Votre panier est actuellement vide !
Catégorie : Bien-être
-

Diminuer le stress par de petits gestes au quotidien, c’est possible !
Se ronger les ongles en public, avoir la jambe qui frétille sous le coup de la nervosité, replacer une mèche de cheveux frénétiquement… tels sont les gestes qui trahissent l’expression du stress au quotidien. Car n’importe quelle situation peut être source de stress chaque jour, il est important de rapidement endiguer cette gêne avant qu’elle n’apporte avec elle des angoisses intenses voire un état d’anxiété. Et diminuer le stress au quotidien, c’est possible !
D’où vient le stress ?
Que vous soyez étudiant.e, jeune parent ou encore à l’aube d’une situation particulièrement importante (mariage, divorce, accouchement, promotion au travail…), le stress peut se manifester. Mais concrètement, qu’est-ce que le stress ? Il est assez complexe de définir le stress, bien que certains éléments soient intangibles. Le stress serait alors la perception d’une situation ébranlant l’équilibre et/ ou le bien-être d’une personne. Il se manifeste dans diverses situations qui sont propres à chacun. En effet, nous ne sommes pas tous sensibles au même stress.
Physiquement et psychologiquement, il se manifeste de diverses façons : apparition de TIC (mouvement répété de façon obsédante, comme se ronger les ongles), de TOC (troubles obsessionnels du comportement), ou encore de désagréments au niveau du système digestif, du sommeil, de l’appétit ou de la vessie. Et également par des crises d’angoisse gérées avec de l’hypnose contre le stress.
En général, les situations de stress sont des cas isolés. Mais le stress peut également être un stress dit pathologique auquel cas il faut alors consulter pour éviter des complications.
Qu’est-ce que le « bon stress » ?
Certaines personnes parlent cependant de l’existence d’un « bon stress ». Toutefois, quand on y regarde de plus près, il n’existe pas vraiment de bon stress. Le stress est en effet ce qu’il est : du stress. Tout dépend finalement de la façon dont nous réagissons à ce stress. Après tout, qui n’a jamais attendu le dernier moment pour faire un devoir, utilisant alors le stress de la punition ou de l’heure de colle comme la plus forte des motivations ?
En le transformant en une énergie nouvelle et bienfaitrice c’est déjà une façon de se débarrasser d’un stress que l’on vivrait mal. De la motivation peut naître d’un stress ressenti. Parfois, il permet également de s’adapter à un nouveau contexte, une nouvelle situation plus rapidement. Néanmoins, le stress reste en grande majorité perçu comme un élément malvenu et désagréable des quotidiens.
Ainsi, le « bon stress », serait un stress d’une certaine intensité qui permettrait à la personne qui le ressent de ne pas se sentir dépassée par la situation, mais au contraire d’en rester maîtresse pleinement.
Est-il possible de s’en débarrasser ?
Le stress peut rapidement se montrer… Il s’immisce dans les failles invisibles de nos quotidiens pour ensuite prendre le pas sur la raison. Mais il peut aussi faire croire à notre corps que nous sommes en situation de danger. Le stress pousse également le corps à être dans une situation d’alerte quasiment continue et ne finit par s’en aller que lorsque le facteur de stress disparait.
Si les avis divergent volontiers sur l’existence d’un « bon stress », il est à noter que le stress est un phénomène naturel voire inhérent à l’être humain. Avec les changements que la société a connus, le stress est davantage synonyme de négativité, de combat intérieur voire de mal-être que d’énergie et de motivation…
Bon ou mauvais, le stress devient rapidement un nuisible coriace au quotidien. Heureusement, il est tout à faire possible de s’en débarrasser !
Les gestes à adopter au quotidien !
Malgré tous ses mauvais côtés et les symptômes parfois tenaces qu’il présente et fait endure, il y a une bonne nouvelle ! Le stress peut être endigué via des gestes simples à adopter au quotidien. Une fois ceux-ci présents dans vos habitudes, le stress ne sera qu’un lointain souvenir désagréable. Et puisqu’il provient le plus souvent d’éléments extérieurs que le corps ou l’esprit ne parviennent pas à gérer, il est possible de : nature
Ecouter un podcast : cela peut vous permettre de vous concentrer sur autre chose et ainsi éliminer les premiers signaux de stress.
Masser son visage : l’automassage facial est réputé pour permettre de se détendre rapidement. Certains points du visage –utilisés notamment en acupuncture- offrent ces bienfaits. Sont alors à privilégier les zones entourant les sourcils, le front, le menton ou les tempes. Cela peut également fonctionner avec le massage des paumes de mains ; de l’intérieur vers l’extérieur, les paumes de mains recèlent de nombreux nerfs qui permettent de ressentir une sensation de détente rapidement.
Faire une pause : surtout au travail, le stress peut rapidement devenir prépondérant. Faire une pause permet de se changer les idées, de s’aérer l’esprit et de repartir sur de meilleures bases, allégées de tout stress possible.
Améliorer son environnement de travail : des « jouets » antistress, une boule en mousse à serrer, des plantes sur le bureau… améliorer son environnement de travail, ça passe aussi par des petits détails qui permettront de vous sentir mieux au quotidien.
Le rire fait fuir le stress : regarder une vidéo drôle, rire avec des collègues ou lire les derniers messages drôles de ses amis, telles sont des choses qui peuvent permettre de faire fuir le stress. Parce que le rire libère des endorphines, il réduit ainsi l’anxiété, les angoisses et le stress.
Parler, dialoguer : le fait de parler avec d’autres personnes permet également de réduire le stress. Cela peut fonctionner pour les personnes qui ont besoin de se raccrocher à des choses plus « concrètes » en situation de stress. Alors n’hésitez pas, ouvrez-vous aux autres, comme un thérapeute avec de l’hypnose thérapeutique à Paris et le stress s’enfuira ! (attention toutefois, pour d’autres personnes, le fait de parler avec d’autres individus peut être une source supplémentaire de stress.)
Les méthodes sur le long terme
Pour se débarrasser du stress, il existe aussi des méthodes sur le long terme. Cela fait davantage référence à des ateliers sur le bien-être ou appel aux médecines parallèles. Et pour cause, ils parviennent à proposer des solutions qui durent dans le temps. C’est notamment le cas concernant :
Le yoga : étant une activité qui joue sur l’équilibre du rythme cardiaque, l’accélérant ou le réduisant selon les mouvements, le yoga permet de réduire la pression artérielle. En situation de stress, il vous donne la force et le pouvoir de contrôler ainsi votre respiration et de réduire le stress.
L’activité physique : en pratiquant une activité physique régulière (même marcher dix minutes par jour), le corps et l’esprit s’aèrent, se changent les idées. De manière générale, le sport permet de délivrer des endorphines dans le corps, ce qui réduit le stress de manière significative. Et pour ceux qui n’aiment pas le sport, il est possible d’apprécier le sport en pratiquant un sport qui vous plait !
La méditation : de récentes études accordent à la méditation de plus en plus de crédit et de bienfaits au quotidien. Et pour cause, la méditation –surtout celle de pleine conscience- permet de réduire le stress et les états d’anxiété. Prenez du temps pour vous et votre corps !
La sophrologie : médecine parallèle de la respiration et de tout ce qui s’y relie, la sophrologie permet de réduire le stress également. Le stress étant directement relié au système respiratoire, la pratique régulière de la sophrologie permettrait de pouvoir gérer le stress au quotidien grâce aux exercices qu’elle propose.
L’hypnose : enfin, l’hypnose contre le stress pour monter sa boite par exemple, s’attaque directement à la source de stress et/ou d’anxiété, et permet d’évacuer celle-ci afin d’éviter le burn-out, conséquence directe d’une trop grande accumulation de stress.
En quelques mots…
Le stress est ainsi inhérent à l’être humain. Pour autant, cela ne signifie pas qu’il doit être sans cesse subit sans réplique. Les gestes du quotidien permettent de le faire fuir rapidement, et d’autres pratiques sur le long terme peuvent également offrir de nouveaux moyens de s’en débarrasser. Cela va évidemment de pair avec une bonne hygiène de vie, des repas équilibrés et des nuits reposantes au maximum.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose dans la capitale, mais également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Loin des tracas et du stress quotidien, celles-ci offrent la possibilité de s’écouter, se découvrir et se comprendre plus profondément.
-

Nettoyer son foie au printemps
Saison du renouveau et de la mise en place, le printemps est également propice aux détox en tous genres. Mais plus que la détox, il semble particulièrement important de faire attention au foie. Cet organe n’échappe pas à la règle : il est important de le nettoyer de temps en temps ! Et pour cause, le petit organe du foie représente surtout une source de colère, puisqu’il est directement relié à cette émotion. De même, le bon fonctionnement du foie permet le bon fonctionnement de nombreux autres points du corps humain (les tendons, les ongles, les yeux et le sang). Alors comment prendre soin de son foie au printemps, et surtout le nettoyer de la bonne façon ?
L’importance d’un foie en bonne santé
Le foie est un organe qui, tout comme les autres, a une importance dans le bon fonctionnement du corps humain. Tout étant relié entre le corps et l’esprit, il suffit d’un déséquilibre pour que d’autres douleurs naissent alors dans le corps. Selon le centre hépatobiliaire, le foie gère :
- La sécrétion de la bile ;
- La détoxication ;
- Les sécrétions du corps ;
- L’équilibre de la circulation ;
- L’immunité du corps ;
- Métabolisme des micro et macro nutriments.
Et pour aller encore plus loin…
Pourquoi nettoyer son foie au printemps ?
Afin de bien comprendre toute la valeur du foie pour le corps, les émotions et l’esprit, il faut se pencher sur la médecine traditionnelle chinoise. Elle relie effectivement le foie avec :
- Les tendons ;
- Les ongles et les yeux ;
- Le drainage du sang ;
- La colère ;
- L’impatience,
- Le ressentiment
- L’impulsivité.
Dans la médecine traditionnelle chinoise, le printemps est directement lié à l’organe du foie ! C’est aussi ce pour quoi le printemps est la saison de la colère et de la mise en place. Il est donc important de nettoyer son foie au printemps. D’une part, cela permet de détoxifier le foie et par extension beaucoup de micro systèmes du corps humain. D’autre part, nettoyer le foie permet également de se libérer des émotions auxquelles il est directement relié et qui dépendent de son bon fonctionnement.
Comment savoir quand il est temps de nettoyer son foie ?
Si le printemps semble propice au nettoyage du foie, c’est surtout en médecine traditionnelle chinoise que cela s’explique. Le printemps est une saison directement en lien avec cet organe vital, et il est possible de le faire à cette période pour bien recommencer l’année. Toutefois, certaines gênes et douleurs peuvent également vous mettre la puce à l’oreille ; est-il temps de nettoyer votre foie ? Probablement !
Parmi ces gênes et douleurs, on retrouve notamment :
- Des douleurs dans les côtes ou la cage thoracique ;
- Inflammation des yeux (larmes, grattages, vision trouble) ;
- Migraines et vertiges ;
- Boule dans la gorge ;
- Tensions physiques et émotionnelles.
Si ces signaux apparaissent, il est alors peut-être temps de nettoyer votre foie. Néanmoins, si ces gênes n’apparaissent qu’une seule à la fois, cela peut aussi être lié à d’autres déséquilibres dans le corps, qui n’ont peut-être rien à voir avec le foie. En cas de doute, il est important de consulter.
Comment nettoyer son foie ?
Le nettoyage du foie passe principalement par l’alimentation. Le processus peut toutefois être accompagné de tisanes. Le nettoyage du foie permet à cet organe de se « reposer » en faisant moins travailler le système digestif, en évitant les graisses et les huiles, mais aussi en éliminant les aliments qui ont un important effet pro-inflammatoire.
Cela permet également d’équilibrer les hormones dans le corps, d’améliorer les fonctions immunitaires, le transit intestinal ou la digestion. Et plus généralement, le nettoyage du foie permet de fournir des nutriments pour revitaliser l’entièreté du système cellulaire et soutenir les autres organes.
Quels aliments pour nettoyer son foie ?
Privilégiez les légumes : en particulier les légumes verts qui se révèlent très bons pour le foie. Les légumes amers comme l’endive également. De même, les crucifères (choux, brocoli, choux de Bruxelles…etc.) sont également de bons alliés lors d’un nettoyage du le foie. De même, les jus, bouillons et autres soupes sont également à préférer lors du processus de nettoyage du foie. Ils permettent en effet de reminéraliser le corps, ce qui encourage les tissus à se débarrasser des toxines et des déchets.
Outre les légumes, c’est surtout une alimentation biologique ou très naturelle que l’on va mettre en lumière sur les assiettes. Parmi les aliments à privilégier, on retrouve :
- L’avocat (qui aide à filtrer le foie) ;
- Le curcuma (améliore la production de bile et maintient le foie en bonne santé) ;
- L’ail et l’oignon (parfaits pour protéger et nettoyer le foie) ;
- Les légumes crucifères ;
- Les céréales complètes (elles auraient des vertus pour le foie et le système cardiaque) ;
- Les fruits (il est possible de manger des fruits, mais pas tous à la fois. De même, il est préférable d’éviter les jus trop concentrés et de privilégier des jus naturels).
Enfin, les tisanes sont également un outil important pour le nettoyage du foie. Elles permettent d’hydrater et de purifier le corps dans son ensemble, mais en adaptant certaines plantes, la tisane permet également de détoxifier le foie. Certaines herbes sont d’ailleurs plus efficaces que d’autres. C’est le cas pour :
- La chlorelle : elle aide à éliminer les métaux lourds de l’organisme ;
- Le pissenlit : aide le foie dans la digestion et l’élimination des toxines ;
- Le chardon-marie : cette plante possède à la fois des vertus protectrices pour le foie et stimulatrices pour le fonctionnement de celui-ci ;
- Le boldo ou le radis noir : encouragent la sécrétion de bile ;
- Le desmodium : cette plante apporte une aide importante puisqu’elle permet de drainer le foie et aide aussi à régénérer les cellules de celui-ci. Enfin, il stimule le foie sans prendre le risque de l’irriter ;
- Le curcuma : c’est l’épice attitrée du foie. En effet, le curcuma permet d’assister le foie dans ses fonctions naturelles, tout en améliorant son nettoyage naturellement.
En quelques mots…
Ainsi, le nettoyage du foie est parfois un rituel important. Lorsque la nouvelle saison arrive, c’est souvent la meilleure période pour pouvoir se lancer dans un nettoyage du foie complet – parce qu’un foie en bonne santé, c’est un corps en bonne santé ! Grâce à une alimentation adaptée et des herbes accompagnatrices, il sera alors possible de trouver l’équilibre entre se faire plaisir et nettoyer son foie.
De plus, pour un nettoyage encore plus total, il est possible de faire appel à différents professionnels de la santé.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je vous accueille à Paris pour des soins du corps ou du visage (drainage lymphatique), ou des séances d’hypnose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De plus, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Au plus porche de la nature, les retraites sont un lieu de bien-être et de découverte de soi, loin des soucis quotidiens.
-

Se connaître pour se faire plaisir
Dans la vie, se faire plaisir, c’est important ! Et le plaisir passe à travers de nombreux petits détails qui s’établissent dans la vie quotidienne. Il peut s’agir d’une grasse matinée ou d’un coucher de soleil avec une bonne tisane, tout comme le plaisir passe à travers une soirée entre amis ou rendre visite à sa famille ou encore une balade dans la nature qui agit sur le bien-être et est une hypnose contre le stress. Chaque personne trouve son propre plaisir dans différents endroits, diverses actions ou même différentes contemplations. La chose essentielle étant de se connaître suffisamment pour savoir quels sont les détails de la vie qui vous procureront du plaisir !
Se connaître psychologiquement
Se connaître psychologiquement, cela comprend le savoir qu’une personne possède à propos de sa psychologie. Il est à noté que tout ce qui touche à la spiritualité d’un individu est également comprise dans la connaissance psychologique. Autrement dit, c’est le fait de savoir quelles sont ses limites et ses forces. Mais se connaître va également au-delà de ces simples informations, puisque d’un point de vue psychologique, il s’agira de découvrir, d’apprendre, d’accepter tous les mécanismes, les blessures, les forces et les faiblesses que vous possédez. D’où l’importance de se connaître à travers son propre regard !
Parmi ce qui compose la connaissance psychologique d’une personne, l’on peut notamment citer : les croyances limitantes, la valeur de l’individu dans son propre regard, l’estime que l’on se porte mais aussi la confiance que chacun place en soi. C’est avoir conscience de ses limites comme de ses atouts, de ses compétences, de ses facultés, mais aussi des blessures qui laissent des traces.
Afin de se connaître psychologiquement, il est possible de :
- S’auto-observer ;
- S’accepter dans la totalité de ce que l’on est ;
- Etre bienveillant envers soi-même quand on fait une erreur ;
- Etre bienveillant envers soi-même lorsqu’on réussit quelque chose ;
- Ecouter son instinct et les envies de son cœur ;
- Ne pas se fermer au changement que la vie provoque et qui nous atteignent.
En se connaissant psychologiquement, il est alors possible de se faire pleinement plaisir. Et pour cause, si vous vous connaissez, vous saurez quelles sont les situations qui vous font du bien, les besoins qu’il vous est nécessaire de combler. Mais plus encore, vous saurez de quelle façon les combler !
Se connaître physiquement
Se connaître physiquement va bien au-delà du fait de savoir quelle taille de pantalon ou de chaussures il vous faut. Tout comme pour se connaître psychologiquement, il va s’agir de plonger en soi-même pour en déceler tous les méandres, en découvrir chaque recoin. À la façon dont on découvre un nouveau lieu, se connaître soi-même passe à travers différentes étapes qui permettent de sonder qui l’on est au plus profond de soi.
Parmi ce qui compose la connaissance physiologique et physique de soi, l’on peut notamment citer : la connaissance de ses limites physiques, les liens entre le corps et certaines émotions –lesquelles sont le plus difficile à gérer pour vous ?-, mais également le sport qui vous plait qui agit comme de l’hypnose, les aliments qui vous ravissent…, en bref, tout ce qui permet à votre corps de se faire plaisir ou du bien !
Pour se connaître physiquement, il est possible de :
- Ecouter les signaux de son cœur et de son corps ;
- Ecouter ses émotions et les accepter (elles sont présentes pour une bonne raison) ;
- Faire confiance aux réactions de son corps (il sait parfois des choses avant le cerveau) ;
- Découvrir les limites de votre corps dans la bienveillance (elles sont parfois plus loin que ce qu’on pense !) ;
- Se faire plaisir !
Enfin, se connaître physiquement implique également de pouvoir se faire plaisir de façon saine et bienveillante. Respecter son corps, ce n’est pas forcément aller à la salle de sport tous les jours ; c’est l’écouter, le chérir, l’accepter tel qu’il est en dépit des changements auxquels il fait face… Il est essentiel de faire passer le bien-être mental et physique avant les injonctions que la société ou les autres peuvent faire peser sur nous parfois.
Se connaître sexuellement
Enfin, se connaître sexuellement est la dernière touche finale du tableau que votre être compose. Et pour cause, la sexualité, bien qu’encore souvent taboue, est l’un des piliers du bien-être. Afin d’avoir une sexualité épanouie et pouvoir se faire plaisir, il est important de d’abord explorer cette partie-là de soi par ses propres moyens. En effet, si vous ne savez pas ce que vous aimez, comment un partenaire pourrait le savoir ? Bien qu’il soit tout à fait possible de découvrir de nouvelles choses tout au long de sa vie.
Parmi ce qui compose la connaissance sexuelle de son propre corps, on peut notamment citer : les zones érogènes, le plaisir, la sensualité, les préférences personnelles, l’intensité du désir, la variabilité de la libido… etc.
Pour se connaître intimement, il est important de :
- Prendre son temps, trouver son propre rythme ;
- Expérimenter seulement si on en a l’envie ;
- Ecouter ses désirs, ses envies ou ses doutes ;
- Favoriser la communication avec vos partenaires ;
- Découvrir où naît son propre plaisir.
Ainsi, en se connaissant sexuellement, vous vous offrez la possibilité de mieux profiter des moments intimes. Il n’y a en effet aucun mal à guider l’autre personne si elle veut vous faire plaisir. La communication est la clé. Qu’elle s’établisse entre soi et ses désirs, ou les désirs de la personne en face, il est important que les notions de respect et de bienveillance soient respectées.
En quelques mots, pour se faire plaisir…
Le plaisir passe par tous les aspects de notre vie. Se faire plaisir, c’est s’accorder du temps et décider de se faire un petit cadeau. Parce qu’on en a l’envie ou le besoin, se faire plaisir est primordial, surtout durant les périodes ou les nuages de tracas s’accumulent. Alors que cela passe à travers la lecture d’un bon bouquin, un carré de chocolat ou un orgasme avec un partenaire, foncez ! Se faire plaisir n’a jamais été aussi simple qu’en se connaissant !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnothérapie, mais aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique – aussi un moyen de se faire plaisir… !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être tout au long de l’année qui permettent de se trouver au plus proche de la nature et de soi-même. Afin de se (re)découvrir, embarquez dans un voyage intérieur riche en émotions et en apprentissage.
-

Dormir mieux pour réduire les risques d’AVC
Qui ne s’est jamais senti fatigué à peine quelques minutes après le réveil ? La fatigue est parfois joueuse, et échappe aux nuits difficiles. Mais si les médecins recommandent des nuits d’environ huit heures pour une personne adulte, il se pourrait bien que certaines études établissent un lien entre le temps de sommeil et le risque d’AVC. De même, l’heure du coucher aurait également une influence sur la qualité du sommeil.
Ce qui favorise les risques d’AVC
La fatigue serait l’un des risques principaux d’AVC. Et plus exactement, c’est car la fatigue influencerait directement les taux de « régulateurs physiologiques essentiels » selon le professeur Christopher De Souza. Plus particulièrement, ce sont les micro-ARN, capables d’affecter de nombreux gènes, qui en seraient à l’origine.
Outre la fatigue, de nombreux autres paramètres peuvent augmenter les risques d’AVC, comme l’hypertension, la sédentarité, le taux de cholestérol, une mauvaise alimentation ou le tabagisme. Le diabète, la consommation d’alcool ainsi que le stress sont également des facteurs non-négligeables.
Les risques d’AVC sont ainsi augmentés selon divers modes de vie ou maladies existantes. Le sommeil, s’il est bon et réparateur, peut diminuer ces risques de manière significative. Alors comment cela fonctionne ? Et de quelle manière est-il possible d’optimiser son sommeil au quotidien ?
Un bon sommeil pour réduire ces risques
Les études se multiplient à propos des bienfaits du sommeil. Mais encore faut-il avoir un « bon sommeil ». Si pour certaines personnes, cela se traduit à travers un certain nombre d’heures de sommeil, pour d’autres, il s’agira de ne pas être interrompu par des réveils incongrus ou des rêves effrayants. Les scientifiques estiment quant à eux qu’un sommeil est bon « lorsqu’au moins 85% du temps total passé dans le lit est consacré au sommeil », selon un article de santé magazine.
Pour autant, la grande majorité des gens ne peut pas dire qu’elle dort bien. Entre le stress, les excès de café, l’environnement ou les soucis qui s’agitent sous le crâne quand on n’aspire qu’à du calme, difficile de s’y retrouver et de dormir comme on le voudrait ! Aller voir un hypnothérapeute à Paris peut vous aider à vaincre vos soucis.
Malgré ces études, donc, et les nombreux conseils qui circulent pour améliorer le sommeil, il demeure souvent un point que l’on oublie de mentionner : si ne pas assez dormir favoriserait les risques de maladies cardiovasculaires, le fait de trop dormir aurait les mêmes effets. Selon les professionnels, il faudrait entre 7 et 8 heures de sommeil par nuit. Au-dessous, le corps n’aurait pas le temps d’accomplir son travail régénérateur ; au-delà de ce nombre d’heures, le sommeil peut alors être révélateur d’une inefficacité sur la santé et donc, qu’il est important de se faire soigner.
Toutefois, ces observations sont à nuancer. Et pour cause, si le sommeil peut directement influer sur l’état de santé général d’un individu, il est impossible de savoir à quel point. De même, certaines personnes ont naturellement besoin de plus de huit heures de sommeil, tout comme six heures suffisent à d’autres. Cela rajoute une complexité indéniable quant à l’importance exacte du sommeil, bien que ladite importance –voire nécessité- ne soit nullement remise en cause.
Enfin, le fait que certaines personnes voient leur sommeil être perturbé par des insomnies, de l’apnée, ou encore des rêves qui reflètent un traumatisme ne permettent pas encore aux données enregistrées d’être suffisamment représentatives.
Ce qu’il faut retenir, néanmoins, c’est le besoin implacable de dormir que possède l’être humain. Au-delà d’une bonne hygiène de vie, le sommeil est également l’un des besoins primaires que l’on possède tous. Alors comment le favoriser au maximum afin qu’il éloigne au plus possible les risques de maladies cardiovasculaires et en particulier les AVC ?
Des heures de coucher qui ont aussi leur importance
En se basant sur le rythme circadien de l’être humain, de nombreuses études ont suivi un éventail de personnes pour surveiller leur sommeil. C’est notamment le cas de l’étude réalisée par la Société Européenne de Cardiologie, qui a révélé un lien entre l’heure d’endormissement et le risque de maladies cardiovasculaires. Parmi les résultats obtenus, les personnes ayant l’habitude de s’endormir après minuit ont davantage eu de maladies cardiaques (AVC, crise cardiaque, autres cardiopathies…etc.) que celles ayant l’habitude de s’endormir entre 22 heures et 23 heures.
Alors comment expliquer ce phénomène ?
Cela aurait certainement un lien avec la qualité du sommeil qui se manifeste. Après minuit, le sommeil vient plus lentement, décalant ainsi les phases de sommeil et leurs vertus pour le corps humain. En effet, se coucher à des heures avant minuit favoriserait un sommeil récupérateur et une meilleure santé, comme l’explique mon article pourquoi les heures récupératrices de sommeil sont celles avant minuit ?
De même, des heures de sommeil trop irrégulières ou totalement décalées par rapport au cycle circadien du corps humain seraient à l’origine de nombreux effets sur celui-ci. Au niveau des maladies cardiovasculaires, rien n’a été pleinement prouvé, pourtant, beaucoup de personnes travaillant de nuit, par exemple, souffrent de certains maux plus facilement. Il est possible d’en apprendre davantage dans l’un de mes autres articles : L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
Ainsi, il est possible d’établir une corrélation entre le manque de sommeil –ou les effets d’un mauvais sommeil sur la santé- et les maladies cardiovasculaires. Néanmoins, à ce jour, aucune étude précise ne relate la nature du lien entre ces deux faits mis à part le taux de micro-ARN dans le corps. Ce qui est certain, c’est que le sommeil est l’un des besoins les plus importants de l’être humain, et cela n’est pas sans raison. Reposant, il permet aux fonctions du cerveau de se réguler et aux cellules du corps humain de se régénérer, permettant entre autre au système immunitaire de fonctionner correctement.
Le sommeil est donc très important. Il est d’ailleurs possible de mettre en place des habitudes, des « rituels » avant de dormir afin de favoriser un sommeil le plus optimal et réparateur possible. Mon article « Comment bien dormir ? » vous en dira plus !
Toutefois, si certaines raisons conscientes ou inconscientes empêchent votre sommeil de se manifester correctement, il est important de ne pas attendre trop longtemps. En effet, sur le long terme, le manque de sommeil peut avoir des répercussions plus importantes que de petites pertes de mémoires. Consulter un spécialiste du sommeil peut se révéler être d’une grande aide. De même, il y a également des médecines parallèles qui peuvent s’avérer être des aides au quotidien, comme des séances d’hypnose du sommeil, qui peut lever le voile sur les causes qui tourmentent vos nuits.
Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques pour le corps ou le visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être tout au long de l’année. Offrant la possibilité de s’éloigner du quotidien et des soucis parfois trop présents, se retrouver au plus proche de la nature pour se (re)découvrir intérieurement peut parfois être la solution.
-

L’acné ne dure pas… elle est passagère, croyez-en vous !
L’acné touche beaucoup de personnes, et ce, dès l’adolescence. Se répartissant sur le visage, le cou et parfois le dos, l’acné est souvent perçue comme une tare dont on peine à se débarrasser… jusqu’à penser que cela n’en finira jamais ! Alors pourquoi l’acné dure parfois des années ? Finit-elle toujours pas disparaître ? Et quelles « blessures » peut-elle laisser après être partie ? Zoom sur cette inflammation des glandes sébacées qui peut causer parfois plus de dommages que ce qu’elle laisse paraître à la surface de l’épiderme.
Qu’est-ce que l’acné ?
Dans un premier temps, il est important de distinguer l’acné adolescente, dite juvénile, et l’acné chez l’adulte, appelée acné tardive. Si la première touche plus de la moitié de la population de plus de 15 ans, la seconde elle, est plus rare et touche de plus en plus les adultes de plus de 25 ans. Par ailleurs, les femmes adultes sont davantage touchées par l’acné que les hommes.
Mais qu’est-ce que l’acné ? Elle se définit comme étant une maladie de la peau due à l’inflammation des glandes sébacées. Ces glandes sont situées à la base des poils, sous la surface de la peau. Elles jouent plusieurs rôles, notamment pour l’hydratation de la peau en plus de lutter « contre les bactéries par la sécrétion d’un liquide gras qu’on appelle sébum ». Il existe différentes sortes d’acnés :
- Acné juvénile polymorphe (acné chez l’adolescent) ;
- Acné inflammatoire chez l’adulte ;
- Acné kystique ;
- Acné hormonale.
Depuis de nombreuses années, les dermatologues constatent par ailleurs une recrudescence des cas d’acné, tant chez l’adolescent que chez l’adulte ; chez les premiers, ils viennent de plus en plus tôt pour se faire traiter ; chez les seconds, la moyenne d’âge augmente de manière significative.
Un désagrément passager…
Malgré la durée de la présence de l’acné chez une personne, rassurez-vous, est passagère. Comme beaucoup de choses, elle dépend aussi des causes qui la provoquent et peuvent l’accentuer. Dans le cas de l’acné, que celle-ci soit juvénile ou tardive, il y a des éléments qui peuvent l’exacerber. C’est notamment le cas de :
- Problèmes hormonaux ;
- De stress ;
- De la pollution ;
- Du tabac ;
- De certains cosmétiques utilisés ;
- De l’alimentation, surtout si elle est trop sucrée ;
- D’une contraception mal adaptée chez les femmes.
De même, certains facteurs favorisent l’acné chez l’adulte, comme :
- Des antécédents familiaux ;
- Des déséquilibres hormonaux ;
- La consommation excessive de tabac, qui décuple l’acné ;
- Un changement de contraception ;
- Ou encore une alimentation déséquilibrée, ou déficitaire de fruits et légumes ou d’Oméga 3.
De même, il est important de noter que contrairement aux idées reçues, le soleil ne soigne pas l’acné naturellement. Et pour cause, même s’il permet de faire sécher les boutons, la peau apparait plus lisse au début. Mais ensuite, lorsque la peau sera moins asséchée –et elle le sera-, les glandes sébacées vont produire davantage de sébum encore. Autrement dit, le soleil, s’il est agréable dans un premier temps, finira par aggraver la situation de la peau et surtout l’acné.
Aujourd’hui, il existe de nombreux traitements qui permettent de prendre en charge l’acné très tôt, et de le faire s’arrêter tôt également. Il faut tout de même compter quelques années pour faire disparaître totalement l’acné juvénile, bien que cela n’écarte pas le risque que l’acné se manifeste de nouveau plus tard.
… Qui peut causer des blessures dans le temps
L’acné, même une fois que vous en êtes débarrassés, peut laisser des séquelles. Bien entendu, il y a parfois des cicatrices plus ou moins visibles sur les zones ayant été infectées dans le passé (visage, cou et dos notamment). Mais plus encore, c’est le rapport à soi-même qui peut en être déséquilibré ou totalement voler en éclat. Et pour cause, si l’acné est prise en charge de plus en plus tôt notamment chez les adolescents, c’est aussi parce qu’il règne dans notre société un certain rapport à la beauté et aux normes de beauté qui évolue. Une peau lisse et sans défaut côtoie les discours de « au naturel », ce qui peut tronquer le rapport à soi lorsqu’on est encore en pleine recherche de soi, et surtout, en pleine construction de soi.
Chez l’adulte, cela peut également faire naître un sentiment de honte, car ces cicatrices sont dues à une période difficile de l’adolescence ou de la vie –pour l’acné tardive. Psychologiquement, le fait que l’acné soit davantage éprouvée par des personnes adolescentes peut également causer quelques troubles quant au rapport à soi, allant jusqu’à la crainte de ne pas être pris au sérieux en tant qu’adulte.
Ainsi, si l’acné laisse parfois des traces visibles sur le corps, ce sont surtout les traces psychologiques qui sont difficiles à surmonter. Il est possible de gagner en estime de soi grâce à l’hypnose.
Reprendre confiance après l’acné !
Mais il ne faut pas désespérer ! L’acné s’en va, et les cicatrices se traitent aussi. Ce qui est important, ce ne sont pas les marques que votre peau vous montre tous les jours dans le reflet du miroir ; c’est surtout le regard que vous portez sur elles. Et si au lieu de les voir comme un renvoi incessant à une période difficile, vous les considériez comme une victoire contre l’acné, une nouvelle ère qui commence ?
Se connaître à travers son propre regard avec une hypnothérapeute à Paris devrait être l’importance première de tous, celle qui devrait supplanter les « on-dit ». Même si cela paraît difficile, il est possible, au terme d’un travail sur soi important, de passer au-dessus, pour simplement profiter de ce nouveau temps qui s’ouvre devant vous : l’acné est derrière, et même si des précautions sont de mises notamment par rapport au soleil, vous ne souffrez plus de l’acné !
Ainsi, l’acné peut se déclencher tant chez les adultes que chez les adolescents. Pour autant, elle n’est pas infinie dans sa durée. Il existe de nombreux traitements et de soins qu’il est possible de faire, tant pour venir à bout de l’acné que pour atténuer les cicatrices que sa disparition laisse à la surface de l’épiderme. De même, l’acné n’est pas une malédiction ; elle passe un jour, disparaît dans les souvenirs, et finit par laisser place à de plus beaux jours devant vous !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. En plus de l’hypnothérapie, je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de se (re)connecter à soi et de s’éloigner des soucis de quotidien.
-

Se connaître à travers son propre regard et pas celui du groupe
« Connais-toi toi-même », devise personnelle de Socrate, formule inscrite sur le fronton d’un temple de Delphes est peut-être l’un des préceptes philosophiques les plus importants. De tout temps, se connaître a été le travail d’une vie, et pour beaucoup, un sacré défi. Mais finalement, qui est le mieux placé pour pouvoir connaître quelqu’un si ce n’est lui-même ? Au-delà de la dimension philosophique, c’est surtout l’importance de son propre regard sur soi qui est à reconquérir. Parce que personne, excepté soi, ne pourra jamais connaître toute l’étendue de ce qui compose un être unique.
Se connaître, qu’est-ce que ça signifie ?
Le terme de connaissance de soi peut se définir comme étant le savoir qu’une personne tente de posséder sur elle-même. Autrement dit, ce qu’un individu sait de lui-même. Mais comment apparaît ce savoir ? Il n’y a évidemment aucun livre qui raconte qui nous sommes –ce serait bien trop facile ! En revanche, les expériences que chacun vit au cours de sa vie le mènent à des constats. Ces constats concernent de nombreuses parties qui le composent, comme la prise de décision, la notion de volonté, de gentillesse, de compassion, mais aussi les limites, la gestion du stress ou l’anxiété.
Se connaître soi-même, c’est faire la somme de ces expériences pour appréhender la substance qui nous compose. C’est être attentif à ce que l’on fait, et les raisons pour lesquelles l’acte est effectué. Ainsi, se connaître, c’est porter sur soi un regard unique, subjectif bien sûr, mais surtout qu’il vous importe de modifier et de faire évoluer tout au long de votre vie.
L’impact du regard des autres au quotidien
Alors comment procéder pour se voir à travers son propre regard ? La première étape semble bien évidente, lorsque pour certains, le regard des autres pèse si lourd. Il faut pourtant pouvoir s’en libérer afin de privilégier votre propre regard sur vous-même. C’est un processus qui prend du temps et demande de la force, c’est un choix quotidien, c’est la volonté de se choisir soi-même, choisir son avis, décider que vous comptez plus que ce que les autres pensent de vous.
En effet, au quotidien, le regard des autres peut se montrer tranchant. Et petit à petit, il élime minutieusement votre soi profond, votre estime, vos valeurs et renforce par la même occasion vos croyances limitantes. Se libérer du regard des autres, c’est ne plus faire vos choix en fonction de ce qu’ils pourraient penser ; mais ne les faire que pour vous, votre avenir et votre bien-être.
Au-delà du regard des autres, il est important de se connaître pour ce que vous êtes vraiment. Par exemple, si l’une de vos amies n’a de cesse de vous répéter à quel point vous êtes drôle, ne le prenez pas pour acquis. Toutes les qualités ne s’expriment pas de la même façon selon l’interlocuteur, selon le cercle social dans lequel vous vous trouvez. Aussi il est important de comprendre par vos propres moyens dans quelle mesure cette qualité se montre ou non, et surtout, pour quelle(s) raison(s).
Ainsi, en vous libérant du poids du regard des autres, vous apprenez à faire confiance à votre propre regard. Vous vous connaissez –ou vous apprendrez à vous connaître- par ce biais-là également. Petit à petit, la peur du jugement d’autrui s’estompe au profit de votre seul jugement, qui est mis en avant et importe à vous-même. Ainsi, l’hypnose d’estime de soi vous aide à renforcer ce sentiment.
L’importance de son propre regard
Se connaître soi-même, c’est essentiel pour pouvoir vivre en harmonie avec soi. Que ce soit dans son propre corps ou son esprit, chacun tient une place importante. En partant de ce postulat, il est alors parfois plus aisé de s’appréhender.
Mais l’importance de son propre regard, c’est aussi une forme de liberté. Et pour cause, en vous libérant de celui des autres afin de privilégier le vôtre, vous vous offrez la possibilité de mieux vous connaître. Et mieux se connaître, c’est aussi pouvoir prendre des décisions qui vous seront bénéfiques, seront en votre faveur ou celle de votre avenir.
Comment se connaître ?
« Qui mieux que vous sait vos besoins ? Apprendre à se connaître est le premier des soins. »
Jean de La Fontaine
Passer du temps avec soi :
C’est primordial ! Tout comme l’on passe du temps avec une personne que l’on a envie de découvrir, il est important de pouvoir s’en dégager pour passer du temps avec soi-même. Qu’est-ce qu’il est apprécié de faire, voir, manger ? Comment réagissez-vous dans telle ou telle situation ? Petit à petit, votre armure se fissure pour laisser place à la merveilleuse personne que vous êtes et avec qui vous vous apprêtez à faire connaissance. Et quel plus beau spectacle !
Se connaître aussi à travers les autres :
Attention toutefois ; si passer du temps avec soi-même est nécessaire pour apprendre à se connaître, il est également important de ne pas laisser de côté ses relations sociales. En effet, si s’accorder quelques temps de solitude permet de mieux se connaître, entretenir des relations avec autrui le permet aussi !
Etre bienveillant envers soi-même :
Quelle que soit la nature de ce que vous découvrez sur vous-mêmes, il est important de toujours conserver un regard bienveillant sur soi. Plus facile à dire qu’à faire, certes ! Mais ce n’est pas impossible, en plus d’offrir une dimension « safe », une ambiance de confiance envers vous-même. Et dans la connaissance de soi, la bienveillance dont chacun est capable est primordiale.
Accepter le temps que cela peut prendre :
Apprendre à se connaître peut prendre du temps. Cela ne signifie pas que vous n’avez rien à apprendre sur vous –il y a toujours à découvrir, et certains y passent leur vie entière ! Mais simplement, parfois, il arrive que ce soit plus long. Selon ce que vous avez à déconstruire, selon les croyances limitantes dont il faut se déparer ou encore de la trace du jugement des autres ou de la peur qui se sont gravées en vous, s’accorder du temps pour le faire est essentiel afin de mener vers une connaissance de soi plus profonde et toujours nécessaire.
Ainsi, se connaître à travers son propre regard est une chance de tendre un peu plus vers le bien-être. Savoir qui l’on est, non pas dans un cercle social prédéterminé, non au travail, non plus durant un temps imparti mais plutôt dans sa totalité, dans une globalité parfois déconcertante est important. Se voir à travers son propre regard, c’est commencer à vivre pour soi, et non plus pour autrui. C’est s’aimer soi-même, pour vous y aider, il existe des séances d’hypnose pour avoir confiance en soi.
« Quel plus beau chemin que celui qui mène à votre propre écoute, à votre propre rencontre ? »
Alexandra Julien
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. Je propose des soins thérapeutiques comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage – qui peuvent être une merveilleuse façon de passer du temps avec vous-même !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites de bien-être, plusieurs fois par an. Au plus proche de la nature, c’est tout un programme durant quelques jours qui vous permettent de vous (re)découvrir loin des tracas du quotidien.
-

Une vie de célibataire (à vie), c’est OK !
Le célibat a toujours été teinté d’une connotation péjorative lorsqu’il s’agissait du célibat d’une femme. Pourtant, un nombre croissant d’entre elles font le choix de le rester. Alors où en est-on face au célibat ? Pourquoi est-il parfois si mal vécu et d’autres fois, pleinement apprécié ?
Etre célibataire, qu’est-ce que ça veut dire ?
Il y encore quelques années, le mot « célibat » faisait irrémédiablement penser à la plus célèbre des célibataires de la pop culture : Bridget Jones. Désespérée, courant après l’amour et les hommes, et pleurant en mangeant des pots de glace, l’image de la femme célibataire était explicitement péjorative. Au-delà de la culture, c’est surtout le reflet d’une société patriarcale et sexiste qui s’exprime en résumant la situation de la femme célibataire au marasme et à la tristesse.
Depuis quelques années, les normes semblent bouger, et la représentation des femmes célibataires aussi. Séries, films, il est désormais possible de voir de plus en plus de femmes célibataires qui sont heureuses de l’être, et le célèbrent ! Celles-ci ne courent plus après les hommes mais vivent leur vie en totale indépendance.
Mais alors, être célibataire, qu’est-ce que ça veut dire exactement ?
Si à une certaine époque, être célibataire n’était que le contraire de « être marié », aujourd’hui, les choses sont légèrement plus complexes. Et pour cause, la société est régie par des cases dans lesquelles il faut s’établir.
Par ailleurs, il est admis d’avoir ce que l’on nomme un « statut marital ». Autrement dit, il s’agit de définir selon des cases prédéfinies (célibataire, marié.e, divorcé.e ou veuf.ve) dans quelle situation conjugale l’on se trouve. Mais les choses se compliquent drastiquement lorsqu’il s’agit de la situation d’une femme célibataire, puisqu’alors le mot ne désigne plus seulement un statut marital, mais également une situation personnelle et émotionnelle qui, le plus souvent, paraît transitoire aux yeux des proches.
« Alors, les amours ? »
« N’as-tu trouvé personne ? »
Aujourd’hui encore, il est difficilement admissible pour une femme de se dire célibataire par choix. La pression sociale et les injonctions familiales font peser sur les épaules des femmes de nombreuses exigences telles que se marier avant trente ans et fonder une famille.
Alors pour quelles raisons rester célibataire ?
Y a-t-il des raisons de rester célibataire ?
Comme pour beaucoup de domaines, les raisons qui motivent une personne à faire un choix peuvent être multiples et variées. Et le célibat est bel et bien un choix ! Même s’il existe de nombreuses personnes qui sont prêtes à s’investir dans une relation, pour beaucoup d’autres (plus invisibilisées), être célibataire relève du choix et non d’une tare à arborer honteusement. Cette image de célibataire désespérée commençant doucement à se briser permet également de mieux vivre son célibat.
Car dans les consciences collectives, le célibat est une période transitoire, plaçant le couple comme fin en soi de la vie sentimentale. Or, pour les femmes davantage que pour les hommes, le célibat est parfois un choix, et c’est tout à fait valide !
Pour autant, de nombreuses raisons peuvent motiver une femme à rester célibataire. Et s’il en existe autant que de femmes et de situations différentes, il est possible de compter parmi les raisons les plus populaires un besoin de liberté et d’indépendance, ainsi qu’une préférence personnelle que l’on retrouve chez beaucoup. Autre raison, l’envie de retrouver l’estime de soi avec de l’hypnose après une rupture.
Rester célibataire, c’est être en opposition au couple ?
Si en d’autres temps, les célibataires étaient un peu perçus comme les « bêtes noires » des groupes sociaux, de nos jours, le célibat est globalement plus accepté dans la société. Ainsi, les femmes célibataires n’apparaissent plus comme des femmes désespérées en mal d’amour, mais comme des personnes qui ont fait le choix de rester seule pour une période indéterminée.
Et c’est peut-être ici que réside la première « opposition ». Si les romantiques veulent que le couple dure toujours, le célibat, lui, est encore vu comme une période transitoire, une situation temporaire. Pourtant, nombreuses sont les femmes qui ont fait le choix de rester seules toute leur vie (plus récemment Jennifer Anniston, la célibataire la plus célèbre du monde !). Et cela ne les a ni empêché d’avoir une vie intime, ni une carrière, ni même d’être épanouies au quotidien !
Le couple impose certaines exigences, certaines situations que le célibat permet d’éviter. Loin d’être une fuite pour autant, la société évolue de telle sorte que la vision du couple se transforme petit à petit (l’émergence des couples dans le polyamour, par exemple) ; alors pourquoi pas le célibat ?
Car après tout, être célibataire, ce n’est plus être un mouton noir ou une paria ! C’est faire le choix d’être seule dans certaines tranches du quotidien, ce qui n’empêche nullement d’avoir de nombreux amis, de la famille, en bref, un entourage qui vous aime et tient à vous ! Si le célibat est parfois choisi comme rejet du couple, il n’en est pas pour autant l’ennemi numéro 1.
Pourquoi rester célibataire ?
La plupart des femmes célibataires s’accordent à dire que le célibat leur permet une plus grande liberté. Et pour cause, si le couple veut que l’on partage les moments à deux, selon les relations et les déséquilibres qui existent dans le couple, cela peut rapidement devenir oppressant. L’impression de rendre des comptes à quelqu’un disparaît et un sentiment de liberté un peu plus important se fait ressentir.
Beaucoup d’autres femmes préfèrent rester célibataire, notamment après qu’une relation se soit mal passée. Il ne s’agit pas d’une rupture difficile, mais bel et bien d’une relation abusive. Ainsi, elles préfèrent rester seules qu’être mal accompagnées, ce qui leur permet aussi de se découvrir et de se reconstruire. Elles sont leur propre priorité.
Il existe également des personnes qui, lorsqu’elles sont en couple, ont cette impression délicate de jouer un rôle. De ne pas être elles-mêmes. Elles étouffent, se perdent, et cela peut prendre des années pour se retrouver ensuite. La vie en étant seule apparaît alors comme une solution viable pour être épanouie.
Quelques soient les raisons qui font que certaines femmes décident de rester célibataires, le fait est que le couple est souvent une charge pour la femme. Charge mentale, émotionnelle, sexuelle… les injonctions sociétales à être « la parfaite épouse » sont encore bien ancrée chez certaines personnes, et le célibat peut alors être une voie alternative au sexisme ordinaire… en plus d’être un choix éclairé !
Ainsi, rester célibataire tout au long de sa vie est un choix qui est de moins en moins considéré comme subversif. Même si certaines personnes ont encore du mal à le voir comme quelque chose de complètement positif lorsqu’il est décidé et choisi volontairement, le célibat, lui, reste cool ! Que ce soit pour une période d’un mois, d’un an ou toute la vie, être célibataire ne veut plus dire être seule et désespérée, mais plutôt être seule et aussi heureuse qu’en couple !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.
Que vous soyez célibataire ou en couple, je propose des soins thérapeutiques pour le corps mais aussi pour le visage, comme des séances de drainage lymphatique à Paris.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature qui permettent de se (re)découvrir. Que vous soyez heureuses ou sortiez d’une rupture, prendre quelques jours loin du quotidien étouffant peut s’avérer bénéfique.
-

La force de la nature sur le bien-être
Qui n’a jamais ressenti un bien-être immédiat en se promenant en forêt, en campagne ou simplement en se trouvant proche de la nature ? Depuis quelques années, les psychologues et les scientifiques étudient les réels bienfaits de la nature sur la santé physique et mentale des êtres humains. Et si finalement, elle avait un impact bien plus fort que ce que l’on pourrait penser ?
La nature et sa force parfois insoupçonnée
Il y a des millions d’années, la nature était la maison des premiers êtres vivants. Pas d’immeubles, mais des arbres ; pas de magasins de proximité, mais une étendue de flore incroyable ; pas de routes en béton, mais des chemins qu’il fallait voir au travers des formes de Dame Nature.
De nos jours, l’on apprécie d’autant plus la nature qu’elle se raréfie, surtout dans les grandes villes. S’il y a bien de nombreux parcs, rien ne vaut la nature plus sauvage et moins disciplinée par l’Homme ! Qu’il s’agisse d’un week-end à la campagne, d’une marche en forêt ou simplement de l’arrivée des premiers rayons de soleil printaniers, ces petites choses qui paraissent anodines font parfois toute la différence, à commencer par leur impact sur le mental des personnes.
Et pour cause, la présence de la nature aurait de nombreux bienfaits sur le corps et l’esprit des individus qui prennent le temps d’aller à sa rencontre. Depuis quelques années, de nombreux professionnels de santé se sont arrêtés sur le cas de la nature et les bienfaits qu’elle comporte afin de favoriser une vie équilibrée.
Alors quels sont les bienfaits de la nature ? Et qu’est-ce qui explique les bienfaits que la nature possède sur nos êtres ?
Les bienfaits de la nature
De nos jours, la nature est d’autant plus appréciée qu’elle permet de se « ressourcer ». Que l’on vive au cœur d’une grande métropole ou d’un bourg dans les campagnes, la nature possède de nombreux bienfaits qu’il est plaisant de ressentir.
La nature diminue le stress :
Pour rappel, le stress qu’une personne ressent est inhérent au taux de cortisol, une petite hormone présente dans le corps humain. Au contact de la nature, cette hormone se calme, et influe alors directement sur le stress qui est parfois étouffant. Inconsciemment, le corps s’harmonise avec l’environnement dans lequel il se trouve, et loin de la circulation, de la ville et des tracas du quotidien, alors le corps et l’esprit se reposent, les muscles se détendent et l’esprit « respire » autant que les poumons loin la pollution !
Au sein des grandes villes, éloignées de verdure, il est également possible de réaliser de l’hypnose contre le stress à Paris.
Un corps en bonne santé :
Autre bienfait non négligeable, la nature est composée de nombreuses plantes, arbres et fleurs qui rejettent de l’oxygène. Autrement dit, la nature permet de filtrer l’air que nous respirons au quotidien. Lorsque l’on vit en ville, l’on peut parfois se rendre compte plus facilement de la pollution qui y existe. Dans la nature, l’air est plus pur, et cela, que l’on sente ou non la différence. Ainsi, au contact de la nature, le corps est plus susceptible de se détendre dans sa totalité, réduisant ainsi le stress et permettant d’apaiser certains maux comme les migraines, la douleur physique, et de diminuer aussi la pression artérielle, par exemple.
Les émotions entrent en symbiose :
Autre vertu qu’apporte la nature, c’est l’équilibre mental qu’elle provoque. Et pour cause, au contact de la nature, l’esprit s’apaise et les émotions avec lui. Outre le fait qu’elle soit une échappatoire magnifique et agréable à la vie urbaine, la nature et le contact avec elle provoquent tous deux un bien –être général, et ce, peu importe l’émotion qui prédominait lorsque vous êtes arrivé à la rencontre de la nature.
Sentiment de bonheur :
Dans la continuité des choses, si l’esprit et le corps parviennent à s’apaiser, le contact de la nature peut encore aller plus loin et provoquer chez certains un sentiment de bonheur pur. Et il y a de quoi ! La nature est souvent synonyme de liberté, d’indépendance, de joie, de possibilités… etc. En bref, tout ce qui peut rendre heureux ceux qui cherchent à rompre avec un quotidien terne et emprisonnant !
Ainsi, les contacts avec la nature, l’immersion dans ses feuillages ou les promenades dans ce qu’elle offre sont vivement recommandées. Et pour cause, elle porte en elle –au-delà des fleurs au bout des branches- de nombreuses vertus qui permettent d’apaiser tout aussi bien le corps, que l’esprit ou les émotions.
Explication des bienfaits de la nature sur l’être humain
Afin de creuser encore un peu, il faut comprendre que la nature, dans sa forme la plus brute et sauvage, possède de nombreux bienfaits. Elle trouve son équilibre, s’adapte aux climats, naît et se repose au fil des saisons… en bref, elle est un système indépendant. Un peu comme le corps humain, finalement !
Et si les deux sont comparables, le lien entre la nature et la santé de l’être humain n’a pas toujours été évident. En effet, le débat reliant les deux n’a émergé qu’il y a quelques années, et il semble désormais de plus en plus acquis que la nature possède un impact bénéfique sur la santé physique, mentale et émotionnelle de l’être humain.
Ce lien serait tout simplement dû à un besoin de côtoyer un écosystème dont nous dépendons. En effet, bien que la nature soit un bien commun (elle n’appartient à personne en particulier), c’est elle qui est à l’origine de notre condition vivante. Et pour cause, elle est responsable, dans son sens le plus large, de la flore et de la faune qui servent à nous nourrir, par exemple. Inconsciemment, l’être humain peut alors ressentir un lien particulier avec elle, plus ou moins prononcé d’ailleurs, qui l’encouragera à s’y rendre plus ou moins souvent.
Ainsi, certaines personnes ne peuvent pas vivre en ville car celles-ci ne présentent pas assez de nature. D’autres, au contraire, ne ressentent que très rarement le besoin de se rendre dans la nature. C’est dans ce que représente la nature pour l’Homme qui le pousse à le côtoyer.
Enfin, les bienfaits provoqués par la nature sur la santé de l’être humain peuvent également être expliqués par la source de vie qu’elle représente. On se sent à sa place, protégé, et tout le corps se détend.
De quoi voir la vie en vert !
La nature a donc de nombreux bienfaits sur l’être humain. Forte et indomptable, ses paysages, ses plages, ses secrets sous les feuillages… elle représente une échappatoire au quotidien. Mais plus profondément encore, elle symbolise la vie, puisque la majorité des aliments et des matériaux que l’on utilise provient d’elle. Abondante et insaisissable, elle est, à divers degrés, essentielle à chaque personne pour trouver une certaine forme d’équilibre.
De nos jours, de nombreuses thérapies en lien avec la nature émergent. Plus généralement, l’éco-thérapie est de plus en plus populaire, devant les résultats obtenus. De mon côté, j’organise des retraites bien-être, au plus proche de la nature, et loin des rythmes effrénés du quotidien. De quoi respirer et refaire le plein de belle énergie !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences proposant de l’hypnothérapie à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps et du visage, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

Aimer le sport en faisant un sport qui vous plaît
Les gouttes de sueur qui longent le bout du nez avant de s’écraser au sol, le souffle court, les muscles gonflés à bloc… le sport est pour beaucoup synonyme d’une véritable peur ou simplement d’un désintérêt courtois. Et pourtant, le sport peut apporter un équilibre certain dans la vie. Entre travail, habitudes, métro et Netflix, parfois le sport représente l’un des seuls exutoires importants du quotidien. Alors comment s’y mettre quand on a toujours détesté ça ? Qu’on n’y a jamais vraiment vu d’intérêt ? Est-ce possible, et si oui, comment procéder ?
Déconstruire les mythes liés au sport
Comme pour tous les domaines, avant de se lancer, il faut déconstruire ce que l’on sait déjà. Ne pas s’engager avec l’esprit rempli d’idées reçues est primordial pour commencer une activité physique. Et pour cause, de nombreuses idées circulent à propos du sport, et ne sont pas vraiment encourageantes pour oser commencer une activité qui pourrait plaire.
Faire du sport pour maigrir :
C’est un grand NON ! Pour beaucoup de personnes, faire du sport, c’est ouvrir la porte d’un corps plus affiné, plus beau…etc. Pourtant, perdre du poids n’est pas la tache première du sport. Faire du sport, c’est avant tout faire le choix de muscler son corps ! Et s’il arrive que des gens perdent du poids grâce au sport, cela ne demeure qu’un outil, et ne doit pas être une motivation première, au risque de voir ses attentes être ébranlées au fil du temps ; le muscle pèse parfois plus que la masse graisseuse… !
Si vous souhaitez vous amincir, il existe des soins détente comme le massage Renata franca, qui, grâce à ses mouvements permet d’atténuer la cellulite en procurant une sensation de légèreté.
Devenir accro au sport :
Le sport est une activité physique qui permet de libérer de l’endorphine. Cette petite hormone permet de se sentir beaucoup mieux. S’il est possible de vouloir reproduire ce sentiment de bien-être le plus souvent possible, ce n’est pas pour autant que l’on finit accro au sport !
Le sport en ville ne sert à rien et est mauvais :
Cette idée reçue est parfois bien décourageante pour les citadins qui voudraient se mettre au sport. Et pour cause, si la ville enregistre un taux de pollution plus élevé qu’à la campagne, ce n’est en aucun cas un frein pour faire du sport ! Si vous souhaitez vous lancer dans un sport en extérieur (marche, jogging…etc.), privilégiez simplement les parcs ou les lieux qui présentent un peu de verdure, et le tour est joué ! Ce sera d’autant plus agréable de se trouver proche d’un peu de nature.
Une séance de sport doit durer au moins 45 minutes :
Là encore, c’est une idée fausse ! Le sport n’est pas bénéfique à partir d’une certaine durée à le pratiquer. Une séance de sport peut durer 20 minutes comme 1h05, c’est la régularité qui importe ! Autrement dit, le temps que vous laissez entre deux séances, et nullement le temps que dure une séance.
Ainsi, le sport, comme d’autres domaines traîne dans son sillage quelques idées reçues dont il est important de se libérer avant d’entamer un processus de séances de sport régulières.
Les bienfaits du sport
Par ailleurs, et outre l’endorphine que cela libère dans le corps, le sport présente beaucoup d’autres bienfaits, tant pour le corps que pour l’esprit. Parmi eux, l’on peut noter :
Retrouver sa confiance en soi :
La confiance en soi passe par les actions que l’on est capables d’accomplir. Faire un sport de manière régulière et se voir progresser dans la discipline choisie, c’est un bon booster de confiance en soi ! Plus généralement, au quotidien, la confiance en soi pousse ensuite à se lancer dans de nouveaux projets et s’épanouir plus facilement en trouvant un nouvel équilibre en accord avec la personne que vous êtes et les objectifs que vous vous êtes fixés.
Se sentir bien et détendu:
Grâce à l’endorphine, cette petite hormone libérée, une sensation de bien-être est ressentie après le sport. L’esprit est donc plus clair, en plus de relayer au second plan les possibles problèmes ou tracas quotidien. C’est donc un sentiment de bien-être qui vous enveloppe entièrement, en plus de permettre de se sentir plus détendu, de se libérer du stress, des soucis, voire même de la sensation de crouler sous le travail ou le quotidien.
Faire de nouvelles rencontres :
Dans le cas d’un sport collectif, il est également possible de faire de nouvelles rencontres. Cela permet de s’ouvrir aux autres, voire même de tisser de superbes amitiés !
Une meilleure condition physique :
Comme les autres bienfaits, une meilleure condition physique est l’une des vertus du sport – mais pas une motivation première sous l’injonction à la beauté ! Quoiqu’il en soit, il est indéniable que le sport offre une meilleure condition physique, notamment en réduisant les problèmes de cœur et liés au système cardio-vasculaire, il renforce de surcroît les articulations, permet de se muscler…etc.
Trouver le sport qui vous convient
Que vous préféreriez nager dans l’eau chlorée ou courir au petit matin, il existe forcément un sport qui est fait pour vous ! Parce que faire un sport qui vous plaise, c’est tout de même mieux que de vous forcer à faire une activité qui ne vous conviendra pas ou ne sera pas faite pour vous… Et afin de cerner au mieux possible celui qui est fait pour vous et saura vous apporter suffisamment de plaisir, il faut vous interroger ! Et parmi les questions que vous pouvez vous poser, en voici quelques-unes :
- Pourquoi je veux commencer le sport ? (pour me muscler, pour décompresser…etc.)
- Quel est mon objectif ? (me faire plaisir, me dépasser, rencontrer de nouvelles personnes…)
- Est-ce que je vais pouvoir y aller de manière régulière ? (selon le lieu et les horaires…)
- Aimerais-je un sport collectif ou plus solitaire ?
- Est-ce que je le fais pour moi, ou est-ce pour me plier aux injonctions sociétales ? (cela changera votre motivation au fil du temps).
Ainsi, trouver un sport qui plaise n’est pas chose aisée. Entre les idées reçues que transporte chaque sport, celles liés à la pratique d’une activité physique en général et les injonctions à la maigreur et à la beauté, il y a de quoi s’y perdre !
L’important, avant de commencer une activité physique de manière régulière et assidue, c’est aussi de vous assoir et de faire le point sur ce que vous attendez de ces moments. Car ce sont des moments qui vous appartiennent pleinement et qu’il est important de conserver de la régularité. Posez-vous la question de vos motivations, de vos attentes, et le sport qui convient le mot se révèlera quasiment seul à vous ! Et si aucun sport ne semble vous convenir… créez votre programme personnalisé !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose des soins thérapeutiques, non pas avec des animaux, mais pour le corps et le visage !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de s’éloigner du quotidien pour se reconnecter à soi et la nature.
-

La puissance des animaux sur le bien-être
Qui n’a jamais ressenti de la joie à la vue d’un petit chat ou d’un chien qui s’amusait avec un bâton dans le vent ? Ces sentiments positifs qui nous enveloppent tendrement à la vue d’un animal (domestique ou non, d’ailleurs) est un phénomène scientifique qui s’explique. Plus que cela, les animaux pourraient bien avoir un impact sous-estimé sur le bien-être humain. Comment ? Pourquoi ? L’expérience du contact des animaux nous procure de la joie et nous aide à nous sentir mieux, et en voici l’explication !
Que se passe-t-il scientifiquement au contact des animaux ?
Afin d’expliquer scientifiquement ce qui se produit chez l’être humain lorsqu’il est au contact des animaux, il faut poser un contexte. Savez-vous ce qu’est la « biophilie » ? Ce terme se compose de la racine « bio » et du suffixe « phile » qui caractérise le fait d’aimer le vivant dans son entièreté. Son premier théoricien, c’est Edward O. Wilson, un biologiste et entomologiste (étude des insectes). Il est le premier à théoriser l’affinité pour le monde vivant et les systèmes naturels qui serait innée à l’être humain.
Outre cette théorie, il y a eu des études qui ont prouvé, à maintes reprises, les effets bénéfiques des animaux sur différentes parties de la population, comme les personnes âgées, les personnes incarcérées, ou encore les enfants atteints de troubles autistiques.
Afin de mieux concevoir les bienfaits concrets de la présence d’un animal, prenons l’exemple d’un chien. En côtoyant un chien, en tissant un lien affectif avec celui-ci, c’est aussi une augmentation du taux d’endorphines qui est constatée, ainsi que la présence de l’ocytocine (hormone du plaisir) directement libérée dans le cerveau. Par extension, le taux de cortisol diminue, ce qui réduit le stress.
Enfin, le rythme cardiaque diminue lui aussi, ainsi que la pression artérielle.
Ainsi, la présence d’un animal dans la vie d’un individu possède beaucoup d’avantages sur la santé de ce dernier, tant sur le plan mental que physique.
Les ateliers et médecines parallèles liés au bien-être qui ont émergés suite à ce constat
De ce postulat, de nombreuses pratiques liées aux animaux et au bien-être ont émergées. Parmi elles, l’on peut noter l’importance de la zoothérapie qui se démocratise de plus en plus. Du grec « zoo » qui se rapporte à l’animal, et « therapeia » qui veut dire « cure » ou « soin ». Le terme zoothérapie regroupe un ensemble de méthodes thérapeutiques qui inclue la proximité d’un animal, que celui-ci soit domestique ou non. Ces pratiques permettent de réduire le stress ainsi que les conséquences de certains traitements ou problèmes.
La pratique la plus répandue reste la méditation animale, à travers laquelle un animal est mis en relation avec une personne bénéficiaire de cette pratique de zoothérapie. Il s’agira alors de les aider à créer un lien, une relation d’aide mutuelle qui servira aux deux partis.
De même, ces pratiques zoothérapeutiques s’étendent à tous les animaux. On ne parle plus seulement d’emmener des chiens dans les maisons de retraite, mais bel et bien de cours d’équitation adaptés à des enfants atteints de troubles mentaux, par exemple.
Ainsi, les soins apportés par les thérapies animales ont déjà fait leur preuve, et continuent de se populariser. Si beaucoup de personnes, pour combattre leur solitude, se sont tournées vers l’adoption d’un animal de compagnie, il est désormais plus simple pour beaucoup de se tourner vers des soins de zoothérapie, puisque ceux-ci n’impliquent pas de devoir directement veiller au bien-être animal.
Il est toutefois important de rappeler la nécessité de comprendre que l’adoption d’un animal représente un engagement moral, financier et émotionnel jusqu’à la fin de la vie de celui-ci.
Les nombreux bienfaits des animaux sur la santé mentale et physique
Se connecter aux animaux présente donc de nombreux avantages. Parmi eux, l’on peut noter :
Une baisse de mortalité :
Et pour cause, vivre avec un chien, par exemple, nécessite de le promener plusieurs fois par jour. À terme, c’est de l’exercice physique qui est fait sans vraiment s’en rendre compte, ce qui réduirait le taux de mortalité de manière significative en diminuant le taux de cholestérol ainsi que la pression artérielle.
Augmentation du bonheur (et de son hormone) :
Plus récemment, une étude japonaise a révélé qu’un simple contact avec son animal de compagnie permettait de libérer un taux d’ocytocine important dans le cerveau. Cette hormone du bonheur est synthétisée par l’hypothalamus. Cette hormone est également source de nombreux bienfaits, puisqu’à terme, elle permet de favoriser l’empathie, la générosité ainsi que la confiance. Et lorsque l’ocytocine se fixe, cela libère par extension de la sérotonine, elle-même source de bonne humeur et d’une sensation de relaxation.
La relaxation :
Le sentiment de relaxation peut également venir des bruits que fait votre animal. Aussi étonnant que cela paraisse, il y a par exemple chez le chat qui ronronne, certains sons qui sont formés par le félin. Parfois très graves (de 20 à 50 hertz), ces sons deviennent thérapeutiques pour le corps. Physiquement, cela accélère le processus de cicatrisation, notamment en permettant à la peau de se décontracter, mais aussi un bienfait au niveau musculaire puisque ces sons sont également utiles pour détendre l’arthrose. Enfin, le ronronnement d’un chat mène souvent au sommeil, en libérant de la sérotonine dans le cerveau ce qui entraîne un état de sérénité général.
Renforcement du système immunitaire :
Plus scientifiquement, la présence d’un animal permettrait d’enrichir le microbiote d’un individu. Autrement dit, l’environnement bactérien avec lequel l’Homme vit en symbiose. Cet environnement est d’ailleurs souvent déséquilibré chez les être humains, notamment à cause du stress, d’une mauvaise alimentation ou encore de surmenage. La présence d’un animal permettrait d’une première part de rééquilibrer ce microbiote, mais également de l’enrichir.
Une étude américaine a d’ailleurs mis en exergue le fait que la présence quotidienne d’un animal diminuerait drastiquement le développement de l’asthme et des allergies qui surviennent chez les êtres humains. Sur le long terme, cela permet également de renforcer le système immunitaire de manière générale grâce au renforcement du microbiote.
Ainsi, la présence d’animaux dans nos vies a de multiples avantages. Tant d’un point de vue mental que physique ou émotionnel. Ces petits êtres vivants plein de fougue et de vie permettent de nous apporter équilibre, stabilité, et joie au quotidien. De plus, les animaux ont un impact sur la façon dont nous nous comportons en société, ainsi que sur les échanges que l’on tient avec autrui. Ils sont source d’ouverture sur le monde, de curiosité, de découverte… une vraie bouffée d’air frais au quotidien, pour laquelle on pourrait décrocher la Lune !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques, non pas avec des animaux, mais pour le corps et le visage !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de s’éloigner du quotidien pour se reconnecter à soi et la nature.
-

Retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation
Subir une humiliation fait partie de la vie. Pourtant, l’humiliation fait partie des blessures dont il est le plus difficile de se remettre. Elle ébranle la confiance en soi, secoue l’estime que l’on se porte, et pousse parfois au doute excessif qui alimente les complexes et la honte. Alors comment se retrouver après une forte humiliation ?
Sur quoi repose l’estime de soi ?
Il est fastidieux de définir avec exactitude l’estime de soi. Et pour cause, les définitions englobent différentes notions selon le point de vue avec lequel on les aborde. Ainsi, en psychologie, par exemple, l’estime de soi est définie selon « le jugement ou l’évaluation qu’une personne a de sa propre valeur ».
Cette théorie aurait été développée par James Noley, pour qui l’estime de soi se traduisait par le rapport entre ce qu’est l’individu et ce qu’il souhaiterait être. De nos jours, la société est régie par des normes de beauté, avoir une peau lisse, être mince… Qui brise totalement la confiance en soi de nombreuses personnes. Néanmoins, des solutions existent pour combattre ce mal-être comme l’hypnose pour la confiance en soin à Paris permettant de croire en soi après l’acné, par exemple.
Il y a par ailleurs une différence essentielle entre l’estime de soi et la confiance en soi : bien que les deux notions soient liées, la première dépend surtout de la valeur que l’on possède, tandis que la seconde s’en réfère directement aux capacités qu’un individu possède.
L’estime de soi et l’humiliation : un lien tumultueux
Tout le monde peut un jour se sentir humilié. Et lorsque l’humiliation surgit, c’est directement l’estime de soi qui en prend un coup, si elle ne vole pas en éclats. Jour après jour, la valeur que l’on s’accorde diminue, jusqu’à parfois totalement disparaître. Et pour comprendre comment l’humiliation agit sur l’estime de soi, il faut en revenir à ses sources et surtout, sa définition.
L’humiliation est définie dans son sens premier par le Larousse comme étant « le sentiment de quelqu’un qui est humilié, atteint dans sa fierté, sa dignité ». L’humiliation se définit également comme le « sentiment de honte qui résulte de telle chose : par exemple, une défaite », et le terme peut également inclure « un acte, une situation qui humilie » et à cause de laquelle le sentiment de honte est éprouvé.
Le lien entre estime de soi et humiliation est donc très clair : lorsque l’humiliation survient, c’est l’estime de soi qui est directement remise en cause. En effet, le sentiment de honte qui résulte de l’humiliation encourage inconsciemment la personne à renier tout ce qui faisait d’elle ce qu’elle était.
L’humiliation érafle l’estime de soi en s’attaquant directement à ce qui la compose. Elle bouleverse la valeur que vous vous portez, elle brusque la confiance que vous avez placée en vous, elle diminue votre légitimité et encourage un doute constant sur votre personne et votre place dans votre quotidien.
L’humiliation est donc une blessure vive, instantanée, et qui, si elle n’est pas prise en compte par l’individu qui la ressent, peut se montrer très destructrice sur le long terme.
Quelles sont les conséquences d’une humiliation sur l’estime de soi ?
Lorsque l’humiliation survient, l’estime de soi est directement touchée. Et petit à petit, ce sont les conséquences de cette humiliation qui se montrent au grand jour. Elles apparaissent dans des gestes du quotidien, s’établissent volontiers dans des reflexes inconscients, et deviennent des habitudes férocement ancrées. Parmi elles :
- Oublier de prendre soin de soi, ne pas en avoir l’envie ;
- Se sentir rejeté, mis de côté par autrui ;
- Se mettre en retrait volontairement ;
- Ne pas oser/ aimer/ supporter de prendre la parole en public;
- Préférer donner, toujours, plutôt que recevoir quoique ce soit ;
- Avoir une mauvaise image de soi.
Surmonter l’humiliation
Malgré tout, l’humiliation reste surmontable. Selon sa nature, cela peut être plus difficile, prendre plus de temps ou tout simplement sembler impossible au début, mais surmonter l’humiliation est possible, et plus encore : à la portée de chacun !
Se souvenir de sa valeur :
Si l’exercice paraît difficile, il est néanmoins essentiel. Et pour cause, l’humiliation peut amener à croire que la valeur de l’individu s’envole au moment où elle apparaît. Et pourtant, jamais elle n’atteint vraiment la valeur de l’individu ; seul lui le peut. Ainsi, même si l’impression gênante d’avoir perdu votre valeur se manifeste, il est important de se rappeler que c’est une idée fausse, une illusion.
Booster sa confiance en soi :
Si elle se distingue de l’estime de soi, elle y est également indéniablement reliée. Booster sa confiance en soi par des séances d’hypnose accompagnée de massage du visage, c’est retrouver peu à peu confiance en la personne que vous êtes et surtout, dans ce que vous êtes capable d’accomplir. La confiance en soi est essentielle lors d’une humiliation, car tout comme l’estime de soi, plus elle sera affirmée et ancrée dans votre être, et moins les humiliations pourront vous affecter. Seul votre jugement sur vous-même compte !
Relativiser :
Souvent plus facile à dire qu’à faire ! Et pourtant… Relativiser l’humiliation vécue, c’est prendre suffisamment de recul pour pouvoir comprendre que la scène ne s’est pas forcément produite aussi violemment que ce que vous avez ressenti. Attention toutefois, il ne s’agit en aucun cas de diminuer votre ressenti, ni même de l’effacer. Ce que vous ressentez est bien réel, et il est important de le prendre en compte pour ne pas qu’il soit enfoui et se manifeste des années plus tard.
Parler :
Si cela peut sembler anodin de prime abord, parler est pourtant important. C’est à travers la parole que vous pouvez alors exprimer votre ressenti, et vous en libérer d’une certaine façon. Que ce soient à vos proches, vos amis ou votre famille, n’hésitez pas à en parler. Ils vous aideront d’une première part à comprendre que ce qui s’est passé n’est peut-être pas aussi grave que ce que le sentiment de honte essaie de vous faire croire, mais surtout, ils pourront vous soutenir et vous aider à voir quelle personne extraordinaire vous êtes. Il est également possible de suivre de l’hypnose thérapeutique à Paris, qui possède de nombreux bienfaits sur la confiance en soi.
Pardonner :
Si la personne qui vous a humilié vous cause encore du ressentiment, de la colère ou bien vous fait ruminer plus que de raison alors peut-être est-il temps de pardonner à cette personne. Parce que l’énergie que vous dépensez pourrait vous être utile pour vos propres projets, il est parfois plus judicieux, responsable et définitivement profitable de décider de conserver ce temps et cette énergie pour vous-mêmes. Pardonner autrui, c’est aussi se choisir d’une certaine façon.
Ainsi, retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation n’est pas chose aisée. On se sent mis à nu, perdu, on est ébranlé ; pourtant, il est tout à fait possible, avec le temps, de s’en remettre. Mieux encore, les humiliations permettent également de vous améliorer, et ouvrent la voie à une introspection qui peut être bénéfique.
Toutefois, l’humiliation et le sentiment de honte qu’elle apporte dans son sillage restent des violences qu’il peut parfois être difficile de surmonter. Il est alors possible d’en parler avec des spécialistes qui vous apporteront une aide plus sereine et forte.
De même, pour retrouver de l’estime de soi, il est possible de se tourner vers les médecines parallèles. De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris proposant un blog bien-être. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement. Lors d’une humiliation, le fait de s’éloigner de l’environnement et de son quotidien peut être très bénéfique.
-

Déconstruire sa peur du manque d’argent
Depuis la crise des subprimes en 2008, le monde semble avoir du mal à retrouver son équilibre économique, ce qui sème volontiers de nombreux troubles quant au rapport de chacun à l’argent depuis plus d’une décennie. Plus récemment, c’est la crise sanitaire liée au Covid-19 qui a paralysé durant plusieurs mois toute l’économie. Et depuis, les ménages comme les commerces tentent d’y voir plus clair en poursuivant leurs activités.
La peur du manque d’argent est une phobie bien réelle qui se trouve ancrée chez beaucoup de personnes. Lorsque cette peur atteint le stade de phobie, elle est d’ailleurs nommée chrométophobie. Mais d’où vient-elle exactement ? Quelles en sont ses conséquences ? Et surtout, est-il possible de la déconstruire pour passer outre ?
Les sources de la peur du manque d’argent
Tout le monde peut être touché par cette peur, au même titre que le vertige ou encore l’arachnophobie. Parce que les peurs ne se contrôlent pas et que leur arrivée peut parfois être surprenante, le premier pas pour les déconstruire est d’identifier d’où elle peut provenir.
Dans le cas de la peur du manque d’argent, il y a souvent un lien direct avec l’enfance, et le comportement des parents avec l’argent. Comptaient-ils beaucoup ce qu’ils dépensaient ? Etaient-ils prudents ? Vous est-il arrivé de les entendre dire qu’il faudrait « se serrer la ceinture » ? Si tel est le cas, il est probable que l’enfance ait impacté votre rapport à l’argent. Un enfant qui vit, qui connaît ou qui comprend le manque d’argent, c’est bien souvent un adulte qui aura peur d’en manquer. De même, il est possible qu’un adulte même extérieur au cercle familial vous ait transmis cette peur du manque d’argent.
Mais ce n’est pas la seule source. Et pour cause, un adulte peut développer une peur de manquer d’argent après un traumatisme, et ce, même s’il a eu une enfance abondante et n’a jamais manqué de rien. Parce qu’il suffit parfois d’une relance, d’une facture ou d’un courrier officiel des huissiers pour que le manque d’argent devienne une préoccupation réellement plus importante ; c’est-à-dire, une phobie.
Enfin, la peur du manque d’argent peut simplement provenir du caractère de la personne en elle-même. Et pour cause, si certains individus sont davantage tentés par les dépenses que par l’épargne, d’autres, quant à eux, préféreront mettre de côté afin de pouvoir garder un petit pécule « au cas où ».
Il existe donc différentes sources possibles à la peur du manque d’argent. Aucune n’est meilleure qu’une autre, et il est surtout probable que la peur du manque d’argent soit également la source de cette peur, comme un monstre vorace qui s’autoalimenterait.
Les conséquences au quotidien
Comme toute peur, celle de manquer d’argent a des conséquences dans les quotidiens des personnes qui sont concernées par elle. Et la première conséquence, c’est bien souvent de ne pas oser acheter un objet ou un produit si le prix est élevé.
À terme, la chrométophobie peut avoir des conséquences bien plus importantes, comme celle de ne pas quitter son travail pour une meilleure offre, car la peur nouera les entrailles et empêchera la raison d’agir pour un meilleur avenir. Car comme pour beaucoup de peur, le cadre connu est rassurant, tandis que la nouveauté réveille les traumatismes ou les angoisses qui peuvent être gérés avec de l’hypnose contre le stress.
De même, à force de penser, d’agir et de vivre plus généralement, en fonction de la peur de manquer d’argent, il arrive que certaines personnes développent des angoisses puissantes ou entrent en dépression. Le fait de songer tout le temps au manque d’argent qui peut se produire, à tous les biens matériels qui peuvent être perdus à cause de la place omniprésente que l’argent tient dans nos sociétés peut-être une réelle source d’angoisse au quotidien.
Et c’est sans compter sur les TOC que cette phobie peut développer, les privations que la personne peut s’imposer pour ne pas « perdre » son argent dans des sorties futiles, ou encore les crédits qu’elle s’empêche de prendre par peur de ne pas pouvoir rembourser une telle dépense mensuelle.
Heureusement, il existe des techniques qui permettent d’atténuer et de déconstruire cette peur, pour un quotidien plus souple et une santé mentale plus équilibrée !
Déconstruire cette peur ? C’est possible !
Déconstruire la peur du manque d’argent n’est pas simple, car comme toute autre peur, elle est bien ancrée dans les habitudes de vie et au sein même de la personne qui a appris à vivre avec. Pourtant, il existe bel et bien des façons de la déconstruire pour en finir avec elle !
Prendre conscience des croyances liées à l’argent :
Et par croyance, il s’agit ici de croyances limitantes. En effet, selon la source exacte de cette peur, des croyances limitantes ont éclos avec elle. Pour ne plus qu’elles alimentent la peur au quotidien, il est important de les identifier !
Se questionner :
La profonde peur de manquer d’argent peut souvent sembler insurmontable. Mais se questionner sur le pourquoi du comment, apprendre qu’il est possible d’inverser la tendance, ça peut être rassurant pour les personnes qui souhaitent déconstruire cette peur parfois trop présente. Le questionnement est souvent la première marche d’un escalier qui mène à une voie différente de ce que l’on connaît.
Identifier au quotidien les effets de la peur :
En prenant conscience au quotidien des effets de la peur du manque d’argent, cela permet de prendre un recul supplémentaire que celui que les questions avaient permis. Et pour cause, à chaque fois que les croyances limitantes liées à la peur du manque d’argent vont agir, vous saurez reconnaître, et ce, de plus en plus facilement. Et petit à petit, cela permet de prendre pleinement conscience de toutes les limites que la peur dessine sur la vie.
Inverser ses croyances limitantes en croyances aidantes :
En inversant les croyances, vous récupérez le pouvoir de votre propre vie. C’est permettre à votre esprit de se libérer d’une première façon de la peur, et de pouvoir amorcer une déconstruction complète de cette peur étouffante au quotidien.
Trouver de nouvelles ressources en soi-même :
Pour vaincre cette peur, il ne suffit pas de se débarrasser des croyances limitantes, ni de les transformer en croyances aidantes. L’autre partie de la déconstruction consiste à chercher et découvrir de nouvelles façons de se dépasser et abolir ainsi les limites que la peur du manque d’argent a pu ériger. De même, il est possible de se tourner vers la meilleure façon de créer l’abondance financière, si cela peut aider à passer outre cette peur du manque d’argent.
Ainsi, la peur du manque d’argent est une peur qui est très répandue, peu importe la classe sociale ou l’âge des individus qui en sont victimes. Mais au quotidien, cette peur peut se révéler être une réelle enclave, tant pour la vie sociale que la santé mentale de l’individu. Il est important de pouvoir se détacher de cette peur, allant parfois jusqu’à la phobie, et la déconstruire entièrement afin qu’elle ne provoque plus aucune conséquences dans le quotidien ! Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont importantes et de véritables aides pour vaincre cette phobie.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement.
-

Déconstruire les croyances limitantes familiales
Qu’est-ce qui est parasitaire et le résultat de notre expérience de la vie et des valeurs que l’on a intégrées ? Bingo, ce sont les croyances limitantes. Négatives, omniprésentes et parfois inconscientes, elles forment pourtant souvent les plus beaux obstacles que l’on rencontre dans la vie. Comme un joli petit (mais lourd) boulet enchaîné à la cheville, elles empêchent souvent d’avancer, de tenter de nouvelles expériences ou de se jeter à cœur perdu dans un projet auquel l’on tenait particulièrement.
Alors que sont les croyances limitantes ? Pourquoi certaines sont-elles dites « familiales » ? Et est-il possible de s’en défaire pour ensuite se jeter pleinement dans cette vie qui n’attend pas ?
Qui êtes-vous, croyances limitantes familiales ?
Le terme de « croyance » désigne quelque chose ou quelqu’un dans lequel on place une certaine importance et une valeur de reconnaissance ; si je crois en Dieu, je reconnais l’existence de Dieu. En théorie, la croyance n’est pas nocive ou mauvaise en elle-même.
Dans un processus de développement personnel, les croyances peuvent tout aussi être « aidantes » que « limitantes ». Et si les premières ont tendance à nous servir d’appui dans la construction de la vie désirée, les croyances limitantes, quant à elles, sont légèrement plus délicates. Et pour cause, ce sont souvent des idées reçues qui se forment inconsciemment, qui résultent parfois d’une éducation ou d’une remarque surgie durant l’enfance ou la construction de soi (adolescence), qui empêchent l’individu, une fois adulte, de pouvoir faire certaines choses.
Enfin, le terme « familiale » se rapporte directement au contexte dans lequel les croyances limitantes qui obscurcissent le quotidien ont pu naître. Et pour cause, souvent, si elles sont issues d’un melting-pot de contextes et de situations différentes, les croyances limitantes reflètent une partie de l’enfance et de l’adolescence de l’individu, parties éprouvantes pour l’être, qui sont restées ancrées en lui.
Elles peuvent cependant avoir différentes sources, comme l’expérience scolaire, l’entourage social, la famille –comme dans ce cas précis-, ou encore dans le travail, lors de la vie adulte. Parce que si les croyances limitantes qui vous empêchent d’avancer aujourd’hui ont pu naître hier comme il y a dix ans, il n’y pas non plus de date d’expiration pour l’apparition de ces croyances… et il est possible d’en développer toute sa vie si elles ne sont pas chassées avant !
Comment se répercutent les croyances limitantes familiales au quotidien ?
Bien évidemment, les croyances limitantes familiales ont un impact particulier. Venant directement du cercle social le plus « représentatif » pour l’enfant, à savoir la famille, ces croyances limitantes peuvent se révéler être particulièrement tenaces. Et si cela ne veut pas dire qu’il est impossible de les déconstruire, c’est surtout que le processus de déconstruction peut prendre jusqu’à beaucoup de temps, puisqu’il s’agira de creuser au fond de soi afin d’en enlever la pousse pourrie qui y germe depuis trop longtemps.
Au quotidien, les croyances limitantes peuvent s’avérer être gênantes, entravantes, voire complètement handicapantes dans certaines situations. Et pour cause, ces croyances sont totalement ancrées dans les esprits, et que cela ait été fait de manière consciente (comme pour les croyances populaires) ou inconsciente, le résultat en est inchangé : on adapte notre comportement selon ces croyances.
Exemples :
- Si dès l’enfance, il était acquis dans le noyau familial que vous étiez l’enfant « casse-cou » de la fratrie, alors toute votre enfance et votre adolescence ont été construites selon cette idée que rien ne vous arrêtait. A l’âge adulte, il se peut que cela ait des répercussions, comme faire des choix impulsifs ou foncer tête baissée sans prendre en compte certains paramètres.
- De la même manière, un enfant « timide », « réservé », aura quant à lui plus de difficulté durant son adolescence et sa vie adulte à faire des choses comme par exemple parler en public ou se sentir à l’aise lorsque l’attention est portée vers lui.
Ainsi, les croyances limitantes familiales sont particulièrement difficiles à déconstruire puisqu’elles se sont arrimées dans l’inconscient de la personne dès le plus jeune âge. Ce sont des croyances limitantes qui peuvent ne jamais disparaître, tout comme elles peuvent, si elles sont suffisamment déconstruites, ne plus entraver la vie dans ses grands événements comme dans ses petits actes anodins.
Déconstruire ses croyances limitantes familiales
Identifier la croyance :
Comme pour toute déconstruction, la première étape est souvent d’identifier ce qu’il y a à déconstruire. Ici, il s’agit de mettre le doigt sur la croyance limitante familiale qui vous empêche d’avancer et de vivre comme vous le souhaiteriez. Pour cela, prêtez attention aux phrases que vous vous répétez souvent, à celles qui vous découragent rapidement, où celles qui comportent beaucoup de « jamais », « toujours », « personne »… etc.
Trouver la source de cette croyance :
Comme pour enlever une mauvaise herbe du jardin de votre esprit, il est important de se saisir de toute la racine, pour qu’elle ne repousse pas. Cette étape peut prendre du temps, mais une fois la source de cette croyance limitante familiale trouvée, il sera beaucoup plus facile de lui dire adieu.
Prouver le contraire de la source de la croyance :
Si parfois, il peut être difficile de se regarder objectivement, il y a des faits, des paramètres extérieurs qu’il est difficile de nier (comme un diplôme, par exemple). Alors une fois que vous aurez trouvé la source de cette croyance limitante (venait-elle de votre père qui vous ignorait ? De votre sœur ainée qui vous rabaissait ?), il sera plus simple de la contredire, de vous prouver à vous-même qu’elle est fausse par votre expérience de la vie.
Reconnaître l’impact de la croyance dans votre vie :
Le fait de reconnaître et de comprendre de quelle façon cette croyance impacte votre vie au quotidien ou dans certains moments vous permettra de vous en débarrasser plus facilement. Et pour cause, en identifiant clairement toutes les fois où cette croyance vous a empêché de faire ce que vous vouliez faire, de parler, de rire, de vivre tout simplement, vous serez plus à même de vous lancer dans cette nouvelle aventure, mais sans elle !
Reformuler la croyance pour lui donner un pouvoir positif :
En reformulant la croyance limitante, vous avez le pouvoir de la changer en croyance aidante, et d’en faire ainsi non plus un petit boulet qui habille votre cheville au quotidien, mais un véritable accessoire de confiance qui vous accompagne dans les étapes de votre vie ! Voici quelques exemples de reformulation :
« Je ne suis pas capable de créer mon entreprise » qui devient « J’ai des atouts pour créer ma société ».
« Je n’arriverais jamais à prendre la parole en réunion » qui devient « Je suis capable de parler distinctement et j’ai suffisamment travaillé pour ».
Il s’agit donc de transformer ce dont vous vous pensez incapables ou pas en mesure de faire, en quelque chose d’atteignable, de sensé et de concret. Les mots ont un pouvoir qu’il ne faut pas négliger, et c’est peut-être ici la première étape qui vous permettra de reprendre le contrôle sur votre vie !
Ainsi, si ce peut être un processus long et fastidieux parfois, il est toutefois essentiel de déconstruire ces croyances limitantes, que celles-ci soient familiales ou qu’elles possèdent une autre source. Déconstruire ses croyances limitantes, c’est aussi leur permettre de devenir des forces au quotidien, et plus seulement des entraves qui vous freinent.
Je suis Charlotte Vallet et j’exerce en tant qu’hypnothérapeute à Paris. Egalement experte en neurosciences, je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres petites choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se retrouver. Proche de la nature et harmonieuse, cette retraite saura accompagner les personnes en plein bouleversement, en pleine construction, ou bien celles qui se cherchent encore.
-

Les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour vous élèvent
Qui a déjà ri bruyamment devant son téléphone en débriefant sa journée avec une amie au détriment du plat sur le feu ? Qui s’est déjà senti parfaitement à sa place lors d’une discussion banale avec la bonne personne ? Ils sont des amis, des collègues parfois, des amants, des amoureux, des soutiens, des références dans vos vies. Ce sont ces gens avec qui l’on échange facilement, que la vie n’arrête pas et qui semblent toujours prêts à vous soutenir. Et si parmi toutes les personnes que vous croisez, les cinq individus avec qui vous échangiez le plus vous élevaient ?
Des liens qui se renforcent au quotidien
Le charme de certains échanges se trouve bien évidemment dans leur rareté. Un ancien ami qui reprend des nouvelles de vous tous les dix-huit mois, ou cette amie qui est très occupée et que vous ne voyez finalement que trois fois par mois. Mais parfois, l’authenticité d’un échange prévaut sur son charme. Et privilégier des échanges avec les mêmes personnes, c’est s’offrir le choix de faire de cet échange un lien à part entière au fil du temps.
Et pour cause, les liens du quotidien, qu’ils se basent sur les conversations les plus banales ou les discussions les plus profondes, tard le soir, permettent de connaître toujours mieux l’autre. Si la personne en question est bienveillante envers vous, si elle vous soutient, vous encourage, crois en vous mais tout en restant honnête lorsque vous vous apprêtez à faire une erreur, ce lien que vous avez, il peut, sur le long terme, vous élever.
Et plus le lien est vécu, ressenti et entretenu, plus la personne et vous-mêmes êtes susceptibles de vous aider l’une l’autre. Prenons l’exemple d’une collègue de travail, lors de votre tout premier jour. Elle vous dit « bonjour » tous les matins, « au revoir » tous les soirs, et elle agrémente cela d’un sourire, en plus ! C’est agréable, et inconsciemment, cette collègue devient une sorte de point de repère le temps que vous preniez vos marques.
Puis un matin, elle vous demande comment vous allez. Et si le « bien et toi ? » de politesse vous apparaît être la meilleure solution sur le moment, très rapidement, vous répondez honnêtement à cette question. C’est un premier changement qui s’opère. De point de repère, cette collègue devient alors une connaissance amusante, à qui vous pouvez vous confier sur votre patron un peu trop ronchon, ou à propos de ce client bien trop exigeant.
Et un jour, vous vous voyez en dehors du travail. Les jours passent, et un matin, des années plus tard, ni elle ni vous ne travaillez encore dans cette entreprise ; pourtant, vous êtes devenues des amies proches et vous souvenez à peine du premier café échangé près de la machine.
S’entourer de bonnes personnes, une condition sine qua non dans le bien-être et la progression personnelle
Alors pourquoi cinq personnes ? Pour l’équilibre ? Au moins ça, oui ! Dans la vie, vous êtes amenés à rencontrer un nombre incalculable de personnes différentes. Parvenir à nouer des liens avec certains individus est parfois d’un naturel déconcertant, tandis qu’avec d’autres, les liens se défont plus rapidement qu’ils ne se forment. Ce n’est pas grave, c’est naturel – on ne peut jamais plaire à tout le monde !
Cinq personnes, c’est un équilibre. C’est connaître ses limites et savoir qu’on peut appeler un membre de sa famille ou une figure maternelle pour demander des conseils sur la construction d’une étagère ; c’est être certain que Nina, votre amie d’enfance, et vous, ne vous verrez jamais plus d’une fois par an à cause de la distance qui vous sépare et malgré cela réussir à conserver et entretenir ce lien précieux ; c’est être intimement persuadé que si vous passez une journée sans Arthur et sa bonne humeur, cette journée n’aura pas la même saveur… C’est être vous-même au quotidien, et savoir que quoiqu’il arrive, vous pourrez compter sur chacune des personnes qui sont au plus proche de votre cœur.
Parce que s’entourer des bonnes personnes est plus qu’une nécessité pour pouvoir avancer dans la vie, trouver du soutien et apprendre à en accorder lorsque le temps est venu, c’est une qualité primordiale de l’être humain. Et pour que cela puisse exister, il faut autant donner que recevoir.
Progresser grâce à l’autre : comment ça marche ?
L’Homme est un animal social, et beaucoup de philosophes se sont accordés à le dire au fil des ans. Par « animal social », Aristote entend notamment le fait que l’être humain ait besoin d’échanger avec d’autres personnes. Au niveau du développement personnel, ces échanges sont intrinsèquement liés au on équilibre de chacun. Car si certaines personnes n’ont pas besoin d’échanges tous les jours, d’autres possèdent, au contraire, un besoin de liens sociaux plus important.
Quoiqu’il en soit, l’individu a besoin des autres, d’échanger avec eux, de se confronter à d’autres opinions, de partager des valeurs communes, des notions avec l’autre qui pourront l’aider à mieux comprendre le monde qui l’entoure. Et à terme, ces échanges ainsi que les liens qu’il tisse avec autrui lui permettront de le faire progresser dans la vie quotidienne comme au niveau humain.
Parce que qu’on le veuille ou non, l’on passe notre vie à évoluer, et les liens que l’on tisse avec autrui peuvent parfois influencer la direction de cette évolution. C’est ce qui nous permet de nous élever, d’envisager de nouvelles choses, de voyager, ou d’accomplir des projets dont on ne se pensait pas capable des années plus tôt.
Pour vulgariser, l’on pourrait dire que chaque personne se « nourrit » de l’autre ; tant humainement que mentalement, au niveau des idées et des concepts, des actions et des choix que l’on fait. Il ne s’agit pas d’être influençable ici, mais bel et bien de se sentir suffisamment à l’aise avec soi-même pour être ouvert au changement que peut engendrer l’autre en faisant partie de notre vie.
Ainsi, les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour représentent certainement les piliers les plus importants de votre vie et de votre quotidien. Ces piliers, vous les choisissez à chaque instant, lorsque vous les écoutez, les voyez, leur parler, partagez avec eux un café, un thé ou un sourire. L’on parle d’élévation comme d’une évolution, car autrui permet toujours d’ouvrir une nouvelle porte dans le champ des possibles, et s’en nourrir, vouloir découvrir, être ouvert au changement et à la nouveauté est une qualité qui permet de toujours mieux se comprendre et se découvrir soi-même.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris. Je propose également des soins du corps et du visage, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise des retraites bien-être qui permettent, le temps de quelques jours, de s’éloigner du quotidien et de se retrouver également. Car si les échanges avec autrui sont toujours enrichissants, il est parfois important de s’accorder du temps tout seul.
-

Comment garder le moral durant une PMA ?
Le 29 septembre dernier était adoptée la loi annonçant que la PMA serait désormais ouverte à toutes les femmes, que celles-ci soient hétérosexuelles, homosexuelles ou monoparentales. Une grande avancée pour la société qui demeure majoritairement patriarcale, et de nouvelles opportunités pour les femmes. Mais se lancer dans une PMA, c’est avant tout une aventure intense en émotions, qui peut parfois durer dans le temps, et pour laquelle il est important d’être prêt.e. Comment alors garder le moral durant une PMA ?
Qu’est-ce que la PMA ?
La PMA est la signification de Procréation Médicalement Assistée, aussi appelée en France AMP, qui veut dire Assistance Médicale à la Procréation ; il s’agit de deux termes qui signifient la même chose.
Cette pratique consiste à avoir recours à la médecine afin que l’ovocyte soit fécondé par un spermatozoïde. S’il y a encore quelques années, les couples hétérosexuels se tournaient vers la PMA en cas de souci d’infertilité, il est désormais possible aux femmes célibataires ainsi qu’aux femmes homosexuelles de ce tourner vers cette méthode pour pouvoir avoir des enfants.
Il existe deux méthodes distinctes comprises dans la PMA. D’une part, la Fécondation In Vitro (FIV), et d’autre part, l’insémination artificielle. Dans la loi, il n’y a pas de limite d’âge pour avoir recours à la PMA, mais l’assurance maladie ne couvre plus la PMA à partir de 43 ans.
Une méthode qui peut être lourde psychologiquement…
Avant d’être accessible à toutes les femmes, la PMA était surtout un traitement de l’infertilité. Les couples qui venaient alors étaient présents avec déjà certaines fragilités psychologiques, dû à « l’échec » qui peut être perçu. Pour autant, l’infertilité a de nombreuses causes et ce n’est la faute de personne. Néanmoins, le fait d’apprendre qu’il sera impossible de procréer sans avoir une aide de la science et de professionnels de la santé reproductive est une étape importante dans la PMA.
Et malgré les avancées de la science, il arrive bien souvent face à plusieurs échecs avant de pouvoir tomber enceintes. Qu’il s’agisse de l’insémination ou de la FIV, les deux méthodes demeurent des pratiques lourdes tant pour le corps que pour le mental. Injections, stress, espoir, déception… pour certaines femmes, c’est comme être à vif en continu. La vie quotidienne ne tourne plus autour que de ça, les journées, le travail, les soirées ne s’organisent que selon les rendez-vous à la clinique. De l’hypnose contre le stress avec un petit geste du quotidien aide les femmes à évacuer toute cette pression.
Ainsi, la PMA devient le centre de votre quotidien, rythmant de nombreux aspects de la vie, parfois contre votre gré. Le moral s’épuise face aux tentatives, et le corps se fatigue de tout ce qu’il subit pour tenter de procréer.
… Et qui s’étend dans le temps
Quelle que soit la méthode choisie pour la PMA, il arrive parfois que les échecs succèdent à l’espoir et continuent d’user le moral des personnes y ayant recours. Un autre facteur qui s’avère être lourd à porter psychologiquement, c’est le temps qu’une PMA dure. Et pour cause, il faut attendre entre un et deux ans avant de pouvoir envisager le recours à la PMA, afin de s’assurer qu’une grossesse ne se produise pas de manière traditionnelle (sans le recours à la science). Une fois passé ce délai, les démarches pour entamer une PMA sont elles aussi relativement lourdes à porter.
Commencent alors les premiers tests, les premiers entretiens, le choix de la méthode et la mise en pratique… Jusqu’au premier échec. Il est important de noter qu’entre chaque FIV, le délai moyen est environ de 6 mois, soit deux par an ; le délai minimum est de 2 à 3 mois dans certains cas.
Il y a donc tout un éventail de petites procédures durant la PMA qui semble faire s’étirer le temps et érode, par conséquent, le moral des personnes ayant recours à la procréation médicalement assistée. C’est un processus long et surtout pesant.
Alors comment garder le moral durant une PMA ?
Charge mentale, épuisement, espoir, désillusion… les raisons qui peuvent mener les personnes ayant recours à une PMA jusqu’à ne plus avoir le moral sont nombreuses. Alors comment parvenir à trouver l’équilibre pour surmonter cette épreuve de la vie ?
Cultiver la patience :
Avant même de vous lancer dans la PMA, il est important de s’armer de patience (et d’une bonne dose !). Le processus sera long et éreintant, mais le fait d’être patient permettra de réduire le stress qui peut naître à chaque étape de la procréation médicalement assistée. Cultiver la patience, c’est donc prendre des moments pour vous malgré le tourbillon centré sur la PMA, et conserver l’espoir malgré les déceptions qu’il est possible de rencontrer.
Etre suivie.s par un professionnel :
L’importance de voir un psychologue ou de suivre des séances d’hypnose thérapeutique à Paris est capitale. Dans tous les processus de PMA, le suivi psychologique relève d’une importance primordiale pour les personnes qui se lancent dans ces méthodes lourdes tant corporellement que psychologiquement. En effet, certains professionnels de la santé mentale sont spécialisés dans la PMA, et permettent de pouvoir parler, échanger, discuter en toute bienveillance à propos de votre expérience et de vos émotions. Ne les négligez pas, car si vous n’allez pas bien, cela peut aussi avoir un impact sur la réussite des méthodes de PMA ; ne dit-on pas que le corps et l’esprit sont reliés ?
Gérer ses émotions quand il le faut, les laisser sortir quand il est nécessaire :
La gestion des émotions est essentielle pendant une PMA. Loin de ressembler à un robot sans cœur, il s’agit davantage de ne pas se réprimander pour ce que l’on ressent. Etre bienveillante avec soi-même permet de mieux cohabiter avec soi-même. Ici, le fait de gérer ses émotions permettra d’équilibrer entre les moments où cela ne va vraiment pas bien, et ceux, plus doux, qui arriveront également sans aucun doute.
Attention toutefois, car gérer ses émotions ne signifie en aucun cas de ne pas les laisser s’exprimer ; simplement qu’il y a un temps pour le faire, et que parfois, le mieux, est de le faire avec un professionnel comme un psychologue ou une infirmière spécialisée, qui offrent un soutien sans failles et qui permettent de libérer sa propre parole à propos de son expérience.
Se garder du temps pour soi :
Cela peut paraître dérisoire lorsqu’on s’engage dans un processus qui dure parfois plusieurs années et que les rapports sexuels peuvent même être rythmés par l’une des méthodes de la PMA (FIV), mais il est essentiel de garder du temps pour soi. Et pour cause, l’objectif de la PMA, c’est tout de même de tomber enceinte ! Il est important de se réserver des instants, même si ce n’est l’affaire que d’un bain par semaine, pour pouvoir se retrouver face à soi, son corps et son esprit et pouvoir respirer, anticiper, se chérir. Apprendre à s’aimer avec de l’hypnose pour la confiance en soi est également une alternative, le principal est de sentir bien. Quoi de mieux pour héberger un enfant dans son corps que de s’y sentir en totale osmose ?
Ainsi, la PMA est un long processus peuplé de désillusions et de déceptions qui peut s’avérer très pénible sur le long terme. Malgré l’intérêt et la motivation de certaines personnes, il arrive que les échecs s’abattent un par un et qu’à terme, ils ne fassent que s’envoler l’espoir d’un jour fonder une famille.
Il existe plein d’astuces, de « tips », et de façons de gérer une PMA. Et si certains conseils peuvent s’appliquer à toutes les femmes ayant recours à une PMA, le meilleur et le plus important reste encore de s’écouter lorsque le corps ou l’esprit le réclament. Parce qu’au final, qui peut savoir mieux que vous ce qui vous fait du bien, vous apaise, vous calme et vous rend heureux ?
De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris.
Je propose également des soins thérapeutiques du corps (massage lymphatique Renata Franca et drainage visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Enfin, je propose désormais des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de rompre avec le quotidien et ce qui le parasite.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

Que faire en cas de crise d’angoisse ?
Le stress et l’anxiété font partie intégrante du quotidien de nombreuses personnes. Et parfois, lorsque l’anxiété est à son paroxysme, c’est une crise d’angoisse qui se déclenche alors. Malheureusement, il est rare que la crise d’angoisse attende que vous soyez confortablement installé chez vous, dans la sécurité des murs de votre cocon pour se déclencher. Alors quand elle surgit en pleine réunion, au milieu de la rue ou pendant vos emplettes hebdomadaires, comment faire ? Est-il possible de la gérer, et si oui, comment ?
Qu’est-ce que l’angoisse et comment la reconnaître ?
La crise d’angoisse, contrairement à l’anxiété, est un pic éphémère qui produit sur le corps divers effets. Car si l’anxiété s’établit dans le corps de façon insidieuse, l’angoisse, elle, est plutôt comme une colocataire qui débarquerait à l’improviste en ouvrant la porte d’un coup de pied : imprévisible et intense.
L’angoisse est un terme directement dérivé du latin « angustia », qui signifie resserrement. Et l’étymologie du mot fait tristement écho aux effets qu’elle peut produire sur le corps quand elle se manifeste. En effet, lorsque l’angoisse se déclenche, c’est l’esprit qui est alerté d’un danger imminent. Le corps subit alors cette information, se tendant et étant à l’affût. Pourtant, il n’y a pas forcément de danger immédiat, et les causes de l’angoisse peuvent prendre leur source dans différents faits :
- Un choc émotionnel, mental, physique qui se réanime ;
- Un traumatisme qui est rappelé à la mémoire ;
- Une angoisse suite à trop de stress dans la vie quotidienne, qui est souvent le cas lorsqu’on monte sa propre boîte. Heureusement, il y existe de l’hypnose anti stress pour aider à se mettre à son compte tranquillement.
En bref, tout autant de causes que d’angoisses. Heureusement, il est possible de reconnaître rapidement l’angoisse, notamment en raison de l’intensité de certains des symptômes qu’elle déclenche. Parmi eux l’on retrouve :
- Des bouffées de chaleur, de la sueur ;
- Tremblements musculaires ou des spasmes ;
- Tachycardie, ou sensation que le cœur bat trop vite, trop fort ;
- Sensations d’étouffer, de suffoquer ;
- Vertiges ;
- Frissons.
Les symptômes sont aussi variés et aléatoires que les manifestations des crises d’angoisse. Toutefois, il est possible de les reconnaître aisément, et plus ils sont repérés tôt, plus il sera facile de surmonter la crise d’angoisse.
Gérer l’angoisse sur le court terme
Lorsqu’on parle de gérer l’angoisse sur le court terme, il s’agit surtout de gérer la crise d’angoisse, celle qui se déclenche à un instant T et, dès lors qu’elle se manifeste, possède une fin qui s’approche. Le fait d’apprendre à gérer la crise d’angoisse lorsqu’elle commence à se déclencher peut être un réel atout au quotidien, et évite, sur le moyen terme, de déclencher plus de crises d’angoisse (car il est possible d’angoisser à l’idée d’angoisser !). Par exemple, la force de la nature agit sur le bien-être comme de l’hypnose contre le stress.
Parmi ces astuces pour gérer la crise d’angoisse, l’on retrouve :
Se raccrocher à la réalité à travers la stimulation des sens :
C’est encore le conseil le plus courant que les professionnels de la santé peuvent donner. Et pour cause, la manifestation de l’angoisse est liée à toutes sortes de symptômes qui rappellent un danger, une peur, un sentiment d’impuissance…etc. mais en aucun cas un danger réel et immédiat. Le fait de se raccrocher à la réalité permet alors de couper l’angoisse, en privilégiant le moment présent et les sensations immédiates à la place de l’angoisse et du souvenir de douleurs. La meilleure astuce est alors de concentrer ses sens (ouïe, vue, goût, toucher, odorat) directement sur l’environnement qui vous entoure afin de ne pas vous sentir dépassé.
La rationalité des chiffres et sa connotation concrète :
Le fait de compter peut aider le cerveau à se concentrer sur une autre tâche, et il délaissera ainsi petit à petit l’emprise de l’angoisse sous laquelle il se retrouvait. Il peut s’agir d’opérations toutes simples à faire de tête, ou d’un exercice d’algèbre plus élaboré pour les matheux, l’essentiel étant que compter permet de se recentrer sur des données réelles, scientifiques et rationnelles. Les chiffres servent alors d’ancrage face à l’angoisse qui se profile.
L’exercice de la cohérence cardiaque :
Cette technique consiste à, dès lors que les premiers symptômes de la crise d’angoisse se déclenchent, ralentir sa respiration en se concentrant dessus. En adoptant un rythme plus lent de respiration, vous apaisez dans le même temps le rythme cardiaque qui peut lui aussi souffrir de certains effets en cas de crise d’angoisse. En général, cette méthode fonctionne en quelques minutes à peine.
Les huiles essentielles pour endiguer la crise toute proche :
Certaines odeurs ou certains goûts parviennent à apaiser le corps et le mental par leurs effluves. C’est notamment le cas pour les huiles essentielles, dont certaines permettent de se délivrer des effets de la crise d’angoisse. Les huiles essentielles d’ylang-ylang ou de petitgrain peuvent en particulier aider à stopper certains symptômes, puisque ces huiles essentielles ont comme effet de réduire la pression artérielle et de faire ralentir le rythme cardiaque.
Ainsi, il existe de nombreux moyens pour stopper la crise d’angoisse lorsqu’elle se manifeste. L’on peut également compter parmi ces astuces des exercices de méditation ou de sophrologie, exercices qui, sur le court terme, parviendront à faire reculer l’angoisse.
Gérer la crise d’angoisse sur le long terme
Si la crise d’angoisse est directement liée à un choc bien précis, alors il est possible de traiter l’anxiété sous-jacente d’une certaine façon pour en venir à bout. Malheureusement, le plus souvent, il arrive de faire des crises d’angoisse sans même en connaître la raison exacte.
Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont nombreux. En effet, elle permet un suivi régulier dans le temps au niveau du passé de la personne, afin de découvrir d’où viennent les crises d’angoisse. Car même si vous parvenez à gérer la crise d’angoisse quand elle se présente grâce à une technique à la fois ingénieuse et efficace, il y a toujours la possibilité qu’un phénomène d’échappement apparaisse (plus l’on fait quelque chose et moins cette chose a d’effet sur le corps).
Il est alors important, essentiel et primordial pour votre propre bien-être votre santé de parvenir à vous débarrasser non seulement de l’angoisse, mais également de l’anxiété qui peut y être liée sans même que vous n’en ayez conscience.
Ainsi, il existe différents moyens de gérer la crise d’angoisse. Bougies, lecture, fuite « en avant » à travers une implication démesurée dans un projet « réel »… etc. A chaque crise d’angoisse, il existe une méthode qui permette de la contrer.
Pour ce qui est de soigner l’anxiété plus en profondeur, il existe beaucoup de médecines alternatives qui permettent de se délester du lourd fardeau de l’angoisse. C’est notamment le cas de séance d’hypnose à Paris, par exemple. Je propose également des soins du visage et du corps comme le drainage du visage ou le drainage lymphatique, qui permettent de se reconnecter avec son corps et son esprit.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi et de s’éloigner de ce qui ne va pas et provoque les tracas. Loin du quotidien et de ses tourments, il est alors temps de penser à vous et de privilégier votre bien être. Si vous souhaitez plus de renseignements, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
-

Les bienfaits à suivre une thérapie
La vie est faite de différentes épreuves à traverser. Parfois, ces épreuves sont légères et douces comme une brise printanière, et d’autres fois, elles se font plus véhémentes, comme l’orage qui éclate au milieu de l’été. Ce qui est sûr, c’est que chaque épreuve, chaque événement de la vie laisse certaines marques dans le corps et au creux de l’esprit. Et de temps en temps, il arrive que le seul moyen de les surmonter soit de suivre une thérapie. Je propose des séances d’hypnose à Paris avec un massage Kobido, pour reconnecter le corps et l’esprit.
Mais contrairement aux idées reçues, la thérapie peut avoir de nombreux bienfaits, et chaque personne est libre d’en suivre une ou non. La thérapie est une question de choix vis-à-vis de ses besoins, de ses envies et des objectifs qu’il a pour son futur.
Une thérapie, c’est quoi ?
Lorsqu’on parle de thérapie, le plus souvent, il est en fait question de psychothérapie. Il s’agit donc, selon la définition officielle, d’apporter un soin « thérapeutique concernant des troubles psychiques ou somatiques par des procédés psychiques ». Cependant, la thérapie a beaucoup évolué depuis des années, et aujourd’hui, le plus souvent, lorsqu’on évoque la psychothérapie, il s’agit d’entrer en relation avec le thérapeute plutôt que d’aborder la thérapie comme un lien de patient/ soignant.
Le fait que l’accent soit mis sur les prises de consciences et le travail que le client peut amorcer sur lui et sur son quotidien a permis de grandement démocratiser le processus de la psychothérapie. Les personnes qui en ressentent alors le besoin s’y dirigent beaucoup plus facilement, et sont à mêmes de prendre en main leur vie avec de nouveaux moyens à sa disposition et en se connaissant mieux.
Les différentes thérapies qui existent
Les psychothérapies sont celles auxquelles l’on fait référence lorsqu’on évoque une thérapie. Toutefois, depuis quelques années déjà, les médecines parallèles ne cessent de se déployer en Occident, et sont de plus en plus appréciées. Ainsi, il est désormais possible de compter parmi les thérapies « parallèles », les thérapies par :
- L’art ;
- La danse ;
- L’écriture ;
- La méditation;
- Le sport qui vous plait qui comme l’hypnose, fait gagner de la confiance en soi.
Elles s’ajoutent aux différentes thérapies qui ont été reconnues de manière scientifique au cours des décennies, comme les thérapies :
- Cognitive et comportementale ;
- Systémique ;
- La psychanalyse ;
- Psychothérapies existentielles/ humanistes.
Il en existe tout autant qu’il existe de thérapeutes, puisque chacun peut avoir une spécialité à apporter aux patients qu’il rencontre.
Les bienfaits d’une thérapie
Qu’il s’agisse d’une psychothérapie ou d’une thérapie par l’art par exemple (il est important de noter que tous les psychologues ne sont pas psychothérapeutes), il existe de nombreux bienfaits à aller consulter pour se faire aider. De nombreuses études ces dernières décennies ont d’ailleurs contribuées à rechercher et appuyer les bienfaits que possédaient les thérapies et en particulier les psychothérapies (méta-analyse de M. Lambert en 2004 à partir des études menées en amont).
Parmi les bienfaits d’une psychothérapie, l’on retrouve :
La fin d’une ou de plusieurs souffrances :
Si c’est pour beaucoup la raison principale qui les encourage à démarrer un processus de thérapie, c’est aussi l’un des effets qui est le moins négligeable. Et pour cause, grâce à l’emploi de différentes méthodes comme l’hypnose pour retrouver l’estime de soi, la PNL ou la sophrologie, la psychothérapie peut aider à endiguer la souffrance voire à s’en débarrasser sur le long terme, que la souffrance soit physique, mentale ou émotionnelle.
Amélioration des relations :
En effet, la psychothérapie, en vous aidant à mieux vous comprendre, permet également d’améliorer les relations que vous pouvez avoir avec un entourage extérieur. Qu’il s’agisse à la source de certains soucis de communication, de timidité, d’obsessions ou suite à quelques échecs amoureux, un bon thérapeute, avec la méthode adaptée, pourra parvenir à vous faire surmonter les tracas liés aux relations interpersonnelles.
Apprendre à mieux se connaitre :
A travers le voyage de l’apprentissage de soi, il y a la destination d’un meilleur épanouissement général. Que ce soit dans la vie professionnelle, personnelle ou sociale, se connaître est un atout du quotidien pour tout ce qui est ou va être entrepris dans un futur plus ou moins proche. Découvrir la façon dont votre esprit fonctionne en apprenant les blessures du passé, c’est aussi comprendre pourquoi certains comportements sont rapidement acquis dans le présent. La psychothérapie, c’est donc aussi laisser tomber l’armure que l’on présente au monde pour soi-même connaitre ce qui se cache au-dessous.
Une aide pour la réalisation de soi :
Plus généralement, les thérapies livrent une grande aide quant à la réalisation de soi. En effet, il est possible d’entamer un travail profond sur l’estime de soi, la confiance en soi et de s’aimer soi-même avec de l’hypnose en supplément de la thérapie. Cela peut également se révéler être un immense soutien notamment pour toutes les personnes qui entament un grand changement dans leur vie, ou sont justement au cœur de ce changement.
Evoluer :
Il arrive parfois que la sensation d’être bloqué dans un passage de sa vie surgisse subitement. La psychothérapie permet de surmonter autant que prévenir cette sensation désagréable, notamment en faisant la lumière sur le lien entre les expériences du passé et les problèmes, les difficultés rencontrés dans le présent. Comprendre le passé et en accepter les conséquences, c’est aussi s’offrir une chance de pouvoir continuer dans la vie de manière plus sereine et plus éclairée. C’est prendre en compte la totalité de ce qui vous compose pour être sûr d’éviter les mêmes erreurs, et les mêmes schémas qui peuvent parfois être destructeurs.
Ainsi, les thérapies peuvent avoir beaucoup de bienfaits et surtout, de nombreux effets sur les personnes qui franchissent le pas de faire appel à un professionnel. À terme, ce sont des forces supplémentaires que vous possédez en ayant pris le temps de vous connaitre davantage, mais aussi le courage sublime de ceux qui peuvent regarder le passé sans souffrir ou le regretter. Accepter sa vie, la personne que l’on est et découvrir celle que l’on aspire à être, tels sont les atouts que la psychothérapie permet de posséder dans sa manche.
Il est également important de noter que les thérapies doivent être amorcées de manière volontaire. Si vous le faites à contrecœur, les effets seront moindres et ce sera surtout une perte de temps pour vous ainsi que pour le professionnel. La démarche doit être personnelle et motivée par vos besoins et envies, et nullement forcée selon un quelconque avis extérieur (sauf si c’est l’avis de votre médecin suite à un traumatisme vécu). Il est toutefois normal, malgré une motivation franche, d’avoir quelques appréhensions lors des premières séances.
Enfin, le choix du thérapeute est également très important. Chacun ayant sa spécialité, son domaine de prédilection et surtout, ses méthodes, il est important de bien se renseigner afin d’éviter l’épuisement dans la recherche et la multiplication des « premières séances » qui ne mèneront nulle part.
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose ainsi des séances d’hypnose, qui peuvent permettre dans un premier temps ou en complément d’une psychothérapie, de venir en aide afin de surmonter certaines addictions, des insomnies…etc.
Par ailleurs, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique Renata Franca ou encore des soins du visage, comme le drainage pour le visage.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se recentrer sur soi et la nature.
Pour les séances d’hypnose, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
-

2022, année de la reconversion professionnelle ?
Et pourquoi pas ! Avec la nouvelle année, vient aussi le temps du renouveau et de la réalisation. Envie de changer de profession ? C’est peut-être le moment ou jamais de se lancer à cœur perdu dans cette nouvelle aventure qu’est la reconversion professionnelle. Même si cela peut paraître intimidant, effrayant, exaltant ou terriblement impossible, il suffit parfois de simplement se lancer pour découvrir toute l’étendue des possibles de la vie !
Pourquoi se reconvertir ?
Il existe de nombreuses raisons de vouloir se reconvertir professionnellement. Mais pourquoi se lancer cette année ? Comment amorcer ce bouleversement dans sa vie ? Parmi les raisons de se reconvertir les plus courantes, il est possible de se reconvertir :
Pour suivre ses rêves :
Cela fait peut-être des années que vous rêvez de vous lancer vraiment dans un projet professionnel qui vous tient à cœur, s’accorde avec vos valeurs ou vous passionne tout simplement. Suivre ses rêves est un acte de courage indéniable. Dans le domaine professionnel, il arrive souvent que ceux-ci soient pourtant réfrénés dans une certaine mesure, que ce soit par sécurité financière ou par habitude. Chambouler la routine, prendre le risque de se lancer, et simplement suivre une nouvelle voie peuvent pourtant s’avérer beaucoup plus épanouissants que ce que la peur pouvait laisser présager. N’hésitez plus, 2022 est peut-être l’année où votre rêve va prendre forme !
Explorer de nouveaux horizons :
Si la curiosité est parfois un vilain défaut, elle peut aussi s’avérer être un très bon moteur pour avancer dans la vie et se lancer dans de nouveaux projets professionnels… et pourquoi pas, aborder une reconversion professionnelle complète ? Que ce soit par passion, parce que vos envies changent et évoluent ou encore pour découvrir une nouvelle voie qui vous intrigue, la reconversion professionnelle peut être envisagée à n’importe quel moment de votre vie, pourvu que vous en ayez la volonté ou l’idée.
Exprimer ses qualités et être en accord avec soi-même :
Quel que soit le métier dans lequel vous souhaitez et/ou pensez vous reconvertir, il y a de grandes chances que celui-ci soit davantage en accord avec vos valeurs et vos besoins. Car les premiers jobs sont souvent alimentaires, par dépit, ou faute de mieux, la reconversion professionnelle offre l’occasion de laisser s’exprimer ses qualités les plus profondes, celles qui ne sont pas toujours utiles dans une profession qui bride l’individu. De plus, exprimer ses qualités, c’est aussi s’offrir le choix de pouvoir les reconnaître, les faire évoluer, et les apprécier à leur juste valeur. La reconversion professionnelle peut donc s’avérer être aussi un choix éclairé dans un processus de développement personnel.
Pour penser à son bonheur :
Plus simplement, il arrive qu’une profession ne soit plus ou pas du tout épanouissante pour soi, auquel cas il est intéressant d’en changer. Se diriger, entreprendre, commencer un projet qui peut vous apporter de la joie et un équilibre, c’est choisir son bien-être et son propre bonheur au détriment d’un travail qui vous use et vous épuise possiblement. C’est se choisir, soi-même.
Si à l’époque, il y a encore une vingtaine d’années, il était encore envisageable de choisir un métier et de l’exercer tout au long de sa vie, désormais, il est courant de retrouver des gens qui embrassent au cours de leur vie deux choix ou plus de carrière. La reconversion professionnelle s’est donc démocratisée, ce qui a permis ainsi d’alléger certaines démarches, en plus de créer des aides pour quiconque souhaiterait se lancer dans cette aventure !
Y a-t-il un bon moment pour se reconvertir ?
Une reconversion professionnelle demeure un choix souvent salvateur, mais tout aussi souvent risqué. Car sans imaginer le pire, tous les paramètres pour la réussite de cette reconversion ne sont pas dans les limites de votre contrôle. Il est alors possible que le moment de la reconversion soit sans cesse repoussé dans vos plans.
« Ce n’est pas la bonne période… », « Il est plus sage d’attendre encore un peu pour être certain de mon choix… », « Peut-être que je fais une terrible erreur… », tels sont les doutes qui peuvent vous envahir et venir ronger l’enthousiasme et la motivation que vous aviez pourtant développés naturellement à propos de votre reconversion professionnelle.
Eh bien sachez qu’il n’y a jamais de bon moment, sinon celui que l’on choisit !
Parce que si tous les événements qui se déroulaient sur Terre devaient être pris en compte, étudiés, et ensuite réfléchis avant votre reconversion, vous ne la feriez jamais. Les doutes sont tout à fait naturels ; ils permettent de vous faire avancer pas à pas, selon votre rythme. Les peurs le sont tout autant ; leur présence prouve que ce projet vous tient à cœur. Mais il faut parfois savoir se déshabiller de ces idées limitantes pour vous lancer, tout simplement. Après tout, n’est-ce pas le seul moyen de voir si vous allez y arriver ?
Ainsi, il n’y aura jamais de meilleur moment pour vous reconvertir que celui que vous choisirez. Car cela concerne votre vie, vous avez toujours le premier, et le dernier mot. La décision vous appartient totalement. Mais il faut savoir que les débuts d’années sont souvent propices à amorcer des changements, de telle sorte que si certaines appréhensions demeurent, ce début d’année pourrait bien vous aider à vous en débarrasser !
2022, une année qui change les règles ?
Sans s’étaler sur le sujet qui a tourné –et tourne toujours !- sur toutes les chaînes de média, dans tous les journaux, sur les réseaux sociaux… la crise sanitaire que le monde a connu a permis de bouleverser quelques règles établies jusqu’alors. Au bout de deux ans, les règles de société ont changé, mais celles du travail aussi. Les outils technologiques se sont placés à de nombreuses reprises au centre de beaucoup de professions, et les confinements consécutifs ont également permis à beaucoup de personnes de se reconnecter avec des passions, des passe-temps…etc
La crise sanitaire a donc permis de se positionner, au-delà du point de vue sanitaire, face à soi-même et de mieux découvrir quelles vies nous voudrions pour l’avenir. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, cela est nécessairement pris en compte, surtout à l’aube d’un futur qui aspire à être meilleur.
Ainsi, une reconversion professionnelle, si elle est intimidante, impressionnante ou encore effrayante, est sûrement l’une des formes de liberté les plus totales. Choisir sa voie, c’est se choisir soi chaque jour, et décider d’être en accord avec soi-même, être motivé à se donner les moyens de réussir.
Toutefois, lors d’une reconversion professionnelle, l’on peut parfois être amené à se sentir dépassé. Les doutes resurgissent souvent, et garder une jauge de motivation remplie en continu est tout bonnement impossible. Certaines activités comme la méditation ou la sophrologie peuvent alors aider à se recentrer sur soi et ses objectifs.
Tout comme l’hypnose, dont je propose des séances à Paris. De même, lorsqu’on s’investit dans un nouveau projet, on a parfois tendance à s’oublier. Je m’appelle Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques tels que des drainages lymphatiques ou des drainages du visage, qui permettent d’aider les personnes qui en ont besoin.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites au plus proche de la nature plusieurs fois par an, afin de se reconnecter à soi-même. Dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle, cela pourrait permettre de dissiper les derniers doutes et appréhensions tout en se ressourçant suffisamment pour se lancer dans ce nouveau chapitre de votre vie ! Pour les détails, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
-

Quels sont les bienfaits d’une digital detox ?
Le 3 avril 1983, le premier téléphone mobile était créé. Presque quarante ans plus tard, les smartphones sont devenus indispensables à nos vies. Qu’ils soient outils de travail ou de divertissement, ils représentent une grande partie de nos quotidiens.
Qui n’a jamais attendu à un message avec impatience ? Qui n’a jamais cru voir une notification s’afficher, alors qu’il n’en était rien ? Ne pas être capable de se concentrer ou de se trouver loin de son téléphone, tels sont les effets que nos générations –et les futures- pourront connaître face à l’usage des outils technologiques. Parce que les progrès de ces outils à devenir toujours plus instinctifs, faciles d’accès, d’usage, et surtout indispensables dans nos quotidiens contribuent à nous y rendre accroc plus que de raison. Quels peuvent être alors les bienfaits d’une digital detox ?
Une digital detox, qu’est-ce que c’est ?
L’expression « digital detox » est un terme anglo-saxon renvoyant directement à la désintoxication des outils digitaux que l’on utilise au quotidien. Ordinateurs, tablettes numériques, mais surtout les smartphones, qui deviennent au fil du temps une extension que l’on pense indispensable à nous-mêmes.
La digital detox consiste alors à « rompre » le lien avec son smartphone, à parvenir à se détacher de cette addiction qu’ils peuvent faire naître sans que l’on s’en rende bien compte pour se recentrer sur soi et une dimension de la vie qui soit plus « concrète ». Sur une durée de dix jours au moins, il s’agira de ne pas utiliser, ou regarder son téléphone, afin de bien marquer le « sevrage ».
Ainsi, une digital detox consiste à se sevrer des habitudes néfastes qui envahissent rapidement les quotidiens dans le but de retrouver un équilibre pour soi, et avec soi. Le téléphone reste un outil, et ne devient en aucun cas une partie de soi-même.
Les bienfaits d’une digital detox
Les bienfaits d’une digital detox figurent aussi parmi les raisons qui peuvent vous pousser à vouloir en faire une. Parmi ces bienfaits, l’on retrouve notamment :
Un rééquilibrage de la santé mentale :
Parmi les détracteurs de la technologie et de plus en plus de scientifiques, la technologie et les smartphones plus particulièrement auraient une influence directe sur la santé mentale. Et pour cause, à chaque notification qui sonne, à chaque message qui s’affiche, c’est un élément de déconcentration qui s’ajoute dans notre environnement, et que le cerveau doit ensuite gérer. D’où l’importance de se dégager des moments sans smartphones, afin de pouvoir pleinement se concentrer sur une tâche précise, et laisser le temps au cerveau de faire le point.
Une meilleure concentration :
Comme évoqué plus haut, les smartphones ont la terrible tendance de déconcentrer leurs utilisateurs. L’attente d’un message important, les notifications de réseaux sociaux, de mails, ou d’une discussion de groupe sont tout autant de raisons qui déconcentrent et ne permettent plus au cerveau de se concentrer sur sa tâche initiale.
De meilleures relations humaines :
Cela peut rapidement être oublié tant la technologie pose de nombreux avantages dans le maintien des relations humaines sur une longue distance, et pourtant, les communications via la technologie et en face-à-face sont bien différentes. Pouvoir se séparer de son smartphone de temps à autres offre alors l’opportunité de pouvoir se reconnecter à son entourage proche, ses amis, et d’entretenir des relations plus concrètes et dans une dimension réelle dont on a tous un minimum besoin.
Diminution des problèmes de dos :
Au fil des années, les docteurs et spécialistes de santé ont prouvé que l’usage de plus en plus tôt d’un smartphone avait tendance à augmenter les risques de scoliose et de problèmes de dos. Pour cause, la posture que l’on adopte, se tournant toujours plus vers l’objet technologique au lieu de s’ouvrir vers le monde. On se replie, on se recroqueville (au sens propre comme au figuré), et ce n’est pas sans conséquence pour le corps !
Reconnexion au réel :
Parce que si les outils technologiques nous offrent des possibilités indénombrables concernant les liens à distance, qu’ils nous confèrent une certaine visibilité selon les choix de carrière, ou permettent de s’informer et d’apprendre rapidement, rien ne vaut vraiment la vie réelle. Les amis, la famille, les rires, les émotions, la nature… tant et tant de choses qui ne peuvent pas être remplacées ni même reproduites de la même façon à travers un écran.
Comment commencer une digital detox ?
Pour débuter une digital detox, il est important de comprendre et d’identifier dans un premier temps quels sont les besoins et envies qui vous animent. En d’autres termes, pourquoi la digital detox vous semble nécessaire ? Pourquoi voulez-vous amorcer cette digital detox ? Avez-vous besoin de plus de temps pour vous ? De vous reconnecter au réel ? De vous recentrer sur vous, ou bien de simplement décrocher un peu des réseaux sociaux ?
Quelle que soit la raison qui vous motive ou les besoins et envies que vous aurez identifiez, la digital detox est globalement simple à aborder. Dans un premier temps, il s’agit simplement de délimiter des horaires avec votre téléphone. Par exemple, après 18 heures, le téléphone est posé jusqu’au lendemain. Ou alors, il ne rentre pas dans la chambre, pour épargner votre sanctuaire des mauvaises ondes. C’est à vous de définir au mieux les limites qui vous semblent nécessaires afin d’amorcer cette digital detox, et surtout, de la respecter dans le temps.
Que cela dure une semaine, dix jours ou un mois complet, c’est selon votre besoin. L’essentiel étant de parvenir à couper les liens parfois étroits et dépendants que l’on entretient à divers degrés avec nos smartphones !
Savoir si j’ai besoin d’une digital detox
Parfois, il est un peu fastidieux de se rendre compte que le lien entretenu avec son smartphone est beaucoup trop présent et nous détourne du réel. Alors comment savoir si vous avez besoin d’une digital detox ? Il y a certains détails qui peuvent mettre la puce (mais pas celle du téléphone…) à l’oreille !
- Vous vous sentez perdu si vous n’avez pas votre smartphone sur vous ;
- Vous passez plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux ;
- Vous attendez parfois longtemps une notification qui ne vient pas, au risque de ralentir vos tâches et occupations ;
- Vous pensez parfois l’entendre sonner, alors qu’il ne sonne pas ;
- Vous avez du mal à vous endormir ;
- Il vous est impossible de vous concentrer une heure entière sur une conversation ou une activité.
Il existe également plein d’autres nuances, mais ces « habitudes », ces réflexes que l’on développe inconsciemment sont en grande partie responsables d’un quotidien qui tourne autour d’un smartphone. Peut-être est-il alors temps d’entamer une digital detox… ?
Ainsi, la digital detox est comparable à un grand ménage de printemps ! Il s’agira de nettoyer votre corps et votre esprit durant une durée indéterminée, afin de vous reconnecter pleinement au réel et à ce qui vous entoure. Un jour par mois, une semaine par trimestre… peu importe ! Chaque personne peut décider des limites qu’elle met en place afin de pouvoir rompre de temps en temps avec cet outil technologique qui devient bien trop souvent, le cœur de nos soucis au lieu d’une aide pour les résoudre.
Sachez aussi qu’en parallèle de la digital detox, il est tout à fait possible de se tourner vers des médecines parallèles et thérapeutiques afin de travailler davantage ce détachement au smartphone. L’hypnose est d’ailleurs un bon moyen de le faire.
Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances sur Paris. Certains soins thérapeutiques permettent quant à eux de se reconnecter à soi, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage, que je propose également à Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être, qui permettent de se reconnecter pleinement à soi, en étant au plus proche de la nature.
-

Comment bien dormir ?
Le sommeil est sûrement l’un des aspects de notre vie les plus délicats à contrôler. Entre les insomnies, les effets du stress, une idée persistante, et les tentations qui font partie de quotidien (« encore un épisode », « encore un chapitre »…), il est parfois difficile de le toucher du bout des doigts. Pourtant, le sommeil a une importance capitale sur la santé physique, mentale et émotionnelle de chaque individu.
Les bienfaits d’un bon sommeil
Ce n’est plus à cacher, les bienfaits d’un bon sommeil sont indéniables. Et pour cause, le sommeil réparateur possède autant de bienfaits sur le corps, l’esprit, que tout le système émotionnel. Bien dormir est donc l’une des clés d’un équilibre général, et une voie importante dans le bien-être. Ainsi, les bienfaits d’un bon sommeil sont :
- Diminution du stress ;
- Baisse de l’angoisse et de l’anxiété ;
- Meilleure mémoire ;
- Des émotions équilibrées ;
- Elasticité de la peau ;
- Régénération des cellules ;
- Diminution du risque de dépression ;
- Plus d’énergie dans la journée ;
- Baisse de maladies cardiovasculaires.
Le sommeil réparateur a donc de nombreuses vertus. A contrario, les impacts d’un mauvais sommeil sont parfois beaucoup plus lourds que ce que l’on pourrait penser de prime abord. Alors comment favoriser au maximum votre sommeil ?
L’importance d’une bonne literie
Si ça peut paraître logique pour certains, il arrive parfois d’oublier à quel point une bonne literie fait toute la différence durant une nuit de sommeil !
Le matelas : que ce soit pour soulager des maux de dos déjà existants ou bien pour les prévenir, le matelas adapté peut changer vos nuits. Comment choisir au mieux son matelas ? Il est important de prendre en compte sa propre morphologie. Que le matelas soit en latex, avec des ressorts ou encore à mémoire de forme, cela importe peu. Mais gardez à l’esprit que la colonne vertébrale est censée être la plus horizontale possible !
L’oreiller : si on a souvent tendance à rêver d’un lit moelleux et d’une couverture chaude lorsque la fatigue nous emporte, il ne faut pourtant pas négliger l’importance d’un bon oreiller ! Et pour cause, c’est lui qui influe directement sur le bien-être des cervicales. Tout comme pour le dos, qu’il s’agisse de prévenir certaines douleurs ou de soulager des maux, un oreiller adapté pourra complètement faire la différence. Si vous dormez sur le dos, privilégiez un oreiller ferme, et si vous préférez dormir sur le ventre, un oreiller plus mou sera alors à recommander afin de pas tirer sur les cervicales.
La literie : dans son ensemble, une bonne literie ne conserve pas seulement la santé physique du dormeur. En cas de risques d’allergies comme celle aux acariens, une literie adaptée pourra calmer les symptômes. De même, une bonne literie peut agir directement sur des troubles tels que ceux de l’humour, de la digestion, la prise de poids, les maladies cardiovasculaires ou encore les migraines.
Vous l’aurez compris, une bonne literie est décisive pour la qualité du sommeil !
La température : plus qu’un détail !
Qui n’a jamais rêvé de son lit douillet, de sa chambre rassurante pour pouvoir se livrer à la tendre rêverie que font naître les journées difficiles ou la fatigue intense ? Et qui n’a jamais connu, durant ces nuits estivales, la frustration de ne pas trouver de position adéquate car la température semble toujours trop chaude ? Ou bien les nuits froides d’hiver, après une coupure de courant ?
La température de la chambre a une importance et une conséquence sur la qualité du sommeil, et surtout, permet d’éviter les impacts d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
En effet, l’Institut national du Sommeil et de la Vigilance recommande vivement de maintenir une température entre 16°C et 18°C durant les nuits. Et pour cause, durant la nuit, les différentes phases de sommeil à travers lesquelles nous passons tous, modifient parfois la température corporelle de quelques degrés. Si la température de l’environnement n’est pas adaptée, c’est alors tout un décalage qui se produit, peut venir perturber le sommeil, et priver de ses effets.
Regarder dans la direction du sommeil
La croyance populaire voudrait que l’on dorme mieux en orientant le lit en direction du Nord. Est-ce que les points cardinaux ont vraiment une importance dans la qualité du sommeil ? En effet, ils en ont une. Car selon le sens dans lequel vous orientez votre lit, les effets sur la santé physique, mentale et émotionnelle seront différents.
Vers le sud : selon les pratiques et connaissances ayurvédiques, le pôle Sud insufflerait une grande attraction sur le corps, pendant le sommeil. Il est alors possible d’orienter le lit en direction du Sud, d’autant que cela permet d’apporter une grande énergie durant le sommeil.
Vers le Nord : cette position est déconseillée par l’Ayurveda, mais davantage recommandée par le Feng Shui. En effet, pour la médecine ayurvédique, cette position (tête au Nord et pieds au Sud) induirait beaucoup de cauchemars et des perturbations du sommeil. Frustration, irritabilité et sentiment de fatigue dominent alors au réveil, selon les avis ayurvédiques.
Pourtant, le Feng Shui recommande grandement cette position car elle permettrait de recevoir les bonnes ondes venant de la Terre et de son champ magnétique.
Ainsi, selon les habitudes, préférences et volontés de chacun, vous pouvez orienter votre lit du côté de n’importe quel pôle ! Tentez, essayez, et trouvez la position du lit qui vous convient et favorise votre sommeil.
Les odeurs et leur pouvoir… soporifique !
Saviez-vous qu’il était possible de mieux dormir grâce à certaines odeurs ? En effet, ce phénomène est tout à fait réel. Beaucoup de personnes dont l’odorat est sensible préfèrent volontiers que leur chambre respire la lavande, par exemple, plutôt qu’une autre odeur qui pourrait les exciter, réveiller le corps ou l’esprit et retarder le sommeil, voire… en déplorer sa qualité. Parmi les odeurs qui peuvent favoriser une meilleure qualité de sommeil, l’on retrouve :
- La lavande: elle apaise les nerfs, réduit le stress et favorise le calme mental et physique.
- Les agrumes: les agrumes en général et les huiles essentielles plus particulièrement possèdent des vertus apaisantes et purifiantes. Elles permettent alors d’apaiser le corps et de purifier l’environnement afin de mieux dormir.
- La verveine : en infusion ou en huile essentielle, la verveine a fait ses preuves depuis longtemps. Sa réputation d’aide digestive la précède, et elle favorise aussi grandement la phase d’endormissement, privilégiant ainsi un sommeil profond et réparateur.
Ainsi, il existe de nombreuses façons de bien dormir. Qu’il s’agisse d’exercices d’étirement avant de dormir, d’avaler son dernier repas au maximum trois heures avant d’aller se coucher, ou encore de mettre en place des rituels spécifiques comme la lecture ou une activité calme, les possibilités sont multiples.
Néanmoins, si malgré vos efforts le sommeil continue d’être difficile, il est important d’aller consulter pour traiter le problème qui est enfoui au-dessous de ce symptôme. L’hypnose peut par exemple être une bonne façon de lever le voile sur les causes et soucis liés à l’insomnie. Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que de soins thérapeutiques pour le corps ou le visage (drainage lymphatique ou du visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, si la vie vous empêche de prendre du temps pour vous, il est alors possible et tout à fait légitime de se pencher sur d’autres solutions. Avez-vous essayé les retraites bien-être ?
-

Pourquoi voyager seul est-il nécessaire pour son bien-être personnel ?
Si ça peut effrayer au premier abord, voyager seul a pourtant de nombreux avantages. Nos modes de vies actuels permettent de surcroît de laisser plus de chance aux voyages. Fonder une famille plus tard et pouvoir travailler à distance sont désormais envisageable pour tous les amoureux de la nature et du monde. Alors voyager seul, pour ou contre ? Tant pour soit que pour son bien-être, partir seul, c’est revenir plus riche intérieurement.
La solitude, forme primaire de liberté
Si le fait de voyager seul peut être source de nombreuses angoisses et appréhensions –ce qui est totalement naturel-, c’est également car tout peut potentiellement devenir possible. Et pour cause, dans le cadre d’un voyage organisé pour tout un groupe (amis, famille…), les choses se compliquent dès lors que les avis divergent. Et ça arrive souvent très vite !
Il est alors possible de concevoir le voyage seul comme une forme de liberté. Vous décidez de partir dans un endroit, et le programme ne dépend que d’une chose : vos propres envies ! Vous êtes alors la personne qui choisit les lieux à visiter, les activités à faire…etc. Car après tout, c’est votre voyage ! Vous ne subirez pas des activités ennuyeuses ou qui ne vous intéressent pas, n’aurez pas à vous plier aux exigences d’autrui, et surtout, cela permettra de mieux gérer le budget des vacances ou du voyage.
Outre cela, la solitude durant le voyage peut également ouvrir la porte à de nombreux rebondissements ! Cela peut être le cas pour de nouvelles rencontres, notamment. Les gens ont tendance à ne pas trop s’approcher d’un groupe, mais une personne seule permet de se sentir en confiance aux premiers abords.
Ainsi, la solitude que procure le fait de voyager seul est une notion précieuse. Source d’un sentiment de liberté insoupçonnable tant qu’il n’a pas été expérimenté, il permet également d’en apprendre plus sur soi, et sur les ressources qui vous composent et que vous ne connaissez peut-être pas.
Étendre sa zone de confort
Voyager seul, c’est aussi étendre sa zone de confort. Parce que découvrir un pays, une autre culture, une langue étrangère et tout ce qui compose un voyage, c’est aussi se laisser une chance de se découvrir soi-même. Qui peut savoir qui il est sans avoir eu à voyager seul ? On ne peut jamais soupçonner la force de ses ressources, ni l’étendue de ses capacités tant qu’on n’a pas eu à les utiliser en situation réelle.
Louer une voiture pour une nuit dans les montagnes et voir le pneu crever au matin ? Ce n’est pas un souci, mais une nouvelle aventure ! Parce que les « petites galères » font aussi partie du voyage, et qu’elles créent des souvenirs plus précieux encore. Et ce sont justement ces petites galères qui vous permettent de vous connaitre davantage et de vous découvrir des ressources illimitées et une capacité d’adaptation surprise !
De plus, voyager, c’est aussi changer ses habitudes. Les heures de lever et de coucher ne sont plus les mêmes, et les journées sont rythmées selon votre propre rythme, vos choix d’activités ou encore vos besoins. Les expériences se multiplient alors, et l’apprentissage de la vie se poursuit en vous offrant la possibilité d’en découvrir toujours plus à votre propos.
Voyager seul… à la découverte de soi !
Même si elles peuvent être minimes, voyager avec d’autres personnes, c’est toujours synonyme de concessions. En voyageant seul, vous vous octroyez la place que vous méritez : celle au premier rang de votre vie. Et votre bien-être, votre estime de vous en ressentiront les conséquences sans aucun doute !
Dans la même optique, si vous avez une décision importante à prendre, voyager seul peut permettre de prendre du recul et de la distance par rapport aux préoccupations du quotidien. De quoi avoir tout le temps nécessaire pour penser à propos de votre situation, de vos envies, d’une décision…etc. Prendre du temps pour soi, c’est également possible en voyageant et en se faisant plaisir ! Et cela ne pourra que servir le futur qui vous attend patiemment.
Il y a donc matière à se découvrir, et surtout, mieux se comprendre. Comment appréhender l’avenir si le présent est incertain et qu’il tangue ? Le voyage seul permet de retrouver, à votre retour, un calme nécessaire pour la suite de la vie et ses nombreuses surprises.
De nouvelles rencontres… c’est aussi se rencontrer soi !
Qu’elles soient locales ou touristiques, les rencontres accompagneront votre voyage durant toute sa durée ! Et le fait d’être seul permet de paraître plus ouvert, puisque l’on ne reste pas collé à ses proches. Bien que ce soit un comportement naturel de l’être humain dans un environnement inconnu, voyager, c’est aussi et surtout s’ouvrir aux autres !
Rencontrer les personnes vivant localement permet également de mieux comprendre et découvrir la culture du pays. D’une région à l’autre, elle peut changer, comme partout ! Les traditions d’un pays sont toutes uniques, et échanger avec des locaux permet de s’en rapprocher au maximum. Par ailleurs, le fait d’échanger avec d’autres touristes permet également de s’ouvrir à l’autre dans une optique d’échange, de travailler les langues internationales, et surtout, de partager un bout de chemin avec d’autres aventuriers !
Et puis… parler avec d’autres touristes peut aussi être une bonne solution pour partager les bons plans comme les mauvais. Car même si les petites galères font de bonnes anecdotes, en éviter certaines peut être tout aussi arrangeant !
Et au niveau du bien-être ?
Le fait de voyager en solitaire peut avoir de nombreux avantages. Mais avant tout, c’est pour votre bien-être personnel que cette solution peut être intéressante. Et pour cause, au-delà des craintes et appréhensions que peut représenter le fait de voyager seul, c’est aussi une grande satisfaction qui peut en être retirée. En effet, voyager seul, c’est :
Vivre son voyage à 300%
Ne dépendre de personne sinon de ses envies et besoins ;
Découvrir à son rythme les cultures et traditions ;
S’ouvrir au monde et aux nouvelles rencontres ;
Prendre du temps pour soi ;
Découvrir ses ressources insoupçonnées ;
Prendre confiance en soi !
Ainsi, le voyage en solitaire présente de nombreux avantages. Il permet de découvrir tout autant que de se découvrir soi-même, et surtout, d’expérimenter des choses uniques, des activités incroyables et de trouver douceur et aventure au creux même de sa propre personne.
Moi-même, il y a quelques années, j’ai voyagé seule. Ça m’a complètement changée. J’ai retrouvé confiance en moi, et c’est cette assurance qui m’a permis de changer de vie, de faire ce qui me plaisait vraiment : aider les autres !
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Outre les séances d’hypnose, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou encore le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement via Doctolib.
Et pour en apprendre davantage sur moi, je vous invite à écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou mon podcast Combattantes.
Enfin, quel plus merveilleux voyage existe-t-il que celui qui mène à soi ? J’organise d’ailleurs des retraites menant à l’équilibre de soi.
-

Y a-t-il un cycle dans l’amitié ? Pourquoi vouloir ‘rompre’ avec certaines personnes ?
Il y a quelques années, Frédéric Beigbeder écrivait que l’amour dure trois ans. Et si l’amitié avait aussi une date de fin ? L’amitié est souvent mieux vue que l’amour, mais elle reste rationnellement un lien entre deux personnes qui peut subir des écueils. Toutes les amitiés sont-elles saines ? L’amitié suit-elle un cycle, tout comme la vie ? Et si c’est le cas, a-t-elle systématiquement une date de fin ?
Le sentiment d’amitié : un feu d’artifice qui apporte de la joie
L’amitié est un sentiment bien vaste qu’il est difficile de définir. Source de joie incommensurable, de rires, de tristesse parfois, synonyme d’évolution… les amitiés sont tout aussi uniques que les personnes qui la composent. Car pour être amis, il faut être au moins deux.
Woah ! J’ai vu que tu écoutais aussi Queen, je suis fan ! Je te prêterais le DVD du live, si tu veux…
D’un instant à l’autre, c’est un point commun, un détail, un partage, un acte de bonté… et tant d’autres choses encore qui peuvent lier deux personnes. Pour savoir combien de temps cela va durer, il va dépendre de tant et tant d’éléments. Quelques semaines, une année entière ou des décennies ? L’amitié demeure surtout un lien social qui s’entretient malgré les conditions (lieux de vie différents, écoles différentes…etc.).
Car contrairement à l’amour, l’amitié n’a aucune contrainte. Elle ne demande pas de contrepartie, elle est plus libre et se révèle surtout un support sans failles. Si elle peut subir les aléas de la vie et des événements qui y surviennent, l’amitié semble pourtant avoir, dans les consciences collectives, un socle bien plus fort. Alors trouver les bons amis, est-ce vivre une existence moins pénible ? Et comme le chantait Freddy Mercury lui-même…
You make me live, whatever this world can give to me…
Les cycles de la vie
Mais malheureusement, comme dans tout ce qui fait partie de la vie, certaines choses finissent par passer. Et les amis ne font pas exception. Si vous aviez l’habitude de vous voir tous les jours en cours ou au travail, il est possible que changer de voie vous éloigne alors de l’ami en question.
On s’enverra des lettres ? Et on s’appellera le week-end, oui… Promis ?
Mais n’est-ce pas ça, la vie ? Une succession de relations amicales qui varie, change, évolue… comme, nous finalement. Et puis, nos besoins d’amitiés ne sont pas les mêmes au fils des ans. C’est aussi ce pourquoi il est parfois plus simple de se faire des amis quand on est enfant plutôt qu’à l’âge adulte. Il est donc tout à fait naturel que certaines relations s’éteignent, par choix ou par les fatalités que la vie fait parfois peser sur nous.
Combien de temps dure l’amitié ?
allait alors émettre une date de durée, il s’agirait des fameux trois ans. Non pas que ce soit un rallye et que la finalité des trois premières années en soit la ligne d’arrivée, mais bel et bien que trois ans d’amitié, c’est un « cap » à passer. Et pour cause, en trois ans, il peut se passer de nombreuses choses. Dans un monde sans cesse changeant et dans lequel le mouvement n’a de cesse de se prolonger, s’éteindre, ressusciter… les trois ans permettent de couvrir quelques aléas de la vie. De quoi avoir le temps de comprendre sur quelles personnes vous pouvez vraiment compter, notamment.
Par ailleurs, les amitiés, tout comme toutes les autres relations sont susceptibles d’évoluer et de changer. Et c’est tout aussi naturel ! Parfois elles s’éteignent, et parfois, leur flamme reste allumée pendant encore des années. En réalité, tout dépend de la façon dont vous êtes avec l’autre, et la façon dont l’autre est avec vous. Chaque relation est unique, y compris en amitié !
Certains de mes amis sont des amis de longue date que je ne vois pas tous les jours. D’autres, au contraire, je les rencontre plusieurs fois par semaines. Sommes-nous moins amis avec les premiers qu’avec les seconds ? Absolument pas ! Car chaque personne a des besoins amicaux différents, et surtout, différentes façons de vivre et d’expérimenter l’amitié !
Tu as vu Léa récemment ? Marie m’a dit qu’elle allait bientôt déménager. On ira l’aider !
La fin (involontaire) d’une amitié
Et puis parfois, les amitiés se terminent. Parce qu’elles n’ont plus rien à offrir ou parce qu’aucun des deux partis ne veut plus investir de temps et de tendresse dedans. Ce sont des choses qui arrivent, et qu’il faut parfois laisser aller pour qu’une prochaine rencontre ait lieu. Car c’est souvent lorsqu’on s’y attend le moins… que surviennent les plus beaux événements !
Un déménagement à l’autre bout du pays, un changement de voie au travail, une dispute qui ne se résout pas… Nombreuses sont les raisons qui peuvent mener une amitié à son terme. Et la rupture amicale peut parfois être bien plus douloureuse qu’une rupture amoureuse…
A qui vais-je confier mes secrets ? Avec qui je vais pouvoir aller flâner au parc les dimanches matins ?
Et à d’autres moments de nos vies, il y a ces amis qui réapparaissent et disparaissent. Parce qu’ils ou vous deux êtes très occupés, vous ne vous voyez pas beaucoup. Mais de petites attentions comme des appels durant l’année vous font comprendre que l’amitié n’est pourtant pas partie. Au contraire, elle demeure au péril même du quotidien.
La fin volontaire d’une amitié
A contrario, il peut y avoir des amitiés qui, lorsqu’elles se finissent, ôtent d’un poids. Parce que si la toxicité est souvent évoquée dans les relations amoureuses, elle peut tout aussi bien s’établir dans une amitié. Et pour parvenir à se défaire d’une telle emprise… c’est parfois bien rude (mais pas impossible !).
Courage et force sont nécessaires pour parvenir à faire prédominer les comportements toxiques qui vous font du mal au-dessus des souvenirs partagés. Parce qu’un ami toxique est un ami, il est souvent compliqué de lui faire comprendre que votre relation ne vous convient plus. Pire encore, qu’elle vous fait du mal. Et se débarrasser d’une personne toxique, peu importe le lien qui existait avant, est toujours une bonne solution !
Après tout, les amis doivent être présents dans les bons et les mauvais moments… et ne pas créer les pires. Et comme le disait Freddy Mercury…
The show must go on !
Ainsi, l’amitié est compliquée à vraiment définir. Pour certains, cela passe à travers une présence physique, des sorties au ciné hebdomadaires, ou encore une écoute sans failles. Chacun a sa propre définition car chacun la vit différemment. Et c’est aussi ce qui fait partie de la joie des liens humains ! L’on retrouve néanmoins l’idée du cycle dans l’amitié. Un début, un milieu et une fin. Et ce, que l’amitié ou non soit toxique, elle peut, à tout moment, prendre fin. Ce qui n’est ni une règle immuable, ni une fin en soi ; quand une porte se ferme…
En revanche, après avoir mis fin à une relation avec une personne toxique, il est parfois important de prendre du temps pour soi. Se reconstruire, se poser, réfléchir… et se libérer des traumatismes qui auront pu être causés. Au besoin, il est possible de se tourner vers des soins comme l’hypnose ou les soins du corps pour prendre soin de soi.
Hypnothérapeute et experte en neuroscience à Paris, je propose des séances et des soins thérapeutiques du corps tels que le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib.
Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes
Délier vos relations toxiques, ça peut aussi passer à travers une reconnexion à soi. Dans ce cadre-là, j’organise des retraites qui permettent de ses découvrir, se reconnecter, se comprendre, s’aimer et surtout, tendre au bien-être à travers le partage et la bienveillance. N’hésitez pas à aller voir, et peut-être nous retrouverons-nous proches du bonheur (et du Mont Saint-Michel !).
-

À quel profil ayurvédique appartiens-tu ?
Inhérents à la médecine ayurvédique et toutes les pratiques qu’elle comporte, le profil ayurvédique permet d’en apprendre plus sur soi. L’Ayurveda comporte trois grands profils, qui se nomment doshas. Zoom sur les différents doshas, leurs particularités pour le corps et l’esprit, et sur ce qui résulte de ces profils ayurvédiques.
Qu’est-ce que les doshas ?
Les doshas sont des particularités propres à chacun dans la médecine ayurvédique. Ils symbolisent les trois types d’énergies vitales qui animent l’être humain. Chaque personne possède un dosha prédominant, lequel comporte deux des cinq éléments de la médecine ayurvédique. Dans la pratique de l’Ayurveda, chaque dosha a son importance ; ils sont tous responsables des mécanismes physiologiques et psychologiques de nos êtres.
Dans la pratique de la médecine ayurvédique, il est important de noter que les doshas ne sont pas tous les trois des concepts entiers et distinguables ; en effet, ils demeurent simplement les trois parties d’une grande et même énergie présente dans tout le corps. Ainsi, ils se complètent, s’harmonisent et se jouxtent en tentant de conserver l’équilibre à la façon de funambules de la santé. Si l’un est déséquilibré, cela entraîne alors des troubles qui peuvent être soit de nature psychique, soit de nature physiologique.
Ainsi, les doshas principaux composent le corps humain et permettent aux professionnels de l’Ayurveda de déterminer quels maux sont présents dans le corps ou l’esprit.
Les trois doshas principaux
Il y a donc en tout, six doshas. Les trois principaux, appelés Vata, Pitta et Kapha sont les doshas majeurs dans la médecine ayurvédique. Pour savoir lequel des trois doshas est prédominant, il y a plusieurs caractéristiques corporelles, mentales et émotionnelles qu’il est possible de prendre en compte et remarquer chez chaque personne. Ainsi, chaque dosha a ses propres caractéristiques, que celles-ci soient directement liées aux cinq éléments ou bien aux nuances de l’être humain.
Le dosha Vata :
Ce dosha se rapporte à l’élément Air et à l’Ether. Il se caractérise surtout par le mouvement fluide, la nature mobile de l’énergie du vent. Ce dosha est qualifié de froid, rugueux, sec, piquant, flottant, clair, parfois erratique. Il symbolise la force du vent, le mouvement dans le corps et l’esprit, et lorsqu’il est harmonieux, rend les mouvements fluides et gracieux.
Son site principal dans le corps est le colon, mais il est également présent dans les os, le pelvis, les cuisses, les oreilles, la tête et les cheveux. Ces caractéristiques se traduisent par des particularités spécifiques dans le corps humain. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
Léger : les os du corps sont étroits.
Froid : des tendances à la frilosité.
Sec : la peau et les yeux s’assèchent rapidement.
Clair : les yeux sont clairs.
Fin : l’esprit est curieux et ouvert aux nouvelles idées.
Si ce dosha est déséquilibré, les conséquences se constatent rapidement car chacune des particularités ci-dessus est alors exacerbée.
Au niveau psychique, les personnes de nature Vata se caractérisent par une forte tendance à se montrer bavardes, enthousiastes et créatives. Avec une grande propension à s’adapter et une flexibilité à toute épreuve, elle peuvent, en cas du déséquilibre du dosha, se montrer confuses et se sentir rapidement dépassées. Elles sont également très sensibles aux émotions froides comme l’anxiété, la peur et le doute. Mais les personnes de nature Vata sont surtout aventurières, créatives et aiment commencer de nouveaux projets – en oubliant parfois de les terminer !
Le dosha Pitta :
Ce dosha tire son énergie de l’élément Feu combiné à l’Eau. Ce dosha Pitta se rapporte surtout à la transformation. En sanskrit, le mot Pitta signifie littéralement la « bile ». Il se qualifie le plus souvent par des adjectifs tels que chaud, huileux, tranchant, mobile, léger ou même liquide. Au niveau du corps, ce dosha est surtout présent dans la digestion, directement lié à l’assimilation de la nourriture. Il est également en lien avec la régulation de la température du corps, l’éclat des yeux et celui de la peau.
Son site principal dans le corps est l’intestin grêle, mais il est également très présent au niveau de l’estomac ou encore dans le sang. Ce dosha a la particularité de puiser dans la matière de son élément, là ou le dosha Vata se ressource grâce au sien. Sur le corps humain, les particularités du dosha Pitta se traduisent ainsi :
Huileux : la peau est souvent grasse et peut même provoquer de l’acné.
Liquide : Les personnes de nature Pitta transpirent facilement dès qu’il fait un peu chaud.
Chaud : les mains sont souvent moites et chaudes.
Mobile : leur teint plutôt clair peut rapidement rougir.
En cas de déséquilibre, ces particularités peuvent se trouver exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas abuser de son élément principal (Feu), et d’éviter le soleil et la chaleur en trop grandes quantités.
Au niveau de la psyché, les personnes qui sont Pitta trouvent un équilibre entre les actions (Feu) et la sensibilité (Eau). Leurs émotions sont souvent intenses, et peuvent s’apparenter à de l’irritabilité. Une excellente libido se reflète dans le feu duquel ils puisent leur énergie. De même, la volonté, la détermination et le leadership caractérisent ce dosha. Loyaux et fidèles en amitié, leur exigence peut parfois paraître intimidante. Pourtant, leur bienveillance envers ceux qu’ils estiment est sans limites.
Le dosha Kapha :
Le dosha Kapha puise directement dans l’énergie de l’Eau, à laquelle se mêle la Terre. Plus exactement, ce dosha se rapporte à l’adhésion. Littéralement, Kapha signifie « ce qui lie » en sanskrit. Le dosha Kapha se qualifie par des adjectifs tels que lourd, dense, froid, statique, lent ou encore mou. Son organe sensoriel est la langue, et il se situe aussi dans la partie supérieure du corps, soit la tête, le torse, l’estomac ou encore le pancréas. C’est le dosha du goût.
Au niveau du corps humain, ses caractéristiques se reflètent ainsi :
Lourd : souvent, le squelette est de bonne constitution.
Froid : ils ont le teint pâle et la peau claire.
Dense : s’ils ne s’entretiennent pas, les Kapha ont tendance à rapidement stagner.
Lent : la digestion est généralement assez lente ce qui amène un sentiment de satiété rapidement.
En cas de déséquilibre de ce dosha, les particularités physiques qu’il présente s’en trouvent exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas rester enraciné dans son élément (Terre), et de bouger, de se mouvoir comme l’Eau.
Au niveau de la psyché, les personnes dont le dosha principal est Kapha sont des personnes qui aiment aimer et être aimées. Fidèles, tempérantes, et généreuses, ce sont des personnes équilibrées. Ils ont le goût du lien social, aiment partager avec autrui, et découvrir tout ce qu’il est possible via les interactions sociales. La philosophie est une discipline à laquelle ils apprécient s’adonner.
Leur sédentarité est probablement la critique la plus récurrente qu’ils reçoivent. Souvent réservés, ils ont des difficultés à s’affirmer, et leur timidité peut parfois leur causer du tort lorsqu’ils ne parviennent pas à s’exprimer. C’est la sécurité qui prime pour les personnes de nature Kapha, car c’est elle qui créé son équilibre.
Ainsi, les trois doshas principaux de la médecine ayurvédique sont les doshas Vata, Pitta et Kapha. Chacun ayant ses propres caractéristiques, il est néanmoins important de noter que personne ne peut se résumer à un seul des doshas.
Il y a d’ailleurs, dans l’Ayurveda, trois autres doshas, mineurs ceux-ci, qui permettent d’appréhender et affiner la compréhension d’une personne. Ainsi, il est totalement possible de retrouver des personnes possédant une nature Vata-Kapha, Pitta-Kapha ou Pitta-Vata. La médecine ayurvédique couvre une grande surface de différences, mais aussi de caractéristiques qui sont propres à chacun. Pour plus de précision sur la médecine ayurvédique, je vous invite à lire cet article sur l’Ayurveda.
Si les médecines et soins parallèles vous intéressent, je vous invite à visiter mon site. Vous y trouverez les séances d’hypnose que je propose, ou bien les soins corporels thérapeutiques que je réalise, tels que le drainage lymphatique, ou encore le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes
Afin de vous pencher davantage sur les facettes qui vous composent, il est aussi possible de procéder à une retraite bien-être. C’est en particulier ce que je propose afin de vous permettre de prendre du recul pour mieux se recentrer sur soi.
Et vous, quel est votre profil ayurvédique ?
-

L’Ayurveda, c’est quoi ?
Présente dans de nombreux pays orientaux, l’Ayurveda représente l’une des médecines holistiques les plus utilisées. Ses bienfaits sont souvent vantés, et pour cause, elle ne traite pas un mal, mais rééquilibre tout le corps de la personne à laquelle elle apporte soin.
Origines et définition
L’apparition de la médecine ayurvédique remonterait à environ 5 000 ans, faisant de l’Ayurveda l’une des plus anciennes médecines holistiques encore pratiquée de nos jours. Certaines théories avancent d’ailleurs qu’elle serait à l’origine des médecines gréco-romaine, persique, chinoise et persienne. Le terme Ayurveda signifie « connaissance de la vie », « science de la vie ». Le mot « Veda » ferait d’ailleurs référence à des textes sacrés de l’Inde antique, s’intitulant de la même façon.
L’Ayurveda regroupe par ailleurs différentes pratiques, telles que la phytothérapie, l’aromathérapie, le yoga, la méditation ou encore l’apprentissage de sa respiration. Elle est en constante évolution, et a eu le temps de se parfaire au fil des siècles. C’est donc une pratique de la médecine globale, prenant en compte l’entièreté de l’être humain dans l’objectif de l’apaiser et de lui apporter les soins dont il a besoin.
Bien que l’OMS ait reconnu l’Ayurveda comme une médecine traditionnelle, en France, elle reste ignorée des facultés de médecine, et se cantonne donc au domaine de la relaxation et du bien-être.
Principe de l’Ayurveda
Ce qui constitue sûrement le plus grand principe de l’Ayurveda, c’est la façon dont elle est pratiquée, en accord avec la nature et le monde qui l’entoure. Et pour cause, L’Ayurveda considère en premier lieu que toutes les particules qui composent la vie sont régies selon les mêmes règles. Autrement dit, l’infiniment petit (être humain) fonctionne de la même façon que l’infiniment grand (galaxie).
Selon les sages indiens à l’origine de cette médecine holistique, il y aurait cinq éléments présents dans la nature (air, terre, eau, feu et éther). Alors il était possiblement envisageable que l’être humain, animal naturel, subisse également la présence de ces cinq éléments.
La médecine ayurvédique et ses subtilités
La médecine ayurvédique, dans son ensemble, se base donc sur cinq éléments. Dans le corps humain, cela se traduit par des « doshas », lesquels sont uniques selon chaque personne. Ils peuvent se traduire par les humeurs biologiques de chacun.
Les doshas sont au nombre de six, trois doshas majeurs, et trois mineurs. Il est alors considéré par les professionnels de la médecine ayurvédique, que si les doshas sont tous équilibrés, la personne est en bonne santé. En revanche, si la présence d’un déséquilibre dans les doshas est relevée, cela peut-être le signe que la santé est fébrile. Et si les déséquilibres s’accumulent, il est alors possible qu’une maladie soit présente dans le corps ou l’esprit de la personne.
Comment se pratique l’Ayurveda ?
L’une des caractéristiques les plus importantes de l’Ayurveda, c’est d’abord de soigner le malade avant la maladie. Autrement dit, le professionnel de médecine ayurvédique cherchera dans un premier temps à soulager les symptômes d’une maladie, plutôt qu’à l’enrayer complètement. C’est notamment ce qu’a déclaré Charaka, l’un des fondateurs principaux de l’Ayurveda.
En Inde, la médecine ayurvédique s’exerce d’une façon différente de celle que l’on connaît en Occident. Dans un premier temps, le professionnel ayurvédique (vaidya) va poser trois doigts sur l’artère radicale au niveau du poignet. C’est ainsi qu’il pourra avoir une première idée de la manière dont les doshas sont équilibrés – ou déséquilibrés.
Dans un deuxième temps, si le vaidya détecte un quelconque déséquilibre, il lui sera possible de poser des questions au patient afin de déterminer avec plus de précision la source du déséquilibre.
Par ailleurs, la médecine ayurvédique, comme mentionné plus haut, comprend en réalité tout un éventail de différents soins. Ainsi, dans la médecine ayurvédique, sont comprises les pratiques de :
- La phytothérapie/ aromathérapie indiennes: pratique dans laquelle les plantes sont classées selon les cinq éléments qui se retrouvent dans toute la nature et chez l’être humain.
- Les massages ayurvédiques: ils permettent souvent de rééquilibrer les doshas efficacement. La majorité du temps, ils sont pratiqués de manière individuelle.
- La diététique ayurvédique: dans la médecine ayurvédique, les aliments sont tous classés en fonction de leur goût, l’énergie qu’ils apporteront au corps et leur action digestive. Un corps en bonne santé passe donc, dans la médecine ayurvédique, par une bonne alimentation.
- La lithothérapie: l’usage de pierres sur le corps est également une pratique très répandue dans la médecine ayurvédique. Disposés à même la peau sur des zones énergétiques spécifiques, les pierres permettent alors de rééquilibrer les doshas.
Enfin, il y a encore de nombreuses pratiques qui viennent compléter la médecine ayurvédique, toujours dans une optique de bien-être et de bonne santé. C’est notamment le cas pour la thérapie par les sons, qui permettraient d’harmoniser les énergies autour et au-dedans de soi. La thérapie par le chant ou les couleurs, la pratique du yoga, les exercices de respiration, la méditation… sont aussi des pratiques qui font partie de l’Ayurveda.
L’Ayurveda, est-ce fait pour tout le monde ?
Si l’Ayurveda n’est en Occident reconnue « que » comme une voie parallèle pour atteindre le bien-être, en Inde, elle représente surtout une médecine fiable. Il y a d’ailleurs plus de professionnels ayurvédiques qu’il n’y a de docteurs comme on les connaît, en Inde. Alors si cette médecine, aussi ancienne et populaire soit-elle selon les endroits du globe, fait tant d’heureux, se peut-il qu’il y ait des contre-indications ?
Il y en a effectivement quelques-unes ! Par exemple, en cas de soin par la phytothérapie, il est important de veiller à ne pas avoir d’allergies particulières. Autrement, il est important d’en faire part au vaidya. De même, dans le cadre de l’aromathérapie, si jamais vous êtes allergique à une essence ou certaines huiles, il est primordial de le dire !
Enfin, la seule contre-indication qu’il pourrait y avoir à la médecine ayurvédique serait le cas d’une grossesse. Les personnes enceintes ne se verront ainsi pas encouragées à bénéficier d’un massage ayurvédique, ni à consommer certaines plantes et huiles essentielles.
Pour en savoir plus…
Pour pouvoir approfondir le sujet de l’Ayurveda avec calme et à votre rythme, voici quelques livres que je vous recommande :
- « L’Ayurveda » de Sylvie Verbois, pour les personnes qui veulent découvrir avec douceur la médecine ayurvédique ;
- « Ayurveda Pratique », par le Centre de yoga Sivan, édition Courrier du Livre, 2019 ;
- « Ayurveda : le Guide de Référence », par Deepak Chopra et Sahara rose Ketabi, éditions Trédaniel, 2018 ;
- « Le Grand Livre de l’Ayurveda Adapté à l’Occident », par Christine Blin-Chandrika, édition EccE, 2016.
- « Ayurveda, Science de l’Autoguérison », éditions Trédaniel, 1997.
Ainsi, l’Ayurveda regroupe différents soins pour le corps grâce auxquels il est possible de se soigner. Bien qu’en France, la médecine ayurvédique soit relayée au plan du bien-être, elle reste dans beaucoup de pays la principale voie de guérison.
Si vous souhaitez vous orienter vers des médecines parallèles ou des soins bien-être, je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques pour le corps. Drainage lymphatique ou du visage, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Plus récemment, j’ai également mis en place une retraite bien-être, afin de s’épanouir dans le partage et la bienveillance. Cette retraite se basera notamment sur quelques notions de médecine ayurvédique.
-

Le jeûne intermittent : est-ce fait pour moi ?
Depuis de nombreuses années, les régimes n’ont cessé de se succéder, être promus puis testés, avant de sombrer dans l’oubli. Notre époque ne fait pas exception à la règle, et aujourd’hui, nous allons nous pencher sur le jeûne intermittent. Nouvelle manière de s’alimenter, le jeûne intermittent est-il vraiment efficace ? Y a-t-il des effets indésirables ? Et surtout, est-ce que tout le monde peut se lancer dans le jeûne intermittent ? Zoom sur une pratique qui se popularise mais dont on ne connaît pas toujours tous les détails.
Origines et définition du jeûne intermittent
Comme son nom l’indique, le jeûne intermittent consiste à déterminer des périodes durant lesquelles il sera possible de manger, et d’autres, durant lesquelles on ne mangera pas. Il existe différentes formes de jeûne intermittent (fasting, jeûne alternatif, jeûne modifié…etc.). Mais toutes ces méthodes, si elles changent dans le détail, demeurent cependant similaires sur la forme et le fonctionnement.
Historiquement, le jeûne a toujours été pratiqué. Que ce soit pour une raison religieuse (carême, ramadan…) ou pour des combats sociétaux ou politiques (grèves de la faim…etc.), le jeûne est présent depuis longtemps dans notre société. Mais le jeûne intermittent en tant que tel n’a été popularisé que très récemment, puisque cela date des années 1943, année à laquelle remontent les premières études réalisées sur ce type de régime.
Les différents types de jeûne
Il existe différentes façons de jeûner. Et que le jeûne soit total, partiel ou momentané, il est important de connaître les détails de chacun.
Le jeûne alternatif : cette façon de jeûner consiste à ne pas manger sur des périodes de 24h. Il est ainsi possible de manger de façon habituelle le lundi et le mercredi, et de jeûner le mardi et le jeudi.
Le jeûne modifié : pour cette alternative, il ne s’agit pas exactement d’arrêter de se nourrir. Toutefois il s’agit de choisir un ou plusieurs jours par semaine durant lesquels l’apport calorique sera alors réduit. Par exemple, si vous avez l’habitude de manger 2000 cal/jour, les jours choisis, il vous faudra réduire ce chiffre à 25% du nombre total, soit 500 cal/jour.
Le jeûne limité dans le temps : pour cette manière de jeûner, il s’agit de se concentrer non pas sur les moments où l’on ne mange pas, mais ceux auxquels il sera possible de manger. Autrement dit, au cours d’une journée, il s’agira de déterminer dans quelle fenêtre vous pourrez vous nourrir, alternant ainsi avec des périodes de jeûne de plusieurs heures, pouvant aller jusqu’à 20 heures (ce qui conduit à manger, par exemple, uniquement entre 12 et 16 heures).
Les bienfaits du jeûne pour le corps
À l’ère de la « malbouffe » et de la surconsommation, il est parfois fastidieux de trouver l’équilibre entre gourmandise, envie de consommer et besoins réels du corps. C’est ce pourquoi le jeûne intermittent peut être une solution intéressante. Il possède en effet de nombreux bienfaits pour le corps, contrairement à ce que les consciences collectives pourraient penser (qui a dit qu’on ne pouvait pas être en bonne santé sans manger trois fois par jours ?). Ainsi, le jeûne intermittent permet notamment :
- De diminuer la production d’insuline dans l’organisme ;
- De baisser le stockage des graisses en stimulant le corps qui se sert dedans ;
- D’offrir au corps la possibilité de nettoyer l’organisme entier ;
- De baisser le temps de récupération dont le corps a besoin, ce qui améliore nettement les facultés physiques et mentales ;
- De diminuer le vieillissement prématuré des cellules et donc l’oxydation de celles-ci ;
- De réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète, et le mauvais cholestérol ;
- De favoriser la reconnaissance du sentiment de satiété ;
- Et parfois, il permet aussi de brûler des graisses et donc de perdre du poids plus facilement (attention toutefois, il ne s’agit pas d’arrêter de manger !).
Ainsi, le jeûne intermittent offre de nombreux bienfaits sur le corps humain et son fonctionnement. Il est cependant important de bien noter qu’en aucun cas, le jeûne intermittent ne soigne une maladie, ni fait instantanément maigrir ou offre les clés de la jeunesse éternelle. Il s’agit simplement de cures possibles et envisageables, qui, si elles sont réalisées avec sérieux et sans privation, porteront leurs fruits.
Les inconvénients du jeûne intermittent
Comme tout sujet dans la vie, le jeûne intermittent possède également le revers de sa médaille si attrayante. Et pour cause, s’il présente de nombreux bienfaits pour le corps, cela ne l’empêche pas d’avoir aussi ses mauvais côtés. Voici quelques-uns de ses désavantages :
- Bien que ce soit l’effet inverse qui soit recherché, il arrive cependant que parfois, le corps stocke des graisses durant la période de jeûne intermittent ;
- Une mauvaise haleine peut également survenir durant les périodes du jeûne, ou les quelques heures où il dure ;
- Une fonte musculaire est un risque non négligeable également, surtout pour les personnes qui seraient cardiaques ;
- Les risques de troubles du comportement alimentaire (TCA) peuvent également découler de cette pratique, ou encore être renforcés à cause du jeûne intermittent.
Ainsi, si les bienfaits du jeûne intermittent sont indéniables, il est également très important de prendre en compte les risques que cette pratique peut présenter. Ils sont nombreux et portent davantage de conséquences que le simple fait de s’alimenter trois fois par jours.
Y a-t-il des contre-indications ?
Le jeûne intermittent, avec ses avantages et ses inconvénients, présente également quelques contre-indications. En plus de lever le voile quant à la question « est-ce fait pour tout le monde ? », le jeûne intermittent peut surtout s’avérer dangereux pour certaines personnes. C’est notamment le cas pour les personnes souffrant de :
- Dépendance à la drogue ou à l’alcool ;
- Les personnes anorexiques ;
- Ayant un IMC inférieur à 18 ;
- Les femmes enceintes, ou celles qui allaitent ;
- Les enfants ;
- Les personnes qui ont une maladie de reins.
De manière générale, il est important de demander l’avis de son médecin avant de commencer une période de jeûne intermittent. Les risques sont, autrement, parfois complexes, et les conséquences, graves.
Les erreurs à éviter pendant le jeûne intermittent :
- Manger en plus grande quantité durant les périodes de prise alimentaire ;
- Ne pas boire assez d’eau (qui permet d’éliminer les toxines) ;
- Se fixer des objectifs trop difficiles à atteindre ;
- Jeûner pour maigrir (ce n’est pas sa fonction principale !).
Ainsi, le jeûne intermittent est une pratique qui peut permettre de trouver l’équilibre entre ses besoins réels et l’alimentation à laquelle on est parfois habitués. Mais le jeûne intermittent est loin d’être un jeu : s’il est envisagé, il doit l’être avec recul et conscience, toujours. Il est important de ne pas le pratiquer dans le seul et unique but de perdre du poids ; pour cela, il y a tant et d’autres façons de procéder !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Si vous souhaitez perdre du poids, l’une des solutions pourrait bien être de programmer des séances d’hypnose. Je suis aussi spécialisée dans les soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage. Vous pourriez trouver votre bonheur… !
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise depuis peu des retraites bien-être durant l’année. Celles-ci servent à prendre du recul, mais aussi du temps pour soi ; à privilégier le moment présent les notions de partage dans une bienveillance totale.
-

Pourquoi les heures récupératrices de sommeil sont celles avant minuit ?
Dans la chaleur douillette d’une couverture moelleuse, au creux d’un oreiller qui respire notre lessive préférée ou sur un matelas qui épouse notre dos à la perfection, le sommeil peut se révéler bien salvateur pour le corps et l’esprit. A contrario, il suffit parfois d’un détail – ou d’une pensée- pour que l’insomnie sème un joyeux bazar dans notre rythme de sommeil. Comment reprendre le contrôle sur son cycle de sommeil pour pouvoir profiter des heures les plus réparatrices ? Et quelles sont-elles ?
L’importance d’un cycle de sommeil régulier
Si tout le monde en parle et le vante, c’est car la régularité du cycle du sommeil peut avoir de nombreuses vertus. En effet, tant sur le corps que sur l’esprit, on ressent tous le besoin de parfois recharger nos batteries – comme un appareil, oui ! Et un bon cycle du sommeil permet d’être à son potentiel maximum la journée qui suit. En cas de mauvais sommeil, d’insomnie ou de cauchemars répétés, le sommeil peut rapidement devenir un vrai fardeau, et un moment que l’on redoute lorsque la nuit tombe.
Pourtant, le sommeil a de nombreuses vertus. En ayant un cycle du sommeil régulier, cela permet notamment de :
Booster son système immunitaire ;
Réguler le métabolisme ;
Nettoyer le cerveau des cellules « obsolètes » ;
Diminuer le stress
Combattre les troubles de l’humeur, la dépression ;
Faire travailler la mémoire et l’enrichir ;
Booster la libido ;
Ralentir la vieillesse corporelle.
Ainsi, le sommeil est une véritable source de repos tant pour le corps que pour l’esprit. Il est donc important de pouvoir bien dormir. Le cas échéant, je vous invite à lire quel est l’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
Les différentes phases du sommeil
Il existe différentes phases durant le sommeil. Dans l’ordre, voici les phases du sommeil :
Phase d’endormissement : c’est la toute première phase d’un cycle de sommeil. Il s’agit ici de « déconnecter ». Dans l’obscurité de la chambre, la glande à l’origine du sommeil, la glande pinéale, libère de la mélatonine, invitant ainsi le corps et l’esprit à se reposer. C’est la phase durant laquelle l’on s’endort et l’on peut parfois avoir l’impression de tomber. Le plus souvent, cette première phase est assez courte et dure environ 5 minutes. Puis vient ensuite la deuxième phase.
Phase de sommeil (lent) léger : durant cette phase, le sommeil devient plus profond, sans l’être pour autant totalement. Il demeure encore facile de se réveiller, alors même que le cerveau est bien occupé. En effet, c’est durant cette deuxième phase que le cerveau va opérer un tri important en repassant toutes les informations de la journée. Le cortex cérébral est stimulé et s’occupera de conserver les informations dans la mémoire à long terme. De même, il est bon de savoir que plus le cerveau est stimulé durant la journée, plus il libèrera ensuite des ondes cérébrale au moment de cette phase. Leur fréquence peut donc varier d’une nuit à l’autre selon la manière dont le cerveau a été activé. Ainsi, la mémoire se consolide durant cette phase relativement longue, qui représente 50% du sommeil total.
Phase de sommeil profond : dans cette phase, le cerveau n’est plus le seul à sentir les effets du sommeil. En effet, c’est durant cette troisième phase que le corps voit sa température diminuer. Et pour cause, si le cerveau va, lors de cette phase importante, délivrer de puissantes « ondes delta », le corps, lui, en profite alors pour renforcer les os et les muscles suite à leur activité de la journée. Les cellules produisent beaucoup plus d’hormones qu’en période de réveil, et cela aide à se renforcer. Cette phase représente environ 20% du sommeil dans sa totalité durant une nuit.
Phase de sommeil paradoxal : Cette dernière phase de sommeil est relativement courte (seulement une trentaine de minutes) mais elle est intense. C’est cette phase qui s’approche le plus d’un coma, et elle permet surtout au système nerveux de se régénérer. Le fait de réguler les humeurs en plus de reposer l’esprit et le corps permet d’être apaisé. Et c’est là qu’interviennent les rêves. Autrement dit, le cerveau est complètement actif, et bien que tout le corps soit comme en état de paralysie, les globes oculaires réagissent sans peine face aux rêves qu’ils voient. Et les rêves sont directement influencés par le système limbique, duquel ils dépendent, et qui recèle toutes nos émotions, d’une grande joie à une peur tétanisante, en passant par les pulsions sexuelles ou encore la tristesse.
Ainsi, la quatrième phase se conclut par un réveil bref avant que le cycle ne recommence. Durant la nuit, l’on peut compter entre trois et six cycles de sommeil (un cycle = quatre phases), selon si les personnes sont de « grandes » dormeuses ou non. Mais il est à noter que les phases de sommeil paradoxal sont souvent inaltérables peu importe l’âge ou le nombre d’heures que dure la nuit.
Les caractéristiques d’un sommeil réparateur
Lorsque la fatigue se fait ressentir dans tout le corps et que les paupières se font lourdes, se sont des signaux du corps qu’il est temps de s’allonger pour une bonne nuit de repos ! Pour commencer, quelles sont les caractéristiques d’un sommeil réparateur ? Il est question d’un sommeil réparateur lorsque :
- La durée du sommeil est suffisante ;
- La qualité du sommeil est satisfaisante ;
- La régularité du sommeil, ou le rythme de sommeil (les heures de coucher et de réveil ne changent pas beaucoup d’un jour à l’autre).
Quelle phase de sommeil est la plus réparatrice ?
Selon les spécialistes du sommeil, les heures de la nuit qui sont le plus réparatrices sont celles du sommeil lent et profond, soit la durant la troisième phase d’un cycle de sommeil. Cette phase du cycle est reposante car c’est celle durant laquelle le cerveau voit son activité baisser le plus (sans s’arrêter totalement !). Le corps et le cerveau se ressourcent, se reposent, et donc, inévitablement, le réveil est plus doux et la journée moins difficile que si le sommeil n’était pas réparateur.
De plus, cette phase n’est pas présente lors de tous les cycles qui ont lieu durant une nuit. En effet, la phase de sommeil profond ne survient que deux à trois fois dans les premiers cycles. Le reste de la nuit, les autres phases s’enchaînent simplement sans celle-ci. Ainsi, pour une heure de coucher avant minuit, cette phase aura lieu avant deux heures du matin, durant les premières heures de sommeil.
Le sommeil est donc très important. Tant sur le corps que sur l’esprit, il est essentiel de bien dormir pour recharger ses batteries et continuer de briller dans la vie de manière sereine. Vous savez maintenant qu’il ne suffit pas de dormir treize heures d’affilée pour être reposé. Jouez plutôt sur la régularité du sommeil et des heures de coucher/ lever, sur la qualité du sommeil, et surtout, sur le fait que votre corps et votre esprit sauront quoi faire quand vous n’aurez qu’à fermer les yeux.
Par ailleurs, il existe de nombreuses autres solutions en cas de mauvais sommeil sur de longues périodes. Parfois, les insomnies sont directement liées à un traumatisme ou un blocage psychologique. L’hypnothérapie peut alors être une solution qui s’offre à vous. Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, je propose toutes sortes de soins thérapeutiques pour le corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et si vous n’aviez besoin que de prendre un peu de recul sur le quotidien pour pouvoir retrouver un doux sommeil ? Depuis peu, j’organise plusieurs retraites bien-être durant l’année. Si l’envie de vous isoler dans les paysages campagnards de Normandie et de profiter de quelques jours de soins et d’exercices sur soi, c’est désormais possible !
-

Le rebirth, qu’est-ce que c’est ? Cette technique qui a réoxygéné tous mes sens
Découvert dans les années 60, le rebirth est une méthode de développement personnel. Bercé de controverses, ayant quelques contrindications mais se montrant pourtant efficace pour beaucoup de personnes, voici ce qu’est le rebirth, et ce en quoi il consiste. Une méthode qui réoxygène tous les sens de par son efficacité et la liberté qu’il offre : à découvrir !
Définition et origines
Le rebirth est un terme anglais qui signifie littéralement « renaissance ». Ce mot désigne une méthode de développement personnel qui existe depuis plus d’une cinquantaine d’années. En effet, dans les années 60-70, Leonard Orr met au point cette pratique dans le but de pouvoir entamer un processus de guérison concernant des blessures anciennes.
Également auteur, Leonard Orr est un pionner dans son domaine. Après avoir passé plus d’une dizaine d’années à mener ses observations personnelles, il défend désormais le rebirth comme l’une des méthodes les plus efficaces pour se débarrasser de ses peurs, blocages et blessures.
Le rebirth : quels principes ?
Le rebirth est donc une méthode qui est aujourd’hui associée à l’idée de développement personnel. Cette pratique permet de repartir sur des bases nouvelles à chaque moment. Il s’agit donc, à l’aide d’une respiration dite consciente, de retrouver sa première inspiration de vie. Autrement dit, le rebirth est une expérience qui permet de revivre les premiers instants de sa vie afin d’en comprendre et de cerner les blocages qui ont eu lieu durant cette période.
Et pour cause, les premières années de vie sont celles durant laquelle la plupart des blocages émotionnels et des peurs prennent leur source. Y revenir et les revivre permet ainsi de mieux les comprendre pour pouvoir ensuite s’en débarrasser à l’âge adulte au lieu d’en être prisonnier.
Comment ça fonctionne ?
Le rebirth, en théorie, consiste à respirer de manière consciente durant 45 minutes environ. Une séance de rebirth se pratique d’ordinaire en étant allongé sur le dos, et en se concentrant totalement sur la respiration. Les yeux fermés permettent de mieux se concentrer. Petit à petit, la respiration est accélérée volontairement par la personne qui pratique le rebirth, et le souffle s’amplifie. Dès lors, la phase de respiration consciente est alors amorcée.
Ces séances, selon le thérapeute qui l’exerce, peuvent alors se dérouler de différentes manières. Tantôt sous l’eau, tantôt allongé, par le nez ou bien par la bouche, il existe de nombreuses façons de pratiquer le rebirth. Mais la volonté du résultat en reste inchangée.
En accélérant la respiration, l’apport d’oxygène dans le corps est augmenté, et débloque ainsi des mécanismes mentaux qui peuvent être inhibiteurs. Le patient découvre alors les clefs qui permettent de se libérer des blocages du passé, de pouvoir apprécier et mieux vivre dans le présent.
Pourquoi pratiquer le rebirth ?
La plupart des peurs et blocages présents dans la vie adulte résultent de blessures émotionnelles survenues lors de la naissance ou peu de temps après. Le fait de revivre cette naissance autant que faire se peut, permet alors de trouver plus clairement la source de ce qui bloque aujourd’hui. Comme un retour en arrière du corps, l’accès à la mémoire émotionnelle se débloque alors. Et qu’est-ce que ça fait du bien !
Mais pour quelles raisons est-il intéressant de faire une séance de rebirth ? Comme pour toute thérapie, il peut y avoir plusieurs facteurs à prendre en compte et qui peuvent mener à faire une séance. Parmi eux :
- La volonté de diminuer le stress, l’angoisse ou l’anxiété ;
- Dans le cas d’une dépression ;
- Lors d’une crise ou situation de crise (deuil, maladie, perte d’emploi…Etc.)
- Dans le cadre d’une psychothérapie, d’une psychanalyse ou dans l’encadrement d’un stage de développement personnel par exemple.
Et en pratique, alors ?
Si en théorie, le rebirth se pratique de différentes manières selon les thérapeutes, en pratique, il existe différentes séances qui peuvent prendre forme. D’une première part, il peut y avoir des séances individuelles, durant lesquelles le thérapeute sert de « guide » au patient. Assis près de lui, le professionnel aide le patient dans ses inspirations et l’éclaire dans ses expirations. C’est donc à travers le rythme de cette respiration que les souvenirs à la source des blocages du présent pourront refaire surface.
Il existe également des séances collectives, durant lesquelles il est également possible de faire remonter les souvenirs à l’origine des problématiques du présent. Toutefois, la séance collective permet également une prise de parole antérieure et/ou postérieure à la séance de respiration consciente. De plus, le fait de ne pas se retrouver seul avec le thérapeute peut ouvrir la voix –littéralement !- à la sensation de confiance car l’on n’est pas seul et il sera, pour beaucoup, plus simple de s’exprimer.
Il est également à noter qu’en séance individuelle ou collective, il est possible que les premières séances de respiration consciente ne provoquent pas chez les patients les sensations éprouvées lors de la naissance. La plupart du temps, il faudra plus de trois séances pour parvenir à ce stade et pouvoir commencer à ressentir les effets désirés.
Y a-t-il des contre-indications ?
La pratique du rebirth ne présente pas beaucoup de contre-indications. En revanche, il y en a tout de même quelques unes, qu’il n’est pas envisageable de laisser de côté. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
- Le rebirth est déconseillé pour les personnes trop fragiles émotionnellement, ou psychologiquement déstructurées ;
- Les personnes qui doivent suivre un traitement à base d’antidépresseurs ou de somnifères. Et pour cause, en raison de leur force, ces médicaments pourraient altérer les effets d’une séance de rebirth sur le corps et l’esprit d’un patient ;
- Les personnes enceintes de plus de 6 mois. En effet, au-delà de six mois de grossesse, le rebirth pourrait être à l’origine du déclenchement d’un accouchement. Avec des personnes qui ont beaucoup de pratique, il est possible de l’envisager, mais la séance devra être très surveillée pour éviter toute complication.
Quelques sources supplémentaires !
Si le sujet du rebirth vous intrigue et que les réponses n’ont pas été apportées dans cet article, quel autre meilleur moyen de se renseigner que de se tourner directement vers les professionnels du rebirth ! Voici quelques recommandations bibliographiques qui permettront d’étayer le sujet :
- Leonard Orr et Sondra Ray, Re-birthing, renaissance au Nouvel-Âge, Guy Saint-Jean, Canada 1977/1980/1982.
- Leonard Orr, La respiration consciente, Editions Ronan Daniel, 1985.
- Dominique Levadoux-Feuillet, Renaître, vers une psychanalyse du souffle, Chemins de l’harmonie, Paris 1997.
Ainsi, le rebirth est comme un chemin qui emmène dans le passé, afin de mieux profiter du présent. Avec ou sans musiques, les séances de rebirth sont aussi différentes qu’efficaces pour certaines personnes -elles l’ont été pour moi ! Plongez dans votre passé enfoui pour comprendre les blocages du présent, et les laisser derrière vous !
Et si vous souhaitez explorer d’autres voies, je propose des séances d’hypnose qui permettent, tout comme le rebirth, de s’affranchir des angoisses, de l’anxiété, et de réduire les causes du stress. De même, en cas de soucis de sommeil, ou d’addiction, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib. A savoir que je propose également des soins thérapeutiques pour le corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du corps.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et pour toutes les amatrices de grand air, je propose des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi-même, loin du quotidien et des soucis qu’il apporte. Bienveillance, partage, écoute de soi et des autres vous guideront lors de ces quelques jours hors du temps. Vous êtes la seule maîtresse de votre bien-être ! -

L’hiver arrive : mieux vaut prévenir que guérir ?
Alors que l’automne, un peu tardif, lègue lentement sa place à la saison la plus froide de l’année, l’énergie disparaît en même temps que les fleurs, et l’hiver qui s’annonce risque d’être synonyme de mélancolie et de fatigue. Heureusement, il existe des petites habitudes qu’il est simple d’intégrer dans les quotidiens, et qui permettront de bien se préparer à l’arrivée parfois tant redoutée de l’hiver.
Une laine, un rhume, une écharpe, une angine, plus un bonnet…
Parce que l’hiver est l’une des saisons les plus rudes pour le corps et l’esprit, il est d’autant plus important de bien s’y préparer. Vitamines, plantes, alimentation, sommeil… chaque aspect de la vie quotidienne peut avoir un impact bénéfique ou néfaste lorsque l’hiver approche.
Si les premiers matins gelés font timidement leur apparition, ils risquent néanmoins de bien se manifester d’ici peu. Et pour ce jour fatidique, il vaut mieux être préparé ; et ça ne concerne pas seulement les accessoires d’hiver ! Il est important d’équilibrer les apports nutritifs pour son corps, de manger équilibré et aussi de bien se dépenser –et au bon moment.
L’hiver est une saison froide, avec peu de lumière naturelle et des nuits très longues. Loin d’être le climat du Pôle Nord, elle a tout de même un impact important sur le corps (se traduisant souvent par des maladies), et notamment sur l’énergie de celui-ci. De même, les baisses de moral peuvent également se présenter plus rapidement.
Les gestes qui aident à se préparer à la froide saison
Il existe de nombreuses habitudes et petites routines qui permettent de traverser le « Grand Froid » et d’en ressortir indemne.
Préparer son corps :
Préparer son corps à affronter les températures plus basses est possible. Et cela passe principalement par l’alimentation. Puisqu’il fait de plus en plus froid, il arrive que le corps, s’il n’a pas suffisamment d’apports, puise dans ses réserves. Mais cela peut avoir des conséquences comme des vertiges, des baisses de tension voire parfois, des malaises. Sans même évoquer les possibles carences ! Il est donc important de manger tous les repas préconisés par les médecins, et surtout, d’apporter à son corps les nutriments dont il a besoin. Et pour cause, le froid et l’humidité sont des sources d’épuisement si le corps n’a pas les bonnes armes pour lutter contre.
En hiver, on privilégiera donc : les agrumes (qui apportent de la vitamine C), les poissons gras (maquereau, hareng… riches en vitamine D), et tous les fruits à coque (qui permettent de faire le plein d’oméga-3).
De même, le repos du corps est essentiel en hiver. Cela permet de faire le plein d’énergie et de se reposer suffisamment pour affronter une journée entière dans le froid. Car si le corps manque de sommeil ou ne bénéficie que d’un sommeil médiocre, ses capacités s’en voient réduites. Il est donc important de conserver un rythme de sommeil le plus constant possible, et des horaires réguliers.
Par ailleurs, le fait de pratiquer une activité physique régulière est également un élément important pour se préparer à l’hiver. Et pour cause, avec le froid, le sang a parfois du mal à bien circuler. Une activité physique pratiquée de préférence le matin permettra aux extrémités du corps de ne pas être trop sensibles au froid.
De même, le sport est l’une des activités qui permet d’ « énergiser » rapidement le corps, diminuer le niveau de stress et procurer un sentiment de bien-être. Enfin, le sport permet d’améliorer la qualité du sommeil.
Préparer son esprit :
Si pour certains, l’arrivée de l’hiver signifie repas en famille ou bonhommes de neige dehors, pour d’autres, c’est surtout le début d’une longue période sans beaucoup de lumière naturelle. Forcément, cela joue un rôle sur le mental – moins envie de sortir le week-end, davantage dormir, ne plus trop manger…etc. Ce sont d’ailleurs parfois des symptômes d’une dépression saisonnière, il est donc important de rester vigilant à ce propos.
Le sommeil impacte également beaucoup le mental, notamment s’il n’est pas suffisamment réparateur. Provoquant alors des pertes de mémoire, des difficultés à la concentration ou des difficultés à réagir rapidement. Fatalement, un esprit fatigué ne permet pas non plus au corps d’être à son potentiel serein et accompli.
Le fait de trouver des bénéfices hivernaux permettront de mieux laisser passer la saison. Par exemple, il est possible de skier, allumer un feu de cheminée, prendre un bain hydratant ou encore de porter une nouvelle pair de gants. Cela peut se traduire par des petits détails comme de grands accomplissements. Ils offriront même la possibilité d’apprécier, ne serait-ce que momentanément, l’hiver et ses bienfaits.
Préparer sa peau :
Enfin, la peau ne reste pas indemne non plus au passage de l’hiver. Et pour cause, le froid et l’humidité peuvent parfois avoir des conséquences terribles sur la peau. L’hydratation et la protection des changements de températures sont importantes voire essentielles pour certaines peaux.
Il est donc conseillé de privilégier : les soins hydratants, les sérums qui redonnent l’éclat qui se perd parfois dans les nuits, et une alimentation saine qui permet de nourrir la peau (vitamine D, notamment).
Préparer sa maison :
Et parce qu’il n’y a pas que le corps qui peut pâtir de l’arrivée de l’hiver, il est également important de prendre soin (et d’adapter les soins) apportés à son intérieur. Quelques habitudes sont à mettre en place afin de repousser les microbes et les traces d’humidité qui se glissent parfois sans qu’on les remarque.
- Renouveler l’air au quotidien : une fois par jour (en général le matin après la nuit), il est recommandé d’ouvrir les fenêtres de son chez-soi pour aérer quelques minutes. Cela permet aussi de se débarrasser des microbes et de la pollution intérieure parfois bien plus présente que ce que l’on pense.
- Aérer les pièces d’eau (surtout la salle de bain) afin de ne pas avoir d’humidité stagnante et, sur le long terme, de moisissure !
- L’arrivée de l’hiver, c’est aussi le moment opportun pour vérifier que les radiateurs fonctionnent bien. Un petit coup de dépoussiérage avant de les mettre en route, et le tour est joué !
- Si vous avez un jardin, il est également conseillé de l’entretenir avant l’arrivée de l’hiver. Ainsi, le printemps se déroulera de la meilleure façon, et vous n’aurez pas besoin de vous impliquer corps et âme dans l’entretien durant l’hiver.
- C’est aussi l’occasion de ranger les vêtements d’été pour les remplacer par les gros pulls d’hiver ! Et dans le même temps… faire un peu de tri pour donner à des associations !
Tips en plus : les huiles essentielles
À l’arrivée de l’hiver, il est également possible de se tourner vers les huiles essentielles afin de compléter les différents besoins du corps. Parmi les plus efficaces, l’on retrouve :
- L’huile essentielle de tea-tree (arbre à thé): c’est un anti-infectieux naturel qui permet de prévenir et/ ou soulager des douleurs comme des angines ou des otites. Accorder quelques gouttes d’huile essentielle à une cuillère de miel, et le tour est joué !
- L’huile essentielle de thym : elle permet d’aider le corps à chasser le sentiment de fatigue en cas de maladie touchant les voies respiratoires (bronchite, sinusite…).
- L’huile essentielle de myrte rouge : anti-inflammatoire, cette huile essentielle permet de chasser les toux les plus grasses tout en apaisant les muqueuses. Elle peut être utilisée en application directe sur le thorax en ayant été diluée dans de l’huile végétale.
Ainsi, se préparer à l’hiver ne comprend pas qu’une préparation psychologique à quelques journées plus froides. Comme pour les animaux qui entrent en hibernation, il s’agit de réajuster tous les aspects de sa vie afin que passe la saison… jusqu’à la prochaine, beaucoup plus fleurie !
Si l’hiver est une saison parfois difficile, il est également possible de mettre en place différents soins en prévention ou même durant l’hiver. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, les séances que je propose peuvent vous apporter de l’aide et les soins dont vous pourriez avoir besoin. Je propose aussi des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et lorsque l’hiver laissera généreusement sa place au printemps, alors il sera temps de vous concentrer sur vous-mêmes et de vous reconnecter à votre moi profond. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se connecter à soi-même, de se découvrir, mais aussi de prendre du temps pour soi, loin des tracas de la vie.
-

Garder la pêche en automne : bilan des vitamines et aliments qui aident le corps
L’automne s’achève bientôt… mais êtes-vous vraiment prêts pour affronter l’hiver ? Et votre corps ? Votre esprit ? La saison froide se déclarera bientôt, et peut-être avez-vous raté les meilleurs tips afin de garder la pêche malgré le temps qui se dégrade !
Les aliments qui aident à passer au travers de l’automne
La première chose à faire lors d’un changement de saison, c’est de changer… l’alimentation ! Aussi simple que cela puisse paraître, on a tendance à oublier que tous les aliments que nous fournit la nature ont bel et bien une saison propice à leur consommation et leur production. C’est notamment le cas pour ces fruits et légumes automnaux, qui sont bien souvent oubliés.
Les poireaux : peu calorique, le poireau est un légume souvent délaissé ou directement mélangé avec d’autres légumes dans une soupe. Pourtant, il présente de nombreux avantages, notamment grâce aux fibres qu’il contient ainsi que ses vitamines, qui aident l’organisme contre les cancers de l’intestin.
Le chou : qu’il soit rouge, rave, blanc ou frisé, cette crucifère présente de nombreuses vertus sous-estimées. Peu calorique, il est pourtant riche en différents minéraux essentiels à l’organisme. Calcium, potassium et phosphore, il aide surtout, grâce aux enzymes qui le composent, à éliminer les toxines présentes dans le corps. Ainsi, l’ADN est nettoyé et vieillit moins vite. Crus en salade ou bien cuits, les choux se mangent à toutes les sauces !
Les lentilles : comme beaucoup de légumineuses, les lentilles sont une excellente source de protéines et d’antioxydants. Elles sont également, comme leurs cousins les pois-chiches, très riches en fibre, ce qui favorise le processus de digestion. En revanche, le fer que les lentilles contiennent est dit « non héminique », ce qui signifie que l’organisme a parfois du mal à l’absorber. En salade ou cuites, les lentilles conservent leurs bienfaits malgré tout ! Et si elles sont associées à des tomates ou du chou (riches en vitamine C), le fer est mieux absorbé par le corps.
Le potiron : et plus généralement la totalité des courges (potimarron, citrouille…etc.) sont très riches en fibres et peu caloriques. Plein d’antioxydants, le potiron est une courge qu’il est bon de consommer en automne pour faire le plein de vitamines et s’imprégner pleinement de la saison orange ! Par ailleurs, les graines de citrouille présentes un taux de tryptophane élevé, un acide qui augmente la production de sérotonine et provoque un effet apaisant. Les graines séchées de citrouilles sont d’ailleurs des éléments parfaitement comestibles ! Pour le potiron, en revanche, il faudra privilégier la soupe ou la purée, qui n’altèreront pas ses vertus.
Les champignons : s’ils font souvent office d’accompagnement, ils sont pourtant source de nombreux bienfaits pour le corps. Source d’eau, de cuivre et de sélénium (qui lutte contre le vieillissement de l’ADN et des enzymes le composant), ils ne contiennent de surcroît aucune matière grasse. En salade ou revenus à la poêle, il est possible de les déguster de différentes façons.
Les châtaignes : antioxydantes et peu grasses, ces petits oléagineux sont riches en fer, en potassium et en calcium. Et puisque c’est la saison, il est possible d’en trouver partout en forêt ! De même, les noix sont également très appréciées par le corps, car riches en oméga-3 et acides gras qui sont essentiels à la peau et pour le cerveau. Enfin, les oléagineux sont également riches en magnésium peuvent agir sur les neurotransmetteurs responsables de la régulation de l’humeur. En collation ou dans une salade, les noix et les châtaignes sont toujours les bienvenues dans les assiettes et les organismes. Adieu les coups de blues, bonjour les châtaignes grillées !
L’ail : s’il est connu pour l’haleine difficile à soutenir, c’est bien là le seul préjudice de l’ail. Car à côté de ce petit désavantage bien vite réglé, il est surtout un allié de taille pour le corps humain. Antibactérien naturel, riche en minéraux et en vitamines, l’ail aide tout autant le système immunitaire à se renforcer, qu’il permet de le « détoxifier » à son échelle. Il peut se consommer cuit ou cru – sachant que ses bienfaits sont plus importants lorsqu’il est cru.
Les oranges : on a tendance à l’oublier, mais l’automne est la saison parfaite pour les agrumes… et donc, les oranges. Les presser soi-même ou les croquer en quartiers, l’orange reste riche en vitamine C, essentielle pour faire le plein d’énergie et lutter contre les virus et les bactéries présentes partout.
Le raisin : souvent laissé de côté à la fin des beaux jours, le raisin est pourtant un allié de taille durant l’automne et à l’approche de l’hiver. Et pour cause, ce fruit en grappe a une influence directe sur les vaisseaux sanguins. Riches en fibres, il aide également durant le processus de digestion. Bien qu’il soit un peu calorique, il offre énergie en cas de fatigue. Un grain par-ci ou par-là permet alors au corps de se rebooster !
Le plein de vitamines et de minéraux
Parce que le corps a parfois besoin d’un peu plus d’énergie que ce que les aliments confèrent, il est possible d’y ajouter quelques vitamines naturelles, d’autant plus que certaines d’entre elles sont plus rarement présentes en automne ou en hiver (la vitamine D…).
La gelée royale : riche en protéines, sucres, en gras, en oligo-éléments et plein de vitamines, il faut passer son aspect blanchâtre pour apprécier ce met automnal. Car en cas de baisse d’énergie, la gelée royale est emplie de vitamine B, de magnésium et d’acides qui fortifient l’organisme. De même, en cas de dépression saisonnière, la gelée royale est une alliée du quotidien qui aide à apaiser l’esprit et le corps. Mélangée à du miel, une petite noix de gelée royale peut faire des miracles !
La propolis : récupérée par les abeilles pour assainir leur ruche, la propolis possède le même effet sur le corps humain. Riche en en antioxydants et en phénols, elle a des vertus antiseptiques avérées. Plus encore, la propolis permet de tenir à l’écart toute production de germe, de virus ou de bactéries. En gélule ou en sirop, la propolis est une alliée idéale pour l’arrivée de l’hiver.
L’acérola : riche en vitamine C, ce petit fruit qui ressemble à une petite tomate de la taille d’une cerise est un excellent tonifiant. Elle permet de prévenir les affections que l’hiver apporte toujours dans son sillage. En pharmacie ou dans les magasins bios, elle est disponible en gélule. Idéal pour faire une bonne cure !
L’extrait de pépin de pamplemousse : souvent laissé de côté pour son amertume, le pamplemousse présente pourtant de nombreux bienfaits. Il a notamment été notifié d’antibiotique naturel depuis plusieurs années. Sa composition riche en antioxydants lui offre la possibilité d’être aussi efficace en prévention qu’en traitement. Il soutient le système immunitaire sans faillir, et redonne de l’énergie à tout le corps. Les extraits de pépins de pamplemousse sont d’autant plus efficaces. Ils sont disponibles en pharmacie ou en magasins bios, et sont à diluer dans une boisson chaude pour ne pas altérer les bienfaits de l’extrait.
Ainsi, il existe de nombreuses façons de traverser l’automne et les risques qu’il apporte fatalement. De même, il est possible de compléter les bienfaits des aliments par des cures de vitamines éphémères. Tout comme il existe des façons de se préparer à l’arrivée de l’hiver, il est important de privilégier ce que la nature offre et de se tourner vers un bien-être holistique et harmonieux !
Et si votre corps vous fait ressentir quelles sont ses limites, n’hésitez pas à vous tourner vers d’autres solutions. Par exemple, le drainage lymphatique peut prodiguer une sensation “détox” sur tout le corps. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Le drainage lymphatique ou le drainage du visage sont notamment des soins que je propose.
Par ailleurs, si vous souhaitez vous y essayer, vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Enfin, pour en apprendre davantage sur moi, n’hésitez pas à écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou encore mon podcast intitulé Combattantes.Sans oublier que le printemps reviendra un jour, et avec lui, de nombreuses nouvelles opportunités ! Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi en pleine nature, dans un cadre paisible. Idéal pour toutes celles qui veulent se retrouver, se découvrir, ou prendre le temps de se connaître ! -

Bien dormir en automne : est-ce si compliqué ?
L’automne s’est installé confortablement dehors, et la fatigue s’en fait ressentir. Alors que le changement d’heure vient d’avoir lieu, les nuits paraissent plus longues et surtout, la nuit tombe tôt. Parfois un peu trop tôt, même, ce qui a tendance à compliquer l’heure du coucher et surtout, à ralentir l’arrivée du sommeil… Conseils, et astuces sont peut-être THE solution au problème du sommeil !
Un sommeil qui se fait rare et difficile
Alors que la nuit tombe de plus en plus tôt, le sommeil, lui, se fait attendre. Invité vedette des nuits, il est pour beaucoup bien trop rare. Et le manque de sommeil –ou les difficultés à le trouver- est l’un des effets de l’automne. Et pour cause, en bonne période de transition, les journées commencent à se raccourcir, et les nuits sont plus longues. Le manque de lumière naturelle et de soleil entraînent inévitablement des baisses de vitamine D, et parfois aussi, de moral.
Autrement dit, les signaux « naturels » (lorsque le soleil se couche, par exemple) que le corps comprend d’ordinaire sont quelque peu bousculés. Cela mène bien souvent à des troubles du sommeil ou des insomnies. Il est alors important de s’adapter à cette nouvelle saison, et surtout, les cycles du soleil qui se raccourcissent.
Dormir : mission impossible ?
Mais alors si tout se modifie en automne, dormir est-il impossible ? Eh bien, non. Il existe de nombreuses astuces qui permettent de faire s’adapter à la fois l’esprit et le corps dans le but d’obtenir un meilleur sommeil. De même, l’esprit joue parfois un rôle important dans les troubles du sommeil. Et l’automne peut avoir des conséquences sur le mental, comme la dépression saisonnière qu’il délivre dans son sillage.
Comment bien dormir ?
Pour bien dormir, il y a de nombreuses astuces qu’il est simple de mettre en pratique. Parmi elles :
Une activité physique régulière :
Plus le corps sera épuisé, et plus le sommeil viendra vite. On parle alors de « bonne fatigue ». Puis faire du sport aide le corps à affronter le froid et le mauvais temps en améliorant la santé générale. Une activité physique régulière permet aussi la sécrétion d’endorphines, hormones du bonheur. Le mieux pour que l’activité physique procure à la fois une sensation de bien-être, et soit la source d’un sommeil réparateur, c’est de pratiquer le matin. Et pour cause, après chaque séance de sport, les muscles se réveillent et le rythme cardiaque a tendance à accélérer ; en pratiquant le matin, cela évite toute possibilité d’insomnie.
Une alimentation équilibrée :
Une alimentation équilibrée, tout au long de l’année, est très importante. Mais lors des saisons –et intersaisons-, elle l’est d’autant plus. Manger des fruits et légumes de saison permet au corps de faire le plein d’énergie et des vitamines dont il a besoin pour affronter les changements que les saisons entraînent. Bien qu’à l’approche du froid, on ait tendance à favoriser les aliments sucrés et gras –réaction du corps tout à fait naturelle-, il faut varier la nourriture. De même, il est préférable de favoriser une soupe et des repas légers le soir, afin de ne pas avoir de troubles du sommeil liés à la digestion (réveils intempestifs, brûlures de l’estomac…etc.). Les repas légers le soir sont donc à privilégier. Et surtout, ne pas oublier l’hydratation !
La température dans la chambre :
Si le froid et l’humidité prennent rapidement place à l’extérieur, il est naturel d’avoir envie de réchauffer son intérieur. Mais il est important de se rappeler que 18°C (environ…) est une température suffisante pour dormir. S’il fait trop froid ou trop chaud, le corps subit des désagréments dans la nuit qui risquent de provoquer un ou plusieurs réveils. En revanche, en cas de frilosité, il est conseillé de privilégier une couette en plus, ou une couverture plus chaude, qu’il sera facile de faire glisser dans la nuit une fois le corps réchauffé.
L’importance des heures fixes :
Que ce soit pour l’heure du coucher ou du lever, il est important d’avoir des cycles de sommeils globalement réguliers. Si quelques minutes diffèrent d’un réveil à l’autre, ce n’est rien de grave. Il s’agit surtout de ne pas se lever à plusieurs heures d’écart d’un jour à l’autre, et ce… malgré l’envie de rester au chaud sous la couette le week-end !
De plus, cela permet de réguler le cycle circadien, et le corps s’habituera rapidement à cette routine de sommeil. Il saura qu’à une certaine heure, il est temps pour lui de déposer les armes et de se reposer.
Enfin, un sommeil régulier et réparateur permet d’éviter les sautes d’humeur, un état de fatigue prolongé, et des effets sur l’esprit comme la dépression, les troubles de l’attention, de la concentration ou encore de la mémoire. Les défenses immunitaires du corps sont davantage solides et les troubles de l’appétit moins fréquent.
La routine de sommeil : mythe ou réalité ?
Certains spécialistes du sommeil vantent les mérites d’une routine de sommeil, afin de préparer sa nuit du mieux possible. Mais est-ce que se préparer à dormir favorise vraiment le sommeil ?
Selon les recommandations, préparer sa nuit en instaurant quelques rituels qui aident à se détendre serait bénéfique pour le sommeil. Et pour cause, cela permet à l’esprit de se reposer avant la nuit, au corps de se détendre, et au stress –s’il y en a-, de se dissiper. Dans l’idéal, il faut compter environ une heure avant de dormir, et mettre en place ce qui vous détend le plus. Détail important mais pas des moindres, il est également conseillé de boire son dernier verre d’eau au moins une heure avant l’heure du coucher, ce qui évitera de se réveiller durant la nuit et d’interrompre le sommeil.
Parmi ces routines de sommeil, l’on peut retrouver :
- La dégustation d’une boisson chaude avant d’aller dormir (au moins une heure avant, comme pour l’eau) ;
- Regarder un film calme (rien de trop violent ou stimulant, pour ne pas que le cerveau soit en pleine analyse une fois fini le film) ;
- Lire un bon livre ;
- Méditer, se relaxer ;
- Ecrire (sa journée, ses aspirations, ses objectifs…etc.) ;
- Faire un bilan (écrit ou mental) positif de sa journée ;
- Eloigner les appareils connectés pour un meilleur recentrage ;
- Une bonne literie !
Ainsi, un bon sommeil ne vient pas seul. Il faut parfois mettre en place des rituels, des petites étapes dans sa routine pour que le sommeil se fasse moins capricieux. A terme, ces gestes vous sembleront normaux et acquis, et les insomnies ou les réveils en pleine nuit ne seront plus qu’un lointain, lointain souvenir !
Si le sommeil persiste à se faire difficile et capricieux, il est tout à fait possible de s’orienter vers des soins comme l’hypnose. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Lorsque le sommeil est mauvais et peu réparateur, l’hypnose peut aider à en trouver la cause et soigner cela afin d’accéder à des nuits reposantes. Je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Parfois, pour bien dormir, il faut aussi rompre avec le quotidien. Je propose des retraites bien-être qui offrent justement cette possibilité, en plus d’une reconnexion à soi en pleine campagne. Dans un cadre naturel et paisible, vous pourrez vous découvrir, et retrouver les mécanismes d’une vie simple et bienveillante envers vous-même !