Catégorie : Émotion

  • Le détachement émotionnel : comment être libre sans devenir un glaçon

    Le détachement émotionnel : comment être libre sans devenir un glaçon

    Imagine ton amie de toujours, celle qui partage ta vie depuis 10 ans. Vous avez tout vécu ensemble, les fous rires comme les larmes. Pourtant, depuis quelque temps, tu sens que cette relation te vide plus qu’elle ne te nourrit. Mais comment oser y mettre fin ? Le détachement émotionnel fait souvent peur, surtout quand il s’agit de liens aussi profonds. La déconnexion émotionnelle fait souvent peur parce qu’on l’associe aussi à de la froideur. Tu te dis peut-être que sans ton amie, tu te retrouveras seule ou que tu perdrais une partie de ton histoire. Je comprends ces peurs – elles sont naturelles. Mais et si je te disais que le détachement pouvait être la clé de relations plus authentiques ?

    La face cachée du détachement émotionnel : libère-toi sans perdre ton authenticité

    Pour beaucoup, le détachement émotionnel évoque un mécanisme de défense froid qui coupe de toute émotion. Cette vision est loin de la réalité ! C’est en fait un outil puissant pour prendre soin de ta santé mentale et cultiver des relations plus saines. Imagine-le comme un thermostat émotionnel qui te permet d’ajuster ton niveau d’implication dans chaque situation de ta vie, sans perdre ton authenticité ni t’enfermer dans une forteresse affective.

    Le vrai détachement, c’est apprendre à danser entre ton cœur et ta raison.

    C’est développer la capacité de ressentir pleinement tout en sachant te protéger quand c’est nécessaire. Cette pratique t’aide à naviguer dans le monde social sans te noyer dans les émotions excessives.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Les racines de l’attachement excessif

    Le syndrome de la petite fille blessée

    Ton cerveau émotionnel s’est formé avant tes 7 ans, en réponse à ton environnement. Les événements traumatisants, même subtils, ont laissé une empreinte dans ta mémoire traumatique. Ces expériences précoces influencent aujourd’hui ta manière de réagir et peuvent créer des troubles dans ta façon de gérer les relations.

    Les pièges de la codépendance

    L’attachement émotionnel excessif se manifeste souvent par une dépendance aux autres pour ton bien-être. Les signes sont révélateurs :

    • Tu portes la responsabilité des émotions d’autrui comme si c’était les tiennes
    • Tu sacrifies systématiquement tes besoins pour le bonheur des autres
    • La peur de l’abandon guide tes comportements
    • L’approbation sociale devient une obsession qui impacte ta qualité de vie

    Cette implication émotionnelle excessive peut créer un véritable trouble de la personnalité si tu ne prends pas le temps d’adopter un détachement sain. Le stress professionnel et personnel qui en résulte peut avoir des effets dévastateurs sur ton corps et ton esprit.

    Les étapes vers un détachement sain

    La libération émotionnelle commence par une profonde pleine conscience de ton état intérieur. Cette approche va bien au-delà d’une simple introspection – c’est un changement progressif dans ta façon de ressentir et d’agir. Cette conscience aigüe de toi-même rend le détachement plus naturel, presque évident.

    Elle nécessite ce que j’appelle un “ego juste” – ni trop, ni trop peu, juste ce qu’il faut pour honorer tes besoins authentiques.

    En tant que coach, j’aide les personnes à identifier ce qui nourrit réellement leur joie de vivre.

    reseaux sociaux charlotte

    L’art de fermer les cycles

    Les relations suivent des cycles naturels, et la vraie liberté c’est d’accepter leur fin quand elles ne résonnent plus avec tes énergies.

    Que ce soit avec un amoureux ou même la famille, quand tu as développé une profonde confiance en ta capacité à choisir ce qui est bon pour toi, tu n’as plus peur de dire au revoir.

    Tu sais quoi ? Souvent, on s’attache aux gens non pas pour qui ils sont vraiment, mais pour ce qu’ils représentent. Prenons l’exemple de cette amie que tu connais depuis 10 ans – tu as peut-être peur qu’en la quittant, tu te retrouves sans amis. Mais c’est un mensonge que ton mental te raconte ! À chaque fois que tu fermes un cycle, tu libères de l’espace pour de nouvelles rencontres qui vont véritablement t’enrichir.

    Les techniques concrètes pour te détacher émotionnellement

    La pratique du “temps mort émotionnel” est une approche psychodynamique efficace pour gérer les moments de stress intense. Quand une situation te submerge et que les émotions deviennent excessives, prends ce temps de pause. C’est une première étape essentielle dans le traitement de l’épuisement émotionnel.

    L’ancrage dans le présent utilise les techniques de pleine conscience pour renforcer ta résilience. Cette méthode t’aide à sortir des schémas de pensée négative qui peuvent dominer ton quotidien.

    La transformation de tes comportements relationnels

    Le principe d’adaptation émotionnelle offre un nouveau point de vue sur ton système de soutien social. Mon expérience en thérapie et conseil montre que cette approche aide particulièrement les personnes à maintenir des relations saines sans perdre leur propre essence.

    La reprogrammation des croyances limitantes

    Le chemin vers une estime de soi équilibrée passe par l’identification des événements traumatisants qui limitent ton expression. Ces réactions, souvent liées à quelque chose de plus profond, peuvent évoluer grâce à une thérapie brève adaptée.

    Vers une nouvelle liberté relationnelle

    L’art du lâcher-prise conscient

    En fermant les cycles qui ne te servent plus, tu envoies un message clair à l’univers : tu es prête à accueillir de nouveaux cycles vertueux qui vont te nourrir. Attention, je ne parle pas ici de relations qui te “rassurent” – car le besoin d’être rassurée cache souvent une blessure. Je parle de relations qui te stimulent, qui t’inspirent – c’est là que réside la vraie valeur d’un lien. Le vrai problème n’est pas tant dans la perte que dans l’attachement aux résultats.

    La création d’espaces sacrés

    Fixer des limites claires dans ton environnement est essentiel pour adopter le détachement émotionnel. Ces frontières agissent comme des zones de soin de soi qui te permettent de maintenir ton équilibre. À travers nos entretiens, nous explorons ensemble comment atteindre cette liberté intérieure.

    Ce processus de transformation demande du temps et de la patience. Si tu ressens le besoin d’être accompagnée dans cette démarche, mon rôle est de t’aider avec des outils concrets et une approche personnalisée.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

  • La peur du regard des autres : découvre pourquoi elle t’empêche de t’épanouir

    La peur du regard des autres : découvre pourquoi elle t’empêche de t’épanouir

    Cette peur du regard des autres qui te ronge, qui paralyse ton corps et ton esprit, c’est bien plus qu’une simple timidité ou un manque de confiance. Cette blemmophobie – oui, il existe même un terme scientifique pour définir ce trouble anxieux ! – peut évoluer en véritable phobie sociale si on ne s’en occupe pas. C’est comme une petite voix intérieure qui te souffle sans cesse “Attention à ce que tu fais, les autres te regardent”, t’empêchant d’oser t’exprimer et de redonner du sens à ta vie. Mais as-tu déjà réfléchi à ce qui se cache vraiment derrière cette hypersensibilité au regard d’autrui ? Spoiler alert : ça n’a rien à voir avec les autres, mais tout à voir avec toi !

    Qu’est ce qui se cache vraiment derrière la peur du regard des autres ?

    Parlons cash : cette crainte du jugement des autres n’est pas une peur irrationnelle tombée du ciel. Si tu as peur du regard des autres, c’est souvent parce que tu ne sais pas vraiment qui tu es. C’est comme si tu donnais aux autres le pouvoir de te définir, de décider de ta valeur. Tu mets tellement d’énergie à t’inquiéter de ce que pensent les autres que tu en oublies de te regarder toi-même !

    Ce mécanisme est pervers et crée un cercle vicieux d’angoisse et d’évitement : moins tu te connais, plus tu cherches dans l’opinion des autres une validation que tu ne peux pas te donner. C’est comme si tu leur donnais les clés de ta santé psychologique en leur disant “Tenez, c’est vous qui décidez de ma valeur“. Cette peur de décevoir devient alors un véritable trouble anxieux qui impacte ta communication et tes interactions sociales.

    Tu trouves ça normal de laisser les autres avoir autant d’importance dans tes choix de vie ? Moi, non. Et si tu commençais dès aujourd’hui à reprendre le contrôle ? N’hésite pas à réserver un appel découverte pour échanger sur ta situation et explorer ensemble les étapes de ton épanouissement.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Les racines profondes de cette insécurité que tu traînes

    Cette sensibilité excessive au regard d’autrui prend souvent ses origines dans l’enfance.

    Je le sais bien, j’ai moi-même été cette petite fille qui rougissait constamment jusqu’à ma vingtaine. Cette peur de rougir me paralysait, j’étais à vif, hypersensible au moindre regard. Et tu sais pourquoi je rougissais ? Parce que j’avais honte de qui j’étais, tout simplement parce que je ne savais pas vraiment qui j’étais. Mon parcours dans différentes familles m’avait laissée avec cette sensation d’être incomplète, mal définie.

    Peut-être que ton histoire est différente. Peut-être as-tu vécu des expériences négatives à l’école ? Ou grandi dans un environnement où ton enfant intérieur n’a pas pu développer une image positive de lui-même ? Quand tu as honte de toi, tu as envie d’être une petite souris cachée sous une table. Je connais tellement ce sentiment ! Ces facteurs personnels créent des blessures émotionnelles profondes qui se manifestent aujourd’hui par :

    • Une peur intense d’être jugée négativement
    • Des sensations physiques désagréables (tremblements, malaise) en situation sociale
    • Un besoin constant de plaire et une difficulté à t’affirmer

    Et tu sais ce qui se passe quand tu te sens comme ça ? Tu ne prends pas assez de place, alors ce sont les autres qui en prennent à ton insu ! C’est comme si tu leur donnais inconsciemment la permission de définir qui tu es, parce que tu ne te sens pas capable de le faire toi-même.​

    Quel est l’impact de la peur du regard des autres sur ton quotidien ?

    Cette hypersensibilité au regard des autres peut avoir des conséquences importantes sur ta vie personnelle et professionnelle. Tu te retrouves à :

    • Limiter tes interactions sociales
    • Éviter certaines situations qui pourraient te mettre en difficulté
    • Restreindre l’expression de tes besoins et de tes émotions

    Or, attention !!

    Quand tu vis avec cette peur du jugement, tu attires souvent des personnes qui résonnent avec ton niveau d’insécurité, avec ta vibration. C’est un peu comme si ton cerveau était programmé pour confirmer tes pires craintes. Plus tu as peur d’être jugée, plus tu attires des situations et des personnes qui vont effectivement te juger. Non pas parce que le karma te punit, non non. Mais parce que les personnes qui ont une vibration basse sont souvent dans un mal-être, soit ponctuel soit plus profond. Mais quoi qu’il en soit, les gens qui vont mal sont souvent dans le jugement et moralisateurs. Clairement, tu n’as pas besoin de cet entourage-là !

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    Comment apprendre à dépasser sa peur du regard des autres ?

    Sache que les autres ont en réalité, bien d’autres problèmes que toi

    La première étape pour se détacher de cette anxiété sociale est de comprendre quelque chose d’essentiel : la plupart des gens sont tellement préoccupés par leur propre malaise et leurs troubles anxieux qu’ils n’ont pas le temps de te juger ! Je l’ai moi-même compris sur le tard, et cette prise de conscience a été un premier pas vers le lâcher prise. Face au regard des autres, on se crée souvent des scénarios catastrophe, alors qu’en réalité, chacun est trop occupé à gérer ses propres questions existentielles et son stress quotidien.

    Essaye de reconstruire ton estime de toi

    Le véritable enjeu est de rediriger toute cette énergie émotionnelle que tu dépenses à craindre le jugement négatif des autres vers quelque chose de plus constructif : ton développement personnel. Au lieu de chercher l’approbation de ton entourage ou de tes collègues, commence à poser les bases d’une nouvelle relation avec toi-même. C’est un exercice qui demande de la bienveillance envers soi, mais qui est essentiel pour vaincre cette tendance à l’auto-critique.

    L’importance d’accepter les périodes difficiles : à toi le chaos constructif !

    Je t’explique : ne fuis pas les moments où tu te sens faible ou en situation d’échec. Ces expériences, même si elles peuvent provoquer de l’angoisse sur le moment, sont de véritables occasions d’apprentissage. C’est souvent dans ces périodes que tu oses affronter tes peurs et que tu découvres ta force intérieure. Oui, c’est inconfortable. Oui, ça peut faire peur. Mais c’est en osant faire face à ces moments qu’on progresse.

    Tu peux d’ailleurs utiliser ces situations comme des exercices pratiques de gestion du stress. Que ce soit lors d’une présentation en public, dans un groupe social, ou même dans un simple échange avec des amis, chaque interaction devient une opportunité de travailler sur toi.

    Des techniques concrètes pour avancer

    Commence par t’observer sans jugement.

    • Quand surgit cette peur du regard des autres, note ce qui la déclenche.
    • Pose-toi la question : “Si personne ne me regardait, que ferais-je différemment ?”
    • Pratique des petits actes d’affirmation de soi au quotidien

    Le soutien thérapeutique comme axe de travail

    Se libérer de cette peur nécessite parfois un accompagnement professionnel. Différentes approches peuvent t’aider :

    • L’hypnose pour travailler sur les origines de tes peurs
    • Le coaching en développement personnel pour renforcer ton affirmation de soi
    • La thérapie pour traiter l’anxiété sociale si elle est trop handicapante

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Vers une nouvelle relation à toi-même ?

    Plus tu apprendras à te connaître et à t’accepter, plus ta qualité de vie s’améliorera. C’est comme si tu passais d’un état de stress constant à un sentiment de paix intérieure. N’hésite pas à faire appel à un professionnel pour t’accompagner dans ce cheminement. Un appel découverte offert peut être la première étape vers ta libération. Ensemble, nous pouvons travailler sur tes blocages et t’aider à retrouver confiance en toi pour vivre pleinement, sans être prisonnière du regard des autres.

    Souviens-toi : la société actuelle nous pousse souvent à nous préoccuper excessivement du jugement d’autrui, mais ta valeur ne dépend pas de l’opinion des autres. Elle est intrinsèquement liée à qui tu es, dans ton authenticité.

  • Comment être heureuse seule ? Guide pour s’épanouir en solo et kiffer sa solitude

    Comment être heureuse seule ? Guide pour s’épanouir en solo et kiffer sa solitude

    Tu cherches à te réapproprier ta vie et à cultiver l’amour de soi ? Se demander comment être heureuse seule est une question cruciale dans notre développement personnel. Cette question touche d’ailleurs particulièrement les femmes et ce n’est pas un hasard : nous portons dans nos gènes ce qu’on appelle une “dette émotionnelle”, une peur viscérale de l’abandon qui nous suit depuis des générations. Cette peur, ancrée dans notre passé et notre corps, diffère radicalement de celle des hommes, qui eux sont plutôt terrifiés par le rejet social et professionnel. C’est fascinant de voir à quel point ces schémas sont profondément enracinés en nous ! Cette forme de dépendance émotionnelle peut, sans prise de conscience, nous empêcher d’apprécier notre propre compagnie et décupler notre fragilité émotionnelle.

    La vérité qui dérange sur ton rapport à la solitude

    La société nous a vendu un sacré mytho : elle nous bombarde de messages négatifs sur la solitude.

    Les réseaux sociaux, les films, la famille… tout nous pousse à croire qu’une personne seule ne peut pas accéder à son propre bonheur. Quelle connerie ! Cette croyance toxique nous pousse à développer une vraie phobie de la solitude, peut conduire au stress, voire à la dépression. Le truc, c’est que notre corps et notre esprit sont programmés pour chercher la connexion – normal, on est des êtres sociaux. Mais il existe une différence fondamentale entre maintenir des liens de qualité et développer une dépendance affective qui nous éloigne de notre estime de soi.

    La science elle, nous révèle une chose fascinante : tu peux être entourée de mille personnes et te sentir terriblement seule, ou être seule et te sentir parfaitement heureuse. Pourquoi ? Parce que le sentiment de solitude n’est pas lié à la présence ou l’absence des autres, mais à la relation que tu entretiens avec toi-même.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    La réponse ? Apprendre à s’aimer demande d’accepter de traverser une phase de “désintoxication émotionnelle”. Oui je sais, c’est un comble quand on a précisément peur de se retrouver seule ! C’est comme si tu devais réapprendre à respirer par toi-même après avoir toujours utilisé un respirateur. Cette dette émotionnelle que nous portons nous pousse naturellement à fuir la solitude, à chercher notre valeur personnelle dans le regard de l’homme avec qui on vit. Mais les ressources pour être heureuse seule sont déjà en toi, elles l’ont toujours été. Il faut juste accepter de traverser cette longue phase de vide affectif, jusqu’au moment où ton corps te dira “Ah, mais en fait c’est bon, tu as les clés en toi pour surmonter ça”.

    Il faut accepter de traverser une phase de vide émotionnel, comme un passage obligé vers une meilleure connaissance de soi.

    Le piège des relations “pansements” qui t’empêchent d’être heureuse seule

    J’ai envie de te parler cash : combien de fois t’es-tu jetée dans une relation pas authentique, ou as-tu maintenu des amitiés superficielles juste pour éviter d’être seule ? C’est comme mettre un pansement sur une plaie infectée : ça cache le problème, mais ça ne le guérit pas. Prenons un exemple concret : tu passes peut-être ton temps à appeler des amis, à multiplier les activités, à remplir ton agenda d’événements… Mais une fois dans ton espace personnel, tu ressens ce vide qui te rend malheureuse. C’est comme si tu étais en perpétuel besoin de distractions pour ne pas faire face à toi-même.

    Je l’ai vécu personnellement : pendant des années, j’ai multiplié les relations, les voyages accompagnés, les sorties en groupe. Je pensais que c’était ça, vivre. J’avais énormément d’amis “fun”, mais qui n’apportaient rien. En fait, ça venait juste nourrir mon manque affectif. Ces relations-là étaient superficielles, et derrière j’étais tout de même seule. Mon voyage en 2014 en tour du monde a tout changé. Je ne suis pas partie avec mon amie comme prévu suite à un concours de circonstances, et ça a été le début de la solitude réparatrice qui a fait celle que je suis.

    Trouver son équilibre solo : la méthode qui marche pour être heureuse seule

    La première étape, c’est d’arrêter de te mentir. Ces soirées où tu sors alors que t’as pas envie, ces relations que tu maintiens par habitude, par loyauté passive sous prétexte qu’ils sont dans le décor depuis déjà longtemps… Stop ! C’est le moment de faire le tri. Comme je dis souvent à mes clientes : “Mieux vaut deux amies en or que dix qui ne te tirent pas vers le haut”. La qualité plutôt que la quantité, toujours.

    L’art de se reconnecter à soi-même pour être heureuse seule

    Tu sais quoi ? La solitude, c’est comme un muscle : plus tu l’exerces, plus elle devient confortable. Commence petit à petit :

    • Une soirée par semaine dédiée à toi seule
    • Un resto ou un ciné en solo (oui, tu peux !)
    • Un week-end d’introspection sans ton téléphone

    Ce sont des petits pas, ça ne va pas te transformer direct. Mais c’est déjà bien si tu arrives. Et tu verras que si tu commences par ça, tu viseras bientôt beaucoup plus grand. Voyage seule, monte une boîte seule ! Tu risques bien de te surprendre…

    Ce qui est fascinant, c’est qu’en apprenant à être bien seule, tu développes une force intérieure incroyable. Tu n’es plus sensible au regard des autres, tu oses dire non, tu fais des choix qui te correspondent vraiment. C’est là que la vraie confiance en soi se construit.

    Les obstacles courants qui t’empêchent de cultiver ta solitude

    Le syndrome du “mais qu’est-ce qu’ils vont penser ?”

    La peur du jugement, parlons-en ! Combien de fois as-tu évité de faire quelque chose seule par peur du regard des autres ? Cette peur est courante, mais elle ne doit pas te freiner. Rappelle-toi : les gens sont tellement occupés avec leurs propres histoires qu’ils ne te jugent pas autant que tu le penses.charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Gérer les moments difficiles

    Même quand tu commences à apprécier la solitude, il y aura des moments plus compliqués. Des jours où tu te sentiras plus faible, plus sensible. C’est normal, ça fait partie du processus. L’important est d’avoir des outils pour y faire face :

    • Tenir un journal intime
    • Pratiquer la méditation
    • Développer des rituels qui te font du bien
    • Et tout ce qui te fait du bien !

    De la solitude subie à la solitude choisie

    Transformer son rapport à la solitude demande du temps et de la patience. C’est un véritable travail sur soi qui peut nécessiter un accompagnement. En tant que coach spécialisée en émancipation féminine, j’aide mes clientes à dépasser leurs peurs profondes et à se reconnecter à leur force intérieure. Si tu te sens prête à entreprendre ce voyage vers toi-même, n’hésite pas à me contacter pour un coaching personnalisé. Je peux t’accompagner dans cette transformation avec bienveillance et des outils concrets. En attendant, retrouve-moi sur Instagram pour plus de conseils et d’inspiration au quotidien.

    N’oublie jamais : être heureuse seule n’est pas impossible, c’est une compétence qui s’apprend. Et crois-moi, une fois que tu l’as acquise, c’est pour la vie !

  • Comment gérer sa colère : et si tu transformais cette émotion en force positive ?

    Comment gérer sa colère : et si tu transformais cette émotion en force positive ?

    Cette colère qui monte en toi comme un tsunami, cette expérience émotionnelle intense, je la connais intimement. La gestion de la colère est un défi quotidien que beaucoup d’entre nous affrontent. Pendant des années, j’ai porté cette fureur contre le monde entier : contre les parents qui n’assument pas leur rôle, contre un système social défaillant, contre une famille d’accueil sans chaleur véritable, contre des adultes qui ne m’ont pas donné les clés pour avancer. Face à la colère, nous pouvons nous sentir démunis, mais il existe des solutions concrètes pour transformer cet état affectif violent en une force puissante et constructive ! Comment gérer sa colère ? Mon mode d’emploi plus bas.

    La colère : une émotion naturelle à apprivoiser

    La psychologie et les études en neurosciences nous enseignent que la colère fait partie des émotions de base essentielles à notre survie. C’est une réaction émotionnelle naturelle et saine, même si la société nous pousse souvent à la réprimer, surtout en tant que femmes ! L’intelligence émotionnelle nous apprend que la colère agit comme un signal d’alarme qui indique que quelque chose ne va pas : un manque de respect, une limite non respectée, une injustice ressentie. Ce n’est pas une fragilité émotionnelle que de ressentir de la colère ! La première étape pour gérer votre colère est de reconnaître qu’elle n’est pas une émotion négative en soi, mais un indicateur précieux de nos besoins.

    Les manifestations d’une colère qui déborde

    Face à une situation stressante qui déclenche ta colère, ton corps envoie des signaux :

    • Physiques : augmentation du rythme cardiaque, tension musculaire, mâchoires serrées, respiration rapide, problème lors du chargement d’énergie dans les muscles
    • Émotionnels : irritabilité croissante, pensées obsessionnelles, sentiment de colère, frustration intense, stress accumulé

    La gestion du stress et l’observation de ces signes sont essentielles. Ton corps est intelligent : ces réactions physiologiques sont comme un feu rouge qui te donne l’opportunité de reprendre le contrôle avant la crise de nerfs. En développant ta capacité à identifier les déclencheurs de colère, tu peux intervenir plus tôt dans le processus.

    “J’ai moi-même longtemps alimenté cette colère. Tu vois, la vie m’a apporté la volonté d’avancer coûte que coûte. Donc j’ai même fini par être en colère et intolérante contre les gens qui eux, n’avançaient pas ! Ok, je récupère la responsabilité de les avoir conservé dans mon entourage pendant longtemps pour les “sauver”. Mais je n’étais pas dans la bonne énergie.”

    Comment évacuer sa colère intérieure ? La conscience de soi avant tout autre chose

    Selon moi, la clé réside dans un retour à soi plutôt que dans la focalisation sur l’extérieur. C’est le moment de te poser les vraies questions : D’où viens-tu ? Où en es-tu aujourd’hui ? Où souhaites-tu aller ? Quelles sont tes valeurs profondes ?

    Ce qui est essentiel, c’est aussi de réaliser que les personnes qui t’ont blessée n’avaient peut-être pas toutes les cartes en main. Dans notre société tu sais, on nous apprend rarement à donner et recevoir avec bienveillance. On ne nous apprend pas non plus qu’au final, très peu de choses nous appartiennent dans notre rapport aux autres.

    Cette prise de conscience peut être le début du pardon. Pourquoi ? Parce qu’on peut alors plus facilement pardonner. On se rend compte que la situation est telle qu’elle est, que c’est comme ça et que ca ne pouvait peut-être pas être autrement. Cette compréhension n’excuse pas leurs actes mais peut t’aider à te libérer.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Pour gérer ta colère, apprends à la communiquer !

    Quand la colère surgit vis à vis d’un proche, plutôt que d’éviter le conflit ou de basculer dans la violence verbale, tu peux voir cette situation comme une chance de renforcer votre lien. La clé est d’adopter une approche constructive en trois temps :

    La prise de recul immédiate

    • Signale ton besoin de calme (“J’ai besoin de quelques minutes pour me recentrer”)
    • Trouve un espace tranquille
    • Pratique des exercices de respiration

    L’expression structurée

    • Une fois plus calme, exprime-toi !
    • Décris la situation de manière factuelle
    • Partage ton ressenti avec des “messages-je”
    • Explique tes besoins avec empathie
    • Propose des solutions concrètes

    La reconstruction

    • Écoute activement l’autre personne
    • Cherche des points d’accord
    • Établis de nouvelles règles de communication
    • Célèbre les progrès, même minimes

    Comment gérer sa colère ? Savoir en tirer parti

    Quand tu apprends à accueillir ta colère avec conscience, elle peut devenir un formidable moteur de changement. Regarde les grands mouvements sociaux : ils sont souvent nés d’une colère canalisée vers un objectif constructif ! Ce n’est pas un hasard si la majorité des activistes sont des personnes en colère – cette émotion est littéralement la meilleure pour s’engager et faire bouger les lignes.

    Chaque émotion a en fait sa propre intelligence et son utilité : là où la colère pousse à l’action et au changement social, la tristesse stimule la créativité et l’expression artistique, tandis que la peur joue son rôle protecteur essentiel. Par contre, oublie la culpabilité et la honte : ces deux-là sont des parasites émotionnels qui ne te serviront jamais à rien de constructif.

    Alors plutôt que de diriger ta colère contre les autres ou contre toi-même, pourquoi ne pas la réorienter vers des causes qui te tiennent à cœur ? Que ce soit l’écologie, les droits humains, la protection animale… ta colère peut devenir le carburant de ton engagement.

    Attention quand même : si cette émotion peut parfois te nourrir et te donner de l’énergie, ne la laisse jamais prendre le dessus au point de t’oublier toi-même. La colère doit rester une alliée, pas devenir ta maîtresse. Elle peut t’alimenter par moments, mais n’oublie jamais que c’est toi qui dois garder les rênes.

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    Quelques techniques bien connues pour savoir comment gérer sa colère

    La respiration comme ancre

    La respiration abdominale est une méthode éprouvée pour désamorcer un coup de colère. Pratique la respiration profonde : inspire pendant 4 secondes, retiens 4 secondes, expire 6 secondes. Cette technique simple peut t’aider à libérer les tensions et retrouver la sérénité. Bon, ça reste du développement personnel classique, mais ça peut aider.

    Le recadrage mental

    Observer ses pensées et pratiquer la visualisation positive peut aider à diminuer l’impulsivité. Pose-toi ces questions : “Cette situation mérite-t-elle vraiment toute cette énergie ? Que m’apprend cette colère sur mes besoins profonds ?”

    Mes stratégies à long terme pour une meilleure gestion de ta colère

    • Tiens un journal de tes colères. Note non seulement les situations déclenchantes, mais aussi les pensées et sensations qui les accompagnent. Cette pratique régulière t’aidera à identifier tes schémas réactionnels et à mieux comprendre tes déclencheurs.
    • Utilise le mouvement comme exutoire. L’activité physique est une excellente façon de libérer la tension accumulée. Course à pied, boxe, danse… trouve ton activité de prédilection et pratique-la régulièrement, pas seulement quand la colère monte.
    • Profite de la solitude bienveillante. Prends des moments de solitude consciente. Loin du jugement des autres et de leurs influences, tu pourras mieux observer tes émotions et développer ta propre sagesse intérieure. Il n’y a rien de pire qu’un effet de groupe qui vient piquer ta colère et te faire ruminer !
    • Établis une routine de bien-être quotidienne : méditation, yoga, temps dans la nature… Ces pratiques régulières construisent ta résilience émotionnelle et préviennent l’accumulation de tension.
    • DORS ! Des études montrent qu’un bon sommeil est essentiel pour maintenir notre capacité à gérer nos émotions.

    Comment gérer sa colère ? En cherchant du soutien

    Si tu sens que ta colère impacte négativement ta santé mentale et physique, n’hésite pas à chercher de l’aide. La thérapie peut t’aider à :

    La colère est une émotion puissante qui, bien canalisée, peut devenir une alliée précieuse. En développant ta conscience de sa colère et en utilisant les bonnes méthodes, tu peux transformer cette force en une source d’énergie positive. Le chemin vers une meilleure gestion de la colère demande du temps et de la pratique, mais chaque petit pas compte dans cette transformation.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Si tu veux approfondir ce travail sur toi-même, je suis là pour partager d’autres conseils et techniques. Ensemble, nous pouvons explorer des solutions adaptées à ta situation personnelle et t’aider à développer une relation plus sereine avec tes émotions.

  • Fragilité émotionnelle : une vérité profonde qui transforme nos relations amoureuses

    Fragilité émotionnelle : une vérité profonde qui transforme nos relations amoureuses

    Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.

    Une problématique que j’ai souvent rencontrée est la tendance des femmes à s’investir très rapidement dans des relations avec des hommes, validant ces relations trop vite sans vraiment prendre le temps de bien connaître la personne. Et cela provient d’une carence émotionnelle.

    L’amour trop rapide et la répression émotionnelle cachent des fragilités partagées qui minent nos relations amoureuses. Découvrez comment dépasser ces dynamiques toxiques pour bâtir des relations authentiques, libres et équilibrées.

    L’ego d’un homme est aussi fragile que le cœur d’une femme : pourquoi l’amour trop rapide et la répression émotionnelle créent des fragilités partagées

    Dans le monde des relations amoureuses, une idée préconçue persiste : l’homme est celui qui doit être fort et distant, tandis que la femme est souvent perçue comme la plus vulnérable, celle qui ressent plus intensément. Mais si l’on y regarde de plus près, l’ego d’un homme est tout aussi fragile que le cœur d’une femme. Derrière ces deux comportements opposés se cachent des mécanismes de défense profonds qui, loin de protéger, étouffent l’amour véritable.

    L’amour trop rapide d’un côté, la répression des émotions de l’autre : ces deux attitudes créent des fragilités invisibles, des blessures silencieuses, et parfois même des relations toxiques. Mais pourquoi cette dynamique existe-t-elle, et comment y remédier pour enfin vivre des relations saines et équilibrées ?

    L’amour trop rapide : quand la femme se perd dans la quête de validation

    Beaucoup de femmes, dans une quête inconsciente de validation, tombent dans le piège de l’amour trop rapide. Dès les premières étapes d’une relation, elles s’investissent pleinement, donnent tout sans poser de questions, souvent parce qu’elles cherchent à combler un vide intérieur. Mais ce n’est pas de l’amour, c’est une forme de dépendance affective déguisée en passion.

    Pourquoi ce besoin de se donner si vite ? Parce que, dans de nombreux cas, la femme ressent un vide qu’elle espère combler avec l’autre. Elle cherche à être vue, entendue, admirée. Cette quête de reconnaissance prend le pas sur l’amour véritable. Mais ce “don de soi” excessif ne fait que conduire à une frustration profonde quand l’autre ne répond pas avec la même intensité.

    L’amour, lorsqu’il est vécu trop rapidement, finit souvent par se transformer en une relation fusionnelle où l’on oublie d’abord de se connaître soi-même avant de se donner à l’autre. Ce phénomène peut alors créer des attentes irréalistes, une dépendance affective, et bien souvent, une souffrance immense. L’amour, ce n’est pas une quête de validation ; c’est un espace d’échange authentique, où chacun est entier dans sa propre identité, et où la fusion est un choix libre et non un besoin de survie émotionnelle.

    La répression émotionnelle de l’homme : une fragilité mal compris

    De l’autre côté de cette dynamique, l’homme, souvent perçu comme celui qui “ne doit pas montrer ses sentiments”, cache sa vulnérabilité derrière une façade d’indifférence ou de froideur. Cette répression émotionnelle n’est pas une forme de force, mais bien une fragilité mal maîtrisée. Beaucoup d’hommes sont pris dans le piège de “l’armure de l’ego”, un masque qui, plutôt que de les protéger, les empêche de se connecter véritablement à leurs propres émotions et à celles des autres.

    La peur de paraître “faible” ou “vulnérable” les pousse à éviter de montrer leurs sentiments, à garder leurs émotions pour eux. Pourtant, cette absence d’expression émotionnelle crée une distance inévitée, une inaccessibilité émotionnelle qui rend difficile toute véritable connexion avec l’autre. L’homme, malgré son extérieur souvent impassible, souffre lui aussi d’une fragilité, mais il l’ignore ou la cache derrière un silence qui le condamne à l’isolement émotionnel.

    Ces deux fragilités créent une tension invisible

    Ce qui se passe alors, c’est une véritable danse de maladresses émotionnelles : la femme, dans sa quête de validation, s’investit trop vite, trop profondément, et l’homme, de son côté, reste enfermé dans sa propre répression émotionnelle, incapable d’ouvrir son cœur. Les attentes mutuelles deviennent déconnectées, les blessures se forment et les relations perdent leur authenticité.

    Au final, ces deux comportements ne sont que des mécanismes de défense. La femme, pour ne pas se sentir rejetée, donne trop vite, tandis que l’homme, pour ne pas paraître faible, se ferme. Le problème ? Ces comportements sont le reflet d’un manque de connaissance de soi et d’un manque de confiance en soi.

    La solution : se connaître, s’aimer, et s’ouvrir à l’autre sans attentes injustifiées

    La solution à cette dynamique de fragilité mutuelle réside dans l’autonomie émotionnelle et la connaissance de soi. L’amour ne doit pas être une transaction où l’on cherche à combler des manques ou à se prouver quelque chose. L’amour véritable commence par soi-même. Il doit naître d’un espace intérieur de paix, d’une reconnaissance de ses propres besoins, avant de pouvoir être partagé avec l’autre.

    1. Apprends à t’aimer toi-même : L’amour de soi ne doit pas être conditionné par l’amour de l’autre. Apprends à te reconnaître, à te valider avant de chercher cette validation ailleurs. C’est seulement à partir de cette base solide que tu pourras offrir ton amour sans conditions.
    2. Exprime tes émotions librement : Que tu sois un homme ou une femme, exprimer tes sentiments n’est pas un signe de faiblesse, c’est une force intérieure. Ose être vulnérable, ouvre ton cœur sans crainte. La véritable force réside dans l’authenticité, pas dans la répression.
    3. Prends ton temps dans la relation : Ne précipite pas les choses. L’amour ne doit jamais être une course, mais une exploration. Chaque relation mérite d’être vécue dans le respect de soi et de l’autre, sans imposer d’attentes irréalistes.
    4. Crée une relation d’égalité émotionnelle : Ni l’un ni l’autre ne doit se perdre dans l’autre. Une relation saine est celle où chacun est libre d’être lui-même, sans chercher à se combler ou à se sauver. La fusion n’est pas une obligation, c’est un choix.

    Si tu es prêt à passer à l’action et à briser cette dynamique, je suis là pour t’accompagner

    Si tu reconnais ces comportements dans ta propre vie, ne reste pas figé dans cette dynamique destructrice. L’amour véritable, celui qui te permettra de t’épanouir en tant qu’individu tout en construisant une relation saine, commence par toi. C’est à toi de reprendre le pouvoir sur ta propre vie émotionnelle.

    Je t’invite à me rejoindre dans mes coachings pour t’accompagner à te libérer des mécanismes qui t’empêchent d’aimer pleinement, à comprendre tes besoins, à renforcer ton amour propre, et à créer des relations épanouissantes basées sur la liberté émotionnelle et la connexion véritable.

    J’ai également crée un ebook exceptionnel avec mes 100 thérapeutes d’exception sur Paris, et celui-ci est en promotion. Il est au tarif de 21 euros à la place de 29 euros. PROFITE-EN !


    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

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  • Déconstruction du couple et du modèle familial : révélation puissante

    Déconstruction du couple et du modèle familial : révélation puissante

    Aujourd’hui on évoque la déconstruction du couple et du modèle familial. Et si nos relations amoureuses n’étaient qu’une répétition inconsciente des dynamiques familiales ? Découvrez comment la déconstruction du couple, et surtout du modèle familial, peut ouvrir la voie à des relations plus libres, authentiques et épanouissantes.

    La déconstruction du couple, de la relation intime : quand il n’est qu’une projection du modèle familial

    La relation intime, que l’on appelle habituellement « le couple », n’est pas simplement un terrain d’épanouissement affectif ou une quête de complicité. Elle est avant tout le reflet de ce que nous avons vécu au sein de nos familles, et plus précisément, un prolongement de leur structure. La déconstruction du couple ne devient possible que lorsque l’on prend conscience que ce dernier n’est qu’une projection, une répétition inconsciente des dynamiques familiales. Le véritable travail de transformation personnelle, celui qui ouvre la voie à une vie amoureuse libérée et authentique, ne peut commencer qu’à travers la déconstruction du modèle familial lui-même.

    Le couple : une recherche inconsciente de sécurité et de continuité

    Dans nos relations, qu’elles soient amoureuses ou sexuelles, nous ne cherchons pas uniquement à éprouver l’amour pur. Nous recherchons un cadre. Un cadre où les blessures du passé peuvent se dissoudre, où nos peurs peuvent se calmer, où la continuité et la stabilité peuvent prendre forme. Inconsciemment, le couple devient un terrain où nous espérons trouver la sécurité que nous avons perdue ailleurs, particulièrement dans la structure familiale.

    Mais cette quête de stabilité, aussi légitime soit-elle, cache une vérité plus sombre : le couple, dans sa forme traditionnelle, reproduit souvent les mêmes dynamiques limitantes et toxiques que celles vécues dans notre famille d’origine. Il devient une sorte de « théâtre » où nous rejouons les conflits non résolus avec nos parents, et ce, sans même en avoir conscience. Nous croyons rechercher l’amour, mais ce que nous trouvons souvent, ce sont des chaînes invisibles : des peurs, des blessures anciennes, des attentes héritées de notre passé familial. L’idée de déconstruction du couple doit être présente. 

    La famille : le noyau sacré et le terrain de nos peurs

    La famille, ce modèle sacré et inaltérable dans nos sociétés, n’est pas seulement un pilier de stabilité sociale. Elle est aussi un terrain miné de conditionnements, de blessures émotionnelles et de conflits non résolus. Elle incarne la matrice de nos peurs les plus profondes, celles qui façonnent notre identité et nos relations.

    Dans la famille, nous recevons des valeurs, des croyances, des mécanismes de survie, mais aussi des traumatismes, parfois invisibles, qui se transmettent de génération en génération. Ces éléments ont un pouvoir insidieux : ils influencent nos choix, nos comportements et, surtout, nos relations amoureuses. La famille est à la fois un terreau fertile pour la croissance personnelle et un piège, un carcan qui nous empêche de nous libérer de nos conditionnements.

    C’est dans ce modèle familial que l’individu trouve la première forme de « sécurité », mais aussi la première forme de soumission. Soumettre ses désirs, ses aspirations et même sa liberté à ce modèle, c’est se condamner à répéter des schémas générationnels sans fin.

    L’inconscient recherche le parent : les ombres de la domination et de la soumission

    Nous croyons choisir notre partenaire en toute liberté. Pourtant, dans les profondeurs de l’inconscient, la réalité est bien différente : l’homme cherche sa mère, la femme cherche son père. Cette dynamique inconsciente est l’un des moteurs les plus puissants de nos relations amoureuses. Mais elle n’est pas seulement une quête affective : elle reproduit les rapports de domination, de répétition et de soumission qui ont eu lieu dans l’enfance.

    Dans chaque relation amoureuse, un champ de forces invisibles agit. Nous cherchons inconsciemment à revivre les relations que nous avons eues avec nos parents, souvent pour tenter de « réparer » une blessure non guérie. Ce besoin de réparation, ce désir de correction de l’histoire familiale, nous pousse à reproduire les mêmes structures de pouvoir, les mêmes luttes, les mêmes sacrifices. En effet, ce qui se joue dans le couple n’est rien d’autre qu’une tentative de réconciliation, parfois désespérée, avec nos figures parentales.

    Mais la réalité est bien plus troublante : la recherche du parent dans le couple entraîne un rapport de pouvoir, souvent implicite mais omniprésent. Ces rapports de domination sont inscrits dans nos corps et nos esprits. Ils se manifestent dans des dépendances émotionnelles, des conflits de pouvoir, des besoins non exprimés, des sacrifices et des soumissions qui, bien souvent, passent inaperçus. Le couple devient alors le terrain de jeux des blessures et des non-dits, une scène où l’on rejoue, encore et encore, les scènes traumatiques de l’enfance.

    “Tuer le parent” : une nécessité pour se libérer et se réinventer

    Dans cette dynamique, “tuer le parent” devient non seulement une métaphore, mais une nécessité absolue pour quiconque désire percer la véritable essence de sa propre existence. L’expression peut choquer, mais elle renvoie à un principe fondamental de la transformation personnelle : il s’agit de se libérer des liens invisibles qui nous rattachent aux figures parentales, aux attentes et aux conditionnements hérités.

    “Tuer le parent”, c’est rompre avec ces figures idéalisées ou fantasmées, c’est se débarrasser de ces empreintes invisibles qui façonnent nos décisions, nos choix et notre manière d’aimer. C’est enfin refuser de répéter indéfiniment les mêmes schémas. C’est se réinventer. Mais cette rupture n’est pas simple. Elle exige de briser des liens émotionnels profonds, de se confronter à ses blessures les plus intimes, et de renoncer à l’illusion de sécurité que la famille nous a offerte.

    Cela signifie se libérer du poids des attentes parentales, des modèles relationnels hérités, et remettre en question tout ce qui nous a été transmis, parfois sans même que nous en ayons conscience. Il s’agit de reconstruire sa propre identité, hors du regard de ceux qui nous ont donné la vie, pour s’autoriser enfin à vivre selon ses propres désirs et valeurs.

    Conclusion : la libération passe par la déconstruction du couple et de la famille

    La déconstruction du couple, ou de la relation intime en tant que projection du couple, ne devient réellement possible que lorsque l’on prend conscience de l’impact profond du modèle familial sur notre vie amoureuse. La famille, bien qu’elle soit souvent perçue comme un havre de sécurité, est également la source de nos plus grandes limitations. La véritable transformation personnelle, celle qui ouvre la voie à une existence plus authentique, libre et épanouie, ne peut se produire qu’en brisant ces chaînes invisibles.

    Le couple ne peut véritablement se réinventer que lorsque nous cessons d’en attendre une forme de réparation de nos blessures familiales. Il faut pour cela donc passer par une phase de déconstruction du couple. La vraie liberté dans l’intime, dans l’amour, n’existe que lorsque nous avons eu le courage de « tuer » les figures parentales qui nous asphyxient. Ce n’est qu’à ce moment-là que nous pourrons véritablement vivre nos relations dans une dynamique de liberté, de respect et d’épanouissement personnel.

     

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  • Enfant maltraité, adulte blessé : comment te libérer de tes traumatismes d’enfance

    Enfant maltraité, adulte blessé : comment te libérer de tes traumatismes d’enfance

    Derrière chaque forme de souffrance adulte se cache souvent un enfant victime de maltraitance qui n’a pas été entendu. Les sévices subis durant l’enfance façonnent profondément notre développement cognitif, notre santé physique et mentale, avec des répercussions bien plus importantes que ce que la société reconnaît habituellement.

    D’ailleurs, des études ont montré que des personnes ayant subi des violences psychologiques, physiques ou sexuelles dans l’enfance sont plus enclins à développer des troubles comportementaux persistants. Ces traumatismes peuvent entraîner stress post-traumatique, dépression, problèmes de santé physique et une estime de soi fragilisée.

    Si tu reconnais en toi les séquelles de violences familiales passées, sache que des mécanismes de résilience existent ! La prise en charge thérapeutique, le coaching ou encore l’hypnose permettent  de traiter ces blessures profondes et leurs conséquences à long terme sur le développement cognitif et la santé mentale. Je t’explique.

    L’empreinte invisible de la maltraitance

    Contrairement aux idées reçues sur la maltraitance physique, les formes de violence psychologique laissent souvent les traces les plus durables sur le développement de l’enfant.

    Alors que les violences physiques peuvent guérir avec le temps, les traumatismes émotionnels – humiliations, rejets, négligences – s’infiltrent profondément dans le psychisme, créant des troubles psychologiques persistants qui peuvent affecter toute une vie.

    L’Organisation Mondiale de la Santé souligne que ces types de maltraitance altèrent significativement la santé mentale des victimes !

    Le piège de la normalisation du trauma

    Tu sais ce qui est le plus pervers dans la maltraitance infantile ? C’est qu’elle devient ta normalité

    Pour survivre à l’exposition à la violence, le cerveau de l’enfant victime intègre ces comportements abusifs comme standards. Cette adaptation neurologique explique pourquoi, même à l’âge adulte, les personnes ayant subi des sévices tendent à minimiser leur expérience traumatique, utilisant des justifications comme “Ce n’était pas si grave” ou “C’était pour mon bien”. Ce déni constitue un obstacle majeur au processus de réhabilitation et de guérison.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    L’impact de la maltraitance infantile sur le cerveau

    Les cicatrices invisibles de la maltraitance s’inscrivent au plus profond de la chimie cérébrale ! Chaque traumatisme vécu dans l’enfance – qu’il soit violence physique, abus sexuel ou négligence – modifie notre façon de penser.

    C’est comme si ton cerveau d’enfant, face au danger constant, avait appris à danser sur une musique dissonante. Cette programmation précoce explique aujourd’hui ces moments de détresse où les émotions te submergent sans prévenir, ces situations qui déclenchent un sentiment de menace inexplicable, ou ces comportements qui semblent échapper à toute logique mais sont en réalité des signaux de protection mis en place par ton système nerveux traumatisé.

    La transmission transgénérationnelle : un héritage toxique

    La maltraitance n’est pas qu’une histoire personnelle ! Les traumatismes que tu portes peuvent se répercuter sur des générations après toi. D’ailleurs, y aurait-ilo déjà eu de la maltraitance ou de la violence chez des arrières grands-parents ? Ce phénomène explique la perpétuation des cycles de violence familiale. D’où l’importance d’une intervention thérapeutique pour briser ces schémas destructeurs une fois pour toutes !

    Les manifestations concrètes d’une violance infantile dans ta vie d’adulte

    Dans tes relations amoureuses

    Tu sais, cette sensation de ne jamais être à ta place dans tes relations ? Cette peur viscérale de l’abandon qui te fait accepter l’inacceptable ? Ce n’est pas toi qui es défectueuse, ce sont les traumatismes qui parlent. La maltraitance infantile crée des schémas relationnels dysfonctionnels qui te poussent à reproduire inconsciemment des dynamiques toxiques. Tu cherches peut-être à réparer tes blessures d’enfance à travers tes partenaires, ou tu confonds amour et emprise parce que c’est le modèle qu’on t’a inculqué.

    reseaux sociaux charlotte

    Dans ta vie professionnelle

    Les séquelles de la maltraitance sur mineur se manifestent aussi au travail ! L’impact sur le développement de ton estime personnelle influence ta relation à l’autorité et au succès. Tu alternes peut-être entre un besoin maladif de contrôle et une tendance à l’auto-sabotage. Ces signaux d’alerte témoignent d’une atteinte profonde à ton image de soi, pouvant entraîner des difficultés sociales et professionnelles permanentes.

    Le trauma infantile subi constitue un facteur de risque majeur dans le développement de problèmes psychiatriques et émotionnels à l’âge adulte. Cette maltraitance subie peut mener à des états de stress post-traumatique qui nécessitent un soutien psychologique et une approche thérapeutique adaptée. L’environnement professionnel peut raviver ces blessures, particulièrement dans les relations d’autorité ou les situations de responsabilité, conduisant parfois à l’isolement ou au repli sur soi.

    Dans ton rapport au corps

    L’effet des traumatismes ne se limite pas au plan émotionnel. Les abus sexuels et la violence physique laissent des marqueurs biologiques durables. Ton corps garde en mémoire chaque agression subie, ce qui peut entraîner des problèmes de santé récurrents et une difficulté à respecter tes limites physiques. Le corps parle, et si on l’écoutait ?

    Le chemin de la guérison : un parcours en plusieurs étapes

    La première étape, c’est d’accepter que ce qui t’est arrivé n’était pas normal. Tu n’étais pas responsable. Tu étais une enfant innocente qui méritait protection et amour. Cette reconnaissance peut faire mal, mais elle est nécessaire pour avancer.

    Le soin passe aussi par une approche somatique. Ton corps a besoin de libérer le stress post-traumatique accumulé. Les thérapies corporelles permettent de recréer un environnement sécurisant et de restaurer une relation saine avec ton corps.

    Dernière étape ? La reconstruction identitaire ! Cette étape cruciale implique un profond travail sur l’image de soi. Il s’agit de déconstruire les schémas toxiques installés pendant l’enfance et de développer de nouvelles ressources intérieures, de créer sa voie.

    Les outils pratiques pour avancer

    Le travail de coaching

    Un accompagnement adapté est essentiel. Le soutien psychologique aide à identifier les traumatismes et à prévenir la transmission de ces blessures. L’objectif est de transformer ces expériences douloureuses en force.

    Les pratiques quotidiennes

    La guérison demande un engagement quotidien. Chaque petit pas compte : apprendre à poser des limites saines, sortir de l’isolement social, créer des échanges nourrissants avec la communauté qui t’entoure.

    Ma belle, je sais que ce chemin peut faire peur. Les conséquences de la maltraitance infantile sont lourdes, mais tu n’es plus seule. En tant que coach spécialisée dans l’accompagnement des femmes marquées par les traumatismes de l’enfance, je peux t’aider à mettre en œuvre les ressources nécessaires à ta libération.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    N’hésite pas à me contacter pour un premier échange. Le programme thérapeutique que je propose s’adapte à ton rythme et à tes besoins. Tu as déjà fait preuve d’une force incroyable en survivant à ces épreuves. Maintenant, il est temps de transformer cette force en pouvoir de guérison.

  • Détermonisme social et quête de reconnaissance : briser ce cercle vicieux pour une liberté époustouflante

    Détermonisme social et quête de reconnaissance : briser ce cercle vicieux pour une liberté époustouflante

    Es-tu pris dans le piège du déterminisme social et quête de reconnaissance, les deux se mêlant étroitement ? Cette quête illusoire te laisse épuisé, loin de ton être véritable. Découvre comment te libérer des attentes extérieures pour enfin retrouver ton authenticité et ta paix intérieure.

    Le déterminisme social : une course sans fin vers l’illusion de la reconnaissance

    Le déterminisme social, cette idée que notre environnement social et nos origines façonnent notre destin, est une course sans fin. Une quête incessante pour se prouver, pour être vu et reconnu, pour enfin atteindre ce qui semble être la clé du bonheur : l’admiration des autres. Et pourtant, malgré cette quête constante, cette course nous laisse souvent dans un vide abyssal, épuisés, et perdus dans un égo mal placé.

    Je parle d’expérience. Je suis passée par là. Peut-être que toi aussi, tu t’es retrouvé dans cette spirale, celle du déterminisme social et quête de reconnaissance. Cette quête insatiable d’être admiré, aimé, reconnu par le monde extérieur. Peut-être que, comme moi, tu t’es épuisé dans cette poursuite sans fin, pensant que l’admiration des autres serait la clé de ta liberté intérieure. Et, tout comme Gatsby, tu te retrouves à courir après une illusion. Une illusion qui, à la fin, n’apporte que fatigue, désillusion et épuisement. C’est le prix du déterminisme social et quête de reconnaissance. 

    Quand l’ego prend le pas sur l’être

    Il m’a fallu du temps pour réaliser que le déterminisme social n’est rien d’autre qu’un cercle vicieux. Un système dans lequel l’individu se trouve pris, croyant que ses actions, ses réussites et même son apparence vont définir sa valeur. Dès l’enfance, on m’a appris à chercher la validation de l’extérieur, vu que personne ne m’a sincèrement validé. J’ai donc couru après le fait d’être la meilleure, à exceller, à chercher les félicitations, à remplir les attentes que la société avait de moi. Sachant que j’avais une famille dysfonctionnelle, j’ai cherché l’amour, la considération, les compliments à l’extérieur, encore une fois un doux mélange de déterminisme social et quête de reconnaissance. 

    Ce conditionnement m’a poussée à rechercher l’admiration comme un besoin fondamental. Et cette recherche est devenue ma boussole.

    Mais à force de courir après ce besoin insatiable d’être vue et admirée, j’ai perdu de vue ce qui était essentiel : mon être véritable. Ce besoin constant d’impressionner, de prouver que j’étais quelqu’un de spécial, que je méritais d’être respectée, m’a conduite à une forme de burn-out personnel en 2021. Mon corps et mon esprit se sont épuisés. Je suis tombée dans un vide émotionnel, incapable de comprendre pourquoi, malgré tous mes efforts, quelque chose me manquait encore. C’est là que j’ai compris : l’ego mal placé n’est jamais la solution.

    Le burn-out : le résultat d’une quête qui n’en finit pas

    Je me suis laissée emporter par la spirale du succès extérieur et de la validation des autres. J’ai cherché à compenser le manque d’admiration que j’avais ressenti dans mon enfance, en construisant une façade parfaite, de nana qui réussit tout ce qu’elle entreprend. Mais cette façade, aussi brillante qu’elle soit, ne faisait que masquer une profonde insécurité intérieure.

    Comme Jay Gatsby dans “The Great Gatsby”, je me suis perdue dans la quête d’un idéal qui n’existait que dans mon esprit. Gatsby, dans sa poursuite d’un amour qui n’était qu’une illusion, a sacrifié tout ce qui était réellement important. Lui aussi a misé sur l’extérieur, cherchant à être aimé par Daisy à travers des apparences et une richesse qui n’étaient pas vraiment lui. Il a échoué. Et je comprends maintenant pourquoi.

    La quête de reconnaissance extérieure est un piège. Elle mène à l’épuisement, à une fatigue mentale et émotionnelle sans fin. Dans ma propre vie, je l’ai vécu : les félicitations, les réussites matérielles, les regards admiratifs des autres ne m’ont jamais permis d’être en paix avec moi-même. Ce qu’il me manquait, c’était de me connaître, de m’accepter pleinement pour ce que j’étais, et non pour ce que je croyais que les autres attendaient de moi.

    Briser la course du déterminisme social et quête de reconnaissance : reprendre le pouvoir

    Le plus grand piège du déterminisme social est de croire qu’il faut sans cesse se conformer à un modèle extérieur. Croire que l’on doit faire pour être vu, que l’on doit obtenir des résultats visibles pour exister dans cette société. Mais ce modèle n’est qu’une illusion.

    Reprendre son pouvoir, c’est décider de se libérer de ce fardeau. C’est comprendre que l’on n’a pas besoin de l’approbation des autres pour se valider. L’important n’est pas ce que les autres pensent de nous, mais ce que nous pensons de nous-mêmes. C’est un travail d’introspection et d’acceptation qui demande du temps, de la patience et, surtout, une volonté de s’affranchir des normes sociales.

    Les étapes pour se libérer de la quête de reconnaissance sociale

    1. Prendre conscience de son ego mal placé : Commence par reconnaître que tes actions ne doivent pas être guidées par la volonté de plaire ou d’être vu par les autres, mais par ce qui résonne en toi.
    2. Se déconnecter de la validation extérieure : Accepte que tu ne peux pas contrôler ce que les autres pensent de toi. La reconnaissance extérieure est fugace, tandis que la reconnaissance intérieure est durable.
    3. Écouter ton propre désir de paix intérieure : L’authenticité est une clé. Ce n’est qu’en étant toi-même que tu peux réellement atteindre un équilibre émotionnel et mental.
    4. Adopter une vision plus grande : Cesse de chercher la validation dans des objets ou des statuts sociaux. Cherche plutôt à évoluer personnellement et spirituellement, en nourrissant des relations authentiques et en développant tes propres valeurs.
    5. Laisser tomber les illusions du succès extérieur : Comme Gatsby, nous pouvons tous nous perdre dans la quête d’un idéal. Mais en nous recentrant sur ce qui est essentiel, nous pouvons véritablement trouver ce qui compte. L’amour, l’acceptation de soi et la paix intérieure sont des richesses que l’argent ou l’admiration extérieure ne peuvent acheter.

    Reprends le contrôle de ta vie et de ton bien-être

    Le burn-out, l’épuisement, déterminisme social et quête de reconnaissance infinie… tout cela peut être évité. Mais pour cela, il est essentiel de briser les chaînes du déterminisme social, de comprendre ce qui te guide vraiment, et d’apprendre à vivre pour toi-même.

    Si tu souhaites entamer ce travail de transformation, de reconquête de toi-même et de libération des attentes extérieures, je t’invite à découvrir mes coaching personnalisés. Ensemble, nous allons identifier tes blocages, travailler sur ton égo, et te permettre de te réapproprier ta vie de manière authentique.

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    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

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  • Important : arrête de donner sans retour !

    Important : arrête de donner sans retour !

    Vous donnez tout dans vos relations, mais ne recevez rien en retour ? Il est temps et même important d’arrêter de donner sans retour et de reprendre votre pouvoir émotionnel. Découvrez pourquoi ces dynamiques déséquilibrées épuisent votre énergie et comment fixer des limites pour cultiver des relations qui vous nourrissent vraiment.

    Arrêter de donner du temps à des gens qui n’en donnent pas : surtout aux hommes

    Nous avons toutes été là : investir du temps, de l’énergie, de la passion dans une relation qui, au final, ne nous nourrit pas, mais nous épuise. Plus jeune, j’ai moi-même succombé à ce piège. Donner sans retour. Perte d’énergie garantie. Pourquoi ? Parce qu’une grande majorité des femmes ont cette tendance à donner sans compter, souvent dans l’espoir de recevoir en retour ce qu’elles ont offert. Mais qu’en est-il quand l’autre ne répond pas à cette attente, ou pire, quand l’autre ne le fait même pas de façon équivalente ?

    Pourquoi les femmes ont tendance à donner sans retour du temps aux hommes qui ne le méritent pas

    Le problème, c’est que beaucoup de femmes ont été conditionnées à penser qu’elles doivent prouver leur amour ou leur valeur en donnant sans compter. Le manque d’équilibre dans la relation devient alors une norme, et au fil du temps, cela épuise la personne qui donne. On a toutes, ou presque, été cette femme qui attend un message, un appel, un geste… Mais qui se retrouve à chaque fois déçue, frustrée, parfois même blessée par le manque d’effort de l’autre.

    L’illusion est souvent la suivante : « Plus je donne, plus il me verra. » Mais ce raisonnement est faussé. On finit par donner sans retour. En réalité, ce n’est pas l’amour que l’on donne qui attire l’autre, mais l’amour que l’on se porte à soi-même. Donner sans retour, c’est sacrifier son énergie, sa valeur, et son estime de soi.

    Les conséquences : épuisement, perte de soi et manque d’authenticité

    Se retrouver dans une relation où les efforts ne sont pas réciproques mène à une perte de soi. Il y a des femmes qui donnent des mois, des années à des hommes qui ne sont pas prêts à investir de la même manière. Ce genre de relation grignote petit à petit notre énergie, nous rend dépendantes, et souvent, nous nous perdons dans le processus.

    Cela crée un déséquilibre qui, loin d’être une preuve d’amour, est une preuve de manque d’amour propre. Et cette perte d’énergie n’est pas juste physique. C’est une perte émotionnelle et mentale qui peut créer une insécurité profonde et une perte de confiance en soi.

    Reconnaître la différence entre donner et se sacrifier

    Quand on donne dans une relation, c’est parce qu’on a envie de le faire, parce qu’on est enrichi par cet échange. Mais le sacrifice ? Ce n’est jamais pour la bonne raison. Donner à l’autre sans retour ne fait pas qu’affaiblir la relation, cela nous enlève notre énergie vitale, et finit par nourrir un égoïsme déguisé, à savoir celui de l’homme qui profite de cet investissement sans rien offrir en retour.

    Le mythe de la “Relation Parfaite” : pourquoi ça ne marche pas

    On m’a souvent dit que l’amour parfait était celui où tu donnes tout sans compter, où l’autre te répond avec la même intensité. Mais ça, c’est une utopie. Ce modèle d’amour idéal est souvent imposé par des normes sociales ou des attentes irréalistes. La véritable relation équilibrée est celle dans laquelle chaque partenaire investit de manière réciproque, avec respect et authenticité.

    La vérité ? Un homme qui ne sait pas te donner du temps, de l’attention ou de l’effort n’est pas quelqu’un qui te mérite. Tu n’as pas à te sacrifier pour mériter son amour. Il n’y a rien de plus toxique que de rester dans une relation qui te pompe ton énergie sans retour.

    Comment s’en sortir ? La clé : savoir reprendre son pouvoir

    La première étape pour sortir de cette dynamique, c’est d’arrêter de se sacrifier. Prendre le temps de se reconnecter à soi-même et comprendre que l’amour n’est pas une course à l’approbation, mais un échange libre et authentique. Il n’y a pas de mérite à aimer quelqu’un qui ne nous aime pas de la même manière.

    Si tu te sens piégée par cette dynamique, voici quelques astuces pour reprendre ton pouvoir :

    1. Affronte ta propre peur de la solitude : Beaucoup de femmes restent dans des relations qui ne les nourrissent pas parce qu’elles ont peur de la solitude. Mais la solitude n’est pas une ennemie, c’est un espace de reconnexion à soi, un terrain fertile pour grandir.
    2. Fixe des limites claires : Ne donne pas ton temps à ceux qui ne l’apprécient pas. Si tu ne vois pas d’efforts réciproques, arrête de donner sans retour. Respecte-toi davantage.
    3. Apprends à t’aimer toi-même d’abord : L’amour propre, c’est se donner ce que l’on attend des autres. Quand tu apprends à te respecter et à t’aimer profondément, tu attires des relations saines et équilibrées, sans avoir à te sacrifier.
    4. Prends du recul et observe la relation avec objectivité : Est-ce que cet homme investit dans la relation comme toi ? Si la réponse est non, il est temps de faire des choix différents.

    Et si c’était le moment de reprendre le contrôle de ta vie ?

    Si tu te reconnais dans cette situation et que tu te sens prête à reprendre ton énergie et ton pouvoir personnel, je suis là pour t’aider à faire ce pas important. Ne laisse plus personne puiser dans ton énergie sans retour. Reconnecte-toi à ton pouvoir intérieur et apprends à établir des relations qui te nourrissent réellement.

    Tu as le droit de t’aimer profondément et de ne plus accepter d’être dans une relation où tu donnes sans recevoir. C’est précisément ce que nous allons travailler ensemble, dans mes coachings, pour t’aider à reprendre ta place, à respecter tes limites et à créer des relations saines et équilibrées.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

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  • Absolument croire que l’on s’aime pour que les autres nous valident, c’est se mentir à soi-même

    Absolument croire que l’on s’aime pour que les autres nous valident, c’est se mentir à soi-même

    Arrête absolument de chercher dans le regard des autres ce qui doit venir de toi. L’approbation extérieure n’est qu’un mirage, une illusion qui t’enferme dans une quête sans fin. Se libérer, c’est choisir de s’aimer sans conditions, sans validation, et sans compromis. Dans cet article, découvre pourquoi l’amour de soi est un acte radical, une révolution intérieure, et comment sortir du piège de la dépendance émotionnelle (croire que l’on s’aime) pour enfin reprendre ton pouvoir.

    Arrête de te mentir. Croire que tu t’aimes parce que les autres t’approuvent n’est rien d’autre qu’une illusion de confort. C’est une quête d’approbation déguisée en quête de soi. Et c’est du bullshit. C’est un mirage qui te fait croire que l’amour de soi, c’est ce que l’extérieur te donne. Mais c’est faux. L’amour de soi n’est pas une marchandise à échanger contre un peu de validation extérieure. Si tu t’accroches à ça, tu restes coincé(e) dans une dépendance qui t’empêche de respirer.

    L’amour de soi, ce n’est pas ce que les autres pensent de toi. Ce n’est pas une transaction. C’est un acte de souveraineté. Ce n’est pas “si tu m’aimes, alors je peux m’aimer.” C’est l’inverse. C’est “je m’aime, et peu importe ce que les autres en pensent.” Si tu t’es déjà laissé(e) enfermer dans cette quête d’approbation, tu sais exactement ce que ça fait. Croire que l’on s’aime, c’est épuisant. Et à la fin, tu n’es plus toi-même. T’as juste perdu le contrôle. Parce que la seule personne qui puisse valider ta valeur, c’est toi.

    La validation extérieure : une prison qui ne fait qu’enfermer

    Le problème avec cette quête de validation, c’est que tu te vois à travers les yeux des autres. Tu cherches à exister par leur regard, tu as besoin qu’ils te donnent une place dans leur monde, que leur approbation te dise que tu es bien, que tu es suffisant(e). Mais tu sais quoi ? C’est la pire des erreurs.

    Tu sais ce qui arrive quand tu fais ça ? Tu deviens l’esclave de l’opinion publique. Tu t’enfermes dans une cage dorée. Et au lieu de t’aimer pour ce que tu es, tu commences à t’aimer pour ce qu’ils pensent de toi. Tu donnes ton pouvoir à des gens qui, la plupart du temps, ne se préoccupent même pas de toi. Leur regard est fuyant, incertain, et au final, insatisfaisant.

    Ce n’est pas ça, l’amour de soi. L’amour de soi, c’est un choix radical. C’est choisir d’être toi, sans attendre que les autres te donnent leur aval. Si tu t’attends à ce que l’extérieur te valide pour te sentir bien, tu vis une vie de mensonge.

    Le mythe de la validation : l’approbation des autres n’est pas ton métier

    L’amour de soi ne devrait jamais être une quête pour plaire. Si tu cherches constamment à être vu(e), apprécié(e), validé(e) par les autres, tu es pris(e) dans un piège. C’est une spirale sans fin où tu finis par perdre tout contrôle. Tu cherches à obtenir l’amour là où il n’existe pas.

    À chaque fois que tu attends que les autres te valident, tu délègues ton bonheur. Mais voilà, le bonheur, ça ne se délègue pas. Il doit venir de toi. L’amour de soi, ce n’est pas attendre qu’un autre te dise que tu es suffisant(e). C’est dire “je suis suffisant(e), même sans que tu me le dises.” L’amour de soi, c’est se donner la permission de ne pas dépendre de l’approbation des autres pour exister. Parce que, spoiler alert, l’autre ne peut pas te donner ce que tu n’as pas appris à te donner à toi-même.

    La révolution de l’amour de soi, du “croire que l’on s’aime” : une liberté radicale

    Se donner la permission de s’aimer sans conditions n’est pas un acte de soumission, c’est un acte de libération totale. C’est rompre les chaînes de l’influence extérieure, de l’approbation des autres. C’est une révolte. Une révolte contre la dépendance. Une révolte contre l’idée que pour être aimé(e), il faut être validé(e) par l’autre.

    Le véritable amour de soi, ce n’est pas un acte d’esclave qui cherche à plaire à tout prix. C’est une déclaration de guerre contre ce qui te fait te sentir insuffisant(e). C’est te dire à toi-même que tu es suffisant(e), même sans le monde entier derrière toi.

    Et si t’attends encore que les autres te valident…

    Si tu es encore là, à attendre qu’on te dise que tu es digne, que tu es beau/belle, que tu es assez, tu te condamnes à vivre à moitié. Tu ne peux pas remplir le vide en toi avec les compliments des autres. Tu dois te remplir toi-même. Tu dois apprendre à te regarder et à te dire : “Je m’aime, peu importe si tu m’aimes ou pas.”

    Comment rompre ce cycle de validation ?

    1. Prends conscience de ta dépendance à l’approbation. C’est le premier pas pour te libérer. Regarde dans quel domaine tu attends l’approbation des autres. Note-le. Et fais-en un point de rupture.
    2. Commence à t’accepter tel(le) que tu es. Arrête de chercher à changer ou à plaire pour mériter de l’amour. L’amour de soi, c’est accepter que tu sois imparfait(e), et ne pas chercher à le cacher.
    3. Ne te compare pas. À force de te comparer aux autres, tu oublies ce qui fait de toi une personne unique. Si tu veux grandir, arrête de mesurer ta valeur en fonction des autres. La seule personne qui peut te dire si tu es assez, c’est toi.
    4. Fais des choix qui nourrissent ton âme. Choisis de t’entourer de personnes qui te voient et t’acceptent pour ce que tu es, pas pour ce qu’elles aimeraient que tu sois.
    5. Fixe des limites. Si quelqu’un ou quelque chose te pousse à douter de toi, coupe les ponts. Ton amour de toi est plus important que n’importe quelle opinion extérieure.

     

    Tu es prêt(e) à passer à l’étape suivante ?

    Si tu veux vraiment te libérer de cette quête incessante de validation et t’aimer profondément, je suis là pour t’accompagner. Dans mes coachings personnalisés, je t’aide à retrouver ta souveraineté intérieure et à construire une vie qui te ressemble, sans attentes externes. Fini de faire croire que l’on s’aime, il est temps de le faire pour de vrai ! C’est le moment de briser les chaînes et de commencer à vivre pour toi, pas pour les autres.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

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  • Les impacts invisibles de grandir avec des parents qui ne s’aiment pas : comment t’en libérer ?

    Les impacts invisibles de grandir avec des parents qui ne s’aiment pas : comment t’en libérer ?

    Tu as grandi témoin des désaccords constants entre tes parents, dans un foyer où l’amour parental semblait absent ? Cette situation laisse des traces profondes sur la santé émotionnelle d’un jeune enfant, même si ces impacts ne deviennent visibles qu’à l’âge adulte. Le manque d’affection entre les membres de la famille agit comme un schéma familial toxique qui influence ta confiance en soi et ta vision du couple.

    C’est comme un parfum toxique qui s’infiltre partout ! Il teinte notre vision de l’amour, des relations, et même notre propre capacité à nous aimer. Mais pas de panique ! On va démêler tout ça ensemble. Je vais t’aider à comprendre comment ces dynamiques ont façonné ton développement et ta sécurité émotionnelle, tout en t’offrant des clés pour surmonter ces habitudes relationnelles héritées de ta vie de famille.

    Parents qui ne s’aiment pas : l’empreinte émotionnelle d’une enfance sans modèle d’amour

    Tout commence dès le développement in utero. Pendant 9 mois, comme une petite éponge émotionnelle, tu as absorbé les tensions et les conflits parentaux. Cette connexion précoce dans un environnement problématique a possiblement inscrit en toi les premières traces de ce climat familial difficile. Oui, avant même ta naissance !

    Petite, en tant que témoin silencieux, tu as intégré leurs comportements – c’est le fonctionnement naturel du cerveau d’un enfant face à ses parents. Les regards froids, les reproches constants, les désaccords fréquents : quelque chose en toi a enregistré ces schémas relationnels comme “normaux”, impactant ta manière d’aborder les relations.

    Sans le vouloir, tu as alors commencé à construire ta vision de l’amour à travers ce prisme déformé. Résultat ? Une hypervigilance émotionnelle qui peut te suivre toute ta vie. C’est d’ailleurs l’impact le plus sournois…

    Tu as appris à scanner l’atmosphère, à décoder le moindre changement d’humeur, à anticiper les conflits. Cette capacité, qui était vitale dans ton enfance, peut aujourd’hui t’épuiser et parasiter tes relations.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Les mécanismes invisibles liés au fait de grandir avec des parents qui ne s’aiment pas

    Quand tes parents ne s’aiment pas, ils ont souvent du mal à s’aimer eux-mêmes. Et devine quoi ? Cette difficulté se reflète souvent dans leur façon d’aimer leurs enfants. Leur amour, bien que présent, peut être maladroit ou instable, créant un climat d’insécurité émotionnelle dans ton développement. Ca peut aussi mener au burn-out familial !

    La parentification précoce

    Tu as peut-être dû jouer les médiatrices entre tes parents, devenir la confidente de l’un ou de l’autre. Cette maturité forcée a un prix : la perte de ton enfance. Tu as appris à être “sage”, “raisonnable”, à gérer les émotions des autres avant même de comprendre les tiennes. C’est ça, la parentification.

    Le syndrome de l’enfant parfait

    Le syndrome de l’enfant parfait se manifeste souvent comme une réponse au chaos familial : tu développes une image de l’enfant modèle pour éviter les conflits, créant une mauvaise habitude d’hyperadaptation épuisante.

    La peur de l’abandon

    Quand on grandit dans un environnement où l’amour semble conditionnel ou instable, on développe souvent une peur viscérale de l’abandon. As-tu remarqué que tu as tendance à fuir les relations profondes ? Ou au contraire, que tu t’y accroches désespérément ?

    Ces schémas relationnels, qui te font soit fuir les relations profondes soit t’y accrocher désespérément, sont des conséquences directes de cette situation vécue dans ton jeune âge, nécessitant souvent un accompagnement en thérapie familiale pour les surmonter.

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    Peut-on guérir après avoir grandi avec des parents qui ne s’aiment pas ?

    La bonne nouvelle, c’est qu’on peut se libérer de ces schémas toxiques. Le travail est profond, mais tellement libérateur ! Voici les étapes essentielles de cette reconstruction.

    Tout commence par l’acceptation. Oui, cette situation t’a impactée. Non, ce n’était pas normal. Et non, tu n’es pas “trop sensible” d’en avoir souffert. Valider ton vécu est la première pierre de ta reconstruction.

    L’étape suivante consiste à identifier les mécanismes de défense que tu as mis en place. Je t’en parlais un peu plus haut.
    Un autre aspect crucial est de redéfinir tes limites. En grandissant dans un environnement où les frontières émotionnelles étaient floues, tu as peut-être du mal à savoir où tu t’arrêtes et où l’autre commence. Apprendre à poser des limites saines, à dire non, à ne plus te sentir responsable du bonheur des autres… C’est tout un apprentissage !

    N’aie pas peur d’en parler !

    Je ne le répéterai jamais assez : un soutien thérapeutique peut faire une énorme différence ! J’accompagne sans cesse des clientes qui peinent à passer au-delà leurs traumatismes et blessures d’enfance, en combinant différentes approches (coaching, hypnose, etc.). La clé du travail que l’on mène ? Se libérer des schémas limitants qu’on se construit étant enfant. Il s’agit en quelque sorte de ressasser le passé, mais pour s’en affranchir !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Tu le sais, j’en suis sûre : tu n’es pas condamnée à reproduire ce que tu as vécu. Tu peux créer des relations saines, vivre un amour nourrissant, et surtout, développer une relation aimante avec toi-même. C’est possible de transformer ces blessures en sagesse et en force. N’hésite pas à me contacter pour un premier échange et découvrir comment je peux t’accompagner dans cette belle transformation.

  • Combien de temps pour se remettre d’une relation toxique ?

    Combien de temps pour se remettre d’une relation toxique ?

    Ma belle, si tu es tombée sur cet article, c’est que tu cherches probablement à savoir combien de temps pour se remettre d’une relation toxique et que tu traverses probablement l’une des périodes les plus délicates de ta vie. Oublie tout de suite cette fameuse règle qui dit qu’il faudrait autant de temps que la durée de ta relation pour t’en remettre. C’est du pipeau ! La vérité, c’est qu’il n’existe pas de chronomètre universel pour panser les plaies d’une relation qui t’a détruite à petit feu. 

    Le chemin vers la guérison n’est pas une ligne droite avec un chronomètre. C’est plutôt comme une danse : parfois tu avances, parfois tu recules, mais chaque pas compte. Aujourd’hui, je vais t’accompagner dans la compréhension de ce processus, sans filtre et avec toute mon expertise de thérapeute.

    Relation toxique : déconstruisons les mythes sur le temps de guérison

    Parlons cash : il n’existe aucune formule magique pour calculer le temps nécessaire pour retrouver ton équilibre après une rupture !

    Chaque personne vit différemment son deuil relationnel, tout comme les séquelles qu’elle garde de cette relation toxique. Dans le cadre de mon accompagnement professionnel, j’ai vu des gens se reconstruire petit à petit en quelques mois après une relation de 10 ans, et d’autres qui ont mis des années à se rétablir d’une relation amoureuse de quelques mois, tant l’impact psychique était important.

    La vraie question n’est pas “combien de temps”, mais plutôt comment accueillir ta souffrance et développer une prise en charge adaptée pour guérir en profondeur de cet état de stress post-traumatique. Et ça, ma belle, ça demande un vrai travail sur toi-même, souvent avec le soutien bienveillant d’un psychologue ou d’un psychothérapeute, essentiel pour retrouver ton estime de toi et renouer avec une énergie positive.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Anatomie d’une relation toxique : comprendre pour mieux t’en libérer

    Une relation toxique, c’est comme deux âmes blessées qui se rencontrent dans l’obscurité. L’une cherche à dominer pour masquer ses failles, l’autre accepte la domination parce qu’elle ne connaît que ça ou qu’elle ne pense pas mériter mieux. Dans tous les cas, c’est un sacré cercle vicieux où chacun joue un rôle dicté par ses blessures profondes.

    D’ailleurs, voici quelques manifestations courantes de la violence psychologique et mentale propre à une relation malsaine :

    • Le contrôle insidieux de tes faits et gestes par ton/ta partenaire toxique
    • La manipulation affective constante, une forme de violence conjugale
    • L’alternance entre moments de tendresse intense et périodes de rejet brutal, typique du pervers narcissique
    • L’isolement progressif des membres de la famille et du cercle social
    • La dévalorisation systématique impactant l’estime de soi et l’image de soi

    Plus la relation dure, plus tu perds tes repères. Tu finis par douter de ton jugement, de ta valeur, de ta capacité même à vivre sans cette personne. C’est ce qu’on appelle la dépendance émotionnelle, et c’est un piège redoutable dont il faut absolument prendre conscience.

    Combien de temps pour se remettre d’une relation toxique : les étapes réelles

    Le choc initial et la prise de conscience

    Cette première phase est souvent la plus déstabilisante. C’est le moment où tu réalises pleinement l’ampleur des dégâts. Tu peux ressentir un mélange de colère, de honte, de tristesse et de soulagement. Cette phase peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

    L’acceptation de ta part de responsabilité

    Attention, je ne parle pas de culpabilité, même si je sais que la limite reste mince dans la perception commune. Non, moi je te parle de comprendre pourquoi et comment tu as permis à cette situation de s’installer. C’est une étape délicate mais essentielle pour éviter de reproduire les mêmes schémas.

    La guérison des blessures d’enfance

    Les relations toxiques s’enracinent souvent dans nos traumas d’enfance. As-tu grandi dans un environnement où :

    • Ton opinion n’était jamais prise en compte ?
    • Tu devais être parfaite pour être aimée ?
    • L’amour était conditionnel ?
    • Tu as vécu l’abandon ou le rejet ?

    Ma belle, ces expériences précoces ont façonné ta vision de l’amour et tes limites. Les identifier, c’est commencer à les guérir. Tu arriveras de mieux en mieux à prendre de la distance avec ce que tu as vécu, pour te protéger.

    Le travail d’émancipation féminine

    Notre société a longtemps conditionné les femmes à se placer en position d’infériorité. Cette dynamique toxique se retrouve souvent dans nos relations amoureuses. Il est temps de reprendre ton pouvoir et ta juste place, la clé de ton épanouissement personnel.

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    Je veux me reconstruire après ma relation toxique mais j’ai besoin d’aide

    Solliciter de l’aide est l’une des clés ! Mais avant ça, sache que tu vas passer par une période de sevrage émotionnel (tu es peut-être déjà en plein dedans). Cette période est cruciale.

    Comme pour une addiction, ton cerveau doit réapprendre à fonctionner sans les montagnes russes émotionnelles de la relation toxique.

    Certaines études disent que ça peut prendre de 3 à 6 mois, mais tu connais mon point de vue sur la question… 😉

    Phase 2 ? La reconnexion à soi ! Autrement dit, c’est le moment de :

    • Redécouvrir tes envies et tes besoins
    • Réapprendre à te faire confiance
    • Reconstruire ton identité propre

    Ça t’amènera progressivement vers le développement de nouvelles compétences relationnelles. L’idée est de tirer profit de cette période pour apprendre à poser des limites saines, communiquer tes besoins clairement et reconnaître les signaux d’alarme dans une relation. Ce travail est le fruit d’une écoute active de tes besoins et d’un travail sur toi mené avec un thérapeute spécialisé.

    Culpabilisation, relation tampon : les pièges à éviter après une relation toxique

    Une nouvelle relation, tu en as vraiment besoin ?

    Mon conseil numéro 1, le plus essentiel selon moi, est de ne SURTOUT pas te jeter dans les bras du premier ou de la première venu(e) pour oublier. C’est le meilleur moyen de retomber dans des schémas toxiques. Prends le temps d’être seule, d’apprivoiser ta solitude et de te reconnecter à toi-même car c’est la seule façon de mobiliser tes ressources à des fins de guérison.

    Vouloir aller trop vite, c’est risquer de passer à côté d’apprentissages essentiels. La guérison a son propre rythme, ne l’oublie pas.

    La culpabilisation excessive

    Oui, tu as ta part de responsabilité, mais tu n’es pas coupable de la toxicité de l’autre. Ne confonds pas les deux. Ton travail à toi, c’est d’être en phase avec la situation réellement vécue et non pas seulement perçue et de travailler à identifier quels traumas d’enfance ou d’adolescence ont permis à la relation toxique d’être tolérée et de s’installer.

    Quels sont les signes pour savoir si je me suis remise d’une relation toxique ?

    Tu sauras que tu es sur la bonne voie quand :

    • Tu ne ressens plus le besoin de stalker ton ex sur les réseaux
    • Tu peux parler de cette relation sans émotion excessive
    • Tu as identifié tes schémas toxiques et travaillé dessus
    • Tu te sens capable de dire non et de poser des limites
    • Tu as retrouvé confiance en ton jugement et en ta valeur personnelle

    Je t’aide à y voir plus clair !

    Si tu traverses cette épreuve maintenant, sache que tu n’es pas seule. La guérison est possible, et elle mérite tout le temps nécessaire. Si tu sens que tu as besoin d’aide pour avancer, n’hésite pas à faire appel à un professionnel. Parfois, un regard extérieur bienveillant peut faire toute la différence.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Je suis là pour t’accompagner dans ce processus de guérison, pour t’aider à transformer ces blessures en force. Ensemble, nous pouvons travailler à ta reconstruction et t’aider à retrouver ta lumière intérieure. Souviens-toi : ce n’est pas la vitesse qui compte, mais la profondeur de ta guérison. Car c’est cette profondeur qui conditionnera tout le reste de ta vie.

  • Les séquelles d’une relation toxique : comment s’en libérer et se reconstruire

    Les séquelles d’une relation toxique : comment s’en libérer et se reconstruire

    Tu as vécu une relation toxique et tu as l’impression que que cette expérience traumatique te colle encore à la peau ? Je comprends tellement ce que tu traverses. Les séquelles d’une relation toxique peuvent être tenaces et te perturber longtemps après la rupture. Comment surmonter ce traumatisme et repartir du bon pied ? Que tu aies subi des violences physiques, psychologiques ou un chantage émotionnel, les conséquences peuvent être dévastatrices pour ta santé mentale. Anxiété, dépression, perte de confiance en soi… Tout ça demande une prise en charge adaptée ! C’est le seul moyen de couper définitivement les ponts et de repartir sur de nouvelles bases, en reprenant le contrôle de ta vie. Sois patiente et surtout, n’hésite pas à demander de l’aide autour de toi. Tu en sortiras grandie et prête à entamer une nouvelle relation, cette fois-ci épanouissante. Je t’explique.

    Qu’est-ce qu’une relation toxique, vraiment ?

    La relation toxique, c’est un lien amoureux ou amical qui te détruit de l’intérieur au lieu de t’épanouir. Ton partenaire te rabaisse constamment, te manipule, te fait douter de toi-même… Bref, c’est l’enfer !

    Une relation est toxique quand le rapport entre deux personnes est dysfonctionnel. Tu en souffres lorsque tu n’es pas ou plus épanouie dans ta relation, et que cela se répercute sur ton état physique, émotionnel et mental.

    Il existe plusieurs types de personnalités toxiques. La toxicité peut donc prendre plusieurs formes : des marques d’agressivité, du dénigrement, des mensonges, de la négligence ou des insultes.

    Mais attention, il y a un point important à saisir : si tu t’es retrouvée dans une relation toxique, c’est aussi parce que tu avais des failles personnelles. Ça ne veut pas dire que c’est de ta faute, loin de là ! Mais comprendre ça, c’est la première étape pour éviter de reproduire le même schéma.

    Ces failles, c’est souvent un manque de confiance en soi, une blessure d’abandon non guérie. Quand on s’abandonne soi-même, on permet à l’autre de “nous abandonner” et on s’autorise seulement à récupérer des miettes d’amour ou d’amitié. Alors qu’on vaut tellement mieux que ça !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Pour couronner le tout, dans une relation toxique il y a souvent un déséquilibre : l’un est en sur-ego (besoin d’être admiré), l’autre en sous-ego (besoin d’être aimé). C’est ce qu’on appelle le triangle de Karpman, et c’est tout sauf sain.

    Les séquelles qui persistent après une relation toxique

    Après une relation toxique, ton cerveau et ton corps ont été malmenés. Les séquelles sont souvent profondes et voici pourquoi :

    1. La chute de l’estime de soi : Tu as été confrontée à de nombreuses attaques tout au long de cette relation néfaste. Ces remarques étaient souvent assénées dans un seul but : te rabaisser pour asseoir leur pouvoir sur toi. À terme, toutes ces attaques t’ont fragilisée et continuent à t’atteindre même une fois le calvaire terminé.
    2. Les troubles de l’humeur : Se défaire d’une personne malsaine peut être particulièrement éreintant. La pression, le stress et les doutes accumulés sont parfois la source d’une fatigue intense ou de réels troubles du sommeil qui pèsent lourd sur ton moral. Tu peux développer du stress chronique, des troubles anxieux, voire une dépression.
    3. La perte de son identité : À force de pression, d’intimidation et de rejet, tu as dû refouler tes propres besoins pour convenir à ceux de ton bourreau. Une fois la relation terminée, tu as la sensation de ne plus avoir le contrôle sur ta propre vie.
    4. Les difficultés relationnelles : Il est très fréquent que les personnes ayant vécu une relation toxique aient des difficultés à entretenir des relations saines et équilibrées par la suite. Tu peux éprouver une grande méfiance face aux nouvelles rencontres, avoir tendance à t’isoler, ou encore douter des sentiments des autres à ton égard.
    5. L’état de stress post-traumatique : L’abus relationnel dont tu as souffert est susceptible d’avoir déclenché en toi un certain nombre de symptômes, comme une hypervigilance, des troubles du sommeil, une irritabilité accrue, ou des troubles du comportement alimentaire.

    Ces séquelles peuvent se manifester de différentes façons :

    • Une perte totale de confiance en toi et en les autres. Tu as l’impression que tout le monde va te trahir ou te faire du mal.
    • De l’anxiété et des crises d’angoisse surviennent sans prévenir.
    • Des troubles du sommeil : insomnies, cauchemars, etc.
    • Une fatigue chronique qui te cloue au lit. Le corps parle, tu sais !
    • Des flashbacks et des pensées obsédantes sur ton ex et votre relation.
    • Un sentiment de vide et de perte d’identité. Tu as l’impression de ne plus savoir qui tu es.
    • Des sautes d’humeur : tu passes du rire aux larmes en un instant.
    • Une peur panique de tomber amoureuse et de revivre la même chose.

    Comment surmonter les séquelles d’une relation toxique ?

    Maintenant qu’on a posé les bases et compris les symptômes du stress post-traumatique suite à une relation abusive, tu voudrais savoir comment te libérer de l’emprise psychologique et de la dépendance émotionnelle pour retrouver ton équilibre. Sache que c’est un processus de reconstruction qui prend du temps, mais je te promets qu’avec du courage et un bon accompagnement, c’est possible de rompre le cycle !

    1. Pardonne-toi

    La première étape, et c’est crucial, est de te pardonner d’être tombée sous l’emprise d’un partenaire/ami(e) toxique. En tant que victime, tu as fait ce qcue tu pouvais avec les outils que tu avais à ce moment-là face à la manipulation. Ce pardon envers toi-même est essentiel pour tourner la page.

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    Rappelle-toi : tu n’es pas responsable des comportements toxiques et de l’abus, qu’il soit physique, sexuel ou psychologique, de ton ex-conjoint(e), d’un(e) ami(e) ou membre de ta famille. Le pardon ne signifie pas que tu approuves ce qui s’est passé, mais que tu acceptes que c’est arrivé et que tu es prête à aller de l’avant dans ta reconstruction.

    2. Réapprends à te respecter

    Avant même de parler d’amour de soi, la base est de réapprendre le respect de soi après une relation toxique. C’est poser des limites claires, ne plus accepter les miettes d’attention, oser dire non face au contrôle excessif.

    Le respect de soi, c’est reconnaître ta valeur intrinsèque, indépendamment de l’image de soi dégradée par la violence psychologique. C’est comprendre que tu mérites sécurité et dignité, en toute circonstance, malgré le traumatisme et la forte humiliation que tu as peut-être subi.

    3. Apprends à te connaître vraiment

    C’est là que la psychothérapie et le coaching peuvent faire toute la différence. Avec l’aide d’un professionnel, tu peux explorer qui tu es vraiment, au-delà des blessures et des schémas de dépendance affective. Quand tu te connais, tu ne permets plus à l’autre de définir ta valeur, car tu la connais.

    Pose-toi ces questions : Qu’est-ce qui compte pour moi ? Quelles sont mes limites ? De quoi ai-je besoin pour me sentir en sécurité dans une relation amoureuse ? Qu’est-ce qui me fait me sentir vivante ? Ce travail de remise en question est essentiel pour guérir du traumatisme psychique.

    4. Pose des limites saines

    Apprendre à poser des limites est un point clé pour ne pas retomber dans le piège d’un manipulateur ou d’un pervers narcissique. C’est s’éloigner quand une situation devient malsaine, exprimer ses besoins, ne pas laisser l’autre décider à ta place.

    Commence par de petites choses : dis non à une invitation qui ne t’emballe pas, exprime ton désaccord quand quelque chose te dérange, calmement mais fermement. Progressivement, affirmer tes limites deviendra plus naturel, même face à des abus.

    5. Prends soin de toi

    Après avoir tant donné à l’autre, il est temps de te recentrer sur toi. Mange sainement, dors suffisamment, fais de l’exercice. Offre-toi des moments de plaisir, renoue avec tes passions.

    N’hésite pas à te faire plaisir : offre-toi ce livre que tu voulais lire, ce massage relaxant, ou cette sortie entre copines. Tu mérites ces petits moments de bonheur !

    6. Exprime tes émotions

    Garde à l’esprit que les émotions refoulées suite à un traumatisme ont un impact négatif à long terme. Trouve des exutoires sains : écriture, sport, art-thérapie, groupes de parole… L’essentiel est de les libérer.

    Si tu te sens prête, parle-en à tes proches. Leur soutien peut être précieux dans cette période difficile. Et si tu préfères te confier à quelqu’un de neutre, n’hésite pas à me contacter. Le coaching peut vraiment t’aider à mettre des mots sur ton vécu et à trouver des solutions concrètes pour aller de l’avant.

    7. Prends ton temps avant une nouvelle relation

    Ne te précipite pas dans une nouvelle relation pour combler le vide. Prends le temps de guérir et de te reconnecter à toi-même d’abord. Quand tu te sentiras prête, va-y doucement, en restant vigilante aux signes de toxicité.

    Savoure ta liberté retrouvée. Cultive tes amitiés, développe tes passions. Apprends à apprécier ta propre compagnie. Plus tu t’épanouiras par toi-même, plus tu pourras construire une relation équilibrée le moment venu, loin de la dépendance et de l’insécurité affective.

    La fin d’une relation abusive est une épreuve, mais c’est aussi le début d’une renaissance. Avec de la patience, de la réflexion sur toi et le soutien nécessaire, tu peux réintégrer une vie sentimentale harmonieuse. Garde espoir en ta capacité à renaître de ces cendres !

    Le coaching : ton allié pour te reconstruire

    Tu sais, se reconstruire après une relation toxique, ce n’est pas toujours facile à faire seule. C’est là que le coaching peut faire toute la différence. En tant que coach, je peux t’accompagner pas à pas dans ce processus de guérison et de redécouverte de toi-même.

    Ensemble, nous pouvons :

      • Identifier et déconstruire les croyances limitantes héritées de ta relation toxique
      • Travailler sur ton estime de toi et ta confiance en toi
      • Développer des outils pour gérer ton anxiété et tes émotions difficiles
      • T’aider à poser des limites saines dans tes futures relations
      • Définir tes objectifs de vie et mettre en place un plan d’action concret pour les atteindre
      • T’aider à reconnaître les signes d’une relation saine
      • Définir tes valeurs et tes besoins pour construire des relations qui te ressemblent vraiment

    Le coaching, c’est comme avoir une alliée bienveillante à tes côtés, qui t’aide à voir clair dans ton histoire et à avancer vers un futur plus épanouissant.

    Comment réagir si la personne toxique revient après la séparation ?

    Il arrive parfois que la personne toxique tente de revenir dans ta vie. Voici quelques conseils pour gérer cette situation :

    1. Prends du recul : Ne réagis pas impulsivement. Réfléchis à ce qui sera le mieux pour toi.
    2. Établis tes limites : Définis clairement ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.
    3. Communique honnêtement : Si c’est possible et sécuritaire, exprime calmement tes ressentis et tes besoins.
    4. Prends soin de toi : Accorde-toi des moments pour te ressourcer et te recentrer.
    5. Demande de l’aide : N’hésite pas à solliciter le soutien de proches ou d’un professionnel comme moi.

    Tu es capable de te reconstruire !

    Ma belle, je sais que le chemin peut sembler long et difficile. Mais je veux que tu saches une chose : tu es plus forte que tu ne le penses. Cette relation toxique ne te définit pas. Tu as le pouvoir de réécrire ton histoire et de créer la vie épanouissante que tu mérites.

    Chaque jour qui passe est une opportunité de te rapprocher un peu plus de la version la plus authentique et épanouie de toi-même. Chaque petit pas compte, chaque victoire, aussi minime soit-elle, est à célébrer.

    N’hésite pas à me contacter pour un premier échange gratuit. Ensemble, nous pouvons transformer cette expérience douloureuse en tremplin vers une vie plus alignée avec tes vraies valeurs et tes vrais désirs.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

  • Ce qui change après la mort des parents : un chemin vers une nouvelle identité

    Ce qui change après la mort des parents : un chemin vers une nouvelle identité

    La mort d’un parent, que ce soit ta mère ou ton père, c’est un événement qui secoue ta vie comme un tremblement de terre. Un peu comme une enclume sur la tête d’un personnage de dessin animé ! Sauf que là, c’est ta vraie vie. D’un coup, tu passes de l’enfance à l’âge adulte, même si tu as déjà 40 ans. C’est une étape qui bouleverse tout : tes émotions, ta place dans la famille, et même ton identité. Tu te retrouves à gérer un tas de choses : la succession, peut-être un testament, des démarches administratives… Mais au-delà de ça, c’est surtout un choc émotionnel. Le chagrin, la tristesse, la solitude à apprivoiser et parfois même un sentiment d’abandon. Pourtant, aussi dur que ça puisse paraître, cette expérience peut être le début d’un sacré voyage intérieur. Prête à explorer ce qui change vraiment après la disparition de tes parents ?

    Le grand bouleversement : quand ton monde perd un pilier

    Perdre un parent, c’est comme si on te retirait soudainement le sol sous les pieds. D’un coup, tu te retrouves à flotter dans un espace inconnu. C’est normal de se sentir perdue, désorientée. Mais c’est aussi le début d’un processus de transformation profonde.

    Le choc initial : quand la réalité frappe

    Les premiers jours après le décès sont souvent flous. Tu as l’impression d’être dans un mauvais rêve dont tu ne peux pas te réveiller. C’est le choc, ma belle. Ton cerveau essaie de comprendre ce qui se passe. Ne lutte pas contre ça. Laisse-toi le temps d’assimiler la nouvelle.

    La perte de cette personne, qu’il s’agisse de ta mère ou de ton père, te plonge dans une douleur indescriptible. C’est comme si une partie de toi était arrachée. Tu te retrouves confrontée à une situation complètement différente, où tu dois gérer un tas de choses : l’annonce du décès, les démarches administratives, peut-être même la succession.

    Dans ce moment de grande vulnérabilité, n’hésite pas à chercher du soutien. Que ce soit auprès de ta famille, d’amis ou d’une association spécialisée dans l’accompagnement des personnes endeuillées. Exprimer ta peine est crucial pour commencer à surmonter cette épreuve. Rappelle-toi, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de vivre ce choc. Chaque personne réagit différemment face à la mort d’un proche.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Le tourbillon des démarches : quand la paperasse s’en mêle

    Malheureusement, la mort  vient avec son lot de paperasse. Certificat de décès, déclaration aux administrations, organisation des obsèques… C’est comme si le monde te disait “Hé, je sais que tu souffres, mais faut quand même remplir ces formulaires !”. C’est dur, mais ça peut aussi t’aider à rester ancrée dans la réalité.

    Le grand déballage émotionnel : bienvenue dans ton héritage familial !

    Alors voilà, on va commencer par une vérité qui dérange : la plupart de nos problèmes d’adultes viennent directement de notre famille. Surprenant, non ? Pourtant c’est la réalité. Toutes ces petites voix dans ta tête qui te disent que tu n’es pas assez ci ou pas assez ça, ces peurs qui te paralysent, ces blocages qui t’empêchent d’avancer… Devine d’où ça vient ? Bingo, de ta famille !

    Les bagages émotionnels : ce que tu as hérité sans le savoir

    Tu sais, on ne naît pas avec une ardoise vierge. On hérite de tout un tas de trucs de nos parents et même de nos ancêtres. Des croyances limitantes, des peurs, des blocages, des traumas… C’est comme si on te donnait un sac à dos plein de cailloux dès ta naissance. Et parfois, on porte ça toute notre vie sans même s’en rendre compte.

    D’ailleurs, tu ne portes pas seulement tes propres blessures et celles de tes parents. Non non, c’est bien pire que ça. En réalité, tu es chargée des traumas de 5 générations ! Oui, 5 générations de blessures, de peurs et de croyances limitantes. Il y a de quoi flipper et ressasser le passé.

    Et le pire dans tout ça ? C’est qu’on nous a tellement répété que “la famille c’est sacré” qu’on finit par croire que c’est normal de porter toute cette émotionnelle. On s’accroche (parfois) à nos parents comme à une bouée de sauvetage, alors qu’en réalité, ce sont eux qui nous tirent vers le fond sans vraiment le vouloir. Bien sûr, chaque famille apporte aussi son lot de joies ! Mais c’est important de comprendre toute la complexité de la relation qui nous lie à eux.

    Quand les cartes sont rebattues…

    La mort (décès, disparition) d’un parent, c’est comme si on vidait ce sac à dos sur la table. Soudain, tu vois tout ce que tu as porté pendant des années. C’est le moment de faire le tri.

    reseaux sociaux charlotte

    Qu’est-ce qui t’appartient vraiment ? Qu’est-ce qui vient de tes parents ou même de tes grands-parents ? Malgré la douleur intense de cette perte, c’est une période charnière qui permet de se réapproprier son histoire, son quotidien et de surmonter certains sentiments négatifs hérités comme la culpabilité. Il est temps de laisser le passé… dans le passé.

    Le processus de guérison : accepter et avancer

    Le deuil n’est pas un processus linéaire. Il y aura des hauts et des bas, des jours où tu te sentiras forte et d’autres où tu auras l’impression de revenir à la case départ.

    Le temps : ton meilleur allié

    On dit que le temps guérit toutes les blessures. Ce n’est pas tout à fait vrai, mais il aide. Donne-toi le temps dont tu as besoin pour faire ton deuil. Il n’y a pas de délai “normal”. C’est un chemin personnel que chaque enfant endeuillé parcourt à son rythme. Ne te mets pas la pression pour “surmonter” ta peine selon un calendrier préétabli.

    Au fil des mois, tu verras que la douleur aiguë s’estompe peu à peu. Les souvenirs du défunt, qu’il s’agisse de ta mère ou de ton père, prendront une forme différente. Tu apprendras à vivre avec cette absence, à protéger les moments précieux partagés ensemble. N’hésite pas à exprimer tes émotions, que ce soit la tristesse, la colère ou même la culpabilité. C’est normal et ça fait partie du processus. Si tu sens que ça devient trop lourd, n’aie pas peur de chercher de l’aide psychologique. La dépression peut parfois s’immiscer sournoisement.

    La famille : nouvelles dynamiques

    Sans tes parents pour jouer les arbitres ou les médiateurs, les relations familiales peuvent changer. C’est l’occasion de créer de nouveaux liens, plus authentiques, avec tes frères et sœurs ou tes autres proches.

    Les amitiés : qui est vraiment là pour toi ?

    Tu vas rapidement voir qui, dans ton groupe d’amis, est prêt à te soutenir réellement dans cette épreuve. Certains seront là pour t’épauler, t’offrir un soutien familial, t’aider à organiser les choses pratiques comme contacter le notaire ou gérer les papiers pour la pension de réversion.

    D’autres, au contraire, vont peut-être prendre leurs distances. C’est dur à accepter, mais c’est aussi une opportunité de faire le tri. Tu as besoin d’être entourée de personnes qui respectent ton deuil, qui comprennent que tu traverses une période spéciale.

    N’hésite pas à communiquer tes besoins. Certains amis ne savent tout simplement pas comment réagir face à une personne endeuillée. Ils ont peut-être peur de dire ou faire quelque chose de déplacé. Un petit conseil peut les aider à mieux te soutenir.

    La redéfinition de soi : qui suis-je sans mes parents ?

    Que ce soit auprès d’amis, de la famille ou d’un professionnel, n’hésite pas à demander de l’aide. Tu n’as pas à traverser ça toute seule.

    La mort d’un parent, c’est un sacré chamboulement. Ça peut être douloureux, effrayant, déstabilisant. Mais ça peut aussi être le début d’un voyage incroyable vers une version plus authentique de toi-même. C’est l’occasion de te libérer de certains schémas familiaux qui ne te conviennent plus, de redéfinir qui tu es et ce que tu veux vraiment dans la vie.

    Alors oui, c’est dur. Oui, ça fait mal. Mais tu es plus forte que tu ne le penses. Cette épreuve peut te révéler des ressources que tu ne soupçonnais même pas. Et au bout du compte, tu pourrais bien découvrir une version de toi-même plus libre, plus authentique, plus épanouie et qui n’a plus peur du changement.

    N’oublie pas : tu n’es pas seule dans cette aventure. Si tu as besoin d’aide pour naviguer dans ces eaux tumultueuses, n’hésite pas à me contacter. Ensemble, nous pouvons travailler sur ce processus de transformation, t’aider à faire le tri dans cet héritage émotionnel et t’accompagner vers cette nouvelle version de toi-même.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Prends soin de toi, donne-toi le temps et l’espace dont tu as besoin pour vivre ce processus. Et rappelle-toi : même dans les moments les plus sombres, il y a toujours une lumière au bout du tunnel. Tu vas y arriver, ma belle.

  • Comment s’aimer soi-même : de quoi devenir ta meilleure alliée et cultiver l’amour propre

    Comment s’aimer soi-même : de quoi devenir ta meilleure alliée et cultiver l’amour propre

    Salut ma belle ! Alors comme ça, tu te demandes comment s’aimer soi-même et développer une meilleure estime de soi ? T’es pas la seule, crois-moi. C’est un peu le Saint Graal de l’épanouissement personnel. Mais attention, pas de recette miracle ici ! S’aimer, ça se travaille et ça prend du temps. Ça demande d’accepter ses défauts, de cultiver la pensée positive et la compassion envers soi, sans angoisse. Mais ne t’inquiète pas, je vais te donner tous les conseils pour y arriver. Prête pour un voyage au cœur de toi-même et mieux te connaître ? S’aimer soi-même signifie reconnaître sa propre valeur et ses talents, laisser de côté le juge intérieur négatif. C’est la base pour créer une vie qui vous ressemble et ressentir la satisfaction.

    Le respect de soi : la base de tout (et la clé du développement personnel)

    Avant de parler d’amour, parlons respect. C’est comme la fondation solide d’une maison. Sans cette base, tout l’édifice de l’estime de soi s’écroule.

    Le respect de soi, qu’est-ce que c’est concrètement ? C’est savoir dire non quand c’est nécessaire. C’est agir en accord avec tes valeurs, tes choix de vie plutôt que par peur du jugement d’autrui. C’est reconnaître tes compétences, tes qualités, au lieu de constamment te critiquer et te dévaloriser.

    Tu vois, on peut faire une analogie avec un arbre. Le respect de soi, ce sont les racines profondes et robustes. L’amour de soi, c’est le tronc épais et fort. Et la confiance en soi, ce sont les belles feuilles vertes qui s’épanouissent au sommet. Mais sans des racines du respect bien ancrées, l’arbre de l’estime ne pourra jamais tenir debout face aux tempêtes.

    Alors, comment développer ce respect fondamental envers toi-même ? On commence par apprendre à dire “non” quand c’est dans ton meilleur intérêt. “Non, je ne viendrai pas à ta soirée, j’ai besoin de repos.” À chaque fois que tu affirmes tes besoins, ton inconscient intègre ce message : je prends soin de moi, je me respecte.

    Un autre excellent exercice ? Faire la liste de tout ce que tu fais bien, de tes forces, tes talents. Je sais, on a tendance à minimiser nos compétences. C’est plus facile de se dévaloriser ! Mais prendre conscience de ta vraie valeur est essentiel pour s’aimer et apprivoiser les moments seule. Alors n’aie pas peur de reconnaître tes atouts ! Tu es une personne incroyable et forte, n’en doute pas.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    L’amour de soi : un voyage, pas une destination

    Maintenant, parlons amour de soi. Oublie les “5 astuces pour s’aimer” qu’on voit partout. C’est du pipeau et ça ne fonctionnera pas sur le long terme.

    L’amour de soi se révèle vraiment dans les difficultés de la vie. C’est facile de s’aimer quand tout va bien – quand tu es entourée, épanouie, que ta vie semble parfaite. Mais les vrais tests arrivent quand tu te fais larguer, virer de ton travail, ou que tu perds un être cher. Là, cultiver l’amour de soi devient un véritable défi, mais aussi une opportunité de grandir.

    L’amour de soi, c’est être ta meilleure amie, ta principale alliée, dans les moments les plus sombres. C’est presque comme te faire l’amour à toi-même, avec autant de douceur, de compréhension et de bienveillance que pour la personne la plus importante. Une connexion profonde et inconditionnelle avec toi-même. Ça peut sembler étrange dit comme ça, mais c’est cette relation à soi qui importe.

    C’est en traversant les tempêtes de l’existence que tu réalises à quel point tu es forte, résiliente et exceptionnelle. Alors n’évite pas, ne fuis pas les moments douloureux. Accueille-les comme des enseignants précieux sur le chemin de l’amour propre. Laisse-toi vivre pleinement ces épreuves au lieu de les repousser. C’est là, dans l’adversité, que tu vas vraiment apprendre à t’aimer sans condition, à devenir ta meilleure amie pour la vie.

    Déconstruire pour mieux se reconstruire

    Tu sais quoi ? Les gens qui manquent le plus d’amour pour eux-mêmes sont souvent ceux qui ont eu une vie trop lisse en apparence. Ils n’ont pas eu l’opportunité de vraiment se remettre en question, de se découvrir pleinement avec leurs forces et leurs faiblesses.

    C’est pour ça qu’un coaching ou une thérapie peut être super utile sur le chemin de l’estime de soi. L’objectif ? Déconstruire ton passé, analyser tes blessures et conditionnements pour mieux comprendre qui tu es au-delà de ces schémas limitants. Et ensuite, passer à l’action concrète en phase avec la personne incroyable et résiliente que tu es au plus profond.

    On va prendre le temps d’identifier les croyances négatives, les jugements douloureux que tu as intériorisés, notamment dans la petite enfance. Ce travail d’introspection peut faire peur, réveiller des émotions difficiles. Mais c’est aussi tellement libérateur de se débarrasser de ces vieux fardeaux !

    La clé est d’accueillir ces prises de conscience avec compassion, sans te juger. De laisser remonter à la surface ces parts blessées de l’enfant intérieur, pour les apaiser et les réintégrer. C’est un cheminement vers la connaissance et l’acceptation de soi dans ta plénitude.

    Au fur et à mesure, tu pourras déconstruire ces schémas limitants pour mieux recréer une image positive de toi. Une personnalité autonome et affirmée, en phase avec tes vrais besoins, tes vrais désirs. Et ainsi créer une vie qui te ressemble vraiment, loin des injonctions toxiques du passé.

    Les étapes concrètes pour apprendre à s’aimer

    1. Fais connaissance avec toi-même

    Avant de t’aimer, il faut que tu te connaisses. C’est comme dans une relation amoureuse. Tu ne tombes pas amoureuse d’un mec ou d’une nana sans le/la connaître, non ? Alors, prends le temps de t’observer. Tiens un journal intime. Note tes pensées, tes émotions. Observe tes réactions face aux situations du quotidien. C’est comme ça que tu vas apprendre à te connaître vraiment.

    Et n’oublie pas : tu es unique. Il n’y a personne comme toi sur cette planète. C’est pas dingue ça ?

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    2. Accepte-toi telle que tu es

    Maintenant que tu te connais mieux, il faut que tu t’acceptes. Avec tes qualités ET tes défauts. Oui, même ce petit bouton sur le nez que tu détestes tant. Tu sais, la perfection n’existe pas. On est toutes imparfaites, et c’est ça qui fait notre charme. Alors arrête de te comparer aux autres.

    Tu es toi, point barre.

    Fais cet exercice : devant ton miroir, dis-toi une chose que tu aimes chez toi chaque jour. Au début, ça peut être dur. Mais petit à petit, tu vas voir, ça deviendra naturel.

    3. Prends soin de toi

    S’aimer, c’est aussi prendre soin de soi. De son corps, de son esprit, de ses émotions.

    Pour ton corps, mange sainement, bouge, va à la piscine, dors suffisamment. Pour ton esprit, médite, lis, apprends de nouvelles choses. Pour tes émotions, exprime-les, ne les refoule pas. Et n’oublie pas de te faire plaisir ! Un bon bain chaud, une séance de shopping, une danse endiablée dans ton salon… Tout ce qui te fait du bien est bon à prendre.

    4. Apprends à dire non

    On en a déjà parlé, mais c’est tellement important que je le répète. Dire non, c’est se respecter. C’est mettre des limites.

    Au début, ça peut être difficile. Tu as peur de décevoir, de blesser. Mais rappelle-toi : ta santé mentale passe avant tout. Les gens qui t’aiment vraiment comprendront. Commence doucement. Dis non à une sortie quand tu es fatiguée. Dis non à un projet qui ne te plaît pas. Tu verras, c’est libérateur !

    5. Célèbre tes victoires

    On a tendance à se concentrer sur nos échecs, nos erreurs. Mais que fais-tu de tes victoires ? Même les petites ?

    Chaque soir, note trois choses positives que tu as accomplies dans la journée. Ça peut être aussi simple que “J’ai fait mon lit ce matin” ou “J’ai souri à un inconnu dans la rue”. En faisant ça, tu vas développer une attitude plus positive envers toi-même. Tu vas voir, ça change tout !

    6. Entoure-toi de personnes positives

    Tu connais l’expression “Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es” ? Eh bien, c’est vrai. Les gens qui t’entourent ont une énorme influence sur toi.

    Alors, fais le tri. Garde près de toi les personnes qui te soutiennent, qui t’encouragent. Éloigne-toi de celles qui te rabaissent ou qui te font douter de toi. C’est parfois difficile, surtout quand il s’agit de la famille. Mais rappelle-toi : tu mérites d’être entourée de gens qui croient en toi.

    L’amour de soi : un travail de tous les jours

    Tu l’as compris, s’aimer soi-même, c’est un processus qui demande un engagement au quotidien. Ça ne se fait pas du jour au lendemain. Il y aura des hauts et des bas, c’est la réalité du chemin. Des jours où tu te sentiras forte, épanouie, la reine du monde. Et d’autres où les vieux schémas négatifs et le manque de confiance referont surface, où tu douteras de ta valeur.

    Mais ne baisse pas les bras dans ces moments de remise en question. Chaque petit geste d’amour-propre compte, comme une pierre sur le chemin. Chaque fois que tu te respectes, que tu prends soin de toi physiquement et émotionnellement, que tu célèbres tes forces au lieu de les critiquer, tu avances.

    Tiens un journal pour prendre conscience de tes progrès. Médite pour apaiser ta voix intérieure sévère. Pratique des affirmations positives pour renforcer ton estime de toi. Car plus tu cultiveras cet amour inconditionnel pour toi-même, plus ta vie changera du tout au tout.

    Alors, ma belle, es-tu prête à commencer ce voyage et surmonter ta peur du changement ? À devenir ta meilleure amie, ta plus grande supportrice ? Je sais que tu en es capable. Tu as en toi tout ce qu’il faut pour t’aimer pleinement. Et si tu as besoin d’aide sur ce chemin, n’hésite pas. Un coaching peut vraiment faire la différence. Ensemble, on peut déconstruire tes vieilles croyances, guérir tes blessures, et t’aider à devenir la meilleure version de toi-même.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Rappelle-toi : tu es unique, tu es précieuse, tu mérites d’être aimée. Mais la première personne qui doit t’aimer, c’est toi.

  • Burn-out familial : quand ta famille te vide de ton énergie

    Burn-out familial : quand ta famille te vide de ton énergie

    Salut ma belle ! Aujourd’hui, on va parler d’un truc qui peut vraiment te pourrir la vie : le burn-out familial. Tu sais, ce moment où ta famille, censée être ton havre de paix, devient en fait ta plus grande source de stress ? Oui, ça existe, et c’est bien plus fréquent qu’on ne le pense. Alors, prends une grande respiration, et parlons ensemble dans ce sujet qui mérite vraiment qu’on s’y attarde.

    Qu’est-ce que le burn-out familial, au juste ?

    Imagine-toi une seconde. Tu te réveilles le matin, et boom, tu te sens déjà épuisée. Tu as dormi 10 heures, mais c’est comme si tu n’avais pas fermé l’œil. Le quotidien te semble fade, sans saveur. Tu as l’impression de vivre ta vie en pilote automatique, submergée par les “il faut” et les “tu dois”. C’est ça, le burn-out familial.

    C’est comme une mort intérieure. Tes émotions ? Aux abonnés absents. Tes joies ? Envolées. Tu traverses ta vie comme un zombie, entourée de principes, d’échéances, de croyances et d’obligations. Mais au fond, tu n’es pas libre. Tu te sens piégée dans une cage dorée, construite par les attentes de ta famille et de la société.

    Le burn-out familial, c’est quand la pression familiale devient trop forte. Quand les injonctions de tes parents, de tes frères et sœurs, de tout ton entourage, t’étouffent. Tu ne sais plus quelle est TA ligne conductrice, TES désirs, TES aspirations. Tu vis pour satisfaire les autres, pas pour toi.

    Les signes qui ne trompent pas : comment reconnaître le burn-out familial

    La joie, ce précieux indicateur

    La joie, c’est comme un joli curseur. Quand y’a de la joie, on peut se dire que ça va. Mais quand la joie se fait la malle, c’est que quelque chose cloche sérieusement. Quand on n’en voit plus la couleur, qu’on se sent épuisée en permanence, là, on peut se dire qu’il y a un burn-out qui se cache quelque part derrière.

    C’est important de comprendre ça, ma belle.

    La joie n’est pas un luxe, c’est un besoin fondamental. C’est ce qui donne du sens à notre vie, ce qui nous fait avancer. Quand elle disparaît, c’est tout notre équilibre qui est menacé.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    D’ailleurs, voici les autres signes qui ne trompent pas.

    Les autres signes que tu touches au burn-out familial

    • Fatigue chronique : Tu dors comme une marmotte mais tu te réveilles épuisée ? Alerte rouge ! Cette fatigue qui ne te quitte pas, c’est un signal d’alarme.
    • Perte de sens : Ta vie est peuplée de “il faut” et de “tu dois”, mais plus de “je veux”. Tu ne vois plus le but de tes actions quotidiennes.
    • Déconnexion émotionnelle : Tu traverses tes journées comme un robot, sans vraiment ressentir quoi que ce soit. C’est comme si tu étais spectatrice de ta propre vie.
    • Sentiment d’étouffement : Les attentes de ta famille te pèsent comme une chape de plomb. Tu as l’impression de ne plus pouvoir respirer.
    • Irritabilité constante : Tu t’énerves pour un rien, la moindre contrariété te fait sortir de tes gonds. Ta patience a des limites, et elles sont atteintes.
    • Troubles du sommeil : Insomnie ou hypersomnie, ton sommeil est perturbé. Tu passes des nuits blanches à ruminer ou tu dors comme une masse sans te sentir reposée.
    • Changements d’humeur fréquents : Tu passes du rire aux larmes en un clin d’œil. Tes émotions sont comme des montagnes russes.

    Pourquoi ça arrive ? Les racines du burn-out familial

    Le burn-out familial, c’est quand tu reçois trop de pressions, de principes éducationnels, trop de cadre, de “il faut”, trop d’injonctions. Et tu n’es pas libre, ta vie en tant que telle n’a plus de sens car tu la mènes en fonction de ce qu’on te dit. Tu ne sais plus quelle est TA ligne conductrice.

    Et ça empire quand tout le monde s’y met : les parents ont leur avis, les frères et sœurs aussi, et chacun y va de son petit commentaire. C’est l’overdose ! Mais ce n’est pas tout. Parfois, le burn-out familial vient aussi de :

    • Des attentes démesurées : Ta famille veut que tu sois parfaite en tout. Carrière brillante, mère exemplaire, épouse dévouée… Bref, la femme parfaite qui jongle avec tout sans jamais faire tomber une balle et en ne disant jamais merde aux autres !
    • Un manque d’autonomie : On te traite encore comme une enfant ? On remet en question chacune de tes décisions ? C’est toxique.
    • Des conflits non résolus : Les non-dits, les vieilles rancœurs qui resurgissent à chaque repas de famille… Tout ça, ça pèse lourd sur le cœur et l’esprit.

    Qui doit agir ? Toi, ma belle !

    Dans un burn-out familial, on pourrait s’attendre à ce que les parents prennent les choses en main pour couper court à la situation. Mais souvent, ils ne le feront pas. Pourquoi ? Parce qu’ils sont peut-être eux-mêmes englués dans des schémas toxiques.

    C’est à toi de prendre les choses en main. De couper, de poser des limites. Ça passe par arrêter de mettre la famille sur un piédestal. Si tu en es arrivée à un burn-out familial, c’est que les relations ne sont pas saines. On peut carrément parler de relations toxiques. 

    Donc poser un cadre et prendre de la distance, ce n’est pas être une mauvaise fille ou une mauvaise sœur. C’est prendre soin de toi, et c’est nécessaire !

    reseaux sociaux charlotte

    La reconnaissance, oui, mais pas à n’importe quel prix

    Bien sûr, on peut être reconnaissant quand il y a de l’amour de la part de la famille. Quand l’autre veut vraiment ton bonheur, te rendre libre, te laisser faire tes choix. Mais quand une famille est toxique, c’est souvent qu’ils sont peut-être dans le désamour d’eux-mêmes, et qu’ils te transmettent leur insécurité et ce désamour, de façon consciente ou inconsciente.

    C’est dur à entendre, je sais. Mais c’est important de comprendre que l’amour familial ne doit pas être conditionnel. Il ne doit pas dépendre de ta capacité à répondre à leurs attentes ou à te conformer à leurs désirs. L’amour vrai, c’est celui qui te permet d’être toi-même, qui t’encourage à t’épanouir, qui célèbre tes réussites sans t’écraser sous le poids des attentes.

    Comment s’en sortir ? Le chemin vers la guérison

    Le chemin vers la guérison du burn-out familial commence par une étape cruciale : apprendre à poser tes limites. C’est la base, tu sais. Dire non, même à ta famille, ce n’est pas facile, je le sais bien. Mais c’est absolument nécessaire pour ta santé mentale. Commence par de petites choses, et petit à petit, tu verras, ça deviendra plus naturel. C’est comme un muscle que tu dois entraîner.

    Une fois que tu auras commencé à poser tes limites, tu pourras prendre du recul. Parfois, il faut s’éloigner un peu pour y voir plus clair. Ça peut être physiquement, en prenant quelques jours pour toi, ou mentalement, en pratiquant la méditation ou la pleine conscience. Ce recul te permettra de te recentrer sur tes besoins. Pose-toi cette question : qu’est-ce que TU veux vraiment ? Pas ce que ta mère veut pour toi, pas ce que la société attend de toi. Toi. Prends le temps de te reconnecter à tes désirs profonds.

    Dans ce processus, n’oublie pas de chercher du soutien. Que ce soit auprès d’amis ou d’un pro, ne reste pas seule. Parler de ce que tu vis peut déjà soulager une partie du fardeau. Ce soutien te donnera la force de redéfinir ta relation avec ta famille. L’amour, oui. La toxicité, non merci ! Ça peut passer par des conversations difficiles, mais nécessaires.

    Tout au long de ce chemin, n’oublie pas de prendre soin de toi. Self-care, baby ! Trouve du temps pour toi, pour tes passions, pour te reposer. Ce n’est pas du luxe, c’est vital, car tu vis pour toi ! Et dans cette démarche de self-care, apprends à communiquer. Exprime tes sentiments, tes besoins. La communication, c’est la clé pour des relations familiales saines.

    Enfin, cultive ta joie ! Rappelle-toi ce qui te faisait vibrer avant. Renoue avec ces activités, ces passions qui t’illuminaient. La joie est comme une petite flamme à l’intérieur de toi. Plus tu la nourris, plus elle grandira, chassant peu à peu les ombres du burn-out familial.

    Ce chemin vers la guérison n’est pas toujours facile, mais chaque pas te rapproche d’une vie plus épanouie, plus authentique.

    Le rôle du coaching dans la guérison du burn-out familial

    Le coaching peut être un outil puissant pour t’aider à sortir du burn-out familial. Un coach peut t’accompagner pour :

    • Identifier les schémas toxiques dans lesquels tu es piégée
    • Développer des stratégies pour poser des limites saines
    • Renforcer ta confiance en toi et ton estime de soi
    • T’aider à redéfinir tes priorités et tes valeurs personnelles
    • T’accompagner dans la reconstruction de relations familiales plus saines

    N’hésite pas à faire appel à un coach si tu sens que tu as besoin d’aide. Ce n’est pas un signe de faiblesse, c’est au contraire une preuve de courage et de détermination à prendre soin de toi.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Le mot de la fin : ta liberté, ta priorité

    Rappelle-toi : ta famille peut t’aimer, vouloir ton bien, mais parfois, leurs actions ne sont pas alignées avec leurs intentions. Si tu te retrouves en burn-out familial, c’est que quelque chose ne va pas dans ces relations.

    N’aie pas peur de prendre de la distance, de poser un cadre. Ce n’est pas égoïste, c’est nécessaire. Une famille qui t’aime vraiment voudra ton bonheur, ta liberté, te laissera faire tes propres choix.

    Tu as le droit d’être heureuse, épanouie, libre. Tu as le droit de vivre ta vie comme TU l’entends. Alors, prends soin de toi, pose tes limites, et n’hésite pas à demander de l’aide si tu en as besoin. Tu n’es pas seule dans cette bataille. Et tu mérites tellement mieux qu’un burn-out familial. Tu mérites d’être rayonnante, pleine d’énergie, et libre d’être qui tu es vraiment. Ta vie t’appartient, et il est temps de la vivre pleinement, sans culpabilité et sans regrets.

  • La blessure d’abandon : comment s’en libérer pour ne plus subir de relations toxiques ?

    La blessure d’abandon : comment s’en libérer pour ne plus subir de relations toxiques ?

    Et si au cœur de tes difficultés relationnelles se cachait une profonde blessure d’abandon ? Cette peur viscérale d’être abandonnée, de subir un rejet, de ne pas être “suffisamment” aimée… Ça te parle ? Alors bienvenue au club très select des abandonniques anonymes ! 😉 Plus sérieusement, sache que cette vieille blessure émotionnelle est l’une des plus répandues et des plus handicapantes quand il s’agit de construire des relations amoureuses saines et épanouies. Que ce soit en couple ou avec ton entourage, elle peut avoir un impact considérable sur ta vie sociale et ta santé mentale au quotidien.

    D’où vient cette satanée peur de se retrouver seule ? Quels sont les symptômes qui doivent t’alerter ? Et surtout, comment s’en défaire pour ne plus tomber dans le piège infernal des relations toxiques ? Finalement, comment être libre ? C’est tout ce qu’on va voir ensemble, pas à pas. On explorera les origines familiales de ce sentiment, son influence sur l’estime de soi et les possibilités pour s’en libérer, que ce soit par des pratiques personnelles ou avec l’aide d’un professionnel. On verra comment intégrer de nouvelles manières de réagir vis-à-vis de soi-même et des autres, pour retrouver joie et sécurité dans tes relations.

    Quels sont les signes d’une relation toxique liée à l’abandon ?

    La blessure d’abandon, c’est le terreau idéal pour les relations malsaines. Voici quelques indices qui doivent te mettre la puce à l’oreille, que ce soit avec ton mec, ta copine, tes ami(e)s ou les membres de ta famille :

    • Tu as l’impression de toujours donner plus que l’autre, quitte à t’oublier complètement. Coucou syndrome du sauveur…
    • L’idée que l’autre se barre te fait paniquer, au point d’accepter des comportements limites voire abusifs. Tout plutôt que le vide et la solitude !
    • Tu contrôles tout, tu pars au quart de tour pour un regard de travers. Bref, tu fais de la parano en mode 24/7, avec une suspicion constante.
    • Ton humeur et ton estime de toi jouent au yoyo en fonction de l’attitude de l’autre. “Il/elle m’aime, il/elle ne m’aime plus…” Une véritable instabilité émotionnelle.
    • Tu vis sur des montagnes russes émotionnelles, avec la trouille permanente d’être larguée ou trahie. L’angoisse de l’abandon est omniprésente.
    • Tu ne veux pas exprimer tes besoins et tes envies pour ne surtout pas faire de vagues. En mode “soumission” quoi… Un manque d’affirmation de soi.
    • L’autre te rabaisse, te manipule, joue avec tes nerfs. Une vraie partie de poker menteur ! On frôle la violence psychologique.
    • Vous vivez dans une espèce de “fusion” un peu étouffante où les limites sont floues. Une relation fusionnelle typique.
    • Tu subis des choses pas nettes mais sans oser rien dire, de peur que l’autre se tire. La crainte de la perte l’emporte sur le respect de soi.

    Si ces situations te parlent, y a des chances qu’une vilaine blessure d’abandon se planque derrière ton mal-être relationnel. Mais comment en es-tu arrivée là ? C’est ce qu’on va voir !

    Quel est le lien entre blessure d’abandon et relations toxiques ?

    Ce besoin maladif d’être aimée à tout prix, cette trouille bleue de la solitude, cette image de toi complètement cassée… Bingo, c’est le cocktail parfait pour t’empêtrer dans des relations compliquées, encore et encore ! Parce qu’inconsciemment, quand tu as une blessure d’abandon, tu vas comme par magie attirer des partenaires peu fiables, fuyants, voire pervers. Et après, dur dur de sortir de leur toile…

    En fait, ton signal de détresse affective fait écho chez des personnes mal dans leurs baskets, qui cherchent à dominer et contrôler. Et hop, prise au piège d’une danse malsaine où tu vas tout faire pour qu’ils/elles restent, quitte à ravaler ta fierté ! Le moindre petit signe d’affection est vécu comme une victoire, ce qui te rend encore plus accro et dépendante.

    Sauf que bien souvent, ce genre d’histoire se finit mal et tu te retrouves à nouveau toute seule. Apprivoiser sa solitude, c’est bien, mais pour toi, ça renforce ta croyance de ne pas mériter l’amour. La boucle est bouclée et c’est reparti pour un tour ! C’est un cercle vicieux de l’enfer qui ne fait que renforcer tes névroses et ton mal-être.

    La bonne nouvelle ? En prenant conscience des mécanismes à l’œuvre, tu peux totalement casser ce schéma et réécrire le scénario de ta vie amoureuse !

    Et si tu creusais cette piste ? Parlons-nous ! Je te propose un rendez-vous de 30 min entièrement gratuit pendant lequel on évoquera les troubles qui te paralysent.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Comment reconnaître une blessure d’abandon ? Fouiller dans son passé

    Cette blessure d’abandon est fourbe car elle prend racine dans ton enfance, quand tes besoins affectifs de base n’ont pas été correctement nourris par tes figures d’attachement.

    L’abandon peut prendre des formes très concrètes : un parent qui part, un placement, un décès, des absences à répétition… Ou des formes plus subtiles : un parent peu démonstratif, distant, aveugle à tes besoins fondamentaux de câlins et de réconfort.

    Parfois, il n’y a pas eu d’événement précis mais plutôt une accumulation de petits loupés, de micro failles dans la construction du lien. À force, tu as intégré l’idée que tu ne méritais pas tout cet amour, que tu n’étais pas “assez bien” pour qu’on s’occupe vraiment de toi. Du coup, tu as grandi avec un gouffre affectif en toi, persuadée que tu finirais toujours par te faire larguer.
    Parce que bon, qui voudrait de toi de toute façon ?

    Blessure d’abandon : les femmes plus touchées que les hommes ?

    Dans mon expérience de coach, j’ai souvent remarqué que les femmes morflaient plus de la blessure d’abandon que les mecs. Cette souffrance profonde peut affecter l’estime de soi et la confiance en soi (qui sont deux choses différentes !), poussant parfois à adopter un rôle de victime.

    Si on en croit les psychologues, notre hantise ultime serait de nous retrouver seules, alors que les mecs flipperaient plus du rejet et du désamour public.

    Cette peur de la solitude et ce manque de confiance peuvent avoir des conséquences importantes sur notre développement personnel et nos relations amoureuses.

    Ce décalage dans nos peurs intimes engendre pas mal de galères dans nos histoires de cœur. C’est peut-être pour ça qu’on a tendance à s’effacer dans nos relations, à devenir de vraies paillassons, constamment en quête d’amour inconditionnel et de reconnaissance. Notre soif d’amour est si démesurée qu’on est prêtes à tout pour combler ce vide, quitte à sacrifier notre dignité ! Cette dépendance excessive peut nous rendre vulnérables à l’emprise narcissique.

    Après, chacun son vécu hein !

    L’abandon, ça n’épargne personne, quel que soit le sexe opposé. Que ce soit suite à des traumatismes d’enfance, des abus sexuels, ou des déceptions amoureuses fracassantes, la blessure du passé peut laisser une mémoire traumatique difficile à gérer au quotidien.

    Mais ça reste intéressant de comprendre nos différences pour mieux se soigner et retrouver notre pouvoir ! Une prise de conscience et un travail sur soi, peut-être avec l’aide d’un thérapeute ou à travers des exercices d’écriture, peuvent nous permettre de nous libérer de la blessure d’abandon et de retrouver un meilleur équilibre. La clé est d’accepter notre vécu, d’identifier les déclencheurs de notre anxiété, et de choisir de nouvelles manières de réagir pour atteindre plus de sérénité et d’autonomie dans nos relations, qu’elles soient amicales ou amoureuses.

    Guérir sa blessure d’abandon : un chemin vers la liberté affective et l’épanouissement personnel

    Pour enfin vivre des histoires d’amour sereines et sécurisantes, y a pas 36 solutions : il FAUT guérir ta blessure d’abandon et sortir de ce schéma de dépendance affective toxique ! Je ne vais pas te mentir, ce n’est pas un long fleuve tranquille, ça va te demander des efforts et de l’introspection. Mais c’est un kif incroyable à s’offrir pour regagner confiance en toi et te reconnecter à ta petite voix intérieure ! Voici quelques pistes bien senties pour avancer sur ce chemin.

    Accueille et apprivoise tes émotions

    La première étape, c’est d’apprendre à voir en face et à accueillir tes émotions. Toute cette tristesse, cette colère, cette peur d’être seule qui te consument depuis que t’es môme.

    Plutôt que de les refouler ou de t’auto-flageller, ose les ressentir pleinement, sans filtre. Laisse-leur de l’espace, que ce soit en les couchant sur le papier, en en parlant, en les sublimant à travers l’art… Au fur et à mesure, leur charge s’allègera. Tu te sentiras moins à leur merci, plus ancrée et solide.

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    Responsabilise-toi dans tes relations

    Quand on a morflé de carences affectives étant petite, on a souvent un mode “enfant” dans nos relations.

    On attend désespérément que l’autre comble tous nos besoins, répare nos fêlures, nous materne. En gros, qu’il nous “sauve”. Une façon d’éviter notre part de responsabilité d’adulte dans la création d’un lien nourrissant. Sauf que ça mène tout droit à la dépendance !

    Il s’agit de reprendre ton pouvoir, d’arrêter de te victimiser et de devenir actrice de tes relations. Concrètement, ça passe par oser dire non, poser tes limites, exprimer tes désirs, bref, t’affirmer ! C’est en prenant soin de toi que tu attireras des partenaires prêts à faire de même.

    Cultive ton jardin intérieur

    Le meilleur remède contre l’insécurité affective et la peur du rejet, c’est de développer un vrai rapport de bienveillance et d’amour avec toi-même. Trop souvent, on attend que l’autre nous rassure sur notre valeur, nous dise qu’on est “assez bien”. Mais en vrai, ce vide-là, il n’y a que toi qui puisses le combler durablement !

    Alors apprends à te reconnecter à tes forces, tes qualités, tes talents. Chouchoute ton enfant intérieur, dis-lui que maintenant tu es là pour veiller sur elle.

    Fais-toi plaisir, vis des trucs excitants, sans toujours penser à l’autre.

    Cette autonomie affective te rendra tellement plus attractive ! Et aidera ta confiance en toi bien abîmée à se requinquer.

    Ose la vulnérabilité, le lâcher-prise

    Quand on flippe de se faire larguer, on a tendance à tout contrôler, à mettre la pression. On est sur le qui-vive, à l’affût du moindre signe de désamour. C’est épuisant et ça peut même faire fuir l’autre, l’effet inverse de ce qu’on cherche !

    Essaye plutôt de réapprendre à t’abandonner, à faire confiance. À accepter qu’une relation implique une part d’imprévisible, que ça ne sert à rien de posséder l’autre. C’est en te montrant telle que tu es, avec tes failles et tes parts d’ombre, que tu créeras des liens authentiques. Car tu n’auras plus peur de te perdre, sachant que personne ne pourra t’enlever à toi-même.

    Fais-toi accompagner par un coach

    Dans ce chemin vers la guérison, n’hésite pas à te faire épauler par un pro. Les racines de l’abandon sont souvent profondes, en lien avec des traumas et un regard extérieur peut t’aider à y voir plus clair.

    Qu’il s’agisse de thérapie, d’EMDR, d’hypnose ou de coaching, il existe plein d’approches pour explorer et transformer ces schémas. Le plus important, c’est de trouver quelqu’un avec qui tu te sens en confiance pour te guider en douceur dans ce voyage.

    Vers de nouvelles relations affectives ?

    En comprenant les rouages de la blessure d’abandon et en mettant en place ces petits tips bien sentis, petit à petit ton rapport à toi et aux autres va se métamorphoser.

    Tu vas apprendre à t’aimer inconditionnellement, à t’affirmer, à accueillir l’inconnu sans flipper. Des super pouvoirs émotionnels qui t’immuniseront contre les amours toxiques et te permettront d’attirer des partenaires aimants, fiables et engagés.

    Je ne vais pas te mentir, ce n’est pas un long fleuve tranquille, ça va te demander des efforts et du courage. Mais crois-moi, ça vaut tellement le coup ! Car au bout du tunnel, c’est une vie affective saine et épanouie qui t’attend, loin des montagnes russes émotionnelles. Celle que tu mérites amplement ma belle, n’en doute jamais !

    Alors, partante pour cette grande aventure intérieure ? Je t’accompagne sur le chemin !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

  • Comment se pardonner et s’ouvrir à l’amour de soi ?

    Comment se pardonner et s’ouvrir à l’amour de soi ?

    Tu t’es déjà retrouvée à ruminer une erreur passée, incapable de te pardonner ? Je parie que oui. On est souvent plus dures avec nous-mêmes qu’avec les autres, pas vrai ? Pourtant, apprendre à se pardonner, c’est la clé pour se libérer de ce poids qui nous plombe et enfin respirer. C’est un vrai cadeau qu’on se fait. Alors, on se lance ensemble dans cette aventure du pardon ?

    Pardonner à soi, un geste d’amour et de bienveillance

    D’abord, soyons claires : se pardonner, ce n’est pas une obligation. Tu fais ton chemin à ton rythme, point barre. Mais réfléchis un instant à ce que ça pourrait t’apporter…

    Quand tu te pardonnes, tu t’offres un vrai cadeau : celui de l’amour et de la compassion envers toi-même. Tu lâches enfin tous ces jugements négatifs qui te consument de l’intérieur pour t’accepter pleinement, avec tes forces mais aussi tes faiblesses.

    À l’inverse, rester bloquée dans la culpabilité ou la honte, c’est comme s’enfermer dans une prison émotionnelle. Ça te maintient dans un cercle vicieux d’auto-sabotage et franchement, t’as pas mieux à faire de ton énergie ? Selon l’échelle de conscience de Hawkins, ces émotions ont une vibration super basse et t’empêchent d’évoluer.

    Te pardonner, c’est choisir d’évoluer vers des états d’être plus élevés, plus sereins. C’est te libérer du passé pour être pleinement présente et créer un avenir qui te ressemble vraiment. Ose ta vie !

    Le pardon, c’est comme un reset émotionnel. Ça te permet d’agir de manière nouvelle et inattendue, sans être conditionnée par ce qui s’est passé avant. C’est ta chance pour un nouveau départ !

    Quels sont les bienfaits du pardon de soi ? La voie de la guérison émotionnelle

    Je ne vais pas te mentir, se pardonner c’est pas toujours une partie de plaisir. Mais les bénéfices sont juste énormes ! C’est le chemin vers la guérison de tes blessures émotionnelles et la reprise de ton pouvoir personnel. Fini le rôle de victime, tu redeviens l’héroïne de ta vie !

    En lâchant prise sur le passé, tu t’autorises à avancer avec plus de :

    • confiance en toi
    • estime de toi
    • bien-être
    • lâcher prise
    • empathie

    C’est comme si tu appliquais un baume apaisant sur ton cœur meurtri. Tu transformes les remords et la culpabilité en amour et gratitude, la honte en fierté. C’est libérateur à un point que tu n’imagines pas !

    Chaque pas vers le pardon t’élève et te rapproche de ton essence. Tu transformes tes expériences douloureuses en sagesse et en force intérieure. Tu deviens plus résiliente, plus alignée avec qui tu es vraiment.

    Quelles sont les étapes pour se pardonner ?

    Première étape cruciale : reconnaître que tu as besoin d’avancer et que le pardon est la clé. C’est un choix courageux ma belle, même si une part de toi résiste encore. N’hésite pas à te faire accompagner si tu sens que tu as besoin d’un coup de pouce.

    A travers mon activité de coach spécialisée en émancipation des blessures, j’aide des femmes comme toi à s’affranchir des blocages émotionnels et entre autres, à se pardonner !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Accueillir tes émotions avec bienveillance

    On a souvent tendance à vouloir étouffer nos émotions “négatives”.

    Mais surprise : c’est l’inverse qu’il faut faire ! Pour te pardonner, accueille tout ce que tu ressens sans jugement. Tristesse, colère, peur… toutes ces émotions ont quelque chose à t’apprendre. Écoute-les à travers l’écriture, la méditation, l’art… L’important c’est de créer un espace safe pour les laisser s’exprimer.

    Prendre du recul sur ta situation pour surmonter le passé

    Pour réussir à te pardonner, il faut prendre de la hauteur sur ton vécu. Réalise qu’à chaque instant, tu as fait du mieux que tu pouvais avec ce que tu avais.

    Tes actions passées étaient conditionnées par les blessures de ton enfant intérieur et tes mécanismes de survie.

    Accepter ta responsabilité : une attitude salvatrice pour pardonner à soi-même

    En tant qu’adulte, tu as le pouvoir de faire des choix plus alignés avec qui tu es vraiment. Tu peux décider d’arrêter de te maltraiter et de prendre soin de toi. Sans te blâmer, reconnais ta part de responsabilité dans les situations douloureuses que tu as vécues. C’est comme ça que tu reprends ton pouvoir !

    Admets tes erreurs de jugement ou d’attitude au lieu de les nier. C’est dur, je sais, mais c’est comme ça qu’on grandit ma belle !

    reseaux sociaux charlotte

    Voir le positif en faisant taire cette petite voix intérieure

    Tu la connais cette petite voix qui te dénigre sans arrêt ? Il est temps de la remettre à sa place ! C’est la première chose à faire pour améliorer sa vie et entamer un processus de libération. Essaie de placer des pensées plus positives et encourageantes. Crée-toi des mantras à dire à haute voix, comme “Je m’aime et je me pardonne”, “J’ai fait de mon mieux”. C’est un acte de pardonner à soi-même qui aide à surmonter les émotions négatives.

    Imagine ce que tu dirais à ton ou ta meilleur(e) ami(e) si il/elle était dans ta situation. Sois aussi bienveillante avec toi-même ! Deviens ta propre meilleure personne, celle qui te soutient dans les moments difficiles. Cette self-attitude positive est essentielle pour gérer les défauts et assumer ses échecs sans se sentir coupable.

    Ce processus de pardon et de prise de conscience peut sembler difficile, mais c’est une étape cruciale vers le bien-être et la santé mentale. Un coach en épanouissement personnel peut t’aider à identifier clairement les comportements à changer et à développer des méthodes pour cultiver la joie et la sérénité ! Petit à petit, tu apprendras à te libérer de cette mauvaise voix intérieure et à te réconcilier avec toi-même.

    Le coaching pour apprendre comme​nt se pardonner (qui es-tu vraiment ?)

    Se pardonner est un acte essentiel pour notre bien-être. Souvent, on s’identifie à nos échecs plutôt qu’à notre vraie valeur, pas vrai ? Le pardon à soi implique justement de reconnaître nos fautes sans s’y attacher, d’en tirer des leçons et de cultiver l’auto-compassion (rien que ça, je sais).

    Ce processus peut sembler compliqué, surtout face au sentiment de culpabilité. C’est pour ça qu’à travers un accompagnement personnalisé, je t’aiderai à développer des techniques pour surmonter la rancœur et améliorer ton estime de toi. Tu découvriras par toi-même les bienfaits d’un coaching à travers les différents accompagnements thérapeutiques que je te propose.

    Attention ! Se pardonner ne signifie pas oublier, mais plutôt se libérer et grandir. C’est une opportunité de devenir son meilleur ami, de renforcer sa confiance en soi et d’ouvrir la voie à un futur plus serein, c’est tout. En pratiquant le pardon envers soi-même et les autres, on cultive la paix intérieure et on améliore nos relations. C’est un chemin vers une vie plus authentique et épanouie.

    Alors, tu es prête à te pardonner ? Si tu veux creuser le sujet, je t’offre un petit call de 30 minutes pour en discuter. Pas d’engagement, juste un moment pour voir si on peut travailler ensemble sur ton épanouissement !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Rappelle-toi : sans pardon, on reste prisonnière de notre passé, incapable d’être pleinement nous-mêmes. Le pardon nous libère du ressentiment et signe l’acceptation profonde de notre histoire. Et si tu apprenais à t’écouter, à te montrer de la gratitude comme tu le ferais pour ta meilleure amie ? Tu as en toi toutes les ressources pour transformer tes blessures en force et rayonner ta lumière.

    Il est temps d’installer une relation plus saine et nourrissante avec toi-même, tu ne crois pas ?

  • Ressasser le passé : et si c’était nécessaire ?

    Ressasser le passé : et si c’était nécessaire ?

    Ma belle, tu rumines souvent le passé ?

    Eh bien sache que cette tendance n’est pas toujours un frein au bonheur, étonnamment. Ça peut même être constructif si on ne s’y noie pas ! Comment transformer cette rumination excessive en processus de guérison ? On va explorer ensemble des moyens de surmonter tes blocages et d’utiliser la rumination pour ton émancipation personnelle. L’objectif est de te libérer du passé et de te recentrer sur le présent. La mindfulness et les thérapies du corps et de l’esprit peuvent t’aider à regarder vers l’avenir ! Ces approches favorisent l’attention au moment présent et l’observation sans jugement. Tu peux aussi essayer la pratique de la gratitude ou la visualisation positive.

    Prête à plonger ? En apprenant à lâcher prise et à vivre l’instant, tu peux transformer cette tendance à ruminer en opportunité de croissance. C’est le moment de prendre ta vie en main !

    Ressasser le passé, un processus naturel et nécessaire

    Pourquoi chercher à tout prix à occulter son passé ?

    Avant de te flageller parce que tu ressasses certains souvenirs douloureux, dis-toi que c’est un truc totalement normal et même nécessaire pour ta guérison. Nier ton passé, c’est jamais une bonne idée et ça peut te mener droit à l’anxiété chronique ou la dépression.

    En cherchant à tout prix à occulter ce qui t’a blessée, tu ne fais que refouler des émotions et des traumatismes qui finiront par t’exploser à la figure d’une manière ou d’une autre, souvent sous forme de pensées obsédantes ou de troubles obsessionnels…

    Imagine que ton esprit soit comme une maison. Vouloir nier ton passé, ce serait comme entasser tout un tas de trucs encombrants et douloureux dans une pièce, puis fermer la porte à double tour en espérant les oublier. Cette stratégie d’évitement peut sembler protectrice, mais c’est en réalité un mécanisme de défense qui ne marche pas sur le long terme. Tôt ou tard, le poids de ce qui est enfermé finira par casser la porte et là, bonjour les dégâts ! Mieux vaut rouvrir toi-même la pièce pour faire du tri, accepter le passé et bosser sur ces souvenirs difficiles !

    En quoi est-ce indispensable de revisiter ses souvenirs douloureux ?

    La rumination, quand elle est gérée de manière constructive, peut faire partie du processus de guérison. Ça peut t’aider à prendre conscience de tes erreurs, à apprendre de tes expériences et à te libérer du poids du passé. C’est souvent la première étape vers l’acceptation et le lâcher-prise. Plutôt que de chercher à ne plus penser au passé, l’objectif c’est d’apprendre à le regarder avec un nouveau regard, peut-être même avec gratitude pour les leçons apprises.

    Un exemple pour illustrer ce truc : imagine que gamine, ton père ait loupé un truc important pour toi, te laissant dans une situation de détresse. En rejouant la scène avec ton regard d’adulte, tu peux réaliser qu’il n’avait peut-être pas mesuré l’impact que ça aurait sur toi, qu’il gérait ses propres blessures, qu’il a fait ce qu’il a pu avec ce qu’il avait à l’époque… Comprendre ça n’efface pas la souffrance, mais ça l’apaise et peut t’aider à briser un cercle vicieux de tristesse.

    Tu veux parler de ce qui t’a bloquée étant enfant, comprendre pourquoi tu en es là aujourd’hui ? Je t’aide à arrêter de ressasser ! Pour commencer, que dirais-tu d’échanger pendant 30 minutes gratuitement ?

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    2 clés pour ressasser de manière constructive

    Si ressasser c’est utile, encore faut-il le faire de la bonne manière pour que ça soit bénéfique et pas juste une perte de temps. Voici 2 conseils pour essayer de “bien” ressasser.

    Délimite un temps dédié

    Pourquoi c’est important de se fixer un cadre ?

    Tu savais que notre inconscient occupe 90 % de notre esprit ? Pas étonnant alors que les souvenirs remontent parfois sans qu’on l’ait décidé ! Pourtant, se fixer un cadre c’est essentiel pour pas se laisser submerger par ses souvenirs et revivre encore et encore les mêmes scènes (tu vois ce que je veux dire).

    Pour reprendre le contrôle, choisis de façon consciente les moments où tu vas revisiter ton passé. Le cerveau a cette capacité à focaliser notre attention sur ce qu’on choisit consciemment de regarder. En décidant délibérément de ressasser à certains moments, ça t’évitera d’être parasitée à d’autres moments de la journée. Par exemple, accorde-toi 15 minutes chaque jour pour explorer ton passé. L’idée c’est de t’y plonger à fond mais de savoir aussi t’arrêter. Un minuteur peut t’y aider ! C’est un exercice que je recommande souvent.

    Cet exercice est une excellente façon de te réapproprier le contrôle sur ton esprit. En choisissant toi-même quand commencer et quand arrêter l’exploration de ton passé, tu reprends la main sur un processus qui peut parfois te dépasser.

    Comment mettre ça en place concrètement ?

    Le plus simple c’est de commencer par déterminer la fréquence et la durée de tes “sessions de ressassage”. Tu peux choisir d’y consacrer un créneau quotidien, de 15-20 minutes, pendant un mois par exemple. Ou opter pour des sessions plus longues mais plus espacées, comme 1h par semaine pendant 3 mois. À toi de sentir ce qui te convient le mieux.

    Veille à choisir un moment où tu seras au calme, sans risque d’être interrompue. Mets une alarme pour ne pas dépasser le temps imparti. Et quand le “chrono” sonne, passe à autre chose ! Concentre-toi sur ta respiration, va marcher, appelle une pote… L’objectif c’est de couper court à ta réflexion pour revenir au moment présent avec confiance.

    Adopte une posture de recul pour favoriser une pensée positive

    Pourquoi c’est important de prendre du recul en ressassant ?

    Colère, honte, culpabilité, stress et regrets… Ressasser s’accompagne souvent d’émotions de merde et d’une énergie négative. Pour qu’elles ne te submergent pas, adopte la posture de “l’observatrice”.

    Plutôt que de t’identifier à ce que tu ressens, observe tes émotions avec bienveillance et recul, comme si t’étais témoin de la scène. Demande-toi ce qui a pu pousser chacun à réagir comme il l’a fait, quelles étaient ses intentions profondes, avec quelles ressources il composait à l’époque…

    Ce regard plus distancié va t’aider à sortir du jugement et de la rumination stérile. Surtout, ça va t’aider à déterminer réellement quel est l’impact sur le présent des situations vécues.

    Comment faire concrètement pour prendre du recul ?

    Voici quelques questions à te poser pour adopter une posture d’observatrice bienveillante et cesser de ruminer sans cesse le passé douloureux :

    • Quelles étaient les croyances et valeurs des personnes impliquées à l’époque ?
    • Comment ont-elles guidé leurs actes ?
    • Quels aspects de leur personnalité ou de leur histoire les ont amenés à agir ainsi ?
    • De quelles compétences émotionnelles et relationnelles disposaient-ils ? Que savaient-ils faire ou non à ce moment-là ?
    • Quelles émotions ai-je ressenties ? Qu’est-ce que cette situation a réveillé en moi ?
    • Qu’est-ce que je comprends maintenant que je ne pouvais pas saisir sur le moment ?

    En répondant à ces questions, tu vas prendre conscience que les gens font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont et qu’on réagit tous en fonction de notre histoire. Cette prise de conscience va t’aider à te libérer du passé et à poser un regard neuf sur ton vécu. Cette approche de pleine conscience peut t’aider à surmonter l’angoisse chronique et à arrêter de ruminer. Elle favorise le lâcher-prise et l’ouverture à l’expérience, te permettant de te concentrer sur le présent plutôt que de ressasser en boucle dans ta tête.

    Tu as du mal à prendre du recul sur les situations du passé ? Je te propose d’en parler lors d’un call gratuit de 30 minutes !

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Comment arrêter de ressasser le passé ? Des outils pour lâcher prise

    Une fois que t’as revisité tes souvenirs en conscience et en ayant pris du recul, vient le moment de t’en détacher pour de bon et d’aller de l’avant. Le passé doit rester dans le passé ! Différents outils peuvent t’aider à passer outre cette stagnation qui est un frein à ton épanouissement.

    Comment l’hypnose aide à couper court aux pensées négatives ?

    L’hypnose, c’est cette technique qui permet d’accéder à ton inconscient pour modifier ton interprétation du passé et “reprogrammer” ton esprit. L’hypnose aide à stopper instantanément le flot de pensées négatives qui tournent en boucle.

    Concrètement, l’hypnose te place dans un état de relaxation et de concentration propice au changement. Dans cet état réceptif de méditation, le praticien pourra te guider pour revivre autrement certaines scènes du passé, par exemple en y intégrant des ressources dont tu manquais à l’époque.

    Par des suggestions, il pourra aussi t’aider à couper le lien mental avec des souvenirs parasites pour favoriser ton ancrage dans l’instant. Un peu comme si on changeait l’ordre inconscient qui te pousse à ressasser.

    L’idée c’est de court-circuiter le schéma de pensée négatif pour le remplacer par quelque chose de plus constructif, propice à l’acceptation du présent.

    En quoi le coaching permet de changer son regard sur son histoire ?

    Le coaching pour un nouveau départ ? C’est l’outil idéal, puisqu’il va te permettre de lâcher le contrôle et de te libérer de ton insécurité.

    Comment ?

    En t’amenant à mieux te connaître et à changer ton regard sur ton histoire, cette méthode permet de faire la paix avec ton passé. Ça t’aide à pleinement intégrer que ton “moi” d’hier n’existe plus et que tu peux choisir qui tu veux être aujourd’hui, sans conditionnement.

    Le coach t’accompagne pour identifier les croyances limitantes issues de ton passé qui te freinent aujourd’hui. Par le questionnement, il t’aide à réinterpréter les événements douloureux pour en tirer des leçons utiles pour avancer.

    Avec son soutien, tu clarifies ce que tu veux vraiment et tu définis le plan d’action pour y arriver ! En te reconnectant avec tes forces et tes rêves, tu prends conscience que ton passé ne te définit pas. Tu réalises tout le pouvoir que t’as de réinventer ta vie !

    T’as envie de passer à autre chose et d’arrêter de ressasser le passé ? Je te propose d’échanger autour d’un rendez-vous téléphonique gratuit de 30 minutes pour aborder tes problématiques de vie et les blocages qui t’empêchent peut-être d’avancer.

    Rappelle-toi : la réalité c’est que le passé n’est déjà plus et que le futur n’est pas encore. Rien n’existe à part l’instant présent, le seul temps sur lequel t’as du pouvoir !

    Ressasser le passé trop longtemps revient à laisser quelqu’un qui n’existe plus diriger ta vie… Garde à l’esprit que tes souvenirs sont une représentation subjective et que s’y accrocher t’apportera rien de plus. Une fois que t’as fait ton “travail de mémoire” constructif, lâche prise ! Fie-toi à ce que tu ressens : si ressasser te maintient dans un état de souffrance, il est temps de dire au revoir à ton passé. Traverse ce que t’as à traverser puis avance avec sérénité sur ton chemin. De nouveaux horizons prometteurs s’offrent à toi ! Ose écrire une nouvelle histoire, celle d’une femme libérée de son passé et pleinement ancrée dans son présent.

    Tu as tous les ingrédients pour créer le futur dont tu rêves et prendre la responsabilité de ta vie.

    reseaux sociaux charlotte

  • L’EMDR pour vaincre ses phobies

    L’EMDR pour vaincre ses phobies

    Il y a des épreuves, des événements dans la vie qui laissent une marque profonde en soi. À défaut d’être physique, cette marque percute l’inconscient et s’y loge pour une durée indéterminée. Si parfois, il est possible d’en faire fi, certaines situations peuvent néanmoins réveiller la peur liée à l’événement et transformer cette marque en phobie.

    Toutefois, il est possible de vaincre sa ou ses phobie(s). C’est un travail qu’il est important de faire en plusieurs fois afin que la thérapie agisse. Si l’hypnose est reconnue pour son traitement des phobies, il est également possible de faire appel à une thérapie EMDR.

     

    Qu’est-ce qu’une phobie exactement ?

    La phobie est définie, selon Le Robert, comme une « peur morbide, [une] angoisse éprouvée devant certains objets, actes, situations ou idées (exemple : agoraphobie…) ». Plus généralement, elle se caractérise par une peur, une aversion qui sont instinctives.

    Autrement dit, la phobie est un prolongement de la peur. En effet, la peur se surmonte, s’affronte avec de la volonté. La phobie, quant à elle, se vit à travers tout le corps, est souvent irrationnelle et nous paraît insurmontable.

    Parfois, la phobie peut même se révéler douloureuse selon les symptômes qu’elle déclenche :

    • Angoisse ;
    • Accélération de la respiration ;
    • Difficultés à respirer/ sensation d’étouffer ;
    • Tremblements ;
    • Frissons ;
    • Douleurs au niveau du ventre/ du thorax ;
    • Nausées, etc.

    Ainsi, une phobie est une marque laissée dans notre esprit, qui est parfois présente depuis notre enfance (arachnophobie), ou qui se manifeste suite à une mauvaise expérience (claustrophobie).

     

    La naissance d’une phobie

    Contrairement à la peur, qui flirte parfois avec l’irrationnel, la phobie en défie toutes les lois. En effet, la phobie naît aussi bien d’une mauvaise expérience vécue que fantasmée. Toutefois, il existe une multitude d’éléments à prendre en compte et qui peuvent être à l’origine de la phobie.

    • Aspect psychologique caractéristique d’un individu (timidité qui devient de l’agoraphobie) ;
    • Vulnérabilité biologique familiale ;
    • L’environnement dans lequel l’individu évolue ;
    • Une mauvaise expérience vécue ;
    • Une mauvaise situation imaginée ou rêvée qui renforce une peur.

    Ainsi, une phobie ne se manifeste pas du jour au lendemain. Le plus souvent, elle surgit comme une peur, puis elle se renforce à travers de petits éléments du quotidien, jusqu’à devenir une phobie. Une marque qui paraît indélébile et insurmontable.

    Cependant, il existe de nombreuses solutions pour vaincre la phobie, et une séance d’EMDR est l’une d’entre elles !

     

    L’EMDR : une thérapie efficace

    L’EMDR peut se traduire par Eye Movement Desensibilisation and Reprocessing, soit la désensibilisation et le retraitement via les mouvements oculaires. Cette thérapie est une forme de psychothérapie qui passe par l’intégration neuro-émotionnelle à travers les mouvements oculaires. L’EMDR présente de nombreux bienfaits.

    La thérapie EMDR intervient sur les phobies lorsqu’il existe un lien entre traumatisme et peur. En effet, le traitement de la phobie par l’EMDR va réveiller de nombreuses émotions. L’EMDR permet de traiter ces émotions et de les distinguer progressivement du traumatisme afin que celui-ci perde de son impact et de sa puissance. Autrement dit, qu’il ne soit plus un handicap ou une source de malheur pour l’individu.

    La séance d’EMDR remonte ainsi aux racines de la phobie, à ses causes multiples ou simples, et permet d’atténuer le pouvoir qu’elle avait sur la personne. En parallèle, l’EMDR permet de traiter les émotions, de les « digérer » pour qu’elles ne restent pas dans la partie qui traite de la peur.

    Ainsi, la thérapie EMDR permet de vaincre ses phobies, y compris les plus tenaces et les plus pesantes au quotidien.

     

    Les bienfaits de l’EMDR dans le traitement de la phobie

    Que la phobie soit commune (peur des araignées, de la foule, des avions, de l’obscurité, des lieux clos…) ou peu répandue (peur des trous, des poupées, des bruits spécifiques ou peur des escaliers), l’EMDR permet de traiter la phobie en profondeur.

    Se libérer du passé :

    Qu’il y ait eu un stress ou un événement traumatique vécu dans le passé, la première étape dans toute thérapie EMDR est de questionner le passé. Ainsi, il est possible de comprendre où le stress a pris sa source et de quelle manière il continue de se manifester dans le présent. En fouillant le passé inconscient et conscient, la thérapie EMDR va également libérer la personne de l’emprise que celui-ci exerçait sur elle.

    Vaincre la phobie :

    En reconsolidant la mémoire de l’individu, l’EMDR va modifier le ressenti du souvenir et le séparer du sentiment de peur absolue et irrationnelle. L’événement traumatique sera traité par une partie spécifique du cerveau, tandis que les émotions seront dirigées et digérées ailleurs. Petit à petit, l’événement se distingue des émotions et la phobie rapetisse jusqu’à disparaître.

    Reprendre confiance en soi :

    Si ce n’est pas son but premier, l’EMDR permet de retrouver confiance en soi indirectement. Et pour cause, en vous délivrant de l’étau de la phobie, vous reprenez le contrôle sur votre quotidien et votre présent. Vous êtes inarrêtable, et la confiance en vous revient peu à peu !

    Renforcer les ressources internes :

    S’engager dans une thérapie EMDR, c’est avoir la force de reconnaître qu’on a besoin d’un petit coup de pouce pour avancer. Cela demande du courage. La méthode EMDR est une thérapie qui nécessite plusieurs séances, ce qui va demander à la personne de la force, de la détermination, tout en renforçant son apaisement intérieur. Les émotions sont plus sereines après la séance, et vos ressources se renforcent à mesure du temps.

     

    L’EMDR chez Nouvelle

    Chez Nouvelle, vous pouvez retrouver des séances d’EMDR délivrées par Charlotte Vallet, créatrice de cet atelier intimiste et chaleureux. Engagée dans la liberté féminine, elle propose divers soins qui permettent aux femmes de s’émanciper et de trouver leur voix.
    Retrouvez deux soins d’EMDR : les séances individuelles d’EMDR, et les séances d’EMDR en forfait.

     

    Pour aller plus loin…

    UN EBOOK :

    Si tu es toujours à la recherche du bon boulanger pour avoir le meilleur pain, alors télécharge mon dernier ebook. Il te donnera la liste de +100 praticiens incroyables sur Paris que j’ai pu tester et approuver (chaman / hypnothérapeutes / astrologues / masseurs / énérgeticiens…)

    UN PODCAST :

    Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.  

    UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :

    Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !

    DES EBOOKS GRATUITS :

    Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.

    PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !

    DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :

    Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.

    Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !

    Pour réserver vos places, c’est par ici :

    Retraite JUIN !

    Retraite JUILLET !

  • Rupture amoureuse : l’hypnose comme outil thérapeutique

    Rupture amoureuse : l’hypnose comme outil thérapeutique

    La rupture amoureuse peut être mutuelle et entendue, déchirante et inexpliquée. Dans un cas comme dans l’autre, s’en remettre nécessite du temps et de la bienveillance envers soi-même. Mais à l’époque où les relations humaines sont consommables comme des produits, à l’heure où l’on (re)jette les personnes comme des choses dont on ne voudrait pas s’embarrasser, il est parfois délicat de se relever. Bien heureusement, les liens humains se font et se défont beaucoup au cours d’une vie, et si certains sont plus douloureux que d’autres lorsqu’ils se défont, il existe de nombreuses méthodes qui aident à se remettre debout.

    L’hypnose en fait partie. Car la relation amoureuse est comme un deuil, l’hypnose est une alliée douce qui aide à reprendre confiance en sa personne et en ses sentiments. Alors comment cela fonctionne-t-il ?

     

    L’amour est une addiction

    La plupart d’entre nous a déjà fait l’expérience d’une relation amoureuse. Les papillons dans le ventre au début, l’impatience de voir et d’entendre l’autre, l’envie de le comprendre dans son entièreté… Jusqu’au jour où les chemins se séparent. C’est alors un équilibre qui se brise, et qui nécessite du temps pour être reconstruit et adapté.

    La rupture amoureuse peut parfois s’avérer douloureuse et déchirante. Source d’addictions qui cachent un déni profond de la situation, voire de dépression qui peut rallonger le cycle de deuil de la relation, une rupture est rarement un moment de plaisir.

    Et pour cause, l’amour est une drogue puissante. Il permet de se sentir plus léger, plus confiante car aimée, plus entière parfois lorsqu’on n’est pas alignées. Parce que l’amour est une farandole d’endorphines, de dopamine et de sérotonine, l’amour est une puissante addiction. Et la rupture, comme tout sevrage, peut être très fastidieuse à appréhender ensuite.

     

    Post-rupture : que faire ?

    Si certaines personnes se connaissent suffisamment pour pouvoir gérer une rupture amoureuse à leur façon, pour d’autres, c’est tout un monde qui s’écroule et les repères qui s’en retrouvent bouleversés. Après une rupture amoureuse, il est important de se retrouver, de se reconstruire, de créer de nouveaux repères pour pouvoir continuer d’évoluer sur son propre chemin.

    Et pour que tout cela soit possible, il est parfois nécessaire de comprendre pour accepter la situation.

    Si de plus en plus de personnes se tournent vers des psychothérapies pour effectuer ce travail en étant accompagnées, peu de gens savent que l’hypnose est un réel outil également. Lors d’une rupture amoureuse, l’hypnose peut s’avérer d’une grande aide pour reprendre les rênes de sa vie !

     

    L’hypnose pour accompagner la rupture amoureuse

    L’hypnose peut ainsi représenter une aide mais aussi un point de départ qui permet de travailler en profondeur sur les chemins de pensées de l’individu. La rupture amoureuse peut durer dans le temps et vous empêcher, à terme, de reprendre une vie où vous êtes la décisionnaire. Finalement, vous subissez l’état de rupture, ce qui est naturel et fait partie d’une forme de déni. Mais c’est grâce à l’action qu’il sera possible de vous retrouver.

    Ainsi, l’hypnose auprès d’un professionnel peut être une réelle aide dans cette situation. En effet, l’hypnose travaille directement sur l’inconscient de la personne, ce qui permet une libération émotionnelle en plus de nouvelles pistes de réflexion.

    Attention toutefois, l’hypnose ne soigne pas les cœurs brisés. En revanche, elle présente de nombreux bienfaits qui vous permettent de reprendre confiance en vous et en l’avenir !

     

    Les bienfaits de l’hypnose pour traiter la rupture amoureuse

    Parmi les bienfaits que présente l’hypnose dans le cadre d’une rupture amoureuse, il est possible de citer :

    La libération des émotions :

    En travaillant directement avec l’inconscient, l’hypnose permet de (se) libérer des émotions enfouies. C’est un processus profond qui va directement impacter les émotions et les libérer. De la sorte, c’est vous qui êtes libérée ensuite et pouvez mieux aborder le présent et le futur. Que la rupture soit récente ou non, de nombreuses émotions peuvent demeurer dans l’ombre (culpabilité, incompréhension, colère, tristesse…). S’en libérer est alors nécessaire pour une meilleure acceptation de la situation et, à terme, une meilleure appréhension du futur et du présent.

    Se recentrer :

    L’hypnose permet également de se recentrer après une rupture amoureuse. En effet, peu importe si on subit ou initie la rupture, le fait est qu’après un tel événement, on a souvent besoin de se recentrer. Et parfois, prendre du temps pour soi ne suffit pas ; il faut faire un voyage plus long et profond. L’hypnose peut alors être une aide pour vous reconnecter à la personne que vous êtes, et (ré)apprendre à vous connaître.

    (Re)prise de confiance en soi :

    La rupture amoureuse peut également impacter votre estime de soi ou votre confiance en vous. Il est alors primordial de ne pas se laisser sombrer sur cette pente, qui peut être source de dépression ou  d’anxiété. L’hypnose peut, là aussi, être un outil pour retrouver confiance en soi. Avec un travail en profondeur, apprenez à (re)prendre confiance à travers la conscience de votre être et de ses capacités !

    Les étapes du deuil de la relation :

    Comme un deuil, les ruptures amoureuses peuvent être suivies de nombreuses étapes avant que la situation soit plus claire. Ainsi, l’hypnose aide la personne à faire son deuil de la rupture, notamment en l’accompagnant à travers les différentes phases.

    Apaisement et relaxation :

    Enfin, l’hypnose est également un outil qui travaille sur la relaxation et l’apaisement. La rupture amoureuse peut être brutale, tant physiquement qu’émotionnellement. Grâce à l’hypnose, vous êtes apaisée plus détendue. Un état qui permet également d’y voir plus clair au quotidien et de mieux appréhender la vie de tous les jours.

     

    En quelques mots…

    Ainsi, l’hypnose présente de nombreux bienfaits dans le traitement d’une rupture amoureuse. Il est toutefois important de noter qu’elle ne permet pas de réparer un cœur brisé ; seul le temps et vous-même pouvez le faire.

    Mais l’hypnose s’avère un réel outil pour permettre de se reconstruire sur des fondations plus solides et durables.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, en neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage. Il est possible de retrouver mes prestations d’hypnose en séance simple ou par forfait.

    Pour faire du bien à l’esprit et à la peau en même temps, retrouvez les séances d’hypnose + LED, en séance simple ou par forfait !

    J’organise également des séances d’hypnose sur ZOOM, pour guérir de sa rupture amoureuse !

    Depuis peu, c’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances d’hypnose, des soins pour se recentrer sur soi et s’émanciper des émotions néfastes et limitantes.

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.

    Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.

    Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

  • Les différentes étapes pour se remettre d’un deuil

    Les différentes étapes pour se remettre d’un deuil

    Perdre un proche est souvent inattendu, violent et extrêmement brutal à gérer tant pour le corps que pour l’esprit. Faire son deuil, entamer le processus d’acceptation est souvent compliqué et douloureux. Pourtant, c’est le seul moyen de pouvoir continuer à vivre malgré cette perte irréversible qui fait si mal. Alors quelles sont les différentes étapes du deuil ?  Comment continuer à vivre lorsqu’on a l’impression qu’une partie de nous est morte ?

     

    Le deuil : un mot qui effraie ?

    Comment définir le deuil ?

    Le terme « deuil » possède deux définitions qui se recoupent l’une l’autre. Selon la première définition, le deuil désigne une douleur, une terrible affliction qui est éprouvée lors de la perte d’un proche. La seconde façon de définir le mot deuil est pour faire référence à la mort d’un proche. On peut alors dire : « il a subi plusieurs deuils dans son entourage ».

    Bien souvent, il peut effrayer l’entourage de la personne endeuillée, car la plupart des gens sont mal à l’aise avec l’idée de la mort. Ne fait-elle pourtant pas partie de la vie ? Toute chose n’a-t-elle pas un cycle de vie ? Il est important de pouvoir se détacher de la croyance populaire selon laquelle le deuil est forcément triste et morne ; les émotions le sont peut-être, mais il existe autant de façons de vivre son deuil que d’individus sur Terre. Dans certaines cultures, la couleur du deuil est d’ailleurs le blanc, et un esprit plus festif accompagne la cérémonie d’adieu. Tout dépend des cultures et des habitudes de chacun.

     

    Les cinq étapes du deuil et leur utilité :

    Au fil du temps, beaucoup de psychologues et autres professionnels se sont penchés sur la question du deuil. Elisabeth Kübler-Ross est l’une des premières à évoquer les cinq étapes du deuil, à travers :

     

    Le déni (refus de la mort)

    La colère (rancœur d’avoir perdu un proche)

    Le marchandage (tentative de retrouver le défunt)

    La dépression (traverser la souffrance de la perte)

    L’acceptation (se reconstruire malgré la perte).

     

    Ces cinq étapes subissent aujourd’hui une popularisation importante, car ces étapes sont souvent utilisées pour tout deuil (rupture d’une relation, perte d’un objet…etc.). Pourtant, à l’origine, ces étapes ont été crées afin d’apaiser la douleur de la perte et guider dans le même temps la personne endeuillée. En lui livrant des pistes sans pour autant le contraindre à ressentir x ou y émotions, le travail de deuil se fait de manière naturelle et plus important encore : de manière personnelle.

    Ainsi, le deuil définit tout aussi bien la perte d’un proche, que l’état endeuillé dans lequel on se retrouve tous après ladite perte. Au fil du temps, le deuil a été découpé en cinq étapes distinctes permettant de vivre son deuil chacun à la façon dont il lui convient.

     

    Laisser le temps au temps

    Il n’y a pas vraiment de temporalité précise pour faire le deuil. Etant un processus unique et personnel, chaque personne évolue et expérimente le deuil à son rythme (et c’est mieux comme ça !). Toutefois, certains professionnels de psychiatrie et de la psychothérapie, font référence à une « temporalité du deuil ».

    Sont alors évoquées des périodes pour chacune des étapes du deuil, observées chez des patients frappés par celui-ci. Dans la phase de déni, sont par exemple compris plusieurs jours de sidération qui suivent la mauvaise nouvelle de la perte d’un proche. C’est suite à cette sidération que se manifestent les différentes émotions, parfois violentes, illustrant le cataclysme intérieur de la personne endeuillée.

    Certains professionnels s’accordent à dire qu’il faut entre 8 et 10 mois pour que la période de colère et de marchandage (aussi appelée négociation) se terminent, et que la perte définitive de l’être aimé soit assimilée par le corps et l’esprit.

    Et c’est ensuite à terme de la dépression, qui peut elle aussi durer plusieurs mois voire plusieurs années, que la personne qui a vécu le deuil reprend peu à peu son souffle, se retrouve, évolue, et entame un processus de guérison intérieure lui permettant de retourner à sa vie en ayant intégré la perte définitive qui a eu lieu.

    Il y a assurément une temporalité dans le deuil, puisque le processus se termine un jour. Toutefois, il n’y a pas de nombre précis de jours, de mois ou d’années pour faire son deuil. L’essentiel durant ce processus, c’est de le vivre pleinement, pour qu’une fois achevé, il ne puisse plus ni peser dans l’inconscient, ni planer comme une ombre sur le quotidien. Prendre son temps pour dire adieu est naturel, et primordial. Chacun son rythme.

     

    Vivre le deuil : une expérience personnelle

    Malgré les études qui ont été menées, les professionnels s’accordent tous à dire que perdre un proche est une expérience universelle. Chaque personne est amenée, dans sa vie, à connaître cette douleur, cette tristesse toutes particulières qui ébranlent à la fois l’âme, le cœur, l’esprit et parfois aussi le corps. Pourtant, il y a une notion très spécifique à prendre en compte malgré l’universalité de cette expérience, c’est qu’elle reste unique à vivre. Et pour cause, si perdre un proche est souvent la cause d’une terrible douleur intérieure, il n’en reste pas moins que le deuil est un processus unique, qui se vit à un rythme personnel.

    Les cinq étapes du deuil sont souvent présentes chez la grande majorité des personnes ayant expérimenté la perte d’un être aimé. Toutefois, le processus de deuil est loin d’être linéaire. Chez certains, cela se manifestera par des mois de dépression en plus des différentes étapes, et chez d’autres, le processus de deuil sera plus irrégulier, les faisant osciller d’une étape à l’autre. De même, il est important de prendre en compte que parfois, même après avoir passé l’une des étapes du deuil, on revient en arrière à des étapes antérieures.

    Parce qu’il demeure compliqué, difficile et terriblement douloureux de faire son deuil, certaines personnes ont besoin de prendre le temps afin de dire adieu à ce lien qui n’existe, en fait, déjà plus.

     

    Célébrer la vie

    Si cela peut sembler inopportun durant la période de deuil, il est cependant important, une fois le deuil totalement achevé, de recommencer à célébrer la vie. Même si elle paraît plus vide, plus fade et moins colorée, elle demeure néanmoins d’une importance essentielle.

    Certaines personnes, après le deuil, aiment à se perdre dans de multiples plaisirs, comme la fête avec leurs proches, et d’autres encore planifient de nombreux projets pour être sûrs de pouvoir tout accomplir. C’est souvent l’effet que possède le deuil sur certaines personnes : il les pousse à vivre « plus intensément ».

     

    Ont-ils raison ? Ont-ils tort de penser et agir ainsi ?

     Y a-t-il une « bonne » façon de vivre après un deuil ?

     

    Eh bien non ! Car tout comme le deuil, la vie est une expérience unique et personnelle. Chacun, selon les besoins et les envies de ce qu’il ressent, peut ou non décider de changer quelque chose à son quotidien après le deuil.

     

    Envie de voyager autour du monde pour être sûr de ne rien manquer ? Foncez !

    Besoin de vous reconnecter à vos proches et votre famille ? N’hésitez pas non plus.

    Vous avez décidé d’accomplir le projet de vos rêves ? Lancez-vous !

     

    Vous l’aurez compris, dans le deuil comme dans la vie, vous restez maître de vos émotions, de votre expérience, et de la façon dont vous souhaitez expérimenter la chose. Car c’est douloureux, intense, triste, bouleversant … mais que ça reste votre expérience personnelle.

    Il arrive cependant que parfois, le deuil s’allonge dans le temps, que l’on repousse encore et encore les prochaines étapes car finalement, le deuil, c’est le dernier lien avec l’être disparu. Toutefois, le deuil n’est pas fait pour durer toute la vie, et justement, votre vie vous attend !

    Il est alors possible d’aller consulter des professionnels comme des psychothérapeutes ou de se tourner vers des médecines parallèles comme l’hypnose ou la méditation. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.

    Je propose également des soins thérapeutiques si vous souhaitez prendre du temps pour vous, tels que le drainage du visage ou le drainage lymphatique.

    Vous pouvez prendre rendez-vous sur  Doctolib.

    De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise également des retraites bien-être en plus proche de la nature, qui permettent de se reconnecter à soi-même.

  • Les différentes étapes pour se remettre d’une rupture amoureuse

    Les différentes étapes pour se remettre d’une rupture amoureuse

    Qu’elle se soit faite brutalement ou d’un commun accord, à cause de la distance ou par la force des choses quand le temps passe inlassablement, il est toujours difficile d’appréhender la rupture amoureuse comme une chance. Et pour cause, faire le deuil d’une partie de votre vie, de votre quotidien ou simplement de la source intarissable de sentiments amoureux que représentait la personne, il est toujours extrêmement fastidieux de dire adieu. Alors comment aborder la rupture amoureuse sans y laisser ses plumes ? Combien de temps faut-il attendre pour ne plus avoir mal ? Y a-t-il des étapes qui permettent de se remettre d’une rupture amoureuse et de « se réparer » dans le même temps ?

     

    La rupture amoureuse, un deuil relationnel

    La toute première chose qu’il faut noter, c’est que peu importe le temps qu’a duré l’histoire d’amour en question, la rupture est comme un deuil. Violente pour le cœur, parfois inattendue, elle marque surtout la fin d’une époque et d’une relation qui était importante pour vous. Adieu les projets d’avenir que vous aviez mis au point, les voyages que vous rêviez de faire ensemble, le glas de la rupture a retentit fort, et il est temps de commencer son deuil.

    Et tout comme pour le deuil d’un proche, il y aura de la douleur, de la tristesse, du regret, voire de la culpabilité. Des flots d’émotions se succéderont, parfois à en faire mal physiquement. Mais cela fait aussi partie de la rupture amoureuse, aussi douloureux que ce soit. Il y a par ailleurs différentes douleurs qui peuvent être ressenties suite à une rupture amoureuse. Outre la douleur de la perte de l’être aimé, il y a une notion dans la rupture amoureuse qui peut renvoyer directement à son amour-propre (comme penser de n’être plus digne  d’amour…etc.).

    Ainsi, la rupture amoureuse peut aisément être comparée au deuil dans le sens où il s’agit de dire adieu à une personne aimée. Le quotidien avec elle devient brusquement un souvenir, les habitudes qui ont été crées sont à défaire, et surtout, le cœur en prend un sacré coup. Bien que ce soit douloureux, c’est en ressentant et en vivant l’expérience de la rupture amoureuse qu’il sera ensuite possible de la surmonter totalement.

     

    Vivre pleinement la douleur

    L’une des plus grandes et sans conteste la première des étapes lors d’une rupture amoureuse, c’est la douleur. Vive, électrisante, parfois physiquement ressentie, la douleur peut être difficile à appréhender.  Car bien souvent, il est possible d’être tenté par le fait de nier la douleur, de la rejeter, et prolonger ainsi le déni que la rupture n’a pas eu lieu. Tant que vous ne vous sentez pas triste, tout va bien ? Justement, non ! La tristesse, la colère et les larmes ne sont pas mauvaises en soi. Bien au contraire, les extérioriser permet aussi de s’approprier l’événement, et surtout, d’en traverser la première étape pour mieux vous reconstruire ensuite.

    Vous avez le droit d’être triste. Vous avez le droit de pleurer. Vous avez le droit de hurler.

     

    Extérioriser les émotions

    Que ce soit à travers des activités artistiques, en discutant avec une personne de confiance de la manière dont vous vous sentez ou encore en partant faire un voyage avec votre sœur, il est important de pouvoir extérioriser vos émotions. Et pour cause, si vous gardez tout à l’intérieur, alors les couches de sentiments vont s’accumuler, jusqu’à devenir du ressentiment. Ils s’entassent, se confondent, et très rapidement, vous perdez le fil de ce que vous ressentez et de ce dont vous avez besoin.

    Extérioriser ses émotions, c’est aussi leur permettre de s’envoler. Car après avoir apprivoiser la douleur, toutes les autres émotions, si elles sont conservées au-dedans de vous, sont tout autant de risques qu’elles deviennent de nouveaux moteurs de haine et des freins au quotidien et pour votre futur. Et surtout, extérioriser ses émotions permet de les comprendre et de ne pas les laisser vous hanter !

     

    Comprendre les causes de la rupture

    Selon la façon dont la rupture a eu lieu, il peut parfois rester des questions en suspens. Pourquoi ? Est-ce ma faute ? Qu’est-ce que j’ai fait pour le/ la pousser à me quitter ? Telles sont des questions qui peuvent parfois tourner autour de vous à l’instar de fantômes sournois. Tenter de comprendre les causes de la rupture, ça permet de ne pas ressasser. Car en l’absence de réponse, c’est le cerveau qui prend le relais et, dans le cas d’une absence de réponse, s’imagine les pires scénarios.

    Mais surtout, le fait de comprendre les causes de la rupture amoureuse offre la possibilité de prendre du recul sur la relation –souvent idéalisée lorsqu’elle s’achève-, et de comprendre tout ce qui n’allait pas sans avoir été perçu jusqu’alors. Un bon moyen de faire le point sur ce qui s’est passé, pour amorcer le présent et un futur beaucoup plus légèrement !

     

    Accepter la fin de toute chose

    Parce que tout comme la vie et ce qui la compose, les plantes, les animaux, les périodes… tout dépend d’un cycle. Et parfois, l’amour aussi – même si on aimerait croire à l’amour éternel ! Accepter que toute chose ait une fin, c’est aussi parvenir à faire preuve de courage, de recul et de sérénité pour continuer votre chemin.

    Comment savoir que tout est bel et bien fini ? Pour beaucoup de personnes, cela passe à travers le fait de pouvoir repenser à l’autre, mais sans éprouver ni colère, ni honte, ni tristesse. Pour d’autres, cela passe à travers la volonté de se projeter de nouveau, et de faire de nouveaux plans pour l’avenir. L’équipage perd un homme, mais le navire continue de voguer !

     

    Se choyer

    Après une rupture amoureuse, c’est aussi la question des habitudes qui se pose. Il faut réapprendre à vivre seul, sortir avec ses amis plutôt qu’en couple, et tout simplement, rester avec soi-même au quotidien. Et pour être sûr de jouir de la meilleure présence possible, quoi de mieux que de prendre du temps pour vous afin de vous faire plaisir ? De prendre soin de vous ? Que cela passe à travers des séances de shopping, des soins thérapeutiques ou encore via une reconnexion à vous-mêmes à travers les arts, chacun trouvera sa voie pour se sentir mieux.

    Se choyer, ça passe aussi à travers le fait de se donner du temps. De se recentrer sur ses proches, sur soi-même, sur son animal de compagnie… etc. C’est être patient avec soi, et surtout, rester bienveillant. De ne pas se reprocher toute l’histoire, de ne pas culpabiliser d’avoir aimé.

     

    Prendre soin de vous, c’est important. Plus encore, c’est même une nécessité après une rupture. Parce que si l’être aimé est parti, rien ne vous empêche d’être votre premier amour !

    Et parce que les ruptures amoureuses, si elles ferment parfois un chapitre important de votre vie, peuvent tout aussi bien en ouvrir un nouveau qui s’avère essentiel, il est primordial de prendre soin de vous.

     

     

    Ainsi, les ruptures amoureuses ne sont jamais aisées à envisager. Pire encore, elles sont terriblement douloureuses à vivre et intenses en émotions. Mais avec le temps, elles sont aussi l’occasion de pouvoir travailler sur soi-même, d’envisager de nouvelles perspectives et surtout, de vous trouver davantage. Si toutefois, la rupture semble bien trop ancrée ou insurmontable, il est possible et recommandé d’aller consulter des spécialistes.

    De même, l’hypnose peut également être une bonne aide pour se libérer de la douleur ressentie et des gênes que cette douleur peut causer au quotidien. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose des séances d’hypnose, des soins du visage et des soins du corps tels que le drainage lymphatique.

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    Enfin, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature afin de se recentrer sur soi et de se reconnecter à son moi profond, via le partage et la bienveillance.

     

  • Le divorce : quand est-ce la meilleure solution ?

    Le divorce : quand est-ce la meilleure solution ?

    Il y a encore une quarantaine d’années, le divorce n’était une solution que peu envisagée. Aujourd’hui, c’est plus de 45% des mariages qui se soldent par un divorce, en France. Et si parfois, les raisons pour lesquelles l’on se retrouve en couple avec une personne semblent obscures et floues, si l’on se laisse guider par les sentiments qui nous étreignent, alors comment être sûr qu’il est temps de divorcer ? Quand décider de le faire, sans pour autant le regretter ?

     

    Le divorce, une solution miraculeuse ?

    Il arrive des instants, dans toutes les relations, où le doute se fait sentir. Que ce soit par rapport à soi ou par rapport à l’autre, la relation peut rapidement être remise en cause. Faut-il continuer avec la personne ? Est-il préférable de tout arrêter, pour se consacrer à soi ? Cette décision n’est pas à prendre à la légère. Pour peu qu’il y ait également des enfants dans le foyer, ou des projets en cours, c’est un choix dont il faut peser les pour et les contre.

    Historiquement, le divorce a été remanié de multiples fois. Interdit par l’Eglise au XVIe siècle, il est de nouveau autorisé durant l’Ancien Régime. C’est durant la Révolution française que le concept du mariage est totalement désacralisé, et que le divorce commence à se démocratiser. C’est d’ailleurs la loi du 20 septembre 1792 qui autorise le divorce en France, tel qu’on le connaît aujourd’hui. Mais il est de nouveau supprimé, pendant soixante-huit longues années, de 1816 à 1884 – de quoi avoir la tête qui tourne !

    Le fait que de nos jours, le divorce soit beaucoup plus accessible qu’il y a une trentaine d’années favorise grandement des décisions hâtives. En quelques mois, le divorce peut être prononcé, et pour peu que la séparation se fasse à l’amiable, le tour est joué rapidement et sans complications. Si se marier n’est pour certains plus aussi « sacré » qu’avant, le divorce en devient une solution de secours.

    Pour autant, c’est loin d’être une solution miraculeuse. Lorsqu’on se marie, aux yeux de la loi tout autant que dans la vie quotidienne, il y a des choses qui se lient dans plusieurs domaines. Un compte joint, un logement à et pour deux, et peut-être même des enfants sont-ils nés de cette union. Quelles que soient les caractéristiques et le quotidien qui découle du couple, toute relation est unique. Et malgré tout cela, parfois, la séparation reste la seule solution envisageable.

     

    Comment savoir si quitter l’autre est la chose à faire ?

    Si les raisons de se mettre en couple et de se marier sont multiples et variées, il en va de même pour les raisons qui poussent un couple à se séparer. Perte de désir pour l’autre, ne pas réussir à se projeter avec le partenaire, ou ne simplement plus être aussi amoureux qu’au début… les raisons d’un divorce sont tout aussi diverses que chaque mariage et relation est unique.

    Faire le point avant de prendre la décision de divorcer est essentiel. Savoir pourquoi l’on veut partir ou rester est primordial. La relation a-t-elle besoin de repasser au premier plan de la vie quotidienne ? Ou bien est-ce vraiment plus ancré, plus dissimulé, et insidieux ? Le partage avec l’autre ne vaut-il peut-être plus tous les sacrifices pour vous ? A nouveau, toutes les raisons sont valables. Mais elles doivent être réfléchies et muries.

    Le divorce, tout comme le mariage, est une décision importante qui bouleverse tous les aspects de la vie. Vie de famille, aspect financier, au niveau du logement, concernant la belle-famille, amis en commun ou collègues qui vous connaissent depuis plusieurs années… personne ne doit être une enclave à votre divorce, mais certains voudront peut-être vous soutenir. Quoiqu’il en soit, le choix de divorcer est loin d’être anodin.

    La seule raison qui n’a pas besoin d’être réfléchie, c’est dans le cas de violences conjugales. Le silence peut tuer, et il est urgent, si vous êtes en danger, de fuir pour sauvez votre vie et celles des enfants s’il y en a.

     

    Le divorce : un traumatisme qui peut se graver dans l’âme

    Psychologiquement, comment se passe le divorce ? Beaucoup de professionnels de la santé mentale s’accordent à dire que le divorce, même s’il se passe dans les meilleures conditions possibles, peut tout à fait être mal vécu par l’un ou l’autre parti, voire, parfois, les deux partis. Et pour cause, si le mariage est socialement vu comme une réussite, le divorce laisse parfois le goût amer de la défaite. Pour beaucoup de personnes divorcées, cette période de séparation se passe donc très mal.

    Pour d’autres, au contraire, le divorce peut être perçu comme une réelle libération. Et pour cause, il peut parfois soulager les personnes concernées des conflits qui avaient lieu, ou des tensions qui prenaient place sans pouvoir se résoudre.

    Enfin, le divorce peut parfois bien se passer tout au long de la procédure ainsi qu’après la fin de celle-ci, tout comme il peut se passer difficilement du début à la fin. Quoiqu’il en soit, ce qui est sûr, c’est qu’à l’amiable ou au cœur du conflit, le divorce reste une étape importante dans une vie, et surtout, un choc psychique pour le mental.

    A l’instar d’un deuil, il s’agit de dire adieu non pas à une partie de sa vie, mais bel et bien à un lien qui vous a unit pendant x années à une personne. C’est enterrer une vie de famille qui paraît « acceptable » pour la société, et partir vers l’inconnu d’être divorcé.e. S’il y a des enfants, les parents divorcés sont également plus susceptibles de se voir être jugés ou pris en pitié. Ce sont alors des épreuves du quotidien qu’il faut surmonter en plus du fait de réapprendre à vivre seul, penser à soi, et l’organisation si jamais il y avait des enfants dans le foyer.

    Pour autant, il n’y a rien de choquant à vouloir divorcer. Et il vaut même mieux vouloir divorcer plutôt qu’accepter une vie qui ne nous convient plus. Finalement, ce n’est pas ça, la vraie force du divorce ?

     

    Les questions à se poser avant de divorcer

    Y aura-t-il des gens pour me soutenir émotionnellement ?

    Quels seront les impacts financiers du divorce ?

    Pourquoi est-ce que le divorce serait une bonne solution pour moi ?

    Est-ce que je suis malheureux/se parce que je suis marié/e ?

    Est-ce que j’éprouve encore de l’amour pour mon/ma conjoint/e ?

    Vais-je devoir trouver un autre logement ?

    Comment le divorce va-t-il impacter les enfants ?

    Pourrais-je compter sur mes proches pour m’aider avec les enfants ?

     

    Il y a tant et tant d’autres questions à se poser, qu’il serait impossible de toutes les regrouper. Mais certaines s’ancrent davantage dans le concret et permettent d’ouvrir la voie pour faire le point. Parce qu’au final, il n’y a jamais de meilleurs moments pour quitter une personne… sinon celui que l’on décide.

    Et pour éviter le surmenage, le burn-out émotionnel ou tout autre dépassement de vos limites lors de changements qui s’amorcent, il est possible de prendre soin de soi et de se recentrer. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Fatigue, addiction, phobie, angoisse… vous pouvez lutter contre ces entraves du quotidien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
    Et parce qu’après une telle épreuve, il est parfois essentiel de se recentrer sur soi et ses besoins, ses envies, je propose aussi des retraites bien-être qui permettent la reconnexion à son “moi profond”.
  • Le polyamour : et si c’était ça, la réelle fidélité de l’âme ?

    Le polyamour : et si c’était ça, la réelle fidélité de l’âme ?

    Qui n’a jamais laissé un bout de soi dans une relation ? Pourtant, il existe des personnes capables d’aimer fort et de façon pure qui parviennent à ne jamais s’oublier. Est-ce qu’un modèle de couple non-exclusif, comme le polyamour, pourrait permettre de se rester fidèle même en évoluant ? Mais qu’est-ce que le polyamour, exactement ? Et comment ça fonctionne ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Et qu’en est-il du rapport à soi lorsque les partenaires sont multiples ? Cap sur une nouvelle forme d’amour : le polyamour.

     

    Polyamour : qui es-tu exactement ?

    Formé à partir de deux radicaux, « poly » en grec, et « amore », en latin, le polyamour peut se traduire par « plusieurs amours ». Il s’agit donc d’entretenir une relation avec plusieurs personnes différentes, dans le consentement de chacun. Chacun des partis de la relation peut alors avoir un ou plusieurs autres partenaires de vie.

    Basé sur une transparence absolue, le polyamour est une façon d’envisager les relations de façon peu traditionnelle. Pourtant, les premières apparitions du polyamour remontent au XVIIe siècle, par le philosophe socialiste utopiste Charles Fourier, dans son livre Le Nouveau Monde Amoureux. Il y expose les premières bases théoriques de ce qu’il nommera tendrement « l’amour multiple ».

    Il faut cependant attendre les années 1990 pour voir éclore le terme de « polyamour » au sens qu’on lui connaît aujourd’hui.

     

    Polyamour : des règles et des contraintes ?

    Comme pour toute relation, il y a des « bases » à poser. Parmi elles, notamment, l’importance de la confiance et de l’honnêteté. Les amours multiples sont souvent à l’origine d’un amalgame entre le libertinage et l’infidélité : mais il n’en est rien. Les amours ne se remplacent pas les unes les autres, bien au contraire. Elles se complètent.

    Dans une relation polyamoureuse, il n’y a pas de secrets. C’est une notion primordiale afin de veiller au bien-être de chacune des parties concernées. De même, on retrouve une certaine ressemblance avec une relation plus traditionnelle et exclusive : les notions de respect et de confiance sont évidemment inébranlables. Plus encore pour les relations polyamoureuses, puisqu’il s’agit alors du bien-être des partenaires et du bon fonctionnement des relations. Car l’objectif, outre l’échange et la tendresse, c’est aussi de pouvoir s’épanouir !

     

    Et la fidélité, dans tout ça ?

    Souvent confondu avec le libertinage, le polyamour pose cependant la question de la fidélité. Comment est-ce que cela fonctionne si les partenaires sont multiples ? Eh bien, il s’agit en réalité d’une nouvelle forme de fidélité. Si elle ne s’exprime plus à travers la fidélité sexuelle, elle est cependant présente dans d’autres aspects de la relation.

    C’est notamment le cas pour la sincérité dont font preuve chacune des personnes concernées envers les autres partenaires. Cela passe à travers l’attention portée au bien-être de chacun, la communication (toujours), le consentement, le fait de se protéger avec d’autres partenaires… etc. La fidélité a donc diverses formes qui ne s’expriment pas forcément de la même façon dans une relation exclusive et polyamoureuse.

     

    Comment vivre le polyamour ?

    Si les raisons de se tourner vers le polyamour peuvent être multiples et personnelles, il est surtout du devoir de chacun de se montrer honnête envers soi-même. Et certaines personnes ne sont simplement faites pour les relations exclusives ! Chaque relation étant unique, il est parfois difficile de trouver tout ce dont on a besoin dans une seule relation. Le polyamour permet une certaine diversité et un équilibre grâce aux différentes relations entretenues.

    L’idée de quitter le couple exclusif peut parfois être effrayante. Pourtant, le polyamour, bien qu’il porte lui aussi quelques bases importantes, semble tout de même être un pas de plus vers une forme de liberté. Car la liberté individuelle est souvent renforcée par le groupe.

    La jalousie et le sentiment de possessivité disparaissent. Ils s’estompent au profit d’une réjouissance pour le bonheur de l’autre, même si l’on n’en est pas responsable. Les partenaires sont multiples, et les joies aussi. Cela demande évidemment un travail sur soi important, et surtout, de dépasser ce que le couple exclusif admet aisément (jalousie, possessivité, comparaison…etc.). Dans le polyamour, il s’agit surtout de multiplier les plaisirs de la vie avec des partenaires différents et uniques !

     

    Le polyamour, ou écouter ses désirs et son cœur

    Alors qu’en est-il dans le rapport à soi ? Lao Tse expliquait que « les femmes recherchent d’abord la fidélité, et en second la diversité. Les hommes recherchent d’abord la diversité, et en second la fidélité. » (Chine, environ 600 avant notre ère). Aujourd’hui, les femmes se sont majoritairement émancipées du modèle de couple exclusif. S’il a jadis été la seule fin importante et reconnue par la société patriarcale, ce modèle commence à s’estomper au profit du bonheur quelle que soit sa source. Désormais, les relations peuvent être exclusives, polyamoureuses, éphémères ou durer dans le temps. Tout existe, puisque chaque humain est unique !

    Dans le rapport à soi, le polyamour a une importance notable. En effet, dans une relation exclusive, un certain confort est mis en avant (l’autre est un soutien, un compagnon de route, un objet de désir…), mais dans les relations polyamoureuses, ce que représente le partenaire est multiplié. Attention toutefois, chaque relation est différente : avec un partenaire, il y aura plus d’écoute et d’échange, un autre apportera de l’humour et du dynamisme, un autre encore pourra être la source importante de désirs… chaque lien entretenu est différent des autres. Les passions partagées sont plus nombreuses également, et d’une certaine façon, chacun se nourrit et grandit avec différentes relations.

    Il y a donc, dans le polyamour, une certaine recherche d’harmonie qui est présente, un besoin de nourrir son « moi » intérieur de diverses façons. Parce qu’après tout, n’apprend-on pas toujours des autres ? Le polyamour peut donc s’apparenter à un chemin intéressant concernant la fidélité à soi-même. Et pour cause, en multipliant les échanges, il n’y a plus une seule source d’apprentissage, d’échange et de plaisir, mais plusieurs. Et à l’origine de toute évolution personnelle, il y a des expériences. Les multiplier peut permettre, ainsi, de mieux trouver son propre soi, et tendre vers l’épanouissement, qui se multiplie également. Il n’y a plus une seule source de bonheur, mais de nombreuses. Et un cercle vertueux s’entame alors.

     

    Pour résumer, il y a donc dans les relations polyamoureuses des notions similaires au couple exclusif, et d’autres, nouvelles et adaptables selon les besoins de chacun, qui s’appliquent. Si le couple exclusif contraint parfois à des concessions et des compromis, le couple polyamoureux porte également ses contraintes, bien qu’elles renvoient directement à un travail sur soi.

    La relation polyamoureuse permet de nombreux avantages, comme le sentiment de liberté, la notion de séduction et le fait de savoir qu’il est possible de séduire, ou encore des échanges enrichissants car multiples. Dans le rapport à soi, cela peut permettre d’être plus apte à évoluer, à grandir, et surtout, à apprendre des autres pour toujours mieux se connaître soi-même.

    Et comme dans toute relation, il est important de prendre soin de soi et de s’aimer soi-même avant de pouvoir aimer autrui. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Si vous souhaitez un rendez-vous, vous pouvez vous rendre sur Doctolib. De même, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Que vous soyez donc adepte ou non des relations polyamoureuses, la fidélité de l’âme passe toujours par le temps que vous vous accordez. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à son moi profond et de prendre le temps de se découvrir en profondeur. Pour une reconnexion à soi puissante et holistique dans un cadre calme et paisible.

  • Comment dépasser ses peurs ?

    Comment dépasser ses peurs ?

    Cette question, on se l’est toujours déjà posée… Cela paraît difficile, insurmontable voire complètement irréalisable. Aujourd’hui, vous allez découvrir les moyens d’y parvenir… Et devinez quoi, c’est possible !

    La peur : d’une émotion à une réaction 

    Avant de rentrer dans le vif du sujet, qu’est-ce que la peur ? C’est une émotion éprouvée en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé. C’est un signal. Une alerte qui provoque des réactions instantanées : sueurs froides, nausées, accélérations cardiaques…

    La dépasser, c’est possible…

    Prendre d’abord le temps d’analyser la situation

    Vous êtes face à un danger. Vous cherchez à vous échapper. Votre pouls s’accélère. Vous avez des sueurs froides. Dans cette situation, vous devez distinguer vos symptômes du danger. Vous dire que ses sensations sont indépendantes. Il faut prendre du recul.

    Se concentrer sur sa respiration

    La peur entraîne un sentiment de panique responsable lui-même de l’accélération cardiaque. La clé, diminuer sa fréquence respiratoire. Prendre une grande inspiration, bloquer et expirer ensuite au minimum 3 fois.

    Se rappeler de la réalité

    Ne vous enfermez pas dans vos pensées. N’imaginez pas le pire. Recentrez-vous sur la réalité.  Rappelez-vous le contact de vos pieds au sol et l’environnement qui vous entoure. Bougez.

     

    Contrôler puis dépasser ses peurs est donc possible grâce à ces trois étapes. Toutefois, vos peurs peuvent être plus profondes. Prendre contact avec un professionnel de santé peut sûrement vous aider si elles le sont. Au besoin, je peux vous aider grâce à l’hypnose.