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Étiquette : bienveillance
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POST CONFINEMENT : COMMENT RETROUVER LE SOURIRE ?
Pour certaines personnes le confinement fût une expérience positive. C’était l’occasion de se recentrer sur soi et sur ses besoins. Pour d’autres, c’est plutôt tout le contraire. Nous tournons en rond, nous angoissons pour le futur, pour les finances… Bref, ce n’est pas la joie, et on subit pas mal la déprime. Mesdames et Messieurs, avant même de nous en rendre compte, nous allons vite courir de nouveau un semi marathon dans le bois avec notre chien adoré…Le temps ne sera plus compté pour la promenade de celui-ci. Tant de raisons pour retrouver le sourire, et je vous explique pourquoi :
TOP 10 des raisons qui vous permettront de retrouver la pêche post confinement :
1- Je t’aime, je t’ai aimé, je t’aimerai
On pourra enfin revoir la personne qui nous a le plus manquée et lui dire qu’on l’aime ! Frère, sœur , meilleur pote… Votre chéri(e) peut-être ? Ce sera l’occasion de retrouvailles sous la couette. Une grosse session de sexe vous fera le plus grand bien !
2- Promenons-nous dans les bois
Avec les beaux jours qui reviennent, ne serait-ce pas le pied de manger une grosse salade sur les quais avec de la musique à fond {attention pas de grands groupes}. Un peu plus de tranquillité ? On se fait alors un picnic ou un barbeuc en pleine nature… Le pied !!
3- Vous allez enfin fêter votre anniversaire !
Pour tous ceux qui ont fêté leur anniversaire en tête à tête avec leur chat durant le confinement, c’est enfin le moment de récupérer ça !! On fait son meilleur gâteau, on sort son plus beau outfit, on appelle ses meilleurs potes, et on fait péter le champagne ! Je fais partie de ces personnes ! J’ai eu 30 ans le samedi 21 mars et j’étais confinée pour mon plus grand bien (rires).
4- La famille, c’est sacré
Sûrement le point le plus important, et la première chose à faire si vous avez la chance d’avoir encore vos grands-parents. Prenez-les dans vos bras, et dites leurs que vous les aimez. Evidemment, cette phrase est à prendre avec des pincettes, car on respecte les mesures sanitaires avant tout.
5- Reconversion professionnelle
Se reconvertir : ENFIN. Écouter vos valeurs et mettre en place votre VRAIE mission de vie. Cette période nous a montré que la vie est imprévisible, et qu’on ne peut pas tout contrôler. Alors, ne serait-il pas temps de franchir le pas ?
Se rendre compte du sens que nous donnons à notre vie est quelque chose de primordial. De trop nombreuses personnes répondent aux rêves d’autrui en s’oubliant considérablement. Avec ma collègue Aurélia Monaco, nous organisons des ateliers sur Paris pour vous aider à vous reconvertir en douceur. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions.
6- Aider nos amis les restaurateurs
Manger autre chose que des pâtes et du riz. Et, surtout, organiser des dîners avec vos amis restaurateurs AT HOME.
Le but ? Que chacun contribue au business de son ami{e} en faisant un don pour le dîner organisé “Homemade”. Parce que les restaurants ne vont pas ré ouvrir de suite, soyons alors généreux. Encore une fois pas plus de 10 personnes à la maison.
7- Contemplation et admiration
Netflix, and chill c’est fini ! Après des semaines de sédentarité, on pourra marcher des heures dans la rue et contempler notre ville. Et, surtout, il ne faudra pas oublié d’avoir de la gratitude pour cela, beaucoup de personnes dans le monde voient encore leurs vies bouleversées par le Covid-19.
Et pour ceux qui souhaitent poursuivre avec Netflix and Chill, voici un article avec tous mes coups de coeur cinéma. Il y en a pour un mois ou deux de bons films !
8- Faire enfin attention à notre budget
Alors oui on repart avec des finances catastrophiques {pour certains comme les indépendants}, mais on a aussi appris à moins dépenser. Continuez vos efforts et faites des tableaux de dépenses essentielles. C’est aussi l’occasion parfaite pour envisager une nouvelle manière de consommer (voici un lien vers mon dernier article sur le sujet). Et, qui sait : c’est peut-être un nouveau départ pour enfin mettre de côté. Après avoir comblé le découvert important que certains d’entre nous auront atteint.
Voilà de quoi nous redonner la pêche, et le sourire après cette période compliquée. Pour autant attention à privilégier la santé et le dépistage si possible avant de vivre tout cela.
De mon côté , je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris et rédactrice free-lance. Je vous accueille dans mon cabinet du 2 bis Villa Flore 75016 Paris à partir du 11 mai.
Durant cette période de confinement je reste en contact avec vous à travers mon podcast Combattantes dans lequel j’interview des femmes engagées pour un monde meilleur et aussi sur Doctolib en télé consultation : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet
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Le confinement ou LE GRAND NOUVEAU DÉPART !!
Et, si, je vous disais que c’est le début d’un nouveau départ.
Le début d’une nouvelle ère… un repli sur soi et une prise de conscience générale qui va faire du bien.Nous sommes plusieurs à avoir été interpelés par la longue durée du confinement imposée , un peu comme si la vie s’arrêtait durant un moment ou que les rues qui nous entourent deviendraient sou peu les rues d’une ville fantôme.
Un peu comme si dorénavant nous n’existons plus et que nous allons nous éteindre sur une courte période.
C’est ce qui prouve à quel point nous sommes bien plus dans le « faire » que dans « l’être » au quotidien.
Sauf que Socrate disait si bien « connais toi toi même »C’est alors le moment pour vraiment écouter notre corps, nos émotions et ce qu’ils nous demandent.
Et c’est sans doute de ce confinement qu’ils ont besoin. Et cela depuis bien trop longtemps !Pourquoi ? Vous voulez savoir pourquoi ?
1) Apprendre finalement à s’écouter
Ça fait des mois et des mois qu’on se promet d’écouter notre corps et notre esprit mais qu’on ne le fait pas. Des mois qu’on se persuade que nous avons besoin de repos mais que nous dormons seulement 4h à 6h max pas nuit. Alors, en cette période on écoute son corps et ses besoins. Pour ça rien de plus simple que suivre son horloge corporelle. Vous vous sentez HS des 20H ? alors allez vous coucher !! On enlève son réveil, et on privilégie le naturel : si on se réveille en forme dès 7h alors on se lève , si au contraire on se lève à 11h c’est bien aussi. Si vous vous réveillez tard, ou si vous avez sommeil assez tôt, c’est sûrement le signe d’une fatigue de fond. Alors on profite de cette période de calme pour apprendre à écouter les signes que notre corps nous donne, et on se promet de ne plus jamais les ignorer.
2) Découvrir, ou redécouvrir son partenaire
En cette période de confinement, vous vous rendrez sûrement compte qu’il y a encore pleins de choses que vous ne savez pas sur votre partenaire. Ne serait-il pas le moment parfait, pour redécouvrir son/sa chérie ? Au fil du temps, les gens évoluent, les besoins et les envies d’hier ne sont plus forcément ceux d’aujourd’hui. Alors quels sont ses rêves, et ses projets pour demain ? De quoi il ou elle a besoin dans sa vie aujourd’hui. Il est temps de donner une bouffée d’air frais nécessaire à votre relation. De plus, pour les jeunes couples ou ceux qui n’ont pas l’habitude de vivre ensemble, cela vous permettra de voir tous les aspects de la personnalité de votre compagnon.
Dans tous les cas, cette situation n’en sera que bénéfique pour vous : ou votre couple se renforcera, ou, alors cela vous permettra de réaliser que vous n’êtes plus épanouie dans cette relation, et vous pourrez donc prendre un nouveau départ, peut-être plus sain pour vous-même.3) Envisager de nouveaux horizons
Ça fait des mois qu’on souhaite quitter son travail, mais qu’on ne le fait pas car nous avons peur de la suite ? Si il y a bien UNE chose que nous devons retenir de toute cette situation, c’est que dans la vie rien n’est prévisible, rien n’est écrit , et rien ne se contrôle Comme vous pouvez le voir en ce moment , dans la vie on est prévoit rien. En l’occurrence , la seule chose qu’on peut contrôler c’est nos envies les plus chères. Laissons nos peurs inutiles de côté , à fin de pouvoir se réaliser. Vous allez vite prendre conscience de si votre travail vous manque ou pas. Dans le cas où vous ne vous sentiriez plus en phase avec celui-ci, il est peut-être temps de penser à une reconversion professionnelle.
4) Printemps, saison du foie, on le nettoie.
D’ici quelques jours ce sera le printemps. Les arbres retrouvent leurs feuilles, les animaux sortent de leurs cachettes, les fleurs poussent, bref la nature s’éveille !! Le printemps,c’est la saison du renouveau, et un mouvement similaire s’opère dans notre corps , et ceci a un impact particulièrement sur notre foie. Voilà pourquoi, il faut effectuer un grand nettoyage.
Sauf qu’avec nos vies à 100 à l’heure , on a vraiment d’autres priorités.
Et pourtant entre nos excès du week-end, les sandwichs sur le pouce à midi , et la fatigue chronique… il en aurait bien besoin. Pendant cette période on fait une cure de détox grâce à des plantes : pissenlit, artichaut, radis noir, romarin, que ce soit dans vos plats, ou en infusion on les consomme à l’excès pendant quelques jours. Bien évidemment pendant cette cure on s’interdit tout genre d’excès, on peut aussi penser à de courtes périodes de jeûne ( toujours après avoir consulté son médecin). Pour désintoxiquer votre foie quotidiennement, et même votre corps en règle générale, je vous recommande de mélanger le jus d’un citron avec de l’eau chaude, et en boire un grand verre tous les matins à jeûn.5) Et puis pour toutes les autres cures jamais tenues.
Puisque c’est une période de renouveau, on change nos mauvaises habitudes !!
C’est finalement le moment pour débuter des programmes et des vrais, et surtout les finir !!
Que ce soit : 45 jours pour développer des abdos en béton
45 jours pour s’aimer
45 jours pour prendre son complément pour la peau
45 jours de vitamines et de fruits et légumesChacun son programme, chacun ses objectifs. Même si les début peuvent être difficiles, faites-vous confiance et vous verrez les résultats d’ici peu. Vous vous rendrez compte qu’il n’y a pas de meilleure satisfaction, qu’aller au bout des choses.
6) Mettre de l’ordre dans nos comptes.
Tu ne sais plus où tu en es dans tes comptes car tu es dépassé par le temps et le quotidien.
C’est donc le moment pour t’occuper de tout cela au calme. Comme on l’a dit précédemment, cette période nous montre que rien n’est prévisible , alors on en profite pour faire un point sur notre situation financière, et , on essaie de mieux s’organiser. En cherchant un peu vous vous rendre compte qu’il y a énormément d’applications pour vous aidez à gérer votre budget : Bankin’, Linxo, Money board, et j’en passe…7) Ne pas oublier de dire aux gens qu’on les aime.
Et si, en cette période de confinement on se promettait de ne plus oublier d’exprimer notre amour à nos proches.
Alors, on envoie un message par jour à une personne qu’on aime, on prend des nouvelles des amis qu’on a négligés, et on recontacte une personne avec qui on a coupé court et qu’on regrette.8) On fait du trie dans nos vies, et dans nos amis.
Puisqu’on fait du ménage, faisons aussi du tri dans nos cercles d’amis. Il y en a marre des personnes égoïstes, égocentriques… Marre des personnes qui ont besoin de rabaisser les autres pour se sentir existé, marre des personnes fermées d’esprit. Toutes ces relations toxiques ne mènent à rien, si ce n’est à nous faire perdre du temps, et de l’énergie. Après une bonne discussion avec les concerner, on prend son portable, on ouvre Facebook, Instagram et on supprime toutes les personnes qui sont malsaines pour nos vies. Je vous entends déjà mais c’est ridicule de supprimer les personnes des réseaux sociaux, ça fait très enfantin… Absolument pas, c’est symbolique : je te supprime de ma vie « virtuelle», je te supprime de ma vie réelle. Il est parfois dur d’ouvrir les yeux sur les gens, mais vous ne vous sentirez que mieux une fois débarrasser des relations toxiques.
9) Le moment pour enfin respirer car on ne sait pas le faire.
Comment ça apprendre à respirer ? Et, oui !! Tout comme toi j’ai été surprise de l’apprendre, la plupart d’entre nous ne savent pas respirer. Sur le moment, on se sent bête pas vrai ? Même la chose la plus basique, on ne sait pas le faire : TRAGÉDIE ! Mais non, pas de panique vous êtes loin d’être le seul croyez-moi. En plus il existe une super application appelée « RespirRelax », qui t’apprend à respirer correctement. Alors, pendant ces 45 jours on apprend enfin à respirer.
10) Le moment pour regarder les détails de son quotidien.
On est souvent trop durs avec nous-mêmes, et on ne voit souvent pas les choses sur lesquelles on n’a déjà fait un énorme pas dans la vie. À partir d’aujourd’hui, on prend le temps pour savourer nos petites victoires. Car ne l’oublier pas dans 99% on ne tire pas le gros lot dès le départ, c’est nos petits accomplissements , et progrès qui finissent par nous y mener.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.
Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet
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Bienvenue à nos Combattantes
La vie n’est pas un long fleuve tranquille… loin de là…
Nous avons tous notre propre histoire, et notre propre destin, diront certains…
Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. On ne naît pas sous la même étoile. Et même si on a la chance de naître sous une bonne étoile, ce n’est pas pour autant que notre vie est toute tracée d’avance et qu’elle est vouée à être parfaite !
Une multitude d’évènements ou de circonstances peuvent interagir dans notre chemin de vie. Des évènements que nous pouvons parfois maîtriser, d’autres pour lesquels nous ne pouvons pas faire grand-chose, voire strictement rien. Des traumatismes dans l’enfance, par exemple, peuvent nous marquer pour la vie, même si nous pouvons en apaiser quelques-uns.
Quoi qu’il en soit, pour certains, la vie ne les a pas gâtés et cela, dès la naissance. Et pourtant, il faut vivre, il faut avancer !
Subir ou agir ?
Et c’est à partir de ces constats, de ces vécus que certains « destins » se construisent… ou pas… !
En effet, en fonction de notre nature même, et/ou de notre passé, certains vivront leur vie comme une fatalité. Ils subiront les évènements parfois parce que c’est inévitable, parfois par manque de courage ou par peur.
Et d’autres, à l’inverse, essaieront de « s’en sortir », de se battre, de mordre la vie à pleines dents, et ce, contre vents et marées. Pour ce faire, ils oseront défier le destin, prendre des décisions radicales, renoncer à certains privilèges matériels, sortir de leur zone de confort (si l’on peut dire), pour :
- Se construire une vie différente, meilleure et apaisée
- Réaliser leur(s) rêve(s)
- Vivre de leur passion
Vous l’aurez compris, il s’agit de combattant(e)s ! D’individus qui refusent l’avenir qui leur était tout tracé, et qui se battent pour trouver le bonheur, ou tout au moins quelque chose qui s’en approche.
Leur objectif commun : vivre en adéquation avec eux-mêmes.

Des exemples à valoriser et à suivre
Et ce sont à ces individus que j’ai décidé de consacrer du temps. Admirative, mais également directement concernée, car si vous me suivez, vous connaissez mon parcours…, j’ai voulu relater leurs histoires pour montrer (et prouver) que l’on peut changer sa destinée, si bien sûr, on parvient à faire resurgir les forces qui sont en nous, forces dont parfois on ne soupçonne même pas l’existence !
C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en valeur ces personnes, toutes admirables, car elles sont des exemples de courage qui doivent servir d’espoir à celles et à ceux qui ne sont malheureusement pas gâtés par la vie, ou qui subissent leur vie comme une fatalité.
Aussi, depuis le mois de septembre, j’effectue des interviews qui sont diffusées sous forme de podcasts. J’ai eu la chance de rencontrer des femmes et des hommes extraordinaires !
Et, si à date, je me suis penchée à la fois sur des hommes et des femmes, à terme, je prioriserai les femmes, car dans notre société encore très masculine, il demeure encore plus difficile pour une femme de « se faire une place », de vivre une vie épanouie. Très souvent prises dans un rythme infernal, il leur est encore plus difficile de rompre avec « leur routine », et de penser à elles.
C’est donc possible
Vous constaterez dans mes podcasts, que certaines ont eu le courage de quitter des « positions socialement confortables » pour réaliser leur rêve, et surtout pour trouver une vie qui a du sens !
Rappelons ici, que vivre en porte-à-faux avec ses envies et ses valeurs conduit inévitablement à des problèmes de santé : stress, angoisses, burn-out, dépressions sévères, troubles alimentaires (boulimie, anorexie), suicides… Si vous vous levez tous les matins en soupirant, si vous vous couchez tous les soirs avec l’estomac noué… Il est temps de faire quelque chose… !

Sinon…
Lorsque l’on ne vit plus en adéquation avec soi-même, on ne vit plus en adéquation avec les autres, et la vie peut vite devenir un calvaire, voire un enfer. Il est donc fondamental d’être en mesure non seulement de savoir se poser, réfléchir, se remettre en question. Mais le plus difficile n’est pas cela. Le plus difficile, c’est d’être en mesure de prendre certaines décisions parfois très difficiles, des décisions qui remettent en question une vie entière ! Faire fi du regard des autres et de la famille demande également beaucoup de courage.
Les podcasts de mes combattant(e)s
Certain(e)s y sont donc parvenu(e)s, et je trouve important de partager leur histoire, leur combat et surtout leur victoire.
Ces expériences, riches et denses, sont à la fois émouvantes et surtout pleines d’espoir !
C’est pourquoi, je vous invite à me(nous) rejoindre sur : Apple Podcasts, Deezerfr, spotify et souncloud pour écouter leurs histoires, et vous convaincre que vous aussi, vous pouvez y parvenir
https://podcasts.apple.com/fr/podcast/combattant-e-s/id1480753178?i=1000458856438 .

Vous m’y retrouverez en compagnie de :
- Olivia Zeitline qui s’est consacrée à l’écriture après avoir obtenu son diplôme d’avocat. Passionnée de poésie et de spiritualité sous toutes ses formes, elle nous parle de son rapport très pointu à l’intuition. Celle-ci guide en effet sa vie, et lui a permis de changer de voie dès qu’elle l’a souhaité.
- Anne-Laure avait « sur le papier » une vie de rêve, en tant que chez de projet événementiel dans une belle compagnie, et pourtant elle a fait un burn-out.Elle s’est alors remise en question et a suivi un accompagnement avec un coach de vie durant plusieurs années. Celui-ci lui a changé sa vie et ses perceptions du monde. Elle a fini par se reconvertir en tant que chanteuse et se sent aujourd’hui alignée et apaisée.
- Gipsy, est une jeune femme qui a appris à s’écouter avec l’âge , et qui partage son quotidien, sa passion pour le sport, ses objectifs à venir.Aujourd’hui, Gipsy est une jeune femme alignée, avec des peurs comme tout le monde. Le combat guide sa vie notamment depuis qu’elle a réussi à perdre plus de 30 kilos et qu’elle a pris conscience qu’elle n’était pas faite pour être salariée.
- Francky 31 ans, est arrivé en France d’Haïti à l’âge de 5 ans. Il ne parlait pas un seul mot de français et était très seul. Il a souffert d’obésité et cela a été très difficile.Aujourd’hui il est aligné, et sait ce qu’il veut. Sa petite timidité le rend encore plus humble et agréable.
- Sébastien, est un jeune homme téméraire de 31 ans. Il peut tomber 10 fois, il se relèvera 11 fois. Il a le combat dans le sang et une rage de vivre qui le rend conscient et optimiste. Son passé fut par moments semé d’embûches. Son quotidien, aujourd’hui, est aligné et en cohérence avec ce qu’il est et avec ses valeurs. Venez découvrir son témoignage touchant et à la limite du supportable. Un combattant !
Conclusion
Alors, si vous êtes en conflit avec vous-même ou si vous avez vécu un traumatisme, ne sous-estimez pas l’énergie et la force qui sont en vous. Plus vous subirez, plus votre corps vous rappellera à l’ordre.
Tout le monde a des capacités et du talent. Ce qu’il faut, c’est connaître son potentiel et savoir l’exploiter. Le cheminement est souvent assez long. Mais croyez-moi, cela en vaut vraiment la peine !
Et parfois, souvent même, il est utile, voire indispensable de se faire coacher ! Échanger, se confier, être encouragé sont souvent essentiels pour révéler votre personnalité, votre potentiel, et pour parvenir à faire ce qu’il y a de plus difficile : prendre une décision. N’hésitez pas dans ce cas à me contacter !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

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Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ?
La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…
En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.
Petit rappel sur le droit des femmes
Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.
Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.
Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.
Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !
Quelque chose de lourd…
De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.
Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.
A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

Égalité… des quoi ? des chances… ?
On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.
Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.
De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.
Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !
Discrimination inconsciente… pas tant que cela
La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.
Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».
Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.
Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

Des solutions données aux femmes pour faire leur place
Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.
La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).
Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.
C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.
Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.
Il reste donc encore un long chemin à parcourir…
Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.
Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

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Comment accepter son passé et en faire une force ?
Je suis Charlotte Vallet, coach spécialisée en émancipation féminine à Paris, et aujourd’hui, je souhaite parler du passé et de son pouvoir de transformation.
Mon parcours de vie n’a pas toujours été facile. J’ai vécu des épreuves difficiles, telles que l’enfance en foyer, l’abandon et l’humiliation. Mais aujourd’hui, à 34 ans, je ressens une paix intérieure profonde et une guérison émotionnelle que la petite fille en moi n’aurait jamais imaginée. C’est une transformation incroyable !
En tant que coach pour femmes à Paris, j’accompagne les femmes à surmonter leurs blessures passées, à se libérer du poids du passé et à retrouver leur confiance en soi. Si tu cherches à guérir des blessures émotionnelles, à retrouver ton équilibre et à t’émanciper de tes peurs, je suis là pour t’aider à transformer ta vie.
« Laissons au passé ce qui appartient au passé », plus facile à dire qu’à faire ! Si nous cherchons tous à « passer à autre chose », « enfouir » ou encore carrément « oublier », il n’est pas rare que le passé resurgisse de temps en temps dans notre quotidien, voire même un peu trop souvent pour certains ! Et ce retour en arrière est rarement positif. Une séparation, un conflit avec un proche, une maladie, un traumatisme grave, trop de souvenirs peuvent nous envahir au quotidien et sont sources d’angoisses, de peurs et de stress. Ne pas accepter notre passé nous empêche d’être heureux et d’avancer. Pour pouvoir vivre l’instant présent sereinement, il faut accepter son passé, apprendre à pardonner, déculpabiliser, et lâcher prise. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ? Oui ! C’est vrai. Mais un moyen d’y parvenir est de le transformer en autre chose ! En quelque chose qui nous fait grandir. Et si l’on pouvait en faire une force ?
Et si je pouvais devenir une « super moi » grâce à mon histoire personnelle aussi chaotique et douloureuse qu’elle soit ?
Un passé douloureux : le poids des regrets et l’envie d’oublier
Maladie, échecs, ruptures, expériences traumatisantes qui se transforment en cauchemars… Nous ne réagissons pas tous de la même manière face à des souvenirs douloureux.
Il y a ceux qui vont vivre dans le regret permanent et ceux qui mettent tout au placard et qui balancent la clé !
Les premiers, éternels nostalgiques, se passent en boucle le même refrain : « si j’avais su », ou « j’aurais dû » avec cet espoir de pouvoir peut-être changer quelque chose du passé voire de le reconstruire totalement.
Les seconds, eux, enfouissent pour mieux oublier. « Faire l’autruche », comme si rien n’avait existé. Mais cette stratégie, ou plutôt ce comportement, n’aboutit qu’à l’inverse de l’effet escompté. Plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l’oublier, plus il va revenir en force, malgré nous. Eh oui ! En voulant effacer un souvenir, en réalité, nous le renforçons ! Il faut donc changer notre état d’esprit pour vivre une nouvelle vie. Mettre un terme aux regrets et à la culpabilité. Le passé n’est pas que cette part d’ombre dans notre vie qu’on lui attribue souvent ! Il peut aussi être une force, un moteur pour avancer, pour réussir à bâtir notre avenir.

Et si nous pouvions faire de notre passé une force ?
Si le passé ne rimait pas forcément avec négativité ? En général, 6 personnes sur 10 se raccrochent aux aspects négatifs de leur passé et cela finit indéniablement par faire partie de leur personnalité. Mais cela veut aussi dire que 6 personnes sur 10 subissent un quotidien lourd des maux du passé qu’ils portent. Constat assez triste non ?
N’avons-nous pas une mauvaise perception de notre passé ? Pouvons-nous le voir autrement ? Est-il possible qu’il puisse nous donner la force d’avancer encore plus loin ? Peut-il être un booster plutôt qu’un boulet ? Eh bien moi, je serais tentée de répondre : pourquoi pas ?
Nous avons tous un passé, plus ou moins chahuté, plus ou moins douloureux, et nous devons tous avancer. Alors prenons le temps d’apprendre à vivre avec lui et surtout grâce à lui. Faisons de ce passé un allié pour affronter le présent et le futur et non pas un ennemi ! Acceptons ses mauvais côtés, ses cabosses, ses blessures et tentons de le voir différemment.
Et si nous pouvions l’aimer après tout ? Il n’a certainement pas que des défauts ! Il est aussi fait de merveilleux moments comme les moments entre amis, notre évolution personnelle et professionnelle, de bons souvenirs en famille, et tous les petits bonheurs qui rythment notre quotidien.
Alors pourquoi ce ne sont pas ces souvenirs qui nous accompagnent aujourd’hui ? Pourquoi devons-nous nous infliger cette lutte permanente contre nos démons du passé ? Existe-t-il une ou des solutions pour s’apaiser et faire la paix avec notre passé ? Pouvons-nous juste vivre l’instant présent ? Lâcher prise ? Et si oui, comment faire ?
Voir le passé autrement, des solutions pour y parvenir…
Il n’y a aucun remède miracle pour guérir de nos blessures du passé. Mais il est possible de les laisser se refermer, ne plus souffrir et avancer. Certes, quelques cicatrices resteront, mais ce sont elles, d’une certaine manière, qui font ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. Vivre l’instant présent n’est pas chose aisée, mais on peut y arriver ! Pierre Geluck, lui, avait sa propre méthode et a dit un jour : « Je bois pour oublier. Mais j’ai tellement bu que je ne me rappelle plus ce que je dois oublier ». Évidemment, inutile de préciser que cette méthode n’est pas celle qu’il faut choisir ! Si plusieurs techniques, méthodes, astuces existent pour se détacher des mauvaises ondes de son passé, savoir tourner la page dépend tout de même de notre force de caractère, de l’intensité des évènements vécus et de la capacité à gérer nos émotions. Nous ne sommes pas tous égaux face à notre passé. Le but étant pour chacun de voir son passé autrement pour mieux vivre le présent.
Dans un processus de deuil d’un passé douloureux, il y a trois étapes fondamentales :
Tout d’abord, il faut le comprendre, puis gérer les émotions qu’il nous renvoie et se tourner vers l’avenir.
Comprendre son passé
Le charme du passé, ne serait-il pas justement qu’il soit le passé ? Ne serait-il pas finalement surtout une idée, une image qui n’existe que dans nos mémoires ? A priori, il ne serait plus vraiment réel, plutôt abstrait même. Mais alors comment une chose irréelle peut-elle tenir les ficelles de notre réalité actuelle, en la déformant et en nous faisant souffrir ? Réponse : nos émotions. Eh oui, ce que l’on croit revivre quand on se tourne vers le passé, ce n’est pas l’évènement mais les émotions qui lui sont rattachées, celles que l’on a ressenties auparavant. Et c’est en grande partie à cause d’elles que nous souffrons du poids du passé.

Mais alors comment gérer ce trop-plein d’émotions ?
Autant vous dire tout de suite, il existe autant de solutions, astuces, méthodes que de personnes qui en cherchent ! Ce qui veut dire que chacun doit trouver sa/ses techniques pour ne plus souffrir. Et croyez-moi, plus on les combine, mieux c’est !
Voici quelques exemples :
- L’écriture
- La thérapie (seul(e), en couple, en famille…)
- Le sport
- Le yoga
- La méditation de pleine conscience
- Le coaching
- L’hypnose
- Le breathwork
- Les soins énergétiques
- Le magnétisme
- Le chamanisme
J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros.
Cette liste étant, bien évidemment, non exhaustive, à vous de trouver ce qui vous conviendra le mieux, ce qui vous aidera à avancer. Gardez en tête qu’il faut vous libérez de toutes les mauvaises émotions du passé qui vous envahissent en essayant, pourquoi pas, de les remplacer par des positives, celles qui vont vous booster, vous faire avancer.
N’hésitez pas me contacter… !
Tourné(e)s vers le futur !
Et maintenant que l’on a, plus ou moins, géré ce fameux passé, en route vers le futur… On décolle nos yeux du rétroviseur et on appuie sur la pédale ! Je sais, encore une étape difficile. En effet, si nous tentons souvent d’enfouir les souvenirs du passé, nous angoissons aussi de ce qui va nous arriver dans le futur…
Et si, être « coincé(e)s dans le présent était la meilleure chose qui nous arrivait ? Vivre l’instant présent, en pleine conscience… !

Faire de notre passé une force c’est possible, la preuve…
Si les mots ne suffisent pas toujours à convaincre, les exemples concrets oui ! Et il en existe beaucoup autour de nous.
Prenons celui d’un chanteur bien connu, Andréa Bocelli. En 1970, il devient aveugle suite à la réception dans l’œil d’un ballon de football. C’est à ce moment-là que sa passion pour le chant a pris ton son sens. Il y a en effet puisé toute sa force et a réussi à devenir le ténor lyrique que nous connaissons tous aujourd’hui en faisant de cette tragédie le booster de sa vie.
Prenons, à présent, un tout autre exemple. Celui de Flavie Flamant, violée par David Hamilton dans son enfance. Si certaines femmes ne réussiront jamais à s’en remettre, elle a décidé d’en faire une force, une rage qu’elle a mise au service de l’écriture dans son livre « la consolation ». Réel exutoire pour elle, et prise de conscience pour d’autres femmes, sa parole libérée sur ce sujet est le symbole de cette lutte contre le passé qui hante, le passé qui détruit et celui d’une lutte pour être heureuse malgré les blessures encore douloureuses.
Dernier exemple et non des moindres, Théo Curin, 18 ans, quadri-amputé à l’âge de 6 ans après une méningite foudroyante. Aujourd’hui vice-champion du monde de natation paralympique et égérie d’une grande marque de cosmétique pour Homme, est le parfait exemple de cette force que les épreuves du passé peuvent nous donner.
Si eux y arrivent, nous le pouvons aussi !
J’ai rédigé un eBook exceptionnel présentant mes 100 thérapeutes d’exception à Paris (énergéticiens, magnétiseurs, spécialistes EMDR, masseurs, etc.), prêts à vous aider à vous émanciper du passé, à surmonter des blocages émotionnels et à retrouver l’équilibre intérieur. Cet ebook est en ce moment en promotion au tarif de 21 euros ) la place de 29 euros. PROFITEZ-EN !
Conclusion
Nous ne pouvons ni effacer ni changer le passé, c’est un fait, mais rien ni personne ne nous oblige à le traîner comme un boulet toute notre vie ! Alors, il est peut-être temps de dire stop à cette souffrance et de profiter de tout ce que peut nous offrir l’instant présent. Bien que cela puisse être compliqué pour certains, le lâcher-prise est une étape essentielle dans notre quête du bonheur. Et si la tâche vous paraît colossale, n’hésitez pas à faire appel à une tierce personne pour vous aider ! Nous méritons tous de trouver cette paix intérieure, ce bien-être qui nous permet de réaliser nos projets et de profiter de toutes les merveilleuses choses que nous offre la vie !
Charlotte Vallet – Coach, spécialisée en émancipation féminine sur Paris – Si tu veux aller plus loin, je te propose un appel téléphonique pour connaitre tes besoins.
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Des idées pour améliorer le bien-être au travail
Il a fallu de longues années avant que l’on admette le lien direct entre la performance d’une entreprise et le ressenti des salariés. La faute aux premières démarches qualité ? En effet, ces dernières ont longtemps orienté les managers à prioriser la satisfaction des clients, laquelle était souvent obtenue au détriment de la satisfaction des salariés. Quelle erreur… ! D’autant plus que parallèlement, les rapports au travail se modifiaient radicalement avec l’arrivée dans le monde du travail de la génération Y puis de la génération Z, à la recherche, entre autres, d’un meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Bref… Ne nous éternisons pas sur les causes et les conséquences, puisque ça y est : il est désormais acquis (ou presque…) qu’un salarié heureux est plus performant ! La mise en place d’une politique de bien-être au travail devient quasiment incontournable. L’objet de cet article n’est pas d’en faire la promotion, mais de vous donner des idées concrètes pour la mettre en place.
Mais avant de vous livrer ces idées, quelques chiffres pour les récalcitrants
La notion de bien-être est très difficile à définir et à chiffrer, tant nous sommes différents, et tant les secteurs d’activité sont différents. De nombreux sociologues ou experts en RH se sont penchés sur la notion et l’impact de la satisfaction des salariés. Mais ce qui a véritablement fait bouger les choses, ce sont les premières réglementations concernant l’obligation pour l’employeur d’évaluer les risques, et notamment les risques professionnels puis psychosociaux, dont les conséquences pouvaient être dramatiques. Rappelons ici la vague de suicide chez Orange, il y a dix ans…
Mais il ne faut pas confondre risques psychosociaux et bien-être au travail. On peut juste dire que la mise en place d’actions en faveur du bien-être au travail est l’un des axes (parmi beaucoup d’autres) qu’il faut développer pour diminuer les risques psychosociaux.
Parmi les études les plus récentes, citons celles du Cabinet Stimulus et des Cabinets Amarok/Malakoff-Médéric dont les résultats ont été synthétisés sans un article fort intéressant dans la revue Capital.
- 70 % des salariés déclarent avoir un travail nerveusement.
- 52 % des salariés se disent anxieux au travail.
- 29 % présentent un niveau dépressif élevé et 6 % sont probablement en dépression.
- 18 % des salariés affirment avoir été victimes d’un burn-out (syndrome d’épuisement professionnel).
Et ci-dessous quelques autres chiffres plutôt significatifs…

Un employé qui ne sent pas bien commence par poser des arrêts maladie et finit par partir !
Le cout caché moyen de l’absentéisme s’établirait chaque année à 4 059 euros par salarié. En multipliant ce chiffre par 26,6 millions, soit la population active française, on obtient donc une facture de 107,9 milliards par an (d’après le journal Les Échos).
Et c’est sans compter les coûts du turn-over, et donc des nouveaux recrutements, qui sont également énormes pour les entreprises…
Alors, on y va ?
Les idées pour améliorer le bien-être au travail
Bien sûr tout dépend de la taille de votre entreprise et du budget qu’elle aura à disposition (ou plus exactement qu’elle priorisera ou non… : ne dit-on pas que tout est une question de priorité ?). Mais croyez-moi, il y en a pour tous les goûts et à tous les prix.
Réaliser un questionnaire pour recueillir des idées émanant des salariés ou pour recueillir leurs besoins
La première étape est sans conteste, d’interroger les salariés. Inutile de mettre un babyfoot si l’équipe est composé de 90 % de filles ! J’exagère… je le sais, mais n’oublions que cette fois, nous sommes centré sur la satisfaction des salariés. Par exemple, pour des postes stressants ou pour des postes pour lesquels l’essentiel de la rémunération est lié à des primes, beaucoup de salariés réclament des ateliers pour apprendre à gérer le stress, type séance de sophrologie. Nous y reviendrons en fin d’article. Vous l’aurez compris, quitte à faire plaisir aux salariés, autant leur demander ce qu’ils souhaitent ! Les salariés sont suffisamment intelligents pour rester raisonnables…
Optimiser la décoration et l’agencement des locaux
Quoi de plus démotivant que d’arriver le matin, déjà un peu groggy…, dans des locaux tristes, voire lugubres, sans âme ? Un petit rafraîchissement des lieux, quelques petits objets décoratifs, quelques plantes vertes (avec un responsable des plantes vertes J), quelques affiches un peu fun, et le tour est joué ! Bon, je ne parle pas de la machine à café… C’est la base.
De même l’agencement des bureaux peut aussi être modifié pour rendre l’espace plus convivial.

Créer des espaces différents
Mais la convivialité a ses limites ! Être sans cesse les uns sur les autres, au bout d’un moment… Vous m’avez comprise ! Il faut donc également penser à la détente, à l’isolement, au repos… En fait, il faut envisager des espaces de natures différentes. Des lieux de vie (et de travail), des lieux de détente (salle de jeux, installation de canapés bien confortables), et des lieux où l’on peut s’isoler et faire une sieste, par exemple.

Proposer des activités ludiques en externe ou en interne
Organiser des évènements en externe
Pas tous les jours, bien sûr ! Mais de nombreuses entreprises misent beaucoup, et à juste titre, sur l’organisation d’évènements sur le temps de travail. Les entreprises anglo-saxonnes n’hésitent pas à consacrer un vendredi après-midi par mois à un événement qui rassemblent les salariés. De toutes les manières, soyons lucide : qui est hyperconcentré le vendredi après-midi 🙂 ? Alors pourquoi ne pas retourner cela à l’avantage de l’entreprise ?
- Un pique-nique ?
- Une virée sur les bords de Seine ?
- Une chasse au trésor ?
- Se rendre dans un Espace Game ?
Des indispensables pour souder les équipes… Normalement… !

Organiser des évènements en interne
Dans le même esprit, les événements peuvent être organisés en interne. Aujourd’hui, il existe de nombreuses plateformes qui proposent au RH des activités de toute nature. Par exemple, sur le site Yuco.co, des centaines de programmes et d’activités sont proposées aux entreprises. Sur cette plateforme, vous trouverez des activités dans les domaines suivants :
- Développement personnel
- Leadership et le management
- Le sport
- Le bien-être et la relaxation
- L’art et la culture
De l’Aromathérapie, à l’œnologie, au yoga, à la boxe, aux cours de cuisine, relaxation, technique de respiration… Impossible de ne pas y trouver son bonheur !
Organiser des ateliers de sophrologie et/ou de lâcher prise : l’atelier le plus prisé
En lien direct avec ce que j’ai écrit précédemment, la sophrologie fait partie des demandes récurrentes. En effet, vaincre ou simplement gérer le stress, l’angoisse est l’un des ateliers les plus prisés. Sophrologue à Paris, je peux intervenir dans votre entreprise ! N’hésitez pas à me contacter :-).

Quelques autres petites idées en vrac…
- Faire livrer de temps en temps de petits-déjeuners ou des fruits.
- Apprendre à récompenser et à féliciter ses salariés (n’est-ce pas Mesdames et Messieurs les managers… ?)
- Veillez à la bonne intégration des nouveaux. Un salarié bien intégré sera plus rapidement opérationnel !
- Travaillez sur la flexibilité des horaires (et notamment sur le télétravail) et sur les congés payés.
- Organisez une journée famille ! Durant laquelle le salarié peut montrer à ses proches, son cadre de travail.
- Et pour finir, je vais peut-être en choquer certains, mais parfois, il ne suffit pas de grand-chose… Un simple bonjour aimable, un minimum d’intérêt et de respect peuvent aussi suffire aux salariés… Et ça, ce n’est pas très onéreux…

Conclusion
D’après une étude menée par Harvard/MIT, les salariés heureux sont :
- 31 % plus productifs
- Deux fois moins malades
- Six fois moins absents
- Neuf fois plus loyaux
Alors, ça vaut peut-être le coup d’investir ?
En même temps, savez-vous vraiment le temps que vous passez au travail ???
12 % de votre vie… !! Alors que c’était 40 % au début du 20e siècle et 70 % durant la 3e République. (Source Regionjob : . https://www.regionsjob.com/actualites/chiffres-cles-monde-travail.html )
À ce rythme, dans 50 ans… la question ne se posera plus 🙂 !
Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

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Comment vaincre la peur du rejet de l’autre ?
« J’ai peur qu’on ne m’aime pas », « Je n’y arriverai pas », « Il ne restera jamais avec moi », « Je suis nulle » Autant de phrases qui tournent en boucle dans la tête de ceux qui ont peur d’être rejetés et qui les paralysent chaque jour un peu plus, que ce soit dans leur vie professionnelle et personnelle.
Les raisons sont multiples et trouvent souvent leur origine dans des traumatismes durant l’enfance. Les conséquences : un manque d’estime de soi, de confiance, un besoin d’exister à travers l’autre, une hypersensibilité… Et dans notre société du paraître, où plaire aux autres est presque une obligation, ce phénomène a tendance à s’amplifier. Certains en arrivent même à perdre leur personnalité, leur identité. C’est alors un cercle vicieux ! Car on ne peut pas plaire à tout le monde. Et plus on veut plaire, plus on se confronte au rejet de l’autre.
D’où vient cette peur du rejet de l’autre ?
Pour la majorité d’entre nous, nous naissons entourés de nos parents. Puis, au fur et à mesure que nous grandissons, le cercle s’élargit : professeurs, amis, collègues, simples connaissances… Nous parcourons donc la vie avec ces « autres » qui forment notre propre société. Nous devons donc « vivre » avec l’autre, avancer avec lui, elle, eux… proches de nous ou parfait(e) inconnu(e)…`
Et si, pour certains, cette vie en communauté n’est pas un problème, voire plutôt une chance, pour d’autres, ce schéma est plus compliqué. Pourquoi ? À cause de certains ressentis qui les rongent : la peur ne pas être conforme à ce que l’autre attend, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur de ne pas être apprécié, la peur de la solitude, la peur d’être rejeté par les autres…
Cette peur trouve, le plus souvent, son origine au moment de l’enfance. En effet, un enfant abandonné ou délaissé par ses parents aura plus de chance de développer cette peur en grandissant. Les enfants humiliés, battus grandiront également avec un manque de confiance en eux, un sentiment d’infériorité qui pourront entraîner de nombreux troubles dans leurs rapports avec les autres. Mais sans même aller si loin, une autorité excessive conduit quasiment tout le temps un enfant à se construire dans la peur.
Le sentiment de rejet ou d’abandon peut donc naître très tôt et avoir de nombreuses répercussions plus tard sur nos relations avec les autres. Mais ce sentiment peut aussi se développer dans notre vie d’adulte, suite à un traumatisme ou à un évènement particulier (trahison, divorce, licenciement…).
Comment cette peur se manifeste-elle ?
Une personne qui vit avec cette peur du rejet au quotidien créée, malgré elle, des barrières à son bonheur qui peuvent être nombreuses et non sans conséquences… En voici une liste non exhaustive :
- Ne pas savoir prendre de décisions sans l’avis des autres
- Être hypersensible
- Éprouver un besoin permanent de plaire
- Développer de la jalousie
- Culpabiliser très souvent et très facilement
- Ne jamais exprimer sa propre opinion et/ou ajuster son opinion en fonction de celles des autres
- Vivre constamment dans l’angoisse et l’anxiété
- Procrastiner
- Développer des complexes qui nuisent dans tous les domaines de la vie
- Donner à outrance pour espérer recevoir
- Ne jamais demander de l’aide pour ne pas déranger quitte à tout faire soi-même ou à ne rien faire
- Chercher en permanence l’approbation des autres pour se sentir en sécurité
- Agir contre sa propre volonté
- Se laisser entraîner dans des situations à risques
- …
Résultats : une vie à vivre en porte-à-faux, un mal-être permanent et surtout obtenir l’inverse de ce qui est recherché. Car à force de vouloir plaire à tout le monde, on ne plaît plus à personne. Un véritable cercle vicieux… Alors comment s’en sortir ?

Mais, si l’on veut, on peut sortir de ce cercle vicieux
À chaque problème sa solution ! Si vous souffrez de cette peur qui vous pollue depuis des années et que vous souhaitez enfin vous en libérer, bonne nouvelle, il existe des solutions. Nul besoin d’aller les chercher bien loin, elles sont en nous. Eh oui ! Mais pour se sortir de cette situation de mal-être, il va falloir faire un peu de travail sur soi.
Les buts :
- Retrouver l’estime de soi
- Retrouver l’estime des autres
Afin de réussir à atteindre ces objectifs, plusieurs exercices peuvent vous aider. Exercices personnels ou en groupe, ils peuvent être combinés pour une meilleure efficacité.
Mais tout d’abord, penchons-nous sur l’histoire de Jia Jang, un jeune entrepreneur chinois. Intelligent, bosseur et obstiné, il n’a cessé de travailler dur pour réussir. Il s’est marié, a été engagé dans une grande entreprise aux États-Unis. Une réussite personnelle et professionnelle. Mais malgré tout cela, il était toujours déprimé. Pourquoi ? Il rêvait de monter son entreprise mais il était incapable de sortir de son confort de salarié et de prendre des risques. La peur de l’insécurité et surtout celle du rejet le paralysaient. C’est pourquoi, un jour, il décide de se confronter à ses peurs et se donne 100 jours pour les vaincre. Le meilleur moyen selon lui : se confronter chaque jour à des situations au cours desquelles il est susceptible d’essuyer des refus. Au bout des 100 jours, il s’aperçoit en fait, qu’il a eu plus d’accords que de refus ! Suite à cette expérience, il donne des directions pour prendre de l’assurance et oser :
- Accepter que le rejet fait partie de nous. C’est une réaction humaine face à l’inconnu
- Avant de battre en retraite face au NON, il faut demander à notre interlocuteur les raisons de ce refus. Analyser les motivations du refus et étudier ce qui peut être modifié
- Ne pas se priver de la liberté de demander par peur du « NON » et du jugement de l’autre. Si nous n’osons pas demander, nous ne risquons pas d’avoir de « NON », certes, mais nous ne risquons pas non plus le succès.
- Ne pas faire d’une mauvaise relation avec l’autre une généralité mais une expérience pour avancer.
- Prendre conscience que chaque personne est unique avec ses qualités, ses défauts et ses expériences.
- Prendre du recul sur le jugement, les critiques des autres à votre égard.

Et plus simplement :
- Il faut identifier l’origine de la peur et avoir conscience de la façon dont elle se manifeste. Pardonner, lorsque c’est possible, à ceux qui sont à l’origine de cette peur, en se disant qu’ils agissaient sûrement pour notre bien. Sinon, il faut décider d’affronter la réalité.
- Il faut se forcer à faire des choses nouvelles qui boostent notre confiance en nous.
- Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide et à se confier.
- Il faut assumer sa sensibilité et apprendre à accepter la critique. Ou plutôt apprendre à la comprendre.
- Il faut se dire que tout le monde éprouve des peurs. Si ce n’est que certains arrivent mieux à les cacher d’autres (ou les expriment différemment).
- Il faut ne plus avoir peur que l’on vous dise NON, et soi-même oser dire NON. Essayez, vous verrez… vous serez surpris du résultat.
- Il faut aussi et surtout accepter d’être le maître de son destin. Ne pas se laisser dominer et comprendre que la différence est plutôt une force. Beaucoup sont dans le mimétisme d’un parent par exemple, de peur de le décevoir. Mais si vous ne décevez pas une personne… vous êtes perçu par TOUS les autres comme quelqu’un n’ayant aucune personnalité.
- Et surtout, il faut se rendre compte que lorsque l’on a pas d’estime de soi, on ne peut pas obtenir l’estime des autres.
Aussi pour réussir à s’en sortir, une première étape consiste à identifier la cause et à concrétiser les conséquences. Pour ce faire, des techniques telles que la sophrologie ou l’hypnose peuvent être des solutions particulièrement efficaces. Ensuite, en parallèle, le yoga ou la méditation peuvent venir apaiser les angoisses, l’anxiété, et à être en meilleure harmonie avec ce que nous sommes et ce que nous voulons au plus profond de nous-même.
Sophrologue et hypnothérapeute à Paris, n’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en discuter.
Conclusion
La peur du rejet de l’autre est un véritable handicap et un véritable cauchemar au quotidien. Soit on la subit… soit on essaye de la combattre. Une chose est sûre, la combattre permet de retrouver de la confiance, de l’estime de soi et surtout l’estime des autres. Et finalement, n’est-ce pas le but recherché ?

Charlotte Vallet
Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS
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Le ventre, notre deuxième cerveau
« Avoir des papillons dans le ventre », « J’ai l’estomac noué », « On va voir ce qu’il a dans le ventre », ou encore « ça me prend les tripes », autant d’expressions qui traduisent un lien entre nos émotions et notre ventre. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le ventre est un véritable « deuxième cerveau ».
Cette hypothèse a été pour la première fois émise, en 1998, par Michael D. Gershon, professeur à l’université de Columbia à New York, auteur de « The second brain ». Il déclarait alors qu’« avec ses substances psychoactives endogènes, le ventre a le pouvoir de donner naissance à du découragement ou de l’enthousiasme, de l’impuissance ou du plaisir, de la dépression ou de l’accomplissement. »
Mais alors y aurait-il des neurones dans notre ventre ? De la matière grise ? Pouvons-nous réfléchir avec notre ventre ? Est-il le moteur de certaines de nos actions ?
Lorsque j’ai décidé de vous parler de ce sujet, une multitude de questions m’ont envahie. J’imagine (et j’espère) que vous aussi. Alors découvrons tout de suite ce qui se cache derrière cette étrange découverte…
De quoi est fait notre ventre ?
Situé au centre de notre corps, il est à lui seul « un véritable substrat anatomique » explique le Professeur Neunlist. En fait, les parois de nos intestins seraient tapissées de millions de neurones et chargées de neurotransmetteurs et fabriqueraient à elles seules 95 % de la sérotonine, la fameuse hormone du bonheur. Étonnant n’est-ce pas ? Et ce n’est pas tout. Elles renfermeraient également les deux tiers de notre système immunitaire ainsi que notre microbiote intestinal plus connu sous le nom de « flore intestinale ». En effet, notre tube digestif abrite près de cent mille milliards de bactéries, nécessaires à notre bonne santé et qui peuvent modifier nos comportements.
Qui l’eut cru ? Mais alors qu’est-ce que ça veut dire ? Notre ventre, nos émotions et les réactions psychiques et physiques de notre organisme sont-ils liés ? Eh bien, oui !

Notre ventre, l’origine de nombreuses maladies…
Notre stress, notre fatigue, nos angoisses et les autres maux de notre vie quotidienne se trouvent bien logés dans notre deuxième cerveau. Je m’explique.
Le nerf vague, se trouvant dans notre ventre, permet une communication permanente entre le cerveau et le système nerveux entérique (notre ventre) et notamment celle de nos émotions. Par exemple, le stress ressentit par notre système nerveux entérique agit directement sur notre muqueuse intestinale, agissant ainsi sur la quantité de sérotonine sécrétée, neurotransmetteur impliqué dans une multitude de troubles (anxiété, agressivité, stress, sommeil…). Notre microbiote intestinal influe alors sur notre cerveau. Tous deux sont donc très connectés. Mais alors comment ce lien se traduit-il ? Notre tube digestif est-il à l’origine de maladies psychiatriques, par exemple ? Eh bien là encore, je réponds oui. Cela paraît étonnant et pourtant… De nombreuses recherches et études scientifiques ont été menées ces dernières années et ont pu démontrer que ce fameux deuxième cerveau est en lien très étroit, pour ne pas dire le point de départ de maladies psychiatriques (type dépression) et neuropsychiatriques (type autisme) par exemple.
Un autre exemple, fort intéressant, est celui qui concerne la maladie de Parkinson. Des médecins du CHU de Nantes furent les premiers à affirmer que cette maladie peut être diagnostiquée par une biopsie intestinale.
Et si l’on mangeait « mieux » pour se protéger ?
Si notre ventre, lieu où transite notre alimentation, est aussi le lieu où naissent certaines maladies, n’est-il pas alors possible de les guérir grâce à ce l’on ingère ? Si nous mangeons mieux, que se passe-t-il ? Et que veut dire : manger mieux ?
Nous connaissons aujourd’hui la relation qui existe entre l’alimentation et les maladies cardiaques, l’obésité et le diabète. Ce que nous consommons pourrait également avoir des conséquences sur le cerveau. En effet, une alimentation mauvaise pour la santé pourrait augmenter le risque de maladies psychiatriques et neurologiques telles que dépression et démence, alors que des aliments bons pour la santé pourraient en protéger.
Le régime méditerranéen à l’honneur
Une étude publiée en 2009 dans Archives of General Psychiatry a montré que le risque d’avoir une dépression pouvait être diminué jusqu’à 30 % chez les personnes qui suivent un régime méditerranéen. Mais alors de quoi est constitué ce fameux régime ? Il est davantage riche en fruits, légumes, noix, céréales complètes, poisson et graisses non saturées (retrouvées dans l’huile d’olive et autres huiles végétales) que le nôtre et comporte moins de viande rouge et produits laitiers. Il a été prouvé que l’huile d’olive permet de diminuer l’apparition de troubles cognitifs ou de maladies comme l’Alzheimer, par exemple. Quel est donc son pouvoir magique ? Tout comme les poissons dits « gras » et l’avocat, elle serait porteuse de bonnes graisses nécessaires au bon fonctionnement de notre cerveau. Avez-vous déjà entendu parler d’Oméga 3 ? Oui, j’en suis sûre ! Eh bien voilà l’un des secrets d’une bonne santé. Ces acides gras protègent notre cerveau et sont les garants de notre bien-être. Alors n’attendons pas, mettons-nous au régime méditerranéen dès maintenant, « nos cerveaux » ne s’en porteront que mieux !
Les autres conseils
Mais si ce régime est l’un des remèdes, il ne peut être le seul. Pour être efficace, il doit être accompagné d’autres changements ou efforts de notre part : ne pas boire trop d’alcool, ne pas boire plus de 400 ml de boissons stimulantes comme le café, pratiquer une activité physique régulière, etc. Autant de choses à faire et à ne pas faire pour trouver un équilibre quotidien sain pour notre corps.
La méditation, l’hypnose, la sophrologie et le yoga
Et si ces pratiques transformaient notre cerveau et amélioraient notre santé ? Eh bien oui. Associées à une bonne alimentation, pratiquées quotidiennement, elles sont notre allié bien-être.
Pour Fabrice Midal, philosophe et fondateur de l’École occidentale de méditation, la méditation a un effet sur la pression artérielle, l’immunité, la fatigue mais aussi l’anxiété, l’insomnie et les addictions alimentaires. Elle permet de redevenir présent avec tout son corps. Nous ne sommes plus dans le « faire » mais dans « l’être ». C’est une respiration sans consigne, sans risque d’échouer. Nous « lâchons prise », et en ce sens, nous faisons du bien à notre organisme. Selon quelques chiffres, cette pratique réduirait de 50 % le risque de rechute en dépression. Aussi, 20 minutes de méditation par jour suffiraient à faire baisser l’anxiété de 40 %.
L’hypnose, quant à elle, serait efficace pour soulager les douleurs aiguës et chroniques et pour le traitement de la dépression et des addictions. C’est une véritable médecine corps-esprit qui traite chaque patient dans toutes ses composantes. C’est pourquoi, beaucoup de centres antidouleurs et hôpitaux y ont recours aujourd’hui.
La sophrologie, elle aussi, va au-delà de la simple recherche de détente corporelle. Plus qu’un banal exercice de relaxation par la respiration, elle propose des outils pour agir, pour se transformer. En jouant sur les organes et la circulation sanguine, elle permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Et pour faire le rapprochement avec notre système nerveux (cerveau et deuxième cerveau), elle entraîne le renforcement de nos connexions neuronales.
Et le yoga alors ? Le yoga est aussi un très bon exemple qu’une pratique régulière peut influer sur nos systèmes nerveux. Certaines postures ont des effets stimulants qui nous font du bien. Certaines ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol. Cette technique rejoint donc les autres dans la recherche du bien-être et dans la lutte contre de nombreuses maladies ou troubles cognitifs.
Vous souhaitez plus d’informations ? Exerçant à la fois la sophrologie et l’hypnothérapie à Paris, je vous répondrai avec grand plaisir. Consultez ma page professionnelle pour me contacter.

Conclusion
La clé de la guérison d’une multitude de pathologies pourrait donc se trouver dans notre ventre ? Eh bien, aussi dingue que cela puisse paraître, énormément d’études démontrent que c’est bien le cas. Il est alors urgent de prendre soin de nos intestins et de notre tube digestif en général. Pour cela, une bonne alimentation et la pratique de quelques activités telles que la sophrologie, la méditation, le yoga, et bien d’autres encore sont nécessaires. Alors : Avez-vous bien « digéré » ces informations 🙂 ?
Charlotte Vallet
Hypnothérapeute et Sophrologue à Paris
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Et si rire faisait du bien à notre corps…
Une bonne blague, un film drôle… Et on éclate de rire ! Tout le monde a déjà connu ces bons moments, enfin je l’espère… Néanmoins, quelques chiffres démontrent que nous ne rions pas assez. Si un enfant rit en moyenne 300 à 400 fois par jour, l’adulte lui ne rirait qu’une vingtaine de fois. Et les études à ce sujet tendent à montrer que nous rions de moins en moins : 19 minutes en 1939, 6 minutes en 1983 et moins d’une minute aujourd’hui. Et pire encore, environ 7 % des Français avouent ne jamais rire du tout ! Des rythmes de vie stressants et des conventions sociales pesantes induisent une pression généralisée (carrière professionnelle, compétitivité, rendement, etc.) laissant malheureusement peu de place à de franches rigolades entre amis !
Et pourtant, lorsque nous rions, nous n’en avons pas toujours conscience, mais nous ressentons une sensation de bien-être, de détente, de relâchement… Nous nous sentons bien tout simplement. Pas seulement parce que nous sommes entre amis ou en famille autour d’une bonne tablée, bien que cela y participe bien évidemment, mais surtout parce que le rire a de réels effets sur notre corps.
Et croyez-moi, ils sont nombreux et surtout très bénéfiques. Vous vous demandez sûrement pourquoi ? Eh bien, je me suis posé la même question que vous et je vais essayer de vous répondre.
Mais tout d’abord, qu’est-ce que le rire ?
Pascale Poinsot-Lesterle a dit : « Savoir rire est un art, un art du lâcher-prise qui permet instantanément de prendre de l’altitude face aux aléas de la vie ».
Si nous nous référons à la stricte définition, le rire est un comportement réflexe, donc incontrôlable, de notre corps qui exprime souvent la joie, le bonheur. J’ai choisi le mot « souvent » car parfois le rire peut être nerveux, contraire à l’expression de la joie. Nous avons tous en tête une personne qui se met à rire alors que la situation ne s’y prête pas du tout. Ou alors, un « Jean qui rit, Jean qui pleure ». Le rire exprimerait donc simplement des émotions !
Comme disait Goethe : « Le rire et les pleurs sont cousins ». En effet, qui n’a pas pleuré lors d’un évènement heureux important, ou à l’annonce d’une bonne surprise, ou tout simplement à la suite d’un fou rire ? Nous pouvons donc également pleurer de joie.
Le rire serait déclenché par l’humour, le chatouillement ou par l’effet boule de neige, en voyant quelqu’un rire en face de nous. Comme le bâillement, le rire est très communicatif.
Ce réflexe est donc une réaction physique d’une multitude de causes.

Quels sont ses bienfaits sur notre corps ?
Rire aurait de nombreux bienfaits sur notre corps. Vrai remède ou pratique tendance ? Je vous dis tout, ou presque ! Selon la gélotologie, ou science du rire, (à ne pas confondre avec gérontologie !) la liste de toutes ses vertus serait longue et non exhaustive. Voyons-en l’essentiel.
Le rire, une technique respiratoire proche du yoga !
Rire, forcé ou non, permettrait une réelle détente respiratoire et musculaire. Vous me répondrez sûrement que lorsque vous éclatez de rire c’est plutôt la sensation d’étouffement que nous ressentons ! Oui au début… Mais le corps s’adapte. En effet, les bronches vont s’ouvrir et la respiration s’allonger, ce qui va permettre 4 fois plus d’échanges respiratoires. L’inspiration est plus profonde, et l’expiration plus intense. Nous augmentons donc notre réserve d’air.
Nos éclats de rire pourraient alors nettoyer nos voies respiratoires mais aussi prévenir de certaines maladies respiratoires comme l’emphysème voire stopper des crises d’asthme.
Le rire, un super digestif !
Pour les adeptes du « digeo » ou de la « pisse mémé », voici une autre méthode pour les fins de repas difficiles : la grosse « marrade » ! Eh oui, rire permettrait de renforcer la digestion. Lorsque nous rions, nos muscles abdominaux se contractent et ce phénomène entraînerait le brassage de notre tube digestif en profondeur, lieu où s’élabore la nutrition de l’organisme. Ainsi l’estomac, le côlon, l’intestin grêle, ou encore le duodénum… sont massés, et notre digestion optimalisée. Ceci explique aussi pourquoi le rire lutte contre la constipation. Bonne nouvelle ! Stoppons nos prises de médicaments et marrons-nous !

Le rire : un puissant antidouleur
Selon une étude, 60 % des consultations médicales seraient liées à la douleur. Et si nous pouvions l’atténuer en rigolant ? C’est prouvé, le rire est tout aussi efficace d’un doliprane. Voici en effet, les 3 mécanismes de l’action du rire sur la douleur :
- Il agit comme un placébo en détournant notre attention. En effet, rire nous change les idées et agit sur notre perception de la douleur en l’atténuant.
- Il permet de détendre nos muscles. Le rire permet de réduire la contracture musculaire, et cette tension qui crée la douleur ou l’amplifie.
- Il augmente notre production d’endorphines, hormones jouant le rôle de morphine et de catécholamines (adrénaline et noradrénaline) qui ont un rôle important sur le processus inflammatoire.
Le rire, un anti-stress naturel
Économique, efficace et naturel, le rire est le « super » remède au stress. Il est la conséquence de plusieurs stimuli externes qui engendrent des réactions hormonales et nerveuses en cascade dans notre organisme. Si le stress peut parfois être positif et agir comme un booster, pour atteindre un objectif important, par exemple, il peut aussi être très néfaste. Perçu comme le « mal du siècle », le stress, nous le savons aujourd’hui, est à l’origine de beaucoup de pathologies physiques (cancers, infarctus, hypertension artérielle…), psychiques (fatigue, trouble du sommeil, dépression…) et psychiatriques (schizophrénie).
Grâce au rire, notre cœur tend à ralentir, les vaisseaux se relâchent et nos muscles se détendent : le combo parfait pour réduire notre état de stress et ainsi éviter les maladies les plus graves. Aussi, les sécrétions d’endorphines qu’il provoque permettent l’apaisement de notre corps réduisant considérablement l’excès d’adrénaline et de cortisol générés par le stress.
La liste des bienfaits du rire est, je le répète, non exhaustive. En effet, il aurait aussi des effets bénéfiques sur notre sommeil, notre système immunitaire, notre sexualité et dans bien d’autres domaines encore…

La thérapie par le rire ça existe !
Aussi étonnant que cela puisse paraître, la thérapie par le rire existe, et elle est même plutôt réputée.
On dénombre aujourd’hui près d’un millier de centres de bien-être en France qui proposent un cours de « yoga du rire » basé sur des exercices pour apprendre à rire sans raison en stimulant sa capacité à rire pour se relaxer, libérer ses inhibitions et développer une attitude positive envers la vie.
De nombreuses associations se développent également, créant des « groupes du rire », des lieux exclusivement réservés aux fous rires et à la bonne humeur communicative. Alors ne perdons pas de temps et inscrivons-nous ! Le seul risque que nous prenons est de rire, rire et rire encore…
Conclusion
Pour conclure, je vous dirais tout simplement : essayez de provoquer des situations propices au rire, et marrez-vous ! Riez encore et encore, et votre corps vous dira merci. Faites le stock de blagues, remplissez votre bibliothèque de comédies, sortez avec des gens drôles et positifs, et si cela ne suffit pas, inscrivez-vous à des cours de rire ! Votre bien-être psychique et physique s’accroîtra. Alors pourquoi s’en priver ? Mieux vaut une bonne dose de rire quotidienne qu’une bonne ordonnance, non ?
Charlotte Vallet
Hypnothérapeute et Sophrologue à PARIS

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Quand l’esprit domine le corps
Platon disait « les MAUX du corps sont les MOTS de l’âme, ainsi on ne doit pas guérir le corps sans chercher à guérir l’âme. »
Dans les traditions indiennes et chinoises, le corps et l’esprit ne font qu’un, depuis la nuit des temps. Pourtant, c’est encore loin d’être le cas dans notre civilisation occidentale, où pour monsieur Tout-le-monde, le corps et l’esprit sont deux entités indépendantes. La faute à Descartes (et à ses disciples), qui considérait que l’âme (entité immatérielle) était radicalement distincte du corps (machine). C’est ce que l’on appelle le « dualisme ».
Mais, heureusement, depuis Descartes, la science a évolué, et la médecine reconnaît aujourd’hui l’interdépendance entre le corps et l’esprit. L’esprit peut influer sur le corps, et le corps sur l’esprit.
De nos jours, dans une société qui nous soumet à de multiples émotions en tout genre, notre corps subit de nombreux chocs émotifs que nous ne sommes pas toujours en mesure de gérer, et qui peuvent se traduire par un mal-être qui se répercute en maladie(s).
Cependant tout ceci est assez complexe, et c’est la raison pour laquelle j’ai souhaité rédiger cet article afin de tenter de vous livrer des explications simples, mais aussi des solutions.
Quelques définitions préalables et quelques explications
Le corps
Commençons par le plus simple : le corps. Et contentons-nous de la définition du Larousse. Le corps se définit comme « La partie matérielle d’un être animé considérée en particulier du point de vue de son anatomie, de son aspect extérieur ». Rien de très difficile jusqu’à présent.
L’esprit
Mais si l’on tape le mot « esprit » sur internet, on y trouve une dizaine de définitions, selon que l’on se place d’un point de vue psychologique, psychanalytique, philosophique, métaphysique, spirituel, religieux…
Pour le commun des mortels, l’esprit est « associé » au cerveau. Cependant, ce sont deux choses différentes. Le cerveau est concret : on peut le visualiser, l’analyser, le traiter. L’esprit n’est pas matérialisable. Il est invisible, propre à chacun, privé, subjectif.

Demandez à quelqu’un de vous donner une définition du mot esprit ? Personne n’aura la même.
C’est pourquoi, pour simplifier, j’associerai dans cet article, le mot « esprit » à « pensées et émotions », et que je me baserai sur l’hypothèse émise par les neurosciences : l’esprit siège dans notre cerveau.
Désormais, un nombre important d’études montrent que nos pensées, nos émotions, nos ressentis ont une influence sur notre santé. Il a été prouvé que des pathologies graves telles que le cancer, les AVC et les infarctus peuvent avoir un lien direct avec notre « esprit ».
Et ne l’oublions jamais au cours de cette lecture, l’inverse est également vrai. Des pensées positives améliorent la qualité de vie et peuvent même améliorer l’état de santé. D’ailleurs, illustrons cela tout de suite et parlons de l’effet placebo.
L’effet placebo : la preuve que l’esprit et le corps sont en lien direct
Pour ceux qui ne connaissent pas l’effet placebo, il s’agit d’obtenir un effet thérapeutique réel en faisant croire à un patient qu’il prend un médicament alors qu’il prend du sucre. Précisons que tout le monde n’est pas réceptif à ces expériences, mais bon nombre de personnes y sont sensibles.

Pour votre culture générale, on parle de l’effet placebo depuis des siècles. Mais c’est Henry Beecher qui était anesthésiste, pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a publié la première véritable étude sur ce sujet, suite à ce qu’il avait observé pendant la guerre. En effet, n’ayant plus de morphine pour soulager ses patients, il leur injectait, sans leur dire, des doses d’eau salée. Et pour 35 % d’entre eux, la douleur diminuait. Même si l’on dit qu’il avait surestimé ce chiffre, il n’en demeure pas moins que l’effet placebo est aujourd’hui incontesté et incontestable. Certaines personnes qui pensent recevoir un véritable traitement voient leurs maux diminuer, ce qui prouve par A + B que la pensée agit sur le corps et dans ce cas, dans le bon sens.
Mais à l’inverse, lorsque nos pensées ou émotions sont négatives, elles agissent dans le mauvais sens. Et l’on parle alors, le plus souvent de maladies psychosomatiques.
Qu’est-ce qu’une maladie psychosomatique
C’est la conséquence de ce que je viens d’évoquer. Par exemple, en cas de stress, d’angoisse, de mal-être induits par des pensées négatives, le corps réagit, et des maladies se déclarent. Contrairement à ce que certains pensent, les maladies psychosomatiques sont de véritables maladies.

Mais comment est-ce possible ?
En reprenant l’hypothèse que l’esprit siège dans le cerveau, cela s’explique facilement. Notre système nerveux est composé de dizaines de milliards de neurones. Et le système nerveux agit directement sur notre système endocrinien et notre système immunitaire.
Aussi, dès lors que nos émotions sont négatives, des phénomènes chimiques se déclenchent, ce qui crée un déséquilibre du système nerveux, ce qui entraîne un déséquilibre dans les autres systèmes qui sont censés nous protéger.
Si le système immunitaire ou le système endocrinien deviennent défaillants, eh bien on est malade, et pour de vrai !
Un exemple ?
Lorsque nous sommes stressés, des réactions en chaîne se déclenchent, et de véritables pathologies peuvent en découler :
- Troubles de la digestion : ballonnement, diarrhées, constipation, crampes abdominales
- Troubles de l’alimentation : anorexie-boulimie
- Hypertension et migraines
- Crises de panique
- Épuisement, neurasthénie, douleurs inexpliquées
De même, lorsque nous sommes de bonne humeur, les signaux sont inversés, et nous sommes moins sujets à tous ces maux, voire nous pouvons en guérir certains.
Certains vont même plus loin : chaque maladie a un sens
Dans le livre « Ton corps dit : Aime-toi ! » de Lise Bourbeau, une coach en développement personnel, une relation directe est établie entre nos émotions et vingt pathologies.
Que l’on y croie ou pas, Lise Bourbeau vous démontre que chaque maladie nous livre un message. Et pour elle, tout passe par un travail sur soi.
Un exemple, et en simplifiant énormément, pour l’auteur, le mal au dos peut traduire différentes choses :
- Lorsque l’on a mal dans le bas du dos, c’est que l’on se sent submergé par des contraintes et que l’on y répond par devoir, alors que l’on a plutôt envie de liberté.
- Lorsque l’on a mal au milieu du dos, c’est un signe d’insécurité matérielle.
- Et s’il s’agit du haut du dos, c’est une souffrance affective ou que l’on se sent surveillé.

D’ailleurs, on connaît toutes les expressions : en avoir plein le dos, avoir quelqu’un sur le dos
Bien sûr, ici je vous résume sa vision qui est largement argumentée dans son ouvrage.
Un petit résumé s’impose
De nos jours, la dualité entre le corps et l’esprit est révolue. Il est désormais reconnu que des interactions incessantes se produisent entre les deux, et dans les deux sens.
Notre esprit recueille nos émotions.
En fonction de ces émotions, notre cerveau déclenche des réactions en chaîne.
Selon notre « façon de faire face », notre fébrilité, notre état de fatigue, etc., notre corps réagit plus ou moins bien, souvent “moins” que “bien” d’ailleurs.

Les solutions
Si vous allez consulter un médecin, rares seront ceux qui vous diront de traiter la cause d’origine, et dans notre exemple précédent, de traiter la cause d’une difficulté à gérer le stress, par exemple. Si le stress engendre chez vous des maux d’estomac ou des ballonnements, le médecin vous enverra faire une fibroscopie, et vous prescrira trois ou quatre pilules différentes. Attention, je ne généralise pas, ni pour les médecins, ni pour les pathologies. Mais à titre personnel, j’ai plutôt rencontré des médecins qui se préoccupent plus des conséquences que de la cause. Sachant aussi que certaines maladies ne sont pas liées à notre état mental.
Cependant, dans de nombreux cas, des alternatives existent, alternatives qui tenteront de s’attaquer au problème de fond. Citons par exemple, l’hypnose, l’acupuncture, la méditation, la sophrologie dont j’ai fait mon métier.
Ainsi pour finir cet article, je vous parlerai de deux techniques, l’une que l’on peut pratiquer seule : la méditation, et l’autre pour laquelle vous êtes accompagné(e) : la sophrologie.
La méditation
Pour certains, le mot méditation fait sourire, et pourtant cette pratique millénaire fait désormais l’objet d’un consensus dans le corps médical. Lors d’un congrès, en avril 2012, réunissant 700 médecins, psychologies, neurologues, les effets positifs de la méditation ont été observés par IRM et par Scanner.
La méditation consiste à apprendre à vous détacher de vos préoccupations et à ne vous concentrer que sur le moment présent.
L’avantage, c’est que vous pouvez pratiquer la méditation seule, mais c’est aussi un inconvénient, car certains éprouvent le besoin d’échanger.
La sophrologie
Sophrologue de métier, je vous livre ici en quoi la sophrologie peut vous aider dans la gestion de vos émotions.
La sophrologie a pour but d’apprendre à gérer les tensions, le stress, les peurs afin d’harmoniser le corps et l’esprit.
C’est d’ailleurs la raison d’être de ce blog !
Avec la sophrologie, vous êtes guidé(e) par un professionnel qui sait adapter son travail à votre état. Si vous êtes intéressé(e), je vous invite à me contacter et à prendre un rendez-vous, ou à participer aux ateliers que j’organise.

Conclusion
Si toutes les pathologies ne sont pas en lien direct avec nos pensées et nos émotions, une partie d’entre elles le sont, et c’est désormais admis et reconnu par le corps médical. Pour autant, les patients ne sont pas toujours orientés vers les « bons » traitements ou les « bons » praticiens. Ils sont soulagés de leur douleur « physique », mais ne le sont pas de leur douleur « mentale ». Les médecine douces peuvent donc être LA solution.
A Bientôt,
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute sur Paris et proche banlieue

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Et si l’on parlait ego ?
Déjà sachez que le mot « ego » ne prend pas d’accent. Car comme l’a twitté Bernard Pivot, en 2018, « jamais d’accent sur le e de ego ! Ce serait un pléonasme puisqu’un ego ne cesse de mettre l’accent sur lui ».
Eh oui, nous associons tous le mot « ego » à égoïste ou égocentrique, en tout cas à quelque chose de péjoratif, surtout quand il s’agit des autres. Mais nous avons tous notre part d’ego…
C’est pourquoi j’ai souhaité faire un petit tour sur le sujet, et voir dans quelles mesures trop d’ego peut nuire non seulement à sa vie personnelle, professionnelle, sociale, mais aussi à celle des autres.
C’est parti…
Mais tout d’abord qu’est-ce que l’ego ?
Il existe plusieurs définitions selon que l’on se place d’un point de vue philosophique ou psychologique. Mais nous n’allons pas dans cet article, entrer dans des définitions complexes. Soyons concret.
Pour faire simple, on peut définir l’ego comme la représentation que l’on se fait de soi-même. L’image que l’on se renvoie. Le moi, plutôt le « moi je ».
Selon les individus, on pourrait dire qu’il y a 3 types de manifestation de l’ego :
- Ceux qui ont un ego « normal ». Ce qu’ils pensent d’eux-mêmes est en adéquation avec ce qu’ils sont.
- Ceux qui ont un ego « sous-dimensionné ». Ce sont des gens qui ont toujours tendance à se sous-estimer.
- Ceux qui ont un ego « surdimensionné ». À l’opposé des précédents, ils se surestiment.
Tout est donc une question de dosage. Et sur ce plan, nous sommes tous très différents, et c’est très souvent lié à notre histoire.
Si ceux qui ont un ego sous-dimensionné peuvent développer certains troubles dont je parlerai sûrement dans un prochain article, ceux qui ont un ego surdimensionné sont aussi à l’origine de troubles graves, qui ont parfois des conséquences graves, et pour eux et pour leur entourage.
Ego, égoïste, égocentrique, narcissique : De quoi parle-t-on ?

Bien sûr, il y a un lien entre ego, égoïste, égocentrique, puisqu’ils ont tous la même racine « ego » qui signifie « moi ».
On pourrait dire :
- Qu’un égoïste manipule les autres pour servir ses propres intérêts, sans pour autant se soucier de l’image qu’il renvoie aux autres.
- Qu’un égocentrique est égoïste qui est en plus centré sur lui-même et sur l’image qu’il renvoie aux autres.
- Qu’un narcissique relève de la pathologie. Il est à la fois égoïste et égocentrique avec, en plus, l’intention de nuire.
Nous sommes tous un peu égoïstes et égocentriques. Nous pourrions également débattre de l’individualisme qui est encore une notion qui s’en rapproche. Mais ce n’est pas le sujet.
Comment reconnaître un ego surdimensionné ?
On parle d’ego surdimensionné lorsqu’un individu a une haute image de lui-même. Mais attention, il peut s’agir aussi d’un jugement porté par quelqu’un sur quelqu’un. En effet, la personne concernée n’en a pas forcément conscience.
Mais quand elle en a conscience, elle se croit unique, indispensable.
Voici quelques signes pour les reconnaître. Ces personnes :
- Détestent avoir tort
- Cherchent sans cesse de la reconnaissance
- N’aiment pas l’imprévu
- Ont une vision limitée des choses
- Ne sont jamais responsables de rien
- Se trouvent toujours des excuses

Les psychologues attribuent souvent ces comportements à des blessures, à un manque de reconnaissance dans l’enfance. Ce qui fait, qu’arrivés à l’âge adulte, elles ont une soif d’exister à tout prix.
On cite souvent comme exemples, les chefs d’entreprise qui ont une soif de tout contrôler et de vouloir plus et toujours plus, ou les hommes politiques qui ont une ambition démesurée.
Mais si on critique souvent les personnes à l’ego développé, ce « défaut » est pour elles, porteur. Mais, encore une fois, tout est une question de mesure.
Car si l’ego peut être un ami, il peut aussi être un véritable ennemi.
Ego quand tu nous nuis…
Trop d’ego dans la vie professionnelle
Qui n’a pas rencontré Superman (ou Superwoman) dans sa vie professionnelle ? Il sait tout, il a tout fait, il ne parle que de lui, et en plus, c’est à lui que l’on doit tout.
Quoi de plus insupportable que de côtoyer au quotidien ce genre d’individus. En tout cas, le sort qu’il leur est réservé n’est pas des plus enviables. S’ils peuvent briller un temps, ils se retrouvent souvent isolés, et ils finissent souvent par être confrontés à plus forts qu’eux. Et la chute peut être terrible.
Au travail, mettre son ego de côté est fondamental lorsque l’on travaille en équipe. L’humilité paye souvent beaucoup plus.

Trop d’ego dans la vie personnelle
Comme au travail, vivre avec quelqu’un qui manifeste des signes d’égoïsme ou d’égocentrisme peut virer au calvaire surtout lorsque cela atteint le narcissisme. Et depuis quelques années, les articles sur les pervers narcissiques ne cessent de nous alerter sur les dangers de ce type de relations toxiques.
L’ayant moi-même vécu, je suis bien placée pour en parler. D’ailleurs, je vous invite à lire mes deux articles sur ce thème, Ici, le premier, là, le second. On dit souvent que l’amour est un don de soi… Ego et amour sont donc deux mots complètement antinomiques.
Si vous avez la malchance de rencontrer ou de vivre avec quelqu’un qui présente des signes d’égocentrisme… n’hésitez pas un seul instant. Prenez vos jambes à votre cou.
Trop d’ego dans la vie sociale
Dans la vie sociale, les réseaux sociaux n’ont pas arrangé les choses. Ils ont permis aux égocentriques non seulement de se dévoiler, mais de s’exprimer ouvertement. Qui n’a pas dans ses amis, celui ou celle qui publie (ce qu’il veut laisser paraître) pour chercher à se valoriser ou à chercher de l’admiration ?
Je suis là (sous un parasol alors que vous bossez), j’ai fait ça (un super exploit), je pense ça (quel con celui qui ne pense pas comme moi), je suis belle (regardez comme je suis mince), voici ma nouvelle moto (bien posée devant l’Audi)… Les exemples ne manquent pas.
je, je, je, ma, mon, moi…
L’objectif étant double : se prouver et prouver aux autres que « j’existe » et obtenir le plus de « j’aime » possible pour en mettre plein la vue aux copains.
Si, au début, on peut parfois porter un regard indifférent, à force, ça agace… et le mot est faible.
Mais, il n’y a pas que sur les réseaux sociaux. On a tous en tête ce pote, en soirée, qui sait tout, qui a tout fait, et qui rentre dans une colère monstre quand on le contredit.
Le résultat final est le même, à force, ces individus finissent par s’isoler socialement tant ils sont insupportables.
L’avantage de « soigner » son ego
Ce n’est pas si évident. Car comme dit plus haut, les individus ayant un ego surdimensionné n’en sont pas forcément conscients. Ce sont les autres qui le voient. Et lorsqu’ils en sont conscients, et compte tenu de leur personnalité, ils n’en voient pas les inconvénients.
C’est pourquoi dans cet article, je m’adresse plutôt aux personnes qui sont plus ou moins conscientes que leur ego leur nuit. En général, cela se traduit souvent par de l’orgueil. Bien sûr, ce n’est pas si simple, mais sachez que plus vous vous vexez facilement, plus votre ego vous domine.
Et je fais partie de ces personnes qui se vexent facilement. Et c’est un point que j’ai travaillé en Sophrologie, comme je vais vous l’expliquer dans le paragraphe suivant. Et depuis, je me sens mieux !

On retrouve son libre arbitre
Travailler sur son ego permet de se débarrasser des émotions négatives. On n’a pas sans cesse ce besoin de posséder, d’être reconnu… Car ses émotions créent beaucoup de frustrations quand les besoins ne sont pas assouvis. Moins on veut, moins on est déçu.
On s’apaise
Lorsque notre ego prend le dessus, on vit dans une pression permanente. On vit dans la compétition. Tout le monde est un rival. Un égocentrique n’est jamais satisfait, il lui faut toujours plus, toujours mieux, et on mène une véritable compétition avec soi-même et avec les autres.
La vie n’est pas un ring de boxe. En tout cas, pas toujours ! Et la considérer comme tel engendre un stress permanent et bon nombre d’angoisses.
On gagne en bienveillance, donc en respect des autres
Ce n’est pas en essayant de montrer aux autres que l’on est le plus fort que l’on gagne leur respect, bien au contraire. On attise surtout la jalousie. En diminuant son ego, en étant plus tourné vers les autres, on a des retours beaucoup plus sincères.
En quoi la sophrologie peut nous aider à mieux gérer notre ego ?
Si vous ne connaissez pas la sophrologie, je vous invite à vous renseigner et surtout à lire mon prochain article sur ce sujet. Pour ce qui concerne le sujet traité aujourd’hui, la sophrologie peut aider à :
- À regarder les autres de façon différente
- À enclencher un processus inverse
- À apprécier le quotidien, la vie
- À voir le bien plutôt que le mal
- Bref, à lâcher prise et à retrouver une véritable estime de soi.
Si vous me suivez, vous savez que je suis sophrologue et que je peux soit vous aider, soit aider quelqu’un de votre entourage qui est concerné. N’hésitez pas à me contacter en MP.
Conclusion
L’ego peut donc se résumer à l’amour que nous nous portons et qui, quelque part, nous rassure. S’il est fondamental de se porter de l’amour et de se regarder avec bienveillance, il est également fondamental de ne pas se surestimer, ni se sous-estimer.
L’ego peut être porteur mais trop d’ego peut être destructeur. C’est souvent la conséquence d’un mal-être très profond qui nécessite d’être pris en considération.
N’hésitez pas à en parler pour vous libérer !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
