Là où les masques tombent,
l’enfant parle.
Là où les masques tombent,
l’enfant parle.
Celui que j’étais…
La nouvelle émission de charlotte Vallet
Retrouvez-moi à partir du 1er décembre sur YouTube, Apple Podcasts, Deezer et Spotify, chaque mercredi à l’heure du goûter, comme une madeleine de Proust que nous avons tous savourée, un jour, dans notre enfance.
@celuiquejetais
Celui que j’étais…
La nouvelle émission de charlotte Vallet
Retrouvez-moi à partir du 1er décembre sur YouTube, Apple Podcasts, Deezer et Spotify, chaque mercredi à l’heure du goûter, comme une madeleine de Proust que nous avons tous savourée, un jour, dans notre enfance.
@celuiquejetais
Ce n’est pas une émission.
C’est une descente.
Un vertige.
Une traversée jusqu’au cœur de ce que nous avons tous tenté d’oublier : l’enfant que nous étions.
Écrivains. Conférenciers. Artistes. Entrepreneurs. Porte-paroles.
On les connaît pour leurs livres, leurs performances, leurs prises de parole.
Mais derrière le vernis, derrière l’image, il reste toujours une zone interdite.
Un milieu social qui colle à la peau.
Une enfance avec ses blessures.
Une religion qui dicte sa loi.
Une croyance limitante qui enferme dans un “tu ne seras jamais assez”.
Un défaut, un toc, un handicap qu’on a voulu cacher.
Un corps trop grand, trop petit, trop féminin, trop différent.
Une couleur de peau qui rappelle toujours l’origine.
Une honte héritée d’histoires qu’on n’a pas choisies.
Une famille qui impose ses loyautés invisibles.
Des injonctions sociales qui dictent comment parler, marcher, se tenir droit.
Des silences qu’on avale pour “ne pas déranger”.
Je ne leur demande pas comment ils ont réussi.
Je leur demande comment ils se sont libérés.
Quelles chaînes ils ont brisées.
Quels masques ils ont dû arracher.
Quel prix il leur a fallu payer pour
rencontrer, face à face, celui qu’ils étaient.
Ici, pas de mise en scène.
Pas d’idole. Pas de posture.
Seulement une vérité nue.
Parfois radicale.
Parfois vertigineuse.
Toujours humaine.
Celle qui jaillit quand l’adulte baisse la garde.
Quand l’enfant intérieur, enfin, reprend la parole.
Parce que la liberté ne se trouve pas dans ce que l’on devient.
Elle renaît toujours de celui que j’étais.
Et parce que l’adulte est, trop souvent, un enfant raté.