Catégorie : Vie

  • Croire en l’Univers : Comment faire confiance aux signes et synchronicités ?

    Croire en l’Univers : Comment faire confiance aux signes et synchronicités ?

    Tu te poses mille questions, tu cherches des réponses, et parfois même tu désespères de voir tes souhaits se réaliser. Et si je te disais qu’il existe une force plus grande que nous, qui n’a rien à voir avec la religion traditionnelle ? Croire en l’univers, c’est accepter que nous ne sommes pas seules aux commandes, tout en restant actrices de notre vie. Je vais te confier un secret qui va peut-être te bousculer : 90 % de ce qui arrive dans ta vie échappe complètement à ton contrôle. Et tu sais quoi ? C’est une libération !

    Au-delà du besoin de tout maîtriser

    Soyons honnêtes : combien de fois tu as méthodiquement planifié quelque chose pour voir tes plans voler en éclats ? Cette promotion que tu visais ? Cette relation qui devait être parfaite ? Ce voyage organisé dans les moindres détails ? La vie a sa propre façon de nous surprendre, et c’est tant mieux !

    Quand tu forces les choses, quand tu t’acharnes à vouloir tout contrôler, tu te fermes aux magnifiques possibilités que l’univers pourrait mettre sur ta route.

    C’est comme si tu regardais fixement une porte fermée en oubliant toutes les fenêtres grandes ouvertes autour de toi.

    L’univers, bien plus qu’un simple décor cosmique

    L’univers n’est pas qu’une vaste étendue d’étoiles et de planètes. C’est une force vivante, intelligente, qui interagit constamment avec nous. Cette vision, à mi-chemin entre spiritualité et science, nous invite à voir la vie différemment.

    Ces moments où tout s’aligne parfaitement, où les “coïncidences” s’enchaînent… Ce ne sont pas des hasards. Ce sont des synchronicités. Un peu comme quand tu penses à quelqu’un et que cette personne t’appelle dans la minute qui suit. Ou quand la solution à ton problème apparaît mystérieusement, sous la forme d’une rencontre inattendue.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Selon moi, l’univers nous parle constamment, mais pas avec des mots. Il communique à travers :

    • Les sensations dans ton corps (ces fameux “gut feelings”)
    • Les rencontres qui arrivent pile au bon moment
    • Les situations qui se répètent jusqu’à ce que tu comprennes le message

    Imagine l’univers comme un immense réseau énergétique dont tu fais partie intégrante. Chaque pensée, chaque intention que tu émets créée des ondulations dans ce champ d’énergie. Ces vibrations se propagent et attirent à toi des expériences qui y correspondent. C’est un peu comme quand tu jettes un caillou dans l’eau : les cercles se propagent et créent des motifs uniques.

    Croire en l’univers : comment affiner ta réceptivité aux signes ?

    Tu te poses sans doute cette question : “Comment être sûre que je ne fabrique pas ces signes dans ma tête ?” C’est une réflexion légitime qui mérite qu’on s’y attarde. La différence entre une simple coïncidence et un véritable signe de l’univers se trouve souvent dans la manière dont cet événement résonne en toi.

    Pour interpréter les messages de l’univers dans ton quotidien, voici quelques étapes clés qui t’aideront à développer ta conscience et ta connexion :

    Commence par observer ton environnement avec un regard neuf. Un petit détail peut avoir un gros impact : le soleil qui perce les nuages au moment exact où tu te poses une question importante, un livre qui tombe à tes pieds ouvert sur une phrase qui répond précisément à ta recherche du moment.

    La loi de cause à effet joue un rôle majeur dans ce processus. Contrairement à ce que certaines personnes pensent, il ne s’agit pas de fatalités ou d’un coup du hasard. Cette force supérieure, que tu l’appelles dieu, univers ou premier plan de la création, fonctionne selon des principes précis.

    L’art subtil de la demande à l’univers

    Formule des intentions claires

    Pour obtenir une réponse de l’univers, la première étape est de poser une demande claire. C’est comme envoyer un message à l’existence : plus ta volonté est précise, plus le retour sera aligné. Ne confonds pas ça avec la théorie simpliste de la loi d’attraction – il s’agit d’un processus bien plus profond.

    La patience est ta meilleure alliée dans cette démarche. L’univers répond toujours, mais pas forcément de la manière dont tu l’imagines. Parfois, ce qui semble être une difficulté est en réalité un coup de pouce du destin pour t’aider à changer de direction.

    reseaux sociaux charlotteDéveloppe ton intuition

    L’athéisme spirituel moderne nous montre qu’on peut avoir une réflexion profonde sur l’existence sans forcément se référer au livre de la Genèse. C’est une autre manière d’interpréter les signes qui nous entourent.

    Pour affiner cette écoute :

    • Prends le temps chaque jour de noter les “coïncidences” qui t’interpellent
    • Observe comment tu te sens physiquement quand quelque chose résonne en toi
    • Fais confiance à ces petites voix intérieures qui te soufflent la bonne direction

    À force de pratique, tu développeras une sensibilité naturelle aux messages de l’univers. C’est comme apprendre une nouvelle langue : au début, tout semble confus, puis progressivement, les signaux deviennent plus clairs.

    Imagine que tu es à New York et que tu souhaites te rendre quelque part. Tu peux avoir la meilleure carte du monde entre les mains, si tu ne fais pas le premier pas, tu n’arriveras jamais à destination. L’univers fonctionne de la même manière : il t’apporte des opportunités, mais c’est à toi de les saisir. Alors, prête à croire en l’univers et à lâcher prise ?

  • Tout savoir sur l’hyper-indépendance

    Tout savoir sur l’hyper-indépendance

    L’indépendance sous toutes ses formes est souvent encensée par l’entourage ou la société. Toutefois, il existe des formes d’indépendance qui peuvent vous nuire au quotidien. C’est le cas pour l’interdépendance, la dépendance affective ou encore l’hyper-dépendance (lorsque l’individu a besoin du regard des autres, de leur approbation, de leur avis… etc.).

    Chez Nouvelle, on prend les choses à contre-courant c’est pourquoi aujourd’hui l’on vous dit tout à propos de l’hyper-indépendance !

     

    L’hyper-indépendance : késako ?

    L’hyper-indépendance se définit par une indépendance exacerbée dans tous les aspects du quotidien d’une personne. Autrement dit, il s’agit d’une capacité essentielle à ne pas dépendre de quiconque, y compris pour de petites tâches du quotidien ou des choses insignifiantes.

    Pour aller encore plus loin, la psychologie de la personne hyper-indépendante aura tendance à penser pouvoir tout faire seule. La seule idée de dépendre de quelqu’un paraît nuisible à ses yeux, et profondément inutile.

    Si l’indépendance est appréciée et appréciable, l’hyper-indépendance représente son extrême. Et comme tout extrême (hyper-dépendance également), cela peut nuire à la qualité de vie de l’individu.

     

    Les origines de l’hyper-indépendance

    Tout comme pour chaque comportement adopté, il y a des causes à celui-ci. Concernant l’hyper-indépendance, ses origines sont multiples. Les plus connues à ce jour sont :

    • L’hyper-indépendance comme une réponse à un traumatisme vécu dans le passé ;
    • L’hyper-indépendance à la suite d’un choc émotionnel marquant ;
    • L’hyper-indépendance comme protection après une confiance brisée/ défense émotionnelle.

    Ainsi, l’hyper-indépendance est simplement l’ajustement du comportement d’une personne après une épreuve vécue douloureusement. L’hyper-indépendance sert alors de protection à l’individu, afin que celui-ci ne soit pas de nouveau confronté à la même situation – et donc la même douleur. Des séances d’hypnose à Paris peuvent alors permettre de surmonter son hyper-dépendance.

     

    Les manifestations de l’hyper-indépendance

    L’hyper-indépendance se manifeste de multiples façons au quotidien. Il est notamment possible de citer, parmi les habitudes d’une personne hyper-indépendante :

    • Ne pas demander d’aide, y compris pour une petite ou ennuyeuse tâche / impossibilité de déléguer ;
    • Une indépendance qui se retrouve sur tous les fronts (affectif, financier, social, professionnel…). ;
    • Préférer être seul.e plutôt que de faire appel à autrui ;
    • Garder le contrôle sur tous les aspects de votre vie et tout ce que vous entreprenez ;
    • Prendre des décisions seul.e par peur de demander l’avis de quelqu’un d’autre ;
    • Conserver le secret à propos de sa vie personnelle / en révéler le moins possible ;
    • Difficulté à maintenir des relations dans le temps (amicale, amoureuse, professionnelle… etc.).

    Il y a également de nombreux autres traits qui permettent de distinguer une personne hyper-indépendante. Ceux-ci sont notamment variables selon les domaines précis de l’hyper-indépendance.

     

    Comment la surmonter ?

    Si l’hyper-indépendance comprend toute une psychologie et un mode de vie parfois bien ancré, il est toutefois possible de la surmonter grâce à des séances de coaching Nouvelle. Et pour cause, qu’elle s’applique à tous les domaines de la vie ou simplement à quelques-uns (relations, par exemple), il est important de trouver un équilibre.

    Il y a plusieurs chemins pour surmonter l’hyper-indépendance.

    Tu peux aussi aller voir un psychologue qui t’aidera à remonter à la source de cette hyper-indépendance. Je t’en recommande plus d’une dizaine dans mon nouvel ebook “+100 praticiens bien-être d’excellence”. Tu verras, ils sont incroyables !!!

    Apprendre à déléguer :

    Cela peut sembler insurmontable et inenvisageable pour une personne hyper-indépendante. Pourtant, déléguer – y compris les plus petites tâches – est un premier pas vers une indépendance plus équilibrée. De plus, cela vous laissera l’esprit libre pour faire d’autres choses.

    Commencer à faire confiance :

    Souvent, l’hyper-indépendance est un mécanisme de défense. Tout faire tout seul protège ainsi des déceptions, mais également de possibles trahisons. En recommençant à faire confiance à votre entourage proche, vous vous offrez un souffle d’air et vous leur permettez également de se sentir utile. S’aider entre amis est un plaisir pour les deux parties !

    Se réapproprier la demande :

    Demander de l’aide n’est pas une preuve de faiblesse – quelle que soit la nature de la demande. Bien au contraire, elle est une preuve de confiance et permet d’ouvrir l’échange. Pour une personne hyper-indépendante, demander peut paraître difficile. Cependant, en faisant de petites demandes de manière régulière, cela deviendra de plus en plus naturel.

    Interroger son ego :

    L’ego joue un rôle majeur chez une personne hyper-indépendante. Et pour cause, en faisant les choses par soi-même, on se détache du sentiment de besoin. Pour autant, il est essentiel avant de se lancer dans une tâche – quelle qu’elle soit – de se demander si vous pouvez réellement la faire tout seul ; ou bien quels avantages il y aurait si vous demandiez de l’aide.

    Progresser par petits pas :

    Comme dans tout changement, avancer pas à pas est primordial. Aucun changement ne s’est fait en deux jours, et il est important de ne pas brusquer les choses – ou vous-mêmes – au risque que cela vous renvoie à la case départ. Envoyer un petit message, demander un peu d’aide, faire une réservation… etc. sont de petits gestes qui vous permettront d’abaisser petit à petit les barrières solides de l’hyper-indépendance.

    Se laisser du temps :

    Une fois de plus, chaque changement a besoin de temps. Tant pour vous convenir que pour s’ancrer, surmonter l’hyper-indépendance nécessite de la tolérance envers soi-même et de la compréhension. Il y aura des ratés, des périodes où vos vieilles habitudes reviendront – et ce n’est pas grave ! Retrouver un équilibre dans votre vie vaut le temps que vous prendrez pour surmonter l’hyper-indépendance.

     

    Se faire accompagner pour surmonter l’hyper-indépendance

    Chez Nouvelle, lieu intimiste et unique, Charlotte Vallet vous propose de nombreux soins pour le corps et pour l’esprit. Ainsi, il est possible de travailler sur soi pour être toujours plus proche de la liberté et d’un quotidien épanouissant. .

    Pour surmonter l’hyper-indépendance, vous pouvez alors vous tourner vers des soins tels que l’hypnose ou le coaching. Incarnant des soins complets en plusieurs séances, ils permettent de se détacher de certaines habitudes pour un quotidien plus libéré et qui vous épanouit !

     

    Pour aller plus loin…

    UN PODCAST :

    Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.  

    UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :

    Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !

    DES EBOOKS GRATUITS :

    Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.

    PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !

    DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :

    Charlotte Vallet organise une retraite au mois de juillet.

    Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !

    Je réserve ma place !

  • Trouver l’équilibre grâce au coaching

    Trouver l’équilibre grâce au coaching

    Être dans la vie active demande des sacrifices. Le temps, l’argent et parfois soi-même. Si l’on rajoute à cela les épreuves que la vie dépose sur nos chemins, il est parfois fastidieux de trouver un équilibre entre sa vie professionnelle et tous les projets personnels que l’on voudrait accomplir à côté. Pour remédier à cela, le coaching est une très bonne méthode. Derrière cet anglicisme se trouve une méthode qui permet de faire le point sur sa situation et de modifier certains mécanismes. À la clé ? Trouver l’équilibre et le rythme qui vous convient !

     

    Qu’est-ce que l’équilibre ?

    L’équilibre est différent chez chaque individu. De manière générale, l’équilibre de vie désigne une juste répartition entre des facteurs internes (comme le mental, la santé ou les émotions) et des facteurs externes (vie sociale, travail, loisirs…etc.). En d’autres termes, l’équilibre de vie se caractérise par un équilibre entre toutes les activités d’un individu, ses obligations, ses envies et ses besoins.

    Comme mentionné au début, l’équilibre de vie peut être différent pour chaque personne. Certaines préféreront consacrer plus de temps à leur profession qu’à leur famille – pour x ou y raisons. D’autres s’épanouiront au contraire via les relations sociales et les loisirs plutôt que par leur travail.

    Autrement dit, chaque personne doit trouver son propre équilibre pour tutoyer le bonheur et l’épanouissement.

     

    Les bienfaits d’un équilibre de vie

    Trouver son équilibre de vie apporte beaucoup de bienfaits au quotidien. Parmi eux, il est possible de citer :

    • Satisfaction au travail ;
    • Plus d’énergie au quotidien ;
    • Des relations interpersonnelles plus saines et équilibrées également ;
    • Meilleure santé physique et mentale ;
    • Plus d’autonomie et d’indépendance ;
    • Diminution du stress ou de l’angoisse ;
    • Du temps libre pour faire ce que vous souhaitez ;
    • Meilleure réussite dans le travail ou les études due à plus de motivation dans le travail.

    Néanmoins, et malgré tous les avantages que présente une vie équilibrée, il est important de noter que chacun aura son propre équilibre. Il n’est pas utile de se lancer dans une course à la vie équilibrée avec votre voisin ; ce qu’il fait ne vous rendra pas forcément heureux.

    Chaque personne doit trouver son propre équilibre, autrement les bienfaits d’une vie équilibrée ne seront probablement pas au rendez-vous. Cela ouvrirait davantage la voie à la frustration et à l’amertume.

     

    Comment intervient le coaching ?

    Lorsque l’on tente de trouver son propre équilibre, il peut être délicat d’y parvenir seul. Parce que la vie peut rapidement devenir oppressante, pressante ou encore chargée. C’est alors qu’intervient la méthode du coaching. Avec Charlotte Vallet, thérapeute et experte en coaching, vous allez alors faire le point sur vos objectifs, les mécanismes actuels de votre vie et de votre esprit qui vous empêchent d’y parvenir pour ensuite les effacer. C’est seulement ainsi qu’il sera possible de découvrir en vous la force pour recréer de nouveaux mécanismes de pensées et d’action qui vous aideront au quotidien.

    Le coaching est une méthode douce qui s’établit sur le long terme. Si certains résultats voient le jour au bout de quelques séances, il est important de noter que le coaching nécessite un investissement, tant financier que mental. Etes-vous prête à réellement bousculer votre quotidien pour un meilleur lendemain ?

     

    Les bienfaits du coaching

    Comprendre son environnement :

    Le coaching permet de prendre du recul sur son environnement (travail, vie sociale…) et de pouvoir ainsi identifier les habitudes ou les mécanismes d’action qui vous posent problème au quotidien, qui ne vous correspondent pas ou vous freinent. Parfois, il suffit d’un simple détail, d’un tout petit changement pour que vous vous sentiez alignée avec vos objectifs et votre envie de vivre. Le coaching vous aide à analyser cela.

    Se séparer de ses peurs et de ses blocages :

    En travaillant en profondeur et en tentant de vous comprendre au mieux le coaching peut vous aider à vous débarrasser de la peur et des blocages. En effet, le coaching va tenter de comprendre quelles sont les sources de votre peur pour la déconstruire avec vous.

    Apporter une nouvelle compréhension :

    Toutes les pensées que vous avez et toutes les actions que vous faites sont guidées par votre façon de penser. Au besoin, le coaching vous permet de mettre en lumière certains mécanismes qui fonctionnent, et d’autres qui ne fonctionnent pas. Il faut savoir appréhender le changement, pour une vie plus en adéquation avec qui vous êtes.

    Retrouver confiance en soi :

    Beaucoup d’épreuves dans la vie peuvent vous faire douter. Et parfois, ce doute vous ronge petit à petit, entamant votre confiance en vous. Il est alors essentiel de ne pas se laisser déstabilisée. Vous savez qui vous êtes et ce que vous voulez, il ne vous manque plus que la confiance en vous pour y parvenir ! Le coaching permet de retrouver confiance et assurance au quotidien.

    Surmonter des situations compliquées :

    Le coaching est une méthode thérapeutique qui apporte notamment un nouvel angle d’approche. Autrement dit, le coaching peut vous aider à envisager une situation délicate d’un nouvel œil. Puis il vous révèlera les clés que vous avez déjà en vous afin de pouvoir accomplir ce que vous devez faire.

    Libérer la parole :

    Nous avons tous un petit sac intérieur rempli de « non-dits ». Ces non-dits, ils peuvent peser parfois bien lourd sur la conscience ou au quotidien. Parce que tant qu’ils seront présents, alors les événements associés à ces non-dits ne seront pas digérés. Ils participent à vous bloquer dans le passé, et vous faire ressasser… Libérer sa parole, c’est pouvoir aller de l’avant, et grâce au coaching, c’est possible !

    Recalibrer son esprit :

    En de nombreuses façons, le coaching vous permet de trouver de nouvelles voies face à des situations bloquées qui vous freinent au quotidien. Petit à petit, séance après séance, vous retrouvez foi en vous-même et vous sentez invincible… parce que vous l’êtes ! Le coaching permet de recalibrer son esprit afin de pouvoir affronter les situations qui vous bloquaient auparavant. De quoi avancer pendant un long moment !

     

    Le coaching chez Nouvelle 

    Chez Nouvelle, Charlotte Vallet vous propose des séances de Coaching , en séance unique ou via un   Suivi 10 séances, pour apprendre à mieux se connaître et agir en profondeur selon ce qui vous freine au quotidien. Chez Nouvelle, tout est mis en œuvre pour que vous puissiez vous émanciper et être libre de vivre comme vous l’entendez.

    Lieu intimiste et chaleureux, vous retrouverez l’atelier Nouvelle situé au 87 Bis de l’Avenue de Wagram, 75017 PARIS. Ce lieu parisien unique vous propose de nombreux soins physiques et des séances qui permettent de se libérer de certains poids comme l’ EMDR ou encore une  Séance d’hypnose .

    Au cœur de cet endroit puissant, vous trouverez Charlotte Vallet. Experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage, elle a créé Nouvelle en croyant à l’émancipation des femmes. La société fait peser sur nos épaules des injonctions sociales et mentales qui nous persuadent de nous limiter. La vie joue également parfois ce rôle avec certaines épreuves.

    Chez Nouvelle, vous trouverez toujours une écoute, un soin et un accompagnement qui vous aideront à trouver le chemin de la liberté et plus encore, de vous-même. Et puisque les fêtes approchent, vous pouvez aussi vous tourner vers des cartes de soins cadeau !

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur Charlotte en écoutant le podcast dans lequel elle a été interviewée ou en écoutant son podcast Combattantes.

    Enfin, depuis peu, un nouveau podcast met en lumière des femmes merveilleuses via le Podcast Visions Nouvelles .

  • Le remodelage du visage pour la confiance en soi

    Le remodelage du visage pour la confiance en soi

    Nous possédons toutes des petites « imperfections » qui nous rendent finalement parfaites et uniques. Mais parfois, des petits détails prennent l’apparence de gros complexes. À une époque, la chirurgie esthétique était la solution toute trouvée pour y remédier. Mais si elle change l’aspect physique, elle ne parvient pas à apaiser le complexe qui prend sa source dans la psyché.

    Depuis lors, de nombreuses pratiques se sont installées en Occident. Pour permettre, via une alternative douce et non-invasive, de se débarrasser de ses complexes faciaux et de se sentir mieux au quotidien ! Connaissez-vous le remodelage du visage ?  Et ses nombreux bienfaits ?

     

    Le remodelage du visage chez Nouvelle

    Le remodelage du visage est bien souvent associé à des pratiques chirurgicales, des injections de toutes sortes ou encore des traitements. Mais chez Nouvelle, tous les soins proposés mettent en avant des techniques naturelles et non-invasives afin de s’émanciper des injonctions de la société.

    Ainsi, le remodelage chez Nouvelle permet de se (re)découvrir, de gagner en confiance en soi ou encore de retrouver de l’estime de soi. S’il ne devait être résumé qu’en une phrase :

    Le remodelage du visage chez Nouvelle fait briller votre extérieur à la hauteur de votre intérieur.

    Autrement dit, c’est à travers un massage dynamique que j’élimine les émotions qui vous freinent et vous étouffent pour libérer votre vraie personnalité. Celle-ci se reflètera ainsi sur vos traits, vous permettant de gagner en confiance en vous. Durant ce massage, les muscles profonds sont sollicités, et la qualité de la peau s’épanouit quelle que soit sa texture. Retrouvez éclat, confiance en vous, calme et force grâce à ce soin unique.

    Attention toutefois, le remodelage émotionnel du visage est différent d’un soin de drainage. Vous pouvez d’ailleurs retrouver mon article concernant Les bienfaits du drainage du visage et tout ce qu’il y a à savoir dessus.

     

    Le masque de circonstance

    Ce soin est proposé chez Nouvelle après de nombreuses observations de la vie quotidienne. Ce n’est pas un secret qu’il pèse sur les femmes des pressions intenses, des injonctions à la beauté, à la performance, à la sexualité, à la productivité…etc. Pourtant, les femmes ont le droit d’exister. Et s’il était temps de briller face au monde ?

    En toutes circonstances, les femmes ont eu l’habitude de revêtir un masque. Celui de la mère attentionnée, celui de l’amie loyale, celui de l’amante concernée, celui de l’employée docile…etc. Pourtant, ces masques ne sont pas le reflet de tout ce qui vous compose. Parce que vous pouvez être plus qu’un masque, vous pouvez être vous-même.

    Se départir de son masque peut être effrayant. C’est à la fois un acte de rébellion face à la société et ses sacro-saintes cases, à la fois un pas de plus vers une émancipation totale. Car être libre d’être soi-même est un chemin semé d’embûches, Nouvelle propose ce soin afin de vous révéler la force de votre potentiel.

     

    Les bienfaits du remodelage du visage

    Le remodelage du visage possède de nombreux bienfaits. Chez Nouvelle, il s’agit d’un remodelage émotionnel du visage. Autrement dit, je vous propose un soin complet qui permet de travailler à la fois la puissance que vous avez en vous, et l’image que vous allez projeter sur le monde dorénavant. Parmi les bienfaits du remodelage du visage, il est possible de citer :

    Retrouver sa confiance en soi :

    Le premier bienfait – et non le moindre – c’est la capacité qu’a ce soin de vous aider à retrouver votre confiance en vous. À travers un massage dynamique du visage et du cou, c’est tout votre potentiel qui se révèle à l’extérieur.

    Se (re)découvrir :

    Que vous soyez aspirée par le quotidien, les soucis, l’inquiétude, les activités, le travail, la déprime ou tout autre obstacle que la vie met sur notre chemin, le remodelage du visage permet de se reconnecter à soi. Plus encore, le remodelage émotionnel du visage permet de se (re)découvrir pleinement. Parce que toutes vos qualités intérieures se voient alors à l’extérieur. C’est retrouver un nouveau souffle, de la force, de la confiance, et être prête à tout accomplir !

    Extérioriser les émotions :

    Chez Nouvelle, le remodelage émotionnel du visage est un soin unique qui permet d’extérioriser ses émotions. Avec ce massage dynamique, les tissus de la peau sont sollicités en profondeur, ce qui permet de détendre les tensions, les muscles et les conséquences du stress ou encore de l’inquiétude. Grâce à un moment hors du temps, il est possible de se débarrasser des émotions qui polluent le quotidien et vous freinent.

    S’accorder un instant de relaxation :

    Les muscles profonds sont sollicités durant le remodelage émotionnel du visage. Cela permet un état de relaxation général malgré le dynamisme du massage. Adieu stress et tension, bonjour bien-être et apaisement !

    Se reconnecter à soi :

    Le remodelage émotionnel du visage que propose Nouvelle vous permet également de vous reconnecter à vous-même. Il révèle votre véritable personnalité à l’extérieur. Celle-là même qui a pu être mise à rude épreuve par la société, les attentes en tous genres, les expériences douloureuses, la fatigue, les croyances limitantes… Ce soin vous permettra de vous reconnecter à votre moi profond.

     

    Les séances de remodelage émotionnel chez Nouvelle

    Chez Nouvelle, le Remodelage émotionnel du visage est une séance d’une heure. Il est possible d’effectuer ce soin en séance unique, ou bien de choisir un  forfait 6 séances. Une séance unique permet d’avoir des résultats immédiats et les effets de relaxation se ressentent bien. Un forfait, en revanche, permet de travailler en profondeur sur votre peau, de vous débarrasser pleinement des émotions pesantes et de révéler dans le temps toute votre personnalité.

    L’atelier Nouvelle se situe au 87 Bis Avenue de Wagram.

    Vous pouvez prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelle, l’émancipation des femmes est au cœur de mes valeurs. Pour que toutes puissent se sentir bien en étant elle-même, et se libérer des injonctions parfois vives que la société fait peser sur nos épaules.

     

    En quelques mots…

    Le remodelage émotionnel du visage chez Nouvelle vous permettra de retrouver une totale confiance en vous. En apaisant vos angoisses, en révélant votre véritable personnalité, en vous reconnectant à vous-même, c’est tout votre potentiel que vous pouvez appréhender et ressentir. Plus rien ne vous arrêtera !

    Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du visage et du corps.

    Vous pouvez en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Nouvelle a également son propre podcast ! Si vous souhaitez écouter les récits de femmes indépendantes, combatives, résilientes et uniques, on en parle par ici : Podcast – Charlotte Vallet.

     

  • Drainage lymphatique : l’alternative pour traiter la dépression

    Drainage lymphatique : l’alternative pour traiter la dépression

    Variations d’humeur, perte de motivation, irrégularité du sommeil et de l’appétit… la dépression est une maladie pouvant survenir à n’importe quel moment. Ayant plusieurs causes, il est parfois délicat de remarquer qu’elle s’est installée dans votre quotidien. Silencieuse et pesante, elle rend pourtant ledit quotidien difficile à vivre. S’il existe de nombreuses façons de traiter la dépression, à travers la psychothérapie ou encore la prise d’antidépresseurs, il y a également un soin naturel qui permet d’atténuer cette maladie psychique et surtout, ses effets sur la vie d’une personne. Alliant soin et thérapie, le drainage lymphatique se présente comme étant une alternative intéressante.

     

    Comment définir la dépression ?

    La dépression est une maladie psychique qui impacte le quotidien d’une personne. Insidieuse et destructrice, elle provoque des symptômes qui, lorsqu’ils s’accumulent, s’imposent comme des limites fixes dans la vie d’un individu.

    Le dépression se caractérise par :

    • Une grande tristesse ressentie ;
    • L’impression de ne pas avoir de valeur (je ne suis bonne à rien…) ;
    • Un sentiment de désespoir/ de fatalité (de toute façon ceci ne changera rien…) ;
    • Une perte de motivation (ça ne sert à rien, mieux vaut éviter de faire ceci/cela…) ;
    • Troubles du sommeil (réveils inopinés, insomnies, hypersomnie, fatigue chronique…) ;
    • Troubles alimentaires (hyperphagie, saut de repas…) ;
    • L’apparition de pensées morbides.

    Lorsqu’une dépression se déclare, celle-ci peut durer plusieurs semaines comme plusieurs années. Il n’y a pas de limites temporelle puisque malgré des symptômes bien définis, elle impacte chaque personne différemment.

    Dans le milieu médical, l’on parle alors de dépression « majeure », « clinique » ou « caractérisée ».

    Attention toutefois, il est important de distinguer la dépression de :

    • La déprime (inévitables périodes de tristesse et d’ennui) ;
    • La dépression saisonnière (elle est directement liée à la période de l’hiver/ automne) :
    • La dysthymie (tendance dépressive de l’humeur, sans que ça ne soit aussi profond que la dépression) ;
    • La dépression anxieuse (une dépression à laquelle s’ajoutent des symptômes d’anxiété et d’appréhension) ;
    • La dépression post-partum (état dépressif qui suit l’accouchement d’une femme. On parle aussi de « baby-blues ») ;
    • La bipolarité (trouble psychiatrique qui peut voir apparaître des phases de dépression).

     

    Les différentes causes de la dépression

    Les causes de la dépression sont multiples et variées. De plus, elles peuvent différer d’une personne à l’autre. Typiquement, les causes de la dépression peuvent être :

    Facteur génétique :

    Certaines études ont révélé que la dépression était souvent observée dans une même famille. Bien qu’aucun gène n’ait été identifié comme responsable de cette transmission, et que cette hérédité ne s’applique pas systématiquement, des antécédents de dépression dans une famille sont considérés comme un facteur à risque.

    La prévalence :

    Selon une étude réalisée par l’OMS, en 2020, la dépression est reconnue comme étant la deuxième cause d’invalidité à travers le monde – après les troubles cardiovasculaires. Cette idée de prévalence, elle se traduit surtout comme la révélateur de l’impact de la dépression. Ainsi, la dépression peut survenir à tout âge, chez n’importe qui (homme comme femme). Cependant, les femmes semblent être davantage touchées par cette maladie.

    Facteur biologique :

    La dépression est une maladie complexe. Toutefois, chez certaines personnes atteintes de dépression, il est possible d’observer un déséquilibre plus ou moins marqué de certains neurotransmetteurs. C’est notamment ce qui peut perturber la communication entre les neurones. Parmi ces neurotransmetteurs, il est possible de citer la sérotonine, les perturbations hormonales, la prise ou l’arrêt de la pilule ou l’hypothyroïdie comme facteurs biologiques.

    Environnement et habitudes :

    Les habitudes de vie telles que le tabagisme, l’alcoolisme, le manque d’activité physique ou encore l’excès de jeux vidéo représentent toutes des habitudes de vie qui peuvent nuire à l’état psychologique. De même, des conditions de vie telles que la précarité, le stress ou l’isolement social sont tous autant facteurs de dépression que d’anxiété.

    Événement de la vie :

    Chez des personnes qui sont prédisposées à la dépression, des événements de la vie comme un deuil, la perte de son emploi, un divorce ou encore une maladie peuvent tous représenter des éléments déclencheurs de la maladie.

     

    La puissance insoupçonnée du drainage lymphatique

    Le drainage lymphatique est un soin naturel réalisé tout autant sur le visage que pour le corps entier. Son objectif est de faire circuler la lymphe dans le corps ou le visage. Outre les bienfaits esthétiques que le drainage lymphatique du visage ou du corps représente, ce sont surtout ses bienfaits insoupçonnées pour le mental et l’émotionnel qui nous intéressent chez Nouvelle !

    À travers des techniques de massage et de stimulation douces de différentes zones, le drainage lymphatique permet de faire circuler la lymphe dans la zone choisie. Lorsque le système lymphatique est déséquilibré ou déficient, alors le drainage lymphatique offre à la peau et aux cellules un « nouveau souffle ».

     

    Les bienfaits du drainage lymphatique lors d’une dépression

    De prime abord, associer le drainage lymphatique dans le traitement de la dépression peut paraître controversé. Pourtant, certains des symptômes de la dépression ou bien des comportements que cette maladie provoque sont directement responsables d’une mauvaise circulation lymphatique. Typiquement, voici ces comportements/ symptômes :

    • Une mauvaise alimentation ;
    • Un état de fatigue ;
    • Le stress ;
    • Le tabagisme et/ou l’alcoolisme ;
    • Manque ou baisse d’activité.

    Ainsi, les bienfaits du drainage lymphatique dans le traitement de la dépression sont :

    Libération des émotions :

    Le corps et l’esprit étant étroitement reliés, le drainage lymphatique, en permettant l’élimination des toxines présentes et en faisant circuler la lymphe offre au corps un nouveau souffle. Plus encore, le corps se détendant, ce sont les émotions qui parviennent à s’extérioriser. Il est notamment courant que la colère impacte le foie, que la tristesse agisse sur notre relation à l’appétit et par extension, l’état de l’estomac et du système digestif. De même, la tristesse peut également causer de l’hypertension et des complications cardiaques sur le long terme. Libérer ces émotions, c’est donc réduire les risques pour la santé.

    Amélioration du sommeil :

    Sans être la même méthode que l’hypnose, le drainage lymphatique peut pourtant améliorer la qualité de votre sommeil. En effet, le drainage lymphatique agit sur le corps pendant et après la séance. Il est donc important de bien se reposer après une séance, et puisque le corps continue de « travailler », le sommeil vient généralement mieux dans les jours qui suivent.

    Renforcer le système immunitaire :

    C’est la fonction première du drainage lymphatique. En effet, l’élimination des toxines et des déchets présents dans le corps permet à ce dernier de se renforcer, et au système immunitaire d’être d’autant plus performant.

    Retrouver sa confiance en soi :

    Si les drainages lymphatiques du corps et du visage présentent de nombreux bienfaits esthétiques, chez Nouvelle, on y préfère son potentiel thérapeutique. Mais il est indubitable que le drainage présente des aspects esthétiques qui permettent de bénéficier à l’esprit. Ainsi, le drainage lymphatique permet de retrouver une confiance en soi, notamment en cas de complexes physiques puisque ce soin améliore la qualité de la peau (même si ce n’est pas son objectif premier chez Nouvelle !).

    Un état de relaxation :

    Enfin, le drainage lymphatique permet d’équilibrer les deux parties qui composent le système nerveux du corps. De cette façon, c’est la circulation lymphatique qui est favorisée et qui permet de créer un état de relaxation. Dans le cadre d’une dépression, cet apaisement offre un nouveau souffle, une bouffée d’air frais dans la négativité des pensées quotidiennes. À terme, cet apaisement peut se montrer de plus en plus souvent au quotidien et vous aider à vaincre les symptômes de la dépression.

     

    En quelques mots…

    La dépression est une maladie sournoise et silencieuse. Elle isole, créer de la détresse chez la personne et n’est que rarement clémente. En parallèle d’une psychothérapie, il est possible de se tourner vers des soins naturels comme le drainage lymphatique. Celui-ci permet notamment d’apaiser l’esprit, de renforcer le système immunitaire, de retrouver confiance en soi, d’améliorer la qualité du sommeil et de libérer les émotions que la dépression insuffle.

    Soulagement, bien-être et nouvel air vous enveloppent alors.

    Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du visage et du corps. Chez Nouvelle, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris je vous accueille pour des séances de  Drainage thérapeutique corps en séance unique ou en forfait 6 séances .

    Je propose également des séances de Remodelage émotionnel du visage en séance unique ou en  forfait 6 séances  également.

    Enfin, Nouvelle propose également Remodelage hypnotique du visage qui mêle la puissance d’une séance d’hypnose sur le soin d’un remodelage du visage. Afin de prendre soin en profondeur de votre corps et de votre esprit, ce soin existe également en  forfait 3 séances .

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

  • L’EMDR après un viol

    L’EMDR après un viol

    Depuis plusieurs années, la parole concernant les abus et violences sexuelles se libère. Si le mouvement #MeToo a permis de délier les langues à ce propos, il est également possible de constater que les abus sexuels n’ont pas de schéma basique. Chaque femme peut en être victime. Après un viol, il est compliqué de se reconstruire. Mal-être, dépression, idées suicidaires, le traumatisme est présent et peut avoir de multiples conséquences sur le quotidien.

    L’EMDR, thérapie par les mouvements oculaires, peut alors s’avérer être une thérapie efficace et à prix accessible. Alors comment l’EMDR peut aider une personne ayant subi la violence d’un abus sexuel ?

     

    Les violences sexuelles 

    Si l’on croit toujours savoir ce qu’englobent les termes de violence sexuelle, il est parfois difficile d’appréhender toutes leurs nuances. Or, le fait de nommer les choses ou les événements, permet de mieux se guérir par la suite. Alors que désignent en réalité les violences sexuelles ?

    Selon le site du gouvernement, les violences sexuelles « désignent tous actes sexuels commis avec violence, contrainte, menace ou surprise. Ces violences portent atteinte aux droits fondamentaux de la personne. Personne n’a le droit de vous imposer un acte sexuel que vous ne désirez pas ».

    Autrement dit, le viol, tout autant qu’une caresse peut constituer une violence sexuelle tant que les actes ne sont pas consentis.

     

    Les conséquences sur les femmes victimes

    Au-delà de l’acte intolérable qu’est une violence sexuelle, il y a surtout de terribles conséquences sur les victimes. Après un tel traumatisme, il y a de nombreuses séquelles qui peuvent se déclarer, telles que des séquelles psychologiques et neurologiques, qui mènent notamment à des dysfonctionnements émotionnels et mnésiques.

    Parmi les conséquences psychologiques et émotionnelles, l’on relève :

    • Souffrance mentale ;
    • Perte d’estime de soi ;
    • Perte de motivation (travail, vie sociale…) / repli sur soi ;
    • Sentiment de culpabilité ;
    • Sentiment d’objectification ;
    • Blocage de la vie sexuelle ;
    • Perte de confiance en soi et en les autres.

    Mais ce genre de traumatisme peut également entraîner des conséquences physiques :

    • Perte d’appétit ;
    • Trouble anxieux ;
    • Troubles cognitifs ;
    • Maladies cardio-vasculaires ;
    • Difficultés de sommeil ;
    • Addictions, conduites risquées ;
    • Troubles gynécologiques.

    C’est ce pourquoi il est important de pouvoir se faire aider afin de traverser cette épreuve. Ce n’est pas de votre faute, et vous (vous) devez (de) redevenir le sujet de votre vie.

     

    L’EMDR pour guérir du traumatisme

    Si de nombreux médecins préconisent un suivi psychologique après un traumatisme tel que le viol, il existe d’autres voies par lesquelles surmonter les faits et pouvoir en guérir. L’hypnose en fait partie, au même titre que l’EMDR. Et c’est cette dernière qui nous intéresse ici.

    Pour rappel, l’EMDR est une forme de psychothérapie, passant par l’intégration neuro-émotionnelle à travers les mouvements oculaires. N’hésitez pas à aller voir tous les bienfaits que présente l’EMDR !

    Ainsi, l’EMDR est tout indiquée pour soigner ce genre de traumatismes (viols, agressions sexuelles… etc.). La thérapie par EMDR va permettre à la mémoire de la personne de modifier les souvenirs de la mémoire traumatiques en mémoire autobiographique. C’est alors un moyen de soulager les symptômes du traumatisme et d’offrir une récupération neurologique grâce à la neuroplasticité du cerveau. La neuroplasticité du cerveau correspond à la faculté que possède le système nerveux à se rénover, se réorganiser.

    L’EMDR permet ainsi de revisiter l’événement traumatique et d’en apaiser les symptômes associés. Il ne s’agit en aucun cas d’oublier ce qui s’est passé, mais bel et bien de se défaire de l’influence et de l’impact qu’un tel événement a sur la vie quotidienne.

    La thérapie par EMDR permet enfin de se reconnecter à soi, de regagner sa dignité et de retrouver sa personnalité.

     

    Les bienfaits de l’EMDR en cas de violences sexuelles

    Ainsi, l’EMDR présente de nombreux bienfaits pour aider les victimes à se réapproprier leur corps et leur vie. Parmi eux, l’on peut citer :

    Un accompagnement et une écoute :

    L’EMDR est une forme de psychothérapie. De ce fait, elle permet de trouver une écoute et surtout, un accompagnement adapté dans le traitement des traumatismes. Cette thérapie encore récente présente l’opportunité de pouvoir libérer la parole, et dans un second temps, ses émotions.

    Se retrouver :

    En apaisant les émotions liées au traumatisme vécu, l’EMDR permet à la personne de se retrouver. En effet, elle n’est plus dépendante de son traumatisme délétère. Celui-ci est notamment susceptible de devenir un souvenir qu’il est possible de traiter comme tel. Il n’a plus une influence aussi grande et oppressante. La personne se retrouve alors petit à petit, libérée des effets du traumatisme.

    Apaiser l’impact du traumatisme :

    À travers les mouvements oculaires, ce sont les deux hémisphères du cerveau qui vont se retrouver synchronisés. De cette façon, l’EMDR permet de se reconnecter aux émotions dites « primaires » du traumatisme. Cela permet de débloquer la charge émotionnelle qu’elles représentent pour la personne et d’en apaiser les symptômes ressentis au quotidiens.

    Travailler en profondeur :

    L’EMDR est un travail qui se fait en profondeur. Autrement dit, l’EMDR, à travers les mouvements oculaires, va directement exercer un travail sur le système nerveux et les émotions « bloquées ». Dans une thérapie traitant des traumatismes, l’EMDR va être essentielle pour réinvestir des pensées cohérentes, des valeurs justes et des émotions adéquates. Pour que le traumatisme ne soit plus jamais ressenti comme tel.

    Analyse de ses comportements :

    L’EMDR permet également d’analyser ses comportements. Bien souvent, après un traumatisme, certaines habitudes se créent quand d’autres s’estompent. On ne vit que selon ce que ce traumatisme parviendra à insuffler ou non. Analyser ses comportements permet entre autres choses de trouver du sens à ce qui s’est créé et à l’appliquer au quotidien. Et d’une certaine façon, cela permet déjà de s’en libérer.

    (Re)commencer à vivre :

    Plus simplement, l’EMDR permet de (re)commencer à vivre après un traumatisme. Les conséquences n’en sont pas moins importantes, le traumatisme n’en est pas moins violent. Mais son impact sur votre vie, lui, est amoindri. Vous pouvez respirer, (ré)apprendre à vivre et embrasser votre quotidien sans crainte d’être hantée.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, l’EMDR est une méthode qui permet de se libérer de l’impact ravageur que peut avoir un abus sexuel ou un viol. À l’aide de cette psychothérapie, il est alors possible de se débarrasser petit à petit des effets de se traumatisme. Mais aussi, de reprendre confiance en soi, de retrouver sa dignité et de comprendre que jamais, ça n’a été de votre faute.

    La culpabilité s’efface au profit du traitement d’un souvenir quelconque, non pas pour amoindrir la gravité du traumatisme, mais bel été bien pour ne plus lui laisser le pouvoir sur votre existence.

    Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.

    Chez Nouvelle, les prestations proposées vont au-delà du simple soin : elles sont un outil pour s’émanciper toujours davantage. Retrouvez les séances d’EMDR, en forfait ou en prestation simple.

    Le cabinet est situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.

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  • Rupture amoureuse : l’hypnose comme outil thérapeutique

    Rupture amoureuse : l’hypnose comme outil thérapeutique

    La rupture amoureuse peut être mutuelle et entendue, déchirante et inexpliquée. Dans un cas comme dans l’autre, s’en remettre nécessite du temps et de la bienveillance envers soi-même. Mais à l’époque où les relations humaines sont consommables comme des produits, à l’heure où l’on (re)jette les personnes comme des choses dont on ne voudrait pas s’embarrasser, il est parfois délicat de se relever. Bien heureusement, les liens humains se font et se défont beaucoup au cours d’une vie, et si certains sont plus douloureux que d’autres lorsqu’ils se défont, il existe de nombreuses méthodes qui aident à se remettre debout.

    L’hypnose en fait partie. Car la relation amoureuse est comme un deuil, l’hypnose est une alliée douce qui aide à reprendre confiance en sa personne et en ses sentiments. Alors comment cela fonctionne-t-il ?

     

    L’amour est une addiction

    La plupart d’entre nous a déjà fait l’expérience d’une relation amoureuse. Les papillons dans le ventre au début, l’impatience de voir et d’entendre l’autre, l’envie de le comprendre dans son entièreté… Jusqu’au jour où les chemins se séparent. C’est alors un équilibre qui se brise, et qui nécessite du temps pour être reconstruit et adapté.

    La rupture amoureuse peut parfois s’avérer douloureuse et déchirante. Source d’addictions qui cachent un déni profond de la situation, voire de dépression qui peut rallonger le cycle de deuil de la relation, une rupture est rarement un moment de plaisir.

    Et pour cause, l’amour est une drogue puissante. Il permet de se sentir plus léger, plus confiante car aimée, plus entière parfois lorsqu’on n’est pas alignées. Parce que l’amour est une farandole d’endorphines, de dopamine et de sérotonine, l’amour est une puissante addiction. Et la rupture, comme tout sevrage, peut être très fastidieuse à appréhender ensuite.

     

    Post-rupture : que faire ?

    Si certaines personnes se connaissent suffisamment pour pouvoir gérer une rupture amoureuse à leur façon, pour d’autres, c’est tout un monde qui s’écroule et les repères qui s’en retrouvent bouleversés. Après une rupture amoureuse, il est important de se retrouver, de se reconstruire, de créer de nouveaux repères pour pouvoir continuer d’évoluer sur son propre chemin.

    Et pour que tout cela soit possible, il est parfois nécessaire de comprendre pour accepter la situation.

    Si de plus en plus de personnes se tournent vers des psychothérapies pour effectuer ce travail en étant accompagnées, peu de gens savent que l’hypnose est un réel outil également. Lors d’une rupture amoureuse, l’hypnose peut s’avérer d’une grande aide pour reprendre les rênes de sa vie !

     

    L’hypnose pour accompagner la rupture amoureuse

    L’hypnose peut ainsi représenter une aide mais aussi un point de départ qui permet de travailler en profondeur sur les chemins de pensées de l’individu. La rupture amoureuse peut durer dans le temps et vous empêcher, à terme, de reprendre une vie où vous êtes la décisionnaire. Finalement, vous subissez l’état de rupture, ce qui est naturel et fait partie d’une forme de déni. Mais c’est grâce à l’action qu’il sera possible de vous retrouver.

    Ainsi, l’hypnose auprès d’un professionnel peut être une réelle aide dans cette situation. En effet, l’hypnose travaille directement sur l’inconscient de la personne, ce qui permet une libération émotionnelle en plus de nouvelles pistes de réflexion.

    Attention toutefois, l’hypnose ne soigne pas les cœurs brisés. En revanche, elle présente de nombreux bienfaits qui vous permettent de reprendre confiance en vous et en l’avenir !

     

    Les bienfaits de l’hypnose pour traiter la rupture amoureuse

    Parmi les bienfaits que présente l’hypnose dans le cadre d’une rupture amoureuse, il est possible de citer :

    La libération des émotions :

    En travaillant directement avec l’inconscient, l’hypnose permet de (se) libérer des émotions enfouies. C’est un processus profond qui va directement impacter les émotions et les libérer. De la sorte, c’est vous qui êtes libérée ensuite et pouvez mieux aborder le présent et le futur. Que la rupture soit récente ou non, de nombreuses émotions peuvent demeurer dans l’ombre (culpabilité, incompréhension, colère, tristesse…). S’en libérer est alors nécessaire pour une meilleure acceptation de la situation et, à terme, une meilleure appréhension du futur et du présent.

    Se recentrer :

    L’hypnose permet également de se recentrer après une rupture amoureuse. En effet, peu importe si on subit ou initie la rupture, le fait est qu’après un tel événement, on a souvent besoin de se recentrer. Et parfois, prendre du temps pour soi ne suffit pas ; il faut faire un voyage plus long et profond. L’hypnose peut alors être une aide pour vous reconnecter à la personne que vous êtes, et (ré)apprendre à vous connaître.

    (Re)prise de confiance en soi :

    La rupture amoureuse peut également impacter votre estime de soi ou votre confiance en vous. Il est alors primordial de ne pas se laisser sombrer sur cette pente, qui peut être source de dépression ou  d’anxiété. L’hypnose peut, là aussi, être un outil pour retrouver confiance en soi. Avec un travail en profondeur, apprenez à (re)prendre confiance à travers la conscience de votre être et de ses capacités !

    Les étapes du deuil de la relation :

    Comme un deuil, les ruptures amoureuses peuvent être suivies de nombreuses étapes avant que la situation soit plus claire. Ainsi, l’hypnose aide la personne à faire son deuil de la rupture, notamment en l’accompagnant à travers les différentes phases.

    Apaisement et relaxation :

    Enfin, l’hypnose est également un outil qui travaille sur la relaxation et l’apaisement. La rupture amoureuse peut être brutale, tant physiquement qu’émotionnellement. Grâce à l’hypnose, vous êtes apaisée plus détendue. Un état qui permet également d’y voir plus clair au quotidien et de mieux appréhender la vie de tous les jours.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, l’hypnose présente de nombreux bienfaits dans le traitement d’une rupture amoureuse. Il est toutefois important de noter qu’elle ne permet pas de réparer un cœur brisé ; seul le temps et vous-même pouvez le faire.

    Mais l’hypnose s’avère un réel outil pour permettre de se reconstruire sur des fondations plus solides et durables.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, en neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage. Il est possible de retrouver mes prestations d’hypnose en séance simple ou par forfait.

    Pour faire du bien à l’esprit et à la peau en même temps, retrouvez les séances d’hypnose + LED, en séance simple ou par forfait !

    J’organise également des séances d’hypnose sur ZOOM, pour guérir de sa rupture amoureuse !

    Depuis peu, c’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances d’hypnose, des soins pour se recentrer sur soi et s’émanciper des émotions néfastes et limitantes.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

  • Deuil et hypnose : une aide douce et solide

    Deuil et hypnose : une aide douce et solide

    De près ou de loin, le deuil est toujours une étape douloureuse, amère et surtout, qui nous apparaît comme injuste. Mais s’il n’est pas fait correctement, le deuil peut alors devenir cette brèche en vous, par laquelle s’insinuent de nombreux mots au quotidien. Tristesse, colère, déni… parfois allant jusqu’à un état de dépression. Pour toutes les personnes qui ne parviennent pas à terminer leur deuil, qui ont du mal à en prendre conscience ou tout simplement, qui souhaitent guérir un deuil en profondeur, c’est possible. Et cela peut alors passer par de l’hypnose.

     

    Qu’est-ce que le deuil ?

    Si on a tous déjà entendu parler du deuil, nous ne l’avons pour autant pas tous vécu – et encore moins de la même manière. Selon le Larousse, le deuil désigne le décès d’un être humain ; la douleur causée par le décès d’un être humain ; ainsi que l’ensemble des cérémonies et de l’apparat lié au décès d’un être humain.

    Mais c’est aussi bien plus que cela. Plus que le deuil, l’accent devrait être mis sur le fait de « faire son deuil ». Car il ne s’agit pas d’une étape, mais bel et bien d’un processus entier qu’il faut traverser à son rythme. Il y a la douleur de l’être parti, mais également l’ignorance de savoir comment vivre sans cet être.

    Il est dit que le deuil est un processus à faire en cinq étapes :

    • Le déni, le choc ;
    • La colère ;
    • La négociation ;
    • La dépression, la tristesse ;
    • L’acceptation.

     

    Les différents types de deuil

    Il existe par ailleurs, selon le DSM-5, différents deuils.

    Le deuil « normal » :

    C’est un deuil qui se déroule en seulement trois phases. D’une première part, la présence du choc est bien ressentie. La deuxième phase n’est pas la colère mais la dépression. Celle-ci peut durer plusieurs mois avant que la phase d’acceptation n’y succède. Enfin, le quotidien est réinvesti et la personne endeuillée parvient à passer outre la douleur pour vivre. En général, le deuil normal n’excède pas un an.

    Le deuil compliqué :

    Celui-ci est un peu plus long et persistant pour la personne qui le traverse. Les symptômes du deuil – autant physiques que mentaux – sont forts et débouchent en général sur une incapacité à vivre de manière fonctionnelle au quotidien. Autrement dit, ces symptômes sont forts, tenaces et possèdent un impact sur le quotidien. Si le deuil compliqué n’est pas pris en charge aux premiers symptômes (poussées de chagrin, déni profond et long, souvenirs intrusifs et réguliers…etc.) il peut alors précéder une dépression. Le deuil compliqué s’étend au-delà d’un an.

    Le deuil pathologique :

    Répertorié comme un véritable trouble psychiatrique, le deuil pathologique possède des caractéristiques propres et précises. À un déni profond viennent s’ajouter parfois des éléments qui relèvent du « délire ». De plus, une dépression profonde peut s’installer, ainsi que des comportements relevant de la bipolarité, des hallucinations ou encore des addictions. Enfin, le deuil pathologique perpétue un état de mal-être et de souffrance qui peut également entraîner des conséquences physiques telles que des ulcères ou un cancer.

    Qu’importe le deuil que l’on subit, il est possible de pouvoir s’en sortir. L’hypnose peut notamment être une aide précieuse pour traverser ce processus et éviter qu’il ne dure trop longtemps et ait un impact radical sur votre vie.

     

    L’hypnose pour alliée

    C’est dans les années 1980 que l’hypnose est envisagée comme une aide dans le traitement du deuil. Il est important de noter que l’hypnose ne suffit pas à elle-seule. Elle apporte simplement une aide afin de mieux vivre son deuil et de retrouver la sérénité après la perte d’un être cher. Les premières recherches sur l’hypnose et le deuil sont faites pour aider les vétérans du Vietnam à surmonter les pertes subies.

    En 1988, une étude américaine met en lumière l’efficacité de l’hypnose pour passer d’une phase de deuil à une autre. C’est alors une nouvelle voie qui s’ouvre pour les personnes rencontrant des difficultés à vivre le deuil. Cependant, les études ont été réalisées sur un faible nombre de patients. Aussi il n’est pas possible d’en faire une généralité.

    Ce qui est certain, en revanche, c’est que l’hypnose représente une prise en charge thérapeutique intéressante dans le processus du deuil ; elle apaise, aide à reprendre sa vie, apporte sérénité et recul sans pour autant effacer les sentiments ressentis par la personne endeuillée.

    L’hypnose est une alliée douce mais solide pour traverser un deuil.

     

    Les bienfaits de l’hypnose dans le traitement du deuil

    L’hypnose apporte ainsi les clefs qui se cachent en vous afin que vous puissiez gérer au mieux cette période d’inaptitude qu’est le deuil. Si l’hypnose ne guérit pas le deuil ni la disparition subie, elle travaille surtout sur l’acceptation de l’événement en question. Plus encore, les séances d’hypnose permettent :

    Le traitement des souvenirs :

    Un deuil peut être très traumatisant, tant dans la façon de le vivre que dans les mauvais souvenirs qui peuvent surgir. L’hypnose est un travail direct avec l’inconscient, et peut ainsi parvenir à traiter les conséquences de ces mauvais souvenirs comme le stress ou l’anxiété. Dans le cas du deuil, l’hypnose permet de se reconcentrer sur les bons souvenirs de la personne disparue. Dans le cas d’une longue maladie, d’un suicide ou de violence, cela permet de s’émanciper en retrouvant un cadre serein pour le processus du deuil.

    Un travail sur le lien :

    Le relation avec le défunt peut être de toute nature possible. L’hypnose permet donc de travailler, également, sur la relation avec le défunt. Lorsque la personne n’est plus là, l’acceptation du changement de la relation peut être difficile à ressentir. L’hypnose offre alors un cadre dans lequel accepter le changement de relation. Plus encore, l’hypnose permet également de ne pas laisser les regrets, la culpabilité ou les sentiments bloqués prendre de la place et prolonger la période du deuil et un possible mal-être associé. De même, l’hypnose peut opérer une libération des émotions ainsi que des modifications de représentations. Dans le cas du deuil, cela permet de travailler sur un pardon symbolique, nécessaire pour l’acceptation d’une perte.

    La libération des émotions :

    Le deuil est source de nombreuses émotions. Parfois ces émotions sont inconscientes. C’est alors que l’hypnose incarne une nouvelle aide afin de s’en libérer. En effet, si la colère et la tristesse font partie du deuil, la culpabilité ou les regrets peuvent s’avérer être de réelles entraves au processus de deuil. De plus, ces émotions inconscientes peuvent être source de comportements inadaptés qui rendent la vie plus difficile encore. Les croyances limitantes peuvent alors se multiplier, un schéma de tristesse peut se mettre en place jusqu’à mener à une dépression.

    Ainsi, l’hypnose permet un travail en profondeur sur ces émotions. Quelles soient conscientes ou inconscientes, l’hypnose les libère pour un deuil plus serein, pour que ce dernier ne soit pas entravé ou prolongé.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, l’hypnose est un très bon outil qui permet de se reconnecter à soi au travers des méandres de la tristesse. Le deuil n’est jamais une période joyeuse mais il est possible de la traverser avec paix et bienveillance. Pour vous libérer des attaches de la colère, des regrets ou tout autre sentiment qui va prolonger le deuil, vous pouvez vous tourner vers l’hypnose.

    Hypnothérapeute et experte en neurosciences, en EMDR et en soins énergétiques, vous pouvez retrouver mes prestations d’hypnose en séance simple ou par forfait.

    Il est également possible de combiner l’hypnose et les LED ; pour prendre soin de son esprit et de sa peau !

    Depuis peu, c’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances d’hypnose, des soins pour se recentrer sur soi et s’émanciper des émotions néfastes et limitantes.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

  • Quelles sont les fondations d’un couple qui dure ?

    Quelles sont les fondations d’un couple qui dure ?

    « Les opposés s’attirent », « qui se ressemble s’assemble »… Voilà des phrases qu’on a tous déjà entendues. Si se mettre en couple peut se révéler exaltant, la vie de couple impose un rythme qui peut parfois lasser. Alors que le couple se dessine comme un but en soi, il est possible de lire et écouter beaucoup de recherches effectuées au sujet du couple. Et ce qui revient souvent, c’est qu’il s’agit d’un travail commun et continu. Alors quelles sont les fondations d’un couple qui dure ?

     

    Définition du couple  

    Ce n’est plus un secret, l’amour est complexe. Mais il est aussi passionné, beau, pur, évident et parfois douloureux. La forme du couple, dans sa définition la plus brute, est un ensemble qui se compose de deux êtres humains liés par le mariage ou l’amour.

    Mais comme vous le savez, chaque personne est unique. Aussi, chaque couple l’est. Et s’il y a des activités « de couple » il n’y a pourtant pas de manuel relatant des règles préétablies qui permettrait de mieux appréhender cette aventure de la vie. Autrement dit, chaque couple a son propre fonctionnement et ses propres particularités !

    En effet, il n’y a aucun « savoir-faire » puisque le couple relève de la vie personnelle et intime de chaque personne. À la façon du bien-être, chaque personne envisage son couple selon ce qui lui plaît. Une fois cette première notion intégrée – l’unicité du couple –, il devient plus facile d’envisager sa propre histoire d’amour.

     

    Le revers de la médaille

    Pourtant,  le couple est un sujet qui a toujours fait jaser. Les histoires d’amour sont certes un bon marché pour le cinéma et la littérature, mais n’est-ce pas avant tout la propre expression de l’amour que l’on porte à autrui ? Si tant d’histoire d’amour se sont mal finies, ce n’est pas toujours la faute des premiers concernés. En effet, la société aime faire peser des attentes souvent irréelles sur les êtres humains que nous sommes.

    De manière générale, tant que les deux partis du couple y trouvent leur compte et que la situation leur convient, alors le couple est positif. Mais dès lors que l’un des deux partis se sent à l’étroit ou que la situation telle quelle ne lui convient plus, l’aventure du couple peut rapidement prendre la forme d’une prison, d’un étau lourd ou encore d’une corvée.

    L’une des autres faces cachées du couple, c’est aussi la routine. Répétitive et lassante, elle ennuie rapidement jusqu’à ce que l’on se réveille un matin et que l’on comprenne que le temps a passé. De nouveaux besoins se révèlent à nous ; mais en réalité, ils ne sont pas nouveaux : la routine les a simplement rendus muets.

    Enfin, le dernier mais pas des moindres effets négatifs que peut porter le couple dans son sillage c’est le fait de se perdre complètement. L’amour n’est jamais rationnel, mais il est important de distinguer l’amour de la dépendance. De même, la présence de dettes émotionnelles en amour peut être nocive pour les deux partis du couple.

    Avec toutes les nuances qu’un couple peut comporter, les histoires d’amour devraient-elles rimer avec toujours ? Et si oui, sur quelles valeurs et envies doit reposer le couple ?

     

    Les fondations du couple 

    Les fondations du couple sont multiples et nombreuses. Un coup de foudre, c’est bien beau et romantique, mais l’on ne fait pas sa vie avec un coup de foudre ! Il faut bien souvent du temps, du travail, des compromis et une bonne dose d’affection pour que la flamme ne s’essouffle pas. Alors quelles sont les fondations d’un couple ?

    La communication :

    Les magazines le répètent, la littérature l’a prouvée, les films en font l’éloge… la communication est une des clés qui permet de former un couple solide. Sans elle, les deux partis du couple évoluent chacune de leur côté jusqu’au jour où fatalement, elles ne se reconnaissent plus l’une l’autre. De même, la communication permet de mettre en place des schémas sains comme le partage d’un moment privilégié, des émotions, des projets…etc.

    Le respect :

    Si la société brandit le respect comme une valeur intouchable, pourquoi le couple y ferait exception ? Respecter l’autre, c’est se souvenir qu’il est un être à part entière, c’est lui montrer qu’on tient à lui et qu’on a de l’estime pour lui. Vous ne manqueriez pas de respect à un chien, alors pourquoi ne pas être également respectueux envers l’être chéri ? Le respect passe tout autant dans le respect de ses besoins personnels que de ses envies, le soutien, la présence… etc.

    Le partage… :

    Ce qui est top en couple, ce sont les nombreuses activités que l’on peut faire à deux. Elles permettent de resserrer les liens, de se sentir épaulé, elles peuvent même renforcer l’amour que vous avez pour votre partenaire. Ce sont des instants précieux qu’il convient de chérir et de ne pas oublier.

    … Et la solitude :

    Mais attention à ne pas tout faire à deux ! L’équilibre est primordial dans un couple. Vous pouvez rencontrer ses amie.s et vice-versa, mais il est essentiel de conserver pour vous quelques moments de solitude et d’indépendance. Vous n’êtes pas une moitié de vous-mêmes lorsque votre partenaire n’est pas présent.e ; vous demeurez entière et il est important de s’en souvenir !

    Entretenir la flamme :

    Au début d’une histoire, la passion est vorace, grandissante, magnifique. Mais la routine peut avoir des effets destructeurs dessus. Là encore, le partage et la communication vous aideront à faire le point sur la situation et vous pourrez alors envisager des solutions pour entretenir la flamme. Rappelez-vous bien que le couple, tout comme l’amour, c’est être ensemble. Aussi attention à ne pas prendre toute la charge sexuelle ou émotionnelle sur vos épaules.

     

    Pour être bien à deux, soyez bien tout.e seul.e !

    Cela peut sembler d’une évidence sans précédents, mais il est toujours important de se rappeler que ce que vous donnez peut vous être rendu. De même, si vous ne vous sentez pas à l’aise avec vous-même ou suffisamment en paix avec la personne que vous êtes, il est alors temps de vous consacrer un temps non-négligeable.

    Parce que pour aimer autrui, il y a besoin de s’aimer avant.

    Et parce que votre amour de vous, ça c’est une histoire qui est faite pour durer pour toujours !

     

    En quelques mots…

    L’amour est une sacrée histoire. Elle commence toujours avec l’air d’être entièrement faite de paillettes et de rire. Parfois, cette histoire se termine. D’autres fois, elle peut continuer pour toujours. Mais finalement, peu importe : ce qui compte n’est pas la durée d’une histoire, mais bel et bien l’intensité des sentiments que vous partagerez avec votre partenaire.

    Il y a évidemment des « conseils », des tips, afin qu’un couple puisse bâtir ses fondations d’une manière pure et sans artifices. Mais cela ne sera pas gage d’une durée indéterminée. Tout ce qui compte, c’est l’amour que vous partagez et qui apaise le quotidien.

    Et pour les plus romantiques d’entre nous, il est essentiel de se rappeler qu’il est possible d’avoir plusieurs âmes-sœurs dans sa vie !

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques pour le corps et le visage. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du quotidien, c’est un moment unique et paisible qui permet de se reconnecter à soi-même.

  • Agir contre la fatigue profonde

    Agir contre la fatigue profonde

    Vos paupières sont souvent très lourdes lorsqu’il faut les ouvrir le matin ou les garder ouvertes durant la journée ? Vous avez parfois l’envie intense de dormir au dépend de tout le reste ? Et si vous souffriez de fatigue profonde ? Dans notre société ultra-connectée, il est parfois fastidieux de prendre soin de soi. Le travail, la routine, les injonctions, la famille… tout un tourbillon qui vous emporte et tourne dans la tête sans vous laisser le temps de dormir un peu. Mais il est possible d’agir contre la fatigue profonde et inopportune. Alors quels sont les meilleurs conseils pour ne plus somnoler et retrouver la forme ?

                       

    Comment définir la fatigue ?

    Selon le Larousse, la fatigue se caractérise par un état « physiologique consécutif à un effort prolongé, à un travail physique ou intellectuel intense ». De plus, la fatigue se manifeste dans le corps par une « difficulté à continuer cet effort ou ce travail ». Autrement dit, la fatigue survient souvent après un effort du corps ou de l’esprit.

    Toutefois, il est important de noter que la fatigue peut également être émotionnelle. Quoiqu’il en soit, la fatigue a toujours une ou plusieurs causes. De même, elle peut parfois s’accumuler et entraîner des états de fatigue « profonde », c’est-à-dire un sentiment de lassitude général. Le plus souvent, ce sentiment de fatigue précis incarne l’une des passerelles qui mène tout droit vers la dépression ou un burn-out.

     

    Les différents types de fatigue

    Si la fatigue se reconnaît à travers les signaux qu’elle laisse dans le corps, elle peut toutefois avoir différents visages. Et pour cause, les médecins distinguent aisément différents types de fatigue. La fatigue peut être :

    Saisonnière : notamment lorsque les saisons plus fraîches pointent le bout de leur nez ;

    Ophtalmique : souvent à cause des écrans et du temps que l’on passe dessus ;

    Nerveuse : elle correspond à une période riche en stress ou une période d’anxiété ;

    Physique : elle se caractérise par un manque de ressources.

    Chaque type de fatigue a ses propres caractéristiques. Le plus important demeure que les types de fatigues ne s’accumulent pas afin d’éviter les conséquences que cela peut avoir.

     

    Les différentes causes de la fatigue

    Les causes de la fatigue peuvent être multiples. Parmi elles :

    Le rythme de vie :

    • Manque de sommeil ;
    • Manque d’activité physique régulière ;
    • Mauvaise alimentation (en particulier en cas de carences) ;
    • Consommation intense d’alcool ou de drogues ;
    • Grande quantité de travail…etc.

    Les causes psychologiques :

    • Dépression ;
    • Anxiété ;
    • Angoisse ;
    • Stress ;
    • Problèmes annexes (soucis de famille, d’amis…).

    Les troubles du sommeil :

    • Insomnies ;
    • Réveils précoces ;
    • Apnée du sommeil ;
    • Perturbation du rythme biologique (travail de nuit, décalage horaire).

    Les maladies :

    • Infections bactériennes ou virales ;
    • Maladies de la thyroïde ;
    • Cancers et leurs traitements, notamment la chimiothérapie ;
    • Les problèmes cardio-vasculaires ;
    • L’anémie ;
    • Les hépatites.

    Ou plus simplement le vieillissement.

     

    Agir contre la fatigue sur le long terme 

    Quelle que soit la fatigue et les causes de celle-ci dont vous souffrez, il est possible d’y remédier. Parmi les « remèdes » contre la fatigue, il y a :

    L’alimentation :

    Faire le plein de vitamines, de minéraux, de fer et d’énergie permet de lutter efficacement contre la fatigue. Et pour cela, il est possible de se tourner vers :

    • La vitamine C : source importante d’énergie. Elle se trouve dans les agrumes, le cassis, les poivrons ou encore les kiwis.
    • Les vitamines E et B : elle se trouve dans le poisson ou quelques crustacés comme le crabe, le saumon, le cabillaud ou encre le colin.
    • Les antioxydants : ils aident les rouages du corps à bien fonctionner. On en retrouve dans les petits fruits comme les baies, les légumes, et certaines viandes comme la dinde ou le porc.
    • Le magnésium : il est possible d’en trouver dans les légumineuses ou encore les fruits oléagineux.
    • Le fer : indispensable au bon fonctionnement du corps, surtout durant la période des règles durant laquelle les femmes sont amenées à perdre beaucoup de fer, ce qui peut facilement créer des carences. On en retrouve notamment dans les crevettes, le foie de veau, le boudin noir, ou encore les haricots de soja, les haricots blancs, le soja ou le sésame.
    Une activité physique régulière :

    Il est également possible de retrouver un équilibre de sommeil et en particulier d’éliminer la fatigue ressentie grâce à une activité physique régulière. Ainsi, le stress, l’anxiété ou encore la fatigue d’une longue journée de travail peuvent être rééquilibrés par les endorphines libérées durant la pratique.

    Un rythme de sommeil régulier :

    Bien dormir est parfois délicat. Adopter des horaires de sommeil régulières d’un jour à l’autre et mettre en place de petits rituels avant d’aller dormir peuvent permettre d’apaiser les nuits difficiles.

    Adopter un rythme de vie plus sain :

    • Ne pas manger trop tard ou en trop grande quantité ;
    • Eviter les écrans avant d’aller se coucher ;
    • Arrêter la caféine avant 18 heures ;
    • Privilégier le sport le matin ou l’après-midi, pas en soirée ;
    • Ne pas s’endormir devant la TV.
    Les médecines alternatives :

    Il est également possible de se tourner vers des médecines douces, comme l’hypnose ou la méditation. La première vous permettra de «nettoyer » votre inconscient, de résoudre vos angoisses profondes, les peurs et tout ce qui peut parfois vous empêcher de trouver le sommeil. La méditation, quant à elle, vous offrira les clefs d’exercices qui permettent de se détendre. Avant d’aller dormir, les exercices de respiration peuvent également être mis en place afin d’améliorer la venue du sommeil et sa qualité. N’hésitez pas à aller voir les pour et les contre des médecines alternatives.

    Il est essentiel de bien équilibrer sa vie et de laisser s’en aller les habitudes qui peuvent devenir nocives.

     

    Tips pour agir contre la fatigue efficacement !

    Et pour finir, voici quelques tips qui permettent de lutter contre la fatigue efficacement – mais sur le court terme.

    • Privilégiez la lumière naturelle (ouvrez vos rideaux et profitez ! Nous sommes des êtres diurnes, le corps agira en conséquences) ;
    • Boire un jus de fruits frais éloignera les paupières lourdes !
    • Se balader dans le quartier permettra au corps de se « réveiller » et de continuer ;
    • Faîtes une pause des écrans quelques minutes ;
    • Riez, vivez ! Le rire est parfois plus réparateur qu’une heure de sommeil… et à quand remonte votre dernier fou rire ?

     

    En quelques mots…

    Ne laissez pas la fatigue devenir un vrai fardeau. Multipliez les émotions positives, les rires, les activités – mais sans vous épuiser ! Et lorsque vient l’heure de dormir, mettez-vous en condition. Un pyjama confortable, une lumière tamisée… préparez votre corps et votre esprit à se reposer profondément.

    Cependant, si la fatigue profonde se poursuit et que le sommeil se fait toujours aussi rare, il est important d’aller consulter votre médecin. Il y a peut-être une raison plus conséquente derrière ce manque de fatigue, auquel cas le plus tôt est le mieux !

    Et vous, quels sont vos meilleurs tips pour lutter contre la fatigue ? 

    Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en neurosciences, en hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib ou directement par téléphone au : 06.85.45.84.83.

    Je pratique des séances à Paris, mon cabinet se situe au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.

    Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il vous suffit d’écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin de la pollution du quotidien et des tracas qu’il porte en lui, retrouvez-vous pour un séjour apaisant basé sur la découverte et le bien-être.

     

  • Une crise d’angoisse ! Que faire ?

    Une crise d’angoisse ! Que faire ?

    Avec un rythme de vie épuisant, du stress à outrance et peu de temps pour réellement prendre soin de soi, l’angoisse prend place. Sournoise et silencieuse, vous ne vous rendez compte de sa présence que lorsqu’il est trop tard. Présentant souvent des symptômes clairs et reconnaissables, ayant parfois des causes qu’il est plus ou moins simple d’identifier, la crise d’angoisse ne frappe pas sans raisons. Elle accélère le souffle, procure un sentiment de panique et certaines personnes peuvent en rester tétanisées. Alors que faire lorsque la crise d’angoisse se déclare ? Quels sont les petits gestes à adopter pour la faire diminuer ?

     

    Qu’est-ce qu’une crise d’angoisse ?

    L’angoisse se définit comme une forme d’anxiété. Elle est souvent difficile à gérer et se manifeste de façon temporaire –d’où l’association avec le mot « crise ». On parlera de crise d’angoisse mais d’un état d’anxiété.

    L’angoisse, donc, est un sentiment fort qui, selon les psychologues est adaptatif. C’est-à-dire qu’il permet au corps d’être beaucoup plus vigilant à son environnement et aux personnes qui l’entourent. Sauf que pour atteindre ce résultat de vigilance, l’angoisse provoque d’intenses symptômes. Souvent, l’angoisse est également associée au sentiment de peur, et l’un peut découler de l’autre selon le contexte.

    Ainsi, l’angoisse est un sentiment fort, brut, et éphémère qui envoie des signaux au corps afin qu’il soit attentif à ce qui l’entoure. Mais comment se déclenche la crise d’angoisse ? Et comment la reconnaître ?

     

    Ce qui se passe dans le corps pendant une crise d’angoisse

    Comme dit ci-dessus, la crise d’angoisse apparaît selon toutes sortes de causes. Mais parfois, il arrive qu’elle se manifeste sans raison apparente. Comme elle est dépendante d’un état  anxieux, dépressif, ou suite à une période intense en stress, il est parfois délicat d’évaluer la cause exacte de ce genre de phénomène.

    Toutefois, ce qu’elle provoque dans le corps lorsqu’elle surgit est indéniable. La crise d’angoisse est souvent insufflée par le cerveau qui se met en état d’alerte à cause d’un élément. Là encore, il est possible que cela suive une période intense en stress, ou une période de dépression, d’anxiété, voire même à cause d’une phobie enfouie. Le cerveau se sent en danger et va envoyer un pic d’adrénaline dans tout le corps ; son moyen à lui de le prévenir qu’un danger guette. Les conséquences dans le corps sont plus ou moins rapides. Cela créé alors des symptômes qui peuvent, au fil du temps, être reconnaissables.

    Il est néanmoins important de rappeler que la plupart du temps, lorsqu’une angoisse surgit, le danger n’est pas réel. C’est justement les causes de l’angoisse qui biaisent les analyses du cerveau et celui-ci agit simplement en conséquence.

    À noter : le tabac, l’alcool, les drogues et ce qu’elles font au cerveau, et tout autre produit excitant peuvent accentuer la venue et l’intensité des crises d’angoisse.

     

    Les symptômes d’une crise d’angoisse

    Parmi les symptômes physiques d’une crise d’angoisse, il est possible de relever :

    • Une accélération du rythme cardiaque (palpitations pouvant aller jusqu’à la tachycardie)
    • Tremblements dans les mains, les jambes, les bras, ou du corps entier
    • Transpirations ou sueurs froides
    • Sensation d’étouffement/ difficultés à respirer
    • Douleurs thoraciques, lancinantes
    • Nausées pouvant aller jusqu’à des vomissements
    • Vertiges, évanouissement, maux de tête.

    Mais tous les symptômes ne se manifestent pas en même temps. De même, ils ne sont pas tous physiques. Certains se traduisent par des signes comportementaux :

    • Déambulation
    • Agitation
    • Difficultés à s’exprimer/ articuler/ rassembler ses idées
    • Arrêt soudain des activités, prostration, être figé.

    Enfin, certains symptômes ne franchissent jamais la barrière de notre propre corps. C’est le cas quand on ressent les symptômes invisibles :

    • Une sensation de peur déraisonnée
    • Impression de mort imminente
    • Impression de perdre la tête
    • Des sensations catastrophiques
    • Impossibilité de fixer son attention sur autre chose.

     

    Tips pour parvenir à gérer la crise d’angoisse

    Heureusement, il existe différentes techniques qui permettent de contrer la crise d’angoisse, ou a minima, de la faire diminuer.

    Le calme :

    Pour certains, la crise d’angoisse peut être rapidement intensifiée s’il y a des personnes autour et surtout, de l’agitation (trafic, bruit…). Il est alors primordial, si c’est votre cas, de vous trouver un endroit plus calme, afin de reprendre votre souffle. Petit à petit, vous pouvez de nouveau prendre conscience de votre environnement et tenter de diminuer l’angoisse en respirant à fond. Cette technique permet également de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un infarctus (les symptômes étant assez similaires).

    Raisonner l’esprit :

    Pour certaines personnes, c’est la perte de contrôle qui  est associée à la crise d’angoisse qui est difficile à gérer. Dans ce cas précis, il est possible de faire travailler son cerveau afin qu’il puisse, par extension, calmer le reste des symptômes. Le fait de réciter une chanson, un poème…etc. à voix haute peut ralentir la respiration, tout en vous éloignant l’angoisse. Le cerveau va se détourner de l’illusion de danger et tout rentrera dans l’ordre en quelques secondes/ minutes.

    Parler à un proche :

    Pour d’autres personnes, c’est davantage la sensation de danger qui fera éclore la crise d’angoisse. Il est essentiel, dans ces moments-là, de se raccrocher à une personne que vous connaissez. Demandez-lui de vous parler, de vous changer les idées, de vous faire marcher dans une autre direction, de vous apporter de l’eau… etc.

    Le contact physique :

    Certaines personnes n’aiment pas être touchées, et ce, encore moins durant une crise d’angoisse. Pour d’autres, c’est l’inverse. Le contact physique permet de libérer des endorphines, ce qui peut atténuer les effets sur le corps de l’adrénaline. Tout se rééquilibre petit à petit, vous voyez s’éloigner l’angoisse.

    Exercices physiques :

    Sans parler d’aller courir un footing en plein open-space, certains exercices physiques permettent de se concentrer sur son corps et de l’ancrer dans le moment présent. Pour certaines personnes, ce sera le déclencheur de la fin de la crise. Qu’il s’agisse d’activer des points névralgiques au niveau du visage ou du cou, il existe beaucoup d’endroits du corps qui permettent de reprendre conscience de la réalité.

    Quelle que soit la méthode que vous décidiez d’adopter, elle peut parfois être efficace et parfois faillir. L’important est que vous trouviez des moyens de reprendre le contrôle sur le sentiment d’angoisse. Et cela se fait également à travers des démarches sur le long terme.

     

    Gérer l’angoisse sur le long terme

    Gérer l’angoisse au moment où elle pointe le bout de son nez, c’est courageux et très positif. Mais il y a des périodes où les crises d’angoisses seront plus susceptibles de se montrer qu’à d’autres moments. C’est pour cela qu’il est important d’entamer des processus qui permettent de guérir des causes de l’angoisse, pour que cette dernière ne se manifeste plus que très occasionnellement voire plus du tout !

    Les soins psychologiques :

    Parmi les causes de l’angoisse, il y a la dépression, un état anxieux général, des TOCs (troubles obsessionnels compulsifs), ou encore des périodes plus ou moins intenses de stress. Les soins psychologiques permettent de trouver des solutions, des déviations parfois, pour toutes les routes de votre vie qui semblent être sans issue (n’hésitez pas à aller voir les bienfaits qu’il y a à suivre une thérapie).

    Changer d’air :

    Parfois, un nouveau départ permet de prendre du recul sur la vie et les carcans dans lesquels on était retenus auparavant. Il est possible de se libérer de ses chaînes, non pas pour fuir, mais bel et bien pour trouver la paix à laquelle on aspire. Un équilibre pour lequel il faut beaucoup travailler. Sans déménager à l’autre bout du monde, les voyages permettent de s’offrir du temps loin des soucis habituels et de se ressourcer. On fait attention à soi, on se chouchoute ! Et voyager seul a aussi des bienfaits !

    La méditation :

    Cette pratique douce permet de mieux gérer son corps, de s’ancrer dans le présent, et vous livrera des clés utiles pour combattre l’angoisse si celle-ci se présente. Sur le long terme, vous apprendrez à vous concentrer sur le « ici et maintenant » tout en laissant de côté les éléments source d’angoisse. Découvrez comment méditer autrement qu’en fermant les yeux !

    Le sport : sur le long terme et même lorsque l’angoisse disparaît quelques temps, le sport peut être un très bon entraînement pour gérer son corps. Grâce à une activité physique, vous prenez conscience de votre corps, vous le sentez vivre, le faites vivre. Il est alors plus aisé de gérer les sensations lors d’une crise d’angoisse ! De plus, le sport permet la sécrétion d’endorphines qui éloignent le stress et combattent l’anxiété ! Alors n’hésitez plus, et découvrez/ pratiquez le sport en faisant un sport qui vous plaît.

    La sophrologie :

    Puisque l’angoisse impacte directement le souffle et la respiration, la sophrologie peut être une alternative intéressante  aux crises d’angoisse. De même, il ne s’agit pas seulement de contrôler son souffle, mais d’apprendre à respirer.

    L’hypnose :

    Pour combattre les causes directes de l’angoisse, il est également possible de se tourner vers l’hypnose. En faisant appel à votre inconscient, il est possible de délier les nœuds et les blessures du passé afin de vous libérer du poids qu’il pèse.

     

    En quelques mots…

    L’angoisse est un phénomène de plus en plus courant dans nos sociétés. Le stress, la vie, les injonctions, les inégalités… toutes ces choses qui ne vont pas et qui peuvent causer bien plus que de la contrariété. Chaque personne doit apprendre à vivre dans un monde de travers avec ses propres blessures, et l’angoisse n’est finalement qu’un moyen au corps de dire « stop ».

    Il existe différentes manières de gérer la crise d’angoisse. Et vous, avez-vous une méthode particulière en cas de crise d’angoisse ?

    Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez prendre rendez-vous :

    Par téléphone : 06.85.45.84.83.

    Ou via Doctolib.

    Mon cabinet se situe au 87 Bis Avenue de Wagram 75017 Paris.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise également des retraites qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, prenez le temps de faire votre propre connaissance. Cela peut également être un bon moyen de prendre du recul sur le quotidien et d’en finir avec le stress !

     

     

     

  • Tips pour booster son immunité !

    Tips pour booster son immunité !

    Si l’été est bien présent, personne n’est à l’abri d’un petit rhume ou d’une autre bactérie qui n’attendrait que le moment opportun pour se montrer… Le système immunitaire est l’un des systèmes du corps humain les plus importants. Il permet de faire barrage à de nombreux éléments extérieurs qui pourraient être source de maladie ou de complication. Mais comme tout, il faut en prendre soin pour qu’il soit le plus efficace possible. Alors comment prendre soin de son système immunitaire ? Y a-t-il une façon de le booster ? Et si, oui comment faire ?

                        

    Qu’est-ce que le système immunitaire exactement ?

    Le système immunitaire se compose des organes, cellules, tissus et molécules du corps humain. Ensemble, ils sont en charge de lutter contre les virus et bactéries extérieurs pour que le corps puisse être en bonne santé. Sa défense contre les agressions extérieures est plus ou moins rapide et efficace selon les personnes et leur état de santé.

    En cas de fatigue, par exemple, le corps met plus de temps à lutter et se débarrasser d’un virus qu’en temps habituel. Et il faut être prudent ! Le système immunitaire peut également souffrir d’une faiblesse qui le rend moins efficace. Que cette faiblesse soit pathologique ou génétique, la conséquence est la même : l’organisme s’affaiblit plus rapidement et est davantage sensible aux bactéries, champignons, virus…etc.

    Heureusement, il existe des tips qui permettent de booster le système immunitaire ! Ils permettent de se préparer notamment à l’hiver et l’automne, au retour du froid, des gorges enflammées et des nez gelés. Alors quels sont ces tips ?

     

    Comment booster le système immunitaire ?

    L’importance de l’alimentation :

    Comme pour beaucoup de choses qui touchent à la santé, l’alimentation est l’une des clés d’un corps en bonne santé. Les vitamines, les nutriments, les minéraux, l’énergie qu’apportent les différents aliments permettent au corps de fonctionner de façon plus ou moins optimale. Pour le système immunitaire, l’alimentation ne fait pas exception. Il est important de bien équilibrer les repas avec des aliments comportant :

    • Des acides gras saturés ;
    • Des fibres ;
    • Des vitamines ;
    • Des minéraux ;
    • Des glucides.

    L’important est de ne pas manger toujours les mêmes aliments, mais plutôt de s’en référer aux aliments de saison. Des repas équilibrés et des aliments de saison permettent d’apporter au corps tout ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin. Et pour les personnes qui voudraient faire des nettoyages occasionnels de certains organes ou du corps entier, il existe des cures (comme la cure 3/6/9  d’Anthony Williams) ou des jeunes intermittents.

    Les professionnels de santé conseillent d’ailleurs un jus de fruits pressés le matin, afin de faire le plein de vitamines !

    L’équilibre du sommeil :

    Le sommeil est une phase importante pour le corps humain. Dépendant de cycles appelés circadiens, le sommeil est l’un d’eux. Il offre au corps le repos dont il a besoin pour régénérer quelques cellules et booster les différents systèmes. Plus précisément, le sommeil agit sur l’efficacité des lymphocytes T qui ont une influence directe sur le système immunitaire. C’est aussi pourquoi lorsque certaines personnes tombent malade, l’envie de dormir est plus forte : en dormant, les défenses immunitaires s’activent avec plus de force pour lutter contre l’organisme extérieur qui fait du mal. Si vous avez des difficultés à trouver le sommeil, vous pouvez vous tourner vers l’article « Comment bien dormir » ou encore avoir recours à des médecines alternatives qui pourront vous aider comme la sophrologie ou l’hypnose.

    Enfin, un cycle de sommeil équilibré permet de diminuer le stress, qui est néfaste pour le bon fonctionnement du système immunitaire. Certaines études révèlent que trop de stress nuit à la réaction du système immunitaire face à des virus. Il est aussi important de reposer son système nerveux et lui faire du bien également, afin que le système immunitaire du corps puisse être le plus efficace possible ; eh oui, tout est lié !

    Le coup de pouce des vitamines !

    Les vitamines ont un vrai rôle sur l’organisme et en particulier sur le système immunitaire. Parmi les vitamines les plus importantes, on retrouve notamment :

    • La vitamine C : présente dans les agrumes ou les crucifères. Son rôle est important puisqu’elle protège les cellules contre le stress oxydatif, et permet aux systèmes nerveux et immunitaire de fonctionner correctement.
    • La vitamine D : elle permet de stimuler et réguler les défenses de l’organisme. Autrement dit, son rôle est indispensable pour le système immunitaire du corps humain. En période hivernale, des carences se font souvent ressentir car cette vitamine est le plus souvent synthétisée par les rayons UV du soleil. Il est possible d’en trouver dans les sardines, les maquereaux ou encore dans le saumon.
    • La vitamine A : son rôle pour le système immunitaire est également important. Elle permet de stimuler les globules blancs qui agissent sur l’efficacité du système immunitaire. La vitamine A se retrouve dans la mangue, les carottes, le persil ou les patates douces.
    • Les vitamines B : les vitamines B sont elles aussi essentielles au bon fonctionnement du système immunitaire. La vitamine B9 et la vitamine B12, par exemple, sont importantes car elles produisent des globules rouges, permettent la synthèse des protéines, lé régénération des cellules et maintiennent le système immunitaire en bon état. La vitamine B6 joue quant à elle un rôle dans la régulation des défenses immunitaires.
    L’activité physique pour compléter la recette :

    Tout comme l’alimentation, les professionnels de la santé recommandent la pratique d’une activité physique régulière afin de maintenir son corps en bonne santé (physique ou mentale). Au-delà de se faire plaisir en faisant un sport qui nous plait, la pratique d’une activité physique joue également un rôle dans le maintien d’un bon système immunitaire.

    L’activité physique va indirectement stimuler le système immunitaire. En effet, elle permet la libération d’endorphines qui diminuent le stress ; elle favorise un meilleur sommeil, et maintient un état de forme physique du corps.

    L’ingrédient secret : les probiotiques :

    70% du système immunitaire se trouve dans l’intestin. Les probiotiques permettent de renforcer la flore intestinale afin de prévenir la venue des virus classiques de l’automne et de l’hiver. Mais plus encore, il s’agit de prévenir et renforcer le corps en évitant une exposition trop vive aux virus. Les probiotiques peuvent se trouver en pharmacie ou plus simplement dans les yaourts.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, le système immunitaire, comme beaucoup de systèmes présents dans le corps humain doit être chouchouté. Sans lui, chaque virus auquel nous sommes exposés pourrait se transformer en un monstre viral qu’il faut combattre chaque instant. Prendre soin de son système immunitaire, c’est prendre soin de soi au quotidien.

    De mon coté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, en EMDR, hypnothérapeute, et dans les soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez directement prendre rendez-vous sur Doctolib.

    J’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien (ou des microbes !), retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.

    Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, vous pouvez vous diriger vers  le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions dans la bienveillance et la bonne humeur !

     

     

  • Secrets de personnes centenaires : quelle hygiène de vie ont-elles adopté ?

    Secrets de personnes centenaires : quelle hygiène de vie ont-elles adopté ?

    Depuis des décennies, l’espérance de vie n’a de cesse de croître. Plus encore, les gens vivent non seulement plus longtemps, mais leur santé s’améliore également. En France ou autour du globe terrestre,  les études de centenaires en bonne santé se multiplient  pour tenter de percer leur secret. Après tout, qui ne veut pas vivre longtemps en étant en bonne santé ? Voici les secrets de vie des personnes centenaires.

     

    Les personnes centenaires

    Les personnes centenaires sont de plus en plus nombreuses partout dans le monde. Avec les progrès de la médecine et un style de vie dit sain, il est alors envisageable de vivre de plus en plus longtemps. Une personne centenaire est un individu ayant cent ans ou plus. Si cela peut paraître beaucoup, pour certains, c’est un réel désir de vivre si longtemps.

    C’est au Japon que l’on compte le plus de personnes centenaires (0,062% des personnes ont cent ans ou plus). En Uruguay aussi, la population de cent ans ou plus est également importante puisqu’elle s’élève à 0,061% en 2020 (selon Statista).

    En France, 0,030% de la population a cent ans ou plus, ce qui est déjà un chiffre important. Toutefois, ces chiffres ne parlent en aucun cas de la santé physique ou mentale des personnes de cet âge-là. Ces chiffres sont donc à prendre avec ces pincettes !

    Alors y a-t-il une formule secrète pour vivre plus longtemps ? Et si oui, quelle est-elle ?

     

    L’importance de l’hygiène de vie

    On le voit partout, on le répète tout le temps… un mode de vie sain est essentiel pour préserver sa santé. Alors comment se traduit une « bonne » hygiène de vie ? L’hygiène de vie passe à travers différents éléments du quotidien. Une bonne hygiène de vie suppose un quotidien équilibré, une vie sociale entretenue, et plus simplement, une existence plaisante sans excès.

    L’alimentation :

    Il y a cent ans ou plus, les personnes ne mangeaient pas toujours bio ou local… tout simplement parce que parfois, elles n’en avaient pas le choix ! Alors certes, les agriculteurs pouvaient bénéficier de quelques produits qu’ils avaient directement, mais tout n’était pas évident. De plus, les centenaires affirment qu’avec un régime alimentaire proche de celui méditerranéen, il est possible de vivre plus longtemps. En effet, celui-ci est composé d’acides gras mono-saturés, d’oméga 3, de vitamines C et E, ainsi que de beaucoup d’antioxydants.

    L’activité physique :

    Comme les publicités le préconisent, l’activité physique pratiquée régulièrement est importante. Et c’est le cas ! Il y a cent ans, les transports en commun étaient beaucoup plus rares ou ne couvraient pas toutes les zones, surtout dans les campagnes. Ainsi, les populations se sont habituées à se déplacer à pieds ou à vélo. De même, les travaux physiques étaient plus importants en l’absence de certaines machines créés depuis. Pour rappel, une activité physique régulière permet d’entretenir le cœur tout en stimulant le système immunitaire. Et il est toujours plus facile d’aimer le sport en faisant un sport qui nous plaît grâce à l’hypnose à Paris !

    Un bon sommeil :

    Comment bien dormir ? C’est une question que l’on se pose tous au lendemain d’une terrible insomnie. Et pour cause, un bon cycle de sommeil permet au cœur et au cerveau de se reposer suffisamment pour pouvoir être en forme. Mais c’est surtout dans le cerveau que ses effets se ressentent. En effet, un bon sommeil permet notamment une meilleure concentration, la réflexion…etc. Le sommeil a également un impact important et direct sur l’état de santé d’un individu. Par exemple, pour les maladies cardiovasculaires : des séances d’hypnose pour dormir mieux peut réduire le risque d’AVC.

    Exercer le cerveau :

    Il est également important de bien exercer son cerveau tout au long de sa vie, que ce soit à travers des jeux de sociétés, des mots croisés, de la lecture ou un scrabble, activités qui entretiennent toutes les capacités cognitives de l’individu. Longtemps négligées, ces activités reviennent peu à peu dans nos quotidiens ! Il est également important de souligner qu’avec la présence des appareils numériques, il est parfois plus délicat de se concentrer ou de s’amuser. N’hésitez pas à aller voir quels sont alors les bienfaits d’une digital detox !

     

    Le facteur socio-économique

    Un autre facteur qui intervient directement dans la longévité de la vie, c’est aussi l’accès aux soins. En France, nous bénéficions d’un système de santé relativement avantageux. Cela permet de pouvoir mieux se faire soigner qu’il y a un siècle. De plus, les progrès de la médecine sont assez rapides et de plus en plus précis.

    De nos jours, il est rare qu’une blessure traine dans le temps et que tout le corps se dérègle ensuite parce que cette blessure n’a jamais été réparée. Désormais, l’on sait que tout le corps est lié, telle une carte routière. Et cela permet également de pouvoir vivre plus longtemps, et surtout, en meilleure santé !

     

    … Sans oublier le poids de la génétique !

    Un dernier facteur est à prendre en compte dans la longévité de l’espérance de vie… la génétique. Et pour cause, des personnes ayant des antécédents médicaux importants tels que des cancers, des maladies cardiovasculaires ou encore des maladies mentales, risquent davantage de souffrir eux aussi de ces maladies.

    Si la génétique ne détermine cependant pas la vie de tout à chacun, dans le cas de l’espérance de vie, elle intervient à hauteur de 25% dans la longévité de vie d’un individu.

     

    La santé mentale à ne pas négliger 

    Depuis de nombreuses années maintenant, la santé mentale est mise en avant et son importance, de plus en plus reconnue. Parce qu’une santé mentale qui tangue, ça peut, à terme, avoir des répercussions importantes sur le corps. Le stress en est sûrement l’une des preuves les plus parlantes ! Heureusement, il est possible de faire de l’hypnose contre le stress par de petits gestes au quotidien.

    Enfin, les liens sociaux ont également une importance capitale sur la santé. Il est important d’entretenir de bonnes relations avec son entourage –quel qu’il soit, famille, amis, collègues…-, afin de favoriser le bien-être mental. Créer des liens, c’est aussi une belle façon d’exister, d’apprendre, de grandir et de s’épanouir.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, il existe de nombreux « secrets » pour vivre une existence plus longue et saine. Mais en réalité, ces secrets n’en sont pas vraiment. Parfois, il suffit de vivre plus simplement, de se détacher des petits tracas qui nous aspirent malgré nous. Le plus important reste de trouver son propre équilibre, et de vivre paisiblement. Et ce, peu importe que cela passe à travers les bienfaits du rire, le polyamour, le travail agricole, le vélo du dimanche, les soirées sur la plage ou dans un verre de thé matcha… Après tout, on n’a qu’une vie !

    Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris, et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques du corps et du visage. Et parce que parfois, on a besoin d’un coup de pouce pour retrouver l’équilibre de sa vie ou tout simplement se faire plaisir, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise aussi des retraites bien-être qui permettent de s’éloigner du quotidien pour se concentrer sur soi et le présent. Soi dans le présent.

     

     

     

  • L’IKIGAI, c’est quoi ?

    L’IKIGAI, c’est quoi ?

     

    Se lever chaque matin sans avoir aucun objectif à poursuivre paraît souvent difficile. En tout cas, bien plus difficile que de se lever et savoir exactement où l’on doit se rendre et dans quel but. Au Japon, cette force qui motive l’individu à se lever chaque matin porte un nom… l’ikigai. Plus qu’un concept philosophique, c’est une véritable façon de vivre. Alors qu’est-ce que l’ikigai exactement ? Comment l’expliquer quand il n’y a aucune traduction de cela en France ? Et surtout, comment trouver son propre ikigai ?

                                                                                                                                                        

    Les origines de l’IKIGAI

    Le concept de l’ikigai trouve sa source au pays du soleil levant. Concept japonais n’ayant aucune traduction française, l’ikigai trouve son équivalent dans les termes « raison d’être » ou encore « joie de vivre ». L’ikigai se définit par ce qui donne du sens à la vie d’une personne.

    Originaire d’Okinawa, une petite île du Japon aux habitants centenaires, l’art de vie de l’ikigai est né là-bas. Et pour cause, la longévité des habitants qui ne s’arrêtent jamais vraiment de travailler permet de les motiver suffisamment pour transmettre, partager, accomplir et être utile aux autres. Cela s’applique à tous les domaines de la vie, et à terme, l’ikigai permet de trouver équilibre et bonheur.

    Mais en arrivant en Occident, le concept d’ikigai change légèrement de forme et ces notions de bonheur et d’équilibre s’appliquent davantage au monde du travail et au domaine professionnel de manière plus générale. Néanmoins, l’ikigai peut être applicable à tous les domaines possibles, puisque tout n’est finalement qu’une question d’équilibre.

    Ainsi, l’ikigai est un concept qui peut se définir par le sentiment d’accomplissement que l’on ressent lorsque la passion et la motivation se réunissent dans un travail, une tâche fini(e). L’ikigai est souvent perçu comme une notion parmi d’autres, mais il représente en réalité un véritable idéal de vie !

     

    Les quatre cadrans de l’IKIGAI

    Afin de mieux comprendre ce qu’est l’ikigai, il existe un diagramme. Au centre, l’ikigai, formé à partir de quatre cercles qui se rencontrent en un point précis. L’ikigai est un équilibre qu’il faut alors trouver entre quatre notions distinctes mais complémentaires :

    • Passion
    • Mission
    • Vocation
    • Profession

    Parmi ces quatre notions, il s’agit de trouver le moyen d’être une version de vous-même plus épanouie. Cela se passe à travers des équilibres qu’il faut percevoir et trouver entre les notions en elles-mêmes. Par exemple :

    • Passion et mission: cela scinde ce que vous aimez faire. Une activité, une tâche… ça peut être tout ce qui vous fait vibrer, et que vous pourriez répéter tous les jours sans que cela ne vous lasse.
    • Mission et vocation: ces deux notions ainsi regroupées représentent ce dont le monde a besoin à votre sens. Autrement dit, selon vous, de quoi a besoin le monde pour être rendu meilleur ?
    • Vocation et profession: ce cercle qui regroupe ces deux notions permet de déterminer les activités pour lesquelles vous pourriez obtenir une rémunération tout en faisant une activité qui vous sied.
    • Profession et passion: il s’agit ici d’identifier les domaines dans lesquelles vous êtes doué et avez du talent de façon innée. Car même si l’apprentissage dure toute la vie, il y a des choses que chacun maîtrise mieux que d’autres. Trouvez ces facilités naturelles, et faîtes-les devenir une partie de votre ikigai.

    Dans chacun des cercles qui se forment concernant la quête de l’ikigai, il est important de se rappeler qu’il faut également prendre en compte l’absence de lassitude pour les activités ainsi que l’équilibre constant dont fait preuve l’ikigai.

     

    Les incertitudes que peut créer l’IKIGAI 

    Selon les pratiquants de l’ikigai, l’équilibre est primordial. Et pour cause, entre tous les éléments de l’ikigai, il réside quelques zones de vide qui peuvent être le signe de crises existentielles. Et c’est notamment le cas pour plusieurs raisons.

    Si vous exercez une profession qui est aussi une passion, mais qu’elle n’apporte rien au monde, alors l’équilibre n’est pas atteint. Dans ce cas précis, c’est l’incertitude qui peut apparaître, et remettre à son tour tout en question.

    Dans un autre cas, vous pouvez exercer une activité qui vous passionne pleinement et qui parvient à avoir un impact pour le monde. Toutefois, le bonheur risque d’être absent si cette activité vous positionne dans la précarité.

    Autre exemple possible, si la vocation que vous suivez apporte une réelle contribution au monde. Mais il s’avère que cette vocation n’est peut-être pas la vôtre… là encore, l’incertitude peut s’en mêler et empêcher ou retarder le sentiment de bonheur.

    Enfin, dernier cas de figure, c’est si vous exercez une profession qui est source de revenu et permet de contribuer au reste du monde, mais que cela n’est pas votre passion, ni même une vocation. Le cœur n’y est alors pas vraiment, et alors le bonheur non plus.

    La recherche de l’ikigai est alors une réelle nécessité, une étape importante pour pouvoir être épanoui et heureux. L’équilibre qu’il implique demande une vraie réflexion, des expériences, des tests, et bien souvent d’étendre sa zone de confort à des domaines insoupçonnés.

     

    Comment trouver son ikigai ?

    Activer la brillance :

    Dans le livre sur l’ikigai, activer sa brillance consiste à trouver les activités pour lesquelles vous êtes douée. Plus encore, il s’agit d’une activité pour laquelle vous avez des compétences ou un don, et grâce à laquelle vous ressentez du plaisir et de la motivation. Cet exercice peut alors se réaliser en se munissant d’une feuille et d’un stylo, et en faisant la liste des trois qualités qui priment chez vous selon votre entourage (ils ont souvent un regard plus objectif). Une fois que vous aurez ces trois qualités qui vous caractérisent vraiment, il sera plus aisé de vous orienter vers un secteur d’activité notamment.

    Le rêve d’enfant :

    Qui a dit qu’il fallait sous-estimer les rêves d’enfants ? Bien souvent, retrouver son rêve d’enfant est une grande aide pour trouver son ikigai. Et pour cause, lorsque l’on est enfant, il est possible de vivre l’ikigai sans même en avoir conscience. C’est en effet une période où le bonheur se trouve à tous les coins de rue, et où l’anxiété et le monde professionnel n’existent pas encore. Laissez votre esprit retracer les sentiers du passé, vous rappeler tout ce qui vous passionnait et ce qui vous faisait vibrer.

    Sur une feuille avec un stylo, écrivez ensuite les cinq premières passions et sources de bonheur de votre enfance (jardiner, lire, jouer, chanter, s’envoler…). Une fois les cinq passions trouvées, interrogez-vous sur ce qu’elles provoquent en vous maintenant que vous êtes adulte. Il est essentiel de déterminer à quel point vous avez changé, pour comprendre ensuite si vous pouvez intégrer ces notions du passé dans un futur proche (et heureux !).

    Dialoguer avec la jalousie :

    Si on préfèrerait ne jamais éprouver ce sentiment sournois, il existe pourtant bel et bien. Munissez-vous d’une feuille et d’un stylo, et notez d’abord les trois motifs/ raisons qui provoquent de la jalousie chez vous. Il n’y a aucune honte à écrire cela, ne vous censurez pas !

    Dans une autre colonne, écrivez ensuite quels sont les désirs sous-jacents à cette jalousie. Quel est donc ce désir qui s’habille aux couleurs de la jalousie ? Enfin, une troisième colonne permettra de réfléchir et de noter les démarches qui vous permettront d’atteindre les désirs cités avant.

     

    En quelques mots…

    L’ikigai est un art de vie qui peut apporter dans son sillage de l’harmonie et du bonheur. Toutefois, il est très délicat de l’atteindre, puisqu’il repose sur un équilibre très fin. Chaque déséquilibre peut conduire l’individu vers une crise existentielle. Heureusement, il existe différents exercices qui permettent d’identifier son ikigai et de l’atteindre ensuite.

    Et vous, pensez-vous avoir atteint votre ikigai ?

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose et des soins thérapeutiques pour le corps et le visage – et je pense avoir trouvé mon ikigai à travers cette profession magnifique qui vient en aide aux gens !

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis, cela peut également bénéficier à celles qui recherchent leur ikigai, ou tout simplement à se ressourcer.

     

     

  • Comment et pourquoi cultiver le « flow » ?

    Comment et pourquoi cultiver le « flow » ?

    La psychologie dite « positive » se démocratise de plus en plus. Mais c’est avant les années 2000 que la plupart des concepts de développement personnel et de psychologie positive ont émergés. Nous nous intéresserons ici au « flow », et à son importance dans la vie d’un individu. En effet, depuis la naissance de ce concept, il a été découvert qu’il pouvait s’appliquer tout aussi bien au quotidien d’une personne que dans la psychologie générale ou encore dans le domaine sportif. Alors qu’est-ce que le flow ? Comment le cultiver ? Et surtout, pourquoi s’y intéresser ?

                                                                                                                                         

    Qu’est-ce que le flow ?

    Ici, il ne s’agit pas d’étudier les nuances des musiques hip-hop. Car si le « flow » est davantage connu comme étant le rythme des paroles ou de la mélodie d’une chanson, c’est vers un autre flow que se porte l’attention aujourd’hui. Depuis quelques années, le bien-être prend une place importante, tant dans les sphères privées que sociales ou au travail. L’humain reprend sa place avant la productivité et tout ce que la société impose.

    Le flow, ici, renvoie directement à un concept inventé par un psychologue hongrois, Mihaly Csikszentmihalyi. Tel qu’il l’entend, le flow se caractérise alors par un « état d’immersion totale qu’une personne peut ressentir quand elle est concentrée sur une activité particulière pour laquelle elle a beaucoup d’intérêt ou de motivation » (selon Edutechwiki). Le flow peut également être traduit par « être dans sa zone ».

    Autrement dit, le flow, c’est ce qui désigne un état dans lequel se trouve une personne emportée dans une tâche quelconque pour laquelle elle a développé de la curiosité, de l’intérêt ou une passion. Cet état fait fi des distractions.

    Mais quelle différence y a-t-il alors entre le flow et la concentration ?

     

    La distinction entre le flow et la concentration

    Selon Le Robert, la concentration se définit par le fait de « réunir dans un même lieu ». Mais lorsque l’on parle de concentration mentale, il s’agit alors d’allier des efforts et une forme d’attention sur un sujet, une tâche, une personne…etc.

    La différence avec le flow est alors délicate. Car les deux concepts requièrent tous deux de l’attention et des efforts. La distinction est fine et réside principalement dans la motivation. En effet, la concentration d’une personne à propos d’un concept ou d’une tâche à accomplir n’entraîne pas forcément de la motivation envers le sujet de la concentration. Le flow, quant à lui, s’il réunit également des efforts mentaux et de l’attention, possède cette particularité de créer une forme de motivation chez la personne qui l’expérimente.

     

    Pourquoi cultiver le flow ?

    Si certaines personnes voient directement dans la pratique du flow une forme de méditation et une source de bonheur, pour d’autres, le concept peut rester flou… Alors tentons d’expliquer ! Pourquoi vouloir cultiver le flow ?

    Expérimenter le flow, c’est se retrouver dans un état de bonheur et de dévotion envers la tâche que l’on accomplit. Parfois, cet état est si intense que l’on en oublie la faim, la soif, les tracas du quotidien et surtout ce qui se passe tout autour de nous. Le flow, c’est atteindre un niveau de plénitude à travers l’accomplissement d’une tâche, en s’isolant peu à peu du monde qui nous entoure.

    Si pour certains, cela se traduit à travers l’expérience d’un sport, de la musique, de la peinture ou en présence d’un ami cher, pour d’autres ce sera au moment de marcher seul ou de passer l’aspirateur. Il n’y a pas de tâche prédéfinie dans laquelle s’épanouir : ça dépend de chaque personne.

    À terme, cultiver le flow permet notamment de :

    Augmenter sa productivité et son attention :

    Le fait de ne se concentrer que sur une tâche sans souffrir de « pensées parasites » permet d’augmenter sa productivité et son attention en apprenant à se concentrer sur une chose à la fois.

    Améliorer sa créativité :

    Le flow permet d’améliorer sa créativité. De la même façon qu’il n’y a pas de pensées extérieures qui viennent interrompre la réflexion, le cerveau consacre alors toutes ses ressources à la tâche en cours.

    Booster sa motivation :

    Puisque la productivité augmente en ne faisant qu’une tâche à la fois, il est alors plus motivant de se lancer dans de nouveaux projets : vous savez à l’avance que vous serez capable de vous investir dans ce projet ou cette tâche et pourrez user du flow : c’est un cercle vertueux !

    Se comprendre :

    Le fait de ne se consacrer qu’à une seule et unique tâche en y investissant toutes ces capacités, ça permet aussi de se comprendre. Vous employez désormais les ressources nécessaires pour pouvoir vous concentrer sur vous, vos réactions, vos réflexions et votre personne entière dans l’accomplissement d’une tâche. Il est alors plus aisé de s’appréhender, de se comprendre dans ces situations.

     

    Les conditions de Mihaly Csikszentmihalyi 

    Le créateur du flow a réuni sept conditions selon lesquelles une personne peut être sûre et certaine d’avoir atteint le flow.

    • Être totalement concentré et engagé dans la tâche à accomplir ;
    • Ressentir le sentiment d’être coupé de la réalité, avoir l’impression d’être dans une bulle ;
    • Avoir l’esprit clair et conscience de ce que l’on fait et de la manière dont on le fait ;
    • Prendre conscience que la tâche est réalisable, même si elle est difficile ;
    • Ressentir la sérénité et être libéré de ses inquiétudes ;
    • Être dans le moment présent ;
    • Ressentir une motivation intense, avoir le sentiment que la tâche qu’on accomplit a du sens.

    Si vous ressentez toutes ces choses, vous pouvez alors profiter pleinement du moment de vie qui va suivre : cela signifiera que vous avez atteint un état de flow total. Il ne vous reste alors plus qu’à vous laisser aller à ses bienfaits !

     

    Comment cultiver le flow ?

    Ressentir le flow ne se fait pas du premier coup. En effet, comme pour tout, il faut de l’entraînement, de la motivation et une bonne dose de courage ! Mais voici quelques petites astuces qui peuvent permettre d’atteindre le flow :

    Se concentrer sur une tâche à la fois :

    Il faut en premier lieu établir quelle tâche vous souhaitez accomplir. L’apprentissage d’une nouvelle méthode de tricot ? La rédaction d’un rapport pour le travail ? La répétition d’un morceau de musique de votre enfance ? Quoique ce soit, il est essentiel de le déterminer avant de se lancer. Vous conditionnez ainsi votre cerveau à rester entièrement concentré sur votre objectif. On n’hésite d’ailleurs pas à couper son téléphone et mettre les appareils en silencieux ! Cela aura les mêmes effets qu’une digital detox.

    Choisir son moment :

    Pour tout le monde, il y a des moments de la journée où vous êtes plus ou moins productif, réveillé, en forme et motivé. Il est important d’identifier le moment de la journée durant lequel vous êtes le plus à même de vous investir pleinement dans une tâche.

    Faire le vide de ses émotions :

    Autre détail important avant de commencer, c’est de permettre aux émotions qui vous assaillent d’être libérées. Si vous commencez une tâche en étant en colère ou bien triste, par exemple, il y a peu de chances que vous parveniez au flow. Prenez de grandes inspirations, et libérez-vous de vos émotions avant de vous lancer !

    Agir avec modération et raison :

    Le flow peut rapidement devenir un moment que l’on veut reproduire à tout prix. Toutefois, il est important de conserver ces instants de façon régulière ou ponctuelle. Le bien-être ressenti durant le flow peut déclencher une véritable envie de se dépasser ou d’en faire toujours plus, parfois au détriment des autres aspects de la vie (amoureux, social, travail…etc.). Agissez avec modération, ça n’en sera que meilleur !

     

    En quelques mots…

    Le flow est ainsi une méthode qui permet de se focaliser sur une seule et unique tâche, mais de façon entière et pleine. Porteur de nombreux bienfaits, le flow permet de se comprendre et de se sentir complètement immergé dans la tâche que l’on accomplit. Le flow tient une importance capitale dans la psychologie générale autant que dans le développement personnel. Car qui parvient à trouver le flow et la manière de s’y investir parvient aussi à occulter tout le reste.

    Et pour vous aider à vous débarrasser de certaines émotions qui peuvent vous empêcher de vous consacrer au flow, vous pouvez notamment faire appel à diverses méthodes de médecine douce, comme la méditation, la sophrologie ou encore l’hypnose.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique).

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des tracas quotidiens, embarquez pour un séjour au plus proche de la nature et de vous-même.

     

     

  • Ce qu’il se passe dans le cerveau quand on est sous drogues

    Ce qu’il se passe dans le cerveau quand on est sous drogues

    Le message de prévention est pourtant clair : la drogue détruit la personne qui la consomme. Pourtant, de nombreuses personnes se retrouvent sous son joug, subissant les ravages qu’elle peut causer. Car la drogue peut avoir de graves effets sur la santé physique et mentale. Les effets qu’ont les drogues sur le cerveau en particulier peuvent devenir très inquiétants. Mais que se passe-t-il alors dans le cerveau lorsqu’il est sous drogue, tant sur le long que sur le court terme ? Comment reconnaître l’addiction ?

                                                                                                                           

    Qu’est-ce qu’une drogue exactement ?

    Lorsque l’on parle de drogue, certains pensent à quelques lignes droites sur un miroir, à une cuillère et une aiguille, ou encore des champignons à l’aspect douteux… Mais il existe tant et tant de drogues différentes qu’il est parfois difficile de s’y retrouver.

    Mais la drogue, qu’est-ce que c’est exactement ?

    Selon le site officiel du gouvernement, la drogue est une « substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central ou qui modifie les états de conscience ».  Les drogues sont multiples et variées, il en existe tant. Cependant, il faut toutefois noter que toutes n’ont pas les mêmes effets.

    En effet, on distingue les drogues en diverses catégories :

    • Les drogues qui produisent un sentiment d’apaisement (opiacés, cannabis…) ;
    • Les drogues qui stimulent (cocaïne, ecstasy ou amphétamines…) ;
    • Les drogues qui provoquent des hallucinations (LSD, champignons…).

    Ainsi, les drogues produisent chacune des effets sur le cerveau et le corps du consommateur. Mais il faut noter une dernière chose importante. Si la plupart des drogues sont illicites et vendues dans le secret des rues, d’autres drogues sont toutefois très licites, et il est possible de s’en procurer simplement dans le commerce, comme c’est le cas pour l’alcool ou la nicotine.

    Enfin, la drogue créé bien souvent une relation de dépendance entre le consommateur et le produit qu’il consomme. Selon les drogues cette notion peut varier et mettre plus ou moins de temps à se manifester. Mais à terme, la drogue rend dépendant n’importe qui voulant y toucher un jour et recommençant.

     

    Les effets de la drogue sur le cerveau

    Les effets de la drogue sur le cerveau sont nombreux et, selon la drogue consommée, plus ou moins destructeurs. Parce que les produits contenus dans certaines drogues peuvent avoir de graves effets sur le cerveau au fil du temps. Les facultés et fonctions cérébrales s’en retrouvent parfois très atteintes, et il n’est pas toujours possible de les recouvrer une fois sevré. Parmi ces effets, l’on trouve :

    Altération de la mémoire :

    Parmi les premiers effets qu’il est possible de constater lorsque l’on consomme de la drogue, il y a une altération de la mémoire et de la concentration. Et pour cause, certaines drogues accélèrent le fonctionnement du corps humain, poussant le cerveau à « carburer » très rapidement. Mais très vite, c’est la mémoire qui s’en retrouve altérée, et de plus en plus de trous de mémoires viennent parasiter la vie quotidienne. De même pour la concentration qui devient de plus en plus difficile. Il y a une drogue en particulier qui est réputée pour les problèmes de mémoires qu’elle entraîne. Il s’agit du cannabis, qui s’il est consommé trop souvent et en trop grande quantité, peut causer des dommages sur les capacités mnésiques et cognitives d’un individu.

    Mémoire à court terme :

    Plus exactement, c’est la mémoire à court terme qui risque de se retrouver altérée. En effet, les symptômes deviennent courants, comme les trous de mémoire et les difficultés à apprendre de nouvelles choses. Pourtant, le cannabis n’est pas la seule drogue néfaste pour la mémoire. L’ecstasy peut également causer de graves séquelles, jusqu’à réduire de 10% l’hippocampe, qui est le centre de la mémoire dans le cerveau. Enfin, de manière plus générale et concernant toutes les drogues confondues, les troubles de la mémoire peuvent survenir dans les jours qui suivent la consommation de n’importe quelle drogue.

    L’influence de la dopamine :

    L’un des principaux effets de la drogue est la production de la dopamine. La dopamine est considérée comme l’hormone du plaisir et est assez instantanée dans les effets qu’elle permet de ressentir (apaisement, joie, plaisir). Sauf que la drogue ne libère pas vraiment de la dopamine : elle en produit de manière artificielle. C’est notamment ce qui est responsable de la dépendance qui se créé entre le produit et le consommateur. Ce dernier va chercher à créer toujours plus de dopamine, sans avoir pour autant conscience que tout cela est totalement artificiel. Autrement dit, l’individu qui prend de la drogue se sent immédiatement bien et apaisé, et il va chercher à reproduire ce sentiment de bien-être en consommant toujours plus. À noter toutefois que le sentiment de dépendance que créé la dopamine ne s’applique pas seulement aux drogues, mais à toutes les formes d’addiction (jeux, alcool, nourriture, sexe…etc.).

    Risques cardiovasculaires :

    Dans les pires des cas, la drogue peut également avoir des conséquences corporelles beaucoup plus importantes. C’est le cas lorsque les drogues permettent la production d’hormones (qui ne sont alors, comme la dopamine, pas naturelles), et entraîner des maladies comme de l’hypertension ou une vasoconstriction des vaisseaux sanguins, soit un empêchement qu’ils soient oxygénés de manière correcte.

    Maladies mentales :

    Enfin, à toutes doses et consommées dans toutes les périodes de temps, les drogues peuvent également être à l’origine de maladies mentales. Parmi elles, des cas de schizophrénie, de paranoïa et de psychose ont déjà été observés.

    Changements émotionnels :

    Que ce soit à cause de la production d’hormones dans le corps ou bien l’absence de la dopamine (sensation de manque), les drogues ont également des conséquences sur les émotions des individus qui en consomment. L’agressivité, l’irritabilité, la colère peuvent alors se manifester de façon aléatoire et irrégulière.

    Ainsi, en plus de détruire les neurones présents dans le cerveau, les drogues présentent plein de conséquences qui peuvent être très grave. À terme, la plus grave des conséquences est une overdose causant la mort du consommateur. Il est important de rester vigilant et surtout, de se faire aider au plus vite.

     

    Se débarrasser de l’addiction

    Les drogues causent de nombreux dommages au fil du temps. Plus la consommation s’étend dans le temps, et plus le consommateur risque de perdre le contrôle de son cerveau mais aussi de lui-même. En cause, les produits chimiques de certaines drogues ou les effets d’autres drogues (dites naturelles car non modifiées) sur le cerveau. Pour se débarrasser de l’addiction, il ne faut pas hésiter à se tourner vers des professionnels, comme des médecins qui peuvent vous guider. L’hypnose peut par ailleurs vous venir en aide, notamment en vous aidant à vous débarrasser de mauvaises habitudes (cigarette ou alcool). Pour la consommation de drogues plus dures, il existe également des établissements qui permettent de se sevrer en étant entouré et accompagné. Il n’y a aussi de nombreux bienfaits à suivre une thérapie.

    La consommation de drogues ayant des effets directs sur tout le système nerveux, il est important de savoir comment en prendre soin. N’hésitez pas à aller lire l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien.

     

    En quelques mots…

    Les drogues ont donc de nombreuses conséquences, tant sur la santé physique que mentale. Si ces paradis artificiels peuvent sembler attractifs, il est important de toujours garder la conscience de ce que l’on consomme et dans quelle quantité. L’addiction est souvent déjà présente avant que l’on ne le comprenne.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De plus, j’organise des retraites bien-être, qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature mais surtout loin des tracas du quotidien, vous pouvez venir vous ressourcer et en apprendre davantage sur vous-mêmes.

     

     

  • Avoir un enfant après 40 ans, c’est possible

    Avoir un enfant après 40 ans, c’est possible

     

    La grossesse est un phénomène naturel. À travers les différentes époques, l’âge moyen pour avoir un enfant n’a fait que changer. Et si il y a deux ou trois générations de nous, les femmes avaient souvent leur premier enfant aux alentours de vingt ans, c’est plus rarement le cas de nos jours. On privilégie un temps de vie, on « profite » avant de se poser plus sérieusement et de penser à fonder une famille. Pour autant, y a-t-il une limite d’âge pour avoir un enfant ? Est-il possible d’avoir un enfant après quarante ans ? Et si oui, y a-t-il plus de risques pour la mère et l’enfant ?

     

    Y a-t-il un âge pour faire des enfants ?

    Il y a encore cinquante ans, nos grands-mères commençaient à procréer à l’âge de vingt ans, voire plus tôt. Au fil des époques, de manière plus générale, l’âge auquel les femmes avaient un enfant n’a cessé de se modifier. Et pour cause, tout cela dépend en réalité de nombreux paramètres sociétaux. En effet, on vivait moins longtemps ; absence de contraceptif comme le préservatif ; on avortait moins facilement, c’était plus douloureux… Tant et tant de paramètres sociaux qui agissaient de manière plus ou moins directe sur les femmes et le couple.

    Ainsi, il n’y a pas à proprement parler « d’âge pour avoir un enfant ». Aucun âge ne fera d’une personne un meilleur parent. Toutes les époques ont dépendu d’un style de vie, d’une classe sociale, d’injonctions implicites et/ou de l’envie de devenir mère.

     

    Des grossesses de plus en plus tardives

    Avec l’avancée de la science et le rallongement de l’espérance de vie, de nos jours, les femmes se consacrent à la grossesse de plus en plus tard. En France, selon l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), en 1994, l’âge moyen des femmes à l’accouchement est de 28 ans et 8 mois.  En 2021, ce chiffre est de 31,2. Autrement dit, l’âge moyen des femmes à l’accouchement n’a cessé de croître lors des 27 dernières années.

     

    À quoi est due cette évolution ?

    Outre les paramètres sociaux et médicaux qui permettent de vivre plus longtemps et de mieux se soigner, il s’agit surtout de comprendre ce subtil mélange entre besoin et envie de vivre sa vie avant de la donner. Autrement dit, les femmes préfèrent se consacrer à leur carrière, à des voyages, à leurs proches, avant de fonder leur propre famille.

    Pour certaines femmes, ce besoin de maternité peut également ne jamais avoir lieu. C’est ce que l’on nomme les « childfree ». Elles décident de ne pas répondre de leur non-envie d’avoir un enfant, qu’importe les injonctions sociétales qui rappellent souvent que la femme est aussi une mère (alors que pas tout le temps !)

    L’évolution de l’âge des femmes à l’accouchement se traduit donc par une confiance des femmes dans leur avenir, et surtout une volonté implacable de profiter de leur vie avant de se lancer dans la maternité.

     

    Les différentes façons d’avoir un enfant après 40 ans

    Si l’âge des grossesses recule, avoir un enfant après 40 ans devient également de moins en moins rare. Toutefois, cela comporte quelques contraintes, notamment si la fécondation ne peut pas se passer de façon traditionnelle.

    En effet, les femmes de 40 ans et plus peuvent elles aussi se tourner vers des méthodes de PMA comme la FIV. Ce sont des méthodes souvent éprouvantes, tant physiquement que psychologiquement. N’hésitez pas à aller voir comment garder le moral pendant une PMA ! Néanmoins, les risques sont plus élevés, de même que le taux d’échec. Ce n’est pas impossible pour autant, et certaines femmes parviendront à tomber enceintes après 40 ans !  Mais il ne faut tout de même pas ignorer certains risques.

     

    Les risques d’une grossesse après 40 ans

    Ce que l’on appelle plus communément les « grossesses tardives » ne sont toutefois pas sans risques, tant pour le bébé que pour la mère. Et pour cause, au contraire des hommes, la période de fertilité chez les femmes s’arrête à la ménopause. Selon les chercheurs, la qualité ovarienne est optimale jusqu’à l’âge de 35 ans ; après, les chances de tomber enceinte se réduisent malgré la possibilité de pouvoir encore tomber enceinte puisque la ménopause n’est pas encore présente.

    Mais pour les grossesses tardives, les risques semblent se multiplier au niveau de la santé. C’est notamment le cas concernant les fausses couches. Elles seraient en effet plus élevées après 30 ans. Le risque s’élève même, selon les médecins, à un pourcentage de 30% pour les personnes qui tomberaient enceintes entre 40 et 44 ans. Ce taux grimperait à 40% de chances de fausse couche pour les personnes qui tomberaient enceinte entre 45 et 49 ans.

    Parmi les autres risques existants pour la maman, l’on trouve :

    • Diabète gestationnel ;
    • Hématome rétro placentaire ;
    • Hémorragie de la délivrance ;
    • Hypertension artérielle ;
    • Mortalité maternelle ;
    • Placenta praevia (implantation du placenta à proximité de l’orifice interne du col).

    Pour le bébé aussi, les risques existent :

    • Anomalie chromosomique (concernant en particulier la trisomie 21) ;
    • Macrosme (bébé de + de 4kg) ;
    • Malformations congénitales ;
    • Prématurité ;
    • Retard de croissance in utero (RCIU).

     

    Les avantages d’une grossesse tardive !

    Malgré les risques d’une grossesse tardive, il y a également de nombreux avantages dans le fait d’attendre un bébé après 40 ans. Parmi eux, l’on retrouve notamment :

    Des mamans épanouies : une fois passée la trentaine, les femmes ont eu le temps de se trouver. Le plus souvent, elles ont une carrière, un équilibre de vie qui les rend heureuse et sont donc mentalement prêtes à accueillir un nouvel être vivant au sein de leur foyer. La stabilité émotionnelle et financière que leur procure leur âge et leur expérience de vie leur permet d’être plus sereines.

    Une stabilité générale : outre cela, la stabilité générale dans la vie de la mère lui permet de mûrir sa décision d’avoir un enfant. Ainsi, lorsqu’elle décide de tomber enceinte, peu importe la méthode choisie, elle est sûre d’elle. Les doutes n’existent pas, ou très peu.

    Une expérience plus large de la vie : à 40 ans, on n’a pas la même expérience qu’à 28 ans. Et c’est bien vrai ! La mère de 40 ans ou plus possède en effet une certaine expérience de la vie qui lui permet d’avoir souvent plus de patience avec l’enfant. Outre la décision bien réfléchie, c’est l’expérience de la vie elle-même qui l’aidera dans l’éducation et le soin de son enfant.

    Plus de chances d’avoir une grossesse multiple : après 35 ans, le système hormonal change, ce qui permet de connaître une grossesse multiple. Si cela ne se produit pas à tous les coups, les chances sont tout de même plus élevées à 40 ans et plus qu’à 20 ans.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, une grossesse après 40 ans est tout à fait possible. Si cela peut de prime abord paraître très dangereux au vu des risques, c’est aussi une immense source de bonheur, tant pour l’enfant que pour la mère. Mais ces risques, il ne faut pas les ignorer pour autant ! Au contraire, parlez-en avec des spécialistes, votre gynécologue, votre médecin, mûrissez votre décision ! Soyez prête et sûre de vous pour vous lancer dans une telle aventure !

    Que vous ayez 25, 34 ou 42 ans, durant la grossesse, n’oubliez pas de prendre soin de vous…

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins pour le corps et le visage, comme le drainage lymphatique.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise depuis peu des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, renouez avec vous-même.

     

     

     

  • Comment garder le moral pendant une FIV ?

    Comment garder le moral pendant une FIV ?

    Vouloir fonder une famille est une étape évidente pour beaucoup de personnes. Mais parfois, cela ne fonctionne pas de manière naturelle. Il est alors possible de faire appel à la science pour avoir un petit coup de pouce. Insémination artificielle, PMA, FIV… il existe diverses méthodes susceptibles de faire tomber une femme enceinte. Mais ce sont des processus longs qui ne sont pas de tout repos. Qu’est-ce que la FIV exactement ? Quelles sont ses points communs avec la PMA ? Et comment garder le moral durant cette période particulièrement difficile ?

     

    Qu’est-ce que la FIV ?

    La FIV est l’acronyme de Fécondation In Vitro. Elle est mise au point dans les années 70 et opérationnelle à partir des années 80. La fécondation in vitro est une technique de procréation médicalement assistée qui passe par le transfert d’embryon.

    La FIV, c’est une méthode qui résulte de la stimulation des ovaires afin que l’ovaire puisse être fécondé. Autrement dit, la science permet de reproduire ce qui se passe naturellement chez d’autres personnes. Sauf que dans le cas de la FIV, la rencontre entre l’ovule et le spermatozoïde ne se déroule pas dans le corps de la femme, mais en laboratoire. Ensuite, l’embryon est réimplanté dans l’utérus de la future mère.

    Il est à noter que la fécondation in vitro se différencie de l’insémination artificielle. En effet, cette dernière technique ne nécessite pas la ponction des ovules, tandis que lors d’une FIV, c’est le cas.

     

    La FIV et ses nuances

    La fécondation in vitro fait partie de la grande famille des PMA (procréation médicalement assistée). Autrement dit, elle représente l’une des méthodes utilisées pour procréer de manière moins conventionnelle, ou lorsque le corps semble présenter quelques tendances qui ne favorisent pas la fécondation par voie naturelle.

    Il existe différents types de PMA :

    • Les inséminations intra-utérines ;
    • La fécondation in vitro sans micromanipulation (FIV dite conventionnelle) ;
    • La fécondation in vitro avec micromanipulation (appelée ICSI pour Intra Cytoplasmic Spermatozoa Injection).

    Parmi toutes ces méthodes, la fécondation in vitro dite conventionnelle reste la plus utilisée des méthodes de PMA.

     

    Combien de temps dure une FIV ?

    En général, le processus de fécondation in vitro débute au deuxième jour des règles. Il dure alors douze jours. Mais la FIV ne fonctionne que rarement du premier coup. Il faudra alors attendre six mois pour faire une nouvelle tentative. En moyenne, les couples ou femmes seules font deux FIV par an.

    Toutefois, selon l’âge de la personne qui fait appel à cette méthode de procréation, il est possible d’avoir accès à une nouvelle tentative au bout de 2 à 3 mois. C’est le cas pour les femmes ayant 38 ans et plus.

     

    Des étapes difficiles

    Comme tout processus médical, la FIV présente elle aussi ses épreuves. Sans compter les risques, la durée du protocole peut rapidement être un poids tant pour le couple que pour la femme qui le vit directement au-dedans de son corps. De même, le risque de fausse couche est beaucoup plus élevé lors d’une FIV que lors d’une grossesse (15-18% contre 12%).

    Les risques de santé pour la femme qui fait appel à une FIV sont également nombreux, et peuvent ajouter un stress supplémentaire. Parmi les complications :

    • Risque de grossesses multiples : en effet, pour qu’une FIV ait plus de chances de réussites, il est parfois transféré dans l’utérus plusieurs embryons. Cela permet d’augmenter le taux de grossesse, mais représente également un risque important.
    • Risque de fausse couche: le risque de fausse couche lors d’une FIV est plus élevé que lors d’une grossesse conventionnelle.
    • Risque de malformation congénitale pour les enfants nés d’une FIV ;
    • Le cancer des ovaires ;
    • Accouchement prématuré et césarienne.

    La FIV, comme toutes les méthodes de PMA, n’est donc pas de tout repos. Tant physiquement que psychologiquement, il va s’agir de tenir bon et de rester optimiste malgré les étapes de la FIV et ce qui en résulte.  Vous pouvez diminuer le stress avec de l’hypnose par de petits gestes quotidiens

    Alors comment garder le moral durant une FIV ?

     

    Garder le moral durant une FIV

    C’est un protocole médical relativement long et assez lourd pour le corps. Et comme dans toute intervention au niveau du corps, le mental joue également un rôle non négligeable. Alors comment garder le moral durant une FIV ?

    Bien se renseigner avant de se lancer :

    Comme dans beaucoup de projets, le fait de récolter des informations avant de se lancer est important. Cela permet notamment de mieux se préparer psychologiquement aux déceptions probables, de prendre en compte les possibles « échecs » qui peuvent en résulter et surtout de bien intégrer que peu de choses fonctionnent du premier coup. Dans le cas de la FIV, cela semble donc essentiel.

    Anticiper les réactions et les décisions :

    Lors d’une fécondation in vitro, différentes décisions sont prises. Les recherches que vous aurez effectuées permettront d’anticiper une bonne partie d’entre elles. De même, n’hésitez jamais à demander aux médecins des avis, des détails, ou à poser vos questions. Vous devez être informée de tout, et vous en avez le droit. Par ailleurs, le fait d’anticiper les décisions à prendre pourra potentiellement réduire le stress occasionné lors des différentes étapes de la FIV.

    Se changer les idées entre deux FIV :

    Lorsque vous débutez l’une des méthodes de PMA, c’est tout votre quotidien qui se bouleverse. Réaliser de l’hypnothérapie à Paris pour  garder le moral durant une PMA pourra également vous aider. Cultiver les relations avec votre famille et vos amis vous apportera de la motivation et du soutien, qui sont nécessaires durant une FIV. Pour ne rien lâcher, même quand le moral est à plat, il est essentiel d’être bien entouré.e.

    S’autoriser à ressentir :

    La frustration, la déception, la tristesse, la joie, l’espoir… la FIV, c’est tout un éventail d’émotions différentes qui vous étreignent souvent. Autorisez-vous à ressentir, vivez vos émotions et ne les refoulez pas. Cela permet de libérer votre stress, votre colère ou tout autre sentiment qui pourrait se manifester. Il est essentiel que vous parveniez à avoir l’esprit clair et le cœur apaisé pour continuer la FIV.

    Dîtes adieu à la culpabilité :

    Les risques secondaires de la FIV sont nombreux, aussi il est important que vous ne culpabilisiez pas. Si vous rencontrez une déception dans le processus de fécondation in vitro, ressoudez les liens avec votre conjoint ou vos proches, et ne laissez pas votre culpabilité vous faire croire à ce qu’elle chuchote. Vous n’êtes pas responsable de ce qui ne fonctionne pas. Il est possible de réaliser des séances d’hypnothérapie à Paris pour combattre l’échec et repartir plus forte.

    Laisser le temps au temps :

    De nouveau, la FIV est un processus long et éprouvant. Vouloir accélérer les choses n’est pas possible, ou très risqué. Il est important de trouver un équilibre entre votre vie quotidienne et la FIV. Même si elle risque de prendre une place importante, la vie continue aussi et il est important que vous preniez le temps de la vivre.

     

    En quelques mots…

    La fécondation in vitro est donc un processus qui peut durer dans le temps et agir sur le plan émotionnel comme physique. Il est important de prendre soin de vous, de votre mental pour pouvoir continuer le plus sereinement possible. De même, n’hésitez pas à vous chouchoutez durant cette période éprouvante.

    Cela peut notamment passer à travers divers soins comme les massages, l’hypnose de confiance en soi pour se faire plaisir, les soins esthétiques ou encore la pratique de médecines alternatives comme la sophrologie ou la méditation.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose aussi des soins thérapeutiques du corps et du visage, comme le drainage lymphatique.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, prenez le temps de vous comprendre et de vous aimer.

  • (Se) préparer (à) l’arrivée de l’été

    (Se) préparer (à) l’arrivée de l’été

    Les beaux jours ont tardé à montrer le bout de leur nez, mais voilà plusieurs semaines que le soleil nous montre ses plus beaux rayons ! Et quoiqu’on en dise, l’arrivée de l’été est imminente. Les longues soirées, les week-ends à la plage, les promenades tardives sous la brise à peine plus fraîche… Mais qui dit été dit aussi coups de soleil, chaleur, transpiration… alors comment bien (se) préparer (à) l’arrivée de l’été ?

     

    Adapter son alimentation à la saison

    Comme pour le printemps et les autres saisons, il est important d’adapter son alimentation à la saison. Plus encore, il est très bénéfique d’adapter son hygiène de vie tout entière (heures de coucher/lever, durée du sommeil, alimentation…etc.).

    Manger des produits de saison :

    En été, on privilégie les produits frais et les fruits et légumes de saison ! Autrement dit, on évite les plats préparés ou trop « lourds » pour l’estomac, et on privilégie une alimentation locale et adaptée. Les concombres, le melon, les tomates, les ratatouilles… faites le plein de vitamines naturelles !

    Essayer de ne pas louper de repas :

    En été, la chaleur peut parfois annihiler la sensation de faim. Pourtant, il est important de ne louper aucun repas durant la journée ! Justement car il fait chaud, des salades composées peuvent être adaptées et permettent de varier les aliments. En sautant des repas, vous risquez de faire baisser votre tension et de vous évanouir… prudence, donc.

    Ne pas supprimer les protéines des repas :

    Si en été, il est possible de diminuer le taux de protéines consommées, il ne faut pas pour autant les faire totalement disparaître ! Toutefois, il est possible de trouver les protéines à travers les céréales, le poisson ou les fruits de mer, qui restent toujours plus digestes qu’un gros steak.

    La fête des crudités :

    De même, les fruits et légumes de saison permettent de faire des salades sucrées/salées très appréciables ! que ce soit en en-cas ou en véritable repas, les crudités sont consommées avec joie et permettent de faire le plein de vitamines et d’antioxydants !

    En été, donc, il est important d’adapter son alimentation aux températures mais aussi aux activités prévues. Si vous organisez un après-midi d’escalade, mangez léger avant mais mangez consistant ! Il vous faudra divers apports énergétiques pour tenir ensuite la distance !

     

    L’été et les risques pour la peau

    La chaleur de l’été présente par ailleurs de nombreux risques pour la peau. Alors prenez les devants dans la protection de votre peau ! Que l’on aime se dorer la pilule au soleil ou qu’on l’évite soigneusement, l’été a toujours des effets sur les peaux. Il est donc primordial de veiller sur son épiderme !

    L’hydratation quotidienne :

    Laits, crèmes hydratantes… le choix est vôtre. Une à deux fois par jours, n’hésitez pas à appliquer sur votre peau les produits de votre préférence. Pour éviter les sensations de tiraillement, pour nourrir la peau ou tout simplement par acquis de conscience, hydratez-vous !

    Protection solaire :

    Sans surprise, la protection solaire est plus que nécessaire. Car si les rayons chauds du soleil ressemblent à des caresses après un long hiver, ils peuvent également se montrer impitoyables. Dès que vous pointez le bout de votre nez –et le reste du corps- au soleil, n’oubliez pas la protection solaire. De quoi éviter le teint écrevisse pendant plusieurs semaines ! Et en cas de peau acnéique, il est important de renouveler la protection UV toutes les deux heures et d’éviter les heures les plus chaudes. Rappelons aussi que l’acné ne dure pas…

    L’importance du gommage:

    Si le gommage est important pour la peau, il n’est pas pour autant à reproduire tous les jours ! Une fois par semaine voire tous les dix jours pour les peaux sèches, est amplement suffisant. L’important est de bien nettoyer la peau en profondeur, surtout pour les peaux qui connaîtront les petits plaisirs du sable et l’eau salée cet été.

    Les vitamines pour aider le corps et la peau :

    S’il faut être prudent concernant les vitamines que l’on prend, elles peuvent parfois se montrer d’une grande aide. En été, n’hésitez pas à consulter votre médecin en cas de carences, les vitamines vous aideront à mieux profiter de la saison tout en aidant votre corps et votre peau !

    Ne pas oublier de s’hydrater :

    Parce que l’alimentation joue un rôle et que l’eau aussi, il ne faut pas oublier qu’elles sont essentielles pour le teint ainsi que la texture de la peau. Il est donc primordial de boire son litre et demi par jour, voire de pousser jusqu’aux deux litres si le besoin s’en fait sentir.

    Petit rappel : l’eau ne protège pas du soleil ! C’est même tout le contraire, puisqu’elle réverbère les UV. Autrement dit, on peut aussi prendre des coups de soleil en se baignant, d’où la nécessité de la protection solaire !

     

    L’importance de l’hydratation

    Pour comprendre l’importance de l’hydratation en été, il faut aussi comprendre ce qui se passe dans le corps lorsqu’il fait (très) chaud. La plupart des personnes ont une température corporelle de 37,5°C. Si ce chiffre peut varier un tout petit peu d’un individu à l’autre, la température corporelle permet au corps de bien fonctionner. Aussi, lors de fortes chaleurs, le corps va mettre en place divers mécanismes pour conserver cette température au mieux.

    Par exemple, la dilatation des vaisseaux sanguins permet de refroidir le sang en redirigeant la chaleur du corps vers l’extérieur. Cela se nomme le « refroidissement par convection ».

    Mais il y a également d’autres mécanismes tels que la transpiration. C’est un des mécanismes du corps les plus efficaces pour réguler la température. De plus, la transpiration est aussi un moyen d’éliminer certaines toxines du corps humain.

    La transpiration est directement induite par les glandes sudoripares qui sont responsables de la sueur. Par de grosses chaleurs, le corps peut transpirer entre 0,5L et 1L de sueur par jour. En cas de manque d’eau, la production de sueur s’en retrouve limitée. C’est là que l’on risque le « coup de chaud ».

    Il est donc essentiel, tant pour le corps que pour la peau, de bien s’hydrater, même si l’on ne ressent pas la soif. Dîtes-vous que le corps en a besoin et ne sortez plus sans votre bouteille !

     

    Profiter de la saison !

    Une fois que vous avez adapté votre hygiène de vie aux nouvelles températures, aux journées plus longues et au soleil, il ne vous reste plus qu’à en profiter ! Sortez avec vos amis ou prenez du temps pour vous, promenez-vous seul.e ou faîtes de nouvelles rencontres… l’été a souvent tendance à mettre de très bonne humeur !

    De même, cela peut aussi être le moment de programmer de nouveaux projets, de vous lancer dans de nouvelles trajectoires de vie ! L’été est propice aux rêves, à la réflexion et surtout à l’inspiration !

     

    En quelques mots…

    Si vous décidez de prendre soin de vous et de vous concentrez sur vous-même, il existe de nombreux soins qui le permettent ! C’est notamment le cas de la méditation, de l’hypnose ou encore des massages du visage ou du corps.

    C’est d’ailleurs ce que je propose à Paris. Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je m’appelle Charlotte Vallet. Je propose également des massages du corps comme le drainage lymphatiques, qui possède tant de bienfaits.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Et pour aller encore plus loin, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, loin des tracas quotidiens, voyagez au cœur de vous-même.

  • Oser prendre la parole en public

    Oser prendre la parole en public

    Sueurs froides, tremblements de mains, voix qui chevrote et balbutiements sont parfois au rendez-vous quand les mots « prise de parole en public » retentissent. S’exprimer devant une audience, quelle qu’elle soit peut s’avérer être une réelle source de stress et de nervosité. Est-ce simplement un peu d’appréhension quant au discours à tenir ou une réelle angoisse liée au fait de devoir s’exprimer devant toute une troupe de personnes ?

    Quoiqu’il en soit, prendre la parole en public n’est pas inné ni naturel pour tous. Mais bonne nouvelle, il est possible d’apprendre à le faire ! Alors quels sont les tips qui permettent de se présenter de façon plus sereine pour prendre la parole en public ?

     

    Prendre la parole en public : une étape qui peut sembler insurmontable

    Quel que soit votre âge, votre genre ou votre milieu social, nous sommes tous confronté, au moins une fois dans notre vie, à la prise de parole en public. Que ce soit pour un exposé devant une classe au lycée ou à l’université, un discours de témoin au mariage de l’une de nos meilleures amies ou encore en plein milieu de l’open-space au travail, il arrive un moment où nous sommes tous mis face à la prise de parole en public.

    Et le moins qu’on puisse dire, c’est que même pour les plus extravertis d’entre nous, c’est une étape qui marque. La première prise de parole en public est toujours une étape à franchir. Pour d’autres personnes, peu importe le nombre de fois où elles ont fait l’exercice, il demeure difficile et paraît toujours, de la même façon, insurmontable.

    Mais alors pour quelles raisons cela peut paraître naturel à certaines personnes quand d’autres semblent totalement paralysées par l’idée de prendre la parole en public ?

     

    Les différents blocages qui empêchent de prendre la parole en public

    Les raisons qui peuvent déclencher un stress immense ou encore des crises angoisses à l’idée d’intervenir en public sont multiples. Parmi les blocages, l’on retrouve notamment :

    La peur des autres : intervenir devant un groupe de personnes inclut forcément certaines responsabilités. Les gens comptent sur vous pour faire un discours intéressant et pertinent, et la peur des autres peut rapidement se manifester. Et si les gens trouvaient mon discours inintéressant ? Et si certains me huaient ? Se moquaient ?

    La peur de soi : prendre la parole en public implique d’être écouté, et cela paraît intimidant pour beaucoup de gens. Et si je racontais n’importe quoi ? Et si je n’étais pas à la hauteur ?

    Le stress et la nervosité : ils peuvent directement avoir des effets sur votre forme physique et trahir votre état. Là encore, le lien avec l’opinion des autres s’établit, et le stress augmente, refermant le cercle vicieux qu’il a entamé.

    Il existe encore moult autres blocages qui empêchent de prendre la parole en public de façon sereine et apaisée. Ce qui est certain, c’est que tous ces blocages ont des sources bien précises, et que pour s’en débarrasser, il faut les identifier de façon claire.

     

    Les sources de ces blocages et peurs

    Et pour les vaincre, ces blocages, il faut tout d’abord en identifier la  ou les source(s). Le plus souvent, tous ces blocages sont directement en lien avec :

    Les croyances limitantes : intériorisées pendant l’enfance ou au cours de la vie, l’adulte qui se laisse guider par ses croyances limitantes est un adulte… limité. En effet, les croyances limitantes reposent sur des blessures émotionnelles enfouies qui perpétuent un schéma visant à ne pas croire en soi ou ses facultés. Vaincre ses croyances limitantes, c’est possible !

    Une estime de soi bancale : l’estime de soi, que l’on confond souvent avec l’ego, est pourtant bien indispensable au quotidien, il est nécessaire de retrouver l’estime de soi par l’hypnose. Et pour cause, savoir de quoi l’on est capable et ce que l’on vaut dans son propre regard est une chose utile et bienveillante. Cela permet notamment de se surpasser lorsqu’on s’en sait capable, et de réussir plus facilement en connaissant ses limites et ses atouts.

    Une absence de confiance en soi : la confiance en soi est également un facteur important. Dans le cadre d’une prise de parole en public, la confiance en soi est celle qui livre un élan de « je suis capable de faire ça » et qui vous convainc que vous l’êtes vraiment (capable). Sans confiance en vous, vous ne saisissez pas les opportunités qui se présentent à vous et cela vous conforte dans le même temps quant au fait que vous ne les méritiez pas. Inversez ce cycle défaitiste et prenez les choses en mains !

    La glossophobie : méconnu, ce terme désigne la peur de prendre la parole en public. Afin de soigner cette phobie, certains soins thérapeutiques comme un massage Kobido couplé à de l’hypnose peuvent s’avérer utiles. Qu’il s’agisse d’une psychothérapie qui permette de débloquer la source de cette phobie, de médecines parallèles qui sauront en apaiser les effets, il est important de prendre du temps pour se défaire de cette phobie.

     

    Tips et astuces pour pouvoir prendre la parole en public !

    Préparez-vous avant le grand jour : répétez devant le miroir si cela vous aide à travailler tant l’élocution que votre posture et votre discours. Vous prenez alors doucement conscience de votre potentiel, et que cette prise de parole ne sera qu’une petite étape dans votre vie. Vous en êtes capable et vous allez y arriver !

    Prenez confiance en vous : à travers des exercices du quotidien comme le fait de parler avec vos amis ou des groupes sociaux (amis, famille, collègues…). Poser sa voix par enregistrement, seul ou à plusieurs, est également un moyen très simple de prendre confiance pour la prise de parole. En sachant que votre voix ne tremblera pas, vous avez moins le trac et il ne vous reste plus qu’à vous lancer.

    Travaillez votre respiration : parce que dans une prise de parole, il ne suffit pas de savoir s’exprimer mais également de gérer les silences. Travailler votre respiration sera alors le meilleur moyen de mettre toutes les chances de votre côté afin de maîtriser entièrement le moment et de réduire le stress au maximum.

    Soyez direct : le message que vous avez à faire passer doit être bien entendu et compris par tous. Alors on efface toutes les fioritures autour, et l’on se concentre sur la qualité du message. Les mots se suffisent à eux-mêmes, nul besoin d’en rajouter !

    Connaître son audience peut aider : enfin, le fait de savoir à l’avance devant qui vous allez vous exprimer peut également vous aider à vous sentir plus en confiance le jour J. Et pour cause, connaître les personnes qui seront présentes vous permettra de prendre confiance. Je le/la connais, il/elle est très gentil/le et ne se moquera pas si c’est un échec…

    Enfin, si le stress persiste malgré toutes vos préparations, il est possible de se détendre par de petits gestes d’hypnose contre le stress

     

    En conclusion

    Prendre la parole en public est ainsi une grande responsabilité. Se dresser seul/e, face aux autres et commencer à parler peut être source d’une grande inquiétude quant à soi-même et ses capacités. Douter est naturel, mais de l’hypnose pour la confiance en soi pour se faire plaisir existe, un bon moyen pour croire en vous. Et lorsque vous serez en train de parler, concentrez-vous sur des points de la salle qui vous permettent de ne pas vous inquiétez davantage ; parfois, le regard des autres est le pire déclencheur d’un oubli de votre texte !

    De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme les drainage lymphatique et drainage visage, qui permettent de se sentir mieux dans son corps.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir le temps de quelques jours. Au plus proche de la nature, venez apprendre tout ce dont vous êtes capable et que vous ignorez encore…

  • Le printemps, saison du renouveau !

    Le printemps, saison du renouveau !

    Etymologiquement, le printemps, du latin « primus tempus », signifie « premier temps », « commencement », « début ». Symboliquement, le printemps est donc une saison de renouveau. Et pour cause, au-delà de l’être humain, c’est toute la nature dans sa globalité qui prend vie. Les bourgeons éclosent, les arbres s’offrent une toute nouvelle garde-robe de feuillages, et certains animaux sortent de l’hibernation quand d’autres s’accouplent déjà. Le cycle de la vie continue, et la vie revient en beauté ! Alors comment se traduit ce renouveau dans la culture populaire ?

     

    Le printemps, heure du grand ménage !

    Le printemps, lorsqu’il se manifeste, invite directement au changement. Les paysages changent, la faune change, le pollen pointe le bout de son nez et il est temps, pour vous aussi, de vous adapter à cette nouvelle période de l’année ! Les esprits sont plus légers, le soleil revient avec toute la puissance de ses rayons, et beaucoup de personnes sont alors tentées de faire le ménage, le grand tri et d’adopter un tout nouveau système de rangement.

    Symboliquement, le ménage de printemps est également présent pour apporter un nouveau souffle dans votre vie. C’est l’occasion de faire le tri dans vos vieilles affaires et de privilégier la seconde-main au lieu de les jeter ! Mais c’est surtout un très bon moyen pour l’esprit de repartir pour une nouvelle année sur des bases plus claires.

    En nettoyant votre chez-vous, vous faîtes aussi le ménage dans votre vie. Symboliquement, vous dépoussiérez les anciens problèmes, les blessures et les blocages qui en résultent parfois pour faire place à l’air frais et les rayons de soleil d’une nouvelle période pleine de possibles ! Alors n’hésitez pas : bougez les meubles, nettoyez, triez, rangez ; faîtes place au changement c’est aussi faire de la place pour toutes les opportunités qui pourraient se présenter. Et c’est également un bon moyen d’aborder la période de l’été de manière sereine et positive.

     

    Prendre soin de soi au printemps

    Après avoir pris soin de chez soi, il ne faut pas oublier de prendre soin de soi ! La période de l’hiver est souvent propice à quelques changements qui peuvent peser sur le moral. Les fêtes de fin d’années et leurs excès sont passés, puis le froid s’est installé, les journées courtes, la fatigue… En bref, l’hiver et ses travers. On a tendance à prendre moins facilement soin de soi, de sa peau, de son corps et surtout, de son mental. Alors le printemps, il sonne un peu comme une renaissance !
    C’est l’occasion de se faire plaisir grâce à l’hypnose pour la confiance en soi.
    C’est la cloche qui dit que les jours sombres sont passés, que l’heure d’été s’est installée, et qu’il faut vous préparez à commencer cette nouvelle période.

     

    Prendre soin de soi, ça passe à travers divers aspects de la vie quotidienne :

    Une alimentation adaptée à la saison : après les délicieuses raclettes, place à de la nourriture plus fraîche ! On privilégie les poêlées de légumes, les fruits qui commencent à être plus sucrés naturellement, et les aliments plein de vitamines ! On préfère également les aliments riches en protéines et en antioxydants qui permettront de refaire le plein d’énergie.

    Une cure de vitamine D : la venue du printemps est également synonyme de la venue du soleil ! Et pour cela, rien de tel qu’une bonne cure de vitamine D. En effet, s’exposer au soleil durant 15 à 20 minutes permet au corps de faire le plein d’une quantité de vitamine D suffisante. Ces séances de « cure » sont à réitérer trois fois par semaine –si le temps le permet. Cela permet de renforcer le système immunitaire tout en absorbant également le phosphore et le calcium dont le corps a besoin.

    Se remettre au sport : si l’hiver livre l’énergie suffisante pour attraper son plaid et se rouler dedans, la venue du printemps peut être la bonne époque pour se remettre au sport ! Les footings au soleil, les sports collectifs ou même la natation, tout est possible. Et en pratiquant un sport que vous aimez, c’est plus simple ! Le sport permet de sécréter des endorphines et de réduire ainsi le stress et l’anxiété.

    Prendre soin des allergies : qui dit printemps, dit évidemment retour du pollen… les allergies peuvent alors se multiplier. Rhume des foins, rhinopharyngite ou sinusite… les troubles respiratoires s’enchaînent et se manifestent sans hésitation. Il est alors important de se soigner et de ne pas laisser les allergies prendre le pas sur votre vie !

    S’hydrater : boire de l’eau est essentiel au printemps. Les journées rallongent, les températures augmentent… le corps nécessite des quantités différentes d’eau, d’autant plus lors d’une activité physique. Outre cela, il est également important d’hydrater sa peau à l’extérieur. Et pour cause, si les températures augmentent petit à petit, il y a parfois de fraîches matinées qui sont présentes. Il est alors essentiel de ne pas oublier d’hydrater sa peau pour éviter de peler et protéger la peau des différentes agressions quotidiennes qu’elle subit en sus.

     

    Le temps des nouvelles habitudes

    Enfin, le printemps est également le moment de revoir ses habitudes ! Que ce soit au niveau du sommeil ou de votre routine « beauté », il est important d’adapter ces paramètres quotidiens à la nouvelle saison qui s’annonce.

    Les journées rallongent et il est tentant de rester éveillé plus tard. Mais pour conserver le rythme de l’horloge biologique, il est primordial de ne pas se coucher trop tard. Le temps de sommeil tout comme sa qualité sont en effet essentiels pour la santé tant mentale que physique. D’ailleurs, une séance d’hypnose dormir mieux peut réduire le risque d’AVC.

    Enfin, pour ce qui est de la peau et de la partie prendre soin de soi, c’est également très important. Après l’hiver, la peau est parfois fragilisée par les températures fraîches et le vent. Adapter les soins de la peau à la texture de celle-ci tout en faisant attention aux « chocs » qu’a subi votre peau se révèle essentiel. Pour que petit à petit elle puisse retrouver toute sa splendeur, écoutez-la ! Je propose des soins du visage comme le massage Kobido en formule qui permet à votre peau de retrouver son éclat et se fermeté.

     

    Pour conclure…

    Le printemps est la saison du renouveau. Nouvelle saison, nouveau départ pour l’année en cours, nouveaux projets… il est temps de se lancer dans la vie à cœur perdu ! Sans oublier toutefois d’adapter ses habitudes aux journées qui rallongent et de toujours prendre soin de soi.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques pour le corps et le visage. Vous pouvez d’ailleurs prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien et au plus proche de la nature, ces quelques jours vous sont entièrement consacrés pour que vous puissiez vous sentir bien.

  • Nettoyer son foie au printemps

    Nettoyer son foie au printemps

    Saison du renouveau et de la mise en place, le printemps est également propice aux détox en tous genres. Mais plus que la détox, il semble particulièrement important de faire attention au foie.  Cet organe n’échappe pas à la règle : il est important de le nettoyer de temps en temps ! Et pour cause, le petit organe du foie représente surtout une source de colère, puisqu’il est directement relié à cette émotion. De même, le bon fonctionnement du foie permet le bon fonctionnement de nombreux autres points du corps humain (les tendons, les ongles, les yeux et le sang). Alors comment prendre soin de son foie au printemps, et surtout le nettoyer de la bonne façon ?

     

    Limportance dun foie en bonne santé

    Le foie est un organe qui, tout comme les autres, a une importance dans le bon fonctionnement du corps humain. Tout étant relié entre le corps et l’esprit, il suffit d’un déséquilibre pour que d’autres douleurs naissent alors dans le corps. Selon le centre hépatobiliaire, le foie gère :

    • La sécrétion de la bile ;
    • La détoxication ;
    • Les sécrétions du corps ;
    • L’équilibre de la circulation ;
    • L’immunité du corps ;
    • Métabolisme des micro et macro nutriments.

    Et pour aller encore plus loin…

     

    Pourquoi nettoyer son foie au printemps ?

    Afin de bien comprendre toute la valeur du foie pour le corps, les émotions et l’esprit, il faut se pencher sur la médecine traditionnelle chinoise. Elle relie effectivement le foie avec :

    • Les tendons ;
    • Les ongles et les yeux ;
    • Le drainage du sang ;
    • La colère ;
    • L’impatience,
    • Le ressentiment
    • L’impulsivité.

    Dans la médecine traditionnelle chinoise, le printemps est directement lié à l’organe du foie ! C’est aussi ce pour quoi le printemps est la saison de la colère et de la mise en place. Il est donc important de nettoyer son foie au printemps. D’une part, cela permet de détoxifier le foie et par extension beaucoup de micro systèmes du corps humain. D’autre part, nettoyer le foie permet également de se libérer des émotions auxquelles il est directement relié et qui dépendent de son bon fonctionnement.

     

    Comment savoir quand il est temps de nettoyer son foie ?

    Si le printemps semble propice au nettoyage du foie, c’est surtout en médecine traditionnelle chinoise que cela s’explique. Le printemps est une saison directement en lien avec cet organe vital, et il est possible de le faire à cette période pour bien recommencer l’année. Toutefois, certaines gênes et douleurs peuvent également vous mettre la puce à l’oreille ; est-il temps de nettoyer votre foie ? Probablement !

    Parmi ces gênes et douleurs, on retrouve notamment :

    • Des douleurs dans les côtes ou la cage thoracique ;
    • Inflammation des yeux (larmes, grattages, vision trouble) ;
    • Migraines et vertiges ;
    • Boule dans la gorge ;
    • Tensions physiques et émotionnelles.

    Si ces signaux apparaissent, il est alors peut-être temps de nettoyer votre foie. Néanmoins, si ces gênes n’apparaissent qu’une seule à la fois, cela peut aussi être lié à d’autres déséquilibres dans le corps, qui n’ont peut-être rien à voir avec le foie. En cas de doute, il est important de consulter.

     

    Comment nettoyer son foie ?

    Le nettoyage du foie passe principalement par l’alimentation. Le processus peut toutefois être accompagné de tisanes. Le nettoyage du foie permet à cet organe de se « reposer » en faisant moins travailler le système digestif, en évitant les graisses et les huiles, mais aussi en éliminant les aliments qui ont un important effet pro-inflammatoire.

    Cela permet également d’équilibrer les hormones dans le corps, d’améliorer les fonctions immunitaires, le transit intestinal ou la digestion. Et plus généralement, le nettoyage du foie permet de fournir des nutriments pour revitaliser l’entièreté du système cellulaire et soutenir les autres organes.

     

    Quels aliments pour nettoyer son foie ?

    Privilégiez les légumes : en particulier les légumes verts qui se révèlent très bons pour le foie. Les légumes amers comme l’endive également. De même, les crucifères  (choux, brocoli, choux de Bruxelles…etc.) sont également de bons alliés lors d’un nettoyage du le foie. De même, les jus, bouillons et autres soupes sont également à préférer lors du processus de nettoyage du foie. Ils permettent en effet de reminéraliser le corps, ce qui encourage les tissus à se débarrasser des toxines et des déchets.

    Outre les légumes, c’est surtout une alimentation biologique ou très naturelle que l’on va mettre en lumière sur les assiettes. Parmi les aliments à privilégier, on retrouve :

    • L’avocat (qui aide à filtrer le foie) ;
    • Le curcuma (améliore la production de bile et maintient le foie en bonne santé) ;
    • L’ail et l’oignon (parfaits pour protéger et nettoyer le foie) ;
    • Les légumes crucifères ;
    • Les céréales complètes (elles auraient des vertus pour le foie et le système cardiaque) ;
    • Les fruits (il est possible de manger des fruits, mais pas tous à la fois. De même, il est préférable d’éviter les jus trop concentrés et de privilégier des jus naturels).

    Enfin, les tisanes sont également un outil important pour le nettoyage du foie. Elles permettent d’hydrater et de purifier le corps dans son ensemble, mais en adaptant certaines plantes, la tisane permet également de détoxifier le foie. Certaines herbes sont d’ailleurs plus efficaces que d’autres. C’est le cas pour :

    • La chlorelle : elle aide à éliminer les métaux lourds de l’organisme ;
    • Le pissenlit : aide le foie dans la digestion et l’élimination des toxines ;
    • Le chardon-marie : cette plante possède à la fois des vertus protectrices pour le foie et stimulatrices pour le fonctionnement de celui-ci ;
    • Le boldo ou le radis noir : encouragent la sécrétion de bile ;
    • Le desmodium : cette plante apporte une aide importante puisqu’elle permet de drainer le foie et aide aussi à régénérer les cellules de celui-ci. Enfin, il stimule le foie sans prendre le risque de l’irriter ;
    • Le curcuma : c’est l’épice attitrée du foie. En effet, le curcuma permet d’assister le foie dans ses fonctions naturelles, tout en améliorant son nettoyage naturellement.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, le nettoyage du foie est parfois un rituel important. Lorsque la nouvelle saison arrive, c’est souvent la meilleure période pour pouvoir se lancer dans un nettoyage du foie complet – parce qu’un foie en bonne santé, c’est un corps en bonne santé ! Grâce à une alimentation adaptée et des herbes accompagnatrices, il sera alors possible de trouver l’équilibre entre se faire plaisir et nettoyer son foie.

    De plus, pour un nettoyage encore plus total, il est possible de faire appel à différents professionnels de la santé.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je vous accueille à Paris pour des soins du corps ou du visage (drainage lymphatique), ou des séances d’hypnose.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De plus, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Au plus porche de la nature, les retraites sont un lieu de bien-être et de découverte de soi, loin des soucis quotidiens.

  • Le printemps, saison de la colère et de la mise en place

    Le printemps, saison de la colère et de la mise en place

    Saison de l’amour, du renouveau et des premiers rayons de soleil, le printemps est pour beaucoup de personnes un réel bonheur. Pourtant, la signification et surtout l’importance de cette saison peut changer du tout au tout selon le point de vue duquel on se place. C’est notamment le cas dans la médecine traditionnelle chinoise, dans laquelle le printemps est synonyme de ressentiment. Alors le printemps est-il la saison de la colère, celle du renouveau ou bien tout à la fois ?

     

    La saison du renouveau

    Dans la majorité des consciences collectives, le printemps est d’abord vu comme la période où la terre « renaît ». Après l’hiver, le froid et la nature figée, ce sont les premières feuilles qui repoussent, les premiers bourgeons qui éclosent. Toutefois, selon les cultures, le printemps peut avoir différentes caractéristiques et être interprété de diverses façons.

     

    La représentation du printemps dans la médecine chinoise

    Dans la médecine chinoise, la vision du printemps diffère de façon importante avec notre représentation de cette saison. Les premières nuances se remarquent rapidement, puisque selon le calendrier chinois, le printemps est la première saison de l’année et démarre le 4 février. C’est le moment de célébrer la reprise agricole.

    Mais en médecine chinoise, tout est relié. Et le printemps ne fait pas exception ! Il est en effet lié directement au foie, qui est lui-même un organe en lien direct avec la colère. Mais plus encore, le foie participe au processus de digestion, est essentiel au bon fonctionnement de l’organisme, de la régulation du sang et du maintien des tendons. Détails qui font de lui un outil essentiel de cette saison, dont il faut veiller à prendre soin. Enfin, le printemps est également en lien avec la vésicule biliaire.

     

    Lexpression de la colère au printemps

    Pour entrer au cœur du sujet, et toujours selon la médecine chinoise, au printemps, le sentiment de colère s’exprimerait de diverses façons. Ressentiment, frustration, irritation ou fureur, la médecine chinoise souligne l’importance de ne pas refouler ces émotions.

    Les risques de ne pas laisser s’exprimer ses émotions :

    • La santé mentale s’en retrouve affectée ;
    • Affectations du foie qui se répercutent sur différents endroits du corps humain ;
    • Maux de tête ;
    • Rougeurs cutanées à divers endroits ;
    • Irritations oculaires ;
    • Diarrhées.

    La méditation est alors un bon moyen de libérer le sentiment de colère. Elle aide à mieux se gérer, et surtout, à pouvoir laisser libre cours à toutes ses émotions si le besoin s’en fait sentir.

    De même, les médecines parallèles sont toutes de très bons moyens de se libérer des ressentiments qui nous habitent parfois. Il est alors possible de se tourner vers une séance d’hypnose à Paris, la sophrologie ou encore l’acupuncture. Dans une optique bienveillante, il s’agit de laisser les choses intenses être libérées pour pouvoir avancer vers votre vie.

     

    Le moment de la mise en place ?

    Le printemps étant directement relié à la colère et aux émotions fortes, il est important de ne pas perdre de vue son équilibre intérieur. En médecine traditionnelle chinoise, il est conseillé d’alors adapter sa nourriture en privilégiant des natures d’aliments neutre et tiède (brocolis, laitue…) et en laissant s’exprimer ses émotions aux moments qui y sont propices.

    Néanmoins, le printemps, saison de renouveau indéniable, peut également être le moyen de se lancer dans de nouveaux projets, comme se mettre à son compte avec l’aide de l’hypnose pour gérer le stress. Le moment opportun. Puisque le printemps amène dans son sillage la promesse des beaux jours et cette impression incroyable de renaissance, il est tout à fait possible de profiter de ce vent de renouveau, de cette bouffée d’air frais pour embarquer sur l’autoroute des projets, de vos envies, de vos rêves…

    Tout comme la terre est préparée et soignée après l’hiver, il est important de prendre soin de soi. De cette façon, il sera plus simple ensuite de semer les graines qui vous mèneront vers de nouveaux projets et objectifs. Parce que nous sommes aussi des éléments de la nature, il faut parfois prendre exemple sur elle. Alors foncez ! Investissez-vous dans des activités que vous avez toujours voulu faire ; investissez en vous, misez sur vous pour vos projets importants ; au printemps, vous serez capables de tout !

     

    La force du printemps

    Dans la médecine traditionnelle chinoise, la force qu’insuffle le printemps est aisément justifiée. Cette saison insuffle un air de renouveau, annonce les beaux jours futurs et se célèbrent à travers le renouveau constant. Débuter un projet ou s’investir dans une nouvelle activité est alors de saison !

    La force du printemps, c’est pouvoir s’engager sur de nouveaux chemins en étant accompagné de la nature. La colère est nettoyée par les sentiments qui s’expriment, les organes le sont par une alimentation adaptée. Tout est alors mis en place pour pouvoir débuter une nouvelle année dans les meilleures conditions.

    L’énergie de la vie étincelle tout autour de vous. Saisissez-là, imprégnez-vous, et profitez de tout ce qu’elle apporte dans son sillage. Si pour la nature, elle est signe de renaissance, de réveil, voire d’éveil, pour l’être humain, le printemps est également synonyme d’une nouvelle période, d’une saison propice à la nouveauté et au changement.

     

    Pour conclure

    Dans la médecine chinoise, le printemps est donc à la fois perçu comme une saison salvatrice et bienfaisante. Tant sur la terre que sur les êtres, il apporte une énergie nouvelle. Il est relié à des émotions puissantes faisant de lui l’une des saisons les plus propices aux changements. Plus globalement, le printemps est une époque parfaite pour la mise en place de nouveaux projets, que ceux-ci soient sur le court, le moyen ou le long terme.

    Annonciateur de journées plus longues et de plus beaux jours… n’hésitez plus et laissez-vous entraîner par ses bienfaits, son énergie et sa force !

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Exerçant à Paris, je vous propose de nombreux soins thérapeutiques, tels que le massage drainage lymphatique disponible en carte cadeaux ou le drainage du visage.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    J’organise également des retraites bien-être, afin de se (re)découvrir loin des soucis du quotidien.

  • Les étapes pour se mettre à son compte

    Les étapes pour se mettre à son compte

    Avoir un projet professionnel qui vous trotte dans la tête depuis plusieurs années et décider de le faire enfin naître ? C’est possible ! Tout comme il est possible de se lancer du jour au lendemain dans une activité qui vous passionne, sans forcément savoir avant de l’avoir expérimenté si cela va fonctionner ou non.  Se mettre à son compte, monter sa propre boîte, être son propre patron… peu importe comment vous en parlerez une fois que ce sera accompli. Se mettre à son compte peut être une situation particulièrement stressant, il existe de l’hypnose pour gérer le stress pour vous aider à le vaincre. Voici les étapes qui vous aideront à vous mettre à votre compte  !

     

     

    Lidée originelle

    Cela peut sembler évident, mais il est important de mûrir le projet avant de vous lancer dans sa réalisation. Certaines personnes ont tendance à accumuler les idées sans jamais rien en faire, tout comme d’autres ont la volonté de réaliser sans pour autant avoir beaucoup d’idées. Aucun reproche néanmoins, il y a des périodes propices à la création et d’autres, à la réalisation !

    Les idées viennent parfois rapidement, avec logique et sont d’une précision sans failles. Mais il ne faut alors pas hésiter à creuser un peu plus pour tenter de vous projeter et ainsi établir si cette idée peut devenir ou non une activité viable sur le long terme.

    Enfin, il est essentiel que vous vous projetiez dans ce projet également. Imaginer une entreprise, quelque soit ce qu’elle vend, c’est assez accessible. Mais s’imaginer à la tête de cette entreprise nécessite d’abolir quelques-unes de ses croyances limitantes, et surtout, de se parer d’une volonté à toute épreuve !

     

    Choisir le bon statut

    Il est important de bien se renseigner sur les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Pour le statut de l’entreprise, chacun permet des avantages et porte avec lui certaines responsabilités éthiques. Serez-vous seul dans cette entreprise ? Aurez-vous quelques employés ? Déjà, le statut recommandé diffère selon ces critères.

    De même, selon l’activité que vous exercerez (vente de biens, ou de services, par exemple), les statuts changent en fonction du revenu annuel supposé. Il est donc primordial de prendre le temps de regarder, s’informer, poser des questions à des professionnels (un expert-comptable pourra vous aider notamment concernant les revenus annuels).

    C’est une étape importante car elle rend concrète la création de votre entreprise, aussi il est essentiel de ne négliger aucun détail et d’essayer de prévoir au mieux. Il est à noter qu’il est tout à fait possible de changer de statut en conservant la même entreprise. Cela se vaut notamment pour une expansion de l’entreprise, ou si les revenus annuels ne rentrent plus dans la limite que le statut juridique de l’entreprise permet.

     

    Et la bonne fiscalité

    Le choix de la fiscalité est aussi une étape importante. C’est ce qui vous permettra de vous y retrouver. Chaque statut juridique porte dans son sillage différents avantages liés à la fiscalité de votre entreprise. Par exemple, le régime de micro-entreprise offre la possibilité d’un versement libératoire de l’impôt sur le revenu. Autrement dit, chaque trimestre, il faut « payer ses impôts » selon les revenus qui ont été perçus. Cela allège dans une certaine mesure la charge administrative.

    D’autres statuts permettent également d’autres avantages, selon notamment le nombre d’employés, la présence d’un associé ou non dans l’entreprise, ou les biens qui sont vendus. Là encore, il est important de bien se renseigner avant d’établir la fiscalité de votre entreprise, en prenant en compte le maximum d’informations dont vous disposez pour qu’à l’avenir, la fiscalité ne soit pas une tare mais bel et bien une simple étape dans la gestion de votre entreprise –et que ça ne prenne pas trop de temps !

    Monter sa boîte sans avoir de l’argent de côté c’est réalisable, cela est plus difficile mais pas impossible, il faut croire en soi ! Il est possible de réaliser des séances d’hypnose pour la confiance en soi afin que aucun défi ne vous semble impossible.

     

    Du rêve au réel ! 

    Il est enfin temps de vous lancer. Finis les recherches et les nombreux doutes qui ont pu naître, il est temps de vous lancer « pour de vrai » sur le marché des auto-entrepreneurs ! Et pour cela, rien de plus simple que de remplir un formulaire afin d’immatriculer votre entreprise.

    Ensuite, il est possible d’ouvrir un compte bancaire professionnel afin de faciliter la gestion de la comptabilité –surtout si vous décidez de vous en charger vous-même ! De même, cela sera plus simple afin de noter les charges et les revenus, tant pour les impôts que pour ne pas perdre trop de temps dans cette tache qui s’avère parfois plus longue que prévu.

    Si votre entreprise le nécessite il faudra aussi trouver des locaux adaptés, qui abriteront votre société (et de possibles employés au besoin, selon le statut et la nature de votre activité). Cela entraîne des frais supplémentaires (loyer), mais nécessite également de s’y prendre suffisamment à l’avance pour pouvoir parer les locaux d’une enseigne commerciale et faire des travaux si cela s’impose.

    Aussi, il est important de trouver une assurance pour votre entreprise, et ce, peu importe le statut ou la nature de l’activité de celle-ci. En effet, l’assurance doit couvrir tout ce que vous utilisez dans le cadre de votre activité (voiture, ordinateurs, locaux, outils…etc.). Il est important d’être assuré au cas où il y ait un problème, mais également en cas de litige avec un client (mais on ne vous souhaite pas d’en avoir besoin !).

    Enfin, il ne vous reste plus qu’à créer votre site internet et vous faire de la publicité afin que votre activité démarre. Il est également important de mettre au point vos documents commerciaux, comme des factures, des devis, qui permettront une gestion complète, cohérente et surtout facilitée si lesdits documents sont créés en amont.

     

     

    Ainsi, se mettre à son compte peut effrayer plus d’une personne. Mais  malgré toutes ces étapes qui peuvent paraître intimidantes ou insurmontables,  vous avez la force en vous pour vous lancer. Comme dans beaucoup de situations, le plus difficile, c’est de faire le premier pas ! Très rapidement, le plaisir, la fierté personnelle, l’envie de vous améliorer ou d’apprendre de nouvelles choses surplombera les doutes et les hésitations.

    Se mettre à son compte est une aventure. Et comme toutes les aventures, parfois, c’est naturel et parfois, il faut se motiver pour pouvoir se lancer. Mais ce qui est certain, c’est que créer sa propre entreprise est une expérience enrichissante, tant sur le plan humain que sur le plan psychologique. Alors n’hésitez pas plus longtemps, foncez !

    Moi-même, je me suis mise à compte. L’aventure n’a pas été toujours simple et peuplée de calme, mais je suis fière d’être aujourd’hui une hypnothérapeute et experte en neurosciences qui s’épanouit. Chaque jour, j’apprends, je rencontre, j’évolue.

    Je propose d’ailleurs des séances d’hypnothérapie ainsi que des soins thérapeutiques pour le corps et le visage. Pour prendre rendez-vous, vous pouvez passer par Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise également des retraites bien-être, au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien. Cela peut permettre de faire le point sur soi tout autant que sur sa situation.

  • Dormir mieux pour réduire les risques d’AVC

    Dormir mieux pour réduire les risques d’AVC

    Qui ne s’est jamais senti fatigué à peine quelques minutes après le réveil ? La fatigue est parfois joueuse, et échappe aux nuits difficiles. Mais si les médecins recommandent des nuits d’environ huit heures pour une personne adulte, il se pourrait bien que certaines études établissent un lien entre le temps de sommeil et le risque d’AVC. De même, l’heure du coucher aurait également une influence sur la qualité du sommeil.

     

    Ce qui favorise les risques dAVC

    La fatigue serait l’un des risques principaux d’AVC. Et plus exactement, c’est car la fatigue influencerait directement les taux de « régulateurs physiologiques essentiels » selon le professeur Christopher De Souza. Plus particulièrement, ce sont les micro-ARN, capables d’affecter de nombreux gènes, qui en seraient à l’origine.

    Outre la fatigue, de nombreux autres paramètres peuvent augmenter les risques d’AVC, comme l’hypertension, la sédentarité, le taux de cholestérol, une mauvaise alimentation ou le tabagisme. Le diabète, la consommation d’alcool ainsi que le stress sont également des facteurs non-négligeables.

    Les risques d’AVC sont ainsi augmentés selon divers modes de vie ou maladies existantes. Le sommeil, s’il est bon et réparateur, peut diminuer ces risques de manière significative. Alors comment cela fonctionne ? Et de quelle manière est-il possible d’optimiser son sommeil au quotidien ?

     

    Un bon sommeil pour réduire ces risques

    Les études se multiplient à propos des bienfaits du sommeil. Mais encore faut-il avoir un « bon sommeil ». Si pour certaines personnes, cela se traduit à travers un certain nombre d’heures de sommeil, pour d’autres, il s’agira de ne pas être interrompu par des réveils incongrus ou des rêves effrayants. Les scientifiques estiment quant à eux qu’un sommeil est bon « lorsqu’au moins 85% du temps total passé dans le lit est consacré au sommeil », selon un article de santé magazine.

    Pour autant, la grande majorité des gens ne peut pas dire qu’elle dort bien. Entre le stress, les excès de café, l’environnement ou les soucis qui s’agitent sous le crâne quand on n’aspire qu’à du calme, difficile de s’y retrouver et de dormir comme on le voudrait ! Aller voir un hypnothérapeute à Paris peut vous aider à vaincre vos soucis.

    Malgré ces études, donc, et les nombreux conseils qui circulent pour améliorer le sommeil, il demeure souvent un point que l’on oublie de mentionner : si ne pas assez dormir favoriserait les risques de maladies cardiovasculaires, le fait de trop dormir aurait les mêmes effets. Selon les professionnels, il faudrait entre 7 et 8 heures de sommeil par nuit. Au-dessous, le corps n’aurait pas le temps d’accomplir son travail régénérateur ; au-delà de ce nombre d’heures, le sommeil peut alors être révélateur d’une inefficacité sur la santé et donc, qu’il est important de se faire soigner.

    Toutefois, ces observations sont à nuancer. Et pour cause, si le sommeil peut directement influer sur l’état de santé général d’un individu, il est impossible de savoir à quel point. De même, certaines personnes ont naturellement besoin de plus de huit heures de sommeil, tout comme six heures suffisent à d’autres. Cela rajoute une complexité indéniable quant à l’importance exacte du sommeil, bien que ladite importance –voire nécessité- ne soit nullement remise en cause.

    Enfin, le fait que certaines personnes voient leur sommeil être perturbé par des insomnies, de l’apnée, ou encore des rêves qui reflètent un traumatisme ne permettent pas encore aux données enregistrées d’être suffisamment représentatives.

    Ce qu’il faut retenir, néanmoins, c’est le besoin implacable de dormir que possède l’être humain. Au-delà d’une bonne hygiène de vie, le sommeil est également l’un des besoins primaires que l’on possède tous. Alors comment le favoriser au maximum afin qu’il éloigne au plus possible les risques de maladies cardiovasculaires et en particulier les AVC ?

     

    Des heures de coucher qui ont aussi leur importance

    En se basant sur le rythme circadien de l’être humain, de nombreuses études ont suivi un éventail de personnes pour surveiller leur sommeil. C’est notamment le cas de l’étude réalisée par la Société Européenne de Cardiologie, qui a révélé un lien entre l’heure d’endormissement et le risque de maladies cardiovasculaires. Parmi les résultats obtenus, les personnes ayant l’habitude de s’endormir après minuit ont davantage eu de maladies cardiaques (AVC, crise cardiaque, autres  cardiopathies…etc.) que celles ayant l’habitude de s’endormir entre 22 heures et 23 heures.

    Alors comment expliquer ce phénomène ?

    Cela aurait certainement un lien avec la qualité du sommeil qui se manifeste. Après minuit, le sommeil vient plus lentement, décalant ainsi les phases de sommeil et leurs vertus pour le corps humain. En effet, se coucher à des heures avant minuit favoriserait un sommeil récupérateur et une meilleure santé, comme l’explique  mon article pourquoi les heures récupératrices de sommeil sont celles avant minuit ?

    De même, des heures de sommeil trop irrégulières ou totalement décalées par rapport au cycle circadien du corps humain seraient à l’origine de nombreux effets sur celui-ci. Au niveau des maladies cardiovasculaires, rien n’a été pleinement prouvé, pourtant, beaucoup de personnes travaillant de nuit, par exemple, souffrent de certains maux plus facilement. Il est possible d’en apprendre davantage dans l’un de mes autres articles : L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.

     

    Ainsi, il est possible d’établir une corrélation entre le manque de sommeil –ou les effets d’un mauvais sommeil sur la santé- et les maladies cardiovasculaires. Néanmoins, à ce jour, aucune étude précise ne relate la nature du lien entre ces deux faits mis à part le taux de micro-ARN dans le corps. Ce qui est certain, c’est que le sommeil est l’un des besoins les plus importants de l’être humain, et cela n’est pas sans raison. Reposant, il permet aux fonctions du cerveau de se réguler et aux cellules du corps humain de se régénérer, permettant entre autre au système immunitaire de fonctionner correctement.

    Le sommeil est donc très important. Il est d’ailleurs possible de mettre en place des habitudes, des « rituels » avant de dormir afin de favoriser un sommeil le plus optimal et réparateur possible. Mon article « Comment bien dormir ? » vous en dira plus !

    Toutefois, si certaines raisons conscientes ou inconscientes empêchent votre sommeil de se manifester correctement, il est important de ne pas attendre trop longtemps. En effet, sur le long terme, le manque de sommeil peut avoir des répercussions plus importantes que de petites pertes de mémoires. Consulter un spécialiste du sommeil peut se révéler être d’une grande aide. De même, il y a également des médecines parallèles qui peuvent s’avérer être des aides au quotidien, comme des séances d’hypnose du sommeil, qui peut lever le voile sur les causes qui tourmentent vos nuits.

     

    Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques pour le corps ou le visage.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    De même, j’organise des retraites bien-être tout au long de l’année. Offrant la possibilité de s’éloigner du quotidien et des soucis parfois trop présents, se retrouver au plus proche de la nature pour se (re)découvrir intérieurement peut parfois être la solution.

  • Une vie de célibataire (à vie), c’est OK !

    Une vie de célibataire (à vie), c’est OK !

    Le célibat a toujours été teinté d’une connotation péjorative lorsqu’il s’agissait du célibat d’une femme. Pourtant, un nombre croissant d’entre elles font le choix de le rester. Alors où en est-on face au célibat ? Pourquoi est-il parfois si mal vécu et d’autres fois, pleinement apprécié ?

     

    Etre célibataire, quest-ce que ça veut dire ?

    Il y encore quelques années, le mot « célibat » faisait irrémédiablement penser à la plus célèbre des célibataires de la pop culture : Bridget Jones. Désespérée, courant après l’amour et les hommes, et pleurant en mangeant des pots de glace, l’image de la femme célibataire était explicitement péjorative. Au-delà de la culture, c’est surtout le reflet d’une société patriarcale et sexiste qui s’exprime en résumant la situation de la femme célibataire au marasme et à la tristesse.

    Depuis quelques années, les normes semblent bouger, et la représentation des femmes célibataires aussi. Séries, films, il est désormais possible de voir de plus en plus de femmes célibataires qui sont heureuses de l’être, et le célèbrent ! Celles-ci ne courent plus après les hommes mais vivent leur vie en totale indépendance.

    Mais alors, être célibataire, qu’est-ce que ça veut dire exactement ?

    Si à une certaine époque, être célibataire n’était que le contraire de « être marié », aujourd’hui, les choses sont légèrement plus complexes. Et pour cause, la société est régie par des cases dans lesquelles il faut s’établir.

    Par ailleurs, il est admis d’avoir ce que l’on nomme un « statut marital ». Autrement dit, il s’agit de définir selon des cases prédéfinies (célibataire, marié.e, divorcé.e ou veuf.ve) dans quelle situation conjugale l’on se trouve. Mais les choses se compliquent drastiquement lorsqu’il s’agit de la situation d’une femme célibataire, puisqu’alors le mot ne désigne plus seulement un statut marital, mais également une situation personnelle et émotionnelle qui, le plus souvent, paraît transitoire aux yeux des proches.

    « Alors, les amours ? »

    «  N’as-tu trouvé personne ? »

    Aujourd’hui encore, il est difficilement admissible pour une femme de se dire célibataire par choix. La pression sociale et les injonctions familiales font peser sur les épaules des femmes de nombreuses exigences telles que se marier avant trente ans et fonder une famille.

    Alors pour quelles raisons rester célibataire ?

     

    Y a-t-il des raisons de rester célibataire ?

    Comme pour beaucoup de domaines, les raisons qui motivent une personne à faire un choix peuvent être multiples et variées. Et le célibat est bel et bien un choix ! Même s’il existe de nombreuses personnes qui sont prêtes à s’investir dans une relation, pour beaucoup d’autres (plus invisibilisées), être célibataire relève du choix et non d’une tare à arborer honteusement. Cette image de célibataire désespérée commençant doucement à se briser permet également de mieux vivre son célibat.

    Car dans les consciences collectives, le célibat est une période transitoire, plaçant le couple comme fin en soi de la vie sentimentale. Or, pour les femmes davantage que pour les hommes, le célibat est parfois un choix, et c’est tout à fait valide !

    Pour autant, de nombreuses raisons peuvent motiver une femme à rester célibataire. Et s’il en existe autant que de femmes et de situations différentes, il est possible de compter parmi les raisons les plus populaires un besoin de liberté et d’indépendance, ainsi qu’une préférence personnelle que l’on retrouve chez beaucoup. Autre raison, l’envie de retrouver l’estime de soi avec de l’hypnose après une rupture.

     

    Rester célibataire, cest être en opposition au couple ?

    Si en d’autres temps, les célibataires étaient un peu perçus comme les « bêtes noires » des groupes sociaux, de nos jours, le célibat est globalement plus accepté dans la société. Ainsi, les femmes célibataires n’apparaissent plus comme des femmes désespérées en mal d’amour, mais comme des personnes qui ont fait le choix de rester seule pour une période indéterminée.

    Et c’est peut-être ici que réside la première « opposition ». Si les romantiques veulent que le couple dure toujours, le célibat, lui, est encore vu comme une période transitoire, une situation temporaire. Pourtant, nombreuses sont les femmes qui ont fait le choix de rester seules toute leur vie (plus récemment Jennifer Anniston, la célibataire la plus célèbre du monde !). Et cela ne les a ni empêché d’avoir une vie intime, ni une carrière, ni même d’être épanouies au quotidien !

    Le couple impose certaines exigences, certaines situations que le célibat permet d’éviter. Loin d’être une fuite pour autant, la société évolue de telle sorte que la vision du couple se transforme petit à petit (l’émergence des couples dans le polyamour, par exemple) ; alors pourquoi pas le célibat ?

    Car après tout, être célibataire, ce n’est plus être un mouton noir ou une paria ! C’est faire le choix d’être seule dans certaines tranches du quotidien, ce qui n’empêche nullement d’avoir de nombreux amis, de la famille, en bref, un entourage qui vous aime et tient à vous ! Si le célibat est parfois choisi comme rejet du couple, il n’en est pas pour autant l’ennemi numéro 1.

     

    Pourquoi rester célibataire ?

    La plupart des femmes célibataires s’accordent à dire que le célibat leur permet une plus grande liberté. Et pour cause, si le couple veut que l’on partage les moments à deux, selon les relations et les déséquilibres qui existent dans le couple, cela peut rapidement devenir oppressant. L’impression de rendre des comptes à quelqu’un disparaît et un sentiment de liberté un peu plus important se fait ressentir.

    Beaucoup d’autres femmes préfèrent rester célibataire, notamment après qu’une relation se soit mal passée. Il ne s’agit pas d’une rupture difficile, mais bel et bien d’une relation abusive. Ainsi, elles préfèrent rester seules qu’être mal accompagnées, ce qui leur permet aussi de se découvrir et de se reconstruire. Elles sont leur propre priorité.

    Il existe également des personnes qui, lorsqu’elles sont en couple, ont cette impression délicate de jouer un rôle. De ne pas être elles-mêmes. Elles étouffent, se perdent, et cela peut prendre des années pour se retrouver ensuite. La vie en étant seule apparaît alors comme une solution viable pour être épanouie.

    Quelques soient les raisons qui font que certaines femmes décident de rester célibataires, le fait est que le couple est souvent une charge pour la femme. Charge mentale, émotionnelle, sexuelle… les injonctions sociétales à être « la parfaite épouse » sont encore bien ancrée chez certaines personnes, et le célibat peut alors être une voie alternative au sexisme ordinaire… en plus d’être un choix éclairé !

     

    Ainsi, rester célibataire tout au long de sa vie est un choix qui est de moins en moins considéré comme subversif. Même si certaines personnes ont encore du mal à le voir comme quelque chose de complètement positif lorsqu’il est décidé et choisi volontairement, le célibat, lui, reste cool ! Que ce soit pour une période d’un mois, d’un an ou toute la vie, être célibataire ne veut plus dire être seule et désespérée, mais plutôt être seule et aussi heureuse qu’en couple !

     

    Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.

    Que vous soyez célibataire ou en couple, je propose des soins thérapeutiques pour le corps mais aussi pour le visage, comme des séances de drainage lymphatique à Paris.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Par ailleurs, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature qui permettent de se (re)découvrir. Que vous soyez heureuses ou sortiez d’une rupture, prendre quelques jours loin du quotidien étouffant peut s’avérer bénéfique.

     

  • La force de la nature sur le bien-être

    La force de la nature sur le bien-être

    Qui n’a jamais ressenti un bien-être immédiat en se promenant en forêt, en campagne ou simplement en se trouvant proche de la nature ? Depuis quelques années, les psychologues et les scientifiques étudient les réels bienfaits de la nature sur la santé physique et mentale des êtres humains. Et si finalement, elle avait un impact bien plus fort que ce que l’on pourrait penser ?

     

    La nature et sa force parfois insoupçonnée

    Il y a des millions d’années, la nature était la maison des premiers êtres vivants. Pas d’immeubles, mais des arbres ; pas de magasins de proximité, mais une étendue de flore incroyable ; pas de routes en béton, mais des chemins qu’il fallait voir au travers des formes de Dame Nature.

    De nos jours, l’on apprécie d’autant plus la nature qu’elle se raréfie, surtout dans les grandes villes. S’il y a bien de nombreux parcs, rien ne vaut la nature plus sauvage et moins disciplinée par l’Homme ! Qu’il s’agisse d’un week-end à la campagne, d’une marche en forêt ou simplement de l’arrivée des premiers rayons de soleil printaniers, ces petites choses qui paraissent anodines font parfois toute la différence, à commencer par leur impact sur le mental des personnes.

    Et pour cause, la présence de la nature aurait de nombreux bienfaits sur le corps et l’esprit des individus qui prennent le temps d’aller à sa rencontre. Depuis quelques années, de nombreux professionnels de santé se sont arrêtés sur le cas de la nature et les bienfaits qu’elle comporte afin de favoriser une vie équilibrée.

    Alors quels sont les bienfaits de la nature ? Et qu’est-ce qui explique les bienfaits que la nature possède sur nos êtres ?

     

    Les bienfaits de la nature

    De nos jours, la nature est d’autant plus appréciée qu’elle permet de se « ressourcer ». Que l’on vive au cœur d’une grande métropole ou d’un bourg dans les campagnes, la nature possède de nombreux bienfaits qu’il est plaisant de ressentir.

    La nature diminue le stress :

    Pour rappel, le stress qu’une personne ressent est inhérent au taux de cortisol, une petite hormone présente dans le corps humain. Au contact de la nature, cette hormone se calme, et influe alors directement sur le stress qui est parfois étouffant. Inconsciemment, le corps s’harmonise avec l’environnement dans lequel il se trouve, et loin de la circulation, de la ville et des tracas du quotidien, alors le corps et l’esprit se reposent, les muscles se détendent et l’esprit  « respire » autant que les poumons loin la pollution !

    Au sein des grandes villes, éloignées de verdure, il est également possible de réaliser de l’hypnose contre le stress à Paris.

    Un corps en bonne santé :

    Autre bienfait non négligeable, la nature est composée de nombreuses plantes, arbres et fleurs qui rejettent de l’oxygène. Autrement dit, la nature permet de filtrer l’air que nous respirons au quotidien. Lorsque l’on vit en ville, l’on peut parfois se rendre compte plus facilement de la pollution qui y existe. Dans la nature, l’air est plus pur, et cela, que l’on sente ou non la différence. Ainsi, au contact de la nature, le corps est plus susceptible de se détendre dans sa totalité, réduisant ainsi le stress et permettant d’apaiser certains maux comme les migraines, la douleur physique, et de diminuer aussi la pression artérielle, par exemple.

    Les émotions entrent en symbiose :

    Autre vertu qu’apporte la nature, c’est l’équilibre mental qu’elle provoque. Et pour cause, au contact de la nature, l’esprit s’apaise et les émotions avec lui. Outre le fait qu’elle soit une échappatoire magnifique et agréable à la vie urbaine, la nature et le contact avec elle provoquent tous deux un bien –être général, et ce, peu importe l’émotion qui prédominait lorsque vous êtes arrivé à la rencontre de la nature.

    Sentiment de bonheur :

    Dans la continuité des choses, si l’esprit et le corps parviennent à s’apaiser, le contact de la nature peut encore aller plus loin et provoquer chez certains un sentiment de bonheur pur. Et il y a de quoi ! La nature est souvent synonyme de liberté, d’indépendance, de joie, de possibilités… etc. En bref, tout ce qui peut rendre heureux ceux qui cherchent à rompre avec un quotidien terne et emprisonnant !

    Ainsi, les contacts avec la nature, l’immersion dans ses feuillages ou les promenades dans ce qu’elle offre sont vivement recommandées. Et pour cause, elle porte en elle –au-delà des fleurs au bout des branches- de nombreuses vertus qui permettent d’apaiser tout aussi bien le corps, que l’esprit ou les émotions.

     

    Explication des bienfaits de la nature sur lêtre humain

    Afin de creuser encore un peu, il faut comprendre que la nature, dans sa forme la plus brute et sauvage, possède de nombreux bienfaits. Elle trouve son équilibre, s’adapte aux climats, naît et se repose au fil des saisons… en bref, elle est un système indépendant. Un peu comme le corps humain, finalement !

    Et si les deux sont comparables, le lien entre la nature et la santé de l’être humain n’a pas toujours été évident. En effet, le débat reliant les deux n’a émergé qu’il y a quelques années, et il semble désormais de plus en plus acquis que la nature possède un impact bénéfique sur la santé physique, mentale et émotionnelle de l’être humain.

    Ce lien serait tout simplement dû à un besoin de côtoyer un écosystème dont nous dépendons. En effet, bien que la nature soit un bien commun (elle n’appartient à personne en particulier), c’est elle qui est à l’origine de notre condition vivante. Et pour cause, elle est responsable, dans son sens le plus large, de la flore et de la faune qui servent à nous nourrir, par exemple. Inconsciemment, l’être humain peut alors ressentir un lien particulier avec elle, plus ou moins prononcé d’ailleurs, qui l’encouragera à s’y rendre plus ou moins souvent.

    Ainsi, certaines personnes ne peuvent pas vivre en ville car celles-ci ne présentent pas assez de nature. D’autres, au contraire, ne ressentent que très rarement le besoin de se rendre dans la nature. C’est dans ce que représente la nature pour l’Homme qui le pousse à le côtoyer.

    Enfin, les bienfaits provoqués par la nature sur la santé de l’être humain peuvent également être expliqués par la source de vie qu’elle représente. On se sent à sa place, protégé, et tout le corps se détend.

    De quoi voir la vie en vert !

     

    La nature a donc de nombreux bienfaits sur l’être humain. Forte et indomptable, ses paysages, ses plages, ses secrets sous les feuillages… elle représente une échappatoire au quotidien. Mais plus profondément encore, elle symbolise la vie, puisque la majorité des aliments et des matériaux que l’on utilise provient d’elle. Abondante et insaisissable, elle est, à divers degrés, essentielle à chaque personne pour trouver une certaine forme d’équilibre.

    De nos jours, de nombreuses thérapies en lien avec la nature émergent. Plus généralement, l’éco-thérapie est de plus en plus populaire, devant les résultats obtenus. De mon côté, j’organise des retraites bien-être, au plus proche de la nature, et loin des rythmes effrénés du quotidien. De quoi respirer et refaire le plein de belle énergie !

    Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences proposant de l’hypnothérapie à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps et du visage, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

  • Explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien

    Explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien

    Le système nerveux est l’un des fonctionnements les plus alambiqués du corps humain. Mais que sait-on vraiment de lui, finalement ? Oui, il arrive de se cogner le nerf du coude dans une poignée de porte ou celui du genou contre le pied d’une table. Oui, il arrive de se sentir avoir « les nerfs à vif », mais excepté cette brève douleur ou cette expression, on ne connaît presque rien de ce système dans son entièreté. Zoom sur le fonctionnement du système nerveux, et ce qui lui fait du bien.

     

    Quest-ce que le système nerveux ?

    Il est le plus complexe et le plus organisé du corps humain. Récepteur de nombreuses informations, il est responsable des actions du corps en interne comme en externe. Autrement dit, c’est le système nerveux qui contrôle nos mouvements, qu’il s’agisse de lever la main pour saluer un ami ou bien de mettre en mouvement un muscle.

    Tous ces gestes, toutes ces commandes internes sont possibles grâce à la moelle épinière. C’est elle qui sert de messagère entre le système nerveux et les actions du corps humain. Les informations, quant à elles, sont directement reçues via les cinq sens, et c’est le cerveau qui les traite en premier lieu.

    On distingue alors deux « sous-systèmes » : le premier se composant de la moelle épinière et du cerveau est appelé système nerveux central (SNC) ; le second qui se constitue des nerfs et des organes sensoriels est appelé système nerveux périphérique (SNP).

    Mais plus généralement, c’est le système nerveux autonome ou neurovégétatif qui complète le système nerveux central. Ce dernier est en charge de la régulation de tous les processus qui se produisent dans le corps de manière automatique. Et il se subdivise lui-même en deux parties :

    • Le système nerveux parasympathique ;
    • Le système nerveux sympathique.

    Ces deux systèmes contrôlent entièrement les impacts du stress sur le corps humain, ainsi que la relaxation de celui-ci. Plus exactement, le système nerveux parasympathique est directement lié aux fonctions involontaires de l’organisme, et a pour mission de réguler les fonctions neurologiques inconscientes. Autrement dit, il s’occupe de tempérer et ralentir les fonctions de l’organisme pour économiser de l’énergie.

    Ainsi, le système nerveux du corps humain, s’il est le plus complet et le mieux organisé, est également l’un des systèmes du corps les plus compliqués à cerner et comprendre. Il s’étale à travers toute l’anatomie de l’individu, sillonnant les plus infimes parties. C’est le système nerveux qui est responsable de la coordination des actions avec l’environnement. Tous les êtres vivants possédant un système nerveux sont appelés « eumétazoaires ».

     

    Les liens différents entre les organes et le système nerveux  

    Le système nerveux régule et ordonne les actions du corps. Et pour cela, il est en lien direct avec de nombreux organes. Si le système nerveux central est en lien direct avec le cerveau et la moelle épinière, le système nerveux périphérique avec les organes sensoriels, c’est le système nerveux parasympathique qui semble aider à la régulation de nombreuses fonctions corporelles. Parmi elles :

    • Le cœur, sur lequel il agit directement via la fréquence cardiaque, la respiration et la tension artérielle, qu’il peut réguler.
    • Les poumons, parce qu’il est lié à la contraction des bronchiques et la sécrétion des mucus.
    • Le tube digestif, car en effet, le système nerveux parasympathique en augmente la motricité, permet la relaxation des sphincters et stimule les sécrétions digestives.
    • Il est également responsable de la contraction de la vessie.
    • Près des yeux, il est directement lié la contraction des pupilles, appelée myosis.
    • En lien avec les organes génitaux, c’est aussi le système nerveux parasympathique qui aide l’érection.
    • Enfin, directement relié aux glandes, le système nerveux parasympathique influence la sécrétion des glandes salivaires et sudoripares; mais aussi la stimulation des sécrétions dans le pancréas exocrine ; ainsi que la stimulation d’insuline dans le pancréas endocrine.

    Plus généralement, les deux étant liés puisqu’ils s’équilibrent et équilibrent le corps, les systèmes nerveux parasympathiques et sympathiques agissent sur beaucoup d’organes différents. Cela permet de nombreuses actions de leur part pour tenter de réguler notre corps au mieux, telles que :

    • La pression artérielle ;
    • La fréquence cardiaque ;
    • Le métabolisme ;
    • L’équilibre hydrique ;
    • La miction,
    • La température corporelle ;
    • La défécation ;
    • La réponse sexuelle ;
    • Le poids ;
    • La digestion ;
    • La sudation.

    Ainsi, tous les systèmes nerveux présents dans le corps ont une fonction bien spécifique qui permet à l’ensemble du corps de fonctionner. Chacun sa mission, chacun sa place, et le corps humain trouve une certain équilibre. Les systèmes parasympathique et sympathique, au même titre que le système nerveux central ou périphérique ont une utilité indéniable. C’est aussi pourquoi il faut y faire attention : en cas de déséquilibre, cela peut avoir des répercussions importantes sur le corps humain.

     

    Comment chouchouter le système nerveux 

    Vous l’aurez compris, sans le système nerveux, le corps ne serait rien ! Le système nerveux, au final, c’est la capacité du corps à percevoir, analyser, exécuter et s’adapter. Sans ces quatre facultés, la vie serait beaucoup plus compliquée… et c’est pour cela qu’il est important de prendre soin de son système nerveux, tout comme de sa santé mentale ou physique !

    D’un point de vue strictement neurologique, il est possible de stimuler le système nerveux à travers de petits exercices qui permettent de mettre en action les différents muscles ou les articulations. Car si jamais le système nerveux s’essouffle trop rapidement ou bien qu’un choc ne lui permet plus de fonctionner comme il le devrait, cela ne reste pas sans conséquences. On déplore alors des exécutions d’actions incorrectes, voire des maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…etc.).

    Mais ce n’est pas le seul moyen de chouchouter le système nerveux. Et pour cause, l’un des grands éléments qui bouleverse le plus souvent le système nerveux, causant différents troubles dans le corps par la suite, c’est le stress. Et pour réduire le stress, il existe toutes sortes de solutions :

    • Les médecines parallèles (sophrologie, hypnose, méditation…) ;
    • Certains aliments (noix, épinards, cacao…etc.) ;
    • Certains minéraux (magnésium, zinc, calcium, potassium…etc.) ;
    • Certaines vitamines (vitamines B1, B2, B6 et B12, C, E… etc.).

    Ces petits tips permettent de réduire le stress au quotidien, et cela permet également d’adapter ces méthodes assez simples à mettre en place dans les habitudes avec des exercices qui vous aideront à faire de mieux en mieux face au stress, et surtout à mieux le gérer. À terme, il s’agira de ne plus laisser le stress impacter le système nerveux !

     

    Ainsi, le système nerveux est assez complexe à expliquer. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il gère une grande partie –pour ne pas dire la majorité- des actions que le corps est capable d’accomplir, en interne ou en externe. Il est important d’en prendre soin, pour qu’il puisse, en retour, prendre soin de notre corps !

    Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, tels que le drainage lymphatique ou du visage.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement. En ce qui concerne le système nerveux et sa gestion, ces retraites peuvent être bénéfiques pour lui, puisqu’elles offrent la possibilité de prendre du temps pour soi et pour se comprendre.

     

     

     

  • Déconstruire sa peur du manque d’argent

    Déconstruire sa peur du manque d’argent

    Depuis la crise des subprimes en 2008, le monde semble avoir du mal à retrouver son équilibre économique, ce qui sème volontiers de nombreux troubles quant au rapport de chacun à l’argent depuis plus d’une décennie. Plus récemment, c’est la crise sanitaire liée au Covid-19 qui a paralysé durant plusieurs mois toute l’économie. Et depuis, les ménages comme les commerces tentent d’y voir plus clair en poursuivant leurs activités.

    La peur du manque d’argent est une phobie bien réelle qui se trouve ancrée chez beaucoup de personnes. Lorsque cette peur atteint le stade de phobie, elle est d’ailleurs nommée chrométophobie.  Mais d’où vient-elle exactement ? Quelles en sont ses conséquences ? Et surtout, est-il possible de la déconstruire pour passer outre ?

     

    Les sources de la peur du manque dargent

    Tout le monde peut être touché par cette peur, au même titre que le vertige ou encore l’arachnophobie. Parce que les peurs ne se contrôlent pas et que leur arrivée peut parfois être surprenante, le premier pas pour les déconstruire est d’identifier d’où elle peut provenir.

    Dans le cas de la peur du manque d’argent, il y a souvent un lien direct avec l’enfance, et le comportement des parents avec l’argent. Comptaient-ils beaucoup ce qu’ils dépensaient ? Etaient-ils prudents ? Vous est-il arrivé de les entendre dire qu’il faudrait « se serrer la ceinture » ? Si tel est le cas, il est probable que l’enfance ait impacté votre rapport à l’argent. Un enfant qui vit, qui connaît ou qui comprend le manque d’argent, c’est bien souvent un adulte qui aura peur d’en manquer. De même, il est possible qu’un adulte même extérieur au cercle familial vous ait transmis cette peur du manque d’argent.

    Mais ce n’est pas la seule source. Et pour cause, un adulte peut développer une peur de manquer d’argent après un traumatisme, et ce, même s’il a eu une enfance abondante et n’a jamais manqué de rien. Parce qu’il suffit parfois d’une relance, d’une facture ou d’un courrier officiel des huissiers pour que le manque d’argent devienne une préoccupation réellement plus importante ; c’est-à-dire, une phobie.

    Enfin, la peur du manque d’argent peut simplement provenir du caractère de la personne en elle-même. Et pour cause, si certains individus sont davantage tentés par les dépenses que par l’épargne, d’autres, quant à eux, préféreront mettre de côté afin de pouvoir garder un petit pécule « au cas où ».

    Il existe donc différentes sources possibles à la peur du manque d’argent. Aucune n’est meilleure qu’une autre, et il est surtout probable que la peur du manque d’argent soit également la source de cette peur, comme un monstre vorace qui s’autoalimenterait.

     

    Les conséquences au quotidien

    Comme toute peur, celle de manquer d’argent a des conséquences dans les quotidiens des personnes qui sont concernées par elle. Et la première conséquence, c’est bien souvent de ne pas oser acheter un objet ou un produit si le prix est élevé.

    À terme, la chrométophobie peut avoir des conséquences bien plus importantes, comme celle de ne pas quitter son travail pour une meilleure offre, car la peur nouera les entrailles et empêchera la raison d’agir pour un meilleur avenir. Car comme pour beaucoup de peur, le cadre connu est rassurant, tandis que la nouveauté réveille les traumatismes ou les angoisses qui peuvent être gérés avec de l’hypnose contre le stress.

    De même, à force de penser, d’agir et de vivre plus généralement, en fonction de la peur de manquer d’argent, il arrive que certaines personnes développent des angoisses puissantes ou entrent en dépression. Le fait de songer tout le temps au manque d’argent qui peut se produire, à tous les biens matériels qui peuvent être perdus à cause de la place omniprésente que l’argent tient dans nos sociétés peut-être une réelle source d’angoisse au quotidien.

    Et c’est sans compter sur les TOC que cette phobie peut développer, les privations que la personne peut s’imposer pour ne pas « perdre » son argent dans des sorties futiles, ou encore les crédits qu’elle s’empêche de prendre par peur de ne pas pouvoir rembourser une telle dépense mensuelle.

    Heureusement, il existe des techniques qui permettent d’atténuer et de déconstruire cette peur, pour un quotidien plus souple et une santé mentale plus équilibrée !

     

    Déconstruire cette peur ? Cest possible !

    Déconstruire la peur du manque d’argent n’est pas simple, car comme toute autre peur, elle est bien ancrée dans les habitudes de vie et au sein même de la personne qui a appris à vivre avec. Pourtant, il existe bel et bien des façons de la déconstruire pour en finir avec elle !

    Prendre conscience des croyances liées à l’argent :

    Et par croyance, il s’agit ici de croyances limitantes. En effet, selon la source exacte de cette peur, des croyances limitantes ont éclos avec elle. Pour ne plus qu’elles alimentent la peur au quotidien, il est important de les identifier !

    Se questionner :

    La profonde peur de manquer d’argent peut souvent sembler insurmontable. Mais se questionner sur le pourquoi du comment, apprendre qu’il est possible d’inverser la tendance, ça peut être rassurant pour les personnes qui souhaitent déconstruire cette peur parfois trop présente. Le questionnement est souvent la première marche d’un escalier qui mène à une voie différente de ce que l’on connaît.

    Identifier au quotidien les effets de la peur :

    En prenant conscience au quotidien des effets de la peur du manque d’argent, cela permet de prendre un recul supplémentaire que celui que les questions avaient permis. Et pour cause, à chaque fois que les croyances limitantes liées à la peur du manque d’argent vont agir, vous saurez reconnaître, et ce, de plus en plus facilement. Et petit à petit, cela permet de prendre pleinement conscience de toutes les limites que la peur dessine sur la vie.

    Inverser ses croyances limitantes en croyances aidantes :

    En inversant les croyances, vous récupérez le pouvoir de votre propre vie. C’est permettre à votre esprit de se libérer d’une première façon de la peur, et de pouvoir amorcer une déconstruction complète de cette peur étouffante au quotidien.

    Trouver de nouvelles ressources en soi-même :

    Pour vaincre cette peur, il ne suffit pas de se débarrasser des croyances limitantes, ni de les transformer en croyances aidantes. L’autre partie de la déconstruction consiste à chercher et découvrir de nouvelles façons de se dépasser et abolir ainsi les limites que la peur du manque d’argent a pu ériger. De même, il est possible de se tourner vers la meilleure façon de créer l’abondance financière, si cela peut aider à passer outre cette peur du manque d’argent.

     

    Ainsi, la peur du manque d’argent est une peur qui est très répandue, peu importe la classe sociale ou l’âge des individus qui en sont victimes. Mais au quotidien, cette peur peut se révéler être une réelle enclave, tant pour la vie sociale que la santé mentale de l’individu. Il est important de pouvoir se détacher de cette peur, allant parfois jusqu’à la phobie, et la déconstruire entièrement afin qu’elle ne provoque plus aucune conséquences dans le quotidien ! Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont importantes et de véritables aides pour vaincre cette phobie.

     

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement.

     

     

     

     

     

  • Comment créer l’abondance financière ?

    Comment créer l’abondance financière ?

    L’abondance financière peut représenter un Eldorado fort intéressant qu’on a souvent envie de visiter. L’argent, le flouze, le fric, le pognon… tant et tant de termes qui ne désignent finalement qu’une chose : le reflet d’un certain confort de vie. Encore très tabou en France, ce sujet est pourtant présent dans de nombreux aspects de la vie, en plus d’en faire pleinement partie.

    Mais la richesse est-elle toujours et invariablement synonyme d’argent ? L’abondance financière en tant que telle laisse penser que oui. Alors peut-on vraiment la créer, la provoquer ? Et si oui, de quelle manière exactement ?

     

    Créer de labondance financière, quest-ce que ça veut dire ?

    Si la volonté de créer de l’abondance existe, encore faut-il savoir la définir. Tout commence donc par ce terme, qui désigne une profusion, une quantité bien souvent plus que suffisante d’un bien, d’une chose, d’un concept…etc. Créer l’abondance financière reviendrait alors à pouvoir provoquer par soi-même l’arrivée d’une quantité plus que suffisante et nécessaire d’argent dans sa vie. Cela peut se faire par le fait de se mettre à son compte sans stress avec de l’hypnose.

    Ainsi, l’abondance financière serait une question de croyance et de possibilités, probablement alignées au même instant qui permettraient de provoquer une profusion attendue de l’argent.

     

    Les croyances autour de largent

    Mais surtout, l’abondance financière est bien souvent le simple reflet de ce que l’on croit vouloir. Car il s’agit ici d’argent, bien entendu, mais également des croyances qui s’agglomèrent autour. Parmi elles, le fait de croire que la situation financière peut dépendre d’un schéma social (si tout le reste de la famille est salariée, et que vous rêvez d’avoir votre propre entreprise, cela peut être un frein), ou encore le fait de penser que l’argent n’est qu’une source de problèmes inépuisable.

    De même, bien souvent, on s’imagine qu’il suffit d’y penser pour que l’argent se multiplie à outrance ; mais là encore, ce n’est pas si facile ! De la maîtrise, de la patience et de la sagesse quant à la gestion de ses finances semblent les maîtres-mots pour parvenir à l’abondance financière.

    Par ailleurs, le rapport à l’argent demeure un grand tabou en France. Au contraire des États-Unis, par exemple, où la réussite financière est davantage reconnue là où en France elle est souvent associée à de la malhonnêteté ou encore à une démonstration de soi qui est très mal vue.

    Ainsi, malgré les croyances qui peuvent résider dans l’abondance financière, ce n’est jamais simple, et cela va surtout dépendre du propre rapport à l’argent que chacun entretient avec lui. Conserver une distance avec l’importance que la société accorde à l’argent est alors presque une nécessité, qui pourrait s’équilibrer avec le fait de ne plus faire de ce sujet quelque chose d’intouchable.

     

    Créer labondance financière, est-ce possible ?

    Si pour certains, la création de l’abondance financière relève davantage d’un doux rêve que d’une réalité, c’est car il n’y a pas de recettes miracles pour y parvenir. Au contraire, il s’agit davantage de « petits gestes » qui permettent d’y arriver lentement mais sûrement.

    Les richesses matérielles que tu possèdes déjà :

    Désirer plus que ce l’on possède déjà est tout à fait naturel. C’est un reflet de l’ambition, mais cela peut aussi parfois s’apparenter à la traduction d’une envie démesurée de posséder toujours plus. Dissocier les deux n’est pas chose aisée, mais le fait de prendre conscience des « richesses » que l’on possède d’ores et déjà permet de faire la lumière sur le doute. Et pour cause, même si ces richesses prennent parfois la poussière dans un vieux grenier, ou bien qu’elles soient dissimulées dans les murs d’une propriété, les richesses sont partout.

    L’investissement en soi comme base de revenus fiables :

    Cela se traduit au niveau de la confiance en soi, des formations, des stages ou même des ateliers dans lesquels on est prêt à se lancer pour parfaire ses connaissances ou encore retrouver l’estime de soi par l’hypnose. Ce sont des investissements matériels ou non, qui permettront, à terme, de vous impliquer plus sereinement dans des travails pouvant parfois se révéler intimidants ou impressionnants. Vous êtes capable de tout, investissez en vous, et lancez-vous !

    Se réconcilier avec l’argent :

    Avoir un « bon » rapport à l’argent n’est pas facile. Selon si on en a ou non, si on le montre ou non, les comportements en société changent parfois drastiquement. Le mieux n’est-il pas alors de simplement entretenir un bon rapport à l’argent, en se réjouissant de ne manquer de rien sans pour autant déposer dans cette équation délicate une question d’égo en se montrant avec ? Je crois qu’il n’y a pas de meilleur rapport avec l’argent que celui de le percevoir comme un outil permettant de posséder des biens matériels ; mais en aucun cas, des personnes, des valeurs ou tout autre chose qui ne se marchande pas !

    Se responsabiliser dans la gestion des finances :

    L’une des façons de créer l’abondance financière reste encore de bien savoir gérer ses finances. S’il est possible de se faire plaisir avec une grosse dépense de temps à autre, il est important d’équilibrer ces petits écarts avec une bonne gestion le reste du temps afin de ne pas se réincarner en panier percé !

    Favorisez l’épargne, quelques économies, ou mettez en places différents petits pots pour vos projets futurs : un voyage, un tatouage, une nouvelle voiture, une formation, un atelier… cela peut aider à garder le cap, et chaque centime joue son rôle !

     

    Ainsi, créer l’abondance financière n’est pas vraiment une recette miracle qui permet de devenir millionnaire du jour au lendemain. En revanche, il est possible, avec de petits gestes quotidiens, de prendre conscience de la richesse dont vous êtes déjà pourvu, et de la faire perdurer grâce à de bons réflexes qui permettront d’investir en vous, et dans votre avenir ! Parce qu’au final, la réelle richesse de votre vie et le meilleur pari que vous pouvez faire…. C’est vous- même !

     

    Je suis Charlotte Vallet et j’exerce en tant qu’hypnothérapeute à Paris. Egalement experte en neurosciences, je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage comme le drainage lymphatique Renata Franca, entre autres petites choses.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se retrouver. Proche de la nature et harmonieuse, cette retraite saura accompagner les personnes en plein bouleversement, en pleine construction, ou bien celles qui se cherchent encore.