Étiquette : bien-être

  • Mon expérience du traitement des cicatrices d’acné par laser CO2

    Mon expérience du traitement des cicatrices d’acné par laser CO2

    Avant de lire cet article, je souhaitais vous informer que je propose (en 2024) des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Paris 19.

    Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Je propose les deux.

    2018 : Cela fait quelques années que je souffre de vilaines cicatrices d’acné au niveau du visage.

    Et même si mon entourage ne m’a jamais fait de remarques, et qu’apparemment j’étais la seule à les voir, je le vivais mal. Comme quoi, quand vous avez un complexe, vous ne voyez plus que cela.

    Ce blog étant consacré au bien-être corps et esprit, il m’est apparu important de partager avec vous mon expérience, car pour se sentir bien dans sa peau, il est tout de même plus agréable d’avoir une peau saine.

    Alors, si tout comme moi, vous souffrez de problèmes de peau, cet article est fait pour vous.

    PS : cet article date de 2018, je souffre considérablement moins de problèmes de peau en 2024... 

    On trouve toujours des subterfuges, mais ce n’est pas évident pour tout le monde. Pour ma part, je suis une fan inconditionnelle des soins pour la peau et du maquillage, et j’ai la chance de m’y connaître assez bien. Assez naturelle mais glamour de nature, j’arrivais probablement à les cacher avec mon sourire et mon rire constant (rires).

    Ci-dessous, vous verrez la photo de ma peau avant le traitement. Alors, soit mes amis sont des petits coquins qui ne me disaient pas la vérité, soit je mettais ma peau très en valeur. Quoi qu’il en soit, pour moi, je le vivais assez mal.

    C’est pourquoi, j’ai décidé de m’en débarrasser et de pratiquer une intervention au laser CO2. Et bien sûr, de partager avec vous mon expérience, qui je l’espère vous aidera.

    QUELLES SONT LES DIFFERENTS TYPES DE CICATRICES D’ACNÉ

    Quand on pense ” cicatrices d’acné “, on imagine tout de suite des grosses cicatrices en creux (aussi appelées cicatrices en pic à glaces), ce qui n’est pas mon cas. Quelques petites cicatrices font partie de cette catégorie, mais elles ne sont pas majoritaires. Cela dit, j’en ai quelques-unes de cette catégorie au niveau des pommettes.

    Il existe, en effet, différentes sortes de cicatrices, et pour ma part, j’ai surtout des cicatrices déprimées à bords prononcés (cicatrices larges, rondes ou ovales, donnant l’impression de trous poinçonnés dans la peau. Elles peuvent être profondes ou superficielles) et des cicatrices hypertrophiques (ces cicatrices, qui sont moins courantes, sont le résultat d’une cicatrisation excessive, c’est-à-dire que trop de collagène s’accumule durant le processus de cicatrisation).

    À l’origine, cette satanée acné, qui a duré assez tardivement dans mon cas ! J’ai subi 3 vilaines crises hormonales suite à des arrêts de ma pilule et de la reprise d’une nouvelle pilule qui ne me convenait pas.

    J’ai aujourd’hui 28 ans, et ma dernière crise (la plus dévastatrice) s’est déroulée lorsque j’avais 24 ans.

    Cette année là, je travaillais au journal Le Monde entourée de beaucoup de personnes sérieuses … et moi, j’avais des boutons (rires). Je n’ai aucune photo de cette période… car vous comprendrez que ce n’était pas ma période la plus glorieuse (selon moi). Mais croyez-moi… je m’en souviens très bien et ma peau aussi.

    En résumé, voici ma peau avant l’intervention laser (ce ne sont pas les photos les plus objectives, je les ai prises dans la rue en marchant, oui… j’aurais pu faire mieux, je l’avoue. Mais, je vous ai fait un vrai zoom donc il n’y a pas plus représentatives comme photos). Vous pouvez constater le type de cicatrices que j’avais sur la peau.

    Cela dit, et sans aucun chichi, mes cicatrices se voyaient suffisamment pour avoir recours au laser CO2.

    Cicatrices acné, laser

    APARTÉ

    Petit aparté des plus importants. Comme j’ai fait ma séance de laser hier, je suis en semaine de cicatrisation, et je ne sais pas si je dois parler au présent ou au passé.

    Étant très marquée et rouge par la puissance du laser, je n’ai aucune idée de ce qui m’attend en dessous des rougeurs.

    Patience, j’en ai apparemment pour une dizaine de jours, je le saurai donc d’ici peu. Du moins à la fin de cet article, vous aurez quant à vous le résultat, puisque j’écris cet article jour après jour.

    À savoir aussi : je vous conseille de débuter ce type de traitement en hiver. C’est l’idéal, car suite à l’intervention, vous ne devez pas exposer votre visage au soleil pendant au moins 4 mois.

    Me suivre sur instagram.

    RENSEIGNEZ-VOUS LE PLUS POSSIBLE

    Cette intervention n’est pas anodine. Et il est impératif de bien se renseigner avant de se lancer dans cette aventure…

    La solution la plus simple est de faire appel à ses connaissances. Y a-t-il quelqu’un qui connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un…

    Pour ma part, personne ne pouvait me conseiller. La seule solution que j’ai trouvée, c’est de me renseigner via le Net. Et après quelques heures de navigation et de lecture, j’ai pris rendez-vous dans plusieurs cliniques.

    J’ai entendu différents discours, et le choix n’était pas simple. Mais que faire sinon que de se laisser guider par son intuition. C’est donc ce que j’ai fait.

    Croyant beaucoup à la bienveillance des médecins et des gens qui m’entourent, j’ai craqué sur la sympathie et la patience d’un des médecins de la clinique FOCH dans le 16e arrondissement de Paris.

    Et si pour nous, c’est angoissant, là-bas, c’est leur routine… et vous avez l’impression d’être dans une usine. Mais le médecin que j’ai rencontré, était vraiment professionnel. Il n’a fait aucun forcing et m’a particulièrement bien expliqué la démarche. Il a pris son temps pour répondre à la multitude de questions que je me posais.

    En résumé, il m’a proposé de traiter mes cicatrices à raison de 2 séances espacées d’un mois. Et il m’a suggéré, à suivre, un traitement à l’acide hyaluronique pour un rendu encore plus parfait.

    Bon… je n’en suis pas encore là… J’avoue qu’à cet instant, j’étais plus préoccupée par la réussite de cette intervention. À mon âge, comme à tout âge d’ailleurs, une intervention sur le visage est toujours un peu préoccupante. J’étais donc plus guidée par la peur que par l’acide hyaluronique !

    Mais, il a réussi à me convaincre. Le rendez-vous fut fixé au 15 novembre.

    LE PRIX

    Bien évidemment, c’est un élément important. Selon les centres ou les cliniques, les prix varient considérablement et peuvent attendre des montants aux alentours de 700 €.

    Pour ma part, le prix de la séance est de 285 €, un tarif tout de même plus raisonnable que certains qui sont complètement abusifs.

    LE TRAITEMENT LE JOUR J

    Le rendez-vous était fixé à 16 heures, et je ne vous cache pas que même si vous avez tout de même beaucoup de choses à faire dans la journée, votre esprit est focalisé sur le rendez-vous.

    Le stress est monté progressivement. Et à juste avant de partir, ce n’est plus ma tête qui me guidait, mais mes jambes… qui disons-le étaient quelque peu vacillantes.

    Heureusement, le médecin ne m’a pas fait trop attendre dans la salle d’attente.

    Et voilà, c’est parti… !

    Une fois installée dans la salle de soins, je lui ai demandé s’il pouvait tester le laser sur ma main pour que je puisse évaluer la douleur. Sa réponse fut sans appel : non… sinon je risquais d’être marquée. Pas très rassurant…

    Voici à quoi ressemble l’appareil :

    CO2 Fractional Laser

     

    Petite précision dont je ne vous ai pas parlé mais qui a tout de même son importance… Il est possible d’appliquer une crème anesthésiante (EMLA). Mais les écoles, à ce sujet, divergent. Certains médecins pensent qu’elle atténue les effets du laser. Mon médecin en faisant partie…, j’ai donc opté pour une intervention sans anesthésie.

    Puis, le médecin m’a demandé d’entourer, avec un crayon blanc de maquillage, les zones de mon visage qui me dérangeaient le plus. Son objectif est d’appliquer le laser à l’ensemble des zones que je définissais.

    J’ai alors dessiné des cercles sur le visage (je ressemblais à une sorte d’animal un peu fantastique).

    Une fois, ces zones délimitées, et il m’a dit : « nous sommes partis pour le laser ».

    J’appréhendais beaucoup la douleur. En effet, j’avais lu de multiples avis inquiétants sur des forums…

    Alors soyons clair… Sur une échelle de 1 à 10, je mets tout de même un bon 7 pour la douleur ressentie. À tel point que j’avais des petites larmes qui coulaient.

    Sachez que l’intervention ne dure que 7 minutes par joue. 7 longues minutes… sans crème anesthésiante !

    Mais le pire finalement, ce n’est pas la douleur… c’est l’odeur de cochon grillé qui émane assez rapidement de votre visage et qui se répand dans la salle.

    14 minutes se sont ainsi écoulées ! Et je suis repartie avec de belles compresses sur les joues sur lesquelles j’ai appliqué une crème apaisante.

    Heureusement que je n’habite pas loin… Car j’étais tout de même très ” repérable “.

    C’est pourquoi… avant le traitement…

    Vous devez penser à tout ce dont vous avez besoin. Car inutile de vous préciser qu’une fois la séance passée, vous ne pouvez plus vraiment vous déplacer.

    En effet, compte tenu de l’agressivité du traitement, la peau est ” brûlée ” une bonne dizaine de jours. Il est d’ailleurs conseillé d’attendre que les croutes tombent pour remettre un pied dehors.

    Bon, on ne va pas se mentir ce traitement vous demande d’avoir quelques jours devant vous.

    Donc, il faut anticiper cette période. Pour ma part, j’ai prévu la rédaction de quelques articles, de lire et de regarder des films. Je vais également essayer de travailler à distance avec mes patients, et commencer à préparer mes nouveaux ateliers bien-être. Mais pour une hyper active comme moi, ça va être très long ! Ce qu’il me manquera le plus, c’est évidemment le sport, même si je pense bien en faire à la maison.

    Mais surtout, avant le traitement, il est indispensable de se procurer l’intégralité des crèmes dont vous aurez besoin après l’intervention. Voici celles que j’ai achetées.

    Cicatrices acné, laser

    LES SUITES DU TRAITEMENT

    Jour 1 

    Le pire. J’ai vraiment mal dormi, car la peau me brûlait et je sentais les sensations de picotements et de chaleur jusque dans mon sommeil. En termes de résultats, ce n’est pas vraiment très glamour, je vous laisse apprécier l’état de ma joue sur la photo ci-dessous.

    C’est très rouge et ça peut saigner par moment, et surtout c’est sur une surface beaucoup grande que celle que j’avais dessinée sur mes joues.

    Lors des premières 24 heures, j’ai mis de la crème CICABIO de Bioderma tout au long de la journée. Il fallait impérativement que la sensation de grosses brûlures s’estompe. Car croyez-moi, c’était plutôt très désagréable.

    Cicatrices acné, laser

    Jour 2 

    C’est un peu mieux. Je ne ressens plus la sensation de brûlures, mais cette fois, je ressens des tiraillements. Je sens que ma peau est très sèche. D’ailleurs elle craquelle légèrement. Les rougeurs se transforment en croûtes.

    Mon médecin m’a préconisé de ne pas mettre de crèmes en tous genres les 3 premiers jours (après la phase des premières 24 h où j’avais le droit de mettre une crème apaisante). En effet, il m’a expliqué qu’il valait mieux laisser la peau faire son travail naturel : la création de croûtes.

    Une fois que celles-ci seront tombées, je pourrai alors utiliser de la Cicalfate d’Avène ou du Cicaplast de la Roche Posay.

    Sur certains autres blogs, je vois que des jeunes femmes, qui ont eu recours à la même intervention que moi, ont quant à elles mis de la crème grasse dès les premiers jours… En fait, je ne sais pas trop quoi faire. J’ai décidé d’écouter mon médecin, en tout cas pour cette première séance. J’aviserai lors de ma deuxième séance, si nécessaire.

    Jour 3 

    Je décide de ne pas toucher à ma peau encore pour cette journée. Elle tiraille un peu et me joue des tours, mais je sens que les croûtes se forment naturellement. La peau est magique, elle peut réussir à se reconstituer seule.

    Je vais donc attendre que les croûtes tombent d’elles-mêmes avant de me badigeonner de Cicalfate. Et à ce moment-là, ce sera des couches épaisses durant toute la journée et toute la nuit.

    Je compte alterner de la Vaseline en couche pour éviter que des marques restent, par la suite, sur le visage et de la crème Cicalfate d’Avène pour que ma peau cicatrise plus vite.

    Une fois que mon tube de Cicalfate sera fini (c’est un vieux tube), je passerai à la crème Cicaplast toujours en couche.

    Je tiens également à préciser qu’une autre crème assez fantastique existe. Mon médecin ne l’a pas évoquée, c’est FLAMIGEL. Elle semble géniale pour cicatriser dans les débuts, avant même que les croûtes ne se forment.

    Pour ma part, je l’ai mise une fois les croûtes tombées, mais lors de la 2eme séance, je la mettrai avant.

    Jour 4

    Peu de différence avec hier. Il me reste encore de nombreuses croûtes, mais j’arrive à percevoir ma peau qui a la couleur d’une fraise TAGADA, photo à l’appui…

    Je commence à devenir très impatiente !!! J’aimerais sortir de chez moi.

    Cicatrices acné, laser

    Me voici au 7e jour…

    Voici à quoi ressemble ma peau, aujourd’hui. C’est certes encore très rouge, mais nettement mieux. Je peux même me maquiller, et c’est particulièrement appréciable, car ça y est, je sors !!!

    Cicatrices acné, laser

    Heureusement que je ne dois pas attendre la fin des rougeurs, car apparemment ma peau restera rouge et dans cet état durant encore 10 jours.

    Je vous mets ici ma peau maquillée, vous pouvez constater tout de même que de nombreuses cicatrices ont disparu (à savoir qu’avant mes cicatrices se voyaient même lorsque j’étais maquillée). J’étais d’ailleurs maquillée sur la première photo.

    Cicatrices acné, laser

    Cicatrices acné, laser

    Mais selon la luminosité, je perçois tout de même que toutes les cicatrices n’ont pas disparu, raison pour laquelle la 2ème séance sera très utile…

    CONCLUSION

    Traiter des cicatrices liées à l’acné par un laser CO2, est un ” soin ” agressif qu’il ne faut pas prendre à la légère. Ce n’est pas un soin de confort que l’on décide de faire pour resserrer les pores, par exemple. D’autant qu’ils finiront par se dilater à nouveau… Vous risquez par ailleurs, d’abimer prématurément votre peau, et de constater l’apparition de taches.

    Il ne faut envisager ce traitement que si vous souffrez à la fois physiquement et psychologiquement de cicatrices en tout genre, voire de marques prononcées.

    Au moment où je vous écris, je suis à mon onzième jour, et les rougeurs s’estompent petit à petit, mais sont encore bien présentes sans maquillage. J’ai pris mon rendez-vous pour la seconde séance, et la jeune femme de l’accueil m’a dit ” j’espère que l’intégralité des rougeurs seront parties d’ici là “. Ce qui prouve que pour certaines personnes, les rougeurs mettent un peu plus de temps à disparaître que d’autres personnes.

    En tout cas, les résultats sont là ! Désormais, il n’y a plus qu’à croiser les doigts !!! 

    Résultats en 2024…

    Ma peau va beaucoup mieux, et cela n’est pas uniquement dû au laser, que j’ai d’ailleurs abandonné après une première séance médiocre. En réalité, c’est grâce à une combinaison de techniques efficaces et naturelles comme le micro-needling, les skin boosters, les peelings, et les massages du visage que j’ai réussi à retrouver une peau éclatante et en meilleure santé. Ces méthodes nécessitent du temps, de la patience et, surtout, de l’amour de soi.

    Je vous informe que je propose des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Paris 19.

    Tu peux me suivre sur Instagram

    reseaux sociaux charlotte

     

     

     

     

  • Choisis ton verbe et non pas ton métier !

    Choisis ton verbe et non pas ton métier !

    Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, on me pose souvent la question « que fais-tu comme métier ? » ou« que fais-tu dans la vie ? ». Déjà lorsque nous sommes enfants, combien de fois avons-nous entendu : « que veux-tu faire EXACTEMENT comme métier plus tard ? »

    Et lors de ces moments-là, on attend de nous une réponse qui correspond à un métier précis, de façon à rentrer dans une case à tout prix, du genre : avocat – vendeur – dentiste – commercial – organisateur de mariages …

    Mais finalement, lorsque l’on y réfléchit, est-ce que cela correspond vraiment à ce que nous faisons ?  Et si, pour être plus en accord avec nous-même, nous choisissions un verbe plutôt qu’un métier ?

    Choisir un verbe pourrait alors englober plusieurs métiers : par exemple « aider » « convaincre » « défendre » « écrire » … « créer », « générer de la joie » …

    Cela permettrait à tout un chacun d’être heureux, en faisant différentes activités tout au long de sa vie.  Surtout qu’une vie de travail, c’est aussi très très longgggg (et cela risque de l’être encore plus)… et c’est très très long aussi, lorsque l’on doit se contenter de reproduire chaque jour les mêmes actions.

    Choisis ton verbe

    Attribuez-moi un verbe, s’il vous plaît !

    S’attribuer un verbe permettrait, en tout cas, d’être plus en phase avec sa génération.  Car, pour ce qui concerne ma génération, c’est à dire la génération Y, mais aussi la génération Z, nous serons amenés à changer de métier ou d’univers de travail au moins 5 fois au cours de notre vie. Du moins, c’est ce que prédisent les études sociologiques publiées sur ce sujet.

    Cela ne signifierait-il pas que la nouvelle génération est plus en adéquation avec elle-même, et avec plus d’assouvissement de ses envies parfois impulsives à un instant T ?

    Pour me situer, j’ai 28 ans, aujourd’hui, et je fais donc partie de la génération Y. Cette ” nouvelle ” génération est souvent montrée du doigt par les anciens. Et pourtant, elle a quelques qualités :  un goût du risque accentué et une grande capacité à entreprendre, car elle s’écoute pleinement.

     

    Y et Z, qui sont-ils ?

    La génération Y représente les personnes nées entre 1980 et 1995, années de l’émergence d’internet. Dans certains articles, elle est dénommée « la génération sacrifiée » car de nombreux individus de cette génération sont arrivés sur le marché du travail en pleine crise… avec donc beaucoup de difficultés à trouver un travail et à fonder une famille.

    C’est l’une des raisons qui explique que cette génération est dotée de grandes qualités comme la capacité de s’adapter très facilement au changement, d’être souvent très autonome et indépendante, et d’avoir une grande ouverture d’esprit.

    Mais pour en revenir au sujet de cet article, il est vrai que le faible engagement collectif de cette génération, ainsi que le sens minime de la hiérarchie et l’instabilité qui règne, engendrent souvent des problèmes au travail.

    Il faut aussi évoquer la génération Z, car c’est LA nouvelle génération qui déboule à toute vitesse sur le marché du travail. Ce sont les personnes qui sont nées après 1995, et qui sont encore plus ouvertes sur le monde que celles de la génération précédente.

    Souvent, les jeunes d’aujourd’hui souhaitent partir vivre et travailler à l’étranger  alors que la génération X (celle de nos parents) rêvait l’inverse : Évoluer dans une entreprise et une seule, et dans leur pays d’origine.

    Vous entendrez parler de la génération Y très souvent dans les années à venir. Ce sont eux qui ont cassé les codes et le conformisme, notamment au sujet du travail. Et avec eux, le monde du travail et la notion de travail ne feront qu’évoluer dans le futur. Ils sont multi-identitaires (d’où l’importance de cet article), débrouillards, et pour eux les études ne sont plus aussi importantes par rapport aux expériences de vie ou à la personnalité.

    En l’occurrence, ils sont aussi très impatients, exigeants, dispersés et défient souvent l’autorité actuelle.

    Les individus de ces générations (près de 50 %) revendiquent le fait de pouvoir et de vouloir travailler pour eux.

    Pour toutes ces raisons et compte tenu des caractéristiques bien particulières de ces deux nouvelles générations, il deviendra essentiel de percevoir différemment le monde du travail. Car ces nouvelles générations souhaitent que le travail soit un PLAISIR et non plus UNE CONTRAINTE ALIMENTAIRE.

    Voici quelques exemples de verbes qui peuvent correspondre à certains et qui rentrent dans des catégories de métiers.

    Choisis ton verbe

    AIDER

    « AIDER »,  c’est le nouveau mot à la mode, certes, mais il correspond à beaucoup d’entre nous. Ce qui prouve que cette nouvelle génération n’est pas si individualiste que l’on veut nous le faire croire. Elle est également tournée vers autrui.

    Vouloir aider, c’est vaste, je vous l’accorde. Et, à la fois si cela fait partie de votre inspiration première, vous pouvez très bien être :

    • Moniteur / éducateur
    • Chirurgien
    • Maitre-nageur
    • Ophtalmologue
    • Sage-Femme
    • Dermatologue
    • Coach de vie

    CONVAINCRE

    • Attaché de presse
    • Avocat
    • Chargé d’études
    • Chargé de mission patrimonial
    • Consultant CEO
    • Courtier en assurances
    • Écrivain
    • Hôtesse d’accueil

    CONSEILLER

    • Agent des gares
    • Coach professionnel
    • Développeur humanitaire urbain
    • Écrivain public
    • Média-planneur
    • Éducateur canine
    • Vendeur

    CRÉER

    • Architecte intérieur
    • Créateur ou designer textile
    • Dessinateur
    • Peintre
    • Photographe
    • Décorateur
    • Désigner industriel

    INSTRUIRE

    • Professeur des écoles
    • Coach sportif
    • Professeur de langues
    • Chef d’équipe /finances, marketing …

    ORGANISER

    • Animateur club de vacances
    • Bagagiste tractoriste
    • Chef de rayon
    • Directeur d’hôtel
    • Rédacteur en chef
    • Directeur de magasin
    • Wedding planner
    • Chef de projet web

    Pour trouver son verbe, ce qui est important, c’est d’être en mesure de répondre à ces deux questions :  « pourquoi ? » je fais tel ou tel métier, et « qu’est ce qui me motive ? »

    Ainsi, et tout en respectant votre verbe et celui qui vous anime le plus (vous pouvez en avoir deux, nous sommes bien d’accord), vous pouvez, dans une même vie, être à la fois agent des gares et éducateur canin, ou encore peintre et photographe, ou encore avocat et attaché de presse à la fois.

    Mettre du sens à sa vie… mais pourquoi ?

    Il est compliqué d’avancer dans sa vie professionnelle comme personnelle sans but précis et sans trouver un sens à ses journées. Tout simplement parce que si l’on n’a pas de but, le réveil se montrera d’autant plus rude, et qu’il y aura forcément des répercussions sur votre état mental/physique et votre lien avec autrui.

    C’est la raison pour laquelle il faut toujours faire quelque chose qui nous anime et qui nous transcende. C’est aussi une façon de trouver le sommeil avec plus d’apaisement le soir en rentrant du “travail”.

    C’est d’ailleurs souvent lors d’une circonstance grave (un décès, une maladie, une rupture) que l’on prend conscience de l’essentiel de notre quotidien, et que notre travail ne répond aucunement à cet essentiel.

    Pour trouver votre essentiel, ou plus communément appelé votre ” passion “, il faut vous demander quel est le verbe qui vous anime le plus, et cela vous aidera à trouver votre métier.

    TROUVEZ VOS MISSIONS DE VIE ET VOTRE UTILITÉ SUR TERRE. DÉTACHEZ-VOUS DE L’ASPECT MATERIEL ET DEVELOPPEZ SANS CESSE VOS QUALITÉS DE COEUR. 

    Laissez entrer dans votre vie la générosité, l’amour, la compassion ou encore la gratitude. Cela vous aidera à vous trouver, et entrer en parfaite adéquation avec ce que vous voulez vraiment dans la vie.

    Il ne faut jamais que la motivation de votre métier soit matérielle car vous deviendrez esclave de ce matériel et passerez à côté de nombreuses opportunités de vie.

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

    Choisis ton verbe

  • DEVENIR AUTO-ENTREPRENEUR : LA CLÉ DE LA LIBERTÉ

    DEVENIR AUTO-ENTREPRENEUR : LA CLÉ DE LA LIBERTÉ

    Voici un article qu’il me tardait d’écrire, car je vis depuis plus d’un an maintenant un réel tournant dans ma vie professionnelle. Je suis passée d’une vie de salarié « classique » avec des horaires, un cadre, une hiérarchie, des règles, un salaire … à une vie de FREELANCE avec un statut d’auto-entrepreneur.

    Et, croyez-moi, même si j’ai mis du temps et si j’ai consacré de l’énergie pour m’habituer à cette nouvelle vie, c’est l’une des meilleures décisions que j’ai prise dans ma vie.

    Pour résumer, je me suis reconvertie, après sept années passées, dans le marketing.

    Pourquoi ? Pour répondre à un besoin existentiel d’inclure un « sens à mes journées ». Et surtout pour me tourner vers un domaine qui m’est cher depuis belle lurette : le bien-être et le conseil pour aider autrui à évoluer.

    Après avoir suivi une formation à distance, en plus de mes différents contrats précédents dans le marketing, j’ai tout quitté pour enfin mettre en place cette nouvelle activité.

    Mais, quand tu sors de sept ans dans des grands groupes, des grosses usines dans lesquelles l’organisation règne, comment s’y prendre ?

    Justement, je vous explique tout.

    Résultat de recherche d'images pour "le guide de l'auto entrepreneur"

    LE STATUT : Comment devient-on auto-entrepreneur ?

    Rien de plus simple, on s’inscrit, en quelques clics, sur les sites suivants :

    www.lautoentrepreneur.fr
    www.guichet-entreprises.fr

    MAIS, faites attention car certains sites internet facturent la création de votre micro-entreprise. Soyez vigilant au moment où vous créez votre statut. Il est abusif de payer des charges supplémentaires pour créer un statut : c’est GRATUIT. 

    TOUTE PERSONNE peut devenir auto-entrepreneur. Il suffit d’être majeur, et ce peu importe le domaine professionnel. C’est MAGIQUE et proposé à tous.

    La création du statut se fait en remplissant un formulaire purement administratif avec vos informations principales (coordonnées classiques). Et ceci s’effectue, en l’espace de 15 minutes pour les plus rapides et de 45 minutes pour les plus lents d’entre vous 🙂 .

    Vous recevez votre statut (en version papier) sous 15 jours dans votre boîte aux lettres. C’est un peu le cadeau du mois que vous attendiez tant. 

    À compter de cette date, vous avez alors la possibilité d’exercer en tant qu’auto-entrepreneur.

    LA DÉCLARATION À L’URSAFF

    Alors, le principal avantage du statut auto-entrepreneur, c’est la facilité dans la déclaration. Elle se fait directement sur le site de l’URSAFF, mensuellement ou trimestriellement, c’est à vous de choisir.

    Les charges sont ensuite prélevées directement sur votre compte en banque, après validation de la déclaration. La déclaration s’effectue en 10 minutes maximum. Aucune perte de temps.

    Les charges sont de 24 % dans la majorité des cas, à moins que vous ayez moins de 26 ans, et que vous puissiez bénéficier de l’ACCRE (aide de l’état pour les jeunes). Dans ce cas, vos charges sont réduites à 5 %, les deux premières années.

    Ce qui n’est pas mon cas, mais je m’y suis faite (rire) !

    Un exemple : Dans la situation où les charges sont de 24 %, si vous avez gagné 2 000 euros le mois dernier, vous paierez alors 480 euros de charges. Cela représente une certaine somme, en effet, mais croyez-moi, vous gagnez en liberté, je vous l’assure !

    Pour les petits chanceux qui ont moins de 26 ans, vous ne paierez alors que 100 euros de charges, pour un chiffre d’affaires de 2 000 €.

    Multi-potentiel

    TROUVER DES CLIENTS : DÉMARCHER DES ENTREPRISES

    Bon, vous voilà auto-entrepreneur, mais, petit problème… vous n’avez pas de clients.

    Rassurez-vous, c’est normal !

    On n’a rien sans rien dans la vie. Et il faut donc réaliser un travail important de communication pour se faire connaître.

    J’interviens, pour ma part, dans le domaine du bien-être. Mon objectif est de suivre des patients pour améliorer leur vie.

    Même si j’ai déjà de nombreux patients, tous aussi chaleureux les uns-que les autres, je ne vis pas encore pleinement de cette activité. Et je dois donc sans cesse communiquer.

    Mais quoi qu’il en soit, le cheminement en termes de communication est le même pour tout le monde.

    Réussir à se faire connaître nécessite de disposer d’un minimum de supports :

    La parole est la plus belle des ARMES, mais il est important d’avoir des documents à laisser à vos prospects pour qu’ils se souviennent de vous.

    • Un site internet : vous pouvez  trouver un freelance qui vous le fera sur https://www.codeur.com ou en envoyant des mails aux écoles. Parfois les étudiants doivent développer des sites internet pour des projets (vous ferez des économies).
    • Des cartes de visite : Vista print
    • Un blog : WordPress
    • Des flyers (pourquoi pas ? Même si cela devient un peu obsolète).

    Il faut également connaître les sites sur lesquels on peut trouver des missions et gagner en lisibilité :

    Pour exemple : les graphistes, les photographes, les CM peuvent trouver des missions sur :

    Pour ceux qui se sont spécialisées dans le bien-être (naturopathes, prof de yoga/sport/pilates, coach, médium…), la communication se fait davantage sur Instagram et LinkedIn.

    On critique souvent les réseaux sociaux, et je suis la première à m’en éloigner le plus possible. Mais il ne faut pas pour autant les négliger. On y rencontre parfois des personnes fantastiques qui peuvent être de véritables tremplins dans votre activité.

    LE CADRE ET LES HORAIRES

    Ahhh, c’est une partie importante de mon article, car ce n’est pas évident de se créer un cadre de travail alors que l’on vous l’imposait auparavant.

    Il y a encore un an et demi, mon réveil sonnait le matin à 7 heures, et cela 5 jours sur 7. Mon réveil était programmé sur une semaine de 5 jours de travail et toutes mes journées se ressemblaient.

    Le lundi : c’était la journée la plus cruelle, car la plus éloignée du prochain week-end. Mais pourtant, elle était strictement identique à ma journée du vendredi en termes de missions et d’objectifs.

    En fait, je prends conscience, maintenant et seulement maintenant, que tous ceux qui haïssent autant le lundi sont aussi ceux qui ne se sentent pas très bien dans leur vie professionnelle.

    Car, quand tu aimes vraiment ce que tu fais, tu donnes autant d’amour à un lundi qu’à un vendredi.

    En effet, en y réfléchissant, pourquoi une journée mériterait plus de considération qu’une autre ? La vie est courte, il faut profiter de chaque journée.

    Petit récapitulatif de ce que je vivais auparavant :

    J’arrivais au travail à 9h30 pétante sans une minute de retard. Sinon, je me faisais dévisager par mon manager avec ses grands yeux de Velociraptor. Eh oui ! Dans les grands groupes, on a souvent affaire à une population vieillissante, les jeunes préfèrent de plus en plus entreprendre.

    Belle généralité que je viens de faire. Tout ce que je déteste, et à la fois je suis souvent tombée dans des grandes structures où la moyenne d’âge était de 10 ans supérieure à mon âge.

    Pour en revenir au regard de mon manager : mais pourquoi me regardait-il ainsi ? Perdre quelques minutes le matin ralentit-il l’entreprise dans sa course au profit ? 

    Je ne crois pas, mais je pense que le principe du manager, c’est d’apprécier donner un cadre et des ordres les plus conformistes, sans vrai sens … en imposant et respectant  une structure qui lui ait également imposée. Et c’est souvent comme cela et pas autrement.

    Sans se demander si ses salariés / son équipe sont vraiment dans la productivité.

    Ce que je détestais le plus auparavant, c’était cette routine et les horaires.

    Aujourd’hui, c’est tout l’inverse. Mais attention ! Ce n’est pas pour autant une ambiance CLUB MED… bien au contraire.

    Si vous voulez construire quelque chose de concret, il faut se bouger, et deux fois plus que lorsque vous travaillez pour quelqu’un.

    Mais l’avantage, c’est que c’est vous qui vous fixez votre propre cadre, en fonction de qui vous êtes et de vos propres valeurs.

    PETITS CONSEILS

    Même si vous travaillez pour vous, il est important de se réveiller chaque matin de bonne heure. Même en cas d’insomnies ou de fatigue intense : on se réveille !! Vos alarmes ne seront pas forcément à la même heure chaque jour, mais il faudra vous astreindre à les faire sonner.

    On s’oblige donc à faire sonner son réveil à la même heure que 80 % des gens : entre 7 heures et 8 heures.

    Et, on ne lésine pas sur ses nuits. Il est impératif d’avoir ses 8 heures de sommeil par nuit pour être productif.

    Dès le réveil, accordez-vous une séance de sport. C’est essentiel pour la forme et c’est un défoulement. On se sent aussi plus fort et on croit plus en nous. La séance de sport libère des endorphines, et vous vous sentez plus heureux dans cette période durant laquelle on peut éprouver quelques doutes..

    Attention à ne pas se perdre dans le ratio TEMPS vs ARGENT.

    Les deux sont importants pour développer sa nouvelle activité, mais croyez-moi ou non, le temps c’est l’UNITÉ. 

    On établit un budget pour savoir combien il faut pour vivre en début d’activité. Bien souvent, il est compliqué de vivre pleinement de sa nouvelle activité. On cumule alors avec son ancienne activité (en cas de reconversion) car on oublie pas que l’on a aussi des compétences dans ce domaine

    Aussi, gardez du temps pour bien penser. Faites-vous un budget bien défini pour avoir un CADRE sans trop vous fatiguer avec des missions « alimentaires » (qui seront presque obligatoires dans les débuts, même s’il ne faut pas que cela dure trop longtemps).

    Autre petit conseil : trouver un lieu où vous vous sentez bien pour travailler (dans les moments ou vous n’êtes pas chez le client ou avec un patient). Par exemple, le Starbucks, dans les moments de calme (pas à 18 heures) ou bien dans un coworking. À Paris, il y en a tout de même un certain nombre à des tarifs accessibles.

    Mais, surtout, ne restez jamais en caleçon et petite culotte dans votre canapé moelleux : c’est la catastrophe assurée !!!!

    practiciens yoursmiles mes bonnes adresses

    LA RÉMUNÉRATION

    Pour ma part, je suis en début d’activité, je continue donc à répondre à des missions marketing qui ne durent pas très longtemps. Je me laisse jusqu’à janvier, et l’oiseau décollera (rires).

    Bien sûr, je souhaite vivre pleinement de ma nouvelle activité de Sophrologue/coach de vie. Mais au début, et c’est normal, « on n’a rien sans rien » !  Je le répète.

    Nous ne vivons pas dans un monde de bisounours où tout tombe du ciel, loin de là même ! Et il faut bien en tenir compte.

    Alors voici comment je procède pour la partie rémunération.

    Pour la partie marketing, je propose un devis avec une estimation du prix de la mission à mon client. Il le valide ou non.

    Dans le cas où il valide, j’exécute la mission. Et je lui fais une facture en fin de mission.

    Le client a 30 jours pour faire le virement (c’est écrit dans les mentions légales qu’il doit respecter).

    Pensez bien aussi à bien ranger l’intégralité de vos documents (devis et factures dans des dossiers bien prédéfinis) sur votre bureau d’ordinateur. Cet aspect organisationnel est important, il fait gagner du temps. Ou tout au moins, il permet de ne pas en perdre lorsque l’on recherche un document. On ne se perd pas, on trie, on range et on devient davantage maniaque, même si on ne l’était pas auparavant.

    Pour ce qui est de la rémunération en tant que freelance, elle faut bien se mettre en tête qu’elle ne sera pas fixe. C’est souvent les montagnes russes. Vous aurez des mois où ce sera clairement la « dèche » … et des mois où vous aurez l’impression de gagner au loto : JACKPOT. 

    Ce qui procure aussi quelques excitations supplémentaires à la vie ! Mais, ne le cachons pas, on ressent aussi un « petit stress » supplémentaire. Un peu de méditation dans ce contexte n’est alors jamais de trop.

    Vous pouvez alors gagner 500 euros un mois, comme 6 000 euros le mois d’après. Cela dépend aussi du moment où le client vous paye. Parfois, vous courrez clairement plusieurs semaines après votre argent. Et, dans ce genre de situations, le temps vous paraît très très lonnnng !

    ÊTRE SON PROPRE PATRON / LE RAPPORT À LA LIBERTÉ

    Être son propre patron, c’est plutôt excitant et gratifiant. Vous travaillez pour vous, en fonction de vos aspirations premières et de vos valeurs. Vous prenez davantage conscience de ce que vous voulez ou de ce que vous ne voulez plus dans la vie.

    La vie professionnelle et la vie personnelle deviennent étroitement liées.

    Et lorsque nous travaillons pour autrui, nous nous perdons souvent face à ce que « l’autre » attend de nous.

    Dorénavant, c’est à vous de décider de ce que vous voulez ou non dans votre quotidien, et de ce que vous êtes prêt à accepter ou non. Personne ne vous imposera rien.

    Je suis assez d’accord avec la définition générale de la LIBERTÉ : ” La liberté est l’état d’une personne ou d’un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère. C’est aussi l’état d’une personne qui n’est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu’un “.

    La liberté peut être définie de manière positive comme l’autonomie et la spontanéité d’une personne douée de raison. La liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d’un système politique ou social, dans la mesure où l’on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique.

    C’est exactement ce que je ressens au quotidien, le fait de ne plus être soumis à autrui et de n’écouter que mes envies.

    La vie est courte : je suis jeune certes, mais les années à venir passeront tellement vite, alors, pourquoi faudrait-il que je m’inflige des contraintes ?

    LES VACANCES D’UN AUTO-ENTREPRENEUR

    Ce n’est pas forcément un aspect que je priorise, et c’est la raison pour laquelle je l’ai mis en fin d’article. Mais il faut savoir que lorsque vous vous mettez à votre compte, vous avez certes plus de temps pour voyager, mais aussi plus de responsabilités. Vos voyages deviennent parfois/souvent secondaires.

    J’ai toujours été une sacrée voyageuse, et je le suis encore dans l’âme. Mais, désormais, je me dois de faire des sacrifices et des concessions. Après, j’ai eu la chance, très jeune, de faire un tour du monde, donc il serait mal venu que je me plaigne sur ce sujet.

    Quoi qu’il arrive, c’est un peu l’inconvénient quand vous avez une activité d’indépendant : les congés payés, ça n’existe pas !! Si vous décidez de prendre 2 semaines de vacances, c’est à vos frais ! Cela dit, cela responsabilise terriblement. Vous prenez alors conscience que le statut de salarié, sur ce point, est plutôt avantageux.

    CONCLUSION

    Il n’y a aucune vérité, surtout de nos jours. Le monde du travail évolue à toute vitesse, et chacun y trouve son compte, à sa manière.

    En tant qu’auto-entrepreneur, vous pouvez travailler de jour comme de nuit, les semaines comme les week-end, 35 heures comme 15 heures comme 102 heures, en France ou à l’étranger, pour vous ou pour les autres…  Ce qui compte, c’est d’y trouver son équilibre et le bonheur.

    Mais, c’est plutôt très agréable de se réveiller le matin en prenant plaisir à débuter la journée, en allant au travail (votre notion du travail) avec le sourire ou du moins sans la fameuse “boule au ventre” (on a tous déjà connu cela).

    La vie est si courte et si belle à la fois quand on la prend du bon côté. Alors autant faire une activité que l’on aime.

    La vie d’auto-entrepreneur est un bon compromis avant de monter son entreprise. Vous y apprendrez de nombreuses notions importantes, notamment au niveau de la comptabilité.

    Les responsabilités sont importantes, les rencontres nombreuses (si vous vous donnez les moyens et que vous démarchez les bonnes personnes / on met de côté sa timidité) et l’autonomie vous aide à prendre confiance en vous.

    Hormis le fait que les charges sont importantes (bienvenue en France :)), et que votre salaire est irrégulier et que vous devez anticiper les dépenses, être à son compte est véritablement une solution pour faire de sa vie professionnelle une réelle source d’épanouissement.

     

     

  • Régler ses problèmes de peau avec Miltaderm

    Régler ses problèmes de peau avec Miltaderm

    J’ai testé pour vous : les séances Miltaderm pour régler mes problèmes de peau

    Voici plusieurs années que je teste différentes techniques & machines de soins pour la peau.  

    Ancienne acnéique tardive (je sais … ce n’est pas très glamour et pourtant ça arrive) à cause d’un choc hormonal (vilaine pilule qui m’a mal été prescrite), j’ai été obligée de trouver plusieurs solutions pour régler ce soucis.   

    Tout y est passé : le Roaccutane, la pilule Diane 35, le laser , les soins du visage en tout genreles dermatologues , les naturopathes , les endocrinologues ! Que Nenni, lorsque les boutons ne veulent pas partir , ils ne partent pas , je vous le confirme. Il n’y a que la patience qui fait évoluer un choc hormonal , afin que le corps et les hormones s’équilibrent de nouveau.

     Bon , avec le temps ,(j’ai maintenant 28 ans) et une nouvelle pilule micro dosée de la génération 4 (Zoely), ces coquins ont disparu; mais jusqu’à quand …. ? je ne sais pas!!

    Il suffit d’un arrêt de pilule et l’envie d’un bébé … et je suis bien consciente que ces vilains ennemis peuvent revenir du jour au lendemain avec le dérèglement hormonal et la situation. Sans être défaitiste bien évidemment , car j’ai une personnalité très optimiste bien au contraire. Mais une femme peut avoir des boutons jusqu’à 40 ans.

    D’après le Docteur Valérie Leduc de chez “Médecine de la beauté”, notre génération souffre davantage d’acné tardive et hormonal que sa génération à elle. 

    En attendant , ma peau s’est plutôt stabilisée , mais il me reste encore quelques cicatrices d’acné. L’acné m’a réellement ravagé la peau à une période de ma vie (trois grosses crises a l’âge de 18 ans , 21 ans et 24 ans), forcément il reste des séquelles (c’est ça que d’être parfois un peu tête en l’air et d’en oublier sa pilule en vacances , du coup de sauter des jours/mois … et hop c’est parti pour la crise ! ). 

    De plus j’ai encore quelques boutons en période de règles; mais ça comme tout le monde je pense… 

    Mais bien maquillée ma peau paraît quand même bien saine et lumineuse.  

    D’ailleurs sans maquillage , j’ai aussi une peau relativement saine , mais avec des pores parfois dilatés, des cicatrices et des légers microkystes; je suis la seule à le voir j’ai l’impression ainsi que les médecins spécialistes qui trouveront toujours des irrégularités.

    Comment j’ai connu Miltaderm et qu’est ce que Miltaderm?

    Je suis tombée récemment nez à nez avec une page Instagram se prénommant « Médecine de la beauté », et ses photos archi vendeuses de femmes bien dans leur peau, grâce à une hygiène de vie irréprochable … et à une belle peau.  Je suis bien dans ma peau ça tombe bien, mais ma peau laisse parfois à désirer. 

     Il est vrai que je n’ai pas atterri sur cette page par hasard, car certaines blogueuses influenceuses en parlaient déjà.  Ça faisait un certain temps que j’avais envie de faire un bon soin pour régulariser ma peau et soigner mes anciennes cicatrices profondes.… alors au vue des bons commentaires , je me suis dit « pourquoi pas ». 

     Apparemment d’après ce que j’avais vu , cette machine fonctionnait sur ces petits tracas.   

    Miltaderm - soigner cicatrice acné

     A quoi sert cette machine ?

    Il s’agit d’une machine pour toutes les peaux, du plus clair au plus foncé. Procédé novateur associant un laser froid fractionné et des LEDs. Le rayonnement photonique est ensuite potentialisé par des tunnels magnétiques qui stimulent la production de nouvelles fibres de collagène et restructure les fibres existantes, d’où une régénération en profondeur avec un résultat exceptionnel.

     Soins anti-âge

    * Réjuvénation cutanée.

    * Tâches de vieillesse.

    * Effet liftant.

    * Imperfections.

    * Anti-rides.

    Soins médicaux

    * Biostimulation.

    * Cicatrisation.

    * Acné.

    * Oedèmes.

    * Inflammation.

    Soins du corps

    * Détoxication.

    * Vergetures.

    * Raffermissement.

    Soins minceur

    * Amincissement.

    * Cellulite.

    * Drainage.

    déroulé séance miltaderm

    Comment se déroule une séance Miltaderm ?

    Le médecin me met dans une salle un peu à l’écart (la salle spéciale pour le Miltaderm, pas n’importe quelle salle ;)) et souhaite s’assurer que vous n’êtes pas claustrophobe.   

    En effet , le médecin m’a mis une machine au-dessus de mon visage , à quelques centimètres seulement de ma peau. Au départ ça peut être un peu impressionnant et surtout très peu commun.   

    Une machine qui allait par la suite diffusait les lumières rouges et bleues. 

    Elle n’a pas oublié de me mettre des petites lunettes (un peu les mêmes lunettes que lorsque vous faites des UV – ce qui n’est pas préconisé).  

    Elle m’a annoncé qu’elle restait avec moi en début de séance pour être certaine que je sois à l’aise et qu’il n’y aient pas d’effets indésirables durant la séance. (Ce qui n’arrive vraiment jamais , à moins que vous soyez justement un peu claustrophobe sans le savoir , ou que les lumières bleues et rouges vous surprennent).  

    La séance passe très vite … en début de séance je discutais avec le médecin (qui est d’ailleurs une superbe femme à la peau PARFAITE), puis j’ai fini par m’endormir.

    Une micro sieste réparatrice ne dure-t-elle pas 20 minutes ? Parfait combo pour repartir avec une peau lumineuse , et requinquée grâce à la sieste.  

     déroulé séance miltaderm machine traitement cicatrice acné

    Les résultats sur ma peau 

    Le médecin m’avait indiqué que je ne verrais pas les premiers effets tout de suite. Seulement après 2,3 jours le temps que la peau comprenne qu’on venait de lui faire un traitement d’attaque.   

    En effet , les 2 premiers jours j’ai même eu des boutons qui sont ressortis ; comme si la peau se libérait de ses impuretés.   

    Mais lorsque les deux jours sont écoulés , mon teint était bien plus lumineux , et surtout régulier.  

    Les pores resserrés , la peau moins fatiguée , disparition des microkystes et des cernes moins marquées.   

    Comme quoi , il y avait encore beaucoup de choses à améliorer (rires).  

    Quel coût  pour une séance Miltaderm ?

    Ceci-dit , on ne va pas se voiler la face , ce type de soin c’est quand même un vrai budget : 120 euros la séance , et le premier mois 1 séance / semaine est préconisée , puis 2 séances / mois, pour finir sur « une fois de temps en temps ». C’est donc un soin qui n’est pas miraculeux , il faut du temps et de la patience.   

    Mais de tous les soins que j’ai fait ces dernières années , il fait partie des meilleurs. Et le médecin Valérie Leduc vous conseille avec patience, professionnalisme, et empathie.  

    Sans oublier le salon du docteur qui est magnifique !!! 

    Depuis la salle d’attente on est déjà impatient de faire le soin.  

    Contact : Médecine de la beauté – 5 rue Chambiges 75008 Paris – 01 45 63 07 82

     Miltaderm

     

    Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

  • Une libération émotionnelle grâce à Jen et Sana

    Une libération émotionnelle grâce à Jen et Sana

    Libérer ses émotions grâce à l’accupression et aux énergies

    Depuis ma reconversion dans le domaine de la sophrologie, je suis très attachée à toutes les pratiques de médecine douce et alternatives qui existent. Très curieuse de nature , je le suis doublement depuis que je fais ce métier.

    Déjà parce que pour bien conseiller autrui il faut apprendre à être bien avec soi-même (esprit sain dans un corps sain), et parce qu’il est toujours agréable de voir tout ce qui existe aujourd’hui sur le marché pour réussir à être apaisé et dans un état de bien-être constant. Au 21ème siècle nous sommes extrêmement gâtés face à toutes ces pratiques qui existent pour retrouver une paix intérieure .

    La première chose que j’avais envie d’essayer a tout prix depuis que je fais ce métier , ce sont les pratiques énergétiques.Vous savez ces pratiques qui vous permettent d’acquérir de l’énergie grâce à des spécialistes en la matière. J’avais envie de suivre une thérapie énergétique tout simplement !

    La découverte de Jen et Sana

    La force des réseaux sociaux aujourd’hui peut être très positive. Il y a quelques semaines je suis tombée sur une page Instagram très épurée et qui donne envie de deux jeunes femmes qui sont justement dans le domaine des pratiques énergétiques.

    Elles forment un binôme , travaillent à deux  et sont très complémentaires. Elles ont vraiment quelque chose d’à part, de simple , moderne, et naturelle.

    Elles sont sincères dans leur démarche ,ça se sent et se ressent.

    A la découverte de l’accupression

    Sana est spécialisée dans l’accupression; qu’est ce que l’accupression ? Il s’agit de l’acupuncture sans aiguilles (oui oui ça existe !) , et Jen est spécialisée dans les énergies. Sana cible les points d’acupuncture sur tout le corps pour y faire des points de pression et les débloquent, quant à Jen , elle ne se focalise que sur le crâne. Un peu comme un Ostéopathe , mais pour des problématiques un peu différentes.

    A deux, le travail est beaucoup plus puissant et profond. Elles travaillent ensemble sur les mauvaises émotions qui nous paralysent , et tentent avec brio de les faire disparaître , et de nous transmettre une belle énergie.

    Rien qu’a l’intonation de leurs messages privés , et à leur sympathie à premier abord, j’ai pris rendez-vous avec elle avec une facilité sans nom, en plein mois de juillet.
    Et puis quoi de plus important  que de passer un bel été , grâce à une belle énergie ?

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Arrivée chez Jen et Sana

    Où trouver Jen et Sana ?

    Le cabinet de ces deux jeunes femmes se situe dans le 9 eme arrondissement de Paris , rue Milton , dans mon quartier préféré. Déjà rien que par l’emplacement de cet endroit , me voici ravie.J’ai toujours rêvé d’habiter dans ce magnifique arrondissement. J’arrive à l’étage du cabinet, et Jen et Sana m’accueillent avec un tel sourire , que ça fait déjà du bien.

    Le sourire se transmet, parait-il, je vous le confirme !!!

    Deux jeunes femmes de la même génération que moi, belles comme des cœurs et avec une belle énergie déjà bien présente. Naturelles comme jamais, c’est si rare et ça fait du bien.

    Le cabinet donne déjà très envie : belle vue sur les toits de Paris, épuré, bien décoré, de la place pour marcher et poser ses affaires … et puis on ressent le fait qu’il y a de bonnes vibes.

    Jen et Sana

    Jen et Sana me proposent un thé (du choix dans les thés ça fait toujours plaisir pour une personne comme moi qui suis fan de thé) et me proposent de m’asseoir sur leur beau canapé parsemé de coussins.

    On commence par discuter très naturellement de nos vies à chacune , et c’est drôle mais tout nous rapproche.

    Toutes les 3 sommes parties vivre à l’étranger et nous avons fais le choix d’une reconversion immédiate après notre passage à l’étranger.

    On aime toutes les trois le sport , les voyages , nos proches , et l’envie d’aider.

    Comme quoi avec du temps et de la réflexion , le fait de donner un sens à ses journées c’est important.

    Comment se déroule une séance d’accupression ?

    La séance dure 2 heures la première fois , puis les séances qui suivront ne dureront qu’une heure et demie. Ce qui est déjà très bien et vraiment long. Pas trop long, mais le temps parfait pour ne pas ressentir de frustrations.

    Jen et Sana s’adaptent à la patiente et ne souhaitent surtout pas courir après la montre.

    Durant les 2 heures nous discutons alors pendant la moitié de la séance sur ma vie , mes habitudes , mes envies, mes besoins , mon passé, mes projets … mes émotions principales …. tout y passe !

    Jen et Sana sont très à l’écoute , très emphatiques, et prennent toutes les notes nécessaires pour se rappeler de chaque détail important de ma vie.

    Elles sont surtout très bonnes pour poser les questions qui font parler. Vous savez , ce qu’on ressent tous avant d’aller voir un praticien de ce type « je vais devoir parler … » ! Et ba là vous le faite avec une telle facilité , sans même vous en rendre compte.

    J’ai d’ailleurs oublié le fait que j’ai réussi à parler durant tout ce temps, car le temps passe si vite quand on se sent bien . J’ai réussi à faire un long résumé de ma vie et de mes ressentis en 1h.

    28 ans de ma vie en si peu de temps , en ne passant à côté d’aucun détail fondamental.

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Sourire de ces deux jeunes femmes toujours présent … elles écoutaient chaque petit détail de mes recueils.

    Après avoir noté ce que je souhaitais améliorer et dans quel domaine je voulais gagner en énergie elles débutent la séance et la mise en pratique.

    Déroulé de la séance

    Sana me demande de m’allonger sur une table , qui ressemble de près à une table de massage. D’ailleurs me semble-t-il qu’il s’agissait bien d’une table de massage.

    J’avais un petit vent dans le visage hyper agréable , comme la fenêtre était ouverte. Les douces températures du mois de juillet rendaient la séance encore plus chaleureuse.

    Sana me demande de fermer les yeux pour me détendre au maximum. Elle s’est vraiment spécialisée dans l’accupression et est excellente en la matière.
    Il s’agit ici de stimuler les points d’acupuncture par la pression des doigts. Cela permet de bien éliminer et de mieux respirer, mais aussi de débloquer de nombreuses émotions enfouies à l’intérieur de soi. Elle s’est alors attardée sur chaque point important du corps , pour y faire des points de pression (qui ressemblent de près au shiatsu).

    Le corps et l’esprit sont étroitement liés. Les émotions s’inscrivent dans le corps et les douleurs physiques conditionnent l’esprit. Notre santé et notre harmonie dépendent de la circulation libre et régulière de l’énergie vitale à l’intérieur de notre corps, de notre mental et de nos émotions.

    Du coup les points de pression fondamentales, permettent de débloquer le corps , pour un équilibre meilleur.

    Je n’y croyais que moyennement au début , ou du moins je ne connaissais pas cette méthode …. et pourtant ça fait un bien fou. Je ressentais que mon corps se détendait considérablement après chaque pression. Sana m’a appris à y croire , car elle est douée et très douce.

    On sent qu’elle a de l’expérience. D’ailleurs la première fois ça peut faire un peu mal (enfin une douleur à la limite de l’agréable), car le corps est bloqué et pas toujours très habitué à recevoir ce type de pressions.

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Quant à Jen c’est un peu le médecin de l’énergie par le crâne. C’est sa spécialité et elle donne envie de s’y intéresser de près.
    Attention , je vous parle avec mes mots; sans aucun terme scientifique , car il ne s’agit que du recueil de mes ressentis. Les ressentis d’une personne qui avait pour objectif de se détendre et de s’apaiser , sans être spécialiste en la matière.

    Jen a réussi à me faire dormir ; elle touchait mon crâne durant une bonne vingtaine de minutes pour y faire circuler des bonnes énergies.
    D’ailleurs ce qui m’a étonné c’est qu’en faisant cela , il s’agit aussi d’un échange de belles énergies. Jen a aussi capté mes énergies à moi et était donc toute apaisée en fin de séance.

    Jen m’a demandé avant de mettre en pratique sa méthode , de lui dire tout ce que je ressentais à la minute.

    Mais sa technique m’a procuré une telle sensation de plénitude avec le corps très enfoncé dans la table , que je n’arrivais pas à parler. Je ressentais uniquement … !

    Quels sont les bienfaits de l’accupression sur le corps et l’esprit ?

    Je me suis sentie sur un petit nuage. Je n’avais jamais ressenti ça auparavant. J’ai ressenti le fait que mon corps était bien ancré dans le sol et que chaque partie de mon corps existait pleinement.

    Je me sentais vivante , et à la fois très endormie , car cette méthode d’accupression apaise tellement qu’on ne pense plus à rien.

    Elles ont réussi à me débloquer toutes les mauvaises énergies qui circulaient dans mon corps. Et pourtant je suis de nature si optimiste et joyeuse , que je ne pensais pas en avoir autant des mauvaises énergies.

    Mais étant une éponge empathique , je capte les mauvaises énergies des autres.Ce qui est un axe d’amélioration à prendre en considération.

    Suite à la séance , j’avais du mal à parler.

    J’ai senti qu’il s’était passé de nombreuses choses en moi, et ça m’a fait tellement de bien que j’ai décidé de suivre une thérapie sur plusieurs séances.

    Il me reste alors 4 séances à partir de la rentrée !

    Quoi de mieux pour bien commencer l’année ! Vous pouvez combiner cette méthode à des séances de sophrologie, vous retrouverez rapidement une forme olympique.

    Voici les contacts de Jen et Sana si vous souhaitez à votre tour tester l’accupression et le travail énergétique afin de vous sentir bien avec vous même  :

    Jen : 06 64 52 04 57

    Sana : 06 46 68 61 26

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

  • La gratitude, on l’aime et on le montre

    La gratitude, on l’aime et on le montre

    William Arthur Ward,  La vie t’a offert 86,400 secondes aujourd’hui. En as-tu utilisé une seule pour dire merci ?

    La gratitude, ou la reconnaissance, est la réponse appropriée ou attendue à l’aide d’un bienfaiteur. La gratitude c’est aussi le fait de se remémorer des bons souvenirs avec autrui et grâce à autrui , et c’est bon pour le cerveau. C’est même excellent ! Le seul hic c’est que ce phénomène se fait bien trop rare, car l’être humain malheureusement devient de plus en plus centré sur lui , et sur ce qui ne va pas dans sa vie. Car c’est toujours plus puissant de se faire croire à soi-même que nous allons mal (trèeeees mal) , plutôt que de se dire que nous allons bien. 

     

    Qu’est-ce que la gratitude ? 

    Finalement la gratitude, c’est le fait de se concentrer sur l’inverse de ce qui ne va pas. Si on ne se concentre que sur les choses positives de notre vie , les journées seraient bien moins épuisantes.  Et pour ma part , j’y crois.  

     Exemple de gratitude

    Je ne sais pas si vous avez vu ce film  Room qui est tiré de l’histoire vraie de d’Elisabeth Fritzl, une autrichienne de 42 ans, violée et séquestrée par son père Josef Fritzl. Elle décide de faire croire à son fils que leur prison est en fait le monde. Un synopsis qui fait froid dans le dos, inspiré d’un fait divers autrichien de 2008. Dans le film , cette jeune femme est enfermée avec son fils (né d’un viol) par son bourreau depuis sept ans.  7 années dans une petite pièce de 11 m2. Ce jeune garçon n’a jamais rien connu à part cette minuscule pièce étouffante et oppressante.  Mais n’ayant jamais rien connu d’autres , il n’a pas la conscience qu’autre chose existe a l’extérieur. Il ne connaît ni la nature, ni les transports, ni les commerces , ni autrui …. Il s’invente son propre monde à lui , motivé par les paroles très optimistes de sa maman , qui souhaite à le protéger.  

     Pour en revenir à notre sujet et à la gratitude , ce jeune garçon de 7 ans, remercie et prend conscience chaque matin de ce qu’il a. Une chaise est une chaise et a son importance , de même pour un lit , ou un stylo.  

    Gratitude

    Avec beaucoup d’amour et de gratitude il remercie chaque matin la chance qu’il a que d’avoir chaque objet.  

    Et encore … nous parlons de l’aspect materiel là , alors qu’il remercie en premier lieu sa mère pour tout ce qu’elle lui donne , lui apporte et l’éducation dans laquelle elle s’est investie.  Une maturité sans nom , pour un jeune enfant d’à peine 7 ans.  

     Et pourtant , c’est le modèle sur lequel nous devrions nous pencher pour être réellement heureux. Réussir à prendre conscience de ce que nous sommes , et être reconnaissant de ce que nous possédons. L’amour de nos proches, les gestes de chacun à notre égard, la santé que nous avons, les membres de notre corps bien présents et qui fonctionnent …. ! 

     Seulement , aujourd’hui … nous ne prenons même pas le temps d’être conscient de ce que nous avons, que nous voulons déjà autre chose. Ce qui est bien dommage, car c’est alors signe de frustration. 

     

    La gratitude et le rapport à soi  

     On ne va pas se mentir , la frustration est l’un des ressentis les plus désagréables. La frustration place l’individu dans l’attente de la réalisation de quelque chose qui ne se fera pas. A ne pas être reconnaissant de ce que nous avons et de la vie que nous menons, nous rejetons alors celle-ci. Et cela laisse place à des émotions internes qui peuvent être nocives. L’impatience , la colère , la tristesse … et plus grave encore , elle peut mener à la dépression.  Il est important de prendre conscience des chances que nous avons à un moment T , et que rien n’est acquis ni même universel.  N’oublions pas que nous sommes nos meilleurs amis. La personne la plus importante dans la vie de tout à chacun c’est soi.  Il faut alors se ménager, s’apaiser et se faire confiance en commençant par regarder le meilleur en nous.  

     Ce que je tente de faire chaque matin et chaque soir c’est de prendre conscience de la chance que j’ai; je mets sur papier une phrase de remerciement le matin et une phrase de remerciement le soir.  

    Je vais vous donner plusieurs exemples :  

    • Merci pour la nuit que je viens de passer et merci d’avoir réussi à trouver le sommeil et ne pas avoir eu de migraines ni d’insomnies. (depuis toujours, je suis sujette à l’un et l’autre) 
    • Merci pour la rencontre improbable mais forte que je viens de faire devant la boîte aux lettres (en ouvrant du courrier pas des plus agréables) 
    • Merci à ma jambe qui ne m’a pas joué des tours durant mon footing (alors que celle-ci est abîmée depuis un certain temps) 
    • Merci à ma volonté d’être si persévérante en ce moment 
    • Merci à mon passé rude qui m’a permis d’être une femme forte en toutes circonstances 
    • Merci à mon ange gardien qui se situe sur mon épaule droite qui me fait rencontrer les bonnes personnes au bon moment 
    • Merci à ma morphologie qui me fait rester mince, alors que je mange du chocolat et des pizzas bien trop souvent 

    Faites-vous un carnet de « gratitude » et tentez de le remplir chaque jour.  

    Vous verrez qu’au final, il s’en passe des choses merveilleuses dans votre vie.  

    La gratitude, et le rapport aux autres 

     La gratitude envers les autres est toute aussi importante. Nous passons une majorité de nos journées entourés ; il faut alors s’imposer le fait d’être gratifiant envers les personnes qui nous font du bien. Et leur rendre aussi la pareille en leur faisant du bien. Ensuite , cette action deviendra plus naturelle avec le temps. Tout être humain a besoin d’affection , d’attention et de reconnaissance.  Nous sommes dans une société rude, ou « l’individualisme » prime parfois , il faut aller à l’encontre de cela , et savoir dire merci à ceux qui le méritent.  

     

    Celle-ci contribue à long terme dans les relations et le bien être personnel… Jusqu’à 6 mois après une expression délibérée à son partenaire.  Apprendre à dire merci à son prochain quand il a réalisé une action qui nous a permis d’être plus apaisé ou d’être aidé.  

    De même au travail , il faut être reconnaissant face à ce que les autres font , pour que l’univers de travail global soit sain. 

     *Cela peut aussi s’opérer avec n’importe qui : 

    – Remercier pleinement le taxi, pour sa bonne conduite 

    – Remercier le livreur d’être arrivé à l’heure, ce qui m’a permis d’être à l’heure à mon rendez-vous d’après, décisif au possible 

    – Remercier  la femme de ménage pour sa prise d’initiatives à avoir laver les fenêtres 

    – Remercier mon ami pour m’avoir prêté un livre fantastique, que je n’aurais jamais connu sans lui  

    – Remercier ma sœur pour m’avoir appris quelque chose d’essentiel aujourd’hui … 

     

    Bienfaits de la gratitude 

     La gratitude peut transformer votre routine en jours de fête. disait William Arthur Ward

     Le savez-vous ? 

    1. La gratitude rend plus patient : généralement, quand on est conscient de certaines chances que nous avons, on devient moins agressif et impatient face à ce que nous n’avons pas.  

    2. La gratitude améliore nos relations de couple

    Dites-vous assez  souvent « merci » à votre cheri(e)? Si ce n’est pas le cas apprenez à le faire , ça vous fera passer de meilleurs moments ensemble.  

    3. La gratitude stimule le bienêtre et aide les autres à prendre soin de soi

    Complimentez toujours vos proches , cela les aidera à trouver la paix intérieure et à être bien en votre présence. C’est un peu un effet miroir. 

    4. La gratitude aide à dormir 

    C’est probablement parce que des pensées plus positives nous inondent avant de s’endormir, ce qui peut apaiser le système nerveux.

    5. La gratitude soulage la dépression 

    Qui a dit qu’il n’y avait pas de remède à la dépression ? Faux et archi faux ! Soyez reconnaissants de chaque chose qui vous entoure et vous verrez la différence.  

    6. La gratitude prolonge le bonheur 

    Et oui , c’est prouvé.. 

    L'IMPORTANCE DE MONTRER SA GRATITUDE

     Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

  • Dites au revoir à vos peurs 

    Dites au revoir à vos peurs 

    Cela fait un certain temps que je médite sur le sujet de « la peur ». Que ce soit à titre personnel, ou que ce soit chez mes proches, j’ai l’impression que les peurs empêchent l’exécution de nombreuses actions.  A longueur de journée j’entends des affirmations à ce sujet : « j’ai peur qu’il ne m’apprécie pas » « j’ai peur de ne pas savoir le faire » « j’ai peur de partir à l’étranger », « j’ai peur qu’il/ elle me quitte », « j’ai peur de la solitude » … « j’ai peur de perdre mon travail » …Cependant, de savoir que nous avons des peurs c’est un fait, mais de tenter de guérir ses peurs c’est autre chose. C’est donc sur cela qu’il faut réfléchir et agir.  Réussir à mettre le doigt sur une peur et tenter de faire un gros travail de fond pour que cette peur ne nous pénalise plus.     

    J’ai longtemps eu de nombreuses peurs en tous genres. J’en ai encore quelques-unes c’est évident , et j’en aurais toute ma vie; ceci-dit, ma grande solitude lors de mes voyages, m’a grandement fait réfléchir, et fait mûrir le sujet de mes peurs personnelles. J’essaie chaque jour de guérir mes démons intérieurs pour avancer et pour canaliser certaines émotions.   

    blessures fondamentales

    Avant toute chose : Qu’est-ce que la peur ?

    La peur est une force négative qui nous freine dans notre élan. Celle-ci a des répercussions face à notre envie et notre besoin d’avancer. Elle est comme un démon qui ronge une partie de notre esprit.  Nous sommes tous éperdument conscient d’avoir des peurs en nous, mais elles ne sont pas faciles à assumer. Voir très difficiles à assumer.  Surtout lorsque nous sommes dans un culte de « l’hyper-performance » ou il n’y a aucune place qui est laissé à la peur. Les médias nous renvoient d’ailleurs à longueur de journée, des images positives de personnes fortes « BE STRONG ».  Comme si , sans cette force , vous n’avez pas le droit d’exister.

    Prenons pour exemple, les personnalités connues. Elles sont souvent mises au-devant de la scène dans un moment de leur vie où elles sont au « top ». Une Taylor Swift, un Obama, ou un Nadal, dans un autre registre, n’auraient pas la même popularité en étant « de façon assumée » remplis de peurs.  Aujourd’hui, nous avons d’ailleurs tous cette tendance à nous dire que plus on se montre fort, mieux ce sera. La fuite de la vulnérabilité à tout prix … (je vous ferai un article à ce sujet ce week-end).

    Mais, ce sera mieux pour qui ? A part de se mentir à soi-même, personne d’autre n’en paiera les conséquences.  Au final , on fini par se mettre des œillères et ne plus vouloir les voir ces peurs, car elles en deviennent pour beaucoup une honte.

    L’être humain est constitué de forces et de faiblesses et ce sont ces deux antagonistes qui nous permettent d’être ce que l’on est. Il ne faut alors pas mettre de côté nos peurs ou nos blocages comme s’ils représentaient « l’ennemi ».  La peur est essentielle, elle est là pour éviter le danger, il faut alors se réconcilier avec celle-ci. L’assumer et puis tenter de l’améliorer, sans la bannir pour autant.

    N’oublions pas qu’une peur ça se travaille constamment de façon à réussir à vivre avec.  Si jamais nous nous mentons à nous même, en nous disant que nous n’avons aucune peur et que nous sommes forts, nous risquons alors de subir une contradiction interne à un moment donné.

    Pour revenir sur la peur, Jules Renard disait que « la peur est une brume de sensations ».  

    En effet la peur n’est pas manifestée de la même manière selon les profils, et cela proviendrait de notre vécu.  Ce sont des blessures internes et profondes provenant de l’enfance qui entretiennent nos peurs quotidiennes a l’âge adulte.

    blessures fondamentales

    Identifions nos blessures principales

    Lise Bourbeau met le doigt sur 5 blessures importantes, sur lesquelles il ne faut surtout pas tirer une croix.

    Elle les appelle, les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même.

    • Les blessures du rejet : personnes très sensibles à la moindre remarque, se sentant facilement rejetées et blessées en cas de contradiction. Ne se donnent pas le droit à l’erreur, sabotent leurs relations, n’osent pas donner leur opinion et parlent peu.  Pour se guérir elles devront se pardonner et pardonner aux autres, affronter leur peur, oser s’affirmer et prendre leur place.
    • Les blessures de l’abandon : ce sont des personnes qui ne se sont pas sentis assez nourris affectivement parlant.  Ce sont aussi des personnes qui dépendent des autres et qui cherchent constamment leur soutien et leur approbation. Cherchent à attirer l’attention, et dramatisent énormément. Pour se guérir elles devront apprendre à être bien dans les moments de solitude, sans tout le temps avoir besoin d’autrui et chercher l’attention des autres. Ces personnes doivent apprendre à apprécier de se balader seules, de lire un bouquin, d’écrire … Des activités qui sont souvent liées aux solitaires.
    • Les blessures de l’humiliation : ce sont des personnes qui se sont senties rabaissées et comparées toute leur vie, mais surtout durant l’enfance. Les personnes qui en souffrent se croient indignes et se sentent rabaissées constamment toujours. La masque de cette personne est le « masochisme ». Il faut que ces personnes apprennent à avoir confiance en elle, et soient remplies de gratitude face à ce que la vie leur donne.
    • Les Blessures de la trahison:la trahison est lié à l’abandon. La personne ayant souffert de trahison veut montrer sa force et être dominatrice par rapport au sexe opposé. Elle a aussi beaucoup de difficultés à gérer le mensonge. Le masque de cette personne est « contrôleur ».
    • Les blessures de l’injustice: cette blessure est liée au rejet. La personne qui en souffre souhaite être parfaite : au plan physique et dans ses actions. Ainsi, ces personnes préfèrent se couper de leur sensibilité plutôt que de risquer de mal faire. Le masque associé à l’injustice est « rigide».

     

    Comment se manifestent les 5 blessures, et sont-elles guérissables ?

    Nous les avons toutes plus ou moins en tant qu’être humain, mais certaines blessures sont plus importantes que d’autres.

    Face à une situation X personne ne réagira de la même manière. Selon les circonstances personne ne percevra la situation de la même façon. Quoi qu’il arrive nous rencontrerons au moins 4 de ces blessures au courant de notre vie, et à ce moment la nous ne serons plus nous mêmes.

    blessures fondamentales

    Comment guérir nos blessures fondamentales ?

    Il faut prendre le temps de travailler sur ses blessures afin que les peurs s’atténuent au quotidien. Tout comme nous prenons du temps pour manger, ou respirer de façon essentielle, il faut s’accorder le même temps pour soigner ses blessures les plus profondes.  Il faut commencer par prendre conscience de nos peurs et de les regarder bien en face. Les regarder avec un regard perçant, un regard d’homme bien assumé et qui sait ce qu’il veut.  Se réconcilier avec la notion de peur, c’est aussi vivre en s’écoutant, et comme nous sommes notre meilleur ami, il faut passer par là.

    Frappez à la porte de votre bien être intérieur si jamais vous n’avez pas la clef et discutez avec vos émotions ! Il ne faut jamais saccager ce qu’on ressent car une blessure intérieure n’est en rien une honte. Tout le monde en a même si personne ne vous en parle.  Écouter ses peurs, c’est aussi se demander de quels dangers elles nous avertissent. Parfois cela permet aussi d’anticiper les mauvaises surprises. Il ne faut surtout pas oublier de les rassurer avant toute chose.

     

    Petit + : Faire de la médiation aide beaucoup ainsi que de respirer chaque jour calmement et paisiblement.  

     

    Dites en revoir à vos peur !

    Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

     

  • Une monodiète de 3 jours, ça vaut le coup ? 

    Une monodiète de 3 jours, ça vaut le coup ? 

    Lorsque j’habitais en Côte d’Ivoire, je me murmurais souvent que « la chaleur et la pollution intense d’Abidjan risque de m’avoir un de ces jours ». Chaque matin au réveil, je ressentais que mon corps était chaud bouillant, comme si je venais de passer 20 minutes dans un sauna. Je transpirais beaucoup, et je fatiguais très rapidement.  C’était une chaleur prenante, épuisante, et inconnue pour une jeune femme qui venait de Paris.

    Paris a beau être la plus belle ville du monde, on se retrouve bien plus souvent, nez à nez avec une belle pluie torrentielle, qu’un soleil lumineux et étouffant. Ceci-dit, c’est bien, en Côte d’Ivoire, que je me suis rendue compte que je préférais les climats tempérés aux climats arides. Et pourtant la climatisation est installée de partout … mais la clim ce n’est pas ce qu’il y a de plus sain.

    C’est sans doute très psychologique, mais j’avais l’impression que mon corps subissait beaucoup de choses négatives dans ces conditions. J’étais alors beaucoup plus stricte face à mon hygiène de vie. Je dormais 9 heures par nuit quoi qu’il arrive, je buvais 3 litres d’eau par jour, je mangeais beaucoup de fruits et légumes (vitamines), de protéines (poulet braisé), et je faisais du sport à chaque pause déjeuner en semaine de façon à garder la forme mais aussi la pêche.

    Mon grand avantage c’est que je ne fume pas et que je n’ai jamais fumé. Et plus que tout, j’ai été amenée à faire plusieurs monodiète.

    Qu’est-ce que la monodiète ?

    Le principe de la monodiète c’est de manger sur une durée de 3 jours, un aliment unique. Trois journées sont préconisées mais une journée ou deux c’est déjà pas mal.

    Les monodiètes les plus recommandées sont celles à base de pomme, de riz ou de raisin. Mais c’est à vous de décider ce que vous souhaitez manger durant cette période, car ce n’est pas un moment facile.  Évidemment on évite de choisir les M&M’s 🙂 !

    L’objectif est de nettoyer l’estomac de toutes ses impuretés et de repartir sur une  bonne base.  Car on a tendance à beaucoup polluer cet organe avec le sucre , l’alcool, la cigarette, les mauvaises émotions , et pourtant l’estomac est le deuxième cerveau.  Il faut apprendre à en prendre soin.

    mono-diet pommes

    Comment m’est venue l’idée de la monodiète ?

    J’ai fait des rencontres multiples en Côte d’Ivoire, toutes aussi intéressantes les unes que les autres.  Un jour je fais la rencontre d’un jeune franco-libanais d’une trentaine d’années, qui était passionné par « la loi d’attraction », « le positivisme », « la méditation » et le « yoga ». Toujours à l’affût de nouvelles méthodes, pour entretenir son corps et son esprit. Les deux sont étroitement liés ne l’oublions pas. Il sortait justement d’une monodiète et m’en a fait beaucoup d’éloges « Charlotte, mon corps revit, de même pour mon esprit, je me sens apaisé et c’est très agréable ».

    Je décide alors sans plus attendre d’en faire une.  Dans la continuité évidemment de mon hygiène de vie irréprochable que j’abordais la bas.

    mono-diet pommes

    Ma monodiète à moi

    Je décide de choisir la pomme, fruit que j’affectionne particulièrement et facile à manger. En choisissant la pomme j’avais la possibilité de manger des pommes crues, mais aussi de la pomme cuite au four, de la compote, de boire du jus de pomme pressé… ça s’arrête là ! (Rires)

    mono-diet pommes

    C’est parti pour 3 jours de terreur

    1er jour : le premier jour ne fût pas le plus difficile.  J’avais encore des stocks de nourriture en moi pour tenir en ne mangeant que de la pomme. Et ceci sans me plaindre et sans ressentir de sensation de faim. Mes collègues pouvaient manger des plats succulents devant moi, ça ne me donnait aucunement envie. J’étais plus que motivée à tenir sur l’intégralité de ces trois jours. Je pensais fortement aux bienfaits que ça allait avoir sur mon corps.

    2 ème jour : au réveil les gargouillements commençaient à se faire entendre.

    J’avais une envie folle d’un bon pain au chocolat bien gras, mais il fallait que je persiste. Je n’avais fait qu’une seule journée jusqu’à présent, ce n’était pas grand chose. Sans plus attendre je me dirige vers le réfrigérateur ,  je l’ouvre, et je pris ma compote de pommes faite maison en guise de petit déjeuner.  « Quel délice » m’obligeais-je a me dire.

    Le midi à la pause déjeuner c’est avec 3 pommes que je suis venue au bureau.  Je les enchaînais les unes après les autres. Je voyais ma collègue Myriam en face de moi qui mangeait quant à elle un foutou poisson. Je la regardais avec des grands yeux désespérés. J’avais profondément envie de ce foutou poisson , et pourtant ce n’était pas mon plat africain préféré.

    Le soir je rentre chez moi, un peu affaiblie, je passe au « Casino » (supermarché le plus connu à Abidjan) me racheter des pommes. Devant le rayon CHIPS, je me demande si j’en achèterais pas un paquet pour le dévorer devant ma série préférée du moment « Stranger Things », mais j’ai résisté.   1 kilo de pommes acheté, je remonte chez moi.

    Ce soir-ci je me fis des pommes au four : grandiose et tellement original (rires)

    3 ème jour : le 3 eme jour fût le plus compliqué. Par moment, je tiens à l’avouer, que je me sentais un peu faible. Mais il ne fallait pas que je lâche mon challenge.  Chalengeuse que je suis !

    Je commençais à ne plus aimer la pomme, voir la détester. Cet aliment qui me causait tant de mal. Mes journées se ressemblaient terriblement. Comme quoi, la nourriture peut guider une bonne partie de nos vies quand on est gourmand.

    Ce soir là, je suis rentrée chez moi un peu énervée, car je commençais très sincèrement à avoir faim. Je ne jugeais que par la pomme, j’oubliais les saveurs multiples qui existent de nos jours : les épices, le fromage, le vin, le chocolat fondu …   Et pourtant, le lendemain matin, c’est avec le sourire que j’ai réussi à me dire que j’avais tenu trois jours et pour la bonne cause : celle de purifier mon corps et mon esprit.

    mono-diet pommes

    Les effets positifs sur moi

    J’ai en effet ressenti de nombreux effets positifs sur mon corps mais aussi sur mon esprit.

    Sur le corps : 

    • Une peau plus lumineuse , et moins granuleuse 
    • Le ventre moins gonflé et plus plat
    • Les cheveux plus doux
    • Les cernes moins creusées et plus atténuées
    • Le corps plus léger de façon général

    Sur l’esprit : 

    • Moins agressive, plus apaisée
    • Moins fatiguée 
    • Plus active

    Je vous conseille pleinement de faire une monodiète à chaque changement de saison.

    Attention à bien se préparer en amont en mangeant sainement.

    C’est plus difficile de faire une monodiète après avoir mangé des plats copieux et gras durant les jours qui précèdent.  Et puis ce n’est vraiment pas conseillé, car c’est un choc très brusque.

    La sophrologie peut être un bon parallèle à la monodiète. Cette technique vous apprendra à respirer, vous relaxer, lâcher prise et réussir à penser à vous faire du bien !

    Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

  • Je Switch, tu Switch, il Switch… nous Switchons …. ! 

    Je Switch, tu Switch, il Switch… nous Switchons …. ! 

    Vous est-il déjà peut-être arrivé de vous demander si vous aimez réellement ce que vous faites dans la vie ? Je veux dire par là : avez-vous une forte passion pour votre métier, ou l’exercez-vous de façon linéaire juste pour répondre aux besoins vitaux quotidiens : payer son loyer, payer ses factures, rembourser son prêt … manger à sa faim, et réussir à aller au cinéma une fois de temps en temps ?

    La raison ou la passion ?

    Selon une étude menée par BFM, 2 français sur 5 souhaiteraient transformer leur métier en passion, mais sont actuellement même dans une position où leur métier n’est qu’alimentaire alors qu’il est perçu comme « prestigieux » pour beaucoup de leur entourage. Comme quoi l’entourage, il faut parfois le laisser où il est, et n’écouter que son cœur.

    Quand je dis alimentaire, il s’agit souvent d’un métier qui a été choisi dans la continuité d’études ou d’une formation exercée ou même influencée par le souhait d’une personne extérieure « mon père veut que je sois dans l’immobilier, il veut que je sois médecin », ou alors d’un métier choisi par obligation, car aucune étude n’a été faite.

    Souvent, ces personnes se disent alors « c’est comme ça et pas autrement … mon boulot je l’exerce depuis des années, et puis j’avance dans l’âge, ce ne sont plus des questions à me poser ».  

    Meditation

    Même si nous ne passons finalement que 12 % de notre vie au travail, soit 10 ans si nous aplatissons le tout, c’est déjà énorme, surtout si vous allez chaque jour à reculons au travail. Imaginez, 10 ans de trop à souffrir d’un mal-être professionnel, ou d’un ennui profond.  Et puis, tous les petits tracas mentaux sont source de maladies graves. Il faut vraiment y remédier … !

    Beaucoup n’aiment pas leur travail mais se disent , « oui mais que puis-je faire si je n’ai finalement des compétences que dans ce domaine? ». Faux et archi faux. Chaque être humain a des compétences multiples, et surtout, sans le savoir, dans des secteurs souvent enfouis.

    Le problème de fond c’est qu’ils ne se connaissent pas assez, car ils ne se posent pas les bonnes questions, au bon moment. Ces personnes-là suivent le mouvement – et ce que le conformisme et le jugement de la société – veulent faire d’eux.

    D’un point de vue personnel

    J’ai fait partie intégrante de ces personnes pendant 7 ans de ma vie professionnelle. Et encore, je n’ai que 28 ans, je suis jeune, et je ne fais pas partie de ces personnes qui switchent après 30 ans de carrière. Je ne suis peut-être pas l’exemple parfait… Mais j’admire ces personnes qui osent franchir le pas.

    De mon côté, j’ai fait des études en marketing durant 5 ans, il fallait alors de façon linéaire que je travaille dans un grand groupe, car il y a une plus forte NOTORIÉTÉ quand vous travaillez chez L’Oréal , que dans une start-up à faible budget. Ma foi, ce ne sont que des étiquettes et des étiquettes, c’est tout ce que je déteste, mais j’ai été victime de ces étiquettes, extraites de l’élitisme à la française.

    Et puis de façon toute aussi robotisée, il fallait que je sois en CDI, car en France c’est le seul et unique graal… et pour finir il fallait que je passe plus de 2 ans dans une entreprise à chaque fois, car cas contraire, tu es considérée comme une personne « perdue », et qui semble être instable.

    Sauf que de mon côté, j’aurais pu m’attacher aux signes d’un besoin de changement, bien plus rapidement qu’après 7 ans de contrat.

    Je changeais de travail (tout en respectant mon idée de rester dans de grands groupes), tous les ans, et puis je n’étais pas tant que ça attachée au CDI, car je n’aimais pas me sentir enfermée dans un cadre. A l’heure actuelle où j’écris ces lignes, je n’aime toujours pas cela…Pour en finir avec mon passé professionnel, la hiérarchie plus qu’ancrée du grand groupe, et les lourdeurs administratives n’étaient pas faites pour moi.

    Bien que ces signes étaient bien présents je continuais à me dire que j’aimais le marketing, j’aimais les grands groupes, j’aimais les Open Space, j’aimais le conformisme car tout simplement il fallait aimer cela, sous peine d’être montrée du doigt comme une personne « marginale » et « différente ».

    Une vraie prise de conscience

    Les années ont passé, j’ai pris le temps de voyager, de voir autre chose, de partir loin de tout, de m’aérer, et puis je me suis officiellement découverte, en effet comme une personne « différente » clairement, « marginale » sûrement pas, mais qui comprenait que les mœurs et la notion du travail pour chacun d’entre nous évoluaient et qu’il fallait l’assumer et s’assumer.

    Le travail n’a plus la même valeur qu’il y a 30 ans et il faut le comprendre. A l’époque, dans la génération de nos parents, il fallait à tout prix être « stable » en évoluant dans une même entreprise et un même secteur toute sa vie. Il ne fallait pas déjouer son schéma de vie. Aujourd’hui vous pouvez être boulanger, puis restaurateur, puis comptable, puis entrepreneur dans l’It… et cela en une seule vie.

    Tout va très vite, voire trop vite,  notamment grâce à la montée en puissance d’internet, et du surplus d’informations reçuu à la minute. Ce qui n’existait pas à l’époque de nos parents… La vie est ainsi ! Ils ne faut pas rester fermé dans une case.

    « Charlotte, tu es faite pour conseiller les autres »

    De mon côté je commençais à prendre goût pour les métiers liés au social et à l’introspection; j’étais déjà « la psychologue » de beaucoup de mes amis et on me répétait sans cesse « Charlotte tu es faite pour conseiller les autres et les faire clairement évoluer. » Certes j’étais faite pour conseiller, mais je ne savais pas par où commencer et de quelle façon pour m’implanter dans ce domaine.

    Fallait-il que je refasse des études, ou juste une formation à distance ? Est-ce qu’il fallait lire des livres en particulier ? Est-ce qu’il fallait que je me tourne vers des personnes précises ?

    Toutes ces questions qui me trottaient dans la tête, me faisaient un mal fou car elles me confrontaient à la réalité de ma vie… mais à la fois m’ont permises de me connaître.

    SWITCH COLLECTIVE ? Qu’est-ce ?

    Un jour, une amie me parle de Switch Collective, nouvelle start-up d’accompagnement vers la reconversion professionnelle.  Elle me dit « Charlotte, c’est une formation qui dure un mois et demi, à hauteur d’un jour par semaine.  Nous sommes un groupe de 40 personnes de tout âge, et je suis d’ailleurs la plus jeune. 40 personnes qui veulent se reconvertir mais qui ne savent pas par où commencer.  Tu vas rencontrer des gens fabuleux, tu vas faire des exercices très profonds, qui vont changer ta vie ».

    Switch Collective me disait-elle ? Je cherche sur internet, je regarde le groupe Facebook, je regarde des vidéos You Tube et ma décision était prise : il faut que je le fasse !!

    Inscription archi facile, pas grand-chose à remplir (la corvée administrative que chacun évite), et puis des contacts forts réactifs. Dix jours avant le commencement, il y a eu une phase de travail en amont. Réception de mail chaque jour, ou nous devions répondre à des test de personnalités, de valeurs, d’habitudes… !  Il fallait arriver dans la Switch house avec un minimum (je dirais même un maximum de contenus) sur soi.

    « Moi différente ? Moi marginale ? »

    Arrivée la bas le premier jour, je me suis dit pour la première fois de ma vie : « Moi différente? Un peu marginale? « Qui file un mauvais coton » ? Absolument PAS. Je me retrouve avec 40 personnalités extrêmement fortes et affirmées, et en effet de tout âge.

    Des personnes qui ont évolué dans des domaines différents. Certains étaient dans la banque, dans la finance, dans le commercial, le marketing, d’autres comédiens, d’autres dans l’informatique… beaucoup avaient des postes à fortes responsabilités avant de décider de Switcher. Assez impressionnant d’ailleurs !!!  Quoi qu’il arrive nous étions tous là pour « switcher ».  Alors Switchons et faisons le bilan de façon progressive et ludique. C’est parti !!!

    Il fallait choisir un binôme qui serait une sorte de miroir à soi, durant toute la formation. Les consignes des exercices se donnaient  en groupe, mais nos réponses étaient analysées par notre binôme. Quelle puissance de devoir se livrer avec tant de liberté et de sincérité à un inconnu.

    Les exercices sont des exercices pour apprendre à se connaître et ressortir après 6 semaines de formation, avec une personnalité encore plus affirmée, assumée, et dans la direction d’un nouveau métier.

    Tu fais le bilan à travers des exercices de 30 minutes/ 1heures qui répondent à :  d’où tu viens ? Quelles sont tes qualités principales? Tes défauts principaux ? Tes soutiens dans la vie ? Tes inspirations au quotidien? Tes rêves réalisables ou plus difficilement atteignables? Ton rapport aux règles ? Ta capacité à juger? Ton rapport aux émotions… ? Les pensées qui traversent le plus souvent ton cerveau…? Tes plus grandes déceptions dans la vie? Tes moments les plus marquants? Ton rapport à ton corps? Ce qui aggrave tes peurs, ta nervosité …. ?

     

    L’objectif principal est d’apprendre à se connaître par cœur, à tel point de réussir à savoir ce que tu ne feras plus jamais, ce qui va à l’encontre de ce que tu es, de tes valeurs… Et surtout prendre confiance en soi pour se lancer dans une nouvelle vie professionnelle, malgré le fait que ce soit certes difficile.

    Quitter une zone de confort, tirer une croix sur l’aspect financier régulier, les horaires cadrées, les consignes… ! Faire preuve d’indépendance, en passant certes par des moments difficiles, mais pour la bonne cause : celle d’être enfin heureux.

    Comme le disait si bien Confucius «  Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour dans votre vie ».  

    Vous trouverez ci-dessus, trois vidéos de switcher, qui ont parlé de leur Switch avec aisance devant des sessions d’élèves Switch Collective.

    Cette formation a officiellement changé ma vie et ma perception envers le changement et le fait de se poser des questions. Notez bien qu’il existe de nombreuses formations de ce type, à prix variés, et que je ne fais aucunement une publicité pour cette entreprise en particulier, mais plutôt un article sur le concept.

    C’est finalement la meilleure chose qui puisse nous arriver. Creusez, et découvrez ce qu’il y a en vous !!! On ne se le demande malheureusement pas assez, par peur de souffrir, ou d’être mal vus !

    Aujourd’hui je suis officiellement sophrologue, et je vous en parle dans d’autres articles de ce blog, en espérant que cela vous intéresse.

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue