servir d’espoir à celles et à ceux qui ne sont malheureusement pas gâtés par la vie, ou qui subissent leur vie comme une fatalité.
Aussi, depuis le mois de septembre, j’effectue des interviews qui sont diffusées sous forme de podcasts. J’ai eu la chance de rencontrer des femmes et des hommes extraordinaires !
Et, si à date, je me suis penchée à la fois sur des hommes et des femmes, à terme, je prioriserai les femmes, car dans notre société encore très masculine, il demeure encore plus difficile pour une femme de « se faire une place », de vivre une vie épanouie. Très souvent prises dans un rythme infernal, il leur est encore plus difficile de rompre avec « leur routine », et de penser à elles.
C’est donc possible
Vous constaterez dans mes podcasts, que certaines ont eu le courage de quitter des « positions socialement confortables » pour réaliser leur rêve, et surtout pour trouver une vie qui a du sens !
Rappelons ici, que vivre en porte-à-faux avec ses envies et ses valeurs conduit inévitablement à des problèmes de santé : stress, angoisses, burn-out, dépressions sévères, troubles alimentaires (boulimie, anorexie), suicides… Si vous vous levez tous les matins en soupirant, si vous vous couchez tous les soirs avec l’estomac noué… Il est temps de faire quelque chose… !

Sinon…
Lorsque l’on ne vit plus en adéquation avec soi-même, on ne vit plus en adéquation avec les autres, et la vie peut vite devenir un calvaire, voire un enfer. Il est donc fondamental d’être en mesure non seulement de savoir se poser, réfléchir, se remettre en question. Mais le plus difficile n’est pas cela. Le plus difficile, c’est d’être en mesure de prendre certaines décisions parfois très difficiles, des décisions qui remettent en question une vie entière ! Faire fi du regard des autres et de la famille demande également beaucoup de courage.
Les podcasts de mes combattant(e)s
Certain(e)s y sont donc parvenu(e)s, et je trouve important de partager leur histoire, leur combat et surtout leur victoire.
Ces expériences, riches et denses, sont à la fois émouvantes et surtout pleines d’espoir !
C’est pourquoi, je vous invite à me(nous) rejoindre sur : Apple Podcasts, Deezerfr, spotify et souncloud pour écouter leurs histoires, et vous convaincre que vous aussi, vous pouvez y parvenir
https://podcasts.apple.com/fr/podcast/combattant-e-s/id1480753178?i=1000458856438 .

Vous m’y retrouverez en compagnie de :
- Olivia Zeitline qui s’est consacrée à l’écriture après avoir obtenu son diplôme d’avocat. Passionnée de poésie et de spiritualité sous toutes ses formes, elle nous parle de son rapport très pointu à l’intuition. Celle-ci guide en effet sa vie, et lui a permis de changer de voie dès qu’elle l’a souhaité.
- Anne-Laure avait « sur le papier » une vie de rêve, en tant que chez de projet événementiel dans une belle compagnie, et pourtant elle a fait un burn-out.Elle s’est alors remise en question et a suivi un accompagnement avec un coach de vie durant plusieurs années. Celui-ci lui a changé sa vie et ses perceptions du monde. Elle a fini par se reconvertir en tant que chanteuse et se sent aujourd’hui alignée et apaisée.
- Gipsy, est une jeune femme qui a appris à s’écouter avec l’âge , et qui partage son quotidien, sa passion pour le sport, ses objectifs à venir.Aujourd’hui, Gipsy est une jeune femme alignée, avec des peurs comme tout le monde. Le combat guide sa vie notamment depuis qu’elle a réussi à perdre plus de 30 kilos et qu’elle a pris conscience qu’elle n’était pas faite pour être salariée.
- Francky 31 ans, est arrivé en France d’Haïti à l’âge de 5 ans. Il ne parlait pas un seul mot de français et était très seul. Il a souffert d’obésité et cela a été très difficile.Aujourd’hui il est aligné, et sait ce qu’il veut. Sa petite timidité le rend encore plus humble et agréable.
- Sébastien, est un jeune homme téméraire de 31 ans. Il peut tomber 10 fois, il se relèvera 11 fois. Il a le combat dans le sang et une rage de vivre qui le rend conscient et optimiste. Son passé fut par moments semé d’embûches. Son quotidien, aujourd’hui, est aligné et en cohérence avec ce qu’il est et avec ses valeurs. Venez découvrir son témoignage touchant et à la limite du supportable. Un combattant !
Conclusion
Alors, si vous êtes en conflit avec vous-même ou si vous avez vécu un traumatisme, ne sous-estimez pas l’énergie et la force qui sont en vous. Plus vous subirez, plus votre corps vous rappellera à l’ordre.
Tout le monde a des capacités et du talent. Ce qu’il faut, c’est connaître son potentiel et savoir l’exploiter. Le cheminement est souvent assez long. Mais croyez-moi, cela en vaut vraiment la peine !
Et parfois, souvent même, il est utile, voire indispensable de se faire coacher ! Échanger, se confier, être encouragé sont souvent essentiels pour révéler votre personnalité, votre potentiel, et pour parvenir à faire ce qu’il y a de plus difficile : prendre une décision. N’hésitez pas dans ce cas à me contacter !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

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Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ?
La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…
En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.
Petit rappel sur le droit des femmes
Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.
Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.
Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.
Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !
Quelque chose de lourd…
De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.
Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.
A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

Égalité… des quoi ? des chances… ?
On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.
Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.
De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.
Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !
Discrimination inconsciente… pas tant que cela
La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.
Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».
Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.
Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

Des solutions données aux femmes pour faire leur place
Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.
La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).
Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.
C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.
Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.
Il reste donc encore un long chemin à parcourir…
Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.
Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

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Comment éviter le tiraillement des émotions ?
Si nous accueillons toujours avec plaisir les émotions positives telles que la joie, l’amour ou la sérénité, ces émotions sont souvent intimement liées à des émotions contraires telles que la peur, l’anxiété, la tristesse. Ce n’est parfois pas facile à vivre. Alors, comment gérer cette tyrannie des émotions qui s’entremêlent ? Surtout qu’en plus, nous pouvons avoir peur de notre peur, être en colère contre notre jalousie, etc. Avoir honte de notre tristesse. Le comble peut-être étant d’avoir peur d’être heureux… ou de se complaire à être malheureux ?
Mais, pouvons-nous réellement éviter ce combat incessant de nos sentiments contraires ? D’ailleurs, c’est quoi une émotion au fait ? Et que faire ? Lisez cet article et vous aurez peut-être des réponses à vos questions… Je l’espère !
Qu’est-ce qu’une émotion ?
Avant de pouvoir mieux comprendre ce qu’il se passe en nous, il faudrait déjà savoir qui elle est, et apprendre à reconnaître une émotion, vous ne pensez pas ? Alors installez-vous confortablement, et faites une brève rencontre avec l’émotion (théorique bien sûr !)
Alors, qu’est-ce qu’une émotion ? C’est une réaction physiologique du corps à une pensée ou à un évènement extérieur. C’est une énergie qui se crée au sein de notre esprit par la conjonction de différentes causes et conditions. Son intensité, sa force et son importance sont indéniablement rattachées au vécu de chacun. En effet, personne, face à des circonstances similaires, ne ressentira les mêmes choses, ne vivra les mêmes émotions.
Mais alors quelles sont ces émotions ? On recense 4 émotions de base desquelles découlent toutes les autres :
- La peur (la méfiance, le doute, le scepticisme, la prudence, la susceptibilité, etc.)
- La tristesse (la peine, la nostalgie, l’empathie, etc.)
- La colère (la fierté, la générosité, le dédain, l’agressivité, etc.)
- La joie (la surprise, l’enthousiasme, l’euphorie, la propension au bavardage, etc.)

Nos émotions, notre moteur ?
On pense souvent que seul un robot est dépourvu d’émotions ! Qu’il est impossible pour un être humain de n’avoir aucune émotion. Sauf que si, c’est possible. 15 % de la population serait atteinte d’alexithymie. Aléxithy quoi ? Oui, oui, vous avez bien lu, Alexithymie. On connaît tous quelqu’un de notre entourage un peu « taciturne », « renfermé » qui exprime peu ou pas ses émotions. Mais ce « silence des émotions » veut-il forcément dire qu’elles n’existent pas ? Pas vraiment. Cette affectation résulte en fait d’une connexion déficiente entre les centres cérébraux de l’émotion et ceux où elle est représentée de façon consciente. Si la personne ne semble pas pouvoir les identifier, lorsque des paramètres physiologiques sont mesurés, il est constaté que des émotions sont bien présentes. Cette personne ne peut juste pas les exprimer car il ne les perçoit pas. Étrange… je vous l’accorde.
Et en ce qui concerne les autres alors ? Pour les 85 % restants, les émotions sont, cette fois-ci, bien ressenties, voire parfois trop ! Mais même si elles sont parfois douloureuses, elles restent néanmoins nécessaires dans notre vie. En effet, ces dernières alimentent notre sensibilité, enrichissent notre personnalité, nous permettent de créer et d’entrer en communication avec les autres. Malgré tout, nous savons tous qu’elles peuvent être terriblement dévastatrices, porteuses de peurs, d’angoisses et de tristesse.
Certains s’évertuent à enfouir ou à refouler leurs émotions, mais c’est un peu comme reculer pour mieux sauter. L’émotion ne disparaît pas, et souvent elle risque de resurgir de manière encore plus violente avec des comportements excessifs.
Inhérentes à notre personnalité, fondamentales pour notre bonheur et notre équilibre, vouloir les éradiquer ne rime à rien. Elles sont nos petits guides dont les messages sont à décoder, à déchiffrer pour orienter nos choix de vie. Alors, tentons plutôt de les identifier, d’apprendre à vivre avec elles, et de les gérer quand elles s’entrechoquent et nous submergent.

Bien vivre avec nos émotions, c’est possible
Bien qu’elles soient parfois envahissantes et qu’elles nous font vivre l’ascenseur émotionnel, nous pouvons bien vivre avec elles, si nous savons comment les dompter et leur laisser la place qu’elles méritent, ni plus ni moins !
Et c’est bien là que se trouve toute la difficulté.
Comment gérer ce tiraillement entre elles ? Un coup la joie, puis la tristesse, ou la peur et du stress… Cette potion explosive nous menace à chaque instant. Et je pense que vous ne me direz pas le contraire, n’est-ce pas ?
En effet, qui n’a pas connu cette colère qui monte, qui monte et qui explose dans un flot de réactions violentes qu’on ne sait plus gérer et qui sont souvent totalement inappropriées à la situation ?
Ou alors au niveau professionnel, la peur de ne pas avoir de clients lorsque l’on lance sa propre activité mais aussi l’angoisse de ne pas savoir gérer la situation dès qu’ils arrivent. Moi, je vous le dis, lorsque l’on monte sa propre activité, le mélange des émotions contraires est notre compagnon quotidien ! La joie d’avoir un client, la peur de manquer de temps ou de ne pas être à la hauteur… La fierté de progresser, l’angoisse que ça ne dure pas… etc.
Et du côté de notre vie intime, les émotions ne sont pas en reste non plus ! C’est le moins que l’on puisse dire. Qui n’a pas ressenti cette angoisse de ne pas trouver de conjoint avec qui partager sa vie ? Et une fois qu’on le trouve, voilà, on est heureux mais rapidement une nouvelle angoisse nous envahit : celle de le perdre.
À écouter les femmes enceintes, la joie de l’être et l’angoisse concernant le développement du bébé et l’accouchement…
Ce ne sont que quelques exemples, une infime partie de toutes les circonstances de la vie quotidienne qui peuvent nous mettent dans tous nos états émotionnels…
Et nous comprenons donc aisément que le Tsunami peut vite nous noyer ! Mais alors comment faire concrètement pour gérer ses émotions sans se laisser emporter, sans qu’elles nous submergent ? J’utilise le mot « gérer » et pas « contrôler » car comme vous l’aurez compris, contrôler ses émotions est un combat vain. Il s’agit plutôt de se laisser traverser par elles sans souffrir. Pas de panique, j’espère arriver à votre rescousse avec quelques méthodes, thérapies et astuces.

Quelques méthodes pour vous aider
La méditation
À la recherche d’une paix intérieure profonde et surtout de l’apaisement de votre psychisme malmené par vos émotions, la méditation est, en autre, une bonne manière de vous aider. Elle est simple et peut se pratiquer à toute heure et dans n’importe quel endroit, à condition qu’on sache la pratiquer soi-même, bien sûr ! On choisit un lieu que nous aimons, on prend une posture confortable, on tente de lâcher prise et … c’est tout ! On se déconnecte avec soi et ce qui nous entoure et on se relâche, sans s’endormir évidemment ! Et on laisse cet état de bien-être nous envahir et pourquoi pas chasser nos mauvaises pensées, les émotions qui débordent.
La sophrologie
Grâce à la sophrologie et aux différents exercices de respiration et de relaxation qu’elle exige, je peux vous en parler puisque c’est mon métier. La sophrologie permet de conduire progressivement un patient vers une meilleure gestion de ses émotions afin de gagner en sérénité. Une séance réussie, c’est : une respiration maîtrisée, un relâchement musculaire et une vision plus positive du quotidien. À renouveler aussi souvent que l’on en ressent le besoin.
Le yoga
Adopté par de plus en plus de Français et dans le monde en général, on ne parle même plus des multiples effets positifs que cette technique a sur notre corps et notre mental. En effet, mêlant, méthodes de respiration, relaxation profonde, méditation et postures, elle permet un réel bien-être au quotidien.
Le sport
Pratiquer de l’exercice physique permet d’évacuer le stress, la pression et toutes les mauvaises pensées qui nous envahissent. Préférez la marche, même rapide, car celle-ci ne vous excitera pas et vous permettra de rester connecté à vous-même.
Cette liste n’étant pas exhaustive, tout ce qui pourra apaiser vos troubles et vous aider à aller bien, est bienvenu et pourra bien évidemment être combiné aux autres techniques pour un effet encore plus efficace.
Conclusion
Afin de conclure sur une note positive, oui, nous sommes tous à un moment ou à un autre de notre vie, envahis par nos émotions, les bonnes et les moins bonnes, et souvent les deux en même temps, et il n’y a rien d’anormal à cela !
Cela dit, lorsque c’est le raz-de-marée, et que nous ne savons plus comment les gérer, notre quotidien peut vite se transformer en cauchemar et nous faire carrément exploser ! Mais tout problème à sa solution, essayez de trouver la méthode qui vous convient le mieux. Nous n’avons qu’une seule vie et qu’un seul corps pour la vivre. Alors prenons-en soin !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris
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Comment bien préparer la rentrée avec dynamisme et joie ?
Toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit !
Je déteste ce proverbe et pourtant il est bien vrai. On tourne la page des vacances et on commence le nouveau chapitre de la rentrée. Mais qui a dit que septembre doit rimer avec méandres ? Pourquoi pas avec détendre ou surprendre ? Et rentrée avec été, profiter, jouer, chanter, danser ? Car, oui, même à la rentrée, il fait beau, chaud, le soleil brille encore et il n’y a aucune raison de ne pas en profiter !
Mais quand le blues voire le stress s’invite au barbecue de fin d’été comment faire ? Comment gérer la panique de la rentrée ? Comment s’y préparer au mieux afin qu’elle se fasse dans la joie et la bonne humeur ? Comment adapter son corps à un nouveau rythme de vie ? Comment réadapter le sommeil, l’alimentation, le sport, quand le programme était plutôt au farniente et aux apéritifs ?
Oui, je vous l’accorde, ce n’est pas de gaieté de cœur que l’on renonce à tout cela, mais avec quelques pensées positives, la transition peut être moins douloureuse. Alors comment se réapproprier le quotidien en douceur et avec le sourire ?
Une reprise en douceur sans stress ni déprime
On a tous connu ce petit coup de blues de la rentrée qui vient nous tirailler le ventre quelques jours avant le « D day ». Pas de panique, c’est normal ! Mais ne laissons pas ce vague à l’âme se transformer en un stress paralysant ! Dites-vous que tout le monde vit la même chose en même temps que vous, et que ce « deuil » des vacances est difficile au début mais qu’il n’est pas du tout insurmontable.
Alors, oui ! La rentrée est souvent synonyme de rush, de réunions, de nouveaux projets… Une effervescence qui contraste radicalement avec l’oisiveté des vacances, mais il ne faut pas pour autant céder au surmenage ! On s’organise ! On se donne des petits objectifs à atteindre et on choisit de vivre cette rentrée au jour le jour sans se mettre la pression.

Au travail, le maître mot : Hiérarchiser ! On traite les tâches importantes d’abord, sans se laisser déborder par la tonne de travail qui nous attend. On s’organise et on trie. Et surtout, on ne procrastine pas ! Remettre au lendemain ce que l’on aurait pu faire le jour même va nous mettre en retard sur notre planning des tâches à accomplir et ainsi, augmenter notre stress et diminuer notre estime de soi. On applique également cette technique pour le traitement des 2 millions de mails qui saturent notre boîte :
- Commencer par un tri rapide, et les répartir dans 3 boîtes (« à faire dans les 24-48 heures », « à faire dans la semaine », « pas urgent »)
- Les lire en plusieurs fois (par paquets de 50 ou 100)
- Le faire plutôt le matin en arrivant : c’est mieux de commencer par le plus rébarbatif
- Gérer un mail à la fois.
Et on ne se prive pas des pauses habituelles avec les collègues pour se remémorer ensemble les bons moments de l’été ! On continue les petits plaisirs des vacances et on s’octroie une tomate mozza en terrasse entre midi et deux !
Les plaisirs de l’été que l’on fait perdurer…
Pourquoi se mettre au régime strict et bosser comme un acharné dès le premier septembre? Pourquoi ne pas continuer à s’octroyer les petits plaisirs de cet été ? Une fois que nous avons accompli les tâches de la journée au travail, il n’y a aucune raison de s’empêcher de déguster un bon petit apéro en terrasse entre amis. Au contraire ! Une reprise réussie, c’est aussi ça. On continue de prendre du temps pour soi, pour ceux que l’on aime, on profite des moments de détente en solo et les moments de partage entre amis. On fait le marché, on se balade dans la nature ou au bord de l’eau le week-end… On se fait plaisir sans culpabiliser.
Et pourquoi ne pas adopter ce mode « détente », « stressless » au travail ? Ne serait-il pas bénéfique ? Ne travaillons-nous pas mieux lorsque ce n’est pas dans l’urgence ? Laissons un peu s’inviter dans notre bureau le calme et la détente et chassons l’urgence, la pression et l’angoisse.
Du boulot, d’accord ! Mais dans un dynamisme positif et avec le sourire. On prend un peu de recul et surtout beaucoup de plaisir.

Malgré tout, il y a quelques petits efforts à faire…
Eh oui ! Si la rentrée doit être vécue de la manière la plus positive qu’il soit, notre corps va avoir besoin d’un léger rééquilibrage au niveau du sommeil, de l’alimentation et de l’activité physique ! Un « mal » nécessaire pour qu’il vous accompagne au mieux dans ce nouveau rythme de vie. Alors on s’y met doucement mais sûrement !
On commence par reprendre de bonnes habitudes alimentaires sans pour autant bannir les petits plaisirs des vacances. On adopte le « un peu moins, et un peu plus » :
- un peu moins de rosé et un peu plus d’eau
- un peu moins de chips et un peu plus de légumes
- un peu moins de glace et un peu plus de fruits
- On n’oublie pas non plus le sommeil, facteur très important pour redémarrer sur de bonnes bases. Voici donc 2 ou 3 petits conseils pour un sommeil réparateur :
- on évite de boire de l’alcool trop tard le soir…
- on apaise son corps et son esprit en finissant le bon bouquin des vacances

Et pour finir, on continue ou on reprend une activité physique régulière pour se décharger du stress, de la pression, et faire du bien à notre corps et à notre esprit. Inutile de se fixer des résolutions de sportif de haut niveau : on va à son rythme, l’essentiel est dans l’action.
On se fait plaisir et surtout du bien ! On peut le faire solo ou entre amis, dans un parc, le long d’un fleuve, sur la plage ou en montagne, peu importe. On se défoule et on prend son pied ! On court, on pédale, on nage et on se détend aussi…
On s’oxygène et on se recentre sur soi et sur l’essentiel
On se défoule mais pas que ! On laisse aussi la place à la détente de notre esprit et de notre corps. On s’oxygène, on respire et on apaise toutes les mauvaises tensions liées au stress de la rentrée. Et rien de mieux pour cela que les activités comme le yoga, la méditation ou encore la sophrologie. Les jours sont encore longs, alors on profite jusqu’au bout du beau temps et de la lumière apaisante du soir pour aller faire notre activité dans le jardin ou dans un parc pour respirer l’air frais et pur de la nature. Mais quels sont les bienfaits de ces trois techniques ?
Le yoga, tout d’abord, peut, grâce à certaines postures, avoir des effets stimulants qui vont nous faire un bien fou. Certaines ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol.
La sophrologie, elle, en jouant sur les organes et la circulation sanguine, permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Elle va aussi entraîner le renforcement de nos connexions neuronales, utiles au travail !
Et enfin, la méditation, va nous apaiser en nous recentrant sur nous-même et sur notre environnement.
N’oubliez que si vous souhaitez des renseignements, je suis à votre disposition !
Mieux qu’un smoothie détox, ces activités nous apportent l’énergie mais aussi l’apaisement nécessaires à la remise en route de notre corps et notre cerveau.

Alors…
C’est la rentrée… Oui, mais on ne se met pas la rate au court-bouillon pour autant ! Pas de stress, pas de panique ! Inutile de mettre en place un régime drastique car vous ne ferez qu’augmenter le blues de la rentrée ! On effectue un rééquilibrage en douceur sans pour autant se priver des petits plaisirs de cet été. De la méthode sans frustrations !
Alors, bonne rentrée à tous sous le soleil et avec quand même quelques petits cocktails (avec modération bien sûr !).
Charlotte Vallet -Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris
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Des idées pour améliorer le bien-être au travail
Il a fallu de longues années avant que l’on admette le lien direct entre la performance d’une entreprise et le ressenti des salariés. La faute aux premières démarches qualité ? En effet, ces dernières ont longtemps orienté les managers à prioriser la satisfaction des clients, laquelle était souvent obtenue au détriment de la satisfaction des salariés. Quelle erreur… ! D’autant plus que parallèlement, les rapports au travail se modifiaient radicalement avec l’arrivée dans le monde du travail de la génération Y puis de la génération Z, à la recherche, entre autres, d’un meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Bref… Ne nous éternisons pas sur les causes et les conséquences, puisque ça y est : il est désormais acquis (ou presque…) qu’un salarié heureux est plus performant ! La mise en place d’une politique de bien-être au travail devient quasiment incontournable. L’objet de cet article n’est pas d’en faire la promotion, mais de vous donner des idées concrètes pour la mettre en place.
Mais avant de vous livrer ces idées, quelques chiffres pour les récalcitrants
La notion de bien-être est très difficile à définir et à chiffrer, tant nous sommes différents, et tant les secteurs d’activité sont différents. De nombreux sociologues ou experts en RH se sont penchés sur la notion et l’impact de la satisfaction des salariés. Mais ce qui a véritablement fait bouger les choses, ce sont les premières réglementations concernant l’obligation pour l’employeur d’évaluer les risques, et notamment les risques professionnels puis psychosociaux, dont les conséquences pouvaient être dramatiques. Rappelons ici la vague de suicide chez Orange, il y a dix ans…
Mais il ne faut pas confondre risques psychosociaux et bien-être au travail. On peut juste dire que la mise en place d’actions en faveur du bien-être au travail est l’un des axes (parmi beaucoup d’autres) qu’il faut développer pour diminuer les risques psychosociaux.
Parmi les études les plus récentes, citons celles du Cabinet Stimulus et des Cabinets Amarok/Malakoff-Médéric dont les résultats ont été synthétisés sans un article fort intéressant dans la revue Capital.
- 70 % des salariés déclarent avoir un travail nerveusement.
- 52 % des salariés se disent anxieux au travail.
- 29 % présentent un niveau dépressif élevé et 6 % sont probablement en dépression.
- 18 % des salariés affirment avoir été victimes d’un burn-out (syndrome d’épuisement professionnel).
Et ci-dessous quelques autres chiffres plutôt significatifs…

Un employé qui ne sent pas bien commence par poser des arrêts maladie et finit par partir !
Le cout caché moyen de l’absentéisme s’établirait chaque année à 4 059 euros par salarié. En multipliant ce chiffre par 26,6 millions, soit la population active française, on obtient donc une facture de 107,9 milliards par an (d’après le journal Les Échos).
Et c’est sans compter les coûts du turn-over, et donc des nouveaux recrutements, qui sont également énormes pour les entreprises…
Alors, on y va ?
Les idées pour améliorer le bien-être au travail
Bien sûr tout dépend de la taille de votre entreprise et du budget qu’elle aura à disposition (ou plus exactement qu’elle priorisera ou non… : ne dit-on pas que tout est une question de priorité ?). Mais croyez-moi, il y en a pour tous les goûts et à tous les prix.
Réaliser un questionnaire pour recueillir des idées émanant des salariés ou pour recueillir leurs besoins
La première étape est sans conteste, d’interroger les salariés. Inutile de mettre un babyfoot si l’équipe est composé de 90 % de filles ! J’exagère… je le sais, mais n’oublions que cette fois, nous sommes centré sur la satisfaction des salariés. Par exemple, pour des postes stressants ou pour des postes pour lesquels l’essentiel de la rémunération est lié à des primes, beaucoup de salariés réclament des ateliers pour apprendre à gérer le stress, type séance de sophrologie. Nous y reviendrons en fin d’article. Vous l’aurez compris, quitte à faire plaisir aux salariés, autant leur demander ce qu’ils souhaitent ! Les salariés sont suffisamment intelligents pour rester raisonnables…
Optimiser la décoration et l’agencement des locaux
Quoi de plus démotivant que d’arriver le matin, déjà un peu groggy…, dans des locaux tristes, voire lugubres, sans âme ? Un petit rafraîchissement des lieux, quelques petits objets décoratifs, quelques plantes vertes (avec un responsable des plantes vertes J), quelques affiches un peu fun, et le tour est joué ! Bon, je ne parle pas de la machine à café… C’est la base.
De même l’agencement des bureaux peut aussi être modifié pour rendre l’espace plus convivial.

Créer des espaces différents
Mais la convivialité a ses limites ! Être sans cesse les uns sur les autres, au bout d’un moment… Vous m’avez comprise ! Il faut donc également penser à la détente, à l’isolement, au repos… En fait, il faut envisager des espaces de natures différentes. Des lieux de vie (et de travail), des lieux de détente (salle de jeux, installation de canapés bien confortables), et des lieux où l’on peut s’isoler et faire une sieste, par exemple.

Proposer des activités ludiques en externe ou en interne
Organiser des évènements en externe
Pas tous les jours, bien sûr ! Mais de nombreuses entreprises misent beaucoup, et à juste titre, sur l’organisation d’évènements sur le temps de travail. Les entreprises anglo-saxonnes n’hésitent pas à consacrer un vendredi après-midi par mois à un événement qui rassemblent les salariés. De toutes les manières, soyons lucide : qui est hyperconcentré le vendredi après-midi 🙂 ? Alors pourquoi ne pas retourner cela à l’avantage de l’entreprise ?
- Un pique-nique ?
- Une virée sur les bords de Seine ?
- Une chasse au trésor ?
- Se rendre dans un Espace Game ?
Des indispensables pour souder les équipes… Normalement… !

Organiser des évènements en interne
Dans le même esprit, les événements peuvent être organisés en interne. Aujourd’hui, il existe de nombreuses plateformes qui proposent au RH des activités de toute nature. Par exemple, sur le site Yuco.co, des centaines de programmes et d’activités sont proposées aux entreprises. Sur cette plateforme, vous trouverez des activités dans les domaines suivants :
- Développement personnel
- Leadership et le management
- Le sport
- Le bien-être et la relaxation
- L’art et la culture
De l’Aromathérapie, à l’œnologie, au yoga, à la boxe, aux cours de cuisine, relaxation, technique de respiration… Impossible de ne pas y trouver son bonheur !
Organiser des ateliers de sophrologie et/ou de lâcher prise : l’atelier le plus prisé
En lien direct avec ce que j’ai écrit précédemment, la sophrologie fait partie des demandes récurrentes. En effet, vaincre ou simplement gérer le stress, l’angoisse est l’un des ateliers les plus prisés. Sophrologue à Paris, je peux intervenir dans votre entreprise ! N’hésitez pas à me contacter :-).

Quelques autres petites idées en vrac…
- Faire livrer de temps en temps de petits-déjeuners ou des fruits.
- Apprendre à récompenser et à féliciter ses salariés (n’est-ce pas Mesdames et Messieurs les managers… ?)
- Veillez à la bonne intégration des nouveaux. Un salarié bien intégré sera plus rapidement opérationnel !
- Travaillez sur la flexibilité des horaires (et notamment sur le télétravail) et sur les congés payés.
- Organisez une journée famille ! Durant laquelle le salarié peut montrer à ses proches, son cadre de travail.
- Et pour finir, je vais peut-être en choquer certains, mais parfois, il ne suffit pas de grand-chose… Un simple bonjour aimable, un minimum d’intérêt et de respect peuvent aussi suffire aux salariés… Et ça, ce n’est pas très onéreux…

Conclusion
D’après une étude menée par Harvard/MIT, les salariés heureux sont :
- 31 % plus productifs
- Deux fois moins malades
- Six fois moins absents
- Neuf fois plus loyaux
Alors, ça vaut peut-être le coup d’investir ?
En même temps, savez-vous vraiment le temps que vous passez au travail ???
12 % de votre vie… !! Alors que c’était 40 % au début du 20e siècle et 70 % durant la 3e République. (Source Regionjob : . https://www.regionsjob.com/actualites/chiffres-cles-monde-travail.html )
À ce rythme, dans 50 ans… la question ne se posera plus 🙂 !
Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

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Et si rire faisait du bien à notre corps…
Une bonne blague, un film drôle… Et on éclate de rire ! Tout le monde a déjà connu ces bons moments, enfin je l’espère… Néanmoins, quelques chiffres démontrent que nous ne rions pas assez. Si un enfant rit en moyenne 300 à 400 fois par jour, l’adulte lui ne rirait qu’une vingtaine de fois. Et les études à ce sujet tendent à montrer que nous rions de moins en moins : 19 minutes en 1939, 6 minutes en 1983 et moins d’une minute aujourd’hui. Et pire encore, environ 7 % des Français avouent ne jamais rire du tout ! Des rythmes de vie stressants et des conventions sociales pesantes induisent une pression généralisée (carrière professionnelle, compétitivité, rendement, etc.) laissant malheureusement peu de place à de franches rigolades entre amis !
Et pourtant, lorsque nous rions, nous n’en avons pas toujours conscience, mais nous ressentons une sensation de bien-être, de détente, de relâchement… Nous nous sentons bien tout simplement. Pas seulement parce que nous sommes entre amis ou en famille autour d’une bonne tablée, bien que cela y participe bien évidemment, mais surtout parce que le rire a de réels effets sur notre corps.
Et croyez-moi, ils sont nombreux et surtout très bénéfiques. Vous vous demandez sûrement pourquoi ? Eh bien, je me suis posé la même question que vous et je vais essayer de vous répondre.
Mais tout d’abord, qu’est-ce que le rire ?
Pascale Poinsot-Lesterle a dit : « Savoir rire est un art, un art du lâcher-prise qui permet instantanément de prendre de l’altitude face aux aléas de la vie ».
Si nous nous référons à la stricte définition, le rire est un comportement réflexe, donc incontrôlable, de notre corps qui exprime souvent la joie, le bonheur. J’ai choisi le mot « souvent » car parfois le rire peut être nerveux, contraire à l’expression de la joie. Nous avons tous en tête une personne qui se met à rire alors que la situation ne s’y prête pas du tout. Ou alors, un « Jean qui rit, Jean qui pleure ». Le rire exprimerait donc simplement des émotions !
Comme disait Goethe : « Le rire et les pleurs sont cousins ». En effet, qui n’a pas pleuré lors d’un évènement heureux important, ou à l’annonce d’une bonne surprise, ou tout simplement à la suite d’un fou rire ? Nous pouvons donc également pleurer de joie.
Le rire serait déclenché par l’humour, le chatouillement ou par l’effet boule de neige, en voyant quelqu’un rire en face de nous. Comme le bâillement, le rire est très communicatif.
Ce réflexe est donc une réaction physique d’une multitude de causes.

Quels sont ses bienfaits sur notre corps ?
Rire aurait de nombreux bienfaits sur notre corps. Vrai remède ou pratique tendance ? Je vous dis tout, ou presque ! Selon la gélotologie, ou science du rire, (à ne pas confondre avec gérontologie !) la liste de toutes ses vertus serait longue et non exhaustive. Voyons-en l’essentiel.
Le rire, une technique respiratoire proche du yoga !
Rire, forcé ou non, permettrait une réelle détente respiratoire et musculaire. Vous me répondrez sûrement que lorsque vous éclatez de rire c’est plutôt la sensation d’étouffement que nous ressentons ! Oui au début… Mais le corps s’adapte. En effet, les bronches vont s’ouvrir et la respiration s’allonger, ce qui va permettre 4 fois plus d’échanges respiratoires. L’inspiration est plus profonde, et l’expiration plus intense. Nous augmentons donc notre réserve d’air.
Nos éclats de rire pourraient alors nettoyer nos voies respiratoires mais aussi prévenir de certaines maladies respiratoires comme l’emphysème voire stopper des crises d’asthme.
Le rire, un super digestif !
Pour les adeptes du « digeo » ou de la « pisse mémé », voici une autre méthode pour les fins de repas difficiles : la grosse « marrade » ! Eh oui, rire permettrait de renforcer la digestion. Lorsque nous rions, nos muscles abdominaux se contractent et ce phénomène entraînerait le brassage de notre tube digestif en profondeur, lieu où s’élabore la nutrition de l’organisme. Ainsi l’estomac, le côlon, l’intestin grêle, ou encore le duodénum… sont massés, et notre digestion optimalisée. Ceci explique aussi pourquoi le rire lutte contre la constipation. Bonne nouvelle ! Stoppons nos prises de médicaments et marrons-nous !

Le rire : un puissant antidouleur
Selon une étude, 60 % des consultations médicales seraient liées à la douleur. Et si nous pouvions l’atténuer en rigolant ? C’est prouvé, le rire est tout aussi efficace d’un doliprane. Voici en effet, les 3 mécanismes de l’action du rire sur la douleur :
- Il agit comme un placébo en détournant notre attention. En effet, rire nous change les idées et agit sur notre perception de la douleur en l’atténuant.
- Il permet de détendre nos muscles. Le rire permet de réduire la contracture musculaire, et cette tension qui crée la douleur ou l’amplifie.
- Il augmente notre production d’endorphines, hormones jouant le rôle de morphine et de catécholamines (adrénaline et noradrénaline) qui ont un rôle important sur le processus inflammatoire.
Le rire, un anti-stress naturel
Économique, efficace et naturel, le rire est le « super » remède au stress. Il est la conséquence de plusieurs stimuli externes qui engendrent des réactions hormonales et nerveuses en cascade dans notre organisme. Si le stress peut parfois être positif et agir comme un booster, pour atteindre un objectif important, par exemple, il peut aussi être très néfaste. Perçu comme le « mal du siècle », le stress, nous le savons aujourd’hui, est à l’origine de beaucoup de pathologies physiques (cancers, infarctus, hypertension artérielle…), psychiques (fatigue, trouble du sommeil, dépression…) et psychiatriques (schizophrénie).
Grâce au rire, notre cœur tend à ralentir, les vaisseaux se relâchent et nos muscles se détendent : le combo parfait pour réduire notre état de stress et ainsi éviter les maladies les plus graves. Aussi, les sécrétions d’endorphines qu’il provoque permettent l’apaisement de notre corps réduisant considérablement l’excès d’adrénaline et de cortisol générés par le stress.
La liste des bienfaits du rire est, je le répète, non exhaustive. En effet, il aurait aussi des effets bénéfiques sur notre sommeil, notre système immunitaire, notre sexualité et dans bien d’autres domaines encore…

La thérapie par le rire ça existe !
Aussi étonnant que cela puisse paraître, la thérapie par le rire existe, et elle est même plutôt réputée.
On dénombre aujourd’hui près d’un millier de centres de bien-être en France qui proposent un cours de « yoga du rire » basé sur des exercices pour apprendre à rire sans raison en stimulant sa capacité à rire pour se relaxer, libérer ses inhibitions et développer une attitude positive envers la vie.
De nombreuses associations se développent également, créant des « groupes du rire », des lieux exclusivement réservés aux fous rires et à la bonne humeur communicative. Alors ne perdons pas de temps et inscrivons-nous ! Le seul risque que nous prenons est de rire, rire et rire encore…
Conclusion
Pour conclure, je vous dirais tout simplement : essayez de provoquer des situations propices au rire, et marrez-vous ! Riez encore et encore, et votre corps vous dira merci. Faites le stock de blagues, remplissez votre bibliothèque de comédies, sortez avec des gens drôles et positifs, et si cela ne suffit pas, inscrivez-vous à des cours de rire ! Votre bien-être psychique et physique s’accroîtra. Alors pourquoi s’en priver ? Mieux vaut une bonne dose de rire quotidienne qu’une bonne ordonnance, non ?
Charlotte Vallet
Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS

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Et toi, qu’est-ce qui te donne le SMILE ?
Aujourd’hui, nous sommes lundi. Et le lundi est, pour un grand nombre d’entre nous, un jour morose.
Alors, pour bien commencer la semaine, je me suis demandé, ce week-end, ce qui me procurait de la joie au quotidien. J’ai fini par dialoguer avec moi-même pour y répondre.
C’est une question que l’on se ne pose pas souvent. On préfère plutôt se demander si l’on est heureux ou malheureux. Sachant que la quête du bonheur n’est pas toujours une fin en soi.
Par ailleurs, nous avons la fâcheuse tendance à penser que nous ne somme pas heureux. Notre cerveau a plutôt tendance à nous rappeler les moments difficiles plutôt que les moments positifs.
Et c’est prouvé ! Écoutez autour de vous, et comptez le nombre de fois où vous entendez « je suis fatigué ; j’ai froid ; je ne sais pas comment je vais faire pour faire telle ou telle chose ; cette personne m’énerve ; je me sens mal ; mon appartement est en bazar; je me sens trahie ; elle ne m’aime pas … ».
Il est acquis que nous (les êtres humains), nous nous complaisons dans la plainte. Elle anime nos journées.
Cela dit, elle nous épuise tout autant !
Et si nous regardions les choses différemment ? Et si plutôt que regarder ce qui ne va pas, nous regardions ce qui va bien ? Faire un bilan de ce qui est positif dans sa vie peut aider à s’apercevoir que, finalement, la vie est belle !

Mon expérience
Si je me réfère à mon année 2018, voici les moments qui m’ont procuré de la satisfaction :
- Janvier – J’ai emménagé dans mon nouvel appartement, après une rupture difficile. Le décorer m’a procuré un plaisir intense.
- Février – Il a neigé à Paris. La neige a tenu plusieurs jours, ce qui est plutôt rare, ici. Il faisait très froid et les voitures avaient du mal à circuler, mais que c’était beau !
- Mars – J’ai fini le semi-marathon avec une de mes amies sans m’être trop entraînée. L’ambiance était si chaleureuse ! Des musiciens, des chanteurs, des fans… Vous vous sentez tout puissant.
- Avril – Je suis retournée en Afrique, pour la première fois après y avoir vécu, ce qui m’a fait redécouvrir l’univers magique de ce continent. Les odeurs de poulets braisés dans les rues, l’attieké, l’alloco, la gentillesse des africains, et le mantra “tout est possible” qui vous habite à nouveau.
- Mai – J’ai débuté une formation “Switch Collective”, ce qui m’a permis de me reconvertir dans la joie et l’apaisement.
- Juin – J’ai commencé ce blog qui est devenu ma vitrine, mais surtout mon outil de communication. C’est aussi mon “bébé”, et j’en suis assez fière.
- Juillet – On a gagné la coupe du monde, et l’ambiance a été à son apogée durant plus d’un mois. Les Français étaient proches et soudés.
- Août – J’ai découvert les joies de la Bretagne. Je n’ai pas pour habitude de découvrir les régions françaises, préférant partir à l’étranger dès que je le peux. Et pourtant, cette fois, j’ai adoré. Les paysages sont magnifiques, sauvages et différents du reste des régions. Tout ce que j’aime.
- Septembre – J’ai retrouvé ma ville (qui est selon moi la plus belle), après plusieurs mois sur d’autres territoires. Prendre conscience de la beauté de cette architecture hors du commun, de la diversité culturelle, c’est magique.
- Octobre – J’ai profité de l’été indien. Été qui habituellement se termine en septembre, mais là, l’été s’est prolongé, et j’ai pu profiter du soleil en cette période souvent triste.
- Novembre – J’ai commencé l’organisation de mon voyage au Népal, et ce, pour la deuxième fois. Ce qui me fait sourire, ce sont tous les préparatifs purement logistiques.
- Décembre – J’adore les fêtes de Noel et la chaleur de mon entourage à cette période.
Essayez de faire de même. Obligez-vous à faire un bilan mensuel ou hebdomadaire de ce qui s’est bien passé, et de ce qui vous a procuré du plaisir.
Vous constaterez que, finalement, le verre est plutôt à moitié plein qu’à moitié vide !

Comment (re)trouver le sourire ?
Finalement, avoir le sourire ou non, c’est assez subjectif. Et nous sommes tous différents face à cela. Certains auront “moins” que vous (sur le papier), mais ils se contentent de peu ou en attendent moins… Ils parviennent à apprécier des petits plaisirs au quotidien.
Il y a tant de petites choses qui procurent des petits plaisirs :
- Le sourire d’un inconnu dans le métro
- Un rayon de soleil, un ciel bleu
- La blague d’un collègue quand on arrive au travail le matin
- Le rire des enfants dans la rue
- Le chocolat viennois pris au Starbucks du coin
- Un compliment de sa belle soeur
- La fin d’une séance de sport avec une amie
- Marcher au bord de la mer
- Rentrer dans le jean que l’on portait, il y a 10 ans
- Croiser des amoureux dans la rue
- La bienveillance
- Boire une bière avec quelqu’un que vous appréciez
- Réserver des vacances
- Gagner un pari
- Marcher des heures dans les rues avec de la musique
- Recevoir une bonne nouvelle dans sa boite mail
- Se préparer avant un diner ou une sortie
- Apprécier un bon repas, que l’on aura cuisiné

Le pouvoir du moment présent
Alors, si vous aussi, vous avez envie de profiter de la vie, je vous conseille fortement la lecture de ce livre : “Le pouvoir du moment présent” d’Eckart Toll. Il est incontournable. Vous y trouverez des solutions pour trouver une paix intérieure et pour apprendre à vous épanouir.
“Au coeur de cet enseignement se trouve la transformation de la conscience : en vivant dans l’instant présent, nous transcendons notre ego et accédons à ” un état de grâce, de légèreté et de bien-être “. Ce livre a le pouvoir de métamorphoser votre vie par une expérience unique.”
En effet, nous vivons constamment dans le passé ou dans le futur, mais rarement au présent. Et comme l’avenir nous fait peur, nous avons tendance à anticiper toutes les situations de façon à éviter l’échec.
Alors, oui, préparer l’avenir est important. Mais il ne faut pas se laisser submerger par cette anticipation. Le hic, c’est que la peur n’évite pas le danger, et l’anticipation n’évite pas l’échec. Il est impossible de tout contrôler, car de nombreuses situations ne dépendent pas de nous.
Le passé, quant à lui, est essentiel car il a fait de nous ce que nous sommes. En l’occurence, il faut l’accepter. On ne le change pas… Il faut juste en tirer les leçons.
Aussi, pour être un plus apaisé(e), il est fondamental de vivre le moment présent en pleine conscience.
La sophrologie est un outil de choix pour apprendre à vivre dans le moment présent et apprendre à se relaxer.
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette méthode, je suis à votre disposition pour en discuter par message privé.

Charlotte VALLET
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
charlottevallet@hotmail.com
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8 bonnes raisons d’être amoureux du lundi !
Hier, nous étions lundi !
Et le lundi, c’est souvent un jour morose pour beaucoup d’entre nous. En tout cas, j’ai souvent constaté à quel point les êtres humains passent du côté obscur de la force, ce jour-là (rires).
Il a été prouvé que nous sommes tous un peu “bipolaires” et “versatiles” dans nos comportements, et le lundi le confirme. Nous adoptons des comportements souvent étranges. Fatigue, susceptibilité, manque de bienveillance, ras le bol… Des émotions fortes nous envahissent, et sont le plus souvent en dents de scie, en cette terrible journée…
Ce qui est certain, c’est qu’il y encore peu de temps, je faisais clairement partie de ceux qui ont une boule au ventre très pénalisante, le dimanche soir. C’était d’ailleurs extrêmement pénible et fatigant, car cela me faisait broyer du noir au moins une fois par semaine, dès que j’en approchais.
Jusqu’au jour où j’ai trouvé enfin la voie pour laquelle j’étais destinée, et qui, désormais, me passionne au quotidien : celle de sophrologue et d’hypnothérapeute. Un chemin semé d’embûches, car se reconvertir n’est pas toujours facile (à lire : https://www.charlottevallet.fr/faut-il-sans-cesse-courir-apres-le-bonheur/), mais que je ne regrette pas !
Grâce à ces pratiques et des outils précis que je mets en oeuvre au quotidien pour les autres dans mon métier, j’ai aussi appris à prendre soin de moi, en respirant, et en prenant un maximum de recul par rapport au quotidien souvent fort éprouvant et agressif.
J’ai réussi à concilier ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Et j’ai surtout mis en pratique, à titre personnel, ce que je proposais à mes patients.
Raison pour laquelle, le lundi n’a plus jamais été une journée désastreuse. Même si, je vous l’accorde, je suis bien plus fatiguée le lundi que les autres jours de la semaine.

Mais pourquoi le lundi est-il perçu comme tel ?
Une étude a été menée aux États-Unis dans le but de comprendre pourquoi le lundi avait une si mauvaise réputation, et pourquoi l’être humain subissait cette journée avec tant de difficultés.
3 000 personnes ont été interrogées et 30% des personnes interrogées ont déclaré que la nuit du dimanche au lundi était souvent une nuit plus courte au cours de laquelle, elles avaient du mal à trouver le sommeil. Le réveil est alors plus difficile que les autres jours, et l’envie de repousser l’heure du lever est inévitable.
En réalité, notre vie est différente le week-end, ce qui crée une sorte de “jet lag”, au même titre que lorsque nous rentrons de voyage.
Le week-end, nous nous octroyons des nuits peut-être plus longues, mais nous nous couchons également plus tard. L’alimentation est aussi un peu différente à cause des sorties, et on se permet bien souvent des plats plus copieux et plus gras.
Le corps se dérègle et ne comprend plus rien. À cela s’ajoute le stress du premier jour de travail, stress d’autant plus important que vous ne l’aimez pas.
Savez-vous que “près de la moitié des salariés (48,4%) considèrent leur travail satisfaisant mais sans plus, selon un sondage réalisé par l’institut GFK pour le site d’offres d’emploi Monster.fr”. Il y a donc un réel problème, en France, quant au bien-être au travail.
Il est alors plus difficile d’aller au travail après un week-end de festivités et d’affection envers les activités réalisées surtout lorsque l’on n’aime pas son job.

Savez-vous que le mardi est pire que le lundi ?
Mais il serait intéressant d’arrêter de pointer du doigt le lundi, car, croyez-le ou pas, le mardi est souvent un jour plus pénible que le lundi.
Le lundi, nous avons encore en tête les moments festifs que nous venons de passer. Et puis, nous nous sommes souvent reposé durant le week-end ! (pas pour tous, je vous l’accorde) !
Le mardi représente finalement le véritable début de la semaine, avec la prise de conscience de toutes nos responsabilités.
Comment combattre ses pensées négatives ?
Quoi qu’il arrive, il faut impérativement réussir à s’enlever de la tête toutes nos idées négatives, de façon à vivre le lundi comme si vous étiez un poisson dans l’eau.
Et cela commence par une grosse dose d’amour et de gratitude envers soi-même. Vous ne pouvez pas attendre des autres qu’ils vous apportent un amour inconditionnel, en l’occurence soyez en sûr, on est jamais mieux servi que par soi-même.
Débutez alors la journée du lundi en :
- Respirant, en fermant les yeux
- En vous étirant
- En vous plongeant dans une méditation pleine conscience
- Suivie d’un petit déjeuner vitaminé / protéine
Ce que je conseille très souvent à mes patients, c’est de venir en consultation, le lundi matin, pour bien commencer la semaine.
La sophrologie et l’hypnose sont deux très bonnes méthodes pour se relaxer et prendre du recul.
Je serai bientôt sur Doctolib, mais en attendant, n’hésitez pas à me contacter par le biais de ce blog si vous souhaitez une consultation.

8 bonnes raisons d’aimer profondément le lundi
Voici quelques raisons d’apprécier enfin le lundi :
- Le lundi représente le début de semaine, donc aussi un “commencement”. Ce qui signifie que vous allez vivre de nouvelles aventures. Un peu comme l’été, ou le mois de septembre, ou un retour de vacances, le lundi est un moment charnière pour commencer quelque chose de nouveau. Entreprendre, se mettre en couple, divorcer, s’inscrire à un atelier sur le culot…
- Le lundi, il y a les “lundi philos” de Charles Pépin lien par ici . Charles Pépin propose des sujets philosophiques traités sous un angle existentiel et concret en y apportant des réponses engagées avant d’être soumises au débat. Très intéressant.
- Le lundi, c’est aussi un renouveau pour les sites d’actualités et les blogs. De nouveaux récits et informations sont en ligne. Nous pouvons alors nous informer autrement.
- Le lundi, c’est un vrai test de la passion sur nous-même. Nous sommes mis à l’épreuve sur notre vie et sur notre passion pour notre travail. Si vous allez au travail à reculons, avec cette fameuse boule au ventre dont je vous parlais au début de cet article, c’est que votre quotidien est à remettre en question. Le lundi doit être constructif et évolutif, et ne doit pas vous faire ruminer.
- Tous les lundis soirs, il y a de nouveaux épisodes de séries sur TF1, et malgré la mauvaise réputation de cette chaîne, vous en deviendrez bien trop vite accro.
- Le lundi, on a beau être très fatigué, on est aussi très bavard. Ce qui est fort agréable, c’est de pouvoir raconter à nos proches nos histoires du week-end.
- Le lundi, c’est un jour exceptionnel si vous êtes amoureuse de votre patron. Et que vous allez ENFIN le revoir, après un week-end qui fut, dans ce cas, bien long.
- Pour tous les fans de Cloclo, c’est aussi le moment de chanter “Le lundi au soleil”, et souvent sous la pluie… Quelle originalité !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
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Faut-il sans cesse courir après le bonheur ?
Soyez heureux, comment trouver le bonheur, etc., etc.… Le bonheur est à la mode !
Dans un monde pourtant de plus en plus violent, et de plus en plus individualiste, il semble que le bonheur soit pourtant quelque chose de facilement accessible. Même au travail ! Certaines sociétés recrutent désormais des Chief Happiness Officer (CHO), qui sont des responsables du bonheur.
Il faut être heureux avec ses proches, heureux au travail et même heureux avec soi-même. Et quand je dis, il « faut », je choisis volontairement ce mot. Être heureux est presque une obligation !
Et croyez-le ou pas, il paraît même qu’il existe des recettes pour trouver le bonheur. Des retraites de Yoga, des séminaires de travail, des livres, des millions d’articles sur le net, des milliards de photos et de citations sur instagram ou sur Facebook…
Mais comment s’y retrouver ? D’abord, qu’est-ce que le bonheur ? Faut-il se fier à tout ce que l’on lit ou voit ? Y a-il un bonheur universel ?

Tout d’abord, qu’est-ce que le bonheur ?
Je me suis souvent posée la question. Et c’est aussi un sujet de discussion qui peut être très animé lorsque l’on en discute entre amis.
C’est en effet, une notion très difficile à définir, et de nombreux philosophes et écrivains se sont essayés à en donner une définition… faisant l’objet de livres entiers. C’est pour dire que ce n’est pas facile de résumer en une ligne ce qu’est le bonheur.
Mais si l’on se réfère au dictionnaire, le mot bonheur se définit comme : un état de complète satisfaction. C’est déjà un bon départ pour en parler.
Un état de complète satisfaction… Avouons que ça fait rêver.
Mais si l’on y réfléchit vraiment, il est clair que le bonheur, selon cette définition, est inaccessible. Quelle que soit notre situation, personne n’est jamais vraiment satisfait de ce qu’il a. C’est la nature même de l’homme qui veut cela. On a tous tendance à en vouloir toujours plus.
Aussi, soyons clair. Le bonheur, tel qu’il se définit, est quelque chose d’inatteignable surtout dans nos sociétés occidentales qui nous poussent à être d’éternels insatisfaits.
En revanche, si l’on se réfère à ce qu’il se dit, certains l’ont atteint. Il s’agit des moines tibétains ou des bouddhistes, qui ont appris à renoncer à tout.

La clé du bonheur résiderait-elle dans la renonciation ?
Mais encore faudrait-il s’assurer qu’ils sont vraiment heureux. Je ne connais personnellement aucun moine tibétain dans mon entourage.
Mais revenons chez nous, et soyons réaliste, mais surtout soyons moins ambitieux.
Ce qu’il faut, c’est tendre vers le bonheur, et plus particulièrement tendre vers SON bonheur. Se poser les bonnes questions, et trouver ses propres bonnes réponses. Mais en général, le problème, c’est que l’on se laisse influencer par ce que l’on nous « vend ».
Et c’est pour cela que c’est, pour certains très difficile d’être heureux.
Mais pourquoi est-ce si difficile d’être heureux ?
Si tant d’efforts sont menés pour nous conduire vers ce sacré bonheur, c’est qu’il y a un public prêt à investir de son temps et de son argent pour y parvenir. Et effectivement, la quête du bonheur se vend bien.
Mais c’est aussi en grande partie parce que l’on nous vend du rêve. Ou que l’on ne fait croire que le bonheur, c’est être riche, de s’offrir maison de luxe, des séjours sur des îles paradisiaques, etc., etc. Et bien sûr, tout ceci avec un corps parfait, digne d’une barbie. Même lorsque nous sommes enfants, on nous fait croire aux contes de fées. Tout est toujours beau et se termine toujours bien.
On nous vend du rêve, des illusions, et cela depuis notre plus tendre enfance.
Nous sommes formatés à penser que le bonheur existe, et qu’il faut passer sa vie à se battre pour obtenir une vie parfaite.

Ce qui crée, par ailleurs, des tensions entre les gens, de la jalousie, de la haine. Le contexte social actuel en est la preuve.
Autre conséquence, le mal-être et le nombre grandissant de dépressions. Combien de gens sombrent dans la dépression ou dans d’autres maladies psychiatriques, car ils ont une image déformée d’eux-mêmes. Une image qui les font se sentir inférieurs, moins bien que…, ou alors parce qu’ils vivent en porte à faux avec ce qu’ils sont vraiment.
J’ai une amie qui a été poussée par ses parents à faire de longues études. Objectif : gagner de l’argent plus et toujours plus. Pour eux, l’argent, c’est la clé du bonheur. Mais elle, elle voulait faire du théâtre, et en vivre. Elle a pourtant fait un bac +7, et elle gagnait 8 000 € par mois à 28 ans. Mais, parallèlement se développait un mal insidieux en elle, et ce depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, à 30 ans, elle pèse 38 kg. Elle est anorexique et ne peut plus travailler…
Comment réussir à être le plus heureux possible ?
Je n’ai malheureusement pas de recette magique. Juste quelques éléments de réponse qui, pour ma part, contribue à mon bonheur. Les voici.
Être en accord avec soi-même
À mon avis, une première façon d’être heureux, c’est d’être en accord avec soi-même. Et pour cela, oui, il faut se battre. Si je prends mon exemple (et croyez-moi, je n’ai pas trouvé le bonheur et l’épanouissement absolu…loin de là), j’ai travaillé des années dans le marketing, alors que ça ne plaisait pas du tout. Me lever le matin pour travailler était devenu une véritable corvée, au point d’en avoir une boule au ventre et plus aucun repères. Je vous parle de vrais repères, ce qui signifie respecter vos envies, vos besoins et ce que vous êtes.
J’ai alors pris la décision de changer. D’être en accord avec ce que j’avais vraiment envie de faire. J’ai tout lâcher. Je suis partie faire un tour du monde avec mon sac à dos, et quand je suis revenue, j’ai pris la décision de tout faire pour faire le métier que j’aime. Ce tour du monde fût l’expérience la plus difficile de ma vie car je me suis retrouvée avec moi même et face à mes réels besoins.
En rentrant, j’ai fait des formations à gogo, j’apprends beaucoup des autres, je m’appuie sur des mentors que j’admire et j’ai fini par monter mon entreprise. C’est le début et je sais que j’ai enfin trouvé ma voix.
Et voilà. Je me lève enfin de bonne humeur !! Et même si ce n’est pas toujours facile, car la vie d’entrepreneur est une difficulté à elle toute seule, j’aime ce que je fais. Et ça contribue à mon bonheur.
Petite anecdote : hier, je travaillais dans un Starbuck, et je me suis mise à discuter avec mon voisin de table (j’ai cette capacité à parler avec tout le monde, et souvent dans des circonstances assez improbables (rires)), et ce monsieur m’a posé la question: “Pourquoi avoir quitté la sécurité pour vivre un rêve parfois un peu idéaliste ?”.
Monsieur d’une soixantaine d’années qui ne comprend pas “encore” l’évolution du travail chez nous les jeunes mais avec lequel j’ai pris un malin plaisir à échanger. Ce fossé des générations m’étonnera toujours et est si intéressant après tout (ça me fait penser à une idée d’article).
Je lui ai simplement répondu : “je préfère avoir le sourire dans une vie “bohème” qu’un mal-être profond dans une vie qui parait plus normale aux yeux de tous. De plus la normalité n’existe plus et je vivrais toujours ma propre normalité et non pas celle des autres.”
Il m’a regardé assez chaleureusement en me répondant “vous avez tout à fait raison”.

Ne pas se comparer aux autres – Savoir se contenter de ce que l’on a
Un des grands dangers dans la recherche du bonheur, c’est également de se comparer aux autres. Vouloir être mince comme Angelina Jolie, vouloir un appartement plus grand que sa copine, vouloir le dernier IPhone pour épater la galerie. Les exemples ne manquent pas.
Cette course à être « toujours plus » et « toujours mieux » que l’autre est toujours vouée à l’échec.
On trouvera toujours quelqu’un qui aura plus que nous. Vivre ainsi, c’est vivre dans une éternelle insatisfaction. C’est un combat perdu d’avance, d’autant que lorsque l’on vit comme cela, on ne profite même pas de ce que l’on a.
Il faut donc apprendre à se comparer à ceux qui ont moins, et pas à ceux qui ont plus. Je sais c’est facile à dire, mais c’est tellement vrai !
Se fixer des objectifs atteignables et se donner les moyens de les atteindre
Que ce soit dans sa vie personnelle ou professionnelle, le bonheur passe aussi par une bonne connaissance non seulement de ce que l’on veut mais aussi de ses limites. Se fixer des objectifs surdimensionnés ne sert à rien, qu’à vivre des déceptions encore plus grandes.

Si dans votre vie amoureuse, vous attendez le prince charmant, beau riche et intelligent, vous n’êtes pas là de le rencontrer. Et vous risquez fort d’être seule un long moment. Il faut savoir être réaliste et prendre les gens tels qu’ils sont, et pas tels que nous voudrions qu’ils soient. Il faut également faire l’effort de le chercher. En général, il ne frappe pas à la porte…
Dans la vie professionnelle, et je vous en ai déjà parlé plus haut… il est essentiel de faire un métier qui nous plaît. On y passe au moins 8 heures par jour, si ce n’est plus avec le transport… Alors même s’il on a fait « une erreur de jeunesse », on peut très souvent la réparer si on le veut vraiment.
En tout cas, faute de ne pas être vraiment heureux, on peut tous mettre en place des actions qui nous rendront moins malheureux.
Conclusion
Il n’y a pas qu’un seul bonheur. La vie est une somme de petits bonheurs qu’il faut savoir apprécier aux moments où ils sont là.
Chacun est maître de son destin, et est responsable en grande partie (pas toujours, je vous l’accorde), de ce qu’il fait.
Ce qu’il faut aussi retenir, c’est que nous avons tous une vision différente du bonheur. Le point commun reste qu’il faut être en accord avec soi-même et surtout savoir apprécier ce que l’on a. Que l’on soit d’accord ou pas, l’inverse est encore plus vrai. Plus on est en désaccord avec ce que l’on est, plus on souffre.
En effet, beaucoup de gens ont beaucoup de choses et pourtant, ils ne sont jamais vraiment heureux. Il suffit de regarder toutes ces stars telles que Amy Winehouse ou Avicii qui semblaient avoir tout : talent, argent, amour… et qui ont fini par se suicider. En fait, ils avaient tout mais leur vie ne leur plaisait pas. L’un comme l’autre avait envie d’une vie paisible, et se sont forcés à vivre en porte à faux avec leur vraie personnalité.
Le bonheur est donc avant tout la mise en adéquation entre ce que l’on a envie de vivre et ce que l’on vit. Plus on s’en approche, plus on est heureux.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue

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CAP sur 2019 : Choisissez votre résolution.
Nous voici en 2019, nouveau départ, et comme d’habitude nouvelles résolutions !
La nouvelle année, c’est souvent une façon pour tout un chacun de se libérer du passé (et de ses mauvaises habitudes) et de recommencer sur de nouvelles bases en essayant d’être quelqu’un de “mieux”. Du moins, c’est parfois l’illusion que nous avons face à cette nouvelle ligne de départ.
Le mois de janvier, c’est aussi une période « d’amour » au cours de laquelle nous exprimons nos voeux et nos sentiments envers autrui. Qui n’a pas entendu les mots doux ci-dessous ?
“Bonne année à toutes les choses, au monde, à la mer, aux forêts.
Bonne année à toutes les roses que l’hiver prépare en secret.
Bonne année à tous ceux qui m’aiment et qui m’entendent ici-bas.
Et bonne année aussi, quand même, à tous ceux qui ne m’aiment pas.”Quoi qu’il en soit, se fixer des objectifs est essentiel pour avancer. C’est aussi une histoire de fierté personnelle. Dès lors que l’on est dans cette démarche, on se sent déjà mieux, comme si on s’aimait déjà un peu plus, je dirais.
Mais attention à ne pas se mentir… Se fixer des objectifs intenables, comme une liste de 10 résolutions, ne sert à rien, bien au contraire… Mieux vaut se fixer un objectif et l’atteindre, que 10, et n’en atteindre aucun. Alors fixez-vous, une et une seule résolution, et donnez-vous à 100 % pour la tenir.
Vouloir à la fois arrêter de fumer, se mettre au sport, arrêter de procrastiner, se fixer un voyage, c’est très certainement un peu prétentieux. Mieux vaut être réaliste et moins exigeant.
Dans cet article, je vous ai dressé une liste de résolutions classées par thématique. Ce ne sont bien sûr que des propositions. À vous de vous les approprier, en fonction de votre personnalité.
« L’essentiel n’est pas de vivre, mais de bien vivre »
Dormir plus
C’est essentiel : respectez-vous et tentez de dormir au minimum 8 heures par nuit. Votre corps vous le rendra au centuple. Très souvent, on imagine que l’hygiène de vie passe par la nourriture. Certes, ce n’est pas faux. Mais le sommeil est prioritaire, d’autant que lorsque l’on manque de sommeil, on a plus tendance à manger en plus grandes quantités.
Boire plus
Même si l’on a moins soif en hiver, je vous l’accorde, il est important de continuer à s’hydrater de la même façon qu’en été. En effet, avec le froid, le corps se dessèche considérablement, et il est primordial de boire au minimum 1,5 litres de liquide par jour. Je vous conseille de vous préparer des smoothies dès le réveil, ainsi qu’un jus de citron tiède. Vous démarrerez alors la journée avec déjà une dose correcte de liquide.

Utiliser un humidificateur chez soi
Je n’avais pas vraiment conscience de l’apport d’un humidificateur avant que l’on ne m’en parle et que je lise des articles sur ce sujet. Eh bien, je fais toute la différence depuis que j’en utilise un. Je suis beaucoup moins malade et mon sommeil s’est nettement amélioré.
S’inscrire à une course à pied
Pour ma part, je me suis inscrite à un marathon cette année. Rien que le fait de m’entraîner régulièrement pour cette épreuve, somme toute difficile, me procure de bonnes sensations et des vibrations positives. C’est un véritable challenge et je ne suis pas certaine de relever ce défi…, mais je suis déjà très fière de moi que de m’être inscrite.
Aller voir un magnétiseur
J’ai déjà écrit un article sur mon blog sur deux jeunes femmes superbes qui font des miracles en la matière. C’est idéal en cas de manque de motivation et de petit coup de mou. Elles font en sorte que vos énergies circulent mieux dans votre corps.
J’ai rendez-vous demain avec un autre praticien qui est situé dans le 17e arrondissement de Paris. Je souhaite qu’il m’aide à accélérer le processus de diminution de mon inflammation sur le visage (liée au laser ablatif). Je vous écrirai un article sur cette expérience et vous donnerai ses coordonnées, si bien sûr, ça fonctionne !
Faire de la méditation
La méditation n’est pas “seulement” un phénomène de mode. C’est une méthode qui a été éprouvée en termes de bénéfices sur la santé mentale. Pratiquer un peu de méditation avec l’application “Petit Bambou”, chaque jour, peut être une solution pour aller mieux. Ce serait une ” sage ” résolution…

Se reposer en cas de fatigue sans aucune culpabilité
On parle toujours de procrastination lorsque l’on prend l’habitude de tout remettre au lendemain. Cela dit, se reposer en cas de grosse fatigue au lieu de répondre à ses objectifs du jour, ne doit pas engendrer de la culpabilité. D’autant que vous ne serez pas efficace. Alors faites de 2019, une année sans culpabilité.
Un soin du visage tous les 1 mois et demi
Avec la pollution très présente à Paris, il est essentiel de prendre soin de son visage. Alors, parfois on y pense, mais on a souvent tendance à négliger l’importance de faire des soins. Pourtant, il existe de nombreux endroits où l’on peut faire de très bons soins du visage à des prix attractifs à Paris. Et si vous ne pouvez pas, commencez déjà par bien vous démaquiller et vous nettoyer le visage le soir, et de l’hydrater quotidiennement.
Se mettre au sauna
Les bienfaits du sauna sont nombreux et apportent surtout une relaxation simple et accessible à l’ensemble du corps. Et aujourd’hui, nous avons la chance de trouver des saunas accessibles facilement dans les salles de gym, par exemple. Je vous conseille de faire 3 sessions de 15 minutes, en vous douchant à l’eau froide, entre chaque session.
Mettre au repos son estomac
Depuis quelque temps, j’essaie de faire en sorte de reposer mon estomac, durant 13 heures au minimum. Je dîne vers 19 heures et je ne petit-déjeune pas avant 9 heures. Vous vous sentez tellement plus léger au réveil. Je me suis organisée pour travailler de chez moi, jusqu’au petit déjeuner, de façon à me préparer un succulent encas plein de fibres et de vitamines, que j’absorbe avec délectation, à 9 heures pétantes !

Penser aux protéines alternatives
J’ai renoncé à manger de la viande, et je suppose que d’autres personnes sont dans le même cas que moi. Aussi, et pour pallier le manque de protéines, j’ai trouvé, récemment, en magasin bio, une petite perle qui s’appelle ” l’Éveil du Bouddha “. C’est une poudre que vous mélangez à du lait végétal (ou même du lait de vache si vous préférez) et qui est un délice pour les papilles. Elle existe sous différents parfums : ma préférée est celle au cacao.
Diminuer le temps d’écran sur le téléphone au profit d’un livre
Il est difficile de trouver du temps pour lire un livre, je vous l’accorde ! En revanche, nous en trouvons pour le passer sur notre écran de téléphone … Et si vous avez un IPhone, vous avez désormais droit à un rapport quotidien du temps passé sur votre écran… et c’est assez alarmant. Et si nous tentions de diminuer le temps passé à cette ” activité ” ? En la divisant par deux, on pourrait déjà, à nouveau lire ou rire !
Se mettre à la sophrologie
Ce n’est pas parce que je suis sophrologue que je vous encourage à essayer la sophrologie. C’est surtout parce que vous y mettre vous fera un bien fou. Croyez-moi, c’est presque magique. La respiration est la clé du bien-être. Alors, essayez !
« Le langage structure tout de la relation humaine »
Être plus gratifiant envers soi et envers les autres
Apprenez à dire MERCI ! Cela semble évident, mais pas tant que cela. On prend l’habitude d’évoluer avec ceux qui nous entourent, et sans même que ce soit volontaire parfois, on oublie de dire Merci. Pourtant, être reconnaissant envers les gens qui nous accompagnent au quotidien est la moindre des choses. Le leur dire leur fera un bien fou. Et à vous aussi d’ailleurs. Il faut être conscient que c’est une véritable chance d’être soutenu. Alors, on ose dire merci, mais surtout, on y pense !
Avouer à une personne qu’on l’aime
Sans amour la vie ne mérite pas d’être vécue… C’est, en effet, le Saint Graal pour avancer et être en paix avec soi-même. En ce début 2019, avouez aux personnes qui vous sont chères que vous les aimez, mais surtout à votre bien aimé(e) caché(e) ou pas. Il faut mettre sa fierté de côté pour être en accord avec soi-même. Qu’avons-nous à perdre ?
Faire preuve de sincérité en toute circonstance
La sincérité est le pilier de toutes les relations. Sans elle, il est impossible d’avancer. Soyez toujours sincère avec les autres, et par la même occasion avec vous-même. Je vous invite à lire mon article sur ce thème (qui m’est très cher) et qui sera très prochainement publié !
Renouer avec un vieil ami
Il est possible qu’un vieil ami vous ait fait du mal… beaucoup de mal. Et si vous faisiez un effort pour analyser la situation… Et si cette personne était quelqu’un de bon qui vous a blessé(e) sans le vouloir, lui pardonneriez-vous ? Débarrassez-vous de vos rancoeurs.

« Le voyage est un retour vers l’essentiel »
Prévoir un road trip
Il est temps pour vous de voyager et de parcourir le monde. Contrairement à ce que l’on pense, le voyage n’est pas une question de chance mais réellement d’envies. Si l’on a vraiment envie de voyager, c’est toujours possible.
Découvrir l’Afrique
C’est encore un continent méconnu de la plupart des gens. Et pourtant et j’ai beaucoup voyagé ! C’est en Afrique que vous pourrez découvrir les plus beaux paysage du monde !

« Le plus grand échec est de ne pas avoir le courage d’oser »
Faire du camping
“L’aventure est dans chaque souffle de vent” ! Faire du camping permet de découvrir de nombreuses facettes que nous ne connaissons pas toujours ! La vie en société, la vie sans confort… et plein d’autres choses encore…
Monter le Kilimandjaro
“Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même… On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues…”. Certes, ce n’est pas donné à tout le monde… Mais quelle merveilleuse aventure !
Sauter en parachute
“La vie est un voyage en parachute.” Ok, ok… Mais un vrai saut en parachute… ça décoiffe ! Ça par exemple, ce peut être une deuxième résolution que vous pouvez programmer dans l’année.
Voyager seul
“ La solitude est un art ”. C’est lorsque l’on est fasse à soi-même que l’on apprend le plus de choses.
Vivre à l’étranger au moins une fois dans sa vie
“Rien ne développe l’intelligence comme les voyages”. Honnêtement, c’est le must du must pour s’ouvrir l’esprit.
Démarrer une entreprise
“Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour, quelqu’un a pris une décision courageuse.”. Aujourd’hui, si vous avez une passion (et quelques compétences tout de même), rien de plus facile que de vous lancer dans l’aventure de l’entrepreunariat.
« Connais-toi toi-même »
Avoir toujours un livre de chevet à portée de mains
“La lecture est l’apothéose de l’écriture”…
Apprendre une deuxième langue
De nos jours, il existe de nombreuses méthodes pour apprendre une nouvelle langue à des prix attractifs. Plus besoin de passer par des organismes qui vous feront payer des tarifs exorbitants. Vous pouvez même apprendre une langue grâce à des formules en ligne gratuites ou des applications téléchargeables.
Aller seule au cinéma
Croyez-moi ou non mais c’est une bulle de confort absolu. Personne pour vous parler durant le film, ou pour vous piquer vos pop-corps (rires). Des émotions au plus profond de nous-même.
Écouter des podcasts comme « Nouvelle École »
Mon podcast de l’année ? Vous le trouverez principalement sur Apple Podcast mais aussi sur YouTube.

« Le bonheur est né de l’altruisme »
Donner son sang
“Évalue ta richesse à l’importance de ce que tu donnes.”
Avoir un animal de compagnie et lui donner beaucoup d’amour
“On n’est jamais aussi heureux que dans le bonheur qu’on donne. Donner, c’est recevoir.” C’est une sacrée résolution mais que de bonheur !
Faire du bénévolat
“Donner est un plaisir plus durable que recevoir, car celui des deux qui donne est celui que se souvient le plus longtemps.”
« La nature donne les mouvements, et l’art les enseignements »
Aller plus souvent à la campagne
Souvent, on se trouve des excuses pour ne pas bouger ! Et pourtant, vous pouvez aller vous aérer l’esprit et prendre l’air sans avoir de maison de campagne. Il existe de nombreuses promenades en forêt, et non loin de Paris. Je suis tombée récemment sur un article qui m’a donné quelques idées de balades : https://www.lesothers.com/11-randonnees-paris/?fbclid=IwAR3tSCvkNpU3BRsm121lAIZreJTpt38APM6g_CGBqPGraQxvjSM5osioM3o
Acheter des plantes et leur donner de l’amour
Il est prouvé que lorsque vous parlez à vos plantes et que vous vous montrez bienveillantes envers elles, elles poussent plus vite. Faites l’expérience, c’est intéressant !
Trier ses poubelles
Et si nous terminions par une résolution écologique ? Certes, ce n’est pas évident de le faire tous les jours, mais pas impossible non plus. Prévoyez chez vous deux poubelles, une pour le verre et une pour le reste au minimum. Le compost est intéressant et marrant à faire aussi. “Le compost est économique et gratuit. À la maison, chacun de nous peut rediriger une bonne partie des déchets destinés à la poubelle vers le tri sélectif (verre, papier, carton, plastiques, textiles, boites de conserves…). Après ce tri, la moitié de la portion qu’il reste, est composée de déchets organiques compostables. Il s’agit aussi bien du trognon de pomme que du restant de repas, du marc de café avec son filtre ou encore des épluchures de pomme de terre et les feuilles de journal qui l’entourent sont des déchets.”

Alors ? Quelle résolution avez-vous choisie ?
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue