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Catégorie : Inspirations
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Croire en l’Univers : Comment faire confiance aux signes et synchronicités ?
Tu te poses mille questions, tu cherches des réponses, et parfois même tu désespères de voir tes souhaits se réaliser. Et si je te disais qu’il existe une force plus grande que nous, qui n’a rien à voir avec la religion traditionnelle ? Croire en l’univers, c’est accepter que nous ne sommes pas seules aux commandes, tout en restant actrices de notre vie. Je vais te confier un secret qui va peut-être te bousculer : 90 % de ce qui arrive dans ta vie échappe complètement à ton contrôle. Et tu sais quoi ? C’est une libération !
Au-delà du besoin de tout maîtriser
Soyons honnêtes : combien de fois tu as méthodiquement planifié quelque chose pour voir tes plans voler en éclats ? Cette promotion que tu visais ? Cette relation qui devait être parfaite ? Ce voyage organisé dans les moindres détails ? La vie a sa propre façon de nous surprendre, et c’est tant mieux !
Quand tu forces les choses, quand tu t’acharnes à vouloir tout contrôler, tu te fermes aux magnifiques possibilités que l’univers pourrait mettre sur ta route.
C’est comme si tu regardais fixement une porte fermée en oubliant toutes les fenêtres grandes ouvertes autour de toi.
L’univers, bien plus qu’un simple décor cosmique
L’univers n’est pas qu’une vaste étendue d’étoiles et de planètes. C’est une force vivante, intelligente, qui interagit constamment avec nous. Cette vision, à mi-chemin entre spiritualité et science, nous invite à voir la vie différemment.
Ces moments où tout s’aligne parfaitement, où les “coïncidences” s’enchaînent… Ce ne sont pas des hasards. Ce sont des synchronicités. Un peu comme quand tu penses à quelqu’un et que cette personne t’appelle dans la minute qui suit. Ou quand la solution à ton problème apparaît mystérieusement, sous la forme d’une rencontre inattendue.
Selon moi, l’univers nous parle constamment, mais pas avec des mots. Il communique à travers :
- Les sensations dans ton corps (ces fameux “gut feelings”)
- Les rencontres qui arrivent pile au bon moment
- Les situations qui se répètent jusqu’à ce que tu comprennes le message
Imagine l’univers comme un immense réseau énergétique dont tu fais partie intégrante. Chaque pensée, chaque intention que tu émets créée des ondulations dans ce champ d’énergie. Ces vibrations se propagent et attirent à toi des expériences qui y correspondent. C’est un peu comme quand tu jettes un caillou dans l’eau : les cercles se propagent et créent des motifs uniques.
Croire en l’univers : comment affiner ta réceptivité aux signes ?
Tu te poses sans doute cette question : “Comment être sûre que je ne fabrique pas ces signes dans ma tête ?” C’est une réflexion légitime qui mérite qu’on s’y attarde. La différence entre une simple coïncidence et un véritable signe de l’univers se trouve souvent dans la manière dont cet événement résonne en toi.
Pour interpréter les messages de l’univers dans ton quotidien, voici quelques étapes clés qui t’aideront à développer ta conscience et ta connexion :
Commence par observer ton environnement avec un regard neuf. Un petit détail peut avoir un gros impact : le soleil qui perce les nuages au moment exact où tu te poses une question importante, un livre qui tombe à tes pieds ouvert sur une phrase qui répond précisément à ta recherche du moment.
La loi de cause à effet joue un rôle majeur dans ce processus. Contrairement à ce que certaines personnes pensent, il ne s’agit pas de fatalités ou d’un coup du hasard. Cette force supérieure, que tu l’appelles dieu, univers ou premier plan de la création, fonctionne selon des principes précis.
L’art subtil de la demande à l’univers
Formule des intentions claires
Pour obtenir une réponse de l’univers, la première étape est de poser une demande claire. C’est comme envoyer un message à l’existence : plus ta volonté est précise, plus le retour sera aligné. Ne confonds pas ça avec la théorie simpliste de la loi d’attraction – il s’agit d’un processus bien plus profond.
La patience est ta meilleure alliée dans cette démarche. L’univers répond toujours, mais pas forcément de la manière dont tu l’imagines. Parfois, ce qui semble être une difficulté est en réalité un coup de pouce du destin pour t’aider à changer de direction.
Développe ton intuitionL’athéisme spirituel moderne nous montre qu’on peut avoir une réflexion profonde sur l’existence sans forcément se référer au livre de la Genèse. C’est une autre manière d’interpréter les signes qui nous entourent.
Pour affiner cette écoute :
- Prends le temps chaque jour de noter les “coïncidences” qui t’interpellent
- Observe comment tu te sens physiquement quand quelque chose résonne en toi
- Fais confiance à ces petites voix intérieures qui te soufflent la bonne direction
À force de pratique, tu développeras une sensibilité naturelle aux messages de l’univers. C’est comme apprendre une nouvelle langue : au début, tout semble confus, puis progressivement, les signaux deviennent plus clairs.
Imagine que tu es à New York et que tu souhaites te rendre quelque part. Tu peux avoir la meilleure carte du monde entre les mains, si tu ne fais pas le premier pas, tu n’arriveras jamais à destination. L’univers fonctionne de la même manière : il t’apporte des opportunités, mais c’est à toi de les saisir. Alors, prête à croire en l’univers et à lâcher prise ? -

Pour qui tu vis : toi ou les autres ?
En tant que femmes dans notre société, beaucoup d’injonctions et de responsabilités pèsent sur nos épaules. Il faut être ambitieuse, mais pas trop ; toujours belle selon des standards irrationnels ; assurer dans la vie professionnelle, personnelle et intime. Et tout cela peut avoir de grosses conséquences sur l’ego, qui tente de vous prouver que vous êtes à la hauteur. Mais savoir où se situent la flamme qui vous fait avancer et surtout votre ego s’avèrent alors des missions difficiles. Comment faire les choses pour soi ? Tout cela a un lien étroit avec la place de l’ego, et chez Nouvelle, on vous dit tout !
Qu’est-ce que l’ego ?
L’ego peut être défini comme étant à la fois la conscience de soi et la représentation de soi que chaque personne possède. Plus directement, il se traduit par le « moi ». Sans ego, il n’est pas possible de se construire et de se considérer comme un individu extérieur au monde.
Cependant, l’ego est tel un équilibriste qui avance sur un fil : s’il tangue et s’affaiblit, il peut être dangereux au quotidien et mener à une faible estime de soi. A contrario, s’il avance de manière prétentieuse, il peut incarner votre pire ennemi. Avoir un ego « surdimensionné » est mauvais, tant pour soi que pour les autres que vous serez plus susceptibles de rabaisser et blesser.
L’ego est donc une question d’équilibre : l’équilibriste qu’il est doit avancer avec confiance et attention.
Les manifestations de l’ego
L’ego se manifeste de façon soudaine et régulière, toujours en lien avec les événements qui se déroulent dans nos quotidiens. Ainsi l’ego peut survenir aussi bien au cours d’une conversation banale avec un ami que lors d’un événement important que vous vous apprêtez à vivre.
Plus généralement, l’ego peut se manifester de différentes façons. Il possède, à l’instar d’un oignon, plusieurs couches qui forment une identité.
Exemples :
- Je suis ce que je possède (maison, entreprise, argent, portable…) ;
- Je suis mes opinions (convictions, croyances, valeurs…) ;
- Je suis mon apparence (coiffure, vêtements, maquillage) ;
- Je suis mes épreuves (souffrances, combats…) ;
- Je suis ce que je fais (travail, passions, loisirs, sport…).
Chaque couche vise à renforcer l’estime de soi au quotidien. Et au cœur de ces différentes manifestations de l’ego réside l’Être.
L’équilibre de l’ego et de l’Être
L’Être est ce que nous sommes, autrement dit la nature profonde de chaque individu. Il permet à tout un chacun d’exister dans le moment présent, sans se définir par le passé ou se laisser modeler par l’environnement (et l’autre).
En cas de déséquilibre entre l’Être et l’ego, l’individu peut alors basculer dans une estime de soi surévaluée ou au contraire, très affaiblie. Dans les deux cas, l’Être s’estompe et l’ego le contrôle pleinement. En effet, toutes ces couches identitaires ont permis à l’être humain de survivre, et si elles semblent menacées, l’on peut alors avoir la sensation que sa propre survie est menacée.
En cas de déséquilibre de l’ego, celui-ci aura tendance à vous guider vers des choix irréfléchis, ou uniquement motivés par de mauvaises raisons, des raisons superficielles qui ne vous rendront pas heureuse.
Il est donc essentiel de trouver l’équilibre entre les deux, bien que l’ego soit un raisonnement logique du cerveau qui permet de survivre et s’adapter. Veiller à ce qu’il ne prenne pas trop de place dans votre perception de soi et du monde est d’une importance capitale.
Vivre pour soi
Malgré ce que peut parfois nous chuchoter l’ego, il est essentiel de vivre pour soi et non pour impressionner les autres. Et pour cause, l’ego peut parfois être si sensible qu’il suffirait d’une « plaisanterie » pour totalement le chambouler. Il peut alors nous guider sur des voies qui ne le ravissent que lui, et effacer petit à petit l’Être.
Mais chaque existence est unique et n’appartient qu’à soi. Alors peu importe ce que vous murmure l’ego, il est essentiel de pouvoir vivre pour SOI et uniquement SOI-MÊME !
C’est ainsi qu’il vous sera possible de faire les meilleurs choix pour votre épanouissement personnel et votre propre bien-être.
Comment vivre pour soi ?
Se connaître en profondeur :
La connaissance de soi ne s’arrête jamais vraiment. Mais plus on se connait, et plus il est évident de faire les meilleurs choix pour soi-même et son bien-être. La connaissance de soi permet également de riches introspections, qui vous permettent d’ajuster votre vie en fonction des changements qui s’y déroulent. Alors n’ayez pas peur de vous interroger sur votre quotidien, vos envies, vos ambitions, vos désirs profonds ou encore vos rêves !
Développer la gratitude :
Souvent sous-estimée, la gratitude offre pourtant un pouvoir indescriptible sur sa propre vie. Non, tout n’est pas une question de chance, de coup du sort ou de karma. Vous êtes l’actrice principale du film de votre vie – et si cela peut faire peur, c’est surtout une excellente nouvelle ! Cela signifie que vous avez le pouvoir, les moyens et la capacité de changer une situation déplaisante sans se noyer dans la complainte. Ou d’apprécier une situation qui vous rend heureuse !
Cultiver la confiance :
La confiance est un fil qui se révèle parfois fragile. Se mouvant au gré des vents extérieurs, subissant parfois de la pression… pourtant, c’est votre fil. Et sous son aspect fragile, se cache en réalité une force incommensurable. La confiance est essentielle et plus vous la cultiverez, plus ce fil deviendra solide et robuste. La confiance en soi est un cercle vertueux, grâce auquel il est possible de faire le meilleur pour soi. Car personne d’autre que vous ne sait ce qui est le mieux pour vous !
Favoriser une bonne communication :
Les échanges relationnels sont parfois source de nombreuses interprétations… erronées. Projections, suppositions, non-dits… il existe tant de façons de mal communiquer qu’on oublie parfois que la transparence est bienfaisante. Les autres ne sont pas dans votre esprit, et inversement ! Alors une communication ouverte et honnête est encore le meilleur moyen d’avoir une vie sociale riche et équilibrée, source de bonheur !
Passer à l’action :
La dernière étape – et pas des moindres – c’est le passage à l’action. Vivre pour soi ne se limite pas à être en accord au-dedans de soi ; il faut mettre tout votre travail intérieur en pratique. Et cela passe à travers vos actes, vos choix, vos actions… qui sont toutes une source de vitalité. Plus vous passerez à l’action POUR VOUS, et plus il sera facile de le faire.
Se faire accompagner pour apprendre à vivre pour soi
Vivre pour soi peut représenter une montagne qu’il peut être impensable de gravir. Pourtant, vous avez toutes pleinement les ressources qui vous permettront d’accomplir avec succès ce chemin riche et bénéfique.
Toutefois, pour celles qui voudraient être accompagnées ou se voir délivrer quelques clés pour entamer cette route, il est possible de se tourner vers des soins proposés chez Nouvelle.
En effet, des soins comme le coaching ou encore l’hypnose vous permettent de travailler sur votre confiance en soi ou vos qualités communicationnelles.
Ainsi n’hésitez pas à faire la rencontre de Charlotte Vallet, femme à l’écoute des femmes, qui les accompagne et leur permet une existence plus libérée.
Pour aller plus loin…
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
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5 façons de dire MERDE au regard des autres !
Le regard des autres est un monstre né de notre esprit et que l’on alimente malgré soi. Pas parce que le regard d’autrui ou la pression extérieure n’existent pas ; mais bel et bien car il est parfois difficile de s’en défaire et que pourtant, tant de personnes sont à cause de lui, paralysées. Se débarrasser du regard des autres et surtout, de ce qu’il nous empêche ou nous pousse à faire, n’est pas impossible. Et voici 5 façons de l’envoyer voir ailleurs pour vivre sa vie comme on l’entend !
Le regard des autres : qu’est-ce que c’est ?
Le regard des autres ne peut pas, à proprement parler, être défini. Toutefois, il se comprend par diverses caractéristiques qui le composent, telles que :
- La façon dont on croit être perçue ;
- Le jugement que les autres pourraient porter sur nous ;
- Un attachement démesuré à l’avis de personnes que l’on ne connaît pas ;
- Ce que les autres pourraient dire/ faire contre soi ;
- Accorder de l’importance à ce regard des autres.
Autrement dit, le regard des autres est une bête à trois têtes qui semble invincible. Il nous empêche d’agir ou de parler comme bon nous semble sous prétexte que les autres pourraient juger cela de soi. En réalité, l’importance accordée au regard des autres est un reflet d’un manque d’estime et de confiance en soi. Ce regard général et extérieur prend beaucoup de place, jusqu’à parfois vous couper les ailes.
Pourquoi le craindre ?
Beaucoup de personnes craignent le regard des autres. Et cela est naturel ! Il n’y a aucun mal à en avoir peur ou le redouter. Et pour cause, il est humain de se comparer, d’aller regarder à quel point l’herbe du voisin est verte ou encore de vouloir ce que l’on n’a pas. Se détacher de tout cela est un travail long et important qui permet néanmoins de prendre du recul pour vivre plus librement.
Si le regard des autres se révèle pesant pour beaucoup, c’est parce qu’il nous renvoie bien souvent à nos propres insécurités. Tous nos doutes semblent alors s’exacerber sous le regard que l’on attribue à autrui.
Parce qu’au final, le regard des autres n’existe pas vraiment : il est principalement dans notre tête, et ce monstre prend vie sous les incertitudes. Comme un miroir déformant dans une fête foraine sordide : il nous renvoie une image floue, biaisée et sur laquelle il est inutile de rester bloqué.
Une fois que l’on se détourne de ce miroir, on oublie cette image.
Celle-ci reste dans le passé.
Et l’on vit comme on l’entend !
Se défaire du regard des autres : une nécessité ?
Se défaire du regard des autres n’est pas une nécessité à proprement parler. Nul besoin de cela pour rester en vie. Cependant… pour une existence libérée, épanouie et sereine, il est préférable de ne pas attacher trop d’importance à cette pression.
Les injonctions sociétales, la pression sociale ou familiale… tout cela est déjà suffisamment difficile à gérer. Or, vous vivez pour VOUS !
Et il est temps de mettre en pratique cette liberté qui n’appartient qu’à vous : celle de faire ce que vous souhaitez quand vous le souhaitez. Car finalement, qui mieux que VOUS savez ce qui est bon pour vous ?
5 façons de dire MERDE au regard des autres !
Apprendre à se connaître en profondeur :
Le répètera-t-on jamais assez ? La connaissance de soi est encore le chemin le plus sûr pour ne pas s’en remettre au regard des autres. Plus encore, elle permet de se détacher d’une peur inconsciente du jugement extérieur et de la pression sociale/ familiale/ professionnelle qui peut peser sur vos épaules. Et pour cause, se connaître vraiment, dans sa totalité, permet de savoir qui l’on est, mais aussi de connaître tous les détails qui font de vous une personne unique et authentique (vos goûts, vos valeurs, votre personnalité… etc.).
Développer sa confiance en soi :
Autre clé importante et utile pour se détacher du regard des autres : le développement de sa confiance en soi. En effet, avoir pleinement confiance en soi permet une assurance dans de nombreux domaines de votre vie, au-delà même de votre personne. Ce que vous entreprenez, ce que vous pensez, ce que vous voulez… C’est un travail quotidien, une flamme qu’il faut prendre soin de protéger des vents les plus ardus. Mais elle vous guidera vers ce qui est bénéfique et source d’épanouissement pour vous.
Affirmer ses positions/ opinions :
Et pour s’affirmer, rien de plus essentiel que l’estime de soi. Cela passe à travers le fait de s’accorder du temps, de l’amour, de la bienveillance… etc. Un cocktail essentiel dans l’affirmation de soi et ses idées. À terme, vous parviendrez à vous détacher davantage du regard des autres, ne prenant en compte que votre propre avis dans les choix que vous avez à faire. Et surtout, c’est un chemin assuré vers une vie plus sereine, loin des attentes ou des jugements – les vôtres comme ceux venant de l’extérieur !
Se détacher de la peur du jugement :
Il est parfois difficile de se figurer que l’Homme est par essence autocentré. Ce qui signifie que votre voisin ne vous analyse pas : il a ses propres batailles à mener. Relativiser le regard des autres permet également de se détacher de la peur du jugement. Associé à une confiance en soi travaillée, vous avez désormais plusieurs clés en main afin de vous détacher de ce que les autres pourraient (et non pourront !) penser.
Penser à son bien-être et sa liberté :
Dernier conseil, mais pas des moindres : pensez à vous. Cela peut paraître naïf comme rappel, cependant, dans la lutte contre le poids du regard des autres, le premier perdant… eh bien c’est soi-même. On s’oublie trop souvent pour rentrer dans une case, on se déforme volontairement pour prétendre à un moule d’origine qui ne nous appartient pas ; l’on n’hésite pas à se renier parfois, à se perdre et finalement… à s’oublier totalement. Penser à soi est un exercice qui se travaille. Et à terme, c’est un bien être général qui se manifestera au quotidien !
En quelques mots
Cette crainte du regard des autres est 100% naturelle. S’en détacher demande patience et compréhension envers soi. Il y a différents aspects que vous pouvez travailler afin de vous débarrasser de ce regard scrutateur et pesant.
C’est ce travail qui vous permettra de renvoyer son regard à celui des autres : lorsque vous jetterez un coup d’œil dans le passé ! Parce que bientôt, il ne sera qu’un souvenir. Et pour cela, chez Nouvelle , des soins plaçant l’émancipation féminine au cœur de sa doctrine vous sont présentés.
Si vous avez besoin d’une pause loin du quotidien et de temps pour vous, vous pouvez vous tourner vers les prestations délivrées par Charlotte Vallet.
De même, pour ce qui est du regard des autres, vous pouvez télécharger l’Ebook : « S’affranchir du regard des autres » par Charlotte Vallet ».
Si le fait de ne pas aller bien est source d’une angoisse bien trop encombrante, il est possible de travailler sur celle-ci afin de s’en détacher grâce à un Ebook : « Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser » (édition complète) – par Charlotte Vallet ».
Enfin, Charlotte Vallet vous propose également un Ebook afin de se délivrer de la dépendance affective : Sortir de la dépendance affective.
Pour aller plus loin…
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
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Être libre en acceptant de ne pas briller 24/7
Alors que certains jours ressemblent au lendemain d’une victoire importante, à d’autres moments, l’on peut se sentir contrariée, démotivée ou simplement ne pas aller aussi bien qu’on le voudrait. Le bien-être n’est pas un état linéaire. Il est parfois ponctué d’instants plus lourds à porter et plus pesants à vivre. Alors comment accepter de ne pas aller tout le temps bien ? Est-ce vraiment important de briller tout le temps ?
Ne pas aller bien = être humain
Il y a de nombreuses raisons qui peuvent faire qu’un matin, l’on se réveille un peu grognon. La nuit a été mauvaise, les contrariétés s’accumulent, on se cogne le petit doigt de pied dans le coin du lit… Tous les détails qui font d’ordinaire une journée agréable semblent se retourner contre vous et s’acharner. Au-delà de ces petites contrariétés et inattentions, il y a d’autres raisons qui peuvent justifier que l’on n’aille parfois pas bien :
- La fatigue ou un mauvais sommeil (augmente l’irritabilité) ;
- Une grande période de stress (joue sur l’humeur) ;
- Subir la pression que l’on s’impose soi-même (nervosité constante) ;
- Un travail qui ne nous comble pas ;
- Un mal-être sous-jacent ;
- L’angoisse
- Une baisse de confiance ou d’estime de soi… etc.
Voilà tout autant de raisons qui peuvent parfois retomber sur nos épaules dans un fracas qui se nomme Mauvaise Humeur. Et vous souhaitez connaître un secret ? C’est totalement humain.
Pourquoi appréhender sa mauvaise humeur ?
Parfois, la mauvaise humeur ou le fait de se sentir mal peut être agaçant. La conscience de soi permet la compréhension et la perception de son propre mal-être et donc, celles de toutes les cases que la société impose et que vous ne cocherez probablement pas aujourd’hui. Et ce n’est pas grave !
Aller bien possède une certaine facilité dans son ressenti. Et pour cause, l’on se laisse porter par cet état de bien-être, y puisant une force tranquille et perçue comme « positive ».
En acceptant de ne pas aller bien, d’être un peu morose, démotivée, fatiguée ou tout simplement de mauvaise humeur, il est alors possible d’en découvrir davantage sur soi. Parce que nous sommes des êtres complexes, uniques et dotés d’une multitude de sentiments différents, il est naturel de ne pas être au top chaque minute de chaque jour.
Et c’est tant mieux ! L’éventail de nos sentiments permet de se connaître, de se comprendre et en acceptant tout ce qui fait de nous qui nous sommes, ce sont de nouveaux chemins qui s’offrent à nous sur la grande route du bien-être et du bonheur.
Comment appréhender sa mauvaise humeur ?
Certains médecins parlent de « symptômes » liés à la mauvaise humeur. Parmi eux, il est possible de citer :
- La frustration ;
- L’agacement ;
- L’irritabilité ;
- Une fatigue exacerbée ;
- Un manque de patience envers soi et/ ou les autres ;
- Une baisse de motivation ;
- Des difficultés à se concentrer ;
- De la nervosité, etc.
Pour mieux appréhender sa mauvaise humeur ou le fait de ne pas se sentir au top de sa forme parfois, il existe quelques petits tips qu’il est possible de prendre en compte :
Accueillir ses émotions :
Qu’elles soient positives ou dites « négatives », vos émotions sont présentes pour une raison. Les accueillir avec bienveillance et calme est essentiel. Cela évite de ressentir de la frustration ou de se braquer.
Accepter ses émotions :
Les émotions s’établissent sur un spectre si large qu’il est difficile d’en faire le tour complet. Toutefois, gardez en tête que chaque émotion est une manifestation de l’inconscient. Écoutez-les pour vous comprendre et ajuster ce qui, dans votre vie, provoque ces moments de « moins bien ».
Rationnaliser (demain tout ira mieux) :
Ces moments où les choses vont moins bien et où tout semble se liguer contre vous sont éphémères. Ils peuvent durer quelques heures à plusieurs jours, et le fait de rationnaliser les pensées qui se manifestent en parallèle de ces émotions permet de les appréhender avec sérénité. Ne vous détestez pas, ne vous condamnez pas vous-mêmes ; vos émotions sont présentes et vous savez que bientôt, tout ira mieux.
Accepter les moments « bas » :
Si la vie n’était composée que de moments hauts en couleurs, alors plus personne n’apprécierait ces couleurs. Les moments « bas » permettent de prendre du recul, de faire le point sur soi-même et sa vie et de repartir en forme ensuite. Ces moments sont comme les pauses dans une station-service ; ils permettent de refaire le plein pour continuer la route. Ne les diabolisons pas ; vivons-les pleinement !
Faire des activités qui vous font du bien :
Lors de ces périodes où vos émotions paraissent plus lourdes à vivre, concentrez-vous sur des choses qui vous aident d’ordinaire. Des activités que vous aimez pratiquer, des choses qui vous font du bien… prenez le temps de vous redécouvrir et de vivre à votre rythme.
Se reconnecter à soi (plus que jamais !) :
Enfin, plus que jamais, ces périodes où l’on ne va pas bien sont essentielles pour se reconnecter à soi. Prendre le temps de se connecter à soi, en profondeur et sans filtre est primordial afin de comprendre ce qui se passe dans votre vie et en vous. De cette façon, vous pouvez vous ajuster ou ajuster des pans de votre vie au besoin avant de continuer.
S’accepter entièrement est une porte vers la liberté
En acceptant de ne pas toujours aller bien, l’on devient libre. En effet, vous n’êtes alors plus dépendantes de vos émotions ou de votre état, mais vous en prenez le contrôle. C’est cette prise de conscience de soi les jours où l’humeur n’est pas au top qui permet de tout de même décider de sa journée et la vivre en total accord avec ses ressentis.
Que vous ayez envie de ne rien faire, que vous préfériez vous occuper pour tenter d’oublier ces « mauvaises » émotions : vous êtes pleinement maîtresse de vous et votre quotidien. Ne pas aller bien est totalement humain et l’accepter permet de s’accepter également.
En ne rejetant pas une partie de vous, vous désencombrez une route vers une nouvelle liberté : celle d’être pleinement vous-même, peu importe les échecs, les peurs ou les obstacles de la vie.
En quelques mots
Ne pas briller tout le temps, c’est naturel. Il faut parfois recharger ses batteries, se mettre en retrait, s’écarter un peu de son chemin pour pouvoir repartir sur de bonnes bases. Ce n’est pas un échec ou un abandon, mais bel et bien une preuve d’écoute de soi et d’acceptation.
C’est ce raisonnement qui vous permettra d’accepter que certains jours, ou bien à certaines périodes, vous ne pouvez pas briller. Et c’est totalement OK !
Chez Nouvelle , l’émancipation est au cœur de tous les soins. Si vous avez besoin d’une pause loin du quotidien et de temps pour vous, vous pouvez vous tourner vers les prestations délivrées par Charlotte Vallet.
De même, si le regard des autres vous semble trop lourd à affronter durant ces périodes, vous pouvez télécharger l’Ebook : « S’affranchir du regard des autres » par Charlotte Vallet ».
Si le fait de ne pas aller bien est source d’une angoisse bien trop encombrante, il est possible de travailler sur celle-ci afin de s’en détacher grâce à un Ebook : « Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser » (édition complète) – par Charlotte Vallet ».
Enfin, Charlotte Vallet vous propose également un Ebook afin de se délivrer de la dépendance affective : Sortir de la dépendance affective.
Pour aller plus loin…
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
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L’échec n’est pas un échec !
Nous avons toutes déjà été confrontés à l’échec dans nos vies. Pourtant, l’échec ne signe pas la fin de toutes choses. Si l’éprouver, lui faire face et rebondir demande un grand travail sur soi, il est important de comprendre que l’échec n’est pas toujours… un échec ! Faisant partie d’un processus bien plus grand que lui, il peut parfois prendre l’apparence d’un ajustement, d’une force, d’un message… et c’est peut-être ce qui en fait toute sa complexité.
Comment définir le sentiment d’échec ?
La définition de l’échec, selon Oxford Languages, est « une insatisfaction ou un revers ». Autrement dit, l’échec se traduit par une absence de satisfaction quant à ce qui a été entrepris, décidé…etc. Le concept d’échec s’applique aussi bien dans le domaine professionnel, scolaire, personnel, relationnel, étudiant… etc. L’échec, cependant, porte en lui une connotation éphémère.
Souvent perçu comme « négatif », l’échec représente dans la croyance populaire une absence de réussite. Pourtant, et malgré les définitions qu’il possède, l’échec ne signe pas le contraire de la réussite.
Le sentiment d’échec, en revanche, est légèrement plus complexe à expliquer. Il ne s’agit pas forcément de faire face à une situation qui n’a pas eu les attentes escomptées. Toutefois, le sentiment d’échec ne surgit pas seulement suite à un échec. En effet, l’arrivée de regrets en repensant à une situation peut également entraîner un sentiment d’échec.
La diabolisation de l’échec dans la société
La société s’est tant concentrée sur les systèmes de productivité et d’efficacité dans un objectif de rendement permanent, que l’échec a été associé à l’erreur. Dès lors, cette corrélation s’est étendue à tous les autres domaines de la vie, personnelle autant que professionnelle.
Dans cette course à la perfection (toute relative), il est parfois difficile d’appréhender un échec comme la partie d’un chemin et pas comme la fin d’une route bien avant l’horizon.
La pression sociale, la quête de perfection, course à la productivité… tant et tant de raisons qui nous poussent à considérer l’échec comme une erreur dont nous sommes pleinement responsables et pour laquelle nous serons assiégés de remords durant un temps indéterminé.
Les vertus de l’échec
Contrairement à ce que tout nous indique autour de nous, l’échec est loin d’être une fin négative à quoique ce soit. Bien au contraire, il porte en lui de nombreuses vertus, bien souvent ignorées, qui permettent à tout un chacun de grandir. Parmi les vertus de l’échec, l’on retrouve :
Rendre humble :
Ce n’est pas tant l’échec en lui-même qui peut entraîner un sentiment d’humilité, mais la façon dont vous accueillerez cet échec. Et pour cause, lorsqu’un échec survient, il est important de prendre du recul afin de comprendre où et comment la réussite escomptée s’est muée en échec. En admettant sa part de responsabilité et en étant prête à ajuster sa vision, c’est une certaine humilité qui nous cueille et cela est toujours un bonus au quotidien.
Engendrer une certaine sagesse :
L’échec n’enseigne pas seulement l’humilité envers soi et ses décisions, mais également de la sagesse. Et pour cause, plus encore qu’une prise de recul, l’échec permet d’étendre son champ d’action et de développer de nouvelles voies d’apprentissage. On étend sa zone de confort, on apprend à être résiliente avec soi-même et cela nourrit une sagesse unique en son genre.
Apprendre de ses « erreurs » ;
Si l’échec est si souvent associé à l’erreur, c’est parce qu’il suffit d’un grain de sable pour que tous les rouages se bloquent. Ce n’est pas toujours une erreur à proprement parler, mais il faut savoir analyser la situation afin de ne pas remettre ce grain de sable dans la machine. Apprendre de ses « erreurs », quelles qu’elles soient, permet de s’améliorer tout au long de sa vie sans craindre une situation d’échec.
Source de motivation ;
Pour certaines personnes, l’échec n’en a jamais été un. Parce qu’un échec est loin d’être la fin d’un chemin mais représente simplement un petit obstacle qui permet d’évoluer par la suite. Sans les échecs, les réussites n’auraient aucun goût. Ainsi, faire face à un échec peut devenir une réelle source de motivation pour beaucoup de personnes, qui y puisent une force souvent méconnue.
Enjoindre à ne pas abandonner :
Cela peut sembler paradoxal, mais l’échec peut persuader de poursuivre sur sa lancée – son projet, son objectif, ses études… etc. En effet, là où la société crie « tu as échoué, abandonne », le cœur tempère plus facilement ces pensées. Si ce que vous avez entrepris vous tient réellement à cœur, l’échec est, comme susmentionné, un souffle de motivation, un moyen de faire le point et d’ajuster ensuite sa stratégie.
Mieux se connaître :
Enfin, faire face à une situation d’échec n’est pas une fin en soi. Bien au contraire, l’échec ouvre la porte vers un nouveau voyage intérieur, fait de ressources inconnues et de force insoupçonnée. Plus encore, c’est puiser en soi un nouveau souffle qui permet de mieux se comprendre dans un premier temps, mais également de se rendre compte que certains changements dus à l’expérience ou aux objectifs de vie sont en train d’être amorcés. Parfois, l’échec est un murmure qui vous guide vers une nouvelle ère.
Surmonter l’échec
Il existe différents moyens de surmonter l’échec. Malgré les vertus qu’il représente lorsqu’il survient, il peut parfois être délicat de se figurer que l’échec est une « bonne » chose. Dans les groupes sociaux, auprès de vos proches ou vos collègues, l’échec est rapidement perçu comme étant une défaite, une erreur, une bêtise. Cela peut devenir une pression sur vos épaules et vous faire broyer du noir.
Pour surmonter l’échec, il est possible de :
- Accepter la situation (de toute façon les faits se sont produits, vous n’y pouvez rien !) ;
- Accueillir l’échec (c’est parfois difficile mais c’est VOTRE échec, et vous êtes seule à savoir ce que vous voulez en faire ou ce qu’il représente pour vous) ;
- Conserver du recul entre la pression externe (société, entourage) et vos ambitions intérieures ;
- Faire une pause (le temps permet d’y voir plus clair) ;
- Réessayer (tant que vous n’abandonnez pas, alors l’échec reste un échec ; pas une fin !) ;
- Demander de l’aide (il n’y a aucune honte à avoir !).
En quelques mots
Ainsi, l’échec est souvent considéré comme une aberration, une bêtise, une erreur. Pourtant, il peut se révéler source d’apprentissages multiples, tout autant sur soi que sur son environnement. Il permet de grandir, d’évoluer et donne volontiers des indications sur ce qui peut être fait différemment dans le futur. Enfin, il peut également vous révéler de nouvelles compétences et atouts que vous ne soupçonniez pas posséder.
Autrement dit, lorsqu’un échec survient, ce n’est pas la fin !
C’est peut-être même simplement le début…
Si vous souhaitez vous débarrasser du regard des autres afin de mieux vous recentrer sur vous et enfin oser ce qui vous fait tant envie, vous pouvez télécharger l’Ebook « S’affranchir du regard des autres » par Charlotte Vallet.
De même, si l’échec est une source d’angoisse pour vous, il est possible de travailler sur celles-ci afin de s’en détacher via un Ebook « Comprendre ses angoisses et s’en débarrasser » (édition complète) – par Charlotte Vallet
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Trouver sa voie… ou la créer ?
Dès l’enfance, on entend parler de trouver sa voie. Finis les discours brefs qui se concluaient par « trouve un métier ». Désormais, l’on privilégie l’épanouissement au travail, en plus de celui dans la vie personnelle. Pourtant, pour des millions de personnes, trouver sa voie n’est pas une chose simple. Cela passe par quelques loupés, des larmes, de la sueur et même un burn-out, parfois.
Alors comment trouver sa voie ? En avons-nous toutes une ?
Les indices qui prouvent que vous n’êtes pas épanouie
Trouver sa voie suppose que vous n’êtes pas dans une situation qui vous procure plaisir et épanouissement. Plus qu’une simple remise en question, il y a de nombreux indices qui vous indiquent que vous ne faites plus quelque chose qui vous rend heureuse au travail. Parmi eux :
- Aller au travail la boule au ventre ;
- Le travail est une source de stress, d’angoisse;
- Vous ne voyez aucun intérêt aux tâches qui vous sont confiées ;
- Manque ou perte de motivation ;
- Peur de quitter votre travail actuel/ de l’échec ;
- Votre travail va à l’encontre de vos valeurs ;
- Vous ignorez quelles sont les motivations réelles de votre entreprise ;
- Votre vie privée passe après la vie professionnelle ;
- Vous vivez pour travailler au lieu de travailler pour vivre.
Trouver sa voie : décortiquer le concept derrière les mots
Trouver sa voie est salvateur. Beaucoup de personnes ayant trouvé leur voie sauront vous dire avec les mots exacts à quel point elles sont heureuses de se lever le matin. Pourtant, trouver sa voie ne veut pas dire ne pas travailler. Oubliez le fameux adage (« trouve un métier que tu aimes, et tu n’auras plus jamais à travailler »), la passion n’empêche pas les efforts pour atteindre ses objectifs.
Trouver sa voie peut poser souci. Parce qu’on peut ne pas savoir ce que l’on veut faire, même après vingt-cinq ans, parce que la vie évolue si vite que nos besoins sont sans cesse mis en branle, et plus simplement, que les passions changent à mesure que l’on évolue.
Trouver sa voie indique un fait sous-jacent selon lequel chaque personne possède une place quelque part – dans un secteur comme dans la vie. C’est dérangeant ! Et surtout, cela peut mener à une culpabilité inhérente au fait de se sentir « en marge ».
Trouver sa voie est-il vraiment si simple ? Et s’il fallait plutôt CRÉER sa voie ?
Pourquoi créer sa voie ?
À bas les cases que la société a si gentiment conçu pour nous. Chaque personne est plus qu’une étiquette. Vous êtes plus qu’un statut social, professionnel ou marital. Vouloir rentrer dans une case à tout prix, c’est aussi prendre le risque de perdre ou cacher certaines parties de soi qui pourraient être utiles ailleurs.
Créer sa voie, c’est ne pas s’abandonner. Aucune case ne vous convient ? Qu’à cela ne tienne, créez celle qui vous correspond, du SUR MESURE ! Professionnellement, le fait de créer votre propre case, de décorer vos propres étiquettes vous fera gagner en confiance et en épanouissement !
Si c’est un chemin parfois difficile – surtout dans l’amorce du premier pas –, il est bon de se rappeler que les choses qui font peur sont souvent importantes. Créer sa voie peut effrayer, et pourtant, c’est encore la meilleure décision que vous puissiez prendre : vous choisir, VOUS. Pas une multinationale dont les objectifs pèsent sur vos épaules de façon démesurée ; pas une entreprise qui prône le bien-être mais oublie volontiers celui de ses employés… etc. Vous, et seulement vous.
Les étapes pour créer sa voie
Tout comme Rome, créer sa propre voie ne se fait pas en un jour. C’est un processus qui s’établit sur le moyen-long terme et dans lequel il faut user de persévérance. Voici quelques pistes :
Nommer le projet :
Cela peut paraître basique voire puéril, pourtant, rien de tel que nommer une chose pour la comprendre ! Et plus encore, en lui trouvant un petit nom, vous vous appropriez cette chose. Créer sa voie est un concept abstrait dont les premiers pas constituent l’étape la plus délicate. Donner un nom – drôle, ironique, sage, original ou incompréhensible – à votre projet, c’est vous l’approprier. Et devinez quoi ? Vous venez de faire le premier pas !
Ne pas diaboliser l’échec :
Dans notre société ultra conditionnée et surproductive, l’échec est perçu comme une erreur, un raté, un loupé. Or, l’échec n’est pas une fin en soi ; au contraire, elle fait partie de l’apprentissage. Rassemblez votre stock de courage et de force, et continuez malgré lui : il représente une escale à visiter, pas la fin du voyage.
Étendre sa zone de confort :
Parce qu’en sortir demande parfois un effort trop grand, étendre sa zone de confort peut être une bonne démarche pour oser de nouvelles choses. Lorsqu’on créé sa propre voie, il faut être audacieux et ne pas craindre le jugement ni écouter ses pensées limitantes. L’étendue de sa zone de confort reste un allié de taille dans ce chemin unique !
Accepter les choses qui arrivent :
Il y aura des échecs, des réussites, de la peur et de la fierté. Acceptez tout. Parce que c’est ensemble que ces éléments vous permettent de tracer votre voie. En rejeter certains vous guiderait sur une mauvaise route, une route sur laquelle vous ne seriez pas alignées. Créer sa voie, c’est justement un moyen de s’épanouir : ne devenez pas votre pire ennemie !
Etablir ses règles :
Que vous soyez salariée, cadre ou entrepreneuse, établir des règles est nécessaire. Attention cependant à bien vous écouter. Avec votre expérience, vous savez désormais ce que vous voulez et ce que vous ne voulez plus ! Établir ses propres règles est un jeu difficile ; cependant, en le faisant, cela vous évite de partir dans des chemins sans issue. De plus, les règles incarnent un rappel constant de votre marche à suivre. Elles sont ajustables selon votre propre évolution et forment une base solide pour créer sa voie.
Le coup de pouce de Nouvelle !
Chez Nouvelle, atelier unique créé par Charlotte Vallet, il y a de nombreux soins et ateliers qui peuvent vous aider à créer votre propre voie à travers un travail intense et profond sur vous-même.
C’est notamment le cas de la formation « 6 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place » ou de la version plus approfondie « 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place ». Grâce à cette formation, il est possible de se connaître en profondeur, de se défaire des limites qui vous freinent et de prendre enfin la place qui vous revient de droit !
Vous pouvez également retrouver 10 séances Coaching par Charlotte Vallet , qui vous permettront de changer les paradigmes de votre cerveau qui vous empêchent d’avancer. Il s’agit d’un travail de fond qui s’établit sur 3 ou 4 mois et qui permet d’évoluer de façon concrète.
De même, l’hypnose thérapeutique est une aide qui permet de travailler directement dans l’inconscient pour vous aider à guérir, avancer, mais aussi vous accompagner lors des changements importants de votre vie.
Pour en apprendre davantage sur Charlotte Vallet
Charlotte est une femme franche et bienveillante. C’est avec toutes ses qualités et ses connaissances acquises grâce à de nombreuses formations et apprentissages qu’elle accompagne les femmes vers une guérison du corps, de l’esprit et des émotions.
Experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et de l’esprit, elle a créé Nouvelle afin d’en faire un atelier unique où toutes les femmes sont les bienvenues. Vous pouvez retrouver les détails sur sa page À propos.
De même, si vous souhaitez en apprendre davantage sur Charlotte Vallet, vous pouvez écouter l’épisode de Visions Nouvelles, son nouveau Podcast, dans lequel elle prend la parole : j’écoute l’épisode.
Pour vous libérer des angoisses, Charlotte Vallet vous offre son Ebook qui, page après page, vous permettra de vous libérer des angoisses ! Il contient également des séances d’hypnose afin d’effectuer un travail en profondeur.
Enfin, une toute nouvelle formation est disponible afin de prendre sa place ! À travers 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place, Charlotte Vallet vous accompagne pour vous approprier totalement et prendre plaisir au quotidien.
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En 2023, prends ta fucking place !
La nouvelle année approche à grands pas, et autour de soi les gens exultent. Cette effervescence peut facilement se traduire par la notion de renouveau qui colle à la peau de tous les réveillons du nouvel-an. Faites fi des serpentins, du champagne, de cette joie émulsive. Nombreuses sont les personnes à effectuer une liste de résolutions pour l’année à venir… sauf que les résolutions sont souvent stressantes, contraignantes et finalement… vaines.
Et si cette année, la seule chose à faire était de VRAIMENT vous concentrer sur vous ?
A-t-on tous une place ?
Trouver sa place paraît absurde pour certaines personnes. Pourtant, on en a tous une. Le seul détail à prendre en compte est qu’il ne suffit pas de la « trouver ». Sa place, on la CRÉE.
Si on a tous une place à créer, c’est car chaque personne est unique, et le fait de créer sa propre place permet de conserver cette unicité tout en se sentant épanouie. Le bonheur et l’épanouissement sont parfois plus proches qu’on ne le pense…
Pourquoi créer sa place ?
Pour le moment, il est vrai qu’on est tous à une place. Certaines personnes se définissent de par leur travail, leur statut, leur situation maritale… etc. Mais est-ce pour autant leur place ? C’est la place qu’elles occupent aujourd’hui. Ce n’est pas la place qu’elles ont créée, et de ce fait, peut-être pas entièrement LEUR place.
Créer sa place, c’est pouvoir :
- Prendre plaisir à vivre son quotidien ;
- Se connaître en profondeur ;
- Savoir identifier ses besoins et envies et ajuster sa vie en fonction ;
- Aligner son cœur, son esprit et son corps ;
- Développer de nouveaux schémas de pensée ;
- Vivre pleinement et sans regrets ;
- Se renouveler.
Créer sa place, c’est se donner les moyens de trouver qui vous êtes réellement. Car parvenir à créer sa place ne se fait pas du jour au lendemain. En effet, il faut pour cela tout un processus qui permet de s’explorer soi-même avant de découvrir réellement ce qu’il nous faut pour être épanouie et libre.
Comment créer sa place ?
Créer sa place est un développement qui ne se fait pas du jour au lendemain. Et pour cause, il est important de se découvrir, de se connaître, de se comprendre, de s’aimer et de se pardonner aussi, parfois. Voici quelques pistes pour créer sa place :
Être déterminée et persévérante :
Comme mentionné ci-dessus, créer sa place dans le monde est réellement bénéfique au quotidien. Mais c’est aussi un travail qui peut être difficile et pour lequel la détermination et la persévérance sont des qualités essentielles – ainsi que dans beaucoup d’évolution et de période de changement
Surmonter la crainte et l’échec :
Ces deux notions sont bien souvent mises en corrélation dans la grande famille des situations « négatives ». Pourtant, quoi de mieux qu’un échec pour apprendre une nouvelle fois ? Quoi de mieux que la crainte pour mesurer son courage ? Ces deux sentiments sont humains et savoir les surmonter quoiqu’il advienne permet d’en apprendre davantage sur soi et ses ambitions. Un moyen de se rapprocher de sa place !
Chaque pas est important :
Vous l’aurez compris, créer sa place est un processus actif. Il ne s’agit pas ici de simplement identifier ses besoins et ses ambitions sans pouvoir y répondre – cela serait bien frustrant. Créer sa place nécessite que vous soyez dans une démarche active et non passive, afin de chaque jour faire un pas en avant – qu’il soit minuscule ou gigantesque, peu importe !
Laisser de la place aux surprises :
Ça peut paraître un peu naïf, et pourtant, combien de fois la vie dépose-t-elle des surprises sur le pas de nos existences ? Suffisamment pour savoir que tout ne se passe pas comme on le prévoit ou comme on le souhaite parfois. Pourtant, il est indispensable de ne pas se fermer aux imprévus, aux surprises et à ce qui ne peut être contrôlé. De cette façon, il sera possible d’acquérir une flexibilité essentielle pour tous les domaines de la vie.
La formation exclusive chez Nouvelle
Chez Nouvelle, lieu chaleureux et unique à Paris (75017), Charlotte Vallet vous accueille afin de vous proposer des soins pour le corps et l’esprit qui vous aideront à vous émanciper.
Situé au 87 Bis Avenue de Wagram, l’atelier Nouvelle vous accueille pour des soins du corps, de l’esprit et des émotions. Charlotte Vallet est profondément convaincue par les bienfaits d’une guérison féminine pour atteindre une émancipation totale et épanouissante !
C’est dans cette optique que Charlotte Vallet a créé une formation 100% unique pour aider les femmes à prendre leur place. La formation 12 rendez-vous pour changer les paradigmes de ton cerveau et prendre ta fucking place vous attend dès maintenant !
Au programme, un suivi sur mesure pour se bousculer et en apprendre davantage sur soi. À travers trois modules très complets sur lesquels vous pouvez vous appuyer, il est possible de commencer un travail sur soi en profondeur.
Associée à des rendez-vous réguliers pour un suivi encore plus sérieux et de séances d’hypnose qui permettent de recalibrer son cerveau, cette formation vous offre un réel accompagnement pour sortir de votre coquille, vous départir de tout ce qui vous freine, rencontrer la « vraie » vous et lui permettre d’exister entièrement !
Les bienfaits de cette formation unique
Cette formation porte en elle de nombreux bienfaits. Parmi eux :
- De l’apaisement ;
- De l’assurance et de confiance en soi ;
- Une meilleure estime de soi ;
- Une sensation d’être ancrée et « solide » ;
- De la résilience et du courage ;
- Une confiance dans la prise de risque ;
- Un nouveau réseau ;
- Un changement important (et nécessaire ?) dans votre vie.
Les places sont limitées, et cet accompagnement commence dès le mois de janvier ! Pour réserver votre place c’est par ici :
Pour en apprendre davantage sur Charlotte Vallet
Charlotte est une femme franche et bienveillante. C’est avec toutes ses qualités et ses connaissances acquises grâce à de nombreuses formations et apprentissages qu’elle accompagne les femmes vers une guérison du corps, de l’esprit et des émotions.
Experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et de l’esprit, elle a créé Nouvelle afin d’en faire un atelier unique où toutes les femmes sont les bienvenues. Vous pouvez retrouver les détails sur sa page À propos.
De même, si vous souhaitez en apprendre davantage sur Charlotte Vallet, vous pouvez écouter l’épisode de Visions Nouvelles, son nouveau Podcast, dans lequel elle prend la parole : j’écoute l’épisode.
Et si 2023 était le moment ou jamais de prendre votre place ?
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Comment être libre ?
Beaucoup de personnes se pensent libres parce qu’elles sont célibataires et ne possèdent pas beaucoup de contraintes au travail. Cependant, la liberté ne se résume pas à un statut marital ou la présence d’enfants. Bien au contraire, il est possible d’être libre avec des enfants, et en couple. Alors qu’est-ce que la liberté ? Et comment être vraiment libre dans une société qui prône les limites et les contraintes de tous les côtés ?
Qu’est-ce que la liberté ?
La liberté se définit par l’absence de contraintes ; l’état d’un individu qui n’est pas soumis à la servitude. Autrement dit, il y a une notion d’absence, de négation dans le concept de liberté.
Jean-Jacques Rousseau, quant à lui, précise que la liberté se définit par l’obéissance à des lois que l’on s’est fixé. Autrement dit, le fait d’être le capitaine de son propre navire, de respecter ses propres principes de vie et ses croyances.
La liberté possède de nombreuses définitions. En sociologie, en philosophie, en français, la liberté présente des particularités différentes. Mais une idée demeure prédominante dans le concept de liberté : celle de répondre à un besoin intérieur.
Ressentir le besoin d’être libre
Être libre ne se définit donc pas à travers le nombre de contraintes que vous avez au quotidien ou le nombre de zéro sur votre compte en banque. Bien sûr, une situation financière stable peut laisser penser à une liberté totale, mais cela n’empêche personne de subir la solitude, la tristesse, la frustration… etc. De même, le fait de ne pas avoir beaucoup de contraintes dans sa vie peut induire l’idée d’une liberté, mais cela n’épargne pas des émotions ou des « galères ».
Vouloir être libre est un besoin que certaines personnes ressentent au plus profond d’elles-mêmes. Et c’est bien là le secret de la liberté la plus intense : ressentir le besoin de liberté et tout faire pour que ce besoin devienne une réalité.
En étant libre, on sait que ses désirs seront satisfaits. Ce besoin d’être libre peut provenir de différentes sources :
- Une insatisfaction de nombreux désirs ;
- Des émotions qui reflètent une réalité frustrante ;
- Une volonté d’avoir plus de libre-arbitre ;
- Un besoin de liberté dont on a été privée ;
- Une envie de s’aligner et de vivre selon ses propres valeurs ;
- La volonté d’agir et penser selon ses règles…etc.
Tant et tant de raisons qui peuvent guider un individu à s’interroger sur la place de la liberté dans sa vie.
Les différentes façons d’être libre
Au quotidien, être libre peut prendre différentes formes.
Liberté d’esprit :
C’est sûrement la forme de liberté la plus recherchée. Il ne s’agit pas seulement de ressentir la liberté, mais de l’embrasser. La liberté d’esprit est riche, adaptable et sans cesse renouvelable. Il s’agit d’être en accord total avec ses valeurs, ce que l’on reconnaît comme normes sociales, ses pensées, ses émotions et ses désirs profonds. C’est dans la liberté d’esprit que l’on retrouve d’ailleurs le plus la notion d’abolition des contraintes.
Liberté physique :
La liberté physique demande des changements qui peuvent paraître radicaux. Une personne qui vit dans un van aménagé et voyage en continu possède par exemple une liberté physique incommensurable. C’est le cas le plus extrême de liberté physique. Néanmoins, la liberté physique peut prendre d’autres formes comme la spontanéité de l’action et la liberté de mouvement.
Liberté émotionnelle :
La liberté émotionnelle suppose de vivre en accord avec ses émotions. Finie la dette émotionnelle, terminé de subir ses émotions ou de les contrôler à outrance. Vous vous connaissez suffisamment pour comprendre vos émotions et ne plus les craindre. Vous les laissez exister et elles deviennent un moteur.
Comment cultiver sa propre liberté ?
Suivre son intuition et ses envies :
Le fait de suivre ses envies profondes et son intuition permet de faire des choses qui vous plaisent et peuvent contribuer à votre bonheur. En effet, vous ne répondez pas à une pression extérieure, ni à des émotions qui sont stimulées par l’environnement. Ce qui compte, ce sont vous et vos désirs.
Faire ses choix selon SA volonté :
Lorsque l’on veut être libre, émotionnellement, physiquement et psychologiquement, il est essentiel d’écouter sa volonté. Pour cela, il faut s’émanciper des carcans de la société et de la pression sociale qui peuvent rapidement nous aspirer. La seule personne qui compte à ce moment précis, c’est VOUS.
Avoir conscience de soi :
La conscience de soi repose sur la conscience de ses propres limites, de ses forces, de ses points moins forts ainsi que sur vos désirs, vos objectifs et ambitions. La conscience de soi vous permettra de savoir dans quelle direction aller, ou comment tracer votre propre voie. Il est important d’avoir conscience de soi pour être vraiment libre, car la conscience vous permet de ne pas confondre liberté et comportement abusif. Être libre est différent de faire ce qu’on veut sans penser aux conséquences.
Faire la différence entre dépendre d’autrui et accepter de l’aide :
Pour être totalement libre, vous ne pouvez pas dépendre de quelqu’un d’autre. En revanche, cela ne signifie pas que vous devez systématiquement refuser de l’aide. Grâce à la conscience de soi, vous savez que parfois, on a tous besoin d’un petit coup de pouce. Ce n’est pas un acte de faiblesse que d’accepter d’être aidé lorsque cela est nécessaire. La liberté passe par l’indépendance mais cela ne signifie pas que nous sommes capables de vivre en totale autarcie !
Les petits gestes du quotidien :
Pas besoin de partir faire un tour du monde pour être libre. Vous n’avez rien à prouver aux autres. La liberté peut tout à fait passer par de petits gestes du quotidien simples. Décider d’aller faire quelques longueurs en plein après-midi ou de refuser ce verre en terrasse parce que vous êtes fatiguée : ce sont déjà des formes de liberté.
Respecter la liberté des autres :
« La liberté des uns s’arrête où commence celle des autres ». Cette phrase illustre à merveille le principe de liberté. Et pour cause, il ne s’agit pas d’avoir un comportement inconscient, mais bel et bien de comprendre que vous êtes la seule personne à dicter votre vie… ce qui n’empêche aucunement de respecter les autres. Bien au contraire, c’est primordial : le respect de votre liberté par autrui passera par le respect que vous accorderez à la liberté d’autrui.
En quelques mots…
La liberté est un concept qu’il est bon de cultiver et d’appliquer dans son existence. Et pour cause, elle permet de se connaître, de s’explorer, de mieux se comprendre mais aussi d’étendre sa zone de confort voire d’en sortir totalement !
Chez Nouvelle, la liberté est également une notion importante. C’est ce pourquoi Charlotte Vallet vous propose de nombreux soins pour le corps et l’esprit qui permettent de vous guider sur la voie de l’émancipation.
Retrouvez ainsi tout le détail de ses prestations, avec les soins pour le corps, et ceux pour l’esprit.
Vous pouvez également en apprendre davantage sur Charlotte à travers le podcast écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou encore le Podcast qu’elle a créé : Visions Nouvelles.
Enfin, vous pouvez prendre Contact via le formulaire ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
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L’hiver : saison du self-love
L’hiver est une saison redoutée par beaucoup de personnes. Les températures diminuent sans hésitation, frôlant – bien trop – rapidement le zéro. Les matins paraissent interminables et les jours sont si courts que l’on doute parfois d’en avoir vraiment profité. Si la dépression saisonnière touche une partie importante de la population, pour d’autres personnes, l’hiver est l’occasion de se recentrer sur soi. Et si l’hiver était le meilleur moment pour apprendre à vous aimer ?
L’hiver : quitte ou double ?
La venue de l’hiver, des premiers gels et des gros manteaux pour se tenir chaud peut être angoissante pour certaines personnes. Les jours qui raccourcissent distillent quelques carences en vitamine D, et bien souvent, on traverse cette saison en n’attendant qu’une seule chose : la venue du printemps.
Mais chaque saison a une énergie particulière. Si pour beaucoup, l’hiver est signe d’hibernation, de ralentissement dans ses projets ou encore de fatigue intense, pour d’autres, elle est synonyme de célébration et d’amour de soi.
La saison de l’hiver peut paraître interminable. Mais finalement, comme tout dans la vie : elle n’est que ce que vous décidez qu’elle est. Faites de l’hiver votre plus grand allié dans le self-love. Et s’il était temps de vous célébrer comme vous le méritez ?
Apprendre à s’aimer
Le self-love peut être une notion floue pour beaucoup de personnes. Et pour cause, il n’y a pas de règles préétablies pour s’aimer. Pas de manuel à suivre, pas de notice détaillée, l’amour de soi ne repose que sur quelques principes :
- Se faire plaisir ;
- S’accorder du temps ;
- Apprendre à se connaître ;
- Se célébrer ;
- Faire des choses qui nous plaisent ;
- Se regarder de façon objective ;
- S’accepter avec toutes ses humeurs ;
- Chérir ses forces comme ses « faiblesses » ;
- Être tolérante avec soi-même ;
- Faire preuve de patience avec soi-même… etc.
En somme, toutes ces petites choses que vous pouvez faire ou dire au quotidien. L’hiver est une parfaite saison pour prendre conscience de tous les merveilleux détails qui vous composent.
Le self-love : un indispensable ?
L’amour de soi, ou self-love en anglais, est un aspect important de la vie. En chacune de nous il y a un enfant, une adolescente, une adulte, une amie, une amante, une carriériste, une amoureuse…etc. L’amour de soi permet de lier et de relier toutes les parties d’une seule femme pour qu’elle soit complète et alignée.
De même, l’amour de soi offre la possibilité de relier vos valeurs à vos ambitions, de vous aligner intérieurement et extérieurement à la personne que vous êtes réellement. Les masques tombent pour vous révéler à vous-même… et au monde.
L’amour de soi est un indispensable dans nos existences. Parce que nous sommes la seule personne qui restera à nos côtés jusqu’au bout, mieux vaut rendre le voyage agréable et non pénible…
Se faire plaisir en hiver
L’un des grands principes présents pour apprendre à s’aimer est de ne pas réduire le plaisir. Que celui-ci soit culinaire, social, intime… etc. il est important de se faire plaisir dans la vie. Cela s’applique d’autant plus durant l’hiver, qui peut être une saison particulièrement difficile à traverser.
Mais alors de quelle façon se faire plaisir ?
Les plaisirs que l’on s’accorde au quotidien peuvent être nombreux et variés. Voici quelques idées de petits plaisirs qui réchaufferont les cœurs durant l’hiver !
Les plaisirs culinaires :
Comment ne pas évoquer toutes ces recettes que vous vouliez tenter sans trouver le temps de les faire ? Ou encore, ce péché mignon que vous n’osez pas vous accorder… L’hiver est votre allié le plus fidèle pour vous faire plaisir ! Peu importent les calories ou les « qu’en dira-t-on », vous méritez de manger ce qui vous fait plaisir ! Une salade de concombres, un sandwich au fromage ou une bonne raclette : les couverts sont de sortie, et les estomacs se réjouissent !
Les activités-plaisir :
Lecture, peinture, poterie, écriture, tricot… peu importe ! L’hiver est une saison propice aux formations et aux apprentissages de toutes sortes. Alors pourquoi se restreindre ? Vous pouvez explorer de nouvelles pistes d’activités et peut-être est-ce ainsi l’occasion de découvrir l’artiste qui sommeille en vous !
Les plaisirs sportifs :
Qui a décrété que l’hiver n’était pas une saison pour pratiquer un sport ? Bien au contraire ! Que ce soit un sport avec lequel vous vouliez renouer ou alors un sport que vous souhaitez découvrir, le sport est un fantastique moyen de se décharger émotionnellement de ce qui pèse tout en se reconnectant à son corps.
Les plaisirs intimes :
Et si l’hiver était la meilleure saison pour se reconnecter profondément à soi-même ? Cette reconnexion peut notamment passer à travers la (re)découverte de votre sexualité. À pratiquer seule ou à plusieurs, la sexualité est une partie importante de nos vies. Pour comprendre son corps et apprécier sa sexualité, mais aussi découvrir ce que l’on aime (cela évolue tout au long de la vie !), se réconcilier avec son corps, apaiser son esprit…etc.
Les plaisirs qui font du bien :
L’hiver, en tant que saison particulière, peut également être le bon moment pour prendre soin de soi. Et s’il était temps d’enfin vous accorder cette séance de drainage lymphatique que vous traînez à confirmer sur Doctolib ? Parce que l’amour de soi passe également par le fait de prendre soin de soi, ne vous freinez pas sur tout ce qui peut vous apporter une aide concrète ou bien les clés vers une acceptation de vous-même plus entière.
Les plaisirs simples :
Dans cette catégorie figure enfin tous les plaisirs qui peuvent vous combler et/ ou vous apaiser. Cela peut résider dans le visionnage d’un vieux film, rejoindre des amis au karaoké ou encore la pratique de la méditation. En bref, toutes les activités qui sont des sources de bien-être pour vous. L’important est de vous sentir bien, que vous soyez entourée ou seule.
Prendre soin de soi chez Nouvelle
Prendre soin de soi, c’est possible grâce à tous les soins qui vous sont proposés chez Nouvelle ! Atelier chaleureux et intimiste, Charlotte Vallet vous propose divers soins pour chouchouter votre corps autant que pour apaiser votre esprit ; et au bout de ce chemin, vous aurez les clés qui vous permettront d’être totalement émancipée !
Des soins pour faire plaisir à l’esprit :
Si vous souhaitez vous libérer d’un traumatisme, retrouver confiance en vous ou simplement ne plus subir vos émotions, la Thérapie EMDR par Charlotte Vallet est un très bon outil qui permet de se réaligner intérieurement.
Une Séance d’hypnose sera quant à elle la bienvenue si vous souhaitez vous débarrasser d’une addiction, vaincre vos peurs ou plonger dans un état de nouvelle conscience. Un soin sur-mesure qui débloque les émotions, insuffle une motivation puissante, et permet de terrasser les troubles du sommeil.
Enfin, pour un accompagnement approfondi et des résultats efficaces, Charlotte Vallet vous propose 10 séances de Coaching . Ce suivi permet de travailler en profondeur sur vos blocages et de développer de nouveaux mécanismes psychologiques.
Des soins pour faire plaisir au corps :
Et pour celles qui préféreraient révéler leur éclat à travers les soins pour le corps, c’est également possible ! Le plaisir passe par un esprit sain… dans un corps qui vous convient ! Et quoi de mieux pour se débarrasser du stress, de la fatigue profonde ou encore d’un mal-être qu’une séance de Drainage lymphatique Renata Franca ?
Charlotte Vallet vous propose également un Soin Lumière thérapie LED qui permet de favoriser la cicatrisation au niveau de la peau. Ce soin est idéal pour lutter contre les cicatrices d’acné, par exemple !
Récemment mis en place, un soin du visage LED + Hypnose est également disponible chez Nouvelle. Ce soin est une aide précieuse pour la cicatrisation de la peau comme de l’esprit.
Enfin, si vous souhaitez révéler votre véritable personnalité, sans masque, sans faux semblant, sans poids que la société peut peser dessus, vous pouvez vous orienter vers un Remodelage du visage. Soin thérapeutique complet, retrouvez-vous alignée intérieurement et extérieurement !
Tous ces soins vous sont proposés par Charlotte Vallet. Il est possible d’en apprendre plus sur Charlotte Vallet et son parcours inspirant en écoutant le podcast dans lequel elle a été interviewée .
C’est à travers un tout nouveau podcast intitulé Visions Nouvelles que Charlotte Vallet part à la rencontre de femmes uniques, inspirantes et combattives.
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L’importance de laisser le passé… dans le passé
Combien d’éléments pas jours vous ramènent dans le passé ? Combien de fois laissez-vous votre esprit et vos pensées voyager vers l’arrière ? Vers ce qui n’est plus ? Ce qui n’existe plus ? Et si vous vous demandiez maintenant combien d’opportunités, de rires, de joies, d’expériences vous manquiez chaque jour que votre esprit se tourne vers le passé ?
Le passé est important. C’est grâce à lui qu’on évolue et que l’on ne reproduit pas certaines erreurs. Mais vivre dans le passé équivaut à s’enfermer volontairement dans une boîte sans issue – métaphoriquement.
Et s’il était temps de se concentrer sur le présent et d’accueillir l’avenir ? Voici toutes les raisons qui illustrent l’importance de laisser le passé… dans le passé !
Quand le passé toque à la porte
Le passé est une partie de vous essentielle. Plus encore, la sensation de le connaître en profondeur peut être très rassurante. Le passé, vous le connaissez. Vous l’avez vécu, expérimenté, parfois même ressassé et tourné dans tous les sens.
Il est rassurant, réconfortant, et il vous tend les bras chaque fois que vous vous tournez vers lui. Vous retrouvez la personne que vous étiez, les choses que vous faisiez, les émotions que vous aviez. Tout cela a la goût d’une délicieuse tarte aux pommes un après-midi d’été. Mais ne vous y trompez pas : les pommes ont depuis longtemps moisi et il ne reste de cette tarte que des miettes sèches.
Il porte un costume réconfortant, mais le passé est perfide. Il s’accroche à vous et vous empêche ensuite de pouvoir vivre votre présent en toute sérénité et d’appréhender votre futur paisiblement. Et c’est justement pour cela qu’il peut être délicat de savoir quand laisser le passé derrière soi…
Laisser le passé derrière soi
S’il est réconfortant et familier, le passé doit garder sa place dans le passé. Mais comment savoir qu’il est temps de se détacher de son passé ? Il y a plusieurs signes qui peuvent vous mettre sur la piste. Ils sont comme des indices, des petits signaux qui vous murmurent « Eh, il est temps ! ». Parmi eux, l’on peut retrouver ceux-ci :
- Les souvenirs sont douloureux et non source de joie ;
- Votre présent n’évolue pas ;
- Vous vous sentez nostalgique, triste ou anxieuse ;
- Le passé vous semblait être une meilleure situation que votre présent ;
- Votre passé vous angoisse ;
- Vous ne savez plus qui vous êtes au plus profond de vous-même ;
- Le présent vous semble sans intérêt ;
- Vous aimeriez que le passé soit votre présent… etc.
Le passé, en tant que tel, est fait pour être laissé derrière soi. Plus encore, il ne doit pas venir bouleverser ou brider votre présent, et encore moins empêcher l’avenir de venir à vous.
La passé est donc inutile ?
Absolument pas ! Nous avons tous besoin des notions de notre passé afin de savoir d’où l’on vient, mais surtout le chemin que l’on a parcouru depuis. Plus encore, le passé a de nombreuses fonctions sur la construction de soi et l’évolution de chaque personne.
Ainsi, le passé est nécessaire pour :
- Apprendre à se connaître ;
- Exprimer ses besoins ;
- Ne pas reproduire certaines erreurs ;
- Connaître ses forces et ses faiblesses ;
- Avoir une expérience sur laquelle se baser pour continuer à avancer ;
- Se construire des valeurs, répondre aux normes que l’on veut ;
- Se libérer de la dette émotionnelle ;
- Recalibrer son SOI selon ses principes et ses ambitions ;
- Vivre.
Parce que tout simplement, le passé est une expérience de la vie tout comme le présent et le futur. Et c’est peut-être l’un des éléments que l’on peut le mieux contrôler a fortiori.
Comment se libérer de son passé ?
Savoir qu’il est temps de se libérer de son passé est une chose. S’engager dans ce processus en est une autre, qui peut parfois se montrer bien délicate à réaliser. Alors comment se libérer de son passé ?
Ne pas renier son passé :
Quoi que vous ayez vécu, le passé est une somme d’expériences qui vous a permis d’acquérir une forme de connaissance – de vous-même et de votre environnement. Renier son passé serait bien vain ; il ne s’agit pas de rejeter tout ce que vous avez vécu, été, voulu, ou avez. Il s’agit de ne pas laisser son passé prendre toute la place dans son présent.
Comprendre son passé :
Comprendre son passé permet de mieux l’analyser et de ne pas le laisser vous hanter. Comprendre son passé, c’est savoir quelles erreurs ont été commises, les événements qui vous ont fait du mal, les décisions qui se sont révélées mauvaises pour vous. Le fait de comprendre son passé vous permet d’éviter de reproduire certains schémas et de vous détacher de certains mécanismes qui s’avèrent nocifs pour vous. Eh oui, il est possible d’être toxique envers soi-même ! En comprenant votre passé, vous vous donnez la chance d’évoluer.
Chérir les bons souvenirs :
La mémoire est une merveilleuse partie du cerveau. Elle garde précieusement de nombreux souvenirs qui apaisent le cœur et l’esprit lorsqu’on y resonge. C’est ce pourquoi il est important de ne pas renier son passé. Il y a eu, au cours de votre vie, de nombreux instants de joie. Chérissez-les. Ils font partie de vous, et vous accompagneront toujours.
Surmonter les plus mauvais, les traumatismes :
La mémoire est une partie du cerveau qui peut s’avérer cruelle. Elle ressasse, fait tourner en boucle certains souvenirs surtout s’ils sont liés à des émotions puissantes. C’est le cas pour un traumatisme, par exemple. L’importance de comprendre son passé réside dans le fait de ne pas le laisser se répéter en votre esprit. En comprenant votre passé, vous comprenez également les émotions qui sont liées à certains événements. Et c’est encore le meilleur moyen de laisser guérir et s’apaiser lesdites émotions.
Se libérer du passé grâce aux soins chez Nouvelle
Chez Nouvelle, vous trouverez de nombreux soins qui vous guideront sur le chemin de l’émancipation. Et cela passe sûrement par le fait de laisser le passé où il est… S’il est bien plus facile de le dire que de le faire, les soins chez Nouvelle pourront vous accompagner dans ce processus. C’est notamment le cas des soins ci-dessous :
L’EMDR : en forfait ou en séance unique, l’EMDR est un traitement des souvenirs par les mouvements oculaires. Cela signifie qu’il est possible de guérir des traumatismes, de reprendre confiance en vous ou encore d’observer ses bienfaits quant aux mécanismes de votre esprit qui vous portent parfois préjudice.
L’hypnose : également proposé en Forfait ou en séance unique, l’hypnose est un travail sur l’inconscient. Cela peut être intéressant si vous rencontrez des difficultés à surmonter certains événements comme un deuil ou une dépression.
Chez Nouvelle, lieu intimiste et chaleureux, Charlotte Vallet vous propose également des soins pour le corps tels que le drainage lymphatique ou encore la thérapie par LED. De quoi prendre soin de vous au présent et laisser le passé derrière !
Cet atelier unique se situe au 87 Bis Avenue de Wagram et il est possible de prendre rendez-vous par téléphone au 06.85. 45.84.83.
Souvenez-vous : s’il est possible de regarder dans le rétroviseur de temps en temps, ce n’est pas une invitation à faire demi-tour. Ou bien, comme le disait Bouddha :
“Ne demeurez pas dans le passé, ne rêvez pas du futur, concentrez votre esprit sur le moment présent.”
~ Gautama Bouddha
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Exprimer ses besoins
Combien de personnes se sont déjà tues parce qu’elles n’osaient pas dire haut et fort ce dont elles avaient besoin ? Combien ont-elles gardé le silence plutôt que clamer OUI ou NON ? L’expression de ses besoins est bien plus délicate qu’on ne le pense. En effet, il s’agit d’un processus complet qui nécessite un travail sur soi. Et chez Nouvelle, on vous donne les clés pour que vous puissiez vous aussi exprimer vos besoins !
« Quels sont mes besoins ? »
L’expression de ses besoins est un processus. Il ne suffit pas de savoir demander de l’eau quand on a soif. Le processus et le travail sur soi permettent justement de pouvoir s’écouter et se connaître afin de ne plus s’ignorer – consciemment ou non, d’ailleurs.
La première étape de ce processus est alors d’écouter ses émotions et ses limites.
De cette façon, il vous sera plus aisé d’identifier vos besoins.
Et enfin, de les exprimer.
Les besoins peuvent varier d’une personne à l’autre. Ce dont Lili a besoin est probablement différent de ce que Katie exprime. Et pour cause, nous sommes tous des êtres humains uniques et complexes. Si nos besoins se recoupent parfois, jamais ils ne sont similaires vraiment.
Écouter ses émotions pour exprimer ses besoins
C’est sûrement une phrase que vous voyez/ entendez beaucoup. Pourtant, rien ne semble plus vrai que l’importance d’écouter ses émotions. Le corps et l’esprit sont très bien faits, parfaitement reliés, mais si vous ne prêtez pas attention à vos émotions, tout cela serait bien vain.
Vos émotions, elles sont à la fois un avertissement fort, une doux murmure appréciateur, la représentation de vos limites, mais également la source de vos besoins. Parce que chaque personne a une expérience de vie différente, les émotions le sont également. On ne réagit pas toutes aux mêmes choses.
Écouter ses émotions, c’est s’offrir la possibilité de se comprendre, se respecter et s’aimer.
Identifier ses besoins
Écouter ses émotions est la première étape pour exprimer ses besoins. En effet, les émotions vous guident vers ce dont vous avez besoin, et ce dont vous devez vous passer. Et avant de pouvoir exprimer ses besoins, il est essentiel de les identifier clairement. Pour cela, il faut noter que chaque émotion correspond à des besoins basiques.
Peur : elle est le miroir d’un besoin d’être rassurée.
Colère : elle insuffle un besoin de réciprocité ou de réparation. Elle survient souvent après une injustice.
Tristesse : elle est rattachée à un besoin de renouveau.
Joie : elle peut transporter un besoin d’être apprécié, mais aussi une envie d’être estimée.
Dégoût : cette émotion peut être le déclencheur d’un besoin de couper les ponts, de se séparer.
Évidemment, les émotions sont bien plus complexes et révélatrices de nombreux besoins. Si elles s’assemblent ou surviennent simultanément, il est parfois plus aisé de comprendre à quels événements ou actions elles se rattachent.
Quel que soit le message que vous rapportent vos émotions, il est essentiel de l’écouter et d’agir en conséquence.
S’affirmer pour exprimer ses besoins : une nécessité ?
L’expression de ses besoins n’est plus très loin. Mais ce qu’il est important de savoir c’est comment exprimer son besoin. Pour ne pas devenir à son tour un élément nocif de votre entourage, ni imposer quoi que ce soit aux autres. L’objectif est d’ouvrir la communication pour échanger – et changer la situation !
Il existe une multitudes de raisons pour lesquelles il est parfois difficile d’exprimer ses besoins. Le manque d’écoute dans l’enfance, le fait de ne pas être prise au sérieux, personne ne vous a appris à écouter ni à défendre vos besoins… etc. Pourtant, vous êtes bien la seule personne capable de les faire entendre et respecter !
Et il est temps de vous affirmer !
Comment exprimer ses besoins ?
Que vous ayez besoin d’exprimer vos besoins dans le couple, dans le travail ou auprès de votre famille, il est essentiel d’appliquer quelques principes. Parmi eux :
Rester ouverte au dialogue ;
Éloigner la culpabilité ;
Ne pas laisser ses attentes et les sentiments lourds s’accumuler ;
Ne pas se rabaisser ;
Échanger avec bienveillance.
(Pour vous en souvenir, vous pouvez penser à RENNE ! )
Et en pratique, comment cela se passe-t-il ? Si la théorie paraît limpide et relativement simple à mettre en place, en pratique, ce ne sera pas le cas. Parce que vivre avec la peur de s’affirmer ou l’incapacité de le faire, ça ne disparaît pas du jour au lendemain. C’est un travail qu’il faut faire sur soi pour pouvoir gommer les mécanismes acquis et utilisés jusqu’alors.
… Et en mettre de nouveaux en place ! Parmi eux :
Utiliser JE :
Lorsque vous exprimez vos besoins, il est important d’utiliser une forme active dans l’expression. À travers cette forme active, vous employez un sujet + un verbe + un COD. Le sujet doit toujours être JE. Parce qu’il s’agit de VOS besoins, et que vous êtes la seule à pouvoir les revendiquer, les exprimer et les faire entendre à autrui. Quel que soit le domaine dans lequel vous exprimez vos besoins (travail, famille, amis…), utilisez JE.
« Je souhaiterais que nous répartissions les tâches ménagères de manière équivalente. »
« J’ai besoin de me sentir plus soutenue. »
L’utilisation du pronom JE permet de ne pas rejeter la faute sur l’une ou l’autre partie, ce qui ouvre le dialogue plus facilement.
Accepter la contrariété/ un avis divergent :
Il est important de comprendre qu’en exprimant vos besoins, cela puisse ne pas être bien accueilli. Certaines personnes ne pratiquent pas l’introspection ou bien craignent le changement. Elles n’aimeront pas cela car ça sous-entend un ajustement à fournir de leur part. Cependant, il est essentiel, pour se faire entendre et respectée, de se montrer à l’écoute et respectueuse envers les autres également. Il ne s’agit pas d’imposer vos besoins aux autres, mais de changer une situation dans laquelle vos besoins ne sont pas pris en considération.
Utiliser la forme affirmative :
Enfin, utiliser la forme affirmative permet d’ouvrir le dialogue plus facilement. En effet, ne pas formuler comme un reproche mais comme un souhait permettra à l’interlocuteur de ne pas se sentir accablé ou accusé. Vous serez dans un dialogue bienveillant, à l’écoute l’un de l’autre, ce qui ouvrira la conversation vers des solutions concrètes.
En quelques mots…
L’expression de ses besoins est une étape essentielle dans le respect de soi et l’épanouissement. Apprendre à les exprimer est un chemin long, mais il est nécessaire pour être épanouie. Tant dans la famille qu’auprès de vos amis ou au travail, les besoins de chacun doivent être entendus et respectés.
Les mauvais environnement ont bien trop de conséquences sur un être humain, conduisant à de l’anxiété, une dépression ou un burn-out. Soutien, écoute, alignement… voilà les clés de l’émancipation et de l’épanouissement personnel !
Chez Nouvelle, atelier situé à Paris (75017), Charlotte Vallet vous accueille au sein d’un lieu chaleureux et intimiste. À travers divers soins comme l’hypnose, le coaching ou l’EMDR, elle vous aide à vous émanciper des événements ou d’une situation qui vous pèse autant qu’elle vous freine.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous par téléphone : 06.85.45.84.83.
Et avec l’approche des fêtes de fin d’année, il est également possible de s’orienter vers une séance de soins à offrir !
Et vous, parvenez-vous à exprimer vos besoins ?
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Visions Nouvelles – Le Podcast
Si vous nous suivez sur Instagram, vous n’avez pas pu le manquer ! Le podcast Visions Nouvelles est sorti il y a seulement quelques jours. Et si vous preniez le temps de découvrir ce qu’il met en lumière ? Dans cet article un peu différent des autres, il vous sera expliqué le concept, mais aussi tout ce que Visions Nouvelles met en place et l’impact qu’il possède. Mais tout d’abord, commençons par le début…
Nouvelle : qu’est-ce que c’est ?
Nouvelle, c’est un lieu unique sur l’Avenue Wagram (75017, PARIS), dans lequel je vous accueille et vous propose divers soins. Dans un décor paisible et chaleureux, révélez-vous à vous-même. Nouvelle est né d’un désir d’aider les femmes de tous horizons à s’émanciper.
Parce que les injonctions sociales et sociétales sont parfois trop vives, tenaces et nous collent à la peau jusqu’à en former une seconde. Que la pression soit physique ou mentale, chez Nouvelle, vous pouvez vous départir de ces masques parfois lourds à arborer. À travers un Remodelage émotionnel du visage, un Drainage thérapeutique du corps ou du visage, votre physique peut se libérer des marques mentales et des injonctions qui pèsent sur vos épaules.
Pour les blessures émotionnelles ou mentales, des séances d’ EMDR (Eye Movement Desentitization and Reprocessing) , une Séance d’hypnose ou encore des séances de Coaching Nouvelle vous offriront les outils pour vous sentir libre et légère au quotidien – prêtes à accomplir tout ce que vous voulez !
L’atelier Nouvelle se situe au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Et vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
[produit]
Pourquoi créer un Podcast ?
Chez Nouvelle, ce sont les vibrations de femmes déterminées et uniques qui se mêlent. J’ai voulu recréer cela sur un format différent afin de toucher plus de monde, de mettre en valeur les chemins de traverse, le fait de ne pas entrer dans les cases, de ne pas se conformer à ce que la société attend d’une femme aujourd’hui.
Et ce n’est un secret pour personne, le Podcast est à notre génération ce que le documentaire était à nos grands-parents : un moyen de (dé)couvrir un sujet de façon complète, sourcée et parfois via une interview. Sauf que le Podcast n’impose pas une inertie physique. Au contraire, il présente l’avantage de pouvoir être écouté partout, (presque) tout le temps !
Le format du Podcast n’était pas un grand mystère. Et pour cause, le podcast Combattantes mettait déjà en lumière de nombreuses femmes talentueuses et permettait de discuter de sujets en lien avec le bien-être, l’engagement, l’émancipation…
Mais qui dit nouveau lieu, nouveau départ, dit nouveau Podcast !
Visions Nouvelles : une vision lumineuse
Visions Nouvelles, c’est un Podcast qui part à la rencontre de femmes émancipées. Sans tabou et sans filtres, elles nous racontent leurs parcours, leurs difficultés, leurs réussites… Avec honnêteté et douceur, elles nous font entrer dans leur bulle pour connaître leurs vies.
Visions Nouvelles met en lumière des femmes à la vie atypique, ayant une vision bienveillante et libre de mener leur vie.
Parce que chez Nouvelle, l’émancipation est au centre de tout, le Podcast reflète avec délicatesse la justesse de nos valeurs. Liberté, émancipation, bien-être, acceptation, connaissance de soi et vie !
Parce que finalement, toutes ces valeurs devraient être des mots d’ordre dans l’existence de chaque femme. La différence est une force, l’indifférence un fléau. Mettre en valeur la différence de chaque femme est essentiel. Pour que toutes celles qui écoutent, se posent des questions, se battent pour survivre puissent savoir qu’il existe une autre voie.
Mettre en lumière que chaque voix est unique et mérite d’être entendue !
En quelques mots…
En quelques mots, le Podcast Visions Nouvelles permet de mettre en lumière des femmes courageuses, indépendantes et rayonnantes. Visions Nouvelles n’est pas une bible audio ; c’est un outil qui révèle le potentiel présent en chacune de nous !
Le Podcast est par ailleurs disponible sur toutes les plateformes : Deezer, Spotify et Apple Podcasts.
Et vous, qu’attendez-vous pour nous rejoindre ?
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Les bienfaits de la piscine sur l’esprit et le corps
La majorité des gens apprécie barboter dans de l’eau – surtout en plein été ! Et pour cause, les piscines rafraîchissent, amusent, détendent et musclent aussi. Mais saviez-vous qu’au-delà du divertissement ou du sport olympique, la natation et les piscines en général possédaient de nombreux bienfaits pour le corps tout autant que pour l’esprit ? Alors quels sont-ils ?
La popularisation des sports aquatiques
Si la natation existe depuis belle lurette, de nombreux sports aquatiques se sont développés il y a peu de temps. C’est notamment le cas de l’aquagym, popularisé dans les années 80 qui revient sur le devant de la scène depuis un peu plus d’une décennie. L’accès est de plus en plus facile pour les personnes voulant tester ce sport, et de nombreuses piscines proposent des outils afin de se mettre à l’aquabike (vélo dans l’eau), l’aquagym ou encore l’aquafitness.
Ces sports ont été adaptés dans l’eau afin de renforcer les efforts produits par le corps. Car chacun sait à quel point l’eau ralentit nos mouvements… comme si on bougeait au ralenti ! Et pour cause, le corps travaille beaucoup plus et de manière complète lorsqu’on fait du sport dans l’eau.
Alors quels sont les bienfaits du sport dans l’eau, de plus en plus apprécié ?
Les bienfaits de la piscine sur le corps
L’eau est un terrain de jeu tout à fait amusant pour les enfants, mais pour les adultes aussi ! Et la piscine présente de nombreux avantages pour toute pratique des sports aquatiques. De plus, la piscine permet de pratiquer de nombreux sports aquatiques, très bons pour le corps. Voici les bienfaits de la piscine sur le corps.
Limiter les chocs et douleurs articulaires :
La résistance de l’eau permet de faire travailler tout le corps. Heureusement, lorsqu’on est immergé dans l’eau, le corps ne pèse que 80% de son poids. Les mouvements sont plus faciles, plus amples, et tout le corps est sollicité avec ardeur. Pour rappel, la résistance de l’eau est 60 fois supérieure à celle de l’air… De quoi vous donner la preuve que vous êtes fortes !
Les muscles travaillent mieux :
Pratiquer du sport dans une piscine (aquagym, aquabike… etc.) permet de travailler tout autant les membres inférieurs, les lombaires et les abdominaux. Les muscles sont ainsi beaucoup plus sollicités, ce qui permet de sculpter votre silhouette de manière quasiment complète.
Améliorer la force et l’endurance :
De façon douce et indirecte, la piscine permet d’améliorer la force et l’endurance de manière générale. Loin des machines de la salle de sport, quelques longueurs ou bien du sport aquatique permettent de lier amusement, tonic, force et plaisir !
Prévient et soulage les douleurs dorsales :
Ce n’est plus un secret, la piscine est un soulagement pour le dos. En effet, elle permet de renforcer les muscles du dos, qui protègent la colonne vertébrale. De plus, la natation ou les sports aquatiques permettent de soulager les douleurs dorsales en sollicitant les muscles du dos de manière douce et sur la durée. C’est un travail complet du dos pour le plus grand bonheur des colonnes vertébrales douloureuses !
Diminue les symptômes de la sclérose en plaques :
Les activités aquatiques permettraient d’améliorer considérablement les symptômes de la sclérose en plaques. Une étude a été menée, et en suivant un programme de natation pendant 20 semaines, de nombreux patients ont vu leurs symptômes réduire. De même, la fatigue et la dépression liées à la maladie diminuaient. L’eau maintient les membres à flot sans que la personne n’ait besoin de forcer, ce qui soulage les douleurs de la maladie.
Sans danger :
Que vous choisissiez les longueurs en nage libre ou bien une séance d’aquagym, la piscine est sans danger. Que la personne souffre d’asthme, d’arthrite, d’un handicap ou autre, la piscine peut être pratiquée malgré de nombreux troubles physiques. Cette discipline permet également de se remettre de certains maux. Attention toutefois, en cas de doute, il est important de consulter un médecin avant de se mettre à la piscine de façon intense.
Les bienfaits de la piscine sur l’esprit
Si les activités aquatiques permettent de nombreux avantages physiques, elles présentent également des bienfaits importants pour l’esprit. Voici les bienfaits de la piscine sur l’esprit.
La gestion du stress :
Comme de nombreux sports, la piscine ne fait pas exception. Elle permet notamment de mieux gérer son stress. Cela est principalement dû aux endorphines libérées durant l’activité physique -comme pour tout autre sport ! Mais le fait que l’eau apaise n’est un secret pour personne. Et si certains sont insensibles à cet élément, le fait de se retrouver dans de l’eau et de pouvoir se mouvoir au-dedans est un réel plaisir apaisant. Stress, angoisse, déprime… l’eau nettoie tout -symboliquement !
Amélioration du sommeil :
Là encore, de nombreux sports permettent de voir ces bienfaits se dessiner. Ce qui est particulier avec la natation ou les activités aquatiques, c’est surtout son accessibilité et sa facilité à pratiquer régulièrement qui en fait une réelle source d’amélioration du sommeil. Tant pour les personnes âgées que pour les actives, la piscine présente un réel atout pour la qualité du sommeil. Enfin, en sollicitant tout le corps, c’est une fatigue générale qui se manifeste. De quoi passer de bonnes nuits reposantes !
Libération des endorphines :
Tout comme de nombreux sports, la piscine permet de libérer des endorphines, hormones qui impactent directement l’humeur. Ainsi, la natation permet de renforcer l’’humeur, la confiance en soi et les compétences sociales. Tout cela a de façon indirecte l’estime que la personne a d’elle-même.
En quelques mots…
Ainsi, la piscine présente de nombreux bienfaits, tant pour la tête que pour le corps. Que vous choisissiez la rigueur des longueurs, la fantaisie de l’aquagym ou l’endurance de l’aquabike, l’eau vous permettra de vous détendre et de vous muscler en même temps !
Et vous, allez-vous souvent à la piscine ?
De mon côté, j’aime bien y aller autant que je peux ! Cela me soulage toujours et permet de me muscler en douceur ! N’oubliez jamais qu’il est plus facile de faire du sport en faisant un sport qui nous plaît !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du visage et du corps.
Les séances sont réalisées dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Rue Avenue de Wagram, 75017.
Si la piscine permet de se muscler en douceur, les soins énergétiques du corps et du visage permettent quant à eux de vous connecter en profondeur à vous-mêmes dans une vision de bien-être et de paix. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Sauna infrarouge VS sauna scandinave : que choisir ?
Quoi de mieux que transpirer ! Après les fortes chaleurs récentes, cela peut sembler ironique. Mais en l’occurrence, il s’agit davantage de transpirer pour les bienfaits que cela procure au corps. Alors quoi de mieux qu’un sauna ? S’ils sont depuis de nombreuses années très appréciés dans de nombreux pays comme la Finlande, il n’y a que depuis peu qu’ils s’établissent en France et sont reconnus comme outils de bien-être. Encore faut-il savoir lequel choisir selon ses particularités… alors sauna scandinave ou sauna infrarouge ? Comment choisir ?
Le sauna : kézako ?
À l’origine, le sauna est un bain qui vient tout droit de Finlande (étymologiquement aussi !). Le sauna est souvent une petite pièce ou une petite cabane faite de bois dans laquelle il est possible de prendre un bain de chaleur sèche. Cette chaleur varie en général entre 70° C et 100° C. Ce genre de sauna est appelé « sauna traditionnel » ou « scandinave » de par le lieu dont il provient.
Mais depuis quelques années, un autre genre de sauna se fait lui aussi connaître. Il s’agit du sauna infrarouge, dont la technique est directement originaire du Japon. S’il se présente lui aussi sous la forme d’une petite cabine, la différence principale se trouve dans la diffusion de la chaleur. En effet, pour le sauna infrarouge, pas de poêle chauffant au centre de la pièce : la chaleur est répartie dans des éléments infrarouges qui sont eux-mêmes disposés de manière stratégique. Ils agissent par rayonnement, tout comme le soleil, mais sans émettre d’ultraviolets. Il existe par ailleurs plusieurs sortes de saunas infrarouges, comme le carbone, le quartz, le céramique ou l’oxyde de magnésium.
Le sauna est bien souvent apprécié pour l’élimination des toxines via la transpiration. Il est possible de perdre jusqu’à 1,5L de transpiration ! Les professionnels conseillent d’ailleurs d’alterner avec des douches froides au bout de 10 à 15 minutes. Cela permettrait en effet de tonifier la peau et d’en resserrer les pores.
Sauna traditionnel et sauna infrarouge : quelles différences ?
Le fonctionnement du sauna traditionnel est, depuis sa présence dans les soins du corps, plutôt reconnu. En effet, le sauna traditionnel permet de chauffer l’air ambiant dans lequel la personne se trouve. Il ne reste alors plus qu’à profiter des effets de la transpiration et de la dilatation/ du resserrement des pores de la peau (alterner avec des douches froides !).
A contrario, le sauna infrarouge ne chauffe pas l’air. En effet, 80% du rayonnement thermique pénètre les tissus cutanés de façon directe. Cela équivaut entre 3 et 4 cm de peau.
De même, le sauna infrarouge est souvent plus aisé à supporter puisque sa chaleur est localisée. L’air n’est impacté que dans une moindre mesure, et les effets semblent plus efficaces selon certains. Le sauna infrarouge propose un air sec et une température n’excédant pas 60°C.
A contrario, le sauna traditionnel affiche une chaleur beaucoup plus élevée, allant parfois jusqu’à 110°C, mais l’humidité peut aussi être présente à hauteur de 25% dans l’air. Cela peut potentiellement être plus éprouvant pour les poumons.
Il y a donc de légères différences sur la diffusion de la chaleur des deux saunas. Là où le sauna scandinave est souvent connu pour ses bienfaits, le sauna infrarouge semble en présenter aussi bien que les réserves soient plus nombreuses.
Les bienfaits du sauna sur la santé
De manière générale, le sauna présente de nombreux bienfaits sur la santé. Parmi eux, il est notamment possible de citer :
- Stimulation de la circulation sanguine ;
- Dilatation des vaisseaux et bon fonctionnement du système cardiovasculaire ;
- Une utilisation assidue (jusqu’à sept fois par semaine) du sauna permettrait même une réduction du risque de crises cardiaques et des maladies touchant les artères coronaires ;
- Lutte contre le stress (la chaleur permet de libérer des endorphines) ;
- Réduit les problèmes respiratoires (asthme, bronchites…) ;
- Nettoyage de la peau en profondeur ;
- Booste le système immunitaire;
- Diminue les rhumatismes et les douleurs articulaires.
Les bienfaits du sauna sont ainsi nombreux. La chaleur libérée dans la cabine permet de prévenir, d’apaiser et de booster nombre de parties du corps. De même, il est souvent commun de penser que le sauna fait maigrir. Ce n’est pas vrai, car le corps élimine de l’eau, et non de la graisse. Cependant, il est tout à fait conseillé d’utiliser les saunas durant un régime.
Y a-t-il des contre-indications ?
Elles sont peu nombreuses, pourtant il y a bel et bien quelques contre-indications à respecter si vous souhaitez vous rendre au sauna. Parmi elles :
- Les personnes ayant des maladies cardiaques :
- Celles qui font de l’hypertension artérielle :
- Les personnes ayant des maladies de peau (psoriasis) ;
- Si vous êtes enceinte.
Les affections de la peau ne font pas bon ménage avec le sauna traditionnel. Pour les maladies d’hypertension artérielle et cardiaques, le sauna n’est pas interdit. Toutefois, il est conseillé d’éviter une température supérieure) 90°C et les douches froides. Enfin, pour les femmes enceintes, il est important de rester au-dessous de 70°C.
Les avantages du sauna infrarouge
Malgré qu’il soit moins reconnu que le sauna traditionnel, le sauna infrarouge présente lui aussi des avantages pour la santé. Voici ce qu’il permet de plus que le sauna scandinave :
- Une sudation 3 à 6 fois plus importante (les muscles s’assouplissent mieux et la circulation sanguine est davantage améliorée) ;
- La température ambiante avoisinant les 40°C est plus supportable pour le cœur et les personnes sensibles aux grosses chaleurs ;
- L’infrarouge se base sur la recherche médicale afin de lutter contre les maladies de peau telles que l’eczéma, le psoriasis, l’urticaire…etc.
Ainsi, le sauna infrarouge pourrait s’avérer être une alternative intéressante vis-à-vis des contre-indications que présente le sauna scandinave. Le seul inconvénient mis en avant pour ce sauna sont que l’infrarouge peut potentiellement être néfaste pour l’être humain -et donc doit être évité. De même, l’infrarouge pourrait dessécher la peau et les cheveux. Toutefois, aucune étude n’a été citée pour appuyer ces arguments – à prendre avec des pincettes !
En quelques mots
Le sauna -qu’il soit traditionnel ou infrarouge- présente de nombreux avantages pour la peau et le corps dans son ensemble. Si le sauna traditionnel a su se faire apprécier au fil des années, le sauna infrarouge semble convaincre de plus en plus de personnes. Bien que leurs différences soient relativement importantes, il s’avère finalement que le sauna infrarouge présente des avantages face aux contre-indications du sauna scandinave.
Alors que choisir ? Celui qui vous fera le plus de bien ! Prenez en compte votre état de santé, votre état d’esprit et il ne vous reste plus qu’à sauter le pas !
Avez-vous l’habitude d’aller au sauna ? Si oui, lequel préférez-vous ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Les schémas limitants de Young
Au cours de l’histoire, et plus particulièrement depuis les années 70, les sciences du comportement et du bien-être se multiplient pour toujours mettre en avant l’épanouissement personnel et le bonheur. Si plus récemment, en 2020, est sorti l’ouvrage de Carole Rinaldi à propos des cinq blessures émotionnelles, d’autres théories et pratiques existaient avant afin de se libérer de mécanismes inconscients et définitivement entravants. En 1990, c’est Jeffrey Young qui parvient à mettre en place la thérapie des schémas, qui permet d’établir nos « faiblesses » pour mieux y remédier ensuite. Alors qui est Jeffrey Young ? Et quels sont les onze schémas limitants selon lui ?
Qui est Jeffrey Young ?
Jeffrey Young est un psychologue américain, à l’origine des « 11 schémas de Young ». Fondateur du Schéma Therapy Institute, il est né en 1950 et est l’un des créateurs de la schémathérapie. En parallèle de sa profession de psychothérapeute, de psychologue et de professeur d’université ensuite, il a écrit deux grands ouvrages et s’est entièrement consacré à l’étude de la psychothérapie cognitivo-comportementale.
Très rapidement, il découvre les voies passionnantes de la schémathérapie. Celle-ci est en étroit lien avec les thérapies comportementales. En effet, elle se définit notamment comme étant une thérapie cognitive basée sur des schémas. Autrement dit, il s’agit d’aider des patients à identifier quels sont les schémas inadaptés dans leur comportement ou sentiments et les replacer par des schémas plus adaptés.
Selon Jeffrey Young, les schémas se définissent par des manières autodestructrices de penser, de ressentir et de se comporter.
Les schémas selon Young
Selon Jeffrey Young, les schémas limitants dépendent directement de l’enfance. Un peu comme les cinq blessures émotionnelles (cf. Livre Blessures Emotionnelles de Carole Rinaldi), les schémas dépendent directement de schémas précoces d’adaptation. Autrement dit, ce qui se passe dans l’enfance influence toute notre vie ensuite. Qu’il s’agisse d’agression, de critique, de surprotection, de rejet, d’abandon ou de négligence… tout cela marque l’enfant et se reflète dans la vie de l’adulte. Au bout d’un moment, ces schémas deviennent complètement indissociables de la personnalité.
Dans un deuxième temps, il établit que chaque schéma est associé à un besoin fondamental qui n’a pas été satisfait durant l’enfance.
Les onze schémas limitants
En étudiant la schémathérapie, Jeffrey Young distingue onze schémas limitants et les besoins qui les accompagne.
Méfiance et abus (« je ne peux pas faire confiance »)
Abandon : (« je t’en supplie, ne me quitte pas »)
- Besoin de sécurité de base non assuré par les parents.
Vulnérabilité (« la catastrophe est imminente »)
Dépendance (« je ne peux pas me débrouiller seul »)
- Besoin d’autonomie non satisfait ou empêché.
Carence affective (« mes besoins d’affection ne seront jamais comblés »)
Exclusion (« je me sens toujours à part »)
- Besoin de relation et de lien interpersonnels de qualité non satisfait.
Imperfection (« je ne vaux rien »)
Echec (« ma vie est un échec »)
- Besoin d’estime de soi non satisfait ou empêché.
Assujettissement (« je fais toujours ce que je veux »)
Exigence élevée (« ce n’est jamais suffisant »)
- Besoin d’expression de soi non satisfait ou empêché.
Tout m’est dû (« je peux (et je dois) obtenir tout ce que je désire indépendamment de ce que cela coûte aux autres »)
- Besoin de limites réalistes et de compréhension des besoins des autres non satisfaity ou empêché.
Les attitudes face aux schémas
Jeffrey Young établit qu’il y a trois réactions possibles face aux schémas limitants, une fois que ceux-ci ont été identifiés. Il distingue ainsi :
La capitulation :
Cette technique consiste à inconsciemment organiser sa vie en fonction des schémas qui ont été intégrés durant l’enfance. La capitulation est typique d’un comportement autodestructeur, puisqu’il s’agit de renforcer les schémas acquis.
Young déclare d’ailleurs :
« Quand nous capitulons, nous déformons notre point de vue d’une situation spécifique de manière à renforcer notre schéma. Chaque fois qu’il est réactivé, nous réagissons vivement. Nous […] créons des situations qui lui redonnent de la vigueur. Nous le maintenons actif. »
La fuite :
La fuite est un moyen de nier le schéma qui nous pose souci. En effet, il est impossible de régler un problème si on nie sa réalité. La fuite entraîne bien souvent un « engourdissement » (selon Young) qui peut amener à blesser son entourage et fuir vers des paradis artificiels. À ce propos, Jeffrey Young déclare également :
« En fuyant, nous chassons le schéma de nos pensées. Nous l’expulsons de notre cerveau. Nous évitons aussi d’être sensibles à ce schéma. Toute émotion est amoindrie. Nous trouvons un refuge dans la drogue, la nourriture, la manie de la propreté ou le travail. Nous évitons toute situation qui risquerait de déclencher le schéma. »
La contre-attaque :
La contre-attaque est l’un des comportements qui est adopté face aux schémas limitants. Elle a tendance, si on l’applique, à isoler et à épuiser. La contre-attaque nécessite de déployer des efforts et de l’énergie à se montrer invulnérable. Le danger dans cette solution est que sans son armure, la personne qui contre-attaque peut rapidement avoir l’impression que le monde s’écroule autour d’elle. Jeffrey Young explique :
« La contre-attaque nous permet de déjouer notre schéma en nous convainquant que la réalité réside dans son contraire. Nos sentiments, nos actes et nos pensées sont ceux d’une personne unique, supérieure, parfaite et infaillible. Nous nous agrippons désespérément à ce personnage. Le réflexe de la contre-attaque présente une alternative au mépris, au jugement critique et à l’humiliation. Il offre une porte de sortie à la vulnérabilité. Nous contre-attaques nous aident à composer avec le quotidien. »
Comment se défaire de ses schémas précoces ?
- Déceler les schémas et les nommer ;
- Comprendre qu’un schéma se forme dans l’enfance ;
- Lister les faits, les comportements qui permettent d’invalider le schéma par le raisonnement ;
- Ecrire à un parent, une sœur, une amie qui a contribué à la création de ce schéma paralysant ;
- Analyser le schéma qui créé un blocage ;
- Persévérer sur le long terme pour parvenir à s’en défaire.
En quelques mots…
Les schémas limitants que Young est parvenu à identifier permettent de se défaire de schémas limitants et bien souvent destructeurs lorsqu’ils sont conservés dans la vie adulte. Les identifier est la première étape qui permet de s’en détacher. De même, il est important de pouvoir les comprendre pleinement si vous souhaiter vous en extraire définitivement et avoir une vie plus sereine et épanouie sans blocage.
Car l’épanouissement personnel est important et qu’il est essentiel de prendre soin de soi, j’ai également trouvé ma voie dans le bien-être et les soins. Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement sur Doctolib ou bien par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas prenez le temps de vous connaître en étant au plus proche de la nature.
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Bienfaits des LED : au tour de votre peau de briller !
Lorsque l’on parle de LED, il ne s’agit pas de décorer sa chambre avec de jolies guirlandes multicolores ou de trouver un moyen de consommer mieux grâce à des ampoules qui ne chauffent pas et consomment peu. La lumière présente de nombreux bienfaits pour le corps et en particulier la peau. La thérapie par LED, aussi appelée « photomodulation par LED », utilise notamment la lumière comme soin pour la peau. Alors quels bienfaits présente-t-elle ? Quand avoir recours à la thérapie par LED ? Et pourquoi ?
Qu’est-ce que la thérapie LED ?
La thérapie par la lumière, on la doit d’abord à Niels Finsen qui obtient le Nobel de médecine quand il découvre les bienfaits de la lumière sur la peau en 1903. Les guerres se sont succédées, et cette méthode pourtant révolutionnaire est rapidement tombée dans l’oubli. Il faudra attendre jusqu’en 1986 pour qu’Endre Mester, un hongrois, découvre que les rayons rouges d’une lumière favorisent le processus de cicatrisation de la peau.
La thérapie par la lumière a été mise en lumière –sans mauvais jeu de mot !- par deux fois au cours du XXe siècle. De nos jours, cette méthode continue de se démocratiser, et ses bienfaits ne sont plus à prouver. Alors comment fonctionne cette thérapie et quels sont ses bienfaits exactement ?
Comment fonctionne la thérapie LED ?
Il faut savoir que toutes les cellules vivantes interagissent avec la lumière. Qu’elles émettent ou captent directement la lumière, l’exemple des plantes et de la photosynthèse est probablement le plus parlant. Et pour les cellules de l’être humain, c’est la même chose ! Lorsque la lumière entre en contact avec les cellules humaines, elles vont entrer dans une phase dite de « résonance ». Ce contact entre la lumière et les cellules va créer une agitation au niveau de ces dernières. Cela va ensuite entraîner des changements de nature physiques et chimiques qui stimulent la cellule (synthèse de collagène et d’élastine par exemple). Ce processus est appelé « photomodulation ».
Selon les couleurs de la lumière, les cellules seront susceptibles d’opérer différents changements. En effet, chaque couleur de lumière possède une longueur d’onde différente, qui activera ensuite divers changements dans la cellule.
Lumière rouge : c’est la couleur de lumière qui émet les plus grandes ondes. En pénétrant la peau, elle va stimuler les fibroblastes. Cela augmente alors la production d’élastine et de collagène, directement en lien avec la fermeté de la peau.
Lumière bleue : ses ondes permettent de combattre les bactéries, notamment celles trouvées dans les boutons d’acné.
Lumière jaune : sa longueur d’onde permet de réduire les rougeurs de la peau. Elle agit également sur la circulation sanguine de la peau ainsi que la circulation lymphatique. Son effet est drainant et anti-œdème. De plus, pour lutter contre la perte de cheveux, la lumière jaune stimule leur repousse.
Lumière verte : les ondes de la lumière verte agissent directement sur l’éclat de la peau. Elles peuvent également atténuer les tâches pigmentaires.
Les bienfaits de la thérapie LED
Parmi les bienfaits que présente la thérapie LED, l’on retrouve :
- Lutter contre le stress oxydatif (qui est directement responsable d’un teint terne, du vieillissement des cellules de la peau et des cheveux) ;
- Favoriser la cicatrisation ;
- Accélérer la synthèse du collagène pour une meilleure élasticité des tissus (corrige l’apparence des cicatrices et des rides) ;
- Ralentir l’évolution de l’alopécie ;
- Stimuler la repousse des cheveux ;
- Traiter les maladies de la peau (psoriasis, acné inflammatoire…) ;
- Rééquilibrer le sébum ;
- Lutter contre la dépression ; les troubles du sommeil ; les syndromes prémenstruels.
Plus généralement, la lumière présente de nombreux bienfaits sur notre organisme. Parmi eux, il est possible de citer :
- Elle apporte force et énergie à l’organisme: cela permet notamment de lutter contre le vieillissement cutané. La rénovation des cellules est plus lente avec le temps, mais la luminothérapie permet d’éviter un trop grand ralentissement.
- Elle régule les rythmes circadiens : le cycle de sommeil est certainement celui qui est le plus influencé par la luminothérapie. En produisant de la mélatonine, la thérapie LED permet d’améliorer la qualité du sommeil de la personne qui y a recours. La lumière peut également avoir un impact sur les différents rythmes circadiens, comme l’échelonnement des repas ou la régulation de la température corporelle.
- Régule la sécrétion des hormones : la lumière est directement liée à la régulation des hormones, dont la sérotonine. Cela peut avoir des répercussions sur la dépression, l’humeur en général, les comportements agressifs qu’elle apaise, les syndromes prémenstruels, post-partum ou encore les troubles alimentaires.
- Stimule la guérison du corps : en plus d’améliorer le système immunitaire dans son ensemble, la lumière permet d’accélérer le processus de guérison du corps humain. Elle booste également la santé du cerveau et du corps tout en prévenant les infections.
Ainsi, les bienfaits de la lumière ont permis d’établir différents bienfaits concernant la thérapie LED. Si l’une découle de l’autre, aucun doute cependant que toutes deux présentent des bienfaits intéressants qui permettent d’améliorer sa santé et sa qualité de vie.
Déroulement d’une séance
Ce qu’il faut savoir avant de prendre rendez-vous pour une séance de thérapie LED :
- La thérapie LED peut se faire sur tous types de peaux et en toute saison ;
- Elle est indolore ;
- Elle ne présente aucun effet secondaire.
Il est cependant important de noter que la thérapie LED est un processus relativement long à mettre en place, et les effets ne sont pas visibles avant la sixième séance. À terme, ses bienfaits seront bien perceptibles par le patient (retarder le vieillissement de la peau, par exemple). C’est car l’action se déroule en profondeur dans la peau, et pour un meilleur résultat, la patience est de mise !
La machine utilisée –Dermalux dans mon cabinet- permet un soin rapide et efficace. Selon les zones à traiter et le type de peau, il faut compter jusqu’à une demi-heure de soin. La peau doit être démaquillée et nettoyée avant de commencer le soin !
Il est également important de noter que plus la thérapie LED est commencée tôt, et plus les cellules font le plein d’énergie tôt ! Cela retardera plus facilement la quantité de collagène qui tend à disparaître avec l’âge.
Le déroulement d’une séance de thérapie LED est somme toute assez similaire selon les cabinets. Proposant des séances de LED grâce à la machine Dermalux, je vous propose de prendre rendez-vous via Doctolib ou par téléphone directement au 06.85.45.84.83
Mon cabinet se situe au 87 Bis, Avenue de Wagram, 75017 Paris.
En quelques mots…
La thérapie LED présente de nombreux bienfaits tant au niveau des hormones, que des cellules du corps humain. Sans effets secondaires ou contre-indications, il est possible de se tourner vers cette thérapie notamment pour les soins de la peau en cas d’acné inflammatoire, de psoriasis ou d’eczéma.
Et vous, avez-vous déjà fait une séance de thérapie LED ?
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et dans les soins énergétiques du corps et du visage. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
J’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien, retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il est possible le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions… n’hésitez pas !
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Psychanalyse ou médecine alternative : les pour et contre
Depuis plusieurs années, le bien-être personnel est une notion clé de notre société. Les start-up montrent souvent l’exemple en permettant des conditions de travail qui font attention à l’humain, et offrent un cadre optimal. En parallèle, ce sont les médecines alternatives qui éclosent et se démocratisent de plus en plus auprès du grand public. On y trouve une voix de guérison, une attention portée au corps, à l’esprit et à l’émotionnel, et bien souvent, l’hypnose thérapeutique à Paris a des bienfaits par sa capacité de stabiliser le quotidien tout en l’éclairant un peu. Avant cela, le bien-être personnel se résumait bien souvent à se rendre chez un professionnel de santé mental, comme le psychologue ou dans une branche plus controversée, chez un psychanalyste.
Ces deux méthodes sont-elles complémentaires ? Quels sont les pour et les contre de chacune d’elles ? Qui aller voir pour prendre soin de vous ?
Pour y voir un peu plus clair…
Si certaines médecines alternatives renferment des savoirs millénaires, la psychanalyse est la première à avoir fait son apparition dans notre société. Le mot en lui-même prend vie sous la plume de Freud, en 1896, et désigne dans un premier temps l’exploration de l’inconscient. Assez rapidement, elle attire l’œil de milliers de médecins et devient une méthode à part entière – bien qu’elle peine à être reconnue comme une science. La psychanalyse consiste en effet en une « investigation des processus psychiques profonds de l’inconscient » mais peut également désigner le « traitement de troubles psychiques et psychosomatiques » selon Le Robert.
Les médecines alternatives se composent quant à elles de diverses méthodes. Ce qui est qualifié de médecine alternative se résume à toute méthode thérapeutique qui ne relève pas de la médecine traditionnelle. Pour exemple il est possible de citer : l’ostéopathie, l’hypnose pour la confiance en soi, la réflexologie (plantaire), l’aromathérapie, la sophrologie, l’acupuncture… etc. En France, les médecines dites parallèles, alternatives ou douces apparaissent dès 1960 avec la venue de l’ostéopathie –légalisée comme exercice en 2002, seulement !
Ainsi, les deux types de méthodes ont chacune leur passé, leur parcours ainsi que leurs caractéristiques.
Les points communs entre les deux types de méthodes
Dans leur pratique tout autant que dans les bienfaits qu’elles procurent, ces deux méthodes de soin ont quelques points communs au-delà de leur évidentes différences. Parmi eux, l’on retrouve :
Aide à évoluer :
La psychanalyse au même titre que les médecines alternatives permettent d’évoluer dans sa vie personnelle. En effet, les deux sciences –qu’elles soient reconnues ou placées en « marge- offrent la perspective d’une évolution tant dans son rapport à soi que dans le rapport aux autres. La psychanalyse agit directement sur la partie inconsciente du cerveau, en la reliant notamment à la partie consciente. Ainsi, l’individu peut retrouver un contrôle sur sa personne et sur les différents plans de sa vie. En médecine douce, certaines formes d’hypnose pour la confiance de soi ou l’estime de soi interviennent également sur l’inconscient et permettent à la personne d’évoluer sur des points qui pouvaient la « bloquer ». La psychanalyse comme les médecines alternatives permettent à la personne de pouvoir se soigner de manière complète et entière, ouvrant ainsi la porte à une évolution dans l’avenir proche.
Permet de délier des blocages (inconscients) :
Plus précisément, les deux méthodes permettent de soigner également des « blocages », que ceux-ci soient psychologiques ou physiques. La psychanalyse se concentrera davantage sur ce qui se loge dans la partie inconsciente du cerveau. Les médecines alternatives, quant à elles, pourront se compléter afin de débloquer un trouble physique (ostéopathie, réflexologie, danse thérapeutique …) tout autant qu’émotionnel (sophrologie, hypnose d’estime de soi pour battre le syndrome de l’imposteur …) ou psychique (thérapie nutritionnelle, hypnose, méditation…). Mais les deux méthodes permettent sans aucun doute de se libérer de blocages conscients ou inconscients, ce qui permet également à la personne d’évoluer de façon plus sereine et apaisée.
Apporte une forme de paix :
Que votre choix et vos besoins se portent sur une thérapie alternative ou une psychanalyse perçue comme étant plus traditionnelle elles sont toutes les deux efficaces. Les deux méthodes apportent une forme de paix à la personne qui en fait l’expérience. Cette paix intérieure résulte de la sensation de bien-être qui se manifeste lorsqu’on se fait soigner. Que ce soit à travers un petit geste au quotidien d’hypnose contre le stress, d’une douleur, ou encore le fait de prendre soin de son mental ou de son corps, les médecines alternatives tout autant que la psychanalyse portent en elles de nombreux bienfaits.
Souffle de la vitalité :
La psychanalyse rend à l’individu une forme de conscience plus aiguisée et alerte. Ainsi, la personne sera plus apte à aborder différentes situations dans sa vie, sans pour autant que cela n’ait d’impact « négatif » ou contraignant dans sa vie. Les médecines alternatives vont souvent de pair avec une énergie (reiki, énergie du souffle en sophrologie, méditation…). Il est alors possible de ressentir comme un nouveau souffle de vitalité courir sous sa peau.
Les « pour » de la psychanalyse
- Entrevoir ses désirs et ses pensées inconscients ;
- Vaincre ses blocages pour vivre mieux ;
- Évoluer ;
- Se connaître en profondeur :
- Rééquilibrer le conscient et l’inconscient pour une meilleure gestion au quotidien ;
- Soigner de possibles troubles (névrose, psychose… etc.).
Les « pour » des médecines alternatives
- Soulager les symptômes qui dérangent ou sont douloureux ;
- Rééquilibrer les fonctions vitales ;
- Entretenir la vitalité ;
- Apporter des méthodes de gestion du stress ou de l’angoisse à reproduire seul (méditation, sophrologie… etc.) ;
- Apaiser le système nerveux de manière naturelle.
Les « contre » de la psychanalyse
Malgré les nombreux « pour » en vertu de la psychanalyse, beaucoup de personnes peuvent être réticentes, car il y a également des « contre ». Selon les individus, ils peuvent être rédhibitoires.
- Non reconnue comme science car aléatoire selon le sujet ;
- Se base sur le vécu d’un sujet, ce qui peut être critiqué par d’autres professionnels de la médecine mentale ;
- Sa place dans les sciences psychiatriques est remise en cause car elle reste une technique libre et subjective.
Les « contre » des médecines alternatives
Tout comme la psychanalyse, les médecines alternatives sont elles aussi critiquées. Voici les « contre » qu’elles présentent le plus souvent :
- Non reconnues comme sciences mais comme « pseudosciences » ;
- Présence d’arnaques et de charlatans (« sorciers », magnétiseurs… etc.) ;
- L’absence de prescription médicamenteuse renvoie à un manque de « sérieux », de « crédibilité » ;
- Possibilité de pratiques sectaires dans les consciences collectives.
En quelques mots…
La psychanalyse tout comme les médecines alternatives présentent à la fois de nombreux bienfaits, tout en étant aussi source de quelques réserves. Si certains sont convaincus de l’efficacité de ces méthodes, d’autres préfèrent n’y avoir recours qu’en complément d’une médecine plus « traditionnelle ».
Pourtant la psychanalyse tout autant que les médecines douces peuvent se révéler être de réels outils pour le bien-être et un « mieux-vivre ». Proposant moi-même des séances d’hypnothérapie à Paris pour combattre l’échec, gagner confiance en soi ou faire face à une phobie, je prends grand soin de faire attention à la personne venue pour se faire aider. Et ces deux méthodes ont justement une approche souvent plus bienveillante et entière que la médecine traditionnelle, car elles prennent en compte la totalité de la personne et de son être, de son passé, de son état, de ses sentiments… etc.
Mais le meilleur moyen, c’est encore d’expérimenter soi-même… Je vous propose d’ailleurs des séances d’hypnose à mon cabinet, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
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La réflexologie plantaire : explications et bienfaits
Existant depuis de nombreux siècles, la réflexologie plantaire permet de guérir et de prévenir différents troubles du corps humain. C’est une médecine alternative qui se base, comme son nom l’indique, sur les réflexes que le corps peut émettre lorsqu’il est sollicité. Cette médecine douce est depuis quelques années sous les feux des projecteurs, au même titre que la méditation ou la sophrologie. Mais alors qu’est-ce que la réflexologie plantaire exactement ? Quels bienfaits présente-t-elle ?
Origines de la réflexologie plantaire
Les premières origines de la réflexologie plantaire remonteraient à l’Antiquité. Cette technique manuelle de soins appartient aux médecines naturelles, dites aussi parallèles ou alternatives. Comme son nom l’indique, la réflexologie plantaire se concentre davantage sur les différents points des pieds, afin d’agir sur l’ensemble de l’organisme. À l’aide de points d’acupression et de massages, la réflexologie plantaire prend sa source directement dans l’art de la réflexologie.
La réflexologie plantaire, comment ça fonctionne ?
Bien plus qu’un massage des pieds, il y a, en réalité, différents points dans les pieds qui sont directement reliés aux organes ou à des fonctions du corps humain. Un toucher précis sur une des zones d’acupression permet de déterminer et percevoir un dysfonctionnement ou un trouble au niveau de l’un des organes ou encore des fonctions du corps humain.
Le travail du réflexologue permet de rétablir un équilibre dans le corps entier. En réflexologie, cet état est appelé homéostasie.
La réflexologie est un soin à part entière, qui permet de prévenir tout autant que de guérir certains déséquilibres liés au stress, à des problèmes familiaux ou encore à l’environnement dans lequel évolue le patient. C’est pourquoi il est important de bien communiquer sur sa situation pour que la réflexologie plantaire puisse être la plus efficace possible.
Les points importants en réflexologie plantaire
Parmi les points les plus importants de la réflexologie plantaire, l’on retrouve notamment :
- Sous le gros orteil : cet endroit correspond directement au cœur ;
- Sous les petits orteils : cette zone est directement en lien avec les poumons ;
- Sur l’extérieur du pied : c’est le point d’acupression en lien avec la rate ;
- Tout en bas, à la limite du talon : c’est le lien avec la vessie ;
- Sous le plat du pied : les réflexes plantaires relient cette zone avec l’estomac ;
- Au-dessous de l’estomac : le point d’acupression du pancréas prend place.
Ces zones sont présentes sur les deux pieds, en totale symétrie. Il y a également des points d’acupression qui ne se présentent que sur l’un des deux pieds. De même, le pied gauche et le pied droit sont chacun reliés aux conséquences des événements passés qui se sont déroulés en lien avec des figures féminines ou masculines.
Les bienfaits de la réflexologie plantaire
La pratique régulière –ou occasionnelle- de la réflexologie plantaire présente de nombreux bienfaits, aussi bien physiques que psychiques. Il est cependant important de noter que la réflexologie plantaire ne représente en aucun cas une manière de se soigner totalement. Elle peut, en revanche, venir s’ajouter à un traitement médical déjà engagé.
- Aide en cas d’inflammation : tendinite, dorsalgie, torticolis, sciatique, arthrose mineure…etc. ;
- Régule le système hormonal : puberté, ménopause, diabète non insulinodépendant, tout ce qui est lié à la thyroïde…etc. ;
- Apaise le système cardiovasculaire : en cas de tachycardie, d’œdème de stase, ou d’hypertension artérielle mineure ;
- Agit sur le système ORL : otite, sinusite, bronchite, asthme… ;
- Réduit les perturbations des organes des sens : vertiges, acouphènes, trouble oculomoteur ;
- Apaise les troubles récurrents : migraines, céphalées de tensions, stress, anxiété ;
- Diminue les irrégularités de la peau : eczéma, acné, psoriasis.
Il est aussi à noter que la réflexologie plantaire nécessite parfois plusieurs séances consécutives mais espacées afin de venir à bout d’un trouble dans le corps.
De manière plus générale, la réflexologie plantaire permet de :
- Apaiser les tensions présentes dans le corps ;
- Délier les tensions nerveuses ;
- Soulager les tensions du dos ;
- Améliorer la circulation sanguine de manière générale ;
- Entraîner un état de détente et de sérénité ;
- Activer le système lymphatique dans le corps ;
- Décontracter les muscles et soulager les courbatures.
Et les bienfaits peuvent également être psychiques :
- Libérer du stress ;
- Soulager les tensions qui peuvent être présentes ;
- Apporter une décontraction mentale grâce à un moment de bien-être ;
- Permettre d’évacuer les émotions négatives en « nettoyant » le corps des émotions négatives et destructives.
Y a-t-il des contre indications ?
Bien qu’il s’agisse d’une médecine douce, la réflexologie plantaire peut toutefois présenter quelques contre indications. Le massage réflexologique s’effectuant sur les pieds, en cas de blessure au pied, il vaut mieux éviter d’avoir recours à cette alternative. Pour les personnes ayant une entorse, une thrombose, des soucis de circulation tels que la phlébite, il est recommandé d’éviter les séances de réflexologie.
Dans le cas où votre réflexologue vous suit depuis longtemps, et que vous souhaitez tout de même y aller, il est d’autant plus important de tout lui dire avant le début de la séance. Et pour cause, les séances peuvent s’avérer plus ou moins intenses selon les sensibilités des personnes.
Enfin, les femmes enceintes ne peuvent pas avoir recours à la réflexologie. Tout au moins, cela est très déconseillé, car la pratique réflexologique pourrait déclencher une fausse couche.
En quelques mots…
La réflexologie plantaire est une pratique douce et alternative à la médecine traditionnelle. Existant depuis l’Antiquité, elle permet de réguler les troubles que le corps subit parfois pour x ou y raisons. Les pieds recèlent de secrets, et les réflexologues vous les révèlent avec douceur et bienveillance. En permettant de ne pas contaminer le corps entier en déliant les fonctions du corps humain via les pieds.
S’il y a quelques contre indications, la réflexologie plantaire couvre cependant un grand nombre de maux, qu’ils soient psychiques ou physiques. Elle porte dans sa pratique de nombreux bienfaits pour les personnes qui ont recours à elle.
Prendre soin de soi est essentiel. Personne ne le fera à votre place, aussi il est important de pouvoir identifier ses besoins afin de les combler. Avoir recours à des médecines douces est souvent une première étape vers le bien-être total. Vous pensez à vous, et vous acceptez de prendre du temps pour vous. Et c’est plus que conseillé !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (comme le drainage lymphatique). Je serais ravie de contribuer à votre bien-être et de vous apporter mon aide dans la libération de certaines habitudes nocives.
Si vous souhaitez prendre rendez-vous, vous pouvez le faire sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et pour aller plus loin dans le bien-être, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de se (re)découvrir. Loin des soucis du quotidien et du tracas qu’il peut causer, prenez le temps de souffler et de vous apprendre en étant au plus proche de la nature.
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Sororité : phénomène de mode ou réelle conviction ?
Depuis le #MeToo, le féminisme prend une place de plus en plus importante dans la société. Les femmes se serrent plus les coudes, se soutiennent, s’encouragent et luttent ensemble contre tout un système patriarcal existant depuis des siècles. Réclamant l’égalité des sexes, le féminisme ne cesse d’évoluer pour s’adapter aux inégalités qui persistent. Depuis quelques années, c’est en particulier le concept de sororité qui semble interpeller la plupart des gens. Alors est-ce une réelle conviction, ou simplement une mode éphémère ?
Petite histoire de la sororité
Le terme sororité vient de « soror » qui veut dire sœur, cousine en latin. Selon le contexte, le mot « soror » peut également se traduire par compagne, semblable, pareille. Il y a donc une forte notion de lien voire d’égalité dans le mot sororité. Et ça tombe bien, car c’est exactement ce que traduit ce concept !
La sororité, de nos jours, désigne en effet une attitude de solidarité féminine. La sororité est le fait de s’entraider entre femmes. Bien souvent, le terme de sororité est placé en opposition avec celui de fraternité, à tort.
Si le terme n’éclot que dans les années 1970, le concept, quant à lui, date d’il y a plusieurs siècles. C’est ainsi que l’on pouvait observer, au Moyen-Âge, des communautés entières de femmes placées sous l’autorité des hommes. Elles pouvaient se transmettre le savoir entre elles et apprendre dans des lieux sécurisés. Ces espaces étaient en premier lieu réservés aux femmes très religieuses.
Un peu plus tard, ce sont « Les Béguines » qui instaurent elles aussi ce modèle de communauté dite « non-mixte ». Souvent veuves, elles tentent avant tout d’échapper au remariage que la société moyenâgeuse et les familles imposent. Dans ces communautés, elles sont libres. Elles bâtissent leur maison, vivent ensemble, cultivent leur potager, apprennent à la bibliothèque et vivent en connaissant une émancipation totale.
Depuis les années 2000, le terme revient en force. La sororité est désormais le cri de ralliement pour toutes les femmes qui ont été oubliées lors de la création de la Constitution. Droits des Hommes, fraternité… les femmes ont dû se battre pour acquérir leurs droits et les conserver. Aujourd’hui, pourtant, de nombreuses inégalités persistent. Récemment, c’est le droit à l’IVG qui est remis en cause aux États-Unis…
La sororité de nos jours
Lorsque l’on parle de sororité, aujourd’hui, cela va au-delà du féminisme. Il ne suffit pas de soutenir les femmes dans leur réussite ou leur échec, ni de les féliciter lorsqu’elles obtiennent –enfin- le job de leur rêve. La sororité, c’est ne faire plus qu’une avec toutes les autres femmes pour lutter contre le patriarcat. Car le système, qu’on le veuille ou non, a non seulement été créé par des hommes, mais aussi pour des hommes.
La sororité, c’est abolir les idées intériorisées à cause de ce système patriarcal. C’est pouvoir regarder une femme sans se sentir en rivalité avec elle. Plus simplement, il s’agit de se libérer du carcan patriarcal et de tout ce qu’il pense, exige, impose des femmes.
Comment ajouter de la sororité dans son quotidien ?
- Arrêter de se comparer aux autres : car il n’y a aucune compétition entre les femmes, la sororité prône le soutien plutôt que les rivalités.
- Se réjouir de la réussite des autres femmes : la société a tendance à mettre en avant celui qui réussit. Mais, et si on soutenait les femmes qui réussissent ? Quand elles doivent encore lutter pour être payées de la même manière que leurs homologues masculins et que le plafond de verre est difficile à briser… Cela ne nous empêche pas de briller également, bien au contraire, il y a assez de place pour toutes.
- Filtrer les critiques : avoir des opinions différentes, c’est une chose. Mais souvent, les femmes ont entre elles ce regard dur, presque méchant. S’en libérer permet d’apprendre les unes des autres et surtout, de se sentir davantage libre.
- S’entourer de femmes qui nous font du bien : la sororité, ce n’est pas aimer toutes les femmes – ce serait bien impossible. Mais s’entourer de femmes qui nous permettent de nous sentir mieux, d’évoluer, de progresser… ça fait toute la différence !
La sororité se traduit par des petites habitudes que l’on peut mettre en place au quotidien. L’objectif étant de valoriser les femmes dans différents aspects de la vie. À terme, cela permet de se libérer du regard masculin, de l’approbation des hommes –et donc de leur pouvoir-, et de se sentir plus libre.
Les limites de la sororité
Comme tout concept, la sororité présente elle aussi des limites. La discréditation est souvent associée au mouvement féministe et à la sororité. Car depuis le mouvement MeToo, si la parole se libère, les critiques aussi. Mais peut-être pas à tort…
En effet, la sororité, sur le papier, paraît être un très bon concept. Mais dans les faits, beaucoup de personnes n’y voient qu’un prétexte pour se faire remarquer, attirer l’attention ou encore un moyen non pas d’obtenir l’égalité avec les hommes, mais bien de les surpasser.
Cela pose notamment la question de savoir si la sororité est alors une réelle conviction, ou simplement un phénomène de mode. Après tout, les grandes marques de la société capitaliste n’hésitent pas à créer des t-shirt en revendiquant la sororité, tout comme certaines féministes présentent leur dernier livre en date.
La parole s’est-elle enfin suffisamment libérée pour pouvoir appréhender une nouvelle ère sociétale, dans laquelle les femmes seraient respectées, soutenues, et finalement, les égales des hommes ? Ou bien s’agit-il d’une tendance dans un monde superficiel, qui finira par se positionner dans un nouveau combat dans quelques semaines ?
Il est toujours fastidieux de démêler le vrai du faux, surtout quand il s’agit de concepts aussi récents sur lesquels nous n’avons pas vraiment de recul. Tout ce que l’on peut dire aujourd’hui, c’est que l’idée de la sororité est principalement reprise par les féministes et expliquée comme étant, non pas l’opposé de fraternité, mais bel et bien un ensemble permettant d’inclure les femmes dans les liens sociaux.
Adelphité is the new sororité ?
Plus récemment encore, le terme sororité s’est vu voler la vedette par celui de « adelphité ». Cette idée désigne un ensemble, une alliance non plus seulement des femmes, mais bel et bien de toutes les personnes minorisées, qui subissent encore des injustices. Terme beaucoup plus inclusif, il est souvent préféré dans le milieu féministe à sororité, car il permet de s’adresser également aux personnes non-binaires ou transgenres, et plus seulement aux femmes.
En quelques mots…
La sororité se veut un terme innovant, voire révolutionnaire. Toutefois, la question se pose de savoir ce qu’il représente vraiment et surtout, si cela n’est pas seulement un phénomène de mode. À travers l’histoire, les femmes ont prouvé qu’elles pouvaient bien s’extraire de la société patriarcale pour pouvoir s’émanciper et vivre en parfaite autonomie. Elles ont acquis de nombreux droits, mais il ne faut jamais oublier que ceux-ci peuvent nous être repris.
Le terme de sororité pourrait bien en effrayer certains et en laisser d’autres dubitatifs. Mais il est indéniable qu’au cours des dernières années, le mouvement féministe n’a cessé de croître et prendre de l’importance. Car au final, si les termes changent, le combat n’est-il pas toujours le même ?
Personnellement, je soutiens l’égalité des sexes. Mais peut-être que je ne me reconnais pas dans la sororité, du moins pas aussi pleinement que d’autres. Nous vivons tous des injustices à différents niveaux, et il faut y faire face, se soutenir, s’aimer, s’entraider quand c’est possible. Sans oublier pour autant qu’avant d’aider les autres, il faut s’aider soi-même.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris. Je propose différents soins, comme des séances d’hypnose ou encore des soins thérapeutiques pour le corps ou le visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, venez vivre l’expérience de quelques jours loin de tout tracas pour vous recentrer.
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L’IKIGAI, c’est quoi ?
Se lever chaque matin sans avoir aucun objectif à poursuivre paraît souvent difficile. En tout cas, bien plus difficile que de se lever et savoir exactement où l’on doit se rendre et dans quel but. Au Japon, cette force qui motive l’individu à se lever chaque matin porte un nom… l’ikigai. Plus qu’un concept philosophique, c’est une véritable façon de vivre. Alors qu’est-ce que l’ikigai exactement ? Comment l’expliquer quand il n’y a aucune traduction de cela en France ? Et surtout, comment trouver son propre ikigai ?
Les origines de l’IKIGAI
Le concept de l’ikigai trouve sa source au pays du soleil levant. Concept japonais n’ayant aucune traduction française, l’ikigai trouve son équivalent dans les termes « raison d’être » ou encore « joie de vivre ». L’ikigai se définit par ce qui donne du sens à la vie d’une personne.
Originaire d’Okinawa, une petite île du Japon aux habitants centenaires, l’art de vie de l’ikigai est né là-bas. Et pour cause, la longévité des habitants qui ne s’arrêtent jamais vraiment de travailler permet de les motiver suffisamment pour transmettre, partager, accomplir et être utile aux autres. Cela s’applique à tous les domaines de la vie, et à terme, l’ikigai permet de trouver équilibre et bonheur.
Mais en arrivant en Occident, le concept d’ikigai change légèrement de forme et ces notions de bonheur et d’équilibre s’appliquent davantage au monde du travail et au domaine professionnel de manière plus générale. Néanmoins, l’ikigai peut être applicable à tous les domaines possibles, puisque tout n’est finalement qu’une question d’équilibre.
Ainsi, l’ikigai est un concept qui peut se définir par le sentiment d’accomplissement que l’on ressent lorsque la passion et la motivation se réunissent dans un travail, une tâche fini(e). L’ikigai est souvent perçu comme une notion parmi d’autres, mais il représente en réalité un véritable idéal de vie !
Les quatre cadrans de l’IKIGAI
Afin de mieux comprendre ce qu’est l’ikigai, il existe un diagramme. Au centre, l’ikigai, formé à partir de quatre cercles qui se rencontrent en un point précis. L’ikigai est un équilibre qu’il faut alors trouver entre quatre notions distinctes mais complémentaires :
- Passion
- Mission
- Vocation
- Profession
Parmi ces quatre notions, il s’agit de trouver le moyen d’être une version de vous-même plus épanouie. Cela se passe à travers des équilibres qu’il faut percevoir et trouver entre les notions en elles-mêmes. Par exemple :
- Passion et mission: cela scinde ce que vous aimez faire. Une activité, une tâche… ça peut être tout ce qui vous fait vibrer, et que vous pourriez répéter tous les jours sans que cela ne vous lasse.
- Mission et vocation: ces deux notions ainsi regroupées représentent ce dont le monde a besoin à votre sens. Autrement dit, selon vous, de quoi a besoin le monde pour être rendu meilleur ?
- Vocation et profession: ce cercle qui regroupe ces deux notions permet de déterminer les activités pour lesquelles vous pourriez obtenir une rémunération tout en faisant une activité qui vous sied.
- Profession et passion: il s’agit ici d’identifier les domaines dans lesquelles vous êtes doué et avez du talent de façon innée. Car même si l’apprentissage dure toute la vie, il y a des choses que chacun maîtrise mieux que d’autres. Trouvez ces facilités naturelles, et faîtes-les devenir une partie de votre ikigai.
Dans chacun des cercles qui se forment concernant la quête de l’ikigai, il est important de se rappeler qu’il faut également prendre en compte l’absence de lassitude pour les activités ainsi que l’équilibre constant dont fait preuve l’ikigai.
Les incertitudes que peut créer l’IKIGAI
Selon les pratiquants de l’ikigai, l’équilibre est primordial. Et pour cause, entre tous les éléments de l’ikigai, il réside quelques zones de vide qui peuvent être le signe de crises existentielles. Et c’est notamment le cas pour plusieurs raisons.
Si vous exercez une profession qui est aussi une passion, mais qu’elle n’apporte rien au monde, alors l’équilibre n’est pas atteint. Dans ce cas précis, c’est l’incertitude qui peut apparaître, et remettre à son tour tout en question.
Dans un autre cas, vous pouvez exercer une activité qui vous passionne pleinement et qui parvient à avoir un impact pour le monde. Toutefois, le bonheur risque d’être absent si cette activité vous positionne dans la précarité.
Autre exemple possible, si la vocation que vous suivez apporte une réelle contribution au monde. Mais il s’avère que cette vocation n’est peut-être pas la vôtre… là encore, l’incertitude peut s’en mêler et empêcher ou retarder le sentiment de bonheur.
Enfin, dernier cas de figure, c’est si vous exercez une profession qui est source de revenu et permet de contribuer au reste du monde, mais que cela n’est pas votre passion, ni même une vocation. Le cœur n’y est alors pas vraiment, et alors le bonheur non plus.
La recherche de l’ikigai est alors une réelle nécessité, une étape importante pour pouvoir être épanoui et heureux. L’équilibre qu’il implique demande une vraie réflexion, des expériences, des tests, et bien souvent d’étendre sa zone de confort à des domaines insoupçonnés.
Comment trouver son ikigai ?
Activer la brillance :
Dans le livre sur l’ikigai, activer sa brillance consiste à trouver les activités pour lesquelles vous êtes douée. Plus encore, il s’agit d’une activité pour laquelle vous avez des compétences ou un don, et grâce à laquelle vous ressentez du plaisir et de la motivation. Cet exercice peut alors se réaliser en se munissant d’une feuille et d’un stylo, et en faisant la liste des trois qualités qui priment chez vous selon votre entourage (ils ont souvent un regard plus objectif). Une fois que vous aurez ces trois qualités qui vous caractérisent vraiment, il sera plus aisé de vous orienter vers un secteur d’activité notamment.
Le rêve d’enfant :
Qui a dit qu’il fallait sous-estimer les rêves d’enfants ? Bien souvent, retrouver son rêve d’enfant est une grande aide pour trouver son ikigai. Et pour cause, lorsque l’on est enfant, il est possible de vivre l’ikigai sans même en avoir conscience. C’est en effet une période où le bonheur se trouve à tous les coins de rue, et où l’anxiété et le monde professionnel n’existent pas encore. Laissez votre esprit retracer les sentiers du passé, vous rappeler tout ce qui vous passionnait et ce qui vous faisait vibrer.
Sur une feuille avec un stylo, écrivez ensuite les cinq premières passions et sources de bonheur de votre enfance (jardiner, lire, jouer, chanter, s’envoler…). Une fois les cinq passions trouvées, interrogez-vous sur ce qu’elles provoquent en vous maintenant que vous êtes adulte. Il est essentiel de déterminer à quel point vous avez changé, pour comprendre ensuite si vous pouvez intégrer ces notions du passé dans un futur proche (et heureux !).
Dialoguer avec la jalousie :
Si on préfèrerait ne jamais éprouver ce sentiment sournois, il existe pourtant bel et bien. Munissez-vous d’une feuille et d’un stylo, et notez d’abord les trois motifs/ raisons qui provoquent de la jalousie chez vous. Il n’y a aucune honte à écrire cela, ne vous censurez pas !
Dans une autre colonne, écrivez ensuite quels sont les désirs sous-jacents à cette jalousie. Quel est donc ce désir qui s’habille aux couleurs de la jalousie ? Enfin, une troisième colonne permettra de réfléchir et de noter les démarches qui vous permettront d’atteindre les désirs cités avant.
En quelques mots…
L’ikigai est un art de vie qui peut apporter dans son sillage de l’harmonie et du bonheur. Toutefois, il est très délicat de l’atteindre, puisqu’il repose sur un équilibre très fin. Chaque déséquilibre peut conduire l’individu vers une crise existentielle. Heureusement, il existe différents exercices qui permettent d’identifier son ikigai et de l’atteindre ensuite.
Et vous, pensez-vous avoir atteint votre ikigai ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose et des soins thérapeutiques pour le corps et le visage – et je pense avoir trouvé mon ikigai à travers cette profession magnifique qui vient en aide aux gens !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis, cela peut également bénéficier à celles qui recherchent leur ikigai, ou tout simplement à se ressourcer.
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Faire face à l’échec pour repartir plus forte !
« L’échec est juste une étape de plus vers la réussite ». Combien de fois cette phrase a-t-elle été lue, entendue, prononcée ? Pourtant, face à l’échec, chaque personne a sa propre façon de réagir. De digérer, de rebondir ensuite, de s’en servir ou pas… Et si les philosophies de vies sont toutes différentes, personne n’est pour autant à l’abri d’une situation d’échec. Mais l’échec en est-il vraiment un ? Et comment y faire face malgré ses émotions pour repartir plus forte ensuite ?
Qu’est-ce que l’échec ?
On ne parle pas de roi et de reine ici, bien que les échecs ont certainement pu les concerner à une autre époque. Selon Le Robert, l’échec, dans son sens figuré, est le « fait de ne pas réussir, ne pas obtenir quelque chose ». Autrement dit, c’est une expérience vécue qui se solde par un résultat négatif pour la personne qui la vit.
Il y a dans la vie toutes sortes d’échecs. Professionnel, financier, amical, familial, amoureux, moral, physique, sportif…etc. En somme, l’échec peut s’appliquer à tous les domaines de la vie, et malheureusement, il n’épargne personne.
Pour autant, tous les échecs ne sont pas vraiment négatifs –n’en déplaise au Robert ! Et s’il suffisait d’appréhender différemment les choses pour en tirer tout le potentiel positif possible ?
Apprivoiser l’échec
« L’échec est le fondement de la réussite »
Lao Tseu
L’échec n’est jamais, jamais, facile à encaisser. Suite à un échec, les émotions « négatives » se succèdent et s’acharnent. Découragement, colère, stress, tristesse, anxiété… rien n’est simple. L’on perd l’objectif sur lequel on s’était concentré depuis quelques temps, et tout autour semble ne plus avoir d’importance. N’hésitez pas à aller voir comment diminuer le stress par de petits gestes au quotidien.
Tout cela est naturel.
Le retour à la brusque réalité peut faire très mal, mais malgré ce coup dur, rien n’est impossible. Alors comment apprivoiser l’échec pour qu’il ne soit plus ressenti comme un désastre intérieur mais une motivation supplémentaire ?
Analyser l’échec pour le comprendre :
Dans un premier temps, il est important d’analyser l’échec et ses causes. Pourquoi cela n’a-t-il pas eu le résultat escompté ? Attention toutefois, il ne s’agit en aucun cas de trouver un coupable (vous ou autrui) à blâmer. Bien au contraire, il s’agit de récapituler les événements et de trouver le moment où l’échec a pu s’infiltrer par une brèche. N’oubliez pas non plus que parfois, les choses arrivent simplement sans aucun fautif à punir. Mais c’est loin d’être négatif ; tout dépend de ce que vous décidez de faire ensuite !
Laisser le temps au temps :
Une fois confronté à la vérité de l’échec, laissez-vous le temps de digérer la situation. S’il est recommandé de remonter en selle après une chute de cheval, rien ne vous empêche de prendre du temps pour vous au préalable. De vous recentrer sur vous-même, non pas pour fuir mais pour digérer l’échec. Ce n’est qu’en étant totalement sereine, que vous pourrez vous investir entièrement dans un nouveau projet (et éviter le syndrome de l’imposteur avec de l’hypnose d’estime de soi !)
Retrouvez vos appuis et repères :
L’échec fait toujours grincer des dents. Alors pour ne pas perdre votre estime de vous ni votre confiance en vous –qui est si dure à acquérir…-, il est important de vous recentrer. Voyez vos amis, continuez votre vie non pas dans un déni confortable mais bel et bien dans une conscience de tout ce qui vous entoure. Vos amis et votre famille sont présents pour vous aider –vous aimer- et la vie continue. L’échec n’arrête pas le temps, il permet juste de faire le point.
Utiliser l’échec
Une fois que vous avez apprivoisé l’échec, il ne vous reste plus qu’à l’utiliser pour continuer d’avancer dans vos projets.
Tirer des enseignements de l’échec :
En tirant des enseignements de l’échec que vous avez vécu, vous pourrez consolidez ainsi vos compétences et vos savoirs pour le prochain projet que vous aurez. Le fait d’apprivoiser l’échec vous aide à la comprendre, mais en tirer des leçons vous aide à vous comprendre.
« La seule vraie erreur est celle à partir de laquelle nous n’apprenons rien »
Henry Ford
Alors n’ayez pas peur, apprenez de vos échecs comme de vos réussites et comprenez-vous toujours mieux. Au cours de sa vie, on est tous amené à changer ; alors comment nos objectifs et nos manières de vivre pourraient-elles demeurer les mêmes ?
Faire de l’échec une motivation :
L’échec est souvent perçu comme un frein. Mais il ne tient qu’à vous de le faire éclore en véritable petite fleure motivante ! L’échec est dur à encaisser et difficile à faire face. Mais il peut être une réelle source de motivation également. Persévérance, défi, motivation, optimisme… peu importe quelle est votre carburant. L’important est de trouver par quel moyen cet échec deviendra une ouverture motivante pour votre réussite !
Trouver un rythme qui convient :
L’échec peut prendre plusieurs rythmes différents pour être pleinement « digéré ». Et cette étape est essentielle ! Sans elle, l’échec deviendrait simplement source de rancœur et de rage ; si elles font un bon outil pour avancer, elles ne demeurent pas des émotions éphémères et surtout de mauvaises raisons pour se lancer dans un nouveau projet. Trouver un rythme qui vous convient, c’est aussi faire preuve d’écoute et de bienveillance envers vous-même. Ainsi, le retour vers un nouvel objectif est accompagné des plus belles compagnes !
En apprendre plus sur soi :
Cela peut sembler étonnant, mais votre réaction à l’échec vous en apprend beaucoup sur vous. Alors n’hésitez pas à creuser cela ! Cela peut aussi être une aubaine pour apprendre à se connaître à travers son propre regard et pas celui du groupe. Cela vous donnera des clefs supplémentaires pour le prochain projet, et plus généralement, au quotidien !
Ouvrir son horizon et agrandir ses perspectives !
Faire face à l’échec, c’est aussi prendre conscience de beaucoup de choses. Après tout, si une expérience se solde par un échec, n’est-ce pas également le signe que toutes les autres sont à tenter ? Cela laisse un champ des possibles assez large pour pouvoir expérimenter de nouveau.
Il ne s’agit évidemment pas de tomber dans un enchaînement de situations voués à l’échec. Plus simplement, c’est l’idée de se dire, en pleine conscience de l’échec vécu, que finalement, il s’agit plus d’un réalignement à opérer que d’un échec à essuyer.
En analysant au préalable les raisons qui ont menées à l’échec, cela permet également d’avoir une vision d’ensemble. Celle-ci est notamment utile pour tout nouveau projet : vous parviendrez à anticiper suffisamment et serez ainsi mieux préparé.
Ouvrir ses horizons et agrandir ses perspectives, c’est l’un des nombreux moyens qui permettent de progresser. Et parce que parfois la vie est imprévisible et amusante, l’avenir pourrait bien vous réserver de nombreuses surprises ! Ce que vous ne pensiez même envisageable il y a quelques mois pourrait devenir votre nouveau projet…
En quelques mots…
L’échec est souvent perçu comme, eh bien, un échec. Pourtant, il y a mille et une façons de faire de l’échec une motivation, un outil, une leçon. Et s’il est souvent perçu comme une bête noire qu’il faut à tout prix éviter de croiser dans sa vie, c’est faux ! L’échec est un des nombreux moyens existant qui permette de progresser, de se connaître mieux et d’évoluer.
Toutefois, certains échecs sont plus difficiles que d’autres. C’est pourquoi il est important de prendre du temps pour se recentrer avant de se lancer dans un nouveau projet ; le but n’est pas de se noyer, mais bel et bien de progresser !
Si vous avez besoin de pistes, je vous invite également à aller lire comment retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation. Cela pourra également vous aider à reprendre confiance en vous et accomplir ensuite tout ce que vous voulez !
Comme tout le monde, j’ai connu mes échecs. Je les ai traversés plus ou moins facilement pour toujours apprendre et progresser. Et j’ai réussi. Ça a été difficile et long parfois, mais il suffit de trouver comment l’on fonctionne.
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps (drainage lymphatique).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être. Au plus porche de la nature, ces séjours permettent de se (re)découvrir et d’en apprendre plus sur soi. Loin des tracas du quotidien, il s’agit de se concentrer sur soi.
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L’indépendance, une nécessité ?
L’indépendance est une notion de plus en plus recherchée dans notre société. Que ce soit au niveau du travail, des relations personnelles ou bien des responsabilités qui nous incombent, l’indépendance reste l’une des portes menant à une forme de liberté. Lorsque les liens sociaux sont mis en avant, lorsque l’humain est au cœur de tant de formules de bien-être, alors pourquoi semble-t-elle autant importer ? Qu’est-ce qui rend l’indépendance si attirante ? Et enfin, l’indépendance est-elle une nécessité dans nos vies ou un fardeau solitaire ?
Comment définir l’indépendance ?
L’indépendance est délicate à définir. La formule principale voudrait que l’indépendance soit l’état d’une personne n’étant tributaire d’aucun individu « sur le plan matériel, moral, intellectuel » (selon le Larousse). Autrement dit, lorsque l’on parle d’une personne indépendante, il s’agit de désigner que ladite personne ne dépend de rien ni de personne sinon d’elle-même.
Toutefois, la question se pose de savoir si une indépendance totale serait finalement une nécessité, un besoin ou tout simplement l’expression d’envies ponctuelles dans la vie de certaines personnes. Sachant que l’indépendance peut également être émotionnelle, financière…etc. et s’appliquer à tous les domaines et aspects de la vie d’un individu.
Les différentes formes d’indépendance
L’indépendance matérielle : l’indépendance financière peut se retrouver chez une personne ayant son propre logement, par exemple. En d’autres mots, un individu en situation d’indépendance matérielle est une personne qui ne dépend pas d’autrui pour subvenir à ses besoins matériels, quels qu’ils soient.
L’indépendance financière : souvent associée à l’indépendance matérielle, cela concerne surtout la question (si taboue en France…) de l’argent. L’indépendance financière permet de subvenir seul.e à ses besoins, quels qu’ils soient. Si il y a encore quelques décennies, le mari subvenait aux besoins de la famille entière, ce temps semble désormais révolu. Aujourd’hui, les femmes subviennent à leurs besoins seules et sont de plus en plus indépendantes –et pas seulement financièrement ! En effet, de plus en plus de femmes décident de se mettre à son compte avec de l’hypnose pour gérer le stress que cela entraine.
Indépendance intellectuelle/ morale : l’indépendance morale ou intellectuelle se rapporte directement aux valeurs auxquelles chacun peut prétendre répondre. L’indépendance intellectuelle, c’est avoir des convictions que l’on a cultivé soi-même, et qui guide aussi les choix et les actes que l’on peut faire. Plus encore, l’indépendance intellectuelle ou morale, c’est avoir la liberté d’agir et de choisir sans dépendre des obligations d’autrui, des attentes de la société…etc.
Indépendance émotionnelle : l’indépendance émotionnelle est encore méconnue. Elle s’oppose à tous les soucis relationnels concernant la dépendance affective et toutes les déviances que cela engendre. L’indépendance émotionnelle est, par définition le fait de ne dépendre que de soi pour toutes les émotions qui nous traversent. Et par extension, il s’agit de prendre la totale responsabilité des émotions que l’on éprouve, quelles qu’elles soient.
Y a-t-il des « mauvais côtés » à l’indépendance ?
Si l’indépendance est souvent valorisée dans notre société, il peut néanmoins y avoir quelques « désavantages » à celle-ci. En effet, l’indépendance, si elle mène à l’une des formes de la liberté qu’il est possible de caresser de temps en temps, elle reste parfois pesante. Et pour cause, l’indépendance conduit l’individu qui l’est à se suffire à lui-même. Cela mène parfois à :
- Un isolement inconscient : en n’ayant besoin de personne, l’on peut parfois avoir tendance à se contenter de sa propre compagnie ;
- Repli sur soi: se suffire à soi-même sans travailler sa curiosité du monde ou des gens conduit souvent à un repli sur soi assez sévère ;
- Une vie solitaire : de même, la solitude peut prendre beaucoup de place dans la vie, elle-même conduisant à certains symptômes de dépression ;
- Ne plus avoir envie/ besoin de famille, d’amis… : enfin, ce qui est lié à une indépendance totale et complète, c’est de couper les liens avec les autres. Parfois, l’affection ne suffit pas et les personnes indépendantes ne recherchent que des choses éphémères. De nos jours, de nombreuses femmes font le choix de rester célibataire à vie sans jugement avec l’aide de l’hypnose thérapie à Paris;
- Une peur de perdre cette indépendance : une fois que l’on goûte un bon gâteau, il est parfois difficile de se contenter de l’imitation industrielle dénuée de saveurs, n’est-ce pas ?
Ainsi, si les effets néfastes de l’indépendance ne ressortent pas tout de suite ni même de façon systématique, ils peuvent tout de même exister. Ils sont en grande partie reliés directement avec différentes formes de solitude. Mais tout le monde ne réagissant pas de la même façon à celle-ci, il se peut qu’il y ait des effets plus graves, comme des troubles anxieux ou de la dépression.
L’indépendance, une question d’équilibre ?
L’indépendance mène à la liberté.
Si cette phrase peut être nuancée de nombreuses façons, l’indépendance est et demeurera l’un des chemins les plus directs pour rejoindre la liberté. En philosophie, la liberté se traduit comme une absence de contrainte, l’état d’une personne qui agit comme bon lui semble. Mais très rapidement, cette définition trouve ses limites. Après tout « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres », non ?
Si l’indépendance mène à la liberté, il est important de garder en tête que les limites de la liberté se retrouvent rapidement dans notre société. Ainsi, les deux notions, si elles sont inévitablement liées, se distinguent toutefois de manière précise.
L’indépendance est différente de l’autonomie.
Par ailleurs, d’aucuns pensent que l’autonomie et l’indépendance sont synonymes l’une de l’autre. Pourtant, l’autonomie répond au fait de ne pas suivre les règles d’une autre personne que soi. Et l’indépendance est ce qui mène à une autonomie totale. Mais l’autonomie ne semble pas reprendre les « désavantages » que présente l’indépendance. Faudrait-il alors être autonome sans posséder une indépendance totale ?
Si certains distinguent les deux termes, c’est certainement pour mieux les comprendre dans un premier temps. Car finalement, ils sont indubitablement liés et ne peuvent exister l’un sans l’autre.
Une question d’équilibre ?
L’indépendance est-elle une nécessité ? Pour certaines personnes, elle est vitale. Car être indépendant (financièrement, matériellement, intellectuellement, émotionnellement…), c’est pouvoir agir en son âme en conscience. Faut-il pour autant se détacher de tout lien social ?
Non, car l’indépendance est une clé puissante que vous garderez pour toujours avec vous. Elle vous ouvrira les portes de liens que vous ne pouviez même pas imaginer, vous conduira dans des voyages merveilleux, rendra la vie plus douce et à la fois plus colorée.
Car comme pour beaucoup de choses dans la vie, tout n’est qu’une question d’équilibre. Parvenir à être indépendant n’est pas une mauvaise chose en soi, tout comme il n’est pas foncièrement mauvais de demander de l’aide lorsqu’on en ressent le besoin. Avoir une connexion sociale, pouvoir se connecter aux personnes avec de l’hypnose à Paris est une bonne chose. La question de l’équilibre se pose d’ailleurs selon les besoins et les envies de chacun. L’équilibre passe à travers des habitudes, des tendances, des besoins, des loisirs, et surtout : un bien-être. Et il n’est pas à négliger !
Indépendance et bien-être
Finalement, tout cela est pour souligner l’importance de l’indépendance pour le bien-être. Que celui-ci soit physique, émotionnel ou mental, l’indépendance fournit toujours une corde supplémentaire à chaque arc. Votre bien-être ne dépend que de vous, et l’indépendance vous permet de l’atteindre plus facilement, justement car vous en êtes le levier principal. Apprenez à vous connaitre avec de l’hypnose pour la confiance en soi pour vous faire plaisir !
Plus besoin de dépendre d’autrui ou des normes sociétales souvent biaisés par le Dieu Argent ou Productivité. Vous pouvez tout faire ! Faire le tour du monde sur le dos d’une Harley Davidson ? Possible ! Partir en mer pour une durée indéterminée en ne se fiant qu’aux étoiles ? Dangereux, mais possible ! Tout ce qui compte, c’est vous et votre bonheur. Il est temps de s’avancer sur ce chemin et d’ouvrir votre cœur au bien-être que tout le monde mérite…
Pour conclure…
S’il fallait peindre l’indépendance, elle serait un oiseau.
L’autonomie en serait un nuage, qui ne répond à rien sinon à lui-même.
Et la liberté serait le joli coucher de soleil dans le fond.
Car finalement, toutes ces notions ne se font jamais ressentir en même temps. Vous êtes libre de commander le café que vous voulez à la terrasse du coin. Vous êtes autonome même en dépendant des transports en commun, ou en étant locataire. Enfin, vous êtes indépendant y compris lorsque vous avez besoin de voir vos amis ou votre famille. Vous êtes simplement libre d’établir votre propre définition de tout cela, et de vivre selon elle.
L’indépendance n’est pas une totale nécessité. Elle peut se faire ressentir lorsqu’un besoin sous-jacent de jouir de plus de liberté se fait lui-même ressentir. Mais on peut vivre en dépendant de petits gestes du quotidien. Vous vivez la vie que vous construisez vous-même !
J’ai moi-même fait le choix de l’indépendance matérielle et professionnelle, il y a quelques années. Et quel bonheur de ne plus dépendre d’autrui ! Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris qui vous apprends à vous connaitre. Je propose des séances d’hypnose ou de soins pour le corps et le visage (comme le drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de (re)découvrir pleinement. Loin du quotidien et au plus proche de la nature, la liberté vous tend ses bras pour quelques jours.
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Le printemps ou la saison de l’amour… de soi !
Le printemps est depuis toujours vu comme la saison de l’amour. La littérature le voit comme la saison la plus romantique de l’année, la philosophie en fait la muse de la découverte de soi et la culture populaire, une prémisse de l’été. Et si finalement, le printemps n’était rien d’autre que la saison de l’amour… de soi !
Saison universelle de l’amour
Depuis toujours, le printemps est perçu comme la saison de l’amour. Et pour cause, la nature se réveille doucement et les animaux du monde entier se reproduisent. Mais le printemps est également la saison de la colère et de la mise en place. L’énergie autour de nous semble bouillonnante et l’on se sent facilement motivé pour entamer de nouveaux projets.
Outre cela, chez beaucoup de personnes, le désir de se mettre en couple se ressent rapidement avec la venue du printemps. Les balades, les cafés en terrasse, les visites de musées ou celles de vieux monuments sont toujours plus agréables lorsqu’on les partage avec une personne aimée. Et l’amour peut prendre une multitude de formes différentes.
Mais, et si cette année, les choses changeaient ? Si vous décidiez de reporter vos désirs d’amour… sur vous-même ?
Et si on cultivait l’amour de soi ?
Les amours d’une vie sont toutes différentes. Pourtant, il y en a un qui peut aisément s’oublier sans pourtant jamais disparaître : l’amour de soi. Et c’est aussi ce pour quoi il est important de le cultiver. À tout âge et à toute époque de sa vie, l’amour de soi est le seul qu’il est possible de ne jamais perdre de vue pour peu qu’on le chérisse.
Mais alors qu’est-ce que l’amour de soi ?
L’amour de soi se définit par le « fait d’accepter et d’apprécier la personne que l’on est » selon l’Internaute. Autrement dit, c’est le fait de s’accepter entièrement et cela s’acquiert en général à terme d’un travail sur soi important, en apprenant à se connaitre grâce à une hypnothérapeute à Paris. Par ailleurs, l’amour de soi est essentiel dans l’équilibre personnel, puisqu’il suppose une indépendance affective et une autonomie émotionnelle. C’est grâce à l’amour de soi que l’on peut agir de manière efficace pour son propre bien-être.
S’aimer au printemps
S’aimer au printemps n’est finalement pas si différent que s’aimer durant les autres périodes de l’année. Et pour cause, s’aimer au printemps, c’est finalement accepter qu’avec cette nouvelle saison, une nouvelle partie de notre vie débute.
Si le printemps est la saison de la colère dans la médecine chinoise, elle peut également être l’amorce d’un nouveau chapitre dans le livre de la vie. Et pour cause, le printemps est avant tout la saison du renouveau ! C’est donc l’occasion de faire le bilan des saisons dernières et d’entamer une nouvelle danse sur un sol de fleurs tout juste écloses !
Comment cultiver l’amour de soi ?
L’amour de soi passe par différentes formes et divers exercices. Il est d’ailleurs possible de les appliquer au quotidien. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
Être bienveillant envers soi-même : la première étape pour cultiver l’amour de soi, c’est d’apprendre à être bienveillant envers soi en toutes circonstances. Que cela soit dans une situation de succès ou d’échec, il est important de ne pas se juger. On ne se condamne pas pour ses faiblesses, on ne se dénigre pas devant une erreur ; vous êtes un être humain et vous méritez le respect et la compréhension.
Prendre soin de sa santé (mentale, physique, émotionnelle) : cela se traduit à travers le fait de ne pas hésiter à se faire passer en priorité lorsque vous en ressentez le besoin. Refuser une sortie au bar parce que vous avez besoin de vous retrouver seul.e pour vous détendre et vous ressourcer, c’est tout à fait légitime. En effet, se reposer est primordial, dormir grâce à une séance d’hypnose réduit les AVC.
Prendre soin de sa santé mentale et physique, finalement, c’est écouter vos besoins et prendre soin de votre corps et de votre esprit.
Accepter qui l’on est : cela peut parfois paraître difficile voire insurmontable. Pourtant, s’accepter tel que nous sommes est encore le meilleur moyen de vivre sereinement. Car s’accepter, c’est ne plus donner –autant- de crédit à ce que peuvent penser les gens. C’est suivre de l’hypnose pour la confiance en soi à Paris pour croire en soi après l’acné, par exemple. S’accepter, c’est ne dépendre que de l’avis que l’on construit sur soi-même, et surtout, être en paix avec soi-même !
Entretenir son estime et soigner son ego : l’estime de soi, c’est la valeur que vous vous accordez. L’entretenir est alors le meilleur moyen de trouver une certaine indépendance en plus d’une totale liberté dans votre vie. Vous vous savez capable de tout faire puisque vous vous connaissez ! De même, soigner son ego permet de ne pas se sentir au-dessus de quelconque autre personne et donc, de trouver simplement votre place. Que celle-ci soit au cœur de différents cercles sociaux mais surtout avec vous-même.
Savoir se pardonner : savoir se pardonner est peut-être l’une des étapes les plus longues pour cultiver l’amour de soi. Et pour cause, si on accorde plus ou moins facilement son pardon aux autres, il est beaucoup plus délicat de se l’octroyer à soi-même. Une fois pardonné, vous vous sentirez néanmoins beaucoup plus léger/ légère et apte à vivre plus sereinement.
S’aimer soi-même, est-ce aimer les autres ?
Cultiver l’amour de soi, c’est parfois également cultiver l’amour des autres et celui pour son entourage. En effet, l’amour de soi est une des formes de l’amour qui permet d’en englober plusieurs autres. On nous a souvent répété qu’il faut s’aimer soi-même avant d’aimer les autres, c’est pour cette raison que beaucoup de femmes décident de rester célibataire à vie sans jugement grâce à l’hypnose comme thérapie à Paris. Mais est-ce que l’un empêche vraiment l’autre de se produire ? Et s’il était possible qu’aimer les autres puisse nous aider à nous aimer nous-mêmes ?
Sous les couches froides et dures de l’hiver, l’amour des autres peut être un véritable réconfort. Faut-il alors stopper ces amours au profit d’un printemps éclairé sur votre personne ? Peut-être tout est-il finalement question d’équilibre. Aimer les autres, leur apporter du réconfort, de la distraction, du soutien ou des fleurs –après tout c’est le printemps !- tout cela peut encourager l’amour de soi aussi.
« Un mot aimable est comme le printemps »
Proverbe russe
Finalement, l’amour, sous toutes ses formes délicates et précieuses, n’est-il pas le meilleur des moteurs pour se dépasser ? Pour se découvrir ? Et pour tenter, jour après jour, de trouver l’équilibre parfois fragile qui nous rendra heureux ?
En quelques mots…
Cultiver l’amour de soi est délicatement fastidieux. Certains jours seront d’ailleurs plus simples que d’autres. Et si le printemps est souvent perçu comme étant la saison de la colère, il est également propice à de nombreux changements. Alors pourquoi ne pas commencer à croire en vous et à vous aimer ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. J’y propose d’ailleurs des séances d’hypnose tout comme des soins du corps, comme le drainage lymphatique Renata Franca ou le drainage du visage.
Il est possible de prendre rendez-vous directement via Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir loin des routines et tracas du quotidien.
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Le printemps, saison du renouveau !
Etymologiquement, le printemps, du latin « primus tempus », signifie « premier temps », « commencement », « début ». Symboliquement, le printemps est donc une saison de renouveau. Et pour cause, au-delà de l’être humain, c’est toute la nature dans sa globalité qui prend vie. Les bourgeons éclosent, les arbres s’offrent une toute nouvelle garde-robe de feuillages, et certains animaux sortent de l’hibernation quand d’autres s’accouplent déjà. Le cycle de la vie continue, et la vie revient en beauté ! Alors comment se traduit ce renouveau dans la culture populaire ?
Le printemps, heure du grand ménage !
Le printemps, lorsqu’il se manifeste, invite directement au changement. Les paysages changent, la faune change, le pollen pointe le bout de son nez et il est temps, pour vous aussi, de vous adapter à cette nouvelle période de l’année ! Les esprits sont plus légers, le soleil revient avec toute la puissance de ses rayons, et beaucoup de personnes sont alors tentées de faire le ménage, le grand tri et d’adopter un tout nouveau système de rangement.
Symboliquement, le ménage de printemps est également présent pour apporter un nouveau souffle dans votre vie. C’est l’occasion de faire le tri dans vos vieilles affaires et de privilégier la seconde-main au lieu de les jeter ! Mais c’est surtout un très bon moyen pour l’esprit de repartir pour une nouvelle année sur des bases plus claires.
En nettoyant votre chez-vous, vous faîtes aussi le ménage dans votre vie. Symboliquement, vous dépoussiérez les anciens problèmes, les blessures et les blocages qui en résultent parfois pour faire place à l’air frais et les rayons de soleil d’une nouvelle période pleine de possibles ! Alors n’hésitez pas : bougez les meubles, nettoyez, triez, rangez ; faîtes place au changement c’est aussi faire de la place pour toutes les opportunités qui pourraient se présenter. Et c’est également un bon moyen d’aborder la période de l’été de manière sereine et positive.
Prendre soin de soi au printemps
Après avoir pris soin de chez soi, il ne faut pas oublier de prendre soin de soi ! La période de l’hiver est souvent propice à quelques changements qui peuvent peser sur le moral. Les fêtes de fin d’années et leurs excès sont passés, puis le froid s’est installé, les journées courtes, la fatigue… En bref, l’hiver et ses travers. On a tendance à prendre moins facilement soin de soi, de sa peau, de son corps et surtout, de son mental. Alors le printemps, il sonne un peu comme une renaissance !
C’est l’occasion de se faire plaisir grâce à l’hypnose pour la confiance en soi.
C’est la cloche qui dit que les jours sombres sont passés, que l’heure d’été s’est installée, et qu’il faut vous préparez à commencer cette nouvelle période.Prendre soin de soi, ça passe à travers divers aspects de la vie quotidienne :
Une alimentation adaptée à la saison : après les délicieuses raclettes, place à de la nourriture plus fraîche ! On privilégie les poêlées de légumes, les fruits qui commencent à être plus sucrés naturellement, et les aliments plein de vitamines ! On préfère également les aliments riches en protéines et en antioxydants qui permettront de refaire le plein d’énergie.
Une cure de vitamine D : la venue du printemps est également synonyme de la venue du soleil ! Et pour cela, rien de tel qu’une bonne cure de vitamine D. En effet, s’exposer au soleil durant 15 à 20 minutes permet au corps de faire le plein d’une quantité de vitamine D suffisante. Ces séances de « cure » sont à réitérer trois fois par semaine –si le temps le permet. Cela permet de renforcer le système immunitaire tout en absorbant également le phosphore et le calcium dont le corps a besoin.
Se remettre au sport : si l’hiver livre l’énergie suffisante pour attraper son plaid et se rouler dedans, la venue du printemps peut être la bonne époque pour se remettre au sport ! Les footings au soleil, les sports collectifs ou même la natation, tout est possible. Et en pratiquant un sport que vous aimez, c’est plus simple ! Le sport permet de sécréter des endorphines et de réduire ainsi le stress et l’anxiété.
Prendre soin des allergies : qui dit printemps, dit évidemment retour du pollen… les allergies peuvent alors se multiplier. Rhume des foins, rhinopharyngite ou sinusite… les troubles respiratoires s’enchaînent et se manifestent sans hésitation. Il est alors important de se soigner et de ne pas laisser les allergies prendre le pas sur votre vie !
S’hydrater : boire de l’eau est essentiel au printemps. Les journées rallongent, les températures augmentent… le corps nécessite des quantités différentes d’eau, d’autant plus lors d’une activité physique. Outre cela, il est également important d’hydrater sa peau à l’extérieur. Et pour cause, si les températures augmentent petit à petit, il y a parfois de fraîches matinées qui sont présentes. Il est alors essentiel de ne pas oublier d’hydrater sa peau pour éviter de peler et protéger la peau des différentes agressions quotidiennes qu’elle subit en sus.
Le temps des nouvelles habitudes
Enfin, le printemps est également le moment de revoir ses habitudes ! Que ce soit au niveau du sommeil ou de votre routine « beauté », il est important d’adapter ces paramètres quotidiens à la nouvelle saison qui s’annonce.
Les journées rallongent et il est tentant de rester éveillé plus tard. Mais pour conserver le rythme de l’horloge biologique, il est primordial de ne pas se coucher trop tard. Le temps de sommeil tout comme sa qualité sont en effet essentiels pour la santé tant mentale que physique. D’ailleurs, une séance d’hypnose dormir mieux peut réduire le risque d’AVC.
Enfin, pour ce qui est de la peau et de la partie prendre soin de soi, c’est également très important. Après l’hiver, la peau est parfois fragilisée par les températures fraîches et le vent. Adapter les soins de la peau à la texture de celle-ci tout en faisant attention aux « chocs » qu’a subi votre peau se révèle essentiel. Pour que petit à petit elle puisse retrouver toute sa splendeur, écoutez-la ! Je propose des soins du visage comme le massage Kobido en formule qui permet à votre peau de retrouver son éclat et se fermeté.
Pour conclure…
Le printemps est la saison du renouveau. Nouvelle saison, nouveau départ pour l’année en cours, nouveaux projets… il est temps de se lancer dans la vie à cœur perdu ! Sans oublier toutefois d’adapter ses habitudes aux journées qui rallongent et de toujours prendre soin de soi.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques pour le corps et le visage. Vous pouvez d’ailleurs prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien et au plus proche de la nature, ces quelques jours vous sont entièrement consacrés pour que vous puissiez vous sentir bien.
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Les étapes pour se mettre à son compte
Avoir un projet professionnel qui vous trotte dans la tête depuis plusieurs années et décider de le faire enfin naître ? C’est possible ! Tout comme il est possible de se lancer du jour au lendemain dans une activité qui vous passionne, sans forcément savoir avant de l’avoir expérimenté si cela va fonctionner ou non. Se mettre à son compte, monter sa propre boîte, être son propre patron… peu importe comment vous en parlerez une fois que ce sera accompli. Se mettre à son compte peut être une situation particulièrement stressant, il existe de l’hypnose pour gérer le stress pour vous aider à le vaincre. Voici les étapes qui vous aideront à vous mettre à votre compte !
L’idée originelle
Cela peut sembler évident, mais il est important de mûrir le projet avant de vous lancer dans sa réalisation. Certaines personnes ont tendance à accumuler les idées sans jamais rien en faire, tout comme d’autres ont la volonté de réaliser sans pour autant avoir beaucoup d’idées. Aucun reproche néanmoins, il y a des périodes propices à la création et d’autres, à la réalisation !
Les idées viennent parfois rapidement, avec logique et sont d’une précision sans failles. Mais il ne faut alors pas hésiter à creuser un peu plus pour tenter de vous projeter et ainsi établir si cette idée peut devenir ou non une activité viable sur le long terme.
Enfin, il est essentiel que vous vous projetiez dans ce projet également. Imaginer une entreprise, quelque soit ce qu’elle vend, c’est assez accessible. Mais s’imaginer à la tête de cette entreprise nécessite d’abolir quelques-unes de ses croyances limitantes, et surtout, de se parer d’une volonté à toute épreuve !
Choisir le bon statut…
Il est important de bien se renseigner sur les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Pour le statut de l’entreprise, chacun permet des avantages et porte avec lui certaines responsabilités éthiques. Serez-vous seul dans cette entreprise ? Aurez-vous quelques employés ? Déjà, le statut recommandé diffère selon ces critères.
De même, selon l’activité que vous exercerez (vente de biens, ou de services, par exemple), les statuts changent en fonction du revenu annuel supposé. Il est donc primordial de prendre le temps de regarder, s’informer, poser des questions à des professionnels (un expert-comptable pourra vous aider notamment concernant les revenus annuels).
C’est une étape importante car elle rend concrète la création de votre entreprise, aussi il est essentiel de ne négliger aucun détail et d’essayer de prévoir au mieux. Il est à noter qu’il est tout à fait possible de changer de statut en conservant la même entreprise. Cela se vaut notamment pour une expansion de l’entreprise, ou si les revenus annuels ne rentrent plus dans la limite que le statut juridique de l’entreprise permet.
… Et la bonne fiscalité
Le choix de la fiscalité est aussi une étape importante. C’est ce qui vous permettra de vous y retrouver. Chaque statut juridique porte dans son sillage différents avantages liés à la fiscalité de votre entreprise. Par exemple, le régime de micro-entreprise offre la possibilité d’un versement libératoire de l’impôt sur le revenu. Autrement dit, chaque trimestre, il faut « payer ses impôts » selon les revenus qui ont été perçus. Cela allège dans une certaine mesure la charge administrative.
D’autres statuts permettent également d’autres avantages, selon notamment le nombre d’employés, la présence d’un associé ou non dans l’entreprise, ou les biens qui sont vendus. Là encore, il est important de bien se renseigner avant d’établir la fiscalité de votre entreprise, en prenant en compte le maximum d’informations dont vous disposez pour qu’à l’avenir, la fiscalité ne soit pas une tare mais bel et bien une simple étape dans la gestion de votre entreprise –et que ça ne prenne pas trop de temps !
Monter sa boîte sans avoir de l’argent de côté c’est réalisable, cela est plus difficile mais pas impossible, il faut croire en soi ! Il est possible de réaliser des séances d’hypnose pour la confiance en soi afin que aucun défi ne vous semble impossible.
Du rêve au réel !
Il est enfin temps de vous lancer. Finis les recherches et les nombreux doutes qui ont pu naître, il est temps de vous lancer « pour de vrai » sur le marché des auto-entrepreneurs ! Et pour cela, rien de plus simple que de remplir un formulaire afin d’immatriculer votre entreprise.
Ensuite, il est possible d’ouvrir un compte bancaire professionnel afin de faciliter la gestion de la comptabilité –surtout si vous décidez de vous en charger vous-même ! De même, cela sera plus simple afin de noter les charges et les revenus, tant pour les impôts que pour ne pas perdre trop de temps dans cette tache qui s’avère parfois plus longue que prévu.
Si votre entreprise le nécessite il faudra aussi trouver des locaux adaptés, qui abriteront votre société (et de possibles employés au besoin, selon le statut et la nature de votre activité). Cela entraîne des frais supplémentaires (loyer), mais nécessite également de s’y prendre suffisamment à l’avance pour pouvoir parer les locaux d’une enseigne commerciale et faire des travaux si cela s’impose.
Aussi, il est important de trouver une assurance pour votre entreprise, et ce, peu importe le statut ou la nature de l’activité de celle-ci. En effet, l’assurance doit couvrir tout ce que vous utilisez dans le cadre de votre activité (voiture, ordinateurs, locaux, outils…etc.). Il est important d’être assuré au cas où il y ait un problème, mais également en cas de litige avec un client (mais on ne vous souhaite pas d’en avoir besoin !).
Enfin, il ne vous reste plus qu’à créer votre site internet et vous faire de la publicité afin que votre activité démarre. Il est également important de mettre au point vos documents commerciaux, comme des factures, des devis, qui permettront une gestion complète, cohérente et surtout facilitée si lesdits documents sont créés en amont.
Ainsi, se mettre à son compte peut effrayer plus d’une personne. Mais malgré toutes ces étapes qui peuvent paraître intimidantes ou insurmontables, vous avez la force en vous pour vous lancer. Comme dans beaucoup de situations, le plus difficile, c’est de faire le premier pas ! Très rapidement, le plaisir, la fierté personnelle, l’envie de vous améliorer ou d’apprendre de nouvelles choses surplombera les doutes et les hésitations.
Se mettre à son compte est une aventure. Et comme toutes les aventures, parfois, c’est naturel et parfois, il faut se motiver pour pouvoir se lancer. Mais ce qui est certain, c’est que créer sa propre entreprise est une expérience enrichissante, tant sur le plan humain que sur le plan psychologique. Alors n’hésitez pas plus longtemps, foncez !
Moi-même, je me suis mise à compte. L’aventure n’a pas été toujours simple et peuplée de calme, mais je suis fière d’être aujourd’hui une hypnothérapeute et experte en neurosciences qui s’épanouit. Chaque jour, j’apprends, je rencontre, j’évolue.
Je propose d’ailleurs des séances d’hypnothérapie ainsi que des soins thérapeutiques pour le corps et le visage. Pour prendre rendez-vous, vous pouvez passer par Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être, au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien. Cela peut permettre de faire le point sur soi tout autant que sur sa situation.
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Déconstruire sa peur du manque d’argent
Depuis la crise des subprimes en 2008, le monde semble avoir du mal à retrouver son équilibre économique, ce qui sème volontiers de nombreux troubles quant au rapport de chacun à l’argent depuis plus d’une décennie. Plus récemment, c’est la crise sanitaire liée au Covid-19 qui a paralysé durant plusieurs mois toute l’économie. Et depuis, les ménages comme les commerces tentent d’y voir plus clair en poursuivant leurs activités.
La peur du manque d’argent est une phobie bien réelle qui se trouve ancrée chez beaucoup de personnes. Lorsque cette peur atteint le stade de phobie, elle est d’ailleurs nommée chrométophobie. Mais d’où vient-elle exactement ? Quelles en sont ses conséquences ? Et surtout, est-il possible de la déconstruire pour passer outre ?
Les sources de la peur du manque d’argent
Tout le monde peut être touché par cette peur, au même titre que le vertige ou encore l’arachnophobie. Parce que les peurs ne se contrôlent pas et que leur arrivée peut parfois être surprenante, le premier pas pour les déconstruire est d’identifier d’où elle peut provenir.
Dans le cas de la peur du manque d’argent, il y a souvent un lien direct avec l’enfance, et le comportement des parents avec l’argent. Comptaient-ils beaucoup ce qu’ils dépensaient ? Etaient-ils prudents ? Vous est-il arrivé de les entendre dire qu’il faudrait « se serrer la ceinture » ? Si tel est le cas, il est probable que l’enfance ait impacté votre rapport à l’argent. Un enfant qui vit, qui connaît ou qui comprend le manque d’argent, c’est bien souvent un adulte qui aura peur d’en manquer. De même, il est possible qu’un adulte même extérieur au cercle familial vous ait transmis cette peur du manque d’argent.
Mais ce n’est pas la seule source. Et pour cause, un adulte peut développer une peur de manquer d’argent après un traumatisme, et ce, même s’il a eu une enfance abondante et n’a jamais manqué de rien. Parce qu’il suffit parfois d’une relance, d’une facture ou d’un courrier officiel des huissiers pour que le manque d’argent devienne une préoccupation réellement plus importante ; c’est-à-dire, une phobie.
Enfin, la peur du manque d’argent peut simplement provenir du caractère de la personne en elle-même. Et pour cause, si certains individus sont davantage tentés par les dépenses que par l’épargne, d’autres, quant à eux, préféreront mettre de côté afin de pouvoir garder un petit pécule « au cas où ».
Il existe donc différentes sources possibles à la peur du manque d’argent. Aucune n’est meilleure qu’une autre, et il est surtout probable que la peur du manque d’argent soit également la source de cette peur, comme un monstre vorace qui s’autoalimenterait.
Les conséquences au quotidien
Comme toute peur, celle de manquer d’argent a des conséquences dans les quotidiens des personnes qui sont concernées par elle. Et la première conséquence, c’est bien souvent de ne pas oser acheter un objet ou un produit si le prix est élevé.
À terme, la chrométophobie peut avoir des conséquences bien plus importantes, comme celle de ne pas quitter son travail pour une meilleure offre, car la peur nouera les entrailles et empêchera la raison d’agir pour un meilleur avenir. Car comme pour beaucoup de peur, le cadre connu est rassurant, tandis que la nouveauté réveille les traumatismes ou les angoisses qui peuvent être gérés avec de l’hypnose contre le stress.
De même, à force de penser, d’agir et de vivre plus généralement, en fonction de la peur de manquer d’argent, il arrive que certaines personnes développent des angoisses puissantes ou entrent en dépression. Le fait de songer tout le temps au manque d’argent qui peut se produire, à tous les biens matériels qui peuvent être perdus à cause de la place omniprésente que l’argent tient dans nos sociétés peut-être une réelle source d’angoisse au quotidien.
Et c’est sans compter sur les TOC que cette phobie peut développer, les privations que la personne peut s’imposer pour ne pas « perdre » son argent dans des sorties futiles, ou encore les crédits qu’elle s’empêche de prendre par peur de ne pas pouvoir rembourser une telle dépense mensuelle.
Heureusement, il existe des techniques qui permettent d’atténuer et de déconstruire cette peur, pour un quotidien plus souple et une santé mentale plus équilibrée !
Déconstruire cette peur ? C’est possible !
Déconstruire la peur du manque d’argent n’est pas simple, car comme toute autre peur, elle est bien ancrée dans les habitudes de vie et au sein même de la personne qui a appris à vivre avec. Pourtant, il existe bel et bien des façons de la déconstruire pour en finir avec elle !
Prendre conscience des croyances liées à l’argent :
Et par croyance, il s’agit ici de croyances limitantes. En effet, selon la source exacte de cette peur, des croyances limitantes ont éclos avec elle. Pour ne plus qu’elles alimentent la peur au quotidien, il est important de les identifier !
Se questionner :
La profonde peur de manquer d’argent peut souvent sembler insurmontable. Mais se questionner sur le pourquoi du comment, apprendre qu’il est possible d’inverser la tendance, ça peut être rassurant pour les personnes qui souhaitent déconstruire cette peur parfois trop présente. Le questionnement est souvent la première marche d’un escalier qui mène à une voie différente de ce que l’on connaît.
Identifier au quotidien les effets de la peur :
En prenant conscience au quotidien des effets de la peur du manque d’argent, cela permet de prendre un recul supplémentaire que celui que les questions avaient permis. Et pour cause, à chaque fois que les croyances limitantes liées à la peur du manque d’argent vont agir, vous saurez reconnaître, et ce, de plus en plus facilement. Et petit à petit, cela permet de prendre pleinement conscience de toutes les limites que la peur dessine sur la vie.
Inverser ses croyances limitantes en croyances aidantes :
En inversant les croyances, vous récupérez le pouvoir de votre propre vie. C’est permettre à votre esprit de se libérer d’une première façon de la peur, et de pouvoir amorcer une déconstruction complète de cette peur étouffante au quotidien.
Trouver de nouvelles ressources en soi-même :
Pour vaincre cette peur, il ne suffit pas de se débarrasser des croyances limitantes, ni de les transformer en croyances aidantes. L’autre partie de la déconstruction consiste à chercher et découvrir de nouvelles façons de se dépasser et abolir ainsi les limites que la peur du manque d’argent a pu ériger. De même, il est possible de se tourner vers la meilleure façon de créer l’abondance financière, si cela peut aider à passer outre cette peur du manque d’argent.
Ainsi, la peur du manque d’argent est une peur qui est très répandue, peu importe la classe sociale ou l’âge des individus qui en sont victimes. Mais au quotidien, cette peur peut se révéler être une réelle enclave, tant pour la vie sociale que la santé mentale de l’individu. Il est important de pouvoir se détacher de cette peur, allant parfois jusqu’à la phobie, et la déconstruire entièrement afin qu’elle ne provoque plus aucune conséquences dans le quotidien ! Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont importantes et de véritables aides pour vaincre cette phobie.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement.
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Comment créer l’abondance financière ?
L’abondance financière peut représenter un Eldorado fort intéressant qu’on a souvent envie de visiter. L’argent, le flouze, le fric, le pognon… tant et tant de termes qui ne désignent finalement qu’une chose : le reflet d’un certain confort de vie. Encore très tabou en France, ce sujet est pourtant présent dans de nombreux aspects de la vie, en plus d’en faire pleinement partie.
Mais la richesse est-elle toujours et invariablement synonyme d’argent ? L’abondance financière en tant que telle laisse penser que oui. Alors peut-on vraiment la créer, la provoquer ? Et si oui, de quelle manière exactement ?
Créer de l’abondance financière, qu’est-ce que ça veut dire ?
Si la volonté de créer de l’abondance existe, encore faut-il savoir la définir. Tout commence donc par ce terme, qui désigne une profusion, une quantité bien souvent plus que suffisante d’un bien, d’une chose, d’un concept…etc. Créer l’abondance financière reviendrait alors à pouvoir provoquer par soi-même l’arrivée d’une quantité plus que suffisante et nécessaire d’argent dans sa vie. Cela peut se faire par le fait de se mettre à son compte sans stress avec de l’hypnose.
Ainsi, l’abondance financière serait une question de croyance et de possibilités, probablement alignées au même instant qui permettraient de provoquer une profusion attendue de l’argent.
Les croyances autour de l’argent
Mais surtout, l’abondance financière est bien souvent le simple reflet de ce que l’on croit vouloir. Car il s’agit ici d’argent, bien entendu, mais également des croyances qui s’agglomèrent autour. Parmi elles, le fait de croire que la situation financière peut dépendre d’un schéma social (si tout le reste de la famille est salariée, et que vous rêvez d’avoir votre propre entreprise, cela peut être un frein), ou encore le fait de penser que l’argent n’est qu’une source de problèmes inépuisable.
De même, bien souvent, on s’imagine qu’il suffit d’y penser pour que l’argent se multiplie à outrance ; mais là encore, ce n’est pas si facile ! De la maîtrise, de la patience et de la sagesse quant à la gestion de ses finances semblent les maîtres-mots pour parvenir à l’abondance financière.
Par ailleurs, le rapport à l’argent demeure un grand tabou en France. Au contraire des États-Unis, par exemple, où la réussite financière est davantage reconnue là où en France elle est souvent associée à de la malhonnêteté ou encore à une démonstration de soi qui est très mal vue.
Ainsi, malgré les croyances qui peuvent résider dans l’abondance financière, ce n’est jamais simple, et cela va surtout dépendre du propre rapport à l’argent que chacun entretient avec lui. Conserver une distance avec l’importance que la société accorde à l’argent est alors presque une nécessité, qui pourrait s’équilibrer avec le fait de ne plus faire de ce sujet quelque chose d’intouchable.
Créer l’abondance financière, est-ce possible ?
Si pour certains, la création de l’abondance financière relève davantage d’un doux rêve que d’une réalité, c’est car il n’y a pas de recettes miracles pour y parvenir. Au contraire, il s’agit davantage de « petits gestes » qui permettent d’y arriver lentement mais sûrement.
Les richesses matérielles que tu possèdes déjà :
Désirer plus que ce l’on possède déjà est tout à fait naturel. C’est un reflet de l’ambition, mais cela peut aussi parfois s’apparenter à la traduction d’une envie démesurée de posséder toujours plus. Dissocier les deux n’est pas chose aisée, mais le fait de prendre conscience des « richesses » que l’on possède d’ores et déjà permet de faire la lumière sur le doute. Et pour cause, même si ces richesses prennent parfois la poussière dans un vieux grenier, ou bien qu’elles soient dissimulées dans les murs d’une propriété, les richesses sont partout.
L’investissement en soi comme base de revenus fiables :
Cela se traduit au niveau de la confiance en soi, des formations, des stages ou même des ateliers dans lesquels on est prêt à se lancer pour parfaire ses connaissances ou encore retrouver l’estime de soi par l’hypnose. Ce sont des investissements matériels ou non, qui permettront, à terme, de vous impliquer plus sereinement dans des travails pouvant parfois se révéler intimidants ou impressionnants. Vous êtes capable de tout, investissez en vous, et lancez-vous !
Se réconcilier avec l’argent :
Avoir un « bon » rapport à l’argent n’est pas facile. Selon si on en a ou non, si on le montre ou non, les comportements en société changent parfois drastiquement. Le mieux n’est-il pas alors de simplement entretenir un bon rapport à l’argent, en se réjouissant de ne manquer de rien sans pour autant déposer dans cette équation délicate une question d’égo en se montrant avec ? Je crois qu’il n’y a pas de meilleur rapport avec l’argent que celui de le percevoir comme un outil permettant de posséder des biens matériels ; mais en aucun cas, des personnes, des valeurs ou tout autre chose qui ne se marchande pas !
Se responsabiliser dans la gestion des finances :
L’une des façons de créer l’abondance financière reste encore de bien savoir gérer ses finances. S’il est possible de se faire plaisir avec une grosse dépense de temps à autre, il est important d’équilibrer ces petits écarts avec une bonne gestion le reste du temps afin de ne pas se réincarner en panier percé !
Favorisez l’épargne, quelques économies, ou mettez en places différents petits pots pour vos projets futurs : un voyage, un tatouage, une nouvelle voiture, une formation, un atelier… cela peut aider à garder le cap, et chaque centime joue son rôle !
Ainsi, créer l’abondance financière n’est pas vraiment une recette miracle qui permet de devenir millionnaire du jour au lendemain. En revanche, il est possible, avec de petits gestes quotidiens, de prendre conscience de la richesse dont vous êtes déjà pourvu, et de la faire perdurer grâce à de bons réflexes qui permettront d’investir en vous, et dans votre avenir ! Parce qu’au final, la réelle richesse de votre vie et le meilleur pari que vous pouvez faire…. C’est vous- même !
Je suis Charlotte Vallet et j’exerce en tant qu’hypnothérapeute à Paris. Egalement experte en neurosciences, je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage comme le drainage lymphatique Renata Franca, entre autres petites choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se retrouver. Proche de la nature et harmonieuse, cette retraite saura accompagner les personnes en plein bouleversement, en pleine construction, ou bien celles qui se cherchent encore.
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2022, année de la reconversion professionnelle ?
Et pourquoi pas ! Avec la nouvelle année, vient aussi le temps du renouveau et de la réalisation. Envie de changer de profession ? C’est peut-être le moment ou jamais de se lancer à cœur perdu dans cette nouvelle aventure qu’est la reconversion professionnelle. Même si cela peut paraître intimidant, effrayant, exaltant ou terriblement impossible, il suffit parfois de simplement se lancer pour découvrir toute l’étendue des possibles de la vie !
Pourquoi se reconvertir ?
Il existe de nombreuses raisons de vouloir se reconvertir professionnellement. Mais pourquoi se lancer cette année ? Comment amorcer ce bouleversement dans sa vie ? Parmi les raisons de se reconvertir les plus courantes, il est possible de se reconvertir :
Pour suivre ses rêves :
Cela fait peut-être des années que vous rêvez de vous lancer vraiment dans un projet professionnel qui vous tient à cœur, s’accorde avec vos valeurs ou vous passionne tout simplement. Suivre ses rêves est un acte de courage indéniable. Dans le domaine professionnel, il arrive souvent que ceux-ci soient pourtant réfrénés dans une certaine mesure, que ce soit par sécurité financière ou par habitude. Chambouler la routine, prendre le risque de se lancer, et simplement suivre une nouvelle voie peuvent pourtant s’avérer beaucoup plus épanouissants que ce que la peur pouvait laisser présager. N’hésitez plus, 2022 est peut-être l’année où votre rêve va prendre forme !
Explorer de nouveaux horizons :
Si la curiosité est parfois un vilain défaut, elle peut aussi s’avérer être un très bon moteur pour avancer dans la vie et se lancer dans de nouveaux projets professionnels… et pourquoi pas, aborder une reconversion professionnelle complète ? Que ce soit par passion, parce que vos envies changent et évoluent ou encore pour découvrir une nouvelle voie qui vous intrigue, la reconversion professionnelle peut être envisagée à n’importe quel moment de votre vie, pourvu que vous en ayez la volonté ou l’idée.
Exprimer ses qualités et être en accord avec soi-même :
Quel que soit le métier dans lequel vous souhaitez et/ou pensez vous reconvertir, il y a de grandes chances que celui-ci soit davantage en accord avec vos valeurs et vos besoins. Car les premiers jobs sont souvent alimentaires, par dépit, ou faute de mieux, la reconversion professionnelle offre l’occasion de laisser s’exprimer ses qualités les plus profondes, celles qui ne sont pas toujours utiles dans une profession qui bride l’individu. De plus, exprimer ses qualités, c’est aussi s’offrir le choix de pouvoir les reconnaître, les faire évoluer, et les apprécier à leur juste valeur. La reconversion professionnelle peut donc s’avérer être aussi un choix éclairé dans un processus de développement personnel.
Pour penser à son bonheur :
Plus simplement, il arrive qu’une profession ne soit plus ou pas du tout épanouissante pour soi, auquel cas il est intéressant d’en changer. Se diriger, entreprendre, commencer un projet qui peut vous apporter de la joie et un équilibre, c’est choisir son bien-être et son propre bonheur au détriment d’un travail qui vous use et vous épuise possiblement. C’est se choisir, soi-même.
Si à l’époque, il y a encore une vingtaine d’années, il était encore envisageable de choisir un métier et de l’exercer tout au long de sa vie, désormais, il est courant de retrouver des gens qui embrassent au cours de leur vie deux choix ou plus de carrière. La reconversion professionnelle s’est donc démocratisée, ce qui a permis ainsi d’alléger certaines démarches, en plus de créer des aides pour quiconque souhaiterait se lancer dans cette aventure !
Y a-t-il un bon moment pour se reconvertir ?
Une reconversion professionnelle demeure un choix souvent salvateur, mais tout aussi souvent risqué. Car sans imaginer le pire, tous les paramètres pour la réussite de cette reconversion ne sont pas dans les limites de votre contrôle. Il est alors possible que le moment de la reconversion soit sans cesse repoussé dans vos plans.
« Ce n’est pas la bonne période… », « Il est plus sage d’attendre encore un peu pour être certain de mon choix… », « Peut-être que je fais une terrible erreur… », tels sont les doutes qui peuvent vous envahir et venir ronger l’enthousiasme et la motivation que vous aviez pourtant développés naturellement à propos de votre reconversion professionnelle.
Eh bien sachez qu’il n’y a jamais de bon moment, sinon celui que l’on choisit !
Parce que si tous les événements qui se déroulaient sur Terre devaient être pris en compte, étudiés, et ensuite réfléchis avant votre reconversion, vous ne la feriez jamais. Les doutes sont tout à fait naturels ; ils permettent de vous faire avancer pas à pas, selon votre rythme. Les peurs le sont tout autant ; leur présence prouve que ce projet vous tient à cœur. Mais il faut parfois savoir se déshabiller de ces idées limitantes pour vous lancer, tout simplement. Après tout, n’est-ce pas le seul moyen de voir si vous allez y arriver ?
Ainsi, il n’y aura jamais de meilleur moment pour vous reconvertir que celui que vous choisirez. Car cela concerne votre vie, vous avez toujours le premier, et le dernier mot. La décision vous appartient totalement. Mais il faut savoir que les débuts d’années sont souvent propices à amorcer des changements, de telle sorte que si certaines appréhensions demeurent, ce début d’année pourrait bien vous aider à vous en débarrasser !
2022, une année qui change les règles ?
Sans s’étaler sur le sujet qui a tourné –et tourne toujours !- sur toutes les chaînes de média, dans tous les journaux, sur les réseaux sociaux… la crise sanitaire que le monde a connu a permis de bouleverser quelques règles établies jusqu’alors. Au bout de deux ans, les règles de société ont changé, mais celles du travail aussi. Les outils technologiques se sont placés à de nombreuses reprises au centre de beaucoup de professions, et les confinements consécutifs ont également permis à beaucoup de personnes de se reconnecter avec des passions, des passe-temps…etc
La crise sanitaire a donc permis de se positionner, au-delà du point de vue sanitaire, face à soi-même et de mieux découvrir quelles vies nous voudrions pour l’avenir. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, cela est nécessairement pris en compte, surtout à l’aube d’un futur qui aspire à être meilleur.
Ainsi, une reconversion professionnelle, si elle est intimidante, impressionnante ou encore effrayante, est sûrement l’une des formes de liberté les plus totales. Choisir sa voie, c’est se choisir soi chaque jour, et décider d’être en accord avec soi-même, être motivé à se donner les moyens de réussir.
Toutefois, lors d’une reconversion professionnelle, l’on peut parfois être amené à se sentir dépassé. Les doutes resurgissent souvent, et garder une jauge de motivation remplie en continu est tout bonnement impossible. Certaines activités comme la méditation ou la sophrologie peuvent alors aider à se recentrer sur soi et ses objectifs.
Tout comme l’hypnose, dont je propose des séances à Paris. De même, lorsqu’on s’investit dans un nouveau projet, on a parfois tendance à s’oublier. Je m’appelle Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques tels que des drainages lymphatiques ou des drainages du visage, qui permettent d’aider les personnes qui en ont besoin.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites au plus proche de la nature plusieurs fois par an, afin de se reconnecter à soi-même. Dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle, cela pourrait permettre de dissiper les derniers doutes et appréhensions tout en se ressourçant suffisamment pour se lancer dans ce nouveau chapitre de votre vie ! Pour les détails, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
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Comment méditer autrement qu’en fermant les yeux ?
Dans une société où la productivité se place au premier rang, ou l’argent est roi et dans laquelle il faut tout faire, tout de suite, il est parfois difficile de s’y retrouver. Et surtout, de se retrouver. Depuis quelques années, pourtant, les pratiques de médecines parallèles et de soins holistiques s’étendent par-delà les continents et les cultures. La méditation fait partie de ces pratiques qui permettent de se (re)poser, de se (re)centrer sur soi-même, et de pouvoir repartir dans la vie avec davantage de cohésion. Et si souvent, la méditation est associée à une assise en tailleur et un « ommm » tourné en dérision, il y a en réalité de multiples façons de s’adonner à la méditation. Prêts à trouver la vôtre ?
La méditation, késako ?
La méditation, dans son sens général décrit l’action de penser une chose, un corps, un concept, des émotions…etc. Au sens spirituel du terme, elle possède un sens beaucoup plus précis, car il s’agit d’une voie qui mène à la réalisation de Soi ou à un éveil. Les premières traces de méditation remontent d’ailleurs à plus de deux milles ans avant notre ère, ce qui se situe bien avant l’apparition du bouddhisme par celui qui la développa : Siddhartha.
Présente au cœur du bouddhisme, du taoïsme, du yoga ou du christianisme, la méditation est une pratique présente dans toutes les religions et de nombreux domaines, bien qu’elle s’exprime différemment dans chacun d’eux. Dans le cadre de la spiritualité, la méditation s’apparente surtout au chemin qui mène droit vers l’éveil de son « moi profond », et la connexion à soi.
Ainsi, il est possible de définir la méditation, venant du latin « meditare » qui signifie « contempler », comme une pratique mentale et spirituelle qui favorise le lien à soi-même, libère les tensions et permet d’ouvrir son esprit.
Les bienfaits de la méditation
Parmi les nombreux bienfaits que la méditation provoque sur le corps et l’esprit, l’on retrouve :
- Réduction du stress :
- Amélioration de la mémoire et de l’attention ;
- Réduction d’un sentiment ou d’une blessure douloureux/se ;
- Diminution des risques de maladies cardiovasculaires ;
- Baisse des symptômes en cas de virus ;
- Renforcement du système immunitaire dans sa généralité ;
- Apaisement de pensées négatives ;
- Provoque une sensation de détente ;
- Développe l’intuition ;
- Augmente la créativité ;
- Améliore l’estime de soi et développe la confiance personnelle.
Les techniques de méditation sans fermer les yeux
La méditation, si elle peut parfois se confronter aux préjugés et stéréotypes que l’on porte sur elle, a pourtant bien des façons de se pratiquer, et une multitude de formes pour le faire. Zoom sur ces méthodes de méditation simples à mettre en place, qui permettent de se recentrer sur soi, dans presque toutes les circonstances !
La méditation de pleine conscience :
Cette méditation est parfois difficile à apprivoiser tant elle peut être intimidante. Et pourtant, une fois que vous la maîtriserez, vous pourrez l’exercer partout, et ce, dès que vous en sentirez le besoin ! Car la méditation de pleine conscience, c’est avant tout la force de l’esprit et de l’instant présent. Et pour cause, la méditation de pleine conscience peut se faire à n’importe quel moment de la journée, dans n’importe quel lieu.
Méthode : il s’agit de se concentrer sur ce que vos sens perçoivent dans un moment M, peu importe où vous vous trouvez, ne songez qu’au présent, aux choses de la vie lors de cet instant spécifique. Il est important de ne pas se projeter ou de se remémorer. Tout ce qui compte à cet instant, lors de ce moment –votre moment- de méditation, c’est la façon dont vous rencontrez le monde extérieur.
Cette méthode peut également être efficace en cas de stress, d’angoisse ou bien de dépression.
La méditation avec mantra :
La méditation avec mantra consiste à renforcer l’instant de méditation via le son. L’intérêt du mantra est qu’à défaut de vous raccrocher au « ommm » (qui représente la connexion avec la source de l’énergie, appelée prana), vous pouvez adapter le mantra à une phrase, un mot ou un son qui vous convient ou ressemble davantage. « Je suis paix », « je suis tolérance », sont par exemple des mantras qui peuvent accompagner votre méditation.
La méditation guidée :
La méditation guidée est certainement l’une des façons de méditer les plus simples qui existent. Et pour cause, comme son nom l’indique, il s’agit ici de se laisser guider. Via un enregistrement audio, il est possible de choisir la méditation qui vous convient le mieux. En prenant en compte le moment auquel vous souhaitez méditer (matin ou soir), il vous suffit de brancher l’enregistrement, et de vous laisser porter par ce que la voix communique.
C’est une méthode idéale pour les personnes qui veulent débuter sans savoir par où commencer !
La méditation par la respiration :
Cette technique de méditation est relativement simple, puisqu’elle passe à travers l’une des actions que nous faisons le plus : respirer. Quel que soit votre emploi du temps, cette technique est relativement simple et très accessible.
Méthode : il s’agit de pouvoir s’isoler quelques instants, et se concentrer sur sa respiration. Inspirez par le nez, en songeant à cette énergie nouvelle qui vous envahit. Et lors de chacune des expirations par la bouche, visualisez les entraves, le stress ou encore les problèmes vous quitter. Cinq à dix respirations sont parfois nécessaires, et trois suffisent à d’autres moment.
Cette technique se montre très efficace si vous avez besoin de souffler (littéralement !), et de faire une pause car les circonstances sont trop stressantes.
Ainsi, il existe une multitude de techniques de méditations différentes. Il est également possible d’adapter ces méthodes à un environnement particulier, comme dans un bain (le contact avec l’eau est bénéfique et « nettoie » symboliquement vos soucis), ou encore en pleine nature (vous vous revigorez grâce à la présence de la nature).
Toutes les techniques de méditation ont leurs propres particularités, bien qu’il soit parfois plus simple, selon le contexte dans lequel vous vous trouvez d’en privilégier une plutôt qu’une autre. Quoiqu’il en soit, la méditation demeure un outil fiable auquel il est possible de se référer à n’importe quel moment. Elle calme le stress, apaise les maux, et nous guide toujours plus loin sur le chemin du bien être !
Toutefois, si certaines tensions ou problématiques s’accumulent et s’ancrent dans vos quotidiens, il est possible d’utiliser la méditation en plus d’autres techniques, comme l’hypnose. Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des séances de soins thérapeutiques pour le corps (drainage lymphatique), ou pour le visage (drainage du visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Et il vous est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et si le quotidien semble vous engloutir sans aucun répit, peut-être est-il alors temps de vous offrir une petite retraite ?
Inspirez…
Soufflez…
Vivez !
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L’Ayurveda, c’est quoi ?
Présente dans de nombreux pays orientaux, l’Ayurveda représente l’une des médecines holistiques les plus utilisées. Ses bienfaits sont souvent vantés, et pour cause, elle ne traite pas un mal, mais rééquilibre tout le corps de la personne à laquelle elle apporte soin.
Origines et définition
L’apparition de la médecine ayurvédique remonterait à environ 5 000 ans, faisant de l’Ayurveda l’une des plus anciennes médecines holistiques encore pratiquée de nos jours. Certaines théories avancent d’ailleurs qu’elle serait à l’origine des médecines gréco-romaine, persique, chinoise et persienne. Le terme Ayurveda signifie « connaissance de la vie », « science de la vie ». Le mot « Veda » ferait d’ailleurs référence à des textes sacrés de l’Inde antique, s’intitulant de la même façon.
L’Ayurveda regroupe par ailleurs différentes pratiques, telles que la phytothérapie, l’aromathérapie, le yoga, la méditation ou encore l’apprentissage de sa respiration. Elle est en constante évolution, et a eu le temps de se parfaire au fil des siècles. C’est donc une pratique de la médecine globale, prenant en compte l’entièreté de l’être humain dans l’objectif de l’apaiser et de lui apporter les soins dont il a besoin.
Bien que l’OMS ait reconnu l’Ayurveda comme une médecine traditionnelle, en France, elle reste ignorée des facultés de médecine, et se cantonne donc au domaine de la relaxation et du bien-être.
Principe de l’Ayurveda
Ce qui constitue sûrement le plus grand principe de l’Ayurveda, c’est la façon dont elle est pratiquée, en accord avec la nature et le monde qui l’entoure. Et pour cause, L’Ayurveda considère en premier lieu que toutes les particules qui composent la vie sont régies selon les mêmes règles. Autrement dit, l’infiniment petit (être humain) fonctionne de la même façon que l’infiniment grand (galaxie).
Selon les sages indiens à l’origine de cette médecine holistique, il y aurait cinq éléments présents dans la nature (air, terre, eau, feu et éther). Alors il était possiblement envisageable que l’être humain, animal naturel, subisse également la présence de ces cinq éléments.
La médecine ayurvédique et ses subtilités
La médecine ayurvédique, dans son ensemble, se base donc sur cinq éléments. Dans le corps humain, cela se traduit par des « doshas », lesquels sont uniques selon chaque personne. Ils peuvent se traduire par les humeurs biologiques de chacun.
Les doshas sont au nombre de six, trois doshas majeurs, et trois mineurs. Il est alors considéré par les professionnels de la médecine ayurvédique, que si les doshas sont tous équilibrés, la personne est en bonne santé. En revanche, si la présence d’un déséquilibre dans les doshas est relevée, cela peut-être le signe que la santé est fébrile. Et si les déséquilibres s’accumulent, il est alors possible qu’une maladie soit présente dans le corps ou l’esprit de la personne.
Comment se pratique l’Ayurveda ?
L’une des caractéristiques les plus importantes de l’Ayurveda, c’est d’abord de soigner le malade avant la maladie. Autrement dit, le professionnel de médecine ayurvédique cherchera dans un premier temps à soulager les symptômes d’une maladie, plutôt qu’à l’enrayer complètement. C’est notamment ce qu’a déclaré Charaka, l’un des fondateurs principaux de l’Ayurveda.
En Inde, la médecine ayurvédique s’exerce d’une façon différente de celle que l’on connaît en Occident. Dans un premier temps, le professionnel ayurvédique (vaidya) va poser trois doigts sur l’artère radicale au niveau du poignet. C’est ainsi qu’il pourra avoir une première idée de la manière dont les doshas sont équilibrés – ou déséquilibrés.
Dans un deuxième temps, si le vaidya détecte un quelconque déséquilibre, il lui sera possible de poser des questions au patient afin de déterminer avec plus de précision la source du déséquilibre.
Par ailleurs, la médecine ayurvédique, comme mentionné plus haut, comprend en réalité tout un éventail de différents soins. Ainsi, dans la médecine ayurvédique, sont comprises les pratiques de :
- La phytothérapie/ aromathérapie indiennes: pratique dans laquelle les plantes sont classées selon les cinq éléments qui se retrouvent dans toute la nature et chez l’être humain.
- Les massages ayurvédiques: ils permettent souvent de rééquilibrer les doshas efficacement. La majorité du temps, ils sont pratiqués de manière individuelle.
- La diététique ayurvédique: dans la médecine ayurvédique, les aliments sont tous classés en fonction de leur goût, l’énergie qu’ils apporteront au corps et leur action digestive. Un corps en bonne santé passe donc, dans la médecine ayurvédique, par une bonne alimentation.
- La lithothérapie: l’usage de pierres sur le corps est également une pratique très répandue dans la médecine ayurvédique. Disposés à même la peau sur des zones énergétiques spécifiques, les pierres permettent alors de rééquilibrer les doshas.
Enfin, il y a encore de nombreuses pratiques qui viennent compléter la médecine ayurvédique, toujours dans une optique de bien-être et de bonne santé. C’est notamment le cas pour la thérapie par les sons, qui permettraient d’harmoniser les énergies autour et au-dedans de soi. La thérapie par le chant ou les couleurs, la pratique du yoga, les exercices de respiration, la méditation… sont aussi des pratiques qui font partie de l’Ayurveda.
L’Ayurveda, est-ce fait pour tout le monde ?
Si l’Ayurveda n’est en Occident reconnue « que » comme une voie parallèle pour atteindre le bien-être, en Inde, elle représente surtout une médecine fiable. Il y a d’ailleurs plus de professionnels ayurvédiques qu’il n’y a de docteurs comme on les connaît, en Inde. Alors si cette médecine, aussi ancienne et populaire soit-elle selon les endroits du globe, fait tant d’heureux, se peut-il qu’il y ait des contre-indications ?
Il y en a effectivement quelques-unes ! Par exemple, en cas de soin par la phytothérapie, il est important de veiller à ne pas avoir d’allergies particulières. Autrement, il est important d’en faire part au vaidya. De même, dans le cadre de l’aromathérapie, si jamais vous êtes allergique à une essence ou certaines huiles, il est primordial de le dire !
Enfin, la seule contre-indication qu’il pourrait y avoir à la médecine ayurvédique serait le cas d’une grossesse. Les personnes enceintes ne se verront ainsi pas encouragées à bénéficier d’un massage ayurvédique, ni à consommer certaines plantes et huiles essentielles.
Pour en savoir plus…
Pour pouvoir approfondir le sujet de l’Ayurveda avec calme et à votre rythme, voici quelques livres que je vous recommande :
- « L’Ayurveda » de Sylvie Verbois, pour les personnes qui veulent découvrir avec douceur la médecine ayurvédique ;
- « Ayurveda Pratique », par le Centre de yoga Sivan, édition Courrier du Livre, 2019 ;
- « Ayurveda : le Guide de Référence », par Deepak Chopra et Sahara rose Ketabi, éditions Trédaniel, 2018 ;
- « Le Grand Livre de l’Ayurveda Adapté à l’Occident », par Christine Blin-Chandrika, édition EccE, 2016.
- « Ayurveda, Science de l’Autoguérison », éditions Trédaniel, 1997.
Ainsi, l’Ayurveda regroupe différents soins pour le corps grâce auxquels il est possible de se soigner. Bien qu’en France, la médecine ayurvédique soit relayée au plan du bien-être, elle reste dans beaucoup de pays la principale voie de guérison.
Si vous souhaitez vous orienter vers des médecines parallèles ou des soins bien-être, je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques pour le corps. Drainage lymphatique ou du visage, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Plus récemment, j’ai également mis en place une retraite bien-être, afin de s’épanouir dans le partage et la bienveillance. Cette retraite se basera notamment sur quelques notions de médecine ayurvédique.
