Votre panier est actuellement vide !
Catégorie : Se connaître
-

Le divorce : quand est-ce la meilleure solution ?
Il y a encore une quarantaine d’années, le divorce n’était une solution que peu envisagée. Aujourd’hui, c’est plus de 45% des mariages qui se soldent par un divorce, en France. Et si parfois, les raisons pour lesquelles l’on se retrouve en couple avec une personne semblent obscures et floues, si l’on se laisse guider par les sentiments qui nous étreignent, alors comment être sûr qu’il est temps de divorcer ? Quand décider de le faire, sans pour autant le regretter ?
Le divorce, une solution miraculeuse ?
Il arrive des instants, dans toutes les relations, où le doute se fait sentir. Que ce soit par rapport à soi ou par rapport à l’autre, la relation peut rapidement être remise en cause. Faut-il continuer avec la personne ? Est-il préférable de tout arrêter, pour se consacrer à soi ? Cette décision n’est pas à prendre à la légère. Pour peu qu’il y ait également des enfants dans le foyer, ou des projets en cours, c’est un choix dont il faut peser les pour et les contre.
Historiquement, le divorce a été remanié de multiples fois. Interdit par l’Eglise au XVIe siècle, il est de nouveau autorisé durant l’Ancien Régime. C’est durant la Révolution française que le concept du mariage est totalement désacralisé, et que le divorce commence à se démocratiser. C’est d’ailleurs la loi du 20 septembre 1792 qui autorise le divorce en France, tel qu’on le connaît aujourd’hui. Mais il est de nouveau supprimé, pendant soixante-huit longues années, de 1816 à 1884 – de quoi avoir la tête qui tourne !
Le fait que de nos jours, le divorce soit beaucoup plus accessible qu’il y a une trentaine d’années favorise grandement des décisions hâtives. En quelques mois, le divorce peut être prononcé, et pour peu que la séparation se fasse à l’amiable, le tour est joué rapidement et sans complications. Si se marier n’est pour certains plus aussi « sacré » qu’avant, le divorce en devient une solution de secours.
Pour autant, c’est loin d’être une solution miraculeuse. Lorsqu’on se marie, aux yeux de la loi tout autant que dans la vie quotidienne, il y a des choses qui se lient dans plusieurs domaines. Un compte joint, un logement à et pour deux, et peut-être même des enfants sont-ils nés de cette union. Quelles que soient les caractéristiques et le quotidien qui découle du couple, toute relation est unique. Et malgré tout cela, parfois, la séparation reste la seule solution envisageable.
Comment savoir si quitter l’autre est la chose à faire ?
Si les raisons de se mettre en couple et de se marier sont multiples et variées, il en va de même pour les raisons qui poussent un couple à se séparer. Perte de désir pour l’autre, ne pas réussir à se projeter avec le partenaire, ou ne simplement plus être aussi amoureux qu’au début… les raisons d’un divorce sont tout aussi diverses que chaque mariage et relation est unique.
Faire le point avant de prendre la décision de divorcer est essentiel. Savoir pourquoi l’on veut partir ou rester est primordial. La relation a-t-elle besoin de repasser au premier plan de la vie quotidienne ? Ou bien est-ce vraiment plus ancré, plus dissimulé, et insidieux ? Le partage avec l’autre ne vaut-il peut-être plus tous les sacrifices pour vous ? A nouveau, toutes les raisons sont valables. Mais elles doivent être réfléchies et muries.
Le divorce, tout comme le mariage, est une décision importante qui bouleverse tous les aspects de la vie. Vie de famille, aspect financier, au niveau du logement, concernant la belle-famille, amis en commun ou collègues qui vous connaissent depuis plusieurs années… personne ne doit être une enclave à votre divorce, mais certains voudront peut-être vous soutenir. Quoiqu’il en soit, le choix de divorcer est loin d’être anodin.
La seule raison qui n’a pas besoin d’être réfléchie, c’est dans le cas de violences conjugales. Le silence peut tuer, et il est urgent, si vous êtes en danger, de fuir pour sauvez votre vie et celles des enfants s’il y en a.
Le divorce : un traumatisme qui peut se graver dans l’âme
Psychologiquement, comment se passe le divorce ? Beaucoup de professionnels de la santé mentale s’accordent à dire que le divorce, même s’il se passe dans les meilleures conditions possibles, peut tout à fait être mal vécu par l’un ou l’autre parti, voire, parfois, les deux partis. Et pour cause, si le mariage est socialement vu comme une réussite, le divorce laisse parfois le goût amer de la défaite. Pour beaucoup de personnes divorcées, cette période de séparation se passe donc très mal.
Pour d’autres, au contraire, le divorce peut être perçu comme une réelle libération. Et pour cause, il peut parfois soulager les personnes concernées des conflits qui avaient lieu, ou des tensions qui prenaient place sans pouvoir se résoudre.
Enfin, le divorce peut parfois bien se passer tout au long de la procédure ainsi qu’après la fin de celle-ci, tout comme il peut se passer difficilement du début à la fin. Quoiqu’il en soit, ce qui est sûr, c’est qu’à l’amiable ou au cœur du conflit, le divorce reste une étape importante dans une vie, et surtout, un choc psychique pour le mental.
A l’instar d’un deuil, il s’agit de dire adieu non pas à une partie de sa vie, mais bel et bien à un lien qui vous a unit pendant x années à une personne. C’est enterrer une vie de famille qui paraît « acceptable » pour la société, et partir vers l’inconnu d’être divorcé.e. S’il y a des enfants, les parents divorcés sont également plus susceptibles de se voir être jugés ou pris en pitié. Ce sont alors des épreuves du quotidien qu’il faut surmonter en plus du fait de réapprendre à vivre seul, penser à soi, et l’organisation si jamais il y avait des enfants dans le foyer.
Pour autant, il n’y a rien de choquant à vouloir divorcer. Et il vaut même mieux vouloir divorcer plutôt qu’accepter une vie qui ne nous convient plus. Finalement, ce n’est pas ça, la vraie force du divorce ?
Les questions à se poser avant de divorcer
Y aura-t-il des gens pour me soutenir émotionnellement ?
Quels seront les impacts financiers du divorce ?
Pourquoi est-ce que le divorce serait une bonne solution pour moi ?
Est-ce que je suis malheureux/se parce que je suis marié/e ?
Est-ce que j’éprouve encore de l’amour pour mon/ma conjoint/e ?
Vais-je devoir trouver un autre logement ?
Comment le divorce va-t-il impacter les enfants ?
Pourrais-je compter sur mes proches pour m’aider avec les enfants ?
Il y a tant et tant d’autres questions à se poser, qu’il serait impossible de toutes les regrouper. Mais certaines s’ancrent davantage dans le concret et permettent d’ouvrir la voie pour faire le point. Parce qu’au final, il n’y a jamais de meilleurs moments pour quitter une personne… sinon celui que l’on décide.
Et pour éviter le surmenage, le burn-out émotionnel ou tout autre dépassement de vos limites lors de changements qui s’amorcent, il est possible de prendre soin de soi et de se recentrer. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Fatigue, addiction, phobie, angoisse… vous pouvez lutter contre ces entraves du quotidien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et parce qu’après une telle épreuve, il est parfois essentiel de se recentrer sur soi et ses besoins, ses envies, je propose aussi des retraites bien-être qui permettent la reconnexion à son “moi profond”. -

Peut-on monter sa boîte sans argent de côté ?
Monter sa propre entreprise et se lancer dans l’aventure de l’auto-entreprise, c’est parfois une étape clé dans la vie. Changer de voie du tout au tout ou ne simplement plus dépendre d’un patron avec tout ce que cela implique, les raisons de se lancer sont multiples et variées. Mais comment parvenir à monter son entreprise sans que le projet ne se casse la figure avant même d’avoir pu être abouti ? Et surtout, comment se lancer lorsqu’on a zéro économie ?
Identifier son idéal et ce qui est possible
Monter sa propre entreprise, c’est une étape clé pour tout auto-entrepreneur. Mais bien souvent, entre le rêve et la réalité, il y a une multitude de lois et de règles qui empêchent de parvenir à l’exacte réplique de ce que l’on s’est imaginé. Alors comment procéder ?
Dans un premier temps, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez vous lancer dans cette voie. Car selon les raisons qui vous motivent, vous pourrez déterminer ensuite la direction dans laquelle vous voulez vous aller et surtout, les conditions dans lesquelles vous le ferez – après tout, vous serez votre seul patron !
A partir de ce point précis, il sera important et essentiel de faire quelques recherches. Selon l’activité que vous voudrez exercer, il sera nécessaire de choisir le statut juridique de l’entreprise le plus adapté. Et selon ce statut, il en découlera un plan économique (« business plan ») à également envisager.
Et vous voilà en route vers l’aventure difficile mais merveilleuse de l’auto-entreprise !
Peut-on se lancer sans avoir d’économies ?
Lorsque j’ai quitté mon job dans le marketing, je suis partie faire un tour du monde. J’avais besoin de me connaître avant de savoir ce que je voudrais faire. C’est ironiquement en apprenant à me connaître, que je me suis rendue compte que je voulais aider les gens, travailler avec l’humain, et surtout, pouvoir guider les gens sur le chemin d’un meilleur bien-être. Et lorsque j’ai décidé de monter ma boîte, je n’avais pas d’économies. Pourtant, à coups d’efforts et de détermination, j’ai pu y parvenir. Car quand on y croit assez, rien n’est impossible !
Mais rien n’a pourtant été facile. Il y avait des dépenses –et il y en a toujours-, qui m’ont également poussée à travailler à côté en tant que baby-sitter ou mascotte. Mais croyez-moi, le jeu en valait la chandelle. C’était une évidence, et si c’est aussi le cas pour vous, alors il existe plein de solutions pour pouvoir se lancer sans avoir trop voire pas du tout d’économies.
Ce sera un parcours plus difficile, mais à nouveau, pas impossible !
Les dépenses inévitables lors de la création d’entreprise
- Selon le statut juridique de l’entreprise que vous vous apprêtez à monter, il y a parfois des frais qui peuvent s’appliquer. C’est le cas notamment pour les entreprises SAS et SARL. Seul le statut de micro-entreprise ne nécessite aucun frais.
- Le matériel selon l’activité que vous choisissez d’exercer.
- La communication, car il faut bien attirer et informer les clients de ce que vous vendez.
- Au besoin d’un local, il y aura également des frais qui seront engagés. Et parfois même, des frais réguliers (loyer… etc.).
- La fiscalité : certaines entreprises, selon leur statut, doivent payer des impôts même lorsque leur entreprise ne fait pas encore de bénéfices.
Vous l’aurez compris, les frais de création peuvent rapidement s’accumuler et faire couler la barque d’économies. Il est donc important de voir ce qui peut être fait dans un second temps, et surtout, de prévoir les besoins que vous aurez pour votre entreprise, au moins durant les deux premières années. Ainsi, vous pourrez mieux vous organiser et surtout « voir venir ».
Avoir quelques moyens, mais pas une fortune
Si créer son entreprise avec zéro euro peut ressembler à une montagne difficile à gravir, il est possible d’avancer pas à pas. Notamment dans le cas où vous auriez quelques euros, même si ceux-ci sont une partie de votre salaire actuel. Encore une fois, prévoir sera de mise, y compris si vous décidez de tout risquer. Il est donc possible de pouvoir « investir » petit à petit dans son entreprise, et payer les frais de création sans se mettre dans une galère sans nom.
De plus, il existe de nombreuses aides et petites astuces qui peuvent aider à vous lancer, si vous ne possédez aucune économie. Parmi elles :
- Profiter des aides que l’Etat propose: parmi elles, il y a notamment l’ACRE ou l’ARE. De plus, il existe aussi des aides sociales ou/ et fiscales qui permettent d’alléger les coûts de votre entreprise, au moins la première année. Enfin, il existe aussi certains prêts publics qui sont accordés, et représentent un beau pécule pour débuter un projet d’auto-entreprise.
- Le financement participatif: si de plus en plus de personnes ont recours à ce moyen, c’est car il est une aide non négligeable. Le crowdfunding, c’est expliquer son projet sur une plateforme adaptée, et donner l’occasion aux gens de vous soutenir financièrement. Outre le fait d’alléger les coûts et frais d’entreprise, il est également possible de faire appel au crowdfunding lors des différentes étapes de développement d’entreprise. Contrairement aux aides au-dessus, le crowdfunding est accessible à n’importe quelle étape de l’aventure d’auto-entrepreneur !
- Utiliser son compte de formation : au-delà des financements, il est également possible de se former gratuitement ou à moindre coût une fois l’entreprise lancée. En effet, et surtout si vous avez bénéficié d’un travail salarial avant de vous lancer, vous pouvez profiter des avantages d’un compte de formation, et vous tourner vers des formations gratuites ou plus accessibles.
Il existe donc différentes possibilités qui permettent de ne pas devoir investir des milles et des cents lors de la création de son entreprise, ou du développement de celle-ci, dans un second temps. Évidement, il existe aussi d’autres solutions comme le fait de demander à des proches qui sont prêts à vous soutenir, de vous aider – savoir demander de l’aide est important et nullement un acte de faiblesse, bien au contraire !
Et si comme moi, vous vous lancez sans avoir d’économies, il est également possible de prendre quelques petits jobs en parallèle, qui permettront de vivre et de commencer plus sereinement. Quelle que soit l’activité dans laquelle vous souhaitez vous lancer, il est important de vous sentir prêt-e. Et souvenez-vous, malgré les obstacles et les difficultés, que c’est pour un avenir meilleur.
A cœur vaillant, rien d’impossible !
Manque de sommeil, angoisse de vous lancer ? Je m’appelle Charlotte Vallet, suis hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, et vous propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique, ou le drainage du visage. En plus, il est possible de consulter pour une séance d’hypnose selon vos besoins. Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de prendre du temps pour soi, et de se découvrir davantage. Cela peut s’avérer d’une grande aide pour les femmes qui hésitent encore, ou que le doute étreint parfois trop fort. Retrouvez-vous, offrez-vous du temps et les moyens de vous connecter à votre moi profond. -

Le polyamour : et si c’était ça, la réelle fidélité de l’âme ?
Qui n’a jamais laissé un bout de soi dans une relation ? Pourtant, il existe des personnes capables d’aimer fort et de façon pure qui parviennent à ne jamais s’oublier. Est-ce qu’un modèle de couple non-exclusif, comme le polyamour, pourrait permettre de se rester fidèle même en évoluant ? Mais qu’est-ce que le polyamour, exactement ? Et comment ça fonctionne ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Et qu’en est-il du rapport à soi lorsque les partenaires sont multiples ? Cap sur une nouvelle forme d’amour : le polyamour.
Polyamour : qui es-tu exactement ?
Formé à partir de deux radicaux, « poly » en grec, et « amore », en latin, le polyamour peut se traduire par « plusieurs amours ». Il s’agit donc d’entretenir une relation avec plusieurs personnes différentes, dans le consentement de chacun. Chacun des partis de la relation peut alors avoir un ou plusieurs autres partenaires de vie.
Basé sur une transparence absolue, le polyamour est une façon d’envisager les relations de façon peu traditionnelle. Pourtant, les premières apparitions du polyamour remontent au XVIIe siècle, par le philosophe socialiste utopiste Charles Fourier, dans son livre Le Nouveau Monde Amoureux. Il y expose les premières bases théoriques de ce qu’il nommera tendrement « l’amour multiple ».
Il faut cependant attendre les années 1990 pour voir éclore le terme de « polyamour » au sens qu’on lui connaît aujourd’hui.
Polyamour : des règles et des contraintes ?
Comme pour toute relation, il y a des « bases » à poser. Parmi elles, notamment, l’importance de la confiance et de l’honnêteté. Les amours multiples sont souvent à l’origine d’un amalgame entre le libertinage et l’infidélité : mais il n’en est rien. Les amours ne se remplacent pas les unes les autres, bien au contraire. Elles se complètent.
Dans une relation polyamoureuse, il n’y a pas de secrets. C’est une notion primordiale afin de veiller au bien-être de chacune des parties concernées. De même, on retrouve une certaine ressemblance avec une relation plus traditionnelle et exclusive : les notions de respect et de confiance sont évidemment inébranlables. Plus encore pour les relations polyamoureuses, puisqu’il s’agit alors du bien-être des partenaires et du bon fonctionnement des relations. Car l’objectif, outre l’échange et la tendresse, c’est aussi de pouvoir s’épanouir !
Et la fidélité, dans tout ça ?
Souvent confondu avec le libertinage, le polyamour pose cependant la question de la fidélité. Comment est-ce que cela fonctionne si les partenaires sont multiples ? Eh bien, il s’agit en réalité d’une nouvelle forme de fidélité. Si elle ne s’exprime plus à travers la fidélité sexuelle, elle est cependant présente dans d’autres aspects de la relation.
C’est notamment le cas pour la sincérité dont font preuve chacune des personnes concernées envers les autres partenaires. Cela passe à travers l’attention portée au bien-être de chacun, la communication (toujours), le consentement, le fait de se protéger avec d’autres partenaires… etc. La fidélité a donc diverses formes qui ne s’expriment pas forcément de la même façon dans une relation exclusive et polyamoureuse.
Comment vivre le polyamour ?
Si les raisons de se tourner vers le polyamour peuvent être multiples et personnelles, il est surtout du devoir de chacun de se montrer honnête envers soi-même. Et certaines personnes ne sont simplement faites pour les relations exclusives ! Chaque relation étant unique, il est parfois difficile de trouver tout ce dont on a besoin dans une seule relation. Le polyamour permet une certaine diversité et un équilibre grâce aux différentes relations entretenues.
L’idée de quitter le couple exclusif peut parfois être effrayante. Pourtant, le polyamour, bien qu’il porte lui aussi quelques bases importantes, semble tout de même être un pas de plus vers une forme de liberté. Car la liberté individuelle est souvent renforcée par le groupe.
La jalousie et le sentiment de possessivité disparaissent. Ils s’estompent au profit d’une réjouissance pour le bonheur de l’autre, même si l’on n’en est pas responsable. Les partenaires sont multiples, et les joies aussi. Cela demande évidemment un travail sur soi important, et surtout, de dépasser ce que le couple exclusif admet aisément (jalousie, possessivité, comparaison…etc.). Dans le polyamour, il s’agit surtout de multiplier les plaisirs de la vie avec des partenaires différents et uniques !
Le polyamour, ou écouter ses désirs et son cœur
Alors qu’en est-il dans le rapport à soi ? Lao Tse expliquait que « les femmes recherchent d’abord la fidélité, et en second la diversité. Les hommes recherchent d’abord la diversité, et en second la fidélité. » (Chine, environ 600 avant notre ère). Aujourd’hui, les femmes se sont majoritairement émancipées du modèle de couple exclusif. S’il a jadis été la seule fin importante et reconnue par la société patriarcale, ce modèle commence à s’estomper au profit du bonheur quelle que soit sa source. Désormais, les relations peuvent être exclusives, polyamoureuses, éphémères ou durer dans le temps. Tout existe, puisque chaque humain est unique !
Dans le rapport à soi, le polyamour a une importance notable. En effet, dans une relation exclusive, un certain confort est mis en avant (l’autre est un soutien, un compagnon de route, un objet de désir…), mais dans les relations polyamoureuses, ce que représente le partenaire est multiplié. Attention toutefois, chaque relation est différente : avec un partenaire, il y aura plus d’écoute et d’échange, un autre apportera de l’humour et du dynamisme, un autre encore pourra être la source importante de désirs… chaque lien entretenu est différent des autres. Les passions partagées sont plus nombreuses également, et d’une certaine façon, chacun se nourrit et grandit avec différentes relations.
Il y a donc, dans le polyamour, une certaine recherche d’harmonie qui est présente, un besoin de nourrir son « moi » intérieur de diverses façons. Parce qu’après tout, n’apprend-on pas toujours des autres ? Le polyamour peut donc s’apparenter à un chemin intéressant concernant la fidélité à soi-même. Et pour cause, en multipliant les échanges, il n’y a plus une seule source d’apprentissage, d’échange et de plaisir, mais plusieurs. Et à l’origine de toute évolution personnelle, il y a des expériences. Les multiplier peut permettre, ainsi, de mieux trouver son propre soi, et tendre vers l’épanouissement, qui se multiplie également. Il n’y a plus une seule source de bonheur, mais de nombreuses. Et un cercle vertueux s’entame alors.
Pour résumer, il y a donc dans les relations polyamoureuses des notions similaires au couple exclusif, et d’autres, nouvelles et adaptables selon les besoins de chacun, qui s’appliquent. Si le couple exclusif contraint parfois à des concessions et des compromis, le couple polyamoureux porte également ses contraintes, bien qu’elles renvoient directement à un travail sur soi.
La relation polyamoureuse permet de nombreux avantages, comme le sentiment de liberté, la notion de séduction et le fait de savoir qu’il est possible de séduire, ou encore des échanges enrichissants car multiples. Dans le rapport à soi, cela peut permettre d’être plus apte à évoluer, à grandir, et surtout, à apprendre des autres pour toujours mieux se connaître soi-même.
Et comme dans toute relation, il est important de prendre soin de soi et de s’aimer soi-même avant de pouvoir aimer autrui. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Si vous souhaitez un rendez-vous, vous pouvez vous rendre sur Doctolib. De même, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Que vous soyez donc adepte ou non des relations polyamoureuses, la fidélité de l’âme passe toujours par le temps que vous vous accordez. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à son moi profond et de prendre le temps de se découvrir en profondeur. Pour une reconnexion à soi puissante et holistique dans un cadre calme et paisible.
-

L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit
Alors que la ville prend vie le matin ou que le coq chantonne au petit jour, vous ouvrez les yeux… et vous êtes fatigués. Pourtant, la certitude d’avoir dormi vous étreint. C’est donc le signe que le sommeil n’était pas d’une bonne qualité, et malheureusement, il n’y a pas qu’une sensation désagréable qui peut en résulter. La journée va être longue… mais c’est surtout le corps et l’esprit qui absorbent les plus grandes conséquences d’un mauvais sommeil !
Les causes d’un mauvais sommeil
Les troubles du sommeil existent aujourd’hui plus que jamais. Dans un monde qui va –et vit- à cent à l’heure, il est parfois difficile de parvenir à mettre son cerveau en veille, et surtout, de comprendre les limites du corps. L’être humain prend l’habitude de forcer, de se surpasser, mais cela a des conséquences sur sa santé et son bien-être. Depuis quelques années, les études se succèdent et les preuves s’accumulent : qui n’a jamais souffert d’une seule insomnie ?
Endormissement retardé, insomnies chroniques ou ponctuelles, et éveils nocturnes sont un fléau et un quotidien pour beaucoup. Les causes sont souvent multiples et le résultat d’une accumulation de « petits rien » qui pourtant empêchent le repos réparateur dont le corps et l’esprit ont besoin. Parmi les causes qui troublent le sommeil, l’on retrouve :
Apnée du sommeil : trouble du sommeil invisible, elle cause pourtant de nombreuses conséquences. Si le cerveau ne parvient pas à donner aux muscles respiratoires l’ordre de fonctionner, si les poumons ne parviennent pas à absorber la quantité d’air suffisante pour respirer ou si cette absorption est interrompue, il s’agit d’apnée du sommeil.
La maladie de Willis-Ekbom : cette maladie concerne les personnes âgées de 25 à 45 ans. Rare, elle passe parfois pour de l’impatience auprès de l’entourage. Aussi appelée syndrome des jambes sans repos, cette maladie créé une sensation de picotement ou de brûlures dans les jambes de la personne, sensation qui ne peut être soulagée qu’à travers la marche. Cette maladie a de nos jours des traitements, et peut être passagère comme dans le cas d’une grossesse, une carence en vitamine B9 ou en fer. Si elle s’installe plus longuement, elle perturbe le sommeil avec des réveils intempestifs.
Les irrégularités du rythme circadien : le rythme circadien peut se traduire par l’horloge interne dont tous les êtres humains disposent. Il comprend notamment les cycles du sommeil. Un dérèglement du cycle circadien entraînera ainsi un mauvais sommeil (non réparateur), un état de fatigue et des insomnies fréquentes.
La narcolepsie : la narcolepsie est également une des causes d’un mauvais sommeil, bien qu’elle soit à un tout autre niveau puisque reconnue comme pathologie. La personne atteinte de narcolepsie souffre alors d’un cycle du sommeil bouleversé, puisqu’elle aura tendance à somnoler de manière excessive durant la journée, souffrir de paralysie du sommeil ou d’hallucinations lorsque le sommeil est dit « léger » (endormissement et réveil). Pour soigner la narcolepsie, il faut un traitement médicamenteux.
Les conséquences d’un mauvais sommeil
Si les causes d’un mauvais sommeil peuvent être multiples et variées, les conséquences d’un mauvais sommeil le sont tout autant. À long ou court terme, des effets se font alors ressentir sur le corps, l’esprit et l’humeur générale de l’individu.
Sur le corps :
Une prise de poids est observée : lorsque le cerveau manque de sommeil, il a tendance à activer des mécanismes dits « primaires ». L’activité du lobe frontal est réduite, et l’activité dans le centre de récompenses s’active au contraire plus facilement. Autrement dit, la personne aura tendance à se diriger vers des mécanismes simples, qui nécessitent le minimum d’efforts et un plaisir rapide. C’est le cas dans l’alimentation, et la consommation de nourriture grasse, sucrée ou salée est favorisée à une alimentation saine.
Des maladies cardio-vasculaires : l’une des causes du manque de sommeil peut par exemple mener à ces maladies. Il s’agit de l’apnée du sommeil. Elle peut engendrer de la somnolence durant la journée, la sensation d’étouffer pendant la nuit et des réveils en sursaut. À long terme, c’est prendre le risque de souffrir de soucis cardio-vasculaires.
Outre l’apnée du sommeil, cela s’explique aussi si un manque de sommeil se prolonge dans le temps. Les risques se multiplient et la manque de sommeil modifie le taux d’hormones ou de molécules dans le corps.
Bon à savoir : à contrario, le fait de dormir plus de neuf heures par jour (soit durant un cycle de 24 heures) peut également être le signe d’une maladie cardio-vasculaire ou psychologique (dépression).
Autres risques dus à un mauvais sommeil : hypertension artérielle, cholestérol, diabète, ou encore l’obésité.
Sur l’esprit :
Le vieillissement du cerveau : lorsque le vieillissement est évoqué, il ne s’agit pas d’un vieillissement physique. Cela fait surtout référence à l’esprit qui a tendance à fatiguer plus vite, présenter des incertitudes de mémoire ou des problèmes d’attention et de réactivité. Cela résulte d’un très mauvais sommeil, ou alors d’un travail de nuit exercé durant plusieurs années consécutives. Ce phénomène s’explique par le fait que le cerveau voit son cycle circadien bouleversé, et ne bénéficie plus –ou beaucoup moins- de la lumière naturelle. C’est tout un mode de vie. Mais le vieillissement de l’esprit est réversible !
Des risques de dépression augmentés : lorsque le sommeil est mauvais ou perturbé, il arrive que la dépression ressurgisse ou s’accentue. Les cerveau ne fait jamais de « pause » et continue, au contraire, d’altérer l’humeur et de renforcer les troubles liés à la dépression et ses causes.
Troubles de l’anxiété et angoisse : des horaires de sommeil irréguliers accentuent également les troubles de l’anxiété et les angoisses. Si le corps ne se repose pas bien, le cerveau, lui, continue de fonctionner et d’alimenter ainsi les sources de ces troubles.
Des facultés cognitives diminuées : un mauvais sommeil ou des troubles du sommeil ont cela en commun avec la maladie d’Alzheimer, qu’ils sont tous deux associés à des facultés cognitives altérées. Selon une étude réalisée par des chercheurs d’Oxford à propos de la maladie d’Alzheimer, il a été trouvé que les personnes qui dormaient moins de quatre heures par nuit avaient tendance à voir leurs facultés cognitives diminuées. Mais les personnes qui dormaient plus de huit heures par nuit constataient également cette diminution. Les chercheurs se sont alors penchés sur la qualité du sommeil, et non plus seulement sa quantité.
Une étude intéressante qui renvoie aux besoins de chaque personnes selon son mode de vie.
Sur l’humeur :
Des émotions « mauvaises » : parmi elles on compte l’irritabilité qui se manifeste plus rapidement, peu de patience ou au contraire un temps de réaction allongé. Selon le sommeil et les troubles dont souffre la personne, l’humeur ne sera pas modifiée de la même façon.
Des pics de fatigue : manquer de sommeil, c’est aussi se sentir bien pendant un instant, et épuisé l’instant suivant. Les taux d’hormones sont modifiés et cela a un impact direct sur les humeurs et les émotions, mais également sur nos réactions face aux différentes nouvelles de la journée. Si parfois, ces changements sont minimes, pour certaines personnes, ils peuvent constituer un véritable fléau.
Retrouver une bonne hygiène de sommeil
Ce qu’il faut donc privilégier afin d’avoir une bonne hygiène de sommeil, c’est :
La qualité prime sur la quantité : quelques heures peuvent parfois être plus réparatrices qu’une nuit complète ;
Dormir entre sept et neuf heures par nuit suffit pour un adulte ;
Eviter les écrans avant de dormir permet un meilleur endormissement et diminue le risque de sommeil interrompu ;
Une routine de sommeil est privilégiée (lecture, tisane…etc.) ;
Séances de méditation en cas de stress élevé ;
Et tout ce qui pourra vous sembler pertinent et fonctionner pour vous !
Sachez aussi que si jamais, les problèmes de sommeil persistent, il est tout à fait possible de vous tourner vers d’autres soins. L’hypnose permet par exemple de réguler le sommeil, et de guérir ce qui le trouble bien souvent. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, c’est l’un des soins que je propose au public. De même, les effets d’un manque de sommeil se font souvent ressentir sur le corps. Un drainage lymphatique ou un drainage du visage peuvent alors en effacer les marques. Ce sont aussi des soins thérapeutiques du corps que je propose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.Enfin, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Je propose également des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi dans un cadre au plus porche de la nature. Dans le partage et la bienveillance, apprenez à vous connaître ! -

La clé pour réussir à aimer les autres, s’aimer soi-même
Avoir une bonne estime de soi, être bien dans sa peau… sont des expressions que l’on connaît tous. Seulement, concrètement s’aimer soi-même, ça signifie quoi ?
D’avoir conscience de sa propre valeur
Tout le monde est différent, c’est certain !
S’aimer, c’est rester dans toutes les situations de la vie en phase avec qui on est. C’est savoir prendre une décision en suivant son propre jugement. C’est croire en qui on est et ce que l’on fait. Pour cela, on oublie toutes les formulations péjoratives quand vous parlez de vous, votre métier, vos connaissances, etc.
Se faire confiance
Cela parait facile mais c’est loin de l’être…
Car, vous êtes la seule personne qui est en mesure de croire en vos capacités, sensations et émotions. Pour les connaître, il faut apprendre à écouter votre corps et votre langage.
Parler de vous-même avec amour et bienveillance
Plus simple à dire qu’à faire…
Se dénigrer, se rabaisser et se minimiser sont à proscrire pour enfin s’accepter à sa juste valeur. Votre vie n’est pas insignifiante. Elle ne mérite pas d’être invisible. Criez haut et fort qui vous êtes et ce que vous défendez.
S’aimer passe par la reconnaissance, la confiance et l’estime de soi. Et maintenant, il n’y a plus qu’à mettre en pratique pour finalement réussir à accepter la seule, l’unique et la seule personne que vous devez le plus aimer, vous.