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Catégorie : Se connaître
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L’hypnose transgénérationnelle : libère-toi des héritages familiaux qui te freinent
Tu te sens parfois prisonnière de schémas qui se répètent dans ta vie, comme si tu portais un poids transgénérationnel invisible ? L’hypnose transgénérationnelle est une approche thérapeutique puissante qui permet d’explorer et de libérer les mémoires familiales enfouies dans notre inconscient. Cette méthode combine l’état modifié de conscience propre à l’hypnose et le travail sur notre histoire familiale pour nous aider à nous défaire des loyautés invisibles qui nous limitent.
Comment l’hypnose transgénérationnelle aide-t-elle ?
L’hypnose transgénérationnelle est bien plus qu’une simple séance d’hypnose classique. Cette approche thérapeutique permet d’accéder aux racines profondes de nos comportements en explorant notre inconscient familial. Par le biais de la transe hypnotique, tu peux visiter les zones d’ombre de ton arbre généalogique et comprendre comment les traumatismes de tes ancêtres influencent encore ta vie aujourd’hui.
Un voyage dans les profondeurs de la mémoire familiale
Pendant une séance, l’hypnothérapeute (moi !) te guide dans un état modifié de conscience où tu peux explorer les liens émotionnels qui te relient à tes ancêtres. Ce voyage intérieur permet d’identifier les schémas répétitifs et les croyances limitantes transmises de génération en génération.
Tu veux prendre rendez-vous ? C’est par ici !
Quels sont les bénéfices de l’hypnose ?
La pratique de l’hypnose transgénérationnelle offre une libération émotionnelle profonde en travaillant sur plusieurs niveaux.
Une transformation des schémas inconscients
Cette approche permet de modifier les comportements indésirables en identifiant leur origine dans l’histoire familiale. Tu découvriras comment certaines difficultés relationnelles ou blocages psychologiques sont en réalité liés à des traumatismes familiaux non résolus.
Une reconnexion à soi-même
En explorant ton passé familial, tu renforces ton estime de soi et ta confiance en toi. Cette thérapie t’aide à comprendre ta place unique dans la lignée familiale tout en te libérant des loyautés invisibles qui peuvent affecter ta vie actuelle.
Comment explorer son arbre généalogique sous hypnose ?
La construction du génosociogramme
Avant de plonger dans l’état hypnotique, nous commençons par établir ton arbre généalogique détaillé. Nous y notons les dates importantes, les événements marquants, les secrets de famille potentiels. Ce travail préparatoire est essentiel pour guider ensuite l’exploration sous hypnose.
En utilisant le génosociogramme, on peut repérer ces fameux schémas qui se répètent de génération en génération. Tu sais, ces relations toxiques qui reviennent, ces blocages inexpliqués ou ces peurs qui ne semblent pas vraiment t’appartenir.
Les constellations familiales en état modifié de conscience
L’hypnose permet d’accéder à des informations enfouies dans l’inconscient collectif de ta famille.
Tu pourras ainsi découvrir des liens insoupçonnés entre certains événements, des dates anniversaires significatives, ou des comportements qui se répètent de façon systémique.
L’idée, c’est de comprendre d’où viennent ces “héritages” qui te plombent pour pouvoir t’en libérer. On combine plusieurs approches comme les constellations familiales et la psychogénéalogie pour t’aider à te défaire de ces vieux programmes qui tournent en boucle dans ton inconscient.
Le processus de guérison transgénérationnelle
L’identification des nœuds familiaux
En utilisant des techniques de suggestion hypnotique spécifiques, nous mettons en lumière les points de blocage dans ta lignée familiale. Ces nœuds peuvent se manifester sous forme de maladies, de comportements répétitifs, ou de difficultés relationnelles.
La libération des mémoires traumatiques
Une fois ces nœuds identifiés, le travail consiste à nettoyer ces mémoires et à transformer l’héritage transgénérationnel. L’état hypnotique facilite ce processus de libération émotionnelle en activant les mécanismes d’auto-guérison naturels.
L’accompagnement thérapeutique personnalisé
Un cadre sécurisant et bienveillant
En tant que praticienne professionnelle, je crée un espace sûr où tu peux explorer ces dimensions profondes de ton être. L’approche humaniste que j’utilise respecte ton rythme et tes besoins spécifiques.
Un suivi adapté à ta problématique
Chaque personne est unique, et son histoire familiale l’est tout autant. C’est pourquoi j’adapte les outils et techniques d’hypnose à ta situation particulière, qu’il s’agisse d’hypnose ericksonienne ou d’autres approches systémiques.
Tu veux prendre rendez-vous ? C’est par ici !
Tu portes peut-être encore le poids des générations précédentes sans le savoir. Si tu sens que certains schémas se répètent dans ta vie, si tu as l’impression de rejouer des scénarios qui ne t’appartiennent pas, l’hypnose transgénérationnelle peut t’aider à t’en libérer. N’hésite pas à me contacter pour explorer ensemble comment cette approche thérapeutique peut t’accompagner vers une plus grande liberté d’être.
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La peur du regard des autres : découvre pourquoi elle t’empêche de t’épanouir
Cette peur du regard des autres qui te ronge, qui paralyse ton corps et ton esprit, c’est bien plus qu’une simple timidité ou un manque de confiance. Cette blemmophobie – oui, il existe même un terme scientifique pour définir ce trouble anxieux ! – peut évoluer en véritable phobie sociale si on ne s’en occupe pas. C’est comme une petite voix intérieure qui te souffle sans cesse “Attention à ce que tu fais, les autres te regardent”, t’empêchant d’oser t’exprimer et de redonner du sens à ta vie. Mais as-tu déjà réfléchi à ce qui se cache vraiment derrière cette hypersensibilité au regard d’autrui ? Spoiler alert : ça n’a rien à voir avec les autres, mais tout à voir avec toi !
Qu’est ce qui se cache vraiment derrière la peur du regard des autres ?
Parlons cash : cette crainte du jugement des autres n’est pas une peur irrationnelle tombée du ciel. Si tu as peur du regard des autres, c’est souvent parce que tu ne sais pas vraiment qui tu es. C’est comme si tu donnais aux autres le pouvoir de te définir, de décider de ta valeur. Tu mets tellement d’énergie à t’inquiéter de ce que pensent les autres que tu en oublies de te regarder toi-même !
Ce mécanisme est pervers et crée un cercle vicieux d’angoisse et d’évitement : moins tu te connais, plus tu cherches dans l’opinion des autres une validation que tu ne peux pas te donner. C’est comme si tu leur donnais les clés de ta santé psychologique en leur disant “Tenez, c’est vous qui décidez de ma valeur“. Cette peur de décevoir devient alors un véritable trouble anxieux qui impacte ta communication et tes interactions sociales.
Tu trouves ça normal de laisser les autres avoir autant d’importance dans tes choix de vie ? Moi, non. Et si tu commençais dès aujourd’hui à reprendre le contrôle ? N’hésite pas à réserver un appel découverte pour échanger sur ta situation et explorer ensemble les étapes de ton épanouissement.
Les racines profondes de cette insécurité que tu traînes
Cette sensibilité excessive au regard d’autrui prend souvent ses origines dans l’enfance.
Je le sais bien, j’ai moi-même été cette petite fille qui rougissait constamment jusqu’à ma vingtaine. Cette peur de rougir me paralysait, j’étais à vif, hypersensible au moindre regard. Et tu sais pourquoi je rougissais ? Parce que j’avais honte de qui j’étais, tout simplement parce que je ne savais pas vraiment qui j’étais. Mon parcours dans différentes familles m’avait laissée avec cette sensation d’être incomplète, mal définie.
Peut-être que ton histoire est différente. Peut-être as-tu vécu des expériences négatives à l’école ? Ou grandi dans un environnement où ton enfant intérieur n’a pas pu développer une image positive de lui-même ? Quand tu as honte de toi, tu as envie d’être une petite souris cachée sous une table. Je connais tellement ce sentiment ! Ces facteurs personnels créent des blessures émotionnelles profondes qui se manifestent aujourd’hui par :
- Une peur intense d’être jugée négativement
- Des sensations physiques désagréables (tremblements, malaise) en situation sociale
- Un besoin constant de plaire et une difficulté à t’affirmer
Et tu sais ce qui se passe quand tu te sens comme ça ? Tu ne prends pas assez de place, alors ce sont les autres qui en prennent à ton insu ! C’est comme si tu leur donnais inconsciemment la permission de définir qui tu es, parce que tu ne te sens pas capable de le faire toi-même.
Quel est l’impact de la peur du regard des autres sur ton quotidien ?
Cette hypersensibilité au regard des autres peut avoir des conséquences importantes sur ta vie personnelle et professionnelle. Tu te retrouves à :
- Limiter tes interactions sociales
- Éviter certaines situations qui pourraient te mettre en difficulté
- Restreindre l’expression de tes besoins et de tes émotions
Or, attention !!
Quand tu vis avec cette peur du jugement, tu attires souvent des personnes qui résonnent avec ton niveau d’insécurité, avec ta vibration. C’est un peu comme si ton cerveau était programmé pour confirmer tes pires craintes. Plus tu as peur d’être jugée, plus tu attires des situations et des personnes qui vont effectivement te juger. Non pas parce que le karma te punit, non non. Mais parce que les personnes qui ont une vibration basse sont souvent dans un mal-être, soit ponctuel soit plus profond. Mais quoi qu’il en soit, les gens qui vont mal sont souvent dans le jugement et moralisateurs. Clairement, tu n’as pas besoin de cet entourage-là !
Comment apprendre à dépasser sa peur du regard des autres ?
Sache que les autres ont en réalité, bien d’autres problèmes que toi
La première étape pour se détacher de cette anxiété sociale est de comprendre quelque chose d’essentiel : la plupart des gens sont tellement préoccupés par leur propre malaise et leurs troubles anxieux qu’ils n’ont pas le temps de te juger ! Je l’ai moi-même compris sur le tard, et cette prise de conscience a été un premier pas vers le lâcher prise. Face au regard des autres, on se crée souvent des scénarios catastrophe, alors qu’en réalité, chacun est trop occupé à gérer ses propres questions existentielles et son stress quotidien.
Essaye de reconstruire ton estime de toi
Le véritable enjeu est de rediriger toute cette énergie émotionnelle que tu dépenses à craindre le jugement négatif des autres vers quelque chose de plus constructif : ton développement personnel. Au lieu de chercher l’approbation de ton entourage ou de tes collègues, commence à poser les bases d’une nouvelle relation avec toi-même. C’est un exercice qui demande de la bienveillance envers soi, mais qui est essentiel pour vaincre cette tendance à l’auto-critique.
L’importance d’accepter les périodes difficiles : à toi le chaos constructif !
Je t’explique : ne fuis pas les moments où tu te sens faible ou en situation d’échec. Ces expériences, même si elles peuvent provoquer de l’angoisse sur le moment, sont de véritables occasions d’apprentissage. C’est souvent dans ces périodes que tu oses affronter tes peurs et que tu découvres ta force intérieure. Oui, c’est inconfortable. Oui, ça peut faire peur. Mais c’est en osant faire face à ces moments qu’on progresse.
Tu peux d’ailleurs utiliser ces situations comme des exercices pratiques de gestion du stress. Que ce soit lors d’une présentation en public, dans un groupe social, ou même dans un simple échange avec des amis, chaque interaction devient une opportunité de travailler sur toi.
Des techniques concrètes pour avancer
Commence par t’observer sans jugement.
- Quand surgit cette peur du regard des autres, note ce qui la déclenche.
- Pose-toi la question : “Si personne ne me regardait, que ferais-je différemment ?”
- Pratique des petits actes d’affirmation de soi au quotidien
Le soutien thérapeutique comme axe de travail
Se libérer de cette peur nécessite parfois un accompagnement professionnel. Différentes approches peuvent t’aider :
- L’hypnose pour travailler sur les origines de tes peurs
- Le coaching en développement personnel pour renforcer ton affirmation de soi
- La thérapie pour traiter l’anxiété sociale si elle est trop handicapante

Vers une nouvelle relation à toi-même ?
Plus tu apprendras à te connaître et à t’accepter, plus ta qualité de vie s’améliorera. C’est comme si tu passais d’un état de stress constant à un sentiment de paix intérieure. N’hésite pas à faire appel à un professionnel pour t’accompagner dans ce cheminement. Un appel découverte offert peut être la première étape vers ta libération. Ensemble, nous pouvons travailler sur tes blocages et t’aider à retrouver confiance en toi pour vivre pleinement, sans être prisonnière du regard des autres.
Souviens-toi : la société actuelle nous pousse souvent à nous préoccuper excessivement du jugement d’autrui, mais ta valeur ne dépend pas de l’opinion des autres. Elle est intrinsèquement liée à qui tu es, dans ton authenticité.
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Coach de vie à Paris : arrête de subir, prends enfin le contrôle
Tu cherches une coach de vie à Paris car tu en as marre de tourner en rond et de subir ta vie ? Mes séances de coaching sont conçues pour te bousculer, t’aider à casser tes schémas limitants, et te permettre de créer une vie à ton image. Découvre comment reprendre les rênes dès aujourd’hui.
Je suis Charlotte Vallet, coach en émancipation féminine depuis 8 ans, et mon objectif est d’accompagner les femmes à prendre leur place et à se libérer du patriarcat. Pour cela, il est essentiel de se sentir équilibrée à la fois sur le plan physique et mental. En effet, la forme est le reflet du fond, et c’est cette harmonie entre le corps et l’esprit qui permet à chaque femme de s’épanouir pleinement et de révéler sa puissance intérieure.
Tu tournes en rond. Tu sais que quelque chose ne va pas, mais tu restes bloqué(e), paralysé(e) par la peur, le doute ou les excuses. Combien de temps encore vas-tu continuer à vivre comme ça ? À Paris, je ne suis pas là pour te caresser dans le sens du poil. Je suis là pour te bousculer, te faire bouger, et t’aider à reprendre les rênes de ta vie, une bonne fois pour toutes.
Pourquoi tu as besoin d’un coach de vie à Paris ?
Arrête de te mentir : si tu pouvais tout régler seule, tu l’aurais déjà fait. Mais la vérité, c’est que tu te perds dans tes schémas, dans tes peurs, dans ton besoin de validation ou ta peur de l’échec. Faire appel à un coach de vie à Paris, ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est le contraire. C’est reconnaître que tu veux avancer, que tu refuses de rester coincée dans ta zone de confort pour une vie qui ne te ressemble pas.
Paris, c’est une ville fascinante, pleine de promesses, mais c’est aussi une ville qui peut te pousser dans tes retranchements. Le rythme effréné, les attentes sociales, les ambitions personnelles… Tout ça te laisse peu de répit pour te poser les bonnes questions. Tu cours, tu bosses, tu réponds aux demandes des autres, et à la fin, il te reste quoi ? Une impression de vide, de ne jamais vraiment avancer, ou pire, de ne plus savoir ce que tu veux. Et pourtant, cette confusion, ce blocage, ce sentiment de tourner en rond, c’est exactement ce qui peut devenir ton point de départ vers une vie différente. C’est là qu’un coach de vie entre en jeu.
Le rôle d’un coach de vie à Paris, ce n’est pas de te dire quoi faire, ni de te donner des solutions toutes faites. Non, je ne suis pas là pour ça. Mon rôle, c’est de t’aider à t’arrêter, à faire le point et à reprendre la main sur ta vie. À Paris, où tout va vite, où la performance est valorisée au détriment de ton bien-être, ce travail est essentiel. Souvent, on ne prend même pas le temps de se demander ce qu’on veut réellement. On avance par automatisme, en suivant les schémas qu’on nous a appris, ou pire, en vivant pour les attentes des autres. Résultat ? Tu te perds dans une routine qui ne te ressemble pas, dans des décisions qui ne sont pas les tiennes.
Un coach de vie à Paris, c’est cette personne qui te pose les questions que tu n’as jamais osé te poser. Pourquoi fais-tu ce que tu fais ? Est-ce que ça te correspond vraiment ? Est-ce que tu avances vers quelque chose qui te fait vibrer, ou est-ce que tu essaies simplement de survivre ? À Paris, où la pression est constante, ces questions sont souvent reléguées au second plan. Mais ce sont elles qui te permettront de reprendre le contrôle. Parce qu’avancer sans but clair, sans alignement avec toi-même, c’est comme naviguer sans boussole. Et ça, c’est le meilleur moyen de finir épuisée, frustrée et insatisfaite.
Peut-être que tu te dis que tu peux t’en sortir seule, que tu n’as pas besoin de quelqu’un pour te guider. Et je comprends. Mais soyons honnêtes : si c’était si simple, tu aurais déjà réglé tes blocages, n’est-ce pas ? La vérité, c’est que parfois, on a besoin d’un regard extérieur. Quelqu’un qui n’est pas là pour te juger, mais pour t’aider à y voir plus clair. Quelqu’un qui t’apporte une méthode, des outils, et surtout, le soutien nécessaire pour avancer. Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de courage. Demander de l’aide, c’est reconnaître que ta vie mérite mieux que ce que tu vis aujourd’hui.
À Paris, on te pousse à performer, à réussir, à toujours en faire plus. Mais est-ce que quelqu’un t’a déjà appris à te comprendre ? À gérer tes émotions, à dénouer tes blocages, à construire une vie qui te ressemble ? Probablement pas. On te forme pour le travail, pas pour la vie. Et c’est là que j’interviens. Mon rôle, c’est de t’accompagner à retrouver cette clarté, à te reconnecter à tes envies, à tes besoins, et à toi-même. Parce que la clé de ton bien-être, ce n’est pas de courir plus vite ou de cocher plus de cases. La clé, c’est de savoir pourquoi tu fais tout ça.
En travaillant avec moi, tu vas découvrir ce qui te freine vraiment. Pas les excuses superficielles, mais les véritables blocages, souvent inconscients, qui te retiennent. Et une fois que tu les as identifiés, on travaille ensemble pour les surmonter. Mais je ne vais pas me contenter de te faire réfléchir. Je suis là pour t’aider à agir, à transformer tes idées en actions concrètes. Parce qu’au bout du compte, ce qui compte, ce n’est pas ce que tu veux faire, mais ce que tu fais vraiment.
Un coach de vie, c’est une opportunité de changer la donne. De sortir de la confusion, de la procrastination, et des schémas qui te tirent vers le bas. C’est te donner les moyens de construire une vie alignée, une vie où chaque choix a du sens. Alors si tu es prêt(e) à faire ce pas, à Paris, je suis là pour toi. Pas pour te dire quoi faire, mais pour t’aider à devenir maître de ta propre vie. Parce que tu mérites bien plus que de simplement exister. Tu mérites de vivre pleinement, et de le faire à ta manière.
Avec moi, tu n’auras pas de solutions toutes faites. Mais tu auras des questions puissantes, des méthodes concrètes, et un plan clair pour casser tes barrières et construire la vie que tu mérites.
Ce que tu gagnes avec mon coaching
Travailler avec moi, coach de vie à Paris ; c’est arrêter de subir et commencer à créer. Voici ce que tu vas obtenir :
- Une clarté totale sur ce qui te bloque et pourquoi tu n’as pas encore avancé.
- La fin des schémas toxiques et répétitifs qui te maintiennent au même endroit.
- Une confiance renouvelée, parce que tu sauras enfin qui tu es et ce que tu veux.
- Un plan d’action solide, avec des étapes claires et réalisables pour atteindre tes objectifs.
- Une vraie liberté émotionnelle, où tu ne vis plus pour les autres, mais pour toi.
Une séance avec moi, c’est quoi ?
C’est simple : on va droit au but. Pas de blabla inutile, pas de “on verra plus tard”. Avec des outils comme l’hypnose , les neurosciences, la programmation neuro-linguistique, la psychologie, l’énéagramme, et des exercices percutants, on creuse là où ça fait mal pour débloquer ce qui te retient. Chaque séance est personnalisée, parce que ta vie, tes défis et tes besoins sont uniques.
Les bienfaits de l’accompagnement avec moi : pourquoi ça marche vraiment
Si tu veux savoir ce que tu peux attendre de travailler avec moi, je vais être honnête : je ne vais pas te promettre des miracles, mais je vais te promettre du vrai. Mon rôle, en tant que coach de vie à Paris, ce n’est pas de te donner une formule magique ou de te dire quoi faire. Mon rôle, c’est de t’aider à voir clair, à poser les bonnes bases, et à avancer avec des outils concrets. Ce que tu gagnes avec moi ? Une transformation profonde et durable. Et crois-moi, tu vas sentir la différence.
D’abord, tu vas enfin comprendre ce qui te bloque. Beaucoup de gens avancent à l’aveugle, avec des boulets émotionnels qu’ils traînent sans même s’en rendre compte. On va creuser ensemble pour identifier ces boulets, ces schémas qui te freinent et t’empêchent d’atteindre ce que tu veux. Que ce soit des peurs, des croyances limitantes ou des relations toxiques, je vais t’aider à mettre le doigt dessus et, surtout, à les désamorcer.
Ensuite, tu vas apprendre à te faire confiance. Trop souvent, on délègue notre pouvoir aux autres : l’avis des proches, les attentes de la société, ou même nos propres doutes. Avec moi, tu vas reprendre les rênes. Je vais te montrer comment écouter tes propres besoins, comment t’affirmer et comment avancer sans attendre la validation de qui que ce soit.
Et puis, tu vas passer à l’action. Parce qu’on ne va pas juste parler de tes rêves, on va construire un plan pour les atteindre. Que tu sois bloquée dans ta carrière, ta vie amoureuse ou ton développement personnel, je vais t’accompagner pour transformer tes envies en réalité. Et crois-moi, il n’y a rien de plus puissant que de voir tes idées devenir tangibles.
Enfin, tu vas retrouver une paix intérieure. Pas la paix factice où tu fais semblant que tout va bien, mais une vraie sérénité. Celle qui vient de savoir que tu es sur la bonne voie, que tu as les clés pour avancer, et que plus rien ni personne ne peut t’arrêter. Avec moi, tu ne te contentes pas de rêver ta vie, tu la vis. Et ça, ça change tout.
Pourquoi Paris est le bon endroit pour ce changement
Paris, c’est le chaos. C’est le bruit, la pression, la course perpétuelle. Mais c’est aussi l’endroit parfait pour tout arrêter, pour souffler et enfin prendre le temps de te poser les bonnes questions. À Paris, je t’offre un espace où tu peux respirer, réfléchir, et reprendre le contrôle de ton quotidien.
Agis maintenant : ta vie ne t’attendra pas
Tu peux continuer à trouver des excuses, ou tu peux agir. C’est aussi simple que ça. Si tu es prête à changer, à sortir des schémas qui te bouffent et à créer une vie qui te ressemble vraiment, je suis là pour toi. Mais le premier pas, c’est toi qui dois le faire.
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Entre-soi : une prison invisible qui étouffe ton évolution
L’entre-soi : la prison mentale de ceux qui refusent d’évoluer
Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.
Une question récurrente que de nombreuses femmes me posent est celle de l’entre-soi. Il s’agit d’un concept souvent lié à la recherche de sécurité et de confort, mais qui, au final, limite l’évolution personnelle. En effet, l’être humain évolue véritablement lorsqu’il se confronte à la différence et à de nouveaux défis. L’entre-soi devient un piège qui enferme l’egoet empêche toute remise en question nécessaire à l’épanouissement personnel. Rompre avec cet enfermement est une étape essentielle pour s’ouvrir à de nouvelles opportunités et vivre une vie plus authentique et épanouie.
L’entre-soi : ce cocon confortable où l’on se sent bien parce que tout autour de soi répète les mêmes choses. C’est un club fermé, où tout est lissé, où l’on n’est pas challengé, où tout le monde pense pareil, vit pareil, et où tu n’es jamais mis face à la réalité du monde extérieur. C’est l’endroit où l’évolution s’étouffe. Et pourtant, l’illusion de sécurité que l’on y trouve est tellement tentante que peu de gens s’en échappent.
Je l’ai vécu, cette fausse sécurité. Il m’a fallu du temps pour comprendre que l’évolution personnelle n’est pas simplement un processus linéaire où l’on avance dans un joli jardin, mais une bataille constante contre soi-même. Et pour cette bataille, il est essentiel de casser les murs de l’entre-soi. Ce n’est que lorsque tu t’ouvres à la différence, que tu mets tes convictions en péril, que tu te confrontes à l’inconnu, que ton humanité prend toute son ampleur.
L’entre-soi : la zone de confort qui t’empêche d’évoluer
L’entre-soi, c’est là où tu te perds dans tes habitudes, où tout te semble logique, compréhensible, mais où en réalité, tu es figé. Ce que je vois chez trop de gens aujourd’hui, c’est cette mauvaise habitude de s’entourer de gens qui leur ressemblent : même vision de la vie, même cercle social, même milieu. Tout est lissé. Tout est sûr. Mais rien n’évolue.
Tu crois qu’en restant dans ton petit cercle tu vas grandir ? Tu crois que rester avec les mêmes gens va faire de toi un meilleur humain ? Non. L’évolution, ce n’est pas rester confortable, c’est sortir de la zone de confort, c’est tout remettre en question, c’est déranger tes certitudes.
L’entre-soi est une zone où l’ego trouve refuge. Parce que dans cet espace clos, tes opinions, ton identité, ta manière de vivre sont validées, répétées, confortées. Mais en réalité, tu n’évolues pas. Tu t’agrippes à ta petite vérité comme si ta vie en dépendait, sans oser la confronter à autre chose. Et c’est cette peur de la confrontation qui t’empêche de grandir.
Briser l’entre-soi : la liberté que peu de gens oseront connaître
Tu te sens à l’aise avec tes amis, ta famille, tes collègues, mais et après ? Où es-tu quand tu fais face à des idées nouvelles, à des perspectives opposées, à des gens qui te bousculent ?
Briser l’entre-soi, c’est accepter d’être mal à l’aise. C’est accepter la dissonance cognitive, c’est se mettre face à l’inconnu, et réaliser que ce n’est pas dans le confort que tu grandis. Le changement arrive quand tu fais sauter ces chaînes de la prévisibilité et que tu acceptes que ton monde intérieur doit se confronter à l’extérieur pour qu’il existe réellement.
Briser l’entre-soi, c’est se libérer de l’illusion de la sécurité pour embrasser la vraie liberté. C’est comprendre que ta vérité n’est qu’une version parmi d’autres, et que c’est seulement quand tu écoutes l’autre, quand tu comprends l’autre, que tu commences vraiment à t’élargir.
C’est se libérer de la petite bulle de confort dans laquelle tu es enfermé, et ça demande du courage. Le courage de confronter tes failles, de remettre en question tes croyances, d’ouvrir ton esprit à ce qui t’était jusque-là inconnu.
La vérité qui dérange : si tu ne casses pas l’entre-soi, tu restes un esclave de toi-même
Ose dire la vérité : le vrai danger, c’est d’avoir peur de l’évolution. La vraie menace, c’est de rester figé dans un monde où tu ne rencontres aucune remise en question. Ose admettre que tu vis dans un cocon de confort. La vérité, c’est que si tu ne brises pas les codes de l’entre-soi, tu te condamnes à rester stagnant. Et si tu refuses de voir ça, si tu choisis d’enfouir cette réalité sous un tapis confortable de « bien-être », alors tu choisis de rester esclave de tes habitudes. Tu choisis de ne pas grandir.
C’est là que l’on meurt à petit feu. Dans l’entre-soi, tu t’auto-satisfais, mais tu t’éteins.
Pourquoi il est essentiel de s’ouvrir à la différence : ton évolution ne commence que là
L’ouverture à la différence, c’est la clé pour réinventer ton identité. Chaque fois que tu te confrontes à une idée différente, une culture différente, un autre mode de vie, tu es en train de t’ouvrir à un champ de possibilités infini. Tu es en train de voir que ce que tu crois vrai n’est pas nécessairement la seule vérité.
C’est dans la confrontation que tu fais la rencontre avec toi-même. C’est dans le doute, dans la différence, dans l’inconfort que tu trouves la force de te transformer, de t’adapter, de t’élever. Ce processus est un défi quotidien, mais il est nécessaire pour que ton évolution ne soit pas un mirage.
Ne pas se confronter à la différence, c’est risquer de rester figé dans une version limitée de soi-même, ne pas connaître la vraie profondeur de l’humain. C’est rester coincé dans une version dégradée de ce que tu pourrais être.
L’essentiel : briser les codes, vivre hors des murs de l’entre-soi
Si tu veux véritablement évoluer, il est préférable de sortir du cadre, casser les règles, et accepter l’imperfection. Oser la différence, oser être dérangé, oser remettre en question ce que tu sais, ce que tu crois, ce que tu fais. Briser l’entre-soi n’est pas une option, c’est une nécessité vitale. Si tu veux vraiment te rencontrer, tu dois d’abord oser t’écarter de ceux qui pensent comme toi.
L’évolution personnelle commence là où l’entre-soi se termine. Ose briser les chaînes, choisis de sortir de cette prison, embrasse la différence et sois prêt à tout remettre en question. Parce qu’en fin de compte, le plus grand risque, c’est de ne pas risquer d’évoluer.
Et si tu as le courage de faire ce saut, tu découvriras que, au-delà de l’inconfort, il y a une liberté absolue et une évolution sans fin.
C’est ici que je t’accompagne par le biais de mes coaching.
Viens me suivre sur instagram, pour plus de contenu à propos de l’émancipation !
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Coparentalité : une Révolution inspirante pour une parentalité libre et épanouie
Et si la coparentalité était la clé pour vivre une parentalité libre ? Ce modèle libérateur casse les codes traditionnels et offre une alternative authentique, respectueuse et profondément épanouissante pour celles et ceux qui ne veulent pas se conformer aux normes sociales. Découvrez pourquoi cette parentalité réinventée pourrait changer votre vie.
La coparentalité : pourquoi ce modèle de parentalité libre est ma révélation
Si tu es comme moi, un peu marginale, en dehors des codes traditionnels, tu as sûrement ressenti que les modèles classiques de la famille ou du couple étaient un peu étouffants. Tu t’es parfois retrouvée dans des relations de couple, mais après un certain temps, tu t’es vite lassée. Aujourd’hui, je me tourne résolument vers la coparentalité, et cette décision n’est rien de moins qu’une libération totale pour moi.
Pour moi, la coparentalité n’est pas simplement une alternative aux relations classiques. C’est une véritable réinvention de ce que signifie être parent, et c’est surtout un moyen de rester fidèle à ma liberté, tout en m’engageant profondément dans le rôle de parent. Plus je m’y intéresse, plus je me rends compte que c’est le modèle qui me correspond le mieux. Mais pourquoi ?
Mon histoire : toujours libre, toujours autonome
Je ne me suis jamais véritablement retrouvée dans les “codes” sociaux. Dès mon plus jeune âge, j’ai toujours eu un pied en dehors des attentes traditionnelles : les normes sociales, les attentes liées à la famille, au couple, à la parentalité, tout ça me paraissait étranger. J’ai été en couple par moments, sur de longues années d’ailleurs, et je me suis souvent lassée avec le temps. Je n’ai jamais été la personne qui voulait absolument “se conformer”.
Aujourd’hui, j’évolue dans un couple libre, où je choisis de partager ma vie sans sacrifier ma liberté personnelle. Et cette vision de la liberté a fait écho à ma vision de la parentalité libre : pourquoi continuer à m’enfermer dans le modèle traditionnel du couple, quand je peux choisir une forme de famille qui me permet d’être moi-même tout en assumant mes responsabilités de parent ?
La coparentalité : le choix de la liberté et de l’autonomie
La coparentalité est la manière de redéfinir la parentalité libre pour nous qui ne sommes pas faits pour rentrer dans les cases traditionnelles. C’est un modèle qui respecte l’individualité de chaque parent, tout en leur permettant de s’investir pleinement dans l’éducation de leurs enfants.
Pour moi, la coparentalité est une réponse directe à l’étouffement que je ressens souvent dans les relations de couple. Le modèle classique, où l’on fusionne avec l’autre dans un cadre bien délimité, me paraît presque absurde. Pourquoi sacrifier ma liberté au nom de l’amour ? Pourquoi ne pas imaginer un modèle où, tout en étant parent, je peux continuer à me réaliser en tant qu’individu ?
La coparentalité permet de bâtir une relation équilibrée et saine entre les parents, tout en évitant les contraintes émotionnelles et sociales qui pèsent sur le couple traditionnel. En optant pour cette forme de parentalité libre, je peux choisir de m’entourer de personnes avec qui l’on partage des valeurs communes, sans les limitations imposées par des relations amoureuses classiques.
Pourquoi la coparentalité est un modèle libérateur :
1. La liberté : pas besoin de sacrifier qui on est
Je suis une personne profondément libre, et la coparentalité me permet de concilier cette liberté avec mon rôle de parent. Dans un couple traditionnel, il y a souvent des attentes, des compromis qui me font sentir étouffée. Avec la coparentalité, il n’y a pas de fusion forcée. Il y a une coopération, une relation où chaque parent est autonome tout en restant engagé dans l’éducation de l’enfant.
J’ai choisi cette voie car elle me permet de ne pas me perdre dans la relation. La liberté est essentielle, et dans ce modèle, je peux vivre pleinement ma vie sans avoir à m’adapter à des normes que je n’ai jamais choisies.
2. L’épanouissement personnel : un parent plus présent, plus épanoui
Dans les modèles traditionnels, être parent peut signifier renoncer à ses désirs et à ses rêves personnels pour le bien de la famille. Mais la coparentalité me permet de concilier maternité et épanouissement personnel. C’est un équilibre parfait entre la liberté d’être soi-même et la responsabilité de s’occuper d’un enfant. Quand je suis épanouie dans ma vie personnelle, je peux être une meilleure mère, plus disponible, plus présente et surtout plus alignée avec mes valeurs.
3. Les relations plus saines : moins d’attentes, plus d’honnêteté
L’un des grands défis des relations de couple, c’est la pression constante des attentes, des rôles à jouer, des compromis émotionnels. Dans le cadre de la coparentalité, ces pressions sont beaucoup moins présentes. On n’est pas dans une relation amoureuse fusionnelle, mais dans une collaboration respectueuse entre deux individus qui ont choisi de partager une partie de leur vie ensemble – leur enfant – tout en respectant leur espace personnel et leurs besoins.
Les relations dans la coparentalité sont souvent plus sincères, plus respectueuses, et surtout, beaucoup moins envahissantes. Il n’y a pas de place pour les non-dits ou les compromis qui nous coûtent sur le plan émotionnel.
4. La libération des normes sociales : ose réinventer ta famille
La société nous a appris que pour être heureux, il fallait suivre un certain modèle de famille. Le couple, le mariage, les enfants. Mais qu’en est-il quand ce modèle ne te correspond plus ? Quand tu ne te retrouves pas dans ces attentes ? La coparentalité permet de réinventer ta propre famille, sans te soucier des normes sociales.
Il est temps de casser les chaînes qui nous empêchent de vivre selon nos propres désirs. Pour moi, choisir la coparentalité, c’est avant tout choisir de me libérer des attentes imposées par une société qui m’a toujours semblé étrangère.
5. Casser les liens toxiques : se respecter soi-même avant tout
Au fond, choisir la coparentalité, c’est aussi une question de respect de soi. Je n’ai jamais voulu me sacrifier dans des relations qui ne me nourrissaient pas. La coparentalité m’a permis de me libérer des liens qui étaient devenus toxiques ou limitants. J’ai appris à couper les ponts avec ce qui ne m’épanouissait plus, pour ouvrir un espace qui est uniquement à moi.
Mon choix : la coparentalité comme une révolution personnelle
Je ne suis pas ici pour dire que le modèle du couple traditionnel est mauvais. Chacun vit sa vie comme il le souhaite. Mais pour moi, la coparentalité est le choix qui fait sens. C’est la liberté retrouvée, le respect de mon indépendance tout en étant une mère aimante et présente.
Aujourd’hui, je suis en couple libre, et je me prépare à entrer dans une dynamique de coparentalité. Cette transition me permet de concilier mes aspirations personnelles et mes responsabilités parentales sans sacrifier mon identité. Je suis plus alignée que jamais et c’est grâce à cette réinvention de la famille que je peux aujourd’hui m’épanouir pleinement.
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Fragilité émotionnelle : une vérité profonde qui transforme nos relations amoureuses
Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.
Une problématique que j’ai souvent rencontrée est la tendance des femmes à s’investir très rapidement dans des relations avec des hommes, validant ces relations trop vite sans vraiment prendre le temps de bien connaître la personne. Et cela provient d’une carence émotionnelle.
L’amour trop rapide et la répression émotionnelle cachent des fragilités partagées qui minent nos relations amoureuses. Découvrez comment dépasser ces dynamiques toxiques pour bâtir des relations authentiques, libres et équilibrées.
L’ego d’un homme est aussi fragile que le cœur d’une femme : pourquoi l’amour trop rapide et la répression émotionnelle créent des fragilités partagées
Dans le monde des relations amoureuses, une idée préconçue persiste : l’homme est celui qui doit être fort et distant, tandis que la femme est souvent perçue comme la plus vulnérable, celle qui ressent plus intensément. Mais si l’on y regarde de plus près, l’ego d’un homme est tout aussi fragile que le cœur d’une femme. Derrière ces deux comportements opposés se cachent des mécanismes de défense profonds qui, loin de protéger, étouffent l’amour véritable.
L’amour trop rapide d’un côté, la répression des émotions de l’autre : ces deux attitudes créent des fragilités invisibles, des blessures silencieuses, et parfois même des relations toxiques. Mais pourquoi cette dynamique existe-t-elle, et comment y remédier pour enfin vivre des relations saines et équilibrées ?
L’amour trop rapide : quand la femme se perd dans la quête de validation
Beaucoup de femmes, dans une quête inconsciente de validation, tombent dans le piège de l’amour trop rapide. Dès les premières étapes d’une relation, elles s’investissent pleinement, donnent tout sans poser de questions, souvent parce qu’elles cherchent à combler un vide intérieur. Mais ce n’est pas de l’amour, c’est une forme de dépendance affective déguisée en passion.
Pourquoi ce besoin de se donner si vite ? Parce que, dans de nombreux cas, la femme ressent un vide qu’elle espère combler avec l’autre. Elle cherche à être vue, entendue, admirée. Cette quête de reconnaissance prend le pas sur l’amour véritable. Mais ce “don de soi” excessif ne fait que conduire à une frustration profonde quand l’autre ne répond pas avec la même intensité.
L’amour, lorsqu’il est vécu trop rapidement, finit souvent par se transformer en une relation fusionnelle où l’on oublie d’abord de se connaître soi-même avant de se donner à l’autre. Ce phénomène peut alors créer des attentes irréalistes, une dépendance affective, et bien souvent, une souffrance immense. L’amour, ce n’est pas une quête de validation ; c’est un espace d’échange authentique, où chacun est entier dans sa propre identité, et où la fusion est un choix libre et non un besoin de survie émotionnelle.
La répression émotionnelle de l’homme : une fragilité mal compris
De l’autre côté de cette dynamique, l’homme, souvent perçu comme celui qui “ne doit pas montrer ses sentiments”, cache sa vulnérabilité derrière une façade d’indifférence ou de froideur. Cette répression émotionnelle n’est pas une forme de force, mais bien une fragilité mal maîtrisée. Beaucoup d’hommes sont pris dans le piège de “l’armure de l’ego”, un masque qui, plutôt que de les protéger, les empêche de se connecter véritablement à leurs propres émotions et à celles des autres.
La peur de paraître “faible” ou “vulnérable” les pousse à éviter de montrer leurs sentiments, à garder leurs émotions pour eux. Pourtant, cette absence d’expression émotionnelle crée une distance inévitée, une inaccessibilité émotionnelle qui rend difficile toute véritable connexion avec l’autre. L’homme, malgré son extérieur souvent impassible, souffre lui aussi d’une fragilité, mais il l’ignore ou la cache derrière un silence qui le condamne à l’isolement émotionnel.
Ces deux fragilités créent une tension invisible
Ce qui se passe alors, c’est une véritable danse de maladresses émotionnelles : la femme, dans sa quête de validation, s’investit trop vite, trop profondément, et l’homme, de son côté, reste enfermé dans sa propre répression émotionnelle, incapable d’ouvrir son cœur. Les attentes mutuelles deviennent déconnectées, les blessures se forment et les relations perdent leur authenticité.
Au final, ces deux comportements ne sont que des mécanismes de défense. La femme, pour ne pas se sentir rejetée, donne trop vite, tandis que l’homme, pour ne pas paraître faible, se ferme. Le problème ? Ces comportements sont le reflet d’un manque de connaissance de soi et d’un manque de confiance en soi.
La solution : se connaître, s’aimer, et s’ouvrir à l’autre sans attentes injustifiées
La solution à cette dynamique de fragilité mutuelle réside dans l’autonomie émotionnelle et la connaissance de soi. L’amour ne doit pas être une transaction où l’on cherche à combler des manques ou à se prouver quelque chose. L’amour véritable commence par soi-même. Il doit naître d’un espace intérieur de paix, d’une reconnaissance de ses propres besoins, avant de pouvoir être partagé avec l’autre.
- Apprends à t’aimer toi-même : L’amour de soi ne doit pas être conditionné par l’amour de l’autre. Apprends à te reconnaître, à te valider avant de chercher cette validation ailleurs. C’est seulement à partir de cette base solide que tu pourras offrir ton amour sans conditions.
- Exprime tes émotions librement : Que tu sois un homme ou une femme, exprimer tes sentiments n’est pas un signe de faiblesse, c’est une force intérieure. Ose être vulnérable, ouvre ton cœur sans crainte. La véritable force réside dans l’authenticité, pas dans la répression.
- Prends ton temps dans la relation : Ne précipite pas les choses. L’amour ne doit jamais être une course, mais une exploration. Chaque relation mérite d’être vécue dans le respect de soi et de l’autre, sans imposer d’attentes irréalistes.
- Crée une relation d’égalité émotionnelle : Ni l’un ni l’autre ne doit se perdre dans l’autre. Une relation saine est celle où chacun est libre d’être lui-même, sans chercher à se combler ou à se sauver. La fusion n’est pas une obligation, c’est un choix.
Si tu es prêt à passer à l’action et à briser cette dynamique, je suis là pour t’accompagner
Si tu reconnais ces comportements dans ta propre vie, ne reste pas figé dans cette dynamique destructrice. L’amour véritable, celui qui te permettra de t’épanouir en tant qu’individu tout en construisant une relation saine, commence par toi. C’est à toi de reprendre le pouvoir sur ta propre vie émotionnelle.
Je t’invite à me rejoindre dans mes coachings pour t’accompagner à te libérer des mécanismes qui t’empêchent d’aimer pleinement, à comprendre tes besoins, à renforcer ton amour propre, et à créer des relations épanouissantes basées sur la liberté émotionnelle et la connexion véritable.
J’ai également crée un ebook exceptionnel avec mes 100 thérapeutes d’exception sur Paris, et celui-ci est en promotion. Il est au tarif de 21 euros à la place de 29 euros. PROFITE-EN !
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Déconstruction du couple et du modèle familial : révélation puissante
Aujourd’hui on évoque la déconstruction du couple et du modèle familial. Et si nos relations amoureuses n’étaient qu’une répétition inconsciente des dynamiques familiales ? Découvrez comment la déconstruction du couple, et surtout du modèle familial, peut ouvrir la voie à des relations plus libres, authentiques et épanouissantes.
La déconstruction du couple, de la relation intime : quand il n’est qu’une projection du modèle familial
La relation intime, que l’on appelle habituellement « le couple », n’est pas simplement un terrain d’épanouissement affectif ou une quête de complicité. Elle est avant tout le reflet de ce que nous avons vécu au sein de nos familles, et plus précisément, un prolongement de leur structure. La déconstruction du couple ne devient possible que lorsque l’on prend conscience que ce dernier n’est qu’une projection, une répétition inconsciente des dynamiques familiales. Le véritable travail de transformation personnelle, celui qui ouvre la voie à une vie amoureuse libérée et authentique, ne peut commencer qu’à travers la déconstruction du modèle familial lui-même.
Le couple : une recherche inconsciente de sécurité et de continuité
Dans nos relations, qu’elles soient amoureuses ou sexuelles, nous ne cherchons pas uniquement à éprouver l’amour pur. Nous recherchons un cadre. Un cadre où les blessures du passé peuvent se dissoudre, où nos peurs peuvent se calmer, où la continuité et la stabilité peuvent prendre forme. Inconsciemment, le couple devient un terrain où nous espérons trouver la sécurité que nous avons perdue ailleurs, particulièrement dans la structure familiale.
Mais cette quête de stabilité, aussi légitime soit-elle, cache une vérité plus sombre : le couple, dans sa forme traditionnelle, reproduit souvent les mêmes dynamiques limitantes et toxiques que celles vécues dans notre famille d’origine. Il devient une sorte de « théâtre » où nous rejouons les conflits non résolus avec nos parents, et ce, sans même en avoir conscience. Nous croyons rechercher l’amour, mais ce que nous trouvons souvent, ce sont des chaînes invisibles : des peurs, des blessures anciennes, des attentes héritées de notre passé familial. L’idée de déconstruction du couple doit être présente.
La famille : le noyau sacré et le terrain de nos peurs
La famille, ce modèle sacré et inaltérable dans nos sociétés, n’est pas seulement un pilier de stabilité sociale. Elle est aussi un terrain miné de conditionnements, de blessures émotionnelles et de conflits non résolus. Elle incarne la matrice de nos peurs les plus profondes, celles qui façonnent notre identité et nos relations.
Dans la famille, nous recevons des valeurs, des croyances, des mécanismes de survie, mais aussi des traumatismes, parfois invisibles, qui se transmettent de génération en génération. Ces éléments ont un pouvoir insidieux : ils influencent nos choix, nos comportements et, surtout, nos relations amoureuses. La famille est à la fois un terreau fertile pour la croissance personnelle et un piège, un carcan qui nous empêche de nous libérer de nos conditionnements.
C’est dans ce modèle familial que l’individu trouve la première forme de « sécurité », mais aussi la première forme de soumission. Soumettre ses désirs, ses aspirations et même sa liberté à ce modèle, c’est se condamner à répéter des schémas générationnels sans fin.
L’inconscient recherche le parent : les ombres de la domination et de la soumission
Nous croyons choisir notre partenaire en toute liberté. Pourtant, dans les profondeurs de l’inconscient, la réalité est bien différente : l’homme cherche sa mère, la femme cherche son père. Cette dynamique inconsciente est l’un des moteurs les plus puissants de nos relations amoureuses. Mais elle n’est pas seulement une quête affective : elle reproduit les rapports de domination, de répétition et de soumission qui ont eu lieu dans l’enfance.
Dans chaque relation amoureuse, un champ de forces invisibles agit. Nous cherchons inconsciemment à revivre les relations que nous avons eues avec nos parents, souvent pour tenter de « réparer » une blessure non guérie. Ce besoin de réparation, ce désir de correction de l’histoire familiale, nous pousse à reproduire les mêmes structures de pouvoir, les mêmes luttes, les mêmes sacrifices. En effet, ce qui se joue dans le couple n’est rien d’autre qu’une tentative de réconciliation, parfois désespérée, avec nos figures parentales.
Mais la réalité est bien plus troublante : la recherche du parent dans le couple entraîne un rapport de pouvoir, souvent implicite mais omniprésent. Ces rapports de domination sont inscrits dans nos corps et nos esprits. Ils se manifestent dans des dépendances émotionnelles, des conflits de pouvoir, des besoins non exprimés, des sacrifices et des soumissions qui, bien souvent, passent inaperçus. Le couple devient alors le terrain de jeux des blessures et des non-dits, une scène où l’on rejoue, encore et encore, les scènes traumatiques de l’enfance.
“Tuer le parent” : une nécessité pour se libérer et se réinventer
Dans cette dynamique, “tuer le parent” devient non seulement une métaphore, mais une nécessité absolue pour quiconque désire percer la véritable essence de sa propre existence. L’expression peut choquer, mais elle renvoie à un principe fondamental de la transformation personnelle : il s’agit de se libérer des liens invisibles qui nous rattachent aux figures parentales, aux attentes et aux conditionnements hérités.
“Tuer le parent”, c’est rompre avec ces figures idéalisées ou fantasmées, c’est se débarrasser de ces empreintes invisibles qui façonnent nos décisions, nos choix et notre manière d’aimer. C’est enfin refuser de répéter indéfiniment les mêmes schémas. C’est se réinventer. Mais cette rupture n’est pas simple. Elle exige de briser des liens émotionnels profonds, de se confronter à ses blessures les plus intimes, et de renoncer à l’illusion de sécurité que la famille nous a offerte.
Cela signifie se libérer du poids des attentes parentales, des modèles relationnels hérités, et remettre en question tout ce qui nous a été transmis, parfois sans même que nous en ayons conscience. Il s’agit de reconstruire sa propre identité, hors du regard de ceux qui nous ont donné la vie, pour s’autoriser enfin à vivre selon ses propres désirs et valeurs.
Conclusion : la libération passe par la déconstruction du couple et de la famille
La déconstruction du couple, ou de la relation intime en tant que projection du couple, ne devient réellement possible que lorsque l’on prend conscience de l’impact profond du modèle familial sur notre vie amoureuse. La famille, bien qu’elle soit souvent perçue comme un havre de sécurité, est également la source de nos plus grandes limitations. La véritable transformation personnelle, celle qui ouvre la voie à une existence plus authentique, libre et épanouie, ne peut se produire qu’en brisant ces chaînes invisibles.
Le couple ne peut véritablement se réinventer que lorsque nous cessons d’en attendre une forme de réparation de nos blessures familiales. Il faut pour cela donc passer par une phase de déconstruction du couple. La vraie liberté dans l’intime, dans l’amour, n’existe que lorsque nous avons eu le courage de « tuer » les figures parentales qui nous asphyxient. Ce n’est qu’à ce moment-là que nous pourrons véritablement vivre nos relations dans une dynamique de liberté, de respect et d’épanouissement personnel.
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Enfant maltraité, adulte blessé : comment te libérer de tes traumatismes d’enfance
Derrière chaque forme de souffrance adulte se cache souvent un enfant victime de maltraitance qui n’a pas été entendu. Les sévices subis durant l’enfance façonnent profondément notre développement cognitif, notre santé physique et mentale, avec des répercussions bien plus importantes que ce que la société reconnaît habituellement.
D’ailleurs, des études ont montré que des personnes ayant subi des violences psychologiques, physiques ou sexuelles dans l’enfance sont plus enclins à développer des troubles comportementaux persistants. Ces traumatismes peuvent entraîner stress post-traumatique, dépression, problèmes de santé physique et une estime de soi fragilisée.
Si tu reconnais en toi les séquelles de violences familiales passées, sache que des mécanismes de résilience existent ! La prise en charge thérapeutique, le coaching ou encore l’hypnose permettent de traiter ces blessures profondes et leurs conséquences à long terme sur le développement cognitif et la santé mentale. Je t’explique.
L’empreinte invisible de la maltraitance
Contrairement aux idées reçues sur la maltraitance physique, les formes de violence psychologique laissent souvent les traces les plus durables sur le développement de l’enfant.
Alors que les violences physiques peuvent guérir avec le temps, les traumatismes émotionnels – humiliations, rejets, négligences – s’infiltrent profondément dans le psychisme, créant des troubles psychologiques persistants qui peuvent affecter toute une vie.
L’Organisation Mondiale de la Santé souligne que ces types de maltraitance altèrent significativement la santé mentale des victimes !
Le piège de la normalisation du trauma
Tu sais ce qui est le plus pervers dans la maltraitance infantile ? C’est qu’elle devient ta normalité
Pour survivre à l’exposition à la violence, le cerveau de l’enfant victime intègre ces comportements abusifs comme standards. Cette adaptation neurologique explique pourquoi, même à l’âge adulte, les personnes ayant subi des sévices tendent à minimiser leur expérience traumatique, utilisant des justifications comme “Ce n’était pas si grave” ou “C’était pour mon bien”. Ce déni constitue un obstacle majeur au processus de réhabilitation et de guérison.
L’impact de la maltraitance infantile sur le cerveau
Les cicatrices invisibles de la maltraitance s’inscrivent au plus profond de la chimie cérébrale ! Chaque traumatisme vécu dans l’enfance – qu’il soit violence physique, abus sexuel ou négligence – modifie notre façon de penser.
C’est comme si ton cerveau d’enfant, face au danger constant, avait appris à danser sur une musique dissonante. Cette programmation précoce explique aujourd’hui ces moments de détresse où les émotions te submergent sans prévenir, ces situations qui déclenchent un sentiment de menace inexplicable, ou ces comportements qui semblent échapper à toute logique mais sont en réalité des signaux de protection mis en place par ton système nerveux traumatisé.
La transmission transgénérationnelle : un héritage toxique
La maltraitance n’est pas qu’une histoire personnelle ! Les traumatismes que tu portes peuvent se répercuter sur des générations après toi. D’ailleurs, y aurait-ilo déjà eu de la maltraitance ou de la violence chez des arrières grands-parents ? Ce phénomène explique la perpétuation des cycles de violence familiale. D’où l’importance d’une intervention thérapeutique pour briser ces schémas destructeurs une fois pour toutes !
Les manifestations concrètes d’une violance infantile dans ta vie d’adulte
Dans tes relations amoureuses
Tu sais, cette sensation de ne jamais être à ta place dans tes relations ? Cette peur viscérale de l’abandon qui te fait accepter l’inacceptable ? Ce n’est pas toi qui es défectueuse, ce sont les traumatismes qui parlent. La maltraitance infantile crée des schémas relationnels dysfonctionnels qui te poussent à reproduire inconsciemment des dynamiques toxiques. Tu cherches peut-être à réparer tes blessures d’enfance à travers tes partenaires, ou tu confonds amour et emprise parce que c’est le modèle qu’on t’a inculqué.
Dans ta vie professionnelle
Les séquelles de la maltraitance sur mineur se manifestent aussi au travail ! L’impact sur le développement de ton estime personnelle influence ta relation à l’autorité et au succès. Tu alternes peut-être entre un besoin maladif de contrôle et une tendance à l’auto-sabotage. Ces signaux d’alerte témoignent d’une atteinte profonde à ton image de soi, pouvant entraîner des difficultés sociales et professionnelles permanentes.
Le trauma infantile subi constitue un facteur de risque majeur dans le développement de problèmes psychiatriques et émotionnels à l’âge adulte. Cette maltraitance subie peut mener à des états de stress post-traumatique qui nécessitent un soutien psychologique et une approche thérapeutique adaptée. L’environnement professionnel peut raviver ces blessures, particulièrement dans les relations d’autorité ou les situations de responsabilité, conduisant parfois à l’isolement ou au repli sur soi.
Dans ton rapport au corps
L’effet des traumatismes ne se limite pas au plan émotionnel. Les abus sexuels et la violence physique laissent des marqueurs biologiques durables. Ton corps garde en mémoire chaque agression subie, ce qui peut entraîner des problèmes de santé récurrents et une difficulté à respecter tes limites physiques. Le corps parle, et si on l’écoutait ?
Le chemin de la guérison : un parcours en plusieurs étapes
La première étape, c’est d’accepter que ce qui t’est arrivé n’était pas normal. Tu n’étais pas responsable. Tu étais une enfant innocente qui méritait protection et amour. Cette reconnaissance peut faire mal, mais elle est nécessaire pour avancer.
Le soin passe aussi par une approche somatique. Ton corps a besoin de libérer le stress post-traumatique accumulé. Les thérapies corporelles permettent de recréer un environnement sécurisant et de restaurer une relation saine avec ton corps.
Dernière étape ? La reconstruction identitaire ! Cette étape cruciale implique un profond travail sur l’image de soi. Il s’agit de déconstruire les schémas toxiques installés pendant l’enfance et de développer de nouvelles ressources intérieures, de créer sa voie.
Les outils pratiques pour avancer
Le travail de coaching
Un accompagnement adapté est essentiel. Le soutien psychologique aide à identifier les traumatismes et à prévenir la transmission de ces blessures. L’objectif est de transformer ces expériences douloureuses en force.
Les pratiques quotidiennes
La guérison demande un engagement quotidien. Chaque petit pas compte : apprendre à poser des limites saines, sortir de l’isolement social, créer des échanges nourrissants avec la communauté qui t’entoure.
Ma belle, je sais que ce chemin peut faire peur. Les conséquences de la maltraitance infantile sont lourdes, mais tu n’es plus seule. En tant que coach spécialisée dans l’accompagnement des femmes marquées par les traumatismes de l’enfance, je peux t’aider à mettre en œuvre les ressources nécessaires à ta libération.
N’hésite pas à me contacter pour un premier échange. Le programme thérapeutique que je propose s’adapte à ton rythme et à tes besoins. Tu as déjà fait preuve d’une force incroyable en survivant à ces épreuves. Maintenant, il est temps de transformer cette force en pouvoir de guérison.
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Attire des relations authentiques : le secret pour une évolution personnelle époustouflante
Et si la qualité des relations que tu attires était le reflet direct de ton travail sur toi-même ? Pour attirer des relations alignées avec ton évolution personnelle, il est temps de couper avec ce qui ne te nourrit plus. Découvre comment libérer de l’espace en toi et autour de toi pour créer des liens authentiques et enrichissants qui propulseront ta croissance.
La qualité des personnes que tu attires : le miroir de ton travail personnel
Depuis plus de 15 ans, j’ai consacré une grande partie de ma vie à un travail acharné sur moi-même. Chaque jour, j’ai fait face à mes zones d’ombre, mes croyances limitantes, mes blessures et mes peurs, en les transformant en leviers pour grandir. Ce travail constant m’a permis de bâtir une exigence élevée envers moi-même, une remise en question permanente.
Si tu veux attirer des personnes qui élèvent ton énergie, qui partagent ta vision et tes valeurs, il faut commencer par un principe fondamental : couper avec tout ce qui ne te convient plus. Si tu veux que de nouvelles opportunités, de nouvelles relations plus nourrissantes entrent dans ta vie, il est essentiel de libérer de l’espace en toi et autour de toi. Ce n’est qu’en lâchant ce qui te tire vers le bas, ce qui te freine ou t’épuise, que tu peux faire de la place pour ce qui te permet de grandir.
Le miroir des relations : ce que tu attires est le reflet de toi-même
La qualité des personnes que tu attires dans ta vie est un miroir direct de ce que tu es aujourd’hui, de ton travail intérieur, de tes standards. Si tu veux des relations plus authentiques, des personnes inspirantes et ambitieuses, commence par être cette personne toi-même. Il n’y a pas de secret : tu attires ce que tu es prêt à devenir. Et ce que tu es aujourd’hui résulte directement de ton travail sur toi-même, de ton niveau d’exigence et de remise en question.
Lorsque tu t’engages dans un chemin de développement personnel, de transformation, de guérison et de dépassement de soi, tu vas commencer à attirer des personnes qui partagent cette même quête de croissance. Mais pour cela, il est crucial de faire le ménage dans ta vie, d’éliminer ce qui te tire vers le bas, de te séparer de ce qui ne correspond plus à ta vision, à tes objectifs.
Il n’y a pas de place pour les relations superficielles, pour les personnes qui ne sont pas prêtes à évoluer avec toi. Si tu restes entouré de ceux qui stagnent, de ceux qui ne veulent pas se remettre en question, chaque interaction devient une perte d’énergie. Chaque rencontre avec eux est un frein à ton épanouissement. Là où il n’y a pas de mouvement, il y a de l’épuisement. Et plus tu restes dans ces relations, plus tu freines ton propre élan.
Une exigence élevée : pourquoi il faut couper avec ce qui ne te sert plus
J’ai appris à la dure que se respecter, c’est savoir couper avec ce qui ne te convient plus. Cette démarche est cruciale pour éviter que tes ressources émotionnelles et énergétiques ne soient épuisées par des relations ou des situations qui te freinent. Couper n’est pas toujours facile, mais c’est nécessaire. Il ne s’agit pas seulement d’éliminer des personnes toxiques, mais aussi de t’éloigner des relations qui, même si elles ne sont pas négatives, ne te permettent pas de grandir. Ces relations te maintiennent dans un certain confort, mais elles t’empêchent d’aller plus loin.
J’ai compris que pour avancer, il faut savoir laisser partir ce qui ne fait plus sens, ce qui ne résonne plus avec l’adulte que tu es devenu. Cette coupe est salutaire, car elle crée de l’espace pour que de nouvelles personnes arrivent, des personnes qui partagent ton désir de te réinventer, des personnes prêtes à faire le même travail sur elles-mêmes.
Se respecter, c’est savoir dire non à ce qui ne nourrit plus ton âme, même si ça fait mal ou si c’est difficile. Mais au final, cette coupe permet d’apporter un renouveau. En te détachant de ce qui t’alourdit, tu ouvres la porte à de nouvelles énergies, à des relations plus profondes et plus nourrissantes.
Le pouvoir de l’exigence : attirer des personnes qui t’élèvent
L’exigence que je mets dans mon travail sur moi-même, et dans les relations que je choisis de nourrir, me permet aujourd’hui d’attirer des personnes exceptionnelles. Ceux qui partagent ma vision, mon ambition, mes valeurs, ce sont eux que je souhaite avoir près de moi. Et je ne peux le faire que parce que j’ai eu le courage de couper avec tout ce qui ne me correspondait plus, de me libérer des relations qui ne m’apportaient pas cette même volonté de grandir.
Ces personnes sont comme des alliés dans ma quête de transformation. Elles m’encouragent à aller plus loin, me challengent, m’inspirent à être une meilleure version de moi-même chaque jour. Les relations qui t’élèvent sont basées sur une énergie commune, sur une volonté partagée de se dépasser et de grandir. Et pour les attirer, il est impératif de faire le vide et de se débarrasser de tout ce qui n’est plus aligné avec qui tu veux devenir.
Se réinventer : pourquoi faire de la place est essentiel
Pour se réinventer, il est nécessaire de créer de l’espace. De l’espace dans tes pensées, dans tes émotions, et dans tes relations. Couper avec ce qui ne te convient pas est un acte radical, mais c’est un acte d’amour de soi. Sans cela, tu risquerais de continuer à répéter des schémas du passé, d’attirer les mêmes types de personnes et de situations, de tourner en rond sans jamais avancer et finalement ne jamais attirer des relations alignées avec toi.
Le plus beau dans tout ça, c’est que cette coupure fait de la place à ce qui est réellement aligné avec tes aspirations profondes. Elle te permet de faire entrer dans ta vie des relations authentiques et enrichissantes. En lâchant ce qui ne fonctionne plus, tu libères de l’espace pour la liberté, la croissance et la créativité.
Conclusion : attirer des relations alignées qui nourrissent ton évolution
En définitive, les relations que tu attires sont un reflet direct du travail que tu fais sur toi-même. Si tu choisis de t’engager dans un travail profond sur toi-même, si tu fais preuve d’une exigence sans faille, tu commenceras à attirer des personnes qui sont dans la même démarche. Mais pour cela, il est essentiel de couper avec tout ce qui ne te convient plus. Laisse partir ce qui te freine et crée de la place pour des relations qui t’élèvent, qui t’inspirent et qui nourrissent ton évolution.
N’aie pas peur de te libérer de ce qui ne résonne plus avec toi. Couper, c’est grandir. Et grandir, c’est attirer des relations qui te soutiennent et te propulsent dans la direction de tes rêves.
Alors, prends la décision de te respecter, de t’entourer uniquement de personnes qui partagent tes valeurs, et commence dès aujourd’hui à couper avec ce qui te tire vers le bas. La véritable transformation commence là où les vieux schémas s’effondrent et où tu choisis, enfin, de créer l’espace nécessaire à ta propre évolution.
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Important : arrête de donner sans retour !
Vous donnez tout dans vos relations, mais ne recevez rien en retour ? Il est temps et même important d’arrêter de donner sans retour et de reprendre votre pouvoir émotionnel. Découvrez pourquoi ces dynamiques déséquilibrées épuisent votre énergie et comment fixer des limites pour cultiver des relations qui vous nourrissent vraiment.
Arrêter de donner du temps à des gens qui n’en donnent pas : surtout aux hommes
Nous avons toutes été là : investir du temps, de l’énergie, de la passion dans une relation qui, au final, ne nous nourrit pas, mais nous épuise. Plus jeune, j’ai moi-même succombé à ce piège. Donner sans retour. Perte d’énergie garantie. Pourquoi ? Parce qu’une grande majorité des femmes ont cette tendance à donner sans compter, souvent dans l’espoir de recevoir en retour ce qu’elles ont offert. Mais qu’en est-il quand l’autre ne répond pas à cette attente, ou pire, quand l’autre ne le fait même pas de façon équivalente ?
Pourquoi les femmes ont tendance à donner sans retour du temps aux hommes qui ne le méritent pas
Le problème, c’est que beaucoup de femmes ont été conditionnées à penser qu’elles doivent prouver leur amour ou leur valeur en donnant sans compter. Le manque d’équilibre dans la relation devient alors une norme, et au fil du temps, cela épuise la personne qui donne. On a toutes, ou presque, été cette femme qui attend un message, un appel, un geste… Mais qui se retrouve à chaque fois déçue, frustrée, parfois même blessée par le manque d’effort de l’autre.
L’illusion est souvent la suivante : « Plus je donne, plus il me verra. » Mais ce raisonnement est faussé. On finit par donner sans retour. En réalité, ce n’est pas l’amour que l’on donne qui attire l’autre, mais l’amour que l’on se porte à soi-même. Donner sans retour, c’est sacrifier son énergie, sa valeur, et son estime de soi.
Les conséquences : épuisement, perte de soi et manque d’authenticité
Se retrouver dans une relation où les efforts ne sont pas réciproques mène à une perte de soi. Il y a des femmes qui donnent des mois, des années à des hommes qui ne sont pas prêts à investir de la même manière. Ce genre de relation grignote petit à petit notre énergie, nous rend dépendantes, et souvent, nous nous perdons dans le processus.
Cela crée un déséquilibre qui, loin d’être une preuve d’amour, est une preuve de manque d’amour propre. Et cette perte d’énergie n’est pas juste physique. C’est une perte émotionnelle et mentale qui peut créer une insécurité profonde et une perte de confiance en soi.
Reconnaître la différence entre donner et se sacrifier
Quand on donne dans une relation, c’est parce qu’on a envie de le faire, parce qu’on est enrichi par cet échange. Mais le sacrifice ? Ce n’est jamais pour la bonne raison. Donner à l’autre sans retour ne fait pas qu’affaiblir la relation, cela nous enlève notre énergie vitale, et finit par nourrir un égoïsme déguisé, à savoir celui de l’homme qui profite de cet investissement sans rien offrir en retour.
Le mythe de la “Relation Parfaite” : pourquoi ça ne marche pas
On m’a souvent dit que l’amour parfait était celui où tu donnes tout sans compter, où l’autre te répond avec la même intensité. Mais ça, c’est une utopie. Ce modèle d’amour idéal est souvent imposé par des normes sociales ou des attentes irréalistes. La véritable relation équilibrée est celle dans laquelle chaque partenaire investit de manière réciproque, avec respect et authenticité.
La vérité ? Un homme qui ne sait pas te donner du temps, de l’attention ou de l’effort n’est pas quelqu’un qui te mérite. Tu n’as pas à te sacrifier pour mériter son amour. Il n’y a rien de plus toxique que de rester dans une relation qui te pompe ton énergie sans retour.
Comment s’en sortir ? La clé : savoir reprendre son pouvoir
La première étape pour sortir de cette dynamique, c’est d’arrêter de se sacrifier. Prendre le temps de se reconnecter à soi-même et comprendre que l’amour n’est pas une course à l’approbation, mais un échange libre et authentique. Il n’y a pas de mérite à aimer quelqu’un qui ne nous aime pas de la même manière.
Si tu te sens piégée par cette dynamique, voici quelques astuces pour reprendre ton pouvoir :
- Affronte ta propre peur de la solitude : Beaucoup de femmes restent dans des relations qui ne les nourrissent pas parce qu’elles ont peur de la solitude. Mais la solitude n’est pas une ennemie, c’est un espace de reconnexion à soi, un terrain fertile pour grandir.
- Fixe des limites claires : Ne donne pas ton temps à ceux qui ne l’apprécient pas. Si tu ne vois pas d’efforts réciproques, arrête de donner sans retour. Respecte-toi davantage.
- Apprends à t’aimer toi-même d’abord : L’amour propre, c’est se donner ce que l’on attend des autres. Quand tu apprends à te respecter et à t’aimer profondément, tu attires des relations saines et équilibrées, sans avoir à te sacrifier.
- Prends du recul et observe la relation avec objectivité : Est-ce que cet homme investit dans la relation comme toi ? Si la réponse est non, il est temps de faire des choix différents.
Et si c’était le moment de reprendre le contrôle de ta vie ?
Si tu te reconnais dans cette situation et que tu te sens prête à reprendre ton énergie et ton pouvoir personnel, je suis là pour t’aider à faire ce pas important. Ne laisse plus personne puiser dans ton énergie sans retour. Reconnecte-toi à ton pouvoir intérieur et apprends à établir des relations qui te nourrissent réellement.
Tu as le droit de t’aimer profondément et de ne plus accepter d’être dans une relation où tu donnes sans recevoir. C’est précisément ce que nous allons travailler ensemble, dans mes coachings, pour t’aider à reprendre ta place, à respecter tes limites et à créer des relations saines et équilibrées.
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Déconstruction de la famille : Sacrée Famille, Sacré Enfer
La famille, ce pilier de nos vies, est-elle toujours une bénédiction ou parfois un fardeau ? Dans cet article, explorez la déconstruction de la famille, ce processus libérateur qui brise les chaînes des attentes et des normes imposées. Et si la véritable liberté consistait à x réinventer loin des carcans familiaux ?
Depuis quelques années, la famille est devenue mon obsession. Une obsession douce-amère, fascinante, inextricable. Comme une mousse au chocolat bien fraîche, un plat de pizza quatre fromages dégoulinant de délices… ou plutôt de lourdeurs. Je me délecte des films, des livres, des podcasts qui explorent ce sujet. Je me plonge dans la dynamique familiale comme on plonge dans un labyrinthe, sans jamais chercher à en sortir. J’adore m’y perdre. Un peu comme un jeu, un défi lancé à moi-même : comment échapper à ce que la famille représente de plus sacré et de plus étouffant ?
Attention, je ne parle pas de l’amour que j’éprouve pour ma propre famille (ni pour la tienne d’ailleurs), mais plutôt de l’amour inconditionnel pour l’idée même de famille. Cette institution qui se perpétue comme un dogme, un modèle d’une époque révolue. À travers ma propre histoire, je tente de déconstruire tout ce que j’ai appris. Ma mère, schizophrène et aussi présente que le vent dans un champ désert, mon père aussi assidu qu’un prof de sport à 5 ans (1h par semaine, la cloche et c’est tout). Et mon frère ? Lui, il est resté figé en 1995. Une sorte de vestige de l’époque, qui a décidé de ne pas évoluer.
Bref, pas de quoi chanter l’hymne à la joie. Un portrait de famille tout sauf idyllique.
Mais là où ça devient intéressant, c’est quand je me pose cette question : est-ce que j’ai des défaillances, moi aussi ? Et la réponse est, bien sûr, un grand OUI. Je suis un cocktail de contradictions ambulant : à la fois Bouddha (sagesse, humilité, ouverture d’esprit) et Joker (anarchie, impulsivité, et un peu d’absurde pour pimenter le tout). Et je ne vais pas citer de figures féminines ici, même si, en tant que féministe, c’est un peu contre nature. Mais bon, passons.
Malgré tout, je regarde mes failles, je les accepte et je m’en nourris pour grandir. Ce que je n’ai pas trouvé dans ma famille, c’est un vrai travail de prise de conscience, un effort constant de s’améliorer. Moi, je m’efforce d’être une meilleure version de moi-même chaque jour, alors que pour eux, c’était plus une question de faire « comme il se doit ».
La famille : un labyrinthe à explorer
Pourquoi cette obsession, me demanderas-tu ? Pourquoi cette fascination pour quelque chose qui, dans mon histoire personnelle, n’a pas été synonyme de bonheur familial ou de sérénité ?
Parce que la famille, c’est un labyrinthe. Une entité complexe, mouvante, parfois toxique, mais toujours fascinante. La famille, c’est ce grand carrefour où se croisent notre identité, nos blessures, nos projections et nos rêves. C’est le terreau de nos croyances et, paradoxalement, l’endroit où la vérité crue peut émerger, si on prend le temps d’y regarder de près. Oui, c’est un terrain de jeu pour les psychanalystes, mais aussi pour les rebelles et les rêveurs.
Dans un monde qui valorise de plus en plus l’individualisme, la famille reste cette institution lourde, imposante, qui tente de nous forcer à nous conformer, à coller à une image. Et paradoxalement, c’est cette même famille qui nous pousse à une rébellion intérieure, si nous avons l’audace de nous en affranchir.
La déconstruction de la famille, c’est aussi déconstruire sa sacralisation
La famille est omniprésente. Elle nous touche tous, chacun à sa manière, et forme une toile de fond pour nos vies. C’est un thème universel, un point de départ pour tout échange humain : l’identité, l’histoire, l’héritage, les relations… La famille est, dans une certaine mesure, notre premier modèle social, psychologique, culturel.
Cependant, que se passe-t-il lorsque la famille devient un culte aveugle, un concept que l’on sacralise à tout prix, sans jamais remettre en question ce qu’elle nous apporte réellement ? Un culte de la loyauté, où la seule question qui vaille est : « Et la famille dans tout ça ? » Parce que, tu comprends, la famille, c’est sacré ! Mais sacré pourquoi ? Est-ce vraiment une sacralité légitime, ou simplement un produit de la société, des normes imposées par des générations qui n’ont pas osé briser le moule ?
La famille ne devrait-elle pas être un espace de soutien, de liberté, de bienveillance, un endroit où l’on peut se réinventer et s’épanouir ? Si la famille est censée nous soutenir, pourquoi est-elle souvent synonyme de pression, de dépendance, de non-dit et de culpabilité ?
La loi du silence et de la norme
Il ne s’agit pas seulement des enfants issus de milieux difficiles, mais aussi de ceux qui, à première vue, bénéficient de familles “normales” : une maison, un couple, des enfants. Et pourtant… c’est l’angoisse.
Tu vois, plus de 90 % des Français célèbrent Noël, un rassemblement familial par excellence, mais 50 % ressentent une forme d’anxiété quand il s’agit des retrouvailles. C’est le cas de beaucoup de personnes qui continuent à jouer le jeu, à suivre les traditions, parce que c’est ce qu’on attend d’eux. Un malaise qui, sans être nommé, est profondément ressenti.
Alors que se passe-t-il dans ce genre de situation ? Pourquoi continuons-nous à nous rendre à ces réunions familiales où la gêne, la pression, les non-dits dominent ? Parce que, inlassablement, on nous dit que la famille, c’est sacré, et que nous devons honorer ce sacré, quoi qu’il en coûte.
Le problème ne réside pas seulement dans la souffrance vécue pendant ces événements, mais dans cette loyauté passive envers des normes familiales qui ne correspondent plus à qui nous sommes, à ce que nous voulons être. À ce que nous avons appris à détruire.
Se libérer, c’est oser briser les chaînes
J’ai compris une chose en coupant les ponts : se libérer de la famille, c’est la plus grande liberté qu’on puisse s’offrir. C’est comme sortir de la matrice. C’est puissant. C’est jouissif. C’est même terrifiant au début, parce qu’il y a une perte de repères évidente. Le vide. L’angoisse de l’inconnu. Mais tout commence dans ce vide. Dans ce rien. Dans cette absence de repères figés.
Se libérer de sa famille, ce n’est pas une trahison. La déconstruction de la famille c’est une réinvention. Une réinvention de soi, une quête pour devenir enfin soi-même, sans les chaînes imposées par la lignée, sans la pression des attentes sociales ou familiales. C’est s’autoriser à créer sa propre famille, non pas celle du sang, mais celle du cœur. Une famille qui te nourrit, t’élève, qui te permet d’être pleinement toi, sans conditions.
Vivre pour plaire à sa famille, c’est se sacrifier. La déconstruction de la famille, ça passe aussi par réduire son existence à un rôle qu’on ne choisit pas. Mais vivre pour soi, c’est briser les chaînes, c’est choisir son propre chemin, même si cela signifie renoncer à ce qui est considéré comme « normal ».
Brise les normes, choisis ta famille de cœur
La famille peut être un espace d’amour, de soutien et de bienveillance, mais elle peut aussi être un carcan, une prison déguisée. Ce que je te propose, c’est de briser ce mythe. Choisir la famille qui te correspond vraiment, celle qui te permet de grandir et de t’épanouir, sans avoir à te conformer à des règles héritées.
Si tu sens que tu es pris dans une dynamique familiale étouffante, alors ose couper les ponts. Ose renoncer à cette image idéalisée de la famille. La liberté est là, dans cet acte de rébellion. La déconstruction de la famille est un acte puissant. Et si tu as besoin d’aide pour franchir ce pas, pour te libérer de ces chaînes, sache que je suis là pour t’accompagner à travers mes coachings.
Alors, le moment de déconstruire la famille est venu pour toi ?
La vraie question n’est pas de savoir si la famille est sacrée, mais si elle te permet d’exister pleinement. Si elle ne le fait pas, alors il est temps de t’en affranchir.
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Absolument croire que l’on s’aime pour que les autres nous valident, c’est se mentir à soi-même
Arrête absolument de chercher dans le regard des autres ce qui doit venir de toi. L’approbation extérieure n’est qu’un mirage, une illusion qui t’enferme dans une quête sans fin. Se libérer, c’est choisir de s’aimer sans conditions, sans validation, et sans compromis. Dans cet article, découvre pourquoi l’amour de soi est un acte radical, une révolution intérieure, et comment sortir du piège de la dépendance émotionnelle (croire que l’on s’aime) pour enfin reprendre ton pouvoir.
Arrête de te mentir. Croire que tu t’aimes parce que les autres t’approuvent n’est rien d’autre qu’une illusion de confort. C’est une quête d’approbation déguisée en quête de soi. Et c’est du bullshit. C’est un mirage qui te fait croire que l’amour de soi, c’est ce que l’extérieur te donne. Mais c’est faux. L’amour de soi n’est pas une marchandise à échanger contre un peu de validation extérieure. Si tu t’accroches à ça, tu restes coincé(e) dans une dépendance qui t’empêche de respirer.
L’amour de soi, ce n’est pas ce que les autres pensent de toi. Ce n’est pas une transaction. C’est un acte de souveraineté. Ce n’est pas “si tu m’aimes, alors je peux m’aimer.” C’est l’inverse. C’est “je m’aime, et peu importe ce que les autres en pensent.” Si tu t’es déjà laissé(e) enfermer dans cette quête d’approbation, tu sais exactement ce que ça fait. Croire que l’on s’aime, c’est épuisant. Et à la fin, tu n’es plus toi-même. T’as juste perdu le contrôle. Parce que la seule personne qui puisse valider ta valeur, c’est toi.
La validation extérieure : une prison qui ne fait qu’enfermer
Le problème avec cette quête de validation, c’est que tu te vois à travers les yeux des autres. Tu cherches à exister par leur regard, tu as besoin qu’ils te donnent une place dans leur monde, que leur approbation te dise que tu es bien, que tu es suffisant(e). Mais tu sais quoi ? C’est la pire des erreurs.
Tu sais ce qui arrive quand tu fais ça ? Tu deviens l’esclave de l’opinion publique. Tu t’enfermes dans une cage dorée. Et au lieu de t’aimer pour ce que tu es, tu commences à t’aimer pour ce qu’ils pensent de toi. Tu donnes ton pouvoir à des gens qui, la plupart du temps, ne se préoccupent même pas de toi. Leur regard est fuyant, incertain, et au final, insatisfaisant.
Ce n’est pas ça, l’amour de soi. L’amour de soi, c’est un choix radical. C’est choisir d’être toi, sans attendre que les autres te donnent leur aval. Si tu t’attends à ce que l’extérieur te valide pour te sentir bien, tu vis une vie de mensonge.
Le mythe de la validation : l’approbation des autres n’est pas ton métier
L’amour de soi ne devrait jamais être une quête pour plaire. Si tu cherches constamment à être vu(e), apprécié(e), validé(e) par les autres, tu es pris(e) dans un piège. C’est une spirale sans fin où tu finis par perdre tout contrôle. Tu cherches à obtenir l’amour là où il n’existe pas.
À chaque fois que tu attends que les autres te valident, tu délègues ton bonheur. Mais voilà, le bonheur, ça ne se délègue pas. Il doit venir de toi. L’amour de soi, ce n’est pas attendre qu’un autre te dise que tu es suffisant(e). C’est dire “je suis suffisant(e), même sans que tu me le dises.” L’amour de soi, c’est se donner la permission de ne pas dépendre de l’approbation des autres pour exister. Parce que, spoiler alert, l’autre ne peut pas te donner ce que tu n’as pas appris à te donner à toi-même.
La révolution de l’amour de soi, du “croire que l’on s’aime” : une liberté radicale
Se donner la permission de s’aimer sans conditions n’est pas un acte de soumission, c’est un acte de libération totale. C’est rompre les chaînes de l’influence extérieure, de l’approbation des autres. C’est une révolte. Une révolte contre la dépendance. Une révolte contre l’idée que pour être aimé(e), il faut être validé(e) par l’autre.
Le véritable amour de soi, ce n’est pas un acte d’esclave qui cherche à plaire à tout prix. C’est une déclaration de guerre contre ce qui te fait te sentir insuffisant(e). C’est te dire à toi-même que tu es suffisant(e), même sans le monde entier derrière toi.
Et si t’attends encore que les autres te valident…
Si tu es encore là, à attendre qu’on te dise que tu es digne, que tu es beau/belle, que tu es assez, tu te condamnes à vivre à moitié. Tu ne peux pas remplir le vide en toi avec les compliments des autres. Tu dois te remplir toi-même. Tu dois apprendre à te regarder et à te dire : “Je m’aime, peu importe si tu m’aimes ou pas.”
Comment rompre ce cycle de validation ?
- Prends conscience de ta dépendance à l’approbation. C’est le premier pas pour te libérer. Regarde dans quel domaine tu attends l’approbation des autres. Note-le. Et fais-en un point de rupture.
- Commence à t’accepter tel(le) que tu es. Arrête de chercher à changer ou à plaire pour mériter de l’amour. L’amour de soi, c’est accepter que tu sois imparfait(e), et ne pas chercher à le cacher.
- Ne te compare pas. À force de te comparer aux autres, tu oublies ce qui fait de toi une personne unique. Si tu veux grandir, arrête de mesurer ta valeur en fonction des autres. La seule personne qui peut te dire si tu es assez, c’est toi.
- Fais des choix qui nourrissent ton âme. Choisis de t’entourer de personnes qui te voient et t’acceptent pour ce que tu es, pas pour ce qu’elles aimeraient que tu sois.
- Fixe des limites. Si quelqu’un ou quelque chose te pousse à douter de toi, coupe les ponts. Ton amour de toi est plus important que n’importe quelle opinion extérieure.
Tu es prêt(e) à passer à l’étape suivante ?
Si tu veux vraiment te libérer de cette quête incessante de validation et t’aimer profondément, je suis là pour t’accompagner. Dans mes coachings personnalisés, je t’aide à retrouver ta souveraineté intérieure et à construire une vie qui te ressemble, sans attentes externes. Fini de faire croire que l’on s’aime, il est temps de le faire pour de vrai ! C’est le moment de briser les chaînes et de commencer à vivre pour toi, pas pour les autres.
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Comment guérir des blessures d’une mère narcissique ?
Aujourd’hui, j’aimerais aborder avec toi un sujet délicat mais tellement important ! Si tu te sens souvent inadéquate, si tu doutes constamment de toi, ou si tu as cette sensation récurrente de ne jamais être à la hauteur, il est possible qu’une mère narcissique soit à l’origine de ces ressentis. Le narcissisme pathologique d’une mère n’est pas, contrairement aux idées reçues, lié à un excès d’amour de soi – c’est paradoxalement l’inverse. Une mère perverse narcissique souffre d’une profonde insécurité qu’elle tente de combler à travers le contrôle et la maltraitance psychologique de ses enfants.
Cette relation toxique laisse des traces profondes : faible estime de soi, difficulté relationnelle, problèmes de confiance en soi. La prise de conscience de ces traits d’une mère narcissique est la première étape vers une nouvelle vie, souvent accompagnée d’un travail thérapeutique ou de coaching pour reconstruire son image de soi !
Mère narcissique : ces signes silencieux qui ne trompent pas
Une mère narcissique laisse des empreintes caractéristiques dans le quotidien, parfois difficiles à reconnaître quand on est sous son emprise ! Son trouble de la personnalité se manifeste à travers des dynamiques particulières.
Le monde tourne autour d’elle (ou égocentrisme maladif)
As-tu remarqué comme elle a cette capacité unique à ramener chaque conversation à elle ? Un peu comme si chaque conversation devenait un miroir de sa propre vie, et que la tienne n’était qu’une extension de la sienne.
Tu décroches une promotion ? Elle te parlera de sa carrière. Tu traverses une rupture ? Elle en profitera pour évoquer ses propres histoires d’amour. Tes accomplissements ou difficultés ne sont que des prétextes pour ramener l’attention sur elle.
L’amour conditionnel comme arme
Son affection fluctue selon ta capacité à répondre à ses attentes. Les “si tu m’aimais vraiment…” et “après tout ce que j’ai fait pour toi…” ne sont que la partie émergée de l’iceberg ! Ca crée une dynamique toxique où tu développes une hypervigilance émotionnelle, cherchant constamment son approbation au détriment de ton autonomie.
En réalité, c’est tout un système de récompenses et de punitions affectives qui se met en place dès ton plus jeune âge. Un jour, tu reçois une avalanche d’amour parce que tu as répondu à ses attentes. Le lendemain, c’est le désert émotionnel parce que tu as osé avoir un avis différent du sien. Cette instabilité crée une anxiété constante, te poussant à chercher désespérément son approbation. Tu deviens experte dans l’art de deviner ses attentes, de t’adapter à ses humeurs, de modifier ton comportement pour mériter son amour.
C’est épuisant et surtout, ça t’éloigne de qui tu es vraiment.
Le chantage affectif (oui mais sophistiqué !)
Une mère narcissique maîtrise l’art de la perversion narcissique à travers des manipulations subtiles. Au-delà des menaces directes, elle orchestre un ballet de comportements passif-agressifs : des soupirs appuyés face à tes choix, des regards chargés de reproches lors des repas de famille, des remarques en apparence anodines mais émotionnellement dévastatrices.
Le silence devient son arme de prédilection, utilisant le “boudage” comme prix à payer pour une prétendue offense. Son talent réside aussi dans sa capacité à créer des alliances toxiques, montant les membres de la famille les uns contre les autres, te laissant dans l’ombre et l’isolement.
Cette forme d’abus narcissique engendre une hypervigilance émotionnelle permanente : tu développes une responsabilité excessive à gérer ses humeurs, marchant sur des œufs, tentant perpétuellement d’anticiper et désamorcer les conflits avant qu’ils n’explosent, au détriment de ta propre santé mentale.
Grandir avec une mère narcissique génère des impacts profonds de développement
L’estime de soi fragilisée
Imagine-toi construire une maison sur des fondations instables. C’est exactement ce qui se passe avec ton estime personnelle quand tu grandis avec une mère narcissique.
Grandir sous l’emprise d’une narcissique maternelle façonne profondément la construction identitaire, semblable à un enfant roi privé de ses fondations émotionnelles. Cette personnalité narcissique parentale, souvent caractérisée par de mauvais comportements répétés, installe des troubles mentaux durables qui affectent l’estime personnelle jusque dans la vie d’adulte.
Les manifestations de cette mère toxique – entre déni systématique de tes accomplissements et pressions psychologiques constantes – s’accumulent, créant un sentiment d’inadéquation sociale profond. Cette relation malsaine engendre des symptômes caractéristiques : impossibilité de reconnaître ta propre valeur, tendance à remettre en question chaque chose, difficulté à développer une haute estime de soi, et manifestations fréquentes de honte ou de dépression.
La petite fille en manque de reconnaissance continue de chercher l’admiration impossible d’une mère aimante, créant un schéma où l’enfant victime doit perpétuellement prouver sa valeur. Prendre conscience de ces mécanismes constitue le premier pas vers la libération de cette parentalité narcissique et la reconstruction d’une relation saine avec soi-même.
Les schémas relationnels toxiques
Sans t’en rendre compte, tu as probablement intégré des patterns relationnels qui se répètent dans toutes tes relations importantes.
Tu peux avoir tendance à attirer des personnes qui, comme ta mère, ont des traits narcissiques. Ou alors, tu te retrouves systématiquement dans le rôle de l’aidante, celle qui prend soin des autres au détriment de ses propres besoins. Tu peux aussi avoir développé une hyper-indépendance, refusant toute forme d’aide par peur de la dépendance affective.
Dans tes relations amoureuses, tu recherches peut-être inconsciemment cette validation que tu n’as jamais reçue de ta mère, ce qui peut te conduire à accepter des comportements toxiques ou à t’accrocher à des relations insatisfaisantes.
Sors de ce schéma narcissique : construis ta propre identité !
Pose des limites saines
Ce n’est pas être une mauvaise fille que de protéger ton espace émotionnel. Au contraire, c’est un acte d’amour envers toi-même.
Voici quelques étapes pour y parvenir :
- Développer la capacité à dire non sans culpabilité, en étant foncièrement libre
- Établir des frontières claires entre vos vies
- Honorer tes besoins et ta propre échelle de valeurs
Construis ta propre identité
C’est le moment de te redécouvrir, de définir qui tu es vraiment, au-delà des projections maternelles. Cela passe par :
- Explorer tes désirs authentiques
- Renouer avec tes sentiments profonds
- Bâtir ton système de valeurs personnelles
Fais-toi aider si nécessaire !
Grandir avec une mère toxique manipulatrice laisse des empreintes profondes dans la psyché. Un accompagnement thérapeutique devient souvent nécessaire pour entamer un processus de guérison. Voici ce qu’un soutien professionnel peut t’apporter :
- Identifier les schémas du narcissisme maternel qui ont marqué ton développement et comprendre leur impact sur ta vie d’adulte
- Reconnaître et désamorcer les mécanismes de manipulation et de contrôle hérités de cette relation toxique
- Transformer les blessures d’attachement en force, en développant une meilleure compréhension de tes besoins émotionnels
- Reconstruire ton estime personnelle loin des projections narcissiques de ta mère, en nourrissant une relation plus saine avec toi-même. Apprends à être libre sans avoir à briller 24/7 !
- Apprendre à créer des liens authentiques et équilibrés, libérés des schémas toxiques de ton enfance
La thérapie ou le coaching offre un espace sécurisant pour explorer ces dynamiques complexes et entamer un véritable processus de guérison, à ton rythme et selon tes besoins. Tu vas trouver ta voie !
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Combien de temps pour se remettre d’une relation toxique ?
Ma belle, si tu es tombée sur cet article, c’est que tu cherches probablement à savoir combien de temps pour se remettre d’une relation toxique et que tu traverses probablement l’une des périodes les plus délicates de ta vie. Oublie tout de suite cette fameuse règle qui dit qu’il faudrait autant de temps que la durée de ta relation pour t’en remettre. C’est du pipeau ! La vérité, c’est qu’il n’existe pas de chronomètre universel pour panser les plaies d’une relation qui t’a détruite à petit feu.
Le chemin vers la guérison n’est pas une ligne droite avec un chronomètre. C’est plutôt comme une danse : parfois tu avances, parfois tu recules, mais chaque pas compte. Aujourd’hui, je vais t’accompagner dans la compréhension de ce processus, sans filtre et avec toute mon expertise de thérapeute.
Relation toxique : déconstruisons les mythes sur le temps de guérison
Parlons cash : il n’existe aucune formule magique pour calculer le temps nécessaire pour retrouver ton équilibre après une rupture !
Chaque personne vit différemment son deuil relationnel, tout comme les séquelles qu’elle garde de cette relation toxique. Dans le cadre de mon accompagnement professionnel, j’ai vu des gens se reconstruire petit à petit en quelques mois après une relation de 10 ans, et d’autres qui ont mis des années à se rétablir d’une relation amoureuse de quelques mois, tant l’impact psychique était important.
La vraie question n’est pas “combien de temps”, mais plutôt comment accueillir ta souffrance et développer une prise en charge adaptée pour guérir en profondeur de cet état de stress post-traumatique. Et ça, ma belle, ça demande un vrai travail sur toi-même, souvent avec le soutien bienveillant d’un psychologue ou d’un psychothérapeute, essentiel pour retrouver ton estime de toi et renouer avec une énergie positive.
Anatomie d’une relation toxique : comprendre pour mieux t’en libérer
Une relation toxique, c’est comme deux âmes blessées qui se rencontrent dans l’obscurité. L’une cherche à dominer pour masquer ses failles, l’autre accepte la domination parce qu’elle ne connaît que ça ou qu’elle ne pense pas mériter mieux. Dans tous les cas, c’est un sacré cercle vicieux où chacun joue un rôle dicté par ses blessures profondes.
D’ailleurs, voici quelques manifestations courantes de la violence psychologique et mentale propre à une relation malsaine :
- Le contrôle insidieux de tes faits et gestes par ton/ta partenaire toxique
- La manipulation affective constante, une forme de violence conjugale
- L’alternance entre moments de tendresse intense et périodes de rejet brutal, typique du pervers narcissique
- L’isolement progressif des membres de la famille et du cercle social
- La dévalorisation systématique impactant l’estime de soi et l’image de soi
Plus la relation dure, plus tu perds tes repères. Tu finis par douter de ton jugement, de ta valeur, de ta capacité même à vivre sans cette personne. C’est ce qu’on appelle la dépendance émotionnelle, et c’est un piège redoutable dont il faut absolument prendre conscience.
Combien de temps pour se remettre d’une relation toxique : les étapes réelles
Le choc initial et la prise de conscience
Cette première phase est souvent la plus déstabilisante. C’est le moment où tu réalises pleinement l’ampleur des dégâts. Tu peux ressentir un mélange de colère, de honte, de tristesse et de soulagement. Cette phase peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
L’acceptation de ta part de responsabilité
Attention, je ne parle pas de culpabilité, même si je sais que la limite reste mince dans la perception commune. Non, moi je te parle de comprendre pourquoi et comment tu as permis à cette situation de s’installer. C’est une étape délicate mais essentielle pour éviter de reproduire les mêmes schémas.
La guérison des blessures d’enfance
Les relations toxiques s’enracinent souvent dans nos traumas d’enfance. As-tu grandi dans un environnement où :
- Ton opinion n’était jamais prise en compte ?
- Tu devais être parfaite pour être aimée ?
- L’amour était conditionnel ?
- Tu as vécu l’abandon ou le rejet ?
Ma belle, ces expériences précoces ont façonné ta vision de l’amour et tes limites. Les identifier, c’est commencer à les guérir. Tu arriveras de mieux en mieux à prendre de la distance avec ce que tu as vécu, pour te protéger.
Le travail d’émancipation féminine
Notre société a longtemps conditionné les femmes à se placer en position d’infériorité. Cette dynamique toxique se retrouve souvent dans nos relations amoureuses. Il est temps de reprendre ton pouvoir et ta juste place, la clé de ton épanouissement personnel.
Je veux me reconstruire après ma relation toxique mais j’ai besoin d’aide
Solliciter de l’aide est l’une des clés ! Mais avant ça, sache que tu vas passer par une période de sevrage émotionnel (tu es peut-être déjà en plein dedans). Cette période est cruciale.
Comme pour une addiction, ton cerveau doit réapprendre à fonctionner sans les montagnes russes émotionnelles de la relation toxique.
Certaines études disent que ça peut prendre de 3 à 6 mois, mais tu connais mon point de vue sur la question… 😉
Phase 2 ? La reconnexion à soi ! Autrement dit, c’est le moment de :
- Redécouvrir tes envies et tes besoins
- Réapprendre à te faire confiance
- Reconstruire ton identité propre
Ça t’amènera progressivement vers le développement de nouvelles compétences relationnelles. L’idée est de tirer profit de cette période pour apprendre à poser des limites saines, communiquer tes besoins clairement et reconnaître les signaux d’alarme dans une relation. Ce travail est le fruit d’une écoute active de tes besoins et d’un travail sur toi mené avec un thérapeute spécialisé.
Culpabilisation, relation tampon : les pièges à éviter après une relation toxique
Une nouvelle relation, tu en as vraiment besoin ?
Mon conseil numéro 1, le plus essentiel selon moi, est de ne SURTOUT pas te jeter dans les bras du premier ou de la première venu(e) pour oublier. C’est le meilleur moyen de retomber dans des schémas toxiques. Prends le temps d’être seule, d’apprivoiser ta solitude et de te reconnecter à toi-même car c’est la seule façon de mobiliser tes ressources à des fins de guérison.
Vouloir aller trop vite, c’est risquer de passer à côté d’apprentissages essentiels. La guérison a son propre rythme, ne l’oublie pas.
La culpabilisation excessive
Oui, tu as ta part de responsabilité, mais tu n’es pas coupable de la toxicité de l’autre. Ne confonds pas les deux. Ton travail à toi, c’est d’être en phase avec la situation réellement vécue et non pas seulement perçue et de travailler à identifier quels traumas d’enfance ou d’adolescence ont permis à la relation toxique d’être tolérée et de s’installer.
Quels sont les signes pour savoir si je me suis remise d’une relation toxique ?
Tu sauras que tu es sur la bonne voie quand :
- Tu ne ressens plus le besoin de stalker ton ex sur les réseaux
- Tu peux parler de cette relation sans émotion excessive
- Tu as identifié tes schémas toxiques et travaillé dessus
- Tu te sens capable de dire non et de poser des limites
- Tu as retrouvé confiance en ton jugement et en ta valeur personnelle
Je t’aide à y voir plus clair !
Si tu traverses cette épreuve maintenant, sache que tu n’es pas seule. La guérison est possible, et elle mérite tout le temps nécessaire. Si tu sens que tu as besoin d’aide pour avancer, n’hésite pas à faire appel à un professionnel. Parfois, un regard extérieur bienveillant peut faire toute la différence.
Je suis là pour t’accompagner dans ce processus de guérison, pour t’aider à transformer ces blessures en force. Ensemble, nous pouvons travailler à ta reconstruction et t’aider à retrouver ta lumière intérieure. Souviens-toi : ce n’est pas la vitesse qui compte, mais la profondeur de ta guérison. Car c’est cette profondeur qui conditionnera tout le reste de ta vie.
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La parentification et ses conséquences à l’âge adulte (et les solutions pour t’en libérer)
Ma belle, si aujourd’hui tu as l’impression de porter le monde sur tes épaules et que tu te retrouves dans ce rôle de “sauveuse” qui t’épuise… parlons de parentification. Cette inversion des rôles vécue dans ton environnement familial, où petite tu as dû assumer des responsabilités parentales, continue d’impacter ta santé mentale d’adulte.
La vérité qui dérange ? Ce comportement d’adulte que tu as développé si jeune, cette parentification émotionnelle qui t’a volé ton insouciance, explique pourquoi tu continues de materner tout ton entourage aujourd’hui.
Dans mon cabinet, je vois défiler des femmes extraordinaires, marquées par ce processus de parentification, qui s’épuisent à prendre en charge les émotions des autres sans arriver à prendre de la distance pour se protéger. Elles sont vidées par cette pression émotionnelle constante, mais persistent à vouloir sauver tout le monde. Si tu te reconnais là-dedans, sache que ce n’est pas de ta faute – c’est l’impact d’une situation familiale dysfonctionnelle. Il existe un chemin vers la guérison, et aujourd’hui, on va mettre des mots sur ce qui t’empêche de vivre pleinement. Il est temps, non ?
Le cercle vicieux de la parentification : de l’enfance à l’âge adulte
La parentification, c’est un processus psychologique où un jeune enfant se retrouve à assumer un rôle parental au sein de la famille, créant une dynamique familiale dysfonctionnelle. Imagine une petite fille de 8 ans qui doit consoler sa mère en pleurs, gérer les factures parce que papa n’est pas en état, ou s’occuper de ses petits frères et sœurs comme si elle était leur mère. Ça te parle ? Cette situation familiale où l’enfant parentifié doit soutenir ses propres parents conduit à une responsabilisation précoce, au détriment de son développement émotionnel et psychologique. Un peu comme un burnout familial, en fait.
Ca crée des blessures profondes qui continuent de te pourrir la vie aujourd’hui !
Dans mon cabinet, je reçois régulièrement des femmes qui, à 30 ou 40 ans, continuent de porter ce fardeau. Elles sont devenues des “expertes” pour prendre soin des autres, mais sont incapables de s’occuper d’elles-mêmes. Et devine quoi ? Ce n’est pas un hasard !
Les symptômes de la parentification qui ne trompent pas
Les signes de parentification qui révèlent cette problématique :
- Un sentiment de responsabilité excessive face au bien-être familial
- L’incapacité à établir des limites malgré l’épuisement
- Une tendance à satisfaire systématiquement les besoins d’autrui
- Un profond sentiment de culpabilité lors des moments d’attention à soi
- Des difficultés relationnelles et une dépendance affective (or, tu dois avoir confiance en toi !)
Cette surcharge de responsabilités dans le système familial produit des conséquences de la parentification qui persistent jusqu’à l’âge adulte. Les victimes, comme toi, développent souvent une faible estime de soi, des problèmes d’attachement et un risque accru de dépression et d’anxiété chronique ! La guérison nécessite souvent un soutien psychologique professionnel, à travers une thérapie familiale, un coaching ou une approche thérapeutique spécifique, pour permettre la libération émotionnelle et la réparation des relations interpersonnelles.
Les impacts ravageurs de la parentification sur ta vie d’adulte
Quand la parentification s’installe, elle devient une seconde nature. Tu deviens cette femme qui :
- Gère la paperasse de son copain “parce qu’il est débordé
- Court chez sa meilleure amie dès qu’elle a un coup de mou pour s’occuper de sa maison ou de ses enfants
- Se sent obligée de résoudre les problèmes de tout le monde
- Oublie complètement ses propres besoins
Le prix à payer pour ton corps et ton esprit ? Il est cher ! Ton corps tire ou va tirer à un moment donné la sonnette d’alarme : stress chronique, fatigue intense, troubles du sommeil… Le cortisol, l’hormone du stress, devient ton meilleur ennemi. C’est comme si tu courais un marathon sans fin, et ton corps te hurle “STOP !” mais tu continues quand même. Alors ok, il ne s’agit pas d’être dans l’hyper-indépendance non plus, mais il y a peut-être un juste milieu à trouver, tu ne penses pas ?
Le perfectionnisme toxique : ton meilleur allié devenu poison
Ce besoin de tout contrôler, d’être parfaite dans ton rôle de “sauveuse”, te pousse à des extrêmes. Tu te fixes des standards impossibles à atteindre, et chaque “échec” devient une preuve supplémentaire que tu n’en fais pas assez. C’est un cercle vicieux épuisant qui te vide de ton énergie.
Les relations toxiques : le piège de la reproduction
Sans t’en rendre compte, tu attires des personnes qui ont besoin d’être “sauvées”. Ton couple ? Souvent avec quelqu’un qui a besoin d’aide. Tes amis ? Des personnes qui comptent sur toi pour gérer leurs problèmes. C’est comme si tu reproduisais inconsciemment le schéma de ton enfance.
Libère-toi de ce fardeau : vis ta vie d’adulte pour toi et pas pour les autres
L’hypnose : un outil pour reprogrammer ton cerveau
L’hypnose thérapeutique est particulièrement efficace pour traiter les blessures de la parentification. Elle permet d’accéder à cette petite fille en toi qui a dû grandir trop vite et de lui rendre son enfance. C’est comme si tu pouvais enfin déposer ce sac à dos trop lourd que tu portes depuis des années.
Apprends à poser des limites sans culpabilité
La culpabilité, c’est ton ennemi numéro un. Mais imagine pouvoir dire “non” sans te sentir comme la pire personne au monde ? C’est possible ! Il s’agit d’apprendre à reconnaître ce qui t’appartient vraiment et ce qui appartient aux autres.
Retrouve ton identité au-delà du rôle de sauveuse : tu es qui, au juste ?
Tu n’es pas qu’une épaule sur laquelle pleurer ou une solution aux problèmes des autres. Tu es une femme complète, avec ses propres désirs, ses rêves et ses besoins. Il est temps de te redécouvrir, de t’autoriser à être imparfaite et de vivre pour toi.
Reconstruis des relations saines !
Apprendre à créer des relations équilibrées, où tu n’es pas la seule à donner, c’est possible. Cela commence par reconnaître ta valeur au-delà de ce que tu fais pour les autres. Tu mérites d’être aimée pour qui tu es, pas pour ce que tu donnes.
OUI, tu peux changer (n’en doute pas)
Le chemin vers la guérison demande du courage, mais tu n’es pas seule. En tant que thérapeute, j’ai vu de nombreuses femmes se libérer de ce schéma toxique et retrouver leur joie de vivre. L’hypnose, combinée à un accompagnement personnalisé, peut t’aider à réécrire ton histoire.
N’attends plus pour te libérer de ce fardeau qui n’aurait jamais dû être le tien. Tu as le droit de vivre ta vie, de respirer, de t’épanouir sans porter la responsabilité du monde entier sur tes épaules. La petite fille en toi mérite enfin de se reposer, et la femme que tu es aujourd’hui mérite d’être libre.
Prête à commencer ce voyage vers ta liberté ? Je suis là pour t’accompagner dans cette transformation. Ensemble, nous pouvons briser ces chaînes invisibles qui te retiennent prisonnière de ton passé. Tu as déjà fait le premier pas en prenant conscience de cette situation. Maintenant, il est temps d’agir pour toi.
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Ce qui change après la mort des parents : un chemin vers une nouvelle identité
La mort d’un parent, que ce soit ta mère ou ton père, c’est un événement qui secoue ta vie comme un tremblement de terre. Un peu comme une enclume sur la tête d’un personnage de dessin animé ! Sauf que là, c’est ta vraie vie. D’un coup, tu passes de l’enfance à l’âge adulte, même si tu as déjà 40 ans. C’est une étape qui bouleverse tout : tes émotions, ta place dans la famille, et même ton identité. Tu te retrouves à gérer un tas de choses : la succession, peut-être un testament, des démarches administratives… Mais au-delà de ça, c’est surtout un choc émotionnel. Le chagrin, la tristesse, la solitude à apprivoiser et parfois même un sentiment d’abandon. Pourtant, aussi dur que ça puisse paraître, cette expérience peut être le début d’un sacré voyage intérieur. Prête à explorer ce qui change vraiment après la disparition de tes parents ?
Le grand bouleversement : quand ton monde perd un pilier
Perdre un parent, c’est comme si on te retirait soudainement le sol sous les pieds. D’un coup, tu te retrouves à flotter dans un espace inconnu. C’est normal de se sentir perdue, désorientée. Mais c’est aussi le début d’un processus de transformation profonde.
Le choc initial : quand la réalité frappe
Les premiers jours après le décès sont souvent flous. Tu as l’impression d’être dans un mauvais rêve dont tu ne peux pas te réveiller. C’est le choc, ma belle. Ton cerveau essaie de comprendre ce qui se passe. Ne lutte pas contre ça. Laisse-toi le temps d’assimiler la nouvelle.
La perte de cette personne, qu’il s’agisse de ta mère ou de ton père, te plonge dans une douleur indescriptible. C’est comme si une partie de toi était arrachée. Tu te retrouves confrontée à une situation complètement différente, où tu dois gérer un tas de choses : l’annonce du décès, les démarches administratives, peut-être même la succession.
Dans ce moment de grande vulnérabilité, n’hésite pas à chercher du soutien. Que ce soit auprès de ta famille, d’amis ou d’une association spécialisée dans l’accompagnement des personnes endeuillées. Exprimer ta peine est crucial pour commencer à surmonter cette épreuve. Rappelle-toi, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de vivre ce choc. Chaque personne réagit différemment face à la mort d’un proche.
Le tourbillon des démarches : quand la paperasse s’en mêle
Malheureusement, la mort vient avec son lot de paperasse. Certificat de décès, déclaration aux administrations, organisation des obsèques… C’est comme si le monde te disait “Hé, je sais que tu souffres, mais faut quand même remplir ces formulaires !”. C’est dur, mais ça peut aussi t’aider à rester ancrée dans la réalité.
Le grand déballage émotionnel : bienvenue dans ton héritage familial !
Alors voilà, on va commencer par une vérité qui dérange : la plupart de nos problèmes d’adultes viennent directement de notre famille. Surprenant, non ? Pourtant c’est la réalité. Toutes ces petites voix dans ta tête qui te disent que tu n’es pas assez ci ou pas assez ça, ces peurs qui te paralysent, ces blocages qui t’empêchent d’avancer… Devine d’où ça vient ? Bingo, de ta famille !
Les bagages émotionnels : ce que tu as hérité sans le savoir
Tu sais, on ne naît pas avec une ardoise vierge. On hérite de tout un tas de trucs de nos parents et même de nos ancêtres. Des croyances limitantes, des peurs, des blocages, des traumas… C’est comme si on te donnait un sac à dos plein de cailloux dès ta naissance. Et parfois, on porte ça toute notre vie sans même s’en rendre compte.
D’ailleurs, tu ne portes pas seulement tes propres blessures et celles de tes parents. Non non, c’est bien pire que ça. En réalité, tu es chargée des traumas de 5 générations ! Oui, 5 générations de blessures, de peurs et de croyances limitantes. Il y a de quoi flipper et ressasser le passé.
Et le pire dans tout ça ? C’est qu’on nous a tellement répété que “la famille c’est sacré” qu’on finit par croire que c’est normal de porter toute cette émotionnelle. On s’accroche (parfois) à nos parents comme à une bouée de sauvetage, alors qu’en réalité, ce sont eux qui nous tirent vers le fond sans vraiment le vouloir. Bien sûr, chaque famille apporte aussi son lot de joies ! Mais c’est important de comprendre toute la complexité de la relation qui nous lie à eux.
Quand les cartes sont rebattues…
La mort (décès, disparition) d’un parent, c’est comme si on vidait ce sac à dos sur la table. Soudain, tu vois tout ce que tu as porté pendant des années. C’est le moment de faire le tri.
Qu’est-ce qui t’appartient vraiment ? Qu’est-ce qui vient de tes parents ou même de tes grands-parents ? Malgré la douleur intense de cette perte, c’est une période charnière qui permet de se réapproprier son histoire, son quotidien et de surmonter certains sentiments négatifs hérités comme la culpabilité. Il est temps de laisser le passé… dans le passé.
Le processus de guérison : accepter et avancer
Le deuil n’est pas un processus linéaire. Il y aura des hauts et des bas, des jours où tu te sentiras forte et d’autres où tu auras l’impression de revenir à la case départ.
Le temps : ton meilleur allié
On dit que le temps guérit toutes les blessures. Ce n’est pas tout à fait vrai, mais il aide. Donne-toi le temps dont tu as besoin pour faire ton deuil. Il n’y a pas de délai “normal”. C’est un chemin personnel que chaque enfant endeuillé parcourt à son rythme. Ne te mets pas la pression pour “surmonter” ta peine selon un calendrier préétabli.
Au fil des mois, tu verras que la douleur aiguë s’estompe peu à peu. Les souvenirs du défunt, qu’il s’agisse de ta mère ou de ton père, prendront une forme différente. Tu apprendras à vivre avec cette absence, à protéger les moments précieux partagés ensemble. N’hésite pas à exprimer tes émotions, que ce soit la tristesse, la colère ou même la culpabilité. C’est normal et ça fait partie du processus. Si tu sens que ça devient trop lourd, n’aie pas peur de chercher de l’aide psychologique. La dépression peut parfois s’immiscer sournoisement.
La famille : nouvelles dynamiques
Sans tes parents pour jouer les arbitres ou les médiateurs, les relations familiales peuvent changer. C’est l’occasion de créer de nouveaux liens, plus authentiques, avec tes frères et sœurs ou tes autres proches.
Les amitiés : qui est vraiment là pour toi ?
Tu vas rapidement voir qui, dans ton groupe d’amis, est prêt à te soutenir réellement dans cette épreuve. Certains seront là pour t’épauler, t’offrir un soutien familial, t’aider à organiser les choses pratiques comme contacter le notaire ou gérer les papiers pour la pension de réversion.
D’autres, au contraire, vont peut-être prendre leurs distances. C’est dur à accepter, mais c’est aussi une opportunité de faire le tri. Tu as besoin d’être entourée de personnes qui respectent ton deuil, qui comprennent que tu traverses une période spéciale.
N’hésite pas à communiquer tes besoins. Certains amis ne savent tout simplement pas comment réagir face à une personne endeuillée. Ils ont peut-être peur de dire ou faire quelque chose de déplacé. Un petit conseil peut les aider à mieux te soutenir.
La redéfinition de soi : qui suis-je sans mes parents ?
Que ce soit auprès d’amis, de la famille ou d’un professionnel, n’hésite pas à demander de l’aide. Tu n’as pas à traverser ça toute seule.
La mort d’un parent, c’est un sacré chamboulement. Ça peut être douloureux, effrayant, déstabilisant. Mais ça peut aussi être le début d’un voyage incroyable vers une version plus authentique de toi-même. C’est l’occasion de te libérer de certains schémas familiaux qui ne te conviennent plus, de redéfinir qui tu es et ce que tu veux vraiment dans la vie.
Alors oui, c’est dur. Oui, ça fait mal. Mais tu es plus forte que tu ne le penses. Cette épreuve peut te révéler des ressources que tu ne soupçonnais même pas. Et au bout du compte, tu pourrais bien découvrir une version de toi-même plus libre, plus authentique, plus épanouie et qui n’a plus peur du changement.
N’oublie pas : tu n’es pas seule dans cette aventure. Si tu as besoin d’aide pour naviguer dans ces eaux tumultueuses, n’hésite pas à me contacter. Ensemble, nous pouvons travailler sur ce processus de transformation, t’aider à faire le tri dans cet héritage émotionnel et t’accompagner vers cette nouvelle version de toi-même.
Prends soin de toi, donne-toi le temps et l’espace dont tu as besoin pour vivre ce processus. Et rappelle-toi : même dans les moments les plus sombres, il y a toujours une lumière au bout du tunnel. Tu vas y arriver, ma belle.
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Comment s’aimer soi-même : de quoi devenir ta meilleure alliée et cultiver l’amour propre
Salut ma belle ! Alors comme ça, tu te demandes comment s’aimer soi-même et développer une meilleure estime de soi ? T’es pas la seule, crois-moi. C’est un peu le Saint Graal de l’épanouissement personnel. Mais attention, pas de recette miracle ici ! S’aimer, ça se travaille et ça prend du temps. Ça demande d’accepter ses défauts, de cultiver la pensée positive et la compassion envers soi, sans angoisse. Mais ne t’inquiète pas, je vais te donner tous les conseils pour y arriver. Prête pour un voyage au cœur de toi-même et mieux te connaître ? S’aimer soi-même signifie reconnaître sa propre valeur et ses talents, laisser de côté le juge intérieur négatif. C’est la base pour créer une vie qui vous ressemble et ressentir la satisfaction.
Le respect de soi : la base de tout (et la clé du développement personnel)
Avant de parler d’amour, parlons respect. C’est comme la fondation solide d’une maison. Sans cette base, tout l’édifice de l’estime de soi s’écroule.
Le respect de soi, qu’est-ce que c’est concrètement ? C’est savoir dire non quand c’est nécessaire. C’est agir en accord avec tes valeurs, tes choix de vie plutôt que par peur du jugement d’autrui. C’est reconnaître tes compétences, tes qualités, au lieu de constamment te critiquer et te dévaloriser.
Tu vois, on peut faire une analogie avec un arbre. Le respect de soi, ce sont les racines profondes et robustes. L’amour de soi, c’est le tronc épais et fort. Et la confiance en soi, ce sont les belles feuilles vertes qui s’épanouissent au sommet. Mais sans des racines du respect bien ancrées, l’arbre de l’estime ne pourra jamais tenir debout face aux tempêtes.
Alors, comment développer ce respect fondamental envers toi-même ? On commence par apprendre à dire “non” quand c’est dans ton meilleur intérêt. “Non, je ne viendrai pas à ta soirée, j’ai besoin de repos.” À chaque fois que tu affirmes tes besoins, ton inconscient intègre ce message : je prends soin de moi, je me respecte.
Un autre excellent exercice ? Faire la liste de tout ce que tu fais bien, de tes forces, tes talents. Je sais, on a tendance à minimiser nos compétences. C’est plus facile de se dévaloriser ! Mais prendre conscience de ta vraie valeur est essentiel pour s’aimer et apprivoiser les moments seule. Alors n’aie pas peur de reconnaître tes atouts ! Tu es une personne incroyable et forte, n’en doute pas.
L’amour de soi : un voyage, pas une destination
Maintenant, parlons amour de soi. Oublie les “5 astuces pour s’aimer” qu’on voit partout. C’est du pipeau et ça ne fonctionnera pas sur le long terme.
L’amour de soi se révèle vraiment dans les difficultés de la vie. C’est facile de s’aimer quand tout va bien – quand tu es entourée, épanouie, que ta vie semble parfaite. Mais les vrais tests arrivent quand tu te fais larguer, virer de ton travail, ou que tu perds un être cher. Là, cultiver l’amour de soi devient un véritable défi, mais aussi une opportunité de grandir.
L’amour de soi, c’est être ta meilleure amie, ta principale alliée, dans les moments les plus sombres. C’est presque comme te faire l’amour à toi-même, avec autant de douceur, de compréhension et de bienveillance que pour la personne la plus importante. Une connexion profonde et inconditionnelle avec toi-même. Ça peut sembler étrange dit comme ça, mais c’est cette relation à soi qui importe.
C’est en traversant les tempêtes de l’existence que tu réalises à quel point tu es forte, résiliente et exceptionnelle. Alors n’évite pas, ne fuis pas les moments douloureux. Accueille-les comme des enseignants précieux sur le chemin de l’amour propre. Laisse-toi vivre pleinement ces épreuves au lieu de les repousser. C’est là, dans l’adversité, que tu vas vraiment apprendre à t’aimer sans condition, à devenir ta meilleure amie pour la vie.
Déconstruire pour mieux se reconstruire
Tu sais quoi ? Les gens qui manquent le plus d’amour pour eux-mêmes sont souvent ceux qui ont eu une vie trop lisse en apparence. Ils n’ont pas eu l’opportunité de vraiment se remettre en question, de se découvrir pleinement avec leurs forces et leurs faiblesses.
C’est pour ça qu’un coaching ou une thérapie peut être super utile sur le chemin de l’estime de soi. L’objectif ? Déconstruire ton passé, analyser tes blessures et conditionnements pour mieux comprendre qui tu es au-delà de ces schémas limitants. Et ensuite, passer à l’action concrète en phase avec la personne incroyable et résiliente que tu es au plus profond.
On va prendre le temps d’identifier les croyances négatives, les jugements douloureux que tu as intériorisés, notamment dans la petite enfance. Ce travail d’introspection peut faire peur, réveiller des émotions difficiles. Mais c’est aussi tellement libérateur de se débarrasser de ces vieux fardeaux !
La clé est d’accueillir ces prises de conscience avec compassion, sans te juger. De laisser remonter à la surface ces parts blessées de l’enfant intérieur, pour les apaiser et les réintégrer. C’est un cheminement vers la connaissance et l’acceptation de soi dans ta plénitude.
Au fur et à mesure, tu pourras déconstruire ces schémas limitants pour mieux recréer une image positive de toi. Une personnalité autonome et affirmée, en phase avec tes vrais besoins, tes vrais désirs. Et ainsi créer une vie qui te ressemble vraiment, loin des injonctions toxiques du passé.
Les étapes concrètes pour apprendre à s’aimer
1. Fais connaissance avec toi-même
Avant de t’aimer, il faut que tu te connaisses. C’est comme dans une relation amoureuse. Tu ne tombes pas amoureuse d’un mec ou d’une nana sans le/la connaître, non ? Alors, prends le temps de t’observer. Tiens un journal intime. Note tes pensées, tes émotions. Observe tes réactions face aux situations du quotidien. C’est comme ça que tu vas apprendre à te connaître vraiment.
Et n’oublie pas : tu es unique. Il n’y a personne comme toi sur cette planète. C’est pas dingue ça ?
2. Accepte-toi telle que tu es
Maintenant que tu te connais mieux, il faut que tu t’acceptes. Avec tes qualités ET tes défauts. Oui, même ce petit bouton sur le nez que tu détestes tant. Tu sais, la perfection n’existe pas. On est toutes imparfaites, et c’est ça qui fait notre charme. Alors arrête de te comparer aux autres.
Tu es toi, point barre.
Fais cet exercice : devant ton miroir, dis-toi une chose que tu aimes chez toi chaque jour. Au début, ça peut être dur. Mais petit à petit, tu vas voir, ça deviendra naturel.
3. Prends soin de toi
S’aimer, c’est aussi prendre soin de soi. De son corps, de son esprit, de ses émotions.
Pour ton corps, mange sainement, bouge, va à la piscine, dors suffisamment. Pour ton esprit, médite, lis, apprends de nouvelles choses. Pour tes émotions, exprime-les, ne les refoule pas. Et n’oublie pas de te faire plaisir ! Un bon bain chaud, une séance de shopping, une danse endiablée dans ton salon… Tout ce qui te fait du bien est bon à prendre.
4. Apprends à dire non
On en a déjà parlé, mais c’est tellement important que je le répète. Dire non, c’est se respecter. C’est mettre des limites.
Au début, ça peut être difficile. Tu as peur de décevoir, de blesser. Mais rappelle-toi : ta santé mentale passe avant tout. Les gens qui t’aiment vraiment comprendront. Commence doucement. Dis non à une sortie quand tu es fatiguée. Dis non à un projet qui ne te plaît pas. Tu verras, c’est libérateur !
5. Célèbre tes victoires
On a tendance à se concentrer sur nos échecs, nos erreurs. Mais que fais-tu de tes victoires ? Même les petites ?
Chaque soir, note trois choses positives que tu as accomplies dans la journée. Ça peut être aussi simple que “J’ai fait mon lit ce matin” ou “J’ai souri à un inconnu dans la rue”. En faisant ça, tu vas développer une attitude plus positive envers toi-même. Tu vas voir, ça change tout !
6. Entoure-toi de personnes positives
Tu connais l’expression “Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es” ? Eh bien, c’est vrai. Les gens qui t’entourent ont une énorme influence sur toi.
Alors, fais le tri. Garde près de toi les personnes qui te soutiennent, qui t’encouragent. Éloigne-toi de celles qui te rabaissent ou qui te font douter de toi. C’est parfois difficile, surtout quand il s’agit de la famille. Mais rappelle-toi : tu mérites d’être entourée de gens qui croient en toi.
L’amour de soi : un travail de tous les jours
Tu l’as compris, s’aimer soi-même, c’est un processus qui demande un engagement au quotidien. Ça ne se fait pas du jour au lendemain. Il y aura des hauts et des bas, c’est la réalité du chemin. Des jours où tu te sentiras forte, épanouie, la reine du monde. Et d’autres où les vieux schémas négatifs et le manque de confiance referont surface, où tu douteras de ta valeur.
Mais ne baisse pas les bras dans ces moments de remise en question. Chaque petit geste d’amour-propre compte, comme une pierre sur le chemin. Chaque fois que tu te respectes, que tu prends soin de toi physiquement et émotionnellement, que tu célèbres tes forces au lieu de les critiquer, tu avances.
Tiens un journal pour prendre conscience de tes progrès. Médite pour apaiser ta voix intérieure sévère. Pratique des affirmations positives pour renforcer ton estime de toi. Car plus tu cultiveras cet amour inconditionnel pour toi-même, plus ta vie changera du tout au tout.
Alors, ma belle, es-tu prête à commencer ce voyage et surmonter ta peur du changement ? À devenir ta meilleure amie, ta plus grande supportrice ? Je sais que tu en es capable. Tu as en toi tout ce qu’il faut pour t’aimer pleinement. Et si tu as besoin d’aide sur ce chemin, n’hésite pas. Un coaching peut vraiment faire la différence. Ensemble, on peut déconstruire tes vieilles croyances, guérir tes blessures, et t’aider à devenir la meilleure version de toi-même.
Rappelle-toi : tu es unique, tu es précieuse, tu mérites d’être aimée. Mais la première personne qui doit t’aimer, c’est toi.
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Burn-out familial : quand ta famille te vide de ton énergie
Salut ma belle ! Aujourd’hui, on va parler d’un truc qui peut vraiment te pourrir la vie : le burn-out familial. Tu sais, ce moment où ta famille, censée être ton havre de paix, devient en fait ta plus grande source de stress ? Oui, ça existe, et c’est bien plus fréquent qu’on ne le pense. Alors, prends une grande respiration, et parlons ensemble dans ce sujet qui mérite vraiment qu’on s’y attarde.
Qu’est-ce que le burn-out familial, au juste ?
Imagine-toi une seconde. Tu te réveilles le matin, et boom, tu te sens déjà épuisée. Tu as dormi 10 heures, mais c’est comme si tu n’avais pas fermé l’œil. Le quotidien te semble fade, sans saveur. Tu as l’impression de vivre ta vie en pilote automatique, submergée par les “il faut” et les “tu dois”. C’est ça, le burn-out familial.
C’est comme une mort intérieure. Tes émotions ? Aux abonnés absents. Tes joies ? Envolées. Tu traverses ta vie comme un zombie, entourée de principes, d’échéances, de croyances et d’obligations. Mais au fond, tu n’es pas libre. Tu te sens piégée dans une cage dorée, construite par les attentes de ta famille et de la société.
Le burn-out familial, c’est quand la pression familiale devient trop forte. Quand les injonctions de tes parents, de tes frères et sœurs, de tout ton entourage, t’étouffent. Tu ne sais plus quelle est TA ligne conductrice, TES désirs, TES aspirations. Tu vis pour satisfaire les autres, pas pour toi.
Les signes qui ne trompent pas : comment reconnaître le burn-out familial
La joie, ce précieux indicateur
La joie, c’est comme un joli curseur. Quand y’a de la joie, on peut se dire que ça va. Mais quand la joie se fait la malle, c’est que quelque chose cloche sérieusement. Quand on n’en voit plus la couleur, qu’on se sent épuisée en permanence, là, on peut se dire qu’il y a un burn-out qui se cache quelque part derrière.
C’est important de comprendre ça, ma belle.
La joie n’est pas un luxe, c’est un besoin fondamental. C’est ce qui donne du sens à notre vie, ce qui nous fait avancer. Quand elle disparaît, c’est tout notre équilibre qui est menacé.
D’ailleurs, voici les autres signes qui ne trompent pas.
Les autres signes que tu touches au burn-out familial
- Fatigue chronique : Tu dors comme une marmotte mais tu te réveilles épuisée ? Alerte rouge ! Cette fatigue qui ne te quitte pas, c’est un signal d’alarme.
- Perte de sens : Ta vie est peuplée de “il faut” et de “tu dois”, mais plus de “je veux”. Tu ne vois plus le but de tes actions quotidiennes.
- Déconnexion émotionnelle : Tu traverses tes journées comme un robot, sans vraiment ressentir quoi que ce soit. C’est comme si tu étais spectatrice de ta propre vie.
- Sentiment d’étouffement : Les attentes de ta famille te pèsent comme une chape de plomb. Tu as l’impression de ne plus pouvoir respirer.
- Irritabilité constante : Tu t’énerves pour un rien, la moindre contrariété te fait sortir de tes gonds. Ta patience a des limites, et elles sont atteintes.
- Troubles du sommeil : Insomnie ou hypersomnie, ton sommeil est perturbé. Tu passes des nuits blanches à ruminer ou tu dors comme une masse sans te sentir reposée.
- Changements d’humeur fréquents : Tu passes du rire aux larmes en un clin d’œil. Tes émotions sont comme des montagnes russes.
Pourquoi ça arrive ? Les racines du burn-out familial
Le burn-out familial, c’est quand tu reçois trop de pressions, de principes éducationnels, trop de cadre, de “il faut”, trop d’injonctions. Et tu n’es pas libre, ta vie en tant que telle n’a plus de sens car tu la mènes en fonction de ce qu’on te dit. Tu ne sais plus quelle est TA ligne conductrice.
Et ça empire quand tout le monde s’y met : les parents ont leur avis, les frères et sœurs aussi, et chacun y va de son petit commentaire. C’est l’overdose ! Mais ce n’est pas tout. Parfois, le burn-out familial vient aussi de :
- Des attentes démesurées : Ta famille veut que tu sois parfaite en tout. Carrière brillante, mère exemplaire, épouse dévouée… Bref, la femme parfaite qui jongle avec tout sans jamais faire tomber une balle et en ne disant jamais merde aux autres !
- Un manque d’autonomie : On te traite encore comme une enfant ? On remet en question chacune de tes décisions ? C’est toxique.
- Des conflits non résolus : Les non-dits, les vieilles rancœurs qui resurgissent à chaque repas de famille… Tout ça, ça pèse lourd sur le cœur et l’esprit.
Qui doit agir ? Toi, ma belle !
Dans un burn-out familial, on pourrait s’attendre à ce que les parents prennent les choses en main pour couper court à la situation. Mais souvent, ils ne le feront pas. Pourquoi ? Parce qu’ils sont peut-être eux-mêmes englués dans des schémas toxiques.
C’est à toi de prendre les choses en main. De couper, de poser des limites. Ça passe par arrêter de mettre la famille sur un piédestal. Si tu en es arrivée à un burn-out familial, c’est que les relations ne sont pas saines. On peut carrément parler de relations toxiques.
Donc poser un cadre et prendre de la distance, ce n’est pas être une mauvaise fille ou une mauvaise sœur. C’est prendre soin de toi, et c’est nécessaire !
La reconnaissance, oui, mais pas à n’importe quel prix
Bien sûr, on peut être reconnaissant quand il y a de l’amour de la part de la famille. Quand l’autre veut vraiment ton bonheur, te rendre libre, te laisser faire tes choix. Mais quand une famille est toxique, c’est souvent qu’ils sont peut-être dans le désamour d’eux-mêmes, et qu’ils te transmettent leur insécurité et ce désamour, de façon consciente ou inconsciente.
C’est dur à entendre, je sais. Mais c’est important de comprendre que l’amour familial ne doit pas être conditionnel. Il ne doit pas dépendre de ta capacité à répondre à leurs attentes ou à te conformer à leurs désirs. L’amour vrai, c’est celui qui te permet d’être toi-même, qui t’encourage à t’épanouir, qui célèbre tes réussites sans t’écraser sous le poids des attentes.
Comment s’en sortir ? Le chemin vers la guérison
Le chemin vers la guérison du burn-out familial commence par une étape cruciale : apprendre à poser tes limites. C’est la base, tu sais. Dire non, même à ta famille, ce n’est pas facile, je le sais bien. Mais c’est absolument nécessaire pour ta santé mentale. Commence par de petites choses, et petit à petit, tu verras, ça deviendra plus naturel. C’est comme un muscle que tu dois entraîner.
Une fois que tu auras commencé à poser tes limites, tu pourras prendre du recul. Parfois, il faut s’éloigner un peu pour y voir plus clair. Ça peut être physiquement, en prenant quelques jours pour toi, ou mentalement, en pratiquant la méditation ou la pleine conscience. Ce recul te permettra de te recentrer sur tes besoins. Pose-toi cette question : qu’est-ce que TU veux vraiment ? Pas ce que ta mère veut pour toi, pas ce que la société attend de toi. Toi. Prends le temps de te reconnecter à tes désirs profonds.
Dans ce processus, n’oublie pas de chercher du soutien. Que ce soit auprès d’amis ou d’un pro, ne reste pas seule. Parler de ce que tu vis peut déjà soulager une partie du fardeau. Ce soutien te donnera la force de redéfinir ta relation avec ta famille. L’amour, oui. La toxicité, non merci ! Ça peut passer par des conversations difficiles, mais nécessaires.
Tout au long de ce chemin, n’oublie pas de prendre soin de toi. Self-care, baby ! Trouve du temps pour toi, pour tes passions, pour te reposer. Ce n’est pas du luxe, c’est vital, car tu vis pour toi ! Et dans cette démarche de self-care, apprends à communiquer. Exprime tes sentiments, tes besoins. La communication, c’est la clé pour des relations familiales saines.
Enfin, cultive ta joie ! Rappelle-toi ce qui te faisait vibrer avant. Renoue avec ces activités, ces passions qui t’illuminaient. La joie est comme une petite flamme à l’intérieur de toi. Plus tu la nourris, plus elle grandira, chassant peu à peu les ombres du burn-out familial.
Ce chemin vers la guérison n’est pas toujours facile, mais chaque pas te rapproche d’une vie plus épanouie, plus authentique.
Le rôle du coaching dans la guérison du burn-out familial
Le coaching peut être un outil puissant pour t’aider à sortir du burn-out familial. Un coach peut t’accompagner pour :
- Identifier les schémas toxiques dans lesquels tu es piégée
- Développer des stratégies pour poser des limites saines
- Renforcer ta confiance en toi et ton estime de soi
- T’aider à redéfinir tes priorités et tes valeurs personnelles
- T’accompagner dans la reconstruction de relations familiales plus saines
N’hésite pas à faire appel à un coach si tu sens que tu as besoin d’aide. Ce n’est pas un signe de faiblesse, c’est au contraire une preuve de courage et de détermination à prendre soin de toi.
Le mot de la fin : ta liberté, ta priorité
Rappelle-toi : ta famille peut t’aimer, vouloir ton bien, mais parfois, leurs actions ne sont pas alignées avec leurs intentions. Si tu te retrouves en burn-out familial, c’est que quelque chose ne va pas dans ces relations.
N’aie pas peur de prendre de la distance, de poser un cadre. Ce n’est pas égoïste, c’est nécessaire. Une famille qui t’aime vraiment voudra ton bonheur, ta liberté, te laissera faire tes propres choix.
Tu as le droit d’être heureuse, épanouie, libre. Tu as le droit de vivre ta vie comme TU l’entends. Alors, prends soin de toi, pose tes limites, et n’hésite pas à demander de l’aide si tu en as besoin. Tu n’es pas seule dans cette bataille. Et tu mérites tellement mieux qu’un burn-out familial. Tu mérites d’être rayonnante, pleine d’énergie, et libre d’être qui tu es vraiment. Ta vie t’appartient, et il est temps de la vivre pleinement, sans culpabilité et sans regrets.
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La blessure d’abandon : comment s’en libérer pour ne plus subir de relations toxiques ?
Et si au cœur de tes difficultés relationnelles se cachait une profonde blessure d’abandon ? Cette peur viscérale d’être abandonnée, de subir un rejet, de ne pas être “suffisamment” aimée… Ça te parle ? Alors bienvenue au club très select des abandonniques anonymes ! 😉 Plus sérieusement, sache que cette vieille blessure émotionnelle est l’une des plus répandues et des plus handicapantes quand il s’agit de construire des relations amoureuses saines et épanouies. Que ce soit en couple ou avec ton entourage, elle peut avoir un impact considérable sur ta vie sociale et ta santé mentale au quotidien.
D’où vient cette satanée peur de se retrouver seule ? Quels sont les symptômes qui doivent t’alerter ? Et surtout, comment s’en défaire pour ne plus tomber dans le piège infernal des relations toxiques ? Finalement, comment être libre ? C’est tout ce qu’on va voir ensemble, pas à pas. On explorera les origines familiales de ce sentiment, son influence sur l’estime de soi et les possibilités pour s’en libérer, que ce soit par des pratiques personnelles ou avec l’aide d’un professionnel. On verra comment intégrer de nouvelles manières de réagir vis-à-vis de soi-même et des autres, pour retrouver joie et sécurité dans tes relations.
Quels sont les signes d’une relation toxique liée à l’abandon ?
La blessure d’abandon, c’est le terreau idéal pour les relations malsaines. Voici quelques indices qui doivent te mettre la puce à l’oreille, que ce soit avec ton mec, ta copine, tes ami(e)s ou les membres de ta famille :
- Tu as l’impression de toujours donner plus que l’autre, quitte à t’oublier complètement. Coucou syndrome du sauveur…
- L’idée que l’autre se barre te fait paniquer, au point d’accepter des comportements limites voire abusifs. Tout plutôt que le vide et la solitude !
- Tu contrôles tout, tu pars au quart de tour pour un regard de travers. Bref, tu fais de la parano en mode 24/7, avec une suspicion constante.
- Ton humeur et ton estime de toi jouent au yoyo en fonction de l’attitude de l’autre. “Il/elle m’aime, il/elle ne m’aime plus…” Une véritable instabilité émotionnelle.
- Tu vis sur des montagnes russes émotionnelles, avec la trouille permanente d’être larguée ou trahie. L’angoisse de l’abandon est omniprésente.
- Tu ne veux pas exprimer tes besoins et tes envies pour ne surtout pas faire de vagues. En mode “soumission” quoi… Un manque d’affirmation de soi.
- L’autre te rabaisse, te manipule, joue avec tes nerfs. Une vraie partie de poker menteur ! On frôle la violence psychologique.
- Vous vivez dans une espèce de “fusion” un peu étouffante où les limites sont floues. Une relation fusionnelle typique.
- Tu subis des choses pas nettes mais sans oser rien dire, de peur que l’autre se tire. La crainte de la perte l’emporte sur le respect de soi.
Si ces situations te parlent, y a des chances qu’une vilaine blessure d’abandon se planque derrière ton mal-être relationnel. Mais comment en es-tu arrivée là ? C’est ce qu’on va voir !
Quel est le lien entre blessure d’abandon et relations toxiques ?
Ce besoin maladif d’être aimée à tout prix, cette trouille bleue de la solitude, cette image de toi complètement cassée… Bingo, c’est le cocktail parfait pour t’empêtrer dans des relations compliquées, encore et encore ! Parce qu’inconsciemment, quand tu as une blessure d’abandon, tu vas comme par magie attirer des partenaires peu fiables, fuyants, voire pervers. Et après, dur dur de sortir de leur toile…
En fait, ton signal de détresse affective fait écho chez des personnes mal dans leurs baskets, qui cherchent à dominer et contrôler. Et hop, prise au piège d’une danse malsaine où tu vas tout faire pour qu’ils/elles restent, quitte à ravaler ta fierté ! Le moindre petit signe d’affection est vécu comme une victoire, ce qui te rend encore plus accro et dépendante.
Sauf que bien souvent, ce genre d’histoire se finit mal et tu te retrouves à nouveau toute seule. Apprivoiser sa solitude, c’est bien, mais pour toi, ça renforce ta croyance de ne pas mériter l’amour. La boucle est bouclée et c’est reparti pour un tour ! C’est un cercle vicieux de l’enfer qui ne fait que renforcer tes névroses et ton mal-être.
La bonne nouvelle ? En prenant conscience des mécanismes à l’œuvre, tu peux totalement casser ce schéma et réécrire le scénario de ta vie amoureuse !
Et si tu creusais cette piste ? Parlons-nous ! Je te propose un rendez-vous de 30 min entièrement gratuit pendant lequel on évoquera les troubles qui te paralysent.
Comment reconnaître une blessure d’abandon ? Fouiller dans son passé
Cette blessure d’abandon est fourbe car elle prend racine dans ton enfance, quand tes besoins affectifs de base n’ont pas été correctement nourris par tes figures d’attachement.
L’abandon peut prendre des formes très concrètes : un parent qui part, un placement, un décès, des absences à répétition… Ou des formes plus subtiles : un parent peu démonstratif, distant, aveugle à tes besoins fondamentaux de câlins et de réconfort.
Parfois, il n’y a pas eu d’événement précis mais plutôt une accumulation de petits loupés, de micro failles dans la construction du lien. À force, tu as intégré l’idée que tu ne méritais pas tout cet amour, que tu n’étais pas “assez bien” pour qu’on s’occupe vraiment de toi. Du coup, tu as grandi avec un gouffre affectif en toi, persuadée que tu finirais toujours par te faire larguer.
Parce que bon, qui voudrait de toi de toute façon ?Blessure d’abandon : les femmes plus touchées que les hommes ?
Dans mon expérience de coach, j’ai souvent remarqué que les femmes morflaient plus de la blessure d’abandon que les mecs. Cette souffrance profonde peut affecter l’estime de soi et la confiance en soi (qui sont deux choses différentes !), poussant parfois à adopter un rôle de victime.
Si on en croit les psychologues, notre hantise ultime serait de nous retrouver seules, alors que les mecs flipperaient plus du rejet et du désamour public.
Cette peur de la solitude et ce manque de confiance peuvent avoir des conséquences importantes sur notre développement personnel et nos relations amoureuses.
Ce décalage dans nos peurs intimes engendre pas mal de galères dans nos histoires de cœur. C’est peut-être pour ça qu’on a tendance à s’effacer dans nos relations, à devenir de vraies paillassons, constamment en quête d’amour inconditionnel et de reconnaissance. Notre soif d’amour est si démesurée qu’on est prêtes à tout pour combler ce vide, quitte à sacrifier notre dignité ! Cette dépendance excessive peut nous rendre vulnérables à l’emprise narcissique.
Après, chacun son vécu hein !
L’abandon, ça n’épargne personne, quel que soit le sexe opposé. Que ce soit suite à des traumatismes d’enfance, des abus sexuels, ou des déceptions amoureuses fracassantes, la blessure du passé peut laisser une mémoire traumatique difficile à gérer au quotidien.
Mais ça reste intéressant de comprendre nos différences pour mieux se soigner et retrouver notre pouvoir ! Une prise de conscience et un travail sur soi, peut-être avec l’aide d’un thérapeute ou à travers des exercices d’écriture, peuvent nous permettre de nous libérer de la blessure d’abandon et de retrouver un meilleur équilibre. La clé est d’accepter notre vécu, d’identifier les déclencheurs de notre anxiété, et de choisir de nouvelles manières de réagir pour atteindre plus de sérénité et d’autonomie dans nos relations, qu’elles soient amicales ou amoureuses.
Guérir sa blessure d’abandon : un chemin vers la liberté affective et l’épanouissement personnel
Pour enfin vivre des histoires d’amour sereines et sécurisantes, y a pas 36 solutions : il FAUT guérir ta blessure d’abandon et sortir de ce schéma de dépendance affective toxique ! Je ne vais pas te mentir, ce n’est pas un long fleuve tranquille, ça va te demander des efforts et de l’introspection. Mais c’est un kif incroyable à s’offrir pour regagner confiance en toi et te reconnecter à ta petite voix intérieure ! Voici quelques pistes bien senties pour avancer sur ce chemin.
Accueille et apprivoise tes émotions
La première étape, c’est d’apprendre à voir en face et à accueillir tes émotions. Toute cette tristesse, cette colère, cette peur d’être seule qui te consument depuis que t’es môme.
Plutôt que de les refouler ou de t’auto-flageller, ose les ressentir pleinement, sans filtre. Laisse-leur de l’espace, que ce soit en les couchant sur le papier, en en parlant, en les sublimant à travers l’art… Au fur et à mesure, leur charge s’allègera. Tu te sentiras moins à leur merci, plus ancrée et solide.
Responsabilise-toi dans tes relations
Quand on a morflé de carences affectives étant petite, on a souvent un mode “enfant” dans nos relations.
On attend désespérément que l’autre comble tous nos besoins, répare nos fêlures, nous materne. En gros, qu’il nous “sauve”. Une façon d’éviter notre part de responsabilité d’adulte dans la création d’un lien nourrissant. Sauf que ça mène tout droit à la dépendance !
Il s’agit de reprendre ton pouvoir, d’arrêter de te victimiser et de devenir actrice de tes relations. Concrètement, ça passe par oser dire non, poser tes limites, exprimer tes désirs, bref, t’affirmer ! C’est en prenant soin de toi que tu attireras des partenaires prêts à faire de même.
Cultive ton jardin intérieur
Le meilleur remède contre l’insécurité affective et la peur du rejet, c’est de développer un vrai rapport de bienveillance et d’amour avec toi-même. Trop souvent, on attend que l’autre nous rassure sur notre valeur, nous dise qu’on est “assez bien”. Mais en vrai, ce vide-là, il n’y a que toi qui puisses le combler durablement !
Alors apprends à te reconnecter à tes forces, tes qualités, tes talents. Chouchoute ton enfant intérieur, dis-lui que maintenant tu es là pour veiller sur elle.
Fais-toi plaisir, vis des trucs excitants, sans toujours penser à l’autre.
Cette autonomie affective te rendra tellement plus attractive ! Et aidera ta confiance en toi bien abîmée à se requinquer.
Ose la vulnérabilité, le lâcher-prise
Quand on flippe de se faire larguer, on a tendance à tout contrôler, à mettre la pression. On est sur le qui-vive, à l’affût du moindre signe de désamour. C’est épuisant et ça peut même faire fuir l’autre, l’effet inverse de ce qu’on cherche !
Essaye plutôt de réapprendre à t’abandonner, à faire confiance. À accepter qu’une relation implique une part d’imprévisible, que ça ne sert à rien de posséder l’autre. C’est en te montrant telle que tu es, avec tes failles et tes parts d’ombre, que tu créeras des liens authentiques. Car tu n’auras plus peur de te perdre, sachant que personne ne pourra t’enlever à toi-même.
Fais-toi accompagner par un coach
Dans ce chemin vers la guérison, n’hésite pas à te faire épauler par un pro. Les racines de l’abandon sont souvent profondes, en lien avec des traumas et un regard extérieur peut t’aider à y voir plus clair.
Qu’il s’agisse de thérapie, d’EMDR, d’hypnose ou de coaching, il existe plein d’approches pour explorer et transformer ces schémas. Le plus important, c’est de trouver quelqu’un avec qui tu te sens en confiance pour te guider en douceur dans ce voyage.
Vers de nouvelles relations affectives ?
En comprenant les rouages de la blessure d’abandon et en mettant en place ces petits tips bien sentis, petit à petit ton rapport à toi et aux autres va se métamorphoser.
Tu vas apprendre à t’aimer inconditionnellement, à t’affirmer, à accueillir l’inconnu sans flipper. Des super pouvoirs émotionnels qui t’immuniseront contre les amours toxiques et te permettront d’attirer des partenaires aimants, fiables et engagés.
Je ne vais pas te mentir, ce n’est pas un long fleuve tranquille, ça va te demander des efforts et du courage. Mais crois-moi, ça vaut tellement le coup ! Car au bout du tunnel, c’est une vie affective saine et épanouie qui t’attend, loin des montagnes russes émotionnelles. Celle que tu mérites amplement ma belle, n’en doute jamais !
Alors, partante pour cette grande aventure intérieure ? Je t’accompagne sur le chemin !
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Comment se pardonner et s’ouvrir à l’amour de soi ?
Tu t’es déjà retrouvée à ruminer une erreur passée, incapable de te pardonner ? Je parie que oui. On est souvent plus dures avec nous-mêmes qu’avec les autres, pas vrai ? Pourtant, apprendre à se pardonner, c’est la clé pour se libérer de ce poids qui nous plombe et enfin respirer. C’est un vrai cadeau qu’on se fait. Alors, on se lance ensemble dans cette aventure du pardon ?
Pardonner à soi, un geste d’amour et de bienveillance
D’abord, soyons claires : se pardonner, ce n’est pas une obligation. Tu fais ton chemin à ton rythme, point barre. Mais réfléchis un instant à ce que ça pourrait t’apporter…
Quand tu te pardonnes, tu t’offres un vrai cadeau : celui de l’amour et de la compassion envers toi-même. Tu lâches enfin tous ces jugements négatifs qui te consument de l’intérieur pour t’accepter pleinement, avec tes forces mais aussi tes faiblesses.
À l’inverse, rester bloquée dans la culpabilité ou la honte, c’est comme s’enfermer dans une prison émotionnelle. Ça te maintient dans un cercle vicieux d’auto-sabotage et franchement, t’as pas mieux à faire de ton énergie ? Selon l’échelle de conscience de Hawkins, ces émotions ont une vibration super basse et t’empêchent d’évoluer.
Te pardonner, c’est choisir d’évoluer vers des états d’être plus élevés, plus sereins. C’est te libérer du passé pour être pleinement présente et créer un avenir qui te ressemble vraiment. Ose ta vie !
Le pardon, c’est comme un reset émotionnel. Ça te permet d’agir de manière nouvelle et inattendue, sans être conditionnée par ce qui s’est passé avant. C’est ta chance pour un nouveau départ !
Quels sont les bienfaits du pardon de soi ? La voie de la guérison émotionnelle
Je ne vais pas te mentir, se pardonner c’est pas toujours une partie de plaisir. Mais les bénéfices sont juste énormes ! C’est le chemin vers la guérison de tes blessures émotionnelles et la reprise de ton pouvoir personnel. Fini le rôle de victime, tu redeviens l’héroïne de ta vie !
En lâchant prise sur le passé, tu t’autorises à avancer avec plus de :
- confiance en toi
- estime de toi
- bien-être
- lâcher prise
- empathie
C’est comme si tu appliquais un baume apaisant sur ton cœur meurtri. Tu transformes les remords et la culpabilité en amour et gratitude, la honte en fierté. C’est libérateur à un point que tu n’imagines pas !
Chaque pas vers le pardon t’élève et te rapproche de ton essence. Tu transformes tes expériences douloureuses en sagesse et en force intérieure. Tu deviens plus résiliente, plus alignée avec qui tu es vraiment.
Quelles sont les étapes pour se pardonner ?
Première étape cruciale : reconnaître que tu as besoin d’avancer et que le pardon est la clé. C’est un choix courageux ma belle, même si une part de toi résiste encore. N’hésite pas à te faire accompagner si tu sens que tu as besoin d’un coup de pouce.
A travers mon activité de coach spécialisée en émancipation des blessures, j’aide des femmes comme toi à s’affranchir des blocages émotionnels et entre autres, à se pardonner !
Accueillir tes émotions avec bienveillance
On a souvent tendance à vouloir étouffer nos émotions “négatives”.
Mais surprise : c’est l’inverse qu’il faut faire ! Pour te pardonner, accueille tout ce que tu ressens sans jugement. Tristesse, colère, peur… toutes ces émotions ont quelque chose à t’apprendre. Écoute-les à travers l’écriture, la méditation, l’art… L’important c’est de créer un espace safe pour les laisser s’exprimer.
Prendre du recul sur ta situation pour surmonter le passé
Pour réussir à te pardonner, il faut prendre de la hauteur sur ton vécu. Réalise qu’à chaque instant, tu as fait du mieux que tu pouvais avec ce que tu avais.
Tes actions passées étaient conditionnées par les blessures de ton enfant intérieur et tes mécanismes de survie.
Accepter ta responsabilité : une attitude salvatrice pour pardonner à soi-même
En tant qu’adulte, tu as le pouvoir de faire des choix plus alignés avec qui tu es vraiment. Tu peux décider d’arrêter de te maltraiter et de prendre soin de toi. Sans te blâmer, reconnais ta part de responsabilité dans les situations douloureuses que tu as vécues. C’est comme ça que tu reprends ton pouvoir !
Admets tes erreurs de jugement ou d’attitude au lieu de les nier. C’est dur, je sais, mais c’est comme ça qu’on grandit ma belle !
Voir le positif en faisant taire cette petite voix intérieure
Tu la connais cette petite voix qui te dénigre sans arrêt ? Il est temps de la remettre à sa place ! C’est la première chose à faire pour améliorer sa vie et entamer un processus de libération. Essaie de placer des pensées plus positives et encourageantes. Crée-toi des mantras à dire à haute voix, comme “Je m’aime et je me pardonne”, “J’ai fait de mon mieux”. C’est un acte de pardonner à soi-même qui aide à surmonter les émotions négatives.
Imagine ce que tu dirais à ton ou ta meilleur(e) ami(e) si il/elle était dans ta situation. Sois aussi bienveillante avec toi-même ! Deviens ta propre meilleure personne, celle qui te soutient dans les moments difficiles. Cette self-attitude positive est essentielle pour gérer les défauts et assumer ses échecs sans se sentir coupable.
Ce processus de pardon et de prise de conscience peut sembler difficile, mais c’est une étape cruciale vers le bien-être et la santé mentale. Un coach en épanouissement personnel peut t’aider à identifier clairement les comportements à changer et à développer des méthodes pour cultiver la joie et la sérénité ! Petit à petit, tu apprendras à te libérer de cette mauvaise voix intérieure et à te réconcilier avec toi-même.
Le coaching pour apprendre comment se pardonner (qui es-tu vraiment ?)
Se pardonner est un acte essentiel pour notre bien-être. Souvent, on s’identifie à nos échecs plutôt qu’à notre vraie valeur, pas vrai ? Le pardon à soi implique justement de reconnaître nos fautes sans s’y attacher, d’en tirer des leçons et de cultiver l’auto-compassion (rien que ça, je sais).
Ce processus peut sembler compliqué, surtout face au sentiment de culpabilité. C’est pour ça qu’à travers un accompagnement personnalisé, je t’aiderai à développer des techniques pour surmonter la rancœur et améliorer ton estime de toi. Tu découvriras par toi-même les bienfaits d’un coaching à travers les différents accompagnements thérapeutiques que je te propose.
Attention ! Se pardonner ne signifie pas oublier, mais plutôt se libérer et grandir. C’est une opportunité de devenir son meilleur ami, de renforcer sa confiance en soi et d’ouvrir la voie à un futur plus serein, c’est tout. En pratiquant le pardon envers soi-même et les autres, on cultive la paix intérieure et on améliore nos relations. C’est un chemin vers une vie plus authentique et épanouie.
Alors, tu es prête à te pardonner ? Si tu veux creuser le sujet, je t’offre un petit call de 30 minutes pour en discuter. Pas d’engagement, juste un moment pour voir si on peut travailler ensemble sur ton épanouissement !
Rappelle-toi : sans pardon, on reste prisonnière de notre passé, incapable d’être pleinement nous-mêmes. Le pardon nous libère du ressentiment et signe l’acceptation profonde de notre histoire. Et si tu apprenais à t’écouter, à te montrer de la gratitude comme tu le ferais pour ta meilleure amie ? Tu as en toi toutes les ressources pour transformer tes blessures en force et rayonner ta lumière.
Il est temps d’installer une relation plus saine et nourrissante avec toi-même, tu ne crois pas ?
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Coach pour la confiance en soi : la clé de ton épanouissement
Tu rêves de te réaliser pleinement, d’oser exprimer qui tu es vraiment, d’atteindre tes objectifs avec assurance ? Mais quelque chose te retient, comme une petite voix à peine aimable qui te murmure “t’es pas capable”, “tu ne mérites pas de réussir”… Ce manque de confiance t’empêche d’avancer et de t’épanouir. Mais ne t’inquiète pas, la confiance en soi ça se travaille ! Avec l’aide d’un coach bienveillant, tu vas pouvoir identifier et dépasser tes blocages pour enfin révéler ton potentiel et vivre la vie dont tu rêves. Tu vas apprendre comment être libre ! Alors, prête à faire ce pas vers toi-même avec Charlotte Vallet ?
Estime de soi et confiance en soi : deux facettes complémentaires pour libérer ton potentiel
Pour bien saisir les ressorts de la confiance en soi, faut d’abord la distinguer de l’estime de soi ! Deux notions différentes mais super liées, qu’on bosse toutes les deux dans un coaching perso.
L’estime de soi : les bases de l’affirmation de soi
L’estime de soi, c’est la valeur personnelle que tu t’accordes en tant que personne, l’image que tu vois quand tu te regardes dans le miroir. C’est ton “état d’être” profond, le fondement de ton identité. Ça touche à ton dialogue interne, tes croyances sur toi-même et ton sens de la valeur personnelle.
Un manque d’estime de soi peut avoir des conséquences vraiment pas cool sur ta vie perso et pro. Si tu as du mal à poser tes limites, à dire non et à t’affirmer, ça peut te rendre vulnérable aux personnes toxiques et manipulatrices, que ce soit dans ta vie privée ou au boulot.
Tu te reconnais ? Alors écoute bien.
L’estime de soi, c’est comme les racines d’un arbre. On ne les voit pas, mais elles sont essentielles. Elles nourrissent ta capacité à t’épanouir, à surmonter les galères et à garder un équilibre mental.
Bosser sur son estime de soi, c’est un travail de longue haleine qui demande de la prise de conscience, du boulot sur tes émotions, et de remettre en question des croyances bien ancrées.
Confiance en soi : ta capacité d’action
La confiance en soi, elle, c’est ton “état de faire”. C’est ta capacité à affronter les défis de la vie, à passer à l’action pour atteindre tes objectifs malgré les obstacles.Ça se voit dans ta façon de prendre des décisions, de parler en public, de prendre le lead dans différentes situations.
Dans le monde pro, c’est souvent la confiance en soi qu’on met en avant, surtout chez les entrepreneurs. Mais attention ! Il faut comprendre que la confiance en soi toute seule, ça ne suffit pas. Des entrepreneurs se lancent parfois avec une grosse confiance en leurs capacités, mais sur une estime de soi fragile. Si leur boîte se casse la figure, ils risquent de déprimer sévère parce que toute leur valeur personnelle est liée à leur réussite pro. C’est pour ça qu’il faut vraiment se connaître, pas juste être performant.
La confiance en soi, c’est comme les feuilles d’un arbre : elles en jettent, mais elles peuvent se casser si les racines ne sont pas solides… Et là, ça fait mal.
Le coaching de vie aide à concilier les deux valeurs
Pour développer une confiance en soi qui tient la route, il faut bosser à la fois sur tes racines (l’estime de soi) et sur ce qui se voit (la confiance en soi). Cette approche globale, c’est le cœur de plein de méthodes de coaching et de développement personnel comme la mienne.
Imagine un arbre : les racines c’est l’estime de soi, le tronc c’est le respect de soi, et les feuilles c’est la confiance en soi.
Un arbre sans feuilles peut survivre à l’hiver s’il a des racines profondes, comme une personne avec une forte estime de soi peut traverser des périodes compliquées sans perdre sa valeur. Par contre, un arbre avec des branches magnifiques mais des racines faibles ne tiendra pas face à la tempête, comme quelqu’un qui a l’air super confiant mais qui s’effondre à la moindre difficulté si son estime de soi n’est pas solide.
On peut utiliser des techniques comme la PNL, l’EMDR, la méditation, ou la psychologie positive pour renforcer l’estime et la confiance en soi. En tant que coach spécialisée en émancipation des blessures, je peux t’aider dans ce processus, en t’aidant à identifier et à surmonter les obstacles internes comme le syndrome de l’imposteur, la peur du jugement, ou les pensées négatives.
Si tu veux en parler, je te propose d’échanger gratuitement pendant 30 minutes ! Ça n’engage à rien et on pourra peut-être mettre en valeur une ou deux pistes de travail.
En bossant sur ces deux aspects, tu peux développer une assurance personnelle solide et équilibrée, qui te permettra de t’épanouir dans ta vie perso et pro. C’est un voyage d’amélioration continue, où chaque petit pas compte et qui peut t’amener vers plus de sérénité, de bien-être et finalement, à la réalisation de toi-même.
Les apports d’un coaching pour renforcer ta confiance en toi
Plein de nanas souffrent d’un manque de confiance en elles sans oser demander de l’aide, persuadées qu’elles doivent y arriver seules. Pourtant, être accompagnée par un coach en développement personnel peut faire toute la diff pour reprendre confiance en soi et s’épanouir dans sa vie perso et pro.
Un regard bienveillant et objectif
C’est pas toujours facile d’avoir du recul sur soi-même et sa situation. Le coach confiance en soi, avec son regard neutre et bienveillant, va t’aider à prendre de la hauteur, à clarifier tes aspirations et tes blocages. Il est ton miroir, celui qui va révéler tes qualités et tes réussites pour nourrir ton estime personnelle. Ce dialogue interne positif est crucial pour développer une grande confiance en soi.
Un coach de vie ou un coach pro peut t’aider à identifier tes croyances limitantes et à changer ton point de vue sur toi-même. C’est un nouveau départ ! Il t’accompagnera dans la prise de conscience de tes forces et t’aidera à construire une relation de confiance avec toi-même.
Des outils concrets et une méthodologie
Développer sa confiance en soi, ça se fait pas du jour au lendemain ! Ça demande un travail sur soi structuré et régulier.
En tant que coach, je vais te filer des outils pratiques et des techniques efficaces issues notamment de la PNL ou de la gestion du stress : visualisation, ancrage, affirmations positives…Ces exercices vont te permettre de booster ta confiance, de gérer ton anxiété et ton stress et d’améliorer ton dialogue intérieur.
Petit à petit, tu vas construire une nouvelle vision de toi-même et apprendre à te concentrer sur tes réussites plutôt que sur tes erreurs.
Un accompagnement dans la durée
Contrairement aux formations ponctuelles, le coaching s’inscrit dans la durée pour te permettre une transformation en profondeur. Au fil des séances, tu vas avancer à ton rythme, en expérimentant de nouveaux comportements et en célébrant tes progrès. Ton coach sera là à chaque étape, pour t’encourager et te challenger avec bienveillance.
Ce coaching spécifique pour la confiance en soi va t’aider à sortir de ta zone de confort, à agir malgré tes peurs, et à développer une confiance solide dans tous les domaines de ta vie. Que ce soit pour renforcer ta confiance au travail, améliorer ton quotidien, ou atteindre tes objectifs perso, tu bénéficieras d’un programme adapté à tes besoins.
Oser embrasser tes vulnérabilités : le pouvoir des échecs
Sur les réseaux ou dans les médias, la confiance en soi est souvent présentée de façon idéalisée : celle d’une personne battante qui réussit tout ce qu’elle entreprend et positive en toute circonstance. Cette image biaisée peut paradoxalement renforcer notre sentiment d’illégitimité et notre peur de l’échec.
Et si la vraie confiance était ailleurs ?
Les vertus de l’échec
Selon Charles Pépin, c’est en surmontant les épreuves qu’on forge une confiance en soi authentique. Les échecs, loin d’être des obstacles, sont des opportunités de développement personnel et professionnel. Ainsi, chaque échec devient un pas vers la réalisation de soi, nous permettant d’atteindre notre plein potentiel et de vivre une vie plus épanouie.
On ne peut qu’être d’accord avec lui !
Ose montrer tes failles
Dans mes accompagnements, je fais la part belle à ces failles et ces vulnérabilités.
Loin des diktats d’une confiance en soi parfaite et lisse, j’encourage mes clientes à apprivoiser leurs doutes, leurs peurs, leurs fragilités.
Car c‘est en faisant la paix avec ses zones d’ombre que l’on développe une confiance en soi puissante et tranquille. Une confiance qui ne cherche plus à faire ses preuves mais qui s’ancre dans le respect et l’amour de soi.
Cultive ta confiance en OSANT être toi
Finalement, la confiance en soi c’est rien d’autre que le courage d’être soi, de s’affirmer dans toutes ses facettes et de suivre son propre chemin. Lâcher les masques, se libérer du regard des autres, oser être imparfaite en ne brillant pas 24/7… Voilà le secret d’une vie épanouie et authentique !
Et si pour toi aussi, il était temps d’oser la rencontre avec toi-même ? De te faire du bien en t’accordant un accompagnement bienveillant ? Au fil des séances, pas à pas, je serai ton guide pour t’aider à te reconnecter à tes ressources, à faire entendre ta voix et à déployer tes ailes.
Mon objectif : que tu te sentes de plus en plus libre, confiante et alignée, afin de réaliser la vie qui te fait rêver et qui te ressemble. Alors, prête à te lancer dans cette magnifique aventure intérieure ?
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Profil abandonnique chez l’adulte : le chemin vers toi pour une vraie guérison émotionnelle
Cette peur constante de l’abandon dans tes relations, c’est typique du profil abandonnique adulte. C’est une blessure émotionnelle profonde, souvent liée à des carences affectives de l’enfance. Ce vécu se manifeste par une angoisse permanente, un manque de confiance en soi et des difficultés à construire des relations stables. Tu oscilles peut-être entre dépendance excessive et peur du rejet, ce qui peut mener à des relations amoureuses compliquées.
Mais rassure-toi, on peut surmonter ça ! Un travail thérapeutique peut t’aider à comprendre et modifier ces schémas en t’affirmant au quotidien. L’objectif est d’améliorer ton estime de soi, développer des interactions plus saines et te libérer de ce vécu difficile. Ensemble, on va explorer comment tu peux changer ta perception et avancer sereinement dans ta vie quotidienne, malgré tes expériences passées.
C’est quoi le syndrome abandonnique ?
Le syndrome d’abandon, c’est cette insécurité affective permanente qui te colle à la peau et qui t’empêche d’avoir des relations saines et épanouissantes. C’est un trouble du rapport à soi-même et aux autres, caractérisé par une peur panique de l’abandon et une faible estime de soi.
T’es constamment en quête d’amour et de reconnaissance, avec un besoin affectif intense, mais en même temps t’as une trouille bleue du rejet.
Résultat : tu oscilles entre une demande continue d’affection et une appréhension dès que quelqu’un s’approche trop. Ce comportement ambivalent reflète souvent des traumatismes relationnels de la petite enfance.
Cette instabilité émotionnelle engendre des relations amoureuses bancales, avec de la dépendance affective, de la jalousie et parfois même de l’agressivité. Tu peux faire des efforts frénétiques pour éviter l’abandon, allant jusqu’à la soumission masochiste. La personnalité abandonnique a aussi du mal à construire une vie sociale satisfaisante, avec des difficultés à se faire des amis et une inhibition dans les situations sociales.
La thérapie mais aussi le coaching peuvent aider à comprendre et traiter ce trouble. L’objectif est de développer une meilleure capacité d’élaboration psychique, d’améliorer l’estime de soi (connaître ta valeur personnelle) et d’apprendre à construire des interactions plus saines avec le monde extérieur.
Besoin qu’on en parle ? Je te propose 30 minutes gratuites de coaching en émancipation des blessures pour t’aider à comprendre ce qui te bloque au plus profond de tes relations avec les autres. A toi de choisir ensuite de poursuivre ou non l’accompagnement !
D’où vient ce syndrome abandonnique ? Les causes !Ces schémas parasites, ils ne viennent pas de nulle part. Ils trouvent leurs racines dans les traumatismes que tu as vécus quand tu étais gamine. Un divorce, un deuil, des abus… Tout ça a pu te faire ressentir un sentiment de perte et d’insécurité décuplé.
Face à ces blessures, ton cerveau d’enfant a intégré l’idée que tu n’étais pas digne d’amour et que tout le monde finirait par partir. Ce manque originel a créé une fragilité psychique qui perdure à l’âge adulte. Et voilà comment on se retrouve avec un profil abandonnique.
Les conséquences de l’abandonnisme sur ta vie relationnelle
L’abandonnisme, ça impacte tous les aspects de ta vie : couple, amitié, famille, boulot… T’as tendance à idéaliser l’autre au début, puis à le dévaloriser dès que tu perçois un signe de rejet. Tu peux aussi devenir soumise pour maintenir le lien à tout prix, quitte à t’oublier complètement. Et c’est là que le bât blesse !
Une peur de l’engagement qui te paralyse
À l’âge adulte, ces croyances biaisées ressortent et t’empêchent de créer des liens de confiance. Tu as du mal à t’engager à fond dans une relation parce que tu as peur de te faire encore jeter. Ou alors tu cherches à tout contrôler pour te rassurer, ce qui finit par étouffer l’autre !
Bref, dans un cas comme dans l’autre, tu as généralement du mal à construire une vie de couple saine ou à te faire des amis et à les garder.
Un cercle vicieux qui te bloque
Cette incapacité à créer des relations saines et équilibrées te plonge dans un cercle vicieux. Tes attentes démesurées et ta sur-adaptation étouffent ton entourage, ce qui crée des tensions et des ruptures.
Cerise sur le gâteau ? Chaque séparation renforce ton sentiment d’abandon et ton manque d’estime de toi. En plus, ta peur d’être rejetée te pousse souvent à t’isoler socialement. Tu as du mal à faire confiance et à t’investir dans de nouvelles rencontres par peur de te faire encore blesser, ce qui se comprend. Mais ce repli ne fait qu’accentuer ton mal-être et ton impression de pas être “aimable”.
Des répercussions sur ta santé globale
Ce serait presque “trop beau” si l’impact de l’abandon se limitait “seulement” à ta vie affective ! Mais tu le sais : si le mental et le psychique sont en bouillie, le corps finit toujours par suivre…
Ça peut avoir des répercussions sur ta santé physique et mentale. L’insécurité émotionnelle génère parfois un stress chronique qui fragilise ton organisme. Insomnies, troubles alimentaires, addictions… autant de symptômes qui peuvent apparaître en réaction à ta souffrance intérieure.
Au niveau psychologique, le syndrome abandonnique favorise l’émergence d’angoisses et de troubles anxieux. Tu vis dans une peur constante que l’autre parte, ce qui te maintient dans un état de vigilance épuisant. Tu peux aussi souffrir d’attaques de panique ou de phobies sociales qui limitent ta vie relationnelle.
STOP ! Il est temps de t’en extraire.
Comment s’en sortir ? Les étapes clés pour entamer ta guérison
Sortir du syndrome d’abandon, c’est un processus long et profond qui nécessite souvent un accompagnement par un coach. La première étape, c’est de prendre conscience de ton fonctionnement abandonnique et d’en comprendre les origines. Ce travail d’introspection et d’exploration va te permettre d’apaiser ta colère et ta tristesse en donnant du sens à tes blessures !
Prendre soin de toi pour sortir de cette personnalité qui te pose problème
Tu prends assez soin de toi, physiquement et émotionnellement ?
Accorde-toi des moments de détente, cultive des pensées positives, entoure-toi de personnes bienveillantes… En renforçant ta relation à toi-même, tu deviendras moins dépendante du regard des autres. N’hésite pas non plus à te faire aider par une pro : psychologue, psychothérapeute, coach de vie… Un suivi te permettra d’explorer tes traumatismes en profondeur, de te défaire de tes schémas abandonniques et de gagner en autonomie affective.
Si tu veux en savoir plus, on peut échanger par téléphone. Je t’offre 30 minutes gratuites pour t’aider à y voir plus clair sur ta situation :).
Reconquérir ta légitimité
Petit à petit, tu vas apprendre à te faire confiance et à te sentir légitime dans tes relations. Ton estime de toi va grandir à mesure que tu lâcheras tes peurs d’abandon. Après tout, pour qui tu vis, pour toi ou pour les autres ?
Tu vas t’autoriser à exprimer tes besoins et tes limites sans crainte d’être jugée ou rejetée. Ce travail de fond va aussi permettre de guérir ton “enfant intérieur” blessé. En lui apportant l’amour et la sécurité dont il a manqué, tu vas apaiser cette partie de toi figée dans la souffrance. Tu pourras enfin te sentir entière et digne d’être aimée pour qui tu es, sans avoir à faire des efforts de ouf pour éviter l’abandon.
Accueillir tes ressentis
Guérir de l’abandon implique aussi de te reconnecter à tes émotions. Souvent, la personne abandonnique a appris à les refouler pour ne pas ressentir la douleur liée à ses traumatismes.
Mais en niant ta colère, ta peur ou ta tristesse, tu t’es coupée d’une partie de toi-même.
Réapprends à accueillir tes ressentis sans les juger. Offre-leur un espace d’expression à travers l’écriture, le dessin, la danse… Toutes les formes de créativité sont bonnes pour libérer ce qui a été longtemps retenu ! En te reconnectant à ton monde intérieur, tu vas développer ton intelligence émotionnelle et ta pensée positive.
Questionner tes croyances
En parallèle, il est important de transformer ta façon de te percevoir et de penser. Le syndrome d’abandon s’accompagne souvent de croyances limitantes du type “je mérite pas d’être aimée” ou “tout le monde finit par se barrer”. Un travail cognitif sera nécessaire pour les remplacer par des pensées plus constructives.
Questionner tes schémas mentaux va te permettre de sortir de la position de victime dans laquelle t’as tendance à t’enfermer.
En te responsabilisant, tu vas reprendre le pouvoir sur ta vie relationnelle. Tu vas réaliser que tes pensées ne sont pas la réalité et qu’il est possible d’entrer en relation autrement.
Adopter de nouveaux comportements
Dernière chose et pas des moindres : la guérison de l’abandon passe par un changement de comportement. C’est primordial d’oser t’affirmer dans tes relations, de demander de l’aide quand t’en as besoin, d’accepter que l’autre ait des besoins différents des tiens… Autant d’attitudes nouvelles qui vont se mettre en place progressivement, à force d’entraînement.
L’intérêt d’un accompagnement en coaching pour guérir du syndrome d’abandon
Face aux conséquences désastreuses de l’abandonnisme sur ta vie relationnelle et ta santé mentale, tu l’auras compris : je te recommande fortement de te faire accompagner d’un coach spécialisé !
Le coaching est une méthode complémentaire à la psychothérapie (à pas confondre !) dont le but est de t’aider à poser un nouveau regard sur ton histoire, à donner du sens à tes blessures et à transformer tes croyances limitantes.Par un travail sur les émotions et le comportement, le coaching va te permettre de développer une meilleure connaissance de toi, de gagner en confiance et en assertivité pour créer des relations plus épanouissantes.
En s’appuyant sur tes ressources et tes compétences, le coach va t’aider à renforcer ton estime de toi et à te libérer progressivement de ton insécurité affective. Des outils comme l’hypnose ou les techniques de communication consciente pourront être utilisés pour faciliter ce cheminement. Avec bienveillance et en s’adaptant à ton rythme, le coaching offre un cadre sécurisant pour guérir en profondeur du syndrome d’abandon et t’ouvrir avec confiance à de nouvelles possibilités relationnelles.
Ca t’intéresse ? Je t’invite à parcourir les thérapies de l’esprit que je te propose !
En contribuant à apaiser ce mal-être intérieur, cette démarche personnelle est aussi un beau cadeau que tu fais à ton entourage.
Vers une nouvelle dynamique relationnelle, loin de l’instabilité affective
Exit le sentiment de plus être à la hauteur ou la peur de nouer des relations ! Au fil de ton cheminement, tu vas peu à peu te détacher de tes peurs d’abandon pour construire des relations plus saines. Ça passe par une meilleure communication de tes besoins et de tes limites. Apprends à dire “non” quand c’est nécessaire, sans culpabilité.
Communiquer en conscience
Sois à l’écoute de tes émotions : la colère, la peur ou la tristesse sont des indicateurs précieux. Au lieu de les refouler, accueille-les et exprime-les calmement. Cette authenticité va t’aider à créer des liens plus vrais, basés sur la confiance mutuelle.
Accepter l’incertitude
Accepte aussi l’idée qu’une relation implique nécessairement une part d’incertitude. Tu ne peux pas contrôler les sentiments de l’autre ni te prémunir de toute déception. Mais en travaillant sur toi-même, tu vas devenir plus résiliente face aux aléas affectifs.
Guérir de l’abandon, c’est finalement réapprendre à s’aimer soi-même pour mieux aimer les autres. C’est se libérer de ses chaînes émotionnelles pour s’ouvrir à de nouvelles possibilités relationnelles. Un travail exigeant mais ô combien gratifiant, qui va te permettre de t’épanouir pleinement dans ta vie affective et sociale.
Alors, prête à entamer cette belle aventure intérieure ?
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Ressasser le passé : et si c’était nécessaire ?
Ma belle, tu rumines souvent le passé ?
Eh bien sache que cette tendance n’est pas toujours un frein au bonheur, étonnamment. Ça peut même être constructif si on ne s’y noie pas ! Comment transformer cette rumination excessive en processus de guérison ? On va explorer ensemble des moyens de surmonter tes blocages et d’utiliser la rumination pour ton émancipation personnelle. L’objectif est de te libérer du passé et de te recentrer sur le présent. La mindfulness et les thérapies du corps et de l’esprit peuvent t’aider à regarder vers l’avenir ! Ces approches favorisent l’attention au moment présent et l’observation sans jugement. Tu peux aussi essayer la pratique de la gratitude ou la visualisation positive.
Prête à plonger ? En apprenant à lâcher prise et à vivre l’instant, tu peux transformer cette tendance à ruminer en opportunité de croissance. C’est le moment de prendre ta vie en main !
Ressasser le passé, un processus naturel et nécessaire
Pourquoi chercher à tout prix à occulter son passé ?
Avant de te flageller parce que tu ressasses certains souvenirs douloureux, dis-toi que c’est un truc totalement normal et même nécessaire pour ta guérison. Nier ton passé, c’est jamais une bonne idée et ça peut te mener droit à l’anxiété chronique ou la dépression.
En cherchant à tout prix à occulter ce qui t’a blessée, tu ne fais que refouler des émotions et des traumatismes qui finiront par t’exploser à la figure d’une manière ou d’une autre, souvent sous forme de pensées obsédantes ou de troubles obsessionnels…
Imagine que ton esprit soit comme une maison. Vouloir nier ton passé, ce serait comme entasser tout un tas de trucs encombrants et douloureux dans une pièce, puis fermer la porte à double tour en espérant les oublier. Cette stratégie d’évitement peut sembler protectrice, mais c’est en réalité un mécanisme de défense qui ne marche pas sur le long terme. Tôt ou tard, le poids de ce qui est enfermé finira par casser la porte et là, bonjour les dégâts ! Mieux vaut rouvrir toi-même la pièce pour faire du tri, accepter le passé et bosser sur ces souvenirs difficiles !
En quoi est-ce indispensable de revisiter ses souvenirs douloureux ?
La rumination, quand elle est gérée de manière constructive, peut faire partie du processus de guérison. Ça peut t’aider à prendre conscience de tes erreurs, à apprendre de tes expériences et à te libérer du poids du passé. C’est souvent la première étape vers l’acceptation et le lâcher-prise. Plutôt que de chercher à ne plus penser au passé, l’objectif c’est d’apprendre à le regarder avec un nouveau regard, peut-être même avec gratitude pour les leçons apprises.
Un exemple pour illustrer ce truc : imagine que gamine, ton père ait loupé un truc important pour toi, te laissant dans une situation de détresse. En rejouant la scène avec ton regard d’adulte, tu peux réaliser qu’il n’avait peut-être pas mesuré l’impact que ça aurait sur toi, qu’il gérait ses propres blessures, qu’il a fait ce qu’il a pu avec ce qu’il avait à l’époque… Comprendre ça n’efface pas la souffrance, mais ça l’apaise et peut t’aider à briser un cercle vicieux de tristesse.
Tu veux parler de ce qui t’a bloquée étant enfant, comprendre pourquoi tu en es là aujourd’hui ? Je t’aide à arrêter de ressasser ! Pour commencer, que dirais-tu d’échanger pendant 30 minutes gratuitement ?
2 clés pour ressasser de manière constructive
Si ressasser c’est utile, encore faut-il le faire de la bonne manière pour que ça soit bénéfique et pas juste une perte de temps. Voici 2 conseils pour essayer de “bien” ressasser.
Délimite un temps dédié
Pourquoi c’est important de se fixer un cadre ?
Tu savais que notre inconscient occupe 90 % de notre esprit ? Pas étonnant alors que les souvenirs remontent parfois sans qu’on l’ait décidé ! Pourtant, se fixer un cadre c’est essentiel pour pas se laisser submerger par ses souvenirs et revivre encore et encore les mêmes scènes (tu vois ce que je veux dire).
Pour reprendre le contrôle, choisis de façon consciente les moments où tu vas revisiter ton passé. Le cerveau a cette capacité à focaliser notre attention sur ce qu’on choisit consciemment de regarder. En décidant délibérément de ressasser à certains moments, ça t’évitera d’être parasitée à d’autres moments de la journée. Par exemple, accorde-toi 15 minutes chaque jour pour explorer ton passé. L’idée c’est de t’y plonger à fond mais de savoir aussi t’arrêter. Un minuteur peut t’y aider ! C’est un exercice que je recommande souvent.
Cet exercice est une excellente façon de te réapproprier le contrôle sur ton esprit. En choisissant toi-même quand commencer et quand arrêter l’exploration de ton passé, tu reprends la main sur un processus qui peut parfois te dépasser.
Comment mettre ça en place concrètement ?
Le plus simple c’est de commencer par déterminer la fréquence et la durée de tes “sessions de ressassage”. Tu peux choisir d’y consacrer un créneau quotidien, de 15-20 minutes, pendant un mois par exemple. Ou opter pour des sessions plus longues mais plus espacées, comme 1h par semaine pendant 3 mois. À toi de sentir ce qui te convient le mieux.
Veille à choisir un moment où tu seras au calme, sans risque d’être interrompue. Mets une alarme pour ne pas dépasser le temps imparti. Et quand le “chrono” sonne, passe à autre chose ! Concentre-toi sur ta respiration, va marcher, appelle une pote… L’objectif c’est de couper court à ta réflexion pour revenir au moment présent avec confiance.
Adopte une posture de recul pour favoriser une pensée positive
Pourquoi c’est important de prendre du recul en ressassant ?
Colère, honte, culpabilité, stress et regrets… Ressasser s’accompagne souvent d’émotions de merde et d’une énergie négative. Pour qu’elles ne te submergent pas, adopte la posture de “l’observatrice”.
Plutôt que de t’identifier à ce que tu ressens, observe tes émotions avec bienveillance et recul, comme si t’étais témoin de la scène. Demande-toi ce qui a pu pousser chacun à réagir comme il l’a fait, quelles étaient ses intentions profondes, avec quelles ressources il composait à l’époque…
Ce regard plus distancié va t’aider à sortir du jugement et de la rumination stérile. Surtout, ça va t’aider à déterminer réellement quel est l’impact sur le présent des situations vécues.
Comment faire concrètement pour prendre du recul ?
Voici quelques questions à te poser pour adopter une posture d’observatrice bienveillante et cesser de ruminer sans cesse le passé douloureux :
- Quelles étaient les croyances et valeurs des personnes impliquées à l’époque ?
- Comment ont-elles guidé leurs actes ?
- Quels aspects de leur personnalité ou de leur histoire les ont amenés à agir ainsi ?
- De quelles compétences émotionnelles et relationnelles disposaient-ils ? Que savaient-ils faire ou non à ce moment-là ?
- Quelles émotions ai-je ressenties ? Qu’est-ce que cette situation a réveillé en moi ?
- Qu’est-ce que je comprends maintenant que je ne pouvais pas saisir sur le moment ?
En répondant à ces questions, tu vas prendre conscience que les gens font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont et qu’on réagit tous en fonction de notre histoire. Cette prise de conscience va t’aider à te libérer du passé et à poser un regard neuf sur ton vécu. Cette approche de pleine conscience peut t’aider à surmonter l’angoisse chronique et à arrêter de ruminer. Elle favorise le lâcher-prise et l’ouverture à l’expérience, te permettant de te concentrer sur le présent plutôt que de ressasser en boucle dans ta tête.
Tu as du mal à prendre du recul sur les situations du passé ? Je te propose d’en parler lors d’un call gratuit de 30 minutes !
Comment arrêter de ressasser le passé ? Des outils pour lâcher prise
Une fois que t’as revisité tes souvenirs en conscience et en ayant pris du recul, vient le moment de t’en détacher pour de bon et d’aller de l’avant. Le passé doit rester dans le passé ! Différents outils peuvent t’aider à passer outre cette stagnation qui est un frein à ton épanouissement.
Comment l’hypnose aide à couper court aux pensées négatives ?
L’hypnose, c’est cette technique qui permet d’accéder à ton inconscient pour modifier ton interprétation du passé et “reprogrammer” ton esprit. L’hypnose aide à stopper instantanément le flot de pensées négatives qui tournent en boucle.
Concrètement, l’hypnose te place dans un état de relaxation et de concentration propice au changement. Dans cet état réceptif de méditation, le praticien pourra te guider pour revivre autrement certaines scènes du passé, par exemple en y intégrant des ressources dont tu manquais à l’époque.
Par des suggestions, il pourra aussi t’aider à couper le lien mental avec des souvenirs parasites pour favoriser ton ancrage dans l’instant. Un peu comme si on changeait l’ordre inconscient qui te pousse à ressasser.
L’idée c’est de court-circuiter le schéma de pensée négatif pour le remplacer par quelque chose de plus constructif, propice à l’acceptation du présent.
En quoi le coaching permet de changer son regard sur son histoire ?
Le coaching pour un nouveau départ ? C’est l’outil idéal, puisqu’il va te permettre de lâcher le contrôle et de te libérer de ton insécurité.
Comment ?
En t’amenant à mieux te connaître et à changer ton regard sur ton histoire, cette méthode permet de faire la paix avec ton passé. Ça t’aide à pleinement intégrer que ton “moi” d’hier n’existe plus et que tu peux choisir qui tu veux être aujourd’hui, sans conditionnement.
Le coach t’accompagne pour identifier les croyances limitantes issues de ton passé qui te freinent aujourd’hui. Par le questionnement, il t’aide à réinterpréter les événements douloureux pour en tirer des leçons utiles pour avancer.
Avec son soutien, tu clarifies ce que tu veux vraiment et tu définis le plan d’action pour y arriver ! En te reconnectant avec tes forces et tes rêves, tu prends conscience que ton passé ne te définit pas. Tu réalises tout le pouvoir que t’as de réinventer ta vie !
T’as envie de passer à autre chose et d’arrêter de ressasser le passé ? Je te propose d’échanger autour d’un rendez-vous téléphonique gratuit de 30 minutes pour aborder tes problématiques de vie et les blocages qui t’empêchent peut-être d’avancer.
Rappelle-toi : la réalité c’est que le passé n’est déjà plus et que le futur n’est pas encore. Rien n’existe à part l’instant présent, le seul temps sur lequel t’as du pouvoir !
Ressasser le passé trop longtemps revient à laisser quelqu’un qui n’existe plus diriger ta vie… Garde à l’esprit que tes souvenirs sont une représentation subjective et que s’y accrocher t’apportera rien de plus. Une fois que t’as fait ton “travail de mémoire” constructif, lâche prise ! Fie-toi à ce que tu ressens : si ressasser te maintient dans un état de souffrance, il est temps de dire au revoir à ton passé. Traverse ce que t’as à traverser puis avance avec sérénité sur ton chemin. De nouveaux horizons prometteurs s’offrent à toi ! Ose écrire une nouvelle histoire, celle d’une femme libérée de son passé et pleinement ancrée dans son présent.
Tu as tous les ingrédients pour créer le futur dont tu rêves et prendre la responsabilité de ta vie.
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Le coaching pour un nouveau départ !
Qui n’a jamais rêvé de tout plaquer pour faire sa valise et voyager autour du monde ? Finie la routine métro-boulot-dodo, vous aspirez à beaucoup plus que cela ! Rêver- concrétiser- vivre ! Beaucoup de pensées subites peuvent être le reflet d’une gêne ou d’un mal-être dans votre quotidien. Et si c’était en réalité un signe pour vous indiquer qu’il est temps de prendre un nouveau départ ?
Chez Nouvelle, nous proposons divers soins qui permettent de vous émanciper en douceur d’un quotidien qui ne vous épanouit pas. Et aujourd’hui, les nouveaux départs sont mis à l’honneur !
Le quotidien et la routine
La vie est faite de hauts et de bas. Et si certaines personnes parviennent à dealer avec les montagnes russes, pour d’autres, le changement de manège est une question de survie. Lorsque le quotidien vous étouffe, vous aspire et que vous vous perdez peu à peu au-dedans de soucis qui n’en finissent plus… peut-être est-il temps de prendre un nouveau départ ?
Le quotidien et la routine sont pour certaines personnes indispensables. Elles parviennent à s’épanouir dans une vie qui les rassure et les apaise. Pour d’autres personnes, en revanche, il manque quelque chose. En vouloir davantage n’est pas un mal, contrairement à ce que la société nous incite à croire.
Bien au contraire, la volonté, le désir puissant de vouloir davantage et de se sentir vivant est naturel.
Plus encore, cela peut être le signe qu’il est temps de prendre un nouveau départ.
Nouveau jour ; nouveau départ
Si certaines œuvres cinématographiques ou écrites nous enjoignent à penser qu’il est possible de tout plaquer et de simplement s’en aller avec sa valise, les nouveaux départs demandent parfois un peu plus d’organisation.
Parmi les différentes étapes qui peuvent vous aider à prendre un nouveau départ, il est possible de citer :
Faire le point sur ses envies :
Qu’attendez-vous de l’avenir ? Quelles sont les sensations qui vous font vibrer, les activités qui vous apaisent, vous rendent heureuse ? Faire le point sur ses envies est primordial afin de trouver de nouveaux objectifs et d’entrevoir le chemin que vous allez suivre pour votre épanouissement.
Prendre du recul :
Que vous manque-t-il actuellement dans votre vie pour vibrer tout le temps ? Quelles sont les choses que vous refusez de vous imposer encore ? La prise de recul est essentielle afin de faire le point sur votre vie actuelle. La routine et le quotidien peuvent vous empêcher d’y voir clair et vous enfermer dans une zone qui ne fera que vous rendre malheureuse. En prenant du recul, vous vous laissez l’occasion de faire des ajustements qui tendront à vous épanouir !
Questionner ses besoins :
Tout comme faire le point sur ses envies, connaître, questionner et exprimer vos besoins grâce à l’hypnose est un indispensable dans la prise d’un nouveau départ. Et pour cause, les besoins de chaque personne sont uniques et surtout : ils évoluent. Autrement dit, au cours de votre vie, il arrive que vos besoins changent et les prendre en compte est essentiel dans votre bien-être.
Se projeter… ou pas :
Que vous ayez besoin de savoir exactement où vous allez mettre les pieds ou que vous préfériez l’improvisation et l’aventure : tout est OK ! Un nouveau départ se fait de mille et une façons possibles, et le plus important reste de trouver le nouveau départ qui VOUS convient !
Ne pas craindre le changement :
La peur du changement n’est pas opposée au besoin de changement. Mais attention, dans ces cas-là, à ne pas fantasmer le changement ! Le besoin d’un nouveau départ est viscéral et se ressent à travers les fibres de votre corps entier. Il est alors important de savoir que vous êtes capable de surmonter la peur du changement s’il s’avère que le changement est ce dont vous avez besoin.
Comment prendre un nouveau départ ?
Il existe de multiples façons de prendre un nouveau départ. Certaines personnes plaquent tout du jour au lendemain ; d’autres ont besoin de bien organiser chaque étape de ce nouveau voyage. Quoiqu’il en soit, un nouveau départ est un défi dans une vie. Et il peut se réaliser de diverses façons !
Être à l’écoute de soi :
Vous êtes la maîtresse de votre vie et vous avez les pleins pouvoirs. Autrement dit, il est absolument essentiel de rester à votre propre écoute. Vous seule pouvez savoir ce dont vous avez besoin, envie et ce qui est bénéfique pour vous. Écoutez votre instinct, sachez reconnaître la petite voix encourageante au creux de votre poitrine et foncez !
Se détacher du regard des autres :
Le regard des autres peut s’avérer pesant. Réducteur. Limitant. Lors d’un changement de vie ou d’un nouveau départ, il est plus qu’important de savoir s’en détacher. Le regard des autres sur votre vie et vos choix n’a aucune importance. C’est VOTRE vie ; ce sont VOS choix. Ils n’engagent que vous et ne nécessitent aucunement l’avis des autres.
Avoir confiance en soi et en son jugement :
Là encore, vous êtes la seule décisionnaire de ce qui va se produire. Autrement dit, vous devez vous faire confiance et avoir confiance en votre jugement. De cela dépendent vos actions et vos choix, vos décisions et vos réussites. Si vous n’avez pas confiance en la personne qui sera toujours là pour vous (vous-même), alors le changement risque d’être plus difficile que prévu.
Grâce à l’hypnose pour la confiance en soi, vous ne douterez pas de vos décisions et c’est le cœur léger et la conscience alignée avec votre bien-être que vous pourrez aborder cette nouvelle vie !
Étendre sa zone de confort :
C’est un autre point important lors d’un nouveau départ. La situation que vous vivez vous a poussée à vouloir davantage de choses, ou bien des choses différentes. Et pour cela, rien de mieux que l’expérimentation ! Afin de découvrir ce qui vous plaît tout autant que pour vous connaître davantage, étendre sa zone de confort est un passage crucial dans tout nouveau départ !
Se faire accompagner lors d’un nouveau départ
Un nouveau départ est ainsi un grand changement dans une existence. Il peut parfois paraître intimidant ou impossible à mettre en pratique. Cependant, sachez qu’il est possible de se faire accompagner lors d’un nouveau départ ou d’un changement de vie. Que vous décidiez de bousculer quelques habitudes ou bien de tout recommencer, vous n’êtes pas seule !
Chez Nouvelle, nous avons à cœur d’apporter une aide concrète aux femmes en quête d’émancipation. Charlotte Vallet a d’ailleurs fondé son atelier Nouvelle dans cette optique.
Grâce à divers soins proposés, vous pouvez vous faire accompagner à différentes étapes de votre vie. En ce qui concerne les nouveaux départs, le coaching est un allié de taille. En effet, il permet un accompagnement sérieux et profond en accord avec votre MOI profond.
Autrement dit, grâce au coaching, vous pouvez tout aussi bien trouver de l’aide afin d’identifier vos besoins que trouver un souffle d’énergie nouvelle pour faire le premier pas vers un nouveau départ.
Alors… vous laisserez-vous convaincre ?
Et si tu es curieuse et que tu souhaites prendre rendez-vous avec la crème de la crème en matière de praticiens à Paris ; je t’encourage à cliquer ICI. Je viens de sortir un nouvel ebook “+100 praticiens bien-être d’excellence”.
De quoi t’accompagner pour tout plein de nouveaux départs (professionnel/personnel/amoureux) dans ta vie 💜.Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au mois de juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
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Tout savoir sur l’hyper-indépendance
L’indépendance sous toutes ses formes est souvent encensée par l’entourage ou la société. Toutefois, il existe des formes d’indépendance qui peuvent vous nuire au quotidien. C’est le cas pour l’interdépendance, la dépendance affective ou encore l’hyper-dépendance (lorsque l’individu a besoin du regard des autres, de leur approbation, de leur avis… etc.).
Chez Nouvelle, on prend les choses à contre-courant c’est pourquoi aujourd’hui l’on vous dit tout à propos de l’hyper-indépendance !
L’hyper-indépendance : késako ?
L’hyper-indépendance se définit par une indépendance exacerbée dans tous les aspects du quotidien d’une personne. Autrement dit, il s’agit d’une capacité essentielle à ne pas dépendre de quiconque, y compris pour de petites tâches du quotidien ou des choses insignifiantes.
Pour aller encore plus loin, la psychologie de la personne hyper-indépendante aura tendance à penser pouvoir tout faire seule. La seule idée de dépendre de quelqu’un paraît nuisible à ses yeux, et profondément inutile.
Si l’indépendance est appréciée et appréciable, l’hyper-indépendance représente son extrême. Et comme tout extrême (hyper-dépendance également), cela peut nuire à la qualité de vie de l’individu.
Les origines de l’hyper-indépendance
Tout comme pour chaque comportement adopté, il y a des causes à celui-ci. Concernant l’hyper-indépendance, ses origines sont multiples. Les plus connues à ce jour sont :
- L’hyper-indépendance comme une réponse à un traumatisme vécu dans le passé ;
- L’hyper-indépendance à la suite d’un choc émotionnel marquant ;
- L’hyper-indépendance comme protection après une confiance brisée/ défense émotionnelle.
Ainsi, l’hyper-indépendance est simplement l’ajustement du comportement d’une personne après une épreuve vécue douloureusement. L’hyper-indépendance sert alors de protection à l’individu, afin que celui-ci ne soit pas de nouveau confronté à la même situation – et donc la même douleur. Des séances d’hypnose à Paris peuvent alors permettre de surmonter son hyper-dépendance.
Les manifestations de l’hyper-indépendance
L’hyper-indépendance se manifeste de multiples façons au quotidien. Il est notamment possible de citer, parmi les habitudes d’une personne hyper-indépendante :
- Ne pas demander d’aide, y compris pour une petite ou ennuyeuse tâche / impossibilité de déléguer ;
- Une indépendance qui se retrouve sur tous les fronts (affectif, financier, social, professionnel…). ;
- Préférer être seul.e plutôt que de faire appel à autrui ;
- Garder le contrôle sur tous les aspects de votre vie et tout ce que vous entreprenez ;
- Prendre des décisions seul.e par peur de demander l’avis de quelqu’un d’autre ;
- Conserver le secret à propos de sa vie personnelle / en révéler le moins possible ;
- Difficulté à maintenir des relations dans le temps (amicale, amoureuse, professionnelle… etc.).
Il y a également de nombreux autres traits qui permettent de distinguer une personne hyper-indépendante. Ceux-ci sont notamment variables selon les domaines précis de l’hyper-indépendance.
Comment la surmonter ?
Si l’hyper-indépendance comprend toute une psychologie et un mode de vie parfois bien ancré, il est toutefois possible de la surmonter grâce à des séances de coaching Nouvelle. Et pour cause, qu’elle s’applique à tous les domaines de la vie ou simplement à quelques-uns (relations, par exemple), il est important de trouver un équilibre.
Il y a plusieurs chemins pour surmonter l’hyper-indépendance.
Tu peux aussi aller voir un psychologue qui t’aidera à remonter à la source de cette hyper-indépendance. Je t’en recommande plus d’une dizaine dans mon nouvel ebook “+100 praticiens bien-être d’excellence”. Tu verras, ils sont incroyables !!!
Apprendre à déléguer :
Cela peut sembler insurmontable et inenvisageable pour une personne hyper-indépendante. Pourtant, déléguer – y compris les plus petites tâches – est un premier pas vers une indépendance plus équilibrée. De plus, cela vous laissera l’esprit libre pour faire d’autres choses.
Commencer à faire confiance :
Souvent, l’hyper-indépendance est un mécanisme de défense. Tout faire tout seul protège ainsi des déceptions, mais également de possibles trahisons. En recommençant à faire confiance à votre entourage proche, vous vous offrez un souffle d’air et vous leur permettez également de se sentir utile. S’aider entre amis est un plaisir pour les deux parties !
Se réapproprier la demande :
Demander de l’aide n’est pas une preuve de faiblesse – quelle que soit la nature de la demande. Bien au contraire, elle est une preuve de confiance et permet d’ouvrir l’échange. Pour une personne hyper-indépendante, demander peut paraître difficile. Cependant, en faisant de petites demandes de manière régulière, cela deviendra de plus en plus naturel.
Interroger son ego :
L’ego joue un rôle majeur chez une personne hyper-indépendante. Et pour cause, en faisant les choses par soi-même, on se détache du sentiment de besoin. Pour autant, il est essentiel avant de se lancer dans une tâche – quelle qu’elle soit – de se demander si vous pouvez réellement la faire tout seul ; ou bien quels avantages il y aurait si vous demandiez de l’aide.
Progresser par petits pas :
Comme dans tout changement, avancer pas à pas est primordial. Aucun changement ne s’est fait en deux jours, et il est important de ne pas brusquer les choses – ou vous-mêmes – au risque que cela vous renvoie à la case départ. Envoyer un petit message, demander un peu d’aide, faire une réservation… etc. sont de petits gestes qui vous permettront d’abaisser petit à petit les barrières solides de l’hyper-indépendance.
Se laisser du temps :
Une fois de plus, chaque changement a besoin de temps. Tant pour vous convenir que pour s’ancrer, surmonter l’hyper-indépendance nécessite de la tolérance envers soi-même et de la compréhension. Il y aura des ratés, des périodes où vos vieilles habitudes reviendront – et ce n’est pas grave ! Retrouver un équilibre dans votre vie vaut le temps que vous prendrez pour surmonter l’hyper-indépendance.
Se faire accompagner pour surmonter l’hyper-indépendance
Chez Nouvelle, lieu intimiste et unique, Charlotte Vallet vous propose de nombreux soins pour le corps et pour l’esprit. Ainsi, il est possible de travailler sur soi pour être toujours plus proche de la liberté et d’un quotidien épanouissant. .
Pour surmonter l’hyper-indépendance, vous pouvez alors vous tourner vers des soins tels que l’hypnose ou le coaching. Incarnant des soins complets en plusieurs séances, ils permettent de se détacher de certaines habitudes pour un quotidien plus libéré et qui vous épanouit !
Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au mois de juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
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Apprivoiser la solitude
La réalité du quotidien sature nos sens, nos pensées et nos émotions. Le monde résonne autour de nous, vibrant, existant ; l’entourage n’est jamais loin et lorsqu’on se retrouve seul, cela peut parfois être effrayant. Pourtant, la solitude est loin d’être le monstre malheureux et esseulé que l’on s’imagine souvent. Bien au contraire, apprivoiser la solitude est une étape indispensable pour pouvoir se connaître, se découvrir et évoluer vers un bien-être certain.
Et s’il était temps d’apprivoiser votre solitude ?
La solitude : monstre ou alliée ?
La solitude se définit par la situation d’une personne qui se retrouve seule, de manière temporaire ou durable. Toutefois, la solitude peut parfois s’en référer à un profond sentiment d’être seul, contre son gré.
C’est bien souvent la seconde définition qui peut effrayer lorsqu’on évoque la solitude. Et pour cause, cette définition renvoie directement à une solitude dite « sociale », qui est à la fois mal vécue et mal perçue.
Il est cependant primordial de bien différencier l’isolement subi de la solitude choisie. En effet, le premier est la conséquence d’une situation qui pèse et qui est difficile à vivre tandis que la seconde renvoie davantage à un moment avec soi, où il est entre autres choses possible de mieux se connaître.
La solitude n’est donc pas un monstre, une ennemie que vous vous devez de combattre ; au contraire, elle est une alliée de taille dans l’existence qui permet à beaucoup de personnes de recharger leur batterie tout autant que d’évoluer vers une vie mieux ajustée pour elles.
À quoi sert la solitude ?
La solitude a de nombreux avantages et bienfaits, tant sur le corps que sur l’esprit. Cependant, elle a été si longtemps diabolisée au prétexte que « l’Homme est un animal social », qu’il est parfois difficile de bien cerner ses vertus. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
Encourager la connaissance de soi :
Se retrouver seule de temps en temps permet de mieux se connaître. En effet, dans le grand tourbillon de la vie, nous sommes sans cesse amenées à évoluer, nous adapter, changer… Et se retrouver seule est alors l’occasion de pouvoir se connaître en profondeur, sans filtres et sans limites.
Mieux se comprendre :
De la même façon, s’accorder des moments de solitude est un précieux atout pour mieux se comprendre. Et pour cause, il est parfois difficile de cerner les sources de nos actions, de se recentrer sur nos valeurs ou encore de disséquer notre ego. Pourtant, la compréhension de soi passe à travers ces choses-là. Enfin, mieux se comprendre permet d’agir en totale accord avec soi et se diriger ainsi vers un épanouissement total.
Offre un temps d’introspection :
Si peu de gens la pratiquaient il y a encore quelques années, désormais, l’introspection est une étape incontournable sur la route du bien-être. Prendre le temps de faire le point sur sa vie, ses envies, ses désirs et ses ambitions est indispensable afin de pouvoir œuvrer pour son bien-être. La solitude permet d’offrir ce temps pour l’introspection.
Favorise la création de liens affectifs avec les autres :
Si cela peut sembler paradoxal de prime abord, la solitude permet néanmoins de créer et/ou de renforcer les liens affectifs que l’on entretient avec les autres. En effet, se recentrer sur soi, faire le point et s’accorder du temps pour exister pour SOI, permet un épanouissement plus profond auprès de l’entourage (famille, amis, collègues…).
Lâcher prise :
L’on revêt parfois un masque lorsqu’on est en société ; celui de la maman, celui de l’amante, celui de la girlboss, celui de la femme forte… La solitude permet de déposer ces masques dans un coin et de simplement lâcher prise. Vous n’êtes pas qu’une étiquette, une somme d’attentes ou la réponse à des injonctions. Vous êtes un être complexe et unique, dont la solitude vous offrira un espace sécurisé pour respirer et vous épanouir davantage.
Se (re)connecter à soi :
Enfin, la solitude permet de se (re)connecter à soi. Il ne s’agit plus de vous connecter à votre environnement, mais à votre soi profond. Vous connaître, vous comprendre, mais également apprendre à vous écouter. Reconnaître vos limites, étendre votre zone de confort, développer de nouvelles compétences, vous faire plaisir de toutes les manières possibles… en somme, la solitude incarne alors un lieu où il vous est possible de vous épanouir. Et cela vous permet également de vous épanouir dans votre environnement dans un second temps.
Apprivoiser la solitude
Apprivoiser la solitude peut paraître inutile lorsqu’on ignore tous les bienfaits qu’elle présente. Pourtant, une fois fait, il est difficile de vivre sans ces instant de solitude ! Voici quelques pistes qui permettent d’apprivoiser la solitude ; pour ne plus jamais être seul en étant avec soi-même !
Faire la différence entre solitude et isolement :
La première étape pour apprivoiser la solitude est de bien cerner sa différence avec l’isolement. Et pour cause, l’isolement est souvent subi, tandis que la solitude est choisie et bénéfique. Afin de faire la distinction entre les deux, Joseph Roux écrivait :
« La solitude vivifie. L’isolement tue. »
En effet, la solitude permet de nombreux bienfaits tandis que l’isolement est subi, pesant, et nous renvoie indéniablement à un profond mal-être, exacerbant nos incertitudes.
Exister en dehors du regard des autres :
Le regard des autres est une réelle pression de laquelle il peut être difficile de se détacher. Cependant, la solitude permet d’apprendre à lâcher prise sur le regard des autres – et leurs attentes. Et pour cause, grâce à la solitude, le seul regard qui compte est le vôtre. Vous pouvez vous concentrer sur votre monde intérieur, vos besoins, toutes vos émotions, etc.
Faire des activités qui vous enrichissent :
La solitude a également l’avantage de vous permettre une totale liberté. Vous n’avez pas envie de faire une activité ? Soit. Personne ne peut vous obliger ou vous faire culpabiliser ! Vous êtes totalement libre de décider des activités qui vous procurent du plaisir et vous enrichissent. Sports, loisirs, créations, activités culturelles… tout est possible !
Travailler sur soi :
Les moments de solitude sont indispensables pour trouver l’équilibre qui vous épanouira dans votre vie. Et ils sont aussi l’occasion de travailler sur vous, à votre propre rythme. De faire le point sur vos attentes concernant votre vie, mais aussi de changer vos insatisfactions actuelles en sources de bonheur.
Se faire accompagner pour apprivoiser la solitude
S’accorder des moments « juste pour soi » peut paraître égoïste, déplacé ou inhabituel pour beaucoup. Pourtant, chaque personne mérite de mieux se connaître et la solitude est un réel outil, indispensable pour l’épanouissement général.
Pour les personnes qui souhaiteraient être accompagnées pour prendre ces moments de solitude sans culpabilité, sans peur, sans jugement et sans remords, il est possible de se tourner vers des soins proposés chez Nouvelle.
En effet, des soins comme le coaching ou encore l’hypnose vous permettent de travailler sur votre confiance en soi, vos émotions, ou vos aspirations.
Ainsi n’hésitez pas à faire la rencontre de Charlotte Vallet, femme à l’écoute des femmes, qui les accompagne et leur permet une existence plus libérée.
Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
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Pour qui tu vis : toi ou les autres ?
En tant que femmes dans notre société, beaucoup d’injonctions et de responsabilités pèsent sur nos épaules. Il faut être ambitieuse, mais pas trop ; toujours belle selon des standards irrationnels ; assurer dans la vie professionnelle, personnelle et intime. Et tout cela peut avoir de grosses conséquences sur l’ego, qui tente de vous prouver que vous êtes à la hauteur. Mais savoir où se situent la flamme qui vous fait avancer et surtout votre ego s’avèrent alors des missions difficiles. Comment faire les choses pour soi ? Tout cela a un lien étroit avec la place de l’ego, et chez Nouvelle, on vous dit tout !
Qu’est-ce que l’ego ?
L’ego peut être défini comme étant à la fois la conscience de soi et la représentation de soi que chaque personne possède. Plus directement, il se traduit par le « moi ». Sans ego, il n’est pas possible de se construire et de se considérer comme un individu extérieur au monde.
Cependant, l’ego est tel un équilibriste qui avance sur un fil : s’il tangue et s’affaiblit, il peut être dangereux au quotidien et mener à une faible estime de soi. A contrario, s’il avance de manière prétentieuse, il peut incarner votre pire ennemi. Avoir un ego « surdimensionné » est mauvais, tant pour soi que pour les autres que vous serez plus susceptibles de rabaisser et blesser.
L’ego est donc une question d’équilibre : l’équilibriste qu’il est doit avancer avec confiance et attention.
Les manifestations de l’ego
L’ego se manifeste de façon soudaine et régulière, toujours en lien avec les événements qui se déroulent dans nos quotidiens. Ainsi l’ego peut survenir aussi bien au cours d’une conversation banale avec un ami que lors d’un événement important que vous vous apprêtez à vivre.
Plus généralement, l’ego peut se manifester de différentes façons. Il possède, à l’instar d’un oignon, plusieurs couches qui forment une identité.
Exemples :
- Je suis ce que je possède (maison, entreprise, argent, portable…) ;
- Je suis mes opinions (convictions, croyances, valeurs…) ;
- Je suis mon apparence (coiffure, vêtements, maquillage) ;
- Je suis mes épreuves (souffrances, combats…) ;
- Je suis ce que je fais (travail, passions, loisirs, sport…).
Chaque couche vise à renforcer l’estime de soi au quotidien. Et au cœur de ces différentes manifestations de l’ego réside l’Être.
L’équilibre de l’ego et de l’Être
L’Être est ce que nous sommes, autrement dit la nature profonde de chaque individu. Il permet à tout un chacun d’exister dans le moment présent, sans se définir par le passé ou se laisser modeler par l’environnement (et l’autre).
En cas de déséquilibre entre l’Être et l’ego, l’individu peut alors basculer dans une estime de soi surévaluée ou au contraire, très affaiblie. Dans les deux cas, l’Être s’estompe et l’ego le contrôle pleinement. En effet, toutes ces couches identitaires ont permis à l’être humain de survivre, et si elles semblent menacées, l’on peut alors avoir la sensation que sa propre survie est menacée.
En cas de déséquilibre de l’ego, celui-ci aura tendance à vous guider vers des choix irréfléchis, ou uniquement motivés par de mauvaises raisons, des raisons superficielles qui ne vous rendront pas heureuse.
Il est donc essentiel de trouver l’équilibre entre les deux, bien que l’ego soit un raisonnement logique du cerveau qui permet de survivre et s’adapter. Veiller à ce qu’il ne prenne pas trop de place dans votre perception de soi et du monde est d’une importance capitale.
Vivre pour soi
Malgré ce que peut parfois nous chuchoter l’ego, il est essentiel de vivre pour soi et non pour impressionner les autres. Et pour cause, l’ego peut parfois être si sensible qu’il suffirait d’une « plaisanterie » pour totalement le chambouler. Il peut alors nous guider sur des voies qui ne le ravissent que lui, et effacer petit à petit l’Être.
Mais chaque existence est unique et n’appartient qu’à soi. Alors peu importe ce que vous murmure l’ego, il est essentiel de pouvoir vivre pour SOI et uniquement SOI-MÊME !
C’est ainsi qu’il vous sera possible de faire les meilleurs choix pour votre épanouissement personnel et votre propre bien-être.
Comment vivre pour soi ?
Se connaître en profondeur :
La connaissance de soi ne s’arrête jamais vraiment. Mais plus on se connait, et plus il est évident de faire les meilleurs choix pour soi-même et son bien-être. La connaissance de soi permet également de riches introspections, qui vous permettent d’ajuster votre vie en fonction des changements qui s’y déroulent. Alors n’ayez pas peur de vous interroger sur votre quotidien, vos envies, vos ambitions, vos désirs profonds ou encore vos rêves !
Développer la gratitude :
Souvent sous-estimée, la gratitude offre pourtant un pouvoir indescriptible sur sa propre vie. Non, tout n’est pas une question de chance, de coup du sort ou de karma. Vous êtes l’actrice principale du film de votre vie – et si cela peut faire peur, c’est surtout une excellente nouvelle ! Cela signifie que vous avez le pouvoir, les moyens et la capacité de changer une situation déplaisante sans se noyer dans la complainte. Ou d’apprécier une situation qui vous rend heureuse !
Cultiver la confiance :
La confiance est un fil qui se révèle parfois fragile. Se mouvant au gré des vents extérieurs, subissant parfois de la pression… pourtant, c’est votre fil. Et sous son aspect fragile, se cache en réalité une force incommensurable. La confiance est essentielle et plus vous la cultiverez, plus ce fil deviendra solide et robuste. La confiance en soi est un cercle vertueux, grâce auquel il est possible de faire le meilleur pour soi. Car personne d’autre que vous ne sait ce qui est le mieux pour vous !
Favoriser une bonne communication :
Les échanges relationnels sont parfois source de nombreuses interprétations… erronées. Projections, suppositions, non-dits… il existe tant de façons de mal communiquer qu’on oublie parfois que la transparence est bienfaisante. Les autres ne sont pas dans votre esprit, et inversement ! Alors une communication ouverte et honnête est encore le meilleur moyen d’avoir une vie sociale riche et équilibrée, source de bonheur !
Passer à l’action :
La dernière étape – et pas des moindres – c’est le passage à l’action. Vivre pour soi ne se limite pas à être en accord au-dedans de soi ; il faut mettre tout votre travail intérieur en pratique. Et cela passe à travers vos actes, vos choix, vos actions… qui sont toutes une source de vitalité. Plus vous passerez à l’action POUR VOUS, et plus il sera facile de le faire.
Se faire accompagner pour apprendre à vivre pour soi
Vivre pour soi peut représenter une montagne qu’il peut être impensable de gravir. Pourtant, vous avez toutes pleinement les ressources qui vous permettront d’accomplir avec succès ce chemin riche et bénéfique.
Toutefois, pour celles qui voudraient être accompagnées ou se voir délivrer quelques clés pour entamer cette route, il est possible de se tourner vers des soins proposés chez Nouvelle.
En effet, des soins comme le coaching ou encore l’hypnose vous permettent de travailler sur votre confiance en soi ou vos qualités communicationnelles.
Ainsi n’hésitez pas à faire la rencontre de Charlotte Vallet, femme à l’écoute des femmes, qui les accompagne et leur permet une existence plus libérée.
Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
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Connaître sa valeur personnelle
Il y a différentes raisons qui expliquent pourquoi nous agissons comme nous le faisons – avec soi et autrui. Il y a également différents chemins qui mènent à la connaissance profonde de soi. Et le point commun entre ces deux faits ? La valeur personnelle. Qu’est-ce que la valeur personnelle ? Pourquoi la connaître est-il un atout au quotidien ? Chez Nouvelle, on vous révèle tout sur la valeur personnelle : parce qu’il est essentiel de la connaître afin de vivre un existence en accord avec SOI.
Valeur personnelle : késako ?
La valeur personnelle est une notion universelle : tout le monde en possède une. Elle peut se définir comme étant l’idéologie d’un individu, une notion intrinsèque qui dicte ses actions. En règle générale, la valeur personnelle n’est pas la même chez tout le monde.
En effet, chaque personne possède sa propre valeur personnelle. Cette dernière se base sur un subtil mélange de différentes valeurs qui nous animent. Celles-ci peuvent être personnelles, familiales, professionnelles… etc.
Enfin, une valeur se caractérise par une conviction personnelle qui devient, au moment de prendre une décision, un principe de jugement. Les valeurs reflètent ce qui est important aux yeux d’un individu et ce en quoi il croit.
Exemple :
Amélie a toujours aimé sa famille. Ils sont unis et loyaux. Lorsque l’un de ses frères ou ses parents ont besoin de son aide, elle répond présente.
L’importance de connaître ses valeurs
En sachant quelles sont les valeurs qui vous tiennent tout particulièrement à cœur, celles qui guident vos actes, vous vous offrez une chance inestimable de connaître un nouveau chemin vers votre bien-être. Par extension, ce sont de meilleures chances de l’atteindre également. Finis la peur du regard des autres, les limites que l’on se fixe soi-même, les barrières que l’on s’impose ; le monde est à portée de vos mains, et connaître sa valeur personnelle, c’est prendre conscience que vos mains peuvent saisir ce monde. Liberté et épanouissement !
Derrière les valeurs de chaque personne ne se cachent pas seulement des convictions. En effet, l’éducation, le milieu dans lequel vous vous épanouissez ou tout simplement ce à quoi vous aspirez peuvent tout autant être des révélateurs de valeurs qui vous guident.
En l’importance de connaître ses valeurs réside une plus grande interrogation encore : qui êtes-vous ? Vos valeurs vous définissent en partie, et sont responsables des choix que vous faites, des actes que vous effectuez et de certaines motivations à agir. Il est primordial de les connaître, tant pour votre bien-être que pour une vie en accord avec vous, et personne d’autre.
Exemple :
Amélie a fini ses études, et c’est naturellement qu’elle s’oriente vers une carrière d’infirmière. Aider les autres la rend heureuse, et elle apprécie chacun de ses patients. Elle répond donc à sa valeur personnelle : la loyauté ; ainsi qu’à des valeurs professionnelles : la bienveillance et la motivation.
Comment connaître sa valeur personnelle ?
Il existe différents moyens de connaître sa valeur personnelle. Parmi eux, ces méthodes sont efficaces afin d’avoir une idée de votre valeur personnelle.
Identifier ses valeurs (perso, pros, familiales… etc.) :
En identifiant les valeurs qui vous animent au quotidien, il est déjà possible de prendre conscience d’une grande partie de vous-même. Connaître ses valeurs permet alors de vivre en accord avec elles, et donc avec soi-même. Vos valeurs sont telle une boussole qui vous guide et grâce à laquelle vous pouvez vivre sereinement et faire les meilleurs choix pour vous.
Analyser ses actions, ses prises de décision :
L’analyse de vos actions au cours des dernières années est un excellent exercice pour comprendre quelles sont les valeurs qui vous animent. En effet, décortiquer chaque prise de décision ou motivation d’une action permet ensuite de comprendre ce qui vous a conduit à agir. Bien souvent, malgré le fameux combat du cœur et de la raison, ce sont bel et bien les valeurs qui permettent de faire un choix.
Connaître ses émotions et leur fonctionnement :
Connaître les éléments déclencheurs de vos émotions vous aide également à apprendre sur vous et vos valeurs. En effet, chaque émotion a une présence pour une bonne raison. La colère, la tristesse, la joie… toutes les émotions existent et se manifestent pour vous délivrer un message. Savoir les reconnaître et les analyser, c’est se donner le pouvoir d’être en accord avec soi ou non.
Savoir ses ambitions :
De même que les émotions, les ambitions qui vous habitent, les objectifs que vous souhaitez atteindre peuvent également être le reflet d’une valeur. En vous attardant alors sur les buts que vous vous êtes fixés, il est possible de discerner les valeurs qui font de vous cette personne unique et volontaire.
Ne pas craindre de bousculer le quotidien :
Pour se mettre en accord avec ses valeurs et connaître ainsi sa valeur personnelle, il ne faut pas craindre de bousculer un peu ses habitudes. Cela étend votre zone de confort, en plus de vous permettre de vous challenger. Changer le quotidien, c’est se lancer un défi, découvrir de nouvelles capacités, et toujours, se laisser guidé par ses valeurs.
Les bienfaits de connaître ses valeurs
Connaître ses valeurs vous mènera inexorablement à connaître votre valeur personnelle. Mais cela présente également d’autres atouts au quotidien, tels que :
- Comprendre ses quêtes ;
- Trouver sa voie ;
- Donner du sens à sa vie ;
- Goûter à l’épanouissement, le retrouver ;
- Prendre conscience et comprendre pourquoi une situation peut être « bloquée » ;
- Se fixer des objectifs qu’il est possible d’atteindre ;
- Les atteindre ;
- Vivre plus sereinement et en ACCORD avec soi-même.
À terme, c’est une nouvelle connaissance de vous qu’il est possible d’appréhender. Plus encore, votre comportement, vos objectifs, vos choix, vos réactions seront limpides à vos yeux et ne vous causeront que peu – ou pas – de frustration, de déception… etc. Et pour cause, vous connaîtrez votre valeur personnelle et donc la puissance que vous êtes capable d’investir en vous-même et dans votre existence.
Comme Amélie, vous savez désormais qui vous êtes, vous connaissez votre VALEUR, et mieux encore : vous saurez quels sont les meilleurs choix pour une vie épanouie !
Le travail sur soi grâce à Nouvelle
Chez Nouvelle, Charlotte Vallet vous propose une multitude de prestations, pour le corps et l’esprit, ayant pour objectif de vous guider vers une liberté complète. Parce que l’émancipation féminine est au cœur de ses préoccupations, Charlotte Vallet vous accueille dans son atelier intimiste à Paris.
Mais Nouvelle, c’est aussi :
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :

