Catégorie : Evènements

  • Comment garder le moral pendant une FIV ?

    Comment garder le moral pendant une FIV ?

    Vouloir fonder une famille est une étape évidente pour beaucoup de personnes. Mais parfois, cela ne fonctionne pas de manière naturelle. Il est alors possible de faire appel à la science pour avoir un petit coup de pouce. Insémination artificielle, PMA, FIV… il existe diverses méthodes susceptibles de faire tomber une femme enceinte. Mais ce sont des processus longs qui ne sont pas de tout repos. Qu’est-ce que la FIV exactement ? Quelles sont ses points communs avec la PMA ? Et comment garder le moral durant cette période particulièrement difficile ?

     

    Qu’est-ce que la FIV ?

    La FIV est l’acronyme de Fécondation In Vitro. Elle est mise au point dans les années 70 et opérationnelle à partir des années 80. La fécondation in vitro est une technique de procréation médicalement assistée qui passe par le transfert d’embryon.

    La FIV, c’est une méthode qui résulte de la stimulation des ovaires afin que l’ovaire puisse être fécondé. Autrement dit, la science permet de reproduire ce qui se passe naturellement chez d’autres personnes. Sauf que dans le cas de la FIV, la rencontre entre l’ovule et le spermatozoïde ne se déroule pas dans le corps de la femme, mais en laboratoire. Ensuite, l’embryon est réimplanté dans l’utérus de la future mère.

    Il est à noter que la fécondation in vitro se différencie de l’insémination artificielle. En effet, cette dernière technique ne nécessite pas la ponction des ovules, tandis que lors d’une FIV, c’est le cas.

     

    La FIV et ses nuances

    La fécondation in vitro fait partie de la grande famille des PMA (procréation médicalement assistée). Autrement dit, elle représente l’une des méthodes utilisées pour procréer de manière moins conventionnelle, ou lorsque le corps semble présenter quelques tendances qui ne favorisent pas la fécondation par voie naturelle.

    Il existe différents types de PMA :

    • Les inséminations intra-utérines ;
    • La fécondation in vitro sans micromanipulation (FIV dite conventionnelle) ;
    • La fécondation in vitro avec micromanipulation (appelée ICSI pour Intra Cytoplasmic Spermatozoa Injection).

    Parmi toutes ces méthodes, la fécondation in vitro dite conventionnelle reste la plus utilisée des méthodes de PMA.

     

    Combien de temps dure une FIV ?

    En général, le processus de fécondation in vitro débute au deuxième jour des règles. Il dure alors douze jours. Mais la FIV ne fonctionne que rarement du premier coup. Il faudra alors attendre six mois pour faire une nouvelle tentative. En moyenne, les couples ou femmes seules font deux FIV par an.

    Toutefois, selon l’âge de la personne qui fait appel à cette méthode de procréation, il est possible d’avoir accès à une nouvelle tentative au bout de 2 à 3 mois. C’est le cas pour les femmes ayant 38 ans et plus.

     

    Des étapes difficiles

    Comme tout processus médical, la FIV présente elle aussi ses épreuves. Sans compter les risques, la durée du protocole peut rapidement être un poids tant pour le couple que pour la femme qui le vit directement au-dedans de son corps. De même, le risque de fausse couche est beaucoup plus élevé lors d’une FIV que lors d’une grossesse (15-18% contre 12%).

    Les risques de santé pour la femme qui fait appel à une FIV sont également nombreux, et peuvent ajouter un stress supplémentaire. Parmi les complications :

    • Risque de grossesses multiples : en effet, pour qu’une FIV ait plus de chances de réussites, il est parfois transféré dans l’utérus plusieurs embryons. Cela permet d’augmenter le taux de grossesse, mais représente également un risque important.
    • Risque de fausse couche: le risque de fausse couche lors d’une FIV est plus élevé que lors d’une grossesse conventionnelle.
    • Risque de malformation congénitale pour les enfants nés d’une FIV ;
    • Le cancer des ovaires ;
    • Accouchement prématuré et césarienne.

    La FIV, comme toutes les méthodes de PMA, n’est donc pas de tout repos. Tant physiquement que psychologiquement, il va s’agir de tenir bon et de rester optimiste malgré les étapes de la FIV et ce qui en résulte.  Vous pouvez diminuer le stress avec de l’hypnose par de petits gestes quotidiens

    Alors comment garder le moral durant une FIV ?

     

    Garder le moral durant une FIV

    C’est un protocole médical relativement long et assez lourd pour le corps. Et comme dans toute intervention au niveau du corps, le mental joue également un rôle non négligeable. Alors comment garder le moral durant une FIV ?

    Bien se renseigner avant de se lancer :

    Comme dans beaucoup de projets, le fait de récolter des informations avant de se lancer est important. Cela permet notamment de mieux se préparer psychologiquement aux déceptions probables, de prendre en compte les possibles « échecs » qui peuvent en résulter et surtout de bien intégrer que peu de choses fonctionnent du premier coup. Dans le cas de la FIV, cela semble donc essentiel.

    Anticiper les réactions et les décisions :

    Lors d’une fécondation in vitro, différentes décisions sont prises. Les recherches que vous aurez effectuées permettront d’anticiper une bonne partie d’entre elles. De même, n’hésitez jamais à demander aux médecins des avis, des détails, ou à poser vos questions. Vous devez être informée de tout, et vous en avez le droit. Par ailleurs, le fait d’anticiper les décisions à prendre pourra potentiellement réduire le stress occasionné lors des différentes étapes de la FIV.

    Se changer les idées entre deux FIV :

    Lorsque vous débutez l’une des méthodes de PMA, c’est tout votre quotidien qui se bouleverse. Réaliser de l’hypnothérapie à Paris pour  garder le moral durant une PMA pourra également vous aider. Cultiver les relations avec votre famille et vos amis vous apportera de la motivation et du soutien, qui sont nécessaires durant une FIV. Pour ne rien lâcher, même quand le moral est à plat, il est essentiel d’être bien entouré.e.

    S’autoriser à ressentir :

    La frustration, la déception, la tristesse, la joie, l’espoir… la FIV, c’est tout un éventail d’émotions différentes qui vous étreignent souvent. Autorisez-vous à ressentir, vivez vos émotions et ne les refoulez pas. Cela permet de libérer votre stress, votre colère ou tout autre sentiment qui pourrait se manifester. Il est essentiel que vous parveniez à avoir l’esprit clair et le cœur apaisé pour continuer la FIV.

    Dîtes adieu à la culpabilité :

    Les risques secondaires de la FIV sont nombreux, aussi il est important que vous ne culpabilisiez pas. Si vous rencontrez une déception dans le processus de fécondation in vitro, ressoudez les liens avec votre conjoint ou vos proches, et ne laissez pas votre culpabilité vous faire croire à ce qu’elle chuchote. Vous n’êtes pas responsable de ce qui ne fonctionne pas. Il est possible de réaliser des séances d’hypnothérapie à Paris pour combattre l’échec et repartir plus forte.

    Laisser le temps au temps :

    De nouveau, la FIV est un processus long et éprouvant. Vouloir accélérer les choses n’est pas possible, ou très risqué. Il est important de trouver un équilibre entre votre vie quotidienne et la FIV. Même si elle risque de prendre une place importante, la vie continue aussi et il est important que vous preniez le temps de la vivre.

     

    En quelques mots…

    La fécondation in vitro est donc un processus qui peut durer dans le temps et agir sur le plan émotionnel comme physique. Il est important de prendre soin de vous, de votre mental pour pouvoir continuer le plus sereinement possible. De même, n’hésitez pas à vous chouchoutez durant cette période éprouvante.

    Cela peut notamment passer à travers divers soins comme les massages, l’hypnose de confiance en soi pour se faire plaisir, les soins esthétiques ou encore la pratique de médecines alternatives comme la sophrologie ou la méditation.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose aussi des soins thérapeutiques du corps et du visage, comme le drainage lymphatique.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, prenez le temps de vous comprendre et de vous aimer.

  • L’automne dans tous ses effets !

    L’automne dans tous ses effets !

     

    Toutes les bonnes choses ont une fin… et l’été ne fait pas exception à la règle ! Même si les soirées restent appréciables dans un premier temps, et que les couleurs chatoient avec vigueur, l’automne est un pont direct vers l’hiver ! Un joli pont, certes, mais qui porte sur lui les prémices disgracieuses des premières pluies, des jours qui raccourcissent, et des apparitions du soleil de plus en plus rares… Oui, l’automne porte avec lui de nombreuses valises encombrées de surprises. Et elles ne sont pas toujours bonnes pour notre corps ou notre mental ! Voyons quels sont les effets importants de l’automne.

     

    L’automne, les premiers effets remarquables

    Alors que le mois de septembre se profile à l’horizon, les effets de l’automne ne sont pas encore décelés. Officiellement, l’automne ne se fait pas appeler avant la date du 22. Et pourtant, déjà il est possible d’observer les journées se raccourcir, et le taux de lumière baisser de plus en plus tôt. Le soleil, qui rythmait les matinées estivales peine de plus en plus à se montrer le matin, retardant son arrivée toujours plus, et le soir, il court rapidement se cacher derrière l’horizon.

    Et c’est souvent ce manque de lumière, insidieux et progressif, qui frappe en premier le moral des troupes. Parce que les êtres humains sont des animaux diurnes – qui vivent le jour, donc-, le manque de lumière peut être source de nombreux troubles. Parmi eux, l’on retrouve :

     

    • Le manque de vitamine D 

    S’il paraît moindre en automne, il s’impose pourtant à cette période et perdure, si on n’y remédie pas, durant tout l’hiver. Sauf que la vitamine D est essentielle, à la fois pour les os, mais également pour tout le système immunitaire. En manquer, c’est risquer plus facilement d’attraper des microbes, de servir de couveuse à de petits (ou gros) virus, et ça, ce n’est souhaitable à personne !

     

    • Le mental qui se fragilise

    Qui n’est pas heureux de prendre un bain de soleil durant l’été ? Outre les vitamines qu’il permet au corps d’absorber, voir le soleil, le sentir chauffer sur sa peau, c’est surtout un moment agréable ! Alors quand le soleil se raréfie, c’est tout le mental qui se modifie… et très vite l’envie de se lover sous un plaid prévaut sur les soirs de fête.

     

    • Les montagnes russes des humeurs

    Et lorsque le mental se modifie si rapidement, en accord total –ou presque- avec les changements de la nature, ce n’est pas sans conséquences non plus pour les humeurs. Irritabilité, fatigue, tristesse… comment lutter ? Les sourires semblent disparaître en même temps que le soleil derrière ces petits nuages qui arrivent en renfort. Difficile, donc, de garder de le moral dans ces conditions, et surtout lorsque l’accumulation de ces trois premiers effets peut se constater.

     

     

    Lautomne, et lénergie

    Si les premiers effets de l’automne apparaissent aussi rapidement que les feuilles tombent des arbres, tout aussi vite, les conséquences desdits effets pointent aussi le bout de leur nez. Et plus que le moral ou l’aspect physique, ces effets peuvent directement intervenir sur l’énergie du corps dans son ensemble, et les sphères sociales comme privées.

     

    • Vitamine D : du manque à l’isolement

    Car outre le manque de vitamine D et les risques sanitaires qui y sont liés, des carences apportent aussi beaucoup de fatigue, des baisses de tensions, voire des malaises. Avant d’arriver à une telle extrémité, il est possible que cela convainque également même les âmes les plus téméraires face à la fraîcheur, de repousser certaines sorties en compagnie des amis ou des collègues – ou les deux ! C’est le signe d’une baisse d’énergie, du fait que le corps soit fatigué et puise dans ses ressources pour tenter de tout tenir à flot – et surtout, affronter le froid de plus en plus constant et mordant.

    Le mieux est alors de palier à cette carence de vitamine D dès le début de l’automne. De même, elle peut se présenter une année par hasard, et revenir comme ne jamais se prononcer l’année suivante. Ce sont des variables aléatoires qui dépendent du style de vie, des aliments, et surtout, de chaque personne !

     

    • D’un esprit fragile à la dépression, il n’y a qu’un pas…

    Si le raccourci est rapidement effectué, l’automne comporte de nombreux risques pour la santé mentale. Car si les êtres vivants sont des animaux diurnes, le manque de soleil peut rapidement se répercuter sur le mental et donc, l’énergie. Si dans la tête, l’envie n’y est pas de mettre un pied dehors car les nuages sont déprimants, cette décision se transforme rapidement en habitude tenace et amère. Viennent alors les longues soirées de solitude, et fatalement, les journées qui le sont encore plus. Si les ours, les renards et les lapins hibernent à cette période pour ne ressortir leurs museaux qu’au printemps, c’est bien là la preuve du principe diurne et des conséquences.

    Mais malgré le froid qui s’installe paisiblement en ignorant les dents qui claquent, le plus grand ennemi de cette époque n’est peut-être pas l’automne, mais bel et bien la dépression qu’il peut porter dans son sillage – aussi appelée dépression saisonnière.

     

    • Des humeurs changeantes qui impactent la vie au quotidien

    Si les déprimes passagères peuvent arriver toute l’année, lorsque l’irritabilité succède à un calme absolu ou une euphorie puissante, il devient compliqué pour l’entourage de suivre. Pire encore, cela fatigue le corps et l’esprit. Les émotions étant étroitement liées aux hormones, cela peut également impacter l’appétit, la libido ou encore, dans certains cas comme la dépression ou le stress, les cycles menstruels pour les personnes concernées.

    Les humeurs ont un impact direct sur différents pans de la vie, et les conséquences de l’automne telles que le manque de sommeil –et donc la fatigue-, des baisses d’énergie –ou la dépression-, le manque de vitamine D – et donc des carences dans l’organisme-, peuvent avoir des effets malheureusement plus durables qu’une simple gêne à la fin de l’été.

     

    Que faire ?

    L’automne a donc autant d’effets qu’un supermarché a de produits – et ils ne sont pas tous bénéfiques ! Il existe évidemment des solutions, des meilleurs amis qui permettent d’affronter l’automne et ses conséquences, et de nombreux tips pour préparer tant le corps que l’esprit à l’arrivée de cette saison parfois très redoutée. Car si ses couleurs sont flamboyantes, la situation peut rapidement devenir complexe pour les personnes qui y sont sensibles.

     

    Enfin, il n’y a aucune solution miracle. Chaque personne est différente, et réagira donc différemment à l’arrivée de l’automne. Si certains cœurs se réjouiront assurément, d’autres, plus emprunts à la mélancolie, pourront chérir les quelques rayons de soleil encore présents, les températures douces qui persistent contre les matinées froides, et les plus âmes les plus téméraires s’adapteront sans difficultés en attendant le retour du printemps. Car une chose est sûre… c’est qu’il reviendra !

     

    Prendre soin de soi est un travail auquel il faut veiller. Avec l’arrivée de l’automne, l’on peut rapidement se sentir dépassé par le manque de sommeil, ou l’épuisement mental qui arrive parfois. C’est pourquoi je vous propose aussi, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris, des séances d’hypnose et de soins du corps thérapeutiques.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Et tout comme l’automne, toutes les saisons ont leur effets et leurs particularités ! C’est pourquoi je propose des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi et de se découvrir davantage. Bienveillance, partage, le travail sur soi est un chemin pavé de petits gestes qu’il est parfois naturel de devoir apprendre. N’hésitez plus !

    De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.