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Catégorie : Vie
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Les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour vous élèvent
Qui a déjà ri bruyamment devant son téléphone en débriefant sa journée avec une amie au détriment du plat sur le feu ? Qui s’est déjà senti parfaitement à sa place lors d’une discussion banale avec la bonne personne ? Ils sont des amis, des collègues parfois, des amants, des amoureux, des soutiens, des références dans vos vies. Ce sont ces gens avec qui l’on échange facilement, que la vie n’arrête pas et qui semblent toujours prêts à vous soutenir. Et si parmi toutes les personnes que vous croisez, les cinq individus avec qui vous échangiez le plus vous élevaient ?
Des liens qui se renforcent au quotidien
Le charme de certains échanges se trouve bien évidemment dans leur rareté. Un ancien ami qui reprend des nouvelles de vous tous les dix-huit mois, ou cette amie qui est très occupée et que vous ne voyez finalement que trois fois par mois. Mais parfois, l’authenticité d’un échange prévaut sur son charme. Et privilégier des échanges avec les mêmes personnes, c’est s’offrir le choix de faire de cet échange un lien à part entière au fil du temps.
Et pour cause, les liens du quotidien, qu’ils se basent sur les conversations les plus banales ou les discussions les plus profondes, tard le soir, permettent de connaître toujours mieux l’autre. Si la personne en question est bienveillante envers vous, si elle vous soutient, vous encourage, crois en vous mais tout en restant honnête lorsque vous vous apprêtez à faire une erreur, ce lien que vous avez, il peut, sur le long terme, vous élever.
Et plus le lien est vécu, ressenti et entretenu, plus la personne et vous-mêmes êtes susceptibles de vous aider l’une l’autre. Prenons l’exemple d’une collègue de travail, lors de votre tout premier jour. Elle vous dit « bonjour » tous les matins, « au revoir » tous les soirs, et elle agrémente cela d’un sourire, en plus ! C’est agréable, et inconsciemment, cette collègue devient une sorte de point de repère le temps que vous preniez vos marques.
Puis un matin, elle vous demande comment vous allez. Et si le « bien et toi ? » de politesse vous apparaît être la meilleure solution sur le moment, très rapidement, vous répondez honnêtement à cette question. C’est un premier changement qui s’opère. De point de repère, cette collègue devient alors une connaissance amusante, à qui vous pouvez vous confier sur votre patron un peu trop ronchon, ou à propos de ce client bien trop exigeant.
Et un jour, vous vous voyez en dehors du travail. Les jours passent, et un matin, des années plus tard, ni elle ni vous ne travaillez encore dans cette entreprise ; pourtant, vous êtes devenues des amies proches et vous souvenez à peine du premier café échangé près de la machine.
S’entourer de bonnes personnes, une condition sine qua non dans le bien-être et la progression personnelle
Alors pourquoi cinq personnes ? Pour l’équilibre ? Au moins ça, oui ! Dans la vie, vous êtes amenés à rencontrer un nombre incalculable de personnes différentes. Parvenir à nouer des liens avec certains individus est parfois d’un naturel déconcertant, tandis qu’avec d’autres, les liens se défont plus rapidement qu’ils ne se forment. Ce n’est pas grave, c’est naturel – on ne peut jamais plaire à tout le monde !
Cinq personnes, c’est un équilibre. C’est connaître ses limites et savoir qu’on peut appeler un membre de sa famille ou une figure maternelle pour demander des conseils sur la construction d’une étagère ; c’est être certain que Nina, votre amie d’enfance, et vous, ne vous verrez jamais plus d’une fois par an à cause de la distance qui vous sépare et malgré cela réussir à conserver et entretenir ce lien précieux ; c’est être intimement persuadé que si vous passez une journée sans Arthur et sa bonne humeur, cette journée n’aura pas la même saveur… C’est être vous-même au quotidien, et savoir que quoiqu’il arrive, vous pourrez compter sur chacune des personnes qui sont au plus proche de votre cœur.
Parce que s’entourer des bonnes personnes est plus qu’une nécessité pour pouvoir avancer dans la vie, trouver du soutien et apprendre à en accorder lorsque le temps est venu, c’est une qualité primordiale de l’être humain. Et pour que cela puisse exister, il faut autant donner que recevoir.
Progresser grâce à l’autre : comment ça marche ?
L’Homme est un animal social, et beaucoup de philosophes se sont accordés à le dire au fil des ans. Par « animal social », Aristote entend notamment le fait que l’être humain ait besoin d’échanger avec d’autres personnes. Au niveau du développement personnel, ces échanges sont intrinsèquement liés au on équilibre de chacun. Car si certaines personnes n’ont pas besoin d’échanges tous les jours, d’autres possèdent, au contraire, un besoin de liens sociaux plus important.
Quoiqu’il en soit, l’individu a besoin des autres, d’échanger avec eux, de se confronter à d’autres opinions, de partager des valeurs communes, des notions avec l’autre qui pourront l’aider à mieux comprendre le monde qui l’entoure. Et à terme, ces échanges ainsi que les liens qu’il tisse avec autrui lui permettront de le faire progresser dans la vie quotidienne comme au niveau humain.
Parce que qu’on le veuille ou non, l’on passe notre vie à évoluer, et les liens que l’on tisse avec autrui peuvent parfois influencer la direction de cette évolution. C’est ce qui nous permet de nous élever, d’envisager de nouvelles choses, de voyager, ou d’accomplir des projets dont on ne se pensait pas capable des années plus tôt.
Pour vulgariser, l’on pourrait dire que chaque personne se « nourrit » de l’autre ; tant humainement que mentalement, au niveau des idées et des concepts, des actions et des choix que l’on fait. Il ne s’agit pas d’être influençable ici, mais bel et bien de se sentir suffisamment à l’aise avec soi-même pour être ouvert au changement que peut engendrer l’autre en faisant partie de notre vie.
Ainsi, les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour représentent certainement les piliers les plus importants de votre vie et de votre quotidien. Ces piliers, vous les choisissez à chaque instant, lorsque vous les écoutez, les voyez, leur parler, partagez avec eux un café, un thé ou un sourire. L’on parle d’élévation comme d’une évolution, car autrui permet toujours d’ouvrir une nouvelle porte dans le champ des possibles, et s’en nourrir, vouloir découvrir, être ouvert au changement et à la nouveauté est une qualité qui permet de toujours mieux se comprendre et se découvrir soi-même.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris. Je propose également des soins du corps et du visage, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise des retraites bien-être qui permettent, le temps de quelques jours, de s’éloigner du quotidien et de se retrouver également. Car si les échanges avec autrui sont toujours enrichissants, il est parfois important de s’accorder du temps tout seul.
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Etre déloyal envers sa famille, c’est possible (d’autant plus quand elle ne vous fait pas du bien)
La famille a une importance capitale dans nos sociétés. Mais est-ce pour autant une raison d’accepter tout venant d’elle ? Car si pour certaines personnes, la famille est une part importante de l’équilibre social, pour d’autres, elle est un fléau, une obligation, et parfois même, une source de peur et d’angoisse. Parce que tous les parents ne sont pas bienveillants, parce que certaines familles se trouvent oppressantes pour leurs membres, il est important de différencier les divergences d’opinions des comportements toxiques qui peuvent blesser. Est-il alors possible d’être déloyale envers sa famille ? De leur tourner le dos ?
La toxicité peut se cacher partout
La toxicité, c’est un terme que l’on emploie de plus en plus pour désigner une personne ayant un mauvais impact dans notre vie. Souvent, il désigne une personne de notre entourage qui nous « empoisonne » la vie.
Si avec la montée du féminisme, ces dernières années, le terme de personne toxique a souvent désigné un conjoint, un mari ou un petit-ami, on oublie trop souvent de dire que n’importe qui peut être toxique. Question d’énergies qui s’entrechoquent ? S’agit-il plutôt d’une mauvaise influence ? Probablement tout ça à la fois ! Il est bien connu que l’on ne peut pas s’entendre avec le monde entier, ni même lui plaire. Mais les personnes toxiques exercent surtout une certaine pression sur l’individu qui en souffre, et il est souvent bien difficile de se défaire de son influence et de son emprise.
Ainsi, il est possible d’avoir été confronté à une personne toxique tout autant qu’il est possible d’en avoir été une pour quelqu’un d’autre. Il existe différents degrés de toxicité, mais malheureusement, la toxicité peut se cacher partout ; il peut s’agir d’un.e ami.e, d’un.e collègue de travail ou encore, d’un membre de la famille. C’est ce pourquoi il est important de reconnaître les signes quand vous êtes en présence d’une personne toxique, afin de vous en éloigner au besoin.
Reconnaître l’environnement toxique
Pour reconnaitre un environnement toxique, il est important dans un premier temps de distinguer un lieu qui vit et dans lequel des émotions sont ressenties, et donc comment les conflits naissent –parce que le conflit n’est pas toxique en soi-, et la façon dont ces conflits se développent. En effet, c’est surtout la façon dont les différends sont gérés, et surtout, les réactions qu’ils suscitent qui laissent parfois penser que la situation n’est pas seulement « compliquée », mais réellement toxique et nocive. On reconnaît un environnement toxique lorsque ces éléments se manifestent :
- Des remarques désobligeantes sont souvent formulées ;
- Une attitude agressive à votre encontre ;
- Mauvaise communication (on oublie de vous parler, de vous prendre en compte…etc.) ;
- Une tendance à provoquer la compétition ;
- Des comportements mesquins et manipulateurs.
Si tous ces éléments sont réunis, l’environnement que vous fréquentez est sûrement toxique. Car ces petites attitudes qui n’ont parfois l’air de rien, si elles s’accumulent, peuvent rapidement créer un malaise et un mal-être chez la personne qui s’y retrouve exposée.
Reconnaître une personne toxique
Outre l’environnement, il suffit parfois d’une seule personne qui soit toxique pour que tout parte à vau-l’eau. Et pour cause, une personne toxique s’octroie, de par son comportement et ses agissements, une sorte de pouvoir mal placé qui l’encourage à propager ses mauvaises habitudes sans prendre en compte la possibilité de blesser autrui.
Pour reconnaître une personne toxique, il y a des signaux qu’il ne faut pas minimiser ou oublier de prendre en compte. Parmi eux, l’on retrouve :
- Ressentir un malaise en présence de cette personne (maux de tête, nausées, sensation de froid ou de sueurs, la gorge qui se serre…) ;
- Le corps se tend et l’esprit est en alerte / vous êtes sur le qui-vive ;
- La personne toxique se plaint beaucoup, sans prendre le temps de se remettre en question ;
- La personne toxique dévalorise les autres pour se sentir supérieur ;
- Elle se mure dans le silence quand vous êtes en proie aux doutes ;
- La personne toxique accuse les autres de ses propres maux.
Les personnes toxiques sont dans une machination de négativité et de peu d’estime d’elles-mêmes. Elles ont besoin de rabaisser les autres pour se donner l’illusion d’être importantes. Et le danger est réel, puisqu’au final, c’est la confiance et la vie des autres qu’elles impactent de manière néfaste.
Choisir de se préserver au-delà des injonctions
S’il est parfois plus simple de se détacher d’une personne toxique lorsqu’il s’agit d’une connaissance, parfois, il peut s’agir d’une personne beaucoup plus proche que voulu, comme un membre de la famille. C’est dans ce cas de figure qu’il est spécifiquement difficile de tourner le dos à cette personne, de rompre le lien avec elle lorsqu’elle devient trop présente et ne cesse de semer le trouble autour d’elle.
De plus, en France, la famille est devenue pour certains une réelle valeur qu’il faut chérir à tout prix. N’en déplaise aux plus conservateurs, il est surtout important de savoir se préserver de ce –et ceux- qui ne nous apportent pas l’équilibre et pire encore, qui créent un mal-être et un malaise qui résonne fort en nous.
Même si c’est un choix qu’il est difficile de faire, il est néanmoins nécessaire. Il est tout à fait acceptable, valide et correct de rompre le lien avec un membre de sa famille si celui-ci ne se montre pas sain pour votre quotidien et votre bien-être. Le choix d’être égoïste est parfois une nécessité, et c’est tout à fait okay de se choisir plutôt que de s’imposer des situations qui outrepassent les limites que l’on se fixe.
Ainsi, il est tout à fait possible de se montrer déloyal envers sa famille, de boycotter les repas de famille sans fin du dimanche midi ou encore de refuser de se rendre à certaines réunions si un tel ou un autre membre de la famille est également présent. C’est votre vie, votre corps et votre bonheur, et vous êtes légitimes à fixer les limites que vous souhaitez.
Et puis le temps que vous ne passerez pas à vous faire du souci dans l’optique de voir cette personne qui ne vous fait jamais du bien, il sera alors possible de le consacrer à votre entourage proche, ou même à vous-même !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose notamment des séances d’hypnose et de drainage lymphatique, qui permettent de se sentir mieux au quotidien. De même, le drainage du visage est également proposé par mes soins.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, depuis peu, je propose des retraites bien-être au cœur de la campagne et au plus proche de la nature, afin de pouvoir se retrouver et toujours plus se découvrir.
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Comment garder le moral durant une PMA ?
Le 29 septembre dernier était adoptée la loi annonçant que la PMA serait désormais ouverte à toutes les femmes, que celles-ci soient hétérosexuelles, homosexuelles ou monoparentales. Une grande avancée pour la société qui demeure majoritairement patriarcale, et de nouvelles opportunités pour les femmes. Mais se lancer dans une PMA, c’est avant tout une aventure intense en émotions, qui peut parfois durer dans le temps, et pour laquelle il est important d’être prêt.e. Comment alors garder le moral durant une PMA ?
Qu’est-ce que la PMA ?
La PMA est la signification de Procréation Médicalement Assistée, aussi appelée en France AMP, qui veut dire Assistance Médicale à la Procréation ; il s’agit de deux termes qui signifient la même chose.
Cette pratique consiste à avoir recours à la médecine afin que l’ovocyte soit fécondé par un spermatozoïde. S’il y a encore quelques années, les couples hétérosexuels se tournaient vers la PMA en cas de souci d’infertilité, il est désormais possible aux femmes célibataires ainsi qu’aux femmes homosexuelles de ce tourner vers cette méthode pour pouvoir avoir des enfants.
Il existe deux méthodes distinctes comprises dans la PMA. D’une part, la Fécondation In Vitro (FIV), et d’autre part, l’insémination artificielle. Dans la loi, il n’y a pas de limite d’âge pour avoir recours à la PMA, mais l’assurance maladie ne couvre plus la PMA à partir de 43 ans.
Une méthode qui peut être lourde psychologiquement…
Avant d’être accessible à toutes les femmes, la PMA était surtout un traitement de l’infertilité. Les couples qui venaient alors étaient présents avec déjà certaines fragilités psychologiques, dû à « l’échec » qui peut être perçu. Pour autant, l’infertilité a de nombreuses causes et ce n’est la faute de personne. Néanmoins, le fait d’apprendre qu’il sera impossible de procréer sans avoir une aide de la science et de professionnels de la santé reproductive est une étape importante dans la PMA.
Et malgré les avancées de la science, il arrive bien souvent face à plusieurs échecs avant de pouvoir tomber enceintes. Qu’il s’agisse de l’insémination ou de la FIV, les deux méthodes demeurent des pratiques lourdes tant pour le corps que pour le mental. Injections, stress, espoir, déception… pour certaines femmes, c’est comme être à vif en continu. La vie quotidienne ne tourne plus autour que de ça, les journées, le travail, les soirées ne s’organisent que selon les rendez-vous à la clinique. De l’hypnose contre le stress avec un petit geste du quotidien aide les femmes à évacuer toute cette pression.
Ainsi, la PMA devient le centre de votre quotidien, rythmant de nombreux aspects de la vie, parfois contre votre gré. Le moral s’épuise face aux tentatives, et le corps se fatigue de tout ce qu’il subit pour tenter de procréer.
… Et qui s’étend dans le temps
Quelle que soit la méthode choisie pour la PMA, il arrive parfois que les échecs succèdent à l’espoir et continuent d’user le moral des personnes y ayant recours. Un autre facteur qui s’avère être lourd à porter psychologiquement, c’est le temps qu’une PMA dure. Et pour cause, il faut attendre entre un et deux ans avant de pouvoir envisager le recours à la PMA, afin de s’assurer qu’une grossesse ne se produise pas de manière traditionnelle (sans le recours à la science). Une fois passé ce délai, les démarches pour entamer une PMA sont elles aussi relativement lourdes à porter.
Commencent alors les premiers tests, les premiers entretiens, le choix de la méthode et la mise en pratique… Jusqu’au premier échec. Il est important de noter qu’entre chaque FIV, le délai moyen est environ de 6 mois, soit deux par an ; le délai minimum est de 2 à 3 mois dans certains cas.
Il y a donc tout un éventail de petites procédures durant la PMA qui semble faire s’étirer le temps et érode, par conséquent, le moral des personnes ayant recours à la procréation médicalement assistée. C’est un processus long et surtout pesant.
Alors comment garder le moral durant une PMA ?
Charge mentale, épuisement, espoir, désillusion… les raisons qui peuvent mener les personnes ayant recours à une PMA jusqu’à ne plus avoir le moral sont nombreuses. Alors comment parvenir à trouver l’équilibre pour surmonter cette épreuve de la vie ?
Cultiver la patience :
Avant même de vous lancer dans la PMA, il est important de s’armer de patience (et d’une bonne dose !). Le processus sera long et éreintant, mais le fait d’être patient permettra de réduire le stress qui peut naître à chaque étape de la procréation médicalement assistée. Cultiver la patience, c’est donc prendre des moments pour vous malgré le tourbillon centré sur la PMA, et conserver l’espoir malgré les déceptions qu’il est possible de rencontrer.
Etre suivie.s par un professionnel :
L’importance de voir un psychologue ou de suivre des séances d’hypnose thérapeutique à Paris est capitale. Dans tous les processus de PMA, le suivi psychologique relève d’une importance primordiale pour les personnes qui se lancent dans ces méthodes lourdes tant corporellement que psychologiquement. En effet, certains professionnels de la santé mentale sont spécialisés dans la PMA, et permettent de pouvoir parler, échanger, discuter en toute bienveillance à propos de votre expérience et de vos émotions. Ne les négligez pas, car si vous n’allez pas bien, cela peut aussi avoir un impact sur la réussite des méthodes de PMA ; ne dit-on pas que le corps et l’esprit sont reliés ?
Gérer ses émotions quand il le faut, les laisser sortir quand il est nécessaire :
La gestion des émotions est essentielle pendant une PMA. Loin de ressembler à un robot sans cœur, il s’agit davantage de ne pas se réprimander pour ce que l’on ressent. Etre bienveillante avec soi-même permet de mieux cohabiter avec soi-même. Ici, le fait de gérer ses émotions permettra d’équilibrer entre les moments où cela ne va vraiment pas bien, et ceux, plus doux, qui arriveront également sans aucun doute.
Attention toutefois, car gérer ses émotions ne signifie en aucun cas de ne pas les laisser s’exprimer ; simplement qu’il y a un temps pour le faire, et que parfois, le mieux, est de le faire avec un professionnel comme un psychologue ou une infirmière spécialisée, qui offrent un soutien sans failles et qui permettent de libérer sa propre parole à propos de son expérience.
Se garder du temps pour soi :
Cela peut paraître dérisoire lorsqu’on s’engage dans un processus qui dure parfois plusieurs années et que les rapports sexuels peuvent même être rythmés par l’une des méthodes de la PMA (FIV), mais il est essentiel de garder du temps pour soi. Et pour cause, l’objectif de la PMA, c’est tout de même de tomber enceinte ! Il est important de se réserver des instants, même si ce n’est l’affaire que d’un bain par semaine, pour pouvoir se retrouver face à soi, son corps et son esprit et pouvoir respirer, anticiper, se chérir. Apprendre à s’aimer avec de l’hypnose pour la confiance en soi est également une alternative, le principal est de sentir bien. Quoi de mieux pour héberger un enfant dans son corps que de s’y sentir en totale osmose ?
Ainsi, la PMA est un long processus peuplé de désillusions et de déceptions qui peut s’avérer très pénible sur le long terme. Malgré l’intérêt et la motivation de certaines personnes, il arrive que les échecs s’abattent un par un et qu’à terme, ils ne fassent que s’envoler l’espoir d’un jour fonder une famille.
Il existe plein d’astuces, de « tips », et de façons de gérer une PMA. Et si certains conseils peuvent s’appliquer à toutes les femmes ayant recours à une PMA, le meilleur et le plus important reste encore de s’écouter lorsque le corps ou l’esprit le réclament. Parce qu’au final, qui peut savoir mieux que vous ce qui vous fait du bien, vous apaise, vous calme et vous rend heureux ?
De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris.
Je propose également des soins thérapeutiques du corps (massage lymphatique Renata Franca et drainage visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Enfin, je propose désormais des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de rompre avec le quotidien et ce qui le parasite.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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Quels sont les bienfaits d’une digital detox ?
Le 3 avril 1983, le premier téléphone mobile était créé. Presque quarante ans plus tard, les smartphones sont devenus indispensables à nos vies. Qu’ils soient outils de travail ou de divertissement, ils représentent une grande partie de nos quotidiens.
Qui n’a jamais attendu à un message avec impatience ? Qui n’a jamais cru voir une notification s’afficher, alors qu’il n’en était rien ? Ne pas être capable de se concentrer ou de se trouver loin de son téléphone, tels sont les effets que nos générations –et les futures- pourront connaître face à l’usage des outils technologiques. Parce que les progrès de ces outils à devenir toujours plus instinctifs, faciles d’accès, d’usage, et surtout indispensables dans nos quotidiens contribuent à nous y rendre accroc plus que de raison. Quels peuvent être alors les bienfaits d’une digital detox ?
Une digital detox, qu’est-ce que c’est ?
L’expression « digital detox » est un terme anglo-saxon renvoyant directement à la désintoxication des outils digitaux que l’on utilise au quotidien. Ordinateurs, tablettes numériques, mais surtout les smartphones, qui deviennent au fil du temps une extension que l’on pense indispensable à nous-mêmes.
La digital detox consiste alors à « rompre » le lien avec son smartphone, à parvenir à se détacher de cette addiction qu’ils peuvent faire naître sans que l’on s’en rende bien compte pour se recentrer sur soi et une dimension de la vie qui soit plus « concrète ». Sur une durée de dix jours au moins, il s’agira de ne pas utiliser, ou regarder son téléphone, afin de bien marquer le « sevrage ».
Ainsi, une digital detox consiste à se sevrer des habitudes néfastes qui envahissent rapidement les quotidiens dans le but de retrouver un équilibre pour soi, et avec soi. Le téléphone reste un outil, et ne devient en aucun cas une partie de soi-même.
Les bienfaits d’une digital detox
Les bienfaits d’une digital detox figurent aussi parmi les raisons qui peuvent vous pousser à vouloir en faire une. Parmi ces bienfaits, l’on retrouve notamment :
Un rééquilibrage de la santé mentale :
Parmi les détracteurs de la technologie et de plus en plus de scientifiques, la technologie et les smartphones plus particulièrement auraient une influence directe sur la santé mentale. Et pour cause, à chaque notification qui sonne, à chaque message qui s’affiche, c’est un élément de déconcentration qui s’ajoute dans notre environnement, et que le cerveau doit ensuite gérer. D’où l’importance de se dégager des moments sans smartphones, afin de pouvoir pleinement se concentrer sur une tâche précise, et laisser le temps au cerveau de faire le point.
Une meilleure concentration :
Comme évoqué plus haut, les smartphones ont la terrible tendance de déconcentrer leurs utilisateurs. L’attente d’un message important, les notifications de réseaux sociaux, de mails, ou d’une discussion de groupe sont tout autant de raisons qui déconcentrent et ne permettent plus au cerveau de se concentrer sur sa tâche initiale.
De meilleures relations humaines :
Cela peut rapidement être oublié tant la technologie pose de nombreux avantages dans le maintien des relations humaines sur une longue distance, et pourtant, les communications via la technologie et en face-à-face sont bien différentes. Pouvoir se séparer de son smartphone de temps à autres offre alors l’opportunité de pouvoir se reconnecter à son entourage proche, ses amis, et d’entretenir des relations plus concrètes et dans une dimension réelle dont on a tous un minimum besoin.
Diminution des problèmes de dos :
Au fil des années, les docteurs et spécialistes de santé ont prouvé que l’usage de plus en plus tôt d’un smartphone avait tendance à augmenter les risques de scoliose et de problèmes de dos. Pour cause, la posture que l’on adopte, se tournant toujours plus vers l’objet technologique au lieu de s’ouvrir vers le monde. On se replie, on se recroqueville (au sens propre comme au figuré), et ce n’est pas sans conséquence pour le corps !
Reconnexion au réel :
Parce que si les outils technologiques nous offrent des possibilités indénombrables concernant les liens à distance, qu’ils nous confèrent une certaine visibilité selon les choix de carrière, ou permettent de s’informer et d’apprendre rapidement, rien ne vaut vraiment la vie réelle. Les amis, la famille, les rires, les émotions, la nature… tant et tant de choses qui ne peuvent pas être remplacées ni même reproduites de la même façon à travers un écran.
Comment commencer une digital detox ?
Pour débuter une digital detox, il est important de comprendre et d’identifier dans un premier temps quels sont les besoins et envies qui vous animent. En d’autres termes, pourquoi la digital detox vous semble nécessaire ? Pourquoi voulez-vous amorcer cette digital detox ? Avez-vous besoin de plus de temps pour vous ? De vous reconnecter au réel ? De vous recentrer sur vous, ou bien de simplement décrocher un peu des réseaux sociaux ?
Quelle que soit la raison qui vous motive ou les besoins et envies que vous aurez identifiez, la digital detox est globalement simple à aborder. Dans un premier temps, il s’agit simplement de délimiter des horaires avec votre téléphone. Par exemple, après 18 heures, le téléphone est posé jusqu’au lendemain. Ou alors, il ne rentre pas dans la chambre, pour épargner votre sanctuaire des mauvaises ondes. C’est à vous de définir au mieux les limites qui vous semblent nécessaires afin d’amorcer cette digital detox, et surtout, de la respecter dans le temps.
Que cela dure une semaine, dix jours ou un mois complet, c’est selon votre besoin. L’essentiel étant de parvenir à couper les liens parfois étroits et dépendants que l’on entretient à divers degrés avec nos smartphones !
Savoir si j’ai besoin d’une digital detox
Parfois, il est un peu fastidieux de se rendre compte que le lien entretenu avec son smartphone est beaucoup trop présent et nous détourne du réel. Alors comment savoir si vous avez besoin d’une digital detox ? Il y a certains détails qui peuvent mettre la puce (mais pas celle du téléphone…) à l’oreille !
- Vous vous sentez perdu si vous n’avez pas votre smartphone sur vous ;
- Vous passez plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux ;
- Vous attendez parfois longtemps une notification qui ne vient pas, au risque de ralentir vos tâches et occupations ;
- Vous pensez parfois l’entendre sonner, alors qu’il ne sonne pas ;
- Vous avez du mal à vous endormir ;
- Il vous est impossible de vous concentrer une heure entière sur une conversation ou une activité.
Il existe également plein d’autres nuances, mais ces « habitudes », ces réflexes que l’on développe inconsciemment sont en grande partie responsables d’un quotidien qui tourne autour d’un smartphone. Peut-être est-il alors temps d’entamer une digital detox… ?
Ainsi, la digital detox est comparable à un grand ménage de printemps ! Il s’agira de nettoyer votre corps et votre esprit durant une durée indéterminée, afin de vous reconnecter pleinement au réel et à ce qui vous entoure. Un jour par mois, une semaine par trimestre… peu importe ! Chaque personne peut décider des limites qu’elle met en place afin de pouvoir rompre de temps en temps avec cet outil technologique qui devient bien trop souvent, le cœur de nos soucis au lieu d’une aide pour les résoudre.
Sachez aussi qu’en parallèle de la digital detox, il est tout à fait possible de se tourner vers des médecines parallèles et thérapeutiques afin de travailler davantage ce détachement au smartphone. L’hypnose est d’ailleurs un bon moyen de le faire.
Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances sur Paris. Certains soins thérapeutiques permettent quant à eux de se reconnecter à soi, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage, que je propose également à Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être, qui permettent de se reconnecter pleinement à soi, en étant au plus proche de la nature.
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Les différentes étapes pour se remettre d’un deuil
Perdre un proche est souvent inattendu, violent et extrêmement brutal à gérer tant pour le corps que pour l’esprit. Faire son deuil, entamer le processus d’acceptation est souvent compliqué et douloureux. Pourtant, c’est le seul moyen de pouvoir continuer à vivre malgré cette perte irréversible qui fait si mal. Alors quelles sont les différentes étapes du deuil ? Comment continuer à vivre lorsqu’on a l’impression qu’une partie de nous est morte ?
Le deuil : un mot qui effraie ?
Comment définir le deuil ?
Le terme « deuil » possède deux définitions qui se recoupent l’une l’autre. Selon la première définition, le deuil désigne une douleur, une terrible affliction qui est éprouvée lors de la perte d’un proche. La seconde façon de définir le mot deuil est pour faire référence à la mort d’un proche. On peut alors dire : « il a subi plusieurs deuils dans son entourage ».
Bien souvent, il peut effrayer l’entourage de la personne endeuillée, car la plupart des gens sont mal à l’aise avec l’idée de la mort. Ne fait-elle pourtant pas partie de la vie ? Toute chose n’a-t-elle pas un cycle de vie ? Il est important de pouvoir se détacher de la croyance populaire selon laquelle le deuil est forcément triste et morne ; les émotions le sont peut-être, mais il existe autant de façons de vivre son deuil que d’individus sur Terre. Dans certaines cultures, la couleur du deuil est d’ailleurs le blanc, et un esprit plus festif accompagne la cérémonie d’adieu. Tout dépend des cultures et des habitudes de chacun.
Les cinq étapes du deuil et leur utilité :
Au fil du temps, beaucoup de psychologues et autres professionnels se sont penchés sur la question du deuil. Elisabeth Kübler-Ross est l’une des premières à évoquer les cinq étapes du deuil, à travers :
Le déni (refus de la mort)
La colère (rancœur d’avoir perdu un proche)
Le marchandage (tentative de retrouver le défunt)
La dépression (traverser la souffrance de la perte)
L’acceptation (se reconstruire malgré la perte).
Ces cinq étapes subissent aujourd’hui une popularisation importante, car ces étapes sont souvent utilisées pour tout deuil (rupture d’une relation, perte d’un objet…etc.). Pourtant, à l’origine, ces étapes ont été crées afin d’apaiser la douleur de la perte et guider dans le même temps la personne endeuillée. En lui livrant des pistes sans pour autant le contraindre à ressentir x ou y émotions, le travail de deuil se fait de manière naturelle et plus important encore : de manière personnelle.
Ainsi, le deuil définit tout aussi bien la perte d’un proche, que l’état endeuillé dans lequel on se retrouve tous après ladite perte. Au fil du temps, le deuil a été découpé en cinq étapes distinctes permettant de vivre son deuil chacun à la façon dont il lui convient.
Laisser le temps au temps
Il n’y a pas vraiment de temporalité précise pour faire le deuil. Etant un processus unique et personnel, chaque personne évolue et expérimente le deuil à son rythme (et c’est mieux comme ça !). Toutefois, certains professionnels de psychiatrie et de la psychothérapie, font référence à une « temporalité du deuil ».
Sont alors évoquées des périodes pour chacune des étapes du deuil, observées chez des patients frappés par celui-ci. Dans la phase de déni, sont par exemple compris plusieurs jours de sidération qui suivent la mauvaise nouvelle de la perte d’un proche. C’est suite à cette sidération que se manifestent les différentes émotions, parfois violentes, illustrant le cataclysme intérieur de la personne endeuillée.
Certains professionnels s’accordent à dire qu’il faut entre 8 et 10 mois pour que la période de colère et de marchandage (aussi appelée négociation) se terminent, et que la perte définitive de l’être aimé soit assimilée par le corps et l’esprit.
Et c’est ensuite à terme de la dépression, qui peut elle aussi durer plusieurs mois voire plusieurs années, que la personne qui a vécu le deuil reprend peu à peu son souffle, se retrouve, évolue, et entame un processus de guérison intérieure lui permettant de retourner à sa vie en ayant intégré la perte définitive qui a eu lieu.
Il y a assurément une temporalité dans le deuil, puisque le processus se termine un jour. Toutefois, il n’y a pas de nombre précis de jours, de mois ou d’années pour faire son deuil. L’essentiel durant ce processus, c’est de le vivre pleinement, pour qu’une fois achevé, il ne puisse plus ni peser dans l’inconscient, ni planer comme une ombre sur le quotidien. Prendre son temps pour dire adieu est naturel, et primordial. Chacun son rythme.
Vivre le deuil : une expérience personnelle
Malgré les études qui ont été menées, les professionnels s’accordent tous à dire que perdre un proche est une expérience universelle. Chaque personne est amenée, dans sa vie, à connaître cette douleur, cette tristesse toutes particulières qui ébranlent à la fois l’âme, le cœur, l’esprit et parfois aussi le corps. Pourtant, il y a une notion très spécifique à prendre en compte malgré l’universalité de cette expérience, c’est qu’elle reste unique à vivre. Et pour cause, si perdre un proche est souvent la cause d’une terrible douleur intérieure, il n’en reste pas moins que le deuil est un processus unique, qui se vit à un rythme personnel.
Les cinq étapes du deuil sont souvent présentes chez la grande majorité des personnes ayant expérimenté la perte d’un être aimé. Toutefois, le processus de deuil est loin d’être linéaire. Chez certains, cela se manifestera par des mois de dépression en plus des différentes étapes, et chez d’autres, le processus de deuil sera plus irrégulier, les faisant osciller d’une étape à l’autre. De même, il est important de prendre en compte que parfois, même après avoir passé l’une des étapes du deuil, on revient en arrière à des étapes antérieures.
Parce qu’il demeure compliqué, difficile et terriblement douloureux de faire son deuil, certaines personnes ont besoin de prendre le temps afin de dire adieu à ce lien qui n’existe, en fait, déjà plus.
Célébrer la vie
Si cela peut sembler inopportun durant la période de deuil, il est cependant important, une fois le deuil totalement achevé, de recommencer à célébrer la vie. Même si elle paraît plus vide, plus fade et moins colorée, elle demeure néanmoins d’une importance essentielle.
Certaines personnes, après le deuil, aiment à se perdre dans de multiples plaisirs, comme la fête avec leurs proches, et d’autres encore planifient de nombreux projets pour être sûrs de pouvoir tout accomplir. C’est souvent l’effet que possède le deuil sur certaines personnes : il les pousse à vivre « plus intensément ».
Ont-ils raison ? Ont-ils tort de penser et agir ainsi ?
Y a-t-il une « bonne » façon de vivre après un deuil ?
Eh bien non ! Car tout comme le deuil, la vie est une expérience unique et personnelle. Chacun, selon les besoins et les envies de ce qu’il ressent, peut ou non décider de changer quelque chose à son quotidien après le deuil.
Envie de voyager autour du monde pour être sûr de ne rien manquer ? Foncez !
Besoin de vous reconnecter à vos proches et votre famille ? N’hésitez pas non plus.
Vous avez décidé d’accomplir le projet de vos rêves ? Lancez-vous !
Vous l’aurez compris, dans le deuil comme dans la vie, vous restez maître de vos émotions, de votre expérience, et de la façon dont vous souhaitez expérimenter la chose. Car c’est douloureux, intense, triste, bouleversant … mais que ça reste votre expérience personnelle.
Il arrive cependant que parfois, le deuil s’allonge dans le temps, que l’on repousse encore et encore les prochaines étapes car finalement, le deuil, c’est le dernier lien avec l’être disparu. Toutefois, le deuil n’est pas fait pour durer toute la vie, et justement, votre vie vous attend !
Il est alors possible d’aller consulter des professionnels comme des psychothérapeutes ou de se tourner vers des médecines parallèles comme l’hypnose ou la méditation. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.
Je propose également des soins thérapeutiques si vous souhaitez prendre du temps pour vous, tels que le drainage du visage ou le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être en plus proche de la nature, qui permettent de se reconnecter à soi-même.
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Les différentes étapes pour se remettre d’une rupture amoureuse
Qu’elle se soit faite brutalement ou d’un commun accord, à cause de la distance ou par la force des choses quand le temps passe inlassablement, il est toujours difficile d’appréhender la rupture amoureuse comme une chance. Et pour cause, faire le deuil d’une partie de votre vie, de votre quotidien ou simplement de la source intarissable de sentiments amoureux que représentait la personne, il est toujours extrêmement fastidieux de dire adieu. Alors comment aborder la rupture amoureuse sans y laisser ses plumes ? Combien de temps faut-il attendre pour ne plus avoir mal ? Y a-t-il des étapes qui permettent de se remettre d’une rupture amoureuse et de « se réparer » dans le même temps ?
La rupture amoureuse, un deuil relationnel
La toute première chose qu’il faut noter, c’est que peu importe le temps qu’a duré l’histoire d’amour en question, la rupture est comme un deuil. Violente pour le cœur, parfois inattendue, elle marque surtout la fin d’une époque et d’une relation qui était importante pour vous. Adieu les projets d’avenir que vous aviez mis au point, les voyages que vous rêviez de faire ensemble, le glas de la rupture a retentit fort, et il est temps de commencer son deuil.
Et tout comme pour le deuil d’un proche, il y aura de la douleur, de la tristesse, du regret, voire de la culpabilité. Des flots d’émotions se succéderont, parfois à en faire mal physiquement. Mais cela fait aussi partie de la rupture amoureuse, aussi douloureux que ce soit. Il y a par ailleurs différentes douleurs qui peuvent être ressenties suite à une rupture amoureuse. Outre la douleur de la perte de l’être aimé, il y a une notion dans la rupture amoureuse qui peut renvoyer directement à son amour-propre (comme penser de n’être plus digne d’amour…etc.).
Ainsi, la rupture amoureuse peut aisément être comparée au deuil dans le sens où il s’agit de dire adieu à une personne aimée. Le quotidien avec elle devient brusquement un souvenir, les habitudes qui ont été crées sont à défaire, et surtout, le cœur en prend un sacré coup. Bien que ce soit douloureux, c’est en ressentant et en vivant l’expérience de la rupture amoureuse qu’il sera ensuite possible de la surmonter totalement.
Vivre pleinement la douleur
L’une des plus grandes et sans conteste la première des étapes lors d’une rupture amoureuse, c’est la douleur. Vive, électrisante, parfois physiquement ressentie, la douleur peut être difficile à appréhender. Car bien souvent, il est possible d’être tenté par le fait de nier la douleur, de la rejeter, et prolonger ainsi le déni que la rupture n’a pas eu lieu. Tant que vous ne vous sentez pas triste, tout va bien ? Justement, non ! La tristesse, la colère et les larmes ne sont pas mauvaises en soi. Bien au contraire, les extérioriser permet aussi de s’approprier l’événement, et surtout, d’en traverser la première étape pour mieux vous reconstruire ensuite.
Vous avez le droit d’être triste. Vous avez le droit de pleurer. Vous avez le droit de hurler.
Extérioriser les émotions
Que ce soit à travers des activités artistiques, en discutant avec une personne de confiance de la manière dont vous vous sentez ou encore en partant faire un voyage avec votre sœur, il est important de pouvoir extérioriser vos émotions. Et pour cause, si vous gardez tout à l’intérieur, alors les couches de sentiments vont s’accumuler, jusqu’à devenir du ressentiment. Ils s’entassent, se confondent, et très rapidement, vous perdez le fil de ce que vous ressentez et de ce dont vous avez besoin.
Extérioriser ses émotions, c’est aussi leur permettre de s’envoler. Car après avoir apprivoiser la douleur, toutes les autres émotions, si elles sont conservées au-dedans de vous, sont tout autant de risques qu’elles deviennent de nouveaux moteurs de haine et des freins au quotidien et pour votre futur. Et surtout, extérioriser ses émotions permet de les comprendre et de ne pas les laisser vous hanter !
Comprendre les causes de la rupture
Selon la façon dont la rupture a eu lieu, il peut parfois rester des questions en suspens. Pourquoi ? Est-ce ma faute ? Qu’est-ce que j’ai fait pour le/ la pousser à me quitter ? Telles sont des questions qui peuvent parfois tourner autour de vous à l’instar de fantômes sournois. Tenter de comprendre les causes de la rupture, ça permet de ne pas ressasser. Car en l’absence de réponse, c’est le cerveau qui prend le relais et, dans le cas d’une absence de réponse, s’imagine les pires scénarios.
Mais surtout, le fait de comprendre les causes de la rupture amoureuse offre la possibilité de prendre du recul sur la relation –souvent idéalisée lorsqu’elle s’achève-, et de comprendre tout ce qui n’allait pas sans avoir été perçu jusqu’alors. Un bon moyen de faire le point sur ce qui s’est passé, pour amorcer le présent et un futur beaucoup plus légèrement !
Accepter la fin de toute chose
Parce que tout comme la vie et ce qui la compose, les plantes, les animaux, les périodes… tout dépend d’un cycle. Et parfois, l’amour aussi – même si on aimerait croire à l’amour éternel ! Accepter que toute chose ait une fin, c’est aussi parvenir à faire preuve de courage, de recul et de sérénité pour continuer votre chemin.
Comment savoir que tout est bel et bien fini ? Pour beaucoup de personnes, cela passe à travers le fait de pouvoir repenser à l’autre, mais sans éprouver ni colère, ni honte, ni tristesse. Pour d’autres, cela passe à travers la volonté de se projeter de nouveau, et de faire de nouveaux plans pour l’avenir. L’équipage perd un homme, mais le navire continue de voguer !
Se choyer
Après une rupture amoureuse, c’est aussi la question des habitudes qui se pose. Il faut réapprendre à vivre seul, sortir avec ses amis plutôt qu’en couple, et tout simplement, rester avec soi-même au quotidien. Et pour être sûr de jouir de la meilleure présence possible, quoi de mieux que de prendre du temps pour vous afin de vous faire plaisir ? De prendre soin de vous ? Que cela passe à travers des séances de shopping, des soins thérapeutiques ou encore via une reconnexion à vous-mêmes à travers les arts, chacun trouvera sa voie pour se sentir mieux.
Se choyer, ça passe aussi à travers le fait de se donner du temps. De se recentrer sur ses proches, sur soi-même, sur son animal de compagnie… etc. C’est être patient avec soi, et surtout, rester bienveillant. De ne pas se reprocher toute l’histoire, de ne pas culpabiliser d’avoir aimé.
Prendre soin de vous, c’est important. Plus encore, c’est même une nécessité après une rupture. Parce que si l’être aimé est parti, rien ne vous empêche d’être votre premier amour !
Et parce que les ruptures amoureuses, si elles ferment parfois un chapitre important de votre vie, peuvent tout aussi bien en ouvrir un nouveau qui s’avère essentiel, il est primordial de prendre soin de vous.
Ainsi, les ruptures amoureuses ne sont jamais aisées à envisager. Pire encore, elles sont terriblement douloureuses à vivre et intenses en émotions. Mais avec le temps, elles sont aussi l’occasion de pouvoir travailler sur soi-même, d’envisager de nouvelles perspectives et surtout, de vous trouver davantage. Si toutefois, la rupture semble bien trop ancrée ou insurmontable, il est possible et recommandé d’aller consulter des spécialistes.
De même, l’hypnose peut également être une bonne aide pour se libérer de la douleur ressentie et des gênes que cette douleur peut causer au quotidien. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose des séances d’hypnose, des soins du visage et des soins du corps tels que le drainage lymphatique.
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Comment bien dormir ?
Le sommeil est sûrement l’un des aspects de notre vie les plus délicats à contrôler. Entre les insomnies, les effets du stress, une idée persistante, et les tentations qui font partie de quotidien (« encore un épisode », « encore un chapitre »…), il est parfois difficile de le toucher du bout des doigts. Pourtant, le sommeil a une importance capitale sur la santé physique, mentale et émotionnelle de chaque individu.
Les bienfaits d’un bon sommeil
Ce n’est plus à cacher, les bienfaits d’un bon sommeil sont indéniables. Et pour cause, le sommeil réparateur possède autant de bienfaits sur le corps, l’esprit, que tout le système émotionnel. Bien dormir est donc l’une des clés d’un équilibre général, et une voie importante dans le bien-être. Ainsi, les bienfaits d’un bon sommeil sont :
- Diminution du stress ;
- Baisse de l’angoisse et de l’anxiété ;
- Meilleure mémoire ;
- Des émotions équilibrées ;
- Elasticité de la peau ;
- Régénération des cellules ;
- Diminution du risque de dépression ;
- Plus d’énergie dans la journée ;
- Baisse de maladies cardiovasculaires.
Le sommeil réparateur a donc de nombreuses vertus. A contrario, les impacts d’un mauvais sommeil sont parfois beaucoup plus lourds que ce que l’on pourrait penser de prime abord. Alors comment favoriser au maximum votre sommeil ?
L’importance d’une bonne literie
Si ça peut paraître logique pour certains, il arrive parfois d’oublier à quel point une bonne literie fait toute la différence durant une nuit de sommeil !
Le matelas : que ce soit pour soulager des maux de dos déjà existants ou bien pour les prévenir, le matelas adapté peut changer vos nuits. Comment choisir au mieux son matelas ? Il est important de prendre en compte sa propre morphologie. Que le matelas soit en latex, avec des ressorts ou encore à mémoire de forme, cela importe peu. Mais gardez à l’esprit que la colonne vertébrale est censée être la plus horizontale possible !
L’oreiller : si on a souvent tendance à rêver d’un lit moelleux et d’une couverture chaude lorsque la fatigue nous emporte, il ne faut pourtant pas négliger l’importance d’un bon oreiller ! Et pour cause, c’est lui qui influe directement sur le bien-être des cervicales. Tout comme pour le dos, qu’il s’agisse de prévenir certaines douleurs ou de soulager des maux, un oreiller adapté pourra complètement faire la différence. Si vous dormez sur le dos, privilégiez un oreiller ferme, et si vous préférez dormir sur le ventre, un oreiller plus mou sera alors à recommander afin de pas tirer sur les cervicales.
La literie : dans son ensemble, une bonne literie ne conserve pas seulement la santé physique du dormeur. En cas de risques d’allergies comme celle aux acariens, une literie adaptée pourra calmer les symptômes. De même, une bonne literie peut agir directement sur des troubles tels que ceux de l’humour, de la digestion, la prise de poids, les maladies cardiovasculaires ou encore les migraines.
Vous l’aurez compris, une bonne literie est décisive pour la qualité du sommeil !
La température : plus qu’un détail !
Qui n’a jamais rêvé de son lit douillet, de sa chambre rassurante pour pouvoir se livrer à la tendre rêverie que font naître les journées difficiles ou la fatigue intense ? Et qui n’a jamais connu, durant ces nuits estivales, la frustration de ne pas trouver de position adéquate car la température semble toujours trop chaude ? Ou bien les nuits froides d’hiver, après une coupure de courant ?
La température de la chambre a une importance et une conséquence sur la qualité du sommeil, et surtout, permet d’éviter les impacts d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
En effet, l’Institut national du Sommeil et de la Vigilance recommande vivement de maintenir une température entre 16°C et 18°C durant les nuits. Et pour cause, durant la nuit, les différentes phases de sommeil à travers lesquelles nous passons tous, modifient parfois la température corporelle de quelques degrés. Si la température de l’environnement n’est pas adaptée, c’est alors tout un décalage qui se produit, peut venir perturber le sommeil, et priver de ses effets.
Regarder dans la direction du sommeil
La croyance populaire voudrait que l’on dorme mieux en orientant le lit en direction du Nord. Est-ce que les points cardinaux ont vraiment une importance dans la qualité du sommeil ? En effet, ils en ont une. Car selon le sens dans lequel vous orientez votre lit, les effets sur la santé physique, mentale et émotionnelle seront différents.
Vers le sud : selon les pratiques et connaissances ayurvédiques, le pôle Sud insufflerait une grande attraction sur le corps, pendant le sommeil. Il est alors possible d’orienter le lit en direction du Sud, d’autant que cela permet d’apporter une grande énergie durant le sommeil.
Vers le Nord : cette position est déconseillée par l’Ayurveda, mais davantage recommandée par le Feng Shui. En effet, pour la médecine ayurvédique, cette position (tête au Nord et pieds au Sud) induirait beaucoup de cauchemars et des perturbations du sommeil. Frustration, irritabilité et sentiment de fatigue dominent alors au réveil, selon les avis ayurvédiques.
Pourtant, le Feng Shui recommande grandement cette position car elle permettrait de recevoir les bonnes ondes venant de la Terre et de son champ magnétique.
Ainsi, selon les habitudes, préférences et volontés de chacun, vous pouvez orienter votre lit du côté de n’importe quel pôle ! Tentez, essayez, et trouvez la position du lit qui vous convient et favorise votre sommeil.
Les odeurs et leur pouvoir… soporifique !
Saviez-vous qu’il était possible de mieux dormir grâce à certaines odeurs ? En effet, ce phénomène est tout à fait réel. Beaucoup de personnes dont l’odorat est sensible préfèrent volontiers que leur chambre respire la lavande, par exemple, plutôt qu’une autre odeur qui pourrait les exciter, réveiller le corps ou l’esprit et retarder le sommeil, voire… en déplorer sa qualité. Parmi les odeurs qui peuvent favoriser une meilleure qualité de sommeil, l’on retrouve :
- La lavande: elle apaise les nerfs, réduit le stress et favorise le calme mental et physique.
- Les agrumes: les agrumes en général et les huiles essentielles plus particulièrement possèdent des vertus apaisantes et purifiantes. Elles permettent alors d’apaiser le corps et de purifier l’environnement afin de mieux dormir.
- La verveine : en infusion ou en huile essentielle, la verveine a fait ses preuves depuis longtemps. Sa réputation d’aide digestive la précède, et elle favorise aussi grandement la phase d’endormissement, privilégiant ainsi un sommeil profond et réparateur.
Ainsi, il existe de nombreuses façons de bien dormir. Qu’il s’agisse d’exercices d’étirement avant de dormir, d’avaler son dernier repas au maximum trois heures avant d’aller se coucher, ou encore de mettre en place des rituels spécifiques comme la lecture ou une activité calme, les possibilités sont multiples.
Néanmoins, si malgré vos efforts le sommeil continue d’être difficile, il est important d’aller consulter pour traiter le problème qui est enfoui au-dessous de ce symptôme. L’hypnose peut par exemple être une bonne façon de lever le voile sur les causes et soucis liés à l’insomnie. Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que de soins thérapeutiques pour le corps ou le visage (drainage lymphatique ou du visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
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De même, si la vie vous empêche de prendre du temps pour vous, il est alors possible et tout à fait légitime de se pencher sur d’autres solutions. Avez-vous essayé les retraites bien-être ?
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Comment réussir à prendre de la hauteur face aux irrégularités financières ?
Les irrégularités financières peuvent survenir à n’importe quel moment. Un souci avec la voiture ? Une urgence qui nécessite un voyage et une petite somme à dépenser ? La perte de votre emploi ? Un ami qui ne vous a toujours pas remboursé ? Les causes d’irrégularités financières sont multiples et surtout très frustrantes. Dans un monde où l’argent est placé au centre de tout un système, il est parfois difficile de prendre du recul sur les difficultés financières qu’il peut entraîner et les soucis qui le suivent inévitablement dans son sillage.
L’argent, ou l’un des tabous ancrés les plus puissants
Le sujet de l’argent a tendance à déranger. Si dans d’autres pays comme l’Allemagne ou les Etats-Unis, dans lequel le fonctionnement fiscal est différent, les gens n’ont pas de honte à parler de leurs salaires, en France, on a encore du mal à dé-diaboliser ce sujet. Pourtant, l’argent ne devrait rien être d’autre qu’un sujet lambda, non ?
Et il est bien connu qu’en conservant ce qui nous ronge, ça n’améliore pas la situation. Et s’il était temps d’abolir le tabou qui règne en maître autour de l’argent, pour en faire un sujet de conversation lambda, et lui ôter un peu du pouvoir qu’il peut avoir sur nous ?
Et pour cause, si une chose est sûre, c’est que l’argent et sa nature irrégulière, éphémère et de passage dans nos vies peut parfois causer de terribles conséquences, tant au niveau psychologique que physique.
Les conséquences des irrégularités financières
Autant sur le corps que sur l’esprit, l’argent et les irrégularités qu’il traîne dans son sillage peuvent parfois avoir des effets dévastateurs sur nos quotidiens et nos biens-êtres. Parmi ces conséquences physiques, on retrouve notamment :
Une augmentation du stress :
À force de se préoccuper de l’argent ou encore de la gestion de celui-ci, le stress général peut monter en flèche. Très rapidement, la petite appréhension devient un vrai nuage noir dans le quotidien, et l’on se met à tout voir selon l’angle de l’argent. Combien vont me coûter ces courses ? Vais-je pouvoir payer mon loyer ? Et ce cadeau commun que nous devions faire… vais-je pouvoir y participer ? De plus, cette montée de stress et l’installation de celui-ci dans tous les aspects du quotidien (travail, loisirs, vie courante…) peut provoquer de plus importantes conséquences.
Perte de sommeil :
Une trop grande montée de stress voire un souci récurrent comme peut s’avérer l’être une crise financière sont tous les deux sources d’une perte de sommeil. Si une insomnie de temps en temps reste gérable, le problème peut néanmoins s’accumuler rapidement jusqu’à devenir une habitude nocturne ancrée et stable. Cela aura des effets sur le corps, comme un système immunitaire moins efficace, des pertes de mémoire, de motivation…etc.
Anxiété, voire dépression :
Si le stress et le manque de sommeil s’accumulent dans le temps, cela peut aussi mener à un état anxieux ou dépressif. Les problèmes semblent bien trop importants pour être surmontés, et peu à peu, c’est une spirale culpabilisante et douloureuse qui se matérialise.
À terme, ces symptômes peuvent également avoir de plus graves conséquences sur la santé, telles que des maladies comme l’hypertension, des ulcères ou des maladies cardiaques.
Il y a aussi des conséquences mentales et émotionnelles lorsqu’on se retrouve en détresse financières. C’est notamment le cas pour des effets tels que :
Perte d’estime de soi et de confiance personnelle :
Si le problème se prolonge dans le temps sans parvenir à se résoudre, à terme, la sensation de ne pas être à la hauteur, de ne pas être en « capacité de », ou encore de ne pas réussir, tout simplement, à le résoudre peut aussi peser sur votre moral. Emotionnellement, c’est une frustration qui grandit et invite le doute à vous faire croire que vous ne valez rien. L’estime de soi et la confiance personnelle reçoivent alors un uppercut dont il est difficile (mais pas impossible !) de se relever.
Diminution du bonheur :
Sans estime de soi et peu ou plus de confiance personnelle, le bonheur finit lui aussi par diminuer. Si ça peut sembler futile, les instants d’insouciance sont pourtant importants pour continuer de profiter de la vie et surtout, se sentir bien.
Irritabilité, colère, frustration :
À la place du bonheur, c’est la frustration, la colère et l’irritabilité qui s’installent et bloquent les autres émotions en prenant le pas sur elles.
Il est donc important de pouvoir se défaire de ces émotions néfastes, et de prendre suffisamment de recul pour traiter les difficultés pécuniaires comme n’importe quel autre obstacle de la vie : avec sérénité et pragmatisme.
Prendre de la hauteur : oui ! Mais comment ?
Rester rationnel devant la tâche :
Plus facile à dire qu’à faire, mais il est important de ne pas s’atteler aux problèmes financiers sans avoir au préalable pris le temps de rationaliser la chose. Et pour cause, si vous laissez vos émotions vous guider, c’est le meilleur moyen de laisser l’émotion décider de la solution, et parfois, ce n’est pas ce qu’il faut. L’argent est un sujet concret, il nécessite un peu d’émotion, mais surtout de la raison !
Etablir un plan ?
Le fait d’établir un plan de façon claire permettra de réduire le stress ou les angoisses que les problèmes financiers peuvent parfois déclencher. Stoppez l’endettement, payez comptant pour mieux vous reconnecter à la valeur de l’argent, voyez où vous pouvez économiser, même 5€… Rien n’est jamais trop si cela vous semble adapté.
Positiver :
Là encore, plus facile à dire qu’à faire ! Mais positiver est essentiel face aux problèmes de la vie. Et pour cause, l’argent, comme tous les autres soucis, viennent et passent. Se dire que ce n’est qu’éphémère vous laissera le temps de rebondir, et surtout, de trouver une solution. C’est aussi le premier pas pour pouvoir prendre de la distance face à la situation, et donc, pouvoir mieux raisonner. Et puis, devoir économiser pendant quelques temps, c’est aussi l’occasion de découvrir de nouvelles voies ! Pourquoi ne pas se pencher sur le concept de la seconde-main ?
Ne se fermer aucune voie :
Dans le cas où vous auriez perdu votre travail ou que vous manquez d’argent pour x ou y raisons, ne stressez pas ; c’est aussi l’occasion de vous trouver de nouvelles passions, de prendre du temps pour vous et pourquoi pas, d’explorer de nouvelles professions auxquelles vous n’aviez pas songé. Après tout, il n’y a pas de sot métier !
Si prendre de la hauteur face aux difficultés financières est parfois difficile car l’on se sent directement concerné, ce n’est pas non plus totalement impossible. Souvenez-vous de garder la tête froide, même quand les émotions qui courent sous la peau sont à chaud. Être un peu ric-rac de temps en temps n’est pas une fatalité, et ne mérite pas de se détruire la santé.
Si jamais, toutefois, le stress et les angoisses vous paralysent trop, il est possible de se tourner vers des médecines parallèles comme l’hypnose ou la méditation. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques pour le corps comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Lorsque les problèmes s’accumulent et finissent par dénaturer complètement votre quotidien, il est peut-être temps de se retirer pour une retraite. Faire le point, s’éloigner et prendre du recul offre cette chance que représente le discernement, et un esprit clair et léger. Pour cela, j’ai récemment mis en place des retraites loin des villes, qui permettent de se recentrer.
Et puis… l’argent ne fait pas le bonheur, mais vous, vous faîtes le vôtre !
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Comment réussir à s’émanciper d’un système éducationnel qui ne nous convient plus ?
Politesse, mathématiques, respect, histoire-géographie… voilà tant de choses que l’on apprend lorsqu’on est encore enfant. Et en tant que tel, l’on ne comprend pas toujours ce qui est bon pour nous, ou non. Pour x ou y raisons, il arrive bien souvent que l’on fasse le choix de prendre un chemin détourné plutôt que la voie rapide afin de parvenir à grandir et trouver sa vocation, ou sa passion. Parce que l’école ne convient pas à tout le monde, parce que certaines valeurs sont parfois bafouées dans le cadre familial, il est important de pouvoir s’émanciper d’un système éducationnel lorsque celui-ci ne convient plus. Mais comment faire ?
Le système éducationnel, définition et origines
En France, l’école est aujourd’hui laïque et obligatoire jusqu’à seize ans. Depuis la loi de Jules Ferry en 1882, l’école est un lieu où les enfants doivent se rendre afin d’apprendre certaines bases qui pourront servir une fois dans le monde du travail, et dans la société en tant qu’individu adulte et travailleur. Si les nuances de ces lois se sont établies au fil des siècles, il demeure que l’école est une case par laquelle, en France, tous les enfants passent.
Mais plus largement, le « système éducationnel » comprend également les méthodes d’éducation des enfants par leurs ascendants (qu’il s’agisse des parents ou des grands-parents, d’un oncle, d’une tante… etc.). Autrement dit, le système éducationnel comprend tout autant la manière dont les écoles délivrent les enseignements et les programmes scolaires, que la façon dont les parents peuvent transmettre des valeurs et des normes à leur progéniture.
C’est aussi à partir de ce système que vient parfois, pour l’enfant tant que pour les parents, le choix d’émanciper, de séparer l’enfant du système éducationnel.
Le choix des parents ou de l’enfant concernant l’école
Très tôt, il arrive que des parents fassent le choix de ne pas laisser leur enfant dans la jungle d’une école comme on la connaît. Pas de cours de récréation, mais d’avis de professeurs non plus, et surtout, moins de risque de harcèlement. Qu’ils s’orientent vers les cours à domicile ou par correspondance, le fait est que les enfants prennent le temps de comprendre et d’apprendre.
Dans le cas de l’école, les choses sont un peu différentes. Selon ce qui s’y passe, les enfants peuvent tout à fait trouver leur place comme ils peuvent rapidement se sentir dépassés, délaissés ou complètement en marge des autres. Qu’ils décident de se mettre à l’écart d’eux-mêmes ou bien qu’ils y soient mis par autrui, le résultat est le même : l’école devient une source de frustration et de peur.
Il arrive enfin, dans certains cas, que l’enfant comprenne que le modèle de l’école et la façon d’apprendre ne lui conviennent tout simplement pas. Dans ce cas, l’enfant peut alors faire la demande à ses parents de pouvoir trouver une solution plus adaptée. Jusqu’à un certain niveau, les parents n’étant pas professeurs mais relativement pédagogues peuvent prendre en charge l’éducation de leur enfant. Mais arrivé à une certaine classe (secondaire, par exemple), il faudra trouver une solution plus adaptée. Les cours par correspondance en sont une, notamment.
La décision d’un enfant pour s’émanciper d’une façon de penser
Par ailleurs, quel que soit le système éducationnel qui ne convient pas à l’enfant, il est important qu’il puisse s’en détacher. Il existera toujours des voies parallèles, des chemins de traverse, des routes plus longues et plus dures, mais parfois plus adaptées. L’important est de comprendre que l’enfant n’est pas nul, bête, ou inattentif ; mais que le système tel quel ne lui parle pas, ne le touche pas, ne parvient pas à l’intéresser.
De plus, si jamais l’enfant exprime le besoin d’apprendre de nouvelles choses, il existe de nombreux autres supports qui permettent d’apprendre avec plus de facilités. Car les méthodes d’apprentissage sont multiples et variées, il ne peut exister un seul modèle éducationnel qui soit en mesure de convenir à tout le monde.
Ainsi, écouter un enfant semble essentiel. Les enfants ne mentent pas, ils disent ce qu’ils ressentent si on leur en donne l’occasion. Autrement, ils apprennent simplement à se construire sur ces bases légèrement bancales, et cela les suit ensuite dans la vie adulte. Et si l’enfant comprend rapidement ce qui ne lui convient pas sans savoir pourquoi, l’âge et l’expérience lui apportent la sagesse d’intégrer que parfois, les valeurs qu’on lui transmet ne lui conviennent pas.
Les sources d’apprentissage autres que l’école et la famille
Exceptés l’école et le cadre d’un foyer, il existe de nombreuses autres méthodes pour parvenir à s’instruire, se construire et se pousser sur de nouvelles voies de réflexion. Parmi elles, l’on retrouve :
Lire : si le concept est évident, ce que l’on ignore beaucoup, c’est que même un livre de fantasy permet d’apprendre de nombreuses choses. En lisant, et sans s’en rendre réellement compte, le cerveau comprend de nouveaux mots, assimile les orthographes, et la lecture permet d’enrichir le vocabulaire. Si de surcroît, le livre est un livre d’apprentissage ou qui pousse à la réflexion comme un livre de développement personnel ou bien de philosophie, le cerveau intègre également de nouveaux cheminements de pensées et développe la logique. Enfin, n’importe quel livre permet de nourrir l’imagination, et par extension, la créativité !
Cinéma : tout comme les livres, le cinéma et les séries peuvent être une source d’apprentissages très intéressante ! En effet, selon les sujets traités et abordés dans certains films, il est possible de développer son champ de connaissances.
Les arts en général : lecture ou écriture, cinéma ou photographie, il est possible de s’enrichir culturellement grâce aux arts existants. Ils développent une certaine sensibilité, apprennent des éléments historiques parfois passés sous silence dans certains cours d’histoire, et offrent aussi la possibilité de mieux se connaître.
Les cours par correspondance : ils ont été évoqués plus haut, mais ils représentent bien souvent une porte de sortie au système éducatif très intéressante. Notamment dans le supérieur, les cours par correspondance permettent de choisir une voie qui nous correspond vraiment, et surtout, des voies « parallèles » qui ne sont pas forcément proposées dans un cadre scolaire traditionnel –il n’y a pourtant pas de sot métier ! Ils demandent cependant une certaine autodiscipline et une grande motivation pour être menés à bien. Mais si le sujet nous plaît… la motivation et la discipline viennent naturellement !
Voyager : c’est sûrement la meilleure solution pour apprendre de nouvelles connaissances. Qu’elles aient une portée culturelle, humaine, sociale, ou intellectuelle, le voyage forge une personne et lui permet la tolérance et l’empathie. Découvrir comment est « l’ailleurs » au-delà de l’idée qu’on s’en fait permet également d’acquérir patience, humilité, et bienveillance. Des valeurs qui ne sont pas toujours transmises dans le cadre familial… !
Ne pas rester sur ses acquis : la chose la plus importante pour apprendre de nouvelles choses est sûrement de ne jamais rester sur ses acquis. Bien qu’ils soient très confortables, il est essentiel d’être toujours ouvert à l’avis contraire au sien, et surtout, d’admettre que parfois, il est possible de se tromper. Si l’Homme évolue tout au long de sa vie, bien heureusement, sa pensée en fait de même !
Les réseaux sociaux : si cela peut paraître un peu contre-productif, il existe pourtant bel et bien de nombreux comptes d’information sur les réseaux-sociaux qui permettent d’apprendre de nouvelles choses. La technologie est après tout un outil de notre siècle, autant l’utiliser à bon escient !
Les amis : pour un enfant, c’est le premier lien social extérieur à la famille. Ce lien social est important, puisqu’il lui permet alors de comprendre, envisager une autre façon de procéder. Si certaines valeurs sont similaires d’une famille à l’autre (respect, politesse…etc.), d’autres peuvent changer. En observant les différents fonctionnements des familles de ses amis, l’enfant pourra également assimiler que d’autres voies existent, et qu’un parent peut parfois se tromper.
Ainsi, il existe de nombreuses façons d’apprendre de nouvelles choses, au-delà même de ce que l’école ou le cadre familial peut transmettre. L’être humain évolue, change, se trompe et réussit parfois. Mais ce qui est beau, c’est qu’à sept ans comme à soixante dix-sept ans, l’apprentissage de la vie n’est jamais totalement fini. Alors si le système éducationnel ne permet pas l’épanouissement pour tous, nulle inquiétude. Il existe des chemins détournés, des routes moins empruntées, qui sont tout aussi honorables.
S’émanciper d’un système qui ne nous convient pas demande une certaine force, car tous les moments ne seront pas simples. Il s’agit de se choisir soi, et son futur. Et nul doute que lorsqu’on erre pendant un temps indéterminé sur les voies rapides de la connaissance basique, les autres routes autour restent bien en place. Il n’est donc jamais trop tard pour bifurquer !
Besoin de faire le point, de vous recentrer, de vous alléger de certaines angoisses avant d’emprunter une nouvelle voie ? Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. vous pouvez naturellement prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et puisque parfois, trouver sa voie passe par trouver sa voix, je propose des retraites bien-être depuis peu. Il y en aura différentes au cours de l’année, et elles permettent surtout de pouvoir se découvrir, se connecter à soi et s’apprendre toujours plus afin de connaître son “moi profond”. Ces retraites bien-être, sont un véritable chemin clair et accompagné pour toujours tendre à une paix intérieure et revenir dans son quotidien en ayant davantage de recul sur les soucis de la vie.