Catégorie : Inspirations

  • Le jeûne intermittent : est-ce fait pour moi ?

    Le jeûne intermittent : est-ce fait pour moi ?

    Depuis de nombreuses années, les régimes n’ont cessé de se succéder, être promus puis testés, avant de sombrer dans l’oubli. Notre époque ne fait pas exception à la règle, et aujourd’hui, nous allons nous pencher sur le jeûne intermittent. Nouvelle manière de s’alimenter, le jeûne intermittent est-il vraiment efficace ? Y a-t-il des effets indésirables ? Et surtout, est-ce que tout le monde peut se lancer dans le jeûne intermittent ? Zoom sur une pratique qui se popularise mais dont on ne connaît pas toujours tous les détails.

     

    Origines et définition du jeûne intermittent

    Comme son nom l’indique, le jeûne intermittent consiste à déterminer des périodes durant lesquelles il sera possible de manger, et d’autres, durant lesquelles on ne mangera pas. Il existe différentes formes de jeûne intermittent (fasting, jeûne alternatif, jeûne modifié…etc.). Mais toutes ces méthodes, si elles changent dans le détail, demeurent cependant similaires sur la forme et le fonctionnement.

    Historiquement, le jeûne a toujours été pratiqué. Que ce soit pour une raison religieuse (carême, ramadan…) ou pour des combats sociétaux ou politiques (grèves de la faim…etc.), le jeûne est présent depuis longtemps dans notre société. Mais le jeûne intermittent en tant que tel n’a été popularisé que très récemment, puisque cela date des années 1943, année à laquelle remontent les premières études réalisées sur ce type de régime.

     

    Les différents types de jeûne

    Il existe différentes façons de jeûner. Et que le jeûne soit total, partiel ou momentané, il est important de connaître les détails de chacun.

    Le jeûne alternatif : cette façon de jeûner consiste à ne pas manger sur des périodes de 24h. Il est ainsi possible de manger de façon habituelle le lundi et le mercredi, et de jeûner le mardi et le jeudi.

    Le jeûne modifié : pour cette alternative, il ne s’agit pas exactement d’arrêter de se nourrir. Toutefois il s’agit de choisir un ou plusieurs jours par semaine durant lesquels l’apport calorique sera alors réduit. Par exemple, si vous avez l’habitude de manger 2000 cal/jour, les jours choisis, il vous faudra réduire ce chiffre à 25% du nombre total, soit 500 cal/jour.

    Le jeûne limité dans le temps : pour cette manière de jeûner, il s’agit de se concentrer non pas sur les moments où l’on ne mange pas, mais ceux auxquels il sera possible de manger. Autrement dit, au cours d’une journée, il s’agira de déterminer dans quelle fenêtre vous pourrez vous nourrir, alternant ainsi avec des périodes de jeûne de plusieurs heures, pouvant aller jusqu’à 20 heures (ce qui conduit à manger, par exemple, uniquement entre 12 et 16 heures).

     

    Les bienfaits du jeûne pour le corps

    À l’ère de la « malbouffe » et de la surconsommation, il est parfois fastidieux de trouver l’équilibre entre gourmandise, envie de consommer et besoins réels du corps. C’est ce pourquoi le jeûne intermittent peut être une solution intéressante. Il possède en effet de nombreux bienfaits pour le corps, contrairement à ce que les consciences collectives pourraient penser (qui a dit qu’on ne pouvait pas être en bonne santé sans manger trois fois par jours ?). Ainsi, le jeûne intermittent permet notamment :

    • De diminuer la production d’insuline dans l’organisme ;
    • De baisser le stockage des graisses en stimulant le corps qui se sert dedans ;
    • D’offrir au corps la possibilité de nettoyer l’organisme entier ;
    • De baisser le temps de récupération dont le corps a besoin, ce qui améliore nettement les facultés physiques et mentales ;
    • De diminuer le vieillissement prématuré des cellules et donc l’oxydation de celles-ci ;
    • De réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète, et le mauvais cholestérol ;
    • De favoriser la reconnaissance du sentiment de satiété ;
    • Et parfois, il permet aussi de brûler des graisses et donc de perdre du poids plus facilement (attention toutefois, il ne s’agit pas d’arrêter de manger !).

    Ainsi, le jeûne intermittent offre de nombreux bienfaits sur le corps humain et son fonctionnement. Il est cependant important de bien noter qu’en aucun cas, le jeûne intermittent ne soigne une maladie, ni fait instantanément maigrir ou offre les clés de la jeunesse éternelle. Il s’agit simplement de cures possibles et envisageables, qui, si elles sont réalisées avec sérieux et sans privation, porteront leurs fruits.

     

    Les inconvénients du jeûne intermittent

    Comme tout sujet dans la vie, le jeûne intermittent possède également le revers de sa médaille si attrayante. Et pour cause, s’il présente de nombreux bienfaits pour le corps, cela ne l’empêche pas d’avoir aussi ses mauvais côtés. Voici quelques-uns de ses désavantages :

    • Bien que ce soit l’effet inverse qui soit recherché, il arrive cependant que parfois, le corps stocke des graisses durant la période de jeûne intermittent ;
    • Une mauvaise haleine peut également survenir durant les périodes du jeûne, ou les quelques heures où il dure ;
    • Une fonte musculaire est un risque non négligeable également, surtout pour les personnes qui seraient cardiaques ;
    • Les risques de troubles du comportement alimentaire (TCA) peuvent également découler de cette pratique, ou encore être renforcés à cause du jeûne intermittent.

    Ainsi, si les bienfaits du jeûne intermittent sont indéniables, il est également très important de prendre en compte les risques que cette pratique peut présenter. Ils sont nombreux et portent davantage de conséquences que le simple fait de s’alimenter trois fois par jours.

     

    Y a-t-il des contre-indications ?

    Le jeûne intermittent, avec ses avantages et ses inconvénients, présente également quelques contre-indications. En plus de lever le voile quant à la question « est-ce fait pour tout le monde ? », le jeûne intermittent peut surtout s’avérer dangereux pour certaines personnes. C’est notamment le cas pour les personnes souffrant de :

    • Dépendance à la drogue ou à l’alcool ;
    • Les personnes anorexiques ;
    • Ayant un IMC inférieur à 18 ;
    • Les femmes enceintes, ou celles qui allaitent ;
    • Les enfants ;
    • Les personnes qui ont une maladie de reins.

    De manière générale, il est important de demander l’avis de son médecin avant de commencer une période de jeûne intermittent. Les risques sont, autrement, parfois complexes, et les conséquences, graves.

     

    Les erreurs à éviter pendant le jeûne intermittent :

    • Manger en plus grande quantité durant les périodes de prise alimentaire ;
    • Ne pas boire assez d’eau (qui permet d’éliminer les toxines) ;
    • Se fixer des objectifs trop difficiles à atteindre ;
    • Jeûner pour maigrir (ce n’est pas sa fonction principale !).

     

    Ainsi, le jeûne intermittent est une pratique qui peut permettre de trouver l’équilibre entre ses besoins réels et l’alimentation à laquelle on est parfois habitués. Mais le jeûne intermittent est loin d’être un jeu : s’il est envisagé, il doit l’être avec recul et conscience, toujours. Il est important de ne pas le pratiquer dans le seul et unique but de perdre du poids ; pour cela, il y a tant et d’autres façons de procéder !

    Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Si vous souhaitez perdre du poids, l’une des solutions pourrait bien être de programmer des séances d’hypnose. Je suis aussi spécialisée dans les soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage. Vous pourriez trouver votre bonheur… !

    N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.

    Enfin, j’organise depuis peu des retraites bien-être durant l’année. Celles-ci servent à prendre du recul, mais aussi du temps pour soi ; à privilégier le moment présent les notions de partage dans une bienveillance totale.

     

  • En quoi l’hiver est-elle la saison des formations et de l’apprentissage ?

    En quoi l’hiver est-elle la saison des formations et de l’apprentissage ?

    L’hiver est parfois une saison qu’il est fastidieux d’appréhender. Entre le froid, la pluie, la neige et le soleil qui joue à cache-cache… on a envie de se rouler dans sa couette préférée et de ne plus bouger ! Pourtant, l’hiver offre bien des possibilités. Qu’il s’agisse de reprendre des études, de s’inscrire à des cours du soir ou des formations par correspondance, l’hiver permet de libérer plus facilement du temps pour se lancer dans une nouvelle voie, pour le plaisir ou dans le cadre d’un nouveau projet. Alors quels sont les secrets de cette saison tant redoutée, qui délivre pourtant beaucoup d’avantages ?

     

    L’hiver… dans toute sa splendeur !

    S’il est connu, reconnu et appréhendé comme la saison la plus froide et redoutée de l’année par beaucoup de personnes, l’hiver présente pourtant beaucoup d’avantages. Alors que les arbres se dénudent, que le froid s’installe pour quelques mois et que le soleil disparaît de plus en plus souvent, l’hiver est une saison qui n’invite pas aux balades à la plage et aux nombreuses sorties entre amis. Au contraire, on a plutôt envie de se blottir dans son plaid fétiche, avec une tasse de thé bien chaude, et de ne plus bouger de son canapé !

    Mais si, au contraire, ce qui faisait de l’hiver une saison tant redoutée était un merveilleux moyen de se lancer dans de nouvelles choses ? Si les arbres perdent leurs feuilles, rien ne vous empêche de semer quelques graines de connaissance pour vous…

    Vous avez toujours rêvé d’apprendre l’espagnol, le russe ou le japonais ? C’est peut-être bien le moment de s’y mettre, si les distractions du printemps et de l’été ne pointent pas encore le bout de leur nez.

     

    Une question de dates ou de timing ?

    Vous sentez qu’il est grand temps de vous plongez dans un nouvel apprentissage, sans savoir quand ni comment commencer ? L’hiver peut être une bonne raison de se plonger dans les cahiers et de ressortir votre collection de surligneurs ! Et pour cause, en plus d’accompagner vos soirées d’une manière intéressante, de découvrir de nouvelles choses et d’éviter l’ennui de la routine, beaucoup de formations durent moins d’un an. Il est ainsi possible, selon la date à laquelle vous décidez de commencer un nouvel apprentissage, de vous retrouver avec un nouveau diplôme en poche dès le mois de septembre suivant. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle ou d’un changement de poste, c’est donc un bon avantage !

     

    L’hiver, ou la saison du renouveau !

    Que ce soit la saison en elle-même sans qui le printemps n’arriverait jamais, ou bien les mois qu’elle couvre, l’hiver peut être vu comme la saison du renouveau. Et pour cause, en plein cœur de l’hiver… la nouvelle année commence. Et qui dit nouvelle année dit l’opportunité de prendre un nouveau départ. Là encore, si étudier une matière précise ou débuter un loisir vous faisait de l’œil depuis des lustres, il est peut-être temps de vous lancer pour de bon !

     

    L’apprentissage est multiple

    Apprendre de nouvelles choses, s’essayer à de nouvelles pratiques, de nouveaux loisirs ou bien s’enrichir de nouvelles connaissances, ça permet également de mieux se connaître. L’apprentissage est toujours multiple, et peu importe quelle richesse l’on porte à notre cerveau, cela permet également d’offrir la possibilité à notre être, dans son entièreté, d’évoluer et de progresser dans la vie.

    Que ce soit par plaisir d’apprendre (et si j’allais au cours du soir en histoire de l’art ?), par curiosité (je me demande quelles sensations procure la poterie…), pour se lancer un défi (suis-je capable d’apprendre une nouvelle langue à mon âge ?) ou tout autre raison tout aussi valable et personnelle, apprendre reste toujours une option intéressante pour l’âme.

    Véritable nourriture pour l’esprit, nouvelles compétences pour le corps s’il s’agit d’un sport ou de certains loisirs, ou bien une nouvelle voie pour faire grandir son âme et devenir toujours plus soi-même, l’apprentissage nous rend toujours gagnant.

     

    « Au milieu de l’hiver, j’ai découvert en moi un invincible été. »

    Albert Camus

     

    Comme l’a dit le grand écrivain, l’hiver peut également être un excellent moment pour apprendre sur soi. A travers d’autres apprentissages ou même de manière plus directe comme en se concentrant sur soi et ses réels besoins et envies, l’hiver est l’occasion de faire le point et d’envisager de nouvelles voies si tel est votre désir.

    De même, si vous sentez que vous avez des choses à régler avec vous-mêmes, des addictions dont il faut se défaire, des soucis de sommeil dont vous voudriez vous libérer, il existe plein de solutions et de médecines parallèles qui pourront vous aider à avancer. C’est notamment le cas des séances d’hypnose que je propose. Le massage Kobido et le drainage lymphatique sont également très appréciés et permettent de se libérer des choses pesantes que la vie nous donne parfois trop généreusement !

    L’évolution personnelle est particulièrement importante dans une vie et un monde qui bougent à cent à l’heure, aussi, se découvrir, écouter ses limites, connaître ses envies et besoins, fait grandement partie du jeu.

     

    Ainsi, si l’hiver est une saison particulièrement froide, elle est également grandement propice aux différents apprentissages. Qu’il s’agisse d’apprendre une nouvelle langue, de déterminer qui vous êtes et qui vous voudriez être, ou bien d’envisager de reprendre la danse classique dix ans après avoir arrêter, tout est possible ! Avec un peu de temps libre et une bonne dose de motivation, tout est à portée main… gantée ! (Ça reste l’hiver, après tout !)

    Quelle que soit la formation dans laquelle vous souhaitez vous lancer, il est également important de prendre soin de soi. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Pour être dans les meilleures conditions possibles malgré le froid, ou que vous vouliez simplement essayer par curiosité, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
    Et si l’hiver est la saison des formations et de l’apprentissage, le printemps est celle de la découverte et de la connexion à soi ! Depuis peu, j’organise des retraites bien-être, visant à se reconnecter à soi, et toujours se connaître davantage à travers divers soins et exercices, le temps d’un week-end.
  • Comment réussir à s’émanciper d’un système éducationnel qui ne nous convient plus ?

    Comment réussir à s’émanciper d’un système éducationnel qui ne nous convient plus ?

    Politesse, mathématiques, respect, histoire-géographie… voilà tant de choses que l’on apprend lorsqu’on est encore enfant. Et en tant que tel, l’on ne comprend pas toujours ce qui est bon pour nous, ou non. Pour x ou y raisons, il arrive bien souvent que l’on fasse le choix de prendre un chemin détourné plutôt que la voie rapide afin de parvenir à grandir et trouver sa vocation, ou sa passion. Parce que l’école ne convient pas à tout le monde, parce que certaines valeurs sont parfois bafouées dans le cadre familial, il est important de pouvoir s’émanciper d’un système éducationnel lorsque  celui-ci ne convient plus. Mais comment faire ?

     

    Le système éducationnel, définition et origines

    En France, l’école est aujourd’hui laïque et obligatoire jusqu’à seize ans. Depuis la loi de Jules Ferry en 1882, l’école est un lieu où les enfants doivent se rendre afin d’apprendre certaines bases qui pourront servir une fois dans le monde du travail, et dans la société en tant qu’individu adulte et travailleur. Si les nuances de ces lois se sont établies au fil des siècles, il demeure que l’école est une case par laquelle, en France, tous les enfants passent.

    Mais plus largement, le « système éducationnel » comprend également les méthodes d’éducation des enfants par leurs ascendants (qu’il s’agisse des parents ou des grands-parents, d’un oncle, d’une tante… etc.). Autrement dit, le système éducationnel comprend tout autant la manière dont les écoles délivrent les enseignements et les programmes scolaires, que la façon dont les parents peuvent transmettre des valeurs et des normes à leur progéniture.

    C’est aussi à partir de ce système que vient parfois, pour l’enfant tant que pour les parents, le choix d’émanciper, de séparer l’enfant du système éducationnel.

     

    Le choix des parents ou de l’enfant concernant l’école

    Très tôt, il arrive que des parents fassent le choix de ne pas laisser leur enfant dans la jungle d’une école comme on la connaît. Pas de cours de récréation, mais d’avis de professeurs non plus, et surtout, moins de risque de harcèlement. Qu’ils s’orientent vers les cours à domicile ou par correspondance, le fait est que les enfants prennent le temps de comprendre et d’apprendre.

    Dans le cas de l’école, les choses sont un peu différentes. Selon ce qui s’y passe, les enfants peuvent tout à fait trouver leur place comme ils peuvent rapidement se sentir dépassés, délaissés ou complètement en marge des autres. Qu’ils décident de se mettre à l’écart d’eux-mêmes ou bien qu’ils y soient mis par autrui, le résultat est le même : l’école devient une source de frustration et de peur.

    Il arrive enfin, dans certains cas, que l’enfant comprenne que le modèle de l’école et la façon d’apprendre ne lui conviennent tout simplement pas. Dans ce cas, l’enfant peut alors faire la demande à ses parents de pouvoir trouver une solution plus adaptée. Jusqu’à un certain niveau, les parents n’étant pas professeurs mais relativement pédagogues peuvent prendre en charge l’éducation de leur enfant. Mais arrivé à une certaine classe (secondaire, par exemple), il faudra trouver une solution plus adaptée. Les cours par correspondance en sont une, notamment.

     

    La décision d’un enfant pour s’émanciper d’une façon de penser

    Par ailleurs, quel que soit le système éducationnel qui ne convient pas à l’enfant, il est important qu’il puisse s’en détacher. Il existera toujours des voies parallèles, des chemins de traverse, des routes plus longues et plus dures, mais parfois plus adaptées. L’important est de comprendre que l’enfant n’est pas nul, bête, ou inattentif ; mais que le système tel quel ne lui parle pas, ne le touche pas, ne parvient pas à l’intéresser.

    De plus, si jamais l’enfant exprime le besoin d’apprendre de nouvelles choses, il existe de nombreux autres supports qui permettent d’apprendre avec plus de facilités. Car les méthodes d’apprentissage sont multiples et variées, il ne peut exister un seul modèle éducationnel qui soit en mesure de convenir à tout le monde.

    Ainsi, écouter un enfant semble essentiel. Les enfants ne mentent pas, ils disent ce qu’ils ressentent si on leur en donne l’occasion. Autrement, ils apprennent simplement à se construire sur ces bases légèrement bancales, et cela les suit ensuite dans la vie adulte. Et si l’enfant comprend rapidement ce qui ne lui convient pas sans savoir pourquoi, l’âge et l’expérience lui apportent la sagesse d’intégrer que parfois, les valeurs qu’on lui transmet ne lui conviennent pas.

     

    Les sources d’apprentissage autres que l’école et la famille

    Exceptés l’école et le cadre d’un foyer, il existe de nombreuses autres méthodes pour parvenir à s’instruire, se construire et se pousser sur de nouvelles voies de réflexion. Parmi elles, l’on retrouve :

    Lire : si le concept est évident, ce que l’on ignore beaucoup, c’est que même un livre de fantasy permet d’apprendre de nombreuses choses. En lisant, et sans s’en rendre réellement compte, le cerveau comprend de nouveaux mots, assimile les orthographes, et la lecture permet d’enrichir le vocabulaire. Si de surcroît, le livre est un livre d’apprentissage ou qui pousse à la réflexion comme un livre de développement personnel ou bien de philosophie, le cerveau intègre également de nouveaux cheminements de pensées et développe la logique. Enfin, n’importe quel livre permet de nourrir l’imagination, et par extension, la créativité !

    Cinéma : tout comme les livres, le cinéma et les séries peuvent être une source d’apprentissages très intéressante ! En effet, selon les sujets traités et abordés dans certains films, il est possible de développer son champ de connaissances.

    Les arts en général : lecture ou écriture, cinéma ou photographie, il est possible de s’enrichir culturellement grâce aux arts existants. Ils développent une certaine sensibilité, apprennent des éléments historiques parfois passés sous silence dans certains cours d’histoire, et offrent aussi la possibilité de mieux se connaître.

    Les cours par correspondance : ils ont été évoqués plus haut, mais ils représentent bien souvent une porte de sortie au système éducatif très intéressante. Notamment dans le supérieur, les cours par correspondance permettent de choisir une voie qui nous correspond vraiment, et surtout, des voies « parallèles » qui ne sont pas forcément proposées dans un cadre scolaire traditionnel –il n’y a pourtant pas de sot métier ! Ils demandent cependant une certaine autodiscipline et une grande motivation pour être menés à bien. Mais si le sujet nous plaît… la motivation et la discipline viennent naturellement !

    Voyager : c’est sûrement la meilleure solution pour apprendre de nouvelles connaissances. Qu’elles aient une portée culturelle, humaine, sociale, ou intellectuelle, le voyage forge une personne et lui permet la tolérance et l’empathie. Découvrir comment est « l’ailleurs » au-delà de l’idée qu’on s’en fait permet également d’acquérir patience, humilité, et bienveillance. Des valeurs qui ne sont pas toujours transmises dans le cadre familial… !

    Ne pas rester sur ses acquis : la chose la plus importante pour apprendre de nouvelles choses est sûrement de ne jamais rester sur ses acquis. Bien qu’ils soient très confortables, il est essentiel d’être toujours ouvert à l’avis contraire au sien, et surtout, d’admettre que parfois, il est possible de se tromper. Si l’Homme évolue tout au long de sa vie, bien heureusement, sa pensée en fait de même !

    Les réseaux sociaux : si cela peut paraître un peu contre-productif, il existe pourtant bel et bien de nombreux comptes d’information sur les réseaux-sociaux qui permettent d’apprendre de nouvelles choses. La technologie est après tout un outil de notre siècle, autant l’utiliser à bon escient !

    Les amis : pour un enfant, c’est le premier lien social extérieur à la famille. Ce lien social est important, puisqu’il lui permet alors de comprendre, envisager une autre façon de procéder. Si certaines valeurs sont similaires d’une famille à l’autre (respect, politesse…etc.), d’autres peuvent changer. En observant les différents fonctionnements des familles de ses amis, l’enfant pourra également assimiler que d’autres voies existent, et qu’un parent peut parfois se tromper.

     

    Ainsi, il existe de nombreuses façons d’apprendre de nouvelles choses, au-delà même de ce que l’école ou le cadre familial peut transmettre. L’être humain évolue, change, se trompe et réussit parfois. Mais ce qui est beau, c’est qu’à sept ans comme à soixante dix-sept ans, l’apprentissage de la vie n’est jamais totalement fini. Alors si le système éducationnel ne permet pas l’épanouissement pour tous, nulle inquiétude. Il existe des chemins détournés, des routes moins empruntées, qui sont tout aussi honorables.

    S’émanciper d’un système qui ne nous convient pas demande une certaine force, car tous les moments ne seront pas simples. Il s’agit de se choisir soi, et son futur. Et nul doute que lorsqu’on erre pendant un temps indéterminé sur les voies rapides de la connaissance basique, les autres routes autour restent bien en place. Il n’est donc jamais trop tard pour bifurquer !

    Besoin de faire le point, de vous recentrer, de vous alléger de certaines angoisses avant d’emprunter une nouvelle voie ? Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. vous pouvez naturellement prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
    Et puisque parfois, trouver sa voie passe par trouver sa voix, je propose des retraites bien-être depuis peu. Il y en aura différentes au cours de l’année, et elles permettent surtout de pouvoir se découvrir, se connecter à soi et s’apprendre toujours plus afin de connaître son “moi profond”. Ces retraites bien-être, sont un véritable chemin clair et accompagné pour toujours tendre à une paix intérieure et revenir dans son quotidien en ayant davantage de recul sur les soucis de la vie.
  • Peut-on monter sa boîte sans argent de côté ?

    Peut-on monter sa boîte sans argent de côté ?

    Monter sa propre entreprise et se lancer dans l’aventure de l’auto-entreprise, c’est parfois une étape clé dans la vie. Changer de voie du tout au tout ou ne simplement plus dépendre d’un patron avec tout ce que cela implique, les raisons de se lancer sont multiples et variées. Mais comment parvenir à monter son entreprise sans que le projet ne se casse la figure avant même d’avoir pu être abouti ? Et surtout, comment se lancer lorsqu’on a zéro économie ?

     

    Identifier son idéal et ce qui est possible

    Monter sa propre entreprise, c’est une étape clé pour tout auto-entrepreneur. Mais bien souvent, entre le rêve et la réalité, il y a une multitude de lois et de règles qui empêchent de parvenir à l’exacte réplique de ce que l’on s’est imaginé. Alors comment procéder ?

    Dans un premier temps, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez vous lancer dans cette voie. Car selon les raisons qui vous motivent, vous pourrez déterminer ensuite la direction dans laquelle vous voulez vous aller et surtout, les conditions dans lesquelles vous le ferez – après tout, vous serez votre seul patron !

    A partir de ce point précis, il sera important et essentiel de faire quelques recherches. Selon l’activité que vous voudrez exercer, il sera nécessaire de choisir le statut juridique de l’entreprise le plus adapté. Et selon ce statut, il en découlera un plan économique (« business plan ») à également envisager.

    Et vous voilà en route vers l’aventure difficile mais merveilleuse de l’auto-entreprise !

     

    Peut-on se lancer sans avoir d’économies ?

    Lorsque j’ai quitté mon job dans le marketing, je suis partie faire un tour du monde. J’avais besoin de me connaître avant de savoir ce que je voudrais faire. C’est ironiquement en apprenant à me connaître, que je me suis rendue compte que je voulais aider les gens, travailler avec l’humain, et surtout, pouvoir guider les gens sur le chemin d’un meilleur bien-être. Et lorsque j’ai décidé de monter ma boîte, je n’avais pas d’économies. Pourtant, à coups d’efforts et de détermination, j’ai pu y parvenir. Car quand on y croit assez, rien n’est impossible !

    Mais rien n’a pourtant été facile. Il y avait des dépenses –et il y en a toujours-, qui m’ont également poussée à travailler à côté en tant que baby-sitter ou mascotte. Mais croyez-moi, le jeu en valait la chandelle. C’était une évidence, et si c’est aussi le cas pour vous, alors il existe plein de solutions pour pouvoir se lancer sans avoir trop voire pas du tout d’économies.

    Ce sera un parcours plus difficile, mais à nouveau, pas impossible !

     

    Les dépenses inévitables lors de la création d’entreprise

    • Selon le statut juridique de l’entreprise que vous vous apprêtez à monter, il y a parfois des frais qui peuvent s’appliquer. C’est le cas notamment pour les entreprises SAS et SARL. Seul le statut de micro-entreprise ne nécessite aucun frais.
    • Le matériel selon l’activité que vous choisissez d’exercer.
    • La communication, car il faut bien attirer et informer les clients de ce que vous vendez.
    • Au besoin d’un local, il y aura également des frais qui seront engagés. Et parfois même, des frais réguliers (loyer… etc.).
    • La fiscalité : certaines entreprises, selon leur statut, doivent payer des impôts même lorsque leur entreprise ne fait pas encore de bénéfices.

    Vous l’aurez compris, les frais de création peuvent rapidement s’accumuler et faire couler la barque d’économies. Il est donc important de voir ce qui peut être fait dans un second temps, et surtout, de prévoir les besoins que vous aurez pour votre entreprise, au moins durant les deux premières années. Ainsi, vous pourrez mieux vous organiser et surtout « voir venir ».

     

    Avoir quelques moyens, mais pas une fortune

    Si créer son entreprise avec zéro euro peut ressembler à une montagne difficile à gravir, il est possible d’avancer pas à pas. Notamment dans le cas où vous auriez quelques euros, même si ceux-ci sont une partie de votre salaire actuel. Encore une fois, prévoir sera de mise, y compris si vous décidez de tout risquer. Il est donc possible de pouvoir « investir » petit à petit dans son entreprise, et payer les frais de création sans se mettre dans une galère sans nom.

    De plus, il existe de nombreuses aides et petites astuces qui peuvent aider à vous lancer, si vous ne possédez aucune économie. Parmi elles :

    • Profiter des aides que l’Etat propose: parmi elles, il y a notamment l’ACRE ou l’ARE. De plus, il existe aussi des aides sociales ou/ et fiscales qui permettent d’alléger les coûts de votre entreprise, au moins la première année. Enfin, il existe aussi certains prêts publics qui sont accordés, et représentent un beau pécule pour débuter un projet d’auto-entreprise.
    • Le financement participatif: si de plus en plus de personnes ont recours à ce moyen, c’est car il est une aide non négligeable. Le crowdfunding, c’est expliquer son projet sur une plateforme adaptée, et donner l’occasion aux gens de vous soutenir financièrement. Outre le fait d’alléger les coûts et frais d’entreprise, il est également possible de faire appel au crowdfunding lors des différentes étapes de développement d’entreprise. Contrairement aux aides au-dessus, le crowdfunding est accessible à n’importe quelle étape de l’aventure d’auto-entrepreneur !
    • Utiliser son compte de formation : au-delà des financements, il est également possible de se former gratuitement ou à moindre coût une fois l’entreprise lancée. En effet, et surtout si vous avez bénéficié d’un travail salarial avant de vous lancer, vous pouvez profiter des avantages d’un compte de formation, et vous tourner vers des formations gratuites ou plus accessibles.

    Il existe donc différentes possibilités qui permettent de ne pas devoir investir des milles et des cents lors de la création de son entreprise, ou du développement de celle-ci, dans un second temps. Évidement, il existe aussi d’autres solutions comme le fait de demander à des proches qui sont prêts à vous soutenir, de vous aider – savoir demander de l’aide est important et nullement un acte de faiblesse, bien au contraire !

     

    Et si comme moi, vous vous lancez sans avoir d’économies, il est également possible de prendre quelques petits jobs en parallèle, qui permettront de vivre et de commencer plus sereinement. Quelle que soit l’activité dans laquelle vous souhaitez vous lancer, il est important de vous sentir prêt-e. Et souvenez-vous, malgré les obstacles et les difficultés, que c’est pour un avenir meilleur.

    A cœur vaillant, rien d’impossible !

    Manque de sommeil, angoisse de vous lancer ? Je m’appelle Charlotte Vallet, suis hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, et vous propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique, ou le drainage du visage. En plus, il est possible de consulter pour une séance d’hypnose selon vos besoins. Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
    Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de prendre du temps pour soi, et de se découvrir davantage. Cela peut s’avérer d’une grande aide pour les femmes qui hésitent encore, ou que le doute étreint parfois trop fort. Retrouvez-vous, offrez-vous du temps et les moyens de vous connecter à votre moi profond.
  • Le rebirth,  qu’est-ce que c’est ? Cette technique qui a réoxygéné tous mes sens

    Le rebirth, qu’est-ce que c’est ? Cette technique qui a réoxygéné tous mes sens

    Découvert dans les années 60, le rebirth est une méthode de développement personnel. Bercé de controverses, ayant quelques contrindications mais se montrant pourtant efficace pour beaucoup de personnes, voici ce qu’est le rebirth, et ce en quoi il consiste. Une méthode qui réoxygène tous les sens de par son efficacité et la liberté qu’il offre : à découvrir !

     

    Définition et origines

    Le rebirth est un terme anglais qui signifie littéralement « renaissance ». Ce mot désigne une méthode de développement personnel qui existe depuis plus d’une cinquantaine d’années. En effet, dans les années 60-70, Leonard Orr met au point cette pratique dans le but de pouvoir entamer un processus de guérison concernant des blessures anciennes.

    Également auteur, Leonard Orr est un pionner dans son domaine. Après avoir passé plus d’une dizaine d’années à mener ses observations personnelles, il défend désormais le rebirth comme l’une des méthodes les plus efficaces pour se débarrasser de ses peurs, blocages et blessures.

     

    Le rebirth : quels principes ?

    Le rebirth est donc une méthode qui est aujourd’hui associée à l’idée de développement personnel. Cette pratique permet de repartir sur des bases nouvelles à chaque moment. Il s’agit donc, à l’aide d’une respiration dite consciente, de retrouver sa première inspiration de vie. Autrement dit, le rebirth est une expérience qui permet de revivre les premiers instants de sa vie afin d’en comprendre et de cerner les blocages qui ont eu lieu durant cette période.

    Et pour cause, les premières années de vie sont celles durant laquelle la plupart des blocages émotionnels et des peurs prennent leur source. Y revenir et les revivre permet ainsi de mieux les comprendre pour pouvoir ensuite s’en débarrasser à l’âge adulte au lieu d’en être prisonnier.

     

    Comment ça fonctionne ?

    Le rebirth, en théorie, consiste à respirer de manière consciente durant 45 minutes environ. Une séance de rebirth se pratique d’ordinaire en étant allongé sur le dos, et en se concentrant totalement sur la respiration. Les yeux fermés permettent de mieux se concentrer. Petit à petit, la respiration est accélérée volontairement par la personne qui pratique le rebirth, et le souffle s’amplifie. Dès lors, la phase de respiration consciente est alors amorcée.

    Ces séances, selon le thérapeute qui l’exerce, peuvent alors se dérouler de différentes manières. Tantôt sous l’eau, tantôt allongé, par le nez ou bien par la bouche, il existe de nombreuses façons de pratiquer le rebirth. Mais la volonté du résultat en reste inchangée.

    En accélérant la respiration, l’apport d’oxygène dans le corps est augmenté, et débloque ainsi des mécanismes mentaux qui peuvent être inhibiteurs. Le patient découvre alors les clefs qui permettent de se libérer des blocages du passé, de pouvoir apprécier et mieux vivre dans le présent.

     

    Pourquoi pratiquer le rebirth ?

    La plupart des peurs et blocages présents dans la vie adulte résultent de blessures émotionnelles survenues lors de la naissance ou peu de temps après. Le fait de revivre cette naissance autant que faire se peut, permet alors de trouver plus clairement la source de ce qui bloque aujourd’hui. Comme un retour en arrière du corps, l’accès à la mémoire émotionnelle se débloque alors. Et qu’est-ce que ça fait du bien !

    Mais pour quelles raisons est-il intéressant de faire une séance de rebirth ? Comme pour toute thérapie, il peut y avoir plusieurs facteurs à prendre en compte et qui peuvent mener à faire une séance. Parmi eux :

    • La volonté de diminuer le stress, l’angoisse ou l’anxiété ;
    • Dans le cas d’une dépression ;
    • Lors d’une crise ou situation de crise (deuil, maladie, perte d’emploi…Etc.)
    • Dans le cadre d’une psychothérapie, d’une psychanalyse ou dans l’encadrement d’un stage de développement personnel par exemple.

     

    Et en pratique, alors ?

    Si en théorie, le rebirth se pratique de différentes manières selon les thérapeutes, en pratique, il existe différentes séances qui peuvent prendre forme. D’une première part, il peut y avoir des séances individuelles, durant lesquelles le thérapeute sert de « guide » au patient. Assis près de lui, le professionnel aide le patient dans ses inspirations et l’éclaire dans ses expirations. C’est donc à travers le rythme de cette respiration que les souvenirs à la source des blocages du présent pourront refaire surface.

    Il existe également des séances collectives, durant lesquelles il est également possible de faire remonter les souvenirs à l’origine des problématiques du présent. Toutefois, la séance collective permet également une prise de parole antérieure et/ou postérieure à la séance de respiration consciente. De plus, le fait de ne pas se retrouver seul avec le thérapeute peut ouvrir la voix –littéralement !- à la sensation de confiance car l’on n’est pas seul et il sera, pour beaucoup, plus simple de s’exprimer.

    Il est également à noter qu’en séance individuelle ou collective, il est possible que les premières séances de respiration consciente ne provoquent pas chez les patients les sensations éprouvées lors de la naissance. La plupart du temps, il faudra plus de trois séances pour parvenir à ce stade et pouvoir commencer à ressentir les effets désirés.

     

    Y a-t-il des contre-indications ?

    La pratique du rebirth ne présente pas beaucoup de contre-indications. En revanche, il y en a tout de même quelques unes, qu’il n’est pas envisageable de laisser de côté. Parmi elles, l’on retrouve notamment :

    • Le rebirth est déconseillé pour les personnes trop fragiles émotionnellement, ou psychologiquement déstructurées ;
    • Les personnes qui doivent suivre un traitement à base d’antidépresseurs ou de somnifères. Et pour cause, en raison de leur force, ces médicaments pourraient altérer les effets d’une séance de rebirth sur le corps et l’esprit d’un patient ;
    • Les personnes enceintes de plus de 6 mois. En effet, au-delà de six mois de grossesse, le rebirth pourrait être à l’origine du déclenchement d’un accouchement. Avec des personnes qui ont beaucoup de pratique, il est possible de l’envisager, mais la séance devra être très surveillée pour éviter toute complication.

     

    Quelques sources supplémentaires !

    Si le sujet du rebirth vous intrigue et que les réponses n’ont pas été apportées dans cet article, quel autre meilleur moyen de se renseigner que de se tourner directement vers les professionnels du rebirth ! Voici quelques recommandations bibliographiques qui permettront d’étayer le sujet :

    • Leonard Orr et Sondra Ray, Re-birthing, renaissance au Nouvel-Âge, Guy Saint-Jean, Canada 1977/1980/1982.
    • Leonard Orr, La respiration consciente, Editions Ronan Daniel, 1985.
    • Dominique Levadoux-Feuillet, Renaître, vers une psychanalyse du souffle, Chemins de l’harmonie, Paris 1997.

     

    Ainsi, le rebirth est comme un chemin qui emmène dans le passé, afin de mieux profiter du présent. Avec ou sans musiques, les séances de rebirth sont aussi différentes qu’efficaces pour certaines personnes -elles l’ont été pour moi ! Plongez dans votre passé enfoui pour comprendre les blocages du présent, et les laisser derrière vous !

    Et si vous souhaitez explorer d’autres voies, je propose des séances d’hypnose qui permettent, tout comme le rebirth, de s’affranchir des angoisses, de l’anxiété, et de réduire les causes du stress. De même, en cas de soucis de sommeil, ou d’addiction, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib. A savoir que je propose également des soins thérapeutiques pour le corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du corps.

    Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
    Et pour toutes les amatrices de grand air, je propose des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi-même, loin du quotidien et des soucis qu’il apporte. Bienveillance, partage, écoute de soi et des autres vous guideront lors de ces quelques jours hors du temps. Vous êtes la seule maîtresse de votre bien-être !
  • Garder la pêche en automne : bilan des vitamines et aliments qui aident le corps

    Garder la pêche en automne : bilan des vitamines et aliments qui aident le corps

    L’automne s’achève bientôt… mais êtes-vous vraiment prêts pour affronter l’hiver ? Et votre corps ? Votre esprit ? La saison froide se déclarera bientôt, et peut-être avez-vous raté les meilleurs tips afin de garder la pêche malgré le temps qui se dégrade !

     

    Les aliments qui aident à passer au travers de l’automne

    La première chose à faire lors d’un changement de saison, c’est de changer… l’alimentation ! Aussi simple que cela puisse paraître, on a tendance à oublier que tous les aliments que nous fournit la nature ont bel et bien une saison propice à leur consommation et leur production. C’est notamment le cas pour ces fruits et légumes automnaux, qui sont bien souvent oubliés.

    Les poireaux : peu calorique, le poireau est un légume souvent délaissé ou directement mélangé avec d’autres légumes dans une soupe. Pourtant, il présente de nombreux avantages, notamment grâce aux fibres qu’il contient ainsi que ses vitamines, qui aident l’organisme contre les cancers de l’intestin.

    Le chou : qu’il soit rouge, rave, blanc ou frisé, cette crucifère présente de nombreuses vertus sous-estimées. Peu calorique, il est pourtant riche en différents minéraux essentiels à l’organisme. Calcium, potassium et phosphore, il aide surtout, grâce aux enzymes qui le composent, à éliminer les toxines présentes dans le corps. Ainsi, l’ADN est nettoyé et vieillit moins vite. Crus en salade ou bien cuits, les choux se mangent à toutes les sauces !

    Les lentilles : comme beaucoup de légumineuses, les lentilles sont une excellente source de protéines et d’antioxydants. Elles sont également, comme leurs cousins les pois-chiches, très riches en fibre, ce qui favorise le processus de digestion. En revanche, le fer que les lentilles contiennent est dit « non héminique », ce qui signifie que l’organisme a parfois du mal à l’absorber. En salade ou cuites, les lentilles conservent leurs bienfaits malgré tout ! Et si elles sont associées à des tomates ou du chou (riches en vitamine C), le fer est mieux absorbé par le corps.

    Le potiron : et plus généralement la totalité des courges (potimarron, citrouille…etc.) sont très riches en fibres et peu caloriques. Plein d’antioxydants, le potiron est une courge qu’il est bon de consommer en automne pour faire le plein de vitamines et s’imprégner pleinement de la saison orange ! Par ailleurs, les graines de citrouille présentes un taux de tryptophane élevé, un acide qui augmente la production de sérotonine et provoque un effet apaisant. Les graines séchées de citrouilles sont d’ailleurs des éléments parfaitement comestibles ! Pour le potiron, en revanche, il faudra privilégier la soupe ou la purée, qui n’altèreront pas ses vertus.

    Les champignons : s’ils font souvent office d’accompagnement, ils sont pourtant source de nombreux bienfaits pour le corps. Source d’eau, de cuivre et de sélénium (qui lutte contre le vieillissement de l’ADN et des enzymes le composant), ils ne contiennent de surcroît aucune matière grasse. En salade ou revenus à la poêle, il est possible de les déguster de différentes façons.

    Les châtaignes : antioxydantes et peu grasses, ces petits oléagineux sont riches en fer, en potassium et en calcium. Et puisque c’est la saison, il est possible d’en trouver partout en forêt ! De même, les noix sont également très appréciées par le corps, car riches en oméga-3 et acides gras qui sont essentiels à la peau et pour le cerveau. Enfin, les oléagineux sont également riches en magnésium peuvent agir sur les neurotransmetteurs responsables de la régulation de l’humeur. En collation ou dans une salade, les noix et les châtaignes sont toujours les bienvenues dans les assiettes et les organismes. Adieu les coups de blues, bonjour les châtaignes grillées !

    L’ail : s’il est connu pour l’haleine difficile à soutenir, c’est bien là le seul préjudice de l’ail. Car à côté de ce petit désavantage bien vite réglé, il est surtout un allié de taille pour le corps humain. Antibactérien naturel, riche en minéraux et en vitamines, l’ail aide tout autant le système immunitaire à se renforcer, qu’il permet de le « détoxifier » à son échelle.  Il peut se consommer cuit ou cru – sachant que ses bienfaits sont plus importants lorsqu’il est cru.

    Les oranges : on a tendance à l’oublier, mais l’automne est la saison parfaite pour les agrumes… et donc, les oranges. Les presser soi-même ou les croquer en quartiers, l’orange reste riche en vitamine C, essentielle pour faire le plein d’énergie et lutter contre les virus et les bactéries présentes partout.

    Le raisin : souvent laissé de côté à la fin des beaux jours, le raisin est pourtant un allié de taille durant l’automne et à l’approche de l’hiver. Et pour cause, ce fruit en grappe a une influence directe sur les vaisseaux sanguins. Riches en fibres, il aide également durant le processus de digestion. Bien qu’il soit un peu calorique, il offre énergie en cas de fatigue. Un grain par-ci ou par-là permet alors au corps de se rebooster !

     

     

    Le plein de vitamines et de minéraux

    Parce que le corps a parfois besoin d’un peu plus d’énergie que ce que les aliments confèrent, il est possible d’y ajouter quelques vitamines naturelles, d’autant plus que certaines d’entre elles sont plus rarement présentes en automne ou en hiver (la vitamine D…).

    La gelée royale : riche en protéines, sucres, en gras, en oligo-éléments et plein de vitamines, il faut passer son aspect blanchâtre pour apprécier ce met automnal. Car en cas de baisse d’énergie, la gelée royale est emplie de vitamine B, de magnésium et d’acides qui fortifient l’organisme. De même, en cas de dépression saisonnière, la gelée royale est une alliée du quotidien qui aide à apaiser l’esprit et le corps. Mélangée à du miel, une petite noix de gelée royale peut faire des miracles !

    La propolis : récupérée par les abeilles pour assainir leur ruche, la propolis possède le même effet sur le corps humain. Riche en en antioxydants et en phénols, elle a des vertus antiseptiques avérées. Plus encore, la propolis permet de tenir à l’écart toute production de germe, de virus ou de bactéries. En gélule ou en sirop, la propolis est une alliée idéale pour l’arrivée de l’hiver.

    L’acérola : riche en vitamine C, ce petit fruit qui ressemble à une petite tomate de la taille d’une cerise est un excellent tonifiant. Elle permet de prévenir les affections que l’hiver apporte toujours dans son sillage. En pharmacie ou dans les magasins bios, elle est disponible en gélule. Idéal pour faire une bonne cure !

    L’extrait de pépin de pamplemousse : souvent laissé de côté pour son amertume, le pamplemousse présente pourtant de nombreux bienfaits. Il a notamment été notifié d’antibiotique naturel depuis plusieurs années. Sa composition riche en antioxydants lui offre la possibilité d’être aussi efficace en prévention qu’en traitement. Il soutient le système immunitaire sans faillir, et redonne de l’énergie à tout le corps. Les extraits de pépins de pamplemousse sont d’autant plus efficaces. Ils sont disponibles en pharmacie ou en magasins bios, et sont à diluer dans une boisson chaude pour ne pas altérer les bienfaits de l’extrait.

     

    Ainsi, il existe de nombreuses façons de traverser l’automne et les risques qu’il apporte fatalement. De même, il est possible de compléter les bienfaits des aliments par des cures de vitamines éphémères. Tout comme il existe des façons de se préparer à l’arrivée de l’hiver, il est important de privilégier ce que la nature offre et de se tourner vers un bien-être holistique et harmonieux !

    Et si votre corps vous fait ressentir quelles sont ses limites, n’hésitez pas à vous tourner vers d’autres solutions. Par exemple, le drainage lymphatique peut prodiguer une sensation “détox” sur tout le corps. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Le drainage lymphatique ou le drainage du visage sont notamment des soins que je propose.

    Par ailleurs, si vous souhaitez vous y essayer, vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.

    Enfin, pour en apprendre davantage sur moi, n’hésitez pas à écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou encore mon podcast intitulé Combattantes.
    Sans oublier que le printemps reviendra un jour, et avec lui, de nombreuses nouvelles opportunités ! Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi en pleine nature, dans un cadre paisible. Idéal pour toutes celles qui veulent se retrouver, se découvrir, ou prendre le temps de se connaître !
  • Les bienfaits des bains de pieds

    Les bienfaits des bains de pieds

    Souvent oublié, parfois laissé de côté ou totalement ignoré, le bain de pieds a pourtant de nombreuses vertus. Ils nous portent, nous supportent, c’est grâce à eux que certaines chaussures nous vont si bien et pourtant, on a tendance à les oublier. Mais les pieds nécessitent parfois une attention toute particulière. Quels sont donc les bienfaits d’un bain de pieds ?

     

    Les origines du bain de pieds

    Qui n’a jamais vu sa grand-mère plonger ses pieds dans une bassine d’eau chaude, l’air détendu et heureux ? Les bains de pieds existent depuis toujours. Chauds ou froids, ils permettent de soigner bien des maux et parfois même aussi l’esprit ! Descendant direct des soins thermaux délivrés dans les thermes en Rome Antique ou les fameux hammams en Orient, il faut attendre plusieurs siècles pour que le bain de pied soit apprécié par un plus grand nombre. Au XIXe siècle, l’hydrothérapie apparaît en Occident, et avec elle, le bain de pied se popularise.

     

    Les pieds : centre névralgique important

    Ce que peu de gens savent, c’est que sous la voute plantaire, il y a une grande concentration de terminaisons nerveuses qui permettent de relier tous les organes du corps sous la totalité des deux pieds. Ainsi, il est possible de faire s’apaiser –voire disparaître- une migraine en massant un endroit spécifique.

    Il est donc d’autant plus important de prendre soin de ses pieds. Et cela est sans compter les douleurs qui peuvent se révéler à la suite d’une journée chargée ou d’autres raisons et paramètres extérieurs.

     

    Les bienfaits du bain de pieds

    Prendre un bain de pied, c’est l’occasion de prévenir de nombreuses douleurs corporelles et au niveau des pieds. Et pour cause, le bain de pied présente de nombreux bienfaits. Parmi eux :

    Les bienfaits pour la peau :

    Sécheresse, corne ou inflammation tel que psoriasis, les bains de pieds peuvent s’avérer très efficaces pour lutter contre ces désagréments du quotidien. L’eau chaude –ou froide, dans certains cas-, permet alors d’adoucir la peau et de la soigner en partie grâce à une bonne hydratation. Pour cela, il suffit d’associer l’eau à quelques petits autres ingrédients.

    Les bienfaits sur le système nerveux :

    Comme écrit il y a quelques lignes de cela, les pieds comprennent une très grande quantité de terminaisons nerveuses. Autrement dit, chaque zone du pied correspond à une partie spécifique du corps humain, ou l’un de ses organes. Prendre soin de ses pieds, c’est donc également s’offrir un moment pour relaxer la totalité du corps. En cas de stress ou d’anxiété, les bains de pieds permettent de se détendre, de décompresser et renforcent les pieds en cas de travail quotidien debout.

    Les bienfaits pour le corps dans son ensemble :

    Puisque les pieds sont en lien direct avec tout le reste du corps, en cas de divers petites gênes, le bain de pieds peut alors s’avérer être d’une grande aide. C’est notamment le cas pour ce qui est de la circulation sanguine, ou de la sensation des « jambes lourdes » qui survient parfois. Plus précisément, le bain de pieds à l’eau froide sera ici un atout précieux, qui permettra de dynamiser l’organisme et de stimuler dans le même temps le système immunitaire – qui s’en retrouve renforcé. Le risque de varice s’éloigne ainsi, et avec lui, les sensations désagréables parfois éprouvées !

     

    Que mettre dans l’eau du bain de pieds ?

    Chaque bain de pied est différent. Si les causes qui mènent à en faire un peuvent être multiples et diverses, les ingrédients dépendront justement desdites causes. Autrement dit, un bain de pieds pour se débarrasser de sa corne ne contiendra pas les mêmes ingrédients qu’un bain de pieds visant à soulager une quelconque douleur !

    Meilleure circulation sanguine :

    Pour la recherche d’une meilleure circulation sanguine, ou à cause de douleurs inflammatoires, il est conseillé de favoriser l’eau chaude, à laquelle sont ajoutées deux cuillères à café de vinaigre de vin blanc, ou de vinaigre de cidre.

    Eliminer les toxines :

    Grâce à un bain de pieds chaud ou froid contenant de l’argile bentonite ou plus simplement des sels minéraux, il est tout à fait possible de détoxifier l’ensemble du corps (toujours grâce à ce lien entre les pieds et le reste du corps !)

    Pour hydrater les pieds :

    Pour l’hydratation, l’eau tiède est recommandée. Associée à une lotion laiteuse, elle permettra à la peau d’être hydratée sur toute la surface du pied. Aussi, il est possible d’ajouter une à deux cuillères à café de miel dans la bassine d’eau afin de favoriser davantage l’hydratation, et de laisser une jolie sensation de douceur !

     Se débarrasser de la corne :

    Pendant environ quinze minutes, il est important de laisser tremper les pieds dans de l’eau tiède ou chaude. Le sel de bain, ou plus simplement du gros sel de cuisine, permettent de lutter efficacement contre la présence de corne. Moment relaxant, prévoyez tout de même une serviette à portée de pied pour le moment post-bain de pieds !

    Réguler la transpiration :

    Le bain de pieds, qui permet de nombreux soins, offre aussi la possibilité de lutter contre les excès de transpiration. Pour ce faire, du thé vert devra être infusé dans l’eau tiède de la bassine. A hauteur d’un sachet de thé pour 1L d’eau, il est important d’attendre une dizaine de minutes avant de plonger les pieds dans ce mélange salvateur. Laissez ensuite tremper vos pieds pendant un quart d’heure environ.

    Soulager la douleur :

    Les douleurs sont parfois nombreuses et difficilement compréhensibles. Si une douleur survient au niveau des pieds, il est possible d’investir dans des appareils qui favorisent la guérison des douleurs corporelles dans leur ensemble (maux de tête, problèmes de foie, de dents, crampes multiples…etc.). Et pour cause, l’appareil spécifique et doté d’options permettra un soin complet qui se rapproche beaucoup de la réflexologie plantaire, soignant ainsi le corps à travers les diverses zones des pieds.

     

    Les huiles essentielles pour les bains de pieds

    Si parfois, les recettes initiales des bains de pieds ne sont pas porteuses des meilleures odeurs, il est envisageable d’ajouter dans l’eau chaude, tiède ou froide quelques gouttes d’huile essentielle afin de favoriser les effets recherchés. Parmi les huiles efficaces, l’on retrouve :

    L’huile essentielle de cyprès : qui améliore la circulation sanguine (et éloigne les varices, jambes lourdes…etc.) ;

    L’huile essentielle de genièvre : agit sur les rhumatismes et les crampes ;

    L’huile essentielle de patchouli : tonifiant veineux et lymphatique ;

    L’huile essentielle de  camomille : possède des effets relaxants ;

    L’huile essentielle de bergamote : sert d’antiseptique et réduit les odeurs.

     

    Ainsi, les bains de pieds, souvent oubliés dans les soins corporels, ont de nombreux bienfaits et permettent de se relaxer. Selon les différentes recettes, il est possible d’apaiser, de soigner, d’hydrater ou de réduire certains effets indésirables et désagréables que la vie provoque sur le corps. De quoi donner un bon coup de pied dans la fourmilière des gênes corporelles !

    Plus généralement, en cas de sensation de lourdeur dans les jambes ou de douleurs, le drainage lymphatique peut s’avérer très efficace. C’est notamment l’un des soins thérapeutiques du corps que je propose. Hypnothérapeute et experte en neuroscience, j’exerce à Paris et serais ravie de vous aider.

    Vous pouvez d’ailleurs prendre rendez-vous sur Doctolib.
    De même, pour en apprendre davantage sur moi, le podcast dans lequel j’ai été interviewée est disponible, ou encore, vous pouvez écouter mon podcast Combattantes.
    J’organise également des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi dans un cadre naturel et paisible.
  • POST CONFINEMENT : COMMENT RETROUVER LE SOURIRE ?

    POST CONFINEMENT : COMMENT RETROUVER LE SOURIRE ?

    Pour certaines personnes le confinement fût une expérience positive. C’était l’occasion de se recentrer sur soi et sur ses besoins. Pour d’autres, c’est plutôt tout le contraire. Nous tournons en rond, nous angoissons pour le futur, pour les finances… Bref, ce n’est pas la joie, et on subit pas mal la déprime. Mesdames et Messieurs, avant même de nous en rendre compte, nous allons vite courir de nouveau un semi marathon dans le bois avec notre chien adoré…Le temps ne sera plus compté pour la promenade de celui-ci. Tant de raisons pour retrouver le sourire, et je vous explique pourquoi :

    TOP 10 des raisons qui vous permettront de retrouver la pêche post confinement :

    1- Je t’aime, je t’ai aimé, je t’aimerai

    On pourra enfin revoir la personne qui nous a le plus manquée et lui dire qu’on l’aime ! Frère, sœur , meilleur pote… Votre chéri(e) peut-être ? Ce sera l’occasion de retrouvailles sous la couette. Une grosse session de sexe vous fera le plus grand bien !

    2- Promenons-nous dans les bois

    Avec les beaux jours qui reviennent, ne serait-ce pas le pied de manger une grosse salade sur les quais avec de la musique à fond {attention pas de grands groupes}. Un peu plus de tranquillité ? On se fait alors un picnic ou un barbeuc en pleine nature… Le pied !!

    3- Vous allez enfin fêter votre anniversaire !

    Pour tous ceux qui ont fêté leur anniversaire en tête à tête avec leur chat durant le confinement, c’est enfin le moment de récupérer ça !! On fait son meilleur gâteau, on sort son plus beau outfit, on appelle ses meilleurs potes, et on fait péter le champagne ! Je fais partie de ces personnes ! J’ai eu 30 ans le samedi 21 mars et j’étais confinée pour mon plus grand bien (rires).

    4- La famille, c’est sacré

    Sûrement le point le plus important, et la première chose à faire si vous avez la chance d’avoir encore vos grands-parents. Prenez-les dans vos bras, et dites leurs que vous les aimez. Evidemment, cette phrase est à prendre avec des pincettes, car on respecte les mesures sanitaires avant tout.

    5- Reconversion professionnelle

    Se reconvertir : ENFIN. Écouter vos valeurs et mettre en place votre VRAIE mission de vie. Cette période nous a montré que la vie est imprévisible, et qu’on ne peut pas tout contrôler. Alors, ne serait-il pas temps de franchir le pas ?

    Se rendre compte du sens que nous donnons à notre vie est quelque chose de primordial. De trop nombreuses personnes répondent aux rêves d’autrui en s’oubliant considérablement. Avec ma collègue Aurélia Monaco, nous organisons des ateliers sur Paris pour vous aider à vous reconvertir en douceur. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions.

    6- Aider nos amis les restaurateurs

    Manger autre chose que des pâtes et du riz. Et, surtout, organiser des dîners avec vos amis restaurateurs AT HOME.

    Le but ? Que chacun contribue au business de son ami{e} en faisant un don pour le dîner organisé “Homemade”. Parce que les restaurants ne vont pas ré ouvrir de suite, soyons alors généreux. Encore une fois pas plus de 10 personnes à la maison.

    7- Contemplation et admiration

    Netflix, and chill c’est fini ! Après des semaines de sédentarité, on pourra marcher des heures dans la rue et contempler notre ville. Et, surtout, il ne faudra pas oublié d’avoir de la gratitude pour cela, beaucoup de personnes dans le monde voient encore leurs vies bouleversées par le Covid-19.

    Et pour ceux qui souhaitent poursuivre avec Netflix and Chill, voici un article avec tous mes coups de coeur cinéma. Il y en a pour un mois ou deux de bons films !

    8- Faire enfin attention à notre budget

    Alors oui on repart avec des finances catastrophiques {pour certains comme les indépendants}, mais on a aussi appris à moins dépenser. Continuez vos efforts et faites des tableaux de dépenses essentielles. C’est aussi l’occasion parfaite pour envisager une nouvelle manière de consommer (voici un lien vers mon dernier article sur le sujet). Et, qui sait : c’est peut-être un nouveau départ pour enfin mettre de côté. Après avoir comblé le découvert important que certains d’entre nous auront atteint.

    Voilà de quoi nous redonner la pêche, et le sourire après cette période compliquée. Pour autant attention à privilégier la santé et le dépistage si possible avant de vivre tout cela.

    De mon côté , je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris et rédactrice free-lance. Je vous accueille dans mon cabinet du 2 bis Villa Flore 75016 Paris à partir du 11 mai.  

    Durant cette période de confinement je reste en contact avec vous à travers mon podcast Combattantes dans lequel j’interview des femmes engagées pour un monde meilleur et aussi sur Doctolib en télé consultation : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • TOP 5 DES IDÉES POUR CONSOMMER AUTREMENT

    TOP 5 DES IDÉES POUR CONSOMMER AUTREMENT

    Avec ce virus, notre chère mère nature ne serait-elle pas en train de nous faire payer les conséquences de nos actes ? En tout cas, s’il y a bien une chose que devrait nous apprendre cette période, c’est qu’il est grand temps de changer nos habitudes. Alors, bien évidemment, on ne vous demande pas de changer radicalement votre mode de vie (bien que ça pourrait être une idée), mais il faudra redoubler d’efforts. Et, je fais partie des personnes qui ont encore beaucoup d’efforts à faire !

    Voici, une petite liste d’idées pour consommer de manière plus responsable.

    1- Adieu le plastique

    “LE PLASTIQUE C’EST BANNI”, voilà votre nouveau slogan. Alors, à la maison fini les divers boîtes, emballages ou couverts en plastique. On remplace tout par du verre, certe plus cher à l’achat mais cela vous durera aussi vraiment plus longtemps. Au supermarché, dites adieu aux plats tout prêt et autres cochonneries. Pourquoi ? En plus de n’être vraiment pas le top pour votre santé, c’est aussi une catastrophe pour l’environnement. Comme vous avez pu le remarquer, ce genre de produits sont souvent des emballages uniques composés de “ roulement de tambour “ : PLASTIQUE !!! Pour les fruits et légumes, on apporte nos petits sacs en tissus afin de ne pas utiliser ceux du magasin.

    2- On fait ses courses intelligemment

    Comme je le disais précédemment on évite tous les produits à emballages uniques, mais pas que… On essaie de privilégier les produits de saison, de productions locales et si possible BIO. Tout comme vous j’adore la mangue, et l’avocat. Les quelques minutes de plaisir qu’ils nous procurent, valent-ils l’énorme impact écologique du à l’importation de ce genre de produits ? Pour tout ce qui est pâtes, riz, et autres céréales privilégiez-les en vrac. Ce sera une bonne occasion d’utiliser nos fameux sacs tissus, puis une fois à la maison nous les mettrons dans nos jolis bocaux en verre. Faites une liste, et pensez vos plats en avance cela vous évitera d’acheter en trop grosse quantité, et de finir par gaspiller. Si on est sûre de pouvoir les manger à temps, on privilégie les aliments ayant une date de péremption proche. Cela vous fera faire des économies, et surtout n’oubliez pas que les magasins jettent des milliers de kilos de nourriture chaque année alors essayons à notre manière de réduire ces chiffres. Chez vous aussi, n’oubliez pas que votre congélateur est votre meilleur allié contre le gaspillage.

    3- On peaufine notre style autrement

    Tout comme vous j’adore faire du shopping. Mais, on ne va pas se mentir l’industrie textile niveau respect de l’environnement, ce n’est pas encore ça. Sans parler que les vêtements sont souvent produits à l’étranger dans des conditions de travail parfois inhumaines. Pour combler nos fièvres acheteuses pourquoi ne pas vous diriger vers des plateformes de reventes de vêtement comme Vinted, ou Patatam. Vous n’aimez acheter vos vêtements via internet ? Allez chiner en frip !! Vous verrez que vous y trouverez des pièces uniques, vintages, bref des petits trésors qui feront votre bonheur. Je vous assure que vous en deviendrez complétement accro.

    4- On fait nos cosmétiques maison

    Saviez-vous qu’avec un peu de jus de pamplemousse, quelques feuilles de menthe, et un peu de concombre vous avez un tonique pour la peau des plus sain ? Que le miel est un excellent cicatrisant, et anti-rides ?

    Vos placards sont remplis de produits pour faire vos cosmétiques maison, apprenez à vous en servir. Je vous conseille vivement le site ou magasins Aroma-zone , il propose un bon nombre de produits 100% naturels ainsi que des recettes pour vous aider à créer vos produits de beauté depuis votre cuisine.

    5- Fini les paquets cadeaux papier

    Chaque année, en France, pas moins de 20.000 tonnes d’emballages cadeaux seraient vendus. Autant vous dire que nos forêts en payent le prix fort. Alors, pourquoi de pas se mettre au Furoshiki ? Cet art venu du Japon consiste à emballer ses cadeaux dans du tissu en utilisant des techniques de nouage, et pliages précises. Dans la tradition japonaise, le morceau de textile est aussi une partie du cadeau, il se doit donc d’être beau et élégant. Un excellent moyen d’offrir un cadeau des plus personnalisé en parfaite adéquation avec l’environnement. Pour ce qui est des techniques de pliage, vous trouverez un tas de vidéos pour avoir un emballage des plus Kawaii ( mignon en Japonais). Dans notre société de sur consommation, il peut être difficile d’avoir un mode de vie 100% respectueux de la planète. Mais, je suis certaine que si chacun de nous, à son échelle, fait de petits efforts, cela aurait déjà un impact énorme sur l’environnement.

    De mon côté , je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et rédactrice free-lance.  

    Durant cette période de confinement je reste en contact avec vous à travers mon podcast Combattantes dans lequel j’interview des femmes engagées pour un monde meilleur et aussi sur Doctolib en télé consultation : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • MES COUPS DE CŒUR CINÉMA

    MES COUPS DE CŒUR CINÉMA

    Après ces quelques semaines de confinement, on commence à être un peu à court d’idées niveau films… Pas vrai ?  On a déjà parcouru de long en large Netflix, Amazon Prime, MyCanal et peut-être OCS… Et, là, ça devient clairement compliqué. Étant, moi-même, une passionnée de cinéma, j’ai donc décidé de partager avec vous mes coups de cœur ciné.

    GUERRE

    Bon je mets cette thématique en premier, ce n’est pas pour autant que j’aime la guerre a proprement parlé.  J’adore les films sur le thème de la guerre, car ce sont souvent des films très  poignants. Ils sont portés par des fonds historiques extrêmement intéressants, qui nous plongent dans les réalités de l’époque. Voici la liste de ceux qui m’ont le plus touchés, ou que j’ai le plus appréciés pour diverses raisons : 

    – La ligne Rouge 

    – 1917 

    – Il faut sauver le soldat Rayan 

    – The patriot 

    – Pearl Harbor

    – Blood Diamond 

    – La liste de Schindler 

    – Stalingrad 

    – La vie est belle 

    – La rafle 

    AMOUR 

    Parce qu’on adore les regarder en cachette. Je crois que c’est le plaisir coupable de beaucoup d’entre nous. Un peu fleurs bleue je vous l’accorde, mais tellement touchant  qu’on en lâcherait presque une petite larme de temps en temps….

    – Call me by Your name {coup de cœur du confinement et c’est mon copain qui me l’à conseillé}  

    – Tous nos jours parfaits 

    – Nos étoiles contraires 

    – Le secret de Brokeback Mountain 

    – Un jour 

    – Le temps d’un automne 

    – Before Sunset 

    – Out of Africa 

    – La vie d’Adele 

    – Orgueil et préjugés 

    DRAME 

    Quoi de mieux ? Personnellement, c’est une des catégories de films que je préfère. Ils amènent souvent à des réflexions profondes sur les personnages, ou l’histoire… Et, surtout ce sont des films qui me touchent profondément…

    – Kogustaki Mucize 

    – Incendies 

    – Alabama Monroe 

    – Eternal Sunshine of the spotless mind 

    – Vol au dessus d’un nid de coucou 

    – Wiplash 

    – Moonlight 

    – La ligne verte 

    – A star is born 

    – Le patient anglais 

    COMÉDIE 

    Pour être tout à fait honnête, les comédies ne sont pas ce que je préfère dans le cinéma.

    En effet, j’ai vu très peu de comédies qui m’ont fait vraiment rire… Vous voyez le problème ?

    Mais puisque bien sure il y a des exceptions, je vous ai fait une petite liste que j’ai vraiment trouvé drôle : 

    – Les nouveaux sauvages {film argentin incroyable.  Quand vous aurez vu la dernière scène on en parlera ensemble}  

    – Les trois frères 

    – Hitch

    – Intouchable 

    – Le dîner de con 

    – Very Bad Trip 

    – Le prénom 

    – Nos jours heureux 

    – Les petits mouchoirs 

    VOYAGES

    Comme vous le savez, j’adore voyager mais au vue de la période ça me semble compromis pour un bon bout de temps…Alors puisqu’on est cloîtrés chez nous, pourquoi ne pas s’évader le temps d’un film ? Voici les films qui me font voyager …

    – Wild 

    – Into the Wild

    – Mange, prie, aime 

    – La vie rêvée de walter Mitty

    – Sept ans au Tibet 

    – L’auberge espagnole 

    – Little Miss Sunshine 

    – Le voyage de Chihiro 

    – Thelma et Louise 

    – Minuit à Paris 

    MA SÉLECTION

    Ici, je vous mets la liste de mes films préférés tous genres confondus. Ce sont les films qui m’ont le plus touchés, fait rire, fait pleurer , fait réfléchir. Les films qui selon moi devraient être vus par tout le monde…Et, ce n’est que mon avis ! 

    – Will Hunting

    – Joker 

    – Le dernier roi d’Ecosse  

    – Gladiator 

    – American History X 

    – Mémoire d’une Geisha 

    – Black Swan 

    – Hors normes

    Régalez-vous avec tous ces films, et n’hésitez pas à me faire un retour !

    De mon côté , je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et rédactrice free-lance.  

    Durant cette période de confinement je reste en contact avec vous à travers mon podcast Combattantes dans lequel j’interview des femmes engagées et aussi sur Doctolib en télé consultation : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • COMMENT BOOSTER SON IMMUNITÉ ?

    COMMENT BOOSTER SON IMMUNITÉ ?

        Suite à la crise sanitaire due à l’apparition d’un virus (COVID19), il est nécessaire de booster son immunité.

       Plus on avance sur notre âge, plus notre immunité baisse à cause de la diminution de production de nos cellules immunocompétentes  qui sont nécessairement des macrophages et qui servent à s’organiser pour défendre notre corps contre des organismes extérieurs, à titre d’exemple : les microbes.

        Malheureusement, il n’y a pas un traitement pour booster son immunité. En revanche, il y a des astuces et des conseils pour renforcer ses défenses immunitaires.

        Pour toute personne qui présente des symptômes de faiblesse immunitaire devrait d’abord se pencher sur son mode de vie et éviter tous des éléments qui affaiblissent le système immunitaire, à savoir : le manque de sommeil, beaucoup de stress, la pollution de l’environnement (les relations toxiques), le tabagisme, etc..

          L’alimentation saine et bio est un facteur très important dans la santé du système immunitaire. En effet, il faut absolument opter une alimentation équilibrée, variée et adaptée selon chaque saison et qui contient des protides, glucides, lipides, ainsi les apports d’aliments fibreux, tels que les légumes, fruits et céréales.

         Dormir suffisamment (au moins 7 à 8 heures) aide à réparer l’organisme et à produire des enzymes, des hormones et des globules blancs. C’est pourquoi que les nuits blanches ont un impact néfaste sur la santé voire aussi le système immunitaire.

        Naturellement, le stress brusque l’immunité parce que le système immunitaire est en relation étroite avec le psychisme et le comportement de l’humain. C’est pourquoi qu’il est préférable d’éviter tous les conflits relationnels qui altèrent d’une manière directe le fonctionnement de votre immunité.  

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

    J’ai aussi un podcast qui s’appelle “Combattantes” que vous pouvez trouver sur Deezer , Sportify, Soundcloud et Apple Podcasts.

  • LES BIENFAITS DES ANIMAUX DE COMPAGNIE

    LES BIENFAITS DES ANIMAUX DE COMPAGNIE

    On les adore nos petites boules de poils, ils sont une part entière de notre famille.

    Mais, avez-vous réellement conscience de leurs bienfaits sur votre santé ?

    Sur le plan physique : Avoir un animal renforce notre système immunitaire. En effet, les propriétaires d’un animal de compagnie auraient moins de problèmes de santé que ceux qui n’en ont pas. C’est ce que montrent plusieurs études. On note moins d’hypertension artérielle, moins de cholestérol et moins de troubles cardio-vasculaires. Les enfants qui vivent et grandissent avec un animal de compagnie sont moins sensibles aux infections respiratoires et les otites sont moins nombreuses. Les risques d’allergies et d’asthme sont également réduits, surtout si l’enfant est en contact avec un animal dès son plus jeune âge.

    Sur le plan moral : La présence d’un animal en plus d’être sécurisante, et apaisante pour l’enfant, elle augmente sa confiance lui en développant son sens des responsabilités. Votre ami à quatre pattes a aussi un rôle majeur contre la solitude , il diminue l’isolement social et la dépression, qui sont deux facteurs qui augmentent le risque de mortalité. Il favorise une vie sociale, notamment chez les personnes en difficulté sociale, physique, éducative ou thérapeutique.

    La zoothérapie qu’est-ce que c’est ? « La zoothérapie (ou thérapie assistée par l’animal[1]) désigne un ensemble de méthodes thérapeutiques non conventionnelles qui utilisent la proximité d’un animal domestique ou de compagnie, auprès d’un humain souffrant de troubles mentaux, physiques ou sociaux pour réduire le stress ou les conséquences d’un traitement médical ou des problèmes post-opératoires. Lorsqu’elle utilise le cheval, il s’agit d’hippothérapie, d’équithérapie ou de thérapie avec le cheval selon l’approche proposée. Elle peut également utiliser d’autres animaux comme le chien (cynothérapie) , le lapin, le chat, le dauphin (delphinothérapie).» cit.Wikipédia

    Pour autant, je tiens à rappeler qu’avoir un animal est une lourde responsabilité. Et, même s’ils peuvent vous aider quotidiennement, il faut être sur d’avoir l’énergie nécessaire pour s’en occuper. Un animal peut-être une aide, mais ce n’est absolument pas un remède. N’oublions pas que nos boules de poils ont leur propre sensibilité, et leurs émotions.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet


    J’ai aussi un podcast qui s’appelle “Combattantes” que vous pouvez trouver sur Deezer , Sportify, Soundcloud et Apple Podcasts.

  • TOP DES DOCUMENTAIRES À DÉCOUVRIR

    TOP DES DOCUMENTAIRES À DÉCOUVRIR

    Durant cette période de confinement, pourquoi ne pas en profiter pour s’instruire un peu ? Et, quoi de mieux que de le faire depuis le fond de son lit, ou de son sofa ? Je vous présente ici mon top des documentaires. Que ce soit nature, musique, histoire… Il y en aura pour tous les goûts.

    1- Nature

    Notre planète – Sur Netflix

    Ce docu-série est parfait pour ceux qui n’ont pas envie de se lancer dans un programme de deux heures. On y découvre les merveilles de notre planète, à travers l’examen de l’impact du changement climatique sur toutes les créatures vivantes. Tout cela au travers d’images en 4K impressionnantes, qui nous offrent la possibilité de découvrir avec une précision incroyable des détails invisibles à l’œil nu.

    La famille suricate

    Avec la voix de Guillaume Canet, ce documentaire est parfait pour un visionnage en famille. En pleine Afrique australe, on y retrouve Kolo un jeune suricate. Il doit braver tout les dangers et échapper aux prédateurs pour retrouver sa famille. Vous y découvrirez une espèce surprenante, avec un grand sens de la solidarité. Petits, et grands seront charmés.

    Seven Worlds , One planet

    Série documentaire de la BBC Natural History , composée de 7 parties. Chaque épisode se concentre sur un continent, on y célèbre la diversité de la vie et on découvre les défis auxquels sont confrontés les espèces animales dans le monde moderne.

    2 – Histoire

    I’m not your negro

    Oeuvre du cinéaste Raoul Peck, ce documentaire est basé sur les textes de l’auteur afro-américain James Baldwin. Un documentaire qui met en avant des années sanglantes de lutte pour les droits civiques, à travers notamment les assassinats de Martin Luther King Jr, Medgar Evers et Malcolm X.

    Les Féministes : À quoi pensaient-elles? – Sur Netflix

    À la fin des années 70, la photographe américaine Cynthia McAdams publie un livre de portraits dans lequel elle immortalise des femmes engagées pour l’égalité. La réalisatrice Johanna Demetrakas leur donne la parole 30 ans plus tard. Elles nous y racontent leur lutte, et y analyse la situation actuelle.

    Elles étaient en guerre – Sur Netflix

    Scientifiques, militantes, institutrices, ouvrières, elles ont joué un rôle capital hors des tranchées pour reprendre en main le quotidien. Au travers d’images d’archives, nous découvrons le portrait de ces femmes trop souvent oubliées des livres d’histoire.

    3 – Musique

    Amy

    Ce film documentaire réalisé par Asif Kapadia retrace la vie de la chanteuse Amy Winehouse. Connue pour être une grande artiste, mais aussi un personnage controversé, on y découvre aussi une femme fragile aux différentes facettes.

    What happened, Miss Simone – Sur Netflix

    On y découvre l’histoire de la légende Nina Simone, mêlant des enregistrements jamais diffusés à de rares images d’archives, le tout bercé par ses plus grands succès. Un vrai bonheur !

    This is it

    L’incontournable Michael Jackson ! Plongez au cœur des répétitions de la légende de la pop. Des images de coulisses qui retracent les derniers moments de Michael Jackson. Le moment de découvrir, ou redécouvrir ce monstre de travail !

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_

    Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.

  • LA MUSIQUE, SON HISTOIRE ET SES BIENFAITS

    LA MUSIQUE, SON HISTOIRE ET SES BIENFAITS

    Elle nous fait danser, rire, pleurer, changer, évoluer et elle a le pouvoir de raviver les souvenirs !! Mais, avez-vous réellement conscience de son pouvoir ?

    1- L’utilisation de la musique au travers de l’histoire

    Les premiers instruments remontent à il y a 37 000 ans (flûtes en os de mammouth), on peut donc dire que l’homme fait de la musique depuis son apparition. Mais bien évidemment sa symbolique et son utilisation ont évolué.

    Au fil de l’histoire celle-ci avait 3 fonctions principales : pour la chasse et la guerre, le sacré , et la berceuse.
    Les antiques attribuaient même un certain pouvoir à la musique, celui d’enchanter, d’ensorceler comme le montre de nombreux mythes tel que que celui d’Orphée ou encore celui de David et Saul. C’était aussi pour eux un moyen de se rapprocher du divin. Saint Auguste philosophe médiéval disait « qui chante, prie deux fois ». Nietzsche distinguait la musique dionysiaque, de celle Apollinaire. La première représente les passions, l’animalité des l’homme quant à la seconde elle représente le sacré. La musique a avant tout le pouvoir de raconter et de transmettre des émotions , et nous pouvons le constater quotidiennement au travers des films, et des publicités. Dans ce cadre, la colonne sonore est étudiée afin de transmettre les émotions justes aux spectateurs, de même à l’époque des films muets la musique servait de narration.

    2 – Une société sonore

    À l’heure des smartphones, tablettes et compagnie nous sommes énormément stimulés visuellement, et pourtant notre société est bien considérée comme sonore, car n’importe où nous allons il est impossible de trouver un silence complet (le bruit du vent, de la pluie, les oiseaux, le métro , la musique dans les lieux publics , notre respiration… )

    De plus l’audition est le seul sens qu’on ne peut pas contrôler naturellement, et c’est aussi le premier sens que nous développons. En effet, depuis le ventre de sa mère un bébé peut entendre ce qu’il se passe à l’extérieur, c’est pourquoi les médecins conseillent de parler avec son bébé dès le 3ème mois de grossesse. Quand le bébé naîtra il reconnaîtra la voix de sa mère, et celles familières qu’ils entendaient pendant la grossesse.

    3- Une fonction cognitive

    Il est important de faire écouter de la musique aux enfants dès le plus jeune âge car cela lui permet de développer ses capacités cognitives. Il a été prouvé qu’un enfant qui fût stimulé à la musique développe plus rapidement des capacités de raisonnement, l’acquisition du vocabulaire et du langage (ainsi que des langues étrangères).

    D’après certains neuro scientifiques, il faudrait que nos enfants prennent des cours de musique avant l’âge de 7 ans. La musique ferait aussi de nous des personnes plus emphatiques, et sociables.
    Les musiciens sont capables de mieux reconnaitre les émotions. Ils sont particulièrement doués pour identifier des émotions comme la tristesse ou la peur, et même si celles-ci sont exprimées dans une langue complètement inconnue du musicien. La musique par conséquent améliore nos capacités sociales et développent notre sens de l’écoute. Encore plus impressionnant, certains musiciens sont même capables de détecter les changements subtils dans les pleurs d’un bébé. C’est ce que les scientifiques appellent la « discrimination auditive fine ».
    De même, chez les enfants, c’est ce que montre une étude faite sur des enfants âgés de 8 à 11 ans. Ils ont été divisés en 3 groupes :

    • Le premier groupe a reçu des leçons de musiques collectives avec des improvisations rythmiques, des jeux musicaux, des apprentissages et répétitions de mélodies et des expériences musicales partagées.
    • Le deuxième groupe a eu des activités ludiques avec imitations et expériences interactives mais sans musique, essentiellement verbales.
    • Le troisième groupe a suivi une année scolaire habituelle.

    Les enfants du premier groupe ont le plus amélioré leur empathie et sont davantage capables de décoder les informations émotionnelles à la fois verbales ou non verbales.
    Ces observations sont même faites chez des enfants en bas âge de 6 mois qui ont pris des leçons de musique avec leurs parents. Dans ce contexte, les tout-petits chantent, tapent sur des instruments, apprennent et répètent des chansons avec leurs parents, ce que l’on pourrait définir comme de l’éveil musicale.

    Les résultats de cette étude sont impressionnants : les bébés musiciens sourient davantage, rient également davantage et sont plus faciles à calmer en état de stress. Des gestes simples comme dire au revoir avec la main ou même montrer des objets ou des personnes avec le doigt étaient également améliorés.

    3- Les bienfaits de la musique comme thérapie

    La semaine dernière dans l’article « les kilos émotionnels », je vous parlais du cortisol. Vous vous en rappelez ? C’est l’hormone du stress !! Eh bien, bonne nouvelle la musique a le pouvoir de la diminuer.
    Avez-vous remarqué que parfois lors d’un coup de blues il suffit de la bonne musique pour nous redonner la pêche ? La musique peut en effet complètement nous transporter. Elle provoque la libération par notre cerveau d’un neurotransmetteur du plaisir, la dopamine. Elle serait aussi très efficace pour les personnes souffrants de dépression.

    La musique peut-aussi raviver la mémoire, comme le dit le neurologue Pierre Lemarquis :
    « Écouter une musique qui nous plaît active et développe les circuits de la mémoire qui nous permettront de retenir les notes entendues et d’anticiper sur celles à venir. Certains de nos souvenirs sont aussi associés dans notre cerveau à des musiques. Tel un tunnel spatio-temporel, elles sont capables de nous replonger dans le passé et de nous faire revivre des émotions. La musique est une formidable machine à remonter le temps ! »
    C’est pourquoi on utilise de plus en plus la musique pour traiter certaines pathologies tels que la maladie d’Alzheimer, ou de Parkinson. Bien que encore peu connue la thérapie par la musique commence à se frayer un chemin dans les salles de réanimation, et de neonatologie, et l’année dernière un symposium de 4 jours lui a été consacré à Harvard.
    Dans le monde, plus de quatre-vingts laboratoires travaillent sur les effets de la musique sur le cerveau !

    4) La musicothérapie, qu’est-ce exactement ?

    « La musicothérapie est l’utilisation de la musique, du son, dans une démarche de soin. C’est une thérapie à support non verbal utilisant le sonore, le musical. La musique est le médiateur dans la relation soignant/soigné. »

    Comme on l’a dit précédemment, la musicothérapie peut aider pour le stress, la dépression, la démence mais pas que. Elle contribuerait aux soulagements des douleurs , à l’amélioration de la qualité de vie des schizophrènes , au soulagement de certains symptômes de l’autisme , et améliorer le sommeil.
    Les grecs considéraient la musique comme une science au même titre que les mathématiques, ou que la physique. Ils l’utilisaient même comme thérapie pour l’humeur.
    Et, si la musique était la solution à vos maux ?
    Pour autant attention, près de 5% de la population ne seraient pas réceptifs aux bienfaits de la musique, cela viendrait sûrement d’un manque de stimulation durant l’enfance (je vous avais pourtant prévenu « rires») !!

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet

  • LA FRANCE ET SES MERVEILLES

    LA FRANCE ET SES MERVEILLES

    Parce que rien n’est éternel, et même cette période de confinement. On va s’en sortir, et aura appris de nombreuses leçons.
    Déjà on va apprendre énormément de cette planète et aussi sur nous-mêmes. Très bientôt nous serons amenés à retrouver la nature qui nous avait tant manqué. On va la choyer, l’aimer et la considérer.
    Alors après cette période de confinement, quoi de mieux pour se ressourcer que partir découvrir nos si belles régions françaises. Consommer et voyager local serait la plus belle des reconnaissances après cette période rude.

    1- Partez à la découverte de la Corse

    L’île de beauté, et ses splendeurs… Entre montagnes, et mer, la Corse vous offrira un voyage inoubliable. C’est sûrement, une des régions de France offrant les plus beaux paysages.
    Alors, partez voir un concert du Cœur de Sartène ( U Cori di Sarté ), buvez une pietra ( bière traditionnelle ) à Ajaccio…
    Vous aimez la mer découvrez les plus belles plages de la région : La Rondinara entre Porto Vecchio et Bonifacio, ou Bodi pour ne cité quelles !!
    Vous êtes plutôt activité sportive, alors pourquoi pas vous testez au GR20 de France ? C’est 180km de randonnée, dans un paysage a coupé le souffle. Considéré comme un des plus beaux parcours, c’est aussi un des plus difficiles plutôt donc réservé aux randonneurs avertis.

    2- Découvrez les Alpes

    Vous n’êtes pas trop plage ? Alors cet été direction les montagnes. Et, pourquoi pas les Alpes ? On y mange bien, on y boit bien, et en plus il y a des endroits magnifiques à découvrir !!
    Envie de vous relaxer un peu ? Découvrez Évian-les-Bains, et ses thermes !! Cette station de villégiature, avec ses ruelles descendants vers le Lac Léman sera vous charmer.
    Il y a pleins d’autres endroits plus beaux les uns des autres à découvrir dans les Alpes : Chamonix, Annecy et son lac , l’abbaye d’Hautecombe…

    On y trouve aussi différents parcours de randonnée, pour les débutants comme pour les plus entraînés : – Le GR5, ou la grande traversée des Alpes. Bien que moins dangereuse que le GR20, cette randonnée de 620km demande tout de même une très bonne condition physique.

    • La Tour du Mont-Blanc : 170 kilomètres passant par la France, l’Italie, et la Suisse. En plus bonne nouvelle tout le monde peut le faire, il existe différents types d’itinéraires selon votre niveau.
    • La boucle de Saint-Gervais-le-Fayet : pour ceux qui ne disposent que d’une semaine c’est parfait. Elle regroupe les « must-do», notamment la réserve des Contamines-Montjoie.

    3- Les Bouches-du-Rhône

    Il y en a pour toute la famille : ville, mer, campagne …. À vous de faire votre choix. Marseille, Arles, Aix-en-provence, la Camargue vous en aurez des choses à découvrir.
    De magnifiques petits ports, des plages, des monuments, un beau soleil, et une chaleur humaine indescriptible, que demande le peuple ?
    Les plus sportifs seront tout aussi conquis avec le GR98-51 : 25 km de randonnée dans les Calanques entre Marseille, et Cassis. Vous y découvrirez des paysages dignes des plus belles peintures.

    4- La Bretagne

    Évadez-vous en Bretagne, ses cités médiévales, ses plages, ses falaises…. C’est un paysage a couper le souffle qui vous attend. Découvrez St-Malo, Quimper, Brest, la forêt de Brocéliande mes rochés sculptés de Rothéneuf et j’en passe !!

    Peur de la météo ? Ne vous laissez pas arrêter par un peu de pluie. Puis la Bretagne, sans son crachin n’est pas vraiment la Bretagne.
    Côté excursion : – Les alignements de Kerzerbho, 16.95 km de randonnée qui vous fera découvrir des très nombreux monuments de l’époque du Néolithique.

    – Le GR34, ou le se tiers des douaniers vous proposes un parcours de 8km (aller-retour) : ses landes de bruyère et d’ajoncs font de ce site un lieu d’exception où certaines espèces emblématiques ont trouvé refuge. Un mélange d’histoire et de nature en permanente évolution, découvrez le paysage incroyable du granit rose émergeant de la mer turquoise.

    En plus entre le Kouign-amman, les caramels, l’andouille de Guéméné , les crêpes, et les galettes votre estomac vous dira merci, mais il faudra bien digérer tout ça.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet


    J’ai aussi un podcast qui s’appelle “Combattantes” que vous pouvez trouver sur Deezer , Sportify, Soundcloud et Apple Podcasts.

  • Et si pour la nouvelle année, on oubliait les résolutions ?

    Et si pour la nouvelle année, on oubliait les résolutions ?

    La fin d’année approche ! Et avec elle, son cortège de fêtes, de guirlandes et de cadeaux.  D’ailleurs, joyeuses fêtes à tous !

    Dans l’imminence du premier de l’an, c’est aussi, pour un grand nombre d’entre nous, l’heure des résolutions… Eh oui, c’est le moment où l’on entend presque systématiquement :

    • J’arrête de fumer
    • Je me mets au sport
    • Je sors moins
    • Je commence un régime
    • Je m’organise mieux
    • Etc., Etc., Etc.

    Et le pire, c’est que l’on y croit ! Que l’on est sincère lorsqu’on envisage de prendre une résolution en début d’année. L’intention est en effet bonne.

    Mais, qu’advient-il de notre bonne volonté, le 10 janvier ? Euh… le 3 ?  On le sait tous, les résolutions du 1er janvier, on ne les tient pas vraiment. Alors, si l’on brisait le mythe des résolutions de la nouvelle année ?

    D’ailleurs pourquoi a-t-on l’habitude de prendre des résolutions à cette date précise ? Et que faire pour tenir ses résolutions ?

    Pourquoi le 1er janvier ?

    C’est assez simple à expliquer. Le changement d’année nous donne à tous, le sentiment qu’une page se tourne. Les médias diffusent des rétrospectives de l’année écoulée nous laissant croire que « c’est désormais fini tout ça ». Le réveillon du 31 décembre monte en intensité au fur et à mesure que l’on approche de minuit. On est gagné par le sentiment que l’on va basculer dans une ère nouvelle, qu’une page blanche va s’ouvrir à nous, et que l’on sera une nouvelle personne…

    La mise en scène de ce changement d’année nous incite à ne pas rater l’événement. Même nos religions nous commandent de marquer le début de l’année par un acte fort, censé nous améliorer. Dans l’antiquité, on s’efforçait d’ailleurs de régler toutes ses dettes avant la fin de l’année. Ou de rendre tout objet emprunté à son propriétaire avant la date fatidique…

    Les résolutions du nouvel an sont donc bien inscrites dans l’histoire de l’humanité.

    Neuf résolutions sur dix en échec

    Certes, il s’agit d’une jolie tradition… mais bercée d’illusions.

    Une tradition qui n’est malheureusement pas souvent suivie d’effet. En effet, 90 % des résolutions du premier de l’an ne sont pas respectées. Ce sont des études très sérieuses qui le démontrent. Après les fêtes, la vie reprend son cours normal. On s’aperçoit que le basculement n’a effacé aucun problème. Les habitudes reprennent leur place, surtout les mauvaises…

    Ce retour au quotidien est en outre marqué par un décor assez grisâtre. Le premier de l’an, en effet, a la mauvaise manie de tomber au cœur de l’hiver. Le temps maussade nous décourage très vite. La liste des résolutions devient rapidement un bout de papier chiffonné perdu au fond du sac.

    Les résolutions, c’est toute l’année

    Et reconnaissons que c’est dommage, car comme dit en introduction, c’est plutôt bien de prendre une résolution. C’est une façon d’exprimer un besoin et surtout l’envie de s’améliorer ! Mais, franchement… on peut le faire toute l’année, non ?

    Si on y réfléchit… Pensez-vous, par exemple, que le milieu de l’hiver soit le plus indiqué pour se mettre au sport et suivre un régime ? Est-ce qu’il ne vaut pas mieux attendre les beaux jours pour enfiler ses baskets et se contenter d’une salade aux repas ?

    Choisir une date du calendrier permet certes de marquer un point de départ. On visualise l’objectif et on le rend palpable, accessible. Mais choisir le 1er janvier me semble être le plus mauvais choix. Car inconsciemment se tapit derrière ce choix, l’idée générale que les résolutions du premier de l’an ne tiennent pas longtemps. Et cette idée nous déculpabilise le jour où l’on passe outre notre belle résolution.

    Pour autant, le problème est ailleurs… Car le plus difficile est surtout de tenir ses résolutions… Et ce quel que soit le jour de l’année… Alors comment faire ? Voici quelques conseils.

    Comment tenir ses résolutions ?

    Plus que la date ou la période, il y a de nombreux critères pour augmenter les chances de réussite d’une bonne résolution.

    Tenir compte du contexte de sa propre vie

    Pour optimiser les chances de réussite, il faut avant tout prendre en compte le contexte de sa propre vie plutôt que celui du calendrier.

    Pour mettre fin à de mauvaises habitudes, par exemple (fumer, grignoter, boire, vapoter…), mieux vaut choisir une période agréable et sans stress : une semaine où l’on s’est mis en congé, un week-end où l’on a brisé ses habitudes, un arrêt de travail. Ou bien sûr les grandes vacances, quoique pendant les vacances on n’a pas vraiment envie de se fixer des contraintes…

    Mais vous trouverez, j’en suis certaine !

    Éviter les objectifs trop vagues

    Se fixer un objectif trop vague est également voué à l’échec. Par exemple, ne pas se dire seulement “je vais faire des économies” mais être plus concret : “je mets dix euros de côté par semaine”. L’objectif est mesurable, quantifiable, voire ajustable. D’ailleurs, un jour, je vous écrirai un article sur la méthode SMART ! Une méthode pour atteindre plus facilement ses objectifs.

    Éviter les objectifs trop ambitieux

    Idem, il faut être raisonnable… Ne pas prendre une résolution qui modifierait radicalement votre quotidien au point de poser plus de contraintes que de bénéfices. Par exemple, il faut  éviter de se fixer le marathon de Paris dans les six mois, au moment où l’on chausse ses baskets pour la première fois (rires).

    Éviter la multitude de bonnes résolutions

    En général, les résolutions vont de pair… Certes, les longues listes sont la preuve d’une bonne volonté, mais courir après plusieurs lièvres à la fois est souvent aussi voué à l’échec. Plus vous avez de résolutions, plus vous en abandonnerez. C’est mathématique.

    Prendre le temps de réfléchir

    Laisser mûrir le projet, réfléchir à la bonne méthode pour atteindre l’objectif, évaluer les bénéfices avec lucidité, tenir compte des contraintes. En un mot, ne pas se précipiter.

    Partager sa résolution

    Parfois certains objectifs sont plus faciles à atteindre à plusieurs. Soit dans la stimulation d’un défi, à condition d’avoir l’esprit compétiteur, soit en recueillant les encouragements des proches. Alors, n’hésitez pas à solliciter des amis, des collègues qui ont les mêmes désirs que vous. Croyez-moi, ça marche !

    Enfin, choisir le bon moment !

    Il y a 365 jours dans l’année, et certains sont plus propices que d’autres pour procéder à des changements.

    Le 1er janvier en fait peut-être partie, mais ce n’est certainement pas le meilleur. En somme, la meilleure date pour tenir vos résolutions n’est pas celle qu’on vous impose, mais bien celle que vous aurez choisie.

    Alors, cette année, ne vous mettez pas martel en tête dès le 1er janvier, et profitez à fond de votre réveillon ! À très bientôt

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Bienvenue à nos Combattantes

    Bienvenue à nos Combattantes

     

    La vie n’est pas un long fleuve tranquille… loin de là…

     

    Nous avons tous notre propre histoire, et notre propre destin, diront certains…

    Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. On ne naît pas sous la même étoile. Et même si on a la chance de naître sous une bonne étoile, ce n’est pas pour autant que notre vie est toute tracée d’avance et qu’elle est vouée à être parfaite !

    Une multitude d’évènements ou de circonstances peuvent interagir dans notre chemin de vie. Des évènements que nous pouvons parfois maîtriser, d’autres pour lesquels nous ne pouvons pas faire grand-chose, voire strictement rien. Des traumatismes dans l’enfance, par exemple, peuvent nous marquer pour la vie, même si nous pouvons en apaiser quelques-uns.

    Quoi qu’il en soit, pour certains, la vie ne les a pas gâtés et cela, dès la naissance. Et pourtant, il faut vivre, il faut avancer !

    Subir ou agir ?

    Et c’est à partir de ces constats, de ces vécus que certains « destins » se construisent… ou pas… !

    En effet, en fonction de notre nature même, et/ou de notre passé, certains vivront leur vie comme une fatalité. Ils subiront les évènements parfois parce que c’est inévitable, parfois par manque de courage ou par peur.

    Et d’autres, à l’inverse, essaieront de « s’en sortir », de se battre, de mordre la vie à pleines dents, et ce, contre vents et marées. Pour ce faire, ils oseront défier le destin, prendre des décisions radicales, renoncer à certains privilèges matériels, sortir de leur zone de confort (si l’on peut dire), pour :

    • Se construire une vie différente, meilleure et apaisée
    • Réaliser leur(s) rêve(s)
    • Vivre de leur passion

    Vous l’aurez compris, il s’agit de combattant(e)s ! D’individus qui refusent l’avenir qui leur était tout tracé, et qui se battent pour trouver le bonheur, ou tout au moins quelque chose qui s’en approche.

    Leur objectif commun : vivre en adéquation avec eux-mêmes.

    Des exemples à valoriser et à suivre

    Et ce sont à ces individus que j’ai décidé de consacrer du temps. Admirative, mais également directement concernée, car si vous me suivez, vous connaissez mon parcours…, j’ai voulu relater leurs histoires pour montrer (et prouver) que l’on peut changer sa destinée, si bien sûr, on parvient à faire resurgir les forces qui sont en nous, forces dont parfois on ne soupçonne même pas l’existence !

    C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en valeur ces personnes, toutes admirables, car elles sont des exemples de courage qui doivent servir d’espoir à celles et à ceux qui ne sont malheureusement pas gâtés par la vie, ou qui subissent leur vie comme une fatalité.

    Aussi, depuis le mois de septembre, j’effectue des interviews qui sont diffusées sous forme de podcasts. J’ai eu la chance de rencontrer des femmes et des hommes extraordinaires !

    Et, si à date, je me suis penchée à la fois sur des hommes et des femmes, à terme, je prioriserai les femmes, car dans notre société encore très masculine, il demeure encore plus difficile pour une femme de « se faire une place », de vivre une vie épanouie. Très souvent prises dans un rythme infernal, il leur est encore plus difficile de rompre avec « leur routine », et de penser à elles.

    C’est donc possible

    Vous constaterez dans mes podcasts, que certaines ont eu le courage de quitter des « positions socialement confortables » pour réaliser leur rêve, et surtout pour trouver une vie qui a du sens !

    Rappelons ici, que vivre en porte-à-faux avec ses envies et ses valeurs conduit inévitablement à des problèmes de santé : stress, angoisses, burn-out, dépressions sévères, troubles alimentaires (boulimie, anorexie), suicides… Si vous vous levez tous les matins en soupirant, si vous vous couchez tous les soirs avec l’estomac noué… Il est temps de faire quelque chose… !

    Sinon…

    Lorsque l’on ne vit plus en adéquation avec soi-même, on ne vit plus en adéquation avec les autres, et la vie peut vite devenir un calvaire, voire un enfer. Il est donc fondamental d’être en mesure non seulement de savoir se poser, réfléchir, se remettre en question. Mais le plus difficile n’est pas cela. Le plus difficile, c’est d’être en mesure de prendre certaines décisions parfois très difficiles, des décisions qui remettent en question une vie entière ! Faire fi du regard des autres et de la famille demande également beaucoup de courage.

    Les podcasts de mes combattant(e)s

     

    Certain(e)s y sont donc parvenu(e)s, et je trouve important de partager leur histoire, leur combat et surtout leur victoire.

    Ces expériences, riches et denses, sont à la fois émouvantes et surtout pleines d’espoir !

    C’est pourquoi, je vous invite à me(nous) rejoindre sur : Apple Podcasts, Deezerfr, spotify et souncloud pour écouter leurs histoires, et vous convaincre que vous aussi, vous pouvez y parvenir

    https://podcasts.apple.com/fr/podcast/combattant-e-s/id1480753178?i=1000458856438 .

    Vous m’y retrouverez en compagnie de :

    • Olivia Zeitline qui s’est consacrée à l’écriture après avoir obtenu son diplôme d’avocat. Passionnée de poésie et de spiritualité sous toutes ses formes, elle nous parle de son rapport très pointu à l’intuition. Celle-ci guide en effet sa vie, et lui a permis de changer de voie dès qu’elle l’a souhaité.
    • Anne-Laure avait « sur le papier » une vie de rêve, en tant que chez de projet événementiel dans une belle compagnie, et pourtant elle a fait un burn-out.Elle s’est alors remise en question et a suivi un accompagnement avec un coach de vie durant plusieurs années. Celui-ci lui a changé sa vie et ses perceptions du monde. Elle a fini par se reconvertir en tant que chanteuse et se sent aujourd’hui alignée et apaisée.
    • Gipsy, est une jeune femme qui a appris à s’écouter avec l’âge , et qui partage son quotidien, sa passion pour le sport, ses objectifs à venir.Aujourd’hui, Gipsy est une jeune femme alignée, avec des peurs comme tout le monde. Le combat guide sa vie notamment depuis qu’elle a réussi à perdre plus de 30 kilos et qu’elle a pris conscience qu’elle n’était pas faite pour être salariée.
    • Francky 31 ans, est arrivé en France d’Haïti à l’âge de 5 ans. Il ne parlait pas un seul mot de français et était très seul. Il a souffert d’obésité et cela a été très difficile.Aujourd’hui il est aligné, et sait ce qu’il veut. Sa petite timidité le rend encore plus humble et agréable.
    • Sébastien, est un jeune homme téméraire de 31 ans. Il peut tomber 10 fois, il se relèvera 11 fois. Il a le combat dans le sang et une rage de vivre qui le rend conscient et optimiste. Son passé fut par moments semé d’embûches. Son quotidien, aujourd’hui, est aligné et en cohérence avec ce qu’il est et avec ses valeurs. Venez découvrir son témoignage touchant et à la limite du supportable. Un combattant !

    Conclusion

    Alors, si vous êtes en conflit avec vous-même ou si vous avez vécu un traumatisme, ne sous-estimez pas l’énergie et la force qui sont en vous. Plus vous subirez, plus votre corps vous rappellera à l’ordre.

    Tout le monde a des capacités et du talent. Ce qu’il faut, c’est connaître son potentiel et savoir l’exploiter. Le cheminement est souvent assez long. Mais croyez-moi, cela en vaut vraiment la peine !

    Et parfois, souvent même, il est utile, voire indispensable de se faire coacher ! Échanger, se confier, être encouragé sont souvent essentiels pour révéler votre personnalité, votre potentiel, et pour parvenir à faire ce qu’il y a de plus difficile : prendre une décision. N’hésitez pas dans ce cas à me contacter !

     

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…

    En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.

    Petit rappel sur le droit des femmes

    Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.

    Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.

    Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.

    Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !

    Quelque chose de lourd…

    De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.

    Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.

    A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

    Égalité… des quoi ? des chances… ?

    On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.

    Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.

    De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.

    Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !

    Discrimination inconsciente… pas tant que cela

    La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.

    Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».

    Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.

    Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

    Des solutions données aux femmes pour faire leur place

    Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

    Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.

    La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).

    Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.

    C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.

    Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.

    Il reste donc encore un long chemin à parcourir…

    Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

  • Et si on faisait une cure sans laitages en ce début d’automne ? Quels bienfaits et pourquoi ?

    Et si on faisait une cure sans laitages en ce début d’automne ? Quels bienfaits et pourquoi ?

    Le lait ! Oulala… On aura tout entendu sur le lait. Souvenez-vous : « Les produits laitiers sont nos amis pour la vie ! » Qui ne se souvient pas de ce slogan diffusé en boucle à partir des années quatre-vingt-dix ?

    Et pour les trentenaires, comme moi…, ce sont les bony boys, ces petits squelettes qui ont fait leur apparition ! Le nouveau message ? « Consommer trois produits laitiers par jour ».

    Les vertus du lait font partie de notre éducation : « bois du lait sinon tu ne grandiras pas ! »

    Pourtant en 2007, le discours change un peu. Thierry Soucarr, un journaliste publie un livre polémique : « Lait, mensonges et propagande ». Il y dénonce alors les effets nocifs du lait et surtout le lobby de l’industrie laitière capable de tout pour vendre ses produits. Le consommateur étant devenu une véritable vache à lait !

    Alors qu’en est-il ? Je n’ai bien sûr pas la prétention de vous faire une leçon ! Cet article a pour but de faire un petit point et d’en tirer quelques leçons.

    Le lait est incontestablement nécessaire notamment aux enfants

    Le lait est une véritable source de calcium et de protéines. Et le calcium est indispensable, entre autres, à la minéralisation des os et des dents. Le lait (et plus spécifiquement le calcium) est donc en effet nécessaire à la croissance, et donc même si le lait ne fait pas grandir, le calcium qu’il contient est essentiel à la croissance. Il contient également des vitamines A, B et D.

    Par ailleurs, les nourrissons supportent très bien le lactose, contrairement aux adultes comme nous le verrons plus bas.

    On rapporte aussi que le lait participe à la prévention de l’ostéoporose, de certaines maladies cardiovasculaires, du cancer du côlon… Mais, ça, est-ce vrai ?

    Mais pourquoi alors la consommation de lait est-elle remise en question ?

    Tout simplement, car de nombreuses études ont démontré que les bienfaits du lait n’étaient pas si probants, voire même devaient être remis en question.

    Quelques faits

    Une étude, dont les résultats ont été publiés dans le British Medical Journal, a été réalisée sur près de 62 000 femmes entre 1987 et 1990. L’état de santé de ces femmes a été surveillé pendant 20 ans. Voici les conclusions :

    • Les femmes buvant plus de trois verres de lait par jour (700 ml) ont présenté un risque de décès 90 % plus élevéet un risque de fracture de la hanche 60 % plus élevé par rapport à celles qui boivent moins d’un verre par jour.

    Voilà de quoi s’interroger !

    D’autres études ont également démontré qu’une consommation trop importante de lait favorisait l’apparition de diabète de type 1.

    Et surtout, l’un des problèmes majeurs concernant le lait est l’intolérance au lactose. Cette intolérance se manifeste surtout chez les adolescents et les adultes par des maux de ventre, des ballonnements et des diarrhées. Elle est due au fait que l’intestin ne produit pas assez de lactases, une enzyme qui digère le lactose.

    Et il y a d’autres problèmes… liés aux hormones. Je vous en parle plus bas.

    Alors, doit-on arrêter de consommer du lait et des produits laitiers ?

    La réponse est non s’il s’agit d’arrêter tous les produits de façon indéterminée. Car quels que soient les produits, ils contiennent d’autres éléments nécessaires à notre organisme.

    Aussi, dans le cas d’un régime strict sans aucun produit laitier, il faut compenser avec des compléments alimentaires ou d’autres aliments.

    Cependant, arrêter la consommation de lait pendant quelques jours, sous la forme d’une cure, peut faire un bien fou ! Voyons cela. Mais tout d’abord, où trouve-t-on du lait ?

    Ou trouve-t-on du lait ?

     

    Lorsque l’on parle lait, il s’agit bien sûr du lait à proprement parler mais aussi de tous les produits dérivés :

    –       Le beurre

    –       La crème fraîche

    –       Les desserts : fromages blancs, cake, crêpe, pâtisserie.

    –       Les fromages

    –       Les sauces à base lait, style la sauce béchamel

    –       Les chocolats

    –       Certaines charcuteries

    –       Etc.

    Le plus simple est de consulter les étiquettes, mais il y en a dans beaucoup de produits.

    Quels sont donc les effets bénéfiques d’une cure sans produits laitiers ?

    Réduire la consommation de produits à base de lait peut faire dégonfler votre ventre

    On connaît toutes cela ! On se lève le ventre gonflé, et pire, il ne dégonfle pas de la journée. Certains se demandent même si vous n’êtes pas enceinte. NON ! Je ne suis pas enceinte. C’est tout simplement que votre intestin n’a pas suffisamment de lactases, la molécule dont je parlais plus haut et qu’il n’élimine pas correctement le lactose. Résultat : On enfle !

    65 % des individus digèrent mal le lait d’après la « National Library of Medicine ». En arrêtant le lait et les produits laitiers quelques jours vous dégonflerez et vous vous sentirez nettement moins ballonnée.

    Réduire la consommation de produits à base de lait améliore la qualité de la peau

    Le lait de vache contient beaucoup d’hormones qui vont venir s’ajouter aux nôtres. Ce qui induit une surproduction de sébum. Ce sébum obstrue les pores et rend la peau brillante. Et avec comme petits cadeaux supplémentaires de jolis petits boutons !

    Réduire la consommation de produits à base de lait peut réduire les sautes d’humeur

    Là encore, c’est une question d’hormones ! Le lait de vache contient des taux de progestérones et d’œstrogènes très importants. Une fois encore, ajoutées aux vôtres, le corps ou plutôt le cerveau peut réagir en faisant varier votre humeur. Diminuer ou arrêter les produits laitiers peut vous rendre d’humeur plus stable.

    Réduire la consommation de fromage peut diminuer les maux de tête

    Les fromages contiennent, outre le lait, un composé : la tyramine. Cette molécule organique est à l’origine de migraines. Aussi si vous êtes de nature migraineuse, limiter votre consommation de fromage ne peut que vous faire du bien.

    Mais, attention, si vous n’êtes pas sujet aux migraines, le fromage contient de la vitamine B2. Et la carence en vitamine B2 entraîne des migraines. Il s’agira alors de compenser en favorisant des aliments riches en vitamine B2 : les œufs, le poisson et la viande, des amandes, des champignons ou encore certaines céréales enrichies en vitamine B2.

    C’est aussi l’occasion de diminuer ses apports en calories : la balance vous remerciera

    Je vous ai cité plus haut les produits contenant du lait… Avouez que ce ne sont pas des produits très plébiscités en cas de régime. En effet, ils sont tous très caloriques et riches en graisses saturées. Ils sont aussi riches en sucre, provoquant un pic d’insuline laquelle est censée réduire le taux de sucre dans le sang, mais qui active en même temps le stockage des graisses. Et dans le même temps, on peut ressentir une baisse d’énergie et une sensation de faim.

    Contrairement aux idées reçues, consommer trop de produits laitiers augmente les problèmes d’ostéoporose

    Oui, nous n’en sommes pas là ! Mais pensons-y ! Ce n’est pas moi qui le dis : c’est le cancérologue Henri Joyeux. Il certifie que la consommation de trop de produits laitiers induit une fragilité osseuse. Pour lui, le lait et les produits laitiers, apportent des hormones de croissance inadaptées à notre organisme. Je le cite « Lorsqu’un aliment laitier est ingéré, l’organisme utilise uniquement 40 % de calcium venant d’un produit d’origine animale. Ainsi, les 60 % restant s’installent donc dans les articulations, ce qui peut engendrer l’ostéoporose. La Suède, l’un des premiers consommateurs de lait, est le pays où ses habitants sont les plus touchés par les problèmes d’ostéoporose. »

    Quels sont les effets « moins bénéfiques » d’une carence en produits laitiers ?

    Je ne peux conclure cet article sans vous présenter également les dangers d’une cure trop longue sans produits laitiers. Ce ne serait pas sérieux. Aussi si vous entamez une cure sans produits laitiers, soyez vigilant quant à certaines carences.

    Ne pas négliger la carence en vitamines B12

    La vitamine B12 est essentielle à notre système immunitaire. Une carence en vitamine B12 empêche notre système immunitaire de jouer son rôle et nous sommes alors beaucoup plus faibles et sujets aux maladies qu’il ne peut plus combattre. Il est donc essentiel en cas de cure prolongée sans produits laitiers de consulter un médecin pour se faire prescrire de la vitamine B12.

    Ne pas négliger la carence en calcium et en vitamine D qui le fixe

    Même si le lait que nous consommons aujourd’hui n’en contient presque plus, le calcium demeure un nutriment important. Comme précédemment, il est essentiel d’en parler à un professionnel, comme un nutritionniste, par exemple. Et de compenser, par exemple, avec des aliments tels que les sardines, les amandes, les épinards, le cresson, les brocolis, le thym et certaines eaux minérales…

    Ne pas négliger la carence en protéines

    Les produits laitiers sont aussi une source de protéines, qui elles aussi sont indispensables pour notre équilibre et notre masse musculaire. Remplacez alors les produits laitiers par d’autres aliments sources de protéines : soja, morue, œufs, thon, agneau, lentilles…

    Que retenir ?

    Eh bien qu’il faut être prudent. Et ce, dans tous les sens. Trop, ce n’est pas bon, Pas assez ce n’est pas bon non plus. En tout cas, une chose est sûre, attention aux publicités. Avec le lait, tout semblait magique. Or c’est archi faux !

    Le meilleur comportement est donc, comme pour beaucoup de choses dans la vie, de trouver le juste milieu. Soit on réduit sa consommation, soit on fait des cures « SANS » pendant 4 ou 5 jours maximum pour se « nettoyer ». Et on s’informe sur les effets pervers. Mais on ne tombe dans aucun excès !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Passer de salarié à autoentrepreneur : on franchit le pas ?

    Passer de salarié à autoentrepreneur : on franchit le pas ?

    Dimanche midi… Ça y est, elle arrive, vous la sentez… cette boule à l’estomac que l’on ressent quand on sait que demain, lundi, il va falloir y retourner. Rebelote, se lever à 6 heures, prendre le métro ou sa voiture, pour aller rejoindre ses collègues, et surtout son patron que l’on se supporte plus. En plus, vous avez au moins 3 réunions prévues cette semaine… Et votre collègue qui fait un pot, pile jeudi soir, le jour où vous avez sport ! Ça va encore être les éternels blablas pour poser les congés et les RTT, et vous allez encore vous faire avoir. Encore un dimanche après-midi gâché, comme tant d’autres… !

    Pourtant vous avez des compétences, des idées… L’envie de quitter le monde du salariat vous trotte dans la tête, mais vous y pensez sans vraiment y croire. Alors pourquoi, cette fois, ne pas vous y pencher sérieusement ? C’est ce que j’ai fait ! Et croyez-moi, je ne le regrette pas.

    Tout d’abord quelques chiffres

    Déjà sachez que vous n’êtes pas le seul à vivre cette situation, et que beaucoup se lancent !

    D’après l‘INSEE, 691 000 entreprises ont été créées en France en 2018. Ce chiffre est en constante augmentation : +17 % en un an. Le nombre d’autoentrepreneurs a fait un bond de 20 % en un an.

    36 % des Français avouent avoir déjà fait un burn-out et 70 % disent avoir l’impression d’être une machine… d’après une enquête publiée ici. Bref, on sait qu’il y a un certain mal-être pour beaucoup de salariés.

    Le monde de l’entreprenariat tente donc de plus en plus d’individus. Et c’est vrai qu’il présente des avantages ! Mais pas que. Tout n’est pas tout rose non plus. L’ayant vécu, je suis bien placée pour vous en parler.

    Avantages et inconvénients du statut d’autoentrepreneur

    Principaux avantages

    L’indépendance

    Indéniablement, l’avantage incontestable du statut d’autoentrepreneur est de gagner en liberté et en autonomie. Vous êtes libre de travailler quand vous le souhaitez aux horaires qui vous conviennent. Et bien sûr, avec un seul chef ! Vous-même. Envie de faire vos courses à 14 heures le mardi ? Aucun problème, vous travaillerez plus tard le soir ! Vous n’êtes pas du matin ? Pas grave, vous commencerez à travailler à 10 heures et finirez à 19 heures Cette liberté n’a pas de prix. Enfin si, elle en a un, mais nous y reviendrons plus tard.

    Pas de comptes à rendre

    En lien direct avec la rubrique précédente, un point non négligeable, est le fait de ne pas être obligé d’obéir et de rendre des comptes. Vous avez du retard, c’est vous qui le gérez. Vous avez envie de passer du temps sur Facebook ou d’appeler votre chéri ? Personne ne vous fera une remarque désagréable ou vous regardera de travers. Plus personne ne vous surveille. C’est vous qui vous mettez votre propre pression (et bien sûr vos clients).

    La valorisation

    La plupart des salariés souffrent d’un manque de valorisation. On travaille mais les compliments sont rares même lorsqu’ils sont mérités. Il faut avouer qu’il n’y a rien de plus démotivant que de bosser, et de n’avoir aucun retour, voire de la jalousie de la part des autres. Lorsque l’on est entrepreneur, le plaisir éprouvé lorsque l’on obtient ses premiers clients, ses premiers résultats sont grisants à un point difficilement descriptible. En tout cas, rien à voir avec ce que l’on ressent dans le monde du salariat !

    Travailler de chez soi ou du monde entier

    La plupart des activités des autoentrepreneurs permettent de travailler de chez soi, dans un coworking, voire de n’importe où dans le monde ! En tout cas, dans les débuts. Fini les temps de transport interminables, le bureau lugubre ou l’open space qui vous rend sourd. Un ordi, un téléphone, un bureau que vous aménagez à votre convenance. C’est incontestablement un confort significatif et un sacré gain de temps (et d’argent). Même si ce chiffre est une moyenne, les résultats d’une étude du ministère du travail montraient que les Français mettaient en moyenne 50 minutes pour l’aller-retour domicile travail (Le Monde, 2015).

    Principaux inconvénients

    Fini les congés payés (et les arrêts maladie)

    Eh oui, quand on est à son compte, et pour une majorité d’activités, quand un autoentrepreneur ne travaille pas, il n’est pas payé, contrairement au salarié ! Ce manque à gagner est tout de même loin d’être négligeable. On prend rarement 25 CA et 15 RTT quand on est autoentrepreneur. Idem pour les arrêts maladie… Sauf si vous prenez une assurance. Mais le montant est très élevé, le délai de carence est long et ne s’applique donc que pour de très longs arrêts maladie.

    Attention en cas de perte d’activité

    Même si la loi semble évoluer dans le bon sens, à date, les travailleurs indépendants n’ont pas droit au chômage (ils ne cotisent pas). En revanche, on peut profiter d’une période de chômage pour lancer son activité.

    Prévoyez d’intégrer vos charges sociales dans votre chiffre d’affaires

    Un autoentrepreneur doit s’inscrire à la SSI (anciennement RSI) et payer ses charges sociales. Même si avec le statut d’autoentrepreneur, elles sont moins élevées qu’avec le statut de SARL ou de SAS, elles ne sont pas négligeables. Renseignez-vous sur des sites sérieux tel celui-ci. Il y a en effet d’autres charges à prévoir.

    La solitude

    Si en tant que salarié, vous ne supportiez plus l’ambiance du boulot, l’open space, là, les autres ne risquent plus de vous déranger. Si ce n’est que le fait d’être vraiment tout seul, tout le temps et pour presque tout, peut également être pesant. D’où l’importance de se travailler son réseau.

    Il y a bien sûr beaucoup d’autres avantages et d’autres inconvénients. Mais l’objet ici n’est pas de les lister. Il est surtout d’alerter. Mais croyez-moi, si vous avez cette fameuse douleur à l’estomac dès le dimanche midi comme je l’ai eue pendant quelques années, prenez le temps de réfléchir sérieusement, car vous êtes quasiment prêt à quitter le monde du salariat. Car quoi que l’on dise, l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Le plus souvent, ce n’est pas son métier que l’on n’aime pas. C’est la façon dont on l’exerce qui ne nous plaît pas, et donc le monde du salariat, tel qu’il est aujourd’hui.

    Alors quelles sont les principales clés pour passer du salariat à l’entreprenariat ?

    Y croire et avoir confiance en vous !

    En effet, la première chose essentielle lorsque l’on veut quitter le monde du salariat, c’est de croire non seulement en son projet, mais surtout en soi. C’est très certainement l’obstacle le plus important (et le plus difficile) à franchir. Prendre la fameuse décision de quitter SA zone de confort et de se lancer seul. C’est effectivement effrayant tant le salarié est protégé de nos jours, et c’est à ce stade que beaucoup renoncent. Eh bien, non ! Plein y sont parvenus alors pourquoi pas vous ?

    Quant au projet, s’il est en adéquation avec votre personnalité, en adéquation avec les besoins du marché, vous avez déjà le principal.

    Parlez-en autour de vous

    Dans cette étape indécise, n’hésitez pas à parler de votre projet autour de vous, et de la façon la plus large possible. Déjà, vous aurez des retours, et certains peuvent être utiles. D’autres vous demanderont, pourquoi ? Votre objectif ? Bref, des questions qui vous obligent à réfléchir. Vous bénéficierez aussi peut-être de l’expérience de ceux qui sont passés par là. Puis, lorsque l’on commence une activité, seul, le réseau de connaissances prend une importance considérable. On ne peut souvent pas tout faire tout seul, simplement par manque de temps.

    Ne vous précipitez pas

    Si vous avez peur de vous lancer, rien ne vous empêche de commencer à monter votre projet en tant que salarié ou dans une période de chômage. Certes, ce sera plus long, mais vous vous sentirez plus rassuré. D’autant qu’en tant que salarié ou demandeur d’emploi, vous pouvez bénéficier du financement d’un bilan de compétences. Avec un bon bilan de compétences, vous aurez une idée beaucoup étoffée de vos compétences professionnelles et personnelles et de vos véritables motivations. Dans certains cas, si le projet est déjà plus ou moins mûr, on vous orientera vers les formations dont vous avez besoin.

    Planifiez les étapes, fixez-vous des limites et surtout relativisez

    Quitter son emploi fait toujours peur. Et c’est bien normal. Mais si vous ne tentez pas l’expérience, vous aurez très certainement des regrets. Combien se disent « j’aurai dû le faire quand j’étais plus jeune ! » ? Ce qu’il faut, c’est avoir une vision lucide de la situation. Dès cette étape franchie, faites un rétroplanning et fixez-vous des dates butoirs. Dites-vous  « je me donne 1 an », par exemple, et ayez en tête que même si ça ne fonctionne pas, il ne sera jamais trop tard pour retourner dans le monde du salariat. Mais vous aurez vécu une belle expérience, et vous n’aurez aucun regret.

    Alors ? Et si vous vous lanciez…

    Sauter le pas n’est pas évident, je vous l’accorde volontiers. Mais c’est le prix de la liberté. En revanche, le prix de la liberté ce sont les responsabilités… Et ce n’est pas toujours facile d’assumer seul toutes ces responsabilités. Mais croyez-moi, devenir son propre patron, gérer son temps à sa guise, donner plus de sens à sa vie professionnelle (donc personnelle), être fier d’avoir franchi des étapes, c’est vraiment hyper épanouissant !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Une résolution pour la rentrée : on se libère de son smartphone !

    Une résolution pour la rentrée : on se libère de son smartphone !

    Il est 7 h 00, et à peine les yeux ouverts, on a déjà en main cet objet qui nous sert désormais de réveil matin ! Et quasiment en même temps, grâce à nos notifications, nous voilà informé des 3 morts sur la RN 22, de l’incendie d’un immeuble à Paris, de ce policier qui s’est suicidé… On sait aussi qu’on a 15 nouveaux messages, 6 notifications Facebook, 4 sur insta, et j’en passe…

    Sacré réveil !!!

    Aux repas, dans les transports, au travail, dans son lit… on ne quitte plus son téléphone…

    Et si l’on profitait de cette « rentrée » pour intégrer dans nos résolutions de réfléchir sur notre comportement avec notre smartphone ? Certains auront décidé de se remettre au sport, d’autres de manger plus équilibré, ou encore de se coucher plus tôt … Et pourquoi pas se déconnecter un peu de cet objet, de ce compagnon devenu trop présent, disons même envahissant ?

    Si notre écran nous suit partout et semble aujourd’hui indispensable à notre quotidien, il serait bien de s’en détacher tout de même un peu, de ne plus en être aussi « dépendant » afin de se laisser du temps pour un réveil apaisé, pour la lecture, la peinture, la cuisine, les moments conviviaux… Bref, prendre du « vrai » temps pour soi afin d’aborder cette rentrée en douceur, avec l’esprit moins stressé. Et croyez-moi, le téléphone est plutôt un fléau dans la lutte contre le stress !

    Le portable, notre doudou high-tech

     Ahhh….. LE SMARTPHONE !!! Quelle belle invention … Véritable icône de la modernité, le smartphone est devenu l’objet dont on ne peut plus se passer du réveil au coucher. Au travail, à la maison, en vacances, devant la télé, au lit, à table pour certains voire aux toilettes… Quand ne nous suit-il pas ? À cette question, je sais déjà que bon nombre d’entre nous répondront « jamais » ! Et je pourrais presque parier que beaucoup ne savent déjà plus ce qu’était un portable mobile qui avait comme fonction première de téléphoner !

    Un petit retour dans le passé ? Qui sait en quelle année est sorti le premier téléphone mobile ? Eh bien, il a été inventé en 1973 par Martin Cooper, directeur général de la communication chez Motorola. C’est aussi lui qui passa le premier appel de l’histoire depuis un téléphone portable.

    Ce n’est pas si vieux ! Et pourtant, les premières « cabines téléphoniques portables » comme on les surnomme, paraissent tellement loin de nous aujourd’hui…

    L’utilisation du téléphone en quelques chiffres

    Une étude publiée par Statista Research Department, le 14 août dernier, a dévoilé un chiffre incroyable ! La diffusion des smartphones en France aurait connu une ascension fulgurante entre 2011 et 2018. En effet, le pourcentage de Français qui disposent d’un smartphone serait passé de 17 % à 75 % en seulement 8 ans.

    Très connectés, toujours plus connectés et totalement « indéconnectables », les Français disent passer environ 1 h 30 par jour sur internet via leur smartphone personnel. Pour les moins de 25 ans, c’est 2 h 30. J’aurais plutôt tendance à dire qu’entre 15 et 25 ans la connexion est continue. Tout le temps et partout. Car, ces chiffres doivent être largement sous-estimés… On avoue se connecter mais on n’ose pas toujours avouer le temps que l’on passe vraiment sur son téléphone…

    La génération Y, et encore plus la Z, sont bien plus connectées que leurs aînés et ce constat tend à se généraliser à celles qui arrivent. Toujours plus connectés, et de plus en plus jeunes… Mais alors que faisons-nous toute la journée avec notre nouveau partenaire de vie ?

    Quelques chiffres de nos différents usages :

    • 88% cherchent des informations
    • 73% consultent les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Snapchat…), et ce chiffre monte jusqu’à 94% pour les 15-25 ans
    • 70 % consultent leur messagerie
    • 69% lisent les journaux en ligne
    • 69% consultent leurs comptes bancaires
    • 60% font des photos et les postent
    • 59% réalisent des achats
    • 49% regardent la télévision
    • 49% jouent en ligne

    Si la « smartphone mania » a atteint aujourd’hui plusieurs générations, les pré-ados de 12-14 ans semblent, eux, être carrément nés avec un portable à la main ! En effet, 89 % de ces jeunes ont un smartphone, au moment de l’entrée au collège, offerts par des parents soucieux de savoir où ils sont et ce qu’ils font à toute heure de la journée. Mais pour ces jeunes, ce petit tracas des parents semble être très loin. Le portable serait plutôt un mix entre la télévision, l’appareil photo et la console de jeux ! Avec des applications par millions pour des usages toujours plus divers, le smartphone est aujourd’hui un indispensable partenaire sans lequel nous serions totalement perdus !

    Et c’est là qu’une question se pose : cette hyperconnexion non-stop ne serait-elle pas dangereuse ? N’y aurait-il pas un risque possible d’addiction ? Dans quelles mesures nos relations humaines souffrent de ce phénomène ?

    Le revers de la médaille …

    Si le smartphone a été conçu pour nous simplifier la vie, et n’est donc a priori pas dangereux, il semblerait que notre utilisation effrénée ait poussé chercheurs et spécialistes à se poser des questions. Et il y a sûrement de quoi s’en poser !

    En effet, d’après une étude IFOP réalisée en France en 2017, sept personnes sur dix se disaient très inquiètes à l’idée d’avoir oublié leur téléphone en partant. Ce phénomène à d’ailleurs été nommé : nomophobie venant de « no mobile phobia ». Si cette nomophobie n’est pas (encore) un trouble psychiatrique à proprement parlé, on peut tout de même parler de réelle « addiction comportementale ». La psychosociologue Sara Thomée avoue que « l’on retrouve des symptômes propres aux autres addictions, tels que l’introversion ou le besoin croissant d’avoir accès à l’objet, ce qui se traduit par une souffrance réelle lorsque le désir n’est pas assouvi ».

    Or, lorsque l’activité virtuelle prédomine à la vie sociale réelle, on peut penser qu’il y a un risque ! Non ? Selon plusieurs médecins, le constat est alarmant ! Les smartphones semblent être devenus de véritables doudous virtuels ou encore un cordon ombilical psychosocial. Ils viennent rassurer, combler des manques affectifs ou émotionnels chez certaines personnes déjà fragilisées dans leur environnement psychique, familial ou social.

    De plus, il y a une dimension que l’on néglige complètement et qui est pourtant indispensable au bon fonctionnement de notre cerveau, c’est l’ennui. On a tous tendance à combler le vide, ce vide qui nous angoisse, et on a tort ! Notre cerveau, saturé de sollicitations externes en permanence et privé de toute possibilité d’ennui ne permet plus l’imaginaire et la créativité, cet espace fondamental qui nous permet d’évoluer et de nous développer.

     Les dangers de l’usage abusif du smartphone sont pourtant bien réels

    Quelques chiffres :

    • L’utilisation du smartphone au volant est devenue l’une des causes principales d’accidents sur la route avec la vitesse et l’alcool. Selon la Sécurité routière, 9 Français sur 10 avouent utiliser leur smartphone au volant. Un accident mortel sur 10 sur les routes est lié à l’utilisation du téléphone au volant, et 310 personnes sont décédées sur les routes en 2016 à cause de l’usage du téléphone.
    • 65% des français avouent consulter leur téléphone en marchant dans la rue et en traversant. Même si les études ne peuvent donner de chiffres, on sait aujourd’hui que de nombreux accidents impliquant des piétons sont liés au manque d’attention des de ces derniers, rivés sur leurs écrans. On les appelle aujourd’hui les « Smombies ».
    • Très récemment aussi, on nous a alertés sur les ondes électromagnétiques émises par nos portables. Un téléphone (le HAPI 30) a d’ailleurs été retiré de la vente.
    • Un accès constant aux informations qui nous envoient des images chocs à longueur de temps aurait un impact négatif sur notre moral au quotidien. D’ailleurs de nombreux articles commencent à alerter les jeunes sur les méfaits des réseaux sociaux et notamment d’Instagram.

    En effet, revenons rapidement sur ce dernier point qui a lui seul pourrait faire l’objet d’un article. Sur les réseaux sociaux, on ne s’aperçoit même plus que les gens ne postent que « le bon côté » de leur vie, laissant à penser aux autres, que la vie est toujours belle. Sur Instagram, les photos retouchées, font croire aux ados que tout le monde est mince et beau. Sans compter la surenchère pour « paraître » ! Superbes hôtels, restos, sorties, vêtements… bref, une avalanche de photos qui peuvent en complexer beaucoup et les conduire à la dépression.

    Alors si l’on devenait raisonnable ?

    Oui, tout le monde sait tout ça… et pourtant on continue et de plus belle : les signes évocateurs de l’addiction. D’ailleurs savez-vous le temps que vous passez sur votre téléphone ?? En êtes-vous même conscient ?

    Si vous ne vous rendez pas compte que vous êtes complètement happés par votre smartphone, des applications existent désormais pour calculer pour vous votre temps d’utilisation.

    Attention, ça peut faire peur ! Tant mieux !

    Si ça pouvait nous faire un électrochoc et nous faire changer dans l’usage de notre smartphone … Alleluyah ! Allez, le challenge est lancé : réduire votre « temps d’écran » par rapport à hier ! Cap ou pas Cap ?

     Conclusion

     Après la remise au sport, le « manger plus sain » et le devenir plus écolo, laisser de côté son smartphone de temps en temps pourrait être la résolution de trop ? Mais pensez-y ! Et si ce geste était tout aussi important pour notre santé que de manger 5 fruits et légumes par jour ? Si la « pause des écrans » joue un rôle important sur notre bien-être, le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ? Je pense que dans ce monde de sur-connexion à toute heure de la journée, il serait bon de garder du temps pour nous, pour les moments entres amis, collègues, pour les balades, le sport ou tout simplement pour dévorer un bon livre.

    Soyons connectés, oui ! Mais surtout avec le monde réel !

    Charlotte Vallet, Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

  • Comment bien préparer la rentrée avec dynamisme et joie ?

    Comment bien préparer la rentrée avec dynamisme et joie ?

    Toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit !

    Je déteste ce proverbe et pourtant il est bien vrai. On tourne la page des vacances et on commence le nouveau chapitre de la rentrée. Mais qui a dit que septembre doit rimer avec méandres ? Pourquoi pas avec détendre ou surprendre ? Et rentrée avec été, profiter, jouer, chanter, danser ? Car, oui, même à la rentrée, il fait beau, chaud, le soleil brille encore et il n’y a aucune raison de ne pas en profiter !

    Mais quand le blues voire le stress s’invite au barbecue de fin d’été comment faire ? Comment gérer la panique de la rentrée ? Comment s’y préparer au mieux afin qu’elle se fasse dans la joie et la bonne humeur ? Comment adapter son corps à un nouveau rythme de vie ? Comment réadapter le sommeil, l’alimentation, le sport, quand le programme était plutôt au farniente et aux apéritifs ?

    Oui, je vous l’accorde, ce n’est pas de gaieté de cœur que l’on renonce à tout cela, mais avec quelques pensées positives, la transition peut être moins douloureuse. Alors comment se réapproprier le quotidien en douceur et avec le sourire ?

    Une reprise en douceur sans stress ni déprime

    On a tous connu ce petit coup de blues de la rentrée qui vient nous tirailler le ventre quelques jours avant le « D day ». Pas de panique, c’est normal ! Mais ne laissons pas ce vague à l’âme se transformer en un stress paralysant ! Dites-vous que tout le monde vit la même chose en même temps que vous, et que ce « deuil » des vacances est difficile au début mais qu’il n’est pas du tout insurmontable.

    Alors, oui ! La rentrée est souvent synonyme de rush, de réunions, de nouveaux projets… Une effervescence qui contraste radicalement avec l’oisiveté des vacances, mais il ne faut pas pour autant céder au surmenage ! On s’organise ! On se donne des petits objectifs à atteindre et on choisit de vivre cette rentrée au jour le jour sans se mettre la pression.

    Au travail, le maître mot : Hiérarchiser ! On traite les tâches importantes d’abord, sans se laisser déborder par la tonne de travail qui nous attend. On s’organise et on trie. Et surtout, on ne procrastine pas ! Remettre au lendemain ce que l’on aurait pu faire le jour même va nous mettre en retard sur notre planning des tâches à accomplir et ainsi, augmenter notre stress et diminuer notre estime de soi. On applique également cette technique pour le traitement des 2 millions de mails qui saturent notre boîte :

    • Commencer par un tri rapide, et les répartir dans 3 boîtes (« à faire dans les 24-48 heures », « à faire dans la semaine », « pas urgent »)
    • Les lire en plusieurs fois (par paquets de 50 ou 100)
    • Le faire plutôt le matin en arrivant : c’est mieux de commencer par le plus rébarbatif
    • Gérer un mail à la fois.

    Et on ne se prive pas des pauses habituelles avec les collègues pour se remémorer ensemble les bons moments de l’été ! On continue les petits plaisirs des vacances et on s’octroie une tomate mozza en terrasse entre midi et deux !

    Les plaisirs de l’été que l’on fait perdurer…

    Pourquoi se mettre au régime strict et bosser comme un acharné dès le premier septembre? Pourquoi ne pas continuer à s’octroyer les petits plaisirs de cet été ? Une fois que nous avons accompli les tâches de la journée au travail, il n’y a aucune raison de s’empêcher de déguster un bon petit apéro en terrasse entre amis. Au contraire ! Une reprise réussie, c’est aussi ça. On continue de prendre du temps pour soi, pour ceux que l’on aime, on profite des moments de détente en solo et les moments de partage entre amis. On fait le marché, on se balade dans la nature ou au bord de l’eau le week-end… On se fait plaisir sans culpabiliser.

    Et pourquoi ne pas adopter ce mode « détente », « stressless » au travail ? Ne serait-il pas bénéfique ? Ne travaillons-nous pas mieux lorsque ce n’est pas dans l’urgence ? Laissons un peu s’inviter dans notre bureau le calme et la détente et chassons l’urgence, la pression et l’angoisse.

    Du boulot, d’accord ! Mais dans un dynamisme positif et avec le sourire. On prend un peu de recul et surtout beaucoup de plaisir.

    Comment bien préparer la rentrée avec joie ?

    Malgré tout, il y a quelques petits efforts à faire…

    Eh oui ! Si la rentrée doit être vécue de la manière la plus positive qu’il soit, notre corps va avoir besoin d’un léger rééquilibrage au niveau du sommeil, de l’alimentation et de l’activité physique ! Un « mal » nécessaire pour qu’il vous accompagne au mieux dans ce nouveau rythme de vie. Alors on s’y met doucement mais sûrement !

    On commence par reprendre de bonnes habitudes alimentaires sans pour autant bannir les petits plaisirs des vacances. On adopte le « un peu moins, et un peu plus » :

    • un peu moins de rosé et un peu plus d’eau
    • un peu moins de chips et un peu plus de légumes
    • un peu moins de glace et un peu plus de fruits
    • On n’oublie pas non plus le sommeil, facteur très important pour redémarrer sur de bonnes bases. Voici donc 2 ou 3 petits conseils pour un sommeil réparateur :
    • on évite de boire de l’alcool trop tard le soir…  
    • on apaise son corps et son esprit en finissant le bon bouquin des vacances

    Et pour finir, on continue ou on reprend une activité physique régulière pour se décharger du stress, de la pression, et faire du bien à notre corps et à notre esprit. Inutile de se fixer des résolutions de sportif de haut niveau : on va à son rythme, l’essentiel est dans l’action.

    On se fait plaisir et surtout du bien ! On peut le faire solo ou entre amis, dans un parc, le long d’un fleuve, sur la plage ou en montagne, peu importe. On se défoule et on prend son pied ! On court, on pédale, on nage et on se détend aussi…

    On s’oxygène et on se recentre sur soi et sur l’essentiel

    On se défoule mais pas que ! On laisse aussi la place à la détente de notre esprit et de notre corps. On s’oxygène, on respire et on apaise toutes les mauvaises tensions liées au stress de la rentrée. Et rien de mieux pour cela que les activités comme le yoga, la méditation ou encore la sophrologie. Les jours sont encore longs, alors on profite jusqu’au bout du beau temps et de la lumière apaisante du soir pour aller faire notre activité dans le jardin ou dans un parc pour respirer l’air frais et pur de la nature. Mais quels sont les bienfaits de ces trois techniques ?

    Le yoga, tout d’abord, peut, grâce à certaines postures, avoir des effets stimulants qui vont nous faire un bien fou. Certaines ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol.

    La sophrologie, elle, en jouant sur les organes et la circulation sanguine, permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Elle va aussi entraîner le renforcement de nos connexions neuronales, utiles au travail !

    Et enfin, la méditation, va nous apaiser en nous recentrant sur nous-même et sur notre environnement.

    N’oubliez que si vous souhaitez des renseignements, je suis à votre disposition !

    Mieux qu’un smoothie détox, ces activités nous apportent l’énergie mais aussi l’apaisement nécessaires à la remise en route de notre corps et notre cerveau.

    Alors…

    C’est la rentrée… Oui, mais on ne se met pas la rate au court-bouillon pour autant ! Pas de stress, pas de panique ! Inutile de mettre en place un régime drastique car vous ne ferez qu’augmenter le blues de la rentrée ! On effectue un rééquilibrage en douceur sans pour autant se priver des petits plaisirs de cet été. De la méthode sans frustrations !

    Alors, bonne rentrée à tous sous le soleil et avec quand même quelques petits cocktails (avec modération bien sûr !).

    Charlotte Vallet -Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

  • L’activité physique, bénéfique pour notre libido ?

    L’activité physique, bénéfique pour notre libido ?

    Le sport peut-il améliorer notre libido ? Si la réponse est oui, alors je saute tout de suite dans mes baskets et je file faire un petit footing ! Plus sérieusement, cette question mérite une réponse. En effet, l’activité physique a déjà largement démontré ses bénéfices dans de nombreux domaines relatifs à la santé comme : la lutte contre le cancer, les maladies cardiovasculaires, l’obésité, la dépression… Alors qu’en est-il de l’effet du sport sur notre libido, et plus généralement sur nos relations sexuelles ? Lisez la suite… Certains pourraient vite se découvrir une nouvelle passion !

    Mais tout d’abord, et pour mieux comprendre, revenons sur des notions essentielles.

    La libido : quèsaco ?

    C’est Sigmund Freud, père fondateur de la psychanalyse, qui a contribué le premier à populariser la notion de libido. Selon lui, la libido est une « énergie vitale ». C’est cette pulsion, cette force fondamentale aussi puissante que mystérieuse qui nous pousserait à nous accrocher à la vie. Mais la définition de la libido n’a cessé d’évoluer. Carl Jung, autre père fondateur de la psychanalyse, l’a ensuite décrite comme étant une « énergie psychique ».

    À l’heure actuelle, on utilise ce terme, d’une manière plus générale, pour désigner « l’appétit sexuel ». À savoir aussi que la libido est considérée par la médecine comme un indicateur clé de la santé et de la qualité de vie.

    Libido et désir, y a-t-il une différence ?

    En latin, le terme « libido » signifie « désir, envie ». Et c’est plutôt dans ce sens-là qu’il est aujourd’hui employé. Pourtant, il y a bien une différence entre le désir et la libido. Cette dernière est une notion plus large que l’appétit sexuel. C’est un instinct de vie qui regroupe l’ensemble de nos pulsions primaires (animales), dont celle de faire l’amour.

    En revanche, le désir est généralement synonyme d’envie sexuelle. C’est ce qui nous donne envie de ce rapprochement charnel, cette folle attirance pour l’autre.

    Ce n’est pas clair ? Bon, je vais vous l’exprimer autrement et plus simplement : on peut aimer faire l’amour (bonne libido) mais sans pour autant éprouver du désir pour tout le monde. Le désir, c’est ce qui fait la différence.

    La libido est donc le véritable moteur d’une sexualité épanouie. Mais elle ne suffit pas. Sans désir, le sexe ne serait qu’un accouplement mécanique afin d’assurer la continuité de notre espèce ! Mais sans même parler de désir, la libido peut parfois nous faire défaut… Pas de panique !

    Le manque de libido, un phénomène naturel

    On le sait tous, pour l’avoir ressenti au moins une fois dans notre vie, cette folle envie de galipettes avec notre partenaire peut parfois se transformer en une… contrainte. Moi qui pensais qu’elle était éternelle… Eh bien non ! Le manque de libido est un phénomène naturel et bien connu. C’est souvent la conséquence de plusieurs facteurs environnementaux, psychiques et psychologiques. Il est donc tout à fait normal qu’à certains moments de notre vie nous ressentions une baisse de notre appétit sexuel. Mais alors quelles peuvent être les causes de cette baisse de libido ? Sommes-nous tous égaux face à ce problème ?

    Quelques causes possibles

    Outre le fait de ne plus éprouver de désir, il est très compliqué de trouver UNE cause qui expliquerait la baisse de notre libido. Elles sont multiples et peuvent parfois agir en même temps, malheureusement ! Citons :

    •    La fatigue physique

    •    Le stress du quotidien

    •    Les pathologies psychiques comme la dépression

    •    Les pathologies physiques comme le cancer, l’arthrite, l’hypertension et bien d’autres

    •    La prise de certains médicaments

    •    La prise régulière de drogues ou d’alcool

    Quelques chiffres

    Dans une enquête concernant la sexualité des Français (12 000 personnes âgées de 18 à 69 ans), 1,9 % des hommes et 6,8 % des femmes ont répondu avoir souffert « souvent » d’une absence ou d’une insuffisance de désir, durant l’année écoulée. C’est peu me direz-vous…

    Eh bien, oui car la question était mal posée. En remplaçant le mot « souvent », par « parfois », ces chiffres sont montés respectivement à 20 % et 29 %. Et encore, ils ne tiennent pas compte de ceux qui n’osent pas l’avouer…

    De plus, et afin de renforcer cette tendance, il semblerait, selon une étude IFOP, que les hommes reconnaissent de plus en plus souffrir de troubles de l’érection. En effet, en 2005, ils étaient 44 % à déclarer souffrir de problèmes d’érection, ils sont aujourd’hui 61 %. Et sur ces 61 %, 38 % admettent avoir été « en panne » au moins une fois ces 12 derniers mois.

    Mais peu importe les chiffres, d’autant plus que sur ce sujet, nous ne sommes pas toujours très honnêtes. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il existe des solutions, et que le sport en fait partie.

    Le sport, un booster de libido

    Ce n’est plus un secret ! Une activité physique régulière est bénéfique pour la santé. Mais ces bienfaits concernent-ils aussi la sexualité ? La libido peut-elle être stimulée par des séances de sport ? Il semble que la réponse soit plutôt positive même si le sujet a été assez peu étudié.

    Une augmentation des endorphines, moins de stress et une meilleure confiance en soi

    Si le sujet de la sexualité reste plutôt tabou en France, il semblerait qu’un bon nombre de patients qui consultent souhaitent trouver un moyen « naturel » pour booster le désir sexuel. Et à ces patients, on leur répond que l’activité physique en est un et non des moindres !

    En plus d’améliorer considérablement notre santé, le sport entraîne une valse folle d’hormones, bénéfiques à notre désir. Dès 30 à 40 minutes d’effort, notre organisme sécrète des endorphines, appelées également hormones du plaisir. « Ces endorphines améliorent la libido et permettent de lutter contre le stress, l’une des premières causes de la baisse de l’activité sexuelle », décrit la sexologue Magali Croset-Calisto. Elles permettent aussi de renforcer l’estime de soi et donc d’améliorer notre confiance et donc… notre vie sexuelle.

    En effet, il a été démontré, chez l’homme d’abord, que plus le niveau d’activité physique hebdomadaire augmente plus la fonction érectile s’améliore. Chez la femme, c’est la satisfaction sexuelle qui est évaluée. Par exemple, une étude a ainsi démontré qu’après trois mois de séances de pilates répétées 3 à 4 fois par semaine, le score obtenu était nettement plus élevé.

    Et ces bénéfices sont d’autant plus importants dans le cas de “petits” soucis sexuels ou de maladies chroniques.

    Quelques chiffres

    Une étude Fizzup réalisée en 2018 sur 1 547 hommes et 1 705 femmes entre 20 et 59 ans, a démontré les bienfaits du sport en quelques chiffres :

    •    80 min de sport augmentent de 15 minutes la durée d’un rapport sexuel

    •    Il rendrait 71 % des hommes plus performants

    •    82 % des individus se sentiraient plus confiants et plus sexy

    •    50 % déclarent avoir plus envie d’un rapport sexuel après une séance de sport

    Faire du sport régulièrement permet de mieux connaître son corps, de découvrir de nouvelles sensations. De gagner en confiance en soi, ce qui est essentiel dans les relations sexuelles.

    Et si l’envie de faire du sport à deux se présente ? On n’hésite surtout pas et on fonce ! D’une part, les deux partenaires bénéficient des effets sur leur désir, et d’autre part, la complicité ne s’en trouve que renforcée. Quelle bonne idée !

    Mais attention. Comme pour tout, il ne faut pas être dans les excès… Vous connaissez sans doute pas mal d’expressions avec « Trop de… tue…. », eh bien là, c’est pareil. Trop de sport tue les bénéfices du sport !

    Du sport oui, mais attention aux excès ! Et lesquels ?

    Le mieux est donc souvent l’ennemi du bien. Alors le sport, oui, mais pas à outrance !

    Pour obtenir un réel bénéfice sur la libido, c’est la régularité de l’activité qui doit être le maître mot ! Pas la quantité. Mais alors, à partir de quand en fait-on trop ? La limite maximum paraît difficile à établir car elle dépend du niveau d’entraînement et des capacités physiques de chacun. De manière générale, les médecins ont tendance à dire que l’on en fait trop lorsque l’entraînement devient vraiment épuisant et que la récupération est très longue. Donc du sport, oui mais, attention aux entraînements intensifs ou longs, qui demandent aux muscles de consommer toute la testostérone présente dans le corps.

    Nous pouvons également nous demander quels sports sont les plus recommandés ? Selon les médecins spécialistes, 4 sports seraient très bons pour booster notre désir et apaiser notre stress : la marche, la natation, la course à pied ou encore le yoga. Mais, peu importe… L’essentiel est d’y prendre du plaisir.

    Conclusion

    Le sport ou plus généralement l’activité physique est donc très bénéfique pour notre santé et est un réel booster de libido. Pratiqué de manière « raisonnable », il augmente la libération de d’endorphines dans notre corps, notre hormone du plaisir, et réduit, en même temps, le stress qui nous envahit ! Un cocktail parfait pour des moments 100 % plaisir ! Alors, même si nous sommes pressés et souvent engloutis par notre quotidien surchargé, prenons le temps de faire un peu d’exercice physique car c’est un « plus » pour notre santé mentale, physique et notre relation de couple. Mais attention à ce que cela ne devienne pas une addiction, auquel cas ne tardez pas à consulter 🙂 ! Alors vous commencez quand ?

    Charlotte Vallet, Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

  • Cap vers la trentaine : la fleur de l’âge ! Quelles habitudes prendre ?

    Cap vers la trentaine : la fleur de l’âge ! Quelles habitudes prendre ?

    Dernière année dans la vingtaine avant le passage fatidique dans la trentaine ! Certains diront que l’on entre dans la fleur de l’âge mais nous… On en pense quoi ? « Ça fait bizarre », « Hier encore j’avais 20 ans, là je vais vers 40 », « J’ai 30 ans et pas d’enfant »…

    Entre l’insouciance de la jeunesse et l’âge de la maturité, le combat commence. Alors on fait comment ? Pas de panique ! On passe tous par cette période transitoire un jour et, a priori, on survit ! Mais d’après les dires de ceux qui sont passés par là, il y a tout de même quelques petites habitudes à prendre pour vivre au mieux cette trentaine et l’arrivée des cheveux blancs qui vont avec :-).

    La trentaine : coup de blues ? Ou…

    Vous allez avoir 30 ans et, je suis bien placée pour le savoir, c’est l’affolement ! Vos potes se marient, ont déjà un ou deux enfants, une maison avec le chien et le petit jardin… Et vous ? Eh bien vous, vous êtes célibataire, sans enfant, et vous commencez à visualiser ces premières petites rides que vous tentez de gommer quand vous publiez un selfie… L’horreur !

    À 20 ans, on met son argent dans les fiestas du week-end, les billets de train ou d’avion, les dernières baskets à la mode… Et aujourd’hui, à l’approche de la trentaine, c’est plutôt masque pour les cheveux (abîmés par toutes les couleurs que l’on a pu déjà faire), crème de jour supra ultra-hydratante, crème de nuit antirides, et LE paracétamol pour les gueules de bois de lendemains de soirées (chose que je ne connaissais pas il y a encore quelque temps) ! 30 ans ! Moi-même, je n’y crois pas ! C’est un cap… Un cap qui a certes un côté angoissant, mais qui d’un autre, est plutôt excitant.

    C’est un peu comme si l’on refermait le livre de l’adolescence définitivement et que l’on ouvrait le tome II, celui de la femme jeune, active et pleine de projets. Cette femme pour qui tout est à construire, pour qui l’avenir se déroule à l’infini !

    Alors la trentaine est-ce réellement le coup de blues, un coup de déprime ? Pas du tout !

    … Coup de peps ?

    Le cap de la trentaine, c’est à nous de le transformer en coup de peps ! On ne dépend plus des parents (pour la plupart), on a un job et on s’assume financièrement (pour les plus chanceux). On a trouvé notre petit cocon (plus ou moins petit et plus ou moins cocooning), et on profite de tous ces atouts pour enfin vivre la vie dont on rêve depuis toujours. On a enfin la possibilité de faire nos propres choix, de réaliser des projets qui fourmillent par milliers dans notre tête et de vivre le moment présent, tout simplement.

    30 ans, c’est un cap, soit, mais c’est surtout une chance ! Notre indépendance nous permet de vivre de nouvelles expériences, de rencontrer de nouvelles personnes, de voyager, de réaliser de nouvelles activités… d’être en accord avec nous-même !

    30 ans : les astuces pour passer, au mieux, ce cap !

    Comme tout passage dans une nouvelle dizaine, la trentaine fait peur… Alors pour franchir cette étape dans la joie et la bonne humeur, voici quelles astuces :

    • Dites-vous que l’âge n’est qu’un chiffre, rien d’autre
    • Ne vous comparez pas aux autres. Chacun son parcours, chacun son histoire.
    • Fêtez votre anniversaire en organisant une fête mémorable
    • Faites un tableau dans lequel vous indiquez tout ce que vous avez déjà réalisé jusqu’à maintenant et les projets que vous avez pour l’avenir
    • Arrêtez de compter, tous les jours, les petits cheveux blancs et les petites ridules qui apparaissent
    • Faites un bilan de votre peau et de ses besoins et achetez des crèmes adaptées et hydratez-vous bien chaque jour
    • Respectez le rythme de votre corps et dormez suffisamment pour bien récupérer. Mais surtout prenez l’habitude de vous coucher et de vous lever à la même heure tous les jours. Selon les experts, si vous dormez différemment ne serait-ce que quelques jours, vous risquez de dérégler votre horloge interne et vous vous sentirez fatigué plus tard le soir. Évitez-vous une vie de troubles du sommeil en vous forçant à respecter un rituel de coucher et de lever chaque fois que c’est possible.
    • Si vous fumez, arrêtez tout de suite, suggère Cyndi Perlman Fink, écrivain et entrepreneur. Vous ne pourrez pas réparer les dégâts déjà causés mais, selon une étude, le risque de mortalité est moins élevé de 90 % chez les personnes qui abandonnent la cigarette avant 40 ans.
    • Mangez le plus sainement possible en vous faisant plaisir
    • Pratiquez une activité physique régulière pour vous défouler et/ou vous apaiser car passé 35 ans, vous commencerez à perdre de la masse musculaire. Faire du sport devient donc particulièrement important. Mais choisissez toujours une activité qui vous plaît. Si vous optez pour quelque chose qui ne vous convient pas, il est peu probable que vous vous y teniez.
    • Déconnectez-vous des réseaux, des mails, des appels, le plus souvent possible afin de profiter au maximum de l’instant présent !
    • Sortez, profitez, rencontrez de nouvelles personnes
    • Respectez vos priorités, celles qui vous rendent heureux (ses)

    Écouter son corps et se faire du bien n’a pas d’âge !

    30 ans ou plus, il n’y a en réalité pas d’âge pour prioriser son bien-être. Si les priorités changent au fil du temps, votre corps, lui, demande toujours la même chose : que l’on prenne soin de lui.
    Sans que ce soit une prise de tête au quotidien, il est simple de faire du bien à notre corps et à notre esprit. Et pour garder la forme (ou la retrouver), il faut avant tout savoir écouter ce qu’ils ont à nous dire… Eh oui, comme tout, savoir s’écouter s’apprend ! Encore faut-il en avoir l’envie ! Mais alors comment faire me demanderez-vous ? Je vous répondrai qu’il faut d’abord prendre un temps pour se poser réellement et ne rien faire. Installez-vous dans un endroit qui vous rassure, que vous aimez et écoutez votre respiration. Pendant ce moment d’apaisement, fermez les yeux et prenez conscience de tout ce qui constitue votre corps dans son environnement. Sentez vos muscles qui se détendent, votre respiration qui se ralentit et savourez cet instant de bien-être profond.

    Si ces moments sont précieux pour évacuer le stress, s’apaiser et se détendre, ils ne sont pas les seuls. En effet, le bien-être du corps et de l’esprit s’acquiert grâce à une association de plusieurs choses au quotidien, citées précédemment. Mais s’il faut en retenir 5, les voici :

    • Manger sainement
    • S’hydrater
    • Bien dormir
    • Pratiquer une activité régulière
    • Et, s’obliger à se détendre en se recentrant sur soi grâce aux techniques comme le yoga, la méditation, ou encore la sophrologie

    Voilà les clés de votre bien-être. Il n’est pas toujours simple dans nos vies si rythmées de respecter cette liste, mais le but est de l’avoir en tête et de s’en rapprocher le plus possible. Si l’on veut passer au mieux ce cap des trente ans et tous les autres qui suivent, ces points sont la règle d’or à suivre au quotidien. Car en effet, on n’y pense pas vraiment à 30 ans, mais quel que soit l’âge, on a toujours envie d’être plus jeune et d’être en forme ! Et ça se prépare.

    Conclusion

    Fêter… ses 30 ans, c’est un cap, mais avouons que ce n’est pas le pire ! Bien au contraire. On est encore jeunes, pleins d’ambition et de projets. Alors profitons-en ! 30 ans, c’est « le bel âge », « la fleur de l’âge ». Demandez à celles et ceux qui vous entourent s’ils souhaitent revenir à cet âge et vous verrez ! 30 ans, c’est l’âge où tout est réalisable, le commencement d’une vie de tous les possibles, si l’on s’en donne les moyens, bien sûr ! 30 ans, c’est l’indépendance, les voyages, les nouvelles rencontres, la réalisation de soi et de ses nombreux projets ! Avoir 30 ans, c’est normalement le bonheur, alors profitons-en pour vivre pleinement ces belles années qui nous attendent. On garde toutes les petites astuces dans un coin de sa tête, pour vivre au mieux, en harmonie avec son corps et son esprit et on fonce vers l’avenir qui nous attend à bras ouverts !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

  • Au mois d’août, on profite des joies de la nature

    Au mois d’août, on profite des joies de la nature

    Les abeilles butinent les belles fleurs du jardin, les brochettes sont sur le gril, les belles tomates rouges et le melon sucré régalent nos papilles, le soleil brille et réchauffe nos cœurs…

    Ce sont les vacances, et donc la période idéale pour se ressourcer, se détendre et profiter des beaux jours loin des villes, de la vie trépidante et de la pollution ! Un bikini, une futa, des lunettes de soleil, une crème protectrice UV 50, des claquettes, un chapeau et c’est parti !

    Si certains d’entre nous savent apprécier le chant des oiseaux, le vent dans les feuilles des arbres, ou même le silence loin des zones urbaines fourmillantes, d’autres y sont moins sensibles. Et c’est dommage ! Car, la nature procure énormément de bienfaits sur notre santé physique et mentale. Elle est plus qu’un simple lieu de vacances. Et si elle pouvait guérir nos maux ? Eh oui ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, la nature est un trésor, de surcroît gratuit, pour notre corps dont les bienfaits ne sont plus à prouver, et ils sont nombreux !

    Des trésors, des bienfaits, des vertus… Oui ! Mais lesquels ?

    Une réduction du stress, de la fatigue et un antidépresseur naturel

    Si les chercheurs ont encore du mal à expliquer pourquoi la campagne nous fait du bien, plusieurs études révèlent que se mettre au vert réduit le stress. Le bourdonnement des insectes, le parfum de l’herbe fraîchement coupée… La nature, ses odeurs et ses bruits, ont un réel effet apaisant sur nos cerveaux surmenés. Le psychologue Charles Spence de l’université d’Oxford en est convaincu. Il s’est d’ailleurs livré à une expérience assez amusante : il a convié des mangeurs d’huîtres sur un rivage en leur faisant écouter le bruit des vagues pendant leur dégustation. Résultat : plaisir gustatif décuplé pour tous ! Notre cerveau est en effet multi sensoriel. Manger, écouter, voir, marquent nos expériences cognitives, dans ce cas, en bien. Il n’est pas pour autant aisé de justifier scientifiquement parlant, pourquoi nous nous sentons si bien dans un environnement campagnard même si nous pouvons deviner que le cerveau s’oxygène davantage et que l’environnement nous tranquillise.

    Une autre menée par des chercheurs du Queensland sur 1 500 Australiens âgés de 18 à 70 ans, révèle que passer 30 minutes au moins par semaine dans la nature serait efficace pour lutter contre la dépression, le stress, la fatigue et l’hypertension artérielle. « Si chacun d’entre nous se rendait dans un parc pendant une demi-heure chaque semaine, il y aurait 7 % de cas de dépression en moins, et 9 % de cas d’hypertension artérielle en moins », explique le Dr Danielle Shanahan, principale auteure de l’étude.

    Une source de productivité et de créativité

    Des chercheurs de l’université Australienne de Melbourne viennent de montrer que le simple fait de prendre le temps de contempler la nature augmente la concentration et ainsi la productivité au travail. Comment ? Ils ont fait visionner des images d’environnement naturel et urbain à 150 étudiants et ont remarqué une croissance significative des performances de ceux ayant bénéficié de ces « pauses vertes » pendant quelques secondes. D’autres études, ont également démontré que la présence de plantes au bureau et/ou la vue sur des paysages arborés réduisaient le stress des employés et accroissaient leur productivité. Le tout accompagné d’une diminution des arrêts de travail.

    Outre ces deux réels points positifs, la nature réveillerait également notre créativité. Une étude, réalisée par la Regent’s University de Londres, viendrait apparemment confirmer ces dires. Mais cela est en fait connu depuis bien longtemps. Plusieurs recherches avaient été effectuées à ce sujet, et toutes avaient mené à la même conclusion : le vert nous rend heureux et créatifs ! En 2000, des chercheurs japonais se sont penchés sur le sujet et ont conclu que la verdure favoriserait l’exécution de tâches créatives, et encore plus chez les hommes que les femmes. En 2012, une autre étude publiée dans Personality and Social Psychology Bulletin, nous affirme que la couleur verte stimule la créativité, l’inventivité et la motivation face à une tâche ardue. Et plus récemment, Ruth Ann Atchey, chercheuse à l’Université du Kansas, a démontré en passant trois jours dans la nature, que celle-ci booste la créativité de 50 %. Selon elle, « la nature est un refuge contre la cacophonie du monde et la douce fascination qu’elle exerce rafraîchit l’esprit ».

     

    Yoga, sophrologie, méditation… Oui mais en pleine nature, s’il vous plaît !

    Et si au mois d’août, on profitait justement du beau temps pour aller faire notre yoga, notre sophrologie et/ou notre méditation dans un parc verdoyant, rempli d’arbres et de fleurs, bercé par le chant des oiseaux ?

    La sophrologie, en jouant sur les organes et la circulation sanguine, permet de maintenir notre corps en bonne santé. Le travail se fait au niveau corporel, émotionnel et mental. Elle va aussi entraîner le renforcement de nos connexions neuronales, utiles au travail !

    Le yoga, lui aussi peut, grâce à certaines postures, avoir des effets stimulants qui nous font un bien fou. Certaines postures ont un effet apaisant, d’autres procurent de l’énergie en produisant de la dopamine, et d’autres encore réduisent notre stress en diminuant le taux de cortisol.

    Et la méditation, nous apaise en nous recentrant sur nous-même et sur notre environnement.

    Un cocktail de bien-être pour notre corps et notre cerveau dont il ne faut absolument pas se priver cet été. Alors, ne perdons plus de temps, la nature nous attend !

    Au mois d’août oui, mais pas que…

    Si la plupart des Français profitent du mois d’août pour déserter les villes, c’est qu’ils ont pris leurs vacances d’été à cette période. Rien d’incroyable me direz-vous ! En effet, en France, nous prenons tous nos vacances entre le 1er juillet et le 31 août. Il fait beau, il fait chaud, la mer se réchauffe… C’est le bon moment pour profiter d’une retraite au grand air !

    Si la nature a de nombreuses vertus dont nous voulons absolument profiter, elle ne les a pas seulement l’été. Eh oui, bonne nouvelle, la nature est notre meilleur allié santé toute l’année ! Alors, si celle-ci a eu un goût de « trop peu » à la rentrée, réitérez l’expérience cet automne, cet hiver et au printemps prochain ! À la mer, à la campagne, à la montagne ou dans les parcs des villes, ne perdez pas une seule opportunité pour vous mettre au vert tout au long de l’année.

    Conclusion

    Les bienfaits de la nature sur notre bien-être au quotidien ne sont plus à démontrer mais nous restons trop peu à ne pas assez en profiter tout au long de l’année. En effet, si nous faisons une cure de soleil et de nature pendant la période estivale, il ne faut pas oublier pour autant que le reste de l’année, le corps en a aussi besoin pour recharger les batteries. Que ce soit en campagne, à la montagne, à la mer ou tout simplement dans les parcs arborés, profitions de tout ce que nous apporte la nature ne serait-ce qu’une heure par semaine. Nous serons plus apaisés, moins stressés, moins déprimés et plus productifs !

    Alors, on y va au petit matin, à la fraîche, on se trouve un petit coin paisible près d’un arbre, on respire le grand air et ses délicieux parfums pour une séance qui nous fera le plus grand bien. On peut aussi prévoir un petit pique-nique réconfort, à déguster après l’effort, à l’ombre, pour parfaire cette belle journée d’été et recharger nos batteries avant la rentrée !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

  • Des idées pour améliorer le bien-être au travail

    Des idées pour améliorer le bien-être au travail

     

    Il a fallu de longues années avant que l’on admette le lien direct entre la performance d’une entreprise et le ressenti des salariés. La faute aux premières démarches qualité ? En effet, ces dernières ont longtemps orienté les managers à prioriser la satisfaction des clients, laquelle était souvent obtenue au détriment de la satisfaction des salariés. Quelle erreur… ! D’autant plus que parallèlement, les rapports au travail se modifiaient radicalement avec l’arrivée dans le monde du travail de la génération Y puis de la génération Z, à la recherche, entre autres, d’un meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Bref… Ne nous éternisons pas sur les causes et les conséquences, puisque ça y est : il est désormais acquis (ou presque…) qu’un salarié heureux est plus performant ! La mise en place d’une politique de bien-être au travail devient quasiment incontournable. L’objet de cet article n’est pas d’en faire la promotion, mais de vous donner des idées concrètes pour la mettre en place.

    Mais avant de vous livrer ces idées, quelques chiffres pour les récalcitrants

    La notion de bien-être est très difficile à définir et à chiffrer, tant nous sommes différents, et tant les secteurs d’activité sont différents. De nombreux sociologues ou experts en RH se sont penchés sur la notion et l’impact de la satisfaction des salariés. Mais ce qui a véritablement fait bouger les choses, ce sont les premières réglementations concernant l’obligation pour l’employeur d’évaluer les risques, et notamment les risques professionnels puis psychosociaux, dont les conséquences pouvaient être dramatiques. Rappelons ici la vague de suicide chez Orange, il y a dix ans…

    Mais il ne faut pas confondre risques psychosociaux et bien-être au travail. On peut juste dire que la mise en place d’actions en faveur du bien-être au travail est l’un des axes (parmi beaucoup d’autres) qu’il faut développer pour diminuer les risques psychosociaux.

    Parmi les études les plus récentes, citons celles du Cabinet Stimulus et des Cabinets Amarok/Malakoff-Médéric dont les résultats ont été synthétisés sans un article fort intéressant dans la revue Capital.

    • 70 % des salariés déclarent avoir un travail nerveusement.
    • 52 % des salariés se disent anxieux au travail.
    • 29 % présentent un niveau dépressif élevé et 6 % sont probablement en dépression.
    • 18 % des salariés affirment avoir été victimes d’un burn-out (syndrome d’épuisement professionnel).

    Et ci-dessous quelques autres chiffres plutôt significatifs…

     

     Un employé qui ne sent pas bien commence par poser des arrêts maladie et finit par partir !

    Le cout caché moyen de l’absentéisme s’établirait chaque année à 4 059 euros par salarié. En multipliant ce chiffre par 26,6 millions, soit la population active française, on obtient donc une facture de 107,9 milliards par an (d’après le journal Les Échos).

    Et c’est sans compter les coûts du turn-over, et donc des nouveaux recrutements, qui sont également énormes pour les entreprises…

    Alors, on y va ?

    Les idées pour améliorer le bien-être au travail

     

    Bien sûr tout dépend de la taille de votre entreprise et du budget qu’elle aura à disposition (ou plus exactement qu’elle priorisera ou non… : ne dit-on pas que tout est une question de priorité ?). Mais croyez-moi, il y en a pour tous les goûts et à tous les prix.

    Réaliser un questionnaire pour recueillir des idées émanant des salariés ou pour recueillir leurs besoins

    La première étape est sans conteste, d’interroger les salariés. Inutile de mettre un babyfoot si l’équipe est composé de 90 % de filles ! J’exagère… je le sais, mais n’oublions que cette fois, nous sommes centré sur la satisfaction des salariés. Par exemple, pour des postes stressants ou pour des postes pour lesquels l’essentiel de la rémunération est lié à des primes, beaucoup de salariés réclament des ateliers pour apprendre à gérer le stress, type séance de sophrologie. Nous y reviendrons en fin d’article. Vous l’aurez compris, quitte à faire plaisir aux salariés, autant leur demander ce qu’ils souhaitent ! Les salariés sont suffisamment intelligents pour rester raisonnables…

    Optimiser la décoration et l’agencement des locaux

    Quoi de plus démotivant que d’arriver le matin, déjà un peu groggy…, dans des locaux tristes, voire lugubres, sans âme ? Un petit rafraîchissement des lieux, quelques petits objets décoratifs, quelques plantes vertes (avec un responsable des plantes vertes J), quelques affiches un peu fun, et le tour est joué ! Bon, je ne parle pas de la machine à café… C’est la base.

    De même l’agencement des bureaux peut aussi être modifié pour rendre l’espace plus convivial.

    Créer des espaces différents

    Mais la convivialité a ses limites ! Être sans cesse les uns sur les autres, au bout d’un moment… Vous m’avez comprise ! Il faut donc également penser à la détente, à l’isolement, au repos… En fait, il faut envisager des espaces de natures différentes. Des lieux de vie (et de travail), des lieux de détente (salle de jeux, installation de canapés bien confortables), et des lieux où l’on peut s’isoler et faire une sieste, par exemple.

    Proposer des activités ludiques en externe ou en interne

    Organiser des évènements en externe

    Pas tous les jours, bien sûr ! Mais de nombreuses entreprises misent beaucoup, et à juste titre, sur l’organisation d’évènements sur le temps de travail. Les entreprises anglo-saxonnes n’hésitent pas à consacrer un vendredi après-midi par mois à un événement qui rassemblent les salariés. De toutes les manières, soyons lucide : qui est hyperconcentré le vendredi après-midi 🙂 ? Alors pourquoi ne pas retourner cela à l’avantage de l’entreprise ?

    • Un pique-nique ?
    • Une virée sur les bords de Seine ?
    • Une chasse au trésor ?
    • Se rendre dans un Espace Game ?

    Des indispensables pour souder les équipes… Normalement… !

    Organiser des évènements en interne

    Dans le même esprit, les événements peuvent être organisés en interne. Aujourd’hui, il existe de nombreuses plateformes qui proposent au RH des activités de toute nature. Par exemple, sur le site Yuco.co, des centaines de programmes et d’activités sont proposées aux entreprises. Sur cette plateforme, vous trouverez des activités dans les domaines suivants :

    • Développement personnel
    • Leadership et le management
    • Le sport
    • Le bien-être et la relaxation
    • L’art et la culture

    De l’Aromathérapie, à l’œnologie, au yoga, à la boxe, aux cours de cuisine, relaxation, technique de respiration… Impossible de ne pas y trouver son bonheur !

    Organiser des ateliers de sophrologie et/ou de lâcher prise : l’atelier le plus prisé

    En  lien direct avec ce que j’ai écrit précédemment, la sophrologie fait partie des demandes récurrentes. En effet, vaincre ou simplement gérer le stress, l’angoisse est l’un des ateliers les plus prisés. Sophrologue à Paris, je peux intervenir dans votre entreprise ! N’hésitez pas à me contacter :-).

    Quelques autres petites idées en vrac…

    • Faire livrer de temps en temps de petits-déjeuners ou des fruits.
    • Apprendre à récompenser et à féliciter ses salariés (n’est-ce pas Mesdames et Messieurs les managers… ?)
    • Veillez à la bonne intégration des nouveaux. Un salarié bien intégré sera plus rapidement opérationnel !
    • Travaillez sur la flexibilité des horaires (et notamment sur le télétravail) et sur les congés payés.
    • Organisez une journée famille ! Durant laquelle le salarié peut montrer à ses proches, son cadre de travail.
    • Et pour finir, je vais peut-être en choquer certains, mais parfois, il ne suffit pas de grand-chose… Un simple bonjour aimable, un minimum d’intérêt et de respect peuvent aussi suffire aux salariés… Et ça, ce n’est pas très onéreux…

    Conclusion

    D’après une étude menée par Harvard/MIT, les salariés heureux sont :

    • 31 % plus productifs
    • Deux fois moins malades
    • Six fois moins absents
    • Neuf fois plus loyaux

    Alors, ça vaut peut-être le coup d’investir ?

    En même temps, savez-vous vraiment le temps que vous passez au travail ???

    12 % de votre vie… !! Alors que c’était 40 % au début du 20e siècle et 70 % durant la 3e République. (Source Regionjob : . https://www.regionsjob.com/actualites/chiffres-cles-monde-travail.html )

    À ce rythme, dans 50 ans… la question ne se posera plus 🙂 !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

     

     

     

     

     

  • Adaptez votre livre à votre humeur

    Adaptez votre livre à votre humeur

    Toute comme l’article sur les conseils de restaurants à Paris selon votre humeur https://www.charlottevallet.fr/une-liste-de-restaurants-selon-votre-mood/, je partage aujourd’hui avec vous des idées de livres en fonction de votre état d’esprit.

    J’ai un rythme de lecture qui est régulier, mais j’aimerais lire encore plus et j’ai du mal à trouver du temps.

    J’ai découvert une application récemment @Koober, qui donne la possibilité d’écouter la majorité des résumés de vos livres préférés en version audio. C’est pratique, même si cela ne remplacera jamais au grand jamais la beauté d’un livre papier.

    La beauté… et l’odeur d’un livre, qui me fascineront toujours autant !

    Cet article sera court, mais j’irai à l’essentiel rapidement afin que vous puissiez rapidement aller à la FNAC pour acheter et dévorer ces livres.

     

    Conseils lectures

    Ma vie de couple est en crise

    Les 5 langages d’amour de Gary Chapman

    “Nous avons tous besoin d’amour. Mais donner de l’amour aux autres et à soi-même n’est pas toujours simple : nous ne parlerions pas tous le même langage ? Art-mella illustre les 5 manières d’exprimer son amour définies par Gary Chapman : cinq clefs précieuses pour mieux se comprendre, communiquer et prendre soin de soi et des autres.”

    La puissance de l’acceptation de Lise Bourbeau

    “Nous vivons quotidiennement de nombreuses situations dont certaines s’avèrent difficiles à accepter, ce qui, hélas, génère des conflits, des malaises ou des insatisfactions. Cet ouvrage fait le point sur les fondements de l’amour inconditionnel et de l’acceptation.

    Grâce à de nombreux outils et à l’aide d’histoires vécues, ce livre vous amènera à mieux vivre ces situations dans votre propre vie et, surtout, à les prévenir. Il porte un accent particulier sur l’acceptation de la maladie (pour soi et les autres), la mort (la sienne et celle des autres), la vieillesse, la perte, les choix faits par les proches, l’apparence physique, les faiblesses et les blessures. En somme, il vous apprendra à accepter ce qui peut paraître inacceptable.”

    Lecture

    Je réfléchie trop, cela me fatigue

    Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkame

    “L’auteur rappelle, dans son livre, les 7 principes fondamentaux qui permettent aux gens les plus efficaces de réaliser leurs objectifs. Traduits en habitudes quotidiennes, ces principes aideraient ceux qui les mettent en pratique à vivre, durablement, une vie personnelle et interpersonnelle heureuse, équilibrée et réussie.”

    Je pense trop de Christel PetitCollin

    “Qui pourrait penser qu’être intelligent puisse faire souffrir et rendre malheureux ? Pourtant, je reçois souvent en consultation des gens qui se plaignent de trop penser. Ils disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont marre de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de leurs sens trop développés auxquels n’échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit, mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris et blessés par le monde d’aujourd’hui. Ils concluent souvent par : ” Je ne suis pas de cette planète ! ” Ce livre propose des cours de mécanique et de pilotage de ces cerveaux surefficients.”

    Fouttez-vous la paix et commencez à vivre de Fabrice Midal

    “Et si le grand problème actuel était que la plupart des injonctions qui nous sont assénées pour nous calmer ne font que nous mettre une pression plus grande ? Il faudrait « méditer », manger comme ceci, faire tel entraînement pour être en forme, avoir de l’initiative, ne pas parler comme cela, être à la fois calme et dynamique, chaleureux et sérieux… Et si au contraire il fallait plutôt commencer par se foutre la paix pour commencer à vivre ? Mais comment lâcher-prise et se donner l’autorisation d’être soi-même ?”

     

    Fouttez vous la paix et commencez à vivre

    Je souhaite entreprendre

    Les 7 habitudes ce ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent de Stephen R Covey

    “Chacun de nous vit selon des schémas, des habitudes qui sont autant de traits de caractères acquis. Ainsi, nous adoptons souvent des habitudes inefficaces, destructrices, négatives qui mènent à l’échec professionnel et personnel. Dans ce livre, je vous présente sept habitudes de gagnants. Ce ne sont pas des formules de dynamisation ; ni des remèdes miracles ; surtout pas des trucs ; mais la possibilité globale qui vous mènera à un développement individuel et social positif. Les sept habitudes conduisent petit à petit à une sorte d’échelle de la maturité.”

    La semaine de 4 heures de Timothy Ferriss

    “La majorité des personnes restent employées toute leur vie, et travaillent de 9H à 17H pendant 40 ans pour prendre leur retraite à 60 ans (ou plus) ; par le biais du livre La semaine de 4 heures, Tim Ferriss nous explique comment briser ce schéma, en réduisant significativement notre temps de travail, en nous libérant de la contrainte géographique”

    lecture

    J’aime le voyage et j’ai besoin de m’évader

    L’alchimiste de Paulo Coelho

    “Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
    Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
    Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.”

    L’âme du monde de Fréderic Lenoir

    “Pressentant l’imminence d’un cataclysme planétaire, sept sages venus des quatre coins du monde se réunissent à Toulanka, monastère perdu des montagnes tibétaines, pour transmettre à Tenzin et Natina, deux jeunes adolescents, les clés de la sagesse universelle. Au-delà des divergences culturelles et historiques de leurs traditions respectives, ils s’appuient sur leur expérience personnelle et se savent inspirés par ce que les philosophes de l’Antiquité appellent l’Âme du monde : la force bienveillante qui maintient l’harmonie de l’univers.”

    Journal Intime d’un touriste du bonheur de Jonathan Lehmann

    “Avocat d’affaires à New York, amateur de fêtes et de drogues…, Jonathan plaque tout du jour au lendemain pour partir à la recherche du bonheur. Pendant 3 ans, il va à la rencontre de penseurs et de maîtres spirituels à travers le monde, et découvre la méditation, une pratique qui va bouleverser sa vie.”

    Journal intime d'un touriste du bonheur

    Je n’ai pas confiance en moi, aidez-moi !

    Imparfaits, libre et heureux de Christophe André

    “Christophe André signe ici un ouvrage libérateur car il répond aux questions essentielles que nous nous posons avec une grande simplicité et de nombreux exemples. On a l’impression de discuter avec un ami bienveillant !”

    Celle qui a dit fuck d’Anne Sophie Lesage

    “Le journal d’une jeune imparfaite qui décide d’en finir avec les prises de tête : à travers ses chroniques pleines de piquant, de nombreuses pistes, des rituels express et des outils pour assumer une féminité décomplexée. Oser dire ” Fuck “, ça se travaille… Beyoncé ne s’est pas faite en un jour !”

    Le jour où j’ai appris à vivre de Laurent Gournelle

    “Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.”

    Le jour ou j'ai appris à vivre

    Et, pour la fin je vous partage mes livres préférés

    J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian

    “Lee Anderson, vingt-six ans, a quitté sa ville natale pour échouer à Buckton où il devient gérant de librairie. Il sympathise dans un bar avec quelques jeunes du coin. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire, Lee, qui sait aussi chanter le blues en s’accompagnant à la guitare, réussit à séduire la plupart des adolescentes. Un jour il rencontre Dexter, le rejeton d’une riche famille qui l’invite à une soirée et lui présente les soeurs Asquith, Jean et Lou (17 et 15 ans), deux jeunes bourgeoises avec “une ligne à réveiller un membre du Congrès”. Lee décide de les faire boire pour mieux les séduire… et poursuivre son sinistre dessein.”

    La symphonie pastorale d’André Gide

    “L’action se déroule à la fin des années 1890. Le pasteur et sa famille recueillent une jeune orpheline aveugle de quinze ans. N’ayant pas de nom, Charlotte, la fille du pasteur, l’appelle Gertrude. Amélie, l’épouse, se montre plutôt réticente devant le choix de son mari d’accueillir cette jeune fille.Gertrude ne sait rien de la vie, ni de ce qui est mal. Le pasteur va en faire une jeune femme intelligente et cultivée, même si au premier abord elle se montre difficile à apprivoiser et à éduquer.”

    L’étranger d’Albert Camus

    “Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu’il faisait chaud. On n’en tirera rien d’autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l’annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l’universelle équivalence du tout et du rien.
    La conscience de n’être sur la terre qu’en sursis, d’une mort qui, quoi qu’il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu’indifférent à tout après ça ?” 

    L'étranger Albert camus

     

  • Mes astuces pour penser positif

    Mes astuces pour penser positif

    On se demande parfois comment certains font pour être toujours heureux. Ces gens-là n’ont-ils aucun problème ? Aucune situation compliquée à gérer ? Aucun stress ? Peut-être n’est-ce qu’une façade ou peut-être voient-ils le verre à moitié plein. Le point positif, c’est que je fais partie de ces gens-là. J’expérimente le pouvoir de la pensée positive. Cette année, notre résolution numéro 1 est d’être plus positif !

    La pensée positive, qu’est-ce que c’est ?

    La pensée positive est le fait de toujours voir la vie du bon côté. Mon client a annulé un rendez-vous à la dernière minute ? Ça tombe bien, j’avais un coup de fil urgent à passer. Je n’ai pas décroché le poste que j’espérais ? Ce n’est pas grave, il n’était pas fait pour moi, je trouverai mieux ailleurs. Vous l’aurez compris, penser positivement, c’est relativiser. Et relativiser, c’est tendre à être heureux en se dénouant des idées et émotions négatives. On ne pense pas à la douleur ou aux conséquences négatives, on imagine plutôt les avantages de cette situation et ce qui viendra après. De toute façon, “c’est fait, c’est fait”.

    La pensée positive est étroitement liée à la célèbre méthode Coué. Coué explique que nous pouvons nous autosuggérer des messages positifs comme “je suis heureux”, “je me sens bien” en nous les répétant plusieurs fois pour que nous les intégrions et y croyions. 20 fois par jour d’après lui, mieux vaut ne pas faire ça en public… Pour les adeptes de développement personnel, cela peut faire penser à “Réfléchissez et devenez riche” de Napoleon Hill, ou même aux principes de la PNL.

     

    Pensées positives

    Comment je fais pour pratiquer la pensée positive ?

    Le plus facile pour commencer est de supprimer les sources de négativité autour de nous.

    • S’éloigner des personnes négatives,qui nous envoient des mauvaises ondes ou ne font que se plaindre. Si vous ne pouvez pas vous en éloignez, apprenez à ne plus les écouter quand elles agissent de la sorte car elles vous polluent l’esprit.
    • Éviter les informations télévisées dès le matinqui nous balancent tout un tas d’idées et d’émotions néfastes et nous rendent tristes. Si vous tenez à suivre l’actualité, certaines chaînes d’actualité comme Freshr n’envoient que de l’information positive et intéressante.

    Ensuite vous pouvez vous entrainer à supprimer la négativité qui vient de vous pour chaque situation :

    1. Je prends conscience de ma négativité:  “Ok, là je suis négatif parce que j’ai renversé mon café sur mon pantalon à 8h du matin. Je veux changer d’état car ça ne m’aide pas du tout d’être négatif.”
    2. J’accepte la situation“Ce n’est pas grave de toute façon, il y a pire comme situation. Ce n’est que du café et je ne suis pas encore en retard pour aller au travail.  Peut-être que c’est mieux comme ça et de toute façon, c’est fait.”
    3. Je relativise en me faisant une petite liste des aspects positifs de la situation et en pensant aux solutions: “Et puis au moins je boirai moins de café ce matin et je mettrai un pantalon qui va mieux avec ma chemise. En plus, j’apprends à positiver et à relativiser, génial !” Au fur et à mesure, cette liste d’aspects positifs se dressera seule dans votre tête, deviendra inconsciente et la liste de vos problèmes diminuera considérablement.

    Votre cerveau reçoit cette vague d’idées positives qui va agir de manière bénéfique sur votre humeur.

    Ensuite, à tout moment de la journée, vous pouvez être à l’écoute des belles choses qui vous entourent. Un rayon de soleil, une bonne odeur ou même un chant d’oiseau. Ces petites choses sont simples mais tellement belles quand elles prennent le temps d’être admirées, senties, entendues.

    Pensées positives

    Comment je passe d’un état négatif à un état positif en 10 secondes ? 

    • On l’a dit, ressasser le négatif influe fortement sur notre moral. Un exercice simple et très efficace consiste à sourire. Sourireenvoie une information au cerveau “je suis heureux” ce qui peut alors changer instantanément votre état. Vous pouvez même faire le test inverse en faisant la grimace. Parfois c’est impressionnant !
    • Penser à quelque chose d’agréable. Si vous vivez quelque chose de difficile émotionnellement, que vous êtes énervé, anxieux, stressé, angoissé… essayez de penser à un moment heureux et de le visualiser. Imaginez la scène, ce que vous voyez, sentez, ressentez. Quelques secondes de ce souvenir heureux peuvent radicalement changer votre état.

    La positivité, c’est comme un muscle, comme des graines à planter. Pour devenir positif, il faut s’entrainer !

    Un autre point important est d’avoir confiance en l’avenir. Certaines personnes n’arrivent pas à positiver car elles ont peur du futur. Que se passera t-il dans 10 ans ? Vais-je réussir ma vie ? Avoir des idées positives vous permettra d’attirer à vous des événements positifs et vous aidera à réussir et donc à avoir confiance, et avoir confiance vous aidera à réussir et à penser positivement. C’est un cercle vertueux !

    La pensée positive nous fait vivre plus longtemps

    Le stress chronique, sur le long-terme, perturbe l’immunité, la défense contre les virus et provoque l’inflammation. Il nous rend donc plus fragile. De même que ressasser ses problèmes peut nous ruiner la santé, rechercher des émotions positives peut la renforcer. Il a en effet été prouvé que les optimistes vivent plus longtemps et en meilleure santé. Le sociologue néerlandais Ruut Veenhoven estime également que les personnes les plus satisfaites vivent 7 à 10 ans de plus que les moins satisfaites, d’après son analyse d’une trentaine d’études convergentes.

    La pensée positive améliorerait aussi notre moral, nos performances et notre réussite. Penser positivement c’est améliorer sa confiance en soi et se persuader qu’on peut le faire.

    Aucune étude scientifique n’a été réalisée pour les maladies chroniques jusque-là. En revanche, Norman Cousins, un journaliste américain et auteur, explique que sa cure à base de films comiques, de beaucoup de vitamines C et de pensée positive l’a sorti de sa maladie que les médecins disaient incurable.

    La loi de l’attraction : comment attirer des événements positifs ?

    Ce qui est amusant, c’est que les gens heureux et positifs ont souvent de la chance et ils ont souvent ce qu’ils veulent, comme si l’Univers conspirait à réaliser leur désir… (#PauloCoelho). Si cette idée est connue pour son côté philosophique, elle a également été expliquée par Rhonda Byrne. L’auteure australienne estime que la pensée a quelque chose de magnétique et envoie une sorte de fréquence à l’univers. Chacun d’entre nous pourrait être, avoir et faire ce qu’il veut grâce à la loi d’attraction et à la pensée positive.  Cette loi part du principe que l’Univers tout entier ainsi que nos pensées et certitudes sont constitués d’énergie et émettent des fréquences dont les vibrations attireraient à nous les expériences et les gens qui reflètent notre état d’esprit. Les théories de physiques quantiques prouverait aussi scientifiquement que cette loi existe et fonctionne.

    Ainsi, les émotions négatives comme la colère créeraient de mauvaises vibrations, ce qui attireraient de mauvaises expériences et rencontres alors, qu’à l’inverse, les émotions positives comme l’amour attireraient des expériences et rencontres positives.  Être positif, c’est alors attirer vers soi des choses positives et finalement, se créer un monde à son image. Et ce n’est pas moi qui le dit, c’est Bouddah : “Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde”

    Finalement, la pensée positive, c’est un peu un mode de vie qui nous permet d’être plus heureux, plus confiant, plus chanceux… Il peut sembler parfois difficile de pratiquer la pensée positive quand la vie nous a démunis, pourtant beaucoup de personnes qui ont connu le succès ne sont parties de rien et ont réussi à s’en sortir. Attention toutefois à l’optimisme excessif. Imaginer sa réussite et avoir un excès de confiance peut amener à relâcher ses efforts et à échouer.

    Votre première étape maintenant est de sélectionner un souvenir heureux que vous pourrez ressortir dès qu’une émotion négative arrivera.

    Roxane LEROY BAUMANN

  • Comment choisir son compagnon de voyage ?

    Comment choisir son compagnon de voyage ?

    Si vous faites partie de celles et ceux qui sont possédés par le virus du voyage, le choix de son compagnon de voyage est fondamental. Quand on n’a pas d’amoureux, ce n’est pas si évident. Et partir seul(e) l’est encore moins.

    Et, toute expérience est toujours plus agréable lorsqu’elle est partagée. C’est d’ailleurs la citation qui conclue le film Into the Wild :  “Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé”.

    La première idée qui nous vient en tête est bien évidemment de partir à plusieurs. Mais, si cela rassure, c’est aussi quelque part perdre un peu de sa liberté : c’est accepter quelques sacrifices, c’est savoir faire des concessions, c’est aussi accepter quelques désaccords.

    Et tout dépend, en effet, avec qui vous êtes. Certaines personnes sont immédiatement complices, d’autres ne sont vraiment pas faites pour être ensemble. Il y a des choses que l’on n’explique pas toujours. Il y a parfois un vrai feeling (ou une vraie répulsion). Mais avouons que le feeling instantané, c’est tout de même rare.

    On augmente ses chances, ou disons que l’on prend moins de risques, en décidant de partir avec un(e) ami(e). On le connaît, il nous connaît, et on se dit que ce sera donc plus facile de sortir de nos zones de confort respectives ensemble. Et pourtant, ce n’est pas non plus si évident.

    Eh oui, le culte de la folie du voyage n’est qu’utopique, car le voyage, c’est aussi un dépassement de soi. Vous pouvez évoluer à toute vitesse en cours de voyage, et votre ami/compagnon aussi, mais pas de la même façon ! Et la perception que vous vous faites, peut être complètement différente de celle que se fait votre ami(e).

    Certains se renforcent en voyage, et d’autres se sensibilisent.

    Alors, comment ne pas se tromper de compagnon de voyage ?

    Mon expérience voyage

    Si vous me suivez, vous avez pu lire que j’ai entrepris un tour du monde, seule, en 2014.

    Mais initialement, j’avais prévu de partir avec une amie. En effet, qui, de normalement constitué, envisage un tour de monde seule ? Qui plus est, en étant une femme (très jeune)… et ce, même si je suis persuadée que les femmes sont mentalement plus fortes que les hommes…

    Cette amie, est ce que l’on appelle une véritable amie. C’est quelqu’un sur qui l’on peut compter. Elle est fiable, honnête, et je la respecte énormément. C’est le genre d’amis que l’on garde, et à qui l’on montre et démontre de la gratitude !

    À l’époque, nous nous connaissions, depuis une dizaine d’années. Je m’étais alors accrochée à l’idée de partager ce voyage avec elle. J’étais persuadée que le fait de se connaître depuis aussi longtemps, était la garantie que tout se passerait magnifiquement bien.

    Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas vrai. La complicité et l’affection, même de longue date, ne suffisent pas. Il faut, dans l’idéal, quelque chose d’encore plus fort.

    En effet, lors de la préparation du voyage, nous sommes aperçues que nous étions différentes dans la façon d’envisager le voyage. Nous n’avions pas nécessairement les mêmes envies, ni la même conception de vivre les choses.

    Pour ma part, je suis d’une nature assez sauvage, casse-cou, spontanée, solitaire, impulsive, et pas toujours très prudente… Alors que pour ce qui la concerne, elle avait envie de quelque chose de plus sécurisé, de moins impulsif, de très programmé.

    Aucune de nous n’était à blâmer, mais une chose était évidente, nous n’avions pas du tout envie de vivre les mêmes choses.

    Notre amitié en a un peu souffert, mais dès lors que nous avons décidé de ne plus parler de ce voyage, nos liens se sont à nouveau reformés, et nous sommes toujours d’excellentes amies. Son côté rassurant m’apaise. Et avec l’âge, je me rends compte qu’il est important pour moi, que je m’entoure de personnes plus posées.

    Road Trip Photography

    Ma conclusion

    Finalement, j’en ai déduit que partir avec un inconnu était sûrement beaucoup moins contraignant.

    En cas de désaccords, pas d’états d’âme, pas de remords, pas de regrets ! Chacun part de son côté.

    Alors qu’avec quelqu’un que vous connaissez bien, le moindre conflit peut se terminer en drame. Et comme le dirait si bien Denis Brognart, dans Koh Lanta : “la sentence peut être irrévocable”.

    D’autant que lorsque l’on envisage un tel voyage, on est souvent confronté à des impondérables qui peuvent nous conduire à avoir des réactions surdimensionnées. Et si on laisse s’échapper nos pensées… on peut dire des choses virulentes que l’on ne pense pas, mais qui seront indélébiles. Et, dans cette situation pour récupérer votre ami, vous pouvez toujours vous brosser (rires).

    Quel serait le compagnon idéal parfait ?

    La perfection n’existe pas, et encore moins dans les relations humaines ou amoureuses. Ça je l’ai bien compris !

    En l’occurence, le plus proche de l’idéal est de partir avec une personne avec laquelle vous partagez les mêmes valeurs et le même humour. Car le rire est important. On part pour s’amuser, pour profiter. Chaque moment devrait être l’occasion de rire et d’être heureux.

    On ne rit pas suffisamment de nos jours. Et croyez-moi, le rire doit être le pilier entre votre compagnon et vous.

    Par ailleurs, le compagnon de voyage idéal est celui qui, à la fois partage vos folies, mais qui vous complète aussi. Par exemple, si vous êtes de nature “casse cou”, il est préférable de partir avec une personne qui saura vous tempérer un peu. À l’inverse, si vous êtes de nature renfermée, mieux vaut choisir un compagnon plus expansif, qui vous aidera à vous ouvrir aux autres.

    Si vous cherchez un compagnon de voyage, voici les 5 critères qu’il faut tenter de réunir :

    1. Partager le même humour afin de rire un maximum
    2. Partager des valeurs communes (l’éducation notamment, c’est fondamental)
    3. Choisir quelqu’un qui n’est pas dans le jugement. Cela évite les situations gênantes
    4. Choisir quelqu’un qui a une bonne capacité à communiquer et à se remettre en question
    5. Et surtout, quelqu’un qui partage les mêmes envies de parcours et d’expériences

     

    Quelques astuces pour trouver son compagnon

    Ce n’est pas si évident de trouver un(e) ami(e) qui réunit tous ces critères pour vous accompagner dans votre road trip. Alors, voici des solutions alternatives mais efficaces pour trouver un compagnon de voyage.

    1. https://compagnon-de-voyage.net : le site Compagnon de voyage a été créé pour que ceux qui souhaitent trouver un partenaire de route. L’inscription est facile comme tout !
    2. https://www.copinesdevoyage.com : des voyages à découvrir entre filles. … L’agence de voyages des femmes qui bougent. Plus de 10 000 voyageuses … Copines près de chez vous. Petits prix.
    3. http://www.cotravelling-covoyager.com : même principe que le premier site.
    4. https://www.meetup.com/fr-FR/ : vous pouvez aussi vous inscrire sur le groupe Meetup du pays ou de la ville que vous allez visiter pour être informé(e) de tous les événements qui s’y déroulent. Comme sur Couchsurfing, vous pourrez vous joindre à un groupe de particuliers pour aller au cinéma ou faire une marche, par exemple.
    5. Vous pouvez aussi trouver votre partenaire de voyage directement sur place, dans une auberge de jeunesse, par exemple.
    6. Ou par sollicitation spontanée. Vous pouvez demander à vos amis s’ils ont des amis aventuriers qui souhaitent partager votre voyage.

    En tout cas, quoi que vous fassiez, profitez-en à fond !

  • 10 conseils pour combattre le stress

    10 conseils pour combattre le stress

    Ce matin, je me suis réveillée en sueur, et très fatiguée. J’avais pourtant bien dormi. Et j’en avais besoin.

    J’avais fait l’effort de me coucher relativement plus tôt que d’habitude. J’avais retiré de mon lit tous les objets superflus. En effet, il m’arrive de laisser traîner des livres et des crèmes un peu partout autour de moi, ce qui n’est pas des plus judicieux, car c’est le meilleur moyen de se réveiller quand on les sent sous son corps pendant son sommeil.

    Je n’ai fait aucun cauchemar, ni rêves trop marquants, en tout cas, je ne m’en souviens pas.

    Auparavant je notais sur un cahier l’intégralité de mes rêves et cauchemars de façon à pouvoir analyser mon subconscient. J’ai arrêté de le faire, car être sans cesse dans l’analyse m’épuisait aussi. Déjà que je réfléchis énormément, lâcher prise de temps en temps fait un bien fou.

    Tout ce dont je me souviens, c’est que, dès mon réveil, j’ai éprouvé une fatigue importante, accompagnée d’un petit stress qui m’a encombré l’esprit.

    Je me suis alors lancé le défi de réussir à être moins stressée pour l’heure de midi, une heure que j’affectionne particulièrement car c’est celle du déjeuner (défi irrationnel, je vous l’accorde mais qui fait du bien).

    Tout d’abord, je me suis assise. Et je me suis demandé pourquoi j’étais si angoissée ? Je ne suis pas d’une nature stressée, voire pas du tout.

    Et finalement, j’en ai déduit que si croire au culte du bonheur pouvait être positif, le fait de ne jamais se laisser aller dans le côté obscur de ses émotions pouvait être plutôt néfaste. Je fais en effet partie de ces personnes qui veulent tout contrôler, et qui sont anti-procrastination, anti-faiblesses, anti-vulnérabilité, anti-plaintes…

    Et pourtant, paradoxalement, je suis une femme très vulnérable et très sensible, selon les dires de mon entourage.

    Mais dans ce monde parfois violent, il est difficile de le montrer. C’est pourquoi, je me suis mis une barrière de protection énorme, sur laquelle j’essaie de travailler constamment.

    L’année 2019 ne serait-elle pas celle de l’évolution ?

    Ce qui est certain, c’est que je fais également partie des individus qui sont sans cesse dans la recherche de solutions. Et ce matin, face à mon problème, j’en ai cherché, et j’en ai trouvé !

    Le stress, c’est quoi ?

    Le stress, c’est ce sentiment étrange et à la fois intense que l’on ressent dans tout le corps et dans tout le cerveau, dans un moment complexe de sa vie ou face à une situation nouvelle pour laquelle on n’a pas de solutions. Ce qui arrive souvent puisque la vie est souvent faite de surprises… bonnes ou mauvaises…

    Lorsque l’on stresse, tout le corps se contracte, et des douleurs dans le bas du dos se font sentir.

    Les pensées nous traversent à plus de 100 km à l’heure et se démultiplient. Il n’y a alors plus aucune place pour la relaxation, et nous en oublions même de respirer. Ce qui est fondamental.

    Pendant ces moments d’angoisse, on se sent souvent vulnérable, fatigué et au bout de sa vie.

    On perd toute objectivité, toute raison. L’impulsivité nous domine et prend le dessus sur tout le reste.

    Souvent, lors de ces moments, tout et tout le monde nous agacent. Le monde devient sombre et triste.

    Pourquoi tant de dureté envers soi-même ?

    Mes 10 astuces anti-stress

    • Ecrire son mantra sur le miroir

    Il s’agit d’une formule sacrée dotée d’un pouvoir spirituel. Une formule qui vous représente de façon positive. Ensuite, il faut que la visualisiez. Le plus pratique est de se préparer ou de se maquiller devant son miroir et regarder avec insistance son mantra.

    Pour ma part, mon mantra est écrit sur un papier. ” je suis exceptionnelle “. Je l’ai coincé dans les recoins du miroir. À vrai dire, c’est mon ancien petit ami qui m’avait écrit cela afin que je m’en souvienne chaque matin.

    Et franchement, croyez-moi, ça marche.

    • Respirer doucement avec le ventre

    Un autre moyen consiste à respirer lentement avec le ventre. Quelques minutes suffisent à retrouver un peu de paix.

    Pensez aussi à vous parler à la 3e personne du singulier. Vous vous attribuez un petit surnom (du type “Magic Charlotte”, “Super Justine”, “Incroyable Carla”), et vous discutez avec votre personnage imaginaire. Vous réfléchissez ensemble à une solution dans le calme, en vous accordant une belle douche de bienveillance envers vous-même.

    • Ecouter de la musique qui vous détend

    Ecouter de la musique permet de s’épargner le surplus de bruit qui nous entoure, et qui en général amplifie nos contrariétés. Le fait d’écouter de la musique qui nous ressemble, c’est aussi une façon d’être dans son monde. Quand je suis angoissée, j’aime écouter de la musique un peu “hippie”. Et, ce n’est pas qu’un effet de mode. Voici mes tubes préférés :

    • Radio solo – Njomza Remix- Hippie Sabotage
    • OM – Hippie Sabotage
    • Lights Out – Hippie Sabotage
    • Caught Up – Hippie Sabotage
    • I Found You – Hippie Sabotage

    Musique

    • Ecouter des podcasts notamment les ” Paumé-e-s “

    Ils retracent les parcours un peu atypiques de personnes qui souhaitent faire des choses tout aussi atypiques. Pour ma part, je me suis reconnue à 100 % dans ces profils.

    Typiquement, Sarah, qui a quitté la pub pour fabriquer des pots, ou encore Alice, qui veut partir caresser des loutres au Mexique… Toutes ces femmes souhaitent se reconvertir ou faire autre chose mais ne savent pas par où commencer. Ça fait du bien ! Car c’est léger, et à la fois tellement représentatif de cette nouvelle génération que nous représentons.

    Podcast Paumées

    • Se détendre dans un Starbucks

    Alors oui oui ! Je sais.

    Starbucks sert du mauvais café, ne traite pas ses employés comme il le faudrait, et est une entreprise américaine qui représente, par excellence, le Capitalisme. Et alors ?

    J’y vais quand même.

    Il y a toujours beaucoup de gens qui adorent vous culpabiliser sur le sujet, surtout lorsque vous avez choisi une voix professionnelle en lien avec le bien-être. Mais, en général, je ne me laisse pas influencer, car j’ai mon avis sur la question.

    Et ce qui est certain, c’est que j’ai fait de ce lieu, mon QG pour travailler. Quand je suis dans un Starbucks, je me sens bien. La décoration, le bois, les couleurs, la chaleur humaine… c’est un lieu de rencontres professionnelles, notamment de gens seuls, qui n’a pas son pareil. Il y a un dynamisme que je ne vois nulle part ailleurs.

    • Ecrire pour exister

    L’écriture est un excellent exutoire, et c’est prouvé. Tout comme le sport, ou encore le sommeil.

    Pour ma part, j’y ai trouvé beaucoup de réconfort. Avant même de tenir ce blog, sur lequel je tente de donner un maximum de conseils, j’écrivais surtout pour moi. J’avais mon petit cahier, avec une citation écrite sur la première page, et j’écrivais tout ce qui me passait par la tête.

    C’est une sacrée thérapie, et cela permet surtout d’évacuer les mauvaises émotions qui sont en vous.

    Je suis d'avis que pour donner le goût d'écrire à nos élèves, c'est essentiel de les faire écrire souvent et sur des sujets signifiants.  Et...

    • Apprendre à être seul(e)s

    Aujourd’hui, nous sommes souvent dépassés par les événements et nous recevons un trop plein d’informations. Des dizaines à la minute. D’ailleurs, nous sommes en droit de nous interroger : toute information est-elle bonne à prendre ? (je ferai un article sous peu sur ce sujet).

    Ce qui est certain, c’est que pour se sortir de là, il est important de savoir apprécier d’être seul(e), et de se concentrer sur qui nous sommes. Non pas sur “ce que nous faisons” mais sur “qui nous sommes”. Nous l’oublions bien trop souvent.

    Vous pouvez rester seul(e)s dans le calme, ou aller au cinéma, ou encore lire. Tout est bon à prendre.

    Il existe de nombreuses activités que vous pouvez faire seul(e).  Si vous êtes intéressée, je vous invite à lire mon article intitulé  “Hiver, je t’aime et je t’accepte“.

    • Courir en groupe

    A contrario, vous pouvez aussi rechercher de la présence, et aller courir en groupe. Avec des amis, ou alors avec des groupes d’entraînement. Nike et Adidas en organisaient chaque semaine.

    Je ne suis pas une grande fan de course, mis à part par pur challenge personnel, mais je dois reconnaître que c’est l’un des sports qui défoule le plus.

    • Manger quelque chose que vous vous interdisez habituellement

    Gâteau au chocolat, tarte aux fraises, chausson au Nutella … Toutes ces merveilles ne sont, en effet, pas vraiment géniales si vous les consommez quotidiennement. Mais de temps en temps, qu’est ce que ça fait du bien !

    Un petit moment de “down” ? Alors, on n’hésite pas à se jeter sur son dessert préféré. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir !!

    Fraisier

    • S’évader dans un endroit calme et méconnu

    Maison de campagne, montagne, plage … Peu importe, mais il est important de s’évader pour se couper de son quotidien quand on ne se sent pas très bien.

    Sinon, on a du mal à prendre le recul suffisant pour faire face aux difficultés du moment. Pire, on risque même de les amplifier.

    Ce qui est sympa, c’est que même lorsque l’on habite Paris, il existe de nombreux plans pour aller se balader en forêt.

    • La sophrologie ou l’hypnose (un petit dernier pour la route)

    Je pratique la sophrologie depuis peu.

    La sophrologie repose sur des techniques de respiration et de visualisation positive.

    Je me forme actuellement à l’hypnose. D’ici quelques semaines, je pourrai aussi bien pratiquer la sophrologie que l’hypnose. L’une et l’autre sont excellentes pour lutter contre le stress, l’impatience, le manque de confiance en soi, les insomnies…

    Conclusion

    Le stress se combat. Il suffit (façon de parler) de prendre conscience de son état et de se dire : attention… fais quelque chose. Et ne pas se laisser envahir.

    Ensuite, il faut croire en soi, vivre avec de l’espoir et penser de façon positive, sans pour autant frôler la naïveté…

    Un livre qui m’a beaucoup aidée est le livre intitulé :  Le Secret de Rhonda Byrnes.  Il aide à aller de l’avant, à croire en soi, en son potentiel et en ses différents projets. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous le conseille vivement !

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue