Votre panier est actuellement vide !
Catégorie : SMILE
-

Quand l’esprit domine le corps
Platon disait « les MAUX du corps sont les MOTS de l’âme, ainsi on ne doit pas guérir le corps sans chercher à guérir l’âme. »
Dans les traditions indiennes et chinoises, le corps et l’esprit ne font qu’un, depuis la nuit des temps. Pourtant, c’est encore loin d’être le cas dans notre civilisation occidentale, où pour monsieur Tout-le-monde, le corps et l’esprit sont deux entités indépendantes. La faute à Descartes (et à ses disciples), qui considérait que l’âme (entité immatérielle) était radicalement distincte du corps (machine). C’est ce que l’on appelle le « dualisme ».
Mais, heureusement, depuis Descartes, la science a évolué, et la médecine reconnaît aujourd’hui l’interdépendance entre le corps et l’esprit. L’esprit peut influer sur le corps, et le corps sur l’esprit.
De nos jours, dans une société qui nous soumet à de multiples émotions en tout genre, notre corps subit de nombreux chocs émotifs que nous ne sommes pas toujours en mesure de gérer, et qui peuvent se traduire par un mal-être qui se répercute en maladie(s).
Cependant tout ceci est assez complexe, et c’est la raison pour laquelle j’ai souhaité rédiger cet article afin de tenter de vous livrer des explications simples, mais aussi des solutions.
Quelques définitions préalables et quelques explications
Le corps
Commençons par le plus simple : le corps. Et contentons-nous de la définition du Larousse. Le corps se définit comme « La partie matérielle d’un être animé considérée en particulier du point de vue de son anatomie, de son aspect extérieur ». Rien de très difficile jusqu’à présent.
L’esprit
Mais si l’on tape le mot « esprit » sur internet, on y trouve une dizaine de définitions, selon que l’on se place d’un point de vue psychologique, psychanalytique, philosophique, métaphysique, spirituel, religieux…
Pour le commun des mortels, l’esprit est « associé » au cerveau. Cependant, ce sont deux choses différentes. Le cerveau est concret : on peut le visualiser, l’analyser, le traiter. L’esprit n’est pas matérialisable. Il est invisible, propre à chacun, privé, subjectif.

Demandez à quelqu’un de vous donner une définition du mot esprit ? Personne n’aura la même.
C’est pourquoi, pour simplifier, j’associerai dans cet article, le mot « esprit » à « pensées et émotions », et que je me baserai sur l’hypothèse émise par les neurosciences : l’esprit siège dans notre cerveau.
Désormais, un nombre important d’études montrent que nos pensées, nos émotions, nos ressentis ont une influence sur notre santé. Il a été prouvé que des pathologies graves telles que le cancer, les AVC et les infarctus peuvent avoir un lien direct avec notre « esprit ».
Et ne l’oublions jamais au cours de cette lecture, l’inverse est également vrai. Des pensées positives améliorent la qualité de vie et peuvent même améliorer l’état de santé. D’ailleurs, illustrons cela tout de suite et parlons de l’effet placebo.
L’effet placebo : la preuve que l’esprit et le corps sont en lien direct
Pour ceux qui ne connaissent pas l’effet placebo, il s’agit d’obtenir un effet thérapeutique réel en faisant croire à un patient qu’il prend un médicament alors qu’il prend du sucre. Précisons que tout le monde n’est pas réceptif à ces expériences, mais bon nombre de personnes y sont sensibles.

Pour votre culture générale, on parle de l’effet placebo depuis des siècles. Mais c’est Henry Beecher qui était anesthésiste, pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a publié la première véritable étude sur ce sujet, suite à ce qu’il avait observé pendant la guerre. En effet, n’ayant plus de morphine pour soulager ses patients, il leur injectait, sans leur dire, des doses d’eau salée. Et pour 35 % d’entre eux, la douleur diminuait. Même si l’on dit qu’il avait surestimé ce chiffre, il n’en demeure pas moins que l’effet placebo est aujourd’hui incontesté et incontestable. Certaines personnes qui pensent recevoir un véritable traitement voient leurs maux diminuer, ce qui prouve par A + B que la pensée agit sur le corps et dans ce cas, dans le bon sens.
Mais à l’inverse, lorsque nos pensées ou émotions sont négatives, elles agissent dans le mauvais sens. Et l’on parle alors, le plus souvent de maladies psychosomatiques.
Qu’est-ce qu’une maladie psychosomatique
C’est la conséquence de ce que je viens d’évoquer. Par exemple, en cas de stress, d’angoisse, de mal-être induits par des pensées négatives, le corps réagit, et des maladies se déclarent. Contrairement à ce que certains pensent, les maladies psychosomatiques sont de véritables maladies.

Mais comment est-ce possible ?
En reprenant l’hypothèse que l’esprit siège dans le cerveau, cela s’explique facilement. Notre système nerveux est composé de dizaines de milliards de neurones. Et le système nerveux agit directement sur notre système endocrinien et notre système immunitaire.
Aussi, dès lors que nos émotions sont négatives, des phénomènes chimiques se déclenchent, ce qui crée un déséquilibre du système nerveux, ce qui entraîne un déséquilibre dans les autres systèmes qui sont censés nous protéger.
Si le système immunitaire ou le système endocrinien deviennent défaillants, eh bien on est malade, et pour de vrai !
Un exemple ?
Lorsque nous sommes stressés, des réactions en chaîne se déclenchent, et de véritables pathologies peuvent en découler :
- Troubles de la digestion : ballonnement, diarrhées, constipation, crampes abdominales
- Troubles de l’alimentation : anorexie-boulimie
- Hypertension et migraines
- Crises de panique
- Épuisement, neurasthénie, douleurs inexpliquées
De même, lorsque nous sommes de bonne humeur, les signaux sont inversés, et nous sommes moins sujets à tous ces maux, voire nous pouvons en guérir certains.
Certains vont même plus loin : chaque maladie a un sens
Dans le livre « Ton corps dit : Aime-toi ! » de Lise Bourbeau, une coach en développement personnel, une relation directe est établie entre nos émotions et vingt pathologies.
Que l’on y croie ou pas, Lise Bourbeau vous démontre que chaque maladie nous livre un message. Et pour elle, tout passe par un travail sur soi.
Un exemple, et en simplifiant énormément, pour l’auteur, le mal au dos peut traduire différentes choses :
- Lorsque l’on a mal dans le bas du dos, c’est que l’on se sent submergé par des contraintes et que l’on y répond par devoir, alors que l’on a plutôt envie de liberté.
- Lorsque l’on a mal au milieu du dos, c’est un signe d’insécurité matérielle.
- Et s’il s’agit du haut du dos, c’est une souffrance affective ou que l’on se sent surveillé.

D’ailleurs, on connaît toutes les expressions : en avoir plein le dos, avoir quelqu’un sur le dos
Bien sûr, ici je vous résume sa vision qui est largement argumentée dans son ouvrage.
Un petit résumé s’impose
De nos jours, la dualité entre le corps et l’esprit est révolue. Il est désormais reconnu que des interactions incessantes se produisent entre les deux, et dans les deux sens.
Notre esprit recueille nos émotions.
En fonction de ces émotions, notre cerveau déclenche des réactions en chaîne.
Selon notre « façon de faire face », notre fébrilité, notre état de fatigue, etc., notre corps réagit plus ou moins bien, souvent “moins” que “bien” d’ailleurs.

Les solutions
Si vous allez consulter un médecin, rares seront ceux qui vous diront de traiter la cause d’origine, et dans notre exemple précédent, de traiter la cause d’une difficulté à gérer le stress, par exemple. Si le stress engendre chez vous des maux d’estomac ou des ballonnements, le médecin vous enverra faire une fibroscopie, et vous prescrira trois ou quatre pilules différentes. Attention, je ne généralise pas, ni pour les médecins, ni pour les pathologies. Mais à titre personnel, j’ai plutôt rencontré des médecins qui se préoccupent plus des conséquences que de la cause. Sachant aussi que certaines maladies ne sont pas liées à notre état mental.
Cependant, dans de nombreux cas, des alternatives existent, alternatives qui tenteront de s’attaquer au problème de fond. Citons par exemple, l’hypnose, l’acupuncture, la méditation, la sophrologie dont j’ai fait mon métier.
Ainsi pour finir cet article, je vous parlerai de deux techniques, l’une que l’on peut pratiquer seule : la méditation, et l’autre pour laquelle vous êtes accompagné(e) : la sophrologie.
La méditation
Pour certains, le mot méditation fait sourire, et pourtant cette pratique millénaire fait désormais l’objet d’un consensus dans le corps médical. Lors d’un congrès, en avril 2012, réunissant 700 médecins, psychologies, neurologues, les effets positifs de la méditation ont été observés par IRM et par Scanner.
La méditation consiste à apprendre à vous détacher de vos préoccupations et à ne vous concentrer que sur le moment présent.
L’avantage, c’est que vous pouvez pratiquer la méditation seule, mais c’est aussi un inconvénient, car certains éprouvent le besoin d’échanger.
La sophrologie
Sophrologue de métier, je vous livre ici en quoi la sophrologie peut vous aider dans la gestion de vos émotions.
La sophrologie a pour but d’apprendre à gérer les tensions, le stress, les peurs afin d’harmoniser le corps et l’esprit.
C’est d’ailleurs la raison d’être de ce blog !
Avec la sophrologie, vous êtes guidé(e) par un professionnel qui sait adapter son travail à votre état. Si vous êtes intéressé(e), je vous invite à me contacter et à prendre un rendez-vous, ou à participer aux ateliers que j’organise.

Conclusion
Si toutes les pathologies ne sont pas en lien direct avec nos pensées et nos émotions, une partie d’entre elles le sont, et c’est désormais admis et reconnu par le corps médical. Pour autant, les patients ne sont pas toujours orientés vers les « bons » traitements ou les « bons » praticiens. Ils sont soulagés de leur douleur « physique », mais ne le sont pas de leur douleur « mentale ». Les médecine douces peuvent donc être LA solution.
A Bientôt,
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute sur Paris et proche banlieue

-

Le sommeil : cette arme qui peut se retourner contre nous
Il est deux heures du matin, et le 235 453e mouton vient de sauter la barrière… Il faut réagir.
Malheureusement vous n’êtes pas seul(e) à rencontrer des problèmes de sommeil. Même si ce n’est pas rassurant, sachez que d’après les statistiques, 30 % des Français se plaignent de leur sommeil tous les troubles confondus.
Et parmi les calvaires de la vie, ne pas dormir, quand on a envie de dormir, en est un dont on se passerait bien.D’aucuns diront que dormir une véritable perte de temps ! Pourtant, le manque de sommeil de façon répétée peut occasionner des troubles plus ou moins importants, et plus ou moins graves. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que le manque de sommeil perturbe le quotidien et les relations sociales.
Alors pourquoi est-il important de bien dormir ? Que faire pour améliorer la qualité de son sommeil ?
À quoi sert le sommeil ?
Au XIXe siècle, des expériences ont été menées en privant des individus de sommeil pendant trois jours : les conclusions ne se sont pas fait attendre :
– Perte ou trouble de la mémoire
– Temps de réaction augmenté
– HallucinationDepuis, les expériences se sont largement poursuivies. Aujourd’hui, il est connu et reconnu que le sommeil joue un rôle déterminant dans la concentration, la mémorisation, l’apprentissage, le temps de réaction et le sens de l’orientation. Mais pas que…
Une mauvaise qualité de sommeil augmente les risques d’apparition de signes dépressifs, augmente la prise de poids, favorise l’hypertension, diminue le rôle de notre système immunitaire…
Sans compter la mauvaise humeur ! Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, quand j’ai mal dormi, je suis particulièrement grognon, et c’est peu de le dire…
Y-a-il des normes quant à la durée du sommeil ?
Nous ne sommes, une fois de plus, par tous égaux face à la durée de sommeil. Certains sont de petits dormeurs, d’autres des moyens, et d’autres encore de gros dormeurs.
Par ailleurs, le besoin de sommeil évolue avec l’âge. Un bébé peut dormir 17 heures, une personne âgée 7 heures. Avec 5 heures de sommeil, un adulte « petit dormeur » peut être comblé.
Mais, il existe tout de même une « moyenne ». Pour les adultes, il est préconisé de dormir entre 7 heures et 9 heures par nuit.
En fait, il n’y a pas de normes, et à chacun sa « dose ». Une bonne qualité du sommeil s’évalue à votre état au réveil. Si vous vous levez en chantant (rires) et en forme, c’est que vous avez suffisamment et bien dormi. Je sais… ce n’est pas si simple… mais c’est tout de même un très bon indicateur.
Mais pourquoi dormons-nous mal ?
Les causes
Les causes sont diverses, et plus ou moins graves. En général, elles sont classées en quatre catégories :
– Physiologiques (excès de substances énergisantes, alcool, repas trop copieux, médicaments…)
– Psychologiques (angoisse, anxiété, stress, choc traumatique…)
– Pathologiques (fièvre, maladie, maladie génétique…)
– Environnementales (chaleur, bruit, conjoint qui ronfle, lumière…)C’est pourquoi, lorsque nous voulons retrouver le sommeil, il faut trouver une solution en fonction de la cause.

Le cycle du sommeil
Il faut également savoir que nous ne dormons pas de façon continue. Le sommeil se divise en 4 à 6 cycles qui durent environ 90 minutes, et dans chacun des cycles, il y a trois périodes :
• Le sommeil léger (endormissement : autour de 20 minutes)
• Le sommeil profond (sommeil réparateur : entre 60 et 75 minutes)
• Le sommeil paradoxal (là où l’on rêve : entre 15 à 20 minutes)Selon la cause des troubles, le sommeil est affecté différemment dans l’un ou plusieurs de ses cycles. Le nombre de troubles étant important, je ne vais pas tous vous les lister. En revanche, je vous invite à lire des articles, tels que celui-ci : troubles du rythme circadien, rédigé par la Directrice du Centre d’étude et de traitement des rythmes circadiens humains à l’IUSM Douglas.
Ou alors, de vous diriger vers des sites de référence tels que celui de l’INVS (Institut National du Sommeil et de la Vigilance).

Les bonnes attitudes pour retrouver le sommeil
L’environnement : Le cadre, le bruit, la température, la lumière
Déjà, l’environnement est fondamental. Il faut aimer l’endroit où l’on dort. Un petit truc d’emblée : offrez-vous une housse de couette sympa, douce et que vous prenez plaisir à regarder.
Ensuite, dans un esprit plus classique, votre chambre doit être agréable, ventilée… Voici quelques conseils :
• Dites adieu au chauffage…
• Investissez dans des doubles rideaux opaques si vous n’avez pas de volets roulants.
• Achetez des boules quies, si besoin.
• Virez du lit tout ce qui n’est pas utile. Le conjoint qui ronfle, par exemple… (rires)
• Achetez des ampoules 25 watts, évitez les éclairages agressifs.
• Peignez les murs dans des couleurs apaisantes.
• Pensez aussi à votre literie (matelas et oreillers de bonne qualité)Adoptez un rituel
Essayez de vous contraindre (oui, je sais, ce n’est pas toujours facile) à vous coucher à peu près à la même heure. Fixez-vous une heure limite. Une heure avant cette heure limite, diminuez l’éclairage, mettez votre téléphone en mode avion. Puis, à l’heure dite, éteignez toutes les sources de lumière (même les appareils en vieille sont à éteindre).
Dans le même esprit, réservez votre lit à dormir et à l’amour. Bannissez toutes autres activités.Exposez-vous à la lumière du jour et obligez-vous à dormir dans le noir complet.
Le jour, exposez-vous le plus possible à la lumière solaire. Il faut faire comprendre à notre organisme la différence entre le jour et la nuit. Un peu de discipline, s’il vous plaît ! (rires). En revanche, obligez-vous à dormir dans la noirceur la plus totale. Et prévoyez de la lumière tamisée la nuit si vous devez vous lever.
Évitez les siestes
On préconise souvent de faire des siestes. Oh que oui, si vous ne souffrez pas de troubles de sommeil. En revanche, évitez-les si vous voulez vous endormir à une heure raisonnable.
Adoptez des habitudes alimentaires saines
Je ne vais pas m’éterniser sur ce point. Il est connu et reconnu que manger juste avant de dormir nuit au sommeil, et que les repas copieux sont fortement déconseillés. En plus, bonjour les kilos…
Limitez la consommation d’alcool (et de drogues)
En revanche, je vais parler de l’alcool, car c’est ce que l’on appelle « un faux ami ». Eh oui, en fait, on pense tous que l’alcool aide à dormir. Eh non ! l’alcool aide à s’endormir. Mais, le sommeil qui suit est de très mauvaise qualité. D’ailleurs, il n’est pas rare de faire des cauchemars quand on a abusé des Mojitos… Et si votre petit copain ou copine ronfle… je suis certaine que vous avez dû constater que l’alcool n’arrange pas les choses !!
Ne regardez jamais l’heure la nuit
En effet, lorsque l’on regarde l’heure la nuit, le cerveau se met au travail. Il compte le nombre d’heures qu’il nous reste à dormir. Et dans la majorité des cas, c’est une source de stress.
Avouez-le… Vous devez vous lever à 7 heures, vous vous réveillez à 6 heures moins le quart… L’horreur ! Déjà vous avez l’impression de ne pas avoir dormi, et vous vous dites, il ne me reste qu’une heure quinze à dormir… Insomnie garantie… Et ne parlons même pas de l’humeur…
Arrêtez de compter les moutons et faites l’amour
Franchement, comptez les moutons, ça ne sert à rien. Bien au contraire… Alors, voilà une astuce. Réveillez votre conjoint, et faites l’amour. Il est prouvé que c’est excellent pour la santé et pour le sommeil. Je vous invite d’ailleurs à lire mon article sur ce sujet.

Mais n’abusez pas d’activités physiques
« Fais du sport, tu dormiras mieux… » Qui n’a pas entendu cela ? Eh bien, ce n’est pas si vrai. Si faire du sport de façon modérée est en effet recommandé, une activité trop intense nuit à la qualité du sommeil. Comme pour beaucoup de choses, il faut trouver la juste mesure.
La sophrologie et le sommeil
Ces petites astuces peuvent suffire à améliorer la qualité de votre sommeil. Mais parfois, les causes sont plus profondes, et tout ce que j’ai évoqué précédemment ne suffit pas. C’est pourquoi, je vous conseille d’essayer quelques séances de sophrologie. Il s’agit d’apprendre à faire des exercices de relaxation musculaire et mentale.
Selon les problèmes que vous rencontrez, et pour rejoindre au plus vite les bras de Morphée, le Dieu des songes, il existe une grande variante d’exercices pour :
– Pour se détendre
– Pour ralentir le rythme cardiaque
– Pour ne plus appréhender l’endormissement
– Pour faire le vide
– Pour dénouer les tensions
– Etc.Sophrologue, je peux vous accompagner dans votre démarche. Contactez-moi en MP, si vous le souhaitez.
Et si vos problèmes sont liés à une phobie du lundi, n’hésitez pas à lire mon article sur le lundi.

Conclusion
On ne le répétera jamais assez : le sommeil, c’est la santé (encore plus que le travail, rires). Notre corps se régénère, se répare, et fait le vide dans nos émotions.
Mais à raison de 8 heures de sommeil par nuit, à 40 ans, on a passé plus de 13 années de sa vie à dormir. Pour faire simple, on passe 1/3 de notre vie à dormir. Alors tant qu’à faire, essayons de rendre ces années utiles, en faisant de notre sommeil une arme réparatrice !
Bon après, si vous ne dormez pas, c’est peut-être que quelqu’un est amoureux de vous ! Une légende dit que « quand vous ne pouvez pas dormir, c’est que vous êtes éveillée dans le rêve de quelqu’un d’autre ». Je vous le souhaite !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

Et si l’on parlait ego ?
Déjà sachez que le mot « ego » ne prend pas d’accent. Car comme l’a twitté Bernard Pivot, en 2018, « jamais d’accent sur le e de ego ! Ce serait un pléonasme puisqu’un ego ne cesse de mettre l’accent sur lui ».
Eh oui, nous associons tous le mot « ego » à égoïste ou égocentrique, en tout cas à quelque chose de péjoratif, surtout quand il s’agit des autres. Mais nous avons tous notre part d’ego…
C’est pourquoi j’ai souhaité faire un petit tour sur le sujet, et voir dans quelles mesures trop d’ego peut nuire non seulement à sa vie personnelle, professionnelle, sociale, mais aussi à celle des autres.
C’est parti…
Mais tout d’abord qu’est-ce que l’ego ?
Il existe plusieurs définitions selon que l’on se place d’un point de vue philosophique ou psychologique. Mais nous n’allons pas dans cet article, entrer dans des définitions complexes. Soyons concret.
Pour faire simple, on peut définir l’ego comme la représentation que l’on se fait de soi-même. L’image que l’on se renvoie. Le moi, plutôt le « moi je ».
Selon les individus, on pourrait dire qu’il y a 3 types de manifestation de l’ego :
- Ceux qui ont un ego « normal ». Ce qu’ils pensent d’eux-mêmes est en adéquation avec ce qu’ils sont.
- Ceux qui ont un ego « sous-dimensionné ». Ce sont des gens qui ont toujours tendance à se sous-estimer.
- Ceux qui ont un ego « surdimensionné ». À l’opposé des précédents, ils se surestiment.
Tout est donc une question de dosage. Et sur ce plan, nous sommes tous très différents, et c’est très souvent lié à notre histoire.
Si ceux qui ont un ego sous-dimensionné peuvent développer certains troubles dont je parlerai sûrement dans un prochain article, ceux qui ont un ego surdimensionné sont aussi à l’origine de troubles graves, qui ont parfois des conséquences graves, et pour eux et pour leur entourage.
Ego, égoïste, égocentrique, narcissique : De quoi parle-t-on ?

Bien sûr, il y a un lien entre ego, égoïste, égocentrique, puisqu’ils ont tous la même racine « ego » qui signifie « moi ».
On pourrait dire :
- Qu’un égoïste manipule les autres pour servir ses propres intérêts, sans pour autant se soucier de l’image qu’il renvoie aux autres.
- Qu’un égocentrique est égoïste qui est en plus centré sur lui-même et sur l’image qu’il renvoie aux autres.
- Qu’un narcissique relève de la pathologie. Il est à la fois égoïste et égocentrique avec, en plus, l’intention de nuire.
Nous sommes tous un peu égoïstes et égocentriques. Nous pourrions également débattre de l’individualisme qui est encore une notion qui s’en rapproche. Mais ce n’est pas le sujet.
Comment reconnaître un ego surdimensionné ?
On parle d’ego surdimensionné lorsqu’un individu a une haute image de lui-même. Mais attention, il peut s’agir aussi d’un jugement porté par quelqu’un sur quelqu’un. En effet, la personne concernée n’en a pas forcément conscience.
Mais quand elle en a conscience, elle se croit unique, indispensable.
Voici quelques signes pour les reconnaître. Ces personnes :
- Détestent avoir tort
- Cherchent sans cesse de la reconnaissance
- N’aiment pas l’imprévu
- Ont une vision limitée des choses
- Ne sont jamais responsables de rien
- Se trouvent toujours des excuses

Les psychologues attribuent souvent ces comportements à des blessures, à un manque de reconnaissance dans l’enfance. Ce qui fait, qu’arrivés à l’âge adulte, elles ont une soif d’exister à tout prix.
On cite souvent comme exemples, les chefs d’entreprise qui ont une soif de tout contrôler et de vouloir plus et toujours plus, ou les hommes politiques qui ont une ambition démesurée.
Mais si on critique souvent les personnes à l’ego développé, ce « défaut » est pour elles, porteur. Mais, encore une fois, tout est une question de mesure.
Car si l’ego peut être un ami, il peut aussi être un véritable ennemi.
Ego quand tu nous nuis…
Trop d’ego dans la vie professionnelle
Qui n’a pas rencontré Superman (ou Superwoman) dans sa vie professionnelle ? Il sait tout, il a tout fait, il ne parle que de lui, et en plus, c’est à lui que l’on doit tout.
Quoi de plus insupportable que de côtoyer au quotidien ce genre d’individus. En tout cas, le sort qu’il leur est réservé n’est pas des plus enviables. S’ils peuvent briller un temps, ils se retrouvent souvent isolés, et ils finissent souvent par être confrontés à plus forts qu’eux. Et la chute peut être terrible.
Au travail, mettre son ego de côté est fondamental lorsque l’on travaille en équipe. L’humilité paye souvent beaucoup plus.

Trop d’ego dans la vie personnelle
Comme au travail, vivre avec quelqu’un qui manifeste des signes d’égoïsme ou d’égocentrisme peut virer au calvaire surtout lorsque cela atteint le narcissisme. Et depuis quelques années, les articles sur les pervers narcissiques ne cessent de nous alerter sur les dangers de ce type de relations toxiques.
L’ayant moi-même vécu, je suis bien placée pour en parler. D’ailleurs, je vous invite à lire mes deux articles sur ce thème, Ici, le premier, là, le second. On dit souvent que l’amour est un don de soi… Ego et amour sont donc deux mots complètement antinomiques.
Si vous avez la malchance de rencontrer ou de vivre avec quelqu’un qui présente des signes d’égocentrisme… n’hésitez pas un seul instant. Prenez vos jambes à votre cou.
Trop d’ego dans la vie sociale
Dans la vie sociale, les réseaux sociaux n’ont pas arrangé les choses. Ils ont permis aux égocentriques non seulement de se dévoiler, mais de s’exprimer ouvertement. Qui n’a pas dans ses amis, celui ou celle qui publie (ce qu’il veut laisser paraître) pour chercher à se valoriser ou à chercher de l’admiration ?
Je suis là (sous un parasol alors que vous bossez), j’ai fait ça (un super exploit), je pense ça (quel con celui qui ne pense pas comme moi), je suis belle (regardez comme je suis mince), voici ma nouvelle moto (bien posée devant l’Audi)… Les exemples ne manquent pas.
je, je, je, ma, mon, moi…
L’objectif étant double : se prouver et prouver aux autres que « j’existe » et obtenir le plus de « j’aime » possible pour en mettre plein la vue aux copains.
Si, au début, on peut parfois porter un regard indifférent, à force, ça agace… et le mot est faible.
Mais, il n’y a pas que sur les réseaux sociaux. On a tous en tête ce pote, en soirée, qui sait tout, qui a tout fait, et qui rentre dans une colère monstre quand on le contredit.
Le résultat final est le même, à force, ces individus finissent par s’isoler socialement tant ils sont insupportables.
L’avantage de « soigner » son ego
Ce n’est pas si évident. Car comme dit plus haut, les individus ayant un ego surdimensionné n’en sont pas forcément conscients. Ce sont les autres qui le voient. Et lorsqu’ils en sont conscients, et compte tenu de leur personnalité, ils n’en voient pas les inconvénients.
C’est pourquoi dans cet article, je m’adresse plutôt aux personnes qui sont plus ou moins conscientes que leur ego leur nuit. En général, cela se traduit souvent par de l’orgueil. Bien sûr, ce n’est pas si simple, mais sachez que plus vous vous vexez facilement, plus votre ego vous domine.
Et je fais partie de ces personnes qui se vexent facilement. Et c’est un point que j’ai travaillé en Sophrologie, comme je vais vous l’expliquer dans le paragraphe suivant. Et depuis, je me sens mieux !

On retrouve son libre arbitre
Travailler sur son ego permet de se débarrasser des émotions négatives. On n’a pas sans cesse ce besoin de posséder, d’être reconnu… Car ses émotions créent beaucoup de frustrations quand les besoins ne sont pas assouvis. Moins on veut, moins on est déçu.
On s’apaise
Lorsque notre ego prend le dessus, on vit dans une pression permanente. On vit dans la compétition. Tout le monde est un rival. Un égocentrique n’est jamais satisfait, il lui faut toujours plus, toujours mieux, et on mène une véritable compétition avec soi-même et avec les autres.
La vie n’est pas un ring de boxe. En tout cas, pas toujours ! Et la considérer comme tel engendre un stress permanent et bon nombre d’angoisses.
On gagne en bienveillance, donc en respect des autres
Ce n’est pas en essayant de montrer aux autres que l’on est le plus fort que l’on gagne leur respect, bien au contraire. On attise surtout la jalousie. En diminuant son ego, en étant plus tourné vers les autres, on a des retours beaucoup plus sincères.
En quoi la sophrologie peut nous aider à mieux gérer notre ego ?
Si vous ne connaissez pas la sophrologie, je vous invite à vous renseigner et surtout à lire mon prochain article sur ce sujet. Pour ce qui concerne le sujet traité aujourd’hui, la sophrologie peut aider à :
- À regarder les autres de façon différente
- À enclencher un processus inverse
- À apprécier le quotidien, la vie
- À voir le bien plutôt que le mal
- Bref, à lâcher prise et à retrouver une véritable estime de soi.
Si vous me suivez, vous savez que je suis sophrologue et que je peux soit vous aider, soit aider quelqu’un de votre entourage qui est concerné. N’hésitez pas à me contacter en MP.
Conclusion
L’ego peut donc se résumer à l’amour que nous nous portons et qui, quelque part, nous rassure. S’il est fondamental de se porter de l’amour et de se regarder avec bienveillance, il est également fondamental de ne pas se surestimer, ni se sous-estimer.
L’ego peut être porteur mais trop d’ego peut être destructeur. C’est souvent la conséquence d’un mal-être très profond qui nécessite d’être pris en considération.
N’hésitez pas à en parler pour vous libérer !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

Voilà pourquoi faire l’amour est essentiel !
Aujourd’hui, je voulais aborder un thème un peu “chaud”, comme on dit !
En effet, même si peu à peu, les langues se délient, parler de sexe est toujours un peu tabou. Depuis le film « Cinquante Nuances de Grey », et grâce à Christian Grey, le sexe et les pratiques sexuelles se sont un peu démocratisées. Mais ce n’est pas encore un sujet que l’on ose aborder, même avec ses amis.
Pourtant, l’industrie de la pornographie est l’une des plus rentables au monde.
Quel paradoxe !!
Bien sûr, il ne faut pas confondre pornographie et faire l’amour. Mais je ne suis pas là pour débattre de cela, chacun est libre de faire ce qu’il veut de son corps.
Pour ma part, je souhaite juste aborder les bienfaits que peuvent procurer les relations sexuelles. Et plus particulièrement lorsque l’on a la chance d’avoir un amoureux !
En effet, lorsque l’on fait l’amour, notre corps libère tout un tas de substances qui nous procurent une sensation d’euphorie, puis de bien-être.
Mais, malheureusement, nous ne sommes pas tous égaux face à cet acte qui symbolise l’amour. Ce n’est parfois pas évident pour certaines d’entre nous de se lâcher… Et c’est bien dommage ! C’est pourquoi, je terminerai cet article en vous expliquant en quoi la sophrologie peut aider à se sentir mieux notamment dans le domaine des relations sexuelles.

Les bienfaits de faire l’amour
C’est le ciment d’un couple
Aimer et être aimée sont bien sûr le ciment d’un couple. Mais faire l’amour, c’est l’incontournable, c’est faire durer l’amour.
En effet, la complicité, la confiance, la tendresse sont des ingrédients indispensables à la vie de couple et à l’amour. Mais ce sont aussi les ingrédients d’une amitié.
Et ce qui distingue l’amitié de l’amour, c’est le désir physique, l’attirance sexuelle.
Et ne tournons pas autour du pot… Il n’y a pas de secrets. Quand le désir s’estompe, les problèmes commencent. En tout cas pour une majorité de couples. C’est souvent la raison essentielle qui conduit à l’infidélité, qui est aujourd’hui responsable de 35 % des divorces…
Il est donc fondamental d’entretenir le désir. C’est facile à dire, je sais. Car la routine s’installe progressivement et le plus souvent inévitablement. Et avant, à l’époque de nos grands-parents, on n’en parlait pas, et on n’osait pas. Aujourd’hui, on en parle beaucoup plus, on en prend conscience, on sait que la routine est un danger, un tue-l’amour. Et sur le Net, on lit de plus en plus d’articles sur ce sujet. Notamment sur les « nouvelles » façons de pimenter sa vie de couple (sextos, sextoys, assouvir des fantasmes, amour libre…)… Ou alors sur les « nouvelles » façons « d’aimer »…
Faire l’amour est donc une condition sine qua none de garder son partenaire et d’entretenir l’amour. Mais pas que…
Faire l’amour est un véritable médicament
Tout d’abord, sachez que faire l’amour est un véritable anti-stress. Si vous ne connaissez pas le cortisol, sachez que c’est l’hormone responsable du stress. Eh bien, il a été montré que faire l’amour (plusieurs fois par semaine) diminue de manière drastique la sécrétion de cette vilaine hormone. Vous êtes stressée ? Vous savez ce qu’il vous reste à faire !
De plus faire l’amour augmente la production d’immunoglobulines A. Ces molécules renforcent le système immunitaire, qui est notre système de défense. Beaucoup de chercheurs défendent l’idée qu’une vie sexuelle active réduit les risques de maladie cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et même les risques de cancer.
Migraine ? Blablabla…
Lorsque l’on fait l’amour, le corps fabrique également des endorphines. Grâce aux endorphines qui sont libérées, faire l’amour peut diminuer et soulager les maux de tête et les migraines. Et ce n’est pas moi qui le dis ! Ce sont des neurologies de l’université de Münster, en Allemagne, qui l’ont démontré.
Alors attention, mesdemoiselles et mesdames, si votre partenaire lit cet article, et que vous simulez une migraine pour éviter de faire l’amour, vous risquez d’être prise à votre propre jeu. Là, vous n’aurez plus aucune excuse.
Faire l’amour améliore la qualité du sommeil
Dans le même esprit, faire l’amour libère également des hormones et parmi elles, il y a 5 hormones « somnifères » :
- La prolactine (sensation de bien-être)
- L’endorphine (effet relaxant)
- La dopamine (sensation de bien-être)
- La mélatonine (effet somnifère)
- L’ocytocine (effet anti-stress)
Ces hormones nous aident à trouver un sommeil profond et réparateur. C’est pourquoi, il est plutôt conseillé de faire l’amour avant de dormir.
Et il est vrai, qu’après un rapport sexuel qui s’est bien passé, on se laisse aller, on est profondément détendue et relaxée. On ne pense à rien. Ce que nous prépare à mieux dormir. Et c’est connu : « qui se sent bien, dors bien ». Alors, faire l’amour, c’est dire adieu aux insomnies !

En plus… On perd des calories…
En effet, faire l’amour, c’est un sport ! En tout cas, je l’espère pour vous (rires). Et c’est tout de même plus agréable de faire l’amour que de faire 20 km, seule, sur un vélo d’appartement. Enfin à chacun sa façon de voir les choses… Sachez qu’une demi-heure de galipettes (tout dépend des galipettes, bien sûr), vous perdez autour de 100 calories, et de façon agréable. Si vous voulez en perdre plus… Il n’en tient qu’à vous…
Et plus on fait l’amour, plus on a envie de le faire
Eh oui ! Faire l’amour augmente la libido. En effet, si l’on a une vie sexuelle épanouie, le corps s’habitue, et cela engendre des réactions physiques. La circulation sanguine dans les parties vaginales s’améliore, l’élasticité des muscles aussi, la lubrification vaginale est favorisée… Et tous ces phénomènes font que le corps en redemande ! Plus on fait l’amour, plus on a envie de le faire. Il y a pire comme situation…

On prend (ou reprend) confiance en soi
C’est pour ma part, une raison essentielle de faire l’amour. En effet, si l’on a la chance d’avoir un partenaire amoureux, en qui l’on a confiance, c’est plutôt très très très agréable de se sentir désirée, complimentée et aimée. Quoi de plus valorisant et de plus euphorisant que de constater que l’on plaît à quelqu’un, que notre corps lui fait de l’effet ? On en oublie ses complexes et ses imperfections. On apprend à accepter son corps, et on se regarde avec plus de bienveillance. C’est comme une potion magique de se sentir en confiance.
De plus, pour ma part, c’est aussi un moyen de l’entretenir. C’est une belle motivation pour rester séduisante. C’est en tout cas essentiel pour l’estime de soi.
Mais, en revanche, pour certaines, le manque de confiance peut être un véritable frein aux relations sexuelles. Dans ce domaine, le problème de la confiance en soi est donc, soit un cercle vertueux (on a confiance en soi, on fait l’amour), soit un cercle vicieux (on n’a pas confiance en soi, on appréhende le sexe).
C’est pourquoi, je voulais finir cet article en m’adressant à celles qui sont plutôt dans le cercle vicieux…

Que faire si vous ne vous sentez pas à l’aise ?
Un certain nombre de femmes peuvent ne pas se sentir à l’aise lorsqu’il s’agit de relations sexuelles, même avec un conjoint qu’elles aiment et qui les aiment. Selon une enquête, 55 % de Françaises reconnaissent connaître, ou avoir connu des difficultés sexuelles. Et on lit souvent ce chiffre sur le Net : 8 % des femmes déclarent n’avoir jamais eu d’orgasme dans leur vie…
Les raisons sont multiples, traumatisme lié à l’enfance, traumatisme lié à un partenaire inconvenant, complexes, peurs, angoisses… Et plutôt que de trouver du plaisir et de l’épanouissement, les relations sexuelles sont source de stress, voire d’angoisse. Pour certaines, une véritable contrainte, même un calvaire car douloureux…
Alors si vous en faites partie, la sophrologie peut peut-être vous aider.
En effet, la sophrologie permet, entre autres, de vaincre certaines peurs. Parmi les blocages d’ordre sexuel, on trouve certaines causes (pathologies, psychoses, mésententes profondes), et ces causes ne peuvent pas être résolues grâce à la sophrologie.
Mais dans de nombreux cas fonctionnels ou psychologiques, la sophrologie peut aider à :
- Revaloriser l’image de soi
- Surmonter des expériences traumatisantes
- Réactiver le désir
D’ailleurs, la sophrologie est de plus en plus recommandée par les médecins, les sexologues et les psychologues.
Sophrologue, je peux vous accompagner si vous le souhaitez. N’hésitez pas à me contacter en MP.
Conclusion
Il n’y a pas de mal à se faire du bien ! Le langage corporel est une véritable façon de communiquer. Et compte tenu de tous les bienfaits que faire l’amour procure, c’est un excellent moyen de garder le moral, et surtout de garder son partenaire. Tous les hommes aiment les femmes qui ont une sexualité épanouie, et surtout qui sont libérées de leurs complexes. Alors, lâchez-vous. Et si vous n’y parvenez pas, et que cela vous soucie, n’hésitez pas à en parler ! Il y a toujours des solutions à tout.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue

-

Et toi, qu’est-ce qui te donne le SMILE ?
Aujourd’hui, nous sommes lundi. Et le lundi est, pour un grand nombre d’entre nous, un jour morose.
Alors, pour bien commencer la semaine, je me suis demandé, ce week-end, ce qui me procurait de la joie au quotidien. J’ai fini par dialoguer avec moi-même pour y répondre.
C’est une question que l’on se ne pose pas souvent. On préfère plutôt se demander si l’on est heureux ou malheureux. Sachant que la quête du bonheur n’est pas toujours une fin en soi.
Par ailleurs, nous avons la fâcheuse tendance à penser que nous ne somme pas heureux. Notre cerveau a plutôt tendance à nous rappeler les moments difficiles plutôt que les moments positifs.
Et c’est prouvé ! Écoutez autour de vous, et comptez le nombre de fois où vous entendez « je suis fatigué ; j’ai froid ; je ne sais pas comment je vais faire pour faire telle ou telle chose ; cette personne m’énerve ; je me sens mal ; mon appartement est en bazar; je me sens trahie ; elle ne m’aime pas … ».
Il est acquis que nous (les êtres humains), nous nous complaisons dans la plainte. Elle anime nos journées.
Cela dit, elle nous épuise tout autant !
Et si nous regardions les choses différemment ? Et si plutôt que regarder ce qui ne va pas, nous regardions ce qui va bien ? Faire un bilan de ce qui est positif dans sa vie peut aider à s’apercevoir que, finalement, la vie est belle !

Mon expérience
Si je me réfère à mon année 2018, voici les moments qui m’ont procuré de la satisfaction :
- Janvier – J’ai emménagé dans mon nouvel appartement, après une rupture difficile. Le décorer m’a procuré un plaisir intense.
- Février – Il a neigé à Paris. La neige a tenu plusieurs jours, ce qui est plutôt rare, ici. Il faisait très froid et les voitures avaient du mal à circuler, mais que c’était beau !
- Mars – J’ai fini le semi-marathon avec une de mes amies sans m’être trop entraînée. L’ambiance était si chaleureuse ! Des musiciens, des chanteurs, des fans… Vous vous sentez tout puissant.
- Avril – Je suis retournée en Afrique, pour la première fois après y avoir vécu, ce qui m’a fait redécouvrir l’univers magique de ce continent. Les odeurs de poulets braisés dans les rues, l’attieké, l’alloco, la gentillesse des africains, et le mantra “tout est possible” qui vous habite à nouveau.
- Mai – J’ai débuté une formation “Switch Collective”, ce qui m’a permis de me reconvertir dans la joie et l’apaisement.
- Juin – J’ai commencé ce blog qui est devenu ma vitrine, mais surtout mon outil de communication. C’est aussi mon “bébé”, et j’en suis assez fière.
- Juillet – On a gagné la coupe du monde, et l’ambiance a été à son apogée durant plus d’un mois. Les Français étaient proches et soudés.
- Août – J’ai découvert les joies de la Bretagne. Je n’ai pas pour habitude de découvrir les régions françaises, préférant partir à l’étranger dès que je le peux. Et pourtant, cette fois, j’ai adoré. Les paysages sont magnifiques, sauvages et différents du reste des régions. Tout ce que j’aime.
- Septembre – J’ai retrouvé ma ville (qui est selon moi la plus belle), après plusieurs mois sur d’autres territoires. Prendre conscience de la beauté de cette architecture hors du commun, de la diversité culturelle, c’est magique.
- Octobre – J’ai profité de l’été indien. Été qui habituellement se termine en septembre, mais là, l’été s’est prolongé, et j’ai pu profiter du soleil en cette période souvent triste.
- Novembre – J’ai commencé l’organisation de mon voyage au Népal, et ce, pour la deuxième fois. Ce qui me fait sourire, ce sont tous les préparatifs purement logistiques.
- Décembre – J’adore les fêtes de Noel et la chaleur de mon entourage à cette période.
Essayez de faire de même. Obligez-vous à faire un bilan mensuel ou hebdomadaire de ce qui s’est bien passé, et de ce qui vous a procuré du plaisir.
Vous constaterez que, finalement, le verre est plutôt à moitié plein qu’à moitié vide !

Comment (re)trouver le sourire ?
Finalement, avoir le sourire ou non, c’est assez subjectif. Et nous sommes tous différents face à cela. Certains auront “moins” que vous (sur le papier), mais ils se contentent de peu ou en attendent moins… Ils parviennent à apprécier des petits plaisirs au quotidien.
Il y a tant de petites choses qui procurent des petits plaisirs :
- Le sourire d’un inconnu dans le métro
- Un rayon de soleil, un ciel bleu
- La blague d’un collègue quand on arrive au travail le matin
- Le rire des enfants dans la rue
- Le chocolat viennois pris au Starbucks du coin
- Un compliment de sa belle soeur
- La fin d’une séance de sport avec une amie
- Marcher au bord de la mer
- Rentrer dans le jean que l’on portait, il y a 10 ans
- Croiser des amoureux dans la rue
- La bienveillance
- Boire une bière avec quelqu’un que vous appréciez
- Réserver des vacances
- Gagner un pari
- Marcher des heures dans les rues avec de la musique
- Recevoir une bonne nouvelle dans sa boite mail
- Se préparer avant un diner ou une sortie
- Apprécier un bon repas, que l’on aura cuisiné

Le pouvoir du moment présent
Alors, si vous aussi, vous avez envie de profiter de la vie, je vous conseille fortement la lecture de ce livre : “Le pouvoir du moment présent” d’Eckart Toll. Il est incontournable. Vous y trouverez des solutions pour trouver une paix intérieure et pour apprendre à vous épanouir.
“Au coeur de cet enseignement se trouve la transformation de la conscience : en vivant dans l’instant présent, nous transcendons notre ego et accédons à ” un état de grâce, de légèreté et de bien-être “. Ce livre a le pouvoir de métamorphoser votre vie par une expérience unique.”
En effet, nous vivons constamment dans le passé ou dans le futur, mais rarement au présent. Et comme l’avenir nous fait peur, nous avons tendance à anticiper toutes les situations de façon à éviter l’échec.
Alors, oui, préparer l’avenir est important. Mais il ne faut pas se laisser submerger par cette anticipation. Le hic, c’est que la peur n’évite pas le danger, et l’anticipation n’évite pas l’échec. Il est impossible de tout contrôler, car de nombreuses situations ne dépendent pas de nous.
Le passé, quant à lui, est essentiel car il a fait de nous ce que nous sommes. En l’occurence, il faut l’accepter. On ne le change pas… Il faut juste en tirer les leçons.
Aussi, pour être un plus apaisé(e), il est fondamental de vivre le moment présent en pleine conscience.
La sophrologie est un outil de choix pour apprendre à vivre dans le moment présent et apprendre à se relaxer.
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette méthode, je suis à votre disposition pour en discuter par message privé.

Charlotte VALLET
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
charlottevallet@hotmail.com
-

La fiabilité, le pilier de l’amitié
La fiabilité, c’est la capacité à faire preuve de constance et de régularité. Mais avant toute chose, c’est tenir ses engagements. Que ce soit envers un collègue, un membre de sa famille ou un ami.
Aujourd’hui, c’est surtout dans le cadre de l’amitié que je souhaite vous en parler. Car j’ai pris énormément de recul, ces dernières années concernant ce sujet. Et maintenant que je suis en accord avec moi-même sur ce point, j’ai eu envie de partager avec vous mon expérience et de vous donner quelques petits conseils.
Lorsque l’on vieillit, notre groupe d’amis se resserre pour laisser place à un cercle d’amis très restreint. On lit souvent que nous avons au maximum 5 vrais amis sur lesquels compter. C’est tout à fait vrai. Et si vous en comptez 5 autour de vous, c’est déjà un grand nombre, soyez-en fiers !

La fiabilité, c’est quoi ?
Vous pouvez considérer qu’une personne est fiable à partir du moment où elle est là pour vous, et que vous pouvez lui faire confiance sur tous les points. Une confiance aveugle !
Bien plus qu’une présence, l’amitié se concrétise par des actes. Un ami est un pilier dans votre vie, grâce notamment à :
- Son écoute
- Ses conseils
- Ses attentions
- Son affection
- Les moments de qualité passés ensemble
- Sa constance
Le seul hic, c’est qu’aujourd’hui l’individualisme a tendance parfois à primer, et que chacun pense à soi avant de penser à autrui. Penser à soi en priorité, c’est normal, car nous sommes aussi notre meilleur ami, mais oublier de respecter l’autre, n’est pas excusable.
Et, le manque de fiabilité peut être considéré comme un réel manque de respect.

Mon expérience
Pour ma part, je fais partie des personnes très sociables, mais aussi très solitaires. Je compte mes amis sur les doigts de la main, et ce, depuis bien longtemps.
Plus jeune, j’ai cumulé les déceptions relationnelles, et je me suis vite faite à l’idée qu’il fallait compter principalement sur soi.
J’ai très longtemps fait confiance et je me suis fortement attachée à des personnes qui n’étaient pas sur la même longueur d’ondes que moi.
Ce qui, en soi, n’est pas très important car, comme le disait si bien Thimoté Gustave “il faut cultiver l’indifférence et non la différence”. En l’occurrence, j’ai longtemps côtoyé des personnes peu fiables, sans m’en rendre vraiment compte. Je n’attendais pas grand choses des autres, ni de moi-même, d’ailleurs.
Résultat des courses : je pardonnais TOUT.
Voici quelques exemples de situations que j’acceptais, et que je n’accepterai plus jamais, depuis que je me respecte :
- J’avais rendez-vous à 13 heures au restaurant. J’y étais à 12h50. La personne arrivait à 14heures sans la moindre excuse : je m’énervais (j’ai mauvais caractère), mais je pardonnais.
- Quelqu’un me proposait de me rendre un service et, finalement ne respectait pas son engagement sans même me prévenir. Ce qui avait parfois d’énormes répercussions sur ma vie personnelle ou professionnelle car je comptais sur elle : je m’énervais, mais je pardonnais.
- Une invitation à mon anniversaire (on ne fête son anniversaire qu’une fois dans l’année), la personne me promettait de venir, et étonnement, je n’avais aucune nouvelle d’elle le jour J. D’autres priorités peut-être… ?
- Des demandes restant sans réponses. Je sollicitais des amis pour obtenir des informations cruciales pour moi, à cette époque. Aucune réponse. Puis quelques jours après, je recevais un ” ça va ?”
J’ai fini par perdre beaucoup de mon énergie et de ma patience. Et là, je me suis imposée à dire NON et à ne plus accepter ce genre d’attitude !
J’ai pris conscience que ces attitudes étaient incompatibles avec l’amitié ! Surtout lorsque vous, vous vous efforcez à être irréprochable.
Est-ce de l’égoïsme de la part de l’autre? Un manque de confiance ? Une certaine forme d’autisme ? Mais, j’ai appris que tant que la personne n’est pas bien avec elle-même, elle ne sera jamais fiable avec vous. Sachez-le.

Mes conseils pour devenir fiable
Je dis ce que je fais, et je le fais
- On ne s’engage à faire uniquement ce qui est faisable
Evidemment, il n’est pas toujours évident de s’engager à faire un foot avec ses amis si vous êtes dans une période de votre vie ou votre santé vous joue des tours. Dans ce cas, il n’y a aucun intérêt à vous engager face à cette proposition que vous ne tiendrez jamais. Vous perdrez votre temps, et vos amis perdront leur énergie.
- Je dis NON sans culpabiliser
Si vous ne voulez pas faire quelque chose, ne vous obligez pas à le faire pour faire plaisir à autrui. Ce n’est pas égoïste de dire NON, en l’occurence ce serait même lâche envers vous-même, et envers l’autre, de vous engager dans une action que vous ne souhaitez pas réaliser. Faites preuve de fermeté, écoutez vos envies les plus fortes, pas celles des autres.
- Prévenir en cas d’annulation
Il nous arrive à tous de nous engager auprès d’un ami pour lui rendre un service, et finalement nous ne pouvons pas y répondre. Ce n’est pas dramatique, ce sont des choses qui arrivent. Mais, en revanche, pensez-bien à le prévenir suffisamment à l’avance et à vous excuser.

Je revois mes habitudes
- Je réponds rapidement aux messages que je reçois
Une technique qui fonctionne bien pour montrer que vous êtes une personne régulière et présente, est de répondre rapidement à un message ou à un appel téléphonique. Si vous rappelez votre interlocuteur une semaine plus tard, votre ami aura eu le temps d’oublier votre existence durant ce laps de temps.
- Je décide d’arriver à l’heure
La ponctualité est importante pour avoir confiance en son ami. Essayez de partir un peu plus tôt qu’à votre habitude, afin d’arriver dans les temps.
- S’excuser en cas d’erreur dans la relation
Il est possible de faire un impair sans s’en rendre compte. Mais une fois que votre ami vous en a fait part, n’oubliez pas de mettre votre ego de côté et de vous excuser.
- Faire toujours de son mieux
Si vous décidez de rendre un service (monter un meuble, l’initier au sport, lui faire un massage, l’aider sur la création d’un dossier de presse…), faites de votre mieux pour lui montrer que son projet vous tient à coeur.

Je deviens une personne de confiance
- Atteignez vos objectifs
Finalement, avant d’essayer d’avoir une attitude irréprochable envers les autres, il faut en avoir une envers soi-même. Par exemple, si vous décidez d’aller à la salle de sport 3 fois par semaine à compter du mois de février : faites-le ! Ou diminuez vos objectifs.
Si vous ne savez pas vous fixer des objectifs et que vous ne parvenez pas à y répondre, vous n’arriverez pas à vous comporter de façon correcte avec vos proches.
- Dites toujours la vérité
Même si la vérité est difficile à entendre, c’est aussi grâce à elle que vous réussirez à faire avancer vos proches et que vos proches vous feront avancer par la même occasion.
Vous vous faites du soucis pour une amie qui se laisse aller ? Dites-le lui de façon constructive, mais avec fermeté. Les personnes le plus dures avec vous sont aussi celles qui vous montrent le plus d’intérêt. Qui aime bien, châtie bien !
- Construisez des relation solides
Un peu comme pour le mariage, l’amitié c’est “pour le meilleur et pour le pire”. Soyez là pour vos amis en cas de pépins, de détresse, de tristesse. Apprenez à écouter sans même donner des conseils. Soyez une épaule essentielle.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

Adaptez votre livre à votre humeur
Toute comme l’article sur les conseils de restaurants à Paris selon votre humeur https://www.charlottevallet.fr/une-liste-de-restaurants-selon-votre-mood/, je partage aujourd’hui avec vous des idées de livres en fonction de votre état d’esprit.
J’ai un rythme de lecture qui est régulier, mais j’aimerais lire encore plus et j’ai du mal à trouver du temps.
J’ai découvert une application récemment @Koober, qui donne la possibilité d’écouter la majorité des résumés de vos livres préférés en version audio. C’est pratique, même si cela ne remplacera jamais au grand jamais la beauté d’un livre papier.
La beauté… et l’odeur d’un livre, qui me fascineront toujours autant !
Cet article sera court, mais j’irai à l’essentiel rapidement afin que vous puissiez rapidement aller à la FNAC pour acheter et dévorer ces livres.

Ma vie de couple est en crise
Les 5 langages d’amour de Gary Chapman
“Nous avons tous besoin d’amour. Mais donner de l’amour aux autres et à soi-même n’est pas toujours simple : nous ne parlerions pas tous le même langage ? Art-mella illustre les 5 manières d’exprimer son amour définies par Gary Chapman : cinq clefs précieuses pour mieux se comprendre, communiquer et prendre soin de soi et des autres.”
La puissance de l’acceptation de Lise Bourbeau
“Nous vivons quotidiennement de nombreuses situations dont certaines s’avèrent difficiles à accepter, ce qui, hélas, génère des conflits, des malaises ou des insatisfactions. Cet ouvrage fait le point sur les fondements de l’amour inconditionnel et de l’acceptation.
Grâce à de nombreux outils et à l’aide d’histoires vécues, ce livre vous amènera à mieux vivre ces situations dans votre propre vie et, surtout, à les prévenir. Il porte un accent particulier sur l’acceptation de la maladie (pour soi et les autres), la mort (la sienne et celle des autres), la vieillesse, la perte, les choix faits par les proches, l’apparence physique, les faiblesses et les blessures. En somme, il vous apprendra à accepter ce qui peut paraître inacceptable.”

Je réfléchie trop, cela me fatigue
Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkame
“L’auteur rappelle, dans son livre, les 7 principes fondamentaux qui permettent aux gens les plus efficaces de réaliser leurs objectifs. Traduits en habitudes quotidiennes, ces principes aideraient ceux qui les mettent en pratique à vivre, durablement, une vie personnelle et interpersonnelle heureuse, équilibrée et réussie.”
Je pense trop de Christel PetitCollin
“Qui pourrait penser qu’être intelligent puisse faire souffrir et rendre malheureux ? Pourtant, je reçois souvent en consultation des gens qui se plaignent de trop penser. Ils disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont marre de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de leurs sens trop développés auxquels n’échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit, mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris et blessés par le monde d’aujourd’hui. Ils concluent souvent par : ” Je ne suis pas de cette planète ! ” Ce livre propose des cours de mécanique et de pilotage de ces cerveaux surefficients.”
Fouttez-vous la paix et commencez à vivre de Fabrice Midal
“Et si le grand problème actuel était que la plupart des injonctions qui nous sont assénées pour nous calmer ne font que nous mettre une pression plus grande ? Il faudrait « méditer », manger comme ceci, faire tel entraînement pour être en forme, avoir de l’initiative, ne pas parler comme cela, être à la fois calme et dynamique, chaleureux et sérieux… Et si au contraire il fallait plutôt commencer par se foutre la paix pour commencer à vivre ? Mais comment lâcher-prise et se donner l’autorisation d’être soi-même ?”

Je souhaite entreprendre
Les 7 habitudes ce ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent de Stephen R Covey
“Chacun de nous vit selon des schémas, des habitudes qui sont autant de traits de caractères acquis. Ainsi, nous adoptons souvent des habitudes inefficaces, destructrices, négatives qui mènent à l’échec professionnel et personnel. Dans ce livre, je vous présente sept habitudes de gagnants. Ce ne sont pas des formules de dynamisation ; ni des remèdes miracles ; surtout pas des trucs ; mais la possibilité globale qui vous mènera à un développement individuel et social positif. Les sept habitudes conduisent petit à petit à une sorte d’échelle de la maturité.”
La semaine de 4 heures de Timothy Ferriss
“La majorité des personnes restent employées toute leur vie, et travaillent de 9H à 17H pendant 40 ans pour prendre leur retraite à 60 ans (ou plus) ; par le biais du livre La semaine de 4 heures, Tim Ferriss nous explique comment briser ce schéma, en réduisant significativement notre temps de travail, en nous libérant de la contrainte géographique”

J’aime le voyage et j’ai besoin de m’évader
L’alchimiste de Paulo Coelho
“Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.”L’âme du monde de Fréderic Lenoir
“Pressentant l’imminence d’un cataclysme planétaire, sept sages venus des quatre coins du monde se réunissent à Toulanka, monastère perdu des montagnes tibétaines, pour transmettre à Tenzin et Natina, deux jeunes adolescents, les clés de la sagesse universelle. Au-delà des divergences culturelles et historiques de leurs traditions respectives, ils s’appuient sur leur expérience personnelle et se savent inspirés par ce que les philosophes de l’Antiquité appellent l’Âme du monde : la force bienveillante qui maintient l’harmonie de l’univers.”
Journal Intime d’un touriste du bonheur de Jonathan Lehmann
“Avocat d’affaires à New York, amateur de fêtes et de drogues…, Jonathan plaque tout du jour au lendemain pour partir à la recherche du bonheur. Pendant 3 ans, il va à la rencontre de penseurs et de maîtres spirituels à travers le monde, et découvre la méditation, une pratique qui va bouleverser sa vie.”

Je n’ai pas confiance en moi, aidez-moi !
Imparfaits, libre et heureux de Christophe André
“Christophe André signe ici un ouvrage libérateur car il répond aux questions essentielles que nous nous posons avec une grande simplicité et de nombreux exemples. On a l’impression de discuter avec un ami bienveillant !”
Celle qui a dit fuck d’Anne Sophie Lesage
“Le journal d’une jeune imparfaite qui décide d’en finir avec les prises de tête : à travers ses chroniques pleines de piquant, de nombreuses pistes, des rituels express et des outils pour assumer une féminité décomplexée. Oser dire ” Fuck “, ça se travaille… Beyoncé ne s’est pas faite en un jour !”
Le jour où j’ai appris à vivre de Laurent Gournelle
“Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.”

Et, pour la fin je vous partage mes livres préférés
J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian
“Lee Anderson, vingt-six ans, a quitté sa ville natale pour échouer à Buckton où il devient gérant de librairie. Il sympathise dans un bar avec quelques jeunes du coin. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire, Lee, qui sait aussi chanter le blues en s’accompagnant à la guitare, réussit à séduire la plupart des adolescentes. Un jour il rencontre Dexter, le rejeton d’une riche famille qui l’invite à une soirée et lui présente les soeurs Asquith, Jean et Lou (17 et 15 ans), deux jeunes bourgeoises avec “une ligne à réveiller un membre du Congrès”. Lee décide de les faire boire pour mieux les séduire… et poursuivre son sinistre dessein.”
La symphonie pastorale d’André Gide
“L’action se déroule à la fin des années 1890. Le pasteur et sa famille recueillent une jeune orpheline aveugle de quinze ans. N’ayant pas de nom, Charlotte, la fille du pasteur, l’appelle Gertrude. Amélie, l’épouse, se montre plutôt réticente devant le choix de son mari d’accueillir cette jeune fille.Gertrude ne sait rien de la vie, ni de ce qui est mal. Le pasteur va en faire une jeune femme intelligente et cultivée, même si au premier abord elle se montre difficile à apprivoiser et à éduquer.”
L’étranger d’Albert Camus
“Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu’il faisait chaud. On n’en tirera rien d’autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l’annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l’universelle équivalence du tout et du rien.
La conscience de n’être sur la terre qu’en sursis, d’une mort qui, quoi qu’il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu’indifférent à tout après ça ?”
-

Dites au revoir aux manipulateurs
La vie à deux n’est pas toujours simple, mais elle se transforme en un véritable enfer lorsque l’on rencontre un pervers narcissique. Alors, oui, on en parle beaucoup de ces fameux pervers narcissiques, et parfois on fait des amalgames. Mais amalgame ou pas, mieux vaut en parler trop que pas assez, car les conséquences de ces relations toxiques ne sont pas anodines. La personne, qui en est victime, peut être détruite, et met en général beaucoup de temps à se reconstruire et à refaire confiance aux hommes.
Je dis « aux hommes », mais il existe bien évidemment des femmes qui manifestent aussi ce genre de comportement. Et ces relations nocives n’affectent pas que les relations amoureuses. Elles sont de plus en plus dénoncées dans les relations professionnelles, par exemple (hiérarchie abusive). On les trouve également au niveau familial (relations parents/enfants).
Dans cet article, nous n’aborderons que les relations amoureuses et les hommes, mais il était important de le souligner.
Le problème majeur de la relation toxique, c’est que lorsque l’on en prend véritablement conscience, les dégâts sont déjà considérables. C’est pourquoi il est essentiel d’en prendre conscience le plus tôt possible. Si cela semble évident, la plupart des femmes qui en vivent une n’en sont pas conscientes. Ou alors plutôt, elles le sont, mais elles sont dans le déni.
Alors comment être sûre que l’on est dans une relation toxique ? Et comme s’en libérer ?

Qu’est-ce qu’une relation toxique ?
Une relation toxique est une relation dans laquelle on est manipulée, dans laquelle on reste même si l’on sait que l’on y est malheureuse. Une relation nocive nous tire vers le bas. Elle nous épuise. La relation toxique est le plus souvent passionnelle dans le sens où elle passe par sentiments et des comportements extrêmes.
Essayons d’établir les profils des protagonistes.
Le portrait du pervers narcissique
Le pervers narcissique a deux visages. Un côté charmeur très développé, c’est un excellent séducteur. Il est en général brillant. Aux yeux des autres, il est presque un modèle de perfection. Mais dans l’intimité, il se révèle tout autre. Pas au début… mais assez rapidement. Voici sa deuxième face.
- Le pervers narcissique est égoïste et égocentrique. Il fait passer son propre intérêt avant le vôtre, et tout doit tourner autour de sa personne. Il ne supporte pas que vous ayez une vie en dehors d’une vie centrée sur lui.
- Le pervers narcissique est autoritaire. Ils vous imposent (de façon souvent détournée) ce que vous devez faire. Et il a toujours réponse à tout.
- Le pervers narcissique est manipulateur et est un flatteur. Lorsqu’il s’aperçoit qu’il est allé trop loin, il se confond d’excuses, vous comble de cadeaux, etc. Il a l’art et la manière de se faire passer pour une victime. C’est un excellent comédien. Il répond souvent de façon floue.
- Le pervers narcissique est un destructeur. Il parvient peu à peu à vous convaincre que tout ce que vous faites est nul ou pourrait être mieux fait. Il vous met en difficulté, vous dévalorise, vous fait perdre toute votre confiance en vous.
- Le pervers narcissique est systématiquement dans la critique. Il est intolérant envers les autres, quels qu’ils soient. Mais il l’exprime de façon très sournoise.
En général, ces comportements sont attribués à une enfance difficile qui a engendré des adultes qui souffrent :
- D’un important complexe d’infériorité
- D’un sentiment de vulnérabilité
- D’un sentiment de frustration et de perpétuelle insatisfaction
Ils ont une haine violente qui les ronge de l’intérieur, et qui les conduit à adopter les comportements décrits plus haut pour se sentir exister. Ils ont besoin d’humilier l’autre pour se sentir valorisé.

Le portrait de sa victime
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les victimes ne sont pas forcément des femmes influençables. Ce sont en général des femmes plutôt fortes, joyeuses, intelligentes, tournées vers les autres et qui sont dans l’empathie. Elles n’ont qu’une faiblesse, si l’on peut dire, elles manquent de confiance en elles. Elles ont un besoin exacerbé de reconnaissance et se positionnent souvent comme des « sauveuses ». C’est aussi presque un défi pour elles de se faire aimer. Quand elles aiment, elles ne sont pas dans la demi-mesure.
Je vous conseille d’ailleurs la lecture de mon témoignage (https://www.charlottevallet.fr/se-liberer-dune-relation-amoureuse-nocive/)

Comment s’en libérer ?
Disons-le d’emblée. C’est extrêmement difficile de se sortir de ce cercle infernal. Car, comme dit dans l’introduction, lorsque l’on prend enfin conscience que la relation est toxique, il y a déjà eu beaucoup de dégâts. Car le pervers narcissique a su créer une relation que l’on peut nommer de relation « addictive ». Et comme pour un drogué, la période de sevrage est difficile.
Prendre conscience de la situation et ne plus être dans le déni
C’est simple à dire, mais loin d’être facile.
Le pervers narcissique est si doué qu’il réussit toujours à retourner la situation à son avantage. C’est un véritable cercle infernal. Le manipulateur parvient toujours à se rendre indispensable, à faire croire à sa partenaire, qu’elle ne peut pas vivre sans lui.
Les relations sont, en général, passionnelles, et ils jouent sur le côté amour fou. Un peu comme les hommes qui battent leurs femmes, et qui se « rattrapent » le jour d’après, en pleurant, en s’excusant, et faisant des cadeaux… Et en jurant que c’est la dernière fois…
Ce n’est pas que les femmes n’en ont pas conscience… Mais deux phénomènes s’entrecroisent :
- Leur côté Mère Teresa qui leur fait croire qu’elles vont pouvoir changer les choses, et surtout changer leur partenaire.
- La phase de déni. En effet, s’avouer que l’on vit dans une relation toxique, c’est quelque part, s’avouer que l’on s’est trompée, que l’on a permis que l’on nous trompe, que l’on a accepté l’inacceptable… Et ce n’est pas si simple.
Il faut donc admettre que l’on ne pourra jamais changer ce personnage. Ce type de comportement relève de la psychiatrie. Et même les psychiatres n’y parviennent pas. C’est une maladie, et il faut le prendre comme tel.
Puis, il faut accepter cet échec. Ou plutôt l’assumer. Se poser les bonnes questions. Se demander pourquoi on a été attirée par ce genre de personnage ? Car si on ne trouve pas les réponses, les chances de reproduire la même chose sont malheureusement très élevées.
Se comporter différemment entre le moment de l’acceptation et le départ
Une fois que l’on est conscient, et dans la période intermédiaire, car les séparations ne se font pas toujours du jour au lendemain, il faut impérativement changer de comportement.
Réapprendre à dire NON, réapprendre à utiliser JE plutôt que TU, et surtout commencer à appliquer des règles et à poser des limites.
Il faut également reprendre des activités car en général, les victimes ne font quasiment plus rien et n’ont presque plus de vie sociale.
C’est, en effet, souvent difficile à appliquer dans ce contexte, car il faut se préparer à vivre une véritable guerre. Car lorsqu’il se sent menacé, le pervers narcissique redouble d’efforts et est capable du pire. Attention à la violence, notamment, qui s’invite très souvent dans ce genre de relations.
Mais lutter est le seul moyen de mettre un terme définitif à la relation.
Un autre conseil est de rester le plus calme possible. De ne pas entrer dans le jeu de ce bourreau qui n’attend qu’une chose, que sa victime sorte de ses gonds et perde tout contrôle.
L’indifférence fait également beaucoup d’effet. Il faut apprendre à ne pas répondre. À ne plus réagir. À ne plus se justifier. Ça aussi c’est difficile.

Ne plus avoir aucun contact avec la personne responsable
Ça aussi, on pourrait penser que cela va de soi. Mais c’est encore loin d’être facile. C’est même une étape très difficile, car tant que le pervers narcissique n’a pas trouvé une autre proie, il s’acharnera pour rester dans votre vie d’une façon ou d’une autre, qui peut aller jusqu’au harcèlement.
Un pervers narcissique ne supporte pas l’échec. Ne l’oubliez jamais.
Travailler l’estime de soi
Que l’on se l’avoue ou pas, une femme ayant vécu ce genre de relation n’a plus aucune estime de soi. Déjà, à la base, elle manquait de confiance en soi, là cela va encore plus loin. Elle a perdu toute estime d’elle-même.
Et c’est un véritable frein qui l’empêche de se reconstruire dans tous les domaines de sa vie.
Là encore, toutes les femmes n’en ont pas véritablement conscience… Mais si elles ont vécu avec un tel personnage, elles n’y ont pas échappé.
Se reconstruire, n’est pas du tout évident. Et, ce n’est pas facile d’y parvenir seule. Et le plus souvent, il faut se faire aider par des professionnels.
Au cas où vous souhaitez en apprendre beaucoup plus, je vous conseille le dernier ouvrage de Marion Blique, « J’arrête les relations toxiques ». .
Des séances de sophrologie ou d’hypnose peuvent également aider à la reconstruction. N’hésitez pas à me contacter par le biais de ce blog si vous êtes intéréssés.

Conclusion
Avec le pervers narcissique, au début de la relation, vous penserez sans doute vivre le plus beau conte de fées de votre vie. Mais, malheureusement, vous vivrez aussi le plus violent cauchemar. Sous son masque, il n’a qu’un but, s’emparer de votre territoire, vous broyer pour se valoriser.
Alors pour celles qui en ont conscience, mais qui sont encore dans le déni… Réagissez le plus vite possible.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

8 bonnes raisons d’être amoureux du lundi !
Hier, nous étions lundi !
Et le lundi, c’est souvent un jour morose pour beaucoup d’entre nous. En tout cas, j’ai souvent constaté à quel point les êtres humains passent du côté obscur de la force, ce jour-là (rires).
Il a été prouvé que nous sommes tous un peu “bipolaires” et “versatiles” dans nos comportements, et le lundi le confirme. Nous adoptons des comportements souvent étranges. Fatigue, susceptibilité, manque de bienveillance, ras le bol… Des émotions fortes nous envahissent, et sont le plus souvent en dents de scie, en cette terrible journée…
Ce qui est certain, c’est qu’il y encore peu de temps, je faisais clairement partie de ceux qui ont une boule au ventre très pénalisante, le dimanche soir. C’était d’ailleurs extrêmement pénible et fatigant, car cela me faisait broyer du noir au moins une fois par semaine, dès que j’en approchais.
Jusqu’au jour où j’ai trouvé enfin la voie pour laquelle j’étais destinée, et qui, désormais, me passionne au quotidien : celle de sophrologue et d’hypnothérapeute. Un chemin semé d’embûches, car se reconvertir n’est pas toujours facile (à lire : https://www.charlottevallet.fr/faut-il-sans-cesse-courir-apres-le-bonheur/), mais que je ne regrette pas !
Grâce à ces pratiques et des outils précis que je mets en oeuvre au quotidien pour les autres dans mon métier, j’ai aussi appris à prendre soin de moi, en respirant, et en prenant un maximum de recul par rapport au quotidien souvent fort éprouvant et agressif.
J’ai réussi à concilier ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Et j’ai surtout mis en pratique, à titre personnel, ce que je proposais à mes patients.
Raison pour laquelle, le lundi n’a plus jamais été une journée désastreuse. Même si, je vous l’accorde, je suis bien plus fatiguée le lundi que les autres jours de la semaine.

Mais pourquoi le lundi est-il perçu comme tel ?
Une étude a été menée aux États-Unis dans le but de comprendre pourquoi le lundi avait une si mauvaise réputation, et pourquoi l’être humain subissait cette journée avec tant de difficultés.
3 000 personnes ont été interrogées et 30% des personnes interrogées ont déclaré que la nuit du dimanche au lundi était souvent une nuit plus courte au cours de laquelle, elles avaient du mal à trouver le sommeil. Le réveil est alors plus difficile que les autres jours, et l’envie de repousser l’heure du lever est inévitable.
En réalité, notre vie est différente le week-end, ce qui crée une sorte de “jet lag”, au même titre que lorsque nous rentrons de voyage.
Le week-end, nous nous octroyons des nuits peut-être plus longues, mais nous nous couchons également plus tard. L’alimentation est aussi un peu différente à cause des sorties, et on se permet bien souvent des plats plus copieux et plus gras.
Le corps se dérègle et ne comprend plus rien. À cela s’ajoute le stress du premier jour de travail, stress d’autant plus important que vous ne l’aimez pas.
Savez-vous que “près de la moitié des salariés (48,4%) considèrent leur travail satisfaisant mais sans plus, selon un sondage réalisé par l’institut GFK pour le site d’offres d’emploi Monster.fr”. Il y a donc un réel problème, en France, quant au bien-être au travail.
Il est alors plus difficile d’aller au travail après un week-end de festivités et d’affection envers les activités réalisées surtout lorsque l’on n’aime pas son job.

Savez-vous que le mardi est pire que le lundi ?
Mais il serait intéressant d’arrêter de pointer du doigt le lundi, car, croyez-le ou pas, le mardi est souvent un jour plus pénible que le lundi.
Le lundi, nous avons encore en tête les moments festifs que nous venons de passer. Et puis, nous nous sommes souvent reposé durant le week-end ! (pas pour tous, je vous l’accorde) !
Le mardi représente finalement le véritable début de la semaine, avec la prise de conscience de toutes nos responsabilités.
Comment combattre ses pensées négatives ?
Quoi qu’il arrive, il faut impérativement réussir à s’enlever de la tête toutes nos idées négatives, de façon à vivre le lundi comme si vous étiez un poisson dans l’eau.
Et cela commence par une grosse dose d’amour et de gratitude envers soi-même. Vous ne pouvez pas attendre des autres qu’ils vous apportent un amour inconditionnel, en l’occurence soyez en sûr, on est jamais mieux servi que par soi-même.
Débutez alors la journée du lundi en :
- Respirant, en fermant les yeux
- En vous étirant
- En vous plongeant dans une méditation pleine conscience
- Suivie d’un petit déjeuner vitaminé / protéine
Ce que je conseille très souvent à mes patients, c’est de venir en consultation, le lundi matin, pour bien commencer la semaine.
La sophrologie et l’hypnose sont deux très bonnes méthodes pour se relaxer et prendre du recul.
Je serai bientôt sur Doctolib, mais en attendant, n’hésitez pas à me contacter par le biais de ce blog si vous souhaitez une consultation.

8 bonnes raisons d’aimer profondément le lundi
Voici quelques raisons d’apprécier enfin le lundi :
- Le lundi représente le début de semaine, donc aussi un “commencement”. Ce qui signifie que vous allez vivre de nouvelles aventures. Un peu comme l’été, ou le mois de septembre, ou un retour de vacances, le lundi est un moment charnière pour commencer quelque chose de nouveau. Entreprendre, se mettre en couple, divorcer, s’inscrire à un atelier sur le culot…
- Le lundi, il y a les “lundi philos” de Charles Pépin lien par ici . Charles Pépin propose des sujets philosophiques traités sous un angle existentiel et concret en y apportant des réponses engagées avant d’être soumises au débat. Très intéressant.
- Le lundi, c’est aussi un renouveau pour les sites d’actualités et les blogs. De nouveaux récits et informations sont en ligne. Nous pouvons alors nous informer autrement.
- Le lundi, c’est un vrai test de la passion sur nous-même. Nous sommes mis à l’épreuve sur notre vie et sur notre passion pour notre travail. Si vous allez au travail à reculons, avec cette fameuse boule au ventre dont je vous parlais au début de cet article, c’est que votre quotidien est à remettre en question. Le lundi doit être constructif et évolutif, et ne doit pas vous faire ruminer.
- Tous les lundis soirs, il y a de nouveaux épisodes de séries sur TF1, et malgré la mauvaise réputation de cette chaîne, vous en deviendrez bien trop vite accro.
- Le lundi, on a beau être très fatigué, on est aussi très bavard. Ce qui est fort agréable, c’est de pouvoir raconter à nos proches nos histoires du week-end.
- Le lundi, c’est un jour exceptionnel si vous êtes amoureuse de votre patron. Et que vous allez ENFIN le revoir, après un week-end qui fut, dans ce cas, bien long.
- Pour tous les fans de Cloclo, c’est aussi le moment de chanter “Le lundi au soleil”, et souvent sous la pluie… Quelle originalité !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

Mes astuces pour penser positif
On se demande parfois comment certains font pour être toujours heureux. Ces gens-là n’ont-ils aucun problème ? Aucune situation compliquée à gérer ? Aucun stress ? Peut-être n’est-ce qu’une façade ou peut-être voient-ils le verre à moitié plein. Le point positif, c’est que je fais partie de ces gens-là. J’expérimente le pouvoir de la pensée positive. Cette année, notre résolution numéro 1 est d’être plus positif !
La pensée positive, qu’est-ce que c’est ?
La pensée positive est le fait de toujours voir la vie du bon côté. Mon client a annulé un rendez-vous à la dernière minute ? Ça tombe bien, j’avais un coup de fil urgent à passer. Je n’ai pas décroché le poste que j’espérais ? Ce n’est pas grave, il n’était pas fait pour moi, je trouverai mieux ailleurs. Vous l’aurez compris, penser positivement, c’est relativiser. Et relativiser, c’est tendre à être heureux en se dénouant des idées et émotions négatives. On ne pense pas à la douleur ou aux conséquences négatives, on imagine plutôt les avantages de cette situation et ce qui viendra après. De toute façon, “c’est fait, c’est fait”.
La pensée positive est étroitement liée à la célèbre méthode Coué. Coué explique que nous pouvons nous autosuggérer des messages positifs comme “je suis heureux”, “je me sens bien” en nous les répétant plusieurs fois pour que nous les intégrions et y croyions. 20 fois par jour d’après lui, mieux vaut ne pas faire ça en public… Pour les adeptes de développement personnel, cela peut faire penser à “Réfléchissez et devenez riche” de Napoleon Hill, ou même aux principes de la PNL.

Comment je fais pour pratiquer la pensée positive ?
Le plus facile pour commencer est de supprimer les sources de négativité autour de nous.
- S’éloigner des personnes négatives,qui nous envoient des mauvaises ondes ou ne font que se plaindre. Si vous ne pouvez pas vous en éloignez, apprenez à ne plus les écouter quand elles agissent de la sorte car elles vous polluent l’esprit.
- Éviter les informations télévisées dès le matinqui nous balancent tout un tas d’idées et d’émotions néfastes et nous rendent tristes. Si vous tenez à suivre l’actualité, certaines chaînes d’actualité comme Freshr n’envoient que de l’information positive et intéressante.
Ensuite vous pouvez vous entrainer à supprimer la négativité qui vient de vous pour chaque situation :
- Je prends conscience de ma négativité: “Ok, là je suis négatif parce que j’ai renversé mon café sur mon pantalon à 8h du matin. Je veux changer d’état car ça ne m’aide pas du tout d’être négatif.”
- J’accepte la situation“Ce n’est pas grave de toute façon, il y a pire comme situation. Ce n’est que du café et je ne suis pas encore en retard pour aller au travail. Peut-être que c’est mieux comme ça et de toute façon, c’est fait.”
- Je relativise en me faisant une petite liste des aspects positifs de la situation et en pensant aux solutions: “Et puis au moins je boirai moins de café ce matin et je mettrai un pantalon qui va mieux avec ma chemise. En plus, j’apprends à positiver et à relativiser, génial !” Au fur et à mesure, cette liste d’aspects positifs se dressera seule dans votre tête, deviendra inconsciente et la liste de vos problèmes diminuera considérablement.
Votre cerveau reçoit cette vague d’idées positives qui va agir de manière bénéfique sur votre humeur.
Ensuite, à tout moment de la journée, vous pouvez être à l’écoute des belles choses qui vous entourent. Un rayon de soleil, une bonne odeur ou même un chant d’oiseau. Ces petites choses sont simples mais tellement belles quand elles prennent le temps d’être admirées, senties, entendues.

Comment je passe d’un état négatif à un état positif en 10 secondes ?
- On l’a dit, ressasser le négatif influe fortement sur notre moral. Un exercice simple et très efficace consiste à sourire. Sourireenvoie une information au cerveau “je suis heureux” ce qui peut alors changer instantanément votre état. Vous pouvez même faire le test inverse en faisant la grimace. Parfois c’est impressionnant !
- Penser à quelque chose d’agréable. Si vous vivez quelque chose de difficile émotionnellement, que vous êtes énervé, anxieux, stressé, angoissé… essayez de penser à un moment heureux et de le visualiser. Imaginez la scène, ce que vous voyez, sentez, ressentez. Quelques secondes de ce souvenir heureux peuvent radicalement changer votre état.
La positivité, c’est comme un muscle, comme des graines à planter. Pour devenir positif, il faut s’entrainer !
Un autre point important est d’avoir confiance en l’avenir. Certaines personnes n’arrivent pas à positiver car elles ont peur du futur. Que se passera t-il dans 10 ans ? Vais-je réussir ma vie ? Avoir des idées positives vous permettra d’attirer à vous des événements positifs et vous aidera à réussir et donc à avoir confiance, et avoir confiance vous aidera à réussir et à penser positivement. C’est un cercle vertueux !
La pensée positive nous fait vivre plus longtemps
Le stress chronique, sur le long-terme, perturbe l’immunité, la défense contre les virus et provoque l’inflammation. Il nous rend donc plus fragile. De même que ressasser ses problèmes peut nous ruiner la santé, rechercher des émotions positives peut la renforcer. Il a en effet été prouvé que les optimistes vivent plus longtemps et en meilleure santé. Le sociologue néerlandais Ruut Veenhoven estime également que les personnes les plus satisfaites vivent 7 à 10 ans de plus que les moins satisfaites, d’après son analyse d’une trentaine d’études convergentes.
La pensée positive améliorerait aussi notre moral, nos performances et notre réussite. Penser positivement c’est améliorer sa confiance en soi et se persuader qu’on peut le faire.
Aucune étude scientifique n’a été réalisée pour les maladies chroniques jusque-là. En revanche, Norman Cousins, un journaliste américain et auteur, explique que sa cure à base de films comiques, de beaucoup de vitamines C et de pensée positive l’a sorti de sa maladie que les médecins disaient incurable.
La loi de l’attraction : comment attirer des événements positifs ?
Ce qui est amusant, c’est que les gens heureux et positifs ont souvent de la chance et ils ont souvent ce qu’ils veulent, comme si l’Univers conspirait à réaliser leur désir… (#PauloCoelho). Si cette idée est connue pour son côté philosophique, elle a également été expliquée par Rhonda Byrne. L’auteure australienne estime que la pensée a quelque chose de magnétique et envoie une sorte de fréquence à l’univers. Chacun d’entre nous pourrait être, avoir et faire ce qu’il veut grâce à la loi d’attraction et à la pensée positive. Cette loi part du principe que l’Univers tout entier ainsi que nos pensées et certitudes sont constitués d’énergie et émettent des fréquences dont les vibrations attireraient à nous les expériences et les gens qui reflètent notre état d’esprit. Les théories de physiques quantiques prouverait aussi scientifiquement que cette loi existe et fonctionne.
Ainsi, les émotions négatives comme la colère créeraient de mauvaises vibrations, ce qui attireraient de mauvaises expériences et rencontres alors, qu’à l’inverse, les émotions positives comme l’amour attireraient des expériences et rencontres positives. Être positif, c’est alors attirer vers soi des choses positives et finalement, se créer un monde à son image. Et ce n’est pas moi qui le dit, c’est Bouddah : “Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde”
Finalement, la pensée positive, c’est un peu un mode de vie qui nous permet d’être plus heureux, plus confiant, plus chanceux… Il peut sembler parfois difficile de pratiquer la pensée positive quand la vie nous a démunis, pourtant beaucoup de personnes qui ont connu le succès ne sont parties de rien et ont réussi à s’en sortir. Attention toutefois à l’optimisme excessif. Imaginer sa réussite et avoir un excès de confiance peut amener à relâcher ses efforts et à échouer.
Votre première étape maintenant est de sélectionner un souvenir heureux que vous pourrez ressortir dès qu’une émotion négative arrivera.
Roxane LEROY BAUMANN
-

Fais de ta solitude une force !
Lorsque l’on tape le mot « solitude » sur le Net, on s’aperçoit rapidement que la solitude est presque unanimement présentée comme un fléau, un problème à traiter. Les titres des articles sur ce sujet sont très évocateurs : Comment vaincre la solitude ? Comment lutter contre la solitude ? Comment sortir de la solitude, etc., etc.
La solitude est donc souvent comparée à une maladie. Même avoir le statut de célibataire est parfois assimilé à une malédiction. « Tiens, elle est seule, elle doit avoir un problème ! ». Ou alors, on provoque la pitié « oh, elle est seule, la pauvre ! »
De nos jours, la norme veut que l’on soit en couple, et que l’on soit entouré(e) d’amis, de plein d’amis ! Sinon, on est considéré comme « bizarre ».
Mais souvent, deux choses sont confondues : la solitude et l’isolement. Dans le premier cas, la solitude peut être « voulue ». Dans le second cas, en effet, elle est « subie ». Mais dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas pour autant que la solitude doit faire l’objet d’un jugement.
Je suis plutôt solitaire, et je peux vous dire, que je vis plutôt très bien cette solitude ! Quand c’est un choix (enfin presque), la solitude « voulue » est un véritable levier pour son épanouissement personnel.

Mais tout d’abord quelques nuances
En effet, en écrivant ces mots, je m’aperçois que le mot « voulu » n’est peut-être pas le bon. En fait, on ne fait jamais vraiment le choix d’être seul. En effet, on rêve tous et toutes de partager notre vie en parfaite osmose avec quelqu’un.
Mais ce n’est malheureusement pas toujours possible. Et c’est là que se trouve toute la nuance.
Pour ma part, je préfère vivre seul(e) qu’avec quelqu’un qui ne me correspond pas. D’autres feront un choix différent parce que justement, ils craignent la solitude.
Et c’est à ce stade que se fait toute la différence : soit on assume sa solitude, soit on ne l’assume pas.
On parlera donc plus de solitude « assumée » plutôt que de solitude « voulue ». Dans le sens où certains vivront leur solitude comme une aubaine, alors que d’autres la vivront comme un calvaire.
Pour résumé, nous pouvons dire qu’il y a donc 2 grands types de solitude :
- Une solitude qui peut être épanouissante
- Une solitude subie qui est plutôt destructrice
Commençons par la dernière.
La solitude subie
La solitude subie, c’est lorsque l’on n’a pas choisi d’être seul(e), et qu’on vit mal cette situation. Cet état engendre un sentiment d’exclusion, qui est, en général, accompagné d’anxiété et d’un véritable mal-être.
Je n’ai pas fait de sondage… mais il semble que dans la majorité des cas, c’est ainsi qu’est vécue la solitude.
Je ne sais pas ce qui nous différencie les uns des autres, mais en effet, pour une majorité, la solitude est quelque chose d’effrayant, d’inenvisageable, de douloureux. La solitude est synonyme de rejet, d’échec. Elle renvoie à un manque d’amour.
Et parfois, ces sentiments sont si violents qu’ils conduisent certains à faire n’importe quoi pour créer du lien, quitte à avoir des relations superficielles ou nocives. Ces individus ont un besoin vital de vivre à travers le regard des autres.
En général, ce sont les mêmes qui ont plus de 1 000 amis sur Facebook… et qui ne peuvent vivre sans avoir un lien permanent avec le monde extérieur.
Mais elles n’en sont en rien responsables ! C’est notre société qui nous fait croire que notre vie se résume à l’attention que l’on nous porte. Les réseaux sociaux en sont la parfaite illustration. Il faut exposer sa vie sociale, et bien sûr avoir le plus de « j’aime » possibles sur ses photos…
En tout cas, il est clair que l’on nous incite à penser que la solitude est un état anormal contre lequel il faut se battre. Et je ne suis pas vraiment d’accord !
La solitude épanouissante
En effet, si l’on y regarde de plus près, la solitude peut aussi être une véritable aubaine. Bien sûr, je le répète, c’est toujours mieux d’être accompagné(e) de son alter ego, mais lorsque l’on n’en a pas, tout n’est pas si sombre ! Et voici quelques avantages… en tout cas, les principaux.

Mieux vaut être seul(e) que mal accompagné(e)
Qu’y a-t-il de plus pénible que de se retrouver dans une relation qui ne nous correspond pas ou plus ? Franchement, j’ai vécu une relation extrêmement nocive, et je peux vous affirmer qu’elle revit depuis que cette relation s’est terminée. Car ce n’est pas parce que l’on est deux, ou à plusieurs, que l’on ne sent pas seul(e).
Désolée de le dire si abruptement, mais beaucoup de personnes, en couple, subissent leurs relations, sans pour autant les rompre. Dans ce cas, il s’agit d’incompréhension, de relations toxiques, de dépendance affective…
De même, on peut se retrouver en soirée et s’ennuyer à cent sous de l’heure, car on se retrouve avec des amis… ou plutôt des gens… avec lesquels on n’a pas vraiment envie d’être, mais on y est « parce qu’il faut que » l’on y soit. C’est la pression sociale…
Ça me fait penser, à ces fameuses soirées de Nouvel An. Socialement parlant, si quelqu’un vous demande « tu fais quoi pour le nouvel an ? », et que vous répondez « je reste chez moi, et je suis seule », vous passez pour un extraterrestre. Voire quelqu’un d’asocial(e).
Eh bien, croyez-moi ou pas, mieux vaut être seule avec sa bouteille de champagne, qu’à une soirée où tout le monde (ou presque) se force à faire acte de présence, parce que c’est le Nouvel An, et que ce n’est pas « bien vu », de ne rien faire au Nouvel An.
On est vraiment libre
Se retrouver seul(e), et c’est une réalité, c’est la liberté à l’état pur. Non seulement libre au sens, avoir la possibilité de faire tout ce que l’on veut, au moment où on le veut, mais aussi en termes d’indépendance. Oui ces deux notions se rejoignent, mais je les distingue volontairement.
Car d’une façon générale, les personnes qui craignent la solitude, sont des personnes dépendantes, qui vivent beaucoup en fonction des autres. Elles ont besoin de l’avis des autres, de leur approbation. Elles n’existent qu’à travers l’autre.
Ainsi lorsque l’on assume sa solitude, on profite non seulement de sa liberté d’agir, et mais on ne dépend plus d’un autre (ou des autres). On gagne en sincérité envers soi-même et envers les autres.
Quoi de plus agréable de ne plus se sentir « obligée de » ! Se lever quand on veut, traîner en pyjama, les cheveux ébouriffés toute la journée, regarder ce que l’on veut à la télé, manger ce que l’on veut à l’heure où on veut, etc., etc.
On gagne une sacrée en confiance en soi
Être seul(e), c’est aussi s’apercevoir de capacités que l’on ne se connaissait même pas. En effet, lorsque l’on dépend des autres, on ne sait même plus ce que l’on est capable de faire ou pas. Et être seul(e), nous confronte obligatoirement à des situations complexes que l’on est obligé(e) de résoudre seul(e). Et on y arrive ! Et c’est plutôt valorisant !
Combien de femmes pensent qu’elles ne sont pas capables de réparer un volet électrique, de purger un radiateur, etc. Eh bien, croyez-moi, quand on seul(e), on se débrouille !
Réussir à résoudre des problèmes, c’est une excellente façon de gagner en confiance. « On est capable de ». On s’aperçoit que l’on se sous-estimait. L’ego est valorisé. On prend confiance.

Faire le point et réapprendre à être soi-même
Quand on n’est pas seul(e), très souvent, on manque de temps. On se laisse envahir par la vie, par tout ce qui nous parvient de l’extérieur. Sans compter les informations que l’on nous transmet, il y a aussi tous ces messages subliminaux : il faut être comme ceci, il faut être comme cela, il faut, il faut, il faut…
Et selon notre personnalité, l’influence de ce monde extérieur, peut nous dépasser, nous dévorer même. Combien se calquent à ce que l’on attend d’eux ? Jusqu’à en perdre leur propre personnalité. Ils deviennent des autres.
Être seul permet de se retrouver. Parfois même de se trouver. On prend conscience de ce que l’on aime vraiment. On apprend à se connaître. Et comme on a beaucoup plus de temps, on peut réaliser certains rêves personnels que l’on ne vivrait pas à deux ou se consacrer à ses passions. Là encore, c’est plutôt très épanouissant.
Conclusion
On rêve tous d’une parfaite osmose avec quelqu’un. Mais malheureusement, ce n’est pas toujours possible. Certains préféreront alors opter pour une vie à deux qui est devenue médiocre, d’autres essaieront de se faire des amis à tout prix, d’autres assumeront leur solitude et en feront plutôt une force.
Je fais partie de ces gens qui pensent que la solitude n’est ni un fardeau, ni une maladie, comme on voudrait souvent nous le faire croire.
Bien sûr, il y a des moments parfois difficiles, il ne faut pas non plus se le cacher !
Mais lorsque l’on fait la balance entre ces moments difficiles et tous les autres avantages que peut procurer la solitude quand on apprend à la gérer, on s’aperçoit que les avantages prennent largement le pas sur les inconvénients.
Et pour ceux qui ont vraiment du mal à vivre la solitude, n’oubliez pas ce proverbe : « aime-toi, et les autres t’aimeront ». Vivez cette solitude pour réapprendre à vous aimer, et le reste suivra !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

L’avenir appartient-il aux couples libres ?
C’est un sujet un peu atypique, qui, je le reconnais, ne s’insère pas forcément dans la catégorie “développement personnel”.
Mais c’est un sujet sur lequel j’avais envie de m’exprimer. Nous sommes au 21e siècle, et la notion du couple évolue, jour après jour, dans différentes directions. Et ce sujet m’interpelle.
Il n’y a d’ailleurs aucune “vérité”. La liberté de penser et de choisir son mode de vie affective est acquise. Du moins dans nos sociétés occidentales où la femme est émancipée et libre.
Récemment, j’ai croisé une amie de ma soeur (qui a 22 ans). Au fil de notre échange, je lui ai demandé naïvement si elle avait un petit ami en ce moment. De façon très apaisée et avec un air plutôt très épanoui, elle m’a répondu “en effet, j’en ai un, mais nous sommes un couple libre”. Elle était tout à fait à l’aise avec sa réponse. Et semblait particulièrement heureuse et satisfaite de sa situation.
Elle a ensuite ajouté : “libre signifie que nous nous aimons, mais que nous ne nous interdisons rien. Nous ne cherchons pas à enfouir les besoins de l’autre au détriment de quelconques oppressions”.
Sa réponse m’a fait prendre conscience de l’évolution fulgurante des comportements de notre génération, et de la façon dont l’individu évolue en société. Et notamment de la montée en puissance de ce phénomène que nous appelons “individualisme”. Nous sommes libres, nous nous écoutons enfin et nous le revendiquons.
Alors, bien évidemment l’envie d’être en couple et de se marier reste la norme chez un grand nombre d’entre nous. Ce qui est merveilleux et rassurant. Mais paradoxalement les divorces se sont multipliés. Les chances d’aimer sur le long terme semblent se réduire comme une peau de chagrin.
Pour ma part, je fais partie de cette catégorie de personnes qui croient en l’amour. J’essaye de garder de l’espoir. Je reste convaincue que la relation d’amour reste ce qu’il y a de plus beau et qu’elle peut évoluer vers quelque chose de fort et de puissant, année après année. Même si la passion disparaît…
Mais, le couple libre semble être une alternative pour toutes les personnes qui ont peur de souffrir, qui ont déjà été déçues ou qui sont d’éternels solitaires.

Les divorces aujourd’hui
Force est de constater que les divorces augmentent de façon significative.
« D’ailleurs, la stabilité du couple dans le temps a été progressivement altérée depuis la fin du XXe siècle : les divorces et séparations sont plus nombreux et le nombre de partenaires sexuels augmente. Avant la première relation stable, les hommes comme les femmes ont vécu statistiquement trois relations courtes. » Source Santé Magazine.
Les divorces sont de plus en plus nombreux. En France, on dénombre 130 000 divorces par an depuis quelques années contre 44 738 divorces en 1972. Le chiffre a presque triplé.
Et, 55 % des séparations s’effectuent d’un commun accord, soit d’une souffrance commune.
Voici les principales causes des divorces :
- L’infidélité (l’une des premières causes de divorce) (1 divorce sur 3)
- L’égoïsme de sa moitié (près de 22 % des divorces) ;
- La méchanceté d’un des deux partenaires (15 % des divorces) ;
- Les comportements excessifs (jalousie notamment et possession) (15 % des divorces) ;
- Les désaccords concernant l’avenir (15% des divorces) ;
- L’incompatibilité (10% des divorces) ;
- L’argent et le travail (perte d’un emploi, dettes…) (10 % des divorces) ;
- Ahhh… Et la belle famille, on y vient, est également à l’origine de nombreux divorces.
Parler de divorces pourrait sembler très fataliste, mais c’est un constat que l’on ne peut ignorer. Aussi, pour “se protéger”, certains optent pour des “unions libres”, et semblent s’en accommoder.

Qu’est ce qu’un couple libre ?
Un couple libre peut être un couple qui s’aime éperdument mais qui tend à ne vouloir partager que les meilleurs moments ensemble. Il y a de la tendresse, même un grand amour, mais un refus de se projeter dans l’avenir.
Pas de rendez-vous avec la belle famille le dimanche, pas d’engueulades au supermarché, pas de frustrations sexuelles, pas de culpabilité, pas de crises de jalousie ou de possessivité, pas de rapport à l’argent malsain… et pas d’infidélité par conséquent, car la fidélité ne fait pas partie des “clauses” à respecter.
Les protagonistes s’entraident en cas de pépins. Et souvent les relations sont parsemées de beaucoup de rires, d’humour, d’instants présents comme lorsque nous sommes adolescents.

Est-il possible d’être heureux de cette façon ?
Pourquoi pas ? Après tout, est ce qu’il existe vraiment une définition du bonheur aujourd’hui ?
Quand j’en ai discuté avec l’amie de ma soeur, elle avait l’air d’assumer parfaitement bien cette relation. Et je me suis aperçue en discutant avec d’autres personnes de mon entourage que ce type de relations était plus fréquent qu’on ne le croit.
Je ne dis pas que cette notion de couple se rapproche de l’idéal, mais plutôt que c’est un chemin qui est de plus en plus emprunté.
Si vous vous mettez d’accord des deux côtés avec une sincérité parfaite, il semble possible d’y trouver son bonheur. Mais la sincérité est-elle si parfaite que cela ?
L’inconvénient
Faire des projets ensemble devient cependant très compliqué car les deux partenaires ne partagent pas leur quotidien. Donc si vous souhaitez construire quelque chose sur du long terme, oubliez…
Par ailleurs, chacun dispose de son temps et de son mode de communication. Si vous attendez une réponse rapide à une question, à un sms, ce n’est pas dans le contrat…. la réactivité n’est pas le mot d’ordre.
Ce qui est compliqué, et qui peut en devenir un inconvénient majeur, c’est si vous êtes de nature à être jaloux et possessif. Oubliez aussi immédiatement ce genre d’histoire.Conclusion
En théorie, c’est juste l’idéal ! Et le couple libre fait de plus en plus parler de lui.
Sauf qu’en pratique, c’est le plus souvent une catastrophe. Car, dans les relations, et notamment dans les relations amoureuses, il y en a toujours un qui finit par s’attacher, plus que l’autre, à l’autre. Et là, les ennuis et la souffrance commencent.
Quand l’amour est vraiment au rendez-vous, il semble vraiment difficile de croire que l’union libre apporte la réponse aux relations amoureuses sincères et pérennes.
-

Comment réussir à se libérer d’un pervers narcissique ?
C’est un sujet dont on entend de plus en plus parler depuis quelques années. Et le film “Mon roi” de Maiween a placé ce problème au coeur de toutes les conversations.
À tel point que de nombreuses femmes sont, aujourd’hui, persuadées qu’elles vivent avec un pervers narcissique. Comme si c’était un effet de mode, et qu’il était de bon ton de connaître au moins une fois dans sa vie ce type de relation malsaine.
Mais, avant d’aller plus loin, je souhaite attirer votre attention sur deux points :
- Il n’y a pas que les hommes qui peuvent faire preuve de cette perversion : certaines femmes ont également des comportements qui s’en approchent. Et ce, même s’il a été prouvé que les hommes sont bien plus concernés par ce phénomène. Dans cet article, je parlerai du pervers narcissique en tant qu’homme.
- Il vaut mieux ne pas utiliser ce terme à mauvais escient. C’est malheureusement une maladie assez complexe qu’il faut prendre très au sérieux. La personne qui souffre de ce trouble est en souffrance, et le conjoint est tout aussi malheureux, voire plus car il en est la victime, on peut même dire la proie (Il est également bon de savoir que ce type de relations peut aussi exister dans une relation amicale).
Certains types de personnalité ont plus de chances d’être victimes de quelqu’un atteint d’un trouble de la personnalité narcissique. Il s’agit des individus vulnérables ou en situation de faiblesse. C’est à dire des personnes :
- Ayant une faible estime d’elles-mêmes, et qui dépendent de l’autre dans le couple (grande dépendance affective).
- Qui ne savent pas ce qu’est le trouble de la perversion narcissique, et qui n’associe pas cela à une maladie.
Mon expérience en la matière
Pour ma part, j’ai vécu, pendant plusieurs années, une relation extrêmement malsaine. Mais ce n’est que depuis peu, que j’en prends véritablement conscience.
Écrire sur ce sujet me semble être le meilleur des exutoires (évidemment, je resterai pudique sur ma vie privée et aucun détail très précis ne sera donné).
Beaucoup de mes amis m’avaient mise en garde car elles avaient remarqué que je n’étais plus aussi joyeuse et que je n’étais pas vraiment épanouie dans ma relation amoureuse. Et c’est peu de le dire…, je vivais dans le conflit, car son jeu consistait à le créer. Alors que je suis d’une nature plutôt zen et peace, j’en arrivais à être hors de moi.
J’aurais pu tenir compte des remarques de mon entourage, mais je me trouvais souvent (toujours) une excuse ou plutôt, je lui trouvais souvent (toujours) une excuse. Je me disais qu’il avait d’autres qualités, et qu’il m’aimait profondément (l’excuse facile). Et puis, je n’ai jamais été influençable, je suis même très solitaire et marquée dans ce que je pense, et les avis de mes proches m’étaient un peu égal. En fait, je les sollicitais en leur faisant part de ma souffrance, mais je n’écoutais jamais leurs retours bienveillantes. Avec du recul, je leur donne raison évidemment !
Etant de nature plutôt forte, même dure, j’ai compris avec le temps que j’étais, en fait, la béquille parfaite pour une personne mal dans sa peau et qui était en manque d’oxygène.
Mais, à force d’être un pilier, vous ne recevez rien en échange, car vous ne comptez pas pour elle.
Ce qui m’a fait fuir plus d’une fois. Mais plus je fuyais, plus il me faisait culpabiliser. Et je revenais.

Qu’est-ce qu’un pervers narcissique ?
Un pervers narcissique est très souvent une personne qui ne s’aime pas, et qui n’éprouve, contrairement à ce que l’on pourrait penser, aucune admiration pour elle-même. Mais bien plus encore, c’est une personne qui a une image plutôt désastreuse d’elle-même, et qui pour réussir à se valoriser, humilie adroitement les autres (ou qui s’invente une vie idyllique qui n’existe pas).
Quand vous discutez avec une personne souffrant de ce syndrome, vous avez souvent l’impression de n’avoir que des défauts. Très souvent, elle ne souligne que vos points négatifs, vos faiblesses sans jamais faire part de ce qui est positif et agréable chez vous.
Dans les cas les plus fréquents, le pervers narcissique se donne une image forte, il se montre toujours sous son meilleur jour auprès des autres, et se fait passer pour meilleur que les autres pour réussir à se donner un peu de consistance.
Dans les cas les moins fréquents (mais qui existent) , c’est quelqu’un qui se victimise, qui joue le “Caliméro” pour faire croire à sa partenaire qu’elle a mal agi. Qui est Caliméro ? “C’est un poussin anthropomorphe charmant mais malchanceux. Le seul poussin noir dans une portée de jaunes, et il porte sur la tête sa coquille d’œuf à moitié brisée.”
Ce sont les mêmes qui vous feront croire qu’ils ont moins de chance que les autres, qui se plaidront sans cesse de leur situation, et qui vous le feront subir (payer) comme si vous en étiez la cause.
Le pervers narcissique prend un énorme plaisir à susciter un sentiment de culpabilité chez sa victime, qui finit par croire qu’elle est responsable du mal-être de l’autre. Leur grande particularité (force) est de se défausser de tous leurs torts.

Et en amour ?
Dans une relation amoureuse, le pervers narcissique adore faire culpabiliser l’autre. Ses besoins passent avant ceux d’autrui. D’ailleurs, généralement, la personne atteinte de ce trouble ne cherche même pas à comprendre si sa conjointe a des besoins ou des envies. Il est le centre du monde.
Dans mon cas, par exemple, j’étais selon lui trop sportive, trop active, trop voyageuse, trop amicale, trop sociable, trop dynamique… j’avais trop de projets alors qu’il aurait fallu que je n’ai qu’un unique centre d’intérêt : lui.
Il ne m’encourageait jamais à pratiquer des activités qui me convenaient, mais il m’attirait vers des choses dans lesquelles il aurait fait partie. La bienveillance n’était pas le mot d’ordre !
Ce qui a fini par créer un amour déséquilibré fondé sur des réflexions acerbes, des mots durs et de la culpabilité. Et de mon côté de la fuite, car j’étouffais. Mais je ne partais pas pour autant.
Cependant pour compenser et donner l’impression qu’un amour fort existe, le pervers narcissique sait se montrer, de temps à autre, extrêmement affectueux et terriblement présent. Encore plus présent que ce que vous aviez potentiellement déjà connu dans le passé. On se laisse entraîner… Et il est alors très difficile d’être objectif sur sa relation.
Il sait aussi montrer à l’autre, et avec insistance, qu’il a besoin de l’autre, ce qui donne envie à la partenaire de poursuivre la relation malgré une énorme incohérence.
Et c’est un cercle vicieux assez difficile à quitter. Car on vit au quotidien dans deux extrêmes émotionnels, on a l’impression d’être animé(e) d’émotions opposées : amour/haine, pulsion/répulsion, joie extrême/tristesse profonde, apaisement/colère, rire/pleurs, en couple/rupture..
Ce qui est certain, c’est que lorsque vous êtes en couple avec ce genre d’individus, il n’y a pas de place pour la routine… Bien au contraire, il y a de l’animation 365 jours de l’année.

Comment s’en rendre compte ?
Dans les débuts d’une relation amoureuse, il est souvent compliqué de percevoir les aspects négatifs ou malsains de la personne sur laquelle on a jeté son dévolu. En général, ce garçon est, au premier abord, séduisant, drôle, sociable, charmeur et doux. C’est d’ailleurs très agréable, surtout dans notre quotidien où l’individualisme prime bien trop souvent.
Mais, bien plus que cela, il s’agit le plus souvent d’un individu profondément amoureux, et qui vous donne TOUT très rapidement : des mots doux, des messages affectueux, des dîners aux chandelles, la présentation de sa famille/de ses amis, des envies de voyages, des projets communs, des passions communes.
Je me suis d’ailleurs rendu compte avec mon ancien copain que nous n’avions, en fait, aucune passion ou ni envies communes. En fait, il s’adaptait à ce que j’étais, de façon à ce que je m’attache encore plus.
Mais le malaise s’installe assez rapidement, après quelques semaines de vie commune. Et là, c’est l’hécatombe.
Vous pouvez vous réveiller un matin, et prendre conscience que votre partenaire est différent de ce qu’il est d’habitude : Il se montre susceptible, très très violent, agressif et incohérent alors que le sujet sur lequel vous étiez en train de débattre n’a pas grande importance. Les sujets sur lesquels vous débattez ensuite ne sont guidés que par la jalousie et la possessivité.
À cause de cela, il n’y a plus aucune place pour la curiosité. Et les conversation passionnantes ou constructives diminuent pour ne laisser place qu’à des disputes constantes.
Comment les reconnaître ? Pourquoi les fuir ?
Si vous tombez sur un profil qui répond à ces critères, posez-vous des questions :
- Une séduction irrésistible
- Un double langage
- De la jalousie
- Un refus systématique de reconnaître ses torts
- Une communication parfois floue
- De la dévalorisation et des critiques (sans en avoir l’air)
- La création de conflits
Tout d’abord, pour ne pas tomber dans les mailles de ces personnages, il faut avant toute chose, bien se connaître soi-même, de façon à ne pas se laisser influencer par les propos parfois médisants et malveillants de l’autre. Mais ce n’est pas si facile, car ils sont très doués pour instaurer le doute.
Il faut également savoir se fixer des limites avec l’autre, et ne pas accepter qu’elles soient franchies.
Il faut aussi savoir que le pervers narcissique est souvent très capricieux, il n’a pas d’affect propre et exagère toutes ses émotions. On pourrait lui attribuer l’Oscar du meilleur rôle…
Il est adulte, mais il est très immature et même si, dans les débuts il ne montre que le meilleur de lui-même, il ne faut rien attendre de lui car il est rarement très fiable.
Dans les débuts de votre relation, si vous détectez rapidement quelqu’un de très présent mais de très excessif à la fois : fuyez !!
Le manipulateur narcissique vous dérobe énormément d’énergie ! En sa présence, vous êtes plus fatiguée, voire épuisée, et vous êtes surtout malheureuse.
Une fois qu’il a laissé place à tous ses démons après la période de séduction, il redoublera de nombreuses manipulations afin de vous garder dans les mailles de son filet.
Une fois séparée d’un pervers narcissique
Une fois que vous trouverez le courage de partir, ou qu’il trouvera une nouvelle copine (amen), essayez de vous redonner de la force et de l’amour en :
- Vous entourant de personnes bienveillantes (et en les écoutant)
- Ayant de la gratitude envers les bonnes actions que vous menez au quotidien
- Vous méfiant davantage des hommes que vous laissez entrer dans votre vie
- Vous écoutant : corps et esprit confondus (vous êtes votre meilleure amie)
À très bientôt !
Charlotte Vallet – coach spécialisée en émancipation féminine

-

Comment choisir son compagnon de voyage ?
Si vous faites partie de celles et ceux qui sont possédés par le virus du voyage, le choix de son compagnon de voyage est fondamental. Quand on n’a pas d’amoureux, ce n’est pas si évident. Et partir seul(e) l’est encore moins.
Et, toute expérience est toujours plus agréable lorsqu’elle est partagée. C’est d’ailleurs la citation qui conclue le film Into the Wild : “Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé”.
La première idée qui nous vient en tête est bien évidemment de partir à plusieurs. Mais, si cela rassure, c’est aussi quelque part perdre un peu de sa liberté : c’est accepter quelques sacrifices, c’est savoir faire des concessions, c’est aussi accepter quelques désaccords.
Et tout dépend, en effet, avec qui vous êtes. Certaines personnes sont immédiatement complices, d’autres ne sont vraiment pas faites pour être ensemble. Il y a des choses que l’on n’explique pas toujours. Il y a parfois un vrai feeling (ou une vraie répulsion). Mais avouons que le feeling instantané, c’est tout de même rare.
On augmente ses chances, ou disons que l’on prend moins de risques, en décidant de partir avec un(e) ami(e). On le connaît, il nous connaît, et on se dit que ce sera donc plus facile de sortir de nos zones de confort respectives ensemble. Et pourtant, ce n’est pas non plus si évident.
Eh oui, le culte de la folie du voyage n’est qu’utopique, car le voyage, c’est aussi un dépassement de soi. Vous pouvez évoluer à toute vitesse en cours de voyage, et votre ami/compagnon aussi, mais pas de la même façon ! Et la perception que vous vous faites, peut être complètement différente de celle que se fait votre ami(e).
Certains se renforcent en voyage, et d’autres se sensibilisent.
Alors, comment ne pas se tromper de compagnon de voyage ?

Mon expérience voyage
Si vous me suivez, vous avez pu lire que j’ai entrepris un tour du monde, seule, en 2014.
Mais initialement, j’avais prévu de partir avec une amie. En effet, qui, de normalement constitué, envisage un tour de monde seule ? Qui plus est, en étant une femme (très jeune)… et ce, même si je suis persuadée que les femmes sont mentalement plus fortes que les hommes…
Cette amie, est ce que l’on appelle une véritable amie. C’est quelqu’un sur qui l’on peut compter. Elle est fiable, honnête, et je la respecte énormément. C’est le genre d’amis que l’on garde, et à qui l’on montre et démontre de la gratitude !
À l’époque, nous nous connaissions, depuis une dizaine d’années. Je m’étais alors accrochée à l’idée de partager ce voyage avec elle. J’étais persuadée que le fait de se connaître depuis aussi longtemps, était la garantie que tout se passerait magnifiquement bien.
Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas vrai. La complicité et l’affection, même de longue date, ne suffisent pas. Il faut, dans l’idéal, quelque chose d’encore plus fort.
En effet, lors de la préparation du voyage, nous sommes aperçues que nous étions différentes dans la façon d’envisager le voyage. Nous n’avions pas nécessairement les mêmes envies, ni la même conception de vivre les choses.
Pour ma part, je suis d’une nature assez sauvage, casse-cou, spontanée, solitaire, impulsive, et pas toujours très prudente… Alors que pour ce qui la concerne, elle avait envie de quelque chose de plus sécurisé, de moins impulsif, de très programmé.
Aucune de nous n’était à blâmer, mais une chose était évidente, nous n’avions pas du tout envie de vivre les mêmes choses.
Notre amitié en a un peu souffert, mais dès lors que nous avons décidé de ne plus parler de ce voyage, nos liens se sont à nouveau reformés, et nous sommes toujours d’excellentes amies. Son côté rassurant m’apaise. Et avec l’âge, je me rends compte qu’il est important pour moi, que je m’entoure de personnes plus posées.

Ma conclusion
Finalement, j’en ai déduit que partir avec un inconnu était sûrement beaucoup moins contraignant.
En cas de désaccords, pas d’états d’âme, pas de remords, pas de regrets ! Chacun part de son côté.
Alors qu’avec quelqu’un que vous connaissez bien, le moindre conflit peut se terminer en drame. Et comme le dirait si bien Denis Brognart, dans Koh Lanta : “la sentence peut être irrévocable”.
D’autant que lorsque l’on envisage un tel voyage, on est souvent confronté à des impondérables qui peuvent nous conduire à avoir des réactions surdimensionnées. Et si on laisse s’échapper nos pensées… on peut dire des choses virulentes que l’on ne pense pas, mais qui seront indélébiles. Et, dans cette situation pour récupérer votre ami, vous pouvez toujours vous brosser (rires).
Quel serait le compagnon idéal parfait ?
La perfection n’existe pas, et encore moins dans les relations humaines ou amoureuses. Ça je l’ai bien compris !
En l’occurence, le plus proche de l’idéal est de partir avec une personne avec laquelle vous partagez les mêmes valeurs et le même humour. Car le rire est important. On part pour s’amuser, pour profiter. Chaque moment devrait être l’occasion de rire et d’être heureux.
On ne rit pas suffisamment de nos jours. Et croyez-moi, le rire doit être le pilier entre votre compagnon et vous.
Par ailleurs, le compagnon de voyage idéal est celui qui, à la fois partage vos folies, mais qui vous complète aussi. Par exemple, si vous êtes de nature “casse cou”, il est préférable de partir avec une personne qui saura vous tempérer un peu. À l’inverse, si vous êtes de nature renfermée, mieux vaut choisir un compagnon plus expansif, qui vous aidera à vous ouvrir aux autres.
Si vous cherchez un compagnon de voyage, voici les 5 critères qu’il faut tenter de réunir :
- Partager le même humour afin de rire un maximum
- Partager des valeurs communes (l’éducation notamment, c’est fondamental)
- Choisir quelqu’un qui n’est pas dans le jugement. Cela évite les situations gênantes
- Choisir quelqu’un qui a une bonne capacité à communiquer et à se remettre en question
- Et surtout, quelqu’un qui partage les mêmes envies de parcours et d’expériences

Quelques astuces pour trouver son compagnon
Ce n’est pas si évident de trouver un(e) ami(e) qui réunit tous ces critères pour vous accompagner dans votre road trip. Alors, voici des solutions alternatives mais efficaces pour trouver un compagnon de voyage.
- https://compagnon-de-voyage.net : le site Compagnon de voyage a été créé pour que ceux qui souhaitent trouver un partenaire de route. L’inscription est facile comme tout !
- https://www.copinesdevoyage.com : des voyages à découvrir entre filles. … L’agence de voyages des femmes qui bougent. Plus de 10 000 voyageuses … Copines près de chez vous. Petits prix.
- http://www.cotravelling-covoyager.com : même principe que le premier site.
- https://www.meetup.com/fr-FR/ : vous pouvez aussi vous inscrire sur le groupe Meetup du pays ou de la ville que vous allez visiter pour être informé(e) de tous les événements qui s’y déroulent. Comme sur Couchsurfing, vous pourrez vous joindre à un groupe de particuliers pour aller au cinéma ou faire une marche, par exemple.
- Vous pouvez aussi trouver votre partenaire de voyage directement sur place, dans une auberge de jeunesse, par exemple.
- Ou par sollicitation spontanée. Vous pouvez demander à vos amis s’ils ont des amis aventuriers qui souhaitent partager votre voyage.
En tout cas, quoi que vous fassiez, profitez-en à fond !
-

Faut-il sans cesse courir après le bonheur ?
Soyez heureux, comment trouver le bonheur, etc., etc.… Le bonheur est à la mode !
Dans un monde pourtant de plus en plus violent, et de plus en plus individualiste, il semble que le bonheur soit pourtant quelque chose de facilement accessible. Même au travail ! Certaines sociétés recrutent désormais des Chief Happiness Officer (CHO), qui sont des responsables du bonheur.
Il faut être heureux avec ses proches, heureux au travail et même heureux avec soi-même. Et quand je dis, il « faut », je choisis volontairement ce mot. Être heureux est presque une obligation !
Et croyez-le ou pas, il paraît même qu’il existe des recettes pour trouver le bonheur. Des retraites de Yoga, des séminaires de travail, des livres, des millions d’articles sur le net, des milliards de photos et de citations sur instagram ou sur Facebook…
Mais comment s’y retrouver ? D’abord, qu’est-ce que le bonheur ? Faut-il se fier à tout ce que l’on lit ou voit ? Y a-il un bonheur universel ?

Tout d’abord, qu’est-ce que le bonheur ?
Je me suis souvent posée la question. Et c’est aussi un sujet de discussion qui peut être très animé lorsque l’on en discute entre amis.
C’est en effet, une notion très difficile à définir, et de nombreux philosophes et écrivains se sont essayés à en donner une définition… faisant l’objet de livres entiers. C’est pour dire que ce n’est pas facile de résumer en une ligne ce qu’est le bonheur.
Mais si l’on se réfère au dictionnaire, le mot bonheur se définit comme : un état de complète satisfaction. C’est déjà un bon départ pour en parler.
Un état de complète satisfaction… Avouons que ça fait rêver.
Mais si l’on y réfléchit vraiment, il est clair que le bonheur, selon cette définition, est inaccessible. Quelle que soit notre situation, personne n’est jamais vraiment satisfait de ce qu’il a. C’est la nature même de l’homme qui veut cela. On a tous tendance à en vouloir toujours plus.
Aussi, soyons clair. Le bonheur, tel qu’il se définit, est quelque chose d’inatteignable surtout dans nos sociétés occidentales qui nous poussent à être d’éternels insatisfaits.
En revanche, si l’on se réfère à ce qu’il se dit, certains l’ont atteint. Il s’agit des moines tibétains ou des bouddhistes, qui ont appris à renoncer à tout.

La clé du bonheur résiderait-elle dans la renonciation ?
Mais encore faudrait-il s’assurer qu’ils sont vraiment heureux. Je ne connais personnellement aucun moine tibétain dans mon entourage.
Mais revenons chez nous, et soyons réaliste, mais surtout soyons moins ambitieux.
Ce qu’il faut, c’est tendre vers le bonheur, et plus particulièrement tendre vers SON bonheur. Se poser les bonnes questions, et trouver ses propres bonnes réponses. Mais en général, le problème, c’est que l’on se laisse influencer par ce que l’on nous « vend ».
Et c’est pour cela que c’est, pour certains très difficile d’être heureux.
Mais pourquoi est-ce si difficile d’être heureux ?
Si tant d’efforts sont menés pour nous conduire vers ce sacré bonheur, c’est qu’il y a un public prêt à investir de son temps et de son argent pour y parvenir. Et effectivement, la quête du bonheur se vend bien.
Mais c’est aussi en grande partie parce que l’on nous vend du rêve. Ou que l’on ne fait croire que le bonheur, c’est être riche, de s’offrir maison de luxe, des séjours sur des îles paradisiaques, etc., etc. Et bien sûr, tout ceci avec un corps parfait, digne d’une barbie. Même lorsque nous sommes enfants, on nous fait croire aux contes de fées. Tout est toujours beau et se termine toujours bien.
On nous vend du rêve, des illusions, et cela depuis notre plus tendre enfance.
Nous sommes formatés à penser que le bonheur existe, et qu’il faut passer sa vie à se battre pour obtenir une vie parfaite.

Ce qui crée, par ailleurs, des tensions entre les gens, de la jalousie, de la haine. Le contexte social actuel en est la preuve.
Autre conséquence, le mal-être et le nombre grandissant de dépressions. Combien de gens sombrent dans la dépression ou dans d’autres maladies psychiatriques, car ils ont une image déformée d’eux-mêmes. Une image qui les font se sentir inférieurs, moins bien que…, ou alors parce qu’ils vivent en porte à faux avec ce qu’ils sont vraiment.
J’ai une amie qui a été poussée par ses parents à faire de longues études. Objectif : gagner de l’argent plus et toujours plus. Pour eux, l’argent, c’est la clé du bonheur. Mais elle, elle voulait faire du théâtre, et en vivre. Elle a pourtant fait un bac +7, et elle gagnait 8 000 € par mois à 28 ans. Mais, parallèlement se développait un mal insidieux en elle, et ce depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, à 30 ans, elle pèse 38 kg. Elle est anorexique et ne peut plus travailler…
Comment réussir à être le plus heureux possible ?
Je n’ai malheureusement pas de recette magique. Juste quelques éléments de réponse qui, pour ma part, contribue à mon bonheur. Les voici.
Être en accord avec soi-même
À mon avis, une première façon d’être heureux, c’est d’être en accord avec soi-même. Et pour cela, oui, il faut se battre. Si je prends mon exemple (et croyez-moi, je n’ai pas trouvé le bonheur et l’épanouissement absolu…loin de là), j’ai travaillé des années dans le marketing, alors que ça ne plaisait pas du tout. Me lever le matin pour travailler était devenu une véritable corvée, au point d’en avoir une boule au ventre et plus aucun repères. Je vous parle de vrais repères, ce qui signifie respecter vos envies, vos besoins et ce que vous êtes.
J’ai alors pris la décision de changer. D’être en accord avec ce que j’avais vraiment envie de faire. J’ai tout lâcher. Je suis partie faire un tour du monde avec mon sac à dos, et quand je suis revenue, j’ai pris la décision de tout faire pour faire le métier que j’aime. Ce tour du monde fût l’expérience la plus difficile de ma vie car je me suis retrouvée avec moi même et face à mes réels besoins.
En rentrant, j’ai fait des formations à gogo, j’apprends beaucoup des autres, je m’appuie sur des mentors que j’admire et j’ai fini par monter mon entreprise. C’est le début et je sais que j’ai enfin trouvé ma voix.
Et voilà. Je me lève enfin de bonne humeur !! Et même si ce n’est pas toujours facile, car la vie d’entrepreneur est une difficulté à elle toute seule, j’aime ce que je fais. Et ça contribue à mon bonheur.
Petite anecdote : hier, je travaillais dans un Starbuck, et je me suis mise à discuter avec mon voisin de table (j’ai cette capacité à parler avec tout le monde, et souvent dans des circonstances assez improbables (rires)), et ce monsieur m’a posé la question: “Pourquoi avoir quitté la sécurité pour vivre un rêve parfois un peu idéaliste ?”.
Monsieur d’une soixantaine d’années qui ne comprend pas “encore” l’évolution du travail chez nous les jeunes mais avec lequel j’ai pris un malin plaisir à échanger. Ce fossé des générations m’étonnera toujours et est si intéressant après tout (ça me fait penser à une idée d’article).
Je lui ai simplement répondu : “je préfère avoir le sourire dans une vie “bohème” qu’un mal-être profond dans une vie qui parait plus normale aux yeux de tous. De plus la normalité n’existe plus et je vivrais toujours ma propre normalité et non pas celle des autres.”
Il m’a regardé assez chaleureusement en me répondant “vous avez tout à fait raison”.

Ne pas se comparer aux autres – Savoir se contenter de ce que l’on a
Un des grands dangers dans la recherche du bonheur, c’est également de se comparer aux autres. Vouloir être mince comme Angelina Jolie, vouloir un appartement plus grand que sa copine, vouloir le dernier IPhone pour épater la galerie. Les exemples ne manquent pas.
Cette course à être « toujours plus » et « toujours mieux » que l’autre est toujours vouée à l’échec.
On trouvera toujours quelqu’un qui aura plus que nous. Vivre ainsi, c’est vivre dans une éternelle insatisfaction. C’est un combat perdu d’avance, d’autant que lorsque l’on vit comme cela, on ne profite même pas de ce que l’on a.
Il faut donc apprendre à se comparer à ceux qui ont moins, et pas à ceux qui ont plus. Je sais c’est facile à dire, mais c’est tellement vrai !
Se fixer des objectifs atteignables et se donner les moyens de les atteindre
Que ce soit dans sa vie personnelle ou professionnelle, le bonheur passe aussi par une bonne connaissance non seulement de ce que l’on veut mais aussi de ses limites. Se fixer des objectifs surdimensionnés ne sert à rien, qu’à vivre des déceptions encore plus grandes.

Si dans votre vie amoureuse, vous attendez le prince charmant, beau riche et intelligent, vous n’êtes pas là de le rencontrer. Et vous risquez fort d’être seule un long moment. Il faut savoir être réaliste et prendre les gens tels qu’ils sont, et pas tels que nous voudrions qu’ils soient. Il faut également faire l’effort de le chercher. En général, il ne frappe pas à la porte…
Dans la vie professionnelle, et je vous en ai déjà parlé plus haut… il est essentiel de faire un métier qui nous plaît. On y passe au moins 8 heures par jour, si ce n’est plus avec le transport… Alors même s’il on a fait « une erreur de jeunesse », on peut très souvent la réparer si on le veut vraiment.
En tout cas, faute de ne pas être vraiment heureux, on peut tous mettre en place des actions qui nous rendront moins malheureux.
Conclusion
Il n’y a pas qu’un seul bonheur. La vie est une somme de petits bonheurs qu’il faut savoir apprécier aux moments où ils sont là.
Chacun est maître de son destin, et est responsable en grande partie (pas toujours, je vous l’accorde), de ce qu’il fait.
Ce qu’il faut aussi retenir, c’est que nous avons tous une vision différente du bonheur. Le point commun reste qu’il faut être en accord avec soi-même et surtout savoir apprécier ce que l’on a. Que l’on soit d’accord ou pas, l’inverse est encore plus vrai. Plus on est en désaccord avec ce que l’on est, plus on souffre.
En effet, beaucoup de gens ont beaucoup de choses et pourtant, ils ne sont jamais vraiment heureux. Il suffit de regarder toutes ces stars telles que Amy Winehouse ou Avicii qui semblaient avoir tout : talent, argent, amour… et qui ont fini par se suicider. En fait, ils avaient tout mais leur vie ne leur plaisait pas. L’un comme l’autre avait envie d’une vie paisible, et se sont forcés à vivre en porte à faux avec leur vraie personnalité.
Le bonheur est donc avant tout la mise en adéquation entre ce que l’on a envie de vivre et ce que l’on vit. Plus on s’en approche, plus on est heureux.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue

-

10 conseils pour combattre le stress
Ce matin, je me suis réveillée en sueur, et très fatiguée. J’avais pourtant bien dormi. Et j’en avais besoin.
J’avais fait l’effort de me coucher relativement plus tôt que d’habitude. J’avais retiré de mon lit tous les objets superflus. En effet, il m’arrive de laisser traîner des livres et des crèmes un peu partout autour de moi, ce qui n’est pas des plus judicieux, car c’est le meilleur moyen de se réveiller quand on les sent sous son corps pendant son sommeil.
Je n’ai fait aucun cauchemar, ni rêves trop marquants, en tout cas, je ne m’en souviens pas.
Auparavant je notais sur un cahier l’intégralité de mes rêves et cauchemars de façon à pouvoir analyser mon subconscient. J’ai arrêté de le faire, car être sans cesse dans l’analyse m’épuisait aussi. Déjà que je réfléchis énormément, lâcher prise de temps en temps fait un bien fou.
Tout ce dont je me souviens, c’est que, dès mon réveil, j’ai éprouvé une fatigue importante, accompagnée d’un petit stress qui m’a encombré l’esprit.
Je me suis alors lancé le défi de réussir à être moins stressée pour l’heure de midi, une heure que j’affectionne particulièrement car c’est celle du déjeuner (défi irrationnel, je vous l’accorde mais qui fait du bien).
Tout d’abord, je me suis assise. Et je me suis demandé pourquoi j’étais si angoissée ? Je ne suis pas d’une nature stressée, voire pas du tout.
Et finalement, j’en ai déduit que si croire au culte du bonheur pouvait être positif, le fait de ne jamais se laisser aller dans le côté obscur de ses émotions pouvait être plutôt néfaste. Je fais en effet partie de ces personnes qui veulent tout contrôler, et qui sont anti-procrastination, anti-faiblesses, anti-vulnérabilité, anti-plaintes…
Et pourtant, paradoxalement, je suis une femme très vulnérable et très sensible, selon les dires de mon entourage.
Mais dans ce monde parfois violent, il est difficile de le montrer. C’est pourquoi, je me suis mis une barrière de protection énorme, sur laquelle j’essaie de travailler constamment.
L’année 2019 ne serait-elle pas celle de l’évolution ?
Ce qui est certain, c’est que je fais également partie des individus qui sont sans cesse dans la recherche de solutions. Et ce matin, face à mon problème, j’en ai cherché, et j’en ai trouvé !
Le stress, c’est quoi ?
Le stress, c’est ce sentiment étrange et à la fois intense que l’on ressent dans tout le corps et dans tout le cerveau, dans un moment complexe de sa vie ou face à une situation nouvelle pour laquelle on n’a pas de solutions. Ce qui arrive souvent puisque la vie est souvent faite de surprises… bonnes ou mauvaises…
Lorsque l’on stresse, tout le corps se contracte, et des douleurs dans le bas du dos se font sentir.
Les pensées nous traversent à plus de 100 km à l’heure et se démultiplient. Il n’y a alors plus aucune place pour la relaxation, et nous en oublions même de respirer. Ce qui est fondamental.
Pendant ces moments d’angoisse, on se sent souvent vulnérable, fatigué et au bout de sa vie.
On perd toute objectivité, toute raison. L’impulsivité nous domine et prend le dessus sur tout le reste.
Souvent, lors de ces moments, tout et tout le monde nous agacent. Le monde devient sombre et triste.
Pourquoi tant de dureté envers soi-même ?
Mes 10 astuces anti-stress
-
Ecrire son mantra sur le miroir
Il s’agit d’une formule sacrée dotée d’un pouvoir spirituel. Une formule qui vous représente de façon positive. Ensuite, il faut que la visualisiez. Le plus pratique est de se préparer ou de se maquiller devant son miroir et regarder avec insistance son mantra.
Pour ma part, mon mantra est écrit sur un papier. ” je suis exceptionnelle “. Je l’ai coincé dans les recoins du miroir. À vrai dire, c’est mon ancien petit ami qui m’avait écrit cela afin que je m’en souvienne chaque matin.
Et franchement, croyez-moi, ça marche.
-
Respirer doucement avec le ventre
Un autre moyen consiste à respirer lentement avec le ventre. Quelques minutes suffisent à retrouver un peu de paix.
Pensez aussi à vous parler à la 3e personne du singulier. Vous vous attribuez un petit surnom (du type “Magic Charlotte”, “Super Justine”, “Incroyable Carla”), et vous discutez avec votre personnage imaginaire. Vous réfléchissez ensemble à une solution dans le calme, en vous accordant une belle douche de bienveillance envers vous-même.
-
Ecouter de la musique qui vous détend
Ecouter de la musique permet de s’épargner le surplus de bruit qui nous entoure, et qui en général amplifie nos contrariétés. Le fait d’écouter de la musique qui nous ressemble, c’est aussi une façon d’être dans son monde. Quand je suis angoissée, j’aime écouter de la musique un peu “hippie”. Et, ce n’est pas qu’un effet de mode. Voici mes tubes préférés :
- Radio solo – Njomza Remix- Hippie Sabotage
- OM – Hippie Sabotage
- Lights Out – Hippie Sabotage
- Caught Up – Hippie Sabotage
- I Found You – Hippie Sabotage

-
Ecouter des podcasts notamment les ” Paumé-e-s “
Ils retracent les parcours un peu atypiques de personnes qui souhaitent faire des choses tout aussi atypiques. Pour ma part, je me suis reconnue à 100 % dans ces profils.
Typiquement, Sarah, qui a quitté la pub pour fabriquer des pots, ou encore Alice, qui veut partir caresser des loutres au Mexique… Toutes ces femmes souhaitent se reconvertir ou faire autre chose mais ne savent pas par où commencer. Ça fait du bien ! Car c’est léger, et à la fois tellement représentatif de cette nouvelle génération que nous représentons.

-
Se détendre dans un Starbucks
Alors oui oui ! Je sais.
Starbucks sert du mauvais café, ne traite pas ses employés comme il le faudrait, et est une entreprise américaine qui représente, par excellence, le Capitalisme. Et alors ?
J’y vais quand même.
Il y a toujours beaucoup de gens qui adorent vous culpabiliser sur le sujet, surtout lorsque vous avez choisi une voix professionnelle en lien avec le bien-être. Mais, en général, je ne me laisse pas influencer, car j’ai mon avis sur la question.
Et ce qui est certain, c’est que j’ai fait de ce lieu, mon QG pour travailler. Quand je suis dans un Starbucks, je me sens bien. La décoration, le bois, les couleurs, la chaleur humaine… c’est un lieu de rencontres professionnelles, notamment de gens seuls, qui n’a pas son pareil. Il y a un dynamisme que je ne vois nulle part ailleurs.
-
Ecrire pour exister
L’écriture est un excellent exutoire, et c’est prouvé. Tout comme le sport, ou encore le sommeil.
Pour ma part, j’y ai trouvé beaucoup de réconfort. Avant même de tenir ce blog, sur lequel je tente de donner un maximum de conseils, j’écrivais surtout pour moi. J’avais mon petit cahier, avec une citation écrite sur la première page, et j’écrivais tout ce qui me passait par la tête.
C’est une sacrée thérapie, et cela permet surtout d’évacuer les mauvaises émotions qui sont en vous.

-
Apprendre à être seul(e)s
Aujourd’hui, nous sommes souvent dépassés par les événements et nous recevons un trop plein d’informations. Des dizaines à la minute. D’ailleurs, nous sommes en droit de nous interroger : toute information est-elle bonne à prendre ? (je ferai un article sous peu sur ce sujet).
Ce qui est certain, c’est que pour se sortir de là, il est important de savoir apprécier d’être seul(e), et de se concentrer sur qui nous sommes. Non pas sur “ce que nous faisons” mais sur “qui nous sommes”. Nous l’oublions bien trop souvent.
Vous pouvez rester seul(e)s dans le calme, ou aller au cinéma, ou encore lire. Tout est bon à prendre.
Il existe de nombreuses activités que vous pouvez faire seul(e). Si vous êtes intéressée, je vous invite à lire mon article intitulé “Hiver, je t’aime et je t’accepte“.
-
Courir en groupe
A contrario, vous pouvez aussi rechercher de la présence, et aller courir en groupe. Avec des amis, ou alors avec des groupes d’entraînement. Nike et Adidas en organisaient chaque semaine.
Je ne suis pas une grande fan de course, mis à part par pur challenge personnel, mais je dois reconnaître que c’est l’un des sports qui défoule le plus.
-
Manger quelque chose que vous vous interdisez habituellement
Gâteau au chocolat, tarte aux fraises, chausson au Nutella … Toutes ces merveilles ne sont, en effet, pas vraiment géniales si vous les consommez quotidiennement. Mais de temps en temps, qu’est ce que ça fait du bien !
Un petit moment de “down” ? Alors, on n’hésite pas à se jeter sur son dessert préféré. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir !!

-
S’évader dans un endroit calme et méconnu
Maison de campagne, montagne, plage … Peu importe, mais il est important de s’évader pour se couper de son quotidien quand on ne se sent pas très bien.
Sinon, on a du mal à prendre le recul suffisant pour faire face aux difficultés du moment. Pire, on risque même de les amplifier.
Ce qui est sympa, c’est que même lorsque l’on habite Paris, il existe de nombreux plans pour aller se balader en forêt.
-
La sophrologie ou l’hypnose (un petit dernier pour la route)
Je pratique la sophrologie depuis peu.
La sophrologie repose sur des techniques de respiration et de visualisation positive.
Je me forme actuellement à l’hypnose. D’ici quelques semaines, je pourrai aussi bien pratiquer la sophrologie que l’hypnose. L’une et l’autre sont excellentes pour lutter contre le stress, l’impatience, le manque de confiance en soi, les insomnies…
Conclusion
Le stress se combat. Il suffit (façon de parler) de prendre conscience de son état et de se dire : attention… fais quelque chose. Et ne pas se laisser envahir.
Ensuite, il faut croire en soi, vivre avec de l’espoir et penser de façon positive, sans pour autant frôler la naïveté…
Un livre qui m’a beaucoup aidée est le livre intitulé : Le Secret de Rhonda Byrnes. Il aide à aller de l’avant, à croire en soi, en son potentiel et en ses différents projets. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous le conseille vivement !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-
-

LA PROCRASTINATION : comment en sortir ?
Le mot « procrastiner » que personne ne connaissait, il y a encore quelques années, est devenu très à la mode. On le voit un peu partout, avec une connotation très négative. Avant les parents disaient « il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même ». Aujourd’hui, les parents disent « arrête de procrastiner ». C’est plus rapide, me direz-vous (rires) !
En fait, ce n’est pas si anodin de procrastiner. Pour certains, c’est presque un mode vie. Quand cela concerne les ados ou les plus jeunes, c’est très souvent associé à de la fainéantise. Mais dans une majorité de cas, c’est un peu plus compliqué que cela. C’est très souvent synonyme de mal-être.
Alors même s’il y a quelques astuces pour moins procrastiner, si l’on veut vraiment en guérir, la première étape, c’est d’en connaître la cause. Et une fois la cause trouvée, il faut travailler pour chercher des solutions (et les appliquer, c’est encore mieux !). Car la procrastination peut devenir un vrai calvaire non seulement pour celui qui la subit mais aussi pour les proches.

Qu’entend-on par procrastination ?
La procrastination, c’est remettre systématiquement à plus tard ce que l’on devrait faire à un instant t.
Mais, c’est surtout se trouver des excuses pour ne pas faire ce que l’on a à faire.
Les exemples ne manquent pas, et nous avons tous au moins une fois dans notre vie, procrastiner.
Alors, si vous remettez de temps en temps, le fait de faire votre vaisselle au lendemain, ce n’est pas bien grave. Sous réserve bien sûr, que vous ne fassiez pas cela, tous les jours pendant un mois (rires). Mais dans d’autres situations, dans le milieu professionnel, par exemple, cela peut avoir des conséquences plus néfastes.
Par exemple, au début de mon aventure d’autoentrepreneur, je tenais à jour tout ce qu’il se passait. Dès que j’avais un courrier, je le rangeais, je gérais mes factures dans le moment, j’appelais les gens ou les organismes dès qu’il le fallait. Puis au fur et à mesure, prise par toutes mes activités, j’ai laissé traîner certaines tâches, en me disant, je le ferai demain. Et ainsi de suite. Eh bien, je peux vous dire, que je me suis vite aperçue du temps considérable que je perdais. Je ne me souvenais plus où j’avais mis certains papiers, je ne savais plus qui et quoi facturer, etc., etc. Au lieu de passer cinq minutes à faire quelque chose, j’en passais parfois vingt ! Au total, énormément de temps perdu. Et quand on est autoentrepreneur, le temps c’est de l’argent.
Pourquoi avons-nous tendance à procrastiner ?
En fait, il se trouve que l’on a tous tendance à faire en priorité, d’une part ce qui est le plus urgent, et d’autre part ce qui nous plaît le plus. En même temps, c’est humain ! Mais finalement, à force d’agir ainsi, cette attitude se retourne contre nous. Et ce que nous avions déjà peu envie de faire, devient une véritable corvée. Car tout s’est accumulé. Quelles en sont les principales causes ?

La peur de ne pas être à la hauteur ou la peur de ne pas maîtriser le résultat
Pour certains, la procrastination peut être due à de l’anxiété. Par exemple, vous devez prendre un rendez-vous professionnel ou médical, mais vous repoussez sans arrêt le coup de fil pour fixer votre rendez-vous, car vous craignez le résultat de ce rendez-vous. Vous ne maîtrisez pas son issue alors vous stressez, et vous repoussez.
Une mauvaise notion du temps
La procrastination peut également toucher des individus qui ont une mauvaise estimation de la notion du temps. Pour eux, cinq minutes sont une éternité, et ils ont l’impression que cette tâche, qu’ils vont repousser, va leur gâcher en grande partie leur journée. Elle prend une dimension temporelle surévaluée.
À l’inverse d’autres se disent, « oh je n’en ai que pour dix minutes, je le ferai demain », alors que cette tâche va leur prendre des heures.
Le souci de la perfection
D’autres auront tendance à repousser des tâches car ils sont trop dans la maîtrise. Ils veulent que le résultat soit parfait, et préfèrent ne rien faire plutôt que faire quelque chose de moyen. Et pour finir, ils ne font rien.
Quelles sont les conséquences de la procrastination ?
Sur soi-même
La procrastination engendre avant tout du stress et une forte culpabilité. En effet, même si la plupart des procrastineurs semblent nonchalants, ils sont tous conscients qu’ils n’ont pas fait ce qu’ils avaient à faire. Et plus ils reportent, plus ils paniquent, plus ils stressent et plus ils culpabilisent. Sans compter que ce qu’ils devaient faire finit par être mal, ce qui génère, en plus, de l’insatisfaction.
L’exemple le plus parlant demeure celui des étudiants qui attendent le dernier moment pour réviser avant un examen.
Vis-à-vis des autres
Les procrastineurs passent souvent aux yeux des autres pour des fainéants. Des personnes sans volonté, des faibles… L’image du procrastineur n’est pas bonne dans notre société où l’on doit montrer que l’on est au top. La procrastination est synonyme de faiblesse, de paresse. Dans le milieu professionnel, où l’on demande sans cesse d’anticiper… procrastiner est synonyme de « tire-au-flanc ».

Comment ne plus procrastiner ? Ou comment moins procrastiner ?
Vous l’aurez peut-être déjà compris : il n’y a, ni potion magique, ni méthode miracle. En plus, tout dépend aussi du stade où en est la personne. Voici quelques préconisations.
Ranger son espace
Un préalable est de se configurer un espace propre et rangé. En effet, faites l’expérience, mais on est beaucoup plus motivé quand on travaille dans un environnement où l’on se sent bien, et que l’on a soi-même rangé et adapté à nos habitudes. On éprouve toujours une certaine satisfaction.
Travailler sur son organisation
Le plus souvent, la procrastination est un problème d’organisation ou plutôt de « manque d’organisation ». Alors, si vous faites partie des grands procrastineurs, vous devez vous imposer d’avoir une meilleure visibilité de ce que vous avez à faire. La plupart des gens qui procrastinent se laissent un peu aller au gré du vent. Ils savent « en gros », ce qu’ils ont à faire, mais ils ne planifient rien.
En prévoyant et en organisant votre journée ou votre semaine, vous y gagnerez beaucoup.
Par exemple, si vous travaillez à votre compte, et que vous remettez systématiquement votre comptabilité aux calendes grecques parce que vous n’aimez pas particulièrement faire cela, eh bien vous vous obligez à vous fixer des plages horaires ou des jours dédiés à cette tâche. Le vendredi après-midi, par exemple, décidez de le consacrer à votre comptabilité : vous faites vos courriers, vos factures, vos suivis…
Si vous repoussez sans cesse d’aller faire vos courses, organisez-vous : fixez-vous un rythme régulier. Décidez de faire systématiquement vos courses, le lundi soir, par exemple. Vous serez tranquille toute la semaine.
Faire des to-do-lists
Dans le même esprit, vous pouvez également faire des « to-do-list » de votre semaine. Et chaque jour vous vous obligez à faire une tâche. Vous verrez que vous prendrez un certain plaisir à barrer la tâche que vous avez faite. Ce qui vous encouragera à faire la suivante, car inconsciemment vous savez qu’une fois toutes les notes barrées, vous vous sentirez bien.
Évaluez correctement le temps que vous allez passer sur la tâcheDès que vous vous dites, « bon, je le ferai demain », STOP. Immédiatement dans votre tête, posez-vous la question : combien de temps ça me prendrait de le faire tout de suite ? En effet, on remet parfois à plus tard des choses qui ne nous prennent que 5 minutes… Mais comme nous en avons l’appréhension, notre cerveau nous fait croire qu’elle va durer une heure. Un exemple, changer ses draps et sa housse de couette. Quand on n’aime pas faire cela, on a l’impression que ça va nous manger tout l’après-midi ! Alors que croyez-moi, montre en main, ça prend moins de 5 minutes.
Et si une tâche demande beaucoup de temps et d’énergie, découpez-la en plusieurs étapes. Et fixez-vous des délais pour les réaliser. À chaque étape réalisée, vous en tirerez de la satisfaction. Ce qui vous motivera.
Petit mot sur la procrastination positive
En même temps, il ne faut pas non plus être trop catégorique. Tout n’est pas à bannir dans la procrastination. Il est également important pour son bien-être de s’accorder de temps en temps le droit de procrastiner. En effet, il est bon, et même souhaitable, de temps en temps de se dire : Je le ferai demain ! Et sans culpabiliser. Tout est toujours une question de « juste milieu » dans la vie.
Que conclure ?
La procrastination est souvent une façon de s’autoprotéger. On ne veut pas quitter sa zone de confort, on s’y sent bien, et s’en éloigner fait peur. C’est aussi associé à une mauvaise estime de soi.
La plupart du temps, la procrastination conduit à du stress et à de la culpabilité. Il est clair qu’en essayant de moins procrastiner, on peut se sentir mieux. Mais dans un monde où l’immédiateté est devenue un véritable mode de vie, on a de plus en plus tendance à agir dans l’instant, et à ne plus hiérarchiser ce que l’on fait.
La solution qui demeure la plus efficace est sans aucun doute d’apprendre à s’organiser. La difficulté consiste ensuite à se tenir à ce que l’on s’est fixé. Pour cela, il faut beaucoup de volonté, et ce n’est pas évident pour tout le monde de la trouver.
Mais à mon avis, la procrastination n’est qu’un symptôme de quelque chose de plus profond. Et le meilleur moyen de s’en débarrasser, c’est de connaître le « pourquoi », on procrastine. Il faut donc travailler sur soi, prendre conscience que la procrastination nuit au bien-être, et mesurer tous les bienfaits que l’on peut tirer en modifiant certaines de nos attitudes.

-

Les bienfaits du magnétisme sur la cicatrisation
Aujourd’hui, j’aimerais aborder un sujet qui me tient tout particulièrement à coeur : la cicatrisation.
Cet article est destiné à celles et ceux d’entre vous qui sont concernés par ce problème, et qui en souffrent. En effet, nous sommes tous différents, et nous réagissons tous à notre façon, surtout pour ce qui concerne la cicatrisation. Certaines personnes se blessent et cicatrisent en quelques jours, tandis que pour d’autres, le processus prendra beaucoup plus de temps… Beaucoup trop de temps.
Je ne le savais pas encore auparavant, mais j’ai pu constaté que je faisais officiellement partie de ce dernier groupe pour lequel la cicatrisation donne l’impression de durer une éternité.
Bien sûr, tout dépend de l’endroit où se situe la blessure… Si elle est sur le corps et que le temps est hivernal, nous pouvons alors la cacher sans aucun souci. Mais, lorsque nous sommes marqués sur le visage, ce qui est mon cas, il est alors beaucoup plus compliqué de le cacher.
Après tout, est ce vraiment nécessaire de se cacher ? Je me suis souvent posée la question. À ce propos, je me suis dit que ce serait interessant de se pencher sur ce culte de l’esthétique. Je pense rédiger prochainement un article sur ce thème : Pourquoi les femmes s’obligent à un rapport si exigeant avec leur corps et pourquoi vouloir être toujours “mieux” que ce que l’on est ? À quoi bon ?
Mais en attendant, j’ai réagi un peu comme tout le monde, et j’ai voulu accélérer les choses.

Retour sur ma motivation
Pour vous rappeler les faits, j’ai subi une séance de laser YAG, en novembre dernier, pour éliminer d’anciennes cicatrices d’acné persistantes et très voyantes selon moi.
Je ne me suis pas lancée dans cette aventure à l’aveuglette. J’y ai pensé de façon plus ou moins évasive pendant quelques années, puis de façon très sérieuse quasiment tous les jours, l’année qui a précédé ma décision.
Retenez déjà que je savais ce que je voulais, et ce que je faisais.
Cependant, n’ayant jamais procédé à des traitements moins agressifs en amont (du type le peeling), il était quasiment certain que ma peau allait mal réagir. Et en effet, les brûlures liées au traitement laser ont du mal à cicatriser. Les médecins, que j’ai vus, m’ont expliqué que j’avais brûlé (c’est le cas de le dire), les étapes, et je prends conscience, avec du recul, que j’aurais dû procéder différemment.
Il aurait fallu que je commence par un peeling doux, puis un peeling un plus fort au TCA, et pourquoi pas par une microdermabrasion. Et ensuite, envisager le laser si les techniques précédentes n’avaient pas fonctionné.
Cela dit, ce qui est fait est fait, et revenir sur le passé ne changera pas la donne. Mais comme toute expérience de vie, j’en ai tiré une leçon… Il ne faut : ni être excessif, ni se montrer impatient. Le corps est fragile et ne doit pas être torturé. C’est notre meilleur ami, et nous devons nous y adapter.
Les étapes de ma cicatrisation après ma séance laser
La séance laser s’est déroulée le 15 novembre. Ma peau était brûlée à vif. Et cet état a perduré 4 longues journées et 4 longues nuits… Puis, s’est finalement formée une croûte superficielle sous laquelle on pouvait entrevoir de légères rougeurs.
Grâce aux crèmes que j’appliquais, la peau s’est refermée rapidement, ce qui a atténué considérablement la douleur.
Je m’étais mis en tête que les rougeurs auraient disparu, au bout de 15 jours maximum. En effet, comme beaucoup, je suis allée lire les expériences des gens sur les forums (la chose à ne pas faire, mais que l’on ne peut pas s’empêcher de faire), et la majorité des témoignages évoquaient ces fameux 15 jours.
Foutaise !! Deux mois, après je me retrouve toujours aussi rouge sans maquillage, et l’inflammation est encore bien visible sur l’épiderme.
Au bout d’un mois, j’avais quand même appelé mon médecin en urgence. Pour me rassurer, il m’avait répondu que cela pourrait durer entre 3 mois et 6 mois. Mais qu’en général, cela durait 3 mois. Il n’avait absolument pas l’air paniqué, mais MOI je l’étais ! Pour en avoir confirmation, j’ai consulté un autre médecin. Je suis allée voir un chirurgien renommé du 7e arrondissement de Paris. Il m’a finalement dit exactement la même chose que le dermatologue qui a pratiqué l’intervention.
Hypochondriaque… bonjour ! Lorsque vous avez un problème de santé, ne vous focalisez pas que sur lui. Cela devient obsédant et c’est une véritable prise de tête qui vous pollue le quotidien.
Pour résumé, il fallait juste que je sois patiente, et les taches finiraient par disparaître.
Accélération du processus de cicatrisation
Celles et ceux qui me connaissent, savent que j’ai un rapport à la patience plutôt très compliqué. Disons qu’il est très proche du stade 0. Ce qui, je dois le reconnaître, me dessert assez souvent.
Je me suis alors renseignée sur les méthodes qui existent pour accélérer le processus de cicatrisation.
Et je m’en suis tenue à 3 méthodes, ce qui me semblait déjà suffisant.
- Un apport en protéines – ” Les protéines sont un enchaînement d’acides aminés. Ces derniers sont indispensables pour le bon fonctionnement de l’organisme et ne sont pas produits directement par lui. Ce qui nous oblige à amener cet apport en protéines via l’alimentation. “
- Des applications d’Aloe Vera – ” L’Aloe Vera est une plante médicinale majeure pour soigner et protéger la peau. En usage externe, elle permet donc de lutter très efficacement contre les brûlures, les coups de soleil mais aussi les diverses maladies de peau (eczéma, prurit, psoriasis, acné), elle est extrêmement génératrice et protectrice.”
- Des séances de magnétisme – ” Le magnétisme repose sur la croyance en l’existence d’un fluide magnétique capable de circuler d’un corps à un autre, et permettant la transmission d’une énergie positive en vue de créer une sensation de bien-être. “
Et c’est de cette troisième méthode dont je veux vous parler, car c’est celle qui m’a le plus convaincue jusqu’à présent.
Après en avoir parlé dans mon cercle amical, la mère de l’une de mes amies m’a donné les coordonnées d’un bon magnétiseur. Elle avait fait appel à lui, suite à un énorme hématome qui était apparu suite à une chute. En 5 jours, il avait disparu ! Alors qu’il en faut au moins 20 en temps normal.

Qu’est ce que le magnétisme ?
Le magnétisme n’est pas une science certifiée que nous apprenons à l’école….
C’est un don que vous possédez ou non.
Ce qui peut paraître, je vous l’accorde volontiers, très lunaire… Pour ma part, j’y crois et je suis entourée de plusieurs personnes qui ont réussi à soigner de nombreux maux grâce à cette médecine dite ” alternative “.
J’ai donc pris rendez-vous avec monsieur Mariault, magnétiseur, dont le cabinet est situé dans le 17e à Paris.
Déroulement d’une séance
- La première étape consiste en un questionnement en vue de comprendre la raison de mon déplacement.
Quand je lui ai dit que je venais pour diminuer une brûlure liée au laser, il n’était pas surpris. 50 % de ses patients le consultaient pour cette raison. Il m’a alors fait part de son diagnostic. Je devais bénéficier de 4 séances pour atteindre le résultat que je m’étais fixé. Les 4 séances devant être espacées de 8 jours, à peu près.
Sur le moment, j’étais un peu dubitative… 4 séances espacées de 8 jours, cela faisait tout de même 1 mois.
Je partais du principe (sans fondement scientifique aucun) qu’après 1 mois, l’évolution naturelle de la cicatrisation pouvait également opérer, et que je ne verrais pas la différence entre une accélération de la cicatrisation due au magnétiseur ou due à la nature.
Mais il m’a assuré que compte tenu de mes taches encore bien présentes sur le visage, une cicatrisation naturelle en un mois relevait du domaine de l’impossible. J’ai donc accepté le protocole.
- Le praticien harmonise alors les températures entre sa main et le corps, avant d’apposer les mains sur la ou les zones à traiter. Je suis bien sûr restée habillée et assise sur une chaise. Ce que je ressens à chaque séance c’est une espèce de chaleur qui circule entre ses mains et mon visage.
- La séance dure environ 10 à 15 minutes. Ce qui ne prend pas trop de temps dans sa journée. En revanche, le tarif est quelque peu prohibitif, pour une pratique qui dure si peu de temps (70 €…).
Où en suis-je ?
À ce jour, j’en suis à 2 séances. Et je prévois, comme convenu avec monsieur Mariault, de réaliser les 4 séances qu’il m’a conseillé.
Croyez-moi, je commence à voir une différence notable sur les rougeurs, qui étaient bien plus imposantes, il y a encore quelques semaines. À ce rythme, je devrais être satisfaite d’ici la fin du mois de février. Et je ne manquerai pas de vous tenir informé !
Et cela tombe bien, car j’aimerais, comme tout un chacun, pouvoir profiter du retour des premiers rayons de soleil au printemps revenu !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

La sincérité : Une valeur sûre pour son bien-être
C’est le début de l’année, et nous pensons tous à prendre de bonnes résolutions ! Faire du sport, arrêter de fumer, faire un régime… Mais peu d’entre nous pensent à prendre des résolutions qui peuvent aussi changer considérablement notre vie, et qui concernent plutôt notre façon d’être. Par exemple, ne plus mentir, ne plus se mentir, ou plus largement être le plus sincère possible avec soi-même et surtout avec les autres.
Cela peut vous paraître étrange, mais s’il y a bien une résolution à prendre, c’est celle-là ! Car posez-vous quelques minutes… et demandez-vous si vous l’êtes ? Êtes-vous sincère ?
Avec l’émergence des réseaux sociaux, la pression sociale croissante, le monde du paraître, la sincérité se perd de plus en plus. Avouons-le ! Qui n’a pas déjà mis « un like » sur une photo Facebook ou Insta de l’une ses copines, voire un commentaire du type « trop belle », alors que vous pensiez l’inverse ? Bon, je vous l’accorde, dans ce cas, ce n’est pas très grave…
Mais si l’on généralise ces comportements et ces mensonges à notre vie sociale, professionnelle ou personnelle, cela peut vite devenir un piège qui peut se refermer contre nous. En effet, plus on ment, plus on rentre dans un cercle vicieux qui nous met parfois dans des situations inextricables.
Pour ce qui me concerne, cela fait quelques années que j’ai décidé d’être « sincère », et croyez-moi, je me porte beaucoup mieux depuis. C’est pourquoi, je vous conseille d’ajouter cette résolution à celles que vous avez déjà prises, il y a quelques jours. Et je vais vous dire pourquoi !

Tout d’abord, qu’est-ce que la sincérité ?
La sincérité, c’est à mon avis, avant tout, une façon de se comporter.
Dans les différentes définitions que l’on trouve dans les dictionnaires, les mêmes mots reviennent : vérité, authenticité, fidèle, franchise. Alors, si l’on devait résumer, on pourrait dire que la sincérité, c’est s’exprimer (ou communiquer) de façon fidèle à ce que l’on pense et à ce que l’on est. Autrement dit, c’est être en adéquation avec soi-même. Son antonyme le plus adapté étant l’hypocrisie…
Mais pourquoi est-on de moins en moins sincère ?
Les raisons sont multiples, mais disons que parmi toutes celles que l’on pourrait évoquer, deux se détachent plus particulièrement :
- La société nous oblige à nous montrer sous des angles qui ne nous ressemblent pas forcément.
- Pour rechercher des compliments, de l’attention.
Voyons cela plus en détail !
On est de plus en plus contraints à montrer une image positive de soi
Dire que l’on est de moins en moins sincère n’est pas forcément le terme exact, car peut-être que les gens ne l’ont jamais vraiment été. Mais, en tout cas, une chose est sûre, de nos jours, cela se remarque de plus en plus.
Pour en revenir à Facebook, une majorité de personnes essayent toujours de montrer qu’elles ont une super vie ! Quand on regarde le mur de certain(e)s de ses « ami(e)s », « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ». À croire que je suis la seule à avoir des coups de blues ou des problèmes…
Quelle hypocrisie… Certes, on n’est pas là non plus pour exposer ses problèmes à la terre entière, mais reconnaissons que la majorité des posts sont là pour épater la galerie… et ne reflète pas vraiment la réalité, ni la vraie vie.
Et en effet, aujourd’hui plus qu’hier, et que ce soit dans notre vie personnelle ou notre vie professionnelle, nous sommes tous tentés de mentir sur notre vie ou tout au moins de la parfaire, de l’enjoliver, pour être « autant que l’autre » ou « mieux que l’autre ». Toujours ces comparaisons aux autres…
Il ne faut SURTOUT pas montrer ses faiblesses. Il faut toujours faire croire que tout va bien.
Alors, on ment. On joue le jeu des autres…

Pour faire plaisir aux autres, pour plaire aux autres, pour se sentir aimé(e)
De même, on est souvent obligés de mentir et de ne pas être sincère pour tout simplement faire plaisir. Il ne faut pas heurter l’autre, de peur de le blesser ou de le vexer ! Bien sûr, toute vérité n’est pas bonne à dire, mais de là à dire l’inverse de ce que l’on pense, il y a sûrement un juste milieu.
Si votre copine a pris 10 kg, lui dire que cela lui va bien, ne lui rend pas service. Mais on a souvent peur de lui dire la vérité, car on a peur de faire du mal. Pourtant, c’est le contraire, car c’est sûrement pour elle, un problème. Et en parler lui ferait très certainement du bien !
Mais pour une majorité de gens que je connais, le manque de sincérité n’est pas volontaire. Le plus souvent, c’est lié à un mal-être. À un manque de confiance en soi. On n’ose pas dire ce que l’on pense de peur d’être rejeté(e) par les autres. Alors, on ne dit pas vraiment ce que l’on pense, pour être accepté(e), être aimé(e). On pense qu’en adhérant aux idées de l’autre, il nous respectera plus, il nous aimera plus. En effet, à court terme, ce n’est pas faux… Mais à long terme, c’est une belle erreur ! Car si ce sont des gens que nous sommes amenés à voir ou revoir régulièrement, notre masque finira par tomber… Et comme nous allons le voir ensuite, les conséquences ne sont pas négligeables…
Que se passe-t-il lorsque l’on n’est pas sincère ?
Le manque de sincérité envers soi-même
Là, l’exemple que l’on pourrait prendre est celui du domaine amoureux. Quand on tombe amoureux, on est prêt à tout pour avoir un retour. Et surtout à modifier une part de notre personnalité pour plaire à l’élu(e) de notre cœur. On fait des efforts… on fait des choses que l’on n’aime pas forcément faire, et on dit des choses que l’on ne pense pas nécessairement. Et parfois, cela fonctionne. Et dans ce cas, on n’est pas sincère ni avec l’autre ni surtout avec nous-même. Et au bout de quelque temps… patatras !
Car comme on dit « chasse le naturel, il revient au galop ». On finit toujours par redevenir nous-même. Et dès que cela arrive, les ennuis commencent. Résultat : fin de l’histoire, on a perdu notre temps.
Alors n’oubliez pas : « La sincérité ne consiste pas uniquement à dire ce que l’on pense mais aussi à penser ce que l’on dit. »
Le manque de sincérité envers les autres
Là, les exemples sont nombreux. Et l’objectif, ici, n’est pas de les lister mais de vous montrer que plus vous serez sincère, plus vous vivrez en paix. Je ne vous citerai donc que deux ou trois exemples.
Dans le domaine professionnel, notamment, on peut être amené quand on cherche un travail à se plier aux exigences du poste ou des qualités recherchées. Au cours d’un entretien, on va dire que l’on est mobile, que l’on aime les déplacements, par exemple, alors qu’au fond de nous, on est une pure sédentaire… Eh bien, ce manque de sincérité peut vite se transformer en calvaire si vous avez « déformé » la vérité ! Outre la perte de temps, le mal-être dans son poste, dans ce cas, on peut également ternir son image.
De même avec ses ami(e)s, cacher des vérités, enjoliver des situations, ne pas dire ce que l’on pense, se retourne toujours contre nous. Et pour finir, on perd ses amis, et là encore, on peut ternir son image et en souffrir.

Et pour finir… ce qui est plus grave, le manque de sincérité des autres peut aussi engendrer des problèmes dramatiques. Chez les adolescentes, par exemple, branchées h24 sur instagram, des dépressions graves ont été signalées. À force de regarder des images de filles qui ont des corps parfaits (trafiqués) et des scènes de vies idylliques, certaines se pensent moches et pas à la hauteur. À leur tour, elles essayent, en vain, de se créer une vie imaginaire, un corps de rêve. Elles veulent l’impossible, l’irréel, l’inatteignable, et elles finissent par tomber dans des dépressions sévères.
Conclusion
Ne pas être sincère, vous l’aurez compris, c’est mentir. C’est donc avant tout une question d’honnêteté envers soi-même et envers les autres. Les enfants ne mentent pas… Mais la vie nous apprend à mentir peu à peu pour obtenir des choses, pour plaire à maman ou à papa, pour être aussi fort que notre grand frère… Et voilà comment le manque de sincérité s’installe progressivement dans notre vie. Et pourtant, moins on est sincère, moins on est en accord avec soi-même, et plus on se mettra dans des situations, qui finalement se retourneront contre nous. Et, les conséquences peuvent être plus moins graves, mais en tout cas, elles nuisent toujours à notre bien-être.
Alors si vous vous reconnaissez, faites de la sincérité votre meilleure amie pour démarrer votre année 2019 en étant en paix avec CE que vous êtes vraiment, et avec CEUX que vous aimez vraiment !
-

CAP sur 2019 : Choisissez votre résolution.
Nous voici en 2019, nouveau départ, et comme d’habitude nouvelles résolutions !
La nouvelle année, c’est souvent une façon pour tout un chacun de se libérer du passé (et de ses mauvaises habitudes) et de recommencer sur de nouvelles bases en essayant d’être quelqu’un de “mieux”. Du moins, c’est parfois l’illusion que nous avons face à cette nouvelle ligne de départ.
Le mois de janvier, c’est aussi une période « d’amour » au cours de laquelle nous exprimons nos voeux et nos sentiments envers autrui. Qui n’a pas entendu les mots doux ci-dessous ?
“Bonne année à toutes les choses, au monde, à la mer, aux forêts.
Bonne année à toutes les roses que l’hiver prépare en secret.
Bonne année à tous ceux qui m’aiment et qui m’entendent ici-bas.
Et bonne année aussi, quand même, à tous ceux qui ne m’aiment pas.”Quoi qu’il en soit, se fixer des objectifs est essentiel pour avancer. C’est aussi une histoire de fierté personnelle. Dès lors que l’on est dans cette démarche, on se sent déjà mieux, comme si on s’aimait déjà un peu plus, je dirais.
Mais attention à ne pas se mentir… Se fixer des objectifs intenables, comme une liste de 10 résolutions, ne sert à rien, bien au contraire… Mieux vaut se fixer un objectif et l’atteindre, que 10, et n’en atteindre aucun. Alors fixez-vous, une et une seule résolution, et donnez-vous à 100 % pour la tenir.
Vouloir à la fois arrêter de fumer, se mettre au sport, arrêter de procrastiner, se fixer un voyage, c’est très certainement un peu prétentieux. Mieux vaut être réaliste et moins exigeant.
Dans cet article, je vous ai dressé une liste de résolutions classées par thématique. Ce ne sont bien sûr que des propositions. À vous de vous les approprier, en fonction de votre personnalité.
« L’essentiel n’est pas de vivre, mais de bien vivre »
Dormir plus
C’est essentiel : respectez-vous et tentez de dormir au minimum 8 heures par nuit. Votre corps vous le rendra au centuple. Très souvent, on imagine que l’hygiène de vie passe par la nourriture. Certes, ce n’est pas faux. Mais le sommeil est prioritaire, d’autant que lorsque l’on manque de sommeil, on a plus tendance à manger en plus grandes quantités.
Boire plus
Même si l’on a moins soif en hiver, je vous l’accorde, il est important de continuer à s’hydrater de la même façon qu’en été. En effet, avec le froid, le corps se dessèche considérablement, et il est primordial de boire au minimum 1,5 litres de liquide par jour. Je vous conseille de vous préparer des smoothies dès le réveil, ainsi qu’un jus de citron tiède. Vous démarrerez alors la journée avec déjà une dose correcte de liquide.

Utiliser un humidificateur chez soi
Je n’avais pas vraiment conscience de l’apport d’un humidificateur avant que l’on ne m’en parle et que je lise des articles sur ce sujet. Eh bien, je fais toute la différence depuis que j’en utilise un. Je suis beaucoup moins malade et mon sommeil s’est nettement amélioré.
S’inscrire à une course à pied
Pour ma part, je me suis inscrite à un marathon cette année. Rien que le fait de m’entraîner régulièrement pour cette épreuve, somme toute difficile, me procure de bonnes sensations et des vibrations positives. C’est un véritable challenge et je ne suis pas certaine de relever ce défi…, mais je suis déjà très fière de moi que de m’être inscrite.
Aller voir un magnétiseur
J’ai déjà écrit un article sur mon blog sur deux jeunes femmes superbes qui font des miracles en la matière. C’est idéal en cas de manque de motivation et de petit coup de mou. Elles font en sorte que vos énergies circulent mieux dans votre corps.
J’ai rendez-vous demain avec un autre praticien qui est situé dans le 17e arrondissement de Paris. Je souhaite qu’il m’aide à accélérer le processus de diminution de mon inflammation sur le visage (liée au laser ablatif). Je vous écrirai un article sur cette expérience et vous donnerai ses coordonnées, si bien sûr, ça fonctionne !
Faire de la méditation
La méditation n’est pas “seulement” un phénomène de mode. C’est une méthode qui a été éprouvée en termes de bénéfices sur la santé mentale. Pratiquer un peu de méditation avec l’application “Petit Bambou”, chaque jour, peut être une solution pour aller mieux. Ce serait une ” sage ” résolution…

Se reposer en cas de fatigue sans aucune culpabilité
On parle toujours de procrastination lorsque l’on prend l’habitude de tout remettre au lendemain. Cela dit, se reposer en cas de grosse fatigue au lieu de répondre à ses objectifs du jour, ne doit pas engendrer de la culpabilité. D’autant que vous ne serez pas efficace. Alors faites de 2019, une année sans culpabilité.
Un soin du visage tous les 1 mois et demi
Avec la pollution très présente à Paris, il est essentiel de prendre soin de son visage. Alors, parfois on y pense, mais on a souvent tendance à négliger l’importance de faire des soins. Pourtant, il existe de nombreux endroits où l’on peut faire de très bons soins du visage à des prix attractifs à Paris. Et si vous ne pouvez pas, commencez déjà par bien vous démaquiller et vous nettoyer le visage le soir, et de l’hydrater quotidiennement.
Se mettre au sauna
Les bienfaits du sauna sont nombreux et apportent surtout une relaxation simple et accessible à l’ensemble du corps. Et aujourd’hui, nous avons la chance de trouver des saunas accessibles facilement dans les salles de gym, par exemple. Je vous conseille de faire 3 sessions de 15 minutes, en vous douchant à l’eau froide, entre chaque session.
Mettre au repos son estomac
Depuis quelque temps, j’essaie de faire en sorte de reposer mon estomac, durant 13 heures au minimum. Je dîne vers 19 heures et je ne petit-déjeune pas avant 9 heures. Vous vous sentez tellement plus léger au réveil. Je me suis organisée pour travailler de chez moi, jusqu’au petit déjeuner, de façon à me préparer un succulent encas plein de fibres et de vitamines, que j’absorbe avec délectation, à 9 heures pétantes !

Penser aux protéines alternatives
J’ai renoncé à manger de la viande, et je suppose que d’autres personnes sont dans le même cas que moi. Aussi, et pour pallier le manque de protéines, j’ai trouvé, récemment, en magasin bio, une petite perle qui s’appelle ” l’Éveil du Bouddha “. C’est une poudre que vous mélangez à du lait végétal (ou même du lait de vache si vous préférez) et qui est un délice pour les papilles. Elle existe sous différents parfums : ma préférée est celle au cacao.
Diminuer le temps d’écran sur le téléphone au profit d’un livre
Il est difficile de trouver du temps pour lire un livre, je vous l’accorde ! En revanche, nous en trouvons pour le passer sur notre écran de téléphone … Et si vous avez un IPhone, vous avez désormais droit à un rapport quotidien du temps passé sur votre écran… et c’est assez alarmant. Et si nous tentions de diminuer le temps passé à cette ” activité ” ? En la divisant par deux, on pourrait déjà, à nouveau lire ou rire !
Se mettre à la sophrologie
Ce n’est pas parce que je suis sophrologue que je vous encourage à essayer la sophrologie. C’est surtout parce que vous y mettre vous fera un bien fou. Croyez-moi, c’est presque magique. La respiration est la clé du bien-être. Alors, essayez !
« Le langage structure tout de la relation humaine »
Être plus gratifiant envers soi et envers les autres
Apprenez à dire MERCI ! Cela semble évident, mais pas tant que cela. On prend l’habitude d’évoluer avec ceux qui nous entourent, et sans même que ce soit volontaire parfois, on oublie de dire Merci. Pourtant, être reconnaissant envers les gens qui nous accompagnent au quotidien est la moindre des choses. Le leur dire leur fera un bien fou. Et à vous aussi d’ailleurs. Il faut être conscient que c’est une véritable chance d’être soutenu. Alors, on ose dire merci, mais surtout, on y pense !
Avouer à une personne qu’on l’aime
Sans amour la vie ne mérite pas d’être vécue… C’est, en effet, le Saint Graal pour avancer et être en paix avec soi-même. En ce début 2019, avouez aux personnes qui vous sont chères que vous les aimez, mais surtout à votre bien aimé(e) caché(e) ou pas. Il faut mettre sa fierté de côté pour être en accord avec soi-même. Qu’avons-nous à perdre ?
Faire preuve de sincérité en toute circonstance
La sincérité est le pilier de toutes les relations. Sans elle, il est impossible d’avancer. Soyez toujours sincère avec les autres, et par la même occasion avec vous-même. Je vous invite à lire mon article sur ce thème (qui m’est très cher) et qui sera très prochainement publié !
Renouer avec un vieil ami
Il est possible qu’un vieil ami vous ait fait du mal… beaucoup de mal. Et si vous faisiez un effort pour analyser la situation… Et si cette personne était quelqu’un de bon qui vous a blessé(e) sans le vouloir, lui pardonneriez-vous ? Débarrassez-vous de vos rancoeurs.

« Le voyage est un retour vers l’essentiel »
Prévoir un road trip
Il est temps pour vous de voyager et de parcourir le monde. Contrairement à ce que l’on pense, le voyage n’est pas une question de chance mais réellement d’envies. Si l’on a vraiment envie de voyager, c’est toujours possible.
Découvrir l’Afrique
C’est encore un continent méconnu de la plupart des gens. Et pourtant et j’ai beaucoup voyagé ! C’est en Afrique que vous pourrez découvrir les plus beaux paysage du monde !

« Le plus grand échec est de ne pas avoir le courage d’oser »
Faire du camping
“L’aventure est dans chaque souffle de vent” ! Faire du camping permet de découvrir de nombreuses facettes que nous ne connaissons pas toujours ! La vie en société, la vie sans confort… et plein d’autres choses encore…
Monter le Kilimandjaro
“Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même… On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues…”. Certes, ce n’est pas donné à tout le monde… Mais quelle merveilleuse aventure !
Sauter en parachute
“La vie est un voyage en parachute.” Ok, ok… Mais un vrai saut en parachute… ça décoiffe ! Ça par exemple, ce peut être une deuxième résolution que vous pouvez programmer dans l’année.
Voyager seul
“ La solitude est un art ”. C’est lorsque l’on est fasse à soi-même que l’on apprend le plus de choses.
Vivre à l’étranger au moins une fois dans sa vie
“Rien ne développe l’intelligence comme les voyages”. Honnêtement, c’est le must du must pour s’ouvrir l’esprit.
Démarrer une entreprise
“Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour, quelqu’un a pris une décision courageuse.”. Aujourd’hui, si vous avez une passion (et quelques compétences tout de même), rien de plus facile que de vous lancer dans l’aventure de l’entrepreunariat.
« Connais-toi toi-même »
Avoir toujours un livre de chevet à portée de mains
“La lecture est l’apothéose de l’écriture”…
Apprendre une deuxième langue
De nos jours, il existe de nombreuses méthodes pour apprendre une nouvelle langue à des prix attractifs. Plus besoin de passer par des organismes qui vous feront payer des tarifs exorbitants. Vous pouvez même apprendre une langue grâce à des formules en ligne gratuites ou des applications téléchargeables.
Aller seule au cinéma
Croyez-moi ou non mais c’est une bulle de confort absolu. Personne pour vous parler durant le film, ou pour vous piquer vos pop-corps (rires). Des émotions au plus profond de nous-même.
Écouter des podcasts comme « Nouvelle École »
Mon podcast de l’année ? Vous le trouverez principalement sur Apple Podcast mais aussi sur YouTube.

« Le bonheur est né de l’altruisme »
Donner son sang
“Évalue ta richesse à l’importance de ce que tu donnes.”
Avoir un animal de compagnie et lui donner beaucoup d’amour
“On n’est jamais aussi heureux que dans le bonheur qu’on donne. Donner, c’est recevoir.” C’est une sacrée résolution mais que de bonheur !
Faire du bénévolat
“Donner est un plaisir plus durable que recevoir, car celui des deux qui donne est celui que se souvient le plus longtemps.”
« La nature donne les mouvements, et l’art les enseignements »
Aller plus souvent à la campagne
Souvent, on se trouve des excuses pour ne pas bouger ! Et pourtant, vous pouvez aller vous aérer l’esprit et prendre l’air sans avoir de maison de campagne. Il existe de nombreuses promenades en forêt, et non loin de Paris. Je suis tombée récemment sur un article qui m’a donné quelques idées de balades : https://www.lesothers.com/11-randonnees-paris/?fbclid=IwAR3tSCvkNpU3BRsm121lAIZreJTpt38APM6g_CGBqPGraQxvjSM5osioM3o
Acheter des plantes et leur donner de l’amour
Il est prouvé que lorsque vous parlez à vos plantes et que vous vous montrez bienveillantes envers elles, elles poussent plus vite. Faites l’expérience, c’est intéressant !
Trier ses poubelles
Et si nous terminions par une résolution écologique ? Certes, ce n’est pas évident de le faire tous les jours, mais pas impossible non plus. Prévoyez chez vous deux poubelles, une pour le verre et une pour le reste au minimum. Le compost est intéressant et marrant à faire aussi. “Le compost est économique et gratuit. À la maison, chacun de nous peut rediriger une bonne partie des déchets destinés à la poubelle vers le tri sélectif (verre, papier, carton, plastiques, textiles, boites de conserves…). Après ce tri, la moitié de la portion qu’il reste, est composée de déchets organiques compostables. Il s’agit aussi bien du trognon de pomme que du restant de repas, du marc de café avec son filtre ou encore des épluchures de pomme de terre et les feuilles de journal qui l’entourent sont des déchets.”

Alors ? Quelle résolution avez-vous choisie ?
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
-

Et si nous nous libérions de nos attentes ?
En ce début d’année 2019, j’ai envie d’évoquer avec vous, un sujet qui me tient à cœur. Il s’agit de l’attente. Pas n’importe laquelle, l’attente qui nous rend dépendant, qui nous torture l’esprit, et qui par là même occasion nous fait le plus souvent souffrir.
Car en effet, comme nous allons le voir, il y a différents types d’attente. Certaines sont plutôt saines, et peuvent même être source de joie, mais d’autres sont carrément nocives et engendrent une véritable souffrance. Surtout celles que nous éprouvons envers les autres, et parfois même celles que nous éprouvons envers nous-même. Mais étonnement, les attentes que nous éprouvons envers les autres sont bien plus importantes que celles que nous avons envers nous-même.
Et pourtant, attendre des autres, si nous y réfléchissons… c’est mettre notre bonheur entre leurs mains. Comme s’il en dépendait. Quelque part, c’est donc ne pas maîtriser sa vie.
Et bien sûr, si nos attentes ne sont pas satisfaites, nous en souffrons, et parfois de façon cruelle, surtout dans le domaine amoureux, par exemple. Et plus nous sommes sensibles, plus c’est difficile.
Alors comment faire pour se libérer de ce fardeau ? Quelles sont les conséquences de tant attendre des autres ? Ne devons-nous pas être maître de notre vie ? Et à cette dernière question, la réponse est : oui, en tout cas pour ma part. Car, même si je suis encore jeune, j’ai appris qu’il était indispensable de faire en sorte de vivre pour soi, ou tout au moins d’essayer d’écouter la petite voix qui est nous, et qui nous guide vers ce que nous voulons vraiment. C’est en tout cas, à mon humble avis, le chemin du bonheur.
Les différents types d’attentes et ce qu’ils engendrent
Ce n’est pas si facile de définir l’attente. Pour simplifier, on pourrait dire que l’attente est « un état dans lequel on est » en espérant que quelque chose arrive ou que quelqu’un fasse quelque chose. C’est aussi « compter » sur quelqu’un ou sur quelque chose pour satisfaire nos attentes. Et pensez-y : on ne vit qu’avec des attentes. Essayons de distinguer les attentes et leurs effets.

Attendre que quelque chose arrive ou que quelqu’un fasse quelque chose
Dans ce premier cas, il s’agit d’attendre quelque chose qui est plus ou moins prévu. Et l’attente peut parfois être agréable. En effet, par exemple, moi qui adore faire des treks, dès lors que j’ai décidé d’en faire un, je brûle d’impatience que la date de départ arrive. Et dans ce cas, l’attente est, disons-le, plutôt excitante. C’est comme quand nous étions enfants et que nous attendions le Père Noël ! Ces attentes sont plutôt positives car lorsque la chose attendue arrive, nous éprouvons une véritable joie. C’est alors une source de bonheur. Ne dit-on pas : « plus on attend, meilleur c’est ? »
En fait, dans ce cas, c’est plus une question de patience, que de résultats. On connaît le résultat et on se contente de l’attendre.
Mais alors, pourquoi l’attente n’est-elle pas toujours source de joie ? Parce que dans le type d’attente précédent, comme je vous l’ai dit, on connaît le résultat : la notion d’incertitude est très faible. On ne doute pas ou alors très peu. On est quasiment certain que l’évènement se produira. Mais dès lors que l’incertitude devient importante, le doute grandit, la peur augmente, et on finit par souffrir. C’est souvent ce qu’il se passe dans le deuxième cas.
Compter sur quelqu’un ou sur quelque chose pour satisfaire nos attentes
Et en effet, dans ce deuxième cas, quand l’attente ne dépend pas de nous, et quand on « compte » sur quelqu’un pour satisfaire notre propre attente, ou que l’on attend que les choses viennent des autres ou nous tombent du ciel, là, l’attente est en fait une véritable source de stress. On vit dans le doute, dans l’incertitude. En fait, on veut que quelque chose arrive mais ça ne dépend pas de nous. Dans le travail, souvent, on se fixe des objectifs très élevés, mais malheureusement, et même si on est très consciencieux, ce n’est pas évident de les atteindre… On vit alors dans le stress, l’angoisse, la peur… Ce qui peut aussi engendrer une perte de confiance en soi !
Ou alors, dans sa vie sentimentale, on espère toujours quelque chose de la part de son amoureux. Qu’il dise ceci, qu’il fasse cela… Et, là c’est encore pire, si l’autre ne réagit pas exactement comme on le souhaite, on éprouve alors de la déception, de la tristesse, car nous ressentons de la frustration.
Et des exemples comme cela, il y en a des centaines, et dans tous les domaines de notre vie.
Sommes-nous tous égaux face à l’attente ?
Non, sûrement pas ! En général les gens qui sont dans l’attente et qui en souffrent le plus, sont des personnes qui veulent tout contrôler, qui sont dans la maîtrise. Ils ont aussi le souci de la perfection. Ils pensent qu’en agissant sur les choses, ils vont les modifier.
Et plus ils auront agi, plus ils attendront que le résultat corresponde à ce qu’ils voulaient. Et moins le résultat sera là, plus ils souffriront.
En fait, quand on est trop dans le contrôle, c’est que l’on manque d’estime de soi, et de confiance en soi. On recherche alors à « prouver que ».
Aussi, nous ne sommes pas égaux face à l’attente. Plus notre estime de nous est abîmée, plus on souffre face à des attentes inassouvies.
Mais que faire ?
Il faut accepter (mais surtout comprendre) le fait que le résultat de quelque chose ne dépend pas de nous, en tout cas pas seulement. Sauf quand cela nous concerne directement. On est alors maître des décisions que l’on prend et des résultats. Par exemple, quand on décide de faire un régime, on est seul responsable des résultats. Mais dès lors que le résultat implique d’autres personnes ou de notre environnement, on ne maîtrise jamais les choses. Et on a beau se mettre en quatre pour atteindre notre objectif, on n’a pas le pouvoir d’influer sur les autres, sur leur façon d’agir ou de penser.
Il faut alors lâcher prise. Apprendre à se dire que de notre côté, on a fait notre possible. Avoir bonne conscience, et si on n’a pas le résultat escompté, se dire que ce n’est pas notre faute.
Mais rassurez-vous, je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire !
Quels sont les bénéfices à vivre sans attente ?
Vous l’aurez compris, on a tout intérêt à apprendre à limiter nos attentes. Je ne dis pas les supprimer, car c’est impossible de ne plus avoir d’attentes ! Sauf si on décide d’aller se retirer dans un temple bouddhiste (rires).
En fait, déjà, il faut prendre conscience que, lorsque l’on vit dans l’attente, on ne profite jamais du moment présent. Les gens qui sont dans l’attente sont focalisés sur le futur, en imaginant sans cesse des hypothèses qui finissent par polluer le cerveau. Exemple encore dans la vie professionnelle en tant qu’autoentrepreneur : vous avez des clients le jour J, mais on s’inquiète toujours de ce que sera le mois suivant. Non pas qu’il ne faille pas le faire, car en effet, il faut se préoccuper du mois suivant. Mais en général, on pense plus au mois suivant qu’à la satisfaction d’avoir déjà un client le jour J. Ce qu’il faut c’est déjà savoir apprécier le jour J. Que cette satisfaction soit supérieure au stress engendré par le mois suivant.

Dans sa vie amoureuse, et quand on est vraiment amoureux, c’est plus difficile. Dès que les sentiments s’en mêlent, il est presque inévitable qu’une attente se crée. On est dans l’espoir que l’autre éprouve les mêmes sentiments, et on espère(attend) surtout de lui qu’il le montre. Le problème, c’est que l’on espère que l’autre agisse strictement comme nous ne le faisons ou comme nous nous le voulons. S’il le fait, on est comblée, s’il ne le fait pas, on est déçue, et parfois cela fait mal. Or l’autre n’est pas nous. On donne souvent en espérant (en attendant) d’avoir quelque chose en retour. Et il faut apprendre à donner sans espérer que l’autre fasse la même chose. Là encore, c’est plus difficile à faire qu’à dire.
Mais une chose est sûre, moins notre vie dépend des autres et de ce que pense les autres, moins on risque d’être déçue. Vivre avec moins d’attentes nous permet déjà d’apprécier le moment présent, de prendre de la hauteur, d’apprécier la vie comme elle vient.
Conclusion
Apprendre à ne plus attendre permet d’être plus en paix avec soi-même. Bien sûr, et je vous l’accorde, ce n’est pas évident. Mais vivre sans attente, c’est aussi accepter la réalité telle qu’elle est, et s’épargner beaucoup de déceptions, de colère, de souffrances, de frustrations.
Moins on a d’attentes plus on se sent libre, et moins on souffre. On apprend à apprécier ce que l’on a, et non pas à ne penser qu’à ce que l’on n’a pas. Les frustrations s’estompent, et peu à peu, on s’aperçoit que vouloir tout contrôler est absurde car irréalisable.
Limiter nos attentes, c’est augmenter notre liberté !
La sophrologie peut aider dans ce but là, pensez-y !

-

Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !
Vous êtes gourmand ? Vous êtes curieux ? Vous ne savez pas vraiment où aller selon votre humeur? Cet article est fait pour vous.
Alphonse Daudet disait ” La gourmandise commence quand on a plus faim “, mais il est encore plus plaisant d’aller au restaurant quand la faim nous prend. Pour ce qui est de la gourmandise, c’est à l’heure du goûter que l’on prendra plaisir à s’y attarder.
Vous habitez Paris, vous adorez la gastronomie et parcourir les plus belles rues de la capitale pour y découvrir de nouveaux lieux ? Alors, réjouissez-vous ! Vous faites partie des hédonistes, ceux qui aiment profondément la vie et le plaisir.
Cependant, force est de constater que nos envies varient selon la saison, selon notre humeur et surtout selon qui nous accompagne… Et ce n’est pas toujours facile de trouver le lieu qui correspond à nos états d’âme. De même, nous n’aurons pas les mêmes envies, si nous sommes seul(e), entre ami(e)s ou en amoureux !
Alors, ayant parcouru la capitale avec les mêmes états d’ésprits que vous, j’ai eu envie de vous partager des idées de restaurants en fonction de votre mood du moment. Je sais, c’est l’hiver, et l’hiver c’est parfois compliqué d’avoir envie de sortir de chez soi, et pourtant, croyez-moi ou non, c’est important de vous aérer l’esprit, et surtout de vous faire plaisir.
Nous avons une chance inouïe d’habiter la capitale avec un choix presque illimité en termes de cultures et de restaurants. Il est d’ailleurs souvent difficile de faire un choix parmi cette panoplie de lieux gourmands !
Outre les restaurants que nous allons évoquer, et que j’ai pu tester et approuver, je vous conseille l’application @Dojo sur laquelle sont répertoriés une multitude de restaurants classés par thématique.
De mon côté, tout comme beaucoup de jeunes de mon âge, j’ai une affection plus prononcée pour les 2e, 3e, 9e, 10e et 18e arrondissements. La majorité des restaurants que je vous conseille se situent dans ces quartiers magiques. C’est également l’occasion de les visiter seul(e) ou en amoureux en guise d’apéritif ou de digestif !
Dimanche, c’est jour de brunch
Que la journée soit pluvieuse ou plus lumineuse (ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas à Paris), le dimanche, c’est jour de BRUNCH. On oublie la déprime dominicale, on ne se trouve pas d’excuses, on se remue, et on profite de cette journée pour se faire plaisir et découvrir quelques adresses incontournables.
-
-
-
- Les Bonnes soeurs, 8 Rue du Pas de la Mule, 75003 Paris
- Bénédicte, 19 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris
- Le China, 50 Rue de Charenton, 75012 Paris
- Holly Belly, 5 Rue Lucien Sampaix, 75010 Paris
- Klay Saint Sauveur, 4 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris
- Marlette, 63 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris
-
-

Avec sa “target”
Un dîner ou un déjeuner pour faire connaissance ? Avouons-le, ces prémices font partie des moments les plus agréables dans le couple. Ces premiers rendez-vous où l’on se découvre peu à peu, où chaque minute est un délice de plaisir indéfinissable. Quoi de plus agréable que de partager dans l’intimité quelques petits plats succulents ? Voici mes recommandations :
-
-
-
- Chez nous,10 Rue Dauphine, 75006 Paris
- Le Chalet des Iles, Bois de Boulogne
- Favela Chic, 18 Rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris
- Grazie, 91 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
- Eperozzo, 49 rue Pierre Charron, 75008 Paris
- Septime, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris
-
-
C’est merveilleux quand on est amoureux
L’amour, l’amour, l’amour … À tous les amoureux qui ont la chance d’habiter Paris, profitez autant que possible de la ville de l’Amour. Et même si vous n’habitez pas Paris, vous y viendrez peut-être en amoureux ! Quoi de plus romantique que de se programmer un tête à tête dans l’un de ces fabuleux lieux qui honorent la plus belle ville du monde ?
Il existe dans cette merveilleuse capitale un nombre incroyable de lieux et de restaurants à découvrir en compagnie de votre âme soeur. Difficile de faire un choix, et impossible de tous vous les citer ! Voici ceux qui ont retenu mon attention lorsque j’étais très très amoureuse.-
-
-
- Le Kong, 1 Rue du Pont Neuf, 75001 Paris
- Maison Maison, Face au, 16 Quai du Louvre, 75001 Paris
- Hôtel Amour, 8 rue de Navarin, 75009 Paris
- Les Ombres,27 Quai Branly, 75007 Paris
- Soma, 13 rue de Saintonge, 75002 Paris
- L’oiseau blanc, 19 Avenue Kléber, 75116 Paris
-
-

Et si nous parlions des hommes, des vrais !
Les hommes, tout comme les femmes, adorent se retrouver entre eux, et ils apprécient particulièrement la bonne cuisine. Ils ont, en plus, moins d’états d’âme que nous à se délecter : il est tout de même plus rare d’entendre de la bouche d’un homme qu’il fait attention à sa ligne (même si c’est parfois le cas). Et souvent, leurs choix de restaurants sont souvent plus gourmets que les nôtres. Alors, messieurs, voici quelques bonnes adresses !
-
-
-
- Chez Volver, 34 rue Keller, 75011 Paris
- Ober Mama, 107 Boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris
- Le relais de l’entrecôte, 101 boulevard du Montparnasse, 75006 Paris (il en existe plusieurs)
- Le barbe à papa, 18 Rue Condorcet, 75009 Paris
- Pollop, 15 Rue d’Aboukir, 75002 Paris
- Candelma, 73 Rue de Seine, 75006 Paris
-
-

La bonne nourriture fait aussi la belle créature
Manger sainement, c’est en effet à la mode, mais pas que ! Il est prouvé que lorsque nous mangeons sainement, les répercussions sur le corps et l’esprit sont incommensurables. Non seulement nous gardons la ligne, mais nous améliorons notre forme, notre digestion, notre capacité à cicatriser et bien d’autres choses encore ! Alors pourquoi hésiter quand on peut manger sain et bon ?
-
-
-
- Maison Sauvage, 5 Rue de Buci, 75006 Paris
- Season, 1 Rue Charles-François Dupuis, 75003 Paris
- Primeur, 4 Rue Lemon, 75020 Paris
- Le potager de Charlotte, 12 Rue de la Tour d’Auvergne, 75009 Paris
- Les bols de Jean, 2 Rue de Choiseul, 75002 Paris
- Wild & The Moon, 55 rue Charlotte, 75003 Paris (il en existe plusieurs)
-
-

La fièvre du samedi soir entre femmes
Les femmes sont particulièrement bavardes… et c’est peu de le dire! Quand un homme explique quelque chose en 2 mots bien précis, les femmes racontent la même chose en 372 mots. Nous aimons les petits détails croustillants, et nous l’assumons pleinement !
C’est pourquoi nos soirées durent aussi plus longtemps, nous avons tant de choses à nous raconter. Alors voici 6 lieux incontournables dédiés aux femmes. À la fois confinés et chaleureux, vous vous y sentirez tellement bien que vous y passerez de longues heures à papoter de tout et surtout de rien (rires).
-
-
-
-
- Yoom, 20 rue des Martyrs, 75009 Paris
- Les Chouettes, 32 Rue de Picardie, 75003 Paris
- La Bocca della Verità, 2 Rue du Sabot, 75006 Paris
- Pink Mama, 20bis Rue de Douai, 75009 Paris
- La Mangerie, 7 Rue de Jarente, 75004 Paris
- Clamato, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris
-
-
-

L’heure du goûter, c’est précieux
Il n’y a pas d’âge pour apprécier les bonnes choses et notamment le goûter. Tout comme il n’y a pas d’âge pour aimer Noël, et surtout pour croire au Père Noël. Quoi de plus attirant qu’une pâtisserie ? Quel plaisir de les contempler. Elles nous narguent… On a souvent l’impression qu’elles n’attendent que nous ! Encore faut-il qu’elles soient bonnes. Les grands pâtissiers se font la part belle de nos jours, et à juste titre. Mais sachez que l’on trouve également d’excellentes pâtisseries dans certains coffee-shop, qui ne payent pas forcément de mine, vus de l’extérieur. Et voici mes endroits à pâtisseries préférés.
-
-
-
-
- Le Loire dans la théière, 3 Rue des Rosiers, 75004 Paris
- Ibrik, 43 Rue Laffitte, 75009 Paris
- Pâtisserie salon de thé Yann Couvreur, 23 bis rue des Rosiers, 75004 Paris (il en existe plusieurs)
- La patisserie Cyril Lignac, 55 boulevard Pasteur, 75015 Paris (il en existe plusieurs)
- Le 86 champs de Pierre Hermé, 86 Av. des Champs-Élysées, 75008 Paris
- Angelina, 226 rue de Rivoli, 75001 Paris (il en existe plusieurs)
- Alma the Chimney Cake Factory, 59 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
-
-
-

Plus c’est tamisé, mieux ce sera !!
Et si vous recherchez un restaurant, comment dire…, plus discret, moins lumineux, dans lequel vous vous sentirez plus à l’aise pour éventuellement cacher quelques petites (ou grosses) imperfections, sachez qu’il en existe aussi ! Ce serait dommage de rester enfermé(e), et de vous priver d’un bon petit repas, alors que vous pouvez très bien éviter que tous les regards se portent sur vous. Lumière tamisée garantie, on déstresse ! Personne ne remarquera vos petits boutons ou ne verra que votre jean est un peu (beaucoup) trop serré…
-
-
-
-
- Kadawari Ramen, 29 Rue Mazarine, 75006 Paris
- Mama Shelter, 109 Rue de Bagnolet, 75020 Paris
- Miss Ko, 49-51 Avenue George V, 75008 Paris
- Brasserie Barbès, 2 Boulevard Barbès, 75018 Paris
- L’Alcazar, 62 Rue Mazarine, 75006 Paris
- Les petites écuries, 40 Rue des Petites Écuries, 75010 Paris
- Derrière, 69 Rue des Gravilliers, 75003 Paris
-
-
-

Et pour sortir … !
Et bien sûr, on ne rentre pas directement après le restaurant ! Allez boire une verre s’impose. Là encore, les bonnes adresses sont nombreuses, et si vous êtes en mode “festif”, je vous conseille quelques adresse méconnues et qui valent le détour. Ce sont des bars dits “clandestins”… Vous ne serez pas au bout de vos surprises… Vous entrez dans un lavomatic, un garage…, et derrière une autre porte, se cache… un bar. Franchement, allez-y, vous ne serez pas déçu(e).
-
-
-
-
- Le Gravity, 44 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris
- Le très particulier, 23 Avenue Junot, 75018 Paris
- La Candelaria, 52 Rue de Saintonge, 75003 Paris
- Pavillon du lac, Place Armand Carrel, 75019 Paris
- La Mezcaleria, 13 Boulevard du Temple, 75003 Paris
- Fine mousse, 4 bis Avenue Jean Aicard, 75011 Paris
-
-
-

-
-

25 idées de cadeaux – 100 % bien-être
Qui a dit que les cadeaux s’offraient forcément pour les fêtes, anniversaires, mariages, naissances ou que sais-je ? Sachez que des petits cadeaux, c’est toute l’année qu’on peut s’en faire. Seulement, on n’y pense pas tout le temps… Alors, à l’heure où les fêtes de fin d’année ne sont plus qu’un lointain mais ô combien agréable souvenir, je vous ai concocté une liste parfaite de cadeaux afin que vous n’ayez plus à vous retourner la tête à trouver LE cadeau parfait à offrir à vos amis, collègues, conjoints.es, ou autre en temps voulu (ou pas, d’ailleurs). Il s’agit de cadeaux parfois mixtes et souvent uniquement féminin (sans discrimination aucune Messieurs), en rapport avec le bien-être, en cohérence avec ce que j’affectionne le plus au quotidien ainsi que mon domaine professionnel.
J’ai testé l’intégralité de ces idées, raison pour laquelle je vous les conseille avec joie et satisfaction.
Beaucoup de ces cadeaux donnent l’impression que nous pouvons les dénicher uniquement dans notre douce capitale et pourtant vous trouverez une équivalence un peu partout en France, et beaucoup de ces surprises sur internet (le rapport pratique au web dans ce genre de situation!)
A vos marques, prêts, sortez le porte-monnaie !
1- Méditer pour démarrer l’année du bon pied avec la formation MBSR
La méditation ça vous parle ?
C’est une pratique très à la mode, ce qui est normal car elle fait réellement un bien fou sur le corps ainsi que sur l’esprit. Ici, il s’agit de 8 semaines d’apprentissage de méditation pleine conscience. C’est en général le soir après le travail et vous êtes guidés par un professionnel de la méditation qui vous apprend l’intégralité des techniques de base.
La MBSR (Mindfulness-Based Stress Reduction) pour la réduction du stress ou la MBCT (Mindfulness-Based Cognitive Therapy) pour la prévention de la rechute dépressive sont des programmes reposant sur la pleine conscience. Ils ont de plus en plus leur place dans le soin de la souffrance physique ou psychique et leur intérêt a été validé scientifiquement dans de nombreux domaines.”
Tarif : En moyenne 400 euros (c’est évolutif en fonction des professeurs et des associations, avec des avantages selon votre situation). Il est possible de payer en plusieurs fois.
Un seul lien pour plus d’informations

2- Un rééquilibrage alimentaire avec POWERDIET
Il est toujours temps d’apprendre à mieux manger. Si vous n’avez pas le temps de lire des recettes de cuisine, ou de suivre des tutos, alors PowerDiet est fait pour vous. Voici en quelques mots, ce qu’est PowerDiet :
Apprendre ou réapprendre à cuisiner, faire ses courses, s’organiser dans la fabrication des repas. C’est s’orienter petit à petit davantage vers des produits BRUTS pour délaisser les produits industriels. C’est favoriser les produits bio, locaux ou encore mieux, ceux du jardin !
Rééquilibrer son alimentation c’est aussi retrouver le goût des vrais plaisirs : la pâtisserie fine du salon de thé qui vient remplacer les pâtisseries industrielles, le burger maison fait en famille qui piquera la vedette à l’habituel fast-food du dimanche soir ou encore la délicieuse pizza au feu de bois du pizzaiolo reconnu pour la qualité de ses produits qui remplacera aussitôt les pizzas des grandes chaines industrielles
Tarif : pour un suivi bi-mensuel – 1 mois, 99 euros, 3 mois 149 euros, 6 mois 249 euros…
Cliquez ici pour vous rendre sur le site

3- Fais le bilan avec ” Switch Collective”
Un/une de vos proches est en quête de sens et se pose des questions sur sa vie professionnelle ? Tentez de l’inscrire à une formation Switch pour cette nouvelle année 2020. Ça fait tout simplement un bien fou !!
Pour l’avoir fait, je vous garantie que les résultats et les bénéfices sont incroyables. D’ailleurs, j’ai écris un article à ce sujet il y a quelques mois pour vous raconter mon expérience personnelle.
Il s’agit d’un accompagnement sur 6 semaines (un peu le même style que le MBSR) en groupe (en moyenne une quarantaine) qui vous apprendra à mieux vous connaitre et savoir davantage ce que vous voulez vraiment dans la vie (question qu’on ne se pose pas assez). De belle rencontres souvent atypiques, ce qui fait du bien ! Vous prenez conscience que de nombreuses personnes se posent des questions sur le sens de leur vie professionnelle et ont une envie forte de changement, et cela peu importe de l’âge.
Plus de culpabilité à avoir, ayez confiance en vous et foncez vous inscrire (ou l’inscrire) à ce bilan.
Tarif : 900 euros (possibilité de payer en plusieurs fois)

4- Une boîte magique de chez “L’Occitane”
C’est vrai que par rapport aux deux premières idées, c’est ici une idée plus commune. Mais des cadeaux de chez l’Occitane ça fait toujours très plaisir. Et puis c’est aussi plus accessible en terme de prix.
9 essentiels beauté corps et cheveux se cachent dans une trousse haute en couleur.
Votre Trousse Beauté Noël contient :
– Un Savon Extra-Doux Lait au Karité 50g
– Une Huile de Douche Amande 35ml
– Une Crème Mains Karité 10ml
– Une Crème Pieds Karité 10ml
– Un Gel Douche Verveine 30ml
– Un Lait Corps Verveine 30ml
– Un Savon Verveine 50g
– Un Shampooing Réparateur Cheveux Secs et Abimés Aromachologie 35ml
– Un Après-Shampooing Réparateur Cheveux Secs Et Abimes 35mlTarif : 29 euros
Rendez-vous ici pour dénicher cette box

5- Assister à la conférence de Christophe André, le jeudi 2 avril 2020
Cette conférence plaira à tous vos proches qui sont sans cesse dans la réflexion et qui sont en quête de sens. Au cours de cette rencontre Christophe André nous présentera un résumé de ces travaux et évoquera leur utilisation possible au quotidien, au travers de brefs exercices pratiques d’initiation à la méditation de pleine conscience.
Si vous lisez cet article après la conférence, n’hésitez pas à aller sur la page de “rencontres perspectives” sur Facebook. Il y a de nombreuses conférences chaque mois.
Tarif normal : 28 euros
Tarif réduit : 12 eurosCliquez ici pour vous inscrire
6- Une place pour le semi marathon ou pour le marathon (à votre guise)
Ce cadeau, j’étais dans obligation de vous le conseiller. De nombreuses personnes ont la passion de la course mais considèrent que le prix de l’inscription est excessif. Epatez-les en devançant leur inscription, et puis cela poussera à se surpasser. Bel objectif 2020 ! Et, vous pourrez aussi offrir une place pour des 10 km ou 15 km.
Tarif : Marathon 119 euros et semi marathon de 58 à 65 euros

7- Un abonnement au magazine “Psychologies”
Eh non, ce magazine n’est pas un vulgaire journal pour les personnes âgées (rires). Il est encore lu par les plus jeunes qui s’intéressent de près à la psychologie. Et l’avantage de ce cadeau, c’est qu’il tombera chaque mois dans la boîte aux lettres de votre tendre ami. Cette personne pensera alors à vous de façon régulière.
Tarif : A partir de 13 euros

8- Un cours d’Aromathérapie
Un cours d’Aromathérapie pour essayer de comprendre la folie des huiles essentielles. Il en existe dans toutes les villes, vous pouvez vous renseigner sur internet ou autour de vous. Je vous ai mis pour ma part un lien vers un site qui donne des cours à Paris, mais vous trouverez les mêmes cours dans le sud de la France ou encore en ligne. Groupon propose de temps à autre des cours à prix réduits, ça serait bête de s’en priver ;).
Mais au fait, quels sont les bienfaits des huiles essentielles ? Sachez que découvrir les huiles essentielles permet d’améliorer le confort de vie des seniors. Donner un second souffle aux traitements médicamenteux, aider le foie à mieux métaboliser les traitements conventionnels, améliorer la circulation sanguine, mieux dormir et gérer les états de fatigue, se remettre d’une intervention chirurgicale, se donner du tonus, améliorer sa mobilité et sa souplesse articulaire.
Tarif: 35 euros

9- Des produits naturels de chez “My Protein”
Un ami sportif ? Offrez lui une sélection de produits choisis précieusement sur le site internet de cette marque. Il y a du beurre de cacahuètes, du beurre d’amande, des graines de chia, des graines de lin… de la whey… chacun trouvera midi à sa porte. Je les utilise moi-même de temps à autre quand j’ai besoin d’énergie et de mieux récupérer suite à des entraînements sportifs.
L’idée de la protéine en sachet comme cela ne conviendra pas à tout le monde, j’étais la première à être retissante et pourtant j’ai découvert cette marque qui est naturelle et j’en suis satisfaite.
Tarif : cela dépend des produits, mais un pot de beurre de cacahuètes coûte en moyenne 9 euros.
Lien vers le site officiel MYPROTEIN
10- Un forfait de séances de cryothérapie
La Cryothérapie n’est pas un acte médical à part entière, mais un accompagnement de soin, naturel, qui présente moult bénéfices et effets positifs que l’on peut regrouper en 4 items :
Santé : douleurs, inflammation, rhumatismes arthrose / arthrite, polyarthrite rhumatoïde, fibromyalgie, spondylarthrite ankylosante, stimulateur du système nerveux périphérique et central, sclérose en plaques, Parkinson, circulation…
Sport : préparation, accompagnement, récupération d’une activité physique plus ou moins intense, compétition, tendinites, contractures, micro-traumatismes, oxygénation du sang, endorphines, adrénaline, dopant naturel… (Le PSG possède le même Cryosauna que Cryoline!)
Bien-être : insomnie, fatigue, stress, anxiété, surmenage, jetlag…
Esthétique : œdème, beauté de la peau collagène, retenseur élastine, micro-circulation, cellulite type 1 et 2, accompagnement d’une cure d’amaigrissement… vous pouvez perdre jusqu’à 800 calories par séance !!”Tarif : 340 euros pour 10 séances à Paris
Lien vers le site : https://www.balinea.com/cryosud/forfait-10-seances-de-cryotherapie
11- Un pull rempli de gratitude envers soi-même
On ne se montre malheureusement pas assez de gratitude à soi-même au quotidien, et pourtant celle-ci fait du bien, beaucoup de bien… Raison pour laquelle ce cadeau est une merveille ! Parce que vous êtes votre meilleur ami.
C’est un sweat aux milles et une personnalisations possible, avec des citations mélioratives cousues dessus et qui font du bien à son égo (rires).
Tarif : 34,90 euros
Lien vers le site : https://wooop.fr/sweats/4072-sweat-appelle-moi-superman.html

12- Des séances d’hypnose by Charlotte Vallet
Eh oui, profitez-en, pour la nouvelle année qui débute, je fais des coupons cadeaux avec des réductions très alléchantes. Je casse les prix pour la bonne cause, car après tout le bien-être doit être accessible à tous. Car le bonheur commence par vous, je me ferai une joie de vous accompagner dans votre quête de la paix intérieure. Contactez-moi par mail pour plus d’informations
Tarif : 1 séance 50 euros, 5 séances 200 euros, et 10 séances 400 euros
Informations : je reçois dans le 10ème, boulevard Magenta.

13- Un humidificateur pour un air pur (ça c’est important)
Cet humidificateur HU4801/01 de Philips s’intègre partout pour humidifier votre pièce et maintenir un air plus sain ! Idéal pour les pièces d’une surface maximale de 25 m², cet humidificateur vous permet de réduire les effets de l’air sec en diffusant une vapeur purifiée et apaisante. Cet appareil permet de réduire jusqu’à 99% la prolifération des bactéries comparés aux appareils utilisant le système à ultrasons.
C’est un must-have dans nos appartements, surtout dans les grandes villes du Nord de la France ou l’air est souvent pollué et l’air sec.
Vous pouvez vous en procurer un ici, et profitez-en, c’est les soldes !
Tarif : 84,99 euros

14-Des produits de beauté de la marque “Santa Maria Novella”
1ère pharmacie herboriste au Monde, Santa Maria Novella a été créée à Florence. Lorsque vous rentrez dans ce merveilleux endroit, le vendeur fabrique le produit sous vos yeux. Les packagings sont magnifiques et originaux. Ce ne sont que des produits naturels, ce qui est agréable, au vu de tous les produits chimiques qui existent aujourd’hui sur le marché.
Il y a une boutique dans le 2 ème arrondissement de Paris; je vous invite à y faire un tour avant d’acheter. Vous tomberez sous le charme.
Tarif : Une large panoplie de prix

15- Une carte cadeau “La Sultane de Saba”
C’est un spa qui commence à avoir sa clientèle à Paris, et je commence à comprendre le pourquoi du comment est-ce possible. Vous vous sentez comme à la maison dans cet endroit chaud et ambré. Il s’agit d’un cadeau relativement classique et pourtant ce spa est bien loin d’être neutre. Les odeurs y sont délicieuses et le service professionnel. Patchouli, vanille, oud … chaque partie de votre corps sera embaumé de ces “épices” en sortant de cette aventure magique.
On se croirait réellement au Maroc en train de se faire bichonner. Il existe de nombreux soins, visage et corps. Vous allez forcément trouver votre bonheur.
Tarif : fourchette large; je vous invite à aller sur le site. Il s’agit de carte cadeaux sur laquelle vous pouvez y mettre le montant de votre choix.

16- Un voyage au Mont Koya-san
“Le mont Koya est une montagne sacrée de la péninsule de Kii, localisée dans la préfecture de Wakayama à 100 kilomètres au sud d’Osaka. Koya-san est un lieu de pèlerinage bouddhiste reconnu, où les voyageurs viennent effectuer une retraite religieuse et/ou spirituelle dans l’un des 117 temples du complexe et à travers le magnifique parc quasi-national de Ryujin.
Tarif : sur demande. Si vous avez des questions sur ce voyage, n’hésitez pas à me solliciter, je saurais vous renseigner.17- Yoko Design pour le thé
Un cadeau simple et efficace en cette période de grand froid ou l’envie de se réchauffer est très présente. Il existe de nombreuses couleurs de ce produit qui se trimballe partout. Moi qui suis férue de thés en tout genre, je ne peux que vous conseiller cette théière, l’alliée parfaite de vos journées.Super pour l’écologie et la planète en prime.
Tarif : 23,90 euros

18- Un abonnement Spotify (afin d’avoir accès à une belle playlist de musiques reposantes, et des podcasts )
Une journée sans musique est à mes yeux une journée de perdue. Idéale pour se lever du lit, lors de vos entraînements de sport ou bien dans les transports, la musique est quelque chose à toujours avoir sur soi, chez soi, avec soi. Je vous invite donc à arrêter de piquer l’abonnement de votre ami, frère, soeur ou que sais-je et de vous en procurer un pour avoir accès à votre musique préférée en illimité !
Tarif : pour le coup il y a très souvent des offres promotionnelles; vous aurez les 3 premiers mois à 0,99 euros. Qui dit mieux ? (rires)

19- Un ou plusieurs cours de sport dans l’appartement “Chez Simone”
Dans l’appartement, la monnaie locale c’est le Simone ! Tous les Simone achetés sur le site sont transformables en cours de sport, workshop, petits déjeuners, déjeuners, goûters et brunchs. La cuisine est ouverte du lundi au samedi de 8h00 à 18h00. Les repas et gourmandises préparés tous les jours par notre Cook sont à déguster sur place ou à emporter.” C’est un lieu où vous vous sentirez bien, un lieu rempli d’ondes positives. Tout ce dont on a besoin pour débuter 2019 du bon pied !
Tarif : 1 cours 24 euros, 3 cours 69 euros, 6 cours 132 euros…

20- Séances de Hammam aux “Bains du marais”
De tradition orientale, le hammam est l’une des meilleures choses que vous puissiez offrir à votre organisme, il ouvre les pores de la peau et permet d’éliminer les impuretés et les bactéries, il libère les sinus et les voies nasales et facilite la respiration, il apaise les douleurs musculaires, élimine les tensions et permet une relaxation immédiate.
Tarif : 350 euros les 10 séances

21-Un livre de recettes de SMOOTHIES
Pour rester en pleine forme, toute l’année, voici la bible de la cuisine saine. Au total plus de 200 recettes de smoothies et de soupes green pour se faire du bien. La solution beauty food pour soi. Kale, charbon actif, avocats. Tous les bienfaits des ingrédients, des plus conventionnels aux plus mystérieux n’auront de secrets pour vous. Apprenez à les combiner, facilement pour des effets boosters, calmants, ou juste pour rester zen.
Tarif : 15, 90 euros
Lien vers le site où vous procurer cette merveille

22- Un coussin pour méditer
Le coussin de méditation devient vite indispensable pour certaines postures ou pour des moments de méditation dans un confort optimal. Tout comme le tapis de yoga, le coussin apporte un certain confort aux yogis débutants comme aux yogis confirmés.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe un grand choix de modèles. Des coussins hauts, ronds, en demi-lune, en coton, en kapok et ainsi de suite. La mauvaise nouvelle est que la gamme est tellement vaste que faire son choix peut être le vrai parcours du combattant. Vous trouverez forcément quelque chose qui vous plaira…
Tarif : 59,90 euros

23- Une magnifique plante sur le site Bergamotte
Des scientifiques américains, britanniques et néerlandais se sont penchés sur l’effet des plantes sur le stress et la productivité de façon générale. Les résultats montrent que lorsque des plantes sont placées chez soi, on se sent mieux et la pression artérielle devient plus basse.
Moi qui suis une fan inconditionnelle de plantes (j’en possède plusieurs à la maison), je peux vous dire que les bienfaits que je mentionne sont véridiques. Plus qu’un élément de décorations, les plantes apportent de la joie et du soleil dans votre intérieur. N’hésitez donc pas !
Tarif : comptez une centaine d’euros
Lien vers le site
24- Une bougie Diptyque à l’effigie de Noël
Les bougies de cette marque sentent merveilleusement bons et en plus sont jolies. Elles décoreront parfaitement l’intérieur de chez votre ami. Le pote de chaque bougie est canon, vous pourrez d’ailleurs le conserver afin d’en faire un accessoire de décoration dans votre petit nid douillet.
“Brûle Bougie Baume d’Ambre !
Que le vent se lève, qu’il apporte avec lui le chant de la Sirène, et le parfum de ses cheveux de perles :
Un accord gracieux entre la vanille et le benjoin, relevé par la fraicheur de la lavande.”Tarif : 60 euros

25- Une bouillotte personnalisée
Le cadeau cocooning de cette liste ! Rien à ajouter, vous constaterez l’excellence de vos nuits en l’utilisant.
Tarif : 47 euros

-

Réussir sa préparation de trek : c’est parti !
Grande passionnée de trek depuis quelques années, j’essaie d’en faire un au moins une fois par an. Jusqu’à présent, j’ai plus souvent choisi des destinations originales et lointaines, du type Népal, Inde, Colombie ou encore Malaisie plutôt que des destinations en France. Et pourtant, il existe des treks splendides dans notre beau pays.eInutile de parcourir le monde en quête de décors paradisiaques ! La France regorge de paysages authentiques, à découvrir lors de treks au cœur d’une nature préservée et verdoyante. Pour les amateurs de sensations fortes comme pour les amoureux de grands espaces, il existe une multitude de merveilleux endroits pour randonner en France.Privilégiez-les si vous ne disposez pas de beaucoup de temps.eVoici quelques exemples de trek splendides à faire en France :- Le tour du Mont Blanc
- Le tour des aiguilles rouges
- Les gorges de l’Ardèche
- Le trek des calanques
- Le GR20 en Corse
- Trek sur les volcans d’Auvergne
- Le sentier des douaniers
- Le tour du Queyras
- Le trek du balcon de la mer de glace
- Trek de Gavarnie
À vrai dire, on pense souvent que partir faire un trek à l’étranger est onéreux, mais pas tant que cela, sachant que nous dormons souvent en lodge (10 € la nuit environ, si vous choisissez l’Asie) ou dans notre tente préalablement achetée chez Décathlon.eVous pouvez alors vous permettre de le faire à l’étranger si c’est une envie qui vous tient vraiment à coeur.eDe mon côté, je vous écris cet article aujourd’hui, surtout pour vous aider à bien vous préparer, en amont de cette aventure qui est l’une des plus incroyables. C’est à la fois ressourçant et terriblement challengeant.eEt comme je privilégie le challenge aux habitudes, c’est le genre d’objectif qui m’émoustille le plus.e
Avant le départ
En amont du départ , il faut d’abord, bien sûr, choisir sa destination. Le choix s’effectue en fonction de la saison et en fonction du nombre de jours dont vous disposez. Si vous disposez de moins de deux semaines, misez en priorité sur la France.eEnsuite, le choix de la saison est bien évidemment important, car lorsque nous partons en trek, nous sommes à 80 % du temps dehors !S’il pleut tous les jours, votre périple pourrait être quelque peu gâché.eAutre critère important sur lequel se baser ce sont les températures… ! Un trek est toujours plus agréable lorsqu’il fait bon.Ni trop chaud, ni trop froid.eLa température idéale se situe entre 15 ° et 22 ° maximum !!! D’ailleurs mieux vaut avoir trop froid que trop chaud.Car lorsque l’on a trop chaud, il est difficile d’enlever des couches supplémentaires… une fois toutes les couches enlevées… on subit alors davantage le climat.e

Les affaires (habits) à prévoir
Il s’agit d’un sujet très important, croyez-moi ! Le fait de porter un sac trop lourd risque de vous déranger, mais surtout de vous user durant la marche.eNe dépassez pas les 20 kg , et si vous pouvez vous débrouiller pour que le sac ne fasse que entre 8 et 15 kilos, c’est l’idéal. J’entends bien qu’il est difficile de se restreindre à 8 kg avec ce que nous souhaitons emporter… C’est pourquoi, je vais vous donner quelques conseils :e
e-
Pour 1 semaine de trek : prévoyez 8 kg
La priorité si vous partez une semaine, c’est de vous contenter :– Des chaussettes de marche– Des chaussures de marche– Un pantalon confortable (du style pantalon de ski)– Des leggings– Des Tee-shirts manches longues/courtes en fonction de la météo– Un Kway– Un/Deux pulls / une polaire chaude– Une trousse de médicaments– Des lingettes désinfectantes– Des produits de toilettes en miniature (shampoing, après-shampoing, savon…)– Des lunettes de soleil– Un chapeau ou une casquette (le soleil tape encore plus avec l’altitude), donc si vous avez la peau fragile, il faut vous protéger.– Une gourde– Des pastilles pour nettoyer l’eau (ce sont souvent des boîtes de 20)– Une paire de bâtons pour marcher si vous le souhaitez– Un duvet– Une tente si vous dormez en tente + un tapis en guide de ” matelas ” : https://www.amazon.fr/Eyeco-Ultraléger-Gonflable-Autogonflant-Randonnée/dp/B07BX9JJZ9/ref=sr_1_1_sspa?ie=UTF8&qid=1545034328&sr=8-1-spons&keywords=tapis+tente&psc=1– Un guide du routard et une carte intégréee-
pour 2 semaines de trek : 12/15 kg
Prévoyez la même chose que pour une semaine, mais en comptant un peu plus de teeshirts, de chaussettes, et de sous-vêtements. Vous pouvez évidemment faire des lessives (à la main) lorsque vous rencontrerez des points d’eau.Je vous conseille d’acheter de la lessive avant de partir (en tube, c’est l’idéal).e-
pour 3 semaines de trek : 20 kg maximum, faites-moi confiance
Prévoyez, là encore, la même chose que pour une semaine, mais en augmentant également le nombre de teeshirts, de sous-vêtements et de chaussettes dont vous allez avoir besoin pour toute la durée.ePour ce qui est du duvet , vous en trouverez à tous les prix allant de 15 € à 300 €. À vous de choisir le duvet qui correspond à la saison que vous avez choisie. À l’achat, vous constaterez que selon le sac de couchage, vous pourrez choisir la température sur l’étiquette “15 degrés” , “-10 degrés”.eLe sac de couchage et la tente sont deux achats fondamentaux. N’hésitez pas à y mettre le prix, ce sera vite rentabilisé.eSi vous souhaitez limiter les frais, vous pouvez vous contenter de chaussures de marche d’entrée de gamme chez Décathlon. Il en existe des fantastiques, vraiment pas chères et qui tiennent clairement la route.eQuelques noms de marques à connaître pour les chaussures :Aigle, Salomon, Quechua, Asolo, Tecnica, Lafuma, Kayland, Scarpa

La logistique sur place
Soit vous êtes de nature spontanée, soit vous êtes plutôt du genre organisé.- Si vous êtes spontané(e), vous pouvez décider de vous arrêter dès que vous ressentez la fatigue dans un refuge choisi à la dernière minute.
- Si vous êtes plus organisé(e), vous pouvez réserver chacun des refuges à l’avance.e
eIl y a cependant un « mais » dans chacun des cas.e– Dans le premier cas, si vous décidez de partir en haute saison (en fonction du pays), il se peut que le refuge soit plein et que vous n’y trouviez plus de place.– Dans le second cas, si vous avez réservé les refuges à l’avance, vous perdez un peu en liberté car il faudra vous obliger à atteindre votre objectif de kilomètres tous les jours.eAutre chose à prévoir : le permis de trek.eDans certaines régions où pays, vous entrerez dans des zones protégées. Il faudra alors vous identifier à l’entrée du parc national, et vous aurez alors besoin de présenter un permis de trek.De temps en temps, il y a des zones de sécurité durant le trek, et on vous demandera de présenter ce permis.eSur place, il faut toujours penser à s’hydrater. Un trek vous fera vous dépenser énormément. Il est important de boire encore plus que lors de vos habitudes quotidiennes. Je dirais une moyenne de 3 litres de liquide, entre l’eau et les thés ingurgités.e
L’altitude lors d’un trek
Nous n’y pensons pas assez, mais c’est un point sur lequel il faut s’attarder. Tout le monde ne supporte pas l’altitude de la même manière. Pour certains, ce sera les doigts dans le nez, mais pour d’autres ce sera un peu plus éprouvant. Au passage, pensez à faire vérifier vos sinus et votre état de santé avant de partir.
Le « mal aigu des montagnes » touche presque toutes les personnes en haute altitude. En dessous de 3 000m. Le « mal aigu des montagnes » est dû à un défaut d’oxygénation du cerveau et qui se produit à partir de 3 500 m. Ce MAL est dû à un défaut d’oxygénation du cerveau consécutif à une mauvaise acclimatation. L’incidence de Mal Aigu des Montagnes est variable mais augmente très rapidement avec l’altitude. Elle est de 15 % à 2 000 mètres d’altitude, de 60 % à 4 000 m.
Le MAM n’apparaît pas immédiatement. Il survient généralement après un délai de quelques heures en altitude.
Il faut alors modérer ses efforts, et s’acclimater à chaque palier, comme en plongée sous-marine.ePar exemple, ne passez pas en une journée de 1 500 m à 3 000 m ou de 3 000 m à 5 000 m. Vous risquez de manquer cruellement d’oxygène, et les oreilles payeront le prix de l’impatience.Les paliers des 3 000 m et des 5 000 m sont souvent les plus éprouvants. Alors, allez-y doucement mais sûrement.eLorsque vous arrivez aux 3 000 m, acclimatez-vous en restant une belle nuit et une matinée à ce stade de l’aventure, puis faites de même à 4 000m puis à 5 000m.eSi vous voyagez seul(e), n’hésitez pas à indiquer régulièrement à vos proches l’endroit où vous vous trouvez. En cas de problèmes, ils pourront alors prévenir les secours.ePetite anecdote : la soupe à l’ail est excellente pour l’altitude.Elle permet une coagulation du sang plus rapide. N’hésitez pas à en manger, même s’il fait chaud.eLes bienfaits de l’ail : si vous partez faire des treks en haute altitude comme ce sera mon cas, en Asie, l’ail et plus précisément la soupe d’ail est recommandé pour prévenir ou réduire les symptômes du mal des montagnes.Et pour notre cœur, il n’y a pas mieux ! En effet, des études ont établi que les personnes qui consommaient 2 à 5 g d’ail tous les jours avaient moins de cholestérol et de triglycérides sanguins que les autres. De fait, la consommation d’ail permet de réduire les risques de maladies cardio-vasculaires.
De plus, l’ail augmente la fluidité du sang : ce qui est idéal pour prévenir la formation de caillots sanguins dans les artères.
/>
L’Hygiène
Je suis dans l’obligation d’en parler car beaucoup de personnes sont persuadées que le trek est associé à un ” manque d’hygiène “durant le périple. La bonne nouvelle, c’est que ces personnes n’ont pas tout à fait tort (rires). Je rigole bien évidemment, mais cela dépend du pays que vous choisissez. Si vous partez au Népal en hiver, il faut être prêt à se laver à l’eau froide… très très froide, alors que les températures avoisinent déjà les -0° C.
Tout est une question de sacrifices et de MENTAL.
Aussi, il est possible que vous préfériez rester légèrement ” craspouille ” plutôt que risquer votre peau sous cette eau gelée.
C’est la raison pour laquelle je vous ai proposé d’acheter des lingettes désinfectantes, en amont du voyage, ainsi qu’un gel nettoyant visage et de l’eau thermale en spray (petit flacon). Avec ce matériel, vous êtes paré(e) pour être propre, presque comme un sous neuf.
Cela dit, n’exagérons rien. Si vous partez faire votre trek, l’été, il sera plus facile de filer sous la douche après vos quelques heures de marche.

La trousse de secours
Ne soyons pas superstitieux, mais il est toujours plus raisonnable de préparer une trousse de médicaments. Les médicaments en altitude ne sont pas vraiment conseillés, mais parfois vous n’avez pas le choix. Alors, prévoyez-les judicieusement.
Voici un exemple de contenu de trousse à pharmacie :
Médicaments :
- Antalgiques et antipyrétiques contre la fièvre et la douleur. Privilégiez le paracétamol.
- Antidiarrhéique
- Antiémétique contre les nausées
- Antibiotique à spectre large
- Anti-inflammatoire contre les entorses, mal de dos, contractures…
- Répulsif contre les insectes (moustiques…)
- Traitement contre la toux
- Pansements digestifs
- Collyre en dosettes
Matériel :
- Un thermomètre
- Une paire de ciseaux
- Seringue
- Une pince à épiler
- Une aiguille sous cutanée
- Une agrafeuse
- Gants stériles
- Bandelettes adhésives pour plaie cutanée
- Sparadrap
- Bande adhésive
- Bande de contention élastique
- Pansement compressif pour les plaies hémorragies
- Pansement hydro-colloïdes
- Sutures adhésives
- Compresses stériles
- Crème solaire et crème contre les brûlures
- Pansements et double-peaux contre les ampoules
- Un antiseptique pour désinfecter les plaies
- Préservatifs
- Tampons féminins
- Attelles (genou, cheville)
- Coalgan contre le saignement du nez
- Solution hydroalcoolique pour se laver les mains
- Des comprimés de stérilisation d’eau
À compléter par :
- Randonnée en altitude :
- Médicaments contre les troubles du sommeil
- Mal des montagnes : médicaments préventifs et curatifs
- Caisson hyperbare

Les bienfaits du trek
Ils sont si nombreux même si vous ne le savez pas encore. Beaucoup de personnes sont persuadées que le trek est une épreuve de vie épuisante.C’est assez faux !eC’est épuisant, sur le moment, je vous l’accorde. Mais, ce sera vite rentabilisé lorsque les nuits qui suivront ces journées de d’efforts intenses seront les plus apaisantes de votre vie.eC’est un bon effort pour le corps, et qui vous permet de vous détoxifier en profondeur le cerveau.eVous vous retrouvez seul(e) devant des paysages magnifiques, et vous prenez conscience à quel point la nature est fantastique.eVous oubliez tous vos problèmes et vous développez votre créativité.eLa marche lente et prolongée est une activité physique peu traumatisante pour les articulations, par rapport à d’autres sports d’impact. Elle permet de développer en douceur une musculature équilibrée et un gainage de tous les muscles du corps : ceux des 4 membres et du tronc. Elle travaille également la coordination motrice et rééquilibre les zones corporelles, si nécessaire.eCependant pour un meilleur équilibre vous allez avoir besoin de vos meilleurs amis : les bâtons !Parlons donc maintenant de nos bâtons : non, les bâtons ne sont pas destinés uniquement aux personnes ayant des capacités physiques amoindries ou des problèmes d’équilibre. Bien au contraire, leur utilisation vous permet non seulement de marcher plus longtemps et dans une meilleure position mais ils vous apporteront aussi bien d’autres choses !
e
Ils augmentent la sollicitation de tous les muscles du haut du dos, de vos épaules, de vos bras et de vos avant-bras. Ainsi, vous tonifiez, voire musclez (en fonction du niveau physique de votre trek) toutes les parties hautes de votre corps en gardant en permanence un dos droit, et ce quelle que soit la pente ou le chemin sur lesquels vous évoluez.

Trucs et astuces
Première chose, mais pas des moindres, la sophrologie peut vous aider sur le plan de la respiration. Et on sait à quel point il est important de savoir respirer lorsque vous faites de tels efforts !
Dans le cas où vous souhaitez partir avec une agence, voici quelques informations concernant l’encadrement du trek :
http://www.taan.org.np/members/pyrenees-nepal-treks-trails-pvtltd-1370?fbclid=IwAR1snpXkheTz6PPHHWeY5rOZ9HNRJW9R_HwMdJwBCewdlw7gUCm1_iwpDg0Je vous conseille alors de contacter Ram Puri, pour le Népal : https://www.facebook.com/Nepaltrekntrails/?eid=ARAnB650Gv6n1XNOt04oPbBT5PSpGK6IGiQWeUB8YrmuFZejuoHTa2IGr9YEIdz0UM84VeI5CEt8Z1dV&timeline_context_item_type=intro_card_work&timeline_context_item_source=100000435396566&fref=tageC’est une agence locale et francophone enregistrée dans le registre treeing et gouvernement.ePour votre sécurité et dans le cas de partage de locaux, et pour un premier voyage, c’est le meilleur moyen de procéder.eJe vous donne un programme type (Camp de base de l’Everest) :
- Katmandu – Lukla en avion (suite Phakding)
- Namache 3400m
- Excrution Khumjung et Everest vue point 3900m
- Tngboche 3860m
- Dingboche 4400m
- Lubuche 4900m
- Gorekchep et camp de base de l’Everest 5200m (LA NUIT A Gorekche)
- Retour Tangboche 3860
- Monjo 2800m
- Lukla
- Retour Katmandu
Style de trek : en LodgeMeilleure saison : octobre, novembre et février , mars, avril.
Temps de marche / jour : 6- 7 heuresAltitude maximale : 5 000 mDurée : 10 joursTarif : 1 200 euros. Il s’agit de l’un des trek les plus onéreux. Vous pouvez trouver moins cher en passant par cette même agence.e@SERVICE INCLUSe- Logement en Lodge pendant le trek
- L’assurance pour le guide et le porteur
- La pension complète durant le trek (3 repas par jour / 2300 RUPIES/PAR PERSONNE hors boissons)
- Un porteur pour deux personnes maxi 20 kilos
- Un guide francophone diplômé d’état
- Le permis de trek, TIMS
- Les transferts aéroport / hôtel / aéroport
- La confirmation de votre vol retour international par leurs soins
- Le vol Lukla/Katm aller-retour
eLe séjour ne comprend pas :e- Les secours d’urgence et l’assurance de voyage et d’annulation, l’accident ou la maladie, le vol, la perte ou les dégâts des effets personnels
- Le visa de 40$ si vous le faites à l’aéroport de Katmandu
- L’équipement personnel et les dépenses personnelles
- Le pourboire pour le guide et le porteur (50 € par per personne)
- L’hôtel et les repas en dehors de trek (environ 15 € le motel en ville/nuit)


Mon expérience du traitement des cicatrices d’acné par laser CO2
Avant de lire cet article, je souhaitais vous informer que je propose (en 2024) des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Paris 19.
Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Je propose les deux.
2018 : Cela fait quelques années que je souffre de vilaines cicatrices d’acné au niveau du visage.
Et même si mon entourage ne m’a jamais fait de remarques, et qu’apparemment j’étais la seule à les voir, je le vivais mal. Comme quoi, quand vous avez un complexe, vous ne voyez plus que cela.
Ce blog étant consacré au bien-être corps et esprit, il m’est apparu important de partager avec vous mon expérience, car pour se sentir bien dans sa peau, il est tout de même plus agréable d’avoir une peau saine.
Alors, si tout comme moi, vous souffrez de problèmes de peau, cet article est fait pour vous.
PS : cet article date de 2018, je souffre considérablement moins de problèmes de peau en 2024...
On trouve toujours des subterfuges, mais ce n’est pas évident pour tout le monde. Pour ma part, je suis une fan inconditionnelle des soins pour la peau et du maquillage, et j’ai la chance de m’y connaître assez bien. Assez naturelle mais glamour de nature, j’arrivais probablement à les cacher avec mon sourire et mon rire constant (rires).
Ci-dessous, vous verrez la photo de ma peau avant le traitement. Alors, soit mes amis sont des petits coquins qui ne me disaient pas la vérité, soit je mettais ma peau très en valeur. Quoi qu’il en soit, pour moi, je le vivais assez mal.
C’est pourquoi, j’ai décidé de m’en débarrasser et de pratiquer une intervention au laser CO2. Et bien sûr, de partager avec vous mon expérience, qui je l’espère vous aidera.
QUELLES SONT LES DIFFERENTS TYPES DE CICATRICES D’ACNÉ
Quand on pense ” cicatrices d’acné “, on imagine tout de suite des grosses cicatrices en creux (aussi appelées cicatrices en pic à glaces), ce qui n’est pas mon cas. Quelques petites cicatrices font partie de cette catégorie, mais elles ne sont pas majoritaires. Cela dit, j’en ai quelques-unes de cette catégorie au niveau des pommettes.
Il existe, en effet, différentes sortes de cicatrices, et pour ma part, j’ai surtout des cicatrices déprimées à bords prononcés (cicatrices larges, rondes ou ovales, donnant l’impression de trous poinçonnés dans la peau. Elles peuvent être profondes ou superficielles) et des cicatrices hypertrophiques (ces cicatrices, qui sont moins courantes, sont le résultat d’une cicatrisation excessive, c’est-à-dire que trop de collagène s’accumule durant le processus de cicatrisation).
À l’origine, cette satanée acné, qui a duré assez tardivement dans mon cas ! J’ai subi 3 vilaines crises hormonales suite à des arrêts de ma pilule et de la reprise d’une nouvelle pilule qui ne me convenait pas.
J’ai aujourd’hui 28 ans, et ma dernière crise (la plus dévastatrice) s’est déroulée lorsque j’avais 24 ans.
Cette année là, je travaillais au journal Le Monde entourée de beaucoup de personnes sérieuses … et moi, j’avais des boutons (rires). Je n’ai aucune photo de cette période… car vous comprendrez que ce n’était pas ma période la plus glorieuse (selon moi). Mais croyez-moi… je m’en souviens très bien et ma peau aussi.
En résumé, voici ma peau avant l’intervention laser (ce ne sont pas les photos les plus objectives, je les ai prises dans la rue en marchant, oui… j’aurais pu faire mieux, je l’avoue. Mais, je vous ai fait un vrai zoom donc il n’y a pas plus représentatives comme photos). Vous pouvez constater le type de cicatrices que j’avais sur la peau.
Cela dit, et sans aucun chichi, mes cicatrices se voyaient suffisamment pour avoir recours au laser CO2.
![]()
APARTÉ
Petit aparté des plus importants. Comme j’ai fait ma séance de laser hier, je suis en semaine de cicatrisation, et je ne sais pas si je dois parler au présent ou au passé.
Étant très marquée et rouge par la puissance du laser, je n’ai aucune idée de ce qui m’attend en dessous des rougeurs.
Patience, j’en ai apparemment pour une dizaine de jours, je le saurai donc d’ici peu. Du moins à la fin de cet article, vous aurez quant à vous le résultat, puisque j’écris cet article jour après jour.
À savoir aussi : je vous conseille de débuter ce type de traitement en hiver. C’est l’idéal, car suite à l’intervention, vous ne devez pas exposer votre visage au soleil pendant au moins 4 mois.
Me suivre sur instagram.
RENSEIGNEZ-VOUS LE PLUS POSSIBLE
Cette intervention n’est pas anodine. Et il est impératif de bien se renseigner avant de se lancer dans cette aventure…
La solution la plus simple est de faire appel à ses connaissances. Y a-t-il quelqu’un qui connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un…
Pour ma part, personne ne pouvait me conseiller. La seule solution que j’ai trouvée, c’est de me renseigner via le Net. Et après quelques heures de navigation et de lecture, j’ai pris rendez-vous dans plusieurs cliniques.
J’ai entendu différents discours, et le choix n’était pas simple. Mais que faire sinon que de se laisser guider par son intuition. C’est donc ce que j’ai fait.
Croyant beaucoup à la bienveillance des médecins et des gens qui m’entourent, j’ai craqué sur la sympathie et la patience d’un des médecins de la clinique FOCH dans le 16e arrondissement de Paris.
Et si pour nous, c’est angoissant, là-bas, c’est leur routine… et vous avez l’impression d’être dans une usine. Mais le médecin que j’ai rencontré, était vraiment professionnel. Il n’a fait aucun forcing et m’a particulièrement bien expliqué la démarche. Il a pris son temps pour répondre à la multitude de questions que je me posais.
En résumé, il m’a proposé de traiter mes cicatrices à raison de 2 séances espacées d’un mois. Et il m’a suggéré, à suivre, un traitement à l’acide hyaluronique pour un rendu encore plus parfait.
Bon… je n’en suis pas encore là… J’avoue qu’à cet instant, j’étais plus préoccupée par la réussite de cette intervention. À mon âge, comme à tout âge d’ailleurs, une intervention sur le visage est toujours un peu préoccupante. J’étais donc plus guidée par la peur que par l’acide hyaluronique !
Mais, il a réussi à me convaincre. Le rendez-vous fut fixé au 15 novembre.
LE PRIX
Bien évidemment, c’est un élément important. Selon les centres ou les cliniques, les prix varient considérablement et peuvent attendre des montants aux alentours de 700 €.
Pour ma part, le prix de la séance est de 285 €, un tarif tout de même plus raisonnable que certains qui sont complètement abusifs.
LE TRAITEMENT LE JOUR J
Le rendez-vous était fixé à 16 heures, et je ne vous cache pas que même si vous avez tout de même beaucoup de choses à faire dans la journée, votre esprit est focalisé sur le rendez-vous.
Le stress est monté progressivement. Et à juste avant de partir, ce n’est plus ma tête qui me guidait, mais mes jambes… qui disons-le étaient quelque peu vacillantes.
Heureusement, le médecin ne m’a pas fait trop attendre dans la salle d’attente.
Et voilà, c’est parti… !
Une fois installée dans la salle de soins, je lui ai demandé s’il pouvait tester le laser sur ma main pour que je puisse évaluer la douleur. Sa réponse fut sans appel : non… sinon je risquais d’être marquée. Pas très rassurant…
Voici à quoi ressemble l’appareil :

Petite précision dont je ne vous ai pas parlé mais qui a tout de même son importance… Il est possible d’appliquer une crème anesthésiante (EMLA). Mais les écoles, à ce sujet, divergent. Certains médecins pensent qu’elle atténue les effets du laser. Mon médecin en faisant partie…, j’ai donc opté pour une intervention sans anesthésie.
Puis, le médecin m’a demandé d’entourer, avec un crayon blanc de maquillage, les zones de mon visage qui me dérangeaient le plus. Son objectif est d’appliquer le laser à l’ensemble des zones que je définissais.
J’ai alors dessiné des cercles sur le visage (je ressemblais à une sorte d’animal un peu fantastique).
Une fois, ces zones délimitées, et il m’a dit : « nous sommes partis pour le laser ».
J’appréhendais beaucoup la douleur. En effet, j’avais lu de multiples avis inquiétants sur des forums…
Alors soyons clair… Sur une échelle de 1 à 10, je mets tout de même un bon 7 pour la douleur ressentie. À tel point que j’avais des petites larmes qui coulaient.
Sachez que l’intervention ne dure que 7 minutes par joue. 7 longues minutes… sans crème anesthésiante !
Mais le pire finalement, ce n’est pas la douleur… c’est l’odeur de cochon grillé qui émane assez rapidement de votre visage et qui se répand dans la salle.
14 minutes se sont ainsi écoulées ! Et je suis repartie avec de belles compresses sur les joues sur lesquelles j’ai appliqué une crème apaisante.
Heureusement que je n’habite pas loin… Car j’étais tout de même très ” repérable “.
C’est pourquoi… avant le traitement…
Vous devez penser à tout ce dont vous avez besoin. Car inutile de vous préciser qu’une fois la séance passée, vous ne pouvez plus vraiment vous déplacer.
En effet, compte tenu de l’agressivité du traitement, la peau est ” brûlée ” une bonne dizaine de jours. Il est d’ailleurs conseillé d’attendre que les croutes tombent pour remettre un pied dehors.
Bon, on ne va pas se mentir ce traitement vous demande d’avoir quelques jours devant vous.
Donc, il faut anticiper cette période. Pour ma part, j’ai prévu la rédaction de quelques articles, de lire et de regarder des films. Je vais également essayer de travailler à distance avec mes patients, et commencer à préparer mes nouveaux ateliers bien-être. Mais pour une hyper active comme moi, ça va être très long ! Ce qu’il me manquera le plus, c’est évidemment le sport, même si je pense bien en faire à la maison.
Mais surtout, avant le traitement, il est indispensable de se procurer l’intégralité des crèmes dont vous aurez besoin après l’intervention. Voici celles que j’ai achetées.
![]()
LES SUITES DU TRAITEMENT
Jour 1
Le pire. J’ai vraiment mal dormi, car la peau me brûlait et je sentais les sensations de picotements et de chaleur jusque dans mon sommeil. En termes de résultats, ce n’est pas vraiment très glamour, je vous laisse apprécier l’état de ma joue sur la photo ci-dessous.
C’est très rouge et ça peut saigner par moment, et surtout c’est sur une surface beaucoup grande que celle que j’avais dessinée sur mes joues.
Lors des premières 24 heures, j’ai mis de la crème CICABIO de Bioderma tout au long de la journée. Il fallait impérativement que la sensation de grosses brûlures s’estompe. Car croyez-moi, c’était plutôt très désagréable.
![]()
Jour 2
C’est un peu mieux. Je ne ressens plus la sensation de brûlures, mais cette fois, je ressens des tiraillements. Je sens que ma peau est très sèche. D’ailleurs elle craquelle légèrement. Les rougeurs se transforment en croûtes.
Mon médecin m’a préconisé de ne pas mettre de crèmes en tous genres les 3 premiers jours (après la phase des premières 24 h où j’avais le droit de mettre une crème apaisante). En effet, il m’a expliqué qu’il valait mieux laisser la peau faire son travail naturel : la création de croûtes.
Une fois que celles-ci seront tombées, je pourrai alors utiliser de la Cicalfate d’Avène ou du Cicaplast de la Roche Posay.
Sur certains autres blogs, je vois que des jeunes femmes, qui ont eu recours à la même intervention que moi, ont quant à elles mis de la crème grasse dès les premiers jours… En fait, je ne sais pas trop quoi faire. J’ai décidé d’écouter mon médecin, en tout cas pour cette première séance. J’aviserai lors de ma deuxième séance, si nécessaire.
Jour 3
Je décide de ne pas toucher à ma peau encore pour cette journée. Elle tiraille un peu et me joue des tours, mais je sens que les croûtes se forment naturellement. La peau est magique, elle peut réussir à se reconstituer seule.
Je vais donc attendre que les croûtes tombent d’elles-mêmes avant de me badigeonner de Cicalfate. Et à ce moment-là, ce sera des couches épaisses durant toute la journée et toute la nuit.
Je compte alterner de la Vaseline en couche pour éviter que des marques restent, par la suite, sur le visage et de la crème Cicalfate d’Avène pour que ma peau cicatrise plus vite.
Une fois que mon tube de Cicalfate sera fini (c’est un vieux tube), je passerai à la crème Cicaplast toujours en couche.
Je tiens également à préciser qu’une autre crème assez fantastique existe. Mon médecin ne l’a pas évoquée, c’est FLAMIGEL. Elle semble géniale pour cicatriser dans les débuts, avant même que les croûtes ne se forment.
Pour ma part, je l’ai mise une fois les croûtes tombées, mais lors de la 2eme séance, je la mettrai avant.
Jour 4
Peu de différence avec hier. Il me reste encore de nombreuses croûtes, mais j’arrive à percevoir ma peau qui a la couleur d’une fraise TAGADA, photo à l’appui…
Je commence à devenir très impatiente !!! J’aimerais sortir de chez moi.
![]()
Me voici au 7e jour…
Voici à quoi ressemble ma peau, aujourd’hui. C’est certes encore très rouge, mais nettement mieux. Je peux même me maquiller, et c’est particulièrement appréciable, car ça y est, je sors !!!
![]()
Heureusement que je ne dois pas attendre la fin des rougeurs, car apparemment ma peau restera rouge et dans cet état durant encore 10 jours.
Je vous mets ici ma peau maquillée, vous pouvez constater tout de même que de nombreuses cicatrices ont disparu (à savoir qu’avant mes cicatrices se voyaient même lorsque j’étais maquillée). J’étais d’ailleurs maquillée sur la première photo.
![]()
![]()
Mais selon la luminosité, je perçois tout de même que toutes les cicatrices n’ont pas disparu, raison pour laquelle la 2ème séance sera très utile…
CONCLUSION
Traiter des cicatrices liées à l’acné par un laser CO2, est un ” soin ” agressif qu’il ne faut pas prendre à la légère. Ce n’est pas un soin de confort que l’on décide de faire pour resserrer les pores, par exemple. D’autant qu’ils finiront par se dilater à nouveau… Vous risquez par ailleurs, d’abimer prématurément votre peau, et de constater l’apparition de taches.
Il ne faut envisager ce traitement que si vous souffrez à la fois physiquement et psychologiquement de cicatrices en tout genre, voire de marques prononcées.
Au moment où je vous écris, je suis à mon onzième jour, et les rougeurs s’estompent petit à petit, mais sont encore bien présentes sans maquillage. J’ai pris mon rendez-vous pour la seconde séance, et la jeune femme de l’accueil m’a dit ” j’espère que l’intégralité des rougeurs seront parties d’ici là “. Ce qui prouve que pour certaines personnes, les rougeurs mettent un peu plus de temps à disparaître que d’autres personnes.
En tout cas, les résultats sont là ! Désormais, il n’y a plus qu’à croiser les doigts !!!
Résultats en 2024…
Ma peau va beaucoup mieux, et cela n’est pas uniquement dû au laser, que j’ai d’ailleurs abandonné après une première séance médiocre. En réalité, c’est grâce à une combinaison de techniques efficaces et naturelles comme le micro-needling, les skin boosters, les peelings, et les massages du visage que j’ai réussi à retrouver une peau éclatante et en meilleure santé. Ces méthodes nécessitent du temps, de la patience et, surtout, de l’amour de soi.
Je vous informe que je propose des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Paris 19.
Tu peux me suivre sur Instagram

Choisis ton verbe et non pas ton métier !
Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, on me pose souvent la question « que fais-tu comme métier ? » ou« que fais-tu dans la vie ? ». Déjà lorsque nous sommes enfants, combien de fois avons-nous entendu : « que veux-tu faire EXACTEMENT comme métier plus tard ? »
Et lors de ces moments-là, on attend de nous une réponse qui correspond à un métier précis, de façon à rentrer dans une case à tout prix, du genre : avocat – vendeur – dentiste – commercial – organisateur de mariages …
Mais finalement, lorsque l’on y réfléchit, est-ce que cela correspond vraiment à ce que nous faisons ? Et si, pour être plus en accord avec nous-même, nous choisissions un verbe plutôt qu’un métier ?
Choisir un verbe pourrait alors englober plusieurs métiers : par exemple « aider » « convaincre » « défendre » « écrire » … « créer », « générer de la joie » …
Cela permettrait à tout un chacun d’être heureux, en faisant différentes activités tout au long de sa vie. Surtout qu’une vie de travail, c’est aussi très très longgggg (et cela risque de l’être encore plus)… et c’est très très long aussi, lorsque l’on doit se contenter de reproduire chaque jour les mêmes actions.

Attribuez-moi un verbe, s’il vous plaît !
S’attribuer un verbe permettrait, en tout cas, d’être plus en phase avec sa génération. Car, pour ce qui concerne ma génération, c’est à dire la génération Y, mais aussi la génération Z, nous serons amenés à changer de métier ou d’univers de travail au moins 5 fois au cours de notre vie. Du moins, c’est ce que prédisent les études sociologiques publiées sur ce sujet.
Cela ne signifierait-il pas que la nouvelle génération est plus en adéquation avec elle-même, et avec plus d’assouvissement de ses envies parfois impulsives à un instant T ?
Pour me situer, j’ai 28 ans, aujourd’hui, et je fais donc partie de la génération Y. Cette ” nouvelle ” génération est souvent montrée du doigt par les anciens. Et pourtant, elle a quelques qualités : un goût du risque accentué et une grande capacité à entreprendre, car elle s’écoute pleinement.
Y et Z, qui sont-ils ?
La génération Y représente les personnes nées entre 1980 et 1995, années de l’émergence d’internet. Dans certains articles, elle est dénommée « la génération sacrifiée » car de nombreux individus de cette génération sont arrivés sur le marché du travail en pleine crise… avec donc beaucoup de difficultés à trouver un travail et à fonder une famille.
C’est l’une des raisons qui explique que cette génération est dotée de grandes qualités comme la capacité de s’adapter très facilement au changement, d’être souvent très autonome et indépendante, et d’avoir une grande ouverture d’esprit.
Mais pour en revenir au sujet de cet article, il est vrai que le faible engagement collectif de cette génération, ainsi que le sens minime de la hiérarchie et l’instabilité qui règne, engendrent souvent des problèmes au travail.
Il faut aussi évoquer la génération Z, car c’est LA nouvelle génération qui déboule à toute vitesse sur le marché du travail. Ce sont les personnes qui sont nées après 1995, et qui sont encore plus ouvertes sur le monde que celles de la génération précédente.
Souvent, les jeunes d’aujourd’hui souhaitent partir vivre et travailler à l’étranger alors que la génération X (celle de nos parents) rêvait l’inverse : Évoluer dans une entreprise et une seule, et dans leur pays d’origine.
Vous entendrez parler de la génération Y très souvent dans les années à venir. Ce sont eux qui ont cassé les codes et le conformisme, notamment au sujet du travail. Et avec eux, le monde du travail et la notion de travail ne feront qu’évoluer dans le futur. Ils sont multi-identitaires (d’où l’importance de cet article), débrouillards, et pour eux les études ne sont plus aussi importantes par rapport aux expériences de vie ou à la personnalité.
En l’occurrence, ils sont aussi très impatients, exigeants, dispersés et défient souvent l’autorité actuelle.
Les individus de ces générations (près de 50 %) revendiquent le fait de pouvoir et de vouloir travailler pour eux.
Pour toutes ces raisons et compte tenu des caractéristiques bien particulières de ces deux nouvelles générations, il deviendra essentiel de percevoir différemment le monde du travail. Car ces nouvelles générations souhaitent que le travail soit un PLAISIR et non plus UNE CONTRAINTE ALIMENTAIRE.
Voici quelques exemples de verbes qui peuvent correspondre à certains et qui rentrent dans des catégories de métiers.

AIDER
« AIDER », c’est le nouveau mot à la mode, certes, mais il correspond à beaucoup d’entre nous. Ce qui prouve que cette nouvelle génération n’est pas si individualiste que l’on veut nous le faire croire. Elle est également tournée vers autrui.
Vouloir aider, c’est vaste, je vous l’accorde. Et, à la fois si cela fait partie de votre inspiration première, vous pouvez très bien être :
- Moniteur / éducateur
- Chirurgien
- Maitre-nageur
- Ophtalmologue
- Sage-Femme
- Dermatologue
- Coach de vie
CONVAINCRE
- Attaché de presse
- Avocat
- Chargé d’études
- Chargé de mission patrimonial
- Consultant CEO
- Courtier en assurances
- Écrivain
- Hôtesse d’accueil
CONSEILLER
- Agent des gares
- Coach professionnel
- Développeur humanitaire urbain
- Écrivain public
- Média-planneur
- Éducateur canine
- Vendeur
CRÉER
- Architecte intérieur
- Créateur ou designer textile
- Dessinateur
- Peintre
- Photographe
- Décorateur
- Désigner industriel
INSTRUIRE
- Professeur des écoles
- Coach sportif
- Professeur de langues
- Chef d’équipe /finances, marketing …
ORGANISER
- Animateur club de vacances
- Bagagiste tractoriste
- Chef de rayon
- Directeur d’hôtel
- Rédacteur en chef
- Directeur de magasin
- Wedding planner
- Chef de projet web
Pour trouver son verbe, ce qui est important, c’est d’être en mesure de répondre à ces deux questions : « pourquoi ? » je fais tel ou tel métier, et « qu’est ce qui me motive ? »
Ainsi, et tout en respectant votre verbe et celui qui vous anime le plus (vous pouvez en avoir deux, nous sommes bien d’accord), vous pouvez, dans une même vie, être à la fois agent des gares et éducateur canin, ou encore peintre et photographe, ou encore avocat et attaché de presse à la fois.
Mettre du sens à sa vie… mais pourquoi ?
Il est compliqué d’avancer dans sa vie professionnelle comme personnelle sans but précis et sans trouver un sens à ses journées. Tout simplement parce que si l’on n’a pas de but, le réveil se montrera d’autant plus rude, et qu’il y aura forcément des répercussions sur votre état mental/physique et votre lien avec autrui.
C’est la raison pour laquelle il faut toujours faire quelque chose qui nous anime et qui nous transcende. C’est aussi une façon de trouver le sommeil avec plus d’apaisement le soir en rentrant du “travail”.
C’est d’ailleurs souvent lors d’une circonstance grave (un décès, une maladie, une rupture) que l’on prend conscience de l’essentiel de notre quotidien, et que notre travail ne répond aucunement à cet essentiel.
Pour trouver votre essentiel, ou plus communément appelé votre ” passion “, il faut vous demander quel est le verbe qui vous anime le plus, et cela vous aidera à trouver votre métier.
TROUVEZ VOS MISSIONS DE VIE ET VOTRE UTILITÉ SUR TERRE. DÉTACHEZ-VOUS DE L’ASPECT MATERIEL ET DEVELOPPEZ SANS CESSE VOS QUALITÉS DE COEUR.
Laissez entrer dans votre vie la générosité, l’amour, la compassion ou encore la gratitude. Cela vous aidera à vous trouver, et entrer en parfaite adéquation avec ce que vous voulez vraiment dans la vie.
Il ne faut jamais que la motivation de votre métier soit matérielle car vous deviendrez esclave de ce matériel et passerez à côté de nombreuses opportunités de vie.
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue


DEVENIR AUTO-ENTREPRENEUR : LA CLÉ DE LA LIBERTÉ
Voici un article qu’il me tardait d’écrire, car je vis depuis plus d’un an maintenant un réel tournant dans ma vie professionnelle. Je suis passée d’une vie de salarié « classique » avec des horaires, un cadre, une hiérarchie, des règles, un salaire … à une vie de FREELANCE avec un statut d’auto-entrepreneur.
Et, croyez-moi, même si j’ai mis du temps et si j’ai consacré de l’énergie pour m’habituer à cette nouvelle vie, c’est l’une des meilleures décisions que j’ai prise dans ma vie.
Pour résumer, je me suis reconvertie, après sept années passées, dans le marketing.
Pourquoi ? Pour répondre à un besoin existentiel d’inclure un « sens à mes journées ». Et surtout pour me tourner vers un domaine qui m’est cher depuis belle lurette : le bien-être et le conseil pour aider autrui à évoluer.
Après avoir suivi une formation à distance, en plus de mes différents contrats précédents dans le marketing, j’ai tout quitté pour enfin mettre en place cette nouvelle activité.
Mais, quand tu sors de sept ans dans des grands groupes, des grosses usines dans lesquelles l’organisation règne, comment s’y prendre ?
Justement, je vous explique tout.

LE STATUT : Comment devient-on auto-entrepreneur ?
Rien de plus simple, on s’inscrit, en quelques clics, sur les sites suivants :
www.lautoentrepreneur.fr
www.guichet-entreprises.fr
MAIS, faites attention car certains sites internet facturent la création de votre micro-entreprise. Soyez vigilant au moment où vous créez votre statut. Il est abusif de payer des charges supplémentaires pour créer un statut : c’est GRATUIT.
TOUTE PERSONNE peut devenir auto-entrepreneur. Il suffit d’être majeur, et ce peu importe le domaine professionnel. C’est MAGIQUE et proposé à tous.
La création du statut se fait en remplissant un formulaire purement administratif avec vos informations principales (coordonnées classiques). Et ceci s’effectue, en l’espace de 15 minutes pour les plus rapides et de 45 minutes pour les plus lents d’entre vous 🙂 .
Vous recevez votre statut (en version papier) sous 15 jours dans votre boîte aux lettres. C’est un peu le cadeau du mois que vous attendiez tant.
À compter de cette date, vous avez alors la possibilité d’exercer en tant qu’auto-entrepreneur.
LA DÉCLARATION À L’URSAFF
Alors, le principal avantage du statut auto-entrepreneur, c’est la facilité dans la déclaration. Elle se fait directement sur le site de l’URSAFF, mensuellement ou trimestriellement, c’est à vous de choisir.
Les charges sont ensuite prélevées directement sur votre compte en banque, après validation de la déclaration. La déclaration s’effectue en 10 minutes maximum. Aucune perte de temps.
Les charges sont de 24 % dans la majorité des cas, à moins que vous ayez moins de 26 ans, et que vous puissiez bénéficier de l’ACCRE (aide de l’état pour les jeunes). Dans ce cas, vos charges sont réduites à 5 %, les deux premières années.
Ce qui n’est pas mon cas, mais je m’y suis faite (rire) !
Un exemple : Dans la situation où les charges sont de 24 %, si vous avez gagné 2 000 euros le mois dernier, vous paierez alors 480 euros de charges. Cela représente une certaine somme, en effet, mais croyez-moi, vous gagnez en liberté, je vous l’assure !
Pour les petits chanceux qui ont moins de 26 ans, vous ne paierez alors que 100 euros de charges, pour un chiffre d’affaires de 2 000 €.

TROUVER DES CLIENTS : DÉMARCHER DES ENTREPRISES
Bon, vous voilà auto-entrepreneur, mais, petit problème… vous n’avez pas de clients.
Rassurez-vous, c’est normal !
On n’a rien sans rien dans la vie. Et il faut donc réaliser un travail important de communication pour se faire connaître.
J’interviens, pour ma part, dans le domaine du bien-être. Mon objectif est de suivre des patients pour améliorer leur vie.
Même si j’ai déjà de nombreux patients, tous aussi chaleureux les uns-que les autres, je ne vis pas encore pleinement de cette activité. Et je dois donc sans cesse communiquer.
Mais quoi qu’il en soit, le cheminement en termes de communication est le même pour tout le monde.
Réussir à se faire connaître nécessite de disposer d’un minimum de supports :
La parole est la plus belle des ARMES, mais il est important d’avoir des documents à laisser à vos prospects pour qu’ils se souviennent de vous.
- Un site internet : vous pouvez trouver un freelance qui vous le fera sur https://www.codeur.com ou en envoyant des mails aux écoles. Parfois les étudiants doivent développer des sites internet pour des projets (vous ferez des économies).
- Des cartes de visite : Vista print
- Un blog : WordPress
- Des flyers (pourquoi pas ? Même si cela devient un peu obsolète).
Il faut également connaître les sites sur lesquels on peut trouver des missions et gagner en lisibilité :
Pour exemple : les graphistes, les photographes, les CM peuvent trouver des missions sur :
Pour ceux qui se sont spécialisées dans le bien-être (naturopathes, prof de yoga/sport/pilates, coach, médium…), la communication se fait davantage sur Instagram et LinkedIn.
On critique souvent les réseaux sociaux, et je suis la première à m’en éloigner le plus possible. Mais il ne faut pas pour autant les négliger. On y rencontre parfois des personnes fantastiques qui peuvent être de véritables tremplins dans votre activité.
LE CADRE ET LES HORAIRES
Ahhh, c’est une partie importante de mon article, car ce n’est pas évident de se créer un cadre de travail alors que l’on vous l’imposait auparavant.
Il y a encore un an et demi, mon réveil sonnait le matin à 7 heures, et cela 5 jours sur 7. Mon réveil était programmé sur une semaine de 5 jours de travail et toutes mes journées se ressemblaient.

Le lundi : c’était la journée la plus cruelle, car la plus éloignée du prochain week-end. Mais pourtant, elle était strictement identique à ma journée du vendredi en termes de missions et d’objectifs.
En fait, je prends conscience, maintenant et seulement maintenant, que tous ceux qui haïssent autant le lundi sont aussi ceux qui ne se sentent pas très bien dans leur vie professionnelle.
Car, quand tu aimes vraiment ce que tu fais, tu donnes autant d’amour à un lundi qu’à un vendredi.
En effet, en y réfléchissant, pourquoi une journée mériterait plus de considération qu’une autre ? La vie est courte, il faut profiter de chaque journée.
Petit récapitulatif de ce que je vivais auparavant :
J’arrivais au travail à 9h30 pétante sans une minute de retard. Sinon, je me faisais dévisager par mon manager avec ses grands yeux de Velociraptor. Eh oui ! Dans les grands groupes, on a souvent affaire à une population vieillissante, les jeunes préfèrent de plus en plus entreprendre.
Belle généralité que je viens de faire. Tout ce que je déteste, et à la fois je suis souvent tombée dans des grandes structures où la moyenne d’âge était de 10 ans supérieure à mon âge.
Pour en revenir au regard de mon manager : mais pourquoi me regardait-il ainsi ? Perdre quelques minutes le matin ralentit-il l’entreprise dans sa course au profit ?
Je ne crois pas, mais je pense que le principe du manager, c’est d’apprécier donner un cadre et des ordres les plus conformistes, sans vrai sens … en imposant et respectant une structure qui lui ait également imposée. Et c’est souvent comme cela et pas autrement.
Sans se demander si ses salariés / son équipe sont vraiment dans la productivité.
Ce que je détestais le plus auparavant, c’était cette routine et les horaires.
Aujourd’hui, c’est tout l’inverse. Mais attention ! Ce n’est pas pour autant une ambiance CLUB MED… bien au contraire.
Si vous voulez construire quelque chose de concret, il faut se bouger, et deux fois plus que lorsque vous travaillez pour quelqu’un.
Mais l’avantage, c’est que c’est vous qui vous fixez votre propre cadre, en fonction de qui vous êtes et de vos propres valeurs.
PETITS CONSEILS
Même si vous travaillez pour vous, il est important de se réveiller chaque matin de bonne heure. Même en cas d’insomnies ou de fatigue intense : on se réveille !! Vos alarmes ne seront pas forcément à la même heure chaque jour, mais il faudra vous astreindre à les faire sonner.

On s’oblige donc à faire sonner son réveil à la même heure que 80 % des gens : entre 7 heures et 8 heures.
Et, on ne lésine pas sur ses nuits. Il est impératif d’avoir ses 8 heures de sommeil par nuit pour être productif.
Dès le réveil, accordez-vous une séance de sport. C’est essentiel pour la forme et c’est un défoulement. On se sent aussi plus fort et on croit plus en nous. La séance de sport libère des endorphines, et vous vous sentez plus heureux dans cette période durant laquelle on peut éprouver quelques doutes..
Attention à ne pas se perdre dans le ratio TEMPS vs ARGENT.
Les deux sont importants pour développer sa nouvelle activité, mais croyez-moi ou non, le temps c’est l’UNITÉ.
On établit un budget pour savoir combien il faut pour vivre en début d’activité. Bien souvent, il est compliqué de vivre pleinement de sa nouvelle activité. On cumule alors avec son ancienne activité (en cas de reconversion) car on oublie pas que l’on a aussi des compétences dans ce domaine
Aussi, gardez du temps pour bien penser. Faites-vous un budget bien défini pour avoir un CADRE sans trop vous fatiguer avec des missions « alimentaires » (qui seront presque obligatoires dans les débuts, même s’il ne faut pas que cela dure trop longtemps).
Autre petit conseil : trouver un lieu où vous vous sentez bien pour travailler (dans les moments ou vous n’êtes pas chez le client ou avec un patient). Par exemple, le Starbucks, dans les moments de calme (pas à 18 heures) ou bien dans un coworking. À Paris, il y en a tout de même un certain nombre à des tarifs accessibles.
Mais, surtout, ne restez jamais en caleçon et petite culotte dans votre canapé moelleux : c’est la catastrophe assurée !!!!

LA RÉMUNÉRATION
Pour ma part, je suis en début d’activité, je continue donc à répondre à des missions marketing qui ne durent pas très longtemps. Je me laisse jusqu’à janvier, et l’oiseau décollera (rires).
Bien sûr, je souhaite vivre pleinement de ma nouvelle activité de Sophrologue/coach de vie. Mais au début, et c’est normal, « on n’a rien sans rien » ! Je le répète.
Nous ne vivons pas dans un monde de bisounours où tout tombe du ciel, loin de là même ! Et il faut bien en tenir compte.
Alors voici comment je procède pour la partie rémunération.
Pour la partie marketing, je propose un devis avec une estimation du prix de la mission à mon client. Il le valide ou non.
Dans le cas où il valide, j’exécute la mission. Et je lui fais une facture en fin de mission.
Le client a 30 jours pour faire le virement (c’est écrit dans les mentions légales qu’il doit respecter).
Pensez bien aussi à bien ranger l’intégralité de vos documents (devis et factures dans des dossiers bien prédéfinis) sur votre bureau d’ordinateur. Cet aspect organisationnel est important, il fait gagner du temps. Ou tout au moins, il permet de ne pas en perdre lorsque l’on recherche un document. On ne se perd pas, on trie, on range et on devient davantage maniaque, même si on ne l’était pas auparavant.
Pour ce qui est de la rémunération en tant que freelance, elle faut bien se mettre en tête qu’elle ne sera pas fixe. C’est souvent les montagnes russes. Vous aurez des mois où ce sera clairement la « dèche » … et des mois où vous aurez l’impression de gagner au loto : JACKPOT.
Ce qui procure aussi quelques excitations supplémentaires à la vie ! Mais, ne le cachons pas, on ressent aussi un « petit stress » supplémentaire. Un peu de méditation dans ce contexte n’est alors jamais de trop.
Vous pouvez alors gagner 500 euros un mois, comme 6 000 euros le mois d’après. Cela dépend aussi du moment où le client vous paye. Parfois, vous courrez clairement plusieurs semaines après votre argent. Et, dans ce genre de situations, le temps vous paraît très très lonnnng !
ÊTRE SON PROPRE PATRON / LE RAPPORT À LA LIBERTÉ
Être son propre patron, c’est plutôt excitant et gratifiant. Vous travaillez pour vous, en fonction de vos aspirations premières et de vos valeurs. Vous prenez davantage conscience de ce que vous voulez ou de ce que vous ne voulez plus dans la vie.
La vie professionnelle et la vie personnelle deviennent étroitement liées.
Et lorsque nous travaillons pour autrui, nous nous perdons souvent face à ce que « l’autre » attend de nous.
Dorénavant, c’est à vous de décider de ce que vous voulez ou non dans votre quotidien, et de ce que vous êtes prêt à accepter ou non. Personne ne vous imposera rien.
Je suis assez d’accord avec la définition générale de la LIBERTÉ : ” La liberté est l’état d’une personne ou d’un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère. C’est aussi l’état d’une personne qui n’est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu’un “.
La liberté peut être définie de manière positive comme l’autonomie et la spontanéité d’une personne douée de raison. La liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d’un système politique ou social, dans la mesure où l’on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique.
C’est exactement ce que je ressens au quotidien, le fait de ne plus être soumis à autrui et de n’écouter que mes envies.
La vie est courte : je suis jeune certes, mais les années à venir passeront tellement vite, alors, pourquoi faudrait-il que je m’inflige des contraintes ?
LES VACANCES D’UN AUTO-ENTREPRENEUR
Ce n’est pas forcément un aspect que je priorise, et c’est la raison pour laquelle je l’ai mis en fin d’article. Mais il faut savoir que lorsque vous vous mettez à votre compte, vous avez certes plus de temps pour voyager, mais aussi plus de responsabilités. Vos voyages deviennent parfois/souvent secondaires.
J’ai toujours été une sacrée voyageuse, et je le suis encore dans l’âme. Mais, désormais, je me dois de faire des sacrifices et des concessions. Après, j’ai eu la chance, très jeune, de faire un tour du monde, donc il serait mal venu que je me plaigne sur ce sujet.
Quoi qu’il arrive, c’est un peu l’inconvénient quand vous avez une activité d’indépendant : les congés payés, ça n’existe pas !! Si vous décidez de prendre 2 semaines de vacances, c’est à vos frais ! Cela dit, cela responsabilise terriblement. Vous prenez alors conscience que le statut de salarié, sur ce point, est plutôt avantageux.
CONCLUSION
Il n’y a aucune vérité, surtout de nos jours. Le monde du travail évolue à toute vitesse, et chacun y trouve son compte, à sa manière.
En tant qu’auto-entrepreneur, vous pouvez travailler de jour comme de nuit, les semaines comme les week-end, 35 heures comme 15 heures comme 102 heures, en France ou à l’étranger, pour vous ou pour les autres… Ce qui compte, c’est d’y trouver son équilibre et le bonheur.
Mais, c’est plutôt très agréable de se réveiller le matin en prenant plaisir à débuter la journée, en allant au travail (votre notion du travail) avec le sourire ou du moins sans la fameuse “boule au ventre” (on a tous déjà connu cela).
La vie est si courte et si belle à la fois quand on la prend du bon côté. Alors autant faire une activité que l’on aime.
La vie d’auto-entrepreneur est un bon compromis avant de monter son entreprise. Vous y apprendrez de nombreuses notions importantes, notamment au niveau de la comptabilité.
Les responsabilités sont importantes, les rencontres nombreuses (si vous vous donnez les moyens et que vous démarchez les bonnes personnes / on met de côté sa timidité) et l’autonomie vous aide à prendre confiance en vous.
Hormis le fait que les charges sont importantes (bienvenue en France :)), et que votre salaire est irrégulier et que vous devez anticiper les dépenses, être à son compte est véritablement une solution pour faire de sa vie professionnelle une réelle source d’épanouissement.

Régler ses problèmes de peau avec Miltaderm
J’ai testé pour vous : les séances Miltaderm pour régler mes problèmes de peau
Voici plusieurs années que je teste différentes techniques & machines de soins pour la peau.
Ancienne acnéique tardive (je sais … ce n’est pas très glamour et pourtant ça arrive) à cause d’un choc hormonal (vilaine pilule qui m’a mal été prescrite), j’ai été obligée de trouver plusieurs solutions pour régler ce soucis.
Tout y est passé : le Roaccutane, la pilule Diane 35, le laser , les soins du visage en tout genre … les dermatologues , les naturopathes , les endocrinologues ! Que Nenni, lorsque les boutons ne veulent pas partir , ils ne partent pas , je vous le confirme. Il n’y a que la patience qui fait évoluer un choc hormonal , afin que le corps et les hormones s’équilibrent de nouveau.
Bon , avec le temps ,(j’ai maintenant 28 ans) et une nouvelle pilule micro dosée de la génération 4 (Zoely), ces coquins ont disparu; mais jusqu’à quand …. ? je ne sais pas!!
Il suffit d’un arrêt de pilule et l’envie d’un bébé … et je suis bien consciente que ces vilains ennemis peuvent revenir du jour au lendemain avec le dérèglement hormonal et la situation. Sans être défaitiste bien évidemment , car j’ai une personnalité très optimiste bien au contraire. Mais une femme peut avoir des boutons jusqu’à 40 ans.
D’après le Docteur Valérie Leduc de chez “Médecine de la beauté”, notre génération souffre davantage d’acné tardive et hormonal que sa génération à elle.
En attendant , ma peau s’est plutôt stabilisée , mais il me reste encore quelques cicatrices d’acné. L’acné m’a réellement ravagé la peau à une période de ma vie (trois grosses crises a l’âge de 18 ans , 21 ans et 24 ans), forcément il reste des séquelles (c’est ça que d’être parfois un peu tête en l’air et d’en oublier sa pilule en vacances , du coup de sauter des jours/mois … et hop c’est parti pour la crise ! ).
De plus j’ai encore quelques boutons en période de règles; mais ça comme tout le monde je pense…
Mais bien maquillée ma peau paraît quand même bien saine et lumineuse.
D’ailleurs sans maquillage , j’ai aussi une peau relativement saine , mais avec des pores parfois dilatés, des cicatrices et des légers microkystes; je suis la seule à le voir j’ai l’impression ainsi que les médecins spécialistes qui trouveront toujours des irrégularités.
Comment j’ai connu Miltaderm et qu’est ce que Miltaderm?
Je suis tombée récemment nez à nez avec une page Instagram se prénommant « Médecine de la beauté », et ses photos archi vendeuses de femmes bien dans leur peau, grâce à une hygiène de vie irréprochable … et à une belle peau. Je suis bien dans ma peau ça tombe bien, mais ma peau laisse parfois à désirer.
Il est vrai que je n’ai pas atterri sur cette page par hasard, car certaines blogueuses influenceuses en parlaient déjà. Ça faisait un certain temps que j’avais envie de faire un bon soin pour régulariser ma peau et soigner mes anciennes cicatrices profondes.… alors au vue des bons commentaires , je me suis dit « pourquoi pas ».
Apparemment d’après ce que j’avais vu , cette machine fonctionnait sur ces petits tracas.

A quoi sert cette machine ?
Il s’agit d’une machine pour toutes les peaux, du plus clair au plus foncé. Procédé novateur associant un laser froid fractionné et des LEDs. Le rayonnement photonique est ensuite potentialisé par des tunnels magnétiques qui stimulent la production de nouvelles fibres de collagène et restructure les fibres existantes, d’où une régénération en profondeur avec un résultat exceptionnel.
Soins anti-âge
* Réjuvénation cutanée.
* Tâches de vieillesse.
* Effet liftant.
* Imperfections.
* Anti-rides.
Soins médicaux
* Biostimulation.
* Cicatrisation.
* Acné.
* Oedèmes.
* Inflammation.
Soins du corps
* Détoxication.
* Vergetures.
* Raffermissement.
Soins minceur
* Amincissement.
* Cellulite.
* Drainage.
Comment se déroule une séance Miltaderm ?
Le médecin me met dans une salle un peu à l’écart (la salle spéciale pour le Miltaderm, pas n’importe quelle salle ;)) et souhaite s’assurer que vous n’êtes pas claustrophobe.
En effet , le médecin m’a mis une machine au-dessus de mon visage , à quelques centimètres seulement de ma peau. Au départ ça peut être un peu impressionnant et surtout très peu commun.
Une machine qui allait par la suite diffusait les lumières rouges et bleues.
Elle n’a pas oublié de me mettre des petites lunettes (un peu les mêmes lunettes que lorsque vous faites des UV – ce qui n’est pas préconisé).
Elle m’a annoncé qu’elle restait avec moi en début de séance pour être certaine que je sois à l’aise et qu’il n’y aient pas d’effets indésirables durant la séance. (Ce qui n’arrive vraiment jamais , à moins que vous soyez justement un peu claustrophobe sans le savoir , ou que les lumières bleues et rouges vous surprennent).
La séance passe très vite … en début de séance je discutais avec le médecin (qui est d’ailleurs une superbe femme à la peau PARFAITE), puis j’ai fini par m’endormir.
Une micro sieste réparatrice ne dure-t-elle pas 20 minutes ? Parfait combo pour repartir avec une peau lumineuse , et requinquée grâce à la sieste.

Les résultats sur ma peau
Le médecin m’avait indiqué que je ne verrais pas les premiers effets tout de suite. Seulement après 2,3 jours le temps que la peau comprenne qu’on venait de lui faire un traitement d’attaque.
En effet , les 2 premiers jours j’ai même eu des boutons qui sont ressortis ; comme si la peau se libérait de ses impuretés.
Mais lorsque les deux jours sont écoulés , mon teint était bien plus lumineux , et surtout régulier.
Les pores resserrés , la peau moins fatiguée , disparition des microkystes et des cernes moins marquées.
Comme quoi , il y avait encore beaucoup de choses à améliorer (rires).
Quel coût pour une séance Miltaderm ?
Ceci-dit , on ne va pas se voiler la face , ce type de soin c’est quand même un vrai budget : 120 euros la séance , et le premier mois 1 séance / semaine est préconisée , puis 2 séances / mois, pour finir sur « une fois de temps en temps ». C’est donc un soin qui n’est pas miraculeux , il faut du temps et de la patience.
Mais de tous les soins que j’ai fait ces dernières années , il fait partie des meilleurs. Et le médecin Valérie Leduc vous conseille avec patience, professionnalisme, et empathie.
Sans oublier le salon du docteur qui est magnifique !!!
Depuis la salle d’attente on est déjà impatient de faire le soin.
Contact : Médecine de la beauté – 5 rue Chambiges 75008 Paris – 01 45 63 07 82

Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

Réflexion à travers le grand écran et les podcasts
On parle souvent du cinéma comme une activité qui nous détend et qui nous évade. Azorin disait d’ailleurs que « le cinéma doit apaiser ». Une vraie coupure dans notre quotidien très prenant.
Mais si le cinéma nous permettait aussi de beaucoup réfléchir, voire de changer notre vision de la vie et nos habitudes parfois très ancrées ? Il faut alors bien choisir ses films pour qu’ils aient des effets positifs et d’apprentissages sur vous.
Je vais au cinéma à hauteur de trois à quatre fois par semaine (j’ai une carte Gaumont en illimité, ce qui est très pratique et rentable). J’ai une grande affinité pour les drames historiques et les films science-fiction, mais j’adore tout autant les documentaires et les films engagés.
Dans la continuité de mes articles sur le positivisme, l’optimiste, et les challenges de vie , je vous mets ci-dessous six films à voir et revoir qui vous apporteront que du bon.
Et, ça fait du bien !
En quête de sens
L’histoire de deux amis qui ont tout quitté pour questionner la marche du monde. Leur voyage initiatique sur plusieurs continents est une invitation à reconsidérer notre rapport à la nature, au bonheur et au sens de la vie.

Demain
Et si monter des solutions , raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales, que traversent nos pays ?

Into the wild
Tout juste diplômé de l’université, Christopher est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l’existence confortable et sans surprise qui l’attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui.

La vie rêvée de Walter Mitty
Walter Mitty est un homme ordinaire, enfermé dans son quotidien, qui rêve de s’évader. Mais confronté à une difficulté dans sa vie professionnelle, Walter doit trouver le courage de passer à l’action dans le monde réel.

The power of intuition
D’éminents penseurs, artistes et spiritualistes débattent du concept islandais de l’Innsaei, notre monde intérieur d’où naissent entre autres empathie et intuition

Minimalism
Ce documentaire donne la parole à des personnes qui réfutent l’idéal matérialiste américain et qui montrent que la clé du bonheur est de se contenter de peu.

Les Podcasts
Le podcast est devenu un vrai concurrent de la radio. Pour ma part je les écoute sur Apple podcast; ils sont presque tous répertoriés dessus.
Vous pouvez les écouter en voiture, au saut du lit chez vous, dans le métro… c’est encore plus pratique que de regarder un film.
Nouvelle école
Le podcast en français pour sortir des sentiers battus. Entrepreneurs et artistes, ils racontent leur histoire et ce qui les pousse à tracer, chaque jour, leur propre chemin. www.nouvelleecole.org
Change ma vie
Change ma vie est le podcast qui vous donne des outils pour l’esprit. Des découvertes qui vont changer votre vie intérieure. www.changemavie.com
Génération XX
Podcast de conversations avec des femmes qui entreprennent, à des âges et dans des milieux différents. Elles ont en commun d’être passionnées, créatives, inspirées et inspirantes. www.generationxx.fr
The tim ferriss Show
Le podcast de Tim Ferriss où il relate ses conversations avec les personnalités les plus inspirantes de notre époque. http://tim.blog/podcast/
Ca peut pas faire de mal
Le podcast de Guillaume Galienne où chaque semaine il nous fait découvrir une des grandes œuvres de la littérature. www.franceinter.fr/emissions/ca-peut-pas-faire-de-mal
La vie intérieure
Podcast de Christophe André, spécialiste de l’âme humaine, médecin et psychiatre. Un voyage dans le monde des émotions et des sensations.

Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

La gratitude, on l’aime et on le montre
William Arthur Ward, La vie t’a offert 86,400 secondes aujourd’hui. En as-tu utilisé une seule pour dire merci ?
La gratitude, ou la reconnaissance, est la réponse appropriée ou attendue à l’aide d’un bienfaiteur. La gratitude c’est aussi le fait de se remémorer des bons souvenirs avec autrui et grâce à autrui , et c’est bon pour le cerveau. C’est même excellent ! Le seul hic c’est que ce phénomène se fait bien trop rare, car l’être humain malheureusement devient de plus en plus centré sur lui , et sur ce qui ne va pas dans sa vie. Car c’est toujours plus puissant de se faire croire à soi-même que nous allons mal (trèeeees mal) , plutôt que de se dire que nous allons bien.
Qu’est-ce que la gratitude ?
Finalement la gratitude, c’est le fait de se concentrer sur l’inverse de ce qui ne va pas. Si on ne se concentre que sur les choses positives de notre vie , les journées seraient bien moins épuisantes. Et pour ma part , j’y crois.
Exemple de gratitude
Je ne sais pas si vous avez vu ce film Room qui est tiré de l’histoire vraie de d’Elisabeth Fritzl, une autrichienne de 42 ans, violée et séquestrée par son père Josef Fritzl. Elle décide de faire croire à son fils que leur prison est en fait le monde. Un synopsis qui fait froid dans le dos, inspiré d’un fait divers autrichien de 2008. Dans le film , cette jeune femme est enfermée avec son fils (né d’un viol) par son bourreau depuis sept ans. 7 années dans une petite pièce de 11 m2. Ce jeune garçon n’a jamais rien connu à part cette minuscule pièce étouffante et oppressante. Mais n’ayant jamais rien connu d’autres , il n’a pas la conscience qu’autre chose existe a l’extérieur. Il ne connaît ni la nature, ni les transports, ni les commerces , ni autrui …. Il s’invente son propre monde à lui , motivé par les paroles très optimistes de sa maman , qui souhaite à le protéger.
Pour en revenir à notre sujet et à la gratitude , ce jeune garçon de 7 ans, remercie et prend conscience chaque matin de ce qu’il a. Une chaise est une chaise et a son importance , de même pour un lit , ou un stylo.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude il remercie chaque matin la chance qu’il a que d’avoir chaque objet.
Et encore … nous parlons de l’aspect materiel là , alors qu’il remercie en premier lieu sa mère pour tout ce qu’elle lui donne , lui apporte et l’éducation dans laquelle elle s’est investie. Une maturité sans nom , pour un jeune enfant d’à peine 7 ans.
Et pourtant , c’est le modèle sur lequel nous devrions nous pencher pour être réellement heureux. Réussir à prendre conscience de ce que nous sommes , et être reconnaissant de ce que nous possédons. L’amour de nos proches, les gestes de chacun à notre égard, la santé que nous avons, les membres de notre corps bien présents et qui fonctionnent …. !
Seulement , aujourd’hui … nous ne prenons même pas le temps d’être conscient de ce que nous avons, que nous voulons déjà autre chose. Ce qui est bien dommage, car c’est alors signe de frustration.
La gratitude et le rapport à soi
On ne va pas se mentir , la frustration est l’un des ressentis les plus désagréables. La frustration place l’individu dans l’attente de la réalisation de quelque chose qui ne se fera pas. A ne pas être reconnaissant de ce que nous avons et de la vie que nous menons, nous rejetons alors celle-ci. Et cela laisse place à des émotions internes qui peuvent être nocives. L’impatience , la colère , la tristesse … et plus grave encore , elle peut mener à la dépression. Il est important de prendre conscience des chances que nous avons à un moment T , et que rien n’est acquis ni même universel. N’oublions pas que nous sommes nos meilleurs amis. La personne la plus importante dans la vie de tout à chacun c’est soi. Il faut alors se ménager, s’apaiser et se faire confiance en commençant par regarder le meilleur en nous.
Ce que je tente de faire chaque matin et chaque soir c’est de prendre conscience de la chance que j’ai; je mets sur papier une phrase de remerciement le matin et une phrase de remerciement le soir.
Je vais vous donner plusieurs exemples :
- Merci pour la nuit que je viens de passer et merci d’avoir réussi à trouver le sommeil et ne pas avoir eu de migraines ni d’insomnies. (depuis toujours, je suis sujette à l’un et l’autre)
- Merci pour la rencontre improbable mais forte que je viens de faire devant la boîte aux lettres (en ouvrant du courrier pas des plus agréables)
- Merci à ma jambe qui ne m’a pas joué des tours durant mon footing (alors que celle-ci est abîmée depuis un certain temps)
- Merci à ma volonté d’être si persévérante en ce moment
- Merci à mon passé rude qui m’a permis d’être une femme forte en toutes circonstances
- Merci à mon ange gardien qui se situe sur mon épaule droite qui me fait rencontrer les bonnes personnes au bon moment
- Merci à ma morphologie qui me fait rester mince, alors que je mange du chocolat et des pizzas bien trop souvent
Faites-vous un carnet de « gratitude » et tentez de le remplir chaque jour.
Vous verrez qu’au final, il s’en passe des choses merveilleuses dans votre vie.
La gratitude, et le rapport aux autres
La gratitude envers les autres est toute aussi importante. Nous passons une majorité de nos journées entourés ; il faut alors s’imposer le fait d’être gratifiant envers les personnes qui nous font du bien. Et leur rendre aussi la pareille en leur faisant du bien. Ensuite , cette action deviendra plus naturelle avec le temps. Tout être humain a besoin d’affection , d’attention et de reconnaissance. Nous sommes dans une société rude, ou « l’individualisme » prime parfois , il faut aller à l’encontre de cela , et savoir dire merci à ceux qui le méritent.

Celle-ci contribue à long terme dans les relations et le bien être personnel… Jusqu’à 6 mois après une expression délibérée à son partenaire. Apprendre à dire merci à son prochain quand il a réalisé une action qui nous a permis d’être plus apaisé ou d’être aidé.
De même au travail , il faut être reconnaissant face à ce que les autres font , pour que l’univers de travail global soit sain.
*Cela peut aussi s’opérer avec n’importe qui :
– Remercier pleinement le taxi, pour sa bonne conduite
– Remercier le livreur d’être arrivé à l’heure, ce qui m’a permis d’être à l’heure à mon rendez-vous d’après, décisif au possible
– Remercier la femme de ménage pour sa prise d’initiatives à avoir laver les fenêtres
– Remercier mon ami pour m’avoir prêté un livre fantastique, que je n’aurais jamais connu sans lui
– Remercier ma sœur pour m’avoir appris quelque chose d’essentiel aujourd’hui …
Bienfaits de la gratitude
La gratitude peut transformer votre routine en jours de fête. disait William Arthur Ward
Le savez-vous ?
1. La gratitude rend plus patient : généralement, quand on est conscient de certaines chances que nous avons, on devient moins agressif et impatient face à ce que nous n’avons pas.
2. La gratitude améliore nos relations de couple
Dites-vous assez souvent « merci » à votre cheri(e)? Si ce n’est pas le cas apprenez à le faire , ça vous fera passer de meilleurs moments ensemble.
3. La gratitude stimule le bienêtre et aide les autres à prendre soin de soi
Complimentez toujours vos proches , cela les aidera à trouver la paix intérieure et à être bien en votre présence. C’est un peu un effet miroir.
4. La gratitude aide à dormir
C’est probablement parce que des pensées plus positives nous inondent avant de s’endormir, ce qui peut apaiser le système nerveux.
5. La gratitude soulage la dépression
Qui a dit qu’il n’y avait pas de remède à la dépression ? Faux et archi faux ! Soyez reconnaissants de chaque chose qui vous entoure et vous verrez la différence.
6. La gratitude prolonge le bonheur
Et oui , c’est prouvé..

Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !




