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Catégorie : Bien-être
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Quelles sont les fondations d’un couple qui dure ?
« Les opposés s’attirent », « qui se ressemble s’assemble »… Voilà des phrases qu’on a tous déjà entendues. Si se mettre en couple peut se révéler exaltant, la vie de couple impose un rythme qui peut parfois lasser. Alors que le couple se dessine comme un but en soi, il est possible de lire et écouter beaucoup de recherches effectuées au sujet du couple. Et ce qui revient souvent, c’est qu’il s’agit d’un travail commun et continu. Alors quelles sont les fondations d’un couple qui dure ?
Définition du couple
Ce n’est plus un secret, l’amour est complexe. Mais il est aussi passionné, beau, pur, évident et parfois douloureux. La forme du couple, dans sa définition la plus brute, est un ensemble qui se compose de deux êtres humains liés par le mariage ou l’amour.
Mais comme vous le savez, chaque personne est unique. Aussi, chaque couple l’est. Et s’il y a des activités « de couple » il n’y a pourtant pas de manuel relatant des règles préétablies qui permettrait de mieux appréhender cette aventure de la vie. Autrement dit, chaque couple a son propre fonctionnement et ses propres particularités !
En effet, il n’y a aucun « savoir-faire » puisque le couple relève de la vie personnelle et intime de chaque personne. À la façon du bien-être, chaque personne envisage son couple selon ce qui lui plaît. Une fois cette première notion intégrée – l’unicité du couple –, il devient plus facile d’envisager sa propre histoire d’amour.
Le revers de la médaille
Pourtant, le couple est un sujet qui a toujours fait jaser. Les histoires d’amour sont certes un bon marché pour le cinéma et la littérature, mais n’est-ce pas avant tout la propre expression de l’amour que l’on porte à autrui ? Si tant d’histoire d’amour se sont mal finies, ce n’est pas toujours la faute des premiers concernés. En effet, la société aime faire peser des attentes souvent irréelles sur les êtres humains que nous sommes.
De manière générale, tant que les deux partis du couple y trouvent leur compte et que la situation leur convient, alors le couple est positif. Mais dès lors que l’un des deux partis se sent à l’étroit ou que la situation telle quelle ne lui convient plus, l’aventure du couple peut rapidement prendre la forme d’une prison, d’un étau lourd ou encore d’une corvée.
L’une des autres faces cachées du couple, c’est aussi la routine. Répétitive et lassante, elle ennuie rapidement jusqu’à ce que l’on se réveille un matin et que l’on comprenne que le temps a passé. De nouveaux besoins se révèlent à nous ; mais en réalité, ils ne sont pas nouveaux : la routine les a simplement rendus muets.
Enfin, le dernier mais pas des moindres effets négatifs que peut porter le couple dans son sillage c’est le fait de se perdre complètement. L’amour n’est jamais rationnel, mais il est important de distinguer l’amour de la dépendance. De même, la présence de dettes émotionnelles en amour peut être nocive pour les deux partis du couple.
Avec toutes les nuances qu’un couple peut comporter, les histoires d’amour devraient-elles rimer avec toujours ? Et si oui, sur quelles valeurs et envies doit reposer le couple ?
Les fondations du couple
Les fondations du couple sont multiples et nombreuses. Un coup de foudre, c’est bien beau et romantique, mais l’on ne fait pas sa vie avec un coup de foudre ! Il faut bien souvent du temps, du travail, des compromis et une bonne dose d’affection pour que la flamme ne s’essouffle pas. Alors quelles sont les fondations d’un couple ?
La communication :
Les magazines le répètent, la littérature l’a prouvée, les films en font l’éloge… la communication est une des clés qui permet de former un couple solide. Sans elle, les deux partis du couple évoluent chacune de leur côté jusqu’au jour où fatalement, elles ne se reconnaissent plus l’une l’autre. De même, la communication permet de mettre en place des schémas sains comme le partage d’un moment privilégié, des émotions, des projets…etc.
Le respect :
Si la société brandit le respect comme une valeur intouchable, pourquoi le couple y ferait exception ? Respecter l’autre, c’est se souvenir qu’il est un être à part entière, c’est lui montrer qu’on tient à lui et qu’on a de l’estime pour lui. Vous ne manqueriez pas de respect à un chien, alors pourquoi ne pas être également respectueux envers l’être chéri ? Le respect passe tout autant dans le respect de ses besoins personnels que de ses envies, le soutien, la présence… etc.
Le partage… :
Ce qui est top en couple, ce sont les nombreuses activités que l’on peut faire à deux. Elles permettent de resserrer les liens, de se sentir épaulé, elles peuvent même renforcer l’amour que vous avez pour votre partenaire. Ce sont des instants précieux qu’il convient de chérir et de ne pas oublier.
… Et la solitude :
Mais attention à ne pas tout faire à deux ! L’équilibre est primordial dans un couple. Vous pouvez rencontrer ses amie.s et vice-versa, mais il est essentiel de conserver pour vous quelques moments de solitude et d’indépendance. Vous n’êtes pas une moitié de vous-mêmes lorsque votre partenaire n’est pas présent.e ; vous demeurez entière et il est important de s’en souvenir !
Entretenir la flamme :
Au début d’une histoire, la passion est vorace, grandissante, magnifique. Mais la routine peut avoir des effets destructeurs dessus. Là encore, le partage et la communication vous aideront à faire le point sur la situation et vous pourrez alors envisager des solutions pour entretenir la flamme. Rappelez-vous bien que le couple, tout comme l’amour, c’est être ensemble. Aussi attention à ne pas prendre toute la charge sexuelle ou émotionnelle sur vos épaules.
Pour être bien à deux, soyez bien tout.e seul.e !
Cela peut sembler d’une évidence sans précédents, mais il est toujours important de se rappeler que ce que vous donnez peut vous être rendu. De même, si vous ne vous sentez pas à l’aise avec vous-même ou suffisamment en paix avec la personne que vous êtes, il est alors temps de vous consacrer un temps non-négligeable.
Parce que pour aimer autrui, il y a besoin de s’aimer avant.
Et parce que votre amour de vous, ça c’est une histoire qui est faite pour durer pour toujours !
En quelques mots…
L’amour est une sacrée histoire. Elle commence toujours avec l’air d’être entièrement faite de paillettes et de rire. Parfois, cette histoire se termine. D’autres fois, elle peut continuer pour toujours. Mais finalement, peu importe : ce qui compte n’est pas la durée d’une histoire, mais bel et bien l’intensité des sentiments que vous partagerez avec votre partenaire.
Il y a évidemment des « conseils », des tips, afin qu’un couple puisse bâtir ses fondations d’une manière pure et sans artifices. Mais cela ne sera pas gage d’une durée indéterminée. Tout ce qui compte, c’est l’amour que vous partagez et qui apaise le quotidien.
Et pour les plus romantiques d’entre nous, il est essentiel de se rappeler qu’il est possible d’avoir plusieurs âmes-sœurs dans sa vie !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques pour le corps et le visage. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du quotidien, c’est un moment unique et paisible qui permet de se reconnecter à soi-même.
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Les bienfaits de la piscine sur l’esprit et le corps
La majorité des gens apprécie barboter dans de l’eau – surtout en plein été ! Et pour cause, les piscines rafraîchissent, amusent, détendent et musclent aussi. Mais saviez-vous qu’au-delà du divertissement ou du sport olympique, la natation et les piscines en général possédaient de nombreux bienfaits pour le corps tout autant que pour l’esprit ? Alors quels sont-ils ?
La popularisation des sports aquatiques
Si la natation existe depuis belle lurette, de nombreux sports aquatiques se sont développés il y a peu de temps. C’est notamment le cas de l’aquagym, popularisé dans les années 80 qui revient sur le devant de la scène depuis un peu plus d’une décennie. L’accès est de plus en plus facile pour les personnes voulant tester ce sport, et de nombreuses piscines proposent des outils afin de se mettre à l’aquabike (vélo dans l’eau), l’aquagym ou encore l’aquafitness.
Ces sports ont été adaptés dans l’eau afin de renforcer les efforts produits par le corps. Car chacun sait à quel point l’eau ralentit nos mouvements… comme si on bougeait au ralenti ! Et pour cause, le corps travaille beaucoup plus et de manière complète lorsqu’on fait du sport dans l’eau.
Alors quels sont les bienfaits du sport dans l’eau, de plus en plus apprécié ?
Les bienfaits de la piscine sur le corps
L’eau est un terrain de jeu tout à fait amusant pour les enfants, mais pour les adultes aussi ! Et la piscine présente de nombreux avantages pour toute pratique des sports aquatiques. De plus, la piscine permet de pratiquer de nombreux sports aquatiques, très bons pour le corps. Voici les bienfaits de la piscine sur le corps.
Limiter les chocs et douleurs articulaires :
La résistance de l’eau permet de faire travailler tout le corps. Heureusement, lorsqu’on est immergé dans l’eau, le corps ne pèse que 80% de son poids. Les mouvements sont plus faciles, plus amples, et tout le corps est sollicité avec ardeur. Pour rappel, la résistance de l’eau est 60 fois supérieure à celle de l’air… De quoi vous donner la preuve que vous êtes fortes !
Les muscles travaillent mieux :
Pratiquer du sport dans une piscine (aquagym, aquabike… etc.) permet de travailler tout autant les membres inférieurs, les lombaires et les abdominaux. Les muscles sont ainsi beaucoup plus sollicités, ce qui permet de sculpter votre silhouette de manière quasiment complète.
Améliorer la force et l’endurance :
De façon douce et indirecte, la piscine permet d’améliorer la force et l’endurance de manière générale. Loin des machines de la salle de sport, quelques longueurs ou bien du sport aquatique permettent de lier amusement, tonic, force et plaisir !
Prévient et soulage les douleurs dorsales :
Ce n’est plus un secret, la piscine est un soulagement pour le dos. En effet, elle permet de renforcer les muscles du dos, qui protègent la colonne vertébrale. De plus, la natation ou les sports aquatiques permettent de soulager les douleurs dorsales en sollicitant les muscles du dos de manière douce et sur la durée. C’est un travail complet du dos pour le plus grand bonheur des colonnes vertébrales douloureuses !
Diminue les symptômes de la sclérose en plaques :
Les activités aquatiques permettraient d’améliorer considérablement les symptômes de la sclérose en plaques. Une étude a été menée, et en suivant un programme de natation pendant 20 semaines, de nombreux patients ont vu leurs symptômes réduire. De même, la fatigue et la dépression liées à la maladie diminuaient. L’eau maintient les membres à flot sans que la personne n’ait besoin de forcer, ce qui soulage les douleurs de la maladie.
Sans danger :
Que vous choisissiez les longueurs en nage libre ou bien une séance d’aquagym, la piscine est sans danger. Que la personne souffre d’asthme, d’arthrite, d’un handicap ou autre, la piscine peut être pratiquée malgré de nombreux troubles physiques. Cette discipline permet également de se remettre de certains maux. Attention toutefois, en cas de doute, il est important de consulter un médecin avant de se mettre à la piscine de façon intense.
Les bienfaits de la piscine sur l’esprit
Si les activités aquatiques permettent de nombreux avantages physiques, elles présentent également des bienfaits importants pour l’esprit. Voici les bienfaits de la piscine sur l’esprit.
La gestion du stress :
Comme de nombreux sports, la piscine ne fait pas exception. Elle permet notamment de mieux gérer son stress. Cela est principalement dû aux endorphines libérées durant l’activité physique -comme pour tout autre sport ! Mais le fait que l’eau apaise n’est un secret pour personne. Et si certains sont insensibles à cet élément, le fait de se retrouver dans de l’eau et de pouvoir se mouvoir au-dedans est un réel plaisir apaisant. Stress, angoisse, déprime… l’eau nettoie tout -symboliquement !
Amélioration du sommeil :
Là encore, de nombreux sports permettent de voir ces bienfaits se dessiner. Ce qui est particulier avec la natation ou les activités aquatiques, c’est surtout son accessibilité et sa facilité à pratiquer régulièrement qui en fait une réelle source d’amélioration du sommeil. Tant pour les personnes âgées que pour les actives, la piscine présente un réel atout pour la qualité du sommeil. Enfin, en sollicitant tout le corps, c’est une fatigue générale qui se manifeste. De quoi passer de bonnes nuits reposantes !
Libération des endorphines :
Tout comme de nombreux sports, la piscine permet de libérer des endorphines, hormones qui impactent directement l’humeur. Ainsi, la natation permet de renforcer l’’humeur, la confiance en soi et les compétences sociales. Tout cela a de façon indirecte l’estime que la personne a d’elle-même.
En quelques mots…
Ainsi, la piscine présente de nombreux bienfaits, tant pour la tête que pour le corps. Que vous choisissiez la rigueur des longueurs, la fantaisie de l’aquagym ou l’endurance de l’aquabike, l’eau vous permettra de vous détendre et de vous muscler en même temps !
Et vous, allez-vous souvent à la piscine ?
De mon côté, j’aime bien y aller autant que je peux ! Cela me soulage toujours et permet de me muscler en douceur ! N’oubliez jamais qu’il est plus facile de faire du sport en faisant un sport qui nous plaît !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du visage et du corps.
Les séances sont réalisées dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Rue Avenue de Wagram, 75017.
Si la piscine permet de se muscler en douceur, les soins énergétiques du corps et du visage permettent quant à eux de vous connecter en profondeur à vous-mêmes dans une vision de bien-être et de paix. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Qu’est-ce que la dette émotionnelle ?
Lorsqu’on entend parler de dettes, les esprits pensent tout de suite à des dettes financières ou matérielles. « Untel me doit ceci », « je dois cela à telle personne » … Pourtant, il existe de nombreuses formes de dettes, notamment la dette émotionnelle. Moins connue et pourtant tout aussi répandue parmi les êtres humains, la dette émotionnelle peut avoir des effets négatifs sur le quotidien entier d’une personne. Mais alors d’où vient cette dette émotionnelle ? Quels sont ses effets et comment parvenir à s’en détacher pour se sentir libre et entier ?
Qu’est-ce qu’une dette émotionnelle ?
La dette émotionnelle est relativement complexe à expliquer. Si le principe d’une dette repose en premier lieu sur une « somme due à une personne, à une organisation », la dette émotionnelle ne consiste pas à devoir de l’argent. Il faut alors se pencher vers la seconde définition du mot, qui relate : « la dette est un devoir qu’impose une obligation contractée envers quelqu’un » selon le dictionnaire Le Robert.
Autrement dit, c’est un sentiment de redevabilité que l’on ressent envers une personne. Le fait que la dette soit émotionnelle complexifie la situation, car alors il ne s’agit plus d’une somme matérielle mais de mesurer les sentiments de chacun – et c’est une entreprise bien délicate. Plus encore, les dettes émotionnelles sont souvent le fruit de l’imagination, ce qui contribue à créer des situations confuses et le plus souvent biaisées par ce dont on s’est persuadé.
Comment naît-elle ?
L’origine de la dette émotionnelle peut apparaître de plusieurs façons. Dans tous les cas, l’on retrouve un schéma systématique, notamment dans la façon dont la dette émotionnelle s’impose à soi. En effet, lorsque la dette émotionnelle naît, c’est aussi une exigence envers soi-même qui voit le jour. Cette exigence nous pousse ensuite à tenir notre engagement. Et dans le cas où cet engagement ne serait pas respecté, c’est alors que des sentiments tels que la culpabilité, les regrets, la tristesse ou la colère se manifestent.
Dans les cas les plus extrêmes, la dette émotionnelle et surtout ce qu’elle implique, vous pousse inconsciemment à ajuster vos actes afin de tenir cet engagement initial -et encore une fois, biaisé. Ce sentiment de devoir quelque chose peut alors dicter une conduite, conditionner des actes et modeler tout une façon de vivre.
La dette émotionnelle entraîne donc des sentiments relativement forts qui contribuent tous à nous enfermer dans une prison de redevabilité. Les messages qui nous parviennent si l’engagement n’est pas tenu sont voraces et puissants.
Alors que se passerait-il si l’on se détachait de cette dette ?
Exemples de dettes émotionnelles
Il existe de nombreuses dettes émotionnelles. Parmi elles, l’on peut citer :
Les dettes émotionnelles qui se bâtissent sur des schémas sociaux :
- Le respect aux anciens (cette règle sociale du respect aux anciens nous bloque parfois dans le passé. De même, cette injonction peut s’avérer terriblement lourde à porter. Les figures d’autorité comme le père ou la mère peuvent parfois créer un sentiment de redevabilité qui n’a pas lieu d’être.)
- La présence à des ami.es (l’amitié ne repose pas sur du marchandage, et si un ami vous a aidé, vous ne lui êtes pas redevable pour autant. Dans cette situation, la dette émotionnelle déséquilibre la relation et biaise le rapport humain.)
- Les services à un.e conjoint.e (si le sentiment de redevabilité naît, c’est qu’il y a un déséquilibre au-dessous de lui qui risque de créer de nombreux blocages par la suite. De plus, cela met l’un des partis du couple en position de supériorité, ce qui n’est pas sain ni juste envers vous-mêmes.)
- La gentillesse à un.e collègue (si une personne se comporte mal avec vous mais vous rend service une fois, il ne doit pas y avoir de dette émotionnelle. L’aide qu’il ou elle vous a apportée ne concerne que lui. C’était son choix. Là encore, la dette émotionnelle peut déséquilibrer la relation au travail et de surcroît en faire pâtir la qualité de votre travail.)
Les dettes émotionnelles qui prennent vie à partir de sentiments non guéris :
- Sentiment de déception envers soi ou sa vie (c’est le cas lorsqu’un rêve ne pourra jamais se réaliser, ou qu’on a le sentiment de ne pas avoir fait les bons choix…etc.)
- Se montrer blessant envers une personne (c’est souvent ainsi que naissent les dettes émotionnelles. La volonté de se racheter envers cette personne est proportionnelle à son importance dans votre vie. La culpabilité peut alors vous pousser à agir de façon démesurément prévenante avec ladite personne.)
Les dettes émotionnelles qui se forment envers soi-même :
C’est le cas si vous avez vécu des expériences traumatisantes ou des expériences négatives. Le besoin de s’en détacher devient si grand que vous ressentez une dette envers vous-même. De faire mieux, de vous défendre, d’exister plus fort. Ces dettes émotionnelles sont très délicates à gérer car elles ne dépendent que de vous, et non de la réaction que vous adoptez face à l’acte d’une personne autre.
C’est souvent au fruit d’un long travail de guérison qu’il sera possible d’effacer cette dette émotionnelle afin de se sentir libre et entier.
Se libérer de la dette émotionnelle
Mais pas de panique ! Il est tout à fait possible de se libérer de cette dette émotionnelle.
Être attentif à soi :
Si des sentiments ou des situations n’ont pas été guéries par le passé, il est essentiel de s’en occuper afin de ne pas ressentir une dette émotionnelle envers soi-même ni qu’elle se reporte sur autrui.
Prendre du temps pour soi :
Que ce soit en faisant des choses qui vous procurent de la joie, de l’apaisement ou qui vous motivent, il est important de vous garder une part de votre temps que vous ne consacrerez qu’à vous et votre bien-être. Car quelles que soient les activités que vous choisirez, elles permettront de vous apporter un équilibre de vie et dans vos émotions -chassant ainsi les sentiments que la dette émotionnelle peut porter dans son sillage !
Gérer les conflits en temps voulu :
S’il est parfois plus simple et terriblement tentant d’éviter de résoudre un conflit, il est néanmoins primordial de le faire. Que ce soit un quiproquo ou une plus grosse affaire, réglez la situation. Le mieux est toujours de s’entretenir en face-à-face avec la ou les personne(s) concernées afin de trouver une solution tous ensemble.
S’éloigner au besoin :
Que ce soit un membre de la famille, un ami ou un collègue, il est important de savoir déceler lorsqu’il est temps de prendre ses distances avec une personne. Ce n’est pas un adieu, mais le temps permet d’apaiser les tensions tout comme les esprits. S’éloigner d’une personne permet également de se recentrer, ce qui est nécessaire lorsqu’on subit une dette émotionnelle.
Se chouchouter :
Prendre soin de soi et de ses émotions. Ne pas ressasser sans cesse les événements qui se produisent, ni tenter de les contrôler. Il est important de penser à soi, sans forcément se montrer égoïste. Vous êtes important.es et vous ne devez rien à personne sinon à vous-même. Se chouchouter peut également passer par un voyage, des activités qui permettent de vous recentrer sur vous et vos émotions.
En quelques mots…
Ainsi, la dette émotionnelle est souvent méconnue. Pourtant, de nombreuses personnes la ressentent, la connaissent et l’expérimentent au quotidien. Mais derrière un sourire, une aide, de la gentillesse, il y a souvent un sentiment reflétant un profond état de mal-être. Une dette émotionnelle est un fardeau lourd à porter. Fardeau lourd, mais surtout inutile.
Pour rappel, la dette émotionnelle entraîne :
- Tristesse
- Colère
- Culpabilité exacerbée
- Sentiment de redevabilité
- Dépression
- Stress, angoisse
- Exigence disproportionnée envers soi-même
Il est temps de se détacher de la dette émotionnelle et de s’accorder du temps pour soi et son bien-être !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. L’hypnose et l’EMDR sont des médecines douces qui permettent de guérir de certaines choses du passé qui hantent notre présent. De même, les soins énergétiques permettent de se reconnecter à soi et de se faire du bien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Comment se sortir d’un burn-out ?
Il est, à ce jour, de plus en plus fréquent de rencontrer quelqu’un qui a fait ou fait un burn-out. Mais que cache en réalité cet anglicisme ? Si cela semble de plus en plus répandu, il est toutefois impossible de déterminer depuis combien de temps le burn-out existe. On le nomme depuis peu, on l’identifie enfin, mais il est tout à fait possible que certaines personnes en aient souffert dans le silence le plus total au siècle dernier. Identifier et nommer le burn-out a permis de mettre en place de nombreux soins pour permettre de s’en sortir. Alors qu’est-ce qu’un burn-out exactement ? Et comment renaître après l’avoir vécu ?
Qu’est-ce qu’un burn-out ?
L’anglicisme n’est découvert qu’au siècle dernier mais il est de plus en plus employé. En français, l’on parle davantage d’un syndrome de l’épuisement professionnel. L’épuisement ressenti est tout autant physique que mental, d’ailleurs. Toutefois, il est important de noter que le burn-out ne prend pas sa source que dans le monde professionnel, mais bel et bien qu’il peut survenir à n’importe quel moment lorsqu’on est surmené.
Le plus souvent, il surgit à la suite d’un surmenage important, des émotions fortes ou un choc qui a été vécu mais mal ou pas intégré. L’on parle de burn-out lorsque la situation est problématique et que la personne n’est plus capable d’y faire face. Il y a une notion de durée à la fois importante et destructrice dans le concept du burn-out.
Ainsi, le burn-out est la dernière étape d’un processus stressant à tous points de vue. La dépression et le stress sont souvent liés au burn-out, et une fois atteint l’état d’épuisement sur tous les tableaux, c’est un chemin long et bordé d’épreuves pour pouvoir s’en sortir. Néanmoins, l’on s’en sort.
Détecter le burn-out : les signes qui ne trompent pas
Comme pour beaucoup de choses, vouloir guérir ne suffit pas toujours. Et dans le cas d’un burn-out, les personnes qui sont en prise avec ses rouages n’en sont pas systématiquement conscientes. Dire que l’on fait un burn-out, que l’on traverse cette épreuve est la première étape vers le retour à soi, mais surtout, c’est un cap difficile à passer. Et pour cause, les signes d’un burn-out sont aussi variés que les situations qui s’accumulent et le provoquent.
Les signes qui s’accumulent :
Les signes qui prédisent la présence d’un burn-out peuvent être divisés en trois parties. D’une première part, les signes qui doivent alerter lorsqu’ils se succèdent et s’accumulent :
- Un état de fatigue qui ne s’apaise jamais, un épuisement chronique ;
- Un cynisme vis-à-vis du travail, une vision négative de celui-ci ;
- Une perte d’efficacité dans le travail, qui s’étend doucement aux projets personnels ;
- Absence de sentiment d’accomplissement, perte de satisfaction quant à la tâche effectuée.
Encore une fois, le burn-out est souvent lié à l’activité professionnelle de la personne qui l’éprouve. Cependant, parfois, le burn-out peut naître de situations personnelles compliquées ou non résolues qui, également, s’étendent dans le temps.
Les symptômes physiques :
D’autre part, les symptômes peuvent être physiques. Et c’est souvent le cas lorsque tout semble aller de travers et que l’on perd psychologiquement pied. Le mental et le corps sont liés, et cela a d’inévitables répercussions sur la santé physique. Ainsi, l’on retrouve des symptômes tels que :
- Une fatigue générale, pesante et surtout inhabituelle ;
- Des troubles du sommeil de plus en plus fréquents ;
- Des douleurs chroniques (comme les lombaires) ;
- Douleurs musculaires ou des crampes musculaires régulières ;
- Une perte d’appétit ;
- Des troubles digestifs que vous n’aviez pas avant ;
- Régulièrement des maux de ventre ou de tête.
Les symptômes psychiques :
Enfin, le burn-out peut également présenter des symptômes psychiques qu’il est difficile d’ignorer. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
- Perte de motivation importante pour le travail et les activités personnelles ;
- Un sentiment de tristesse qui semble inexplicable ;
- Une anxiété qui s’étend envers tous les domaines ;
- Sensibilité plus accrue que d’ordinaire ;
- Sentiment d’indifférence de plus en plus important ;
- Réactions excessives ou disproportionnées ;
- Irritabilité et agressivité inhabituelles ;
- Ressentiment qui peut altérer les relations interpersonnelles ;
- Troubles de mémoire ou de l’attention ;
- Perte de concentration ;
- Troubles addictifs ;
- Baisse importante de l’estime de soi.
Ainsi, tous ces symptômes, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent être perçus comme de réels indices quant au fait que la personne soit en train de faire un burn-out. Il est important de rester à l’écoute de son corps et de son esprit afin de détecter le plus tôt possible les signes qui ne trompent pas.
Se sortir du burn-out : mission possible !
Tout d’abord, il est important de noter que la reprise de soi, de sa vie et du travail après un burn-out puisse être éprouvante. C’est ce pourquoi il est important de se consacrer pleinement à sa propre guérison. Le burn-out est un appel à l’aide de l’être, et il faut savoir l’écouter. Et rassurez-vous, l’on peut s’en sortir !
Laisser le temps au temps :
Cela peut paraître banal et insignifiant, pourtant le temps guérit beaucoup de choses. Et dans une société qui a souvent des difficultés à ralentir quelque soit le domaine, prendre son temps permet de se recentrer sur les choses importantes de la vie. De même, cela permet de vous (re)découvrir et de (ré)apprendre à vous aimer tel que vous êtes. Toute la vie nous soumet à des évolutions constantes, alors prendre le temps de faire le point avec soi-même est un procédé sain et bienfaisant pour soi et les autres.
Accepter de l’aide :
Il est souvent difficile d’admettre qu’on a besoin d’aide, car l’imaginaire commun associe cela à de la faiblesse. Et pourtant ! N’y a-t-il personne de plus fort que celle qui connaît ses limites et ses failles ? Le burn-out peut conduire, tout comme la dépression, à un isolement autant physique que psychique. Il est alors primordial de ne pas se fermer à l’aide que peut nous apporter l’entourage ou les professionnels. Non pas par faiblesse, mais bel et bien parce que tout le monde ne peut pas remettre un pied à l’étrier tout seul : un coup de main est toujours agréable !
Se reconnecter à soi :
Le burn-out peut vous éloigner de qui vous étiez. Une épreuve pareille vous fait souvent vous rendre compte à quel point la vie a évolué, et vous aussi. Le fait de traverser le burn-out n’est vraiment pas agréable, mais rien ne vous empêche de le voir comme une opportunité. Tout votre corps vous crie « STOP ! ». Et si vous l’écoutiez ? Peut-être est-il temps de vous accorder du temps pour vous, et uniquement vous. Les choses qui vous tiennent à cœur ne bougeront pas pendant que vous prenez soin de vous.
Se réorienter :
Et si c’était l’occasion de se recentrer sur vos désirs et vos attentes, et de changer un peu votre vie, votre profession ? Se reconnecter à soi permettra de voir l’avenir sous un nouvel angle et de retrouver des forces pour continuer à avancer. Il arrive que beaucoup de personnes se trompent de direction professionnelle, et ce n’est pas grave. C’est une expérience. Mais le burn-out pourrait bien être l’occasion de se réorienter vers quelque chose qui vous tient profondément à cœur, qu’en dîtes-vous ?
Découvrir :
Le burn-out peut également mener à de nombreuses découvertes. Autant sur vous-même que sur ce qui vous fait vibrer, il est important de s’écouter et de se rouvrir peu à peu au monde qui vous entoure. Vous avez toujours voulu tester l’escalade ? Foncez ! Le monde est beau et rempli de tant et tant de choses qu’il est important de vous écouter et d’oser !
Les médecines douces :
Une autre chose qui peut s’avérer d’une grande aide en cas de burn-out, ce sont les médecines douces. À l’écoute de l’être humain et de sa nature avant de remplir des cases de productivité et de résultats, elles permettent d’apprendre de nouvelles techniques pour faire attention à soi, se soigner avec douceur et bienveillance… etc.
En quelques mots…
Le burn-out est comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Et il est parfois possible de confondre l’œil du cyclone pour la fin des troubles et de la souffrance… C’est ce pourquoi il est essentiel de se concentrer sur soi, de se recentrer et de veiller sur soi. Car tout comme les plus vives des tempêtes, le passage du burn-out suppose de mettre plusieurs mois ou années à reconstruire. Mais il est bien possible de (se) reconstruire après une telle épreuve.
Ayant déjà été confrontée au burn-out dans ma vie, je peux vous assurer que si ce n’est pas simple, c’est tout de même possible ! Écoutez-vous, faites-vous confiance, développez vos sens et évoluez pour le mieux. Les médecines douces sont une vraie aide pour ce genre d’épreuve, car elles apportent à la fois des soins et des techniques de vie.
Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Sauna infrarouge VS sauna scandinave : que choisir ?
Quoi de mieux que transpirer ! Après les fortes chaleurs récentes, cela peut sembler ironique. Mais en l’occurrence, il s’agit davantage de transpirer pour les bienfaits que cela procure au corps. Alors quoi de mieux qu’un sauna ? S’ils sont depuis de nombreuses années très appréciés dans de nombreux pays comme la Finlande, il n’y a que depuis peu qu’ils s’établissent en France et sont reconnus comme outils de bien-être. Encore faut-il savoir lequel choisir selon ses particularités… alors sauna scandinave ou sauna infrarouge ? Comment choisir ?
Le sauna : kézako ?
À l’origine, le sauna est un bain qui vient tout droit de Finlande (étymologiquement aussi !). Le sauna est souvent une petite pièce ou une petite cabane faite de bois dans laquelle il est possible de prendre un bain de chaleur sèche. Cette chaleur varie en général entre 70° C et 100° C. Ce genre de sauna est appelé « sauna traditionnel » ou « scandinave » de par le lieu dont il provient.
Mais depuis quelques années, un autre genre de sauna se fait lui aussi connaître. Il s’agit du sauna infrarouge, dont la technique est directement originaire du Japon. S’il se présente lui aussi sous la forme d’une petite cabine, la différence principale se trouve dans la diffusion de la chaleur. En effet, pour le sauna infrarouge, pas de poêle chauffant au centre de la pièce : la chaleur est répartie dans des éléments infrarouges qui sont eux-mêmes disposés de manière stratégique. Ils agissent par rayonnement, tout comme le soleil, mais sans émettre d’ultraviolets. Il existe par ailleurs plusieurs sortes de saunas infrarouges, comme le carbone, le quartz, le céramique ou l’oxyde de magnésium.
Le sauna est bien souvent apprécié pour l’élimination des toxines via la transpiration. Il est possible de perdre jusqu’à 1,5L de transpiration ! Les professionnels conseillent d’ailleurs d’alterner avec des douches froides au bout de 10 à 15 minutes. Cela permettrait en effet de tonifier la peau et d’en resserrer les pores.
Sauna traditionnel et sauna infrarouge : quelles différences ?
Le fonctionnement du sauna traditionnel est, depuis sa présence dans les soins du corps, plutôt reconnu. En effet, le sauna traditionnel permet de chauffer l’air ambiant dans lequel la personne se trouve. Il ne reste alors plus qu’à profiter des effets de la transpiration et de la dilatation/ du resserrement des pores de la peau (alterner avec des douches froides !).
A contrario, le sauna infrarouge ne chauffe pas l’air. En effet, 80% du rayonnement thermique pénètre les tissus cutanés de façon directe. Cela équivaut entre 3 et 4 cm de peau.
De même, le sauna infrarouge est souvent plus aisé à supporter puisque sa chaleur est localisée. L’air n’est impacté que dans une moindre mesure, et les effets semblent plus efficaces selon certains. Le sauna infrarouge propose un air sec et une température n’excédant pas 60°C.
A contrario, le sauna traditionnel affiche une chaleur beaucoup plus élevée, allant parfois jusqu’à 110°C, mais l’humidité peut aussi être présente à hauteur de 25% dans l’air. Cela peut potentiellement être plus éprouvant pour les poumons.
Il y a donc de légères différences sur la diffusion de la chaleur des deux saunas. Là où le sauna scandinave est souvent connu pour ses bienfaits, le sauna infrarouge semble en présenter aussi bien que les réserves soient plus nombreuses.
Les bienfaits du sauna sur la santé
De manière générale, le sauna présente de nombreux bienfaits sur la santé. Parmi eux, il est notamment possible de citer :
- Stimulation de la circulation sanguine ;
- Dilatation des vaisseaux et bon fonctionnement du système cardiovasculaire ;
- Une utilisation assidue (jusqu’à sept fois par semaine) du sauna permettrait même une réduction du risque de crises cardiaques et des maladies touchant les artères coronaires ;
- Lutte contre le stress (la chaleur permet de libérer des endorphines) ;
- Réduit les problèmes respiratoires (asthme, bronchites…) ;
- Nettoyage de la peau en profondeur ;
- Booste le système immunitaire;
- Diminue les rhumatismes et les douleurs articulaires.
Les bienfaits du sauna sont ainsi nombreux. La chaleur libérée dans la cabine permet de prévenir, d’apaiser et de booster nombre de parties du corps. De même, il est souvent commun de penser que le sauna fait maigrir. Ce n’est pas vrai, car le corps élimine de l’eau, et non de la graisse. Cependant, il est tout à fait conseillé d’utiliser les saunas durant un régime.
Y a-t-il des contre-indications ?
Elles sont peu nombreuses, pourtant il y a bel et bien quelques contre-indications à respecter si vous souhaitez vous rendre au sauna. Parmi elles :
- Les personnes ayant des maladies cardiaques :
- Celles qui font de l’hypertension artérielle :
- Les personnes ayant des maladies de peau (psoriasis) ;
- Si vous êtes enceinte.
Les affections de la peau ne font pas bon ménage avec le sauna traditionnel. Pour les maladies d’hypertension artérielle et cardiaques, le sauna n’est pas interdit. Toutefois, il est conseillé d’éviter une température supérieure) 90°C et les douches froides. Enfin, pour les femmes enceintes, il est important de rester au-dessous de 70°C.
Les avantages du sauna infrarouge
Malgré qu’il soit moins reconnu que le sauna traditionnel, le sauna infrarouge présente lui aussi des avantages pour la santé. Voici ce qu’il permet de plus que le sauna scandinave :
- Une sudation 3 à 6 fois plus importante (les muscles s’assouplissent mieux et la circulation sanguine est davantage améliorée) ;
- La température ambiante avoisinant les 40°C est plus supportable pour le cœur et les personnes sensibles aux grosses chaleurs ;
- L’infrarouge se base sur la recherche médicale afin de lutter contre les maladies de peau telles que l’eczéma, le psoriasis, l’urticaire…etc.
Ainsi, le sauna infrarouge pourrait s’avérer être une alternative intéressante vis-à-vis des contre-indications que présente le sauna scandinave. Le seul inconvénient mis en avant pour ce sauna sont que l’infrarouge peut potentiellement être néfaste pour l’être humain -et donc doit être évité. De même, l’infrarouge pourrait dessécher la peau et les cheveux. Toutefois, aucune étude n’a été citée pour appuyer ces arguments – à prendre avec des pincettes !
En quelques mots
Le sauna -qu’il soit traditionnel ou infrarouge- présente de nombreux avantages pour la peau et le corps dans son ensemble. Si le sauna traditionnel a su se faire apprécier au fil des années, le sauna infrarouge semble convaincre de plus en plus de personnes. Bien que leurs différences soient relativement importantes, il s’avère finalement que le sauna infrarouge présente des avantages face aux contre-indications du sauna scandinave.
Alors que choisir ? Celui qui vous fera le plus de bien ! Prenez en compte votre état de santé, votre état d’esprit et il ne vous reste plus qu’à sauter le pas !
Avez-vous l’habitude d’aller au sauna ? Si oui, lequel préférez-vous ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
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Comment fonctionne l’hypnose ?
Si de nos jours, l’hypnose est pour beaucoup synonyme de spectacle et de magnétisme, de surnaturel ou de scepticisme, il n’en a pas toujours été ainsi. On oublie souvent qu’à la base, l’hypnose est une technique qui permet de guérir et de soulager des symptômes. Si le terme et la pratique ont longtemps fait débat -et que c’est encore le cas aujourd’hui-, c’est car l’hypnose reste en grande majorité méconnue. Alors comment fonctionne l’hypnose ? Est-elle efficace ? Pourquoi se tourner vers une thérapie par hypnose ?
Les origines de l’hypnose
L’hypnose prend sa source au XVIIIe siècle. À cette époque, l’hypnose n’existe pas en tant que telle. Il faut attendre la venue du médecin viennois Franz Anton Mesmer, qui associe alors la pratique de l’hypnose à du magnétisme. Il étudie à cette époque les comportements jugés comme surnaturels et parvient à les annihiler. Pour rappel, à cette époque, l’influence religieuse était très présente, et les traitements proposés par Mesmer offraient alors une alternative à cette omniprésence binaire (mal/bien).
À ce siècle, il est alors de plus en plus courant de se voir injecté un produit qui permet de régler le blocage entraîné par le corps. Le produit injecté provoquait alors un état de crise, et il était possible au thérapeute d’agir pour réduire ce blocage et diminuer la crise. Il utilisait notamment des aimants qui permettaient d’avoir une action supposée sur les maux du patient.
Le terme « hypnose » n’apparaît que plus tard, au cours du XIXe siècle. La création de ce terme est le plus souvent associée à James Braid, un médecin écossais qui aurait perçu un parallèle entre la pratique et le dieu grec du sommeil, Hypnos.
Ils sont ensuite de nombreux hommes de sciences à venir voir les travaux de certains à la Salpêtrière à Paris. Freud y fait également un petit passage, et toutes les expériences sont portées sur des femmes qui seraient atteintes « d’hystérie ». Au siècle suivant, les pratiques de l’hypnose sont de plus en plus rares. Mais finalement, cette pratique revient petit à petit, et l’on s’aperçoit qu’elle permet de soigner de nombreux maux.
L’hypnose Ericksonienne
C’est au cours du XXe siècle que Milton Erickson propose une nouvelle forme d’hypnose. Sa pratique de l’hypnose met en avant les images mentales. C’est lors de son adolescence qu’il découvre le potentiel de l’inconscient, à la suite d’une maladie qu’il a contracté.
L’hypnose Ericksonienne place le patient dans une représentation mentale qui lui est agréable avant de lui parler afin de le diriger. Le vocabulaire utilisé est alors symbolique pour tenter de délier les problématiques ou les blocages du patient.
Parmi les bienfaits de l’hypnose Ericksonienne, l’on retrouve notamment la diminution de la douleur, une meilleure gestion des émotions ou encore l’arrêt du tabac.
Comment fonctionne l’hypnose ?
La première chose à savoir est que sous hypnose, personne n’est totalement inconscient. Ce n’est ni un état de sommeil, ni un état de veille. Il s’agit d’un état entre-deux, où le patient peut entendre et ressentir les choses. Bien souvent, le patient ressent d’ailleurs un état de bien-être, de sérénité. Dans l’hypnose médicale, la thérapie se fait par la parole du praticien.
Pour rappel, l’inconscient est la partie du cerveau qui permet de gérer les mécanismes les plus basiques (respirer, le système cardiaque et digestif…etc.). Autrement dit, l’hypnose est une pratique qui va permettre d’aller chercher de nouvelles solutions dans l’inconscient, là où le conscient peut se retrouver limité de par ses blocages ou ses traumatismes.
L’hypnose offre alors un lieu unique et personnel dans lequel la conscience est alerte et le patient tout à fait conscient du temps et de l’espace. Il peut accéder à des perceptions visuelles, olfactives, auditives…etc. C’est un état de conscience élargi, qui permet ensuite au patient de se focaliser sur une chose bien précise (par exemple, sa douleur ou sa peur).
C’est car l’hypnose quitte la logique rationnelle et se rapproche de l’état des rêves qu’il est alors possible au thérapeute de pouvoir soigner ou délier certaines problématiques.
Les bienfaits de l’hypnose
Parmi les bienfaits de l’hypnose, il est possible de retrouver :
- L’arrêt du tabac ;
- L’arrêt d’une addiction ;
- Maigrir ou conserver son poids ;
- Les problèmes de sommeil (insomnies…) ;
- La confiance et l’estime de soi ;
- La gestion des émotions ;
- Le traitement des phobies ;
- Traverser un deuil, une séparation ;
- La lutte contre la dépression ou l’anxiété ;
- Les douleurs chroniques (migraines, lombalgies…etc.) ;
- Le développement de sa capacité d’apprentissage.
Les séances d’hypnose chez Nouvelle
Chez Nouvelle, vous pourrez avoir accès à des séances d’hypnose avec moi. Parce que le bien-être devrait être au centre des préoccupations, vous pourrez trouver un cabinet agréable, apaisant où chaque détail permet de vous détendre et de vous mettre en condition pour ce moment unique.
Une séance d’hypnose permet d’entamer un processus de guérison, et le plus souvent, il faut plusieurs séances afin de venir à bout d’une problématique ou d’un blocage. L’hypnose peut être utile si vous :
- Traversez une période d’inaptitude ;
- Avez le souhait de vous connaître et de vous rencontrer ;
- Voulez travailler sur le sommeil ;
- Cherchez une aide pour vos angoisses ou la gestion du stress ;
- Voulez vous débarrasser d’une addiction ;
- Avez besoin d’aide pour traiter une ou plusieurs phobies.
En quelques mots…
L’hypnose a su devenir à travers les siècles une véritable voie pour la guérison. Elle apporte soutien dans de nombreuses démarches, et force dans tout autant d’entreprises. Expérimenter une séance d’hypnose, c’est parfois le premier pas vers un bien-être que l’on ne soupçonnait pas.
Et vous, avez-vous déjà eu recours à l’hypnose ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute et experte en neurosciences, en hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Par ailleurs, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas qu’’il apporte toujours, prenez le temps de vous connaître, de respirer et de vous aimer. Bienveillance et spiritualité sont au cœur de ces séjours uniques.
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La thérapie EMDR : quels sont ses bienfaits ?
Plus récente que certaines autres thérapies, la thérapie EMDR émerge dans les années 80. Néanmoins, en France, elle reste souvent méconnue ou amoindrie. Pourtant, elle a su devenir un outil remarquable dans le traitement du stress post-traumatique ou encore des phobies. Aujourd’hui, elle revient lentement sur le devant de la scène, et de plus en plus de personnes se tournent vers cette thérapie qui permet de surmonter ses peurs, des événements douloureux ou encore des traumatismes.
Alors qu’est-ce que la thérapie EMDR ? Quels sont ses bienfaits ? Découvrez tout ce qui compose cette thérapie fascinante qui repose principalement sur les mouvements de l’œil.
Petite histoire et origines de l’EMDR
Avant toute chose, il est important d’expliquer ce qu’est l’EMDR. En effet, le sigle désigne en réalité : Eye Movement Desentitization and Reprocessing (en anglais). En français, ce sigle -et la thérapie en elle-même- peuvent se traduire par « Désensibilisation et Retraitement par les Mouvements Oculaires ».
La découverte de cette thérapie est assez cocasse. Et pour cause, c’est Francine Shapiro, une psychologue américaine (Californie), qui découvre par hasard l’EMDR. Elle se baladait en effet dans un parc en 1987 lorsqu’elle découvre l’effet bénéfique des mouvements oculaires. Elle se hâte ensuite de l’expliciter dans sa thèse. Depuis lors, elle consacre sa carrière à démocratiser et promouvoir cette thérapie. Elle a d’ailleurs reçu plusieurs prix pour ses recherches.
Malgré la découverte récente de la thérapie EMDR, sa technique précise n’est pas totalement inconnue du public. Et pour cause, elle est directement en lien avec d’anciennes thérapies de réadaptation visuelle comme l’optométrie cognitive. Cette dernière était souvent utilisée pour ses bénéfices comportementaux et cognitifs. De même, depuis les années 20, c’est l’optométrie comportementale qui était à l’honneur, découverte par A.M. Skeffington. En France, il faudra toutefois attendre les années 30-40 pour que Georges Quertant initie cette perspective avec une méthode originale de thérapie visuelle comportementale.
EMDR : comment ça marche ?
En ce qui concerne l’EMDR, son fonctionnement est relativement simple, bien que très précis. En effet, à l’époque, les spécialistes comprennent que souvent, le simple fait d’évoquer verbalement le traumatisme ne permet pas de le guérir. C’est ici qu’entre en jeu l’EMDR. Via une méthode rigoureuse faisant appel à la stimulation bilatérale (sonore, visuelle ou tactile), il s’agit de rappeler au corps les événements passés en toute sécurité.
De son point de vue, Francine Shapiro explique que le traumatisme est souvent un amas d’expériences passées qui n’ont pas réussi à être intégrées par le cerveau. L’EMDR permet alors d’associer de nouvelles sensations aux traumatismes, et cette procédure forme alors la somme des expériences passées et présentes qui peuvent ainsi être intégrées. Et pour cause, la charge émotionnelle du souvenir traumatique sera amoindrie et donc plus facilement gérable.
Le mouvement des yeux entre en scène puisque son rythme serait le même que celui qui a lieu lorsqu’un individu rêve. Cette stimulation permettrait de faire passer le souvenir traumatique dans le cortex au lieu qu’il reste dans le cerveau limbique qui est lié aux émotions. En quittant le cerveau limbique, le souvenir traumatique pourra être assimilé par le cortex. Les symptômes émotionnels disparaissent alors.
Les bienfaits de l’EMDR
Au fil des années, la méthode de l’EMDR a pu s’affiner de telle sorte qu’elle peut traiter aujourd’hui plus que le stress post-traumatique. Voici les bienfaits que cette thérapie présente :
Renforcer les ressources internes :
S’engager dans une thérapie EMDR, c’est pouvoir tirer la force nécessaire pour que les traumatismes soient traités. Plus largement, la thérapie EMDR permet de renforcer les ressources internes du patient (force, détermination, apaisement).
Réduire les symptômes liés au stress post-traumatique :
Parmi ces symptômes, l’on retrouve l’anxiété, la dépression, le deuil traumatique ou encore la détresse psychologique. Certaines études ont mis en évidence le fait que l’EMDR avait aidé de nombreuses victimes de guerre, de crimes et d’agressions sexuelles.
Réduire la douleur chronique :
Dans le cas de la douleur chronique, la thérapie EMDR présente des résultats encourageants. En effet, elle permet de diminuer les sensations douloureuses et les douleurs gênantes en améliorant la perception physique et émotionnelle de la douleur. Plus largement, cette thérapie permet de réduire, à long terme, l’anxiété ou la dépression qui peuvent être liées auxdites douleurs.
Traiter les phobies :
L’EMDR permettrait de soigner les phobies en réduisant les effets de celles-ci. Cependant, il est important de prendre en compte que la thérapie de l’EMDR demeure relativement récente, et les études empiriques restent peu nombreuses pour assurer des résultats fiables à 100%.
Une séance d’EMDR : déroulement
Grâce à une séance préparatoire, la thérapeute apprend à connaître le traumatisme et son patient. Lorsque le patient doit se représenter le traumatisme qu’il a vécu, la représentation peut être visuelle, cognitive, émotionnelle ou physique.
La thérapeute va ensuite procéder à divers stimulus, qu’il s’agisse d’un toucher sur les deux côtés du corps, de mouvements devant les yeux ou encore de sons de chaque côté de la tête. Le processus reprend, et les stimulus sont récurrents.
Le dialogue entre le patient et la thérapeute sont maintenus le plus souvent, afin de veiller à votre bien-être.
En quelques mots
La thérapie EMDR, bien que plutôt récente dans nos pratiques a pourtant montré des résultats assez rapidement. Pour le moment, cette thérapie est reconnue par l’OMS et l’INSERM. Mais de nombreuses expériences ont également démontré que la thérapie EMDR pouvait s’avérer être un réel outil de soin et de guérison pour beaucoup de blocages émotionnels dus à des traumatismes.
Et vous, avez-vous déjà suivi une séance d’EMDR ?
De mon côté, c’est un soin que je pratique. Je suis Charlotte Vallet, thérapeute et experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017.
Parce qu’il est important de prendre soin de soi dans un monde qui tourne à cent à l’heure, n’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir au plus proche de la nature. Loin du quotidien et des tracas qu’’il apporte toujours, prenez le temps de vous connaître, de respirer et de vous aimer.
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Chute de cheveux en automne : comment agir ?
Qui n’a jamais retrouvé des cheveux coincés dans une jolie écharpe en laine ? Ou encore dans son chouchou préféré ? Les cheveux sont composés de telle sorte qu’ils poussent –plus ou moins vite selon les personnes ou les saisons. Et l’automne s’avère souvent être une saison fatale pour nos poils les plus longs. Alors pourquoi la saison automnale favorise la chute de cheveux ? Comment éviter de perdre trop de cheveux ? Quels sont les meilleurs tips naturels ?
Pourquoi les cheveux tombent-ils en automne ?
Si l’automne est la saison de la chute des feuilles, c’est aussi celle de la chute des cheveux ! Et pour cause, durant cette saison, les cheveux tombent deux à quatre fois plus que le reste de l’année. Mais il n’y a pas de quoi paniquer : en effet, l’automne est la saison naturelle pour la chute des cheveux. Car finalement, tout comme les feuilles des arbres, ils arrivent « en fin de vie » après une période de soleil et de chaleur. C’est alors tout naturellement qu’ils tombent. Ce phénomène s’appelle la chute saisonnière et dure en moyenne de 4 à 6 semaines.
Néanmoins, il existe des facteurs qui aggravent considérablement la chute de cheveux durant cette saison.
Les facteurs aggravants de la chute de cheveux
Malgré que la chute de cheveux en automne soit un phénomène physiologique naturel, elle peut être aggravée par de nombreux facteurs. Ceux-ci ont diverses influences mais favorisent tous une chute plus importante des cheveux. Parmi ces facteurs, l’on retrouve :
Les carences :
Qu’il s’agisse de minéraux ou de vitamines, le corps en a besoin ! C’est aussi pourquoi il est si important de faire le plein d’énergie en automne, comme à chaque changement de saison. Cela permet au corps et à l’esprit d’amorcer ces bouleversements avec sérénité et en étant préparé. Parmi les minéraux et les vitamines indispensables pour les cheveux, il y a :
- Les vitamines B ;
- Le zinc ;
- Le soufre (contenu dans le chou vert, l’ail frais, la ciboulette, les crevettes, les jaunes d’œufs cuits…) ;
- Silicium ;
- Oméga-3.
La période post-été :
Si l’été permet de faire le plein de vitamine D, de soleil, de joie et de souvenirs, c’est également une période qui peut faire souffrir les cheveux sans que l’on s’en rende compte immédiatement. Au-delà du soleil et de la chaleur, c’est aussi la présence de chlore (piscine) ou de sel (l’océan) qui peuvent nuire aux cheveux notamment en les asséchant voire en ayant un effet d’oxydation sur eux. Si durant l’été, ils ne sont pas particulièrement chouchoutés, une fois l’automne présent, leur chute est d’autant plus inévitable.
Le stress et la fatigue :
Tels sont deux autres facteurs aggravants pour la chute de cheveux. En effet, durant ou suite à une grosse période de stress, il est possible que les cheveux tombent. Ce phénomène est principalement dû au fait que le stress a un impact direct sur les cellules et en particulier sur les follicules pileux. De même, le stress, outre intensifier la chute de cheveux, peut également avoir un effet délétère sur le cuir chevelu et rendre plus difficile et donc plus rare la repousse des cheveux.
Il est d’ailleurs possible de diminuer son stress par de petits gestes au quotidien.
En ce qui concerne la fatigue, le phénomène est le même. Souvent, la fatigue est elle-même un effet secondaire d’un choc émotionnel ou d’un stress intense. Elle alimente elle aussi une chute de cheveux plus importante que d’ordinaire. Enfin, le stress et le fatigue peuvent être particulièrement élevés en automne, période durant laquelle se déroule notamment la rentrée (scolaire, étudiante, professionnelle…). Il est donc important de bien dormir.
Les hormones :
Les hormones ont également un rôle à jouer dans la perte de cheveux. Ce sont les hormones androgènes qui sont directement responsables de la chute de cheveux, tant chez l’homme que chez la femme. Mais chez cette dernière, les cycles menstruels ainsi que la ménopause, la prise de la pilule ou d’autres facteurs peuvent également avoir une influence sur la chute de cheveux.
Les remèdes naturels pour lutter contre la chute de cheveux
L’automne est donc une période particulièrement propice à la perte de cheveux. Néanmoins, il est possible de prendre les choses en main et il existe pour cela de nombreux remèdes naturels ou de « grand-mère » afin de réduire la chute de cheveux en automne.
Adapter son alimentation :
Tout ce qui passe la barrière des lèvres possède une influence sur le corps. L’alimentation permet de veiller au bien-être du corps dans son ensemble. Concernant la perte de cheveux, il est important de privilégier des aliments comportant du zinc, du magnésium, du fer et des vitamines A et E. Ces nutriments, il est possible de les retrouver dans les jaunes d’œufs, les noisettes, les bananes, les céréales complètes ou bien les kiwis.
Modifier sa routine capillaire :
Au-delà de l’alimentation, il est important de prendre soin de ses cheveux. Tout comme certaines saisons et périodes, il est nécessaire d’adapter sa routine pour la peau, il en va de même pour les cheveux ! Il est possible de privilégier :
- Les shampoings doux qui permettent d’éliminer le sébum et les cellules mortes ;
- Limiter les produits coiffants ;
- Privilégier le brossage de cheveux pour stimuler la circulation sanguine et éliminer les cheveux morts.
L’utilisation de certaines huiles :
Certaines huiles permettent de stimuler le cheveu et sa repousse. Il est alors possible de réaliser des bains d’huile qui permettent de nourrir le cheveu tout en le stimulant. C’est notamment le cas pour les huiles de ricin et de moutarde. De même, les huiles essentielles de romarin, d’ylang-ylang ou encore de Bay St Thomas permettent de purifier le cuir chevelu de manière naturelle.
Cure de vitamines et compléments alimentaires :
La vitamine B permet de booster la pousse de cheveux tout en renforçant le cheveu. Plus vigoureux, vos cheveux pousseront davantage et seront d’autant plus forts ! De même, la biotine permet d’épaissir le cheveux et limite la casse du cheveu.
Consulter :
Si malgré les différentes options qui vous sont proposées, la chute de cheveux vous semble anormale ou exceptionnellement importante, il est également possible de consulter. Ce n’est pas un remède de grand-mère, mais si cela vous semble nécessaire, vous ne devez pas hésiter. Après tout, mieux vaut prévenir que guérir !
En quelques mots…
Pour conclure, la chute de cheveux en automne est tout à fait naturelle. Excepté en avril, la pousse des cheveux vit un « pic » en juillet et est vouée à tomber environ cent jours plus tard -ce qui correspond à l’automne. Il existe de nombreux autres facteurs qui encouragent la chute de cheveux, mais cela ne doit pas vous décourager.
Il existe de nombreuses solutions qui permettent de redonner vie et force à vos cheveux ! Les masques naturels sont également très appréciés, bien qu’il est toujours préférable de le faire chez soi avec des ingrédients les plus naturels possible.
Et vous, quels sont vos secrets pour maintenir vos cheveux en forme et lutter contre la perte de cheveux en automne ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
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Agir contre la fatigue profonde
Vos paupières sont souvent très lourdes lorsqu’il faut les ouvrir le matin ou les garder ouvertes durant la journée ? Vous avez parfois l’envie intense de dormir au dépend de tout le reste ? Et si vous souffriez de fatigue profonde ? Dans notre société ultra-connectée, il est parfois fastidieux de prendre soin de soi. Le travail, la routine, les injonctions, la famille… tout un tourbillon qui vous emporte et tourne dans la tête sans vous laisser le temps de dormir un peu. Mais il est possible d’agir contre la fatigue profonde et inopportune. Alors quels sont les meilleurs conseils pour ne plus somnoler et retrouver la forme ?
Comment définir la fatigue ?
Selon le Larousse, la fatigue se caractérise par un état « physiologique consécutif à un effort prolongé, à un travail physique ou intellectuel intense ». De plus, la fatigue se manifeste dans le corps par une « difficulté à continuer cet effort ou ce travail ». Autrement dit, la fatigue survient souvent après un effort du corps ou de l’esprit.
Toutefois, il est important de noter que la fatigue peut également être émotionnelle. Quoiqu’il en soit, la fatigue a toujours une ou plusieurs causes. De même, elle peut parfois s’accumuler et entraîner des états de fatigue « profonde », c’est-à-dire un sentiment de lassitude général. Le plus souvent, ce sentiment de fatigue précis incarne l’une des passerelles qui mène tout droit vers la dépression ou un burn-out.
Les différents types de fatigue
Si la fatigue se reconnaît à travers les signaux qu’elle laisse dans le corps, elle peut toutefois avoir différents visages. Et pour cause, les médecins distinguent aisément différents types de fatigue. La fatigue peut être :
Saisonnière : notamment lorsque les saisons plus fraîches pointent le bout de leur nez ;
Ophtalmique : souvent à cause des écrans et du temps que l’on passe dessus ;
Nerveuse : elle correspond à une période riche en stress ou une période d’anxiété ;
Physique : elle se caractérise par un manque de ressources.
Chaque type de fatigue a ses propres caractéristiques. Le plus important demeure que les types de fatigues ne s’accumulent pas afin d’éviter les conséquences que cela peut avoir.
Les différentes causes de la fatigue
Les causes de la fatigue peuvent être multiples. Parmi elles :
Le rythme de vie :
- Manque de sommeil ;
- Manque d’activité physique régulière ;
- Mauvaise alimentation (en particulier en cas de carences) ;
- Consommation intense d’alcool ou de drogues ;
- Grande quantité de travail…etc.
Les causes psychologiques :
- Dépression ;
- Anxiété ;
- Angoisse ;
- Stress ;
- Problèmes annexes (soucis de famille, d’amis…).
Les troubles du sommeil :
- Insomnies ;
- Réveils précoces ;
- Apnée du sommeil ;
- Perturbation du rythme biologique (travail de nuit, décalage horaire).
Les maladies :
- Infections bactériennes ou virales ;
- Maladies de la thyroïde ;
- Cancers et leurs traitements, notamment la chimiothérapie ;
- Les problèmes cardio-vasculaires ;
- L’anémie ;
- Les hépatites.
Ou plus simplement le vieillissement.
Agir contre la fatigue sur le long terme
Quelle que soit la fatigue et les causes de celle-ci dont vous souffrez, il est possible d’y remédier. Parmi les « remèdes » contre la fatigue, il y a :
L’alimentation :
Faire le plein de vitamines, de minéraux, de fer et d’énergie permet de lutter efficacement contre la fatigue. Et pour cela, il est possible de se tourner vers :
- La vitamine C : source importante d’énergie. Elle se trouve dans les agrumes, le cassis, les poivrons ou encore les kiwis.
- Les vitamines E et B : elle se trouve dans le poisson ou quelques crustacés comme le crabe, le saumon, le cabillaud ou encre le colin.
- Les antioxydants : ils aident les rouages du corps à bien fonctionner. On en retrouve dans les petits fruits comme les baies, les légumes, et certaines viandes comme la dinde ou le porc.
- Le magnésium : il est possible d’en trouver dans les légumineuses ou encore les fruits oléagineux.
- Le fer : indispensable au bon fonctionnement du corps, surtout durant la période des règles durant laquelle les femmes sont amenées à perdre beaucoup de fer, ce qui peut facilement créer des carences. On en retrouve notamment dans les crevettes, le foie de veau, le boudin noir, ou encore les haricots de soja, les haricots blancs, le soja ou le sésame.
Une activité physique régulière :
Il est également possible de retrouver un équilibre de sommeil et en particulier d’éliminer la fatigue ressentie grâce à une activité physique régulière. Ainsi, le stress, l’anxiété ou encore la fatigue d’une longue journée de travail peuvent être rééquilibrés par les endorphines libérées durant la pratique.
Un rythme de sommeil régulier :
Bien dormir est parfois délicat. Adopter des horaires de sommeil régulières d’un jour à l’autre et mettre en place de petits rituels avant d’aller dormir peuvent permettre d’apaiser les nuits difficiles.
Adopter un rythme de vie plus sain :
- Ne pas manger trop tard ou en trop grande quantité ;
- Eviter les écrans avant d’aller se coucher ;
- Arrêter la caféine avant 18 heures ;
- Privilégier le sport le matin ou l’après-midi, pas en soirée ;
- Ne pas s’endormir devant la TV.
Les médecines alternatives :
Il est également possible de se tourner vers des médecines douces, comme l’hypnose ou la méditation. La première vous permettra de «nettoyer » votre inconscient, de résoudre vos angoisses profondes, les peurs et tout ce qui peut parfois vous empêcher de trouver le sommeil. La méditation, quant à elle, vous offrira les clefs d’exercices qui permettent de se détendre. Avant d’aller dormir, les exercices de respiration peuvent également être mis en place afin d’améliorer la venue du sommeil et sa qualité. N’hésitez pas à aller voir les pour et les contre des médecines alternatives.
Il est essentiel de bien équilibrer sa vie et de laisser s’en aller les habitudes qui peuvent devenir nocives.
Tips pour agir contre la fatigue efficacement !
Et pour finir, voici quelques tips qui permettent de lutter contre la fatigue efficacement – mais sur le court terme.
- Privilégiez la lumière naturelle (ouvrez vos rideaux et profitez ! Nous sommes des êtres diurnes, le corps agira en conséquences) ;
- Boire un jus de fruits frais éloignera les paupières lourdes !
- Se balader dans le quartier permettra au corps de se « réveiller » et de continuer ;
- Faîtes une pause des écrans quelques minutes ;
- Riez, vivez ! Le rire est parfois plus réparateur qu’une heure de sommeil… et à quand remonte votre dernier fou rire ?
En quelques mots…
Ne laissez pas la fatigue devenir un vrai fardeau. Multipliez les émotions positives, les rires, les activités – mais sans vous épuiser ! Et lorsque vient l’heure de dormir, mettez-vous en condition. Un pyjama confortable, une lumière tamisée… préparez votre corps et votre esprit à se reposer profondément.
Cependant, si la fatigue profonde se poursuit et que le sommeil se fait toujours aussi rare, il est important d’aller consulter votre médecin. Il y a peut-être une raison plus conséquente derrière ce manque de fatigue, auquel cas le plus tôt est le mieux !
Et vous, quels sont vos meilleurs tips pour lutter contre la fatigue ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en neurosciences, en hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib ou directement par téléphone au : 06.85.45.84.83.
Je pratique des séances à Paris, mon cabinet se situe au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il vous suffit d’écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin de la pollution du quotidien et des tracas qu’il porte en lui, retrouvez-vous pour un séjour apaisant basé sur la découverte et le bien-être.
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Ménopause : comment s’y préparer ?
Ce n’est plus un secret pour personne : les cycles menstruels ont beaucoup d’influence sur les femmes, tant sur leur état physique que mental. Et Mère Nature n’y est pas allée de main morte : les femmes ont leurs règles durant environ quarante années. Après cela, c’est l’étape de la ménopause qui se présente, et elle n’est pas des moindres ! Si pour certaines femmes, la ménopause se déroule en douceur, pour d’autres, cela équivaut surtout à de multiples changements. Alors comment se préparer au mieux pour ce step important ?
Qu’est-ce que la ménopause ?
La ménopause est un phénomène naturel qui se produit chez toutes les personnes ayant des menstruations. En moyenne, la ménopause survient entre l’âge de 45 et 55 ans.
Mais la ménopause ne fait pas stopper les règles du jour au lendemain. En effet, il peut y avoir quelques flux inopportuns. La ménopause n’est confirmée qu’après un arrêt des règles sur une période de 12 mois. De même, la ménopause peut également être annoncée par ce que les médecins nomment une « préménopause ». Autrement dit, les activités ovariennes sont ralenties et les hormones féminines diminuent. Tous ces changements entraînent des dérèglements des cycles menstruels, rendant irrégulières les périodes de règles –plus ou moins longues. C’est aussi une période qui peut apporter les premiers symptômes de la ménopause.
Expliquer les causes de la ménopause
Toutes les femmes naissent avec un certain nombre d’ovocytes. Ce nombre est par ailleurs estimé entre 700 000 et 2 000 000 (d’)ovocytes. Au cours de la puberté, la majorité des ovocytes se détériore pour atteindre un nombre de moins de 500 000 ovocytes. Parmi eux, seulement 400 à 500 atteindront l’ovulation durant la « période reproductive ».
Par ailleurs, ce processus physiologique qu’incarne la ménopause est naturel et inévitable. Il s’agit, plus précisément, de l’arrêt définitif de l’ovulation. Et pour cause, l’épuisement des follicules situés dans les ovaires ; les mêmes qui sont directement responsables de la libération des ovocytes dans les trompes utérines. Enfin, cela entraîne un arrêt de la sécrétion d’œstrogènes.
Les symptômes de la ménopause
La ménopause est une période qui peut durer jusqu’à cinq ans avant que les règles ne s’arrêtent définitivement. Mais les symptômes qui se déclenchent avec la ménopause, eux, peuvent durer bien plus longtemps. Tout comme pour le syndrome prémenstruel et les cycles menstruels, chaque femme ressent les symptômes liés aux changements du corps de manière unique et différente. Pour la ménopause, il en sera de même.
Parmi les symptômes qui sont le plus souvent subits, l’on relève :
- Bouffées de chaleur ;
- Sécheresse vaginale ;
- Sécheresse de la peau et des cheveux ;
- Douleurs musculaires ;
- Douleurs dans les seins ;
- Douleurs articulaires ;
- Prise de poids (3 à 5 kg environ) ;
- Maux de tête/ migraines plus fréquents ;
- Vertiges ;
- Augmentation des risques cardio-vasculaires ;
- Infections urinaires.
Certains de ces symptômes peuvent apparaître durant la période de préménopause.
L’impact psychologique de la ménopause
Par ailleurs, la ménopause n’impacte pas seulement le corps, mais aussi l’esprit. Plus précisément, c’est tout un éventail d’inconforts et de souffrances au quotidien qui peuvent se manifester. Elle présente notamment plusieurs symptômes qui ne se voient pas forcément physiquement et sont pourtant bel et bien réels. C’est le cas pour :
- Les insomnies ou l’hypersomnie ;
- L’irritabilité ;
- Des difficultés de concentration ;
- Des crises d’angoisse ;
- D’un sentiment de fatigue ;
- D’une déprime voire d’une dépression ;
- De la diminution du désir sexuel.
Comment se préparer à l’arrivée de la ménopause ?
Il n’y a, à ce jour, aucun remède miracle qui empêche les symptômes de la ménopause de se manifester. Mais il existe en revanche de multiples astuces qui permettent d’amoindrir les effets indésirables de la ménopause. Parmi eux :
Adopter une alimentation saine :
Une alimentation saine passe principalement à travers des produits frais et de saison, et le moins d’aliments préparés ou modifiés possible. En effet, les produits les moins manipulés (comme les produits biologiques et locaux) seront plus nutritifs en termes d’énergie et de vitamines, de minéraux…etc. En adaptant une alimentation saine et équilibrée, vous permettez à votre corps de se repaître des nutriments dont il a besoin. Toutes les vertus que contiennent les aliments seront des alliés lors de l’arrivée de la ménopause, en plus de booster le système immunitaire ou encore de vous donner l’énergie d’accomplir tous vos projets !
Avoir le goût de l’activité physique :
Bouger, courir, nager, escalader… peu importe le sport que vous choisissez, tant que c’est un sport qui vous plaît. En effet, le sport permet de rééquilibrer toutes les fonctions du corps en plus d’évacuer le stress et de libérer des endorphines. Ainsi, la pratique d’une activité physique permet tout autant de se sentir mieux psychologiquement que physiquement.
Prendre du temps pour soi :
La ménopause reste une grande étape dans la vie d’une femme. Souvent, cela peut avoir des conséquences directes sur la perception qu’elle a d’elle-même -à cause de tous les changements physiques- ainsi que sur la manière qu’elle a de se ressentir. C’est pourquoi il est essentiel de prendre du temps pour soi et de se faire plaisir. Au quotidien, c’est une donnée importante pour le bien-être ; en période de changement, c’est d’autant plus important pour ne pas se sentir submergé. Prendre du temps pour soi, c’est s’accorder des moments et des activités qui sont source de bonheur.
Lever le tabou :
Entrer dans la période de la ménopause peut être une véritable source de stress. C’est pourquoi il est essentiel de dédramatiser son angoisse. En parler autour de vous, avec des femmes qui sont déjà passées par là ou simplement vos amies, permettra de mieux gérer la situation. Si les symptômes se révèlent souvent inconfortables voire douloureux pour certaines, il est essentiel de lever le tabou afin de se rendre compte que vous n’êtes pas seule.
En quelques mots…
La ménopause peut être une période difficile à vivre. En effet, les nombreux changements dans le corps et au niveau de l’esprit que provoque la ménopause peuvent aggraver des troubles tels que l’anxiété, la dépression, ou encore les tocs. Il est important de prendre du temps pour soi tout au long de sa vie afin de se connaître davantage et surtout, d’anticiper les grandes étapes à venir. La ménopause ne ressemblera en rien à ce que vous pourrez imaginer. Avoir un quotidien sain et équilibré offrira à votre corps les outils pour gérer au mieux les bouleversements entraînés par la ménopause.
Et vous, craignez-vous l’arrivée de la ménopause ? L’avez-vous déjà vécue ? Quel a été/ quel est votre ressenti ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage. Je pratique des séances à Paris, mon cabinet se situe au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
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Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin de la tornade qu’est le quotidien, vous pouvez profiter d’un moment de calme au plus proche de la nature.
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Une crise d’angoisse ! Que faire ?
Avec un rythme de vie épuisant, du stress à outrance et peu de temps pour réellement prendre soin de soi, l’angoisse prend place. Sournoise et silencieuse, vous ne vous rendez compte de sa présence que lorsqu’il est trop tard. Présentant souvent des symptômes clairs et reconnaissables, ayant parfois des causes qu’il est plus ou moins simple d’identifier, la crise d’angoisse ne frappe pas sans raisons. Elle accélère le souffle, procure un sentiment de panique et certaines personnes peuvent en rester tétanisées. Alors que faire lorsque la crise d’angoisse se déclare ? Quels sont les petits gestes à adopter pour la faire diminuer ?
Qu’est-ce qu’une crise d’angoisse ?
L’angoisse se définit comme une forme d’anxiété. Elle est souvent difficile à gérer et se manifeste de façon temporaire –d’où l’association avec le mot « crise ». On parlera de crise d’angoisse mais d’un état d’anxiété.
L’angoisse, donc, est un sentiment fort qui, selon les psychologues est adaptatif. C’est-à-dire qu’il permet au corps d’être beaucoup plus vigilant à son environnement et aux personnes qui l’entourent. Sauf que pour atteindre ce résultat de vigilance, l’angoisse provoque d’intenses symptômes. Souvent, l’angoisse est également associée au sentiment de peur, et l’un peut découler de l’autre selon le contexte.
Ainsi, l’angoisse est un sentiment fort, brut, et éphémère qui envoie des signaux au corps afin qu’il soit attentif à ce qui l’entoure. Mais comment se déclenche la crise d’angoisse ? Et comment la reconnaître ?
Ce qui se passe dans le corps pendant une crise d’angoisse
Comme dit ci-dessus, la crise d’angoisse apparaît selon toutes sortes de causes. Mais parfois, il arrive qu’elle se manifeste sans raison apparente. Comme elle est dépendante d’un état anxieux, dépressif, ou suite à une période intense en stress, il est parfois délicat d’évaluer la cause exacte de ce genre de phénomène.
Toutefois, ce qu’elle provoque dans le corps lorsqu’elle surgit est indéniable. La crise d’angoisse est souvent insufflée par le cerveau qui se met en état d’alerte à cause d’un élément. Là encore, il est possible que cela suive une période intense en stress, ou une période de dépression, d’anxiété, voire même à cause d’une phobie enfouie. Le cerveau se sent en danger et va envoyer un pic d’adrénaline dans tout le corps ; son moyen à lui de le prévenir qu’un danger guette. Les conséquences dans le corps sont plus ou moins rapides. Cela créé alors des symptômes qui peuvent, au fil du temps, être reconnaissables.
Il est néanmoins important de rappeler que la plupart du temps, lorsqu’une angoisse surgit, le danger n’est pas réel. C’est justement les causes de l’angoisse qui biaisent les analyses du cerveau et celui-ci agit simplement en conséquence.
À noter : le tabac, l’alcool, les drogues et ce qu’elles font au cerveau, et tout autre produit excitant peuvent accentuer la venue et l’intensité des crises d’angoisse.
Les symptômes d’une crise d’angoisse
Parmi les symptômes physiques d’une crise d’angoisse, il est possible de relever :
- Une accélération du rythme cardiaque (palpitations pouvant aller jusqu’à la tachycardie)
- Tremblements dans les mains, les jambes, les bras, ou du corps entier
- Transpirations ou sueurs froides
- Sensation d’étouffement/ difficultés à respirer
- Douleurs thoraciques, lancinantes
- Nausées pouvant aller jusqu’à des vomissements
- Vertiges, évanouissement, maux de tête.
Mais tous les symptômes ne se manifestent pas en même temps. De même, ils ne sont pas tous physiques. Certains se traduisent par des signes comportementaux :
- Déambulation
- Agitation
- Difficultés à s’exprimer/ articuler/ rassembler ses idées
- Arrêt soudain des activités, prostration, être figé.
Enfin, certains symptômes ne franchissent jamais la barrière de notre propre corps. C’est le cas quand on ressent les symptômes invisibles :
- Une sensation de peur déraisonnée
- Impression de mort imminente
- Impression de perdre la tête
- Des sensations catastrophiques
- Impossibilité de fixer son attention sur autre chose.
Tips pour parvenir à gérer la crise d’angoisse
Heureusement, il existe différentes techniques qui permettent de contrer la crise d’angoisse, ou a minima, de la faire diminuer.
Le calme :
Pour certains, la crise d’angoisse peut être rapidement intensifiée s’il y a des personnes autour et surtout, de l’agitation (trafic, bruit…). Il est alors primordial, si c’est votre cas, de vous trouver un endroit plus calme, afin de reprendre votre souffle. Petit à petit, vous pouvez de nouveau prendre conscience de votre environnement et tenter de diminuer l’angoisse en respirant à fond. Cette technique permet également de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un infarctus (les symptômes étant assez similaires).
Raisonner l’esprit :
Pour certaines personnes, c’est la perte de contrôle qui est associée à la crise d’angoisse qui est difficile à gérer. Dans ce cas précis, il est possible de faire travailler son cerveau afin qu’il puisse, par extension, calmer le reste des symptômes. Le fait de réciter une chanson, un poème…etc. à voix haute peut ralentir la respiration, tout en vous éloignant l’angoisse. Le cerveau va se détourner de l’illusion de danger et tout rentrera dans l’ordre en quelques secondes/ minutes.
Parler à un proche :
Pour d’autres personnes, c’est davantage la sensation de danger qui fera éclore la crise d’angoisse. Il est essentiel, dans ces moments-là, de se raccrocher à une personne que vous connaissez. Demandez-lui de vous parler, de vous changer les idées, de vous faire marcher dans une autre direction, de vous apporter de l’eau… etc.
Le contact physique :
Certaines personnes n’aiment pas être touchées, et ce, encore moins durant une crise d’angoisse. Pour d’autres, c’est l’inverse. Le contact physique permet de libérer des endorphines, ce qui peut atténuer les effets sur le corps de l’adrénaline. Tout se rééquilibre petit à petit, vous voyez s’éloigner l’angoisse.
Exercices physiques :
Sans parler d’aller courir un footing en plein open-space, certains exercices physiques permettent de se concentrer sur son corps et de l’ancrer dans le moment présent. Pour certaines personnes, ce sera le déclencheur de la fin de la crise. Qu’il s’agisse d’activer des points névralgiques au niveau du visage ou du cou, il existe beaucoup d’endroits du corps qui permettent de reprendre conscience de la réalité.
Quelle que soit la méthode que vous décidiez d’adopter, elle peut parfois être efficace et parfois faillir. L’important est que vous trouviez des moyens de reprendre le contrôle sur le sentiment d’angoisse. Et cela se fait également à travers des démarches sur le long terme.
Gérer l’angoisse sur le long terme
Gérer l’angoisse au moment où elle pointe le bout de son nez, c’est courageux et très positif. Mais il y a des périodes où les crises d’angoisses seront plus susceptibles de se montrer qu’à d’autres moments. C’est pour cela qu’il est important d’entamer des processus qui permettent de guérir des causes de l’angoisse, pour que cette dernière ne se manifeste plus que très occasionnellement voire plus du tout !
Les soins psychologiques :
Parmi les causes de l’angoisse, il y a la dépression, un état anxieux général, des TOCs (troubles obsessionnels compulsifs), ou encore des périodes plus ou moins intenses de stress. Les soins psychologiques permettent de trouver des solutions, des déviations parfois, pour toutes les routes de votre vie qui semblent être sans issue (n’hésitez pas à aller voir les bienfaits qu’il y a à suivre une thérapie).
Changer d’air :
Parfois, un nouveau départ permet de prendre du recul sur la vie et les carcans dans lesquels on était retenus auparavant. Il est possible de se libérer de ses chaînes, non pas pour fuir, mais bel et bien pour trouver la paix à laquelle on aspire. Un équilibre pour lequel il faut beaucoup travailler. Sans déménager à l’autre bout du monde, les voyages permettent de s’offrir du temps loin des soucis habituels et de se ressourcer. On fait attention à soi, on se chouchoute ! Et voyager seul a aussi des bienfaits !
La méditation :
Cette pratique douce permet de mieux gérer son corps, de s’ancrer dans le présent, et vous livrera des clés utiles pour combattre l’angoisse si celle-ci se présente. Sur le long terme, vous apprendrez à vous concentrer sur le « ici et maintenant » tout en laissant de côté les éléments source d’angoisse. Découvrez comment méditer autrement qu’en fermant les yeux !
Le sport : sur le long terme et même lorsque l’angoisse disparaît quelques temps, le sport peut être un très bon entraînement pour gérer son corps. Grâce à une activité physique, vous prenez conscience de votre corps, vous le sentez vivre, le faites vivre. Il est alors plus aisé de gérer les sensations lors d’une crise d’angoisse ! De plus, le sport permet la sécrétion d’endorphines qui éloignent le stress et combattent l’anxiété ! Alors n’hésitez plus, et découvrez/ pratiquez le sport en faisant un sport qui vous plaît.
La sophrologie :
Puisque l’angoisse impacte directement le souffle et la respiration, la sophrologie peut être une alternative intéressante aux crises d’angoisse. De même, il ne s’agit pas seulement de contrôler son souffle, mais d’apprendre à respirer.
L’hypnose :
Pour combattre les causes directes de l’angoisse, il est également possible de se tourner vers l’hypnose. En faisant appel à votre inconscient, il est possible de délier les nœuds et les blessures du passé afin de vous libérer du poids qu’il pèse.
En quelques mots…
L’angoisse est un phénomène de plus en plus courant dans nos sociétés. Le stress, la vie, les injonctions, les inégalités… toutes ces choses qui ne vont pas et qui peuvent causer bien plus que de la contrariété. Chaque personne doit apprendre à vivre dans un monde de travers avec ses propres blessures, et l’angoisse n’est finalement qu’un moyen au corps de dire « stop ».
Il existe différentes manières de gérer la crise d’angoisse. Et vous, avez-vous une méthode particulière en cas de crise d’angoisse ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez prendre rendez-vous :
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Enfin, j’organise également des retraites qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, prenez le temps de faire votre propre connaissance. Cela peut également être un bon moyen de prendre du recul sur le quotidien et d’en finir avec le stress !
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Les bienfaits inconnus d’un nettoyage du côlon
Constipation, ballonnements, épisodes de diarrhée… le système digestif nous joue parfois de sacrés tours ! Mais depuis quelques années, le colon revient sur le devant de la scène. Les tabous se lèvent, les langues se délient. Le syndrome du colon irritable est enfin nommé, et soulagé. Mais au-delà des désagréments et de possibles syndromes, quelle est la réelle importance du colon ? Cet organe masqué revêt un intérêt capital dans notre santé – physique comme mentale. Zoom sur un organe méconnu, et les soins qui existent pour en révéler toute la splendeur !
Le rôle du côlon pour le corps
Le colon est l’un des organes de la digestion. Il fait directement suite à l’intestin en le reliant avec le rectum. Il constitue la partie terminale de ce que les médecins appellent le « tube digestif ». Sa longueur varie de 1,50M à 1,80m.
Depuis plusieurs années, les ouvrages et articles à propos du système de digestion ne cessent de se multiplier. Et à la clé, la compréhension d’une grande partie de l’état de santé chez les êtres humains. « Le charme discret de l’intestin » (Giulia Enders), « L’intestin, notre deuxième cerveau » (Francisca Joly Gomez) ou encore « L’intestin au secours du cerveau » sont des livres qui ont eu beaucoup de succès. Mais derrière ces titres, une réelle découverte se profile.
L’on commence tout juste à comprendre que le cerveau n’est peut-être pas le seul référent du corps humain. Et pour cause ! L’intestin (et le colon, et tout le système digestif) est une aide très précieuse pour notre organe cérébral. Ce dernier étant isolé, filtrant les informations et les éléments du corps qui lui parviennent… l’intestin joue un rôle essentiel dans un corps en bonne santé. C’est le seul organe qui parvient à être en contact direct avec les éléments intérieurs et extérieurs du corps humain.
Et le colon n’est pas en reste, puisqu’il joue le rôle d’un purificateur de tout le corps en éloignant ainsi les bactéries et les toxines dont l’organisme n’a pas besoin.
Un côlon en bonne santé = un corps en bonne santé !
Puisque c’est le colon qui est en charge de l’élimination des toxines du corps, il est naturel d’en prendre soin. En effet, si trop de toxines s’accumulent ou ne sont pas éliminées, cela peut avoir une répercussion sur la santé de l’organisme entier.
C’est pourquoi, après cette première vague d’ouvrages concernant l’importance du système digestif et surtout de sa bonne santé, sont aujourd’hui mis en avant différents moyens d’en prendre soin. Plus particulièrement, ce sont les nettoyages du colon qui se démocratisent et auxquels de plus en plus de personnes ont recours. Et pour cause, les nombreuses tâches du colon sont :
- Eliminer 70% des déchets du corps
- Participer à l’immunité
- Intervenir dans la fabrication des hormones
- posséder une action sur l’équilibre émotionnel
- Veiller au bon fonctionnement de l’organisme.
Alors quels sont ses bienfaits ? Comment se déroule une séance ?
Nettoyage du côlon : késako ?
Le nettoyage du colon a pour but d’aider l’organe à se nettoyer et se vider. Dans le cas où les déchets ne seraient pas utiles pour l’organisme, le colon a pour objectif de s’en débarrasser. Mais parfois, il arrive qu’il n’y parvienne pas… seul. C’est alors qu’entre en jeu le nettoyage du colon. Il existe deux principales méthodes (mais ce ne sont pas les seules) :
- Nettoyage par absorption de fibres et d’eau ;
- Nettoyage par irrigation.
Nettoyage par absorption des fibres et d’eau :
Cette première méthode consiste à procéder à une réalimentation totale. Une alimentation à base de fibres et de beaucoup d’eau permettra au colon d’évacuer davantage de matière, dont des toxines qui étaient peut-être réfractaires à l’idée de quitter l’organe. C’est une méthode qu’il ne faut pas tester seul. Il est important d’en discuter a minima avec votre médecin traitant afin de convenir de ce qui pourrait être le plus adapté pour vous.
Nettoyage par irrigation ;
Le nettoyage du colon par irrigation est une technique ancienne qui a été perdue de vue. En France, elle revient timidement sur le devant de la scène, là où l’Allemagne, le Canada et les États-Unis la pratiquent régulièrement et sans réserve.
Cette méthode consiste à se rendre chez un.e spécialiste, grâce à qui vous pourrez effectuer des séances d’irrigation. Cela consiste à adapter son alimentation quelques jours avant la séance, avant de procéder, le jour J, à une irrigation. L’eau est délicatement introduite par le rectum, à l’aide d’un tuyau relié à un appareil. Une fois à l’intérieur, l’eau effectue un nettoyage des parois du colon, afin d’en déloger toutes les toxines retenues. L’eau ressort ensuite par un autre embout, en circuit fermé, ce qui évite les odeurs.
Les bienfaits du nettoyage du côlon :
Les bienfaits du nettoyage du côlon, sont souvent inconnus et pourtant bien réels. Parmi eux, l’on retrouve :
- Détoxification de tout l’organisme : en détoxifiant l’organisme, cela lui permet d’améliorer son fonctionnement dans sa globalité
- Apporte du confort intestinal : le nettoyage du colon permet d’amenuiser les problèmes digestifs. C’est ainsi que la constipation, les diarrhées, les ballonnements, les éliminations incomplètes, les déséquilibres intestinaux et la candidose se raréfient de plus en plus.
- Réduire la fatigue, améliorer le sommeil
- Apaiser le système nerveux jusqu’à ce qu’il retrouve son équilibre
- Améliorer les problèmes de peau (eczéma, acné)
- Réduit l’asthme et les allergies
- Effet anti-inflammatoire et améliore l’état des articulations
- Combattre les infections urinaires
- Réduire les douleurs liées aux menstruations
Les bienfaits sont nombreux. Et pour ceux qui pratiquent le jeûne intermittent, le nettoyage du côlon aurait également des vertus. Parmi elles, le nettoyage du côlon permet d’éviter les troubles directement liés à l’acidose comme les maux de tête ou la baisse de la tension. De même, avant la fin du jeûne, elle permet d’aider le corps à éliminer tout ce qui ne l’a pas été en amont.
Les contre-indications
Mais cette pratique présente également quelques contre indications auxquelles il faut être attentif.
- En cas de grossesse
- Crises d’hémorroïdes aiguës ou fissures anales
- Hypertension non stabilisée à l’aide d’un traitement
- Insuffisance rénale
- Cancer digestif
- Hernies abdominales
- Maladie de Crohn
- Pathologies du foie (cirrhose)
En quelques mots…
Ainsi, le nettoyage du côlon possède de nombreuses vertus pour l’organisme dans son ensemble. Ayant un impact direct autant sur la santé physique que mentale. Bien que la pratique d’irrigation du côlon ne soit pas reconnue par la médecine conventionnelle, c’est une pratique qui existait déjà à l‘Antiquité, sous la forme plus simple d’un lavement.
Les effets du nettoyage du côlon sont indéniables, et permettent au corps de prendre un nouveau départ tout en améliorant sa santé. Découvrez d’autres tips pour booster son immunité !
Et vous, avez-vous déjà fait un nettoyage du côlon ?
Moi-même je ne l’ai testé que récemment, et j’étais surprise de constater les effets que cela a eu sur mon corps : je me sentais tellement bien ! Et je vais vous partager l’adresse du cabinet de la merveilleuse professionnelle que je suis allée voir :
39 rue Châteaudun, 75009 Paris (9ème).
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnothérapeute, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage (drainage lymphatique notamment).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Ou par téléphone au : 06. 85.45.84.83.
Mon cabinet se situe d’ailleurs au : 87 Bis Avenue de Wagram 75017 Paris
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être au cours de l’année. Pour se (re)découvrir ou simplement prendre de la distance avec les tracas du quotidien, les retraites offrent un souffle de repos et de bien-être.
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Les bienfaits de la cure d’Anthony Williams : « 3/6/9 »
Si un mal de tête se déclare, le médecin nous apporte un diagnostic et une solution. Quand un mal de dos surgit un beau matin, il est possible de se tourner vers l’ostéopathe. Si jamais le moral subit quelques irrégularités ou un trop-plein, le mieux est encore de se tourner vers un psychologue attentif. Mais il arrive que parfois, malgré une douleur récurrente et des symptômes réels, les médecins ne parviennent pas à trouver le trouble à l’origine des dérèglements. La situation peut alors rapidement devenir difficile à vivre : les rendez-vous chez les médecins s’accumulent, s’enchaînent, et toujours aucune solution ne se dessine à l’horizon.
Il y a quelques années, Anthony Williams est parvenu à s’imposer dans la médecine holistique. Aujourd’hui, il soigne les célébrités et a écrit plusieurs livres au succès retentissant. Qui est-il ? Que fait-il exactement ? Quels sont les bienfaits des cures qu’il propose ?
Qui est Anthony Williams ?
Tout d’abord, présentons Anthony Williams. De son nom complet Anthony Williams Coviello est connu internationalement pour ses dons et les soins qui en découlent. Il pratique la médecine holistique et est l’auteur de plusieurs livres. Parmi eux, « Medical Medium », qui contient des informations précieuses concernant les origines des maladies et la façon de les traiter dans leur entièreté. Son deuxième livre, « Medical Medium – les aliments qui vont transformer votre vie », relate de l’importance d’une alimentation équilibrée et saine afin de prévenir les maladies, et surtout, mieux les combattre grâce à un corps et un esprit en bonne santé.
Sa popularité revient surtout au taux de réussite de ses interventions. En effet, il a su, à de nombreuses reprises, guérir des gens ayant des maladies méconnues, ou mal diagnostiquées. Aujourd’hui, il arrive d’ailleurs que des médecins sollicitent son aide pour des cas particulièrement compliqués ou qu’ils ont des difficultés à diagnostiquer.
L’importance de l’alimentation selon Anthony Williams
Selon Anthony Williams, l’alimentation est l’une des bases les plus solides pour le corps afin de guérir et rester en bonne santé. L’alimentation permet de fortifier le corps, en plus d’avoir un impact sur le bien-être et la vitalité. Tout comme certains médecins, il partage l’opinion selon laquelle les aliments contenus sous l’acronyme TRISTE ne devraient pas figurer dans notre alimentation.
T : Transformés
R : Riches en additifs
I : Industriels
S : Sucrés
T : Toxiques
E : Emballés
Et pour cause, tous les aliments qui peuvent se répertorier dans cette liste dérangent le corps humain. Soit ils dérèglent le système immunitaire, soit ils contraignent le système hormonal du corps, peuvent s’attaquer aux neurones ou apporter dans leur sillage des complications cardiaques sévères.
Les aliments à éviter selon Anthony Williams
Mais Anthony Williams va encore plus loin en listant d’autres aliments susceptibles d’être bannis de nos assiettes. C’est le cas pour :
- Le maïs : à moins qu’il soit biologique et sous forme d’épi, il reste un aliment très mauvais car souvent modifié ou rempli d’OGM.
- Le soja : bien que ce soit une alternative à la viande très populaire pour les végétariens et les vegans, il est contaminé par des OGM lui aussi. Il est alors préférable de se tourner vers du tofu ou le tempeh.
- L’huile de canola : cette huile est assez violente une fois dans le corps. Et pour cause, elle peut attaquer le système digestif en alimentant les bactéries, les champignons ou encore les levures. Au niveau des artères, cette huile peut également causer d’importants dommages.
- Les œufs : beaucoup de personnes souffrent d’une intolérance à cet aliment sans le savoir. Et pour cause, les poules sont bien souvent nourries au maïs ou au soja, ce qui se répercute directement sur les œufs qu’elles pondent. Cela peut aggraver, selon Anthony Williams, des maladies telles que « la maladie de Lyme, le lupus, la fatigue chronique, les migraines ou la fibromyalgie ».
- Les produits laitiers : les produits laitiers demandent un travail supplémentaire au foie pour les filtrer, et au système digestif pour les digérer. Et pour cause, une hormone naturelle nommée IGF-1, qui augmente les risques en cas d’allergies, d’inflammation et de diabète.
- Le gluten : Anthony Williams porte une attention particulière sur le gluten. Protéine contenue dans plusieurs grains comme le blé, l’épeautre, le kamut, l’orge et le seigle. Le gluten peut avoir des répercussions importantes pour le système digestif et aggraver une inflammation des intestins. C’est aussi le cas pour les personnes souffrant de la maladie de Crohn, la maladie de cœliaque ou encore de colite.
Qu’est-ce que la cure 3/6/9 ?
Anthony Williams, au fil de son parcours et de ses expériences a mis au point une cure qui permet de rééquilibrer le corps et surtout le foie. Cette cure se nomme cure 3 /6 /9. Il s’agit d’une cure de neuf jours pour permettre au foie de retrouver un équilibre dans ses fonctions. À terme, le corps se rééquilibre dans son ensemble. Il précise ainsi plusieurs points importants :
- Le matin, il est important de s’hydrater ;
- Favoriser un smoothie composé de fruits et légumes plutôt qu’un repas trop consistant (melon, pomme, poire, cerise, abricot, pêche, papaye, céleri, concombre… etc.) ;
- Éviter les aliments gras avant le repas du midi.
La cure se compose en trois parties : 3 premiers jours / 3 jours suivants/ 3 derniers jours.
Pour commencer, lors des trois premiers jours, il est important de consommer le plus de fruits et légumes crus possible. L’objectif est d’apporter des minéraux et des vitamines au corps de la façon la plus pure possible. Le matin, il est recommandé de ne boire qu’un smoothie accompagné d’une eau citronnée ou au lait de coco : cette cure flirte avec un jeune intermittent ce qui permet également de nombreux bienfaits !
Ensuite, les trois jours suivants, y sont ajoutés des jus de céleri au smoothie le matin. Le céleri est un aliment phare pour Anthony Williams, puisqu’il a de multiples vertus sur la santé.
Puis les jours 7 et 8, les repas changent encore un peu. On y préfère une soupe le midi à la place de la salade, et des choux de Bruxelles cuits à la vapeur pour le soir.
Enfin, le dernier jour de la cure, le jour 9, les repas ne sont composés que d’aliments sous forme liquide. Riches en vitamines et en minéraux, ces smoothies aux fruits et aux légumes apportent une sensation de satiété et une grande énergie.
Les effets de la cure se ressentent très rapidement. Et pour cause, le foie a pu se soulager un peu tout en se renforçant malgré tout. Le corps est plein d’une énergie nouvelle !
Les bienfaits de la cure 3/6/9
- Rebooster le système immunitaire ;
- Nettoyer les intestins ;
- Qualités diurétiques ;
- Le foie se renforce et se nettoie ;
- Problèmes de peau s’atténuent (psoriasis, eczéma…etc.) ;
- Le système hormonal s’équilibre ;
- Le système digestif est nettoyé et reposé.
En quelques mots…
La cure 3/ 6/ 9 d’Anthony Williams porte en elle de nombreux bienfaits. Méconnu en France, le médecin holistique a pourtant de nombreux livres à son actif pour aider le corps à se renforcer.
Et vous, avez-vous déjà expérimenté une cure 3/6/9 ? Ou une autre cure qui vous a fait du bien ?
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et dans les soins énergétiques du corps et du visage. Pour une séance, vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib
Aussi, j’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien, retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, vous pouvez vous diriger vers le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions… n’hésitez pas !
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Arrêt de la pilule : rebond d’acné, comment s’y préparer ?
L’acné est une maladie de la peau qui apparaît le plus souvent à la puberté. Toutefois, certains adultes peuvent également en souffrir. Cette maladie de peau est soumise au moindre changement de l’environnement ou des habitudes et se révèle très susceptible. Souvent, les personnes qui souffrent d’acné doivent rester vigilantes des années durant. L’un des plus gros bouleversements est peut-être l’arrêt de la pilule. En effet, agissant directement sur le système hormonal, elle peut avoir d’importantes conséquences sur l’acné. Alors est-il possible de s’y préparer pour éviter un rebond d’acné ? Et si oui, comment ?
Qu’est-ce que l’acné ?
L’acné est définie comme étant une « maladie de la peau due à une inflammation des glandes sébacées », selon Le Robert. Plus précisément, cette maladie peut avoir de nombreuses causes. Elle se manifeste par des boutons, des kystes ou des points noirs répartis sur le visage, le cou, le torse, le dos et parfois même le cuir chevelu.
Il existe deux types d’acné. L’acné juvénile est qualifiée ainsi car elle se manifeste le plus souvent chez les adolescents lors de la puberté. Mais elle peut également apparaître à l’âge adulte, auquel cas il s’agira d’acné tout simplement. Quoiqu’il en soit, il est possible d’en guérir.
À quoi faut-il faire attention quand on a de l’acné ?
L’acné est une maladie susceptible. Et pour cause, elle dépend directement des changements encouragés par les glandes sébacées. Ces dernières sont directement responsables de l’état des cheveux et de la peau. C’est pourquoi le moindre déséquilibre les influence, et cela se répercute soit sur les cheveux, soit sur la peau. Pour des personnes souffrant d’acné, les conséquences sont plus terribles encore, puisque cela a un impact direct sur la maladie et son expression cutanée.
C’est pourquoi il y a des éléments auxquels il faut faire attention lorsqu’on souffre d’acné. C’est le cas pour :
- L’environnement (et la météo : humidité, vent, soleil…) ;
- La pollution ;
- Le stress ;
- Une alimentation déséquilibrée (trop de sucre, surtout) ;
- Le surmenage.
Tels sont les principaux acteurs qui peuvent influencer l’acné.
L’arrêt de la pilule et ses conséquences sur l’acné
Ce n’est plus un secret, l’arrêt de la pilule provoque beaucoup de changements dans le corps. Lors de l’arrêt de la pilule, les problèmes de peau peuvent donc survenir plus ou moins rapidement. En général, en ce qui concerne l’acné, il faut compter quelques semaines à quelques mois après l’arrêt de la contraception pour que l’acné subisse une poussée irrégulière. On l’appelle l’acné « rebond ». En effet, l’acné subit un rebond inhabituel, mais pas irréversible.
Ce rebond est dû aux hormones de synthèse que la pilule libère. En arrêtant la pilule, ces hormones de synthèse sont remplacées par les hormones naturelles qui reprennent leur place. Les ovaires recommencent notamment à produire des androgènes et tout le système hormonal sort de cette « hibernation » entraînée par la prise de la pilule.
Par ailleurs, l’arrêt de la pilule entraîne de nombreux autres effets sur le corps :
- Perte de cheveux ;
- Prise de poids / perte de poids ;
- Irrégularité des cycles menstruels ;
- Douleurs abdominales ;
- Migraines et maux de tête fréquents ;
- Modification du cycle de sommeil ;
- Règles plus abondantes qu’à l’accoutumée.
Mais pas d’inquiétude ! Il est possible de préparer son corps à l’arrêt de la pilule afin d’atténuer tous les effets susceptibles de se manifester. Je vous invite à aller voir mon Ebook sur l’arrêt de la pilule en douceur.
Préparer sa peau à l’arrêt de la pilule
Afin d’éviter un rebond d’acné –tout au moins le minimiser-, il est possible de préparer sa peau avant l’arrêt de la pilule. Pour se faire :
Comprendre le lien entre l’arrêt de la pilule et les effets sur le corps entier :
L’arrêt de la pilule peut avoir des conséquences directes sur la flore buccale, vaginale et intestinale. Ces dérèglements peuvent ouvrir la voie à l’acné. Dans le corps, tout est lié ! Il est donc important de bien adapter son alimentation aux changements qui peuvent survenir.
Adapter son alimentation :
Afin de prévenir les rebonds d’acné, il est important d’adapter son alimentation. Les nutriments influencent directement le fonctionnement du corps humain. Ainsi, il faut essayer de :
- Diminuer les produits laitiers et en particulier le lait, directement lié à des dérèglements de la peau ;
- Ajouter des fibres dans son alimentation, qui favorisent l’équilibre intestinal ;
- Privilégier certains aliments, comme les artichauts, les graines de lin ou de chia, les avocats, les oignons, l’ail, le céleri, les légumes verts… etc.
- Diminuer les produits préparés et sucrés : trop de sucre dans le sang peut avoir une répercussion sur la peau (boutons, plaques rouges… etc.).
Prendre soin de son foie :
Le foie agit directement sur les hormones du corps humain. Lors de l’arrêt de la pilule, il subit une grande activité qui peut le fatiguer. Les hormones naturelles reprennent leurs droits, et le foie est beaucoup sollicité. Or, un foie fatigué se répercute souvent par l’apparition de boutons à la surface de la peau. Le curcuma est un très bon allié pour le foie ! Il existe également des cures spécialement pour le foie disponibles en pharmacie.
Rester vigilant pendant quelques mois :
Même sans arrêter la pilule, l’acné subit des bouleversements et des rebonds. Durant l’arrêt de la pilule, il est d’autant plus important de veiller aux différents éléments de votre environnement. Le soleil, la chaleur, le vent, les pollutions… Tels sont des paramètres qui peuvent influencer également le rebond d’acné.
Avec une préparation adaptée et de la prudence pendant quelques mois, l’arrêt de la pilule peut avoir moins d’effets sur votre peau et votre corps dans sa généralité. Il est donc important de veiller à ce que votre corps soit suffisamment reposé, et qu’il soit accompagné et soutenu par un mode de vie équilibré (alimentation, sommeil, activité physique… etc.).
En quelques mots…
L’arrêt de la pilule entraîne un bouleversement inévitable dans le corps humain. Pour les personnes ayant souffert d’acné en étant plus jeune ou en prenant la pilule, peuvent subir un rebond d’acné. Il est essentiel de préparer sa peau à l’arrêt de la pilule afin d’éviter ou d’amenuiser les effets de l’arrêt de cette contraception.
Il est également possible de se tourner vers des soins pour la peau ou pour le visage afin de réduire l’acné au fur et à mesure.
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose et en neurosciences, en EMDR et dans les soins énergétiques du corps et du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib ou par téléphone directement au 06.85.45.84.83
Mon cabinet se situe au 87 Bis, Avenue de Wagram, 75017 Paris.
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Faut-il cultiver l’indifférence ?
L’indifférence porte souvent en elle une connotation péjorative et surtout, douloureuse. Qui n’a jamais été ignoré par une personne estimée ? Oui, ça fait mal ; au cœur, à l’ego et aux sentiments qu’on avait pour ladite personne. Dans notre société, entre les obligations sociales et ses propres ressentis, il est parfois difficile d’y voir clair. Et si l’indifférence vous aidait, finalement ? Alors faut-il la cultiver ? Et si oui, comment s’y prendre ?
L’indifférence, c’est quoi ?
Selon Le Robert, l’indifférence se définit par « l’état de la personne qui n’éprouve ni douleur, ni plaisir, ni crainte, ni désir ». Cela peut se traduire par un état intérieur d’apathie. Mais l’indifférence peut également s’en référer à autre chose qu’à l’absence de sentiments d’un individu. Le Robert précise ainsi qu’il peut s’agir du « détachement à l’égard d’une chose, d’un événement ».
Ainsi, l’indifférence peut tout autant désigner une distance émotionnelle quant à soi-même et ses propres sentiments, ceux des autres, ou encore quant aux événements de la vie qui surviennent parfois. L’indifférence se dessine alors comme une notion plus nuancée qu’un simple égoïsme.
L’indifférence et sa connotation péjorative
Le sentiment d’indifférence est souvent vue comme une émotion difficile à encaisser pour celui qui la subit. La plupart du temps, l’indifférence porte une connotation très péjorative, dont peu de gens souhaitent finalement être responsables. D’où vient cette idée que l’indifférence est péjorative ?
Cela s’explique à travers deux notions qu’il est important de distinguer : l’indifférence envers la vérité et l’indifférence émotionnelle. La première désigne une prise de distance avec les événements qui se déroulent dans l’actualité, dans sa vie ou dans la vie d’autrui ; la seconde, plus délicate, s’explique par des tendances individualistes mises en scène par la société depuis des décennies. L’altruisme et la bienveillance ont longtemps été mis de côté au profit d’une illusion de réussite sociale.
De nos jours, ces deux notions d’indifférence tendent à se nuancer, tant par la complexité de notre société à deux mesures, que par la toile infinie que forment nos sentiments personnels. Enfin, l’indifférence demeure dans les consciences collectives comme une chose dérangeante, blessante, dangereuse et péjorative. Cela s’explique par la blessure de rejet/ d’abandon qu’elle peut réveiller chez certaines personnes.
Ainsi, l’indifférence a été diabolisée et a permis de justifier de certaines marginalisations qui paraissaient « cool » ou tendance. Mais l’indifférence, au même titre que le plaisir ou la tristesse est une émotion neutre. Et comme pour toutes les émotions, tout dépend de ce que vous en faîtes !
Les bienfaits de l’indifférence
Si cela paraît difficile à croire, l’indifférence présente pourtant des bienfaits ! Parmi eux, l’on peut noter :
Une forme de liberté :
Le fait de cultiver l’indifférence est une forme de liberté. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas ici d’ignorer tout le monde quand ça nous chante. Il est plutôt question de cultiver l’indifférence et de savoir qu’il sera possible de l’appliquer à des choses qui nous entrave dans le quotidien. Le regard des autres ? Les injonctions sociales ? Les choses que vous penser « devoir » aux autres ? L’indifférence représente dans certains cas une forme de liberté, car alors vous n’êtes plus obligé de répondre à ce que l’on attend de vous. Cette pression s’envole ! Vous vivez pour vous et pour personne d’autre.
Vivre plus honnêtement :
De la même façon, cultiver l’indifférence quand vous en ressentez le besoin permet de vivre plus honnêtement. Sans être égoïste, cela permet de vous concentrer sur votre vie et vos projets –personnels, pros, familiaux…etc. Vous vivez selon vos valeurs, et vous ne devez rien à personne sinon à vous-mêmes.
Être en accord avec ses besoins :
Cultiver l’indifférence, c’est aussi savoir quand l’appliquer pour ne pas aller au-delà de ses limites. Si dans votre groupe d’amis, une personne vous met mal à l’aise et ne semble pas très encline à faire des efforts pour que tout se passe bien, alors peut-être est-il préférable de se parer d’indifférence à son égard afin de passer du bon temps quand même. Si, en revanche, un jour de fatigue physique ou émotionnelle, vous préférez ne pas y aller, le fait d’être indifférent non pas aux sentiments de vos amis mais bel et bien à l’opinion du « qu’en dira-t-on », vous aurez plus de facilité à vous écouter et respecter votre besoin d’être seul et de vous reposer.
Savoir s’écouter et se connaître toujours mieux :
L’indifférence, lorsqu’elle est utilisée sans excès, permet d’apprendre à mieux se connaître et surtout, savoir quand s’écouter. Comme pour l’exemple ci-dessus, l’indifférence permet de ne pas culpabiliser à tort en se choisissant. Car quoiqu’il arrive, vous restez votre compagnon de vie le plus fidèle.
Comment cultiver l’indifférence ?
Être responsable de soi-même :
La première chose à comprendre –et appliquer- dans sa vie c’est la responsabilité de soi. Car s’il est possible de compter sur ses amis ou sa famille, le plus souvent, on passe le temps en tête à tête avec soi. Vous êtes responsable de vos sentiments, de vos actions, de vos décisions. De votre tristesse comme de votre bonheur, et en cela, vous êtes une personne autonome et indépendante ! Alors n’ayez plus peur, et soyez votre propre étincelle pour lancer ce feu qu’est la vie ! Cela permet également de ne dépendre de personne d’autre, que ce soit dans le travail, dans les relations interpersonnelles ou encore dans vos besoins et envies.
Vivre le moment présent et accepte la réalité :
La vie, le corps humain, les événements, tout est cyclique. Autrement dit, si tout a un début, tout possède également une fin. Et le mieux, c’est encore de profiter pleinement du moment présent. Que celui-ci paraisse pénible ou se drape d’une joie incommensurable, il est essentiel de savourer les nuances qu’offre le présent. Alors n’ayez plus peur de vous détacher d’un passé réconfortant ou de vous éloigner quelques heures d’un futur prometteur ! Le présent est là, lui, et la réalité est souvent plus belle que ce que l’on redoute.
Votre liberté importe ; celle des autres aussi :
La liberté passe par une forme importante d’indépendance. Ce qui n’empêche cependant pas de pouvoir tisser des liens plus ou moins étroits avec d’autres personnes. L’amour est un sentiment qui se pratique au moins à deux personnes. Toutefois, l’indifférence intervient lorsque ces relations vous aspirent et que vous avez ce sentiment de responsabilité concernant la vie des autres (on ne parle évidemment pas des enfants, des personnes fragiles ou en danger immédiat). Il est donc important de conserver cette indépendance dans le plus de domaines possibles afin de ne pas devenir tributaire de quelconques obligations imaginaires. Il est possible d’en apprendre plus via cet article : l’indépendance, une nécessité ?
Accepter qu’il y ait parfois des adieux:
La vie se compose de rencontres et d’adieux. Si certains sont plus déchirants que d’autres, il est néanmoins important de se faire à l’idée qu’il n’y a que peu de personnes qui passent toute leur vie à notre côté. Que ce soit au niveau des différents êtres vivants qui croiseront votre route, des biens matériels ou encore de votre propre évolution, les adieux durent toujours puisqu’ils sont amenés à se répéter. Et si, au lieu d’y voir une fin, vous y voyiez le début d’une nouveauté qui se révèlera bientôt ?
En quelques mots…
L’indifférence est bien souvent perçue comme une notion péjorative et un sentiment qui s’avère blessant pour ceux qui la subissent. Qu’on y ait déjà fait face ou non, il est important de noter qu’elle n’est pas fondamentalement mauvaise. En effet, comme pour beaucoup de choses de la vie, il est surtout question d’équilibre. Et quelques grammes d’indifférence ne font pas de mal, surtout si cela est nécessaire à la recette de votre bien-être !
Il est néanmoins essentiel de bien choisir ses « batailles ». Il ne s’agit en aucun cas de justifier un mauvais comportement envers autrui, mais bel et bien d’un choix que vous faîtes : vous-mêmes. Vos besoins, votre vie, vos envies. Et parfois, ça fait du bien !
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances à mon cabinet , qui se situe au 87Bis avenue de Wagram 75017 Paris.
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Psychanalyse ou médecine alternative : les pour et contre
Depuis plusieurs années, le bien-être personnel est une notion clé de notre société. Les start-up montrent souvent l’exemple en permettant des conditions de travail qui font attention à l’humain, et offrent un cadre optimal. En parallèle, ce sont les médecines alternatives qui éclosent et se démocratisent de plus en plus auprès du grand public. On y trouve une voix de guérison, une attention portée au corps, à l’esprit et à l’émotionnel, et bien souvent, l’hypnose thérapeutique à Paris a des bienfaits par sa capacité de stabiliser le quotidien tout en l’éclairant un peu. Avant cela, le bien-être personnel se résumait bien souvent à se rendre chez un professionnel de santé mental, comme le psychologue ou dans une branche plus controversée, chez un psychanalyste.
Ces deux méthodes sont-elles complémentaires ? Quels sont les pour et les contre de chacune d’elles ? Qui aller voir pour prendre soin de vous ?
Pour y voir un peu plus clair…
Si certaines médecines alternatives renferment des savoirs millénaires, la psychanalyse est la première à avoir fait son apparition dans notre société. Le mot en lui-même prend vie sous la plume de Freud, en 1896, et désigne dans un premier temps l’exploration de l’inconscient. Assez rapidement, elle attire l’œil de milliers de médecins et devient une méthode à part entière – bien qu’elle peine à être reconnue comme une science. La psychanalyse consiste en effet en une « investigation des processus psychiques profonds de l’inconscient » mais peut également désigner le « traitement de troubles psychiques et psychosomatiques » selon Le Robert.
Les médecines alternatives se composent quant à elles de diverses méthodes. Ce qui est qualifié de médecine alternative se résume à toute méthode thérapeutique qui ne relève pas de la médecine traditionnelle. Pour exemple il est possible de citer : l’ostéopathie, l’hypnose pour la confiance en soi, la réflexologie (plantaire), l’aromathérapie, la sophrologie, l’acupuncture… etc. En France, les médecines dites parallèles, alternatives ou douces apparaissent dès 1960 avec la venue de l’ostéopathie –légalisée comme exercice en 2002, seulement !
Ainsi, les deux types de méthodes ont chacune leur passé, leur parcours ainsi que leurs caractéristiques.
Les points communs entre les deux types de méthodes
Dans leur pratique tout autant que dans les bienfaits qu’elles procurent, ces deux méthodes de soin ont quelques points communs au-delà de leur évidentes différences. Parmi eux, l’on retrouve :
Aide à évoluer :
La psychanalyse au même titre que les médecines alternatives permettent d’évoluer dans sa vie personnelle. En effet, les deux sciences –qu’elles soient reconnues ou placées en « marge- offrent la perspective d’une évolution tant dans son rapport à soi que dans le rapport aux autres. La psychanalyse agit directement sur la partie inconsciente du cerveau, en la reliant notamment à la partie consciente. Ainsi, l’individu peut retrouver un contrôle sur sa personne et sur les différents plans de sa vie. En médecine douce, certaines formes d’hypnose pour la confiance de soi ou l’estime de soi interviennent également sur l’inconscient et permettent à la personne d’évoluer sur des points qui pouvaient la « bloquer ». La psychanalyse comme les médecines alternatives permettent à la personne de pouvoir se soigner de manière complète et entière, ouvrant ainsi la porte à une évolution dans l’avenir proche.
Permet de délier des blocages (inconscients) :
Plus précisément, les deux méthodes permettent de soigner également des « blocages », que ceux-ci soient psychologiques ou physiques. La psychanalyse se concentrera davantage sur ce qui se loge dans la partie inconsciente du cerveau. Les médecines alternatives, quant à elles, pourront se compléter afin de débloquer un trouble physique (ostéopathie, réflexologie, danse thérapeutique …) tout autant qu’émotionnel (sophrologie, hypnose d’estime de soi pour battre le syndrome de l’imposteur …) ou psychique (thérapie nutritionnelle, hypnose, méditation…). Mais les deux méthodes permettent sans aucun doute de se libérer de blocages conscients ou inconscients, ce qui permet également à la personne d’évoluer de façon plus sereine et apaisée.
Apporte une forme de paix :
Que votre choix et vos besoins se portent sur une thérapie alternative ou une psychanalyse perçue comme étant plus traditionnelle elles sont toutes les deux efficaces. Les deux méthodes apportent une forme de paix à la personne qui en fait l’expérience. Cette paix intérieure résulte de la sensation de bien-être qui se manifeste lorsqu’on se fait soigner. Que ce soit à travers un petit geste au quotidien d’hypnose contre le stress, d’une douleur, ou encore le fait de prendre soin de son mental ou de son corps, les médecines alternatives tout autant que la psychanalyse portent en elles de nombreux bienfaits.
Souffle de la vitalité :
La psychanalyse rend à l’individu une forme de conscience plus aiguisée et alerte. Ainsi, la personne sera plus apte à aborder différentes situations dans sa vie, sans pour autant que cela n’ait d’impact « négatif » ou contraignant dans sa vie. Les médecines alternatives vont souvent de pair avec une énergie (reiki, énergie du souffle en sophrologie, méditation…). Il est alors possible de ressentir comme un nouveau souffle de vitalité courir sous sa peau.
Les « pour » de la psychanalyse
- Entrevoir ses désirs et ses pensées inconscients ;
- Vaincre ses blocages pour vivre mieux ;
- Évoluer ;
- Se connaître en profondeur :
- Rééquilibrer le conscient et l’inconscient pour une meilleure gestion au quotidien ;
- Soigner de possibles troubles (névrose, psychose… etc.).
Les « pour » des médecines alternatives
- Soulager les symptômes qui dérangent ou sont douloureux ;
- Rééquilibrer les fonctions vitales ;
- Entretenir la vitalité ;
- Apporter des méthodes de gestion du stress ou de l’angoisse à reproduire seul (méditation, sophrologie… etc.) ;
- Apaiser le système nerveux de manière naturelle.
Les « contre » de la psychanalyse
Malgré les nombreux « pour » en vertu de la psychanalyse, beaucoup de personnes peuvent être réticentes, car il y a également des « contre ». Selon les individus, ils peuvent être rédhibitoires.
- Non reconnue comme science car aléatoire selon le sujet ;
- Se base sur le vécu d’un sujet, ce qui peut être critiqué par d’autres professionnels de la médecine mentale ;
- Sa place dans les sciences psychiatriques est remise en cause car elle reste une technique libre et subjective.
Les « contre » des médecines alternatives
Tout comme la psychanalyse, les médecines alternatives sont elles aussi critiquées. Voici les « contre » qu’elles présentent le plus souvent :
- Non reconnues comme sciences mais comme « pseudosciences » ;
- Présence d’arnaques et de charlatans (« sorciers », magnétiseurs… etc.) ;
- L’absence de prescription médicamenteuse renvoie à un manque de « sérieux », de « crédibilité » ;
- Possibilité de pratiques sectaires dans les consciences collectives.
En quelques mots…
La psychanalyse tout comme les médecines alternatives présentent à la fois de nombreux bienfaits, tout en étant aussi source de quelques réserves. Si certains sont convaincus de l’efficacité de ces méthodes, d’autres préfèrent n’y avoir recours qu’en complément d’une médecine plus « traditionnelle ».
Pourtant la psychanalyse tout autant que les médecines douces peuvent se révéler être de réels outils pour le bien-être et un « mieux-vivre ». Proposant moi-même des séances d’hypnothérapie à Paris pour combattre l’échec, gagner confiance en soi ou faire face à une phobie, je prends grand soin de faire attention à la personne venue pour se faire aider. Et ces deux méthodes ont justement une approche souvent plus bienveillante et entière que la médecine traditionnelle, car elles prennent en compte la totalité de la personne et de son être, de son passé, de son état, de ses sentiments… etc.
Mais le meilleur moyen, c’est encore d’expérimenter soi-même… Je vous propose d’ailleurs des séances d’hypnose à mon cabinet, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
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J’organise également des retraites bien-être. Expérimentez un court séjour qui permet de se (re)découvrir pleinement, loin des tracas du quotidien.
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La réflexologie plantaire : explications et bienfaits
Existant depuis de nombreux siècles, la réflexologie plantaire permet de guérir et de prévenir différents troubles du corps humain. C’est une médecine alternative qui se base, comme son nom l’indique, sur les réflexes que le corps peut émettre lorsqu’il est sollicité. Cette médecine douce est depuis quelques années sous les feux des projecteurs, au même titre que la méditation ou la sophrologie. Mais alors qu’est-ce que la réflexologie plantaire exactement ? Quels bienfaits présente-t-elle ?
Origines de la réflexologie plantaire
Les premières origines de la réflexologie plantaire remonteraient à l’Antiquité. Cette technique manuelle de soins appartient aux médecines naturelles, dites aussi parallèles ou alternatives. Comme son nom l’indique, la réflexologie plantaire se concentre davantage sur les différents points des pieds, afin d’agir sur l’ensemble de l’organisme. À l’aide de points d’acupression et de massages, la réflexologie plantaire prend sa source directement dans l’art de la réflexologie.
La réflexologie plantaire, comment ça fonctionne ?
Bien plus qu’un massage des pieds, il y a, en réalité, différents points dans les pieds qui sont directement reliés aux organes ou à des fonctions du corps humain. Un toucher précis sur une des zones d’acupression permet de déterminer et percevoir un dysfonctionnement ou un trouble au niveau de l’un des organes ou encore des fonctions du corps humain.
Le travail du réflexologue permet de rétablir un équilibre dans le corps entier. En réflexologie, cet état est appelé homéostasie.
La réflexologie est un soin à part entière, qui permet de prévenir tout autant que de guérir certains déséquilibres liés au stress, à des problèmes familiaux ou encore à l’environnement dans lequel évolue le patient. C’est pourquoi il est important de bien communiquer sur sa situation pour que la réflexologie plantaire puisse être la plus efficace possible.
Les points importants en réflexologie plantaire
Parmi les points les plus importants de la réflexologie plantaire, l’on retrouve notamment :
- Sous le gros orteil : cet endroit correspond directement au cœur ;
- Sous les petits orteils : cette zone est directement en lien avec les poumons ;
- Sur l’extérieur du pied : c’est le point d’acupression en lien avec la rate ;
- Tout en bas, à la limite du talon : c’est le lien avec la vessie ;
- Sous le plat du pied : les réflexes plantaires relient cette zone avec l’estomac ;
- Au-dessous de l’estomac : le point d’acupression du pancréas prend place.
Ces zones sont présentes sur les deux pieds, en totale symétrie. Il y a également des points d’acupression qui ne se présentent que sur l’un des deux pieds. De même, le pied gauche et le pied droit sont chacun reliés aux conséquences des événements passés qui se sont déroulés en lien avec des figures féminines ou masculines.
Les bienfaits de la réflexologie plantaire
La pratique régulière –ou occasionnelle- de la réflexologie plantaire présente de nombreux bienfaits, aussi bien physiques que psychiques. Il est cependant important de noter que la réflexologie plantaire ne représente en aucun cas une manière de se soigner totalement. Elle peut, en revanche, venir s’ajouter à un traitement médical déjà engagé.
- Aide en cas d’inflammation : tendinite, dorsalgie, torticolis, sciatique, arthrose mineure…etc. ;
- Régule le système hormonal : puberté, ménopause, diabète non insulinodépendant, tout ce qui est lié à la thyroïde…etc. ;
- Apaise le système cardiovasculaire : en cas de tachycardie, d’œdème de stase, ou d’hypertension artérielle mineure ;
- Agit sur le système ORL : otite, sinusite, bronchite, asthme… ;
- Réduit les perturbations des organes des sens : vertiges, acouphènes, trouble oculomoteur ;
- Apaise les troubles récurrents : migraines, céphalées de tensions, stress, anxiété ;
- Diminue les irrégularités de la peau : eczéma, acné, psoriasis.
Il est aussi à noter que la réflexologie plantaire nécessite parfois plusieurs séances consécutives mais espacées afin de venir à bout d’un trouble dans le corps.
De manière plus générale, la réflexologie plantaire permet de :
- Apaiser les tensions présentes dans le corps ;
- Délier les tensions nerveuses ;
- Soulager les tensions du dos ;
- Améliorer la circulation sanguine de manière générale ;
- Entraîner un état de détente et de sérénité ;
- Activer le système lymphatique dans le corps ;
- Décontracter les muscles et soulager les courbatures.
Et les bienfaits peuvent également être psychiques :
- Libérer du stress ;
- Soulager les tensions qui peuvent être présentes ;
- Apporter une décontraction mentale grâce à un moment de bien-être ;
- Permettre d’évacuer les émotions négatives en « nettoyant » le corps des émotions négatives et destructives.
Y a-t-il des contre indications ?
Bien qu’il s’agisse d’une médecine douce, la réflexologie plantaire peut toutefois présenter quelques contre indications. Le massage réflexologique s’effectuant sur les pieds, en cas de blessure au pied, il vaut mieux éviter d’avoir recours à cette alternative. Pour les personnes ayant une entorse, une thrombose, des soucis de circulation tels que la phlébite, il est recommandé d’éviter les séances de réflexologie.
Dans le cas où votre réflexologue vous suit depuis longtemps, et que vous souhaitez tout de même y aller, il est d’autant plus important de tout lui dire avant le début de la séance. Et pour cause, les séances peuvent s’avérer plus ou moins intenses selon les sensibilités des personnes.
Enfin, les femmes enceintes ne peuvent pas avoir recours à la réflexologie. Tout au moins, cela est très déconseillé, car la pratique réflexologique pourrait déclencher une fausse couche.
En quelques mots…
La réflexologie plantaire est une pratique douce et alternative à la médecine traditionnelle. Existant depuis l’Antiquité, elle permet de réguler les troubles que le corps subit parfois pour x ou y raisons. Les pieds recèlent de secrets, et les réflexologues vous les révèlent avec douceur et bienveillance. En permettant de ne pas contaminer le corps entier en déliant les fonctions du corps humain via les pieds.
S’il y a quelques contre indications, la réflexologie plantaire couvre cependant un grand nombre de maux, qu’ils soient psychiques ou physiques. Elle porte dans sa pratique de nombreux bienfaits pour les personnes qui ont recours à elle.
Prendre soin de soi est essentiel. Personne ne le fera à votre place, aussi il est important de pouvoir identifier ses besoins afin de les combler. Avoir recours à des médecines douces est souvent une première étape vers le bien-être total. Vous pensez à vous, et vous acceptez de prendre du temps pour vous. Et c’est plus que conseillé !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (comme le drainage lymphatique). Je serais ravie de contribuer à votre bien-être et de vous apporter mon aide dans la libération de certaines habitudes nocives.
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Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et pour aller plus loin dans le bien-être, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de se (re)découvrir. Loin des soucis du quotidien et du tracas qu’il peut causer, prenez le temps de souffler et de vous apprendre en étant au plus proche de la nature.
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Techniques pour reposer son système nerveux
Le système nerveux est sûrement l’un des plus complexes du corps humain. À la façon d’une autoroute électrique, il se déploie et s’étend dans le corps. Il coordonne les gestes, régit les fonctions du corps et se subdivise en plusieurs catégories différentes. Directement en lien avec le cerveau, il subit le moindre changement d’humeur, le moindre souci de santé de plein fouet. Le stress est l’une de ses grandes conséquences, tout comme l’anxiété qui entraine des crises angoisses gérées par de l’hypnose contre le stress, par exemple. Il est donc important de prendre soin de son système nerveux, et comme pour beaucoup de soins, ça passe aussi –et surtout !- à travers le repos. Alors comment reposer son système nerveux, et pourquoi ?
Le système nerveux en détails
Le système nerveux du corps est l’un des plus complexes et délicats. Et pour cause, il se situe dans tout le corps humain. Afin de mieux le comprendre et de percevoir ses fonctions, il a été divisé en plusieurs parties.
- Le cerveau et la moelle épinière forment le système nerveux central.
- Les nerfs et les organes sensoriels forment le système nerveux périphérique.
Ces deux formes sont complémentaires mais parviennent à être mieux étudiées séparément tant le système nerveux est complexe et important. De plus, à la manière d’un rouage, le corps est entièrement relié. Un système nerveux en mauvaise santé induit bien souvent de plus graves problèmes…
Tout est d’ailleurs détaillé dans l’article traitant de l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien !
Pourquoi reposer le système nerveux ?
Il est important de noter que malgré la distinction de ces systèmes, ils sont toutefois complémentaires. Prendre soin du système nerveux est essentiel car il est relié à toutes les fonctions du corps humain. Autrement dit, si le système nerveux n’est pas en bonne santé ou suffisamment reposé, comme pour toute autre fonction du corps, il va pâtir de cette fatigue et commencer à « dérailler ».
Et cela est susceptible de se répercuter sur n’importe quelle autre fonction du corps humain. C’est pourquoi il est essentiel de reposer son système nerveux et d’en prendre soin.
Ce qui peut impacter le système nerveux
Eh bien, en réalité, tout peut impacter le cerveau ! C’est un organe fragile et surtout très, très sensible. Autrement dit, certains jeux vidéo pourront entraîner des dommages sur le cerveau (épilepsie par exemple) tout aussi bien que des bruits beaucoup trop sonores en ville. Et par extension, ce qui agit sur le cerveau se répercute également sur le système nerveux.
Ainsi, parmi les éléments qui peuvent impacter le cerveau et donc le système nerveux, l’on retrouve notamment :
- La fatigue ;
- Sous alimentation (entraînant une baisse de tension) ;
- L’effet de l’alcool ou des drogues sur le cerveau;
- Un mauvais sommeil, qui peut être vaincu avec une séance d’hypnose pour dormir qui réduit les AVC;
- Les écrans ;
- Le stress et l’anxiété ;
- Troubles neurologiques héréditaires.
Il est important de veiller à avoir un quotidien le plus équilibré possible afin que le système nerveux ne pâtisse pas trop de tous ces effets. De même, écouter son corps et les besoins qu’il communique est primordial pour être en bonne santé et bien dans sa tête !
Tips pour reposer le système nerveux
Une alimentation équilibrée :
Comme pour beaucoup de choses, le repos du système nerveux peut également se faire à travers une alimentation équilibrée. Et pour cause, celle-ci permet au corps et au cerveau d’avoir les ressources nécessaires pour fonctionner de manière optimale. Plus précisément, il est important de privilégier les aliments naturels et de saison, car un aliment qui a été traité apportera moins de nutriments et d’énergie.
Compléments naturels pour le système nerveux :
Les compléments naturels permettent de mettre en exergue une petite carence et de la rectifier relativement rapidement. Le corps et l’esprit retrouvent alors leur équilibre. Pour le système nerveux, il est possible de privilégier les germes de blé, le magnésium ou encore la levure de bière.
Une activité physique régulière :
Là encore, si cet argument est souvent avancé, c’est qu’il est important. L’activité physique (même une petite marche !) est privilégiée pour l’équilibre et la bonne santé du corps et de l’esprit. Concernant le système nerveux, l’exercice va permettre d’alléger l’esprit, de libérer des endorphines et de se sentir bien physiquement. Aussi, l’hypnose à Paris pour faire un sport qui vous plait, peut endiguer les problèmes d’insomnie en apaisant le système nerveux dans son ensemble.
Avoir un contact avec la nature :
Souvent relaxante, cette activité est de plus en plus mise en avant pour le bien-être des êtres humains. En effet, comme de l’hypnose contre le stress la force de la nature agit sur le bien-être, elle permet de se concentrer sur le moment présent, d’apaiser les tensions issues des tracas quotidiens… En bref, elle offre un nouveau souffle au corps et à l’esprit !
Éviter le stress en trop grande quantité :
Il est également important d’éviter le stress au maximum afin de ne pas faire jouer le système nerveux. En effet, il est directement impacté par les hormones et donc celles de stress qui peuvent rapidement dérégler certains aspects du système nerveux ou du corps humain. Plus facile à dire qu’à faire me direz-vous… Et si au lieu d’éviter le stress, vous appreniez à vous en défaire ? Il existe de nombreux gestes au quotidien d’hypnose contre le stress.
Prendre du temps pour soi :
Eh oui, parfois il faut savoir se montrer égoïste ! C’est choisir d’écouter son corps lorsque cela s’impose, et de ne pas outrepasser les limites de ce que vous êtes capable de faire. Le système nerveux ressent tout ce que vous ressentez. Aussi, le protéger, le soigner et en prendre soin, c’est donc faire la même chose avec vous !
En quelques mots…
Le système nerveux est l’un des plus complexes et des plus délicats du corps humain. Souvent, dans le bien-être, on oublie d’en prendre soin. Pourtant, il est primordial de se souvenir de sa présence tant il permet au corps son bon fonctionnement. Étant relié avec toutes les fonctions du corps humain, tant qu’il va bien tout va bien !
Pour le soigner, pas besoin de tours de magie ou d’un investissement hors normes. Tout repose, en réalité, sur un rythme de vie sain et des habitudes équilibrées. Le corps a besoin de ses cycles, de ses petites habitudes, et surtout, d’être chouchouté parfois !
Vous avez maintenant toutes les clefs en main pour prendre soin de votre système nerveux et le reposer. De même, n’hésitez pas à prendre du temps pour vous, pour votre corps et votre esprit. Ils sont les compagnons fidèles de votre vie !
Et si vous souhaitez expérimenter de nouvelles choses, je propose des séances de soins thérapeutiques du visage et du corps (drainage lymphatique). De même, étant hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose aussi des séances d’hypnose.
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Secrets de personnes centenaires : quelle hygiène de vie ont-elles adopté ?
Depuis des décennies, l’espérance de vie n’a de cesse de croître. Plus encore, les gens vivent non seulement plus longtemps, mais leur santé s’améliore également. En France ou autour du globe terrestre, les études de centenaires en bonne santé se multiplient pour tenter de percer leur secret. Après tout, qui ne veut pas vivre longtemps en étant en bonne santé ? Voici les secrets de vie des personnes centenaires.
Les personnes centenaires
Les personnes centenaires sont de plus en plus nombreuses partout dans le monde. Avec les progrès de la médecine et un style de vie dit sain, il est alors envisageable de vivre de plus en plus longtemps. Une personne centenaire est un individu ayant cent ans ou plus. Si cela peut paraître beaucoup, pour certains, c’est un réel désir de vivre si longtemps.
C’est au Japon que l’on compte le plus de personnes centenaires (0,062% des personnes ont cent ans ou plus). En Uruguay aussi, la population de cent ans ou plus est également importante puisqu’elle s’élève à 0,061% en 2020 (selon Statista).
En France, 0,030% de la population a cent ans ou plus, ce qui est déjà un chiffre important. Toutefois, ces chiffres ne parlent en aucun cas de la santé physique ou mentale des personnes de cet âge-là. Ces chiffres sont donc à prendre avec ces pincettes !
Alors y a-t-il une formule secrète pour vivre plus longtemps ? Et si oui, quelle est-elle ?
L’importance de l’hygiène de vie
On le voit partout, on le répète tout le temps… un mode de vie sain est essentiel pour préserver sa santé. Alors comment se traduit une « bonne » hygiène de vie ? L’hygiène de vie passe à travers différents éléments du quotidien. Une bonne hygiène de vie suppose un quotidien équilibré, une vie sociale entretenue, et plus simplement, une existence plaisante sans excès.
L’alimentation :
Il y a cent ans ou plus, les personnes ne mangeaient pas toujours bio ou local… tout simplement parce que parfois, elles n’en avaient pas le choix ! Alors certes, les agriculteurs pouvaient bénéficier de quelques produits qu’ils avaient directement, mais tout n’était pas évident. De plus, les centenaires affirment qu’avec un régime alimentaire proche de celui méditerranéen, il est possible de vivre plus longtemps. En effet, celui-ci est composé d’acides gras mono-saturés, d’oméga 3, de vitamines C et E, ainsi que de beaucoup d’antioxydants.
L’activité physique :
Comme les publicités le préconisent, l’activité physique pratiquée régulièrement est importante. Et c’est le cas ! Il y a cent ans, les transports en commun étaient beaucoup plus rares ou ne couvraient pas toutes les zones, surtout dans les campagnes. Ainsi, les populations se sont habituées à se déplacer à pieds ou à vélo. De même, les travaux physiques étaient plus importants en l’absence de certaines machines créés depuis. Pour rappel, une activité physique régulière permet d’entretenir le cœur tout en stimulant le système immunitaire. Et il est toujours plus facile d’aimer le sport en faisant un sport qui nous plaît grâce à l’hypnose à Paris !
Un bon sommeil :
Comment bien dormir ? C’est une question que l’on se pose tous au lendemain d’une terrible insomnie. Et pour cause, un bon cycle de sommeil permet au cœur et au cerveau de se reposer suffisamment pour pouvoir être en forme. Mais c’est surtout dans le cerveau que ses effets se ressentent. En effet, un bon sommeil permet notamment une meilleure concentration, la réflexion…etc. Le sommeil a également un impact important et direct sur l’état de santé d’un individu. Par exemple, pour les maladies cardiovasculaires : des séances d’hypnose pour dormir mieux peut réduire le risque d’AVC.
Exercer le cerveau :
Il est également important de bien exercer son cerveau tout au long de sa vie, que ce soit à travers des jeux de sociétés, des mots croisés, de la lecture ou un scrabble, activités qui entretiennent toutes les capacités cognitives de l’individu. Longtemps négligées, ces activités reviennent peu à peu dans nos quotidiens ! Il est également important de souligner qu’avec la présence des appareils numériques, il est parfois plus délicat de se concentrer ou de s’amuser. N’hésitez pas à aller voir quels sont alors les bienfaits d’une digital detox !
Le facteur socio-économique
Un autre facteur qui intervient directement dans la longévité de la vie, c’est aussi l’accès aux soins. En France, nous bénéficions d’un système de santé relativement avantageux. Cela permet de pouvoir mieux se faire soigner qu’il y a un siècle. De plus, les progrès de la médecine sont assez rapides et de plus en plus précis.
De nos jours, il est rare qu’une blessure traine dans le temps et que tout le corps se dérègle ensuite parce que cette blessure n’a jamais été réparée. Désormais, l’on sait que tout le corps est lié, telle une carte routière. Et cela permet également de pouvoir vivre plus longtemps, et surtout, en meilleure santé !
… Sans oublier le poids de la génétique !
Un dernier facteur est à prendre en compte dans la longévité de l’espérance de vie… la génétique. Et pour cause, des personnes ayant des antécédents médicaux importants tels que des cancers, des maladies cardiovasculaires ou encore des maladies mentales, risquent davantage de souffrir eux aussi de ces maladies.
Si la génétique ne détermine cependant pas la vie de tout à chacun, dans le cas de l’espérance de vie, elle intervient à hauteur de 25% dans la longévité de vie d’un individu.
La santé mentale à ne pas négliger
Depuis de nombreuses années maintenant, la santé mentale est mise en avant et son importance, de plus en plus reconnue. Parce qu’une santé mentale qui tangue, ça peut, à terme, avoir des répercussions importantes sur le corps. Le stress en est sûrement l’une des preuves les plus parlantes ! Heureusement, il est possible de faire de l’hypnose contre le stress par de petits gestes au quotidien.
Enfin, les liens sociaux ont également une importance capitale sur la santé. Il est important d’entretenir de bonnes relations avec son entourage –quel qu’il soit, famille, amis, collègues…-, afin de favoriser le bien-être mental. Créer des liens, c’est aussi une belle façon d’exister, d’apprendre, de grandir et de s’épanouir.
En quelques mots…
Ainsi, il existe de nombreux « secrets » pour vivre une existence plus longue et saine. Mais en réalité, ces secrets n’en sont pas vraiment. Parfois, il suffit de vivre plus simplement, de se détacher des petits tracas qui nous aspirent malgré nous. Le plus important reste de trouver son propre équilibre, et de vivre paisiblement. Et ce, peu importe que cela passe à travers les bienfaits du rire, le polyamour, le travail agricole, le vélo du dimanche, les soirées sur la plage ou dans un verre de thé matcha… Après tout, on n’a qu’une vie !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris, et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques du corps et du visage. Et parce que parfois, on a besoin d’un coup de pouce pour retrouver l’équilibre de sa vie ou tout simplement se faire plaisir, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise aussi des retraites bien-être qui permettent de s’éloigner du quotidien pour se concentrer sur soi et le présent. Soi dans le présent.
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Comment et pourquoi cultiver le « flow » ?
La psychologie dite « positive » se démocratise de plus en plus. Mais c’est avant les années 2000 que la plupart des concepts de développement personnel et de psychologie positive ont émergés. Nous nous intéresserons ici au « flow », et à son importance dans la vie d’un individu. En effet, depuis la naissance de ce concept, il a été découvert qu’il pouvait s’appliquer tout aussi bien au quotidien d’une personne que dans la psychologie générale ou encore dans le domaine sportif. Alors qu’est-ce que le flow ? Comment le cultiver ? Et surtout, pourquoi s’y intéresser ?
Qu’est-ce que le flow ?
Ici, il ne s’agit pas d’étudier les nuances des musiques hip-hop. Car si le « flow » est davantage connu comme étant le rythme des paroles ou de la mélodie d’une chanson, c’est vers un autre flow que se porte l’attention aujourd’hui. Depuis quelques années, le bien-être prend une place importante, tant dans les sphères privées que sociales ou au travail. L’humain reprend sa place avant la productivité et tout ce que la société impose.
Le flow, ici, renvoie directement à un concept inventé par un psychologue hongrois, Mihaly Csikszentmihalyi. Tel qu’il l’entend, le flow se caractérise alors par un « état d’immersion totale qu’une personne peut ressentir quand elle est concentrée sur une activité particulière pour laquelle elle a beaucoup d’intérêt ou de motivation » (selon Edutechwiki). Le flow peut également être traduit par « être dans sa zone ».
Autrement dit, le flow, c’est ce qui désigne un état dans lequel se trouve une personne emportée dans une tâche quelconque pour laquelle elle a développé de la curiosité, de l’intérêt ou une passion. Cet état fait fi des distractions.
Mais quelle différence y a-t-il alors entre le flow et la concentration ?
La distinction entre le flow et la concentration
Selon Le Robert, la concentration se définit par le fait de « réunir dans un même lieu ». Mais lorsque l’on parle de concentration mentale, il s’agit alors d’allier des efforts et une forme d’attention sur un sujet, une tâche, une personne…etc.
La différence avec le flow est alors délicate. Car les deux concepts requièrent tous deux de l’attention et des efforts. La distinction est fine et réside principalement dans la motivation. En effet, la concentration d’une personne à propos d’un concept ou d’une tâche à accomplir n’entraîne pas forcément de la motivation envers le sujet de la concentration. Le flow, quant à lui, s’il réunit également des efforts mentaux et de l’attention, possède cette particularité de créer une forme de motivation chez la personne qui l’expérimente.
Pourquoi cultiver le flow ?
Si certaines personnes voient directement dans la pratique du flow une forme de méditation et une source de bonheur, pour d’autres, le concept peut rester flou… Alors tentons d’expliquer ! Pourquoi vouloir cultiver le flow ?
Expérimenter le flow, c’est se retrouver dans un état de bonheur et de dévotion envers la tâche que l’on accomplit. Parfois, cet état est si intense que l’on en oublie la faim, la soif, les tracas du quotidien et surtout ce qui se passe tout autour de nous. Le flow, c’est atteindre un niveau de plénitude à travers l’accomplissement d’une tâche, en s’isolant peu à peu du monde qui nous entoure.
Si pour certains, cela se traduit à travers l’expérience d’un sport, de la musique, de la peinture ou en présence d’un ami cher, pour d’autres ce sera au moment de marcher seul ou de passer l’aspirateur. Il n’y a pas de tâche prédéfinie dans laquelle s’épanouir : ça dépend de chaque personne.
À terme, cultiver le flow permet notamment de :
Augmenter sa productivité et son attention :
Le fait de ne se concentrer que sur une tâche sans souffrir de « pensées parasites » permet d’augmenter sa productivité et son attention en apprenant à se concentrer sur une chose à la fois.
Améliorer sa créativité :
Le flow permet d’améliorer sa créativité. De la même façon qu’il n’y a pas de pensées extérieures qui viennent interrompre la réflexion, le cerveau consacre alors toutes ses ressources à la tâche en cours.
Booster sa motivation :
Puisque la productivité augmente en ne faisant qu’une tâche à la fois, il est alors plus motivant de se lancer dans de nouveaux projets : vous savez à l’avance que vous serez capable de vous investir dans ce projet ou cette tâche et pourrez user du flow : c’est un cercle vertueux !
Se comprendre :
Le fait de ne se consacrer qu’à une seule et unique tâche en y investissant toutes ces capacités, ça permet aussi de se comprendre. Vous employez désormais les ressources nécessaires pour pouvoir vous concentrer sur vous, vos réactions, vos réflexions et votre personne entière dans l’accomplissement d’une tâche. Il est alors plus aisé de s’appréhender, de se comprendre dans ces situations.
Les conditions de Mihaly Csikszentmihalyi
Le créateur du flow a réuni sept conditions selon lesquelles une personne peut être sûre et certaine d’avoir atteint le flow.
- Être totalement concentré et engagé dans la tâche à accomplir ;
- Ressentir le sentiment d’être coupé de la réalité, avoir l’impression d’être dans une bulle ;
- Avoir l’esprit clair et conscience de ce que l’on fait et de la manière dont on le fait ;
- Prendre conscience que la tâche est réalisable, même si elle est difficile ;
- Ressentir la sérénité et être libéré de ses inquiétudes ;
- Être dans le moment présent ;
- Ressentir une motivation intense, avoir le sentiment que la tâche qu’on accomplit a du sens.
Si vous ressentez toutes ces choses, vous pouvez alors profiter pleinement du moment de vie qui va suivre : cela signifiera que vous avez atteint un état de flow total. Il ne vous reste alors plus qu’à vous laisser aller à ses bienfaits !
Comment cultiver le flow ?
Ressentir le flow ne se fait pas du premier coup. En effet, comme pour tout, il faut de l’entraînement, de la motivation et une bonne dose de courage ! Mais voici quelques petites astuces qui peuvent permettre d’atteindre le flow :
Se concentrer sur une tâche à la fois :
Il faut en premier lieu établir quelle tâche vous souhaitez accomplir. L’apprentissage d’une nouvelle méthode de tricot ? La rédaction d’un rapport pour le travail ? La répétition d’un morceau de musique de votre enfance ? Quoique ce soit, il est essentiel de le déterminer avant de se lancer. Vous conditionnez ainsi votre cerveau à rester entièrement concentré sur votre objectif. On n’hésite d’ailleurs pas à couper son téléphone et mettre les appareils en silencieux ! Cela aura les mêmes effets qu’une digital detox.
Choisir son moment :
Pour tout le monde, il y a des moments de la journée où vous êtes plus ou moins productif, réveillé, en forme et motivé. Il est important d’identifier le moment de la journée durant lequel vous êtes le plus à même de vous investir pleinement dans une tâche.
Faire le vide de ses émotions :
Autre détail important avant de commencer, c’est de permettre aux émotions qui vous assaillent d’être libérées. Si vous commencez une tâche en étant en colère ou bien triste, par exemple, il y a peu de chances que vous parveniez au flow. Prenez de grandes inspirations, et libérez-vous de vos émotions avant de vous lancer !
Agir avec modération et raison :
Le flow peut rapidement devenir un moment que l’on veut reproduire à tout prix. Toutefois, il est important de conserver ces instants de façon régulière ou ponctuelle. Le bien-être ressenti durant le flow peut déclencher une véritable envie de se dépasser ou d’en faire toujours plus, parfois au détriment des autres aspects de la vie (amoureux, social, travail…etc.). Agissez avec modération, ça n’en sera que meilleur !
En quelques mots…
Le flow est ainsi une méthode qui permet de se focaliser sur une seule et unique tâche, mais de façon entière et pleine. Porteur de nombreux bienfaits, le flow permet de se comprendre et de se sentir complètement immergé dans la tâche que l’on accomplit. Le flow tient une importance capitale dans la psychologie générale autant que dans le développement personnel. Car qui parvient à trouver le flow et la manière de s’y investir parvient aussi à occulter tout le reste.
Et pour vous aider à vous débarrasser de certaines émotions qui peuvent vous empêcher de vous consacrer au flow, vous pouvez notamment faire appel à diverses méthodes de médecine douce, comme la méditation, la sophrologie ou encore l’hypnose.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique).
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De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des tracas quotidiens, embarquez pour un séjour au plus proche de la nature et de vous-même.
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Ce qu’il se passe dans le cerveau quand on est sous drogues
Le message de prévention est pourtant clair : la drogue détruit la personne qui la consomme. Pourtant, de nombreuses personnes se retrouvent sous son joug, subissant les ravages qu’elle peut causer. Car la drogue peut avoir de graves effets sur la santé physique et mentale. Les effets qu’ont les drogues sur le cerveau en particulier peuvent devenir très inquiétants. Mais que se passe-t-il alors dans le cerveau lorsqu’il est sous drogue, tant sur le long que sur le court terme ? Comment reconnaître l’addiction ?
Qu’est-ce qu’une drogue exactement ?
Lorsque l’on parle de drogue, certains pensent à quelques lignes droites sur un miroir, à une cuillère et une aiguille, ou encore des champignons à l’aspect douteux… Mais il existe tant et tant de drogues différentes qu’il est parfois difficile de s’y retrouver.
Mais la drogue, qu’est-ce que c’est exactement ?
Selon le site officiel du gouvernement, la drogue est une « substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central ou qui modifie les états de conscience ». Les drogues sont multiples et variées, il en existe tant. Cependant, il faut toutefois noter que toutes n’ont pas les mêmes effets.
En effet, on distingue les drogues en diverses catégories :
- Les drogues qui produisent un sentiment d’apaisement (opiacés, cannabis…) ;
- Les drogues qui stimulent (cocaïne, ecstasy ou amphétamines…) ;
- Les drogues qui provoquent des hallucinations (LSD, champignons…).
Ainsi, les drogues produisent chacune des effets sur le cerveau et le corps du consommateur. Mais il faut noter une dernière chose importante. Si la plupart des drogues sont illicites et vendues dans le secret des rues, d’autres drogues sont toutefois très licites, et il est possible de s’en procurer simplement dans le commerce, comme c’est le cas pour l’alcool ou la nicotine.
Enfin, la drogue créé bien souvent une relation de dépendance entre le consommateur et le produit qu’il consomme. Selon les drogues cette notion peut varier et mettre plus ou moins de temps à se manifester. Mais à terme, la drogue rend dépendant n’importe qui voulant y toucher un jour et recommençant.
Les effets de la drogue sur le cerveau
Les effets de la drogue sur le cerveau sont nombreux et, selon la drogue consommée, plus ou moins destructeurs. Parce que les produits contenus dans certaines drogues peuvent avoir de graves effets sur le cerveau au fil du temps. Les facultés et fonctions cérébrales s’en retrouvent parfois très atteintes, et il n’est pas toujours possible de les recouvrer une fois sevré. Parmi ces effets, l’on trouve :
Altération de la mémoire :
Parmi les premiers effets qu’il est possible de constater lorsque l’on consomme de la drogue, il y a une altération de la mémoire et de la concentration. Et pour cause, certaines drogues accélèrent le fonctionnement du corps humain, poussant le cerveau à « carburer » très rapidement. Mais très vite, c’est la mémoire qui s’en retrouve altérée, et de plus en plus de trous de mémoires viennent parasiter la vie quotidienne. De même pour la concentration qui devient de plus en plus difficile. Il y a une drogue en particulier qui est réputée pour les problèmes de mémoires qu’elle entraîne. Il s’agit du cannabis, qui s’il est consommé trop souvent et en trop grande quantité, peut causer des dommages sur les capacités mnésiques et cognitives d’un individu.
Mémoire à court terme :
Plus exactement, c’est la mémoire à court terme qui risque de se retrouver altérée. En effet, les symptômes deviennent courants, comme les trous de mémoire et les difficultés à apprendre de nouvelles choses. Pourtant, le cannabis n’est pas la seule drogue néfaste pour la mémoire. L’ecstasy peut également causer de graves séquelles, jusqu’à réduire de 10% l’hippocampe, qui est le centre de la mémoire dans le cerveau. Enfin, de manière plus générale et concernant toutes les drogues confondues, les troubles de la mémoire peuvent survenir dans les jours qui suivent la consommation de n’importe quelle drogue.
L’influence de la dopamine :
L’un des principaux effets de la drogue est la production de la dopamine. La dopamine est considérée comme l’hormone du plaisir et est assez instantanée dans les effets qu’elle permet de ressentir (apaisement, joie, plaisir). Sauf que la drogue ne libère pas vraiment de la dopamine : elle en produit de manière artificielle. C’est notamment ce qui est responsable de la dépendance qui se créé entre le produit et le consommateur. Ce dernier va chercher à créer toujours plus de dopamine, sans avoir pour autant conscience que tout cela est totalement artificiel. Autrement dit, l’individu qui prend de la drogue se sent immédiatement bien et apaisé, et il va chercher à reproduire ce sentiment de bien-être en consommant toujours plus. À noter toutefois que le sentiment de dépendance que créé la dopamine ne s’applique pas seulement aux drogues, mais à toutes les formes d’addiction (jeux, alcool, nourriture, sexe…etc.).
Risques cardiovasculaires :
Dans les pires des cas, la drogue peut également avoir des conséquences corporelles beaucoup plus importantes. C’est le cas lorsque les drogues permettent la production d’hormones (qui ne sont alors, comme la dopamine, pas naturelles), et entraîner des maladies comme de l’hypertension ou une vasoconstriction des vaisseaux sanguins, soit un empêchement qu’ils soient oxygénés de manière correcte.
Maladies mentales :
Enfin, à toutes doses et consommées dans toutes les périodes de temps, les drogues peuvent également être à l’origine de maladies mentales. Parmi elles, des cas de schizophrénie, de paranoïa et de psychose ont déjà été observés.
Changements émotionnels :
Que ce soit à cause de la production d’hormones dans le corps ou bien l’absence de la dopamine (sensation de manque), les drogues ont également des conséquences sur les émotions des individus qui en consomment. L’agressivité, l’irritabilité, la colère peuvent alors se manifester de façon aléatoire et irrégulière.
Ainsi, en plus de détruire les neurones présents dans le cerveau, les drogues présentent plein de conséquences qui peuvent être très grave. À terme, la plus grave des conséquences est une overdose causant la mort du consommateur. Il est important de rester vigilant et surtout, de se faire aider au plus vite.
Se débarrasser de l’addiction
Les drogues causent de nombreux dommages au fil du temps. Plus la consommation s’étend dans le temps, et plus le consommateur risque de perdre le contrôle de son cerveau mais aussi de lui-même. En cause, les produits chimiques de certaines drogues ou les effets d’autres drogues (dites naturelles car non modifiées) sur le cerveau. Pour se débarrasser de l’addiction, il ne faut pas hésiter à se tourner vers des professionnels, comme des médecins qui peuvent vous guider. L’hypnose peut par ailleurs vous venir en aide, notamment en vous aidant à vous débarrasser de mauvaises habitudes (cigarette ou alcool). Pour la consommation de drogues plus dures, il existe également des établissements qui permettent de se sevrer en étant entouré et accompagné. Il n’y a aussi de nombreux bienfaits à suivre une thérapie.
La consommation de drogues ayant des effets directs sur tout le système nerveux, il est important de savoir comment en prendre soin. N’hésitez pas à aller lire l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien.
En quelques mots…
Les drogues ont donc de nombreuses conséquences, tant sur la santé physique que mentale. Si ces paradis artificiels peuvent sembler attractifs, il est important de toujours garder la conscience de ce que l’on consomme et dans quelle quantité. L’addiction est souvent déjà présente avant que l’on ne le comprenne.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De plus, j’organise des retraites bien-être, qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature mais surtout loin des tracas du quotidien, vous pouvez venir vous ressourcer et en apprendre davantage sur vous-mêmes.
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Différences entre estime et confiance
La confiance en soi et l’estime de soi sont toutes les deux des atouts dans le développement personnel. Mais plus encore, c’est dans la connaissance de soi qu’elles interviennent particulièrement. La plupart des gens font l’amalgame l’une de l’autre. Étant toutes deux des moteurs importants dans l’épanouissement personnel et les divers accomplissements de la vie, elles peuvent souvent être confondues. Pourtant, elles renferment chacune de petites nuances qui les distinguent bel et bien. Zoom sur les différences entre l’estime (de soi) et la confiance (en soi).
Définir l’estime et la confiance
L’estime de soi, tout d’abord, se définit par la perception de sa valeur et de ses limites. Le plus souvent, l’estime de soi est synonyme de l’image que l’on possède de sa personne. En psychologie, l’estime de soi se caractérise par « l’attitude plus ou moins favorable envers soi-même, la manière dont on se considère, le respect que l’on se porte, et l’appréciation de sa propre valeur dans tel ou tel domaine ». L’estime de soi se fabrique durant l’enfance, selon si nos comportements et actions sont valorisés ou non.
Autrement dit, l’estime de soi est une notion qui s’acquiert et évolue tout au long de la vie selon si nos actions sont en accord avec nos valeurs ou non. Y compris dans l’échec, l’estime de soi peut rester positive si elle s’accorde à nos valeurs (ex : refuser de tricher à un examen alors qu’on n’a pas eu le temps de réviser suffisamment).
La confiance en soi, quant à elle, se définit par la capacité que l’on a d’accomplir une action malgré la présence de doutes. Autrement dit, c’est ce qui permet de croire suffisamment en soi et de connaître ses capacités pour accomplir une chose ou une autre. Ainsi, ce sentiment peut être renforcé avec de l’hypnose pour la confiance en soi pour prendre la parole en public, ou tout autre action qui semble insurmontable.
En psychologie, et selon le psychologue Jean Garneau, la confiance en soi se caractérise par « une prédiction réaliste et ponctuelle qu’on a les ressources nécessaires pour faire face à un genre particulier de situation ».
Ainsi, la confiance en soi se distingue légèrement de l’estime de soi par les nuances de leurs définitions. Mais plus encore, la façon dont elles agissent dans nos quotidiens permet également de les différencier.
Les différences entre l’estime et la confiance
La première différence notable entre l’estime et la confiance réside dans la perception des deux notions. En effet, l’estime de soi peut aisément être comparée à un sentiment, soit quelque chose de fluctuant et fluide sans empêcher à ce sentiment d’être réel et concret. Mais l’estime de soi se base sur les valeurs que l’on a reçues dès l’enfance. A contrario, la confiance en soi, si elle peut être ressentie, est un peu plus qu’un sentiment. En effet, le ressenti de la confiance en soi se situe davantage dans l’action.
Autre différence importante, le sentiment que procure l’estime de soi peut être permanent malgré quelques variations selon si on respecte les valeurs acquises ou non. En revanche, l’hypnose de confiance en soi pour se faire plaisir est beaucoup plus ponctuelle. Si le sentiment est également rassurant, la confiance en soi se ressent dans un instant T, la plupart du temps au moment de prendre une décision ou lors d’une situation précise et éphémère.
Enfin, une autre différence importante entre ces deux notions réside dans la façon qu’elles ont de se manifester. L’estime de soi peut augmenter ou diminuer selon si nos actions s’accordent à nos valeurs. La confiance en soi, quant à elle, est susceptible de varier selon les actions que l’on réalise, les succès que l’on rencontre ou les accomplissements que l’on vit.
Autrement dit, la confiance en soi peut être directement impactée par une situation ou un sentiment d’échec, là ou l’estime de soi n’en est pas forcément dépendante.
Les caractéristiques de l’une et l’autre
Si par de nombreux aspects, la confiance en soi et l’estime de soi se distinguent, il y a également des nuances dans ce qui caractérise chacune d’entre elles.
La confiance en soi se caractérise par :
- Capacité de dire NON ;
- Ne pas avoir peur de la solitude ;
- Bonne conscience de vos atouts et des domaines que vous ne maîtrisez pas ;
- Pas de difficulté à vous lancer dans l’action ;
- Vous parvenez à rapidement prendre des décisions ;
- Savoir profiter de vos succès ;
- Se sentir à l’aise dans les cercles sociaux (famille, amis…) ;
- Etre sincère n’effraie pas.
L’estime de soi se caractérise par :
- Connaître les valeurs qui ont de l’importance à vox yeux ;
- Savoir reconnaître ses limites et les accepter ;
- Parvenir à régler des problèmes rapidement ;
- Se sentir égal aux autres ;
- Pratiquer l’indifférence n’est pas une mauvaise chose et vous en avez conscience ;
- Accepter les compliments avec facilité ;
- Vous ne devez rien à personne, n’avez rien à prouver.
Telles sont les caractéristiques qui complètent chacune des notions. Si certains points peuvent se rejoindre parfois, il ne faut pas perdre de vue que l’estime de soi et la confiance en soi sont différentes malgré tout.
Tips pour améliorer la confiance en soi et l’estime de soi !
Afin de retravailler votre confiance en vous, il existe de nombreuses petites astuces. Parmi elles :
- Combattre l’échec avec de l’hypnothérapie à Paris ;
- Travailler sur vos points forts ;
- Etendre la zone de confort ;
- Ecouter son intuition ;
- Ne pas viser le perfectionnisme ;
- Accepter de ne pas pouvoir tout réussir ;
- Se lancer pour essayer et progresser.
Pour améliorer son estime de soi, il existe aussi quelques petits exercices et tips. Parmi eux :
- Se féliciter lors d’un petit succès comme d’un grand succès ;
- Cultiver les pensées positives ;
- Accepter les compliments, peu importe de qui ils viennent ;
- Eviter l’autocritique trop sévère ;
- Avoir des objectifs réalistes ;
- Eviter d’avoir trop d’attentes, les choses se font et se défont souvent ;
- Ne pas avoir peur de se lancer ;
- Se faire confiance.
Il est également possible de retrouver de l’estime de soi avec de l’hypnose après avoir subi une humiliation. Après tout, ni la confiance en soi, ni l’estime de soi ne sont éternelles et intouchables !
En quelques mots…
L’estime de soi et la confiance en soi possèdent ainsi de nombreuses différences. Outre la distinction fondamentale entre ces deux notions, il est possible de constater au moins un point commun entre elles. En effet, toutes les deux se cultivent en étant bienveillant avec soi-même. Sans bienveillance, il est beaucoup plus délicat de travailler sur soi et d’évoluer. De plus, ces deux notions consistent à finalement, se connaître à travers son propre regard.
La bienveillance peut d’ailleurs passer à travers de nombreux points, comme le fait de ne pas se dénigrer ou de prendre soin de soi. La méditation, l’hypnose ou le yoga sont également des outils adéquats qui permettent de se concentrer sur soi, de se libérer de ce qui bloque et d’évoluer.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, et des soins thérapeutiques pour le corps et l’esprit (drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise aussi des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des soucis du quotidien et du stress qu’ils peuvent causer, il est possible de se ressourcer pleinement.
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Comprendre son corps pour apprécier sa sexualité
La sexualité est un sujet complexe. Complètement subjective, la sexualité varie tout au long de la vie et peut porter dans son sillage quelques périodes plus complexes. En effet, outre la libido, la sexualité est bien souvent, pour les femmes davantage que pour les hommes, sujet à de nombreux complexes voire des blocages. Alors comment vivre une sexualité épanouie ? Il se pourrait bien que l’acceptation de soi et la célébration de son propre être puisse être la clé qui permettra de vivre et apprécier sa sexualité pleinement.
Comment fonctionne le désir dans le corps ?
Le désir, tout comme la sexualité dans sa globalité, est un concept très complexe. Pour certains, elle est semblable à une pulsion, pour d’autres, c’est un tourbillon d’émotions et de sensations qui se diffuse dans le corps.
Mais concrètement, c’est quoi le désir ? Et comment il se manifeste dans le corps ?
Le désir est la somme des sensations perçues par les sens. Cette somme n’est cependant pas sans conséquences, puisqu’elle déclenche à son tour une réaction chimique dans le cerveau. Le scientifique Bernard Sablonnière décrit les réactions des neurones au désir comme des « clés chimiques ». Autrement dit, ce sont différentes hormones qui sont libérées à tour de rôle dans l’esprit lorsque le désir naît.
Dopamine : activateur du désir.
Ocytocine : hormone de l’attachement.
Testostérone / œstrogène : associées de la libido.
Ce schéma se reproduit chaque fois que le désir se ressent par le corps. Mais les sens, qui ont perçu les premiers indices, ne s’arrêtent pas à cette simple tache ! Les yeux, l’ouïe, l’odorat ou le goût sont des parties intégrantes de la naissance du désir, mais également de sa continuité dans l’instant.
Le corps, outil important dans la sexualité
Enfin, le désir se traduit également par les ce que l’on appelle couramment les zones érogènes. Ce sont tous les endroits du corps qui sont susceptibles de faire durer le désir dans le corps et de l’accroître. Les zones érogènes peuvent varier d’une personne à l’autre (sexe, oreille, mains, nuque, cuisses…etc.). Ainsi, tout le corps est non seulement concerné par le désir, mais il en est également un outil principal.
Le corps étant l’un des outils principaux du plaisir sexuel, si on ne s’y sent pas à l’aise, l’accès à sa propre sexualité peut en être compromis. Il est alors important de trouver un équilibre entre acceptation de soi et sexualité épanouie. Plus vous vous sentirez à l’aise avec vous-mêmes, plus il vous sera aisée de vous dévoiler devant votre propre regard ou celui d’un.e partenaire.
Célébrer son corps au quotidien
Lorsqu’on évoque le fait de célébrer son corps, cela ne consiste pas à lui préparer une petite fête tous les matins avant de se remettre à la détester le reste de la journée. Célébrer son corps est un processus qui peut s’avérer long et sinueux, mais qui en vaut la peine. Parce qu’à bien y réfléchir, votre corps et votre esprit ne sont-ils pas les seuls qui vous accompagneront fidèlement tout au long de votre vie ? Alors il est temps de célébrer son corps !
Le corps est un miroir :
Eh oui ! Aussi étonnant que cela paraisse, le corps est bel et bien un miroir. Reflet de ce que l’on pense de soi ou de ce que l’on se fait subir, le corps nous rend au centuple ce qu’on lui accorde. Alors pourquoi ne pas se mettre à le cajoler plutôt que de l’abreuver de termes péjoratifs ? (pssst ! Les termes… il les comprend !) Peut-être est-il simplement temps de le célébrer, de le remercier, de le complimenter pour son accompagnement fidèle et constant.
Remercier son corps :
Lorsqu’on y pense, le corps est capable de tant et tant de choses, qu’il faudrait souvent le remercier ! Que ce soit après une journée d’escalade ou à la suite d’un accouchement, le corps nous soutient, nous accompagne, nous permet de nous dépasser et de repousser nos limites. Alors pourquoi attendre ? Merci de me supporter… littéralement !
Le corps change et grandit :
Même si la croissance du corps s’arrête plus tôt chez les filles que chez les garçons, le corps grandit quand même tout au long de la vie. Et parce qu’il garde profondément ancré en lui les blessures du passé mais aussi les victoires du présent, il ne faut pas lui en vouloir ! Le corps humain est le catalogue de nos expériences, un magnifique album vivant relatant notre parcours plus ou moins explicitement.
Nos corps sont différents :
Tous les corps sont uniques, et donc différents des autres. Et pourtant, ils restent tous des corps humains, beaux dans leur façon de vivre. Alors plus de raisons de se dénigrer, de se dévaloriser… le corps est un magnifique cadeau et la vie la plus belle des fêtes !
La sexualité, seul ou à plusieurs
Seul ou à plusieurs, les rapports sexuels peuvent parfois être intimidants. Et ce, d’autant plus lorsqu’on se dévalorise sans cesse ou que l’on ne se sent pas bien dans son corps. Si parfois, la sexualité peut permettre de s’apprécier davantage via le plaisir ressenti, le plus souvent, c’est l’inverse qui se produit : il faut se sentir bien pour mieux apprécier sa sexualité. Pour certaines personnes, il peut alors être plus simple de se familiariser avec ses propres désirs et son plaisir en étant d’abord seul.e. Tâtonnez, explorez, ressentez… Vous êtes le capitaine qui vogue sur l’océan, mais aussi le bateau qui ressent les vagues du plaisir et la mer qui caresse. Ce sont des moments précieux qui vous aideront à vous comprendre et vous percevoir dans le domaine du plaisir.
Comprendre son corps pour mieux vivre sa sexualité
En célébrant votre corps au quotidien, vous apprendrez jour après jour à vous aimer telle que vous êtes. Et cela s’en ressentira sur de nombreux aspects de votre vie, y compris votre vie sexuelle. Et avoir des complexes à la pelle, des idées peu valorisantes à son encontre, ça n’aide pas vraiment sur les chemins du plaisir.
Mais en vous valorisant à travers votre propre regard, vous prenez conscience de vos nombreux atouts et de votre potentiel en tant que femme. Au niveau de votre sexuelle, vous pourrez dire adieu aux complexes qui peuvent être sources de blocages. De même, vous vous sentirez beaucoup plus libérée avec un partenaire, ou même toute seule, dans l’intimité de votre propre amour de vous !
En quelques mots…
Autrement dit, aimez-vous et vous vivrez une sexualité beaucoup plus épanouie ! Inutile de faire semblant dans l’intimité d’une chambre, votre regard vous suit partout. Alors le mieux, c’est encore qu’il soit bienveillant et doux. Parce que toutes les femmes sont belles et que vous êtes la seule à pouvoir changer votre avis sur votre corps et votre personne.
Pour apprendre à célébrer son corps et l’apprécier davantage, il est également possible de faire appel aux médecines alternatives comme la réflexologie, le yoga –qui renforce le corps- ou encore le drainage lymphatique qui le soulage.
Je propose, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences, de soins thérapeutiques en plus de séances d’hypnose. Les soins thérapeutiques en question concernent le visage et le corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, je propose également des retraites bien-être, pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien, accordez-vous du temps et du repos pour vous comprendre toujours plus en profondeur.
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Avoir un enfant après 40 ans, c’est possible
La grossesse est un phénomène naturel. À travers les différentes époques, l’âge moyen pour avoir un enfant n’a fait que changer. Et si il y a deux ou trois générations de nous, les femmes avaient souvent leur premier enfant aux alentours de vingt ans, c’est plus rarement le cas de nos jours. On privilégie un temps de vie, on « profite » avant de se poser plus sérieusement et de penser à fonder une famille. Pour autant, y a-t-il une limite d’âge pour avoir un enfant ? Est-il possible d’avoir un enfant après quarante ans ? Et si oui, y a-t-il plus de risques pour la mère et l’enfant ?
Y a-t-il un âge pour faire des enfants ?
Il y a encore cinquante ans, nos grands-mères commençaient à procréer à l’âge de vingt ans, voire plus tôt. Au fil des époques, de manière plus générale, l’âge auquel les femmes avaient un enfant n’a cessé de se modifier. Et pour cause, tout cela dépend en réalité de nombreux paramètres sociétaux. En effet, on vivait moins longtemps ; absence de contraceptif comme le préservatif ; on avortait moins facilement, c’était plus douloureux… Tant et tant de paramètres sociaux qui agissaient de manière plus ou moins directe sur les femmes et le couple.
Ainsi, il n’y a pas à proprement parler « d’âge pour avoir un enfant ». Aucun âge ne fera d’une personne un meilleur parent. Toutes les époques ont dépendu d’un style de vie, d’une classe sociale, d’injonctions implicites et/ou de l’envie de devenir mère.
Des grossesses de plus en plus tardives
Avec l’avancée de la science et le rallongement de l’espérance de vie, de nos jours, les femmes se consacrent à la grossesse de plus en plus tard. En France, selon l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), en 1994, l’âge moyen des femmes à l’accouchement est de 28 ans et 8 mois. En 2021, ce chiffre est de 31,2. Autrement dit, l’âge moyen des femmes à l’accouchement n’a cessé de croître lors des 27 dernières années.
À quoi est due cette évolution ?
Outre les paramètres sociaux et médicaux qui permettent de vivre plus longtemps et de mieux se soigner, il s’agit surtout de comprendre ce subtil mélange entre besoin et envie de vivre sa vie avant de la donner. Autrement dit, les femmes préfèrent se consacrer à leur carrière, à des voyages, à leurs proches, avant de fonder leur propre famille.
Pour certaines femmes, ce besoin de maternité peut également ne jamais avoir lieu. C’est ce que l’on nomme les « childfree ». Elles décident de ne pas répondre de leur non-envie d’avoir un enfant, qu’importe les injonctions sociétales qui rappellent souvent que la femme est aussi une mère (alors que pas tout le temps !)
L’évolution de l’âge des femmes à l’accouchement se traduit donc par une confiance des femmes dans leur avenir, et surtout une volonté implacable de profiter de leur vie avant de se lancer dans la maternité.
Les différentes façons d’avoir un enfant après 40 ans
Si l’âge des grossesses recule, avoir un enfant après 40 ans devient également de moins en moins rare. Toutefois, cela comporte quelques contraintes, notamment si la fécondation ne peut pas se passer de façon traditionnelle.
En effet, les femmes de 40 ans et plus peuvent elles aussi se tourner vers des méthodes de PMA comme la FIV. Ce sont des méthodes souvent éprouvantes, tant physiquement que psychologiquement. N’hésitez pas à aller voir comment garder le moral pendant une PMA ! Néanmoins, les risques sont plus élevés, de même que le taux d’échec. Ce n’est pas impossible pour autant, et certaines femmes parviendront à tomber enceintes après 40 ans ! Mais il ne faut tout de même pas ignorer certains risques.
Les risques d’une grossesse après 40 ans
Ce que l’on appelle plus communément les « grossesses tardives » ne sont toutefois pas sans risques, tant pour le bébé que pour la mère. Et pour cause, au contraire des hommes, la période de fertilité chez les femmes s’arrête à la ménopause. Selon les chercheurs, la qualité ovarienne est optimale jusqu’à l’âge de 35 ans ; après, les chances de tomber enceinte se réduisent malgré la possibilité de pouvoir encore tomber enceinte puisque la ménopause n’est pas encore présente.
Mais pour les grossesses tardives, les risques semblent se multiplier au niveau de la santé. C’est notamment le cas concernant les fausses couches. Elles seraient en effet plus élevées après 30 ans. Le risque s’élève même, selon les médecins, à un pourcentage de 30% pour les personnes qui tomberaient enceintes entre 40 et 44 ans. Ce taux grimperait à 40% de chances de fausse couche pour les personnes qui tomberaient enceinte entre 45 et 49 ans.
Parmi les autres risques existants pour la maman, l’on trouve :
- Diabète gestationnel ;
- Hématome rétro placentaire ;
- Hémorragie de la délivrance ;
- Hypertension artérielle ;
- Mortalité maternelle ;
- Placenta praevia (implantation du placenta à proximité de l’orifice interne du col).
Pour le bébé aussi, les risques existent :
- Anomalie chromosomique (concernant en particulier la trisomie 21) ;
- Macrosme (bébé de + de 4kg) ;
- Malformations congénitales ;
- Prématurité ;
- Retard de croissance in utero (RCIU).
Les avantages d’une grossesse tardive !
Malgré les risques d’une grossesse tardive, il y a également de nombreux avantages dans le fait d’attendre un bébé après 40 ans. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
Des mamans épanouies : une fois passée la trentaine, les femmes ont eu le temps de se trouver. Le plus souvent, elles ont une carrière, un équilibre de vie qui les rend heureuse et sont donc mentalement prêtes à accueillir un nouvel être vivant au sein de leur foyer. La stabilité émotionnelle et financière que leur procure leur âge et leur expérience de vie leur permet d’être plus sereines.
Une stabilité générale : outre cela, la stabilité générale dans la vie de la mère lui permet de mûrir sa décision d’avoir un enfant. Ainsi, lorsqu’elle décide de tomber enceinte, peu importe la méthode choisie, elle est sûre d’elle. Les doutes n’existent pas, ou très peu.
Une expérience plus large de la vie : à 40 ans, on n’a pas la même expérience qu’à 28 ans. Et c’est bien vrai ! La mère de 40 ans ou plus possède en effet une certaine expérience de la vie qui lui permet d’avoir souvent plus de patience avec l’enfant. Outre la décision bien réfléchie, c’est l’expérience de la vie elle-même qui l’aidera dans l’éducation et le soin de son enfant.
Plus de chances d’avoir une grossesse multiple : après 35 ans, le système hormonal change, ce qui permet de connaître une grossesse multiple. Si cela ne se produit pas à tous les coups, les chances sont tout de même plus élevées à 40 ans et plus qu’à 20 ans.
En quelques mots…
Ainsi, une grossesse après 40 ans est tout à fait possible. Si cela peut de prime abord paraître très dangereux au vu des risques, c’est aussi une immense source de bonheur, tant pour l’enfant que pour la mère. Mais ces risques, il ne faut pas les ignorer pour autant ! Au contraire, parlez-en avec des spécialistes, votre gynécologue, votre médecin, mûrissez votre décision ! Soyez prête et sûre de vous pour vous lancer dans une telle aventure !
Que vous ayez 25, 34 ou 42 ans, durant la grossesse, n’oubliez pas de prendre soin de vous…
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins pour le corps et le visage, comme le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise depuis peu des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, renouez avec vous-même.
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Le rire et ses bienfaits
Rire d’une blague ou de nervosité… Bien souvent, le rire est incontrôlable. Pourtant, depuis quelques années, le rire occupe une nouvelle place au sein des soins mentaux et physiques. Il devient notamment un outil curatif ou préventif de certaines thérapies. Le rire, qu’il soit à gorge déployée ou plus discret derrière des yeux rieurs, possède beaucoup de bienfaits sur la santé physique et morale. Zoom sur le rire et ses bienfaits !
Qu’est-ce que le rire ?
Le Larousse définit le rire comme étant la manifestation d’une « gaieté soudaine par l’expression du visage et par certains mouvements de la bouche et des muscles faciaux ». Ceux-ci sont « accompagnés d’expirations plus ou moins saccadées et bruyantes ».
En philosophie, la définition varie légèrement. Spinoza, par exemple, le définit volontiers comme « une joie pure et simple », à laquelle il appose la condition selon laquelle « sans excès, il est bon pour soi ».
Il y a donc déjà une notion de bien-être dans la définition philosophique du rire. Plus encore, la définition traditionnelle du dictionnaire le décrit dans toute sa complexité. Les rires peuvent varier d’une personne à l’autre, et cela est bien mis en avant. Mais s’il agit sur le bien-être, quels effets possède vraiment le rire dans le corps ?
Ce qui se passe dans le corps quand on rit
Si l’on sait tous ce qu’est le rire, il est parfois plus délicat de se figurer les effets directs qu’il a sur le corps. Car lorsque l’on rit, on active en réalité un réflexe mécanique (tout comme lors la respiration). Ce n’est pas une action que le cerveau contrôle consciemment comme pour manger ou boire. Le rire est la conséquence d’une situation plaisante ou amusante. Cette situation peut se jouer dans le cerveau –lorsque quelqu’un nous raconte une blague- ou physiquement –lorsque quelqu’un nous chatouille.
Mais comment réagit le corps face au rire ?
Lorsque l’on rit, c’est le diaphragme qui se contracte en premier lieu. Et en se contractant, il va « masser » les organes internes situés dans le ventre. C’est aussi la raison pour laquelle rire longtemps peut finir par faire mal ! Plus le rire est long, et plus les muscles sont sollicités ; ceux du visage tout d’abord, mais aussi ceux du torse et même des jambes. Au total, plus de 600 muscles peuvent être utilisés par le corps lors d’un rire !
Le rire détend ainsi la totalité du corps, comme pourrait le faire une séance de yoga ou de gym. Et bien entendu, la détente qu’il offre n’est pas sans conséquences pour le corps ni pour l’esprit : les bienfaits sont nombreux !
Les bienfaits du rire sur le mental
Le rire a de nombreux bienfaits sur le mental. Parmi eux, l’on peut citer que le rire :
Éloigne les émotions négatives :
Parmi les émotions qui peuvent s’avérer « négatives » si l’on ne sait pas les accueillir, l’on peut citer la tristesse, la colère ou encore les tensions qui en résultent. Plus que l’émotion en elle-même, ce sont les conséquences de ces émotions que le rire annihile. Vous avez déjà été énervé contre une personne qui vous faisait rire ? Impossible de rester en rogne, tout s’évapore ! Le rire permet de lutter également contre la dépression et l’anxiété.
Si vous souffrez d’anxiété et que vous enchaînez les crises d’angoisse, n’hésitez pas à faire de l’hypnose contre le stress pour gérer une crise d’angoisse.
Diminue le stress :
Le rire est, tout comme le sport, à l’origine de la sécrétion d’endorphines. Ces hormones permettent de réduire considérablement le stress. Le cerveau s’oxygène et la détente du corps et de l’esprit est tout entière.
Évapore la peur :
Le rire permet d’éloigner le sentiment de peur. Et pour cause, il est impossible de rire et d’avoir peur en même temps. Dans des situations inconfortables ou stressantes, le rire permet de se détendre et de se recentrer. À ne pas oublier avant un entretien d’embauche ou une journée importante !
Améliore la confiance en soi :
Rire permet d’améliorer sa confiance en soi. Étonnant ? Pas tant que ça. Le rire peut se cacher dans une blague mais aussi dans l’autodérision. Et le fait de savoir rire des petites galères ou de certaines situations qui nous tombent dessus sans prévenir, ça permet de mieux les gérer ensuite. Rappelez-vous : impossible d’être agacé ou apeuré et rire en même temps ! Grâce au rire, vous saurez améliorer votre estime de vous et serez plus serein.e ensuite pour réagir à la situation.
Renforce les liens interpersonnels :
Rire ensemble permet de renforcer les liens. Il partage le ressenti éprouvé par toutes les personnes concernés et créé ainsi un lien puissant entre elles. Rire offre alors de meilleures relations, quelles qu’elles soient. De même, il livre une sensation de connexion et de fédération dans un groupe social.
Les bienfaits du rire sur le physique :
Mais le rire possède également de nombreux bienfaits pour le corps. Parmi eux, le rire permet de :
Diminue la tension artérielle :
Rire permet d’améliorer la tension artérielle. En effet, il favorise la circulation du sang et l’oxygénation du cœur. Le plus incroyable est que le rire opère ses bienfaits en seulement quelques secondes. Autrement dit, le rire est une prescription 100% naturelle et très efficace lorsqu’on souffre d’hypertension ou de maladie cardiaque.
Amenuise la douleur :
Le rire libère des endorphines. Ces hormones, une fois libérées, permettent la « mise en pause » des canaux neuronaux qui communiquent la douleur. Autrement dit, les canaux sont comme anesthésiés. Le rire a le pouvoir et la force de réduire la douleur, ce qui est souvent mis en pratique dans le milieu hospitalier.
Booste le système immunitaire en général :
Le rire améliore grandement la production de globules blancs, essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire. Plus les cellules de ce système sont nombreuses, plus le système immunitaire est efficace.
Bienfaits sur la respiration :
Le rire permet de prendre quelques grandes inspirations une fois qu’il se calme. Ces inspirations favorisent les échanges gazeux du corps. Il a également été observé que le rire régulait l’activité des bronches. Dans le cas de personnes souffrant d’asthme, le rire est un traitement naturel des symptômes !
Détente des muscles :
Le rire est donc, physiologiquement, une contraction du diaphragme. Lorsque l’on rit, les muscles sont également actifs. C’est le cas pour les abdominaux et les muscles respiratoires. Suite à ces contractions musculaires, un sentiment de détente est souvent ressenti. Il peut être comparable au sentiment suivant une bonne séance de sport. Les muscles sont détendus, l’esprit est plus léger et les endorphines sont légion. Cela peut être une bonne alternative à ceux qui regardent de travers le sport… bien qu’il soit possible d’aimer le sport en faisant un sport qui vous plaît !
Le rire : une drôle de thérapie !
Avec tous les bienfaits que porte en lui le rire, certains en ont fait une thérapie à part entière. La rigologie est ainsi un moyen efficace de réduire de nombreux symptômes, tant physiques qu’émotionnels ou mentaux. Si le nom de cette thérapie fait doucement rire, il est avéré que le rire maintient en bonne santé et permet de se sentir bien !
Pas de grandes séances de rire, néanmoins, mais plutôt des adaptations de médecines alternatives via l’utilisation du rire. On y retrouve le yoga du rire, de la sophrologie ludique, des exercices d’Amérique du Sud…etc. On y développe la créativité, la confiance en soi et à terme, les clefs pour avoir une vie épanouie.
Et vous, avez-vous déjà essayé la thérapie par le rire ?
Quelques mots sur moi
De mon côté, je suis Charlotte Vallet. Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, je propose des séances d’hypnose qui permettent de vous libérer des addictions, d’un mauvais sommeil, prendre confiance en vous et vous allégez de vos blocages.
Je propose également des soins du corps et du visage, comme le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être. Pour se (re)découvrir, pour se connaître mieux, ou tout simplement pour respirer un air différent, loin des soucis du quotidien ! Au plus proche de la nature, venez découvrir les retraites bien-être et recentrez-vous sur vous-mêmes.
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L’endométriose et ce qui peut la soulager
L’endométriose est une maladie encore très méconnue. Depuis quelques années, elle semble être sur le devant de la scène et que le voile du tabou se lève la concernant. Les personnes qui sont touchées par l’endométriose ne savent pas toujours ce qu’elles ont. Alors qu’est-ce que l’endométriose et quels sont ses symptômes ? Il n’y a encore aucun traitement pour guérir définitivement de l’endométriose… Mais il existe quelques tips pour soulager la douleur lorsqu’elle se fait sentir. Quels sont-ils ? Zoom sur ce trouble reconnu depuis 2021 comme une affection longue durée.
Qu’est-ce que l’endométriose ?
L’endométriose définit une maladie de nature gynécologique. Fréquente, elle toucherait entre 10% et 15% des femmes ayant eu leurs premières règles. Plus précisément, l’endométriose « se caractérise par la présence, hors de la cavité utérine, de tissu semblable à celui de la muqueuse de l’utérus », que l’on nomme aussi endomètre. (Selon Ameli.fr).
Autrement dit, c’est à cause du développement de l’endomètre en dehors de l’utérus que les cycles menstruels sont parfois si douloureux chez certaines personnes. Et pour cause, l’endomètre colonise les organes alentours, créant des douleurs plus ou moins intenses. Parfois, il arrive que l’endomètre s’écoule en même temps que le sang menstruel, ce qui cause également des douleurs fulgurantes.
L’endométriose, une maladie « multifactorielle »
Pour entrer davantage dans le détail de cette affection longue durée, voyons les différentes causes de l’endométriose. Et si elle peut effectivement souffrir de plusieurs causes, il existe également des facteurs qui frôlent la génétique. Parmi les différentes causes de l’endométriose, l’on peut citer :
- Facteurs hormonaux (une trop grande présence d’œstrogènes favoriserait l’endométriose) ;
- Causes environnementales (certaines études ont révélé un lien entre des perturbateurs endocriniens comme le BPA ou les PCB et la maladie de l’endométriose) ;
- Facteurs génétiques.
Pour cette dernière catégorie (génétique), les études sont en cours. Mais il semblerait que l’on ait déjà l’assurance qu’une femme ayant une mère ou une sœur touchée par l’endométriose le soit aussi. On estime le risque cinq à six fois plus élevé.
Qui est touché par l’endométriose ?
Toutes les personnes ayant un vagin sont susceptibles d’avoir de l’endométriose. Cependant, avant d’avoir eu ses premières règles, il n’est pas possible de déceler l’endométriose. Plus il y aura eu de cycles, et plus les chances de diagnostiquer la présence de l’endométriose seront élevées. D’ailleurs, la plupart des femmes diagnostiquées le sont entre 30 et 40 ans, après des années de douleurs anormales.
De même, les personnes ayant des antécédents d’endométriose dans leur famille (sœur ou mère) sont plus susceptibles de souffrir du même trouble une fois menstruées. Les études sont toujours en train d’être menées afin de déterminer de quel gène il pourrait s’agir. Car, pour rappel, si la maladie existe depuis très longtemps, cela ne fait que quelques années que les langues se délient –tout comme ce fût le cas à propos des menstruations : le tabou disparaît lentement !
Les symptômes de l’endométriose
La maladie étant encore très peu connue et étudiée, l’endométriose ne dispose pas de symptômes systématiques comme le pourrait une maladie cardiovasculaire. De plus, le souci des cycles se pose, puisque chaque femme a un rapport différent à son cycle mais aussi un rapport unique à la douleur en elle-même.
Toutefois, parmi les symptômes récurrents de l’endométriose (et selon l’Institut de Recherche Médicale), l’on retrouve :
- Des douleurs au niveau du pelvis (qui peuvent se manifester en dehors des règles et durer tout le long du cycle menstruel) ;
- Douleurs anormales lors des rapports sexuels (aussi appelées dyspareunie) ;
- Douleurs anormales durant la défécation ou la miction (majoritairement en période de règles) ;
- La présence de sang dans l’urine ou les selles ;
- Dysfonctionnement ou blocage des ovaires menant parfois à l’infertilité.
La plupart des formes d’endométriose ne sont pas symptomatiques et donc découvertes lors d’un bilan d’infertilité. En France, 1,5 millions de personnes seraient concernées par l’endométriose (chiffre de l’Institut de Recherche Médicale).
Aucun traitement pour le moment…
L’endométriose n’admet aucun traitement qui pourrait la guérir complètement. Toutefois, l’on sait que lors de la ménopause, les différents symptômes ont tendance à régresser. Mais il manque des données scientifiques. L’endométriose reste trop méconnue et peu (ou pas) diagnostiquée.
Enfin, le caractère sexiste qui entoure encore la maladie de l’endométriose n’est plus à prouver. La maladie touche les personnes qui possèdent un vagin, aussi beaucoup de gynécologues ont du mal à admettre l’endométriose comme autre chose qu’une « gêne féminine ». En 2021, l’espoir renaît quand l’endométriose est reconnue comme affection longue durée. Elle sera prise au sérieux et les recherches pourront dans le futur améliorer la santé de celles qui en souffrent.
Ce qui soulage l’endométriose
Ostéopathie : l’endométriose a tendance à accentuer les inflammations dans les zones comme le bassin. L’ostéopathie permet alors de soulager ces inflammations en rendant au corps une amplitude au niveau du bassin, ce qui soulagera tant le périnée, la vessie que le pelvis et les organes gynécologiques. En effet, l’ostéopathe ne se charge pas seulement de faire craquer les os. Il peut également débloquer des nerfs et en période de règles, le nerf sciatique tout comme les nerfs s’établissant le long de la colonne vertébrale sont susceptibles de se « bloquer ».
Homéopathie : parfois sous-estimée, l’homéopathie peut cependant être d’une grande aide durant la période de règles lorsqu’on souffre d’endométriose. Il est important d’aller voir un spécialiste, qui établira lui-même selon les douleurs dont vous souffrez, les remèdes. Chaque personne souffrant d’endométriose peut souffrir différemment, aussi il est délicat de trouver un remède universel. La plupart du temps, l’homéopathe étudiera votre situation avant de vous proposer la solution la plus adaptée pour réduire la douleur.
Phytothérapie : sous forme d’infusion ou de décoctions, les plantes sont parfois bien utiles quand il s’agit de traiter la douleur. C’est le cas des feuilles de framboisier, d’alchémille ou d’achillée millefeuille, notamment. L’endométriose créée une inflammation de toute la zone du bassin, et ces plantes peuvent permettre d’en réduire la douleur.
Le yoga hormonal : cette forme alternative de yoga permet de réguler tout le système hormonal à travers des poses et des exercices spécifiques. Si vous souffrez d’endométriose, cette forme de yoga pourrait soulager la douleur ressentie !
L’activité physique : nul besoin de vous lancer des défis incroyables : une simple marche régulière peut déjà libérer suffisamment d’endorphines pour vous alléger du stress et des douleurs liés à l’endométriose.
En quelques mots…
L’endométriose est encore une maladie méconnue. Les symptômes sont aléatoires et dépendent surtout des personnes qui souffrent d’endométriose. De même, il n’existe aucun traitement à ce jour permettent de soigner l’endométriose. Il faut en moyenne 7 ans avant d’être diagnostiquée. Et en 2021 l’endométriose est reconnue comme affection longue durée. L’espoir que les prochaines générations bénéficient d’un traitement est alors existant.
Se tourner vers les médecines alternatives pour réduire les douleurs liées à l’endométriose reste une option.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnothérapie et des soins pour le corps et le visage (drainage lymphatique).
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De même, j’organise des retraites bien-être pour se (re)découvrir loin du mouvement du quotidien. Au plus proche de la nature, recentrez-vous sur vous-même et tout ce qui compose votre être.
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Vaincre le syndrome de l’imposteur
Le syndrome de l’imposteur devient de plus en plus cité de nos jours. Et pour cause, dans une société où tout le monde tourne à cent à l’heure, il est parfois délicat de reconnaître la valeur de son travail et de la façon dont on peut se congratuler. Mais au-delà d’une appellation récente, qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? De quand date-t-il ? Est-il un réel trouble ? Et surtout, comment finir par le vaincre ?
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
Apparu en 1978 après que Pauline Clance et Susanne Imes, deux psychologues, aient étudié le phénomène, le syndrome de l’imposteur est une sensation bien étrange à éprouver. A cette époque, leur étude portait sur une totalité de 150 femmes ayant été diplômées et exerçant un métier prestigieux. Toutefois, il s’est avéré que ces femmes ne pensaient pas « avoir réussi » comme cela peut être admis de manière sociétale (un bon emploi, un bon salaire…).
Et le syndrome de l’imposteur, c’est justement cela.
Plus « cliniquement », il pourrait être qualifié par un mélange d’anxiété et de manque d’estime et de confiance en soi et ce que l’on peut accomplir. Autrement dit, cette recette est celle qui créé le terrible sentiment d’imposture et par-là même, l’effrayant réflexe de nier sa réussite ou ses succès.
Quelles en sont les sources ?
De nombreuses études ont été menées et certaines tendent à révéler que les sources de ce syndrome et de ce sentiment de non-mérite seraient directement liées à l’ego. Un ego malmené durant un moment de vie serait la première source de ce syndrome. De la même façon, la comparaison aux autres peut également grandement jouer dans l’apparition de ce sentiment d’imposture. Parmi les sources de ce syndrome, il est également possible de compter la pression (parentale, scolaire) qui peut parfois advenir lorsque l’on est encore jeune et en pleine construction.
Qui est touché par le syndrome de l’imposteur ?
À vrai dire, tout le monde peut un jour être confronté au syndrome de l’imposteur ! Néanmoins, il y a quelques tendances qui se distinguent. Les femmes et les personnes autodidactes auraient en effet tendance a davantage porter le fardeau de ce syndrome. Absence de reconnaissance, sentiment de ne pas être à la hauteur, les symptômes sont multiples et variés.
De même, les inégalités sociétales actuelles ne permettent pas encore d’obtenir reconnaissance pour tout le travail accompli par les femmes et autres minorités. Cela contribue à engraisser le monstre de l’imposture qui se répand alors chez de plus en plus de personnes.
Comment savoir si on ressent le syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur n’étant pas une maladie ni un trouble reconnu affectif, nous ne pouvons pas à proprement parler évoquer des « symptômes ». Toutefois, de nombreux indices peuvent mener sur la piste que vous souffrez peut-être du syndrome de l’imposteur. C’est notamment le cas si vous ressentez :
- Un empressement à se distinguer de la réussite (ex : « ce n’était pas très compliqué ») ;
- « Rejeter » les événements positifs qui surviennent dans la vie ;
- Ne pas se sentir légitime face aux compliments ou aux félicitations ;
- Être gêné/ embarrassé/ mal-à-l’aise devant des félicitations ;
- L’impression d’être surestimé ;
- Peur ou malaise vis-à-vis de l’attention que l’on peut vous porter ;
- Manque de confiance en soi dans la majorité des domaines de la vie.
Tels sont les premiers signes que vous êtes sûrement concerné par le syndrome de l’imposteur. Mais ce n’est rien de grave ! Le syndrome de l’imposteur peut tout à fait disparaître avec le temps et du travail sur soi.
Comment vaincre le syndrome de l’imposteur ?
Vaincre le syndrome de l’imposteur ne se fait pas par la seule force de la volonté. C’est une lutte parfois quotidienne, qui a pour but de vous légitimer dans différents aspects de la vie. Parce que le syndrome de l’imposteur peut également se manifester dans une sphère sociale, amicale, familiale ou encore intime. Elle n’est plus seulement reliée au monde du travail.
Finalement, peu importe la sphère dans laquelle le syndrome s’immisce, l’important est que vous pouvez totalement vous libérer de ce syndrome qui empoisonne votre vie et ébranle vos certitudes ! Et ceci peut se faire, il faut retrouver de l’estime de soi avec l’hypnose.
Exercices pour vaincre le syndrome de l’imposteur
Briser le silence :
Comme pour beaucoup de sujets, la première étape et non la moindre, c’est souvent d’en parler. Avec vos amis ou votre famille, parlez-en à des personnes proches qui vous connaissent ; bien souvent, elles auront un avis objectif et le recul nécessaire pour vous parler en toute honnêteté. En brisant le silence autour de ce syndrome, vous brisez aussi sa carapace !
Faire des listes :
Les listes ne sont pas au goût de tout le monde, et pourtant, parfois, elles sont nécessaires. En listant l’étendue de vos facultés et de vos compétences (à la façon d’une lettre de motivation), vous prendrez un peu de recul face au syndrome de l’imposteur. Petit à petit, vous parviendrez à avoir le recul et la lucidité nécessaires pour comprendre que le syndrome vous ment et que vous êtes bel et bien capable d’accomplir les choses au seul mérite de votre travail.
Anticiper la réussite plutôt que l’échec :
Bien souvent, le syndrome de l’imposteur vous convainc que vous ne serez pas à la hauteur. Et si vous décidiez d’aller à contre-courant ? Inspirez profondément, et au prochain projet que l’on vous propose, misez sur votre réussite. Cela peut paraître prétentieux, mais il n’en est rien. Vous seul.e êtes conscient.e de ce que vous êtes capable de faire, de vos talents et de vos compétences. Vous allez y arriver !
Démystifier le syndrome de l’imposteur :
Cela peut arriver en brisant le silence autour de ce trouble. En parler, le dédramatiser voire même en plaisanter un peu, ça peut totalement vous aider à le voir sous un nouveau jour. Dans le même temps, cela permet de vous en éloigner un peu plus, et surtout, de vous libérer de l’emprise qu’il impose sur votre vie et dans au moins un domaine particulier.
Travailler l’estime et la confiance de soi :
Plus facile à dire qu’à faire… mais pas impossible ! Il est important de comprendre comment l’estime de soi et la confiance en soi influent directement sur le syndrome de l’imposteur. En travaillant sur vous-même et vous aidant d’hypnose pour la confiance en soi, vous vous offrez ainsi la possibilité de vaincre le syndrome de l’imposteur !
Pour conclure…
Le syndrome de l’imposteur est parfois compliqué à définir précisément. Il se manifeste par une petite voix sournoise qui vous fait penser que vous n’êtes pas à la hauteur des choses accomplies par vos soins, et il est si facile de la croire. Pourtant, il n’en est rien ! Vous êtes amplement capables de réussir et en droit de vous en attribuer le mérite, peu importe combien il peut être difficile de l’accepter ensuite.
Et si vous ne parvenez pas à le vaincre seul.e, il n’y a aucune honte. Certaines blessures et marques sont souvent présentes depuis longtemps et l’aide d’un professionnel est alors recommandée. Psychologue, méditation, l’hypnose thérapeutique à Paris et ses bienfaits… il est possible de trouver la source de ce syndrome et de travailler dessus afin de la surmonter.
Je suis moi-même hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique) – qui peuvent d’ailleurs vous aider à vous concentrer sur vous et retrouver votre confiance en vous !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites sous le signe du bien-être, pour se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis qu’il porte dans son sillage, prenez du temps pour vous ouvrir à vous-même.
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Se concentrer sur ce qui connecte et non sur ce qui sépare
Il n’est plus un secret pour personne que l’Homme est un animal social. Et dans un monde prônant l’individualisme, les échanges et les connexions sont d’autant plus essentielles. Alors comment se concentrer sur ce qui connecte avec le monde qui nous entoure ? Avec les gens qui nous épaulent ? Cette connexion peut porter avec elle de nombreux bienfaits insoupçonnés ; il ne tient qu’à vous de venir les découvrir et les expérimenter ensuite !
Ce qui sépare : l’individualisme est différent de l’individu
Dans un premier temps, il m’a semblé nécessaire de faire la distinction entre l’individu et l’individualisme. Car s’ils sont étymologiquement liés, les deux sont pourtant bel et bien différents. L’individualisme représente un concept qui se traduit par un comportement égoïste, tourné vers soi. Il s’agit d’un « moi, je » qui est alors appliqué à une majorité d’aspects de la vie. Pour autant, l’individu en soi n’est pas une mauvaise chose.
L’individu, c’est la somme totale de tous les traits, toutes les caractéristiques de ce qui compose un être humain. Autrement dit, c’est la personne en elle-même. Et ça, nul ne peut l’effacer ! Le fait que nous soyons tous des individus à part entière contribue à nous rendre uniques. Mais il ne s’agit toutefois pas de prôner cet aspect unique comme meilleur qu’un autre. Le monde est suffisamment rempli d’inégalités pour que l’on s’en rajoute une couche par nos soins !
Ainsi, l’individu se distingue aisément de l’individualisme – qu’il créé pourtant parfois. L’individualisme aura tendance à creuser un fossé entre soi et les autres, là où l’individu peut au contraire représenter la clé pour pouvoir se connecter avec autrui.
Pourquoi vouloir « se connecter » ?
Dans un monde profondément basé sur des concepts comme la productivité, la compétition ou encore l’individualisme, il est important de pouvoir se sentir ancré dans quelque chose. Même si être indépendante avec de l’hypnothérapie à Paris est important, avoir une connexion sociale est primordiale. Que ce soit un groupe social ou un endroit en particulier, c’est primordial de pouvoir se sentir bien le plus souvent possible.
Se connecter, c’est quoi ?
Il n’y a pas de définition précise pour ce concept. Néanmoins, la connexion se caractérise par « le fait d’être lié plus ou moins étroitement à quelque chose ou quelqu’un » (selon le Larousse). Il y a donc, dans la connexion, une volonté de se lier, d’être en lien avec une personne ou un objet. Vouloir se connecter pourrait alors être défini par la volonté ou le besoin d’être en phase avec une personne ou un objet.
Se connecter avec le présent
Mais avant toute chose, la connexion, c’est aussi et surtout le besoin de certaines personnes de s’ancrer dans le moment présent. Lorsque l’on est à l’aise avec un groupe d’amis ou sa famille proche, il est alors plus facile de profiter du moment présent. Car si le passé a tendance à être porteur de troubles comme la dépression et que le futur est surtout une immense source d’angoisse, le présent, lui, représente une forme de quiétude.
Vouloir se connecter peut alors être synonyme de la prise de conscience du moment présent.
Comment se connecter ?
La connexion peut passer à travers différents outils, exercices ou encore divers aspects du quotidien.
Rester ouvert quand on sort de chez soi : Beaucoup de personnes s’échappent sous une capuche et une pair d’écouteurs. Parfois, il est tout aussi bien de rester attentif/ ve au monde qui nous entoure. Peut-être une personne aura-t-elle besoin de la place assise que vous occupez dans le bus ? Peut-être une dame aura-t-elle besoin d’aide pour rapporter ses courses chez elle ? C’est alors l’occasion de rester ouvert aux différentes situations qui peuvent se présenter.
Se connecter avec les gens : il arrive à tout le monde de passer une mauvaise journée. Mais parfois, laisser passer une personne sur un passage piéton ou encore dire « bonjour » avec un grand sourire peut changer la donne. Se connecter avec les gens qui nous entourent, c’est aussi être attentif à eux. Et surtout, ne pas se retenir de leur partager un bout de votre présent !
Se connecter avec la nature : dans des villes qui ne font que s’agrandir et des campagnes qui renferment le calme, de plus en plus de personnes ont besoin de se retrouver au plus proche de la nature. Si ce besoin –ou cette envie- se fait ressentir, n’hésitez plus ! Courrez dans le parc le plus proche pour profiter au mieux de la beauté que la nature offre. C’est très bon pour le moral, ça libère de l’endorphine et ça permet de se reconnecter à soi et au monde qui vous entoure. En effet, la nature est une force sur le bien-être comme de l’hypnose contre le stress.
Se connecter à soi : c’est sûrement la partie la plus délicate de l’exercice de connexion –surtout pour les esprits rêveurs qui ont tendance à s’échapper ! Mais les esprits plus pragmatiques, s’ils sont bien ancrés dans le présent, ont également parfois du mal à en jouir. Se connecter à soi peut passer à travers des inspirations, ou bien les cinq sens (vue, toucher, goût, odorat et ouïe). Il s’agira alors de bien s’ancrer dans le présent, que ce soit en dégustant un muffin au chocolat ou en sentant les premières odeurs de terre humide que l’automne apporte !
Tips en plus !
Il est également possible de se connecter à –et avec- d’autres choses !
Les cinq sens : là encore, les cinq sens seront vos meilleurs alliés pour vous figurer le présent tel qu’il est, et être capable de l’apprécier dans toute sa valeur. Chaque sens porte en lui la délicatesse du détail. De quoi nourrir les souvenirs pendant encore de longues années ! Mais plus encore, c’est la connexion au monde qui vous entoure qui se solidifie, s’ancre davantage et devient à son tour inoubliable.
La curiosité : c’est sûrement votre plus grande alliée dans la vie. Grâce à elle, vous pouvez vous intéresser à tout, vous tourner vers tout le monde, et ne jamais cesser de vous émerveiller devant la beauté du monde.
La parole : cela peut sembler bien évident, mais nous sommes les seuls animaux sur la planète à pouvoir parler –et pourtant on a parfois du mal à communiquer ! Alors profitez-en ! Osez prendre la parole en public en vous aidant de l’hypnose pour la confiance en soi! Parlez, chantez, chuchotez, riez ! Et surtout, n’arrêtez jamais de partager. C’est aussi comme ça qu’il est possible de créer des connexions et de les entretenir tant dans le présent que dans l’avenir !
En quelques mots…
Les connexions sont multiples et variées. Il en existe autant qu’il existe de personnes sur Terre et de liens qui les unissent. Les connexions sont importantes pour s’ancrer dans le réel et trouver une place dans les groupes sociaux que l’on est amené à côtoyer au cours de sa vie. et si les connexions avec les autres et le monde sont d’une importance indéniable, il va sans dire que la plus capitale reste encore la connexion que l’on tisse… avec soi-même. Apprendre à s’aimer avec de l’hypnose de confiance en soi reste un élément essentiel sur le bien-être.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose et des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir et de tisser, le temps de quelques jours, des liens étroits avec soi-même et ce qui nous entoure. Au plus proche de la nature, venez découvrir loin du quotidien tous les trésors qui se cachent en vous.
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Les astuces pour avoir de l’énergie au printemps !
Alors que l’hiver fait doucement place à la saison qui lui succède, le printemps n’est pas toujours signe de bonheur pour tout le monde. Pour être heureux, il est important de trouver sa place au printemps avec l’aide d’un hypnothérapeute à Paris. Cependant, entre fatigue, allergies, changements de températures… cela n’est pas chose aisée et impact le corps et l’esprit. Alors comment garder la forme pendant la saison du printemps ? Explication et astuces sont toutes ici !
Pourquoi le printemps est-il souvent synonyme de fatigue ?
L’hiver est toujours une longue et sombre période. Le passage à l’heure d’hiver pèse souvent sur le mental des êtres humains et à l’arrivée du printemps, difficile d’ignorer la fatigue qui nous accable. Mais cette fatigue n’est pas seulement le résultat d’un long hiver ou d’une baisse de motivation. Il existe une « fatigue de printemps » dont on ne parle pas souvent…
Qu’est-ce que la fatigue de printemps ?
Après que le corps se soit « protégé » de l’obscurité et du froid durant tout l’hiver, il se réveille à l’arrivée du printemps –un peu comme la nature ! Mais le printemps n’est pas seulement l’arrivée des beaux jours. Les températures augmentent petit à petit, ce qui peut entraîner une dilatation des vaisseaux sanguins et donc, une diminution de la tension artérielle. Cela produit généralement des baisses d’énergie assez conséquentes. Le sommeil est fondamental pour la santé. Ainsi, il est possible de réduire les AVC avec des séances d’hypnose à Paris pour aider à dormir.
Avec les rayons du soleil arrivent les jours plus longs. Ce bouleversement des jours courts et des longues nuits peut également se traduire dans notre organisme par un déséquilibre hormonal. En effet, en hiver, c’est la mélatonine (hormone du sommeil) qui domine. Au printemps, c’est la sérotonine (hormone de la bonne humeur), directement liée à la lumière du jour.
Ainsi, les premiers jours et semaines du printemps, ces deux hormones cherchent un nouvel équilibre, et peuvent facilement être source d’une fatigue avancée.
Avoir de l’énergie au printemps à travers une bonne alimentation !
Avec tous les changements qui se produisent au niveau du corps à l’arrivée du printemps, il est donc primordial d’avoir une bonne alimentation. Et comme pour tout, certains aliments se démarquent facilement des autres. Ravissant vos papilles, ils sauront également vous apporter toutes les vitamines et les nutriments dont vous aurez besoin !
- Carottes : source de bétacarotène ;
- Les radis : remplis d’eau et de fibres, ils nourrissent rapidement en plus d’être plaisants à croquer !
- Les oignons blancs : qui favorisent le bon fonctionnement cardiovasculaire ;
- Les petits pois : sources de vitamine B, C, de minéraux (dont le fer) et d’oligo-éléments ;
- Les épinards : pour faire le plein d’antioxydants ;
- L’artichaut : pour la régulation du transit et favoriser l’élimination urinaire ;
- L’asperge : riche source de vitamines !
- La laitue : pleine d’acide folique, elle permet de protéger le cœur et les vaisseaux, et prévient les effets de la dépression. Elle est également recommandée pour améliorer les capacités mémorielles et apporte son aide pour le sommeil.
- La banane : riche en potassium, elle lutte contre l’hypertension et les maladies cardio-vasculaires. De même, sa composante en magnésium fait d’elle un excellent « antistress » naturel.
Les nouvelles habitudes qu’il est possible de mettre en place !
Les réveils lumineux :
Dîtes adieu aux réveils dans l’obscurité et aux petits-déjeuners éclairés à la lumière artificielle. Le printemps laisse volontiers la place aux matinées ensoleillées et aux levers de soleil magnifiques ! C’est le moment de profiter des journées pleines et lumineuses. Et quoi de mieux que ces idées pour se réveiller de bonne humeur ?
Des week-ends qui laissent place à l’aventure :
Mais le printemps, c’est aussi l’idéal pour les week-ends à la campagne ou loin de la ville. Décompresser en s’éloignant du quotidien et des tracas qu’il porte dans son sillage peut être bienfaiteur, alors profitez des beaux jours et partez à l’aventure !
La nature sur son 31 :
Le printemps, ne l’oublions pas, c’est aussi le moment pour la nature de briller. Les arbres se vêtent de nombreux atours feuillus, et les fleurs sauvages n’hésitent pas à envahir les parcelles de pelouse les plus récalcitrantes comme les plus accueillantes. Alors pourquoi ne pas se mettre au jardinage ? Travailler la terre durant quelques après-midis par mois peut être très salvateur. Ça permet de prendre l’air. Vous pouvez aussi faire le plein de vitamines D sous les rayons chaleureux du soleil. Et c’est sans oublier le bien émotionnel et mental que le jardinage procure ! Alors à vos gants… prêts ? Jardinez !
Le plein air et ses nombreux bienfaits :
Le printemps est ainsi propice à bien des activités. Mais par-dessus tout, le printemps est une belle époque pour reprendre des activités en plein air. Qu’il s’agisse de sport ou plus simplement de promenades, le printemps est toujours bien accueilli par les amoureux des activités extérieures. Alors n’hésitez plus ! Ressortez vos plus beaux équipements, et partez en randonnée, en promenade, ou accomplir le nouveau record de vos footings hebdomadaires ! Et pour ceux qui ne le savent pas encore… il est plus facile de faire du sport lorsque l’on pratique un sport que l’on aime.
Les tips en plus pour être en forme au printemps !
Privilégier le vélo, la trottinette ou la marche pour se déplacer : lorsque cela est possible, évitez d’utiliser votre voiture ! Préférez plutôt les moyens de transports qui vous permettent de profiter du soleil et des températures qui s’adoucissent. En plus de faire un petit geste pour l’environnement, vous vous aérez l’esprit, faîtes une activité physique et la sérotonine est toujours bienvenue !
Le printemps est de retour ! Retournez au marché : le printemps est également une saison très agréable pour se rendre sur les marchés. En plus de consommer des produits locaux et de saison, c’est une activité qui permet de rencontrer des gens et d’échanger avec eux.
Les activités inévitables au printemps : cette saison apporte les beaux jours dans son sillage. Les activités ne sont alors plus les mêmes qu’en hiver ! Cette fois, on délaisse les plaids au profit des terrasses avec les amis ou des barbecues le week-end ! Mais c’est surtout le bon moment pour se reconnecter à la nature une force sur le bien-être comme l’hypnose contre le stress : bain de boue, balade en forêt, faire du yoga en extérieur… tout est possible !
En quelques mots…
Ainsi, le printemps est une saison de renouveau et d’activités ! On se reconnecte à ce qui nous entoure, et les beaux jours nous encouragent à reprendre vie, tout comme la nature. Finie l’hibernation mentale ou émotionnelle, il est temps de faire le plein d’énergie au printemps afin de profiter au maximum de la saison fleurie !
De même, il est tout à fait possible de prendre du temps pour soi et de se chouchouter. C’est notamment ce que permettent beaucoup d’activités comme le yoga ou la méditation. Et il est également possible de se soigner plus « profondément », notamment grâce à l’hypnose ou la sophrologie.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, mais également des soins thérapeutiques du visage et du corps (comme le drainage lymphatique).
Pour prendre un rendez-vous, vous pouvez directement vous rendre sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année. Afin de s’éloigner des quotidiens étouffants et de se (re)connecter à son moi profond.
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Le printemps ou la saison de l’amour… de soi !
Le printemps est depuis toujours vu comme la saison de l’amour. La littérature le voit comme la saison la plus romantique de l’année, la philosophie en fait la muse de la découverte de soi et la culture populaire, une prémisse de l’été. Et si finalement, le printemps n’était rien d’autre que la saison de l’amour… de soi !
Saison universelle de l’amour
Depuis toujours, le printemps est perçu comme la saison de l’amour. Et pour cause, la nature se réveille doucement et les animaux du monde entier se reproduisent. Mais le printemps est également la saison de la colère et de la mise en place. L’énergie autour de nous semble bouillonnante et l’on se sent facilement motivé pour entamer de nouveaux projets.
Outre cela, chez beaucoup de personnes, le désir de se mettre en couple se ressent rapidement avec la venue du printemps. Les balades, les cafés en terrasse, les visites de musées ou celles de vieux monuments sont toujours plus agréables lorsqu’on les partage avec une personne aimée. Et l’amour peut prendre une multitude de formes différentes.
Mais, et si cette année, les choses changeaient ? Si vous décidiez de reporter vos désirs d’amour… sur vous-même ?
Et si on cultivait l’amour de soi ?
Les amours d’une vie sont toutes différentes. Pourtant, il y en a un qui peut aisément s’oublier sans pourtant jamais disparaître : l’amour de soi. Et c’est aussi ce pour quoi il est important de le cultiver. À tout âge et à toute époque de sa vie, l’amour de soi est le seul qu’il est possible de ne jamais perdre de vue pour peu qu’on le chérisse.
Mais alors qu’est-ce que l’amour de soi ?
L’amour de soi se définit par le « fait d’accepter et d’apprécier la personne que l’on est » selon l’Internaute. Autrement dit, c’est le fait de s’accepter entièrement et cela s’acquiert en général à terme d’un travail sur soi important, en apprenant à se connaitre grâce à une hypnothérapeute à Paris. Par ailleurs, l’amour de soi est essentiel dans l’équilibre personnel, puisqu’il suppose une indépendance affective et une autonomie émotionnelle. C’est grâce à l’amour de soi que l’on peut agir de manière efficace pour son propre bien-être.
S’aimer au printemps
S’aimer au printemps n’est finalement pas si différent que s’aimer durant les autres périodes de l’année. Et pour cause, s’aimer au printemps, c’est finalement accepter qu’avec cette nouvelle saison, une nouvelle partie de notre vie débute.
Si le printemps est la saison de la colère dans la médecine chinoise, elle peut également être l’amorce d’un nouveau chapitre dans le livre de la vie. Et pour cause, le printemps est avant tout la saison du renouveau ! C’est donc l’occasion de faire le bilan des saisons dernières et d’entamer une nouvelle danse sur un sol de fleurs tout juste écloses !
Comment cultiver l’amour de soi ?
L’amour de soi passe par différentes formes et divers exercices. Il est d’ailleurs possible de les appliquer au quotidien. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
Être bienveillant envers soi-même : la première étape pour cultiver l’amour de soi, c’est d’apprendre à être bienveillant envers soi en toutes circonstances. Que cela soit dans une situation de succès ou d’échec, il est important de ne pas se juger. On ne se condamne pas pour ses faiblesses, on ne se dénigre pas devant une erreur ; vous êtes un être humain et vous méritez le respect et la compréhension.
Prendre soin de sa santé (mentale, physique, émotionnelle) : cela se traduit à travers le fait de ne pas hésiter à se faire passer en priorité lorsque vous en ressentez le besoin. Refuser une sortie au bar parce que vous avez besoin de vous retrouver seul.e pour vous détendre et vous ressourcer, c’est tout à fait légitime. En effet, se reposer est primordial, dormir grâce à une séance d’hypnose réduit les AVC.
Prendre soin de sa santé mentale et physique, finalement, c’est écouter vos besoins et prendre soin de votre corps et de votre esprit.
Accepter qui l’on est : cela peut parfois paraître difficile voire insurmontable. Pourtant, s’accepter tel que nous sommes est encore le meilleur moyen de vivre sereinement. Car s’accepter, c’est ne plus donner –autant- de crédit à ce que peuvent penser les gens. C’est suivre de l’hypnose pour la confiance en soi à Paris pour croire en soi après l’acné, par exemple. S’accepter, c’est ne dépendre que de l’avis que l’on construit sur soi-même, et surtout, être en paix avec soi-même !
Entretenir son estime et soigner son ego : l’estime de soi, c’est la valeur que vous vous accordez. L’entretenir est alors le meilleur moyen de trouver une certaine indépendance en plus d’une totale liberté dans votre vie. Vous vous savez capable de tout faire puisque vous vous connaissez ! De même, soigner son ego permet de ne pas se sentir au-dessus de quelconque autre personne et donc, de trouver simplement votre place. Que celle-ci soit au cœur de différents cercles sociaux mais surtout avec vous-même.
Savoir se pardonner : savoir se pardonner est peut-être l’une des étapes les plus longues pour cultiver l’amour de soi. Et pour cause, si on accorde plus ou moins facilement son pardon aux autres, il est beaucoup plus délicat de se l’octroyer à soi-même. Une fois pardonné, vous vous sentirez néanmoins beaucoup plus léger/ légère et apte à vivre plus sereinement.
S’aimer soi-même, est-ce aimer les autres ?
Cultiver l’amour de soi, c’est parfois également cultiver l’amour des autres et celui pour son entourage. En effet, l’amour de soi est une des formes de l’amour qui permet d’en englober plusieurs autres. On nous a souvent répété qu’il faut s’aimer soi-même avant d’aimer les autres, c’est pour cette raison que beaucoup de femmes décident de rester célibataire à vie sans jugement grâce à l’hypnose comme thérapie à Paris. Mais est-ce que l’un empêche vraiment l’autre de se produire ? Et s’il était possible qu’aimer les autres puisse nous aider à nous aimer nous-mêmes ?
Sous les couches froides et dures de l’hiver, l’amour des autres peut être un véritable réconfort. Faut-il alors stopper ces amours au profit d’un printemps éclairé sur votre personne ? Peut-être tout est-il finalement question d’équilibre. Aimer les autres, leur apporter du réconfort, de la distraction, du soutien ou des fleurs –après tout c’est le printemps !- tout cela peut encourager l’amour de soi aussi.
« Un mot aimable est comme le printemps »
Proverbe russe
Finalement, l’amour, sous toutes ses formes délicates et précieuses, n’est-il pas le meilleur des moteurs pour se dépasser ? Pour se découvrir ? Et pour tenter, jour après jour, de trouver l’équilibre parfois fragile qui nous rendra heureux ?
En quelques mots…
Cultiver l’amour de soi est délicatement fastidieux. Certains jours seront d’ailleurs plus simples que d’autres. Et si le printemps est souvent perçu comme étant la saison de la colère, il est également propice à de nombreux changements. Alors pourquoi ne pas commencer à croire en vous et à vous aimer ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. J’y propose d’ailleurs des séances d’hypnose tout comme des soins du corps, comme le drainage lymphatique Renata Franca ou le drainage du visage.
Il est possible de prendre rendez-vous directement via Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir loin des routines et tracas du quotidien.