Votre panier est actuellement vide !
Catégorie : Se connaître
-

S’affirmer au quotidien grâce au coaching
S’affirmer en tant qu’individu est parfois un défi de la taille d’une montagne. Timidité, faible estime de soi, peur du regard des autres… il existe une multitude de raisons qui peuvent empêcher de s’affirmer avec assurance. Pourtant, ce n’est pas un statut figé que de ne pas y parvenir. Et pour vous y aider, le coaching peut d’ailleurs être une excellente solution ! Alors qu’est-ce que l’affirmation de soi exactement ? À quoi sert-elle ? Et comment parvenir à s’affirmer pleinement ?
Affirmation de soi : définition
L’affirmation de soi se définit par une capacité à savoir exprimer ses besoins, son opinion, ses sentiments… etc. Le fait de s’affirmer n’est ainsi pas un comportement qui nous vient de l’extérieur, mais bel et bien de l’intérieur. Il est inhérent à qui nous sommes et ce que nous voulons. C’est également la raison pour laquelle il est possible de travailler sur le fait de s’affirmer au quotidien.
Plus encore, l’affirmation de soi ne repose pas uniquement sur une capacité à communiquer selon ses besoins. En effet, c’est une notion bien plus vaste qui vous donne le pouvoir d’agir face à vos besoins mais aussi sur votre environnement.
Affirmation de soi ou assertivité ?
La question se pose. Et pour cause, au cours du XXe siècle, Andrew Salter, un psychologue américain, introduit le terme d’ « assertivité » et en propose une définition relativement proche de l’affirmation de soi.
Ainsi, selon lui, l’assertivité serait la « capacité à s’exprimer et à défendre ses droits sans empiéter sur ceux d’autrui ». Derrière le terme « droit », aucune référence juridique. Il est ici plutôt question du droit au bonheur, au respect, au bien-être… etc.
La notion essentielle dans le concept d’assertivité n’est pas de clamer ses droits avant de les prendre : il s’agit de pouvoir exprimer ses besoins sans animosité, et surtout dans le respect des besoins d’autrui.
Ce concept d’assertivité a été étudié tout au long du XXe siècle à travers de nombreux ouvrages ayant vu le jour.
Quelques ressources sur l’assertivité et l’affirmation de soi :
- « Comment s’affirmer – l’assertivité au quotidien », Éric Schuler, 1992 ;
- « L’affirmation de soi : une méthode de thérapie », Frédéric Fanget et Bernard Rouchouse, 2007 ;
- « L’affirmation de soi : mieux gérer ses relations avec les autres », Dominique Chalvin, 2009 ;
- « L’affirmation de soi », Raphaëlle Giordano, Izumi Mattei-Cazalis, 2010.
Pourquoi s’affirmer ?
Savoir exprimer ses besoins, c’est toujours une bonne chose. Mais plus concrètement, pourquoi est-ce bien de s’affirmer au quotidien ? Au-delà de prendre soin de soi et de se connaître, l’affirmation de soi est un réel outil qui vous permet de vivre plus sereinement et surtout, selon vos envies.
En s’affirmant au quotidien, ce sont de nombreux blocages qui prennent fin. Parmi les avantages à s’affirmer, il est possible de citer :
- Savoir s’écouter et se faire écouter ;
- Se respecter et respecter autrui ;
- Exprimer clairement ses opinions ;
- Améliorer sa confiance en soi et son estime de soi ;
- Reconnaître votre valeur ;
- Libérer votre tête et votre corps ;
- Établir des relations interpersonnelles qui vous conviennent ;
- Être actrice de sa propre vie !
Ainsi, s’affirmer au quotidien fait autant de bien à l’esprit qu’au corps et aux émotions. De manière générale, l’affirmation de soi permet de vivre comme vous le voulez, sans pour autant négliger les sentiments ou les limites d’autrui.
C’est une question d’équilibre, chacun en possédant un qui lui est propre et surtout qui est en accord avec son moi profond !
Le coaching pour s’affirmer au quotidien
L’une des façons les plus efficaces pour pouvoir s’affirmer au quotidien, c’est le coaching. Le coaching est un mode d’accompagnement thérapeutique qui a, au fil des années, fait ses preuves. Il est possible d’entamer un coaching, tant pour des raisons personnelles que professionnelles.
Le coaching repose sur différentes pratiques qui se rejoignent, comme le cognitivisme, le constructivisme, la psychologie cognitive, la sociologie, certains courants philosophiques, du comportementalisme… etc. Grâce au meilleur de ces pratiques thérapeutiques, le coaching incarne un accompagnement sur mesure et unique pour chaque personne.
Le coaching chez Nouvelle
Chez Nouvelle, le coaching s’adresse à toutes les femmes qui veulent approfondir leur connaissance d’elles-mêmes et révéler de nouvelles capacités. Parce qu’on a tous en soi une étoile qui ne demande qu’à rayonner !
Charlotte Vallet vous propose un suivi de 10 séances de coaching, afin de vous libérer des carcans de l’éducation, de la société ou parfois de ceux que l’on s’impose à soi-même. Si vous souhaitez apprendre à vous affirmer, comprendre qui vous êtes et surtout, découvrir les meilleurs moyens de répondre à vos besoins, n’hésitez pas : réservez un coaching avec Charlotte !
Parce que chez Nouvelle, la libération féminine est au cœur des préoccupations – et des soins proposés ! Vous pouvez d’ailleurs retrouver le détail des prestations proposées par Charlotte Vallet ici : prestations Nouvelle.
Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de notre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
-

Tout savoir sur le coaching made by Nouvelle !
Parfois, la vie devient… trop. Trop intense, changeant trop rapidement, trop chargée… Et nous ne parvenons pas à nous adapter seul. C’est ici qu’intervient le coaching. Proposant un accompagnement personnel selon les besoins de chaque personne, le coaching est un soin qui permet de réajuster les petits travers de nos vies, changer ses mauvaises habitudes… dans le but de trouver l’équilibre qui VOUS convient. Chez Nouvelle, ce soin est assuré par Charlotte Vallet, et l’on vous en dit tout ici !
Le coaching, késako ?
Le coaching se caractérise par un accompagnement sur mesure selon vos besoins. Entre la thérapie personnelle et une bonne séance de psychanalyse, le coaching fait appel à de nombreux domaines pour offrir un soin complet et efficace aux personnes qui souhaitent être coachées… À la différence près que le coaching met en place de réelles actions pour enclencher un passage à l’action !
Plus encore qu’un accompagnement, le coaching propose des exercices qui interviennent directement sur les paradigmes du cerveau. Autrement dit, suivre un coaching permet de modifier sa représentation (de soi et du monde), sa vision du monde, les modèles auxquels on accorde parfois trop d’importance… etc.
En bref, rebooter certaines parties du cerveau pour un quotidien plus serein et en adéquation avec vous-même !
Que propose le coaching chez Nouvelle ?
Chez Nouvelle, atelier parisien intimiste et chaleureux, Charlotte Vallet vous propose un coaching sur mesure qui vous permet de vous libérer totalement des schémas qui représentent un frein. Avec Charlotte Vallet, ces schémas se transforment petit à petit en souvenir, à la suite de séances basées sur une écoute et une bienveillance mutuelles. De quoi laisser place à de nouveaux mécanismes d’action et de pensées !
C’est au fruit d’un travail important sur vous et avec vous qu’il sera possible de découvrir en vous la force pour recréer de nouveaux mécanismes de pensées et d’action qui vous aideront au quotidien.
Le coaching est une méthode douce qui s’établit sur le long terme – Rome ne s’est pas faite en un jour ! Si certains résultats seront plus rapides à observer que d’autres, il est essentiel de faire preuve de patience et de compréhension envers soi lors d’un coaching. En effet, le coaching représente un réel investissement, autant mental, personnel que financier.
La question est de savoir : êtes-vous prête à bousculer votre quotidien pour un meilleur lendemain ?
Les bienfaits d’un coaching chez Nouvelle
La compréhension de son environnement :
Certaines périodes de la vie nous submergent simplement et il est parfois difficile de trouver de nouveaux repères. Grâce au coaching, vous parvenez à prendre du recul, régler des situations qui vous bloquent et trouver des repères au-delà des tempêtes de la vie !
La déconstruction de ses peurs et ses blocages :
La peur est un puissant frein dans l’existence. S’il est possible de se tourner vers l’EMDR ou l’hypnose afin de se débarrasser de ses phobies via un travail dans l’inconscient ou le mouvement oculaire, le coaching propose quant à lui des solutions concrètes à mettre en place rapidement. Cela vous permet de ne plus douter, et surtout, de passer outre la peur, quelle qu’elle soit.
Une nouvelle confiance en soi :
En suivant un coaching de dix séances, vous reprenez peu à peu confiance en vous. Grâce à cet accompagnement sur mesure, vous apprenez à vous faire passer en premier quand cela est nécessaire, à vous libérer de vos (nombreux ?) doutes et donc, à reprendre confiance en vous. Cette confiance en soi est essentielle pour débuter de nouveaux projets tout autant que pour avancer vers vos objectifs et vous épanouir de manière générale.
Libération de la parole :
Les séances de coaching offrent un espace sûr et confidentiel pour laisser libre cours à la parole. Il est alors possible de formuler à voix haute des pensées, des peurs, des schémas qui vous enchaînent pour s’en libérer un peu. Peu à peu, vous apprenez également à évoquer vos besoins, vos envies, vos ambitions… ce qui remonte votre estime de vous tout en améliorant votre façon de communiquer !
Établir un nouvel équilibre :
Le coaching, comme dit précédemment, c’est une manière douce et efficace de changer les paradigmes de votre cerveau pour repartir plus apaisée. Cela se traduit également à travers le fait de trouver un (nouvel) équilibre dans votre existence.
Un développement de vos capacités d’adaptation :
Certains événements demandent une grande capacité d’adaptation. Si les choses changent parfois très rapidement, il est alors possible de perdre ses repères et tanguer. Grâce au coaching, vous serez désormais capable de vous ajuster sans souci. Le meilleur équilibre, c’est VOUS.
Découverte de son potentiel profond :
On a toutes au fond de nous une force que l’on ne soupçonne pas. Ce feu intérieur ne s’éteint jamais complètement ; en revanche, à cause de soucis du quotidien, de peurs obscurcissant certains jugements, vous pouvez perdre ce feu de vue. Les séances de coaching permettent de faire un gros ménage intérieur pour ne conserver que ce qui vous aidera au quotidien : vous verrez dorénavant le feu de votre potentiel et votre force profonde – et probablement que celui-ci grandira !
Le recalibrage de votre esprit pour vous rendre invincible !
Changer les paradigmes de son cerveau est un travail sur le moyen- long terme. Mais une fois cela fait, il est alors possible de se concentrer sur tous ses objectifs de vie, qu’ils soient personnels, professionnels ou privés : vous êtes invincibles, plus rien ne peut vous arrêter !
À qui s’adresse le coaching ?
Le coaching s’adresse à toutes les personnes qui ne craignent pas ou ressentent le besoin d’être bousculées. Mais également à toutes les personnes qui vivent l’une de ces situations :
- Bloquée dans le travail ;
- Bloquée dans une vie de couple qui n’est pas épanouissante ;
- Bloquée dans une relation qui fait souffrir ;
- Avoir l’impression de ne pas être à la hauteur de ce que l’on voudrait vivre/ accomplir ;
- La peur d’oser vous pétrifie ;
- Vous craignez de ne pas mériter quelque chose de mieux ;
- Avoir le besoin d’être accompagné durant un grand changement… etc.
Quelle que soit la source de vos indécisions, il est possible de réserver un appel gratuit avec Charlotte Vallet afin d’en discuter. N’hésitez pas !
Le coaching chez Nouvelle : comment prendre rendez-vous ?
Si vous aussi, vous souhaitez commencer un coaching avec Charlotte Vallet, vous pouvez prendre rendez-vous juste ici : suivi de 10 séances de coaching par Charlotte.
Si vous souhaitez d’abord passer par un appel gratuit, c’est tout aussi possible. N’hésitez pas à réserver votre créneau juste ici : je prends rendez-vous pour un appel gratuit avec Charlotte.
En savoir plus sur Charlotte Vallet
Pour en apprendre plus sur Charlotte Vallet et son parcours inspirant, vous pouvez écouter le podcast dans lequel elle a été interviewée .
Et à travers un nouveau podcast intitulé Visions Nouvelles dans lequel elle accueille des femmes uniques, combattives et inspirantes.
Et si vous souhaitez d’abord vous concentrer sur certains aspects de vous, Charlotte vous propose différents Ebooks :
Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser.
Sortir de la dépendance affective
S’affranchir du regard des autres.
Pour aller plus loin…
Charlotte organise des retraites bien-être, loin de la ville et des soucis qui peuplent le quotidien. Il y aura ainsi une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Intitulées « Osmose et Orgasme », elles ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
Et pour ne rien manquer de l’actualité chez Nouvelle, abonnez-vous à la newsletter !
-

Être libre en acceptant de ne pas briller 24/7
Alors que certains jours ressemblent au lendemain d’une victoire importante, à d’autres moments, l’on peut se sentir contrariée, démotivée ou simplement ne pas aller aussi bien qu’on le voudrait. Le bien-être n’est pas un état linéaire. Il est parfois ponctué d’instants plus lourds à porter et plus pesants à vivre. Alors comment accepter de ne pas aller tout le temps bien ? Est-ce vraiment important de briller tout le temps ?
Ne pas aller bien = être humain
Il y a de nombreuses raisons qui peuvent faire qu’un matin, l’on se réveille un peu grognon. La nuit a été mauvaise, les contrariétés s’accumulent, on se cogne le petit doigt de pied dans le coin du lit… Tous les détails qui font d’ordinaire une journée agréable semblent se retourner contre vous et s’acharner. Au-delà de ces petites contrariétés et inattentions, il y a d’autres raisons qui peuvent justifier que l’on n’aille parfois pas bien :
- La fatigue ou un mauvais sommeil (augmente l’irritabilité) ;
- Une grande période de stress (joue sur l’humeur) ;
- Subir la pression que l’on s’impose soi-même (nervosité constante) ;
- Un travail qui ne nous comble pas ;
- Un mal-être sous-jacent ;
- L’angoisse
- Une baisse de confiance ou d’estime de soi… etc.
Voilà tout autant de raisons qui peuvent parfois retomber sur nos épaules dans un fracas qui se nomme Mauvaise Humeur. Et vous souhaitez connaître un secret ? C’est totalement humain.
Pourquoi appréhender sa mauvaise humeur ?
Parfois, la mauvaise humeur ou le fait de se sentir mal peut être agaçant. La conscience de soi permet la compréhension et la perception de son propre mal-être et donc, celles de toutes les cases que la société impose et que vous ne cocherez probablement pas aujourd’hui. Et ce n’est pas grave !
Aller bien possède une certaine facilité dans son ressenti. Et pour cause, l’on se laisse porter par cet état de bien-être, y puisant une force tranquille et perçue comme « positive ».
En acceptant de ne pas aller bien, d’être un peu morose, démotivée, fatiguée ou tout simplement de mauvaise humeur, il est alors possible d’en découvrir davantage sur soi. Parce que nous sommes des êtres complexes, uniques et dotés d’une multitude de sentiments différents, il est naturel de ne pas être au top chaque minute de chaque jour.
Et c’est tant mieux ! L’éventail de nos sentiments permet de se connaître, de se comprendre et en acceptant tout ce qui fait de nous qui nous sommes, ce sont de nouveaux chemins qui s’offrent à nous sur la grande route du bien-être et du bonheur.
Comment appréhender sa mauvaise humeur ?
Certains médecins parlent de « symptômes » liés à la mauvaise humeur. Parmi eux, il est possible de citer :
- La frustration ;
- L’agacement ;
- L’irritabilité ;
- Une fatigue exacerbée ;
- Un manque de patience envers soi et/ ou les autres ;
- Une baisse de motivation ;
- Des difficultés à se concentrer ;
- De la nervosité, etc.
Pour mieux appréhender sa mauvaise humeur ou le fait de ne pas se sentir au top de sa forme parfois, il existe quelques petits tips qu’il est possible de prendre en compte :
Accueillir ses émotions :
Qu’elles soient positives ou dites « négatives », vos émotions sont présentes pour une raison. Les accueillir avec bienveillance et calme est essentiel. Cela évite de ressentir de la frustration ou de se braquer.
Accepter ses émotions :
Les émotions s’établissent sur un spectre si large qu’il est difficile d’en faire le tour complet. Toutefois, gardez en tête que chaque émotion est une manifestation de l’inconscient. Écoutez-les pour vous comprendre et ajuster ce qui, dans votre vie, provoque ces moments de « moins bien ».
Rationnaliser (demain tout ira mieux) :
Ces moments où les choses vont moins bien et où tout semble se liguer contre vous sont éphémères. Ils peuvent durer quelques heures à plusieurs jours, et le fait de rationnaliser les pensées qui se manifestent en parallèle de ces émotions permet de les appréhender avec sérénité. Ne vous détestez pas, ne vous condamnez pas vous-mêmes ; vos émotions sont présentes et vous savez que bientôt, tout ira mieux.
Accepter les moments « bas » :
Si la vie n’était composée que de moments hauts en couleurs, alors plus personne n’apprécierait ces couleurs. Les moments « bas » permettent de prendre du recul, de faire le point sur soi-même et sa vie et de repartir en forme ensuite. Ces moments sont comme les pauses dans une station-service ; ils permettent de refaire le plein pour continuer la route. Ne les diabolisons pas ; vivons-les pleinement !
Faire des activités qui vous font du bien :
Lors de ces périodes où vos émotions paraissent plus lourdes à vivre, concentrez-vous sur des choses qui vous aident d’ordinaire. Des activités que vous aimez pratiquer, des choses qui vous font du bien… prenez le temps de vous redécouvrir et de vivre à votre rythme.
Se reconnecter à soi (plus que jamais !) :
Enfin, plus que jamais, ces périodes où l’on ne va pas bien sont essentielles pour se reconnecter à soi. Prendre le temps de se connecter à soi, en profondeur et sans filtre est primordial afin de comprendre ce qui se passe dans votre vie et en vous. De cette façon, vous pouvez vous ajuster ou ajuster des pans de votre vie au besoin avant de continuer.
S’accepter entièrement est une porte vers la liberté
En acceptant de ne pas toujours aller bien, l’on devient libre. En effet, vous n’êtes alors plus dépendantes de vos émotions ou de votre état, mais vous en prenez le contrôle. C’est cette prise de conscience de soi les jours où l’humeur n’est pas au top qui permet de tout de même décider de sa journée et la vivre en total accord avec ses ressentis.
Que vous ayez envie de ne rien faire, que vous préfériez vous occuper pour tenter d’oublier ces « mauvaises » émotions : vous êtes pleinement maîtresse de vous et votre quotidien. Ne pas aller bien est totalement humain et l’accepter permet de s’accepter également.
En ne rejetant pas une partie de vous, vous désencombrez une route vers une nouvelle liberté : celle d’être pleinement vous-même, peu importe les échecs, les peurs ou les obstacles de la vie.
En quelques mots
Ne pas briller tout le temps, c’est naturel. Il faut parfois recharger ses batteries, se mettre en retrait, s’écarter un peu de son chemin pour pouvoir repartir sur de bonnes bases. Ce n’est pas un échec ou un abandon, mais bel et bien une preuve d’écoute de soi et d’acceptation.
C’est ce raisonnement qui vous permettra d’accepter que certains jours, ou bien à certaines périodes, vous ne pouvez pas briller. Et c’est totalement OK !
Chez Nouvelle , l’émancipation est au cœur de tous les soins. Si vous avez besoin d’une pause loin du quotidien et de temps pour vous, vous pouvez vous tourner vers les prestations délivrées par Charlotte Vallet.
De même, si le regard des autres vous semble trop lourd à affronter durant ces périodes, vous pouvez télécharger l’Ebook : « S’affranchir du regard des autres » par Charlotte Vallet ».
Si le fait de ne pas aller bien est source d’une angoisse bien trop encombrante, il est possible de travailler sur celle-ci afin de s’en détacher grâce à un Ebook : « Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser » (édition complète) – par Charlotte Vallet ».
Enfin, Charlotte Vallet vous propose également un Ebook afin de se délivrer de la dépendance affective : Sortir de la dépendance affective.
Pour aller plus loin…
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
Et pour ne rien manquer de l’actualité chez Nouvelle, vous pouvez vous abonner à la newsletter !
-

L’échec n’est pas un échec !
Nous avons toutes déjà été confrontés à l’échec dans nos vies. Pourtant, l’échec ne signe pas la fin de toutes choses. Si l’éprouver, lui faire face et rebondir demande un grand travail sur soi, il est important de comprendre que l’échec n’est pas toujours… un échec ! Faisant partie d’un processus bien plus grand que lui, il peut parfois prendre l’apparence d’un ajustement, d’une force, d’un message… et c’est peut-être ce qui en fait toute sa complexité.
Comment définir le sentiment d’échec ?
La définition de l’échec, selon Oxford Languages, est « une insatisfaction ou un revers ». Autrement dit, l’échec se traduit par une absence de satisfaction quant à ce qui a été entrepris, décidé…etc. Le concept d’échec s’applique aussi bien dans le domaine professionnel, scolaire, personnel, relationnel, étudiant… etc. L’échec, cependant, porte en lui une connotation éphémère.
Souvent perçu comme « négatif », l’échec représente dans la croyance populaire une absence de réussite. Pourtant, et malgré les définitions qu’il possède, l’échec ne signe pas le contraire de la réussite.
Le sentiment d’échec, en revanche, est légèrement plus complexe à expliquer. Il ne s’agit pas forcément de faire face à une situation qui n’a pas eu les attentes escomptées. Toutefois, le sentiment d’échec ne surgit pas seulement suite à un échec. En effet, l’arrivée de regrets en repensant à une situation peut également entraîner un sentiment d’échec.
La diabolisation de l’échec dans la société
La société s’est tant concentrée sur les systèmes de productivité et d’efficacité dans un objectif de rendement permanent, que l’échec a été associé à l’erreur. Dès lors, cette corrélation s’est étendue à tous les autres domaines de la vie, personnelle autant que professionnelle.
Dans cette course à la perfection (toute relative), il est parfois difficile d’appréhender un échec comme la partie d’un chemin et pas comme la fin d’une route bien avant l’horizon.
La pression sociale, la quête de perfection, course à la productivité… tant et tant de raisons qui nous poussent à considérer l’échec comme une erreur dont nous sommes pleinement responsables et pour laquelle nous serons assiégés de remords durant un temps indéterminé.
Les vertus de l’échec
Contrairement à ce que tout nous indique autour de nous, l’échec est loin d’être une fin négative à quoique ce soit. Bien au contraire, il porte en lui de nombreuses vertus, bien souvent ignorées, qui permettent à tout un chacun de grandir. Parmi les vertus de l’échec, l’on retrouve :
Rendre humble :
Ce n’est pas tant l’échec en lui-même qui peut entraîner un sentiment d’humilité, mais la façon dont vous accueillerez cet échec. Et pour cause, lorsqu’un échec survient, il est important de prendre du recul afin de comprendre où et comment la réussite escomptée s’est muée en échec. En admettant sa part de responsabilité et en étant prête à ajuster sa vision, c’est une certaine humilité qui nous cueille et cela est toujours un bonus au quotidien.
Engendrer une certaine sagesse :
L’échec n’enseigne pas seulement l’humilité envers soi et ses décisions, mais également de la sagesse. Et pour cause, plus encore qu’une prise de recul, l’échec permet d’étendre son champ d’action et de développer de nouvelles voies d’apprentissage. On étend sa zone de confort, on apprend à être résiliente avec soi-même et cela nourrit une sagesse unique en son genre.
Apprendre de ses « erreurs » ;
Si l’échec est si souvent associé à l’erreur, c’est parce qu’il suffit d’un grain de sable pour que tous les rouages se bloquent. Ce n’est pas toujours une erreur à proprement parler, mais il faut savoir analyser la situation afin de ne pas remettre ce grain de sable dans la machine. Apprendre de ses « erreurs », quelles qu’elles soient, permet de s’améliorer tout au long de sa vie sans craindre une situation d’échec.
Source de motivation ;
Pour certaines personnes, l’échec n’en a jamais été un. Parce qu’un échec est loin d’être la fin d’un chemin mais représente simplement un petit obstacle qui permet d’évoluer par la suite. Sans les échecs, les réussites n’auraient aucun goût. Ainsi, faire face à un échec peut devenir une réelle source de motivation pour beaucoup de personnes, qui y puisent une force souvent méconnue.
Enjoindre à ne pas abandonner :
Cela peut sembler paradoxal, mais l’échec peut persuader de poursuivre sur sa lancée – son projet, son objectif, ses études… etc. En effet, là où la société crie « tu as échoué, abandonne », le cœur tempère plus facilement ces pensées. Si ce que vous avez entrepris vous tient réellement à cœur, l’échec est, comme susmentionné, un souffle de motivation, un moyen de faire le point et d’ajuster ensuite sa stratégie.
Mieux se connaître :
Enfin, faire face à une situation d’échec n’est pas une fin en soi. Bien au contraire, l’échec ouvre la porte vers un nouveau voyage intérieur, fait de ressources inconnues et de force insoupçonnée. Plus encore, c’est puiser en soi un nouveau souffle qui permet de mieux se comprendre dans un premier temps, mais également de se rendre compte que certains changements dus à l’expérience ou aux objectifs de vie sont en train d’être amorcés. Parfois, l’échec est un murmure qui vous guide vers une nouvelle ère.
Surmonter l’échec
Il existe différents moyens de surmonter l’échec. Malgré les vertus qu’il représente lorsqu’il survient, il peut parfois être délicat de se figurer que l’échec est une « bonne » chose. Dans les groupes sociaux, auprès de vos proches ou vos collègues, l’échec est rapidement perçu comme étant une défaite, une erreur, une bêtise. Cela peut devenir une pression sur vos épaules et vous faire broyer du noir.
Pour surmonter l’échec, il est possible de :
- Accepter la situation (de toute façon les faits se sont produits, vous n’y pouvez rien !) ;
- Accueillir l’échec (c’est parfois difficile mais c’est VOTRE échec, et vous êtes seule à savoir ce que vous voulez en faire ou ce qu’il représente pour vous) ;
- Conserver du recul entre la pression externe (société, entourage) et vos ambitions intérieures ;
- Faire une pause (le temps permet d’y voir plus clair) ;
- Réessayer (tant que vous n’abandonnez pas, alors l’échec reste un échec ; pas une fin !) ;
- Demander de l’aide (il n’y a aucune honte à avoir !).
En quelques mots
Ainsi, l’échec est souvent considéré comme une aberration, une bêtise, une erreur. Pourtant, il peut se révéler source d’apprentissages multiples, tout autant sur soi que sur son environnement. Il permet de grandir, d’évoluer et donne volontiers des indications sur ce qui peut être fait différemment dans le futur. Enfin, il peut également vous révéler de nouvelles compétences et atouts que vous ne soupçonniez pas posséder.
Autrement dit, lorsqu’un échec survient, ce n’est pas la fin !
C’est peut-être même simplement le début…
Si vous souhaitez vous débarrasser du regard des autres afin de mieux vous recentrer sur vous et enfin oser ce qui vous fait tant envie, vous pouvez télécharger l’Ebook « S’affranchir du regard des autres » par Charlotte Vallet.
De même, si l’échec est une source d’angoisse pour vous, il est possible de travailler sur celles-ci afin de s’en détacher via un Ebook « Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser » (édition complète) – par Charlotte Vallet
Et pour ne rien manquer de l’actualité chez Nouvelle, vous pouvez vous abonner à la newsletter !
-

Trouver sa voie… ou la créer ?
Dès l’enfance, on entend parler de trouver sa voie. Finis les discours brefs qui se concluaient par « trouve un métier ». Désormais, l’on privilégie l’épanouissement au travail, en plus de celui dans la vie personnelle. Pourtant, pour des millions de personnes, trouver sa voie n’est pas une chose simple. Cela passe par quelques loupés, des larmes, de la sueur et même un burn-out, parfois.
Alors comment trouver sa voie ? En avons-nous toutes une ?
Les indices qui prouvent que vous n’êtes pas épanouie
Trouver sa voie suppose que vous n’êtes pas dans une situation qui vous procure plaisir et épanouissement. Plus qu’une simple remise en question, il y a de nombreux indices qui vous indiquent que vous ne faites plus quelque chose qui vous rend heureuse au travail. Parmi eux :
- Aller au travail la boule au ventre ;
- Le travail est une source de stress, d’angoisse;
- Vous ne voyez aucun intérêt aux tâches qui vous sont confiées ;
- Manque ou perte de motivation ;
- Peur de quitter votre travail actuel/ de l’échec ;
- Votre travail va à l’encontre de vos valeurs ;
- Vous ignorez quelles sont les motivations réelles de votre entreprise ;
- Votre vie privée passe après la vie professionnelle ;
- Vous vivez pour travailler au lieu de travailler pour vivre.
Trouver sa voie : décortiquer le concept derrière les mots
Trouver sa voie est salvateur. Beaucoup de personnes ayant trouvé leur voie sauront vous dire avec les mots exacts à quel point elles sont heureuses de se lever le matin. Pourtant, trouver sa voie ne veut pas dire ne pas travailler. Oubliez le fameux adage (« trouve un métier que tu aimes, et tu n’auras plus jamais à travailler »), la passion n’empêche pas les efforts pour atteindre ses objectifs.
Trouver sa voie peut poser souci. Parce qu’on peut ne pas savoir ce que l’on veut faire, même après vingt-cinq ans, parce que la vie évolue si vite que nos besoins sont sans cesse mis en branle, et plus simplement, que les passions changent à mesure que l’on évolue.
Trouver sa voie indique un fait sous-jacent selon lequel chaque personne possède une place quelque part – dans un secteur comme dans la vie. C’est dérangeant ! Et surtout, cela peut mener à une culpabilité inhérente au fait de se sentir « en marge ».
Trouver sa voie est-il vraiment si simple ? Et s’il fallait plutôt CRÉER sa voie ?
Pourquoi créer sa voie ?
À bas les cases que la société a si gentiment conçu pour nous. Chaque personne est plus qu’une étiquette. Vous êtes plus qu’un statut social, professionnel ou marital. Vouloir rentrer dans une case à tout prix, c’est aussi prendre le risque de perdre ou cacher certaines parties de soi qui pourraient être utiles ailleurs.
Créer sa voie, c’est ne pas s’abandonner. Aucune case ne vous convient ? Qu’à cela ne tienne, créez celle qui vous correspond, du SUR MESURE ! Professionnellement, le fait de créer votre propre case, de décorer vos propres étiquettes vous fera gagner en confiance et en épanouissement !
Si c’est un chemin parfois difficile – surtout dans l’amorce du premier pas –, il est bon de se rappeler que les choses qui font peur sont souvent importantes. Créer sa voie peut effrayer, et pourtant, c’est encore la meilleure décision que vous puissiez prendre : vous choisir, VOUS. Pas une multinationale dont les objectifs pèsent sur vos épaules de façon démesurée ; pas une entreprise qui prône le bien-être mais oublie volontiers celui de ses employés… etc. Vous, et seulement vous.
Les étapes pour créer sa voie
Tout comme Rome, créer sa propre voie ne se fait pas en un jour. C’est un processus qui s’établit sur le moyen-long terme et dans lequel il faut user de persévérance. Voici quelques pistes :
Nommer le projet :
Cela peut paraître basique voire puéril, pourtant, rien de tel que nommer une chose pour la comprendre ! Et plus encore, en lui trouvant un petit nom, vous vous appropriez cette chose. Créer sa voie est un concept abstrait dont les premiers pas constituent l’étape la plus délicate. Donner un nom – drôle, ironique, sage, original ou incompréhensible – à votre projet, c’est vous l’approprier. Et devinez quoi ? Vous venez de faire le premier pas !
Ne pas diaboliser l’échec :
Dans notre société ultra conditionnée et surproductive, l’échec est perçu comme une erreur, un raté, un loupé. Or, l’échec n’est pas une fin en soi ; au contraire, elle fait partie de l’apprentissage. Rassemblez votre stock de courage et de force, et continuez malgré lui : il représente une escale à visiter, pas la fin du voyage.
Étendre sa zone de confort :
Parce qu’en sortir demande parfois un effort trop grand, étendre sa zone de confort peut être une bonne démarche pour oser de nouvelles choses. Lorsqu’on créé sa propre voie, il faut être audacieux et ne pas craindre le jugement ni écouter ses pensées limitantes. L’étendue de sa zone de confort reste un allié de taille dans ce chemin unique !
Accepter les choses qui arrivent :
Il y aura des échecs, des réussites, de la peur et de la fierté. Acceptez tout. Parce que c’est ensemble que ces éléments vous permettent de tracer votre voie. En rejeter certains vous guiderait sur une mauvaise route, une route sur laquelle vous ne seriez pas alignées. Créer sa voie, c’est justement un moyen de s’épanouir : ne devenez pas votre pire ennemie !
Etablir ses règles :
Que vous soyez salariée, cadre ou entrepreneuse, établir des règles est nécessaire. Attention cependant à bien vous écouter. Avec votre expérience, vous savez désormais ce que vous voulez et ce que vous ne voulez plus ! Établir ses propres règles est un jeu difficile ; cependant, en le faisant, cela vous évite de partir dans des chemins sans issue. De plus, les règles incarnent un rappel constant de votre marche à suivre. Elles sont ajustables selon votre propre évolution et forment une base solide pour créer sa voie.
Le coup de pouce de Nouvelle !
Chez Nouvelle, atelier unique créé par Charlotte Vallet, il y a de nombreux soins et ateliers qui peuvent vous aider à créer votre propre voie à travers un travail intense et profond sur vous-même.
C’est notamment le cas de la formation « 6 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place » ou de la version plus approfondie « 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place ». Grâce à cette formation, il est possible de se connaître en profondeur, de se défaire des limites qui vous freinent et de prendre enfin la place qui vous revient de droit !
Vous pouvez également retrouver 10 séances Coaching par Charlotte Vallet , qui vous permettront de changer les paradigmes de votre cerveau qui vous empêchent d’avancer. Il s’agit d’un travail de fond qui s’établit sur 3 ou 4 mois et qui permet d’évoluer de façon concrète.
De même, l’hypnose thérapeutique est une aide qui permet de travailler directement dans l’inconscient pour vous aider à guérir, avancer, mais aussi vous accompagner lors des changements importants de votre vie.
Pour en apprendre davantage sur Charlotte Vallet
Charlotte est une femme franche et bienveillante. C’est avec toutes ses qualités et ses connaissances acquises grâce à de nombreuses formations et apprentissages qu’elle accompagne les femmes vers une guérison du corps, de l’esprit et des émotions.
Experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et de l’esprit, elle a créé Nouvelle afin d’en faire un atelier unique où toutes les femmes sont les bienvenues. Vous pouvez retrouver les détails sur sa page À propos.
De même, si vous souhaitez en apprendre davantage sur Charlotte Vallet, vous pouvez écouter l’épisode de Visions Nouvelles, son nouveau Podcast, dans lequel elle prend la parole : j’écoute l’épisode.
Pour vous libérer des angoisses, Charlotte Vallet vous offre son Ebook qui, page après page, vous permettra de vous libérer des angoisses ! Il contient également des séances d’hypnose afin d’effectuer un travail en profondeur.
Enfin, une toute nouvelle formation est disponible afin de prendre sa place ! À travers 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place, Charlotte Vallet vous accompagne pour vous approprier totalement et prendre plaisir au quotidien.
Et pour ne rien manquer de l’actualité chez Nouvelle, vous pouvez vous abonner à la newsletter !
-

Dire adieu au rougissement en public !
Ce léger picotement qui commence sur les joues alors que le corps se transforme doucement en fournaise… on le connaît bien. La peau picote, s’échauffe, et on a l’impression de se liquéfier intérieurement. Le rougissement en public est parfois attendrissant, mais à l’âge adulte, il peut réellement poser souci. Perte de confiance en soi, nervosité exacerbée, décrédibilisation dans une situation professionnelle « importante »… C’est rapidement un cercle vicieux qui se forme et duquel il est délicat de s’extirper.
Alors comment dire adieu au rougissement en public ? Toutes les réponses sont ici !
Qu’est-ce que le rougissement de la peau ?
Se débarrasser d’un rougissement n’est pas simple. Pour autant, ce n’est pas mission impossible non plus ! Mais arrêter de rougir en public ne se fait pas du jour au lendemain. En premier lieu, il faut comprendre que c’est un processus, et donc des petites habitudes à mettre en place au fil du temps.
En deuxième lieu, il est important de comprendre le fonctionnement du rougissement en public. Comment se fait-il que la peau arbore parfois cette teinte rouge tomate sans que l’on puisse contrôler quoi que ce soit ?
Le rougissement de la peau est un mécanisme de réponse du corps. En effet, c’est une réponse du système nerveux autonome. Ce système nerveux est responsable des fonctions automatiques du corps telles que la sudation ou les muscles cardiaques. Lorsqu’on est stressé, angoissé, nerveux ou mal à l’aise, le système nerveux le perçoit et envoie donc une réponse au corps… qui se traduit par un afflux de sang.
Ce qui se passe dans le corps quand on rougit
Au-delà du simple rougissement, la sensation de chaleur, parfois de brûlure, que l’on ressent dans le même temps est directement liée au fait que la température du sang est alors supérieure à la température de la peau. Cela créé un contraste qui nous fait ressentir la chaleur de façon puissante.
Pour entrer davantage dans le détail, il est possible de comparer la réaction du corps à un faux départ. Tout est en place pour la course, et au moment de sonner le départ, le corps s’élance en avant… mais pas au bon moment. Le rougissement en public, c’est la même chose.
Lorsqu’on est nerveux ou anxieux, le cerveau va recevoir le signal d’un « danger » (comme pour l’angoisse !). Même s’il n’en est rien dans la « vraie » vie, que ce danger est purement irrationnel, le corps va tout de même se défendre. Il sécrète alors une dose d’adrénaline suffisamment puissante pour que le corps se prépare à l’action. Le rythme cardiaque augmente de façon importante, le sang afflue aux organes, la température corporelle augmente, le processus de sudation est enclenché… et l’afflux de sang provoque une dilatation des vaisseaux sanguins ce qui augmente sa chaleur, à la source du fameux rougissement.
Pourquoi rougit-on en public ?
Il existe autant de raisons que de personnes de rougir en public. Au-delà de la nervosité ou d’un malaise ressenti à l’égard d’une situation, on distingue deux types de rougissements.
Le rougissement « adolescent » :
Celui-ci est relativement commun. L’adolescence est une période de transition importante, l’on passe de l’enfant à un jeune adulte. Le corps change, les émotions se bousculent, les hormones sont en pagaille… Et alors qu’on voudrait tous zapper cette période et partir en cavale loin de ce formidable bazar, l’attention se dirige parfois vers soi. C’est le drame ! Tout le corps est tendu, alerte, sur le qui-vive. Et l’on finit par rougir avant même de s’en rendre compte.
Le rougissement adulte :
En général, le rougissement en public finit par s’estomper à l’âge adulte. Toutefois, il y a de nombreuses personnes qui continuent de rougir une fois adultes. À cela, il y a plusieurs causes (stress, timidité, honte…etc.), dont une phobie très peu connue et pourtant véritablement lourde à porter.
Les causes du rougissement en public
- Nervosité ;
- Timidité ;
- Bégaiement, zozotement ou autre difficulté d’élocution ;
- Honte de soi ou d’une partie de soi ;
- Malaise à être soi-même ;
- Manque d’acceptation de soi ;
- Ne pas savoir qui l’on est ;
- Émotions en pagaille… etc.
Éreutophobie ou simple nervosité ?
Terme dérivé du grec « ereuthô » qui signifie « rougir » et « phobos » qui traduit la « peur », l’éreutophobie qualifie la peur de rougir en public. Il y a différents degrés d’éreutophobie, allant du petit rougissement sur les joues jusqu’au rougissement du torse et du tronc selon l’intensité des émotions liées à la situation vécue.
La peur de rougir en public est un signe d’anxiété sociale et traduirait en réalité un profond manque de confiance en soi associé à une phobie sociale. Cette phobie touche d’ailleurs plus les femmes que les hommes. Très rapidement, l’éreutophobie peut devenir un calvaire pour celles qui en font l’expérience, puisqu’il est possible de rougir de 10 à 30 fois par jour.
Il est essentiel de distinguer l’éreutophobie de la nervosité. La première est une réelle phobie tandis que la seconde se traduit davantage par de petits gestes nerveux et un léger rosissement de la peau. Cependant, la nervosité peut être une conséquence directe de l’éreutophobie.
Tips pour ne plus rougir en public !
Il existe de petits exercices et astuces qu’il est possible de mettre en place afin de diminuer les rougissements de la peau en public. Parmi eux :
Prendre conscience de la source :
Le rougissement en public est souvent une peur profonde du regard des autres. Comprendre pourquoi le regard d’autrui compte autant pour vous permettra de vous détacher progressivement de celui-ci. En réalité, les gens ne vous jugent pas ; vous êtes la seule à le faire aussi durement et souvent. Il est possible d’avoir accès à l’EMDR pour reprendre confiance en vous !
Vaincre la peur de rougir en public :
Comme toute peur, l’éreutophobie peut elle aussi être réduite. En effet, toutes les peurs sont majoritairement irrationnelles et nous empêchent pourtant de vivre sereinement. L’hypnose pour éradiquer ses peurs est une méthode douce et efficace. Petit à petit, la peur disparaît grâce à un travail dans l’inconscient tout en douceur.
Ne plus se cacher :
Vous rougissez en public ? OK, et alors ? Énoncer haut et fort la raison pour laquelle vous rougissez ou simplement le fait que vous rougissez permet de désamorcer la situation et de vous détendre dans le même temps. Rougir n’est pas grave ! De plus, toute expression de ses sentiments est un pas de plus dans la guérison de ses blessures.
Le rougissement en public est une expression de l’esprit :
Lorsque vous rougissez en public, c’est la façon qu’a trouvé votre esprit pour communiquer vos maux à votre corps. Manque de confiance, baisse d’estime de soi, hontes… les causes sont multiples. Mais a priori, il y a une gêne quelque part que votre corps traduit en rougissant. Adopter un discours bienveillant à son égard est primordial pour commencer à guérir ces maux. Un accompagnement peut également être envisagé pour vous retrouver.
Rougir n’est pas une maladie !
Rougir provoque d’intenses sensations dans tout le corps. On a alors tendance à se concentrer dessus sans plus rien voir autour. Pourtant, rougir n’est pas une maladie ! C’est, au même titre que bailler, une expression du corps. Il vous envoie un message, venant de l’esprit ou des émotions, et vous n’avez qu’une chose à faire : balayer la honte et la gêne pour n’écouter que lui !
En quelques mots
Rougir n’est pas une fin en soi. Souvent, c’est un signe comme un autre que quelque chose vous trouble, vous gêne, vous fait du mal. Il est essentiel de parvenir à détabouiser le sujet avec vous-même, et il le sera avec autrui. De la même façon, rougir en public peut parfois être un peu embarrassant mais ce n’est pas la fin du monde !
Vous êtes plus que votre rougissement. Vous êtes une personne emplie de nuances et de complexités. Ne laissez pas votre rougissement vous définir !
Et si vous avez besoin d’une aide extérieure, vous pouvez vous tourner vers Nouvelle. Charlotte Vallet y propose de nombreux soins qui permettent de se reconnecter à soi et de prendre soin de soi. Parmi eux, vous pouvez retrouver :
Hypnose thérapeutique : grâce à l’hypnose, il sera possible de travailler sur les mécanismes inconscients qui vous empêchent d’avancer et d’oser. En effectuant un travail profond et attentif sur l’inconscient, vous pouvez retrouver confiance en vous, estime de vous et un souffle nouveau qui vous libères de vos croyances limitantes !
Thérapie par EMDR : si vous souhaitez vous libérer des symptômes émotionnels qui vous pèsent, vous emprisonnent et vous empêchent de vivre, c’est vers ce soin qu’il faut se tourner.
Drainage lymphatique : ce soin permet d’annihiler la sensation de mal-être à travers un massage tonique et efficace qui permet de redonner de l’énergie au corps !
Coaching Nouvelle : grâce à un suivi de plusieurs séances, vous pourrez entamer un travail en profondeur sur les problématiques qui vous causent du tort au quotidien. L’objectif du coaching est de changer les paradigmes du cerveau afin de pouvoir avancer et s’épanouir !
Pour en apprendre davantage sur Charlotte Vallet
Charlotte est une femme franche et bienveillante. C’est avec toutes ses qualités et ses connaissances acquises grâce à de nombreuses formations et apprentissages qu’elle accompagne les femmes vers une guérison du corps, de l’esprit et des émotions.
Experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et de l’esprit, elle a créé Nouvelle afin d’en faire un atelier unique où toutes les femmes sont les bienvenues. Vous pouvez retrouver les détails sur sa page À propos.
De même, si vous souhaitez en apprendre davantage sur Charlotte Vallet, vous pouvez écouter l’épisode de Visions Nouvelles, son nouveau Podcast, dans lequel elle prend la parole : j’écoute l’épisode.
Pour vous libérer des angoisses, Charlotte Vallet vous offre son Ebook qui, page après page, vous permettra de vous libérer des angoisses ! Il contient également des séances d’hypnose afin d’effectuer un travail en profondeur.
Enfin, une toute nouvelle formation est disponible afin de prendre sa place ! À travers 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place, Charlotte Vallet vous accompagne pour vous approprier totalement et prendre plaisir au quotidien.
Et pour ne rien manquer de l’actualité chez Nouvelle, vous pouvez vous abonner à la newsletter !
-

En 2023, prends ta fucking place !
La nouvelle année approche à grands pas, et autour de soi les gens exultent. Cette effervescence peut facilement se traduire par la notion de renouveau qui colle à la peau de tous les réveillons du nouvel-an. Faites fi des serpentins, du champagne, de cette joie émulsive. Nombreuses sont les personnes à effectuer une liste de résolutions pour l’année à venir… sauf que les résolutions sont souvent stressantes, contraignantes et finalement… vaines.
Et si cette année, la seule chose à faire était de VRAIMENT vous concentrer sur vous ?
A-t-on tous une place ?
Trouver sa place paraît absurde pour certaines personnes. Pourtant, on en a tous une. Le seul détail à prendre en compte est qu’il ne suffit pas de la « trouver ». Sa place, on la CRÉE.
Si on a tous une place à créer, c’est car chaque personne est unique, et le fait de créer sa propre place permet de conserver cette unicité tout en se sentant épanouie. Le bonheur et l’épanouissement sont parfois plus proches qu’on ne le pense…
Pourquoi créer sa place ?
Pour le moment, il est vrai qu’on est tous à une place. Certaines personnes se définissent de par leur travail, leur statut, leur situation maritale… etc. Mais est-ce pour autant leur place ? C’est la place qu’elles occupent aujourd’hui. Ce n’est pas la place qu’elles ont créée, et de ce fait, peut-être pas entièrement LEUR place.
Créer sa place, c’est pouvoir :
- Prendre plaisir à vivre son quotidien ;
- Se connaître en profondeur ;
- Savoir identifier ses besoins et envies et ajuster sa vie en fonction ;
- Aligner son cœur, son esprit et son corps ;
- Développer de nouveaux schémas de pensée ;
- Vivre pleinement et sans regrets ;
- Se renouveler.
Créer sa place, c’est se donner les moyens de trouver qui vous êtes réellement. Car parvenir à créer sa place ne se fait pas du jour au lendemain. En effet, il faut pour cela tout un processus qui permet de s’explorer soi-même avant de découvrir réellement ce qu’il nous faut pour être épanouie et libre.
Comment créer sa place ?
Créer sa place est un développement qui ne se fait pas du jour au lendemain. Et pour cause, il est important de se découvrir, de se connaître, de se comprendre, de s’aimer et de se pardonner aussi, parfois. Voici quelques pistes pour créer sa place :
Être déterminée et persévérante :
Comme mentionné ci-dessus, créer sa place dans le monde est réellement bénéfique au quotidien. Mais c’est aussi un travail qui peut être difficile et pour lequel la détermination et la persévérance sont des qualités essentielles – ainsi que dans beaucoup d’évolution et de période de changement
Surmonter la crainte et l’échec :
Ces deux notions sont bien souvent mises en corrélation dans la grande famille des situations « négatives ». Pourtant, quoi de mieux qu’un échec pour apprendre une nouvelle fois ? Quoi de mieux que la crainte pour mesurer son courage ? Ces deux sentiments sont humains et savoir les surmonter quoiqu’il advienne permet d’en apprendre davantage sur soi et ses ambitions. Un moyen de se rapprocher de sa place !
Chaque pas est important :
Vous l’aurez compris, créer sa place est un processus actif. Il ne s’agit pas ici de simplement identifier ses besoins et ses ambitions sans pouvoir y répondre – cela serait bien frustrant. Créer sa place nécessite que vous soyez dans une démarche active et non passive, afin de chaque jour faire un pas en avant – qu’il soit minuscule ou gigantesque, peu importe !
Laisser de la place aux surprises :
Ça peut paraître un peu naïf, et pourtant, combien de fois la vie dépose-t-elle des surprises sur le pas de nos existences ? Suffisamment pour savoir que tout ne se passe pas comme on le prévoit ou comme on le souhaite parfois. Pourtant, il est indispensable de ne pas se fermer aux imprévus, aux surprises et à ce qui ne peut être contrôlé. De cette façon, il sera possible d’acquérir une flexibilité essentielle pour tous les domaines de la vie.
La formation exclusive chez Nouvelle
Chez Nouvelle, lieu chaleureux et unique à Paris (75017), Charlotte Vallet vous accueille afin de vous proposer des soins pour le corps et l’esprit qui vous aideront à vous émanciper.
Situé au 87 Bis Avenue de Wagram, l’atelier Nouvelle vous accueille pour des soins du corps, de l’esprit et des émotions. Charlotte Vallet est profondément convaincue par les bienfaits d’une guérison féminine pour atteindre une émancipation totale et épanouissante !
C’est dans cette optique que Charlotte Vallet a créé une formation 100% unique pour aider les femmes à prendre leur place. La formation 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place vous attend dès maintenant !
Au programme, un suivi sur mesure pour se bousculer et en apprendre davantage sur soi. À travers trois modules très complets sur lesquels vous pouvez vous appuyer, il est possible de commencer un travail sur soi en profondeur.
Associée à des rendez-vous réguliers pour un suivi encore plus sérieux et de séances d’hypnose qui permettent de recalibrer son cerveau, cette formation vous offre un réel accompagnement pour sortir de votre coquille, vous départir de tout ce qui vous freine, rencontrer la « vraie » vous et lui permettre d’exister entièrement !
Les bienfaits de cette formation unique
Cette formation porte en elle de nombreux bienfaits. Parmi eux :
- De l’apaisement ;
- De l’assurance et de confiance en soi ;
- Une meilleure estime de soi ;
- Une sensation d’être ancrée et « solide » ;
- De la résilience et du courage ;
- Une confiance dans la prise de risque ;
- Un nouveau réseau ;
- Un changement important (et nécessaire ?) dans votre vie.
Les places sont limitées, et cet accompagnement commence dès le mois de janvier ! Pour réserver votre place c’est par ici :
Pour en apprendre davantage sur Charlotte Vallet
Charlotte est une femme franche et bienveillante. C’est avec toutes ses qualités et ses connaissances acquises grâce à de nombreuses formations et apprentissages qu’elle accompagne les femmes vers une guérison du corps, de l’esprit et des émotions.
Experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et de l’esprit, elle a créé Nouvelle afin d’en faire un atelier unique où toutes les femmes sont les bienvenues. Vous pouvez retrouver les détails sur sa page À propos.
De même, si vous souhaitez en apprendre davantage sur Charlotte Vallet, vous pouvez écouter l’épisode de Visions Nouvelles, son nouveau Podcast, dans lequel elle prend la parole : j’écoute l’épisode.
Et si 2023 était le moment ou jamais de prendre votre place ?
-

Surmonter sa peur du changement grâce au coaching
La vie est un changement perpétuel. Les situations changent, les gens aussi, tout comme les émotions et les ambitions. Ces changements peuvent parfois faire peur, tant ils surgissent rapidement et sans prévenir. Selon la sensibilité de chacun, le changement se ressent parfois. Mais pas toujours. Pour contrer cette peur du changement, il est souvent facile et confortable de s’établir dans une routine. L’illusion de contrôle s’installe et vous pensez être hors de cause. Mais le changement trouve toujours un chemin… alors comment surmonter sa peur du changement grâce au coaching ?
La peur du changement
La peur du changement peut se manifester dans des actes quotidiens (changer de supermarché) ou bien lors de certaines étapes de la vie (déménagement, changement de travail…etc.). Quelle que soit la cause du changement, il peut être difficile de l’appréhender.
Mais en ignorant les signaux de cette peur, en vous cachant derrière cette routine involontaire, vous ne réglez pas le souci. Vous vous dissimulez à lui, et croyez-moi, il trouvera un chemin pour vous retrouver. Éviter la peur du changement, ce n’est pas la vaincre.
Les signes de la peur du changement
Certains signes permettent de déceler et d’identifier la peur du changement. Parmi eux :
- L’inaction (préférence à rester dans une situation même si elle vous rend malheureuse) ;
- La routine (elle devient une (fausse) alliée qui vous donne l’illusion de contrôle) ;
- Les maux de ventre (les organes sont étroitement liés à l’esprit. La boule au ventre peut être une expression de l’angoisse quant à votre situation) ;
- L’anxiété (elle se manifeste quand vous pensez au changement et peut même entraîner un état de déni quant à votre situation) ;
- Les signes physiques (eczéma, nausées, nervosité…).
Tant et tant de signes qui prouvent que vous craignez profondément le changement. Pourtant, le changement amène souvent de belles surprises. Et s’il était temps de se débarrasser de cette peur irrationnelle pour embrasser pleinement l’avenir ?
La peur du changement : pourquoi la surmonter ?
Surmonter la peur du changement n’est pas une mission dans la vie. Cependant, cette peur peut se montrer très handicapante au quotidien, et vous priver de nombreuses opportunités. La surmonter grâce au coaching permet alors de :
- Appréhender son avenir avec plus de sérénité ;
- Ne plus se priver d’agir ou de vivre ;
- Dire bye-bye à une routine nocive ;
- Vaincre ses peurs ;
- Comprendre les origines de cette peur ;
- Vivre paisiblement.
Le coaching comme outil pour gérer sa peur
Le coaching ne promet pas de guérir en totalité la peur du changement qui vous freine au quotidien. En réalité, le coaching offre un travail de fond qui permet de découvrir les clés en vous pour surmonter cette peur.
Le coaching est une méthode douce et relativement récente qui accompagne aussi bien les particuliers que les professionnels, équipes de sport ou de travail. Chez Nouvelle, le coaching s’adresse à toutes les femmes qui veulent approfondir leur connaissance d’elle-même et révéler de nouvelles capacités. Parce qu’on a toutes en soi une étoile qui ne demande qu’à rayonner !
Le coaching est donc une méthode d’accompagnement qui vous aidera à comprendre qui vous êtes, éradiquer vos peurs , vos blocages, apprendre à vous connaître ou encore révéler les clés qui se trouvent en vous pour établir un rééquilibrage de votre vie.
Les bienfaits du coaching pour surmonter sa peur
Comprendre la peur du changement :
La peur du changement peut avoir plusieurs sources. Les causes de la peur du changement sont multiples. Derrière la peur du changement, il peut tout aussi bien se cacher une peur viscérale de l’inconnu, une peur de ne pas avoir le contrôle, une peur de l’échec… etc. Le coaching est alors une aide précieuse pour comprendre la cause exacte de cette peur. Et en l’identifiant, elle devient déjà un peu plus petite.
Profiter d’un nouvel angle d’approche :
Le coaching est un accompagnement dans la profondeur de l’être. La thérapeute va tenter de faire comprendre les propres mécanismes d’une personne tout en travaillant sur les blocages qui freinent cette même personne. Autrement dit, elle offre un angle d’approche qui mêle recul et objectivité. Ce nouvel angle d’approche peut réellement aider à mieux appréhender cette peur du changement pour l’atténuer.
Déconstruire sa peur :
L’étape suivante, c’est la déconstruction de cette peur. Le coaching aide à comprendre quelles sont les origines de cette peur et ainsi à la désacraliser pour qu’elle n’ait plus autant d’impact. Au quotidien, les effets positifs du coaching se ressentiront.
Recalibrer son esprit :
Le coaching permet également de recalibrer son esprit. Autrement dit, après avoir déconstruit cette peur du changement, il sera d’autant plus aisé pour toi de retravailler sur tes mécanismes de pensées et d’action. Là encore, c’est un travail dont les effets se ressentent au quotidien, petit à petit.
Découvrir son potentiel :
Une fois cette peur amenuisée, il est alors possible de se découvrir un potentiel insoupçonné. Ce sont de nouvelles limites que vous possédez, bien plus lointaines. Le champ des possibles est alors plus vaste et la peur de l’inconnu ne peut plus vous freiner. Vous avez un potentiel souvent ignoré ou inconnu en vous : il est temps de le laisser vivre !
Affronter sa peur :
Enfin, le coaching permet de pouvoir affronter sa peur. À défaut de pouvoir l’éliminer totalement, il vous donne les clés pour vous comprendre et vous montrer plus courageuse. La peur est irrationnelle, et une fois qu’elle est identifiée et comprise, plus rien ne vous arrêtera !
Le coaching chez Nouvelle
Chez Nouvelle, Charlotte Vallet vous propose des séances de Coaching . Il est également possible de choisir un coaching avec un Suivi 10 séances, pour apprendre à mieux se connaître et agir en profondeur selon ce qui vous freine au quotidien. Chez Nouvelle, tout est mis en œuvre pour que vous puissiez vous émanciper et être libre de vivre comme vous l’entendez.
Lieu intimiste et chaleureux, vous retrouverez l’atelier Nouvelle situé au 87 Bis de l’Avenue de Wagram, 75017 PARIS. Cet atelier parisien vous propose de nombreux soins physiques et des séances qui permettent de se libérer de certains poids comme l’ EMDR ou encore une Séance d’hypnose .
Au cœur de cet endroit unique, vous trouverez Charlotte Vallet. Experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage, elle a créé Nouvelle en croyant à l’émancipation des femmes. La société fait peser sur nos épaules des injonctions sociales et mentales qui nous persuadent de nous limiter. La vie joue également parfois ce rôle avec certaines épreuves.
Chez Nouvelle, vous trouverez toujours une écoute, un soin et un accompagnement qui vous aideront à trouver le chemin de la liberté et plus encore, de vous-même.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur Charlotte en écoutant le podcast dans lequel elle a été interviewée ou en écoutant son podcast Combattantes.
Enfin, depuis peu, un nouveau podcast met en lumière des femmes merveilleuses via le Podcast Visions Nouvelles .
-

L’hypnose face aux troubles de la libido
Le tabou de la vie sexuelle des femmes a longtemps pesé. Comme un nuage noir au-dessus des conversations, un cadenas puissamment fermé qui a rouillé à travers les siècles, la sexualité féminine a été réduite au silence. Depuis quelques années toutefois, les femmes reprennent le pouvoir de leur vie et cela passe également à travers la libération de la parole concernant la sexualité des femmes.
On parle, on échange, et tout cela permet de relativiser les comportements sexuels et tout ce qui touche au domaine de l’intime. Et l’on s’est rapidement rendu compte que la libido, tout comme les émotions, était fluctuante. Alors comment faire face aux troubles de la libido que la vie bouscule parfois ? L’hypnose peut être un outil thérapeutique qui permet de se réaligner avec sa sexualité.
La libido et ses fluctuations
La libido est un mot venant du latin qui désigne le désir. Il est souvent utilisé en psychanalyse pour définir l’instinct sexuel dans son sens le plus large. Ainsi, la libido englobe toutes les nuances du désir sexuel.
Nous sommes toutes des êtres humains. Et en tant que tel, nous évoluons. Chaque étape de la vie, chaque moment vécu tend à nous faire devenir un individu plus complet. Avec ses blessures parfois, ses blocages, ses émotions, ses fou-rires, ses larmes et ses frissons. En somme, nous évoluons. Et il en va de même pour le désir sexuel que nous pouvons ressentir.
Certaines épreuves de la vie auront comme conséquence la baisse de libido, tandis que d’autres l’exacerberont. Cela dépend également de la réaction de chaque personne face aux événements. La libido, comme tout ce qui compose l’être humain, est à la fois un mécanisme théoriquement simple à comprendre et difficile à saisir dans sa pratique.
Les troubles sexuels chez les femmes
Chez les femmes, la libido semble rencontrer plus de nuances et d’évolution que chez les hommes. Les hormones, le cycle menstruel ou encore la sensibilité aux événements sont tant de raisons qui peuvent expliquer les fluctuations de la libido.
Parmi les troubles de la sexualité, il est possible de citer :
- Un désir sexuel inhibé ;
- Une incapacité à être excitée ;
- Aversion sexuelle ;
- L’anorgasmie (absence d’orgasme) ;
- Rapports sexuels douloureux ;
- Vaginisme.
BON À SAVOIR : Il est néanmoins important de ne pas confondre des troubles de la sexualité avec l’asexualité. Cette dernière est une sexualité entière et se caractérise par l’absence de désir et/ou d’attirance pour l’activité sexuelle. Les personnes asexuelles peuvent ressentir du désir sans pour autant désirer la pratique et l’assouvissement de ce désir. Contrairement à l’abstinence, l’asexualité n’a pas de connotation religieuse ou culturelle.
L’hypnose comme outil thérapeutique des troubles sexuels
L’hypnose est une méthode douce et efficace qui permet de retrouver un équilibre dans sa sexualité. À noter que chaque personne, dans le domaine de la sexualité comme celui des émotions, possède un équilibre propre à elle-même.
L’hypnose, qui travaille directement dans l’inconscient de la personne va alors permettre de modifier, estomper, adoucir certaines réactions du corps. Les traumatismes sexuels comme un viol ou une agression peuvent notamment être la source de blocages dans la sexualité.
Cette partie de la vie qui relève de l’intime nécessite un lâcher-prise. Plus encore, la libido a besoin de confiance, d’être à l’aise avec soi pour l’être avec l’autre ainsi que de désir. En cela, l’hypnose peut aider à retrouver un état de lâcher-prise qui permettra à votre libido de s’épanouir.
Une séance d’hypnose avec Charlotte Vallet
Chez Nouvelle, le bien-être et l’émancipation des femmes sont nos moteurs. En prenant rendez-vous avec Charlotte Vallet, voici comment se déroule votre séance d’hypnose. Dans un premier temps, c’est un échange authentique qui a lieu. Pour se soigner, il faut être honnête avec sa thérapeute mais surtout avec soi-même. Quelle que soit la problématique pour laquelle vous venez, vous ne serez jamais jugée chez Nouvelle.
Après cet échange, la séance d’hypnose débute. Chaque symptôme a une raison d’être présente dans l’inconscient. Charlotte va aller chercher cette intention pour comprendre ce qu’elle vous enseigne. Et oui, le corps parle ! Plus précisément, le corps est le messager de l’inconscient, et l’hypnose permet de réduire les symptômes physiques via un travail à la source : l’inconscient. C’est aussi pourquoi il est important de comprendre son corps pour apprécier sa sexualité.
Les bienfaits de l’hypnose pour les troubles de la libido
Ainsi, l’hypnose agit sur l’inconscient et peut réduire et estomper les symptômes qui vous empêchent de vivre votre sexualité comme bon vous semble. L’hypnose est un outil qui vous accompagne sur le chemin pour vous libérer. Concernant la libido, l’hypnose permet de :
Réduire le stress et l’anxiété :
En période de grand stress ou d’anxiété, la libido en pâtit. Exacerbée ou complètement cachée, la libido est directement impactée par ces deux facteurs. En vous déliant de ces deux états, l’hypnose vous ouvre une voix pour retrouver votre libido.
Retrouver confiance et estime de soi :
Là encore, une perte de confiance en soi ou un manque d’estime peuvent impacter la libido. Développant des pensées limitantes, la perte de confiance en soi et le manque d’estime de soi prennent des apparences d’absence d’envie. L’hypnose est alors un outil qui vous permet de débloquer ces pensées pour vous épanouir et retrouver confiance et estime !
Vaincre l’anorgasmie :
L’absence d’orgasme lors d’un rapport a longtemps été considérée normale pour une femme. Pourtant, les femmes méritent elles aussi d’avoir et de prendre du plaisir ! Mais la pression à l’orgasme, une mauvaise perception de soi ou un traumatisme peuvent être tant de raisons qui vous empêchent d’atteindre ce grand frisson. L’hypnose parvient alors à identifier la cause qui vous bloque et petit à petit, vous reprenez le contrôle de votre corps… et de vos orgasmes !
Surmonter un traumatisme :
En cas de viol ou d’agression, il arrive que la libido ne se manifeste pas tout de suite. Puis un jour, elle revient (les fameuses fluctuations), et vous ne savez plus comment faire avec elle. La peur, le chagrin, la souffrance, le passé sont tant d’éléments qui marquent et hantent. L’hypnose est alors une alliée sérieuse dans le traitement des souvenirs et peut ainsi vous aider à surmonter le traumatisme vécu.
Apprendre à lâcher prise :
La timidité, la pudeur ou encore un mode de vie inadapté sont également des raisons qui peuvent impacter la libido des femmes. Dans un ton plus léger mais tout aussi sérieux, l’hypnose peut simplement vous aider à vous libérer de ces barrières mentales érigées avec soin. S’amuser un peu ne fait de mal à personne !
L’hypnose chez Nouvelle
Chez Nouvelle, atelier situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris. Dans une ambiance chaleureuse et intimiste, Nouvelle vous offre les clés qui ouvreront la porte de l’émancipation. Liberté, authenticité et bienveillance, tels sont les mots d’ordre qui guident les femmes sur le chemin du bien-être et de la liberté.
Dans cet atelier unique et intimiste, vous trouverez notamment des Séances hypnose en une fois ou bien des séances d’Hypnose thérapeutique en forfait de 3 séances.
Chez Nouvelle, on sait que le corps et l’esprit sont liés. Charlotte Vallet a alors mis au point des soins uniques en leur genre, qui allient LED + Hypnose ou bien LED + Hypnose en forfait 6 séances. Pour que vous chouchoutiez votre peau et apaisiez votre esprit en une seule fois.
Le dernier soin tout récent, c’est le Soin Lumière hypnotique, il réunit en réalité l’usage de LED et l’outil qu’est l’hypnose afin de soigner le corps tout autant que l’esprit.
Vous pouvez prendre rendez-vous en ligne ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
En quelques mots…
L’hypnose est un outil utile, efficace et doux qui vous aide tant dans la compréhension de vous-même que dans l’émancipation de vos blocages, peurs, traumatismes ou limites. Si votre libido semble subir quelques aléas, sachez que ce n’est rien de grave. Là encore, elle fluctue tout au long de la vie. Et si vous souhaitez retrouver la fougue et vous libérer des carcans du passé, Nouvelle vous ouvre ses portes !
Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du visage et du corps vous attend chez Nouvelle. Vous pouvez aussi en découvrir plus en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant le podcast de Charlotte, Combattantes. Nouvelle a également son propre podcast ! Si vous souhaitez écouter les récits de femmes indépendantes, combatives, résilientes et uniques, on en parle par ici : Podcast – Charlotte Vallet.
Récemment, Charlotte a également sorti un Ebook pour – Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser.
-

L’hypnose et la confiance en soi
Tout au long de notre existence, nous pouvons être amenées à avoir plus ou moins de confiance en nous. Certaines épreuves de la vie ébranlent la confiance en soi, certains événements la mettent à rude épreuve et d’autres la terrassent bien facilement. Et lorsqu’elle disparaît ou s’estompe, certaines situations du quotidien peuvent devenir compliquées et délicates. Chez Nouvelle, on vous propose de travailler votre confiance en soi à travers l’hypnose. Et voici comment ça fonctionne !
La confiance en soi au quotidien
La confiance en soi est un élément clé de la personnalité. Sans elle, le quotidien devient plus difficile à envisager et peut même se révéler parfois douloureux – émotionnellement, mentalement… etc. La confiance en soi peut se définir comme le fait de croire en ses capacités, que celles-ci soient mentales, physiques, émotionnelles, capacité d’action ou encore de décision.
En perdant sa confiance en soi, en ne l’alimentant pas ou après un événement douloureux, traumatique, triste, inattendu ou particulièrement difficile, la confiance en soi peut s’effacer plus ou moins chez un individu.
Cette confiance en soi ne vous rend pas invincibles. Elle ressemble davantage à une main chaleureuse qui vous accompagne dans les différentes situations de la vie. Lorsqu’elle n’est plus présente, chaque événement peut devenir un réel obstacle à surmonter.
Absence de confiance en soi : conséquences
L’absence de confiance en soi peut être un vrai frein au quotidien. De même, lorsqu’elle commence à disparaître (et quelle qu’en soit la raison), elle ouvre alors une brèche en vous. La peur, les phobies, les doutes, le manque d’estime de soi, la timidité… c’est une porte ouverte pour des invités indésirables.
Des invités qui feront d’une situation banale, une véritable épreuve.
Plus encore, le manque de confiance en soi peut entraîner :
- Un effacement dans les cercles sociaux ;
- Des doutes constants ;
- Inaction renforcée ;
- Apparition ou développement des peurs ;
- Manque d’estime de soi ;
- Augmentation du stress ;
- Provoquer des angoisses ;
- Insatisfaction quant à ses actions et décisions ;
- Apparition du syndrome de l’imposteur;
- Haine de soi ;
- Dévalorisation constante… etc.
Le manque de confiance en soi peut entraîner des conséquences terribles et brutales pour l’individu qui en souffre. Il y a certaines conséquences qu’il est important de surveiller comme l’isolement social, l’apparition d’un mal-être ou encore un état de dépression.
Il est ainsi essentiel de se connaître afin de savoir lorsque les choses et vos propres perceptions changent. Cela peut être un « coup de blues » comme le signe d’un mal plus profond.
L’hypnose, un outil pour la confiance en soi
La confiance en soi revient parfois naturellement – suite à succès par exemple. Mais c’est un chemin long et périlleux, et ce chemin est parfois difficile à trouver. La chose importante, si vous observez une baisse de confiance en vous, c’est de vous tourner vers des thérapies sûres et efficaces.
L’hypnose est l’une d’elles.
Plus encore, l’hypnose est une méthode sûre et efficace, très connue à ce jour.
L’hypnose représente un travail essentiel pour la confiance en soi. En effet, le thérapeute entre en lien avec l’inconscient, où le travail a lieu. C’est grâce à la parole qu’il sera ensuite possible de communiquer avec vos pensées, et contester les pensées, les paroles et les comportements qui font office de limites. La séance est sans danger physique, mental ou émotionnel.
À noter : durant une séance d’hypnose, vous n’êtes jamais endormie. Vous restez à la frontière du sommeil, et avez conscience de ce qui se passe autour de vous.
Les bienfaits de l’hypnose
Travailler le lâcher-prise :
C’est l’un des points forts de l’hypnose. En travaillant sur l’inconscient, il est possible de débloquer certains mécanismes qu’un manque de confiance en soi aurait intégré naturellement. Mais vous n’êtes pas vos blocages ! L’hypnose va permettre d’effacer ces blocages mentaux pour que vous puissiez lâcher prise quand vous le souhaitez. Et au fur et à mesure que vous le ferez, cette démarche deviendra de plus en plus naturelle, encourageant la confiance en soi et estime de soi.
Remodeler ses croyances :
Là encore, puisque l’hypnose travaille directement dans l’inconscient, il est aisé de remodeler certaines croyances. Comme les croyances limitantes . Celles-ci sont parfois ancrées depuis longtemps, et les estomper vous permettra une prise d’initiative plus importante au quotidien ainsi que l’éloignement des croyances entraînant des pensées négatives (ex : je suis dépendante du regard des autres). En remodelant ces croyances, vous êtes libérée de ces barrières invisibles.
Libération de l’esprit :
En travaillant dans l’inconscient, l’hypnose est capable de remonter vers des souvenirs lointains, à l’origine de certains blocages, de croyances limitantes ou de phobies. En somme, tout ce qui peut vous empêcher de vivre pleinement au quotidien. Au-delà du souvenir, c’est surtout la source de ce phénomène que débloque l’hypnose. Afin que le souvenir ne soit traité que comme tel, et non comme un schéma de peur limitant qui se répète à l’infini dans le présent.
Travailler sur les phobies :
Les peurs et les phobies sont parfois très ancrées. À tel point qu’il peut être difficile de vivre pleinement en étant soi-même. L’hypnose permet alors de travailler sur ses peurs, afin que vous les surmontiez et qu’elles ne soient plus un frein dans l’existence. Plus encore, ce sont des limites quotidiennes qui s’élargissent, et les résultats sont visibles avec plusieurs séances.
L’hypnose chez Nouvelle
Chez Nouvelle, sont proposées des thérapies de l’âme et du corps dans un atmosphère bienveillante essentielle. Nouvelle est un atelier qui accompagne les femmes sur le chemin de l’émancipation. Dans cet atelier unique et intimiste, vous trouverez notamment des Séance hypnose en une fois ou bien des séances d’Hypnose thérapeutique en forfait de 3 séances.
Chez Nouvelle, on sait que le corps et l’esprit sont liés. Charlotte Vallet a alors mis au point des soins uniques en leur genre, qui allient LED + Hypnose ou bien LED + Hypnose en forfait 6 séances.
De quoi chouchouter la peau pendant que vous prenez soin de l’esprit.
Enfin, un dernier soin a vu le jour récemment. Appelé Soin Lumière hypnotique, il réunit en réalité l’usage de LED et l’outil qu’est l’hypnose afin de soigner le corps tout autant que l’esprit. En cas d’acné, de rosacée, d’eczéma, ou si vous souffrez de déprime, de dépression ou d’anxiété, ce soin est fait pour vous.
L’atelier est situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris. Vous pouvez prendre rendez-vous directement en ligne, ou bien par téléphone au 06.85.45.84.83.
En quelques mots…
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du visage et du corps. Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. Nouvelle a également son propre podcast ! Si vous souhaitez écouter les récits de femmes indépendantes, combatives, résilientes et uniques, on en parle par ici : Podcast – Charlotte Vallet.
Récemment, j’ai également sorti un Ebook pour – Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser.
Parce que l’émancipation des femmes est une priorité, j’ai créé Nouvelle pour vous aider à vivre en étant libérée des injonctions, des pressions sociale et personnelle, et loin des masques que la société nous pousse à porter.
-

Le remodelage du visage pour la confiance en soi
Nous possédons toutes des petites « imperfections » qui nous rendent finalement parfaites et uniques. Mais parfois, des petits détails prennent l’apparence de gros complexes. À une époque, la chirurgie esthétique était la solution toute trouvée pour y remédier. Mais si elle change l’aspect physique, elle ne parvient pas à apaiser le complexe qui prend sa source dans la psyché.
Depuis lors, de nombreuses pratiques se sont installées en Occident. Pour permettre, via une alternative douce et non-invasive, de se débarrasser de ses complexes faciaux et de se sentir mieux au quotidien ! Connaissez-vous le remodelage du visage ? Et ses nombreux bienfaits ?
Le remodelage du visage chez Nouvelle
Le remodelage du visage est bien souvent associé à des pratiques chirurgicales, des injections de toutes sortes ou encore des traitements. Mais chez Nouvelle, tous les soins proposés mettent en avant des techniques naturelles et non-invasives afin de s’émanciper des injonctions de la société.
Ainsi, le remodelage chez Nouvelle permet de se (re)découvrir, de gagner en confiance en soi ou encore de retrouver de l’estime de soi. S’il ne devait être résumé qu’en une phrase :
Le remodelage du visage chez Nouvelle fait briller votre extérieur à la hauteur de votre intérieur.
Autrement dit, c’est à travers un massage dynamique que j’élimine les émotions qui vous freinent et vous étouffent pour libérer votre vraie personnalité. Celle-ci se reflètera ainsi sur vos traits, vous permettant de gagner en confiance en vous. Durant ce massage, les muscles profonds sont sollicités, et la qualité de la peau s’épanouit quelle que soit sa texture. Retrouvez éclat, confiance en vous, calme et force grâce à ce soin unique.
Attention toutefois, le remodelage émotionnel du visage est différent d’un soin de drainage. Vous pouvez d’ailleurs retrouver mon article concernant Les bienfaits du drainage du visage et tout ce qu’il y a à savoir dessus.
Le masque de circonstance
Ce soin est proposé chez Nouvelle après de nombreuses observations de la vie quotidienne. Ce n’est pas un secret qu’il pèse sur les femmes des pressions intenses, des injonctions à la beauté, à la performance, à la sexualité, à la productivité…etc. Pourtant, les femmes ont le droit d’exister. Et s’il était temps de briller face au monde ?
En toutes circonstances, les femmes ont eu l’habitude de revêtir un masque. Celui de la mère attentionnée, celui de l’amie loyale, celui de l’amante concernée, celui de l’employée docile…etc. Pourtant, ces masques ne sont pas le reflet de tout ce qui vous compose. Parce que vous pouvez être plus qu’un masque, vous pouvez être vous-même.
Se départir de son masque peut être effrayant. C’est à la fois un acte de rébellion face à la société et ses sacro-saintes cases, à la fois un pas de plus vers une émancipation totale. Car être libre d’être soi-même est un chemin semé d’embûches, Nouvelle propose ce soin afin de vous révéler la force de votre potentiel.
Les bienfaits du remodelage du visage
Le remodelage du visage possède de nombreux bienfaits. Chez Nouvelle, il s’agit d’un remodelage émotionnel du visage. Autrement dit, je vous propose un soin complet qui permet de travailler à la fois la puissance que vous avez en vous, et l’image que vous allez projeter sur le monde dorénavant. Parmi les bienfaits du remodelage du visage, il est possible de citer :
Retrouver sa confiance en soi :
Le premier bienfait – et non le moindre – c’est la capacité qu’a ce soin de vous aider à retrouver votre confiance en vous. À travers un massage dynamique du visage et du cou, c’est tout votre potentiel qui se révèle à l’extérieur.
Se (re)découvrir :
Que vous soyez aspirée par le quotidien, les soucis, l’inquiétude, les activités, le travail, la déprime ou tout autre obstacle que la vie met sur notre chemin, le remodelage du visage permet de se reconnecter à soi. Plus encore, le remodelage émotionnel du visage permet de se (re)découvrir pleinement. Parce que toutes vos qualités intérieures se voient alors à l’extérieur. C’est retrouver un nouveau souffle, de la force, de la confiance, et être prête à tout accomplir !
Extérioriser les émotions :
Chez Nouvelle, le remodelage émotionnel du visage est un soin unique qui permet d’extérioriser ses émotions. Avec ce massage dynamique, les tissus de la peau sont sollicités en profondeur, ce qui permet de détendre les tensions, les muscles et les conséquences du stress ou encore de l’inquiétude. Grâce à un moment hors du temps, il est possible de se débarrasser des émotions qui polluent le quotidien et vous freinent.
S’accorder un instant de relaxation :
Les muscles profonds sont sollicités durant le remodelage émotionnel du visage. Cela permet un état de relaxation général malgré le dynamisme du massage. Adieu stress et tension, bonjour bien-être et apaisement !
Se reconnecter à soi :
Le remodelage émotionnel du visage que propose Nouvelle vous permet également de vous reconnecter à vous-même. Il révèle votre véritable personnalité à l’extérieur. Celle-là même qui a pu être mise à rude épreuve par la société, les attentes en tous genres, les expériences douloureuses, la fatigue, les croyances limitantes… Ce soin vous permettra de vous reconnecter à votre moi profond.
Les séances de remodelage émotionnel chez Nouvelle
Chez Nouvelle, le Remodelage émotionnel du visage est une séance d’une heure. Il est possible d’effectuer ce soin en séance unique, ou bien de choisir un forfait 6 séances. Une séance unique permet d’avoir des résultats immédiats et les effets de relaxation se ressentent bien. Un forfait, en revanche, permet de travailler en profondeur sur votre peau, de vous débarrasser pleinement des émotions pesantes et de révéler dans le temps toute votre personnalité.
L’atelier Nouvelle se situe au 87 Bis Avenue de Wagram.
Vous pouvez prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelle, l’émancipation des femmes est au cœur de mes valeurs. Pour que toutes puissent se sentir bien en étant elle-même, et se libérer des injonctions parfois vives que la société fait peser sur nos épaules.
En quelques mots…
Le remodelage émotionnel du visage chez Nouvelle vous permettra de retrouver une totale confiance en vous. En apaisant vos angoisses, en révélant votre véritable personnalité, en vous reconnectant à vous-même, c’est tout votre potentiel que vous pouvez appréhender et ressentir. Plus rien ne vous arrêtera !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du visage et du corps.
Vous pouvez en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Nouvelle a également son propre podcast ! Si vous souhaitez écouter les récits de femmes indépendantes, combatives, résilientes et uniques, on en parle par ici : Podcast – Charlotte Vallet.
-

Apprendre à se connaître à travers le coaching
Se connaître peut représenter le travail de toute une vie. Car tout comme elle, on évolue, on fluctue, on change, on connaît des hauts puis des bas, puis des hauts à nouveau. Rien n’est fixe, rien n’est statique. La connaissance de soi est tel un océan et bien souvent, nous ne connaissons de nous-mêmes que l’aspect de sa surface. Et s’il était temps d’explorer les profondeurs de vous-même ? Pour cela, le coaching peut vous accompagner dans cette découverte.
Qui êtes-vous ?
Il existe de nombreuses façons de se présenter. Bien souvent, les premières informations que vous délivrez sur vous-mêmes concernent votre prénom, votre nom, votre profession, au mieux vos centres d’intérêt. À la façon d’une carte d’identité, vous listez des faits qui vous concernent. Mais ces faits sont-ils le reflet de la réalité ? Et si vous ne vous connaissiez finalement pas du tout ?
Pour savoir qui vous êtes vraiment, il faut creuser plus loin. La personne que vous êtes se compose de multiples éléments qui font de vous qui vous êtes – à savoir quelqu’un d’unique. Il s’agit donc de :
- Explorer vos peurs – d’en surmonter certaines ? – ;
- Connaître vos points forts, vos faiblesses – qui ne sont pas un fardeau – ;
- Prendre confiance en vous ;
- Travailler sur votre estime de vous ;
- Savoir dire NON si vous en avez besoin ;
- Se défaire de la culpabilité ;
- Appréhender ses limites ;
- Etendre sa zone de confort… etc.
Autrement dit, tant et tant de notions qui vous permettent de trouver un équilibre au sein de vous-même. Mais à quoi tout cela peut-il bien servir ?
Pourquoi se connaître ?
Il y a mille et une raisons de vouloir se connaître.
Se départir de son masque de société :
Avec sa famille, ses ami.e.s, ses collègues, nombreuses sont les personnes qui revêtent un masque de circonstances. Si cela permet de s’intégrer momentanément dans un groupe social, c’est aussi le meilleur moyen de vous perdre de vue. Savoir qui vous êtes vous permet de ne plus porter aucun masque mais d’apparaître telle que vous êtes. Et c’est déjà extraordinaire !
Ne plus subir la solitude :
Beaucoup de personnes préfèrent se perdre dans une foule, un groupe, en bonne compagnie plutôt que se retrouver seules avec elles-mêmes. Le plus souvent, lorsqu’on ne sait pas qui l’on est, l’idée de la solitude apparaît alors comme effrayante, inacceptable, intolérable. Se connaître engage un processus qui permet de ne plus subir la solitude, mais de l’apprivoiser. Un moyen sûr d’en apprendre davantage sur vous et de passer de délicieux moment en tête-à-tête avec soi !
Se reconnecter à soi :
Dans une vie, dans un monde où tout tourne à cent à l’heure, il est parfois compliqué de prendre du temps pour soi. Plus encore, de pouvoir dégager des instants où seule vous compterez. Se connaître est aussi un moyen de se reconnecter à soi-même. Loin des injonctions sociales qui pèsent sur les femmes, vous prenez le temps de découvrir ce qui vous compose et comment entretenir la flamme de vie qui brille en vous. Se reconnecter à soi est essentiel dans la recherche d’un équilibre personnel tout autant que sur la voie du bonheur et de la paix.
Être alignée :
Avez-vous déjà ressenti un sentiment de plénitude quant à un choix à effectuer ? Ou bien concernant une situation ? Se sentir alignée, c’est agir selon ses valeurs, connaître ses limites et savoir les respecter si cela s’impose. Se connaître permet ainsi de se sentir alignée avec soi. Cela favorise la prise d’initiatives, la prise de décision, les actions, la motivation… etc.
Qu’est-ce que le coaching ?
Derrière cet anglicisme, le coaching cache en réalité un accompagnement sérieux quant au développement d’un individu, de dirigeants, d’une équipe de sport ou de travail. Chez Nouvelle, le coaching s’adresse à toutes les femmes qui veulent approfondir leur connaissance d’elle-même et révéler de nouvelles capacités. Parce qu’on a tous en soi une étoile qui ne demande qu’à rayonner !
Le coaching passe par différentes pratiques qui se mêlent, comme le cognitivisme, le constructivisme, la psychologie cognitive, la sociologie, des courants philosophiques, du comportementalisme…etc. Autrement dit, le coaching permet de combiner le meilleur de ces pratiques pour un accompagnement personnalisé, unique et taillé pour vous.
En général, il faut compter plusieurs séances de coaching pour observer des résultats concrets dans votre quotidien.
Les bienfaits du coaching
Le coaching présente ainsi de nombreux bienfaits dans la connaissance de soi.
Identifier les pensées limitantes :
Les pensées limitantes sont ces petites voix qui vous retiennent voire vous empêchent de réaliser des choses. En vous faisant croire que vous n’êtes « pas assez », ou au contraire « trop », les pensées limitantes peuvent réellement vous censurer dans vos projets professionnels comme personnels. Les identifier est ainsi la première étape afin de s’en débarrasser – et accomplir ce que vous voulez !
Améliorer les relations interpersonnelles :
La connaissance de soi passe également par la connaissance des autres et la manière dont vous interagissez avec. Autrement dit, si quelque chose ne va pas avec vous-même, si vous êtes limitée, emprisonnée par vos craintes, vos propres limites, vos relations avec autrui vont également subir ces conséquences. Se connaître, c’est aussi être apte à recevoir et à écouter ce qui vient de l’extérieur. Le coaching vous donne les outils pour améliorer vos relations interpersonnelles à travers votre propre connaissance !
Réduire le stress et gérer son temps :
Se connaître, c’est également améliorer sa qualité de vie. Puisque vous vous connaissez, vous parvenez à établir des plannings clairs, vous dégager du temps pour vous chouchouter ainsi que faire des activités extérieures qui vous ouvrent sur le monde et ses trésors. La connaissance de soi équivaut à une nouvelle voie de vie.
Libérer la parole :
Pensées limitantes ou non, libérer sa parole est toujours un cap à franchir. Mais une fois fait, c’est une nouvelle forme de liberté qui s’offre à vous ! Être capable de dire NON, d’exprimer votre pensée profonde, en bref, ne pas vous censurer en raison d’injonctions sociales ou éducatives ! Le coaching vous permet de travailler sur vous-même pour faire entendre votre voix !
Prendre confiance en soi et en ses actes :
Que ce soit à travers la réalisation de vos objectifs ou bien la connaissance approfondie de soi, le coaching vous permet de prendre confiance en vous. Vous êtes une femme formidable, et les méthodes bienveillantes du coaching vous permettent d’acquérir des schémas qui vous feront prendre conscience de votre potentiel et du champ des possibles !
Décrypter sa relation à soi-même :
Enfin, le coaching permet également de se réconcilier avec soi-même. Parce que toute la vie, nous sommes amenées à changer, il est intéressant d’appliquer différentes méthodes qui permettent de vous accepter, jour après jour. Plus rien ne vous résistera après la révélation de la personne que vous êtes !
Le coaching chez Nouvelle
Chez Nouvelle, atelier situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris, l’on vous accueille pour des séances de coaching. Que vous souhaitiez essayer une séance de Coaching en une fois, ou que vous préfériez un Suivi 10 séances , vous êtes les bienvenues !
Pour vous libérer des carcans de l’éducation, de la société ou parfois de ceux que l’on s’impose à soi-même, n’hésitez pas.
Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage. Avec bienveillance, je propose des soins comme des Séance d’hypnose ou le Drainage thérapeutique corps toujours dans l’optique d’apporter bien-être et émancipation aux femmes !
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, depuis peu, un nouveau podcast met en lumière des femmes merveilleuses via le podcast Visions Nouvelles.
-

Le coaching pour éradiquer ses peurs
La peur est une émotion tenace. Lorsqu’elle apparaît, elle vous saisit à bras-le-corps et vous emporte avec elle dans ses scenarii improbables. Saviez-vous que seules 8% des peurs se réalisaient ? Ce qui veut dire… que 92% ne prendront pas vie dans la réalité. Le cerveau est un muscle puissant, mais surtout, il possède une créativité sans pareille pour parvenir à nous freiner au quotidien. Alors comment vaincre ses peurs sur le long terme ? Comment parvenir à les surmonter par soi-même ? Le coaching peut vous y aider…
La peur : elle n’est pas invincible
La peur est une émotion vive qui se caractérise par un « sentiment d’angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé, d’une menace ; cette émotion éprouvée dans certaines situations ; appréhension, crainte devant un danger qui pousse à fuir ou éviter cette situation » selon le Larousse.
Autrement dit, que la peur soit réelle et présente ou bien supposée et imaginée (la peur du ridicule), ses conséquences demeurent les mêmes. Elle freine, inhibe et le plus souvent, finit par nous paralyser dans des actions ou des paroles. Elle peut avoir différentes intensités, allant de la crainte jusqu’à l’épouvante, en passant par l’effroi, la frayeur ou encore la terreur.
Cependant, les peurs ne sont pas invincibles, quelles qu’elles soient. Il est possible de s’en défaire petit à petit, tant pour ne pas rester figée dans une situation qui en est source, mais surtout pour continuer d’évoluer.
L’utilité de la peur
Outre le fait qu’elle puisse être un frein plus ou moins important au quotidien, la peur a également une utilité – souvent sous-estimée. Le fait que le corps soit en alerte lorsqu’il perçoit la peur, peut également être une source de motivation. Et pour cause, la peur est une émotion stimulante.
Lorsqu’elle est ressentie par l’individu, le cerveau envoie alors une dose d’adrénaline dans tout le corps pour préparer le corps au combat ou à la fuite. Mais si vous ne vous battez pas ou ne fuyez pas, l’adrénaline ne disparaît pas d’un coup de rationalité ! Il est alors possible de se servir de ce pic d’adrénaline pour le redigérer dans une activité qui vous fera du bien.
Les différentes peurs du quotidien
Il existe de nombreuses peurs du quotidien. Elles s’arriment parfois si bien à soi qu’il est difficile de les différencier d’un trait de caractère. Pourtant, les peurs incarnent souvent un frein, une entrave qui paralyse sur le long terme. C’est le cas pour les peurs :
- Du rejet ;
- D’être aimé,
- D’aimer ;
- D’être jugé ;
- De manquer de quelque chose ;
- De s’engager ;
- De ne pas mériter quelque chose ;
- De ne pas être à la hauteur ;
- De la reconnaissance ;
- De l’inconnu…
Tant et tant de peurs qui, lorsqu’elles s’accumulent, peuvent causer de réels ralentissements ou stagnations dans votre vie. Pour certaines personnes, elles incarnent de fidèles alliées, réconfortantes et loyales. Et s’il était temps que vous soyez votre meilleure alliée ? Si le moment était venu de vous libérer de ces peurs qui façonnent votre façon de vivre et d’être de manière biaisée ?
Pourquoi se tourner vers le coaching pour se libérer de ses peurs ?
Les peurs ne doivent pas dicter votre vie. Qu’elles soient des alliées réconfortantes est tout à fait compréhensible. Qu’il y ait une certaine habitude dans le fait de se recroqueviller dans la peur, c’est naturel. Si on a connu une chose toute sa vie, il est difficile de s’en extirper d’un coup de baguette magique. Ce sera un travail sur le long terme. Et bien souvent, le plus difficile, c’est le premier pas !
En se tournant vers le coaching pour se libérer de ses peurs, vous amorcez un processus important et essentiel pour votre existence. C’est dire NON à la cachette qu’incarne la peur, et OUI pour exister pleinement, telle que vous êtes. Le coaching est une solution pour :
- Arrêter de se raccrocher à des illusions ;
- Se départir d’un sentiment d’impuissance ;
- Ne plus se sentir limitée par ses peurs ;
- Apprendre à apprivoiser ses peurs ;
- Ne pas glisser vers un gouffre mental empli de peurs et de blocages ;
- Libérer vos émotions dans leur totalité.
De plus, à trop s’accrocher à ses peurs, on en oublie de vivre. L’on passe à côté de nombreuses expériences qui permettent de s’enrichir humainement parlant, et la peur ne pourra jamais rendre ce qu’elle prend. Vous vous devez d’être pleinement et entièrement vous-mêmes, parce que votre vie vous appartient et que les peurs, si elles sont naturelles et légitimes, forment finalement des boulets à vos chevilles.
Les bienfaits du coaching pour se libérer de ses peurs
Dans le cadre de la peur, le coaching peut vous aider à vous en émanciper. Séance après séance, le coaching vous apporte les clés qui permettront de vous libérer de vos peurs. Quels sont ses bienfaits ?
Connaître ses peurs :
Le coaching, dans son ensemble, permet de mieux se connaître. Et pour vaincre sa peur, il faut la connaître également. Parce qu’à l’origine de la peur, il y a un événement, un traumatisme, un blocage, une remarque désobligeante… etc. Connaître sa peur, la source de celle-ci et comment elle agit ensuite sur votre quotidien vous permet de récupérer le contrôle et la force que cette peur exerçait sur vous.
Un nouvel angle d’approche :
Si certaines peurs sont utiles, peut-être la vôtre l’est-elle aussi ? Le coaching permet de déterminer les peurs qui seront utiles au quotidien et celles qui, au contraire, représentent une entrave à votre vie. Faire la différence et un grand tri vous permettra de vous sentir plus libre et plus puissante sur votre propre façon de fonctionner.
Travail sur soi :
Tout le monde a du courage. Seulement, on n’a pas tous le même pour les mêmes actions. Le coaching permet de prendre conscience de son potentiel et des points qu’il vous faut travailler afin de vous révéler pleinement. Pour ne plus craindre ses peurs, mais en être maîtresse !
Affronter sa peur :
Quelle qu’elle soit, la peur est un moteur autant qu’un frein. En réalité, il dépend simplement de la manière dont vous réagissez au sentiment de peur. Des séances de coaching vous offrent la possibilité de comprendre la façon dont vous réagissez – ou non – à certains stimulus afin de pouvoir ne plus subir vos peurs, mais au contraire les affronter fièrement ! Car c’est la capacité à agir malgré la peur qui détermine le courage. De quoi ne plus vous arrêter sur le chemin du bonheur et du succès…
Le coaching chez Nouvelle
Chez Nouvelle, cabinet parisien, on révèle les clés enfouies en chacune de vous pour que vous vous émancipiez ! Parmi de nombreux soins physiques et des séances qui permettent de se libérer de poids mentaux comme l’ EMDR ou encore une Séance d’hypnose , vous pourrez retrouver des séances de coaching.
Qu’il s’agisse d’une séance de Coaching Nouvelle pour savoir si cette méthode vous convient ou bien d’un Suivi 10 séances, pour approfondir le sujet des peurs ou toute barrière qui vous empêcherait d’être vous-même, chez Nouvelle, vous êtes la bienvenue.
Situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 PARIS, Nouvelle vous accueille !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage. J’ai créé Nouvelle pour aider les femmes à s’émanciper des injonctions sociales et mentales de la société et que la vie dépose aussi sur nos chemins.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, depuis peu, un nouveau podcast met en lumière des femmes merveilleuses via le podcast Nouvelle.
-

L’EMDR pour guérir un mal-être
Les années 80 ont vu émerger cette nouvelle méthode de thérapie qui permet de guérir de nombreux maux. Depuis quelques années, l’EMDR revient sur le devant de la scène. De plus en plus de personnes se tournent vers elle afin de guérir, de trouver une aide précieuse ou encore de se retrouver après un événement traumatique. Comment l’EMDR peut-elle aider à guérir d’un mal-être ? Zoom sur cette méthode plébiscitée et efficace.
Qu’est-ce qu’un mal-être ?
Un mal-être peut être délicat à définir de manière universelle. Et pour cause, de nombreuses personnes ne réagissent pas aux mêmes épreuves de la même façon. Le Larousse définit le mal-être comme étant un « profond sentiment de malaise ». Autrement dit, qu’il soit physique ou mental, le mal-être relève d’une gêne ressentie ou perçue, en lien avec un événement ou une personne.
Identifier le mal-être
Si l’être humain s’habitue à tout, il peut alors être délicat d’identifier pour lui un mal-être ressenti ou vécu. Alors comment identifier un mal-être ? Parfois, le mal-être est expérimenté sans que la personne n’en prenne conscience. Dans d’autres cas, la personne comprend immédiatement que quelque chose est inhabituel.
Et pour cause, le mal-être n’est pas seulement un sentiment profond de malaise. Car s’il perdure dans le temps, il peut également présenter certaines caractéristiques inhabituelles ou tout simplement surprenantes. C’est notamment le cas si vous éprouvez :
- De la colère inhabituelle ;
- Une irritabilité inattendue ;
- De la nervosité malgré vous ;
- Un repli sur soi ;
Mais il y a aussi des symptômes physiques au mal-être :
- Insomnies ;
- Atonie ;
- Fatigue ;
- Douleurs récurrentes ;
- Addictions nouvellement nées ;
- Troubles alimentaires.
En bref, le mal-être peut se manifester de façon imprévue et vous empêcher de mener une vie dont vous êtes maîtresse. Car lorsqu’il trouve une brèche pour s’infiltrer, il est rare qu’il disparaisse de son plein gré.
C’est ce pourquoi il est important de se connaître, afin de reconnaître les signes distinctifs d’un mal-être et pouvoir être pris en charge auprès d’un professionnel qui pourra vous offrir une alternative.
L’EMDR pour guérir le mal-être : méthode
L’EMDR, ou Eye Movement Desensitization and Reprocessing, utilise le mouvement des yeux. Lorsque le mal-être est trop intense, que les mots ne suffisent plus ou que le traumatisme vous hante, l’EMDR peut alors être une solution intéressante pour guérir et apaiser les symptômes qui entravent le quotidien.
L’EMDR agit tout autant sur les émotions que sur les sensations physiques. En plus d’être une thérapie qui permet d’obtenir des résultats concluants rapidement, l’EMDR est particulièrement efficace pour surmonter l’angoisse, le stress et les traumatismes. L’angoisse et le stress peuvent d’ailleurs être la conséquence d’un traumatisme tout comme il peut s’agir de celle d’un mal-être.
À travers les mouvements oculaires, le thérapeute va permettre aux émotions associées de se détacher du traumatisme ou du mal-être vécu. L’EMDR stimule directement la partie du cerveau où sont stockés les souvenirs – que ceux-ci soient proches ou lointains. Cela permet à terme la dissociation des émotions associées qui entravent le quotidien afin de mettre en lumière un apaisement et le traitement du souvenir comme un autre.
Les bienfaits de l’EMDR pour guérir le mal-être
Qu’il soit général ou particulier, le mal-être demeure une enclave au quotidien. Les émotions sont invalidantes, voire pesantes. Entamer une thérapie par l’EMDR peut alors être une solution adéquate pour travailler en profondeur sur le souvenir, et surtout, la façon dont il est traité par le cerveau. Les bienfaits de l’EMDR peuvent rapidement être constatés :
Traitement de phobies :
Au-delà de l’angoisse ou de la peur, certains événements peuvent entraîner de terribles blocages. Notamment lorsqu’ils ne sont pas traités de façon détachée dans le cerveau. Ainsi, les émotions associées à ce souvenir continuent de bouillonner, et rapidement, les conséquences se font sentir. L’EMDR peut alors être une aide précieuse. En effet, grâce aux mouvements oculaires, la stimulation bilatérale du cerveau permet d’apaiser les phobies.
Libération des émotions :
Comme dit précédemment, les mouvements oculaires permettent de travailler sur la mémoire ainsi que le système nerveux. Plus encore, l’EMDR permet de traiter un souvenir en le détachant des émotions vives qui y sont encore accrochées. Plus concrètement, ce sont les symptômes liés au souvenir qui s’apaisent alors.
Renforcer les ressources internes :
L’EMDR effectue un travail remarquable sur le traitement du souvenir. Plus largement, ce sont également les ressources internes de la personne qui peuvent alors se renforcer. En surmontant le traumatisme, en guérissant son mal-être… elle reprend confiance et détermination en elle et en la vie. L’EMDR est également une bonne méthode pour se sentir plus apaisé.
Les séances d’EMDR chez Nouvelle
Chez Nouvelle, la thérapie EMDR est disponible pour traiter les traumatismes, les phobies, les souvenirs douloureux…etc. Dans ce lieu chaleureux et apaisant, vous pourrez retrouver les soins adaptés pour vous émanciper du passé qui entrave le présent.
Lors de la première séance, le dialogue s’ouvrira sur les raisons qui vous ont amenée à vous tourner vers l’EMDR. Cette communication est essentielle pour pouvoir appréhender la charge émotionnelle et les souvenirs qui n’ont pas été intégrés par le cerveau.
Pourra ensuite débuter le travail, pour que vous puissiez vous sentir mieux au quotidien et en l’esprit !
Chez Nouvelle, il y a deux prestations d’EMDR : les séances individuelles d’EMDR, et les séances d’EMDR en forfait.
En quelques mots
L’EMDR est une thérapie encore récente, et pourtant, elle ne cesse de faire ses preuves. Si ses résultats rapides sont un argument de force, cette thérapie douce et efficace en fait l’une des plus appréciées. Que ce soit pour gérer un mal-être, apaiser un traumatisme, guérir d’une phobie… l’EMDR présente de nombreux bienfaits.
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
C’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances d’EMDR, ainsi que de nombreux soins pour vous émanciper !
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

Le corps parle… et si on l’écoutait ?
Difficile d’imaginer que votre corps communique avec vous ? Et pourtant, c’est bel et bien le cas. Le corps humain communique de façon simple et directe. Alors pourquoi ne parvenons-nous pas à l’écouter ? Parce que parfois, la vie autour de nous fait tout simplement trop de bruit. Routine, travail, stress, fatigue… sont tant de raisons qui peuvent nous rendre aveugle sur les signaux de notre corps et sourds quant à ses paroles. Alors comment apprendre à reconnaître les messages du corps ? Est-il possible de s’écouter ?
Le corps, l’esprit et le SOI, tout est relié
Que certains appellent ça le caractère, l’âme, ou le soi profond, nous sommes tous composés de trois aspects qui interagissent les uns avec les autres. Ainsi, que ce soit à travers les émotions, nos sentiments, notre corps ou tout ce qu’il nous fait ressentir (douleurs, dérangements…), tout est en étroit lien.
Lorsque l’un des aspects de nous est négligé, étouffé, silencé ou simplement mis de côté, alors c’est une alerte générale qui est lancée. Les effets se font ressentir relativement rapidement. Ils peuvent se manifester par un désordre émotionnel, des douleurs chroniques ou encore une instabilité de l’esprit, des difficultés de sommeil…etc. En bref, c’est la sonnette pour prévenir que quelque chose cloche.
Apprendre à écouter son corps, c’est aussi permettre à l’équilibre entre le corps, l’esprit et les émotions de se maintenir et évoluer en même temps que soi-même.
Reconnaître les signaux du corps
Le corps est un véhicule qui nous accompagne du début jusqu’à la fin de notre existence. Loin d’être sinistre, c’est au contraire un réel cadeau. Le corps est fort, a une capacité d’adaptation hors du commun et le plus souvent, il est un allié fidèle – on aurait bien froid en hiver, sans lui !
C’est pourquoi il est essentiel d’en prendre soin. Et bien souvent, il représente justement un messager lorsque quelque chose ne va pas. Que le souci vienne directement d’un dysfonctionnement physique, ou qu’il provienne d’un surmenage de l’esprit ou d’un trop-plein émotionnel (attention aux burn-out…).
Reconnaître les signaux que peut parfois lancer le corps, c’est prêter attention à son corps et ses sensations. Ce que l’on perçoit doit ne pas être biaisé par la peur, la honte…etc. De plus, avoir un point de vue objectif permet de se fier à son instinct en cas d’anomalie ou de ressenti inhabituel.
Finalement, peu importe la source, puisque le corps en est une alerte. Le plus important lorsque vous reconnaissez le signal d’alarme, c’est de ne pas l’ignorer, sous peine qu’il s’aggrave.
Les signaux que peut envoyer le corps
Lorsque la corde a trop été tirée, il est possible de remarquer des petits changements dans les réactions de votre corps. Que ceux-ci soient moindres ou remarquables, ils existent et il est essentiel d’y prêter attention. Parmi les signaux de détresse du corps, il est possible de citer :
Un état de fatigue soudain et inhabituel :
Vous faites des nuits d’environ huit heures sans jamais vous coucher après minuit ? Vous avez l’impression d’avoir un sommeil paisible jusqu’à ces derniers jours ? C’est peut-être une petite préoccupation qui influence votre inconscient et votre sommeil… ou bien c’est le signe que quelque chose de plus profond vous préoccupe. La fatigue profonde, les insomnies, les troubles du sommeil, les réveils à répétition… tels sont les signaux que le corps peut vous envoyer. L’important est d’y prêter de l’attention et de ne pas ignorer une telle information : elle est peut-être révélatrice d’un mal-être plus ancré.
Des céphalées à répétition :
Vous n’avez jamais été du genre à avoir des migraines ou des maux de tête, et soudain, ils surgissent à la pelle ? Les maux de tête sont souvent méconnus dans leur détail alors que beaucoup de personnes en souffrent au quotidien.
- Maux de tête dus à la tension : ce sont les plus courants. Ils sont souvent liés à un niveau de stress élevé. En général, les douleurs ne durent pas plus de vingt-quatre heures.
- La migraine : elle se manifeste par une impression de pulsation dans la tête. Parfois accompagnée de nausées ou de vomissements, elle est liée à la forme des vaisseaux sanguins ainsi qu’à leur fonctionnement.
- Céphalées cervicogéniques : ces douleurs sont le plus souvent liées à une mauvaise posture prolongée qui aurait causé une douleur aux cervicales.
Les affections cutanées :
Parmi les symptômes inhabituels qui peuvent être également les signes d’une cause de mal-être plus profonde, il est possible de citer les problèmes de peau qui apparaissent. L’acné, qui peut être hormonale ou juvénile, peut également être amplifiée à cause du stress, de la pollution ou du tabac.
De même, l’eczéma est un signe de stress et d’anxiété, bien qu’il puisse parfois être expliqué par la génétique, les allergènes ou encore la transpiration.
Enfin, le psoriasis est une maladie chronique qui peut apparaître par un facteur héréditaire, immunitaire ou environnemental. Mais le psoriasis peut également se manifester par trop de stress, une fatigue élevée ou encore un choc émotionnel.
Système digestif contrarié :
Ce n’est plus un secret, l’intestin est le deuxième cerveau du corps humain. Un système digestif qui se dérègle sans raison apparente ou évidente peut également être le signe d’un mal plus ancré. Stress ? Anxiété ? Nervosité ? Les ballonnements, les douleurs abdominales comme les crampes ou encore des épisodes de constipation ou de diarrhées sont alors au rendez-vous. Mais plus que cela, ils peuvent être le symptôme d’une alimentation déséquilibrée comme d’un stress éprouvant.
Perte de cheveux :
Si certaines personnes déplorent une perte de cheveux en automne, d’autre ne la voient arriver qu’en tant que symptôme dissimulant un autre mal. Elle peut alors être liée au stress, à une grande période de nervosité ou de changements, à une maladie de peau ou encore au changement de saison. Quoiqu’il en soit, il est essentiel de ne pas la négliger si elle se présente.
Apprendre à écouter son corps
Pour apprendre à écouter son corps, il existe de petites astuces qu’il est possible de mettre en place. Parmi elles, l’on retrouve :
- Vivre dans le moment présent: le fait d’avoir conscience de l’instant présent permet de mieux percevoir ce qui nous entoure et ce qui se trouve en nous.
- Avoir une alimentation équilibrée: cela permet d’écarter certaines pistes si des soucis du corps se révèlent. De plus, une alimentation adaptée vous maintient en forme !
- Faire un sport qui vous plaît : en plus des endorphines libérées et de la santé préservée, cela permet de vous connecter avec votre corps dans son ensemble. Ainsi, si une douleur ou un mal vient à surgir, vous saurez mieux le repérer !
- Connaître ses limites: le fait de savoir quand vous allez au-delà de ce que vous pouvez permet également de prévenir le surmenage et le burn-out. Vous savez ce dont vous êtes capable ou non, et c’est une force !
- Ecouter le corps, l’esprit mais aussi les émotions : le plus souvent, on oublie de prendre du temps pour écouter ses émotions, faire le bilan de ce qui se passe en l’esprit ou encore de sentir les limites du corps se dessiner. Le faire permet de prendre conscience des signaux, s’ils se révèlent.
- Prendre du temps pour soi: prendre du temps pour soi, c’est pouvoir faire connaissance avec la personne que vous êtes. Mais c’est aussi avoir l’occasion de se ressourcer, se faire du bien, et évoluer.
En quelques mots…
Le corps parle. Et lorsqu’il vous chuchote que quelque chose ne va pas, n’attendez pas qu’il se mette à crier. Le corps sait parfaitement communiquer pour qui sait lui prêter une oreille attentive. Veiller sur soi, prendre soin de soi, c’est également comprendre et percevoir lorsque quelque chose semble ne pas aller bien en soi.
Le fait d’écouter son corps permet également d’aligner les émotions, le corps et l’esprit ensemble. En comprenant qu’il y a un dérèglement quelque part, cela permet de prendre les choses en main afin d’aller mieux.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, et j’ai longtemps ignoré les signaux de mon corps… jusqu’à faire un burn-out. Cela m’a permis de tout remettre en question et surtout, dans le bon sens ! Et pour cause, je n’étais plus alignée avec mes valeurs, avec ce qui comptait pour moi.
Depuis lors, je fais tout ce que je peux pour aider les autres pour se sentir mieux. C’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances de coaching ou toutes sortes de soins pour un meilleur bien-être.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

Les bienfaits d’un coaching en 10 séances
Le coaching reste une profession qui demeure relativement récente, et pourtant, son succès n’est plus à prouver. Et pour cause, le coaching présente de nombreux bienfaits. Si pour certains, le coaching paraît tout aussi aléatoire que le tirage de cartes, ceux qui s’y sont essayés sont pourtant convaincus que le coaching apporte une aide précieuse. Alors qu’est-ce que le coaching exactement ? Et quels sont ses bienfaits ?
Qu’est-ce qu’un coaching ?
Le coaching se présente sous la forme d’un accompagnement visant à se connaître mieux. À terme, il permet de mieux se comprendre et interagir de façon entière avec le monde qui vous entoure. Cette méthode naît directement de la rencontre entre les sciences humaines et le bien-être. Né il y a peu, son succès est pourtant indéniable auprès des personnes qui s’y sont essayées. Au cœur du coaching, il est possible de retrouver des concepts essentiels tels que l’apaisement, l’autonomie ou encore des principes de mise en action.
Mais le coaching prend également ses sources dans un équilibre très délicat du cognitivisme, du constructivisme, de la psychologie cognitive, de la sociologie, du courant philosophique, du comportementalisme…etc. Autrement dit, le coaching réunit de nombreuses notions de sciences humaines mais également d’autres sciences qui se concentrent tout autant sur l’être humain, sa psychologie ou encore son bien-être.
En général, le coaching s’établit sur plusieurs séances et les bienfaits qu’il présente sont multiples et nombreux.
Pourquoi 10 séances ?
Le coaching est un processus. Au même titre qu’une thérapie psychologique, il est préférable de cumuler plusieurs séances afin de faire un travail en profondeur et améliorer les schémas qui peuvent poser initialement problème à l’individu qui se tourne vers cette méthode.
En une séance, il n’y aurait pas suffisamment de temps pour apprendre qui vous êtes ou identifier les croyances limitantes étant à même de vous empêcher d’être pleinement vous-même.
En dix séances, il est alors possible d’établir un lien de confiance avec son ‘coach’ et de pouvoir ainsi travailler en profondeur tant sur la manière dont vous échangez avec le reste du monde, que sur vous-mêmes et votre propre façon de communiquer avec vous.
C’est une démarche étroitement liée avec le changement.
À noter : la relation qui s’établit autour du coaching est entièrement basée sur la confiance mutuelle et la confidentialité de ce que vous pourrez révéler lors des séances.
Les bienfaits d’un coaching
Les bienfaits d’un coaching sont multiples et se positionnent dans divers domaines de la vie courante. Parmi les bienfaits d’un coaching, l’on retrouve :
Apporter une aide pour établir des objectifs :
En entamant un processus de coaching, vous souhaitez changer une façon d’être ou de vivre. La méthode du coaching permet alors de vous aider à établir des objectifs de manière réaliste et efficace. Plus encore, c’est un réel support pour définir ses priorités et les façons d’atteindre un ou plusieurs objectifs.
Améliorer les relations :
Le coaching permet également d’améliorer les relations, qu’elles soient interpersonnelles ou qu’elles concernent le dialogue avec soi-même. Ainsi, les relations avec votre famille, vos amis, vos collègues, votre patron peuvent s’améliorer grâce à un changement de perspective ou simplement une meilleure affirmation de soi. À terme, ce sont aussi la gestion des conflits ou les limites personnelles qui peuvent trouver de nouvelles solutions. Se connecter avec les autres est tout aussi important que se connecter avec soi !
Libérer la parole :
Que ce soient à cause de croyances limitantes ou d’une timidité exacerbée, libérer sa parole n’est pas toujours simple. Mais grâce à un coaching, vous aurez les outils nécessaires – en vous – afin de libérer votre parole et surtout, votre voix. C’est un processus qui demande de la confiance en soi et l’abolissement de croyances limitantes. Un travail qui peut parfois être long et fastidieux.
Accueillir le changement :
De nombreuses personnes ne sont pas favorables au changement. Plus encore, elles le craignent ou l’exècrent. Entamer un processus de coaching permet de mieux accueillir ce changement suite à la mise en valeur de vos capacités d’adaptation et/ou un travail sur la flexibilité personnelle.
Prendre confiance en soi et en ses actes :
Le coaching permet également de prendre confiance en soi et en ses actes. En effet, le coaching permet de réaliser ses objectifs et plus encore, de mieux se connaître. Grâce à des méthodes bienveillantes, vous acquérez de nouveaux schémas au quotidien. Ainsi, c’est un nouveau mode de vie qui se révèle à vous, où vous êtes à la fois maîtresse de vos actes mais aussi en pleine confiance dans ce que vous entreprenez. Il est alors possible de réaliser tout ce que vous voulez !
Réduire le stress et gérer le temps :
Que ce soit à travers une meilleure autodiscipline, une organisation personnelle épanouie, de la stratégie personnelle ou encore l’acceptation de sa responsabilité dans sa propre vie, le coaching vous révèle les outils que vous avez toujours eu en vous pour mieux gérer votre temps et ainsi, réduire le stress qui peut y être lié. En effet, une mauvaise gestion du temps peut être une source permanente de stress voire d’anxiété.
Meilleur bien-être :
Le fait de pouvoir se sentir accompagné dans son évolution permet à terme un meilleur bien-être général. En effet, le coaching met en lumière de nouveaux schémas bienveillants, envers vous et les autres, qui favoriseront également votre bien-être. Vous reprenez confiance, vous retrouvez l’estime de vous-même, vous êtes engagé.e dans votre propre évolution et vous en ressentez tous les bienfaits !
Augmenter la créativité :
Le développement de votre créativité, lors d’un coaching, passe principalement à travers l’encouragement de découvrir de nouvelles choses, d’avoir de nouveaux centres d’intérêt. Mais plus encore, le coaching vous permet de vous connecter et d’être en phase avec votre côté émotionnel, ce dernier se révélant parfois être la source d’une motivation nouvelle et d’un besoin d’explorer jusqu’alors étouffé ou ignoré. Plus de barrières : tout vous est accessible et possible !
Connaissance plus complète de soi :
Se connaître est une étape incontournable d’une évolution. Le coaching vous permet justement une exploration approfondie de vos capacités, de vos peurs, de vos volontés, de vos limites… de vous-mêmes, en somme.
En quelques mots…
Le coaching est ainsi un réel outil permettant d’évoluer. Via dix séances, il est alors possible d’établir une solide relation basée sur la confiance et le réel avec son coach-thérapeute. Et que ce soit dans un objectif d’un meilleur bien-être au travail ou dans la vie en général, le coaching est ouvert à tous et à toutes !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, EMDR, hypnose et soins énergétiques du corps et du visage. Dans mon cabinet Nouvelles, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris, vous pourrez retrouver des séances de coaching.
Je propose également d’autres soins et prestations, comme de l’hypnose ou encore des soins énergétiques pour le visage et le corps.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Faites connaissance avec vous-même loin des troubles que le quotidien créé allègrement.
-

« Que fais-tu » VS « Qui es-tu »
Dis-moi ce que tu fais, je te dirai qui tu es. C’est le genre de phrase qui se veut positive mais qui en réalité dissimule une pensée limitante. Personne ne peut être définit par ce qu’il fait. Parce que chacun est un tout qui englobe bien plus qu’un acte isolé dans un contexte flou. Dire « je suis » est à la fois simple pour se présenter, mais également incroyablement réducteur. Cet article explore notamment les différences entre ce que disent de lui les actes d’un individu et ce qu’il est réellement.
« Que fais-tu ? » : une question valorisante… Et unilatérale
En voilà une sacrée question qui revient souvent dans les discussions ! « Et toi, que fais-tu dans la vie ? ». Une question banale, en apparence inoffensive, et qui pourtant peut causer bien des troubles chez certaines personnes. Comment expliquer qu’on est en recherche de soi, en pleine reconversion professionnelle ou simplement au chômage après une mauvaise expérience lorsque la société nous indique que toutes ces situations sont un échec ?
Cette question qui tend à vouloir valoriser un individu n’est en réalité posée que pour se valoriser soi-même. Car toujours, la personne qui a posé la question finit par y répondre. C’est alors qu’une personne « sortant du cadre » peut se sentir lestée, perdue voire exclue.
Mais depuis quand les actes ou les activités d’une personne la résument-ils entièrement ? Et que veulent dire d’elle les actes d’une personne ?
Les actes, les paroles… et vous
Ils sont nombreux, les proverbes et autres dictons prônant l’importance des actes par rapport aux mots. Ont-ils tort de le revendiquer ? Pas forcément. Mais cela contribue sans doute au succès des pensées limitantes.
Mais si je fais ça, je vais être perçue comme ceci…
Si je ne fais pas ça, et ça, et ça, je n’aurai rien fait…
Et si je fais ceci… je serais perçue comme cela…
Vouloir réduire une profession, une activité, ou un acte à l’essence même d’une personne est une grande méprise. D’une première part, car cela se base souvent sur des stéréotypes qu’il serait bon d’abolir. D’autre part, car n’importe qui peut être amené à voir ses centres d’intérêts ou sa profession changer pour x ou y raisons.
Alors même si les étiquettes sont confortables, il est primordial d’arrêter d’en coller partout (de plus, ce n’est pas très éco-responsable…) !
Vous n’êtes pas ce que vous faites, mais ce que vous faites fait partie de vous…
« Qui es-tu ? » : le mystère d’une vie ?
Peu de gens sont capables d’affirmer qui ils sont avec assurance. Et c’est tout naturel. La société, le quotidien, les petites galères et les gros problèmes nous font parfois oublier qui nous sommes. Une réponse universelle ? Des êtres humain.es, tout simplement. Et comme tout un chacun, il est naturel de se tromper, de faire face à un échec ou encore de vouloir tout recommencer peu importe à quel âge cela se manifeste.
Se définir, se comprendre puis se présenter aux autres, c’est un chemin périlleux et bordé d’ombres. Celles du passé, mais aussi les incertitudes de l’avenir ou bien les méandres du présent. Il n’est aisé pour personne de se connaître en profondeur. Pourtant, savoir différencier ce que l’on fait de ce l’on est un atout indéniable dans l’estime de soi.
Comment se définir ?
Effacer le superflu :
La première étape afin de se connaître, c’est d’effacer le superflu. Toutes les notions comme le physique, le statut, l’argent ou encore la réputation sont inévitablement des données périssables. Elles ne reposent que sur des tendances en vogue dans une société bancale, et sont bien souvent biaisées par un moment T. Autrement dit, ce qui est acceptable aujourd’hui ne le sera probablement pas demain. Vouloir répondre aux normes actuelles, c’est se lancer dans un marathon épuisant et vain.
Les actes et activités : un petit caractère, pas un titre immuable
Si votre personne était un livre, alors vos actes et votre profession ne représenteraient rien d’autre que des personnages secondaires ou bien une intrigue en arrière-plan. Il est essentiel de bien assimiler que ces détails ne sont qu’une partie de vous, de votre livre, et non le titre intouchable et définitif.
Une question de valeurs :
Les valeurs que chaque personne acquiert au cours de sa vie ont beaucoup plus… eh bien, de valeur ! Pour définir qui nous sommes, ou le découvrir, il est plus important de s’attacher aux valeurs qui guident vos choix et votre avancée dans la vie plutôt qu’à un travail que vous n’appréciez pas ou encore à une activité plus ou moins stéréotypée.
Utiliser « avoir » et non « être » :
Lorsque vous pensez à vous, à votre parcours, il est important de privilégier l’utilisation du verbe « avoir » à la place d’« être ». En effet, le premier illustre le schéma d’un accomplissement là où le second résume vos actes à l’entièreté de votre être. Or, ce n’est pas parce que vous avez travaillé dans un restaurant, que vous n’êtes qu’un chef cuisinier. Les mots ont de l’importance, et changer la façon de vous exprimer pourra introduire dans votre inconscient le fait que vous n’êtes pas ce que vous êtes. Enfin, cela permet, à terme, d’avoir une meilleure estime de soi.
S’aimer quoiqu’il en coûte :
Pour se détacher définitivement de ce schéma limitant, il est important de prendre conscience que vous êtes un être humain et, d’une autre part, que vous accomplissez des choses. Non pas que vous n’êtes pas responsables de vos actes, mais bel et bien que ceux-ci ne vous définissent pas. L’être humain est une personne complexe mais aussi complète. Et il ne viendrait pas à l’idée de présenter une œuvre d’art en ne parlant que du cadre ou des matériaux utilisés ; il s’agit d’un tout !
Bye-bye exigence :
Si votre ami.e exerce un métier en particulier, ce n’est pourtant pas la base de votre amitié, n’est-ce pas ? Si un autre adore la natation, le handball ou la marche rapide… c’est pareil, non ? Alors pourquoi vous seriez prêt.e.s à réduire votre valeur à de simples actions ? En comprenant que vos liens interpersonnels sont bien ancrés car ils se basent sur des valeurs, des centres d’intérêts, des coups de cœur amicaux ou amoureux, vous apprendrez à ne pas vous montrer aussi exigeants envers vous-mêmes. L’amour n’est pas exigence, alors pourquoi l’amour de soi le serait ?
En quelques mots…
Ainsi, il est important d’intégrer que ce que vous faîtes ne définit en aucun cas qui vous êtes. Et ce, peu importe ce que la société impose, ce que les autres attendent de vous ou les pressions de toutes parts qui peuvent être étouffantes. Vous êtes humain.e, été c’est déjà beaucoup. C’est même tout.
Comme beaucoup de personnes, j’ai longtemps cru que ce que je faisais me définissait, ou révélait ma valeur. J’en ai fait toujours plus, visant les plus grandes entreprises, jusqu’à ce que mon corps dise « stop ».
Aujourd’hui, je m’épanouis car j’ai trouvé ma voie. Et vous voulez savoir ? Elle ne définit pas qui je suis, simplement l’un des sentiers qui mène à mon moi entier. Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du quotidien, c’est un moment unique et paisible qui permet de se reconnecter à soi-même. La dernière en date se déroule au cœur de la paisible Normandie pour votre plus grand calme.
-

Qu’est-ce que la dette émotionnelle ?
Lorsqu’on entend parler de dettes, les esprits pensent tout de suite à des dettes financières ou matérielles. « Untel me doit ceci », « je dois cela à telle personne » … Pourtant, il existe de nombreuses formes de dettes, notamment la dette émotionnelle. Moins connue et pourtant tout aussi répandue parmi les êtres humains, la dette émotionnelle peut avoir des effets négatifs sur le quotidien entier d’une personne. Mais alors d’où vient cette dette émotionnelle ? Quels sont ses effets et comment parvenir à s’en détacher pour se sentir libre et entier ?
Qu’est-ce qu’une dette émotionnelle ?
La dette émotionnelle est relativement complexe à expliquer. Si le principe d’une dette repose en premier lieu sur une « somme due à une personne, à une organisation », la dette émotionnelle ne consiste pas à devoir de l’argent. Il faut alors se pencher vers la seconde définition du mot, qui relate : « la dette est un devoir qu’impose une obligation contractée envers quelqu’un » selon le dictionnaire Le Robert.
Autrement dit, c’est un sentiment de redevabilité que l’on ressent envers une personne. Le fait que la dette soit émotionnelle complexifie la situation, car alors il ne s’agit plus d’une somme matérielle mais de mesurer les sentiments de chacun – et c’est une entreprise bien délicate. Plus encore, les dettes émotionnelles sont souvent le fruit de l’imagination, ce qui contribue à créer des situations confuses et le plus souvent biaisées par ce dont on s’est persuadé.
Comment naît-elle ?
L’origine de la dette émotionnelle peut apparaître de plusieurs façons. Dans tous les cas, l’on retrouve un schéma systématique, notamment dans la façon dont la dette émotionnelle s’impose à soi. En effet, lorsque la dette émotionnelle naît, c’est aussi une exigence envers soi-même qui voit le jour. Cette exigence nous pousse ensuite à tenir notre engagement. Et dans le cas où cet engagement ne serait pas respecté, c’est alors que des sentiments tels que la culpabilité, les regrets, la tristesse ou la colère se manifestent.
Dans les cas les plus extrêmes, la dette émotionnelle et surtout ce qu’elle implique, vous pousse inconsciemment à ajuster vos actes afin de tenir cet engagement initial -et encore une fois, biaisé. Ce sentiment de devoir quelque chose peut alors dicter une conduite, conditionner des actes et modeler tout une façon de vivre.
La dette émotionnelle entraîne donc des sentiments relativement forts qui contribuent tous à nous enfermer dans une prison de redevabilité. Les messages qui nous parviennent si l’engagement n’est pas tenu sont voraces et puissants.
Alors que se passerait-il si l’on se détachait de cette dette ?
Exemples de dettes émotionnelles
Il existe de nombreuses dettes émotionnelles. Parmi elles, l’on peut citer :
Les dettes émotionnelles qui se bâtissent sur des schémas sociaux :
- Le respect aux anciens (cette règle sociale du respect aux anciens nous bloque parfois dans le passé. De même, cette injonction peut s’avérer terriblement lourde à porter. Les figures d’autorité comme le père ou la mère peuvent parfois créer un sentiment de redevabilité qui n’a pas lieu d’être.)
- La présence à des ami.es (l’amitié ne repose pas sur du marchandage, et si un ami vous a aidé, vous ne lui êtes pas redevable pour autant. Dans cette situation, la dette émotionnelle déséquilibre la relation et biaise le rapport humain.)
- Les services à un.e conjoint.e (si le sentiment de redevabilité naît, c’est qu’il y a un déséquilibre au-dessous de lui qui risque de créer de nombreux blocages par la suite. De plus, cela met l’un des partis du couple en position de supériorité, ce qui n’est pas sain ni juste envers vous-mêmes.)
- La gentillesse à un.e collègue (si une personne se comporte mal avec vous mais vous rend service une fois, il ne doit pas y avoir de dette émotionnelle. L’aide qu’il ou elle vous a apportée ne concerne que lui. C’était son choix. Là encore, la dette émotionnelle peut déséquilibrer la relation au travail et de surcroît en faire pâtir la qualité de votre travail.)
Les dettes émotionnelles qui prennent vie à partir de sentiments non guéris :
- Sentiment de déception envers soi ou sa vie (c’est le cas lorsqu’un rêve ne pourra jamais se réaliser, ou qu’on a le sentiment de ne pas avoir fait les bons choix…etc.)
- Se montrer blessant envers une personne (c’est souvent ainsi que naissent les dettes émotionnelles. La volonté de se racheter envers cette personne est proportionnelle à son importance dans votre vie. La culpabilité peut alors vous pousser à agir de façon démesurément prévenante avec ladite personne.)
Les dettes émotionnelles qui se forment envers soi-même :
C’est le cas si vous avez vécu des expériences traumatisantes ou des expériences négatives. Le besoin de s’en détacher devient si grand que vous ressentez une dette envers vous-même. De faire mieux, de vous défendre, d’exister plus fort. Ces dettes émotionnelles sont très délicates à gérer car elles ne dépendent que de vous, et non de la réaction que vous adoptez face à l’acte d’une personne autre.
C’est souvent au fruit d’un long travail de guérison qu’il sera possible d’effacer cette dette émotionnelle afin de se sentir libre et entier.
Se libérer de la dette émotionnelle
Mais pas de panique ! Il est tout à fait possible de se libérer de cette dette émotionnelle.
Être attentif à soi :
Si des sentiments ou des situations n’ont pas été guéries par le passé, il est essentiel de s’en occuper afin de ne pas ressentir une dette émotionnelle envers soi-même ni qu’elle se reporte sur autrui.
Prendre du temps pour soi :
Que ce soit en faisant des choses qui vous procurent de la joie, de l’apaisement ou qui vous motivent, il est important de vous garder une part de votre temps que vous ne consacrerez qu’à vous et votre bien-être. Car quelles que soient les activités que vous choisirez, elles permettront de vous apporter un équilibre de vie et dans vos émotions -chassant ainsi les sentiments que la dette émotionnelle peut porter dans son sillage !
Gérer les conflits en temps voulu :
S’il est parfois plus simple et terriblement tentant d’éviter de résoudre un conflit, il est néanmoins primordial de le faire. Que ce soit un quiproquo ou une plus grosse affaire, réglez la situation. Le mieux est toujours de s’entretenir en face-à-face avec la ou les personne(s) concernées afin de trouver une solution tous ensemble.
S’éloigner au besoin :
Que ce soit un membre de la famille, un ami ou un collègue, il est important de savoir déceler lorsqu’il est temps de prendre ses distances avec une personne. Ce n’est pas un adieu, mais le temps permet d’apaiser les tensions tout comme les esprits. S’éloigner d’une personne permet également de se recentrer, ce qui est nécessaire lorsqu’on subit une dette émotionnelle.
Se chouchouter :
Prendre soin de soi et de ses émotions. Ne pas ressasser sans cesse les événements qui se produisent, ni tenter de les contrôler. Il est important de penser à soi, sans forcément se montrer égoïste. Vous êtes important.es et vous ne devez rien à personne sinon à vous-même. Se chouchouter peut également passer par un voyage, des activités qui permettent de vous recentrer sur vous et vos émotions.
En quelques mots…
Ainsi, la dette émotionnelle est souvent méconnue. Pourtant, de nombreuses personnes la ressentent, la connaissent et l’expérimentent au quotidien. Mais derrière un sourire, une aide, de la gentillesse, il y a souvent un sentiment reflétant un profond état de mal-être. Une dette émotionnelle est un fardeau lourd à porter. Fardeau lourd, mais surtout inutile.
Pour rappel, la dette émotionnelle entraîne :
- Tristesse
- Colère
- Culpabilité exacerbée
- Sentiment de redevabilité
- Dépression
- Stress, angoisse
- Exigence disproportionnée envers soi-même
Il est temps de se détacher de la dette émotionnelle et de s’accorder du temps pour soi et son bien-être !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. L’hypnose et l’EMDR sont des médecines douces qui permettent de guérir de certaines choses du passé qui hantent notre présent. De même, les soins énergétiques permettent de se reconnecter à soi et de se faire du bien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
-

Comment se sortir d’un burn-out ?
Il est, à ce jour, de plus en plus fréquent de rencontrer quelqu’un qui a fait ou fait un burn-out. Mais que cache en réalité cet anglicisme ? Si cela semble de plus en plus répandu, il est toutefois impossible de déterminer depuis combien de temps le burn-out existe. On le nomme depuis peu, on l’identifie enfin, mais il est tout à fait possible que certaines personnes en aient souffert dans le silence le plus total au siècle dernier. Identifier et nommer le burn-out a permis de mettre en place de nombreux soins pour permettre de s’en sortir. Alors qu’est-ce qu’un burn-out exactement ? Et comment renaître après l’avoir vécu ?
Qu’est-ce qu’un burn-out ?
L’anglicisme n’est découvert qu’au siècle dernier mais il est de plus en plus employé. En français, l’on parle davantage d’un syndrome de l’épuisement professionnel. L’épuisement ressenti est tout autant physique que mental, d’ailleurs. Toutefois, il est important de noter que le burn-out ne prend pas sa source que dans le monde professionnel, mais bel et bien qu’il peut survenir à n’importe quel moment lorsqu’on est surmené.
Le plus souvent, il surgit à la suite d’un surmenage important, des émotions fortes ou un choc qui a été vécu mais mal ou pas intégré. L’on parle de burn-out lorsque la situation est problématique et que la personne n’est plus capable d’y faire face. Il y a une notion de durée à la fois importante et destructrice dans le concept du burn-out.
Ainsi, le burn-out est la dernière étape d’un processus stressant à tous points de vue. La dépression et le stress sont souvent liés au burn-out, et une fois atteint l’état d’épuisement sur tous les tableaux, c’est un chemin long et bordé d’épreuves pour pouvoir s’en sortir. Néanmoins, l’on s’en sort.
Détecter le burn-out : les signes qui ne trompent pas
Comme pour beaucoup de choses, vouloir guérir ne suffit pas toujours. Et dans le cas d’un burn-out, les personnes qui sont en prise avec ses rouages n’en sont pas systématiquement conscientes. Dire que l’on fait un burn-out, que l’on traverse cette épreuve est la première étape vers le retour à soi, mais surtout, c’est un cap difficile à passer. Et pour cause, les signes d’un burn-out sont aussi variés que les situations qui s’accumulent et le provoquent.
Les signes qui s’accumulent :
Les signes qui prédisent la présence d’un burn-out peuvent être divisés en trois parties. D’une première part, les signes qui doivent alerter lorsqu’ils se succèdent et s’accumulent :
- Un état de fatigue qui ne s’apaise jamais, un épuisement chronique ;
- Un cynisme vis-à-vis du travail, une vision négative de celui-ci ;
- Une perte d’efficacité dans le travail, qui s’étend doucement aux projets personnels ;
- Absence de sentiment d’accomplissement, perte de satisfaction quant à la tâche effectuée.
Encore une fois, le burn-out est souvent lié à l’activité professionnelle de la personne qui l’éprouve. Cependant, parfois, le burn-out peut naître de situations personnelles compliquées ou non résolues qui, également, s’étendent dans le temps.
Les symptômes physiques :
D’autre part, les symptômes peuvent être physiques. Et c’est souvent le cas lorsque tout semble aller de travers et que l’on perd psychologiquement pied. Le mental et le corps sont liés, et cela a d’inévitables répercussions sur la santé physique. Ainsi, l’on retrouve des symptômes tels que :
- Une fatigue générale, pesante et surtout inhabituelle ;
- Des troubles du sommeil de plus en plus fréquents ;
- Des douleurs chroniques (comme les lombaires) ;
- Douleurs musculaires ou des crampes musculaires régulières ;
- Une perte d’appétit ;
- Des troubles digestifs que vous n’aviez pas avant ;
- Régulièrement des maux de ventre ou de tête.
Les symptômes psychiques :
Enfin, le burn-out peut également présenter des symptômes psychiques qu’il est difficile d’ignorer. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
- Perte de motivation importante pour le travail et les activités personnelles ;
- Un sentiment de tristesse qui semble inexplicable ;
- Une anxiété qui s’étend envers tous les domaines ;
- Sensibilité plus accrue que d’ordinaire ;
- Sentiment d’indifférence de plus en plus important ;
- Réactions excessives ou disproportionnées ;
- Irritabilité et agressivité inhabituelles ;
- Ressentiment qui peut altérer les relations interpersonnelles ;
- Troubles de mémoire ou de l’attention ;
- Perte de concentration ;
- Troubles addictifs ;
- Baisse importante de l’estime de soi.
Ainsi, tous ces symptômes, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent être perçus comme de réels indices quant au fait que la personne soit en train de faire un burn-out. Il est important de rester à l’écoute de son corps et de son esprit afin de détecter le plus tôt possible les signes qui ne trompent pas.
Se sortir du burn-out : mission possible !
Tout d’abord, il est important de noter que la reprise de soi, de sa vie et du travail après un burn-out puisse être éprouvante. C’est ce pourquoi il est important de se consacrer pleinement à sa propre guérison. Le burn-out est un appel à l’aide de l’être, et il faut savoir l’écouter. Et rassurez-vous, l’on peut s’en sortir !
Laisser le temps au temps :
Cela peut paraître banal et insignifiant, pourtant le temps guérit beaucoup de choses. Et dans une société qui a souvent des difficultés à ralentir quelque soit le domaine, prendre son temps permet de se recentrer sur les choses importantes de la vie. De même, cela permet de vous (re)découvrir et de (ré)apprendre à vous aimer tel que vous êtes. Toute la vie nous soumet à des évolutions constantes, alors prendre le temps de faire le point avec soi-même est un procédé sain et bienfaisant pour soi et les autres.
Accepter de l’aide :
Il est souvent difficile d’admettre qu’on a besoin d’aide, car l’imaginaire commun associe cela à de la faiblesse. Et pourtant ! N’y a-t-il personne de plus fort que celle qui connaît ses limites et ses failles ? Le burn-out peut conduire, tout comme la dépression, à un isolement autant physique que psychique. Il est alors primordial de ne pas se fermer à l’aide que peut nous apporter l’entourage ou les professionnels. Non pas par faiblesse, mais bel et bien parce que tout le monde ne peut pas remettre un pied à l’étrier tout seul : un coup de main est toujours agréable !
Se reconnecter à soi :
Le burn-out peut vous éloigner de qui vous étiez. Une épreuve pareille vous fait souvent vous rendre compte à quel point la vie a évolué, et vous aussi. Le fait de traverser le burn-out n’est vraiment pas agréable, mais rien ne vous empêche de le voir comme une opportunité. Tout votre corps vous crie « STOP ! ». Et si vous l’écoutiez ? Peut-être est-il temps de vous accorder du temps pour vous, et uniquement vous. Les choses qui vous tiennent à cœur ne bougeront pas pendant que vous prenez soin de vous.
Se réorienter :
Et si c’était l’occasion de se recentrer sur vos désirs et vos attentes, et de changer un peu votre vie, votre profession ? Se reconnecter à soi permettra de voir l’avenir sous un nouvel angle et de retrouver des forces pour continuer à avancer. Il arrive que beaucoup de personnes se trompent de direction professionnelle, et ce n’est pas grave. C’est une expérience. Mais le burn-out pourrait bien être l’occasion de se réorienter vers quelque chose qui vous tient profondément à cœur, qu’en dîtes-vous ?
Découvrir :
Le burn-out peut également mener à de nombreuses découvertes. Autant sur vous-même que sur ce qui vous fait vibrer, il est important de s’écouter et de se rouvrir peu à peu au monde qui vous entoure. Vous avez toujours voulu tester l’escalade ? Foncez ! Le monde est beau et rempli de tant et tant de choses qu’il est important de vous écouter et d’oser !
Les médecines douces :
Une autre chose qui peut s’avérer d’une grande aide en cas de burn-out, ce sont les médecines douces. À l’écoute de l’être humain et de sa nature avant de remplir des cases de productivité et de résultats, elles permettent d’apprendre de nouvelles techniques pour faire attention à soi, se soigner avec douceur et bienveillance… etc.
En quelques mots…
Le burn-out est comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Et il est parfois possible de confondre l’œil du cyclone pour la fin des troubles et de la souffrance… C’est ce pourquoi il est essentiel de se concentrer sur soi, de se recentrer et de veiller sur soi. Car tout comme les plus vives des tempêtes, le passage du burn-out suppose de mettre plusieurs mois ou années à reconstruire. Mais il est bien possible de (se) reconstruire après une telle épreuve.
Ayant déjà été confrontée au burn-out dans ma vie, je peux vous assurer que si ce n’est pas simple, c’est tout de même possible ! Écoutez-vous, faites-vous confiance, développez vos sens et évoluez pour le mieux. Les médecines douces sont une vraie aide pour ce genre d’épreuve, car elles apportent à la fois des soins et des techniques de vie.
Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
-

Les schémas limitants de Young
Au cours de l’histoire, et plus particulièrement depuis les années 70, les sciences du comportement et du bien-être se multiplient pour toujours mettre en avant l’épanouissement personnel et le bonheur. Si plus récemment, en 2020, est sorti l’ouvrage de Carole Rinaldi à propos des cinq blessures émotionnelles, d’autres théories et pratiques existaient avant afin de se libérer de mécanismes inconscients et définitivement entravants. En 1990, c’est Jeffrey Young qui parvient à mettre en place la thérapie des schémas, qui permet d’établir nos « faiblesses » pour mieux y remédier ensuite. Alors qui est Jeffrey Young ? Et quels sont les onze schémas limitants selon lui ?
Qui est Jeffrey Young ?
Jeffrey Young est un psychologue américain, à l’origine des « 11 schémas de Young ». Fondateur du Schéma Therapy Institute, il est né en 1950 et est l’un des créateurs de la schémathérapie. En parallèle de sa profession de psychothérapeute, de psychologue et de professeur d’université ensuite, il a écrit deux grands ouvrages et s’est entièrement consacré à l’étude de la psychothérapie cognitivo-comportementale.
Très rapidement, il découvre les voies passionnantes de la schémathérapie. Celle-ci est en étroit lien avec les thérapies comportementales. En effet, elle se définit notamment comme étant une thérapie cognitive basée sur des schémas. Autrement dit, il s’agit d’aider des patients à identifier quels sont les schémas inadaptés dans leur comportement ou sentiments et les replacer par des schémas plus adaptés.
Selon Jeffrey Young, les schémas se définissent par des manières autodestructrices de penser, de ressentir et de se comporter.
Les schémas selon Young
Selon Jeffrey Young, les schémas limitants dépendent directement de l’enfance. Un peu comme les cinq blessures émotionnelles (cf. Livre Blessures Emotionnelles de Carole Rinaldi), les schémas dépendent directement de schémas précoces d’adaptation. Autrement dit, ce qui se passe dans l’enfance influence toute notre vie ensuite. Qu’il s’agisse d’agression, de critique, de surprotection, de rejet, d’abandon ou de négligence… tout cela marque l’enfant et se reflète dans la vie de l’adulte. Au bout d’un moment, ces schémas deviennent complètement indissociables de la personnalité.
Dans un deuxième temps, il établit que chaque schéma est associé à un besoin fondamental qui n’a pas été satisfait durant l’enfance.
Les onze schémas limitants
En étudiant la schémathérapie, Jeffrey Young distingue onze schémas limitants et les besoins qui les accompagne.
Méfiance et abus (« je ne peux pas faire confiance »)
Abandon : (« je t’en supplie, ne me quitte pas »)
- Besoin de sécurité de base non assuré par les parents.
Vulnérabilité (« la catastrophe est imminente »)
Dépendance (« je ne peux pas me débrouiller seul »)
- Besoin d’autonomie non satisfait ou empêché.
Carence affective (« mes besoins d’affection ne seront jamais comblés »)
Exclusion (« je me sens toujours à part »)
- Besoin de relation et de lien interpersonnels de qualité non satisfait.
Imperfection (« je ne vaux rien »)
Echec (« ma vie est un échec »)
- Besoin d’estime de soi non satisfait ou empêché.
Assujettissement (« je fais toujours ce que je veux »)
Exigence élevée (« ce n’est jamais suffisant »)
- Besoin d’expression de soi non satisfait ou empêché.
Tout m’est dû (« je peux (et je dois) obtenir tout ce que je désire indépendamment de ce que cela coûte aux autres »)
- Besoin de limites réalistes et de compréhension des besoins des autres non satisfaity ou empêché.
Les attitudes face aux schémas
Jeffrey Young établit qu’il y a trois réactions possibles face aux schémas limitants, une fois que ceux-ci ont été identifiés. Il distingue ainsi :
La capitulation :
Cette technique consiste à inconsciemment organiser sa vie en fonction des schémas qui ont été intégrés durant l’enfance. La capitulation est typique d’un comportement autodestructeur, puisqu’il s’agit de renforcer les schémas acquis.
Young déclare d’ailleurs :
« Quand nous capitulons, nous déformons notre point de vue d’une situation spécifique de manière à renforcer notre schéma. Chaque fois qu’il est réactivé, nous réagissons vivement. Nous […] créons des situations qui lui redonnent de la vigueur. Nous le maintenons actif. »
La fuite :
La fuite est un moyen de nier le schéma qui nous pose souci. En effet, il est impossible de régler un problème si on nie sa réalité. La fuite entraîne bien souvent un « engourdissement » (selon Young) qui peut amener à blesser son entourage et fuir vers des paradis artificiels. À ce propos, Jeffrey Young déclare également :
« En fuyant, nous chassons le schéma de nos pensées. Nous l’expulsons de notre cerveau. Nous évitons aussi d’être sensibles à ce schéma. Toute émotion est amoindrie. Nous trouvons un refuge dans la drogue, la nourriture, la manie de la propreté ou le travail. Nous évitons toute situation qui risquerait de déclencher le schéma. »
La contre-attaque :
La contre-attaque est l’un des comportements qui est adopté face aux schémas limitants. Elle a tendance, si on l’applique, à isoler et à épuiser. La contre-attaque nécessite de déployer des efforts et de l’énergie à se montrer invulnérable. Le danger dans cette solution est que sans son armure, la personne qui contre-attaque peut rapidement avoir l’impression que le monde s’écroule autour d’elle. Jeffrey Young explique :
« La contre-attaque nous permet de déjouer notre schéma en nous convainquant que la réalité réside dans son contraire. Nos sentiments, nos actes et nos pensées sont ceux d’une personne unique, supérieure, parfaite et infaillible. Nous nous agrippons désespérément à ce personnage. Le réflexe de la contre-attaque présente une alternative au mépris, au jugement critique et à l’humiliation. Il offre une porte de sortie à la vulnérabilité. Nous contre-attaques nous aident à composer avec le quotidien. »
Comment se défaire de ses schémas précoces ?
- Déceler les schémas et les nommer ;
- Comprendre qu’un schéma se forme dans l’enfance ;
- Lister les faits, les comportements qui permettent d’invalider le schéma par le raisonnement ;
- Ecrire à un parent, une sœur, une amie qui a contribué à la création de ce schéma paralysant ;
- Analyser le schéma qui créé un blocage ;
- Persévérer sur le long terme pour parvenir à s’en défaire.
En quelques mots…
Les schémas limitants que Young est parvenu à identifier permettent de se défaire de schémas limitants et bien souvent destructeurs lorsqu’ils sont conservés dans la vie adulte. Les identifier est la première étape qui permet de s’en détacher. De même, il est important de pouvoir les comprendre pleinement si vous souhaiter vous en extraire définitivement et avoir une vie plus sereine et épanouie sans blocage.
Car l’épanouissement personnel est important et qu’il est essentiel de prendre soin de soi, j’ai également trouvé ma voie dans le bien-être et les soins. Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement sur Doctolib ou bien par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas prenez le temps de vous connaître en étant au plus proche de la nature.
-

Ménopause : comment s’y préparer ?
Ce n’est plus un secret pour personne : les cycles menstruels ont beaucoup d’influence sur les femmes, tant sur leur état physique que mental. Et Mère Nature n’y est pas allée de main morte : les femmes ont leurs règles durant environ quarante années. Après cela, c’est l’étape de la ménopause qui se présente, et elle n’est pas des moindres ! Si pour certaines femmes, la ménopause se déroule en douceur, pour d’autres, cela équivaut surtout à de multiples changements. Alors comment se préparer au mieux pour ce step important ?
Qu’est-ce que la ménopause ?
La ménopause est un phénomène naturel qui se produit chez toutes les personnes ayant des menstruations. En moyenne, la ménopause survient entre l’âge de 45 et 55 ans.
Mais la ménopause ne fait pas stopper les règles du jour au lendemain. En effet, il peut y avoir quelques flux inopportuns. La ménopause n’est confirmée qu’après un arrêt des règles sur une période de 12 mois. De même, la ménopause peut également être annoncée par ce que les médecins nomment une « préménopause ». Autrement dit, les activités ovariennes sont ralenties et les hormones féminines diminuent. Tous ces changements entraînent des dérèglements des cycles menstruels, rendant irrégulières les périodes de règles –plus ou moins longues. C’est aussi une période qui peut apporter les premiers symptômes de la ménopause.
Expliquer les causes de la ménopause
Toutes les femmes naissent avec un certain nombre d’ovocytes. Ce nombre est par ailleurs estimé entre 700 000 et 2 000 000 (d’)ovocytes. Au cours de la puberté, la majorité des ovocytes se détériore pour atteindre un nombre de moins de 500 000 ovocytes. Parmi eux, seulement 400 à 500 atteindront l’ovulation durant la « période reproductive ».
Par ailleurs, ce processus physiologique qu’incarne la ménopause est naturel et inévitable. Il s’agit, plus précisément, de l’arrêt définitif de l’ovulation. Et pour cause, l’épuisement des follicules situés dans les ovaires ; les mêmes qui sont directement responsables de la libération des ovocytes dans les trompes utérines. Enfin, cela entraîne un arrêt de la sécrétion d’œstrogènes.
Les symptômes de la ménopause
La ménopause est une période qui peut durer jusqu’à cinq ans avant que les règles ne s’arrêtent définitivement. Mais les symptômes qui se déclenchent avec la ménopause, eux, peuvent durer bien plus longtemps. Tout comme pour le syndrome prémenstruel et les cycles menstruels, chaque femme ressent les symptômes liés aux changements du corps de manière unique et différente. Pour la ménopause, il en sera de même.
Parmi les symptômes qui sont le plus souvent subits, l’on relève :
- Bouffées de chaleur ;
- Sécheresse vaginale ;
- Sécheresse de la peau et des cheveux ;
- Douleurs musculaires ;
- Douleurs dans les seins ;
- Douleurs articulaires ;
- Prise de poids (3 à 5 kg environ) ;
- Maux de tête/ migraines plus fréquents ;
- Vertiges ;
- Augmentation des risques cardio-vasculaires ;
- Infections urinaires.
Certains de ces symptômes peuvent apparaître durant la période de préménopause.
L’impact psychologique de la ménopause
Par ailleurs, la ménopause n’impacte pas seulement le corps, mais aussi l’esprit. Plus précisément, c’est tout un éventail d’inconforts et de souffrances au quotidien qui peuvent se manifester. Elle présente notamment plusieurs symptômes qui ne se voient pas forcément physiquement et sont pourtant bel et bien réels. C’est le cas pour :
- Les insomnies ou l’hypersomnie ;
- L’irritabilité ;
- Des difficultés de concentration ;
- Des crises d’angoisse ;
- D’un sentiment de fatigue ;
- D’une déprime voire d’une dépression ;
- De la diminution du désir sexuel.
Comment se préparer à l’arrivée de la ménopause ?
Il n’y a, à ce jour, aucun remède miracle qui empêche les symptômes de la ménopause de se manifester. Mais il existe en revanche de multiples astuces qui permettent d’amoindrir les effets indésirables de la ménopause. Parmi eux :
Adopter une alimentation saine :
Une alimentation saine passe principalement à travers des produits frais et de saison, et le moins d’aliments préparés ou modifiés possible. En effet, les produits les moins manipulés (comme les produits biologiques et locaux) seront plus nutritifs en termes d’énergie et de vitamines, de minéraux…etc. En adaptant une alimentation saine et équilibrée, vous permettez à votre corps de se repaître des nutriments dont il a besoin. Toutes les vertus que contiennent les aliments seront des alliés lors de l’arrivée de la ménopause, en plus de booster le système immunitaire ou encore de vous donner l’énergie d’accomplir tous vos projets !
Avoir le goût de l’activité physique :
Bouger, courir, nager, escalader… peu importe le sport que vous choisissez, tant que c’est un sport qui vous plaît. En effet, le sport permet de rééquilibrer toutes les fonctions du corps en plus d’évacuer le stress et de libérer des endorphines. Ainsi, la pratique d’une activité physique permet tout autant de se sentir mieux psychologiquement que physiquement.
Prendre du temps pour soi :
La ménopause reste une grande étape dans la vie d’une femme. Souvent, cela peut avoir des conséquences directes sur la perception qu’elle a d’elle-même -à cause de tous les changements physiques- ainsi que sur la manière qu’elle a de se ressentir. C’est pourquoi il est essentiel de prendre du temps pour soi et de se faire plaisir. Au quotidien, c’est une donnée importante pour le bien-être ; en période de changement, c’est d’autant plus important pour ne pas se sentir submergé. Prendre du temps pour soi, c’est s’accorder des moments et des activités qui sont source de bonheur.
Lever le tabou :
Entrer dans la période de la ménopause peut être une véritable source de stress. C’est pourquoi il est essentiel de dédramatiser son angoisse. En parler autour de vous, avec des femmes qui sont déjà passées par là ou simplement vos amies, permettra de mieux gérer la situation. Si les symptômes se révèlent souvent inconfortables voire douloureux pour certaines, il est essentiel de lever le tabou afin de se rendre compte que vous n’êtes pas seule.
En quelques mots…
La ménopause peut être une période difficile à vivre. En effet, les nombreux changements dans le corps et au niveau de l’esprit que provoque la ménopause peuvent aggraver des troubles tels que l’anxiété, la dépression, ou encore les tocs. Il est important de prendre du temps pour soi tout au long de sa vie afin de se connaître davantage et surtout, d’anticiper les grandes étapes à venir. La ménopause ne ressemblera en rien à ce que vous pourrez imaginer. Avoir un quotidien sain et équilibré offrira à votre corps les outils pour gérer au mieux les bouleversements entraînés par la ménopause.
Et vous, craignez-vous l’arrivée de la ménopause ? L’avez-vous déjà vécue ? Quel a été/ quel est votre ressenti ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage. Je pratique des séances à Paris, mon cabinet se situe au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement via Doctolib ou par téléphone au 06.85.45.84.83.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il vous suffit d’écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin de la tornade qu’est le quotidien, vous pouvez profiter d’un moment de calme au plus proche de la nature.
-

Faut-il cultiver l’indifférence ?
L’indifférence porte souvent en elle une connotation péjorative et surtout, douloureuse. Qui n’a jamais été ignoré par une personne estimée ? Oui, ça fait mal ; au cœur, à l’ego et aux sentiments qu’on avait pour ladite personne. Dans notre société, entre les obligations sociales et ses propres ressentis, il est parfois difficile d’y voir clair. Et si l’indifférence vous aidait, finalement ? Alors faut-il la cultiver ? Et si oui, comment s’y prendre ?
L’indifférence, c’est quoi ?
Selon Le Robert, l’indifférence se définit par « l’état de la personne qui n’éprouve ni douleur, ni plaisir, ni crainte, ni désir ». Cela peut se traduire par un état intérieur d’apathie. Mais l’indifférence peut également s’en référer à autre chose qu’à l’absence de sentiments d’un individu. Le Robert précise ainsi qu’il peut s’agir du « détachement à l’égard d’une chose, d’un événement ».
Ainsi, l’indifférence peut tout autant désigner une distance émotionnelle quant à soi-même et ses propres sentiments, ceux des autres, ou encore quant aux événements de la vie qui surviennent parfois. L’indifférence se dessine alors comme une notion plus nuancée qu’un simple égoïsme.
L’indifférence et sa connotation péjorative
Le sentiment d’indifférence est souvent vue comme une émotion difficile à encaisser pour celui qui la subit. La plupart du temps, l’indifférence porte une connotation très péjorative, dont peu de gens souhaitent finalement être responsables. D’où vient cette idée que l’indifférence est péjorative ?
Cela s’explique à travers deux notions qu’il est important de distinguer : l’indifférence envers la vérité et l’indifférence émotionnelle. La première désigne une prise de distance avec les événements qui se déroulent dans l’actualité, dans sa vie ou dans la vie d’autrui ; la seconde, plus délicate, s’explique par des tendances individualistes mises en scène par la société depuis des décennies. L’altruisme et la bienveillance ont longtemps été mis de côté au profit d’une illusion de réussite sociale.
De nos jours, ces deux notions d’indifférence tendent à se nuancer, tant par la complexité de notre société à deux mesures, que par la toile infinie que forment nos sentiments personnels. Enfin, l’indifférence demeure dans les consciences collectives comme une chose dérangeante, blessante, dangereuse et péjorative. Cela s’explique par la blessure de rejet/ d’abandon qu’elle peut réveiller chez certaines personnes.
Ainsi, l’indifférence a été diabolisée et a permis de justifier de certaines marginalisations qui paraissaient « cool » ou tendance. Mais l’indifférence, au même titre que le plaisir ou la tristesse est une émotion neutre. Et comme pour toutes les émotions, tout dépend de ce que vous en faîtes !
Les bienfaits de l’indifférence
Si cela paraît difficile à croire, l’indifférence présente pourtant des bienfaits ! Parmi eux, l’on peut noter :
Une forme de liberté :
Le fait de cultiver l’indifférence est une forme de liberté. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas ici d’ignorer tout le monde quand ça nous chante. Il est plutôt question de cultiver l’indifférence et de savoir qu’il sera possible de l’appliquer à des choses qui nous entrave dans le quotidien. Le regard des autres ? Les injonctions sociales ? Les choses que vous penser « devoir » aux autres ? L’indifférence représente dans certains cas une forme de liberté, car alors vous n’êtes plus obligé de répondre à ce que l’on attend de vous. Cette pression s’envole ! Vous vivez pour vous et pour personne d’autre.
Vivre plus honnêtement :
De la même façon, cultiver l’indifférence quand vous en ressentez le besoin permet de vivre plus honnêtement. Sans être égoïste, cela permet de vous concentrer sur votre vie et vos projets –personnels, pros, familiaux…etc. Vous vivez selon vos valeurs, et vous ne devez rien à personne sinon à vous-mêmes.
Être en accord avec ses besoins :
Cultiver l’indifférence, c’est aussi savoir quand l’appliquer pour ne pas aller au-delà de ses limites. Si dans votre groupe d’amis, une personne vous met mal à l’aise et ne semble pas très encline à faire des efforts pour que tout se passe bien, alors peut-être est-il préférable de se parer d’indifférence à son égard afin de passer du bon temps quand même. Si, en revanche, un jour de fatigue physique ou émotionnelle, vous préférez ne pas y aller, le fait d’être indifférent non pas aux sentiments de vos amis mais bel et bien à l’opinion du « qu’en dira-t-on », vous aurez plus de facilité à vous écouter et respecter votre besoin d’être seul et de vous reposer.
Savoir s’écouter et se connaître toujours mieux :
L’indifférence, lorsqu’elle est utilisée sans excès, permet d’apprendre à mieux se connaître et surtout, savoir quand s’écouter. Comme pour l’exemple ci-dessus, l’indifférence permet de ne pas culpabiliser à tort en se choisissant. Car quoiqu’il arrive, vous restez votre compagnon de vie le plus fidèle.
Comment cultiver l’indifférence ?
Être responsable de soi-même :
La première chose à comprendre –et appliquer- dans sa vie c’est la responsabilité de soi. Car s’il est possible de compter sur ses amis ou sa famille, le plus souvent, on passe le temps en tête à tête avec soi. Vous êtes responsable de vos sentiments, de vos actions, de vos décisions. De votre tristesse comme de votre bonheur, et en cela, vous êtes une personne autonome et indépendante ! Alors n’ayez plus peur, et soyez votre propre étincelle pour lancer ce feu qu’est la vie ! Cela permet également de ne dépendre de personne d’autre, que ce soit dans le travail, dans les relations interpersonnelles ou encore dans vos besoins et envies.
Vivre le moment présent et accepte la réalité :
La vie, le corps humain, les événements, tout est cyclique. Autrement dit, si tout a un début, tout possède également une fin. Et le mieux, c’est encore de profiter pleinement du moment présent. Que celui-ci paraisse pénible ou se drape d’une joie incommensurable, il est essentiel de savourer les nuances qu’offre le présent. Alors n’ayez plus peur de vous détacher d’un passé réconfortant ou de vous éloigner quelques heures d’un futur prometteur ! Le présent est là, lui, et la réalité est souvent plus belle que ce que l’on redoute.
Votre liberté importe ; celle des autres aussi :
La liberté passe par une forme importante d’indépendance. Ce qui n’empêche cependant pas de pouvoir tisser des liens plus ou moins étroits avec d’autres personnes. L’amour est un sentiment qui se pratique au moins à deux personnes. Toutefois, l’indifférence intervient lorsque ces relations vous aspirent et que vous avez ce sentiment de responsabilité concernant la vie des autres (on ne parle évidemment pas des enfants, des personnes fragiles ou en danger immédiat). Il est donc important de conserver cette indépendance dans le plus de domaines possibles afin de ne pas devenir tributaire de quelconques obligations imaginaires. Il est possible d’en apprendre plus via cet article : l’indépendance, une nécessité ?
Accepter qu’il y ait parfois des adieux:
La vie se compose de rencontres et d’adieux. Si certains sont plus déchirants que d’autres, il est néanmoins important de se faire à l’idée qu’il n’y a que peu de personnes qui passent toute leur vie à notre côté. Que ce soit au niveau des différents êtres vivants qui croiseront votre route, des biens matériels ou encore de votre propre évolution, les adieux durent toujours puisqu’ils sont amenés à se répéter. Et si, au lieu d’y voir une fin, vous y voyiez le début d’une nouveauté qui se révèlera bientôt ?
En quelques mots…
L’indifférence est bien souvent perçue comme une notion péjorative et un sentiment qui s’avère blessant pour ceux qui la subissent. Qu’on y ait déjà fait face ou non, il est important de noter qu’elle n’est pas fondamentalement mauvaise. En effet, comme pour beaucoup de choses de la vie, il est surtout question d’équilibre. Et quelques grammes d’indifférence ne font pas de mal, surtout si cela est nécessaire à la recette de votre bien-être !
Il est néanmoins essentiel de bien choisir ses « batailles ». Il ne s’agit en aucun cas de justifier un mauvais comportement envers autrui, mais bel et bien d’un choix que vous faîtes : vous-mêmes. Vos besoins, votre vie, vos envies. Et parfois, ça fait du bien !
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances à mon cabinet , qui se situe au 87Bis avenue de Wagram 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib ou par téléphone 06 85 45 84 83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
J’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas qui en naissent, venez vous ressourcer au plus proche de la nature.
-

Comprendre son corps pour apprécier sa sexualité
La sexualité est un sujet complexe. Complètement subjective, la sexualité varie tout au long de la vie et peut porter dans son sillage quelques périodes plus complexes. En effet, outre la libido, la sexualité est bien souvent, pour les femmes davantage que pour les hommes, sujet à de nombreux complexes voire des blocages. Alors comment vivre une sexualité épanouie ? Il se pourrait bien que l’acceptation de soi et la célébration de son propre être puisse être la clé qui permettra de vivre et apprécier sa sexualité pleinement.
Comment fonctionne le désir dans le corps ?
Le désir, tout comme la sexualité dans sa globalité, est un concept très complexe. Pour certains, elle est semblable à une pulsion, pour d’autres, c’est un tourbillon d’émotions et de sensations qui se diffuse dans le corps.
Mais concrètement, c’est quoi le désir ? Et comment il se manifeste dans le corps ?
Le désir est la somme des sensations perçues par les sens. Cette somme n’est cependant pas sans conséquences, puisqu’elle déclenche à son tour une réaction chimique dans le cerveau. Le scientifique Bernard Sablonnière décrit les réactions des neurones au désir comme des « clés chimiques ». Autrement dit, ce sont différentes hormones qui sont libérées à tour de rôle dans l’esprit lorsque le désir naît.
Dopamine : activateur du désir.
Ocytocine : hormone de l’attachement.
Testostérone / œstrogène : associées de la libido.
Ce schéma se reproduit chaque fois que le désir se ressent par le corps. Mais les sens, qui ont perçu les premiers indices, ne s’arrêtent pas à cette simple tache ! Les yeux, l’ouïe, l’odorat ou le goût sont des parties intégrantes de la naissance du désir, mais également de sa continuité dans l’instant.
Le corps, outil important dans la sexualité
Enfin, le désir se traduit également par les ce que l’on appelle couramment les zones érogènes. Ce sont tous les endroits du corps qui sont susceptibles de faire durer le désir dans le corps et de l’accroître. Les zones érogènes peuvent varier d’une personne à l’autre (sexe, oreille, mains, nuque, cuisses…etc.). Ainsi, tout le corps est non seulement concerné par le désir, mais il en est également un outil principal.
Le corps étant l’un des outils principaux du plaisir sexuel, si on ne s’y sent pas à l’aise, l’accès à sa propre sexualité peut en être compromis. Il est alors important de trouver un équilibre entre acceptation de soi et sexualité épanouie. Plus vous vous sentirez à l’aise avec vous-mêmes, plus il vous sera aisée de vous dévoiler devant votre propre regard ou celui d’un.e partenaire.
Célébrer son corps au quotidien
Lorsqu’on évoque le fait de célébrer son corps, cela ne consiste pas à lui préparer une petite fête tous les matins avant de se remettre à la détester le reste de la journée. Célébrer son corps est un processus qui peut s’avérer long et sinueux, mais qui en vaut la peine. Parce qu’à bien y réfléchir, votre corps et votre esprit ne sont-ils pas les seuls qui vous accompagneront fidèlement tout au long de votre vie ? Alors il est temps de célébrer son corps !
Le corps est un miroir :
Eh oui ! Aussi étonnant que cela paraisse, le corps est bel et bien un miroir. Reflet de ce que l’on pense de soi ou de ce que l’on se fait subir, le corps nous rend au centuple ce qu’on lui accorde. Alors pourquoi ne pas se mettre à le cajoler plutôt que de l’abreuver de termes péjoratifs ? (pssst ! Les termes… il les comprend !) Peut-être est-il simplement temps de le célébrer, de le remercier, de le complimenter pour son accompagnement fidèle et constant.
Remercier son corps :
Lorsqu’on y pense, le corps est capable de tant et tant de choses, qu’il faudrait souvent le remercier ! Que ce soit après une journée d’escalade ou à la suite d’un accouchement, le corps nous soutient, nous accompagne, nous permet de nous dépasser et de repousser nos limites. Alors pourquoi attendre ? Merci de me supporter… littéralement !
Le corps change et grandit :
Même si la croissance du corps s’arrête plus tôt chez les filles que chez les garçons, le corps grandit quand même tout au long de la vie. Et parce qu’il garde profondément ancré en lui les blessures du passé mais aussi les victoires du présent, il ne faut pas lui en vouloir ! Le corps humain est le catalogue de nos expériences, un magnifique album vivant relatant notre parcours plus ou moins explicitement.
Nos corps sont différents :
Tous les corps sont uniques, et donc différents des autres. Et pourtant, ils restent tous des corps humains, beaux dans leur façon de vivre. Alors plus de raisons de se dénigrer, de se dévaloriser… le corps est un magnifique cadeau et la vie la plus belle des fêtes !
La sexualité, seul ou à plusieurs
Seul ou à plusieurs, les rapports sexuels peuvent parfois être intimidants. Et ce, d’autant plus lorsqu’on se dévalorise sans cesse ou que l’on ne se sent pas bien dans son corps. Si parfois, la sexualité peut permettre de s’apprécier davantage via le plaisir ressenti, le plus souvent, c’est l’inverse qui se produit : il faut se sentir bien pour mieux apprécier sa sexualité. Pour certaines personnes, il peut alors être plus simple de se familiariser avec ses propres désirs et son plaisir en étant d’abord seul.e. Tâtonnez, explorez, ressentez… Vous êtes le capitaine qui vogue sur l’océan, mais aussi le bateau qui ressent les vagues du plaisir et la mer qui caresse. Ce sont des moments précieux qui vous aideront à vous comprendre et vous percevoir dans le domaine du plaisir.
Comprendre son corps pour mieux vivre sa sexualité
En célébrant votre corps au quotidien, vous apprendrez jour après jour à vous aimer telle que vous êtes. Et cela s’en ressentira sur de nombreux aspects de votre vie, y compris votre vie sexuelle. Et avoir des complexes à la pelle, des idées peu valorisantes à son encontre, ça n’aide pas vraiment sur les chemins du plaisir.
Mais en vous valorisant à travers votre propre regard, vous prenez conscience de vos nombreux atouts et de votre potentiel en tant que femme. Au niveau de votre sexuelle, vous pourrez dire adieu aux complexes qui peuvent être sources de blocages. De même, vous vous sentirez beaucoup plus libérée avec un partenaire, ou même toute seule, dans l’intimité de votre propre amour de vous !
En quelques mots…
Autrement dit, aimez-vous et vous vivrez une sexualité beaucoup plus épanouie ! Inutile de faire semblant dans l’intimité d’une chambre, votre regard vous suit partout. Alors le mieux, c’est encore qu’il soit bienveillant et doux. Parce que toutes les femmes sont belles et que vous êtes la seule à pouvoir changer votre avis sur votre corps et votre personne.
Pour apprendre à célébrer son corps et l’apprécier davantage, il est également possible de faire appel aux médecines alternatives comme la réflexologie, le yoga –qui renforce le corps- ou encore le drainage lymphatique qui le soulage.
Je propose, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences, de soins thérapeutiques en plus de séances d’hypnose. Les soins thérapeutiques en question concernent le visage et le corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, je propose également des retraites bien-être, pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien, accordez-vous du temps et du repos pour vous comprendre toujours plus en profondeur.
-

Faire face à l’échec pour repartir plus forte !
« L’échec est juste une étape de plus vers la réussite ». Combien de fois cette phrase a-t-elle été lue, entendue, prononcée ? Pourtant, face à l’échec, chaque personne a sa propre façon de réagir. De digérer, de rebondir ensuite, de s’en servir ou pas… Et si les philosophies de vies sont toutes différentes, personne n’est pour autant à l’abri d’une situation d’échec. Mais l’échec en est-il vraiment un ? Et comment y faire face malgré ses émotions pour repartir plus forte ensuite ?
Qu’est-ce que l’échec ?
On ne parle pas de roi et de reine ici, bien que les échecs ont certainement pu les concerner à une autre époque. Selon Le Robert, l’échec, dans son sens figuré, est le « fait de ne pas réussir, ne pas obtenir quelque chose ». Autrement dit, c’est une expérience vécue qui se solde par un résultat négatif pour la personne qui la vit.
Il y a dans la vie toutes sortes d’échecs. Professionnel, financier, amical, familial, amoureux, moral, physique, sportif…etc. En somme, l’échec peut s’appliquer à tous les domaines de la vie, et malheureusement, il n’épargne personne.
Pour autant, tous les échecs ne sont pas vraiment négatifs –n’en déplaise au Robert ! Et s’il suffisait d’appréhender différemment les choses pour en tirer tout le potentiel positif possible ?
Apprivoiser l’échec
« L’échec est le fondement de la réussite »
Lao Tseu
L’échec n’est jamais, jamais, facile à encaisser. Suite à un échec, les émotions « négatives » se succèdent et s’acharnent. Découragement, colère, stress, tristesse, anxiété… rien n’est simple. L’on perd l’objectif sur lequel on s’était concentré depuis quelques temps, et tout autour semble ne plus avoir d’importance. N’hésitez pas à aller voir comment diminuer le stress par de petits gestes au quotidien.
Tout cela est naturel.
Le retour à la brusque réalité peut faire très mal, mais malgré ce coup dur, rien n’est impossible. Alors comment apprivoiser l’échec pour qu’il ne soit plus ressenti comme un désastre intérieur mais une motivation supplémentaire ?
Analyser l’échec pour le comprendre :
Dans un premier temps, il est important d’analyser l’échec et ses causes. Pourquoi cela n’a-t-il pas eu le résultat escompté ? Attention toutefois, il ne s’agit en aucun cas de trouver un coupable (vous ou autrui) à blâmer. Bien au contraire, il s’agit de récapituler les événements et de trouver le moment où l’échec a pu s’infiltrer par une brèche. N’oubliez pas non plus que parfois, les choses arrivent simplement sans aucun fautif à punir. Mais c’est loin d’être négatif ; tout dépend de ce que vous décidez de faire ensuite !
Laisser le temps au temps :
Une fois confronté à la vérité de l’échec, laissez-vous le temps de digérer la situation. S’il est recommandé de remonter en selle après une chute de cheval, rien ne vous empêche de prendre du temps pour vous au préalable. De vous recentrer sur vous-même, non pas pour fuir mais pour digérer l’échec. Ce n’est qu’en étant totalement sereine, que vous pourrez vous investir entièrement dans un nouveau projet (et éviter le syndrome de l’imposteur avec de l’hypnose d’estime de soi !)
Retrouvez vos appuis et repères :
L’échec fait toujours grincer des dents. Alors pour ne pas perdre votre estime de vous ni votre confiance en vous –qui est si dure à acquérir…-, il est important de vous recentrer. Voyez vos amis, continuez votre vie non pas dans un déni confortable mais bel et bien dans une conscience de tout ce qui vous entoure. Vos amis et votre famille sont présents pour vous aider –vous aimer- et la vie continue. L’échec n’arrête pas le temps, il permet juste de faire le point.
Utiliser l’échec
Une fois que vous avez apprivoisé l’échec, il ne vous reste plus qu’à l’utiliser pour continuer d’avancer dans vos projets.
Tirer des enseignements de l’échec :
En tirant des enseignements de l’échec que vous avez vécu, vous pourrez consolidez ainsi vos compétences et vos savoirs pour le prochain projet que vous aurez. Le fait d’apprivoiser l’échec vous aide à la comprendre, mais en tirer des leçons vous aide à vous comprendre.
« La seule vraie erreur est celle à partir de laquelle nous n’apprenons rien »
Henry Ford
Alors n’ayez pas peur, apprenez de vos échecs comme de vos réussites et comprenez-vous toujours mieux. Au cours de sa vie, on est tous amené à changer ; alors comment nos objectifs et nos manières de vivre pourraient-elles demeurer les mêmes ?
Faire de l’échec une motivation :
L’échec est souvent perçu comme un frein. Mais il ne tient qu’à vous de le faire éclore en véritable petite fleure motivante ! L’échec est dur à encaisser et difficile à faire face. Mais il peut être une réelle source de motivation également. Persévérance, défi, motivation, optimisme… peu importe quelle est votre carburant. L’important est de trouver par quel moyen cet échec deviendra une ouverture motivante pour votre réussite !
Trouver un rythme qui convient :
L’échec peut prendre plusieurs rythmes différents pour être pleinement « digéré ». Et cette étape est essentielle ! Sans elle, l’échec deviendrait simplement source de rancœur et de rage ; si elles font un bon outil pour avancer, elles ne demeurent pas des émotions éphémères et surtout de mauvaises raisons pour se lancer dans un nouveau projet. Trouver un rythme qui vous convient, c’est aussi faire preuve d’écoute et de bienveillance envers vous-même. Ainsi, le retour vers un nouvel objectif est accompagné des plus belles compagnes !
En apprendre plus sur soi :
Cela peut sembler étonnant, mais votre réaction à l’échec vous en apprend beaucoup sur vous. Alors n’hésitez pas à creuser cela ! Cela peut aussi être une aubaine pour apprendre à se connaître à travers son propre regard et pas celui du groupe. Cela vous donnera des clefs supplémentaires pour le prochain projet, et plus généralement, au quotidien !
Ouvrir son horizon et agrandir ses perspectives !
Faire face à l’échec, c’est aussi prendre conscience de beaucoup de choses. Après tout, si une expérience se solde par un échec, n’est-ce pas également le signe que toutes les autres sont à tenter ? Cela laisse un champ des possibles assez large pour pouvoir expérimenter de nouveau.
Il ne s’agit évidemment pas de tomber dans un enchaînement de situations voués à l’échec. Plus simplement, c’est l’idée de se dire, en pleine conscience de l’échec vécu, que finalement, il s’agit plus d’un réalignement à opérer que d’un échec à essuyer.
En analysant au préalable les raisons qui ont menées à l’échec, cela permet également d’avoir une vision d’ensemble. Celle-ci est notamment utile pour tout nouveau projet : vous parviendrez à anticiper suffisamment et serez ainsi mieux préparé.
Ouvrir ses horizons et agrandir ses perspectives, c’est l’un des nombreux moyens qui permettent de progresser. Et parce que parfois la vie est imprévisible et amusante, l’avenir pourrait bien vous réserver de nombreuses surprises ! Ce que vous ne pensiez même envisageable il y a quelques mois pourrait devenir votre nouveau projet…
En quelques mots…
L’échec est souvent perçu comme, eh bien, un échec. Pourtant, il y a mille et une façons de faire de l’échec une motivation, un outil, une leçon. Et s’il est souvent perçu comme une bête noire qu’il faut à tout prix éviter de croiser dans sa vie, c’est faux ! L’échec est un des nombreux moyens existant qui permette de progresser, de se connaître mieux et d’évoluer.
Toutefois, certains échecs sont plus difficiles que d’autres. C’est pourquoi il est important de prendre du temps pour se recentrer avant de se lancer dans un nouveau projet ; le but n’est pas de se noyer, mais bel et bien de progresser !
Si vous avez besoin de pistes, je vous invite également à aller lire comment retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation. Cela pourra également vous aider à reprendre confiance en vous et accomplir ensuite tout ce que vous voulez !
Comme tout le monde, j’ai connu mes échecs. Je les ai traversés plus ou moins facilement pour toujours apprendre et progresser. Et j’ai réussi. Ça a été difficile et long parfois, mais il suffit de trouver comment l’on fonctionne.
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps (drainage lymphatique).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être. Au plus porche de la nature, ces séjours permettent de se (re)découvrir et d’en apprendre plus sur soi. Loin des tracas du quotidien, il s’agit de se concentrer sur soi.
-

L’indépendance, une nécessité ?
L’indépendance est une notion de plus en plus recherchée dans notre société. Que ce soit au niveau du travail, des relations personnelles ou bien des responsabilités qui nous incombent, l’indépendance reste l’une des portes menant à une forme de liberté. Lorsque les liens sociaux sont mis en avant, lorsque l’humain est au cœur de tant de formules de bien-être, alors pourquoi semble-t-elle autant importer ? Qu’est-ce qui rend l’indépendance si attirante ? Et enfin, l’indépendance est-elle une nécessité dans nos vies ou un fardeau solitaire ?
Comment définir l’indépendance ?
L’indépendance est délicate à définir. La formule principale voudrait que l’indépendance soit l’état d’une personne n’étant tributaire d’aucun individu « sur le plan matériel, moral, intellectuel » (selon le Larousse). Autrement dit, lorsque l’on parle d’une personne indépendante, il s’agit de désigner que ladite personne ne dépend de rien ni de personne sinon d’elle-même.
Toutefois, la question se pose de savoir si une indépendance totale serait finalement une nécessité, un besoin ou tout simplement l’expression d’envies ponctuelles dans la vie de certaines personnes. Sachant que l’indépendance peut également être émotionnelle, financière…etc. et s’appliquer à tous les domaines et aspects de la vie d’un individu.
Les différentes formes d’indépendance
L’indépendance matérielle : l’indépendance financière peut se retrouver chez une personne ayant son propre logement, par exemple. En d’autres mots, un individu en situation d’indépendance matérielle est une personne qui ne dépend pas d’autrui pour subvenir à ses besoins matériels, quels qu’ils soient.
L’indépendance financière : souvent associée à l’indépendance matérielle, cela concerne surtout la question (si taboue en France…) de l’argent. L’indépendance financière permet de subvenir seul.e à ses besoins, quels qu’ils soient. Si il y a encore quelques décennies, le mari subvenait aux besoins de la famille entière, ce temps semble désormais révolu. Aujourd’hui, les femmes subviennent à leurs besoins seules et sont de plus en plus indépendantes –et pas seulement financièrement ! En effet, de plus en plus de femmes décident de se mettre à son compte avec de l’hypnose pour gérer le stress que cela entraine.
Indépendance intellectuelle/ morale : l’indépendance morale ou intellectuelle se rapporte directement aux valeurs auxquelles chacun peut prétendre répondre. L’indépendance intellectuelle, c’est avoir des convictions que l’on a cultivé soi-même, et qui guide aussi les choix et les actes que l’on peut faire. Plus encore, l’indépendance intellectuelle ou morale, c’est avoir la liberté d’agir et de choisir sans dépendre des obligations d’autrui, des attentes de la société…etc.
Indépendance émotionnelle : l’indépendance émotionnelle est encore méconnue. Elle s’oppose à tous les soucis relationnels concernant la dépendance affective et toutes les déviances que cela engendre. L’indépendance émotionnelle est, par définition le fait de ne dépendre que de soi pour toutes les émotions qui nous traversent. Et par extension, il s’agit de prendre la totale responsabilité des émotions que l’on éprouve, quelles qu’elles soient.
Y a-t-il des « mauvais côtés » à l’indépendance ?
Si l’indépendance est souvent valorisée dans notre société, il peut néanmoins y avoir quelques « désavantages » à celle-ci. En effet, l’indépendance, si elle mène à l’une des formes de la liberté qu’il est possible de caresser de temps en temps, elle reste parfois pesante. Et pour cause, l’indépendance conduit l’individu qui l’est à se suffire à lui-même. Cela mène parfois à :
- Un isolement inconscient : en n’ayant besoin de personne, l’on peut parfois avoir tendance à se contenter de sa propre compagnie ;
- Repli sur soi: se suffire à soi-même sans travailler sa curiosité du monde ou des gens conduit souvent à un repli sur soi assez sévère ;
- Une vie solitaire : de même, la solitude peut prendre beaucoup de place dans la vie, elle-même conduisant à certains symptômes de dépression ;
- Ne plus avoir envie/ besoin de famille, d’amis… : enfin, ce qui est lié à une indépendance totale et complète, c’est de couper les liens avec les autres. Parfois, l’affection ne suffit pas et les personnes indépendantes ne recherchent que des choses éphémères. De nos jours, de nombreuses femmes font le choix de rester célibataire à vie sans jugement avec l’aide de l’hypnose thérapie à Paris;
- Une peur de perdre cette indépendance : une fois que l’on goûte un bon gâteau, il est parfois difficile de se contenter de l’imitation industrielle dénuée de saveurs, n’est-ce pas ?
Ainsi, si les effets néfastes de l’indépendance ne ressortent pas tout de suite ni même de façon systématique, ils peuvent tout de même exister. Ils sont en grande partie reliés directement avec différentes formes de solitude. Mais tout le monde ne réagissant pas de la même façon à celle-ci, il se peut qu’il y ait des effets plus graves, comme des troubles anxieux ou de la dépression.
L’indépendance, une question d’équilibre ?
L’indépendance mène à la liberté.
Si cette phrase peut être nuancée de nombreuses façons, l’indépendance est et demeurera l’un des chemins les plus directs pour rejoindre la liberté. En philosophie, la liberté se traduit comme une absence de contrainte, l’état d’une personne qui agit comme bon lui semble. Mais très rapidement, cette définition trouve ses limites. Après tout « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres », non ?
Si l’indépendance mène à la liberté, il est important de garder en tête que les limites de la liberté se retrouvent rapidement dans notre société. Ainsi, les deux notions, si elles sont inévitablement liées, se distinguent toutefois de manière précise.
L’indépendance est différente de l’autonomie.
Par ailleurs, d’aucuns pensent que l’autonomie et l’indépendance sont synonymes l’une de l’autre. Pourtant, l’autonomie répond au fait de ne pas suivre les règles d’une autre personne que soi. Et l’indépendance est ce qui mène à une autonomie totale. Mais l’autonomie ne semble pas reprendre les « désavantages » que présente l’indépendance. Faudrait-il alors être autonome sans posséder une indépendance totale ?
Si certains distinguent les deux termes, c’est certainement pour mieux les comprendre dans un premier temps. Car finalement, ils sont indubitablement liés et ne peuvent exister l’un sans l’autre.
Une question d’équilibre ?
L’indépendance est-elle une nécessité ? Pour certaines personnes, elle est vitale. Car être indépendant (financièrement, matériellement, intellectuellement, émotionnellement…), c’est pouvoir agir en son âme en conscience. Faut-il pour autant se détacher de tout lien social ?
Non, car l’indépendance est une clé puissante que vous garderez pour toujours avec vous. Elle vous ouvrira les portes de liens que vous ne pouviez même pas imaginer, vous conduira dans des voyages merveilleux, rendra la vie plus douce et à la fois plus colorée.
Car comme pour beaucoup de choses dans la vie, tout n’est qu’une question d’équilibre. Parvenir à être indépendant n’est pas une mauvaise chose en soi, tout comme il n’est pas foncièrement mauvais de demander de l’aide lorsqu’on en ressent le besoin. Avoir une connexion sociale, pouvoir se connecter aux personnes avec de l’hypnose à Paris est une bonne chose. La question de l’équilibre se pose d’ailleurs selon les besoins et les envies de chacun. L’équilibre passe à travers des habitudes, des tendances, des besoins, des loisirs, et surtout : un bien-être. Et il n’est pas à négliger !
Indépendance et bien-être
Finalement, tout cela est pour souligner l’importance de l’indépendance pour le bien-être. Que celui-ci soit physique, émotionnel ou mental, l’indépendance fournit toujours une corde supplémentaire à chaque arc. Votre bien-être ne dépend que de vous, et l’indépendance vous permet de l’atteindre plus facilement, justement car vous en êtes le levier principal. Apprenez à vous connaitre avec de l’hypnose pour la confiance en soi pour vous faire plaisir !
Plus besoin de dépendre d’autrui ou des normes sociétales souvent biaisés par le Dieu Argent ou Productivité. Vous pouvez tout faire ! Faire le tour du monde sur le dos d’une Harley Davidson ? Possible ! Partir en mer pour une durée indéterminée en ne se fiant qu’aux étoiles ? Dangereux, mais possible ! Tout ce qui compte, c’est vous et votre bonheur. Il est temps de s’avancer sur ce chemin et d’ouvrir votre cœur au bien-être que tout le monde mérite…
Pour conclure…
S’il fallait peindre l’indépendance, elle serait un oiseau.
L’autonomie en serait un nuage, qui ne répond à rien sinon à lui-même.
Et la liberté serait le joli coucher de soleil dans le fond.
Car finalement, toutes ces notions ne se font jamais ressentir en même temps. Vous êtes libre de commander le café que vous voulez à la terrasse du coin. Vous êtes autonome même en dépendant des transports en commun, ou en étant locataire. Enfin, vous êtes indépendant y compris lorsque vous avez besoin de voir vos amis ou votre famille. Vous êtes simplement libre d’établir votre propre définition de tout cela, et de vivre selon elle.
L’indépendance n’est pas une totale nécessité. Elle peut se faire ressentir lorsqu’un besoin sous-jacent de jouir de plus de liberté se fait lui-même ressentir. Mais on peut vivre en dépendant de petits gestes du quotidien. Vous vivez la vie que vous construisez vous-même !
J’ai moi-même fait le choix de l’indépendance matérielle et professionnelle, il y a quelques années. Et quel bonheur de ne plus dépendre d’autrui ! Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris qui vous apprends à vous connaitre. Je propose des séances d’hypnose ou de soins pour le corps et le visage (comme le drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de (re)découvrir pleinement. Loin du quotidien et au plus proche de la nature, la liberté vous tend ses bras pour quelques jours.
-

Vaincre le syndrome de l’imposteur
Le syndrome de l’imposteur devient de plus en plus cité de nos jours. Et pour cause, dans une société où tout le monde tourne à cent à l’heure, il est parfois délicat de reconnaître la valeur de son travail et de la façon dont on peut se congratuler. Mais au-delà d’une appellation récente, qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? De quand date-t-il ? Est-il un réel trouble ? Et surtout, comment finir par le vaincre ?
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
Apparu en 1978 après que Pauline Clance et Susanne Imes, deux psychologues, aient étudié le phénomène, le syndrome de l’imposteur est une sensation bien étrange à éprouver. A cette époque, leur étude portait sur une totalité de 150 femmes ayant été diplômées et exerçant un métier prestigieux. Toutefois, il s’est avéré que ces femmes ne pensaient pas « avoir réussi » comme cela peut être admis de manière sociétale (un bon emploi, un bon salaire…).
Et le syndrome de l’imposteur, c’est justement cela.
Plus « cliniquement », il pourrait être qualifié par un mélange d’anxiété et de manque d’estime et de confiance en soi et ce que l’on peut accomplir. Autrement dit, cette recette est celle qui créé le terrible sentiment d’imposture et par-là même, l’effrayant réflexe de nier sa réussite ou ses succès.
Quelles en sont les sources ?
De nombreuses études ont été menées et certaines tendent à révéler que les sources de ce syndrome et de ce sentiment de non-mérite seraient directement liées à l’ego. Un ego malmené durant un moment de vie serait la première source de ce syndrome. De la même façon, la comparaison aux autres peut également grandement jouer dans l’apparition de ce sentiment d’imposture. Parmi les sources de ce syndrome, il est également possible de compter la pression (parentale, scolaire) qui peut parfois advenir lorsque l’on est encore jeune et en pleine construction.
Qui est touché par le syndrome de l’imposteur ?
À vrai dire, tout le monde peut un jour être confronté au syndrome de l’imposteur ! Néanmoins, il y a quelques tendances qui se distinguent. Les femmes et les personnes autodidactes auraient en effet tendance a davantage porter le fardeau de ce syndrome. Absence de reconnaissance, sentiment de ne pas être à la hauteur, les symptômes sont multiples et variés.
De même, les inégalités sociétales actuelles ne permettent pas encore d’obtenir reconnaissance pour tout le travail accompli par les femmes et autres minorités. Cela contribue à engraisser le monstre de l’imposture qui se répand alors chez de plus en plus de personnes.
Comment savoir si on ressent le syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur n’étant pas une maladie ni un trouble reconnu affectif, nous ne pouvons pas à proprement parler évoquer des « symptômes ». Toutefois, de nombreux indices peuvent mener sur la piste que vous souffrez peut-être du syndrome de l’imposteur. C’est notamment le cas si vous ressentez :
- Un empressement à se distinguer de la réussite (ex : « ce n’était pas très compliqué ») ;
- « Rejeter » les événements positifs qui surviennent dans la vie ;
- Ne pas se sentir légitime face aux compliments ou aux félicitations ;
- Être gêné/ embarrassé/ mal-à-l’aise devant des félicitations ;
- L’impression d’être surestimé ;
- Peur ou malaise vis-à-vis de l’attention que l’on peut vous porter ;
- Manque de confiance en soi dans la majorité des domaines de la vie.
Tels sont les premiers signes que vous êtes sûrement concerné par le syndrome de l’imposteur. Mais ce n’est rien de grave ! Le syndrome de l’imposteur peut tout à fait disparaître avec le temps et du travail sur soi.
Comment vaincre le syndrome de l’imposteur ?
Vaincre le syndrome de l’imposteur ne se fait pas par la seule force de la volonté. C’est une lutte parfois quotidienne, qui a pour but de vous légitimer dans différents aspects de la vie. Parce que le syndrome de l’imposteur peut également se manifester dans une sphère sociale, amicale, familiale ou encore intime. Elle n’est plus seulement reliée au monde du travail.
Finalement, peu importe la sphère dans laquelle le syndrome s’immisce, l’important est que vous pouvez totalement vous libérer de ce syndrome qui empoisonne votre vie et ébranle vos certitudes ! Et ceci peut se faire, il faut retrouver de l’estime de soi avec l’hypnose.
Exercices pour vaincre le syndrome de l’imposteur
Briser le silence :
Comme pour beaucoup de sujets, la première étape et non la moindre, c’est souvent d’en parler. Avec vos amis ou votre famille, parlez-en à des personnes proches qui vous connaissent ; bien souvent, elles auront un avis objectif et le recul nécessaire pour vous parler en toute honnêteté. En brisant le silence autour de ce syndrome, vous brisez aussi sa carapace !
Faire des listes :
Les listes ne sont pas au goût de tout le monde, et pourtant, parfois, elles sont nécessaires. En listant l’étendue de vos facultés et de vos compétences (à la façon d’une lettre de motivation), vous prendrez un peu de recul face au syndrome de l’imposteur. Petit à petit, vous parviendrez à avoir le recul et la lucidité nécessaires pour comprendre que le syndrome vous ment et que vous êtes bel et bien capable d’accomplir les choses au seul mérite de votre travail.
Anticiper la réussite plutôt que l’échec :
Bien souvent, le syndrome de l’imposteur vous convainc que vous ne serez pas à la hauteur. Et si vous décidiez d’aller à contre-courant ? Inspirez profondément, et au prochain projet que l’on vous propose, misez sur votre réussite. Cela peut paraître prétentieux, mais il n’en est rien. Vous seul.e êtes conscient.e de ce que vous êtes capable de faire, de vos talents et de vos compétences. Vous allez y arriver !
Démystifier le syndrome de l’imposteur :
Cela peut arriver en brisant le silence autour de ce trouble. En parler, le dédramatiser voire même en plaisanter un peu, ça peut totalement vous aider à le voir sous un nouveau jour. Dans le même temps, cela permet de vous en éloigner un peu plus, et surtout, de vous libérer de l’emprise qu’il impose sur votre vie et dans au moins un domaine particulier.
Travailler l’estime et la confiance de soi :
Plus facile à dire qu’à faire… mais pas impossible ! Il est important de comprendre comment l’estime de soi et la confiance en soi influent directement sur le syndrome de l’imposteur. En travaillant sur vous-même et vous aidant d’hypnose pour la confiance en soi, vous vous offrez ainsi la possibilité de vaincre le syndrome de l’imposteur !
Pour conclure…
Le syndrome de l’imposteur est parfois compliqué à définir précisément. Il se manifeste par une petite voix sournoise qui vous fait penser que vous n’êtes pas à la hauteur des choses accomplies par vos soins, et il est si facile de la croire. Pourtant, il n’en est rien ! Vous êtes amplement capables de réussir et en droit de vous en attribuer le mérite, peu importe combien il peut être difficile de l’accepter ensuite.
Et si vous ne parvenez pas à le vaincre seul.e, il n’y a aucune honte. Certaines blessures et marques sont souvent présentes depuis longtemps et l’aide d’un professionnel est alors recommandée. Psychologue, méditation, l’hypnose thérapeutique à Paris et ses bienfaits… il est possible de trouver la source de ce syndrome et de travailler dessus afin de la surmonter.
Je suis moi-même hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique) – qui peuvent d’ailleurs vous aider à vous concentrer sur vous et retrouver votre confiance en vous !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites sous le signe du bien-être, pour se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis qu’il porte dans son sillage, prenez du temps pour vous ouvrir à vous-même.
-

Oser prendre la parole en public
Sueurs froides, tremblements de mains, voix qui chevrote et balbutiements sont parfois au rendez-vous quand les mots « prise de parole en public » retentissent. S’exprimer devant une audience, quelle qu’elle soit peut s’avérer être une réelle source de stress et de nervosité. Est-ce simplement un peu d’appréhension quant au discours à tenir ou une réelle angoisse liée au fait de devoir s’exprimer devant toute une troupe de personnes ?
Quoiqu’il en soit, prendre la parole en public n’est pas inné ni naturel pour tous. Mais bonne nouvelle, il est possible d’apprendre à le faire ! Alors quels sont les tips qui permettent de se présenter de façon plus sereine pour prendre la parole en public ?
Prendre la parole en public : une étape qui peut sembler insurmontable
Quel que soit votre âge, votre genre ou votre milieu social, nous sommes tous confronté, au moins une fois dans notre vie, à la prise de parole en public. Que ce soit pour un exposé devant une classe au lycée ou à l’université, un discours de témoin au mariage de l’une de nos meilleures amies ou encore en plein milieu de l’open-space au travail, il arrive un moment où nous sommes tous mis face à la prise de parole en public.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que même pour les plus extravertis d’entre nous, c’est une étape qui marque. La première prise de parole en public est toujours une étape à franchir. Pour d’autres personnes, peu importe le nombre de fois où elles ont fait l’exercice, il demeure difficile et paraît toujours, de la même façon, insurmontable.
Mais alors pour quelles raisons cela peut paraître naturel à certaines personnes quand d’autres semblent totalement paralysées par l’idée de prendre la parole en public ?
Les différents blocages qui empêchent de prendre la parole en public
Les raisons qui peuvent déclencher un stress immense ou encore des crises angoisses à l’idée d’intervenir en public sont multiples. Parmi les blocages, l’on retrouve notamment :
La peur des autres : intervenir devant un groupe de personnes inclut forcément certaines responsabilités. Les gens comptent sur vous pour faire un discours intéressant et pertinent, et la peur des autres peut rapidement se manifester. Et si les gens trouvaient mon discours inintéressant ? Et si certains me huaient ? Se moquaient ?
La peur de soi : prendre la parole en public implique d’être écouté, et cela paraît intimidant pour beaucoup de gens. Et si je racontais n’importe quoi ? Et si je n’étais pas à la hauteur ?
Le stress et la nervosité : ils peuvent directement avoir des effets sur votre forme physique et trahir votre état. Là encore, le lien avec l’opinion des autres s’établit, et le stress augmente, refermant le cercle vicieux qu’il a entamé.
Il existe encore moult autres blocages qui empêchent de prendre la parole en public de façon sereine et apaisée. Ce qui est certain, c’est que tous ces blocages ont des sources bien précises, et que pour s’en débarrasser, il faut les identifier de façon claire.
Les sources de ces blocages et peurs
Et pour les vaincre, ces blocages, il faut tout d’abord en identifier la ou les source(s). Le plus souvent, tous ces blocages sont directement en lien avec :
Les croyances limitantes : intériorisées pendant l’enfance ou au cours de la vie, l’adulte qui se laisse guider par ses croyances limitantes est un adulte… limité. En effet, les croyances limitantes reposent sur des blessures émotionnelles enfouies qui perpétuent un schéma visant à ne pas croire en soi ou ses facultés. Vaincre ses croyances limitantes, c’est possible !
Une estime de soi bancale : l’estime de soi, que l’on confond souvent avec l’ego, est pourtant bien indispensable au quotidien, il est nécessaire de retrouver l’estime de soi par l’hypnose. Et pour cause, savoir de quoi l’on est capable et ce que l’on vaut dans son propre regard est une chose utile et bienveillante. Cela permet notamment de se surpasser lorsqu’on s’en sait capable, et de réussir plus facilement en connaissant ses limites et ses atouts.
Une absence de confiance en soi : la confiance en soi est également un facteur important. Dans le cadre d’une prise de parole en public, la confiance en soi est celle qui livre un élan de « je suis capable de faire ça » et qui vous convainc que vous l’êtes vraiment (capable). Sans confiance en vous, vous ne saisissez pas les opportunités qui se présentent à vous et cela vous conforte dans le même temps quant au fait que vous ne les méritiez pas. Inversez ce cycle défaitiste et prenez les choses en mains !
La glossophobie : méconnu, ce terme désigne la peur de prendre la parole en public. Afin de soigner cette phobie, certains soins thérapeutiques comme un massage Kobido couplé à de l’hypnose peuvent s’avérer utiles. Qu’il s’agisse d’une psychothérapie qui permette de débloquer la source de cette phobie, de médecines parallèles qui sauront en apaiser les effets, il est important de prendre du temps pour se défaire de cette phobie.
Tips et astuces pour pouvoir prendre la parole en public !
Préparez-vous avant le grand jour : répétez devant le miroir si cela vous aide à travailler tant l’élocution que votre posture et votre discours. Vous prenez alors doucement conscience de votre potentiel, et que cette prise de parole ne sera qu’une petite étape dans votre vie. Vous en êtes capable et vous allez y arriver !
Prenez confiance en vous : à travers des exercices du quotidien comme le fait de parler avec vos amis ou des groupes sociaux (amis, famille, collègues…). Poser sa voix par enregistrement, seul ou à plusieurs, est également un moyen très simple de prendre confiance pour la prise de parole. En sachant que votre voix ne tremblera pas, vous avez moins le trac et il ne vous reste plus qu’à vous lancer.
Travaillez votre respiration : parce que dans une prise de parole, il ne suffit pas de savoir s’exprimer mais également de gérer les silences. Travailler votre respiration sera alors le meilleur moyen de mettre toutes les chances de votre côté afin de maîtriser entièrement le moment et de réduire le stress au maximum.
Soyez direct : le message que vous avez à faire passer doit être bien entendu et compris par tous. Alors on efface toutes les fioritures autour, et l’on se concentre sur la qualité du message. Les mots se suffisent à eux-mêmes, nul besoin d’en rajouter !
Connaître son audience peut aider : enfin, le fait de savoir à l’avance devant qui vous allez vous exprimer peut également vous aider à vous sentir plus en confiance le jour J. Et pour cause, connaître les personnes qui seront présentes vous permettra de prendre confiance. Je le/la connais, il/elle est très gentil/le et ne se moquera pas si c’est un échec…
Enfin, si le stress persiste malgré toutes vos préparations, il est possible de se détendre par de petits gestes d’hypnose contre le stress
En conclusion…
Prendre la parole en public est ainsi une grande responsabilité. Se dresser seul/e, face aux autres et commencer à parler peut être source d’une grande inquiétude quant à soi-même et ses capacités. Douter est naturel, mais de l’hypnose pour la confiance en soi pour se faire plaisir existe, un bon moyen pour croire en vous. Et lorsque vous serez en train de parler, concentrez-vous sur des points de la salle qui vous permettent de ne pas vous inquiétez davantage ; parfois, le regard des autres est le pire déclencheur d’un oubli de votre texte !
De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme les drainage lymphatique et drainage visage, qui permettent de se sentir mieux dans son corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir le temps de quelques jours. Au plus proche de la nature, venez apprendre tout ce dont vous êtes capable et que vous ignorez encore…
-

Explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien
Le système nerveux est l’un des fonctionnements les plus alambiqués du corps humain. Mais que sait-on vraiment de lui, finalement ? Oui, il arrive de se cogner le nerf du coude dans une poignée de porte ou celui du genou contre le pied d’une table. Oui, il arrive de se sentir avoir « les nerfs à vif », mais excepté cette brève douleur ou cette expression, on ne connaît presque rien de ce système dans son entièreté. Zoom sur le fonctionnement du système nerveux, et ce qui lui fait du bien.
Qu’est-ce que le système nerveux ?
Il est le plus complexe et le plus organisé du corps humain. Récepteur de nombreuses informations, il est responsable des actions du corps en interne comme en externe. Autrement dit, c’est le système nerveux qui contrôle nos mouvements, qu’il s’agisse de lever la main pour saluer un ami ou bien de mettre en mouvement un muscle.
Tous ces gestes, toutes ces commandes internes sont possibles grâce à la moelle épinière. C’est elle qui sert de messagère entre le système nerveux et les actions du corps humain. Les informations, quant à elles, sont directement reçues via les cinq sens, et c’est le cerveau qui les traite en premier lieu.
On distingue alors deux « sous-systèmes » : le premier se composant de la moelle épinière et du cerveau est appelé système nerveux central (SNC) ; le second qui se constitue des nerfs et des organes sensoriels est appelé système nerveux périphérique (SNP).
Mais plus généralement, c’est le système nerveux autonome ou neurovégétatif qui complète le système nerveux central. Ce dernier est en charge de la régulation de tous les processus qui se produisent dans le corps de manière automatique. Et il se subdivise lui-même en deux parties :
- Le système nerveux parasympathique ;
- Le système nerveux sympathique.
Ces deux systèmes contrôlent entièrement les impacts du stress sur le corps humain, ainsi que la relaxation de celui-ci. Plus exactement, le système nerveux parasympathique est directement lié aux fonctions involontaires de l’organisme, et a pour mission de réguler les fonctions neurologiques inconscientes. Autrement dit, il s’occupe de tempérer et ralentir les fonctions de l’organisme pour économiser de l’énergie.
Ainsi, le système nerveux du corps humain, s’il est le plus complet et le mieux organisé, est également l’un des systèmes du corps les plus compliqués à cerner et comprendre. Il s’étale à travers toute l’anatomie de l’individu, sillonnant les plus infimes parties. C’est le système nerveux qui est responsable de la coordination des actions avec l’environnement. Tous les êtres vivants possédant un système nerveux sont appelés « eumétazoaires ».
Les liens différents entre les organes et le système nerveux
Le système nerveux régule et ordonne les actions du corps. Et pour cela, il est en lien direct avec de nombreux organes. Si le système nerveux central est en lien direct avec le cerveau et la moelle épinière, le système nerveux périphérique avec les organes sensoriels, c’est le système nerveux parasympathique qui semble aider à la régulation de nombreuses fonctions corporelles. Parmi elles :
- Le cœur, sur lequel il agit directement via la fréquence cardiaque, la respiration et la tension artérielle, qu’il peut réguler.
- Les poumons, parce qu’il est lié à la contraction des bronchiques et la sécrétion des mucus.
- Le tube digestif, car en effet, le système nerveux parasympathique en augmente la motricité, permet la relaxation des sphincters et stimule les sécrétions digestives.
- Il est également responsable de la contraction de la vessie.
- Près des yeux, il est directement lié la contraction des pupilles, appelée myosis.
- En lien avec les organes génitaux, c’est aussi le système nerveux parasympathique qui aide l’érection.
- Enfin, directement relié aux glandes, le système nerveux parasympathique influence la sécrétion des glandes salivaires et sudoripares; mais aussi la stimulation des sécrétions dans le pancréas exocrine ; ainsi que la stimulation d’insuline dans le pancréas endocrine.
Plus généralement, les deux étant liés puisqu’ils s’équilibrent et équilibrent le corps, les systèmes nerveux parasympathiques et sympathiques agissent sur beaucoup d’organes différents. Cela permet de nombreuses actions de leur part pour tenter de réguler notre corps au mieux, telles que :
- La pression artérielle ;
- La fréquence cardiaque ;
- Le métabolisme ;
- L’équilibre hydrique ;
- La miction,
- La température corporelle ;
- La défécation ;
- La réponse sexuelle ;
- Le poids ;
- La digestion ;
- La sudation.
Ainsi, tous les systèmes nerveux présents dans le corps ont une fonction bien spécifique qui permet à l’ensemble du corps de fonctionner. Chacun sa mission, chacun sa place, et le corps humain trouve une certain équilibre. Les systèmes parasympathique et sympathique, au même titre que le système nerveux central ou périphérique ont une utilité indéniable. C’est aussi pourquoi il faut y faire attention : en cas de déséquilibre, cela peut avoir des répercussions importantes sur le corps humain.
Comment chouchouter le système nerveux
Vous l’aurez compris, sans le système nerveux, le corps ne serait rien ! Le système nerveux, au final, c’est la capacité du corps à percevoir, analyser, exécuter et s’adapter. Sans ces quatre facultés, la vie serait beaucoup plus compliquée… et c’est pour cela qu’il est important de prendre soin de son système nerveux, tout comme de sa santé mentale ou physique !
D’un point de vue strictement neurologique, il est possible de stimuler le système nerveux à travers de petits exercices qui permettent de mettre en action les différents muscles ou les articulations. Car si jamais le système nerveux s’essouffle trop rapidement ou bien qu’un choc ne lui permet plus de fonctionner comme il le devrait, cela ne reste pas sans conséquences. On déplore alors des exécutions d’actions incorrectes, voire des maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…etc.).
Mais ce n’est pas le seul moyen de chouchouter le système nerveux. Et pour cause, l’un des grands éléments qui bouleverse le plus souvent le système nerveux, causant différents troubles dans le corps par la suite, c’est le stress. Et pour réduire le stress, il existe toutes sortes de solutions :
- Les médecines parallèles (sophrologie, hypnose, méditation…) ;
- Certains aliments (noix, épinards, cacao…etc.) ;
- Certains minéraux (magnésium, zinc, calcium, potassium…etc.) ;
- Certaines vitamines (vitamines B1, B2, B6 et B12, C, E… etc.).
Ces petits tips permettent de réduire le stress au quotidien, et cela permet également d’adapter ces méthodes assez simples à mettre en place dans les habitudes avec des exercices qui vous aideront à faire de mieux en mieux face au stress, et surtout à mieux le gérer. À terme, il s’agira de ne plus laisser le stress impacter le système nerveux !
Ainsi, le système nerveux est assez complexe à expliquer. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il gère une grande partie –pour ne pas dire la majorité- des actions que le corps est capable d’accomplir, en interne ou en externe. Il est important d’en prendre soin, pour qu’il puisse, en retour, prendre soin de notre corps !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, tels que le drainage lymphatique ou du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement. En ce qui concerne le système nerveux et sa gestion, ces retraites peuvent être bénéfiques pour lui, puisqu’elles offrent la possibilité de prendre du temps pour soi et pour se comprendre.
-

Les bienfaits à suivre une thérapie
La vie est faite de différentes épreuves à traverser. Parfois, ces épreuves sont légères et douces comme une brise printanière, et d’autres fois, elles se font plus véhémentes, comme l’orage qui éclate au milieu de l’été. Ce qui est sûr, c’est que chaque épreuve, chaque événement de la vie laisse certaines marques dans le corps et au creux de l’esprit. Et de temps en temps, il arrive que le seul moyen de les surmonter soit de suivre une thérapie. Je propose des séances d’hypnose à Paris avec un massage Kobido, pour reconnecter le corps et l’esprit.
Mais contrairement aux idées reçues, la thérapie peut avoir de nombreux bienfaits, et chaque personne est libre d’en suivre une ou non. La thérapie est une question de choix vis-à-vis de ses besoins, de ses envies et des objectifs qu’il a pour son futur.
Une thérapie, c’est quoi ?
Lorsqu’on parle de thérapie, le plus souvent, il est en fait question de psychothérapie. Il s’agit donc, selon la définition officielle, d’apporter un soin « thérapeutique concernant des troubles psychiques ou somatiques par des procédés psychiques ». Cependant, la thérapie a beaucoup évolué depuis des années, et aujourd’hui, le plus souvent, lorsqu’on évoque la psychothérapie, il s’agit d’entrer en relation avec le thérapeute plutôt que d’aborder la thérapie comme un lien de patient/ soignant.
Le fait que l’accent soit mis sur les prises de consciences et le travail que le client peut amorcer sur lui et sur son quotidien a permis de grandement démocratiser le processus de la psychothérapie. Les personnes qui en ressentent alors le besoin s’y dirigent beaucoup plus facilement, et sont à mêmes de prendre en main leur vie avec de nouveaux moyens à sa disposition et en se connaissant mieux.
Les différentes thérapies qui existent
Les psychothérapies sont celles auxquelles l’on fait référence lorsqu’on évoque une thérapie. Toutefois, depuis quelques années déjà, les médecines parallèles ne cessent de se déployer en Occident, et sont de plus en plus appréciées. Ainsi, il est désormais possible de compter parmi les thérapies « parallèles », les thérapies par :
- L’art ;
- La danse ;
- L’écriture ;
- La méditation;
- Le sport qui vous plait qui comme l’hypnose, fait gagner de la confiance en soi.
Elles s’ajoutent aux différentes thérapies qui ont été reconnues de manière scientifique au cours des décennies, comme les thérapies :
- Cognitive et comportementale ;
- Systémique ;
- La psychanalyse ;
- Psychothérapies existentielles/ humanistes.
Il en existe tout autant qu’il existe de thérapeutes, puisque chacun peut avoir une spécialité à apporter aux patients qu’il rencontre.
Les bienfaits d’une thérapie
Qu’il s’agisse d’une psychothérapie ou d’une thérapie par l’art par exemple (il est important de noter que tous les psychologues ne sont pas psychothérapeutes), il existe de nombreux bienfaits à aller consulter pour se faire aider. De nombreuses études ces dernières décennies ont d’ailleurs contribuées à rechercher et appuyer les bienfaits que possédaient les thérapies et en particulier les psychothérapies (méta-analyse de M. Lambert en 2004 à partir des études menées en amont).
Parmi les bienfaits d’une psychothérapie, l’on retrouve :
La fin d’une ou de plusieurs souffrances :
Si c’est pour beaucoup la raison principale qui les encourage à démarrer un processus de thérapie, c’est aussi l’un des effets qui est le moins négligeable. Et pour cause, grâce à l’emploi de différentes méthodes comme l’hypnose pour retrouver l’estime de soi, la PNL ou la sophrologie, la psychothérapie peut aider à endiguer la souffrance voire à s’en débarrasser sur le long terme, que la souffrance soit physique, mentale ou émotionnelle.
Amélioration des relations :
En effet, la psychothérapie, en vous aidant à mieux vous comprendre, permet également d’améliorer les relations que vous pouvez avoir avec un entourage extérieur. Qu’il s’agisse à la source de certains soucis de communication, de timidité, d’obsessions ou suite à quelques échecs amoureux, un bon thérapeute, avec la méthode adaptée, pourra parvenir à vous faire surmonter les tracas liés aux relations interpersonnelles.
Apprendre à mieux se connaitre :
A travers le voyage de l’apprentissage de soi, il y a la destination d’un meilleur épanouissement général. Que ce soit dans la vie professionnelle, personnelle ou sociale, se connaître est un atout du quotidien pour tout ce qui est ou va être entrepris dans un futur plus ou moins proche. Découvrir la façon dont votre esprit fonctionne en apprenant les blessures du passé, c’est aussi comprendre pourquoi certains comportements sont rapidement acquis dans le présent. La psychothérapie, c’est donc aussi laisser tomber l’armure que l’on présente au monde pour soi-même connaitre ce qui se cache au-dessous.
Une aide pour la réalisation de soi :
Plus généralement, les thérapies livrent une grande aide quant à la réalisation de soi. En effet, il est possible d’entamer un travail profond sur l’estime de soi, la confiance en soi et de s’aimer soi-même avec de l’hypnose en supplément de la thérapie. Cela peut également se révéler être un immense soutien notamment pour toutes les personnes qui entament un grand changement dans leur vie, ou sont justement au cœur de ce changement.
Evoluer :
Il arrive parfois que la sensation d’être bloqué dans un passage de sa vie surgisse subitement. La psychothérapie permet de surmonter autant que prévenir cette sensation désagréable, notamment en faisant la lumière sur le lien entre les expériences du passé et les problèmes, les difficultés rencontrés dans le présent. Comprendre le passé et en accepter les conséquences, c’est aussi s’offrir une chance de pouvoir continuer dans la vie de manière plus sereine et plus éclairée. C’est prendre en compte la totalité de ce qui vous compose pour être sûr d’éviter les mêmes erreurs, et les mêmes schémas qui peuvent parfois être destructeurs.
Ainsi, les thérapies peuvent avoir beaucoup de bienfaits et surtout, de nombreux effets sur les personnes qui franchissent le pas de faire appel à un professionnel. À terme, ce sont des forces supplémentaires que vous possédez en ayant pris le temps de vous connaitre davantage, mais aussi le courage sublime de ceux qui peuvent regarder le passé sans souffrir ou le regretter. Accepter sa vie, la personne que l’on est et découvrir celle que l’on aspire à être, tels sont les atouts que la psychothérapie permet de posséder dans sa manche.
Il est également important de noter que les thérapies doivent être amorcées de manière volontaire. Si vous le faites à contrecœur, les effets seront moindres et ce sera surtout une perte de temps pour vous ainsi que pour le professionnel. La démarche doit être personnelle et motivée par vos besoins et envies, et nullement forcée selon un quelconque avis extérieur (sauf si c’est l’avis de votre médecin suite à un traumatisme vécu). Il est toutefois normal, malgré une motivation franche, d’avoir quelques appréhensions lors des premières séances.
Enfin, le choix du thérapeute est également très important. Chacun ayant sa spécialité, son domaine de prédilection et surtout, ses méthodes, il est important de bien se renseigner afin d’éviter l’épuisement dans la recherche et la multiplication des « premières séances » qui ne mèneront nulle part.
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose ainsi des séances d’hypnose, qui peuvent permettre dans un premier temps ou en complément d’une psychothérapie, de venir en aide afin de surmonter certaines addictions, des insomnies…etc.
Par ailleurs, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique Renata Franca ou encore des soins du visage, comme le drainage pour le visage.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se recentrer sur soi et la nature.
Pour les séances d’hypnose, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

À quel profil ayurvédique appartiens-tu ?
Inhérents à la médecine ayurvédique et toutes les pratiques qu’elle comporte, le profil ayurvédique permet d’en apprendre plus sur soi. L’Ayurveda comporte trois grands profils, qui se nomment doshas. Zoom sur les différents doshas, leurs particularités pour le corps et l’esprit, et sur ce qui résulte de ces profils ayurvédiques.
Qu’est-ce que les doshas ?
Les doshas sont des particularités propres à chacun dans la médecine ayurvédique. Ils symbolisent les trois types d’énergies vitales qui animent l’être humain. Chaque personne possède un dosha prédominant, lequel comporte deux des cinq éléments de la médecine ayurvédique. Dans la pratique de l’Ayurveda, chaque dosha a son importance ; ils sont tous responsables des mécanismes physiologiques et psychologiques de nos êtres.
Dans la pratique de la médecine ayurvédique, il est important de noter que les doshas ne sont pas tous les trois des concepts entiers et distinguables ; en effet, ils demeurent simplement les trois parties d’une grande et même énergie présente dans tout le corps. Ainsi, ils se complètent, s’harmonisent et se jouxtent en tentant de conserver l’équilibre à la façon de funambules de la santé. Si l’un est déséquilibré, cela entraîne alors des troubles qui peuvent être soit de nature psychique, soit de nature physiologique.
Ainsi, les doshas principaux composent le corps humain et permettent aux professionnels de l’Ayurveda de déterminer quels maux sont présents dans le corps ou l’esprit.
Les trois doshas principaux
Il y a donc en tout, six doshas. Les trois principaux, appelés Vata, Pitta et Kapha sont les doshas majeurs dans la médecine ayurvédique. Pour savoir lequel des trois doshas est prédominant, il y a plusieurs caractéristiques corporelles, mentales et émotionnelles qu’il est possible de prendre en compte et remarquer chez chaque personne. Ainsi, chaque dosha a ses propres caractéristiques, que celles-ci soient directement liées aux cinq éléments ou bien aux nuances de l’être humain.
Le dosha Vata :
Ce dosha se rapporte à l’élément Air et à l’Ether. Il se caractérise surtout par le mouvement fluide, la nature mobile de l’énergie du vent. Ce dosha est qualifié de froid, rugueux, sec, piquant, flottant, clair, parfois erratique. Il symbolise la force du vent, le mouvement dans le corps et l’esprit, et lorsqu’il est harmonieux, rend les mouvements fluides et gracieux.
Son site principal dans le corps est le colon, mais il est également présent dans les os, le pelvis, les cuisses, les oreilles, la tête et les cheveux. Ces caractéristiques se traduisent par des particularités spécifiques dans le corps humain. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
Léger : les os du corps sont étroits.
Froid : des tendances à la frilosité.
Sec : la peau et les yeux s’assèchent rapidement.
Clair : les yeux sont clairs.
Fin : l’esprit est curieux et ouvert aux nouvelles idées.
Si ce dosha est déséquilibré, les conséquences se constatent rapidement car chacune des particularités ci-dessus est alors exacerbée.
Au niveau psychique, les personnes de nature Vata se caractérisent par une forte tendance à se montrer bavardes, enthousiastes et créatives. Avec une grande propension à s’adapter et une flexibilité à toute épreuve, elle peuvent, en cas du déséquilibre du dosha, se montrer confuses et se sentir rapidement dépassées. Elles sont également très sensibles aux émotions froides comme l’anxiété, la peur et le doute. Mais les personnes de nature Vata sont surtout aventurières, créatives et aiment commencer de nouveaux projets – en oubliant parfois de les terminer !
Le dosha Pitta :
Ce dosha tire son énergie de l’élément Feu combiné à l’Eau. Ce dosha Pitta se rapporte surtout à la transformation. En sanskrit, le mot Pitta signifie littéralement la « bile ». Il se qualifie le plus souvent par des adjectifs tels que chaud, huileux, tranchant, mobile, léger ou même liquide. Au niveau du corps, ce dosha est surtout présent dans la digestion, directement lié à l’assimilation de la nourriture. Il est également en lien avec la régulation de la température du corps, l’éclat des yeux et celui de la peau.
Son site principal dans le corps est l’intestin grêle, mais il est également très présent au niveau de l’estomac ou encore dans le sang. Ce dosha a la particularité de puiser dans la matière de son élément, là ou le dosha Vata se ressource grâce au sien. Sur le corps humain, les particularités du dosha Pitta se traduisent ainsi :
Huileux : la peau est souvent grasse et peut même provoquer de l’acné.
Liquide : Les personnes de nature Pitta transpirent facilement dès qu’il fait un peu chaud.
Chaud : les mains sont souvent moites et chaudes.
Mobile : leur teint plutôt clair peut rapidement rougir.
En cas de déséquilibre, ces particularités peuvent se trouver exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas abuser de son élément principal (Feu), et d’éviter le soleil et la chaleur en trop grandes quantités.
Au niveau de la psyché, les personnes qui sont Pitta trouvent un équilibre entre les actions (Feu) et la sensibilité (Eau). Leurs émotions sont souvent intenses, et peuvent s’apparenter à de l’irritabilité. Une excellente libido se reflète dans le feu duquel ils puisent leur énergie. De même, la volonté, la détermination et le leadership caractérisent ce dosha. Loyaux et fidèles en amitié, leur exigence peut parfois paraître intimidante. Pourtant, leur bienveillance envers ceux qu’ils estiment est sans limites.
Le dosha Kapha :
Le dosha Kapha puise directement dans l’énergie de l’Eau, à laquelle se mêle la Terre. Plus exactement, ce dosha se rapporte à l’adhésion. Littéralement, Kapha signifie « ce qui lie » en sanskrit. Le dosha Kapha se qualifie par des adjectifs tels que lourd, dense, froid, statique, lent ou encore mou. Son organe sensoriel est la langue, et il se situe aussi dans la partie supérieure du corps, soit la tête, le torse, l’estomac ou encore le pancréas. C’est le dosha du goût.
Au niveau du corps humain, ses caractéristiques se reflètent ainsi :
Lourd : souvent, le squelette est de bonne constitution.
Froid : ils ont le teint pâle et la peau claire.
Dense : s’ils ne s’entretiennent pas, les Kapha ont tendance à rapidement stagner.
Lent : la digestion est généralement assez lente ce qui amène un sentiment de satiété rapidement.
En cas de déséquilibre de ce dosha, les particularités physiques qu’il présente s’en trouvent exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas rester enraciné dans son élément (Terre), et de bouger, de se mouvoir comme l’Eau.
Au niveau de la psyché, les personnes dont le dosha principal est Kapha sont des personnes qui aiment aimer et être aimées. Fidèles, tempérantes, et généreuses, ce sont des personnes équilibrées. Ils ont le goût du lien social, aiment partager avec autrui, et découvrir tout ce qu’il est possible via les interactions sociales. La philosophie est une discipline à laquelle ils apprécient s’adonner.
Leur sédentarité est probablement la critique la plus récurrente qu’ils reçoivent. Souvent réservés, ils ont des difficultés à s’affirmer, et leur timidité peut parfois leur causer du tort lorsqu’ils ne parviennent pas à s’exprimer. C’est la sécurité qui prime pour les personnes de nature Kapha, car c’est elle qui créé son équilibre.
Ainsi, les trois doshas principaux de la médecine ayurvédique sont les doshas Vata, Pitta et Kapha. Chacun ayant ses propres caractéristiques, il est néanmoins important de noter que personne ne peut se résumer à un seul des doshas.
Il y a d’ailleurs, dans l’Ayurveda, trois autres doshas, mineurs ceux-ci, qui permettent d’appréhender et affiner la compréhension d’une personne. Ainsi, il est totalement possible de retrouver des personnes possédant une nature Vata-Kapha, Pitta-Kapha ou Pitta-Vata. La médecine ayurvédique couvre une grande surface de différences, mais aussi de caractéristiques qui sont propres à chacun. Pour plus de précision sur la médecine ayurvédique, je vous invite à lire cet article sur l’Ayurveda.
Si les médecines et soins parallèles vous intéressent, je vous invite à visiter mon site. Vous y trouverez les séances d’hypnose que je propose, ou bien les soins corporels thérapeutiques que je réalise, tels que le drainage lymphatique, ou encore le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes
Afin de vous pencher davantage sur les facettes qui vous composent, il est aussi possible de procéder à une retraite bien-être. C’est en particulier ce que je propose afin de vous permettre de prendre du recul pour mieux se recentrer sur soi.
Et vous, quel est votre profil ayurvédique ?