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  • Le sexe gouverne-t-il le monde ?

    Le sexe gouverne-t-il le monde ?

    Dominique Strauss Kahn, Harvey Weinstein, Silvio Berlusconi, Bill Cosby, Karim Benzema, Le Père Preynat … Qui n’a pas suivi ces affaires ou au moins entendu ces noms dans les médias ? Leur point commun : le scandale sexuel. Depuis plusieurs années les révélations de frasques sexuelles ne cessent d’être divulguées dans la presse et à la télévision et sont presque devenues « habituelles » … malheureusement ! Politiques, réalisateurs, acteurs, sportifs, prêtres… Tous les domaines sont touchés par les dérives sexuelles. Du Show-Biz à l’Église, de la simple tromperie au viol en passant par la pédophilie, ne serions-nous pas totalement égarés sur le chemin du plaisir sexuel ? Pourquoi cet acte, à la base si naturel et jouissif, est-il devenu, pour certains, une arme de destruction massive ? Pourquoi a-t-on transformé ce moment de partage et d’intimité en coucherie animale et barbare ? Quelle image positive pouvons-nous garder du sexe à l’heure de tous ces scandales qui éclatent et défilent sur tous nos écrans ? Est-il encore possible de le voir comme un acte de partage et d’amour entre deux partenaires consentants ? Le romantisme a-t-il encore sa place dans un monde où les films pornographiques se regardent comme une série TV ? Et qu’en est-il du sexe dans le milieu professionnel ? Le fameux « balance ton porc » anciennement appelé « promotion canapé » montre que nous ne sommes pas dans la fiction, mais dans une réalité bien réelle… si je peux dire cela comme ça… !

    Le sexe, un acte de reproduction, d’amour qui peut devenir une arme…

     L’acte sexuel est depuis la nuit des temps, chez les hommes comme chez les animaux, un acte naturel de reproduction. Mais chez les hommes, plus qu’un simple besoin primaire, il représente aussi un moment de partage, de plaisir avec l’être aimé. Cette attirance physique qui existe entre deux personnes fait naître en elles un désir profond, charnel qui se traduit par l’acte sexuel mais aussi toute la tendresse qui l’entoure. Extraordinaire pulsion de vie qui nous traverse, la relation sexuelle relie le bien-être du corps et les attentes de l’esprit, nos appétences naturelles au plaisir et nos besoin culturels d’harmonie et de respect. Elle est un essentiel de la vie. Le couple amoureux étant le premier sujet de préoccupation des Français.

    Mais cette vision romantique voire idyllique de l’acte sexuel est-elle vraiment celle qui prime aujourd’hui ? N’est-elle pas entachée par tous ces scandales sexuels qui polluent nos écrans et la presse ? N’est-il pas devenu un « outil » pour arriver à ses fins voire même une arme ? La réalité n’est-elle pas beaucoup plus sombre qu’on veut le croire ?

    Balance ton porc… : la « promotion canapé » enfin dénoncée…

     

    Malheureusement, coucher pour réussir professionnellement n’est pas une fiction. Cette pratique est bien plus répandue qu’on peut le penser. Si pour la plupart d’entre nous un entretien voué à nous confier de nouvelles responsabilités ou une promotion sont un échange avec notre supérieur, pour d’autres celui-ci peut prendre une toute autre tournure … Si l’évolution dans une entreprise est théoriquement liée à nos compétences et notre expérience, en pratique, ce n’est pas toujours le cas. En effet, certains patrons ne se basent pas, tout à fait, sur les mêmes critères, si vous voyez ce que je veux dire ! Faut-il alors payer de son corps pour réussir ? Pour certains oui !

    Selon le sexothérapeute Alain Héril « Compétition, consommation et performance, qui sont les fondements de notre économie, revêtent plusieurs formes dans notre société, et le sexe peut être une d’entre elles. Notamment dans les entreprises qui fonctionnent sur le principe tacite de “la fin justifie les moyens”. » Il ajoute que l’entreprise est un monde dans lequel chacun est l’objet de l’autre, régi par la notion de plus-value. Cette pratique serait alors banale, répandue et acceptée par tous ? Non, loin de là. Si certains y trouvent leur compte, d’autres au contraire en subissent les conséquences qui peuvent être dramatiques.

    En effet, si elle peut être consentie parfois, elle est souvent contrainte. Cela peut se traduire par du chantage, la personne ne sera alors promue que si elle répond aux avances, ou pire par du harcèlement au quotidien. Pratique beaucoup trop utilisée aujourd’hui dans nos entreprises, certaines femmes osent parler pour la dénoncer. Mais qu’en est-il de celles qui se taisent et vivent ce calvaire tous les jours au travail ? Doit-on laisser le sexe prendre la place des conventions d’entreprises sans rien faire comme on respecterait les règles d’un jeu ?

    Ne soyons pas non plus trop catégorique. Certaines femmes savent aussi parfaitement user de leurs atouts… si je puis dire… pour grimper les échelons !

    Aussi, si l’acte sexuel est utilisé comme un outil de chantage en entreprise, il peut aussi devenir une réelle arme de destruction massive répandue grâce, ou plutôt « à cause », d’Internet et de ses nombreux sites de streaming et réseaux sociaux. Il est, en effet, très simple aujourd’hui d’avoir accès au « sexe ». Tellement simple, que même des mineurs peuvent, sans aucune difficulté, regarder des films pornographiques réservés normalement aux personnes majeures.

    Le sexe sur Internet : un puits sans fond qui peut mener au drame

    Streaming, sites de rencontres, réseaux sociaux, autant de terrains de chasse pour les addicts au sexe mais aussi pour les pédophiles et agresseurs sexuels. Disons-le d’emblée, l’industrie du sexe est l’une des industries les plus florissantes au niveau mondial !

    Et c’est là que se trouve le réel danger d’Internet ! Ce dernier est devenu un dangereux facilitateur pour les personnes dépendantes et un « free space » pour les prédateurs. Véritable mine d’or, le Net regorge de vidéos pornographiques gratuites mais aussi de proies faciles confortablement installées derrière leur écran tchattant sur des sites de rencontres ou sur les réseaux sociaux. Comment être sûr(e) que je parle avec la bonne personne ? A-t-elle mis sa vraie photo ? Dois-je accepter le rdv ? Est-il possible que ce soit un traquenard ? Qui ne se pose pas ces questions aujourd’hui après les multiples histoires tragiques recensées dans les médias ? Comment peut-on échanger en toute confiance sur internet sans avoir cette peur du prédateur qui nous guette via son écran ? Comment les parents peuvent-ils laisser sereinement leurs ados naviguer sur internet alors que nous sommes matraqués par les publicités pornographiques et que nous avons un accès illimité aux vidéos ? Dans une société traumatisée par les scandales sexuels, de pédophilie ou de viol, peut-on encore avoir confiance en l’Homme ?

    Lorsque l’on perd le contrôle…

    La relation contrainte au sexe et à la pornographie est reconnue comme une addiction sans drogue parmi les plus destructrices pour les individus. Tabou, elle est souvent déniée par ceux qui en souffrent. Si nous traitons souvent ces personnes « d’obsédés sexuels », eux préfèrent se qualifier « d’addicts à l’amour », c’est quand même plus chic… n’est-ce pas ? Les médecins nomment cela le « donjuanisme » : un besoin irrépressible de séduire et de coucher avec le plus grand nombre de femmes possible, d’accumuler les conquêtes sans vraiment en ressentir du plaisir. Jugée comme la toxicomanie sans produit, l’addiction sexuelle est prise aujourd’hui très au sérieux en raison des dégâts qu’elle cause aux individus et des risques de dérapage qu’elle comporte. Mais alors que le sexe est un besoin primaire de l’espèce humaine au même titre que la nourriture, comment évaluer le « trop-de-sexe ? » Les addictologues précisent qu’il y a une pathologie de perte de contrôle lorsque la fréquence de l’acte sexuel est excessive et non contrôlée et qu’elle a des conséquences négatives pour la personne et son entourage. On comprend aisément qu’il est difficile d’évaluer le nombre de malades du sexe dans notre société actuelle. En effet, comment faire la part des choses entre les simples « papillons » qui profitent de leur célibat pour tchatter sur les sites de rencontres et regarder des films pornographiques de temps en temps et les réels malades « addicts au sexe » ? La frontière est tellement mince qu’une consommation effrénée de pornographie en ligne, ou cybersexe, pousse souvent les adeptes de ce « e-porno » vers l’addiction.

    À noter également, que le rapport au sexe est également différent entre un homme et une femme ! J’espère vous en parler dans un prochain article…

    Victimes ou agresseurs, des aides existent

     Que l’on soit victime du sexe ou addicts, de nombreuses aides existent pour vous aider à vous en sortir. D’un côté comme de l’autre, il ne faut pas se murer dans le silence mais appeler au secours pour retrouver le chemin d’une vie plus apaisée et plus saine.

    Pour les victimes, il existe des aides nationales :

    • Le CFCV (Collectif Féministe Contre le Viol)
    • Viols Femmes Informations
    • Associations régionales/locales

    Pour les pour les personnes dites « addicts »,

    • Les centres d’addictologie pour les dépendants sexuels
    • Les hôpitaux
    • Les associations régionales/locales

    Conclusion

     Si le sexe ne gouverne pas le monde mais bien les hommes, ces mêmes hommes utilisent parfois leur sexe pour dicter leurs lois ! Arme puissante et parfois dévastatrice, le sexe est devenu aujourd’hui un outil comme un autre pour arriver à ses fins. Simple plaisir à assouvir, il est devenu pour certains une réelle addiction à soigner. Le prédateur, difficile à trouver dans cette jungle qu’est notre société, voit son terrain de jeu s’étendre à l’infini avec Internet et l’accès illimité aux vidéos pornographiques, sites de rencontres et réseaux sociaux en tous genres. Et c’est bien là le problème ! Trop banalisé, nous sommes tous devenus de probables victimes aussi bien au travail, dans la rue ou, plus incroyable encore, bien installés au chaud dans notre canapé derrière nos écrans… Alors, je ne sais pas s’il est trop tard ou pas, mais faisons en sorte, qu’à titre personnel, le sexe reste avant tout un réel moment de complicité et de plaisir ! Et si vous êtes une victime, n’hésitez pas à me contacter

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

  • Et si nous nous libérions de nos attentes ?

    Et si nous nous libérions de nos attentes ?

    En ce début d’année 2019, j’ai envie d’évoquer avec vous, un sujet qui me tient à cœur. Il s’agit de l’attente. Pas n’importe laquelle, l’attente qui nous rend dépendant, qui nous torture l’esprit, et qui par là même occasion nous fait le plus souvent souffrir.

    Car en effet, comme nous allons le voir, il y a différents types d’attente. Certaines sont plutôt saines, et peuvent même être source de joie, mais d’autres sont carrément nocives et engendrent une véritable souffrance. Surtout celles que nous éprouvons envers les autres, et parfois même celles que nous éprouvons envers nous-même. Mais étonnement, les attentes que nous éprouvons envers les autres sont bien plus importantes que celles que nous avons envers nous-même.

    Et pourtant, attendre des autres, si nous y réfléchissons… c’est mettre notre bonheur entre leurs mains. Comme s’il en dépendait. Quelque part, c’est donc ne pas maîtriser sa vie.

    Et bien sûr, si nos attentes ne sont pas satisfaites, nous en souffrons, et parfois de façon cruelle, surtout dans le domaine amoureux, par exemple. Et plus nous sommes sensibles, plus c’est difficile.

    Alors comment faire pour se libérer de ce fardeau ? Quelles sont les conséquences de tant attendre des autres ? Ne devons-nous pas être maître de notre vie ? Et à cette dernière question, la réponse est : oui, en tout cas pour ma part. Car, même si je suis encore jeune, j’ai appris qu’il était indispensable de faire en sorte de vivre pour soi, ou tout au moins d’essayer d’écouter la petite voix qui est nous, et qui nous guide vers ce que nous voulons vraiment. C’est en tout cas, à mon humble avis, le chemin du bonheur.

    Les différents types d’attentes et ce qu’ils engendrent

    Ce n’est pas si facile de définir l’attente. Pour simplifier, on pourrait dire que l’attente est « un état dans lequel on est » en espérant que quelque chose arrive ou que quelqu’un fasse quelque chose. C’est aussi « compter » sur quelqu’un ou sur quelque chose pour satisfaire nos attentes. Et pensez-y : on ne vit qu’avec des attentes. Essayons de distinguer les attentes et leurs effets.

    Attendre que quelque chose arrive ou que quelqu’un fasse quelque chose

    Dans ce premier cas, il s’agit d’attendre quelque chose qui est plus ou moins prévu. Et l’attente peut parfois être agréable. En effet, par exemple, moi qui adore faire des treks, dès lors que j’ai décidé d’en faire un, je brûle d’impatience que la date de départ arrive. Et dans ce cas, l’attente est, disons-le, plutôt excitante. C’est comme quand nous étions enfants et que nous attendions le Père Noël ! Ces attentes sont plutôt positives car lorsque la chose attendue arrive, nous éprouvons une véritable joie. C’est alors une source de bonheur. Ne dit-on pas : « plus on attend, meilleur c’est ? »

    En fait, dans ce cas, c’est plus une question de patience, que de résultats. On connaît le résultat et on se contente de l’attendre.

    Mais alors, pourquoi l’attente n’est-elle pas toujours source de joie ? Parce que dans le type d’attente précédent, comme je vous l’ai dit, on connaît le résultat : la notion d’incertitude est très faible. On ne doute pas ou alors très peu. On est quasiment certain que l’évènement se produira. Mais dès lors que l’incertitude devient importante, le doute grandit, la peur augmente, et on finit par souffrir. C’est souvent ce qu’il se passe dans le deuxième cas.

    Compter sur quelqu’un ou sur quelque chose pour satisfaire nos attentes

    Et en effet, dans ce deuxième cas, quand l’attente ne dépend pas de nous, et quand on « compte » sur quelqu’un pour satisfaire notre propre attente, ou que l’on attend que les choses viennent des autres ou nous tombent du ciel, là, l’attente est en fait une véritable source de stress. On vit dans le doute, dans l’incertitude. En fait, on veut que quelque chose arrive mais ça ne dépend pas de nous. Dans le travail, souvent, on se fixe des objectifs très élevés, mais malheureusement, et même si on est très consciencieux, ce n’est pas évident de les atteindre… On vit alors dans le stress, l’angoisse, la peur… Ce qui peut aussi engendrer une perte de confiance en soi !

    Ou alors, dans sa vie sentimentale, on espère toujours quelque chose de la part de son amoureux. Qu’il dise ceci, qu’il fasse cela… Et, là c’est encore pire, si l’autre ne réagit pas exactement comme on le souhaite, on éprouve alors de la déception, de la tristesse, car nous ressentons de la frustration.

    Et des exemples comme cela, il y en a des centaines, et dans tous les domaines de notre vie.

    Sommes-nous tous égaux face à l’attente ?

    Non, sûrement pas ! En général les gens qui sont dans l’attente et qui en souffrent le plus, sont des personnes qui veulent tout contrôler, qui sont dans la maîtrise. Ils ont aussi le souci de la perfection. Ils pensent qu’en agissant sur les choses, ils vont les modifier.

    Et plus ils auront agi, plus ils attendront que le résultat corresponde à ce qu’ils voulaient. Et moins le résultat sera là, plus ils souffriront.

    En fait, quand on est trop dans le contrôle, c’est que l’on manque d’estime de soi, et de confiance en soi. On recherche alors à « prouver que ».

    Aussi, nous ne sommes pas égaux face à l’attente. Plus notre estime de nous est abîmée, plus on souffre face à des attentes inassouvies.

    Mais que faire ?

    Il faut accepter (mais surtout comprendre) le fait que le résultat de quelque chose ne dépend pas de nous, en tout cas pas seulement. Sauf quand cela nous concerne directement. On est alors maître des décisions que l’on prend et des résultats. Par exemple, quand on décide de faire un régime, on est seul responsable des résultats. Mais dès lors que le résultat implique d’autres personnes ou de notre environnement, on ne maîtrise jamais les choses. Et on a beau se mettre en quatre pour atteindre notre objectif, on n’a pas le pouvoir d’influer sur les autres, sur leur façon d’agir ou de penser.

    Il faut alors lâcher prise. Apprendre à se dire que de notre côté, on a fait notre possible. Avoir bonne conscience, et si on n’a pas le résultat escompté, se dire que ce n’est pas notre faute.

    Mais rassurez-vous, je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire !

    Quels sont les bénéfices à vivre sans attente ?

    Vous l’aurez compris, on a tout intérêt à apprendre à limiter nos attentes. Je ne dis pas les supprimer, car c’est impossible de ne plus avoir d’attentes ! Sauf si on décide d’aller se retirer dans un temple bouddhiste (rires).

    En fait, déjà, il faut prendre conscience que, lorsque l’on vit dans l’attente, on ne profite jamais du moment présent. Les gens qui sont dans l’attente sont focalisés sur le futur, en imaginant sans cesse des hypothèses qui finissent par polluer le cerveau. Exemple encore dans la vie professionnelle en tant qu’autoentrepreneur : vous avez des clients le jour J, mais on s’inquiète toujours de ce que sera le mois suivant. Non pas qu’il ne faille pas le faire, car en effet, il faut se préoccuper du mois suivant. Mais en général, on pense plus au mois suivant qu’à la satisfaction d’avoir déjà un client le jour J. Ce qu’il faut c’est déjà savoir apprécier le jour J. Que cette satisfaction soit supérieure au stress engendré par le mois suivant.

    Dans sa vie amoureuse, et quand on est vraiment amoureux, c’est plus difficile. Dès que les sentiments s’en mêlent, il est presque inévitable qu’une attente se crée. On est dans l’espoir que l’autre éprouve les mêmes sentiments, et on espère(attend) surtout de lui qu’il le montre. Le problème, c’est que l’on espère que l’autre agisse strictement comme nous ne le faisons ou comme nous nous le voulons. S’il le fait, on est comblée, s’il ne le fait pas, on est déçue, et parfois cela fait mal. Or l’autre n’est pas nous. On donne souvent en espérant (en attendant) d’avoir quelque chose en retour. Et il faut apprendre à donner sans espérer que l’autre fasse la même chose. Là encore, c’est plus difficile à faire qu’à dire.

    Mais une chose est sûre, moins notre vie dépend des autres et de ce que pense les autres, moins on risque d’être déçue. Vivre avec moins d’attentes nous permet déjà d’apprécier le moment présent, de prendre de la hauteur, d’apprécier la vie comme elle vient.

    Conclusion

    Apprendre à ne plus attendre permet d’être plus en paix avec soi-même. Bien sûr, et je vous l’accorde, ce n’est pas évident. Mais vivre sans attente, c’est aussi accepter la réalité telle qu’elle est, et s’épargner beaucoup de déceptions, de colère, de souffrances, de frustrations.

    Moins on a d’attentes plus on se sent libre, et moins on souffre. On apprend à apprécier ce que l’on a, et non pas à ne penser qu’à ce que l’on n’a pas. Les frustrations s’estompent, et peu à peu, on s’aperçoit que vouloir tout contrôler est absurde car irréalisable.

    Limiter nos attentes, c’est augmenter notre liberté !

    La sophrologie peut aider dans ce but là, pensez-y !

  • Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !

    Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !

    Vous êtes gourmand ? Vous êtes curieux ? Vous ne savez pas vraiment où aller selon votre humeur? Cet article est fait pour vous.

    Alphonse Daudet disait ” La gourmandise commence quand on a plus faim “, mais il est encore plus plaisant d’aller au restaurant quand la faim nous prend. Pour ce qui est de la gourmandise, c’est à l’heure du goûter que l’on prendra plaisir à s’y attarder.

    Vous habitez Paris, vous adorez la gastronomie et parcourir les plus belles rues de la capitale pour y découvrir de nouveaux lieux ? Alors, réjouissez-vous ! Vous faites partie des hédonistes, ceux qui aiment profondément la vie et le plaisir.

    Cependant, force est de constater que nos envies varient selon la saison, selon notre humeur et surtout selon qui nous accompagne… Et ce n’est pas toujours facile de trouver le lieu qui correspond à nos états d’âme. De même, nous n’aurons pas les mêmes envies, si nous sommes seul(e), entre ami(e)s ou en amoureux !

    Alors, ayant parcouru la capitale avec les mêmes états d’ésprits que vous, j’ai eu envie de vous partager des idées de restaurants en fonction de votre mood du moment. Je sais, c’est l’hiver, et l’hiver c’est parfois compliqué d’avoir envie de sortir de chez soi, et pourtant, croyez-moi ou non, c’est important de vous aérer l’esprit, et surtout de vous faire plaisir.

    Nous avons une chance inouïe d’habiter la capitale avec un choix presque illimité en termes de cultures et de restaurants. Il est d’ailleurs souvent difficile de faire un choix parmi cette panoplie de lieux gourmands !

    Outre les restaurants que nous allons évoquer, et que j’ai pu tester et approuver, je vous conseille l’application @Dojo sur laquelle sont répertoriés une multitude de restaurants classés par thématique.

    De mon côté, tout comme beaucoup de jeunes de mon âge, j’ai une affection plus prononcée pour les 2e, 3e, 9e, 10e et 18e arrondissements. La majorité des restaurants que je vous conseille se situent dans ces quartiers magiques. C’est également l’occasion de les visiter seul(e) ou en amoureux en guise d’apéritif ou de digestif !

    Dimanche, c’est jour de brunch

    Que la journée soit pluvieuse ou plus lumineuse (ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas à Paris), le dimanche, c’est jour de BRUNCH. On oublie la déprime dominicale, on ne se trouve pas d’excuses, on se remue, et on profite de cette journée pour se faire plaisir et découvrir quelques adresses incontournables.

          1. Les Bonnes soeurs, 8 Rue du Pas de la Mule, 75003 Paris
          2. Bénédicte, 19 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris
          3. Le China, 50 Rue de Charenton, 75012 Paris
          4. Holly Belly, 5 Rue Lucien Sampaix, 75010 Paris
          5. Klay Saint Sauveur, 4 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris
          6. Marlette, 63 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris

    Brunch Bruschetta Bar: The ultimate brunch spread, customizable to the seasons and the foods you love most with something for everyone @halfbakedharvest.com

    Avec sa “target”

    Un dîner ou un déjeuner pour faire connaissance ? Avouons-le, ces prémices font partie des moments les plus agréables dans le couple. Ces premiers rendez-vous où l’on se découvre peu à peu, où chaque minute est un délice de plaisir indéfinissable. Quoi de plus agréable que de partager dans l’intimité quelques petits plats succulents ? Voici mes recommandations :

          1. Chez nous,10 Rue Dauphine, 75006 Paris
          2. Le Chalet des Iles, Bois de Boulogne
          3. Favela Chic, 18 Rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris
          4. Grazie, 91 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
          5. Eperozzo, 49 rue Pierre Charron, 75008 Paris
          6. Septime, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris

    C’est merveilleux quand on est amoureux

    L’amour, l’amour, l’amour … À tous les amoureux qui ont la chance d’habiter Paris, profitez autant que possible de la ville de l’Amour. Et même si vous n’habitez pas Paris, vous y viendrez peut-être en amoureux ! Quoi de plus romantique que de se programmer un tête à tête dans l’un de ces fabuleux lieux qui honorent la plus belle ville du monde ?
    Il existe dans cette merveilleuse capitale un nombre incroyable de lieux et de restaurants à découvrir en compagnie de votre âme soeur. Difficile de faire un choix, et impossible de tous vous les citer ! Voici ceux qui ont retenu mon attention lorsque j’étais très très amoureuse.

          1. Le Kong, 1 Rue du Pont Neuf, 75001 Paris
          2. Maison Maison, Face au, 16 Quai du Louvre, 75001 Paris
          3. Hôtel Amour, 8 rue de Navarin, 75009 Paris
          4. Les Ombres,27 Quai Branly, 75007 Paris
          5. Soma, 13 rue de Saintonge, 75002 Paris
          6. L’oiseau blanc, 19 Avenue Kléber, 75116 Paris

    Hotel Amour Such a lovely place to have breakfast - Next time we go I will try not to be so hung over !!

    Et si nous parlions des hommes, des vrais !

    Les hommes, tout comme les femmes, adorent se retrouver entre eux, et ils apprécient particulièrement la bonne cuisine. Ils ont, en plus, moins d’états d’âme que nous à se délecter : il est tout de même plus rare d’entendre de la bouche d’un homme qu’il fait attention à sa ligne (même si c’est parfois le cas). Et souvent, leurs choix de restaurants sont souvent plus gourmets que les nôtres. Alors, messieurs, voici quelques bonnes adresses !

          1. Chez Volver, 34 rue Keller, 75011 Paris
          2. Ober Mama, 107 Boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris
          3. Le relais de l’entrecôte, 101 boulevard du Montparnasse, 75006 Paris (il en existe plusieurs)
          4. Le barbe à papa, 18 Rue Condorcet, 75009 Paris
          5. Pollop, 15 Rue d’Aboukir, 75002 Paris
          6. Candelma, 73 Rue de Seine, 75006 Paris

    Le relais de l'entrecote | Le relais de l'entrecote

    La bonne nourriture fait aussi la belle créature

    Manger sainement, c’est en effet à la mode, mais pas que ! Il est prouvé que lorsque nous mangeons sainement, les répercussions sur le corps et l’esprit sont incommensurables. Non seulement nous gardons la ligne, mais nous améliorons notre forme, notre digestion, notre capacité à cicatriser et bien d’autres choses encore ! Alors pourquoi hésiter quand on peut manger sain et bon ?

          1. Maison Sauvage, 5 Rue de Buci, 75006 Paris
          2. Season, 1 Rue Charles-François Dupuis, 75003 Paris
          3. Primeur, 4 Rue Lemon, 75020 Paris
          4. Le potager de Charlotte, 12 Rue de la Tour d’Auvergne, 75009 Paris
          5. Les bols de Jean, 2 Rue de Choiseul, 75002 Paris
          6. Wild & The Moon, 55 rue Charlotte, 75003 Paris (il en existe plusieurs)

    Les Bols de Jean | 75002 Paris

    La fièvre du samedi soir entre femmes

    Les femmes sont particulièrement bavardes… et c’est peu de le dire! Quand un homme explique quelque chose en 2 mots bien précis, les femmes racontent la même chose en 372 mots. Nous aimons les petits détails croustillants, et nous l’assumons pleinement !

    C’est pourquoi nos soirées durent aussi plus longtemps, nous avons tant de choses à nous raconter. Alors voici 6 lieux incontournables dédiés aux femmes. À la fois confinés et chaleureux, vous vous y sentirez tellement bien que vous y passerez de longues heures à papoter de tout et surtout de rien (rires).

            1. Yoom, 20 rue des Martyrs, 75009 Paris
            2. Les Chouettes, 32 Rue de Picardie, 75003 Paris
            3. La Bocca della Verità,  2 Rue du Sabot, 75006 Paris
            4. Pink Mama, 20bis Rue de Douai, 75009 Paris
            5. La Mangerie, 7 Rue de Jarente, 75004 Paris
            6. Clamato, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris

    Pink Mamma à Pigalle | MilK decoration

    L’heure du goûter, c’est précieux

    Il n’y a pas d’âge pour apprécier les bonnes choses et notamment le goûter. Tout comme il n’y a pas d’âge pour aimer Noël, et surtout pour croire au Père Noël. Quoi de plus attirant qu’une pâtisserie ? Quel plaisir de les contempler. Elles nous narguent… On a souvent l’impression qu’elles n’attendent que nous ! Encore faut-il qu’elles soient bonnes. Les grands pâtissiers se font la part belle de nos jours, et à juste titre. Mais sachez que l’on trouve également d’excellentes pâtisseries dans certains coffee-shop, qui ne payent pas forcément de mine, vus de l’extérieur. Et voici mes endroits à pâtisseries préférés.

            1. Le Loire dans la théière, 3 Rue des Rosiers, 75004 Paris
            2. Ibrik, 43 Rue Laffitte, 75009 Paris
            3. Pâtisserie salon de thé Yann Couvreur, 23 bis rue des Rosiers, 75004 Paris (il en existe plusieurs)
            4. La patisserie Cyril Lignac, 55 boulevard Pasteur, 75015 Paris (il en existe plusieurs)
            5. Le 86 champs de Pierre Hermé, 86 Av. des Champs-Élysées, 75008 Paris
            6. Angelina, 226 rue de Rivoli, 75001 Paris (il en existe plusieurs)
            7. Alma the Chimney Cake Factory, 59 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris

    Tarte aux citrons

    Plus c’est tamisé, mieux ce sera !!

    Et si vous recherchez un restaurant, comment dire…, plus discret, moins lumineux, dans lequel vous vous sentirez plus à l’aise pour éventuellement cacher quelques petites (ou grosses) imperfections, sachez qu’il en existe aussi ! Ce serait dommage de rester enfermé(e), et de vous priver d’un bon petit repas, alors que vous pouvez très bien éviter que tous les regards se portent sur vous. Lumière tamisée garantie, on déstresse ! Personne ne remarquera vos petits boutons ou ne verra que votre jean est un peu (beaucoup) trop serré…

            1. Kadawari Ramen, 29 Rue Mazarine, 75006 Paris
            2. Mama Shelter, 109 Rue de Bagnolet, 75020 Paris
            3. Miss Ko, 49-51 Avenue George V, 75008 Paris
            4. Brasserie Barbès, 2 Boulevard Barbès, 75018 Paris
            5. L’Alcazar, 62 Rue Mazarine, 75006 Paris
            6. Les petites écuries, 40 Rue des Petites Écuries, 75010 Paris
            7. Derrière, 69 Rue des Gravilliers, 75003 Paris

    On aime: utiliser le plafond pour créer un environnement qui englobe le client

    Et pour sortir … !

    Et bien sûr, on ne rentre pas directement après le restaurant ! Allez boire une verre s’impose. Là encore, les bonnes adresses sont nombreuses, et si vous êtes en mode “festif”, je vous conseille quelques adresse méconnues et qui valent le détour. Ce sont des bars dits “clandestins”… Vous ne serez pas au bout de vos surprises… Vous entrez dans un lavomatic, un garage…, et derrière une autre porte, se cache… un bar. Franchement, allez-y, vous ne serez pas déçu(e).

            1. Le Gravity, 44 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris
            2. Le très particulier, 23 Avenue Junot, 75018 Paris
            3. La Candelaria, 52 Rue de Saintonge, 75003 Paris
            4. Pavillon du lac, Place Armand Carrel, 75019 Paris
            5. La Mezcaleria, 13 Boulevard du Temple, 75003 Paris
            6. Fine mousse, 4 bis Avenue Jean Aicard, 75011 Paris

    soixante-quinze des ronces