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Catégorie : SOIN
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Acné : quelles différences entre acné hormonale et « acné tout court »
Ce n’est plus un secret, l’adolescence est souvent un âge ingrat. La puberté, les hormones qui font les montagnes russes et les changements que le corps présente peuvent laisser des traces physiques tout autant que psychologiques. Mais saviez-vous qu’il y avait différents types d’’acné ? Et que tous n’avaient pas les mêmes particularités ? Zoom sur l’acné, et les différences qu’elle peut présenter !
Qu’est-ce que l’acné ?
L’acné est reconnue comme étant un trouble cutané. Le plus souvent, elle est causée par une inflammation des follicules pileux et des glandes sébacées (celles qui gèrent la sécrétion de la sueur). De façon générale, que l’acné soit juvénile, hormonale ou dite « vulgaire », elle se localise au niveau du visage et sur le haut du thorax ou du dos.
Si parfois, la fin de l’adolescence et de bons soins garantissent la disparition de l’acné, ce trouble peut également perdurer à l’âge adulte. Chez un quart des adultes ayant de l’acné, la majorité se compose de femmes entre 25 et 40 ans – de quoi nourrir les complexes durant des années.
Si l’acné n’est pas particulièrement et atrocement douloureux, ce trouble peut néanmoins être source d’une perte d’estime de soi, d’absence de confiance, et de nombreux complexes qui à terme, peuvent devenir handicapant au quotidien.
Les différents types d’acné
Avec les années et les progrès de la médecine, il est désormais possible d’identifier différents types d’acné. Ainsi, l’on retrouve notamment :
- L’acné néonatale: elle reste exceptionnelle bien qu’elle existe ;
- L’acné « légère »: finit par disparaître d’elle-même ;
- Une acné juvénile polymorphe : apparaissant à l’adolescence, elle se caractérise par des boutons de toutes formes. Le plus souvent, l’acné juvénile est une acné rétentionnelle ;
- Acné hormonale : elle est liée aux fluctuations des hormones ;
- Acné vulgaire : forme d’acné liée à l’excès de sébum et l’obstruction des follicules pileux ;
- L’acné rétentionnelle : se traduit par l’apparition de points noirs et points blancs ;
- Acné inflammatoire : repose sur l’inflammation des microkystes et des comédons. Elle est une aggravation de l’acné rétentionnelle ;
- Une acné kystique : lorsque l’acné inflammatoire évolue en entraînant des lésions beaucoup plus profondes telles que des nodules et des kystes. Cette forme d’acné nécessite le plus souvent la consultation d’un dermatologue concernant les soins.
Quel que soit le type d’acné dont vous souffriez, il est possible d’en guérir. En effet, les causes de l’apparition de l’acné sont identifiées et donc régulables afin de favoriser l’absence d’acné. De même, de nombreux soins existent de nos jours afin de venir à bout de l’acné.
Les particularités de l’acné hormonale
Parmi toutes les formes d’acné existantes, l’une est particulière : l’acné hormonale. Et pour cause, elle ne dépend pas seulement de causes externes, mais avant tout – et comme son nom l’indique – de l’activité des hormones de l’individu touché.
Tout d’abord, il est important de noter que techniquement, toutes les formes de l’acné sont hormonales. En effet, les hormones contrôlent la sécrétion de sébum. Mais l’acné hormonale présente également d’autres particularités qui permettent d’expliquer l’acné hormonale notamment s’il y a un déséquilibre hormonal.
Autrement dit, les événements de la vie, la moindre habitude de vie, le moindre changement desdites habitudes et qui est susceptible de bouleverser votre taux d’hormones peut également avoir une incidence sur l’acné hormonale. Parmi ces habitudes, il est possible de relever :
- La puberté ;
- La routine de sommeil ;
- Les habitudes alimentaires ;
- Les excès d’alcool ;
- L’impact du cycle menstruel ;
- Le niveau de stress ;
- La contraception (puisqu’elle bouleverse les hormones). De plus, l’arrêt de la pilule provoque souvent un rebond d’acné ; comment s’y préparer ?
- L’environnement dans lequel vous évoluez.
À noter : l’acné hormonale peut toucher tout aussi bien les adolescent.es que les personnes adultes.
Les conséquences de l’acné hormonale
Si les mécanismes de l’acné hormonale ne sont pas tous identifiés à ce jour, il est néanmoins possible de citer plusieurs situations dans lesquelles l’acné hormonale est susceptible de réapparaître ou, le cas échéant, de s’approfondir.
C’est le cas pour les femmes, puisque le cycle menstruel joue un rôle important dans la recrudescence de l’acné hormonale. En effet, en période menstruelle, une étude d’Elizabeth Shimer Bowers (écrivaine spécialiste de santé et de bien-être) a révélé que 50% des femmes ayant déjà de l’acné observaient une augmentation celle-ci avec une poussée d’acné ayant lieu 7 à 10 jours avant leurs règles.
Par ailleurs, une étude du CHU de Nantes révèle que 42% des femmes enceintes verraient une augmentation de l’acné durant leur grossesse. Et pour cause, la grossesse représente un véritable bouleversement hormonal et physique. Cette étude révèle aussi qu’après l’accouchement, seule une femme sur deux a vu son acné disparaître.
Les conséquences de l’acné hormonale sont plus catégoriques : puisque tout ce qui peut bouleverser les hormones se répercute ensuite sur l’acné hormonale, cette dernière est parfois plus longue et difficile à disparaître. Au quotidien, c’est la gêne, une perte de confiance en soi, une peur de l’intime ou des rapprochements, une diminution de l’estime de soi ou encore des complexes qui peuvent prendre (une grande) place dans votre vie.
Les soins possibles
Toutefois, il existe de nombreux moyens de venir à bout de l’acné hormonale. Puisqu’elle se distingue de ses sœurs en étant en corrélation directe avec le système hormonal du corps humain, en régulant ledit système et les différents taux d’hormones, il est alors possible d’atténuer l’acné hormonale.
Parmi les solutions naturelles, l’on retrouve :
Pour la routine :
- Privilégier des produits naturels ;
- Nettoyer son visage deux fois par jours ;
- Préférer l’eau tiède ou froide ;
- Ne pas frotter sa peau en la séchant, mais la tapoter doucement.
Remède naturel :
- L’aloé vera s’applique directement sur la peau affectée par l’acné. Ainsi, ses effets régénérants et astringents peuvent agir. L’excès de graisse et de sébum diminue, les boutons réduisent de volume et les tissus endommagés sont alors soignés.
En général, l’aloé vera est utilisée sous forme de gel ou directement sous la forme d’une feuille.
- L’huile d’onagre : cette huile remplie d‘acides linoléiques et gamma-linoléiques permet de réguler directement le système hormonal. Son utilisation est souvent vantée pour prévenir les douleurs prémenstruelles ou menstruelles, ou l’acné hormonale. Cette huile peut être appliquée à même la peau ou être diluée dans une lotion anti-acné habituelle. Si vous envisagez cette huile sur le long terme, il est nécessaire d’en parler à un médecin auparavant.
Les soins par des professionnels :
- Luminothérapie : à l’aide de LED, la lumière peut aider la peau à traiter l’acné. En effet, la thérapie par LED permet de réguler les hormones tout autant que de régénérer les tissus de la peau (lumière verte). Attention toutefois aux contre-indications… et n’hésitez pas à en apprendre plus sur les bienfaits de la thérapie par LED !
En quelques mots…
Ainsi, l’acné hormonale se distingue principalement de l’acné dite “vulgaire” par les causes dont elle dépend. Aussi sensible aux stimulus extérieurs telle que la pollution le stress, l’acné hormonale est également sensible à des variations propres à chacun : celles du système hormonal. L’acné peut prendre différentes formes, mais garde toujours le même visage : celui que vous n’aimez plus. Et finalement, qu’elle soit inflammatoire, hormonale, juvénile ou légère, elle peut s’avérer être un véritable fardeau à porter au quotidien.
Toutefois, il existe aujourd’hui de nombreuses façons d’en venir à bout.
Et vous, comment avez-vous vaincu votre acné ?
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, EMDR, hypnose été soins énergétiques pour le corps et le visage. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du quotidien, c’est un moment unique et paisible qui permet de se reconnecter à soi-même.
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Les bienfaits de la piscine sur l’esprit et le corps
La majorité des gens apprécie barboter dans de l’eau – surtout en plein été ! Et pour cause, les piscines rafraîchissent, amusent, détendent et musclent aussi. Mais saviez-vous qu’au-delà du divertissement ou du sport olympique, la natation et les piscines en général possédaient de nombreux bienfaits pour le corps tout autant que pour l’esprit ? Alors quels sont-ils ?
La popularisation des sports aquatiques
Si la natation existe depuis belle lurette, de nombreux sports aquatiques se sont développés il y a peu de temps. C’est notamment le cas de l’aquagym, popularisé dans les années 80 qui revient sur le devant de la scène depuis un peu plus d’une décennie. L’accès est de plus en plus facile pour les personnes voulant tester ce sport, et de nombreuses piscines proposent des outils afin de se mettre à l’aquabike (vélo dans l’eau), l’aquagym ou encore l’aquafitness.
Ces sports ont été adaptés dans l’eau afin de renforcer les efforts produits par le corps. Car chacun sait à quel point l’eau ralentit nos mouvements… comme si on bougeait au ralenti ! Et pour cause, le corps travaille beaucoup plus et de manière complète lorsqu’on fait du sport dans l’eau.
Alors quels sont les bienfaits du sport dans l’eau, de plus en plus apprécié ?
Les bienfaits de la piscine sur le corps
L’eau est un terrain de jeu tout à fait amusant pour les enfants, mais pour les adultes aussi ! Et la piscine présente de nombreux avantages pour toute pratique des sports aquatiques. De plus, la piscine permet de pratiquer de nombreux sports aquatiques, très bons pour le corps. Voici les bienfaits de la piscine sur le corps.
Limiter les chocs et douleurs articulaires :
La résistance de l’eau permet de faire travailler tout le corps. Heureusement, lorsqu’on est immergé dans l’eau, le corps ne pèse que 80% de son poids. Les mouvements sont plus faciles, plus amples, et tout le corps est sollicité avec ardeur. Pour rappel, la résistance de l’eau est 60 fois supérieure à celle de l’air… De quoi vous donner la preuve que vous êtes fortes !
Les muscles travaillent mieux :
Pratiquer du sport dans une piscine (aquagym, aquabike… etc.) permet de travailler tout autant les membres inférieurs, les lombaires et les abdominaux. Les muscles sont ainsi beaucoup plus sollicités, ce qui permet de sculpter votre silhouette de manière quasiment complète.
Améliorer la force et l’endurance :
De façon douce et indirecte, la piscine permet d’améliorer la force et l’endurance de manière générale. Loin des machines de la salle de sport, quelques longueurs ou bien du sport aquatique permettent de lier amusement, tonic, force et plaisir !
Prévient et soulage les douleurs dorsales :
Ce n’est plus un secret, la piscine est un soulagement pour le dos. En effet, elle permet de renforcer les muscles du dos, qui protègent la colonne vertébrale. De plus, la natation ou les sports aquatiques permettent de soulager les douleurs dorsales en sollicitant les muscles du dos de manière douce et sur la durée. C’est un travail complet du dos pour le plus grand bonheur des colonnes vertébrales douloureuses !
Diminue les symptômes de la sclérose en plaques :
Les activités aquatiques permettraient d’améliorer considérablement les symptômes de la sclérose en plaques. Une étude a été menée, et en suivant un programme de natation pendant 20 semaines, de nombreux patients ont vu leurs symptômes réduire. De même, la fatigue et la dépression liées à la maladie diminuaient. L’eau maintient les membres à flot sans que la personne n’ait besoin de forcer, ce qui soulage les douleurs de la maladie.
Sans danger :
Que vous choisissiez les longueurs en nage libre ou bien une séance d’aquagym, la piscine est sans danger. Que la personne souffre d’asthme, d’arthrite, d’un handicap ou autre, la piscine peut être pratiquée malgré de nombreux troubles physiques. Cette discipline permet également de se remettre de certains maux. Attention toutefois, en cas de doute, il est important de consulter un médecin avant de se mettre à la piscine de façon intense.
Les bienfaits de la piscine sur l’esprit
Si les activités aquatiques permettent de nombreux avantages physiques, elles présentent également des bienfaits importants pour l’esprit. Voici les bienfaits de la piscine sur l’esprit.
La gestion du stress :
Comme de nombreux sports, la piscine ne fait pas exception. Elle permet notamment de mieux gérer son stress. Cela est principalement dû aux endorphines libérées durant l’activité physique -comme pour tout autre sport ! Mais le fait que l’eau apaise n’est un secret pour personne. Et si certains sont insensibles à cet élément, le fait de se retrouver dans de l’eau et de pouvoir se mouvoir au-dedans est un réel plaisir apaisant. Stress, angoisse, déprime… l’eau nettoie tout -symboliquement !
Amélioration du sommeil :
Là encore, de nombreux sports permettent de voir ces bienfaits se dessiner. Ce qui est particulier avec la natation ou les activités aquatiques, c’est surtout son accessibilité et sa facilité à pratiquer régulièrement qui en fait une réelle source d’amélioration du sommeil. Tant pour les personnes âgées que pour les actives, la piscine présente un réel atout pour la qualité du sommeil. Enfin, en sollicitant tout le corps, c’est une fatigue générale qui se manifeste. De quoi passer de bonnes nuits reposantes !
Libération des endorphines :
Tout comme de nombreux sports, la piscine permet de libérer des endorphines, hormones qui impactent directement l’humeur. Ainsi, la natation permet de renforcer l’’humeur, la confiance en soi et les compétences sociales. Tout cela a de façon indirecte l’estime que la personne a d’elle-même.
En quelques mots…
Ainsi, la piscine présente de nombreux bienfaits, tant pour la tête que pour le corps. Que vous choisissiez la rigueur des longueurs, la fantaisie de l’aquagym ou l’endurance de l’aquabike, l’eau vous permettra de vous détendre et de vous muscler en même temps !
Et vous, allez-vous souvent à la piscine ?
De mon côté, j’aime bien y aller autant que je peux ! Cela me soulage toujours et permet de me muscler en douceur ! N’oubliez jamais qu’il est plus facile de faire du sport en faisant un sport qui nous plaît !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR et soins énergétiques du visage et du corps.
Les séances sont réalisées dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Rue Avenue de Wagram, 75017.
Si la piscine permet de se muscler en douceur, les soins énergétiques du corps et du visage permettent quant à eux de vous connecter en profondeur à vous-mêmes dans une vision de bien-être et de paix. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Eloignée du bruit du quotidien, du stress qu’il fait naître et des soucis qu’il cause, venez faire connaissance avec vous-même.
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Comment se sortir d’un burn-out ?
Il est, à ce jour, de plus en plus fréquent de rencontrer quelqu’un qui a fait ou fait un burn-out. Mais que cache en réalité cet anglicisme ? Si cela semble de plus en plus répandu, il est toutefois impossible de déterminer depuis combien de temps le burn-out existe. On le nomme depuis peu, on l’identifie enfin, mais il est tout à fait possible que certaines personnes en aient souffert dans le silence le plus total au siècle dernier. Identifier et nommer le burn-out a permis de mettre en place de nombreux soins pour permettre de s’en sortir. Alors qu’est-ce qu’un burn-out exactement ? Et comment renaître après l’avoir vécu ?
Qu’est-ce qu’un burn-out ?
L’anglicisme n’est découvert qu’au siècle dernier mais il est de plus en plus employé. En français, l’on parle davantage d’un syndrome de l’épuisement professionnel. L’épuisement ressenti est tout autant physique que mental, d’ailleurs. Toutefois, il est important de noter que le burn-out ne prend pas sa source que dans le monde professionnel, mais bel et bien qu’il peut survenir à n’importe quel moment lorsqu’on est surmené.
Le plus souvent, il surgit à la suite d’un surmenage important, des émotions fortes ou un choc qui a été vécu mais mal ou pas intégré. L’on parle de burn-out lorsque la situation est problématique et que la personne n’est plus capable d’y faire face. Il y a une notion de durée à la fois importante et destructrice dans le concept du burn-out.
Ainsi, le burn-out est la dernière étape d’un processus stressant à tous points de vue. La dépression et le stress sont souvent liés au burn-out, et une fois atteint l’état d’épuisement sur tous les tableaux, c’est un chemin long et bordé d’épreuves pour pouvoir s’en sortir. Néanmoins, l’on s’en sort.
Détecter le burn-out : les signes qui ne trompent pas
Comme pour beaucoup de choses, vouloir guérir ne suffit pas toujours. Et dans le cas d’un burn-out, les personnes qui sont en prise avec ses rouages n’en sont pas systématiquement conscientes. Dire que l’on fait un burn-out, que l’on traverse cette épreuve est la première étape vers le retour à soi, mais surtout, c’est un cap difficile à passer. Et pour cause, les signes d’un burn-out sont aussi variés que les situations qui s’accumulent et le provoquent.
Les signes qui s’accumulent :
Les signes qui prédisent la présence d’un burn-out peuvent être divisés en trois parties. D’une première part, les signes qui doivent alerter lorsqu’ils se succèdent et s’accumulent :
- Un état de fatigue qui ne s’apaise jamais, un épuisement chronique ;
- Un cynisme vis-à-vis du travail, une vision négative de celui-ci ;
- Une perte d’efficacité dans le travail, qui s’étend doucement aux projets personnels ;
- Absence de sentiment d’accomplissement, perte de satisfaction quant à la tâche effectuée.
Encore une fois, le burn-out est souvent lié à l’activité professionnelle de la personne qui l’éprouve. Cependant, parfois, le burn-out peut naître de situations personnelles compliquées ou non résolues qui, également, s’étendent dans le temps.
Les symptômes physiques :
D’autre part, les symptômes peuvent être physiques. Et c’est souvent le cas lorsque tout semble aller de travers et que l’on perd psychologiquement pied. Le mental et le corps sont liés, et cela a d’inévitables répercussions sur la santé physique. Ainsi, l’on retrouve des symptômes tels que :
- Une fatigue générale, pesante et surtout inhabituelle ;
- Des troubles du sommeil de plus en plus fréquents ;
- Des douleurs chroniques (comme les lombaires) ;
- Douleurs musculaires ou des crampes musculaires régulières ;
- Une perte d’appétit ;
- Des troubles digestifs que vous n’aviez pas avant ;
- Régulièrement des maux de ventre ou de tête.
Les symptômes psychiques :
Enfin, le burn-out peut également présenter des symptômes psychiques qu’il est difficile d’ignorer. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
- Perte de motivation importante pour le travail et les activités personnelles ;
- Un sentiment de tristesse qui semble inexplicable ;
- Une anxiété qui s’étend envers tous les domaines ;
- Sensibilité plus accrue que d’ordinaire ;
- Sentiment d’indifférence de plus en plus important ;
- Réactions excessives ou disproportionnées ;
- Irritabilité et agressivité inhabituelles ;
- Ressentiment qui peut altérer les relations interpersonnelles ;
- Troubles de mémoire ou de l’attention ;
- Perte de concentration ;
- Troubles addictifs ;
- Baisse importante de l’estime de soi.
Ainsi, tous ces symptômes, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent être perçus comme de réels indices quant au fait que la personne soit en train de faire un burn-out. Il est important de rester à l’écoute de son corps et de son esprit afin de détecter le plus tôt possible les signes qui ne trompent pas.
Se sortir du burn-out : mission possible !
Tout d’abord, il est important de noter que la reprise de soi, de sa vie et du travail après un burn-out puisse être éprouvante. C’est ce pourquoi il est important de se consacrer pleinement à sa propre guérison. Le burn-out est un appel à l’aide de l’être, et il faut savoir l’écouter. Et rassurez-vous, l’on peut s’en sortir !
Laisser le temps au temps :
Cela peut paraître banal et insignifiant, pourtant le temps guérit beaucoup de choses. Et dans une société qui a souvent des difficultés à ralentir quelque soit le domaine, prendre son temps permet de se recentrer sur les choses importantes de la vie. De même, cela permet de vous (re)découvrir et de (ré)apprendre à vous aimer tel que vous êtes. Toute la vie nous soumet à des évolutions constantes, alors prendre le temps de faire le point avec soi-même est un procédé sain et bienfaisant pour soi et les autres.
Accepter de l’aide :
Il est souvent difficile d’admettre qu’on a besoin d’aide, car l’imaginaire commun associe cela à de la faiblesse. Et pourtant ! N’y a-t-il personne de plus fort que celle qui connaît ses limites et ses failles ? Le burn-out peut conduire, tout comme la dépression, à un isolement autant physique que psychique. Il est alors primordial de ne pas se fermer à l’aide que peut nous apporter l’entourage ou les professionnels. Non pas par faiblesse, mais bel et bien parce que tout le monde ne peut pas remettre un pied à l’étrier tout seul : un coup de main est toujours agréable !
Se reconnecter à soi :
Le burn-out peut vous éloigner de qui vous étiez. Une épreuve pareille vous fait souvent vous rendre compte à quel point la vie a évolué, et vous aussi. Le fait de traverser le burn-out n’est vraiment pas agréable, mais rien ne vous empêche de le voir comme une opportunité. Tout votre corps vous crie « STOP ! ». Et si vous l’écoutiez ? Peut-être est-il temps de vous accorder du temps pour vous, et uniquement vous. Les choses qui vous tiennent à cœur ne bougeront pas pendant que vous prenez soin de vous.
Se réorienter :
Et si c’était l’occasion de se recentrer sur vos désirs et vos attentes, et de changer un peu votre vie, votre profession ? Se reconnecter à soi permettra de voir l’avenir sous un nouvel angle et de retrouver des forces pour continuer à avancer. Il arrive que beaucoup de personnes se trompent de direction professionnelle, et ce n’est pas grave. C’est une expérience. Mais le burn-out pourrait bien être l’occasion de se réorienter vers quelque chose qui vous tient profondément à cœur, qu’en dîtes-vous ?
Découvrir :
Le burn-out peut également mener à de nombreuses découvertes. Autant sur vous-même que sur ce qui vous fait vibrer, il est important de s’écouter et de se rouvrir peu à peu au monde qui vous entoure. Vous avez toujours voulu tester l’escalade ? Foncez ! Le monde est beau et rempli de tant et tant de choses qu’il est important de vous écouter et d’oser !
Les médecines douces :
Une autre chose qui peut s’avérer d’une grande aide en cas de burn-out, ce sont les médecines douces. À l’écoute de l’être humain et de sa nature avant de remplir des cases de productivité et de résultats, elles permettent d’apprendre de nouvelles techniques pour faire attention à soi, se soigner avec douceur et bienveillance… etc.
En quelques mots…
Le burn-out est comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Et il est parfois possible de confondre l’œil du cyclone pour la fin des troubles et de la souffrance… C’est ce pourquoi il est essentiel de se concentrer sur soi, de se recentrer et de veiller sur soi. Car tout comme les plus vives des tempêtes, le passage du burn-out suppose de mettre plusieurs mois ou années à reconstruire. Mais il est bien possible de (se) reconstruire après une telle épreuve.
Ayant déjà été confrontée au burn-out dans ma vie, je peux vous assurer que si ce n’est pas simple, c’est tout de même possible ! Écoutez-vous, faites-vous confiance, développez vos sens et évoluez pour le mieux. Les médecines douces sont une vraie aide pour ce genre d’épreuve, car elles apportent à la fois des soins et des techniques de vie.
Je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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Comment fonctionne l’hypnose ?
Si de nos jours, l’hypnose est pour beaucoup synonyme de spectacle et de magnétisme, de surnaturel ou de scepticisme, il n’en a pas toujours été ainsi. On oublie souvent qu’à la base, l’hypnose est une technique qui permet de guérir et de soulager des symptômes. Si le terme et la pratique ont longtemps fait débat -et que c’est encore le cas aujourd’hui-, c’est car l’hypnose reste en grande majorité méconnue. Alors comment fonctionne l’hypnose ? Est-elle efficace ? Pourquoi se tourner vers une thérapie par hypnose ?
Les origines de l’hypnose
L’hypnose prend sa source au XVIIIe siècle. À cette époque, l’hypnose n’existe pas en tant que telle. Il faut attendre la venue du médecin viennois Franz Anton Mesmer, qui associe alors la pratique de l’hypnose à du magnétisme. Il étudie à cette époque les comportements jugés comme surnaturels et parvient à les annihiler. Pour rappel, à cette époque, l’influence religieuse était très présente, et les traitements proposés par Mesmer offraient alors une alternative à cette omniprésence binaire (mal/bien).
À ce siècle, il est alors de plus en plus courant de se voir injecté un produit qui permet de régler le blocage entraîné par le corps. Le produit injecté provoquait alors un état de crise, et il était possible au thérapeute d’agir pour réduire ce blocage et diminuer la crise. Il utilisait notamment des aimants qui permettaient d’avoir une action supposée sur les maux du patient.
Le terme « hypnose » n’apparaît que plus tard, au cours du XIXe siècle. La création de ce terme est le plus souvent associée à James Braid, un médecin écossais qui aurait perçu un parallèle entre la pratique et le dieu grec du sommeil, Hypnos.
Ils sont ensuite de nombreux hommes de sciences à venir voir les travaux de certains à la Salpêtrière à Paris. Freud y fait également un petit passage, et toutes les expériences sont portées sur des femmes qui seraient atteintes « d’hystérie ». Au siècle suivant, les pratiques de l’hypnose sont de plus en plus rares. Mais finalement, cette pratique revient petit à petit, et l’on s’aperçoit qu’elle permet de soigner de nombreux maux.
L’hypnose Ericksonienne
C’est au cours du XXe siècle que Milton Erickson propose une nouvelle forme d’hypnose. Sa pratique de l’hypnose met en avant les images mentales. C’est lors de son adolescence qu’il découvre le potentiel de l’inconscient, à la suite d’une maladie qu’il a contracté.
L’hypnose Ericksonienne place le patient dans une représentation mentale qui lui est agréable avant de lui parler afin de le diriger. Le vocabulaire utilisé est alors symbolique pour tenter de délier les problématiques ou les blocages du patient.
Parmi les bienfaits de l’hypnose Ericksonienne, l’on retrouve notamment la diminution de la douleur, une meilleure gestion des émotions ou encore l’arrêt du tabac.
Comment fonctionne l’hypnose ?
La première chose à savoir est que sous hypnose, personne n’est totalement inconscient. Ce n’est ni un état de sommeil, ni un état de veille. Il s’agit d’un état entre-deux, où le patient peut entendre et ressentir les choses. Bien souvent, le patient ressent d’ailleurs un état de bien-être, de sérénité. Dans l’hypnose médicale, la thérapie se fait par la parole du praticien.
Pour rappel, l’inconscient est la partie du cerveau qui permet de gérer les mécanismes les plus basiques (respirer, le système cardiaque et digestif…etc.). Autrement dit, l’hypnose est une pratique qui va permettre d’aller chercher de nouvelles solutions dans l’inconscient, là où le conscient peut se retrouver limité de par ses blocages ou ses traumatismes.
L’hypnose offre alors un lieu unique et personnel dans lequel la conscience est alerte et le patient tout à fait conscient du temps et de l’espace. Il peut accéder à des perceptions visuelles, olfactives, auditives…etc. C’est un état de conscience élargi, qui permet ensuite au patient de se focaliser sur une chose bien précise (par exemple, sa douleur ou sa peur).
C’est car l’hypnose quitte la logique rationnelle et se rapproche de l’état des rêves qu’il est alors possible au thérapeute de pouvoir soigner ou délier certaines problématiques.
Les bienfaits de l’hypnose
Parmi les bienfaits de l’hypnose, il est possible de retrouver :
- L’arrêt du tabac ;
- L’arrêt d’une addiction ;
- Maigrir ou conserver son poids ;
- Les problèmes de sommeil (insomnies…) ;
- La confiance et l’estime de soi ;
- La gestion des émotions ;
- Le traitement des phobies ;
- Traverser un deuil, une séparation ;
- La lutte contre la dépression ou l’anxiété ;
- Les douleurs chroniques (migraines, lombalgies…etc.) ;
- Le développement de sa capacité d’apprentissage.
Les séances d’hypnose chez Nouvelle
Chez Nouvelle, vous pourrez avoir accès à des séances d’hypnose avec moi. Parce que le bien-être devrait être au centre des préoccupations, vous pourrez trouver un cabinet agréable, apaisant où chaque détail permet de vous détendre et de vous mettre en condition pour ce moment unique.
Une séance d’hypnose permet d’entamer un processus de guérison, et le plus souvent, il faut plusieurs séances afin de venir à bout d’une problématique ou d’un blocage. L’hypnose peut être utile si vous :
- Traversez une période d’inaptitude ;
- Avez le souhait de vous connaître et de vous rencontrer ;
- Voulez travailler sur le sommeil ;
- Cherchez une aide pour vos angoisses ou la gestion du stress ;
- Voulez vous débarrasser d’une addiction ;
- Avez besoin d’aide pour traiter une ou plusieurs phobies.
En quelques mots…
L’hypnose a su devenir à travers les siècles une véritable voie pour la guérison. Elle apporte soutien dans de nombreuses démarches, et force dans tout autant d’entreprises. Expérimenter une séance d’hypnose, c’est parfois le premier pas vers un bien-être que l’on ne soupçonnait pas.
Et vous, avez-vous déjà eu recours à l’hypnose ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute et experte en neurosciences, en hypnose, EMDR, et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Par ailleurs, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas qu’’il apporte toujours, prenez le temps de vous connaître, de respirer et de vous aimer. Bienveillance et spiritualité sont au cœur de ces séjours uniques.
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La thérapie EMDR : quels sont ses bienfaits ?
Plus récente que certaines autres thérapies, la thérapie EMDR émerge dans les années 80. Néanmoins, en France, elle reste souvent méconnue ou amoindrie. Pourtant, elle a su devenir un outil remarquable dans le traitement du stress post-traumatique ou encore des phobies. Aujourd’hui, elle revient lentement sur le devant de la scène, et de plus en plus de personnes se tournent vers cette thérapie qui permet de surmonter ses peurs, des événements douloureux ou encore des traumatismes.
Alors qu’est-ce que la thérapie EMDR ? Quels sont ses bienfaits ? Découvrez tout ce qui compose cette thérapie fascinante qui repose principalement sur les mouvements de l’œil.
Petite histoire et origines de l’EMDR
Avant toute chose, il est important d’expliquer ce qu’est l’EMDR. En effet, le sigle désigne en réalité : Eye Movement Desentitization and Reprocessing (en anglais). En français, ce sigle -et la thérapie en elle-même- peuvent se traduire par « Désensibilisation et Retraitement par les Mouvements Oculaires ».
La découverte de cette thérapie est assez cocasse. Et pour cause, c’est Francine Shapiro, une psychologue américaine (Californie), qui découvre par hasard l’EMDR. Elle se baladait en effet dans un parc en 1987 lorsqu’elle découvre l’effet bénéfique des mouvements oculaires. Elle se hâte ensuite de l’expliciter dans sa thèse. Depuis lors, elle consacre sa carrière à démocratiser et promouvoir cette thérapie. Elle a d’ailleurs reçu plusieurs prix pour ses recherches.
Malgré la découverte récente de la thérapie EMDR, sa technique précise n’est pas totalement inconnue du public. Et pour cause, elle est directement en lien avec d’anciennes thérapies de réadaptation visuelle comme l’optométrie cognitive. Cette dernière était souvent utilisée pour ses bénéfices comportementaux et cognitifs. De même, depuis les années 20, c’est l’optométrie comportementale qui était à l’honneur, découverte par A.M. Skeffington. En France, il faudra toutefois attendre les années 30-40 pour que Georges Quertant initie cette perspective avec une méthode originale de thérapie visuelle comportementale.
EMDR : comment ça marche ?
En ce qui concerne l’EMDR, son fonctionnement est relativement simple, bien que très précis. En effet, à l’époque, les spécialistes comprennent que souvent, le simple fait d’évoquer verbalement le traumatisme ne permet pas de le guérir. C’est ici qu’entre en jeu l’EMDR. Via une méthode rigoureuse faisant appel à la stimulation bilatérale (sonore, visuelle ou tactile), il s’agit de rappeler au corps les événements passés en toute sécurité.
De son point de vue, Francine Shapiro explique que le traumatisme est souvent un amas d’expériences passées qui n’ont pas réussi à être intégrées par le cerveau. L’EMDR permet alors d’associer de nouvelles sensations aux traumatismes, et cette procédure forme alors la somme des expériences passées et présentes qui peuvent ainsi être intégrées. Et pour cause, la charge émotionnelle du souvenir traumatique sera amoindrie et donc plus facilement gérable.
Le mouvement des yeux entre en scène puisque son rythme serait le même que celui qui a lieu lorsqu’un individu rêve. Cette stimulation permettrait de faire passer le souvenir traumatique dans le cortex au lieu qu’il reste dans le cerveau limbique qui est lié aux émotions. En quittant le cerveau limbique, le souvenir traumatique pourra être assimilé par le cortex. Les symptômes émotionnels disparaissent alors.
Les bienfaits de l’EMDR
Au fil des années, la méthode de l’EMDR a pu s’affiner de telle sorte qu’elle peut traiter aujourd’hui plus que le stress post-traumatique. Voici les bienfaits que cette thérapie présente :
Renforcer les ressources internes :
S’engager dans une thérapie EMDR, c’est pouvoir tirer la force nécessaire pour que les traumatismes soient traités. Plus largement, la thérapie EMDR permet de renforcer les ressources internes du patient (force, détermination, apaisement).
Réduire les symptômes liés au stress post-traumatique :
Parmi ces symptômes, l’on retrouve l’anxiété, la dépression, le deuil traumatique ou encore la détresse psychologique. Certaines études ont mis en évidence le fait que l’EMDR avait aidé de nombreuses victimes de guerre, de crimes et d’agressions sexuelles.
Réduire la douleur chronique :
Dans le cas de la douleur chronique, la thérapie EMDR présente des résultats encourageants. En effet, elle permet de diminuer les sensations douloureuses et les douleurs gênantes en améliorant la perception physique et émotionnelle de la douleur. Plus largement, cette thérapie permet de réduire, à long terme, l’anxiété ou la dépression qui peuvent être liées auxdites douleurs.
Traiter les phobies :
L’EMDR permettrait de soigner les phobies en réduisant les effets de celles-ci. Cependant, il est important de prendre en compte que la thérapie de l’EMDR demeure relativement récente, et les études empiriques restent peu nombreuses pour assurer des résultats fiables à 100%.
Une séance d’EMDR : déroulement
Grâce à une séance préparatoire, la thérapeute apprend à connaître le traumatisme et son patient. Lorsque le patient doit se représenter le traumatisme qu’il a vécu, la représentation peut être visuelle, cognitive, émotionnelle ou physique.
La thérapeute va ensuite procéder à divers stimulus, qu’il s’agisse d’un toucher sur les deux côtés du corps, de mouvements devant les yeux ou encore de sons de chaque côté de la tête. Le processus reprend, et les stimulus sont récurrents.
Le dialogue entre le patient et la thérapeute sont maintenus le plus souvent, afin de veiller à votre bien-être.
En quelques mots
La thérapie EMDR, bien que plutôt récente dans nos pratiques a pourtant montré des résultats assez rapidement. Pour le moment, cette thérapie est reconnue par l’OMS et l’INSERM. Mais de nombreuses expériences ont également démontré que la thérapie EMDR pouvait s’avérer être un réel outil de soin et de guérison pour beaucoup de blocages émotionnels dus à des traumatismes.
Et vous, avez-vous déjà suivi une séance d’EMDR ?
De mon côté, c’est un soin que je pratique. Je suis Charlotte Vallet, thérapeute et experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet situé à Paris, au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017.
Parce qu’il est important de prendre soin de soi dans un monde qui tourne à cent à l’heure, n’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir au plus proche de la nature. Loin du quotidien et des tracas qu’’il apporte toujours, prenez le temps de vous connaître, de respirer et de vous aimer.
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Chute de cheveux en automne : comment agir ?
Qui n’a jamais retrouvé des cheveux coincés dans une jolie écharpe en laine ? Ou encore dans son chouchou préféré ? Les cheveux sont composés de telle sorte qu’ils poussent –plus ou moins vite selon les personnes ou les saisons. Et l’automne s’avère souvent être une saison fatale pour nos poils les plus longs. Alors pourquoi la saison automnale favorise la chute de cheveux ? Comment éviter de perdre trop de cheveux ? Quels sont les meilleurs tips naturels ?
Pourquoi les cheveux tombent-ils en automne ?
Si l’automne est la saison de la chute des feuilles, c’est aussi celle de la chute des cheveux ! Et pour cause, durant cette saison, les cheveux tombent deux à quatre fois plus que le reste de l’année. Mais il n’y a pas de quoi paniquer : en effet, l’automne est la saison naturelle pour la chute des cheveux. Car finalement, tout comme les feuilles des arbres, ils arrivent « en fin de vie » après une période de soleil et de chaleur. C’est alors tout naturellement qu’ils tombent. Ce phénomène s’appelle la chute saisonnière et dure en moyenne de 4 à 6 semaines.
Néanmoins, il existe des facteurs qui aggravent considérablement la chute de cheveux durant cette saison.
Les facteurs aggravants de la chute de cheveux
Malgré que la chute de cheveux en automne soit un phénomène physiologique naturel, elle peut être aggravée par de nombreux facteurs. Ceux-ci ont diverses influences mais favorisent tous une chute plus importante des cheveux. Parmi ces facteurs, l’on retrouve :
Les carences :
Qu’il s’agisse de minéraux ou de vitamines, le corps en a besoin ! C’est aussi pourquoi il est si important de faire le plein d’énergie en automne, comme à chaque changement de saison. Cela permet au corps et à l’esprit d’amorcer ces bouleversements avec sérénité et en étant préparé. Parmi les minéraux et les vitamines indispensables pour les cheveux, il y a :
- Les vitamines B ;
- Le zinc ;
- Le soufre (contenu dans le chou vert, l’ail frais, la ciboulette, les crevettes, les jaunes d’œufs cuits…) ;
- Silicium ;
- Oméga-3.
La période post-été :
Si l’été permet de faire le plein de vitamine D, de soleil, de joie et de souvenirs, c’est également une période qui peut faire souffrir les cheveux sans que l’on s’en rende compte immédiatement. Au-delà du soleil et de la chaleur, c’est aussi la présence de chlore (piscine) ou de sel (l’océan) qui peuvent nuire aux cheveux notamment en les asséchant voire en ayant un effet d’oxydation sur eux. Si durant l’été, ils ne sont pas particulièrement chouchoutés, une fois l’automne présent, leur chute est d’autant plus inévitable.
Le stress et la fatigue :
Tels sont deux autres facteurs aggravants pour la chute de cheveux. En effet, durant ou suite à une grosse période de stress, il est possible que les cheveux tombent. Ce phénomène est principalement dû au fait que le stress a un impact direct sur les cellules et en particulier sur les follicules pileux. De même, le stress, outre intensifier la chute de cheveux, peut également avoir un effet délétère sur le cuir chevelu et rendre plus difficile et donc plus rare la repousse des cheveux.
Il est d’ailleurs possible de diminuer son stress par de petits gestes au quotidien.
En ce qui concerne la fatigue, le phénomène est le même. Souvent, la fatigue est elle-même un effet secondaire d’un choc émotionnel ou d’un stress intense. Elle alimente elle aussi une chute de cheveux plus importante que d’ordinaire. Enfin, le stress et le fatigue peuvent être particulièrement élevés en automne, période durant laquelle se déroule notamment la rentrée (scolaire, étudiante, professionnelle…). Il est donc important de bien dormir.
Les hormones :
Les hormones ont également un rôle à jouer dans la perte de cheveux. Ce sont les hormones androgènes qui sont directement responsables de la chute de cheveux, tant chez l’homme que chez la femme. Mais chez cette dernière, les cycles menstruels ainsi que la ménopause, la prise de la pilule ou d’autres facteurs peuvent également avoir une influence sur la chute de cheveux.
Les remèdes naturels pour lutter contre la chute de cheveux
L’automne est donc une période particulièrement propice à la perte de cheveux. Néanmoins, il est possible de prendre les choses en main et il existe pour cela de nombreux remèdes naturels ou de « grand-mère » afin de réduire la chute de cheveux en automne.
Adapter son alimentation :
Tout ce qui passe la barrière des lèvres possède une influence sur le corps. L’alimentation permet de veiller au bien-être du corps dans son ensemble. Concernant la perte de cheveux, il est important de privilégier des aliments comportant du zinc, du magnésium, du fer et des vitamines A et E. Ces nutriments, il est possible de les retrouver dans les jaunes d’œufs, les noisettes, les bananes, les céréales complètes ou bien les kiwis.
Modifier sa routine capillaire :
Au-delà de l’alimentation, il est important de prendre soin de ses cheveux. Tout comme certaines saisons et périodes, il est nécessaire d’adapter sa routine pour la peau, il en va de même pour les cheveux ! Il est possible de privilégier :
- Les shampoings doux qui permettent d’éliminer le sébum et les cellules mortes ;
- Limiter les produits coiffants ;
- Privilégier le brossage de cheveux pour stimuler la circulation sanguine et éliminer les cheveux morts.
L’utilisation de certaines huiles :
Certaines huiles permettent de stimuler le cheveu et sa repousse. Il est alors possible de réaliser des bains d’huile qui permettent de nourrir le cheveu tout en le stimulant. C’est notamment le cas pour les huiles de ricin et de moutarde. De même, les huiles essentielles de romarin, d’ylang-ylang ou encore de Bay St Thomas permettent de purifier le cuir chevelu de manière naturelle.
Cure de vitamines et compléments alimentaires :
La vitamine B permet de booster la pousse de cheveux tout en renforçant le cheveu. Plus vigoureux, vos cheveux pousseront davantage et seront d’autant plus forts ! De même, la biotine permet d’épaissir le cheveux et limite la casse du cheveu.
Consulter :
Si malgré les différentes options qui vous sont proposées, la chute de cheveux vous semble anormale ou exceptionnellement importante, il est également possible de consulter. Ce n’est pas un remède de grand-mère, mais si cela vous semble nécessaire, vous ne devez pas hésiter. Après tout, mieux vaut prévenir que guérir !
En quelques mots…
Pour conclure, la chute de cheveux en automne est tout à fait naturelle. Excepté en avril, la pousse des cheveux vit un « pic » en juillet et est vouée à tomber environ cent jours plus tard -ce qui correspond à l’automne. Il existe de nombreux autres facteurs qui encouragent la chute de cheveux, mais cela ne doit pas vous décourager.
Il existe de nombreuses solutions qui permettent de redonner vie et force à vos cheveux ! Les masques naturels sont également très appréciés, bien qu’il est toujours préférable de le faire chez soi avec des ingrédients les plus naturels possible.
Et vous, quels sont vos secrets pour maintenir vos cheveux en forme et lutter contre la perte de cheveux en automne ?
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances dans mon cabinet à Paris, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement sur Doctolib ou bien par téléphone au 06.85.45.84.83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir au plus proche de la nature. Loin du quotidien et des tracas qu’’il apporte toujours, prenez le temps de vous connaître, de respirer et de vous aimer.
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Les bienfaits inconnus d’un nettoyage du côlon
Constipation, ballonnements, épisodes de diarrhée… le système digestif nous joue parfois de sacrés tours ! Mais depuis quelques années, le colon revient sur le devant de la scène. Les tabous se lèvent, les langues se délient. Le syndrome du colon irritable est enfin nommé, et soulagé. Mais au-delà des désagréments et de possibles syndromes, quelle est la réelle importance du colon ? Cet organe masqué revêt un intérêt capital dans notre santé – physique comme mentale. Zoom sur un organe méconnu, et les soins qui existent pour en révéler toute la splendeur !
Le rôle du côlon pour le corps
Le colon est l’un des organes de la digestion. Il fait directement suite à l’intestin en le reliant avec le rectum. Il constitue la partie terminale de ce que les médecins appellent le « tube digestif ». Sa longueur varie de 1,50M à 1,80m.
Depuis plusieurs années, les ouvrages et articles à propos du système de digestion ne cessent de se multiplier. Et à la clé, la compréhension d’une grande partie de l’état de santé chez les êtres humains. « Le charme discret de l’intestin » (Giulia Enders), « L’intestin, notre deuxième cerveau » (Francisca Joly Gomez) ou encore « L’intestin au secours du cerveau » sont des livres qui ont eu beaucoup de succès. Mais derrière ces titres, une réelle découverte se profile.
L’on commence tout juste à comprendre que le cerveau n’est peut-être pas le seul référent du corps humain. Et pour cause ! L’intestin (et le colon, et tout le système digestif) est une aide très précieuse pour notre organe cérébral. Ce dernier étant isolé, filtrant les informations et les éléments du corps qui lui parviennent… l’intestin joue un rôle essentiel dans un corps en bonne santé. C’est le seul organe qui parvient à être en contact direct avec les éléments intérieurs et extérieurs du corps humain.
Et le colon n’est pas en reste, puisqu’il joue le rôle d’un purificateur de tout le corps en éloignant ainsi les bactéries et les toxines dont l’organisme n’a pas besoin.
Un côlon en bonne santé = un corps en bonne santé !
Puisque c’est le colon qui est en charge de l’élimination des toxines du corps, il est naturel d’en prendre soin. En effet, si trop de toxines s’accumulent ou ne sont pas éliminées, cela peut avoir une répercussion sur la santé de l’organisme entier.
C’est pourquoi, après cette première vague d’ouvrages concernant l’importance du système digestif et surtout de sa bonne santé, sont aujourd’hui mis en avant différents moyens d’en prendre soin. Plus particulièrement, ce sont les nettoyages du colon qui se démocratisent et auxquels de plus en plus de personnes ont recours. Et pour cause, les nombreuses tâches du colon sont :
- Eliminer 70% des déchets du corps
- Participer à l’immunité
- Intervenir dans la fabrication des hormones
- posséder une action sur l’équilibre émotionnel
- Veiller au bon fonctionnement de l’organisme.
Alors quels sont ses bienfaits ? Comment se déroule une séance ?
Nettoyage du côlon : késako ?
Le nettoyage du colon a pour but d’aider l’organe à se nettoyer et se vider. Dans le cas où les déchets ne seraient pas utiles pour l’organisme, le colon a pour objectif de s’en débarrasser. Mais parfois, il arrive qu’il n’y parvienne pas… seul. C’est alors qu’entre en jeu le nettoyage du colon. Il existe deux principales méthodes (mais ce ne sont pas les seules) :
- Nettoyage par absorption de fibres et d’eau ;
- Nettoyage par irrigation.
Nettoyage par absorption des fibres et d’eau :
Cette première méthode consiste à procéder à une réalimentation totale. Une alimentation à base de fibres et de beaucoup d’eau permettra au colon d’évacuer davantage de matière, dont des toxines qui étaient peut-être réfractaires à l’idée de quitter l’organe. C’est une méthode qu’il ne faut pas tester seul. Il est important d’en discuter a minima avec votre médecin traitant afin de convenir de ce qui pourrait être le plus adapté pour vous.
Nettoyage par irrigation ;
Le nettoyage du colon par irrigation est une technique ancienne qui a été perdue de vue. En France, elle revient timidement sur le devant de la scène, là où l’Allemagne, le Canada et les États-Unis la pratiquent régulièrement et sans réserve.
Cette méthode consiste à se rendre chez un.e spécialiste, grâce à qui vous pourrez effectuer des séances d’irrigation. Cela consiste à adapter son alimentation quelques jours avant la séance, avant de procéder, le jour J, à une irrigation. L’eau est délicatement introduite par le rectum, à l’aide d’un tuyau relié à un appareil. Une fois à l’intérieur, l’eau effectue un nettoyage des parois du colon, afin d’en déloger toutes les toxines retenues. L’eau ressort ensuite par un autre embout, en circuit fermé, ce qui évite les odeurs.
Les bienfaits du nettoyage du côlon :
Les bienfaits du nettoyage du côlon, sont souvent inconnus et pourtant bien réels. Parmi eux, l’on retrouve :
- Détoxification de tout l’organisme : en détoxifiant l’organisme, cela lui permet d’améliorer son fonctionnement dans sa globalité
- Apporte du confort intestinal : le nettoyage du colon permet d’amenuiser les problèmes digestifs. C’est ainsi que la constipation, les diarrhées, les ballonnements, les éliminations incomplètes, les déséquilibres intestinaux et la candidose se raréfient de plus en plus.
- Réduire la fatigue, améliorer le sommeil
- Apaiser le système nerveux jusqu’à ce qu’il retrouve son équilibre
- Améliorer les problèmes de peau (eczéma, acné)
- Réduit l’asthme et les allergies
- Effet anti-inflammatoire et améliore l’état des articulations
- Combattre les infections urinaires
- Réduire les douleurs liées aux menstruations
Les bienfaits sont nombreux. Et pour ceux qui pratiquent le jeûne intermittent, le nettoyage du côlon aurait également des vertus. Parmi elles, le nettoyage du côlon permet d’éviter les troubles directement liés à l’acidose comme les maux de tête ou la baisse de la tension. De même, avant la fin du jeûne, elle permet d’aider le corps à éliminer tout ce qui ne l’a pas été en amont.
Les contre-indications
Mais cette pratique présente également quelques contre indications auxquelles il faut être attentif.
- En cas de grossesse
- Crises d’hémorroïdes aiguës ou fissures anales
- Hypertension non stabilisée à l’aide d’un traitement
- Insuffisance rénale
- Cancer digestif
- Hernies abdominales
- Maladie de Crohn
- Pathologies du foie (cirrhose)
En quelques mots…
Ainsi, le nettoyage du côlon possède de nombreuses vertus pour l’organisme dans son ensemble. Ayant un impact direct autant sur la santé physique que mentale. Bien que la pratique d’irrigation du côlon ne soit pas reconnue par la médecine conventionnelle, c’est une pratique qui existait déjà à l‘Antiquité, sous la forme plus simple d’un lavement.
Les effets du nettoyage du côlon sont indéniables, et permettent au corps de prendre un nouveau départ tout en améliorant sa santé. Découvrez d’autres tips pour booster son immunité !
Et vous, avez-vous déjà fait un nettoyage du côlon ?
Moi-même je ne l’ai testé que récemment, et j’étais surprise de constater les effets que cela a eu sur mon corps : je me sentais tellement bien ! Et je vais vous partager l’adresse du cabinet de la merveilleuse professionnelle que je suis allée voir :
39 rue Châteaudun, 75009 Paris (9ème).
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnothérapeute, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage (drainage lymphatique notamment).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Ou par téléphone au : 06. 85.45.84.83.
Mon cabinet se situe d’ailleurs au : 87 Bis Avenue de Wagram 75017 Paris
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être au cours de l’année. Pour se (re)découvrir ou simplement prendre de la distance avec les tracas du quotidien, les retraites offrent un souffle de repos et de bien-être.
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Tips pour booster son immunité !
Si l’été est bien présent, personne n’est à l’abri d’un petit rhume ou d’une autre bactérie qui n’attendrait que le moment opportun pour se montrer… Le système immunitaire est l’un des systèmes du corps humain les plus importants. Il permet de faire barrage à de nombreux éléments extérieurs qui pourraient être source de maladie ou de complication. Mais comme tout, il faut en prendre soin pour qu’il soit le plus efficace possible. Alors comment prendre soin de son système immunitaire ? Y a-t-il une façon de le booster ? Et si, oui comment faire ?
Qu’est-ce que le système immunitaire exactement ?
Le système immunitaire se compose des organes, cellules, tissus et molécules du corps humain. Ensemble, ils sont en charge de lutter contre les virus et bactéries extérieurs pour que le corps puisse être en bonne santé. Sa défense contre les agressions extérieures est plus ou moins rapide et efficace selon les personnes et leur état de santé.
En cas de fatigue, par exemple, le corps met plus de temps à lutter et se débarrasser d’un virus qu’en temps habituel. Et il faut être prudent ! Le système immunitaire peut également souffrir d’une faiblesse qui le rend moins efficace. Que cette faiblesse soit pathologique ou génétique, la conséquence est la même : l’organisme s’affaiblit plus rapidement et est davantage sensible aux bactéries, champignons, virus…etc.
Heureusement, il existe des tips qui permettent de booster le système immunitaire ! Ils permettent de se préparer notamment à l’hiver et l’automne, au retour du froid, des gorges enflammées et des nez gelés. Alors quels sont ces tips ?
Comment booster le système immunitaire ?
L’importance de l’alimentation :
Comme pour beaucoup de choses qui touchent à la santé, l’alimentation est l’une des clés d’un corps en bonne santé. Les vitamines, les nutriments, les minéraux, l’énergie qu’apportent les différents aliments permettent au corps de fonctionner de façon plus ou moins optimale. Pour le système immunitaire, l’alimentation ne fait pas exception. Il est important de bien équilibrer les repas avec des aliments comportant :
- Des acides gras saturés ;
- Des fibres ;
- Des vitamines ;
- Des minéraux ;
- Des glucides.
L’important est de ne pas manger toujours les mêmes aliments, mais plutôt de s’en référer aux aliments de saison. Des repas équilibrés et des aliments de saison permettent d’apporter au corps tout ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin. Et pour les personnes qui voudraient faire des nettoyages occasionnels de certains organes ou du corps entier, il existe des cures (comme la cure 3/6/9 d’Anthony Williams) ou des jeunes intermittents.
Les professionnels de santé conseillent d’ailleurs un jus de fruits pressés le matin, afin de faire le plein de vitamines !
L’équilibre du sommeil :
Le sommeil est une phase importante pour le corps humain. Dépendant de cycles appelés circadiens, le sommeil est l’un d’eux. Il offre au corps le repos dont il a besoin pour régénérer quelques cellules et booster les différents systèmes. Plus précisément, le sommeil agit sur l’efficacité des lymphocytes T qui ont une influence directe sur le système immunitaire. C’est aussi pourquoi lorsque certaines personnes tombent malade, l’envie de dormir est plus forte : en dormant, les défenses immunitaires s’activent avec plus de force pour lutter contre l’organisme extérieur qui fait du mal. Si vous avez des difficultés à trouver le sommeil, vous pouvez vous tourner vers l’article « Comment bien dormir » ou encore avoir recours à des médecines alternatives qui pourront vous aider comme la sophrologie ou l’hypnose.
Enfin, un cycle de sommeil équilibré permet de diminuer le stress, qui est néfaste pour le bon fonctionnement du système immunitaire. Certaines études révèlent que trop de stress nuit à la réaction du système immunitaire face à des virus. Il est aussi important de reposer son système nerveux et lui faire du bien également, afin que le système immunitaire du corps puisse être le plus efficace possible ; eh oui, tout est lié !
Le coup de pouce des vitamines !
Les vitamines ont un vrai rôle sur l’organisme et en particulier sur le système immunitaire. Parmi les vitamines les plus importantes, on retrouve notamment :
- La vitamine C : présente dans les agrumes ou les crucifères. Son rôle est important puisqu’elle protège les cellules contre le stress oxydatif, et permet aux systèmes nerveux et immunitaire de fonctionner correctement.
- La vitamine D : elle permet de stimuler et réguler les défenses de l’organisme. Autrement dit, son rôle est indispensable pour le système immunitaire du corps humain. En période hivernale, des carences se font souvent ressentir car cette vitamine est le plus souvent synthétisée par les rayons UV du soleil. Il est possible d’en trouver dans les sardines, les maquereaux ou encore dans le saumon.
- La vitamine A : son rôle pour le système immunitaire est également important. Elle permet de stimuler les globules blancs qui agissent sur l’efficacité du système immunitaire. La vitamine A se retrouve dans la mangue, les carottes, le persil ou les patates douces.
- Les vitamines B : les vitamines B sont elles aussi essentielles au bon fonctionnement du système immunitaire. La vitamine B9 et la vitamine B12, par exemple, sont importantes car elles produisent des globules rouges, permettent la synthèse des protéines, lé régénération des cellules et maintiennent le système immunitaire en bon état. La vitamine B6 joue quant à elle un rôle dans la régulation des défenses immunitaires.
L’activité physique pour compléter la recette :
Tout comme l’alimentation, les professionnels de la santé recommandent la pratique d’une activité physique régulière afin de maintenir son corps en bonne santé (physique ou mentale). Au-delà de se faire plaisir en faisant un sport qui nous plait, la pratique d’une activité physique joue également un rôle dans le maintien d’un bon système immunitaire.
L’activité physique va indirectement stimuler le système immunitaire. En effet, elle permet la libération d’endorphines qui diminuent le stress ; elle favorise un meilleur sommeil, et maintient un état de forme physique du corps.
L’ingrédient secret : les probiotiques :
70% du système immunitaire se trouve dans l’intestin. Les probiotiques permettent de renforcer la flore intestinale afin de prévenir la venue des virus classiques de l’automne et de l’hiver. Mais plus encore, il s’agit de prévenir et renforcer le corps en évitant une exposition trop vive aux virus. Les probiotiques peuvent se trouver en pharmacie ou plus simplement dans les yaourts.
En quelques mots…
Ainsi, le système immunitaire, comme beaucoup de systèmes présents dans le corps humain doit être chouchouté. Sans lui, chaque virus auquel nous sommes exposés pourrait se transformer en un monstre viral qu’il faut combattre chaque instant. Prendre soin de son système immunitaire, c’est prendre soin de soi au quotidien.
De mon coté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, en EMDR, hypnothérapeute, et dans les soins énergétiques du corps et du visage. Vous pouvez directement prendre rendez-vous sur Doctolib.
J’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien (ou des microbes !), retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, vous pouvez vous diriger vers le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions dans la bienveillance et la bonne humeur !
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Bienfaits des LED : au tour de votre peau de briller !
Lorsque l’on parle de LED, il ne s’agit pas de décorer sa chambre avec de jolies guirlandes multicolores ou de trouver un moyen de consommer mieux grâce à des ampoules qui ne chauffent pas et consomment peu. La lumière présente de nombreux bienfaits pour le corps et en particulier la peau. La thérapie par LED, aussi appelée « photomodulation par LED », utilise notamment la lumière comme soin pour la peau. Alors quels bienfaits présente-t-elle ? Quand avoir recours à la thérapie par LED ? Et pourquoi ?
Qu’est-ce que la thérapie LED ?
La thérapie par la lumière, on la doit d’abord à Niels Finsen qui obtient le Nobel de médecine quand il découvre les bienfaits de la lumière sur la peau en 1903. Les guerres se sont succédées, et cette méthode pourtant révolutionnaire est rapidement tombée dans l’oubli. Il faudra attendre jusqu’en 1986 pour qu’Endre Mester, un hongrois, découvre que les rayons rouges d’une lumière favorisent le processus de cicatrisation de la peau.
La thérapie par la lumière a été mise en lumière –sans mauvais jeu de mot !- par deux fois au cours du XXe siècle. De nos jours, cette méthode continue de se démocratiser, et ses bienfaits ne sont plus à prouver. Alors comment fonctionne cette thérapie et quels sont ses bienfaits exactement ?
Comment fonctionne la thérapie LED ?
Il faut savoir que toutes les cellules vivantes interagissent avec la lumière. Qu’elles émettent ou captent directement la lumière, l’exemple des plantes et de la photosynthèse est probablement le plus parlant. Et pour les cellules de l’être humain, c’est la même chose ! Lorsque la lumière entre en contact avec les cellules humaines, elles vont entrer dans une phase dite de « résonance ». Ce contact entre la lumière et les cellules va créer une agitation au niveau de ces dernières. Cela va ensuite entraîner des changements de nature physiques et chimiques qui stimulent la cellule (synthèse de collagène et d’élastine par exemple). Ce processus est appelé « photomodulation ».
Selon les couleurs de la lumière, les cellules seront susceptibles d’opérer différents changements. En effet, chaque couleur de lumière possède une longueur d’onde différente, qui activera ensuite divers changements dans la cellule.
Lumière rouge : c’est la couleur de lumière qui émet les plus grandes ondes. En pénétrant la peau, elle va stimuler les fibroblastes. Cela augmente alors la production d’élastine et de collagène, directement en lien avec la fermeté de la peau.
Lumière bleue : ses ondes permettent de combattre les bactéries, notamment celles trouvées dans les boutons d’acné.
Lumière jaune : sa longueur d’onde permet de réduire les rougeurs de la peau. Elle agit également sur la circulation sanguine de la peau ainsi que la circulation lymphatique. Son effet est drainant et anti-œdème. De plus, pour lutter contre la perte de cheveux, la lumière jaune stimule leur repousse.
Lumière verte : les ondes de la lumière verte agissent directement sur l’éclat de la peau. Elles peuvent également atténuer les tâches pigmentaires.
Les bienfaits de la thérapie LED
Parmi les bienfaits que présente la thérapie LED, l’on retrouve :
- Lutter contre le stress oxydatif (qui est directement responsable d’un teint terne, du vieillissement des cellules de la peau et des cheveux) ;
- Favoriser la cicatrisation ;
- Accélérer la synthèse du collagène pour une meilleure élasticité des tissus (corrige l’apparence des cicatrices et des rides) ;
- Ralentir l’évolution de l’alopécie ;
- Stimuler la repousse des cheveux ;
- Traiter les maladies de la peau (psoriasis, acné inflammatoire…) ;
- Rééquilibrer le sébum ;
- Lutter contre la dépression ; les troubles du sommeil ; les syndromes prémenstruels.
Plus généralement, la lumière présente de nombreux bienfaits sur notre organisme. Parmi eux, il est possible de citer :
- Elle apporte force et énergie à l’organisme: cela permet notamment de lutter contre le vieillissement cutané. La rénovation des cellules est plus lente avec le temps, mais la luminothérapie permet d’éviter un trop grand ralentissement.
- Elle régule les rythmes circadiens : le cycle de sommeil est certainement celui qui est le plus influencé par la luminothérapie. En produisant de la mélatonine, la thérapie LED permet d’améliorer la qualité du sommeil de la personne qui y a recours. La lumière peut également avoir un impact sur les différents rythmes circadiens, comme l’échelonnement des repas ou la régulation de la température corporelle.
- Régule la sécrétion des hormones : la lumière est directement liée à la régulation des hormones, dont la sérotonine. Cela peut avoir des répercussions sur la dépression, l’humeur en général, les comportements agressifs qu’elle apaise, les syndromes prémenstruels, post-partum ou encore les troubles alimentaires.
- Stimule la guérison du corps : en plus d’améliorer le système immunitaire dans son ensemble, la lumière permet d’accélérer le processus de guérison du corps humain. Elle booste également la santé du cerveau et du corps tout en prévenant les infections.
Ainsi, les bienfaits de la lumière ont permis d’établir différents bienfaits concernant la thérapie LED. Si l’une découle de l’autre, aucun doute cependant que toutes deux présentent des bienfaits intéressants qui permettent d’améliorer sa santé et sa qualité de vie.
Déroulement d’une séance
Ce qu’il faut savoir avant de prendre rendez-vous pour une séance de thérapie LED :
- La thérapie LED peut se faire sur tous types de peaux et en toute saison ;
- Elle est indolore ;
- Elle ne présente aucun effet secondaire.
Il est cependant important de noter que la thérapie LED est un processus relativement long à mettre en place, et les effets ne sont pas visibles avant la sixième séance. À terme, ses bienfaits seront bien perceptibles par le patient (retarder le vieillissement de la peau, par exemple). C’est car l’action se déroule en profondeur dans la peau, et pour un meilleur résultat, la patience est de mise !
La machine utilisée –Dermalux dans mon cabinet- permet un soin rapide et efficace. Selon les zones à traiter et le type de peau, il faut compter jusqu’à une demi-heure de soin. La peau doit être démaquillée et nettoyée avant de commencer le soin !
Il est également important de noter que plus la thérapie LED est commencée tôt, et plus les cellules font le plein d’énergie tôt ! Cela retardera plus facilement la quantité de collagène qui tend à disparaître avec l’âge.
Le déroulement d’une séance de thérapie LED est somme toute assez similaire selon les cabinets. Proposant des séances de LED grâce à la machine Dermalux, je vous propose de prendre rendez-vous via Doctolib ou par téléphone directement au 06.85.45.84.83
Mon cabinet se situe au 87 Bis, Avenue de Wagram, 75017 Paris.
En quelques mots…
La thérapie LED présente de nombreux bienfaits tant au niveau des hormones, que des cellules du corps humain. Sans effets secondaires ou contre-indications, il est possible de se tourner vers cette thérapie notamment pour les soins de la peau en cas d’acné inflammatoire, de psoriasis ou d’eczéma.
Et vous, avez-vous déjà fait une séance de thérapie LED ?
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences, hypnose, EMDR, et dans les soins énergétiques du corps et du visage. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
J’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien, retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il est possible le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions… n’hésitez pas !
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Arrêt de la pilule : rebond d’acné, comment s’y préparer ?
L’acné est une maladie de la peau qui apparaît le plus souvent à la puberté. Toutefois, certains adultes peuvent également en souffrir. Cette maladie de peau est soumise au moindre changement de l’environnement ou des habitudes et se révèle très susceptible. Souvent, les personnes qui souffrent d’acné doivent rester vigilantes des années durant. L’un des plus gros bouleversements est peut-être l’arrêt de la pilule. En effet, agissant directement sur le système hormonal, elle peut avoir d’importantes conséquences sur l’acné. Alors est-il possible de s’y préparer pour éviter un rebond d’acné ? Et si oui, comment ?
Qu’est-ce que l’acné ?
L’acné est définie comme étant une « maladie de la peau due à une inflammation des glandes sébacées », selon Le Robert. Plus précisément, cette maladie peut avoir de nombreuses causes. Elle se manifeste par des boutons, des kystes ou des points noirs répartis sur le visage, le cou, le torse, le dos et parfois même le cuir chevelu.
Il existe deux types d’acné. L’acné juvénile est qualifiée ainsi car elle se manifeste le plus souvent chez les adolescents lors de la puberté. Mais elle peut également apparaître à l’âge adulte, auquel cas il s’agira d’acné tout simplement. Quoiqu’il en soit, il est possible d’en guérir.
À quoi faut-il faire attention quand on a de l’acné ?
L’acné est une maladie susceptible. Et pour cause, elle dépend directement des changements encouragés par les glandes sébacées. Ces dernières sont directement responsables de l’état des cheveux et de la peau. C’est pourquoi le moindre déséquilibre les influence, et cela se répercute soit sur les cheveux, soit sur la peau. Pour des personnes souffrant d’acné, les conséquences sont plus terribles encore, puisque cela a un impact direct sur la maladie et son expression cutanée.
C’est pourquoi il y a des éléments auxquels il faut faire attention lorsqu’on souffre d’acné. C’est le cas pour :
- L’environnement (et la météo : humidité, vent, soleil…) ;
- La pollution ;
- Le stress ;
- Une alimentation déséquilibrée (trop de sucre, surtout) ;
- Le surmenage.
Tels sont les principaux acteurs qui peuvent influencer l’acné.
L’arrêt de la pilule et ses conséquences sur l’acné
Ce n’est plus un secret, l’arrêt de la pilule provoque beaucoup de changements dans le corps. Lors de l’arrêt de la pilule, les problèmes de peau peuvent donc survenir plus ou moins rapidement. En général, en ce qui concerne l’acné, il faut compter quelques semaines à quelques mois après l’arrêt de la contraception pour que l’acné subisse une poussée irrégulière. On l’appelle l’acné « rebond ». En effet, l’acné subit un rebond inhabituel, mais pas irréversible.
Ce rebond est dû aux hormones de synthèse que la pilule libère. En arrêtant la pilule, ces hormones de synthèse sont remplacées par les hormones naturelles qui reprennent leur place. Les ovaires recommencent notamment à produire des androgènes et tout le système hormonal sort de cette « hibernation » entraînée par la prise de la pilule.
Par ailleurs, l’arrêt de la pilule entraîne de nombreux autres effets sur le corps :
- Perte de cheveux ;
- Prise de poids / perte de poids ;
- Irrégularité des cycles menstruels ;
- Douleurs abdominales ;
- Migraines et maux de tête fréquents ;
- Modification du cycle de sommeil ;
- Règles plus abondantes qu’à l’accoutumée.
Mais pas d’inquiétude ! Il est possible de préparer son corps à l’arrêt de la pilule afin d’atténuer tous les effets susceptibles de se manifester. Je vous invite à aller voir mon Ebook sur l’arrêt de la pilule en douceur.
Préparer sa peau à l’arrêt de la pilule
Afin d’éviter un rebond d’acné –tout au moins le minimiser-, il est possible de préparer sa peau avant l’arrêt de la pilule. Pour se faire :
Comprendre le lien entre l’arrêt de la pilule et les effets sur le corps entier :
L’arrêt de la pilule peut avoir des conséquences directes sur la flore buccale, vaginale et intestinale. Ces dérèglements peuvent ouvrir la voie à l’acné. Dans le corps, tout est lié ! Il est donc important de bien adapter son alimentation aux changements qui peuvent survenir.
Adapter son alimentation :
Afin de prévenir les rebonds d’acné, il est important d’adapter son alimentation. Les nutriments influencent directement le fonctionnement du corps humain. Ainsi, il faut essayer de :
- Diminuer les produits laitiers et en particulier le lait, directement lié à des dérèglements de la peau ;
- Ajouter des fibres dans son alimentation, qui favorisent l’équilibre intestinal ;
- Privilégier certains aliments, comme les artichauts, les graines de lin ou de chia, les avocats, les oignons, l’ail, le céleri, les légumes verts… etc.
- Diminuer les produits préparés et sucrés : trop de sucre dans le sang peut avoir une répercussion sur la peau (boutons, plaques rouges… etc.).
Prendre soin de son foie :
Le foie agit directement sur les hormones du corps humain. Lors de l’arrêt de la pilule, il subit une grande activité qui peut le fatiguer. Les hormones naturelles reprennent leurs droits, et le foie est beaucoup sollicité. Or, un foie fatigué se répercute souvent par l’apparition de boutons à la surface de la peau. Le curcuma est un très bon allié pour le foie ! Il existe également des cures spécialement pour le foie disponibles en pharmacie.
Rester vigilant pendant quelques mois :
Même sans arrêter la pilule, l’acné subit des bouleversements et des rebonds. Durant l’arrêt de la pilule, il est d’autant plus important de veiller aux différents éléments de votre environnement. Le soleil, la chaleur, le vent, les pollutions… Tels sont des paramètres qui peuvent influencer également le rebond d’acné.
Avec une préparation adaptée et de la prudence pendant quelques mois, l’arrêt de la pilule peut avoir moins d’effets sur votre peau et votre corps dans sa généralité. Il est donc important de veiller à ce que votre corps soit suffisamment reposé, et qu’il soit accompagné et soutenu par un mode de vie équilibré (alimentation, sommeil, activité physique… etc.).
En quelques mots…
L’arrêt de la pilule entraîne un bouleversement inévitable dans le corps humain. Pour les personnes ayant souffert d’acné en étant plus jeune ou en prenant la pilule, peuvent subir un rebond d’acné. Il est essentiel de préparer sa peau à l’arrêt de la pilule afin d’éviter ou d’amenuiser les effets de l’arrêt de cette contraception.
Il est également possible de se tourner vers des soins pour la peau ou pour le visage afin de réduire l’acné au fur et à mesure.
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose et en neurosciences, en EMDR et dans les soins énergétiques du corps et du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib ou par téléphone directement au 06.85.45.84.83
Mon cabinet se situe au 87 Bis, Avenue de Wagram, 75017 Paris.
J’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année, pour se (re)découvrir. Loin des tracas du quotidien, retrouvez-vous au plus proche de la nature et de vous-même.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur moi, il est possible le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. J’y partage mes idées, mes convictions… n’hésitez pas !
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Techniques pour reposer son système nerveux
Le système nerveux est sûrement l’un des plus complexes du corps humain. À la façon d’une autoroute électrique, il se déploie et s’étend dans le corps. Il coordonne les gestes, régit les fonctions du corps et se subdivise en plusieurs catégories différentes. Directement en lien avec le cerveau, il subit le moindre changement d’humeur, le moindre souci de santé de plein fouet. Le stress est l’une de ses grandes conséquences, tout comme l’anxiété qui entraine des crises angoisses gérées par de l’hypnose contre le stress, par exemple. Il est donc important de prendre soin de son système nerveux, et comme pour beaucoup de soins, ça passe aussi –et surtout !- à travers le repos. Alors comment reposer son système nerveux, et pourquoi ?
Le système nerveux en détails
Le système nerveux du corps est l’un des plus complexes et délicats. Et pour cause, il se situe dans tout le corps humain. Afin de mieux le comprendre et de percevoir ses fonctions, il a été divisé en plusieurs parties.
- Le cerveau et la moelle épinière forment le système nerveux central.
- Les nerfs et les organes sensoriels forment le système nerveux périphérique.
Ces deux formes sont complémentaires mais parviennent à être mieux étudiées séparément tant le système nerveux est complexe et important. De plus, à la manière d’un rouage, le corps est entièrement relié. Un système nerveux en mauvaise santé induit bien souvent de plus graves problèmes…
Tout est d’ailleurs détaillé dans l’article traitant de l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien !
Pourquoi reposer le système nerveux ?
Il est important de noter que malgré la distinction de ces systèmes, ils sont toutefois complémentaires. Prendre soin du système nerveux est essentiel car il est relié à toutes les fonctions du corps humain. Autrement dit, si le système nerveux n’est pas en bonne santé ou suffisamment reposé, comme pour toute autre fonction du corps, il va pâtir de cette fatigue et commencer à « dérailler ».
Et cela est susceptible de se répercuter sur n’importe quelle autre fonction du corps humain. C’est pourquoi il est essentiel de reposer son système nerveux et d’en prendre soin.
Ce qui peut impacter le système nerveux
Eh bien, en réalité, tout peut impacter le cerveau ! C’est un organe fragile et surtout très, très sensible. Autrement dit, certains jeux vidéo pourront entraîner des dommages sur le cerveau (épilepsie par exemple) tout aussi bien que des bruits beaucoup trop sonores en ville. Et par extension, ce qui agit sur le cerveau se répercute également sur le système nerveux.
Ainsi, parmi les éléments qui peuvent impacter le cerveau et donc le système nerveux, l’on retrouve notamment :
- La fatigue ;
- Sous alimentation (entraînant une baisse de tension) ;
- L’effet de l’alcool ou des drogues sur le cerveau;
- Un mauvais sommeil, qui peut être vaincu avec une séance d’hypnose pour dormir qui réduit les AVC;
- Les écrans ;
- Le stress et l’anxiété ;
- Troubles neurologiques héréditaires.
Il est important de veiller à avoir un quotidien le plus équilibré possible afin que le système nerveux ne pâtisse pas trop de tous ces effets. De même, écouter son corps et les besoins qu’il communique est primordial pour être en bonne santé et bien dans sa tête !
Tips pour reposer le système nerveux
Une alimentation équilibrée :
Comme pour beaucoup de choses, le repos du système nerveux peut également se faire à travers une alimentation équilibrée. Et pour cause, celle-ci permet au corps et au cerveau d’avoir les ressources nécessaires pour fonctionner de manière optimale. Plus précisément, il est important de privilégier les aliments naturels et de saison, car un aliment qui a été traité apportera moins de nutriments et d’énergie.
Compléments naturels pour le système nerveux :
Les compléments naturels permettent de mettre en exergue une petite carence et de la rectifier relativement rapidement. Le corps et l’esprit retrouvent alors leur équilibre. Pour le système nerveux, il est possible de privilégier les germes de blé, le magnésium ou encore la levure de bière.
Une activité physique régulière :
Là encore, si cet argument est souvent avancé, c’est qu’il est important. L’activité physique (même une petite marche !) est privilégiée pour l’équilibre et la bonne santé du corps et de l’esprit. Concernant le système nerveux, l’exercice va permettre d’alléger l’esprit, de libérer des endorphines et de se sentir bien physiquement. Aussi, l’hypnose à Paris pour faire un sport qui vous plait, peut endiguer les problèmes d’insomnie en apaisant le système nerveux dans son ensemble.
Avoir un contact avec la nature :
Souvent relaxante, cette activité est de plus en plus mise en avant pour le bien-être des êtres humains. En effet, comme de l’hypnose contre le stress la force de la nature agit sur le bien-être, elle permet de se concentrer sur le moment présent, d’apaiser les tensions issues des tracas quotidiens… En bref, elle offre un nouveau souffle au corps et à l’esprit !
Éviter le stress en trop grande quantité :
Il est également important d’éviter le stress au maximum afin de ne pas faire jouer le système nerveux. En effet, il est directement impacté par les hormones et donc celles de stress qui peuvent rapidement dérégler certains aspects du système nerveux ou du corps humain. Plus facile à dire qu’à faire me direz-vous… Et si au lieu d’éviter le stress, vous appreniez à vous en défaire ? Il existe de nombreux gestes au quotidien d’hypnose contre le stress.
Prendre du temps pour soi :
Eh oui, parfois il faut savoir se montrer égoïste ! C’est choisir d’écouter son corps lorsque cela s’impose, et de ne pas outrepasser les limites de ce que vous êtes capable de faire. Le système nerveux ressent tout ce que vous ressentez. Aussi, le protéger, le soigner et en prendre soin, c’est donc faire la même chose avec vous !
En quelques mots…
Le système nerveux est l’un des plus complexes et des plus délicats du corps humain. Souvent, dans le bien-être, on oublie d’en prendre soin. Pourtant, il est primordial de se souvenir de sa présence tant il permet au corps son bon fonctionnement. Étant relié avec toutes les fonctions du corps humain, tant qu’il va bien tout va bien !
Pour le soigner, pas besoin de tours de magie ou d’un investissement hors normes. Tout repose, en réalité, sur un rythme de vie sain et des habitudes équilibrées. Le corps a besoin de ses cycles, de ses petites habitudes, et surtout, d’être chouchouté parfois !
Vous avez maintenant toutes les clefs en main pour prendre soin de votre système nerveux et le reposer. De même, n’hésitez pas à prendre du temps pour vous, pour votre corps et votre esprit. Ils sont les compagnons fidèles de votre vie !
Et si vous souhaitez expérimenter de nouvelles choses, je propose des séances de soins thérapeutiques du visage et du corps (drainage lymphatique). De même, étant hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose aussi des séances d’hypnose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir loin du quotidien et des nuages gris qui planent parfois au-dessus.
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(Se) préparer (à) l’arrivée de l’été
Les beaux jours ont tardé à montrer le bout de leur nez, mais voilà plusieurs semaines que le soleil nous montre ses plus beaux rayons ! Et quoiqu’on en dise, l’arrivée de l’été est imminente. Les longues soirées, les week-ends à la plage, les promenades tardives sous la brise à peine plus fraîche… Mais qui dit été dit aussi coups de soleil, chaleur, transpiration… alors comment bien (se) préparer (à) l’arrivée de l’été ?
Adapter son alimentation à la saison
Comme pour le printemps et les autres saisons, il est important d’adapter son alimentation à la saison. Plus encore, il est très bénéfique d’adapter son hygiène de vie tout entière (heures de coucher/lever, durée du sommeil, alimentation…etc.).
Manger des produits de saison :
En été, on privilégie les produits frais et les fruits et légumes de saison ! Autrement dit, on évite les plats préparés ou trop « lourds » pour l’estomac, et on privilégie une alimentation locale et adaptée. Les concombres, le melon, les tomates, les ratatouilles… faites le plein de vitamines naturelles !
Essayer de ne pas louper de repas :
En été, la chaleur peut parfois annihiler la sensation de faim. Pourtant, il est important de ne louper aucun repas durant la journée ! Justement car il fait chaud, des salades composées peuvent être adaptées et permettent de varier les aliments. En sautant des repas, vous risquez de faire baisser votre tension et de vous évanouir… prudence, donc.
Ne pas supprimer les protéines des repas :
Si en été, il est possible de diminuer le taux de protéines consommées, il ne faut pas pour autant les faire totalement disparaître ! Toutefois, il est possible de trouver les protéines à travers les céréales, le poisson ou les fruits de mer, qui restent toujours plus digestes qu’un gros steak.
La fête des crudités :
De même, les fruits et légumes de saison permettent de faire des salades sucrées/salées très appréciables ! que ce soit en en-cas ou en véritable repas, les crudités sont consommées avec joie et permettent de faire le plein de vitamines et d’antioxydants !
En été, donc, il est important d’adapter son alimentation aux températures mais aussi aux activités prévues. Si vous organisez un après-midi d’escalade, mangez léger avant mais mangez consistant ! Il vous faudra divers apports énergétiques pour tenir ensuite la distance !
L’été et les risques pour la peau
La chaleur de l’été présente par ailleurs de nombreux risques pour la peau. Alors prenez les devants dans la protection de votre peau ! Que l’on aime se dorer la pilule au soleil ou qu’on l’évite soigneusement, l’été a toujours des effets sur les peaux. Il est donc primordial de veiller sur son épiderme !
L’hydratation quotidienne :
Laits, crèmes hydratantes… le choix est vôtre. Une à deux fois par jours, n’hésitez pas à appliquer sur votre peau les produits de votre préférence. Pour éviter les sensations de tiraillement, pour nourrir la peau ou tout simplement par acquis de conscience, hydratez-vous !
Protection solaire :
Sans surprise, la protection solaire est plus que nécessaire. Car si les rayons chauds du soleil ressemblent à des caresses après un long hiver, ils peuvent également se montrer impitoyables. Dès que vous pointez le bout de votre nez –et le reste du corps- au soleil, n’oubliez pas la protection solaire. De quoi éviter le teint écrevisse pendant plusieurs semaines ! Et en cas de peau acnéique, il est important de renouveler la protection UV toutes les deux heures et d’éviter les heures les plus chaudes. Rappelons aussi que l’acné ne dure pas…
L’importance du gommage:
Si le gommage est important pour la peau, il n’est pas pour autant à reproduire tous les jours ! Une fois par semaine voire tous les dix jours pour les peaux sèches, est amplement suffisant. L’important est de bien nettoyer la peau en profondeur, surtout pour les peaux qui connaîtront les petits plaisirs du sable et l’eau salée cet été.
Les vitamines pour aider le corps et la peau :
S’il faut être prudent concernant les vitamines que l’on prend, elles peuvent parfois se montrer d’une grande aide. En été, n’hésitez pas à consulter votre médecin en cas de carences, les vitamines vous aideront à mieux profiter de la saison tout en aidant votre corps et votre peau !
Ne pas oublier de s’hydrater :
Parce que l’alimentation joue un rôle et que l’eau aussi, il ne faut pas oublier qu’elles sont essentielles pour le teint ainsi que la texture de la peau. Il est donc primordial de boire son litre et demi par jour, voire de pousser jusqu’aux deux litres si le besoin s’en fait sentir.
Petit rappel : l’eau ne protège pas du soleil ! C’est même tout le contraire, puisqu’elle réverbère les UV. Autrement dit, on peut aussi prendre des coups de soleil en se baignant, d’où la nécessité de la protection solaire !
L’importance de l’hydratation
Pour comprendre l’importance de l’hydratation en été, il faut aussi comprendre ce qui se passe dans le corps lorsqu’il fait (très) chaud. La plupart des personnes ont une température corporelle de 37,5°C. Si ce chiffre peut varier un tout petit peu d’un individu à l’autre, la température corporelle permet au corps de bien fonctionner. Aussi, lors de fortes chaleurs, le corps va mettre en place divers mécanismes pour conserver cette température au mieux.
Par exemple, la dilatation des vaisseaux sanguins permet de refroidir le sang en redirigeant la chaleur du corps vers l’extérieur. Cela se nomme le « refroidissement par convection ».
Mais il y a également d’autres mécanismes tels que la transpiration. C’est un des mécanismes du corps les plus efficaces pour réguler la température. De plus, la transpiration est aussi un moyen d’éliminer certaines toxines du corps humain.
La transpiration est directement induite par les glandes sudoripares qui sont responsables de la sueur. Par de grosses chaleurs, le corps peut transpirer entre 0,5L et 1L de sueur par jour. En cas de manque d’eau, la production de sueur s’en retrouve limitée. C’est là que l’on risque le « coup de chaud ».
Il est donc essentiel, tant pour le corps que pour la peau, de bien s’hydrater, même si l’on ne ressent pas la soif. Dîtes-vous que le corps en a besoin et ne sortez plus sans votre bouteille !
Profiter de la saison !
Une fois que vous avez adapté votre hygiène de vie aux nouvelles températures, aux journées plus longues et au soleil, il ne vous reste plus qu’à en profiter ! Sortez avec vos amis ou prenez du temps pour vous, promenez-vous seul.e ou faîtes de nouvelles rencontres… l’été a souvent tendance à mettre de très bonne humeur !
De même, cela peut aussi être le moment de programmer de nouveaux projets, de vous lancer dans de nouvelles trajectoires de vie ! L’été est propice aux rêves, à la réflexion et surtout à l’inspiration !
En quelques mots…
Si vous décidez de prendre soin de vous et de vous concentrez sur vous-même, il existe de nombreux soins qui le permettent ! C’est notamment le cas de la méditation, de l’hypnose ou encore des massages du visage ou du corps.
C’est d’ailleurs ce que je propose à Paris. Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je m’appelle Charlotte Vallet. Je propose également des massages du corps comme le drainage lymphatiques, qui possède tant de bienfaits.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et pour aller encore plus loin, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, loin des tracas quotidiens, voyagez au cœur de vous-même.
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L’acné ne dure pas… elle est passagère, croyez-en vous !
L’acné touche beaucoup de personnes, et ce, dès l’adolescence. Se répartissant sur le visage, le cou et parfois le dos, l’acné est souvent perçue comme une tare dont on peine à se débarrasser… jusqu’à penser que cela n’en finira jamais ! Alors pourquoi l’acné dure parfois des années ? Finit-elle toujours pas disparaître ? Et quelles « blessures » peut-elle laisser après être partie ? Zoom sur cette inflammation des glandes sébacées qui peut causer parfois plus de dommages que ce qu’elle laisse paraître à la surface de l’épiderme.
Qu’est-ce que l’acné ?
Dans un premier temps, il est important de distinguer l’acné adolescente, dite juvénile, et l’acné chez l’adulte, appelée acné tardive. Si la première touche plus de la moitié de la population de plus de 15 ans, la seconde elle, est plus rare et touche de plus en plus les adultes de plus de 25 ans. Par ailleurs, les femmes adultes sont davantage touchées par l’acné que les hommes.
Mais qu’est-ce que l’acné ? Elle se définit comme étant une maladie de la peau due à l’inflammation des glandes sébacées. Ces glandes sont situées à la base des poils, sous la surface de la peau. Elles jouent plusieurs rôles, notamment pour l’hydratation de la peau en plus de lutter « contre les bactéries par la sécrétion d’un liquide gras qu’on appelle sébum ». Il existe différentes sortes d’acnés :
- Acné juvénile polymorphe (acné chez l’adolescent) ;
- Acné inflammatoire chez l’adulte ;
- Acné kystique ;
- Acné hormonale.
Depuis de nombreuses années, les dermatologues constatent par ailleurs une recrudescence des cas d’acné, tant chez l’adolescent que chez l’adulte ; chez les premiers, ils viennent de plus en plus tôt pour se faire traiter ; chez les seconds, la moyenne d’âge augmente de manière significative.
Un désagrément passager…
Malgré la durée de la présence de l’acné chez une personne, rassurez-vous, est passagère. Comme beaucoup de choses, elle dépend aussi des causes qui la provoquent et peuvent l’accentuer. Dans le cas de l’acné, que celle-ci soit juvénile ou tardive, il y a des éléments qui peuvent l’exacerber. C’est notamment le cas de :
- Problèmes hormonaux ;
- De stress ;
- De la pollution ;
- Du tabac ;
- De certains cosmétiques utilisés ;
- De l’alimentation, surtout si elle est trop sucrée ;
- D’une contraception mal adaptée chez les femmes.
De même, certains facteurs favorisent l’acné chez l’adulte, comme :
- Des antécédents familiaux ;
- Des déséquilibres hormonaux ;
- La consommation excessive de tabac, qui décuple l’acné ;
- Un changement de contraception ;
- Ou encore une alimentation déséquilibrée, ou déficitaire de fruits et légumes ou d’Oméga 3.
De même, il est important de noter que contrairement aux idées reçues, le soleil ne soigne pas l’acné naturellement. Et pour cause, même s’il permet de faire sécher les boutons, la peau apparait plus lisse au début. Mais ensuite, lorsque la peau sera moins asséchée –et elle le sera-, les glandes sébacées vont produire davantage de sébum encore. Autrement dit, le soleil, s’il est agréable dans un premier temps, finira par aggraver la situation de la peau et surtout l’acné.
Aujourd’hui, il existe de nombreux traitements qui permettent de prendre en charge l’acné très tôt, et de le faire s’arrêter tôt également. Il faut tout de même compter quelques années pour faire disparaître totalement l’acné juvénile, bien que cela n’écarte pas le risque que l’acné se manifeste de nouveau plus tard.
… Qui peut causer des blessures dans le temps
L’acné, même une fois que vous en êtes débarrassés, peut laisser des séquelles. Bien entendu, il y a parfois des cicatrices plus ou moins visibles sur les zones ayant été infectées dans le passé (visage, cou et dos notamment). Mais plus encore, c’est le rapport à soi-même qui peut en être déséquilibré ou totalement voler en éclat. Et pour cause, si l’acné est prise en charge de plus en plus tôt notamment chez les adolescents, c’est aussi parce qu’il règne dans notre société un certain rapport à la beauté et aux normes de beauté qui évolue. Une peau lisse et sans défaut côtoie les discours de « au naturel », ce qui peut tronquer le rapport à soi lorsqu’on est encore en pleine recherche de soi, et surtout, en pleine construction de soi.
Chez l’adulte, cela peut également faire naître un sentiment de honte, car ces cicatrices sont dues à une période difficile de l’adolescence ou de la vie –pour l’acné tardive. Psychologiquement, le fait que l’acné soit davantage éprouvée par des personnes adolescentes peut également causer quelques troubles quant au rapport à soi, allant jusqu’à la crainte de ne pas être pris au sérieux en tant qu’adulte.
Ainsi, si l’acné laisse parfois des traces visibles sur le corps, ce sont surtout les traces psychologiques qui sont difficiles à surmonter. Il est possible de gagner en estime de soi grâce à l’hypnose.
Reprendre confiance après l’acné !
Mais il ne faut pas désespérer ! L’acné s’en va, et les cicatrices se traitent aussi. Ce qui est important, ce ne sont pas les marques que votre peau vous montre tous les jours dans le reflet du miroir ; c’est surtout le regard que vous portez sur elles. Et si au lieu de les voir comme un renvoi incessant à une période difficile, vous les considériez comme une victoire contre l’acné, une nouvelle ère qui commence ?
Se connaître à travers son propre regard avec une hypnothérapeute à Paris devrait être l’importance première de tous, celle qui devrait supplanter les « on-dit ». Même si cela paraît difficile, il est possible, au terme d’un travail sur soi important, de passer au-dessus, pour simplement profiter de ce nouveau temps qui s’ouvre devant vous : l’acné est derrière, et même si des précautions sont de mises notamment par rapport au soleil, vous ne souffrez plus de l’acné !
Ainsi, l’acné peut se déclencher tant chez les adultes que chez les adolescents. Pour autant, elle n’est pas infinie dans sa durée. Il existe de nombreux traitements et de soins qu’il est possible de faire, tant pour venir à bout de l’acné que pour atténuer les cicatrices que sa disparition laisse à la surface de l’épiderme. De même, l’acné n’est pas une malédiction ; elle passe un jour, disparaît dans les souvenirs, et finit par laisser place à de plus beaux jours devant vous !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. En plus de l’hypnothérapie, je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de se (re)connecter à soi et de s’éloigner des soucis de quotidien.
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Que faire en cas de crise d’angoisse ?
Le stress et l’anxiété font partie intégrante du quotidien de nombreuses personnes. Et parfois, lorsque l’anxiété est à son paroxysme, c’est une crise d’angoisse qui se déclenche alors. Malheureusement, il est rare que la crise d’angoisse attende que vous soyez confortablement installé chez vous, dans la sécurité des murs de votre cocon pour se déclencher. Alors quand elle surgit en pleine réunion, au milieu de la rue ou pendant vos emplettes hebdomadaires, comment faire ? Est-il possible de la gérer, et si oui, comment ?
Qu’est-ce que l’angoisse et comment la reconnaître ?
La crise d’angoisse, contrairement à l’anxiété, est un pic éphémère qui produit sur le corps divers effets. Car si l’anxiété s’établit dans le corps de façon insidieuse, l’angoisse, elle, est plutôt comme une colocataire qui débarquerait à l’improviste en ouvrant la porte d’un coup de pied : imprévisible et intense.
L’angoisse est un terme directement dérivé du latin « angustia », qui signifie resserrement. Et l’étymologie du mot fait tristement écho aux effets qu’elle peut produire sur le corps quand elle se manifeste. En effet, lorsque l’angoisse se déclenche, c’est l’esprit qui est alerté d’un danger imminent. Le corps subit alors cette information, se tendant et étant à l’affût. Pourtant, il n’y a pas forcément de danger immédiat, et les causes de l’angoisse peuvent prendre leur source dans différents faits :
- Un choc émotionnel, mental, physique qui se réanime ;
- Un traumatisme qui est rappelé à la mémoire ;
- Une angoisse suite à trop de stress dans la vie quotidienne, qui est souvent le cas lorsqu’on monte sa propre boîte. Heureusement, il y existe de l’hypnose anti stress pour aider à se mettre à son compte tranquillement.
En bref, tout autant de causes que d’angoisses. Heureusement, il est possible de reconnaître rapidement l’angoisse, notamment en raison de l’intensité de certains des symptômes qu’elle déclenche. Parmi eux l’on retrouve :
- Des bouffées de chaleur, de la sueur ;
- Tremblements musculaires ou des spasmes ;
- Tachycardie, ou sensation que le cœur bat trop vite, trop fort ;
- Sensations d’étouffer, de suffoquer ;
- Vertiges ;
- Frissons.
Les symptômes sont aussi variés et aléatoires que les manifestations des crises d’angoisse. Toutefois, il est possible de les reconnaître aisément, et plus ils sont repérés tôt, plus il sera facile de surmonter la crise d’angoisse.
Gérer l’angoisse sur le court terme
Lorsqu’on parle de gérer l’angoisse sur le court terme, il s’agit surtout de gérer la crise d’angoisse, celle qui se déclenche à un instant T et, dès lors qu’elle se manifeste, possède une fin qui s’approche. Le fait d’apprendre à gérer la crise d’angoisse lorsqu’elle commence à se déclencher peut être un réel atout au quotidien, et évite, sur le moyen terme, de déclencher plus de crises d’angoisse (car il est possible d’angoisser à l’idée d’angoisser !). Par exemple, la force de la nature agit sur le bien-être comme de l’hypnose contre le stress.
Parmi ces astuces pour gérer la crise d’angoisse, l’on retrouve :
Se raccrocher à la réalité à travers la stimulation des sens :
C’est encore le conseil le plus courant que les professionnels de la santé peuvent donner. Et pour cause, la manifestation de l’angoisse est liée à toutes sortes de symptômes qui rappellent un danger, une peur, un sentiment d’impuissance…etc. mais en aucun cas un danger réel et immédiat. Le fait de se raccrocher à la réalité permet alors de couper l’angoisse, en privilégiant le moment présent et les sensations immédiates à la place de l’angoisse et du souvenir de douleurs. La meilleure astuce est alors de concentrer ses sens (ouïe, vue, goût, toucher, odorat) directement sur l’environnement qui vous entoure afin de ne pas vous sentir dépassé.
La rationalité des chiffres et sa connotation concrète :
Le fait de compter peut aider le cerveau à se concentrer sur une autre tâche, et il délaissera ainsi petit à petit l’emprise de l’angoisse sous laquelle il se retrouvait. Il peut s’agir d’opérations toutes simples à faire de tête, ou d’un exercice d’algèbre plus élaboré pour les matheux, l’essentiel étant que compter permet de se recentrer sur des données réelles, scientifiques et rationnelles. Les chiffres servent alors d’ancrage face à l’angoisse qui se profile.
L’exercice de la cohérence cardiaque :
Cette technique consiste à, dès lors que les premiers symptômes de la crise d’angoisse se déclenchent, ralentir sa respiration en se concentrant dessus. En adoptant un rythme plus lent de respiration, vous apaisez dans le même temps le rythme cardiaque qui peut lui aussi souffrir de certains effets en cas de crise d’angoisse. En général, cette méthode fonctionne en quelques minutes à peine.
Les huiles essentielles pour endiguer la crise toute proche :
Certaines odeurs ou certains goûts parviennent à apaiser le corps et le mental par leurs effluves. C’est notamment le cas pour les huiles essentielles, dont certaines permettent de se délivrer des effets de la crise d’angoisse. Les huiles essentielles d’ylang-ylang ou de petitgrain peuvent en particulier aider à stopper certains symptômes, puisque ces huiles essentielles ont comme effet de réduire la pression artérielle et de faire ralentir le rythme cardiaque.
Ainsi, il existe de nombreux moyens pour stopper la crise d’angoisse lorsqu’elle se manifeste. L’on peut également compter parmi ces astuces des exercices de méditation ou de sophrologie, exercices qui, sur le court terme, parviendront à faire reculer l’angoisse.
Gérer la crise d’angoisse sur le long terme
Si la crise d’angoisse est directement liée à un choc bien précis, alors il est possible de traiter l’anxiété sous-jacente d’une certaine façon pour en venir à bout. Malheureusement, le plus souvent, il arrive de faire des crises d’angoisse sans même en connaître la raison exacte.
Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont nombreux. En effet, elle permet un suivi régulier dans le temps au niveau du passé de la personne, afin de découvrir d’où viennent les crises d’angoisse. Car même si vous parvenez à gérer la crise d’angoisse quand elle se présente grâce à une technique à la fois ingénieuse et efficace, il y a toujours la possibilité qu’un phénomène d’échappement apparaisse (plus l’on fait quelque chose et moins cette chose a d’effet sur le corps).
Il est alors important, essentiel et primordial pour votre propre bien-être votre santé de parvenir à vous débarrasser non seulement de l’angoisse, mais également de l’anxiété qui peut y être liée sans même que vous n’en ayez conscience.
Ainsi, il existe différents moyens de gérer la crise d’angoisse. Bougies, lecture, fuite « en avant » à travers une implication démesurée dans un projet « réel »… etc. A chaque crise d’angoisse, il existe une méthode qui permette de la contrer.
Pour ce qui est de soigner l’anxiété plus en profondeur, il existe beaucoup de médecines alternatives qui permettent de se délester du lourd fardeau de l’angoisse. C’est notamment le cas de séance d’hypnose à Paris, par exemple. Je propose également des soins du visage et du corps comme le drainage du visage ou le drainage lymphatique, qui permettent de se reconnecter avec son corps et son esprit.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi et de s’éloigner de ce qui ne va pas et provoque les tracas. Loin du quotidien et de ses tourments, il est alors temps de penser à vous et de privilégier votre bien être. Si vous souhaitez plus de renseignements, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
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L’hiver arrive : mieux vaut prévenir que guérir ?
Alors que l’automne, un peu tardif, lègue lentement sa place à la saison la plus froide de l’année, l’énergie disparaît en même temps que les fleurs, et l’hiver qui s’annonce risque d’être synonyme de mélancolie et de fatigue. Heureusement, il existe des petites habitudes qu’il est simple d’intégrer dans les quotidiens, et qui permettront de bien se préparer à l’arrivée parfois tant redoutée de l’hiver.
Une laine, un rhume, une écharpe, une angine, plus un bonnet…
Parce que l’hiver est l’une des saisons les plus rudes pour le corps et l’esprit, il est d’autant plus important de bien s’y préparer. Vitamines, plantes, alimentation, sommeil… chaque aspect de la vie quotidienne peut avoir un impact bénéfique ou néfaste lorsque l’hiver approche.
Si les premiers matins gelés font timidement leur apparition, ils risquent néanmoins de bien se manifester d’ici peu. Et pour ce jour fatidique, il vaut mieux être préparé ; et ça ne concerne pas seulement les accessoires d’hiver ! Il est important d’équilibrer les apports nutritifs pour son corps, de manger équilibré et aussi de bien se dépenser –et au bon moment.
L’hiver est une saison froide, avec peu de lumière naturelle et des nuits très longues. Loin d’être le climat du Pôle Nord, elle a tout de même un impact important sur le corps (se traduisant souvent par des maladies), et notamment sur l’énergie de celui-ci. De même, les baisses de moral peuvent également se présenter plus rapidement.
Les gestes qui aident à se préparer à la froide saison
Il existe de nombreuses habitudes et petites routines qui permettent de traverser le « Grand Froid » et d’en ressortir indemne.
Préparer son corps :
Préparer son corps à affronter les températures plus basses est possible. Et cela passe principalement par l’alimentation. Puisqu’il fait de plus en plus froid, il arrive que le corps, s’il n’a pas suffisamment d’apports, puise dans ses réserves. Mais cela peut avoir des conséquences comme des vertiges, des baisses de tension voire parfois, des malaises. Sans même évoquer les possibles carences ! Il est donc important de manger tous les repas préconisés par les médecins, et surtout, d’apporter à son corps les nutriments dont il a besoin. Et pour cause, le froid et l’humidité sont des sources d’épuisement si le corps n’a pas les bonnes armes pour lutter contre.
En hiver, on privilégiera donc : les agrumes (qui apportent de la vitamine C), les poissons gras (maquereau, hareng… riches en vitamine D), et tous les fruits à coque (qui permettent de faire le plein d’oméga-3).
De même, le repos du corps est essentiel en hiver. Cela permet de faire le plein d’énergie et de se reposer suffisamment pour affronter une journée entière dans le froid. Car si le corps manque de sommeil ou ne bénéficie que d’un sommeil médiocre, ses capacités s’en voient réduites. Il est donc important de conserver un rythme de sommeil le plus constant possible, et des horaires réguliers.
Par ailleurs, le fait de pratiquer une activité physique régulière est également un élément important pour se préparer à l’hiver. Et pour cause, avec le froid, le sang a parfois du mal à bien circuler. Une activité physique pratiquée de préférence le matin permettra aux extrémités du corps de ne pas être trop sensibles au froid.
De même, le sport est l’une des activités qui permet d’ « énergiser » rapidement le corps, diminuer le niveau de stress et procurer un sentiment de bien-être. Enfin, le sport permet d’améliorer la qualité du sommeil.
Préparer son esprit :
Si pour certains, l’arrivée de l’hiver signifie repas en famille ou bonhommes de neige dehors, pour d’autres, c’est surtout le début d’une longue période sans beaucoup de lumière naturelle. Forcément, cela joue un rôle sur le mental – moins envie de sortir le week-end, davantage dormir, ne plus trop manger…etc. Ce sont d’ailleurs parfois des symptômes d’une dépression saisonnière, il est donc important de rester vigilant à ce propos.
Le sommeil impacte également beaucoup le mental, notamment s’il n’est pas suffisamment réparateur. Provoquant alors des pertes de mémoire, des difficultés à la concentration ou des difficultés à réagir rapidement. Fatalement, un esprit fatigué ne permet pas non plus au corps d’être à son potentiel serein et accompli.
Le fait de trouver des bénéfices hivernaux permettront de mieux laisser passer la saison. Par exemple, il est possible de skier, allumer un feu de cheminée, prendre un bain hydratant ou encore de porter une nouvelle pair de gants. Cela peut se traduire par des petits détails comme de grands accomplissements. Ils offriront même la possibilité d’apprécier, ne serait-ce que momentanément, l’hiver et ses bienfaits.
Préparer sa peau :
Enfin, la peau ne reste pas indemne non plus au passage de l’hiver. Et pour cause, le froid et l’humidité peuvent parfois avoir des conséquences terribles sur la peau. L’hydratation et la protection des changements de températures sont importantes voire essentielles pour certaines peaux.
Il est donc conseillé de privilégier : les soins hydratants, les sérums qui redonnent l’éclat qui se perd parfois dans les nuits, et une alimentation saine qui permet de nourrir la peau (vitamine D, notamment).
Préparer sa maison :
Et parce qu’il n’y a pas que le corps qui peut pâtir de l’arrivée de l’hiver, il est également important de prendre soin (et d’adapter les soins) apportés à son intérieur. Quelques habitudes sont à mettre en place afin de repousser les microbes et les traces d’humidité qui se glissent parfois sans qu’on les remarque.
- Renouveler l’air au quotidien : une fois par jour (en général le matin après la nuit), il est recommandé d’ouvrir les fenêtres de son chez-soi pour aérer quelques minutes. Cela permet aussi de se débarrasser des microbes et de la pollution intérieure parfois bien plus présente que ce que l’on pense.
- Aérer les pièces d’eau (surtout la salle de bain) afin de ne pas avoir d’humidité stagnante et, sur le long terme, de moisissure !
- L’arrivée de l’hiver, c’est aussi le moment opportun pour vérifier que les radiateurs fonctionnent bien. Un petit coup de dépoussiérage avant de les mettre en route, et le tour est joué !
- Si vous avez un jardin, il est également conseillé de l’entretenir avant l’arrivée de l’hiver. Ainsi, le printemps se déroulera de la meilleure façon, et vous n’aurez pas besoin de vous impliquer corps et âme dans l’entretien durant l’hiver.
- C’est aussi l’occasion de ranger les vêtements d’été pour les remplacer par les gros pulls d’hiver ! Et dans le même temps… faire un peu de tri pour donner à des associations !
Tips en plus : les huiles essentielles
À l’arrivée de l’hiver, il est également possible de se tourner vers les huiles essentielles afin de compléter les différents besoins du corps. Parmi les plus efficaces, l’on retrouve :
- L’huile essentielle de tea-tree (arbre à thé): c’est un anti-infectieux naturel qui permet de prévenir et/ ou soulager des douleurs comme des angines ou des otites. Accorder quelques gouttes d’huile essentielle à une cuillère de miel, et le tour est joué !
- L’huile essentielle de thym : elle permet d’aider le corps à chasser le sentiment de fatigue en cas de maladie touchant les voies respiratoires (bronchite, sinusite…).
- L’huile essentielle de myrte rouge : anti-inflammatoire, cette huile essentielle permet de chasser les toux les plus grasses tout en apaisant les muqueuses. Elle peut être utilisée en application directe sur le thorax en ayant été diluée dans de l’huile végétale.
Ainsi, se préparer à l’hiver ne comprend pas qu’une préparation psychologique à quelques journées plus froides. Comme pour les animaux qui entrent en hibernation, il s’agit de réajuster tous les aspects de sa vie afin que passe la saison… jusqu’à la prochaine, beaucoup plus fleurie !
Si l’hiver est une saison parfois difficile, il est également possible de mettre en place différents soins en prévention ou même durant l’hiver. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, les séances que je propose peuvent vous apporter de l’aide et les soins dont vous pourriez avoir besoin. Je propose aussi des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et lorsque l’hiver laissera généreusement sa place au printemps, alors il sera temps de vous concentrer sur vous-mêmes et de vous reconnecter à votre moi profond. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se connecter à soi-même, de se découvrir, mais aussi de prendre du temps pour soi, loin des tracas de la vie.
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Bien dormir en automne : est-ce si compliqué ?
L’automne s’est installé confortablement dehors, et la fatigue s’en fait ressentir. Alors que le changement d’heure vient d’avoir lieu, les nuits paraissent plus longues et surtout, la nuit tombe tôt. Parfois un peu trop tôt, même, ce qui a tendance à compliquer l’heure du coucher et surtout, à ralentir l’arrivée du sommeil… Conseils, et astuces sont peut-être THE solution au problème du sommeil !
Un sommeil qui se fait rare et difficile
Alors que la nuit tombe de plus en plus tôt, le sommeil, lui, se fait attendre. Invité vedette des nuits, il est pour beaucoup bien trop rare. Et le manque de sommeil –ou les difficultés à le trouver- est l’un des effets de l’automne. Et pour cause, en bonne période de transition, les journées commencent à se raccourcir, et les nuits sont plus longues. Le manque de lumière naturelle et de soleil entraînent inévitablement des baisses de vitamine D, et parfois aussi, de moral.
Autrement dit, les signaux « naturels » (lorsque le soleil se couche, par exemple) que le corps comprend d’ordinaire sont quelque peu bousculés. Cela mène bien souvent à des troubles du sommeil ou des insomnies. Il est alors important de s’adapter à cette nouvelle saison, et surtout, les cycles du soleil qui se raccourcissent.
Dormir : mission impossible ?
Mais alors si tout se modifie en automne, dormir est-il impossible ? Eh bien, non. Il existe de nombreuses astuces qui permettent de faire s’adapter à la fois l’esprit et le corps dans le but d’obtenir un meilleur sommeil. De même, l’esprit joue parfois un rôle important dans les troubles du sommeil. Et l’automne peut avoir des conséquences sur le mental, comme la dépression saisonnière qu’il délivre dans son sillage.
Comment bien dormir ?
Pour bien dormir, il y a de nombreuses astuces qu’il est simple de mettre en pratique. Parmi elles :
Une activité physique régulière :
Plus le corps sera épuisé, et plus le sommeil viendra vite. On parle alors de « bonne fatigue ». Puis faire du sport aide le corps à affronter le froid et le mauvais temps en améliorant la santé générale. Une activité physique régulière permet aussi la sécrétion d’endorphines, hormones du bonheur. Le mieux pour que l’activité physique procure à la fois une sensation de bien-être, et soit la source d’un sommeil réparateur, c’est de pratiquer le matin. Et pour cause, après chaque séance de sport, les muscles se réveillent et le rythme cardiaque a tendance à accélérer ; en pratiquant le matin, cela évite toute possibilité d’insomnie.
Une alimentation équilibrée :
Une alimentation équilibrée, tout au long de l’année, est très importante. Mais lors des saisons –et intersaisons-, elle l’est d’autant plus. Manger des fruits et légumes de saison permet au corps de faire le plein d’énergie et des vitamines dont il a besoin pour affronter les changements que les saisons entraînent. Bien qu’à l’approche du froid, on ait tendance à favoriser les aliments sucrés et gras –réaction du corps tout à fait naturelle-, il faut varier la nourriture. De même, il est préférable de favoriser une soupe et des repas légers le soir, afin de ne pas avoir de troubles du sommeil liés à la digestion (réveils intempestifs, brûlures de l’estomac…etc.). Les repas légers le soir sont donc à privilégier. Et surtout, ne pas oublier l’hydratation !
La température dans la chambre :
Si le froid et l’humidité prennent rapidement place à l’extérieur, il est naturel d’avoir envie de réchauffer son intérieur. Mais il est important de se rappeler que 18°C (environ…) est une température suffisante pour dormir. S’il fait trop froid ou trop chaud, le corps subit des désagréments dans la nuit qui risquent de provoquer un ou plusieurs réveils. En revanche, en cas de frilosité, il est conseillé de privilégier une couette en plus, ou une couverture plus chaude, qu’il sera facile de faire glisser dans la nuit une fois le corps réchauffé.
L’importance des heures fixes :
Que ce soit pour l’heure du coucher ou du lever, il est important d’avoir des cycles de sommeils globalement réguliers. Si quelques minutes diffèrent d’un réveil à l’autre, ce n’est rien de grave. Il s’agit surtout de ne pas se lever à plusieurs heures d’écart d’un jour à l’autre, et ce… malgré l’envie de rester au chaud sous la couette le week-end !
De plus, cela permet de réguler le cycle circadien, et le corps s’habituera rapidement à cette routine de sommeil. Il saura qu’à une certaine heure, il est temps pour lui de déposer les armes et de se reposer.
Enfin, un sommeil régulier et réparateur permet d’éviter les sautes d’humeur, un état de fatigue prolongé, et des effets sur l’esprit comme la dépression, les troubles de l’attention, de la concentration ou encore de la mémoire. Les défenses immunitaires du corps sont davantage solides et les troubles de l’appétit moins fréquent.
La routine de sommeil : mythe ou réalité ?
Certains spécialistes du sommeil vantent les mérites d’une routine de sommeil, afin de préparer sa nuit du mieux possible. Mais est-ce que se préparer à dormir favorise vraiment le sommeil ?
Selon les recommandations, préparer sa nuit en instaurant quelques rituels qui aident à se détendre serait bénéfique pour le sommeil. Et pour cause, cela permet à l’esprit de se reposer avant la nuit, au corps de se détendre, et au stress –s’il y en a-, de se dissiper. Dans l’idéal, il faut compter environ une heure avant de dormir, et mettre en place ce qui vous détend le plus. Détail important mais pas des moindres, il est également conseillé de boire son dernier verre d’eau au moins une heure avant l’heure du coucher, ce qui évitera de se réveiller durant la nuit et d’interrompre le sommeil.
Parmi ces routines de sommeil, l’on peut retrouver :
- La dégustation d’une boisson chaude avant d’aller dormir (au moins une heure avant, comme pour l’eau) ;
- Regarder un film calme (rien de trop violent ou stimulant, pour ne pas que le cerveau soit en pleine analyse une fois fini le film) ;
- Lire un bon livre ;
- Méditer, se relaxer ;
- Ecrire (sa journée, ses aspirations, ses objectifs…etc.) ;
- Faire un bilan (écrit ou mental) positif de sa journée ;
- Eloigner les appareils connectés pour un meilleur recentrage ;
- Une bonne literie !
Ainsi, un bon sommeil ne vient pas seul. Il faut parfois mettre en place des rituels, des petites étapes dans sa routine pour que le sommeil se fasse moins capricieux. A terme, ces gestes vous sembleront normaux et acquis, et les insomnies ou les réveils en pleine nuit ne seront plus qu’un lointain, lointain souvenir !
Si le sommeil persiste à se faire difficile et capricieux, il est tout à fait possible de s’orienter vers des soins comme l’hypnose. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Lorsque le sommeil est mauvais et peu réparateur, l’hypnose peut aider à en trouver la cause et soigner cela afin d’accéder à des nuits reposantes. Je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Parfois, pour bien dormir, il faut aussi rompre avec le quotidien. Je propose des retraites bien-être qui offrent justement cette possibilité, en plus d’une reconnexion à soi en pleine campagne. Dans un cadre naturel et paisible, vous pourrez vous découvrir, et retrouver les mécanismes d’une vie simple et bienveillante envers vous-même ! -

Prendre soin de sa peau malgré le froid
L’hiver approche à grand pas et s’infiltre dans les quotidiens jour après jour. Si le corps réagit davantage à la fatigue qu’à l’ordinaire, la peau n’est pas épargnée non plus. Les températures chutent avec allégresse, et l’air se refroidit rapidement. Le vent devient mordant, et très vite, les peaux pèlent, s’assèchent et le processus pour retrouver une belle peau s’enclenche. Et si on prenait soin de la peau avant que tout cela ne se produise ?
Les risques pour la peau pendant l’hiver
La saison la plus froide de l’année commence bientôt, et si parfois le soleil l’accompagne, il arrive souvent qu’on oublie d’hydrater sa peau et d’en prendre soin. Pourtant, la peau est aussi sensible que le corps aux effets du froid. Et ce dernier peut parfois se montrer cruel. Parmi ses effets, l’on retrouve :
Déshydratation de l’épiderme, dû aux changements de températures, et à l’humidité dans l’air ;
La couche cornée de la peau est réduite (ce qui rend la peau sèche) ;
Une perte de cellule dans la peau (qui favorise les plaies et inflammations) ;
Diminution de l’hydratation cellulaire de la peau (en raison d’un sentiment de soif moins présent) ;
Certaines pathologies comme la dermatite.
De plus, le froid peut entraîner diverses autres conséquences selon les différents types de peaux qui existent, et surtout, la sensibilité de chacune au froid.
Une routine rallongée
Avec le froid, il est important de ne pas négliger la routine habituelle pour la peau. Mais surtout, avec les températures qui chutent, cette routine peut être renforcée et plus détaillée, afin que la peau soit chérie et choyée. De cette façon, il sera plus simple de protéger et continuer de prendre soin de votre peau au quotidien. Les routines se font et se défont, se rallongent et les habitudes sont rapidement prises. Votre peau vous remerciera une fois que le bout du nez sera dehors !
Les soins pour la peau pendant l’hiver
Le sérum et les huiles végétales :
Souvent délaissé pour une simple crème hydratante dans la routine quotidienne, le sérum peut pourtant s’avérer être un fidèle ami dans le cadre de l’hiver. Et pour cause, il agit beaucoup plus en profondeur dans l’épiderme que la plus fidèle des crèmes hydratantes. Pour raviver l’éclat, ou approfondir le soin d’hydratation, le sérum peut être appliqué par légères pressions directement avec la paume de la main sur le visage. Il repulpe l’épiderme s’il sert à l’éclat, et permet une meilleure hydratation dans le second cas.
De plus, il se trouve être un excellent allié pour les soins qui suivent lors de votre routine, puisqu’il permet de le renforcer. C’est donc un ami idéal pour l’hiver, et surtout, traiter les petits désagréments cutanés que la froide saison provoque.
Toutefois, si aucun sérum ne vous a encore charmé, il est possible de le remplacer par des huiles végétales tout aussi efficaces. L’on retrouve parmi ces huiles :
Huile d’Argan : sa réputation la précède souvent, notamment pour les soins des cheveux, mais l’huile d’argan est avant tout un atout nourrissant pour tout ce qu’il touche. Peau, mains, cheveux…etc. En hiver, elle s’avère donc être une alliée idéale pour lutter contre le froid et la sécheresse de la peau qui survient parfois. Elle apporte également un effet bonne mine, et en plus d’hydrater, elle contribue à protéger l’épiderme une fois face au vent glacial de l’hiver !
L’huile de pin : disponible sous forme de sérum, cette huile végétale est particulièrement efficace en hiver, puisqu’elle permet aux cellules de l’épiderme de s’oxygéner, donne à la peau vitalité et souplesse tout en s’assurant de la protéger du froid et du vent.
L’huile de coco : qui n’a jamais rêvé d’avoir une peau pleine d’éclat, tonique et bien entendu hydratée ? C’est tout ce que permet l’huile végétale de coco pour les peaux en hiver. Et une autre de ses vertus indéniables, c’est son efficacité contre les irritations causées au quotidien pendant l’hiver. Et puis… son odeur colorée ramènera un peu de soleil dans les cœurs, et les salles de bain !
L’importance d’un soin nocturne :
Durant la nuit, la peau se régénère. Cela favorise grandement les effets des soins qui ont été faits le soir, notamment. De plus, la peau n’est pas exposée à tous les risques que l’hiver présente, puisque le sommeil se déroule dans le cocon réconfortant d’une chambre, à l’abri des vents les plus froids, de la pollution la plus présente et de l’humidité la plus tenace.
C’est ce pourquoi il peut être intéressant d’aider la peau à se régénérer, et surtout, lui fournir davantage de ressources pour qu’elle puisse récupérer des micros-agressions de la journée. C’est le moment idéal pour les masques de nuit, à faire de temps en temps, lorsque la peau paraît plus souffrante qu’à l’ordinaire.
De même, il est tout à fait possible et suffisant, selon votre peau et ses réactions, de simplement appliquer un nettoyant au lait ou aux huiles végétales, afin de laisser la peau « respirer ».
La crème hydratante est, quant à elle, un incontournable de l’hiver, puisqu’elle offre protection, hydratation et aide à régénérer la peau qui a souffert durant le jour. Il est d’ailleurs tout à fait possible de mélanger quelques gouttes d’huile végétale à la crème hydratante, afin d’obtenir une crème légère et nourrissante pour la peau. Effet velouté garanti !
P.S : on n’oublie pas les lèvres qui elles aussi se dessèchent rapidement l’hiver ! Un petit coup de baume à lèvres avant l’heure du coucher, et les sourires ne seront plus jamais douloureux !
Une routine adaptée aux sports d’hiver
L’hiver, ce n’est pas seulement le froid. C’est aussi la neige, les vacances dans un chalet ou une semaine passée à dévaler les pistes enneigées ! Et puisque le climat diffère, la routine pour la peau doit également s’adapter. Il faut donc rajouter à la routine habituelle, une petite étape pour protéger la peau des brûlures éventuelles du soleil si vous passez vos journées sur les pistes glissantes en montagne. Le froid n’empêche pas le soleil de brûler !
L’écran solaire est donc privilégié afin d’éviter de revenir en étant de la couleur des écrevisses. Outre l’aspect esthétique, c’est surtout les risques d’un cancer de la peau qui sont éloignés ; à la mer ou à la montagne, le soleil demeure traître !
Et en cas de coups de soleil, il est important d’hydrater d’autant plus la peau, et surtout, de lui permettre de cicatriser en toute bienveillance, notamment à l’aide d’une crème après-soleil, ou d’huile essentielle de lavande aspic pure.
Les « plus » :
Masque à l’argile blanche : moins connue que sa cousine aux nombreux bienfaits, l’argile verte, elle demeure un incontournable pour les peaux irritées, déshydratées et qui ont besoin d’être purifiées. L’argile blanche s’utilise en masque purifiant, et permet de retrouver douceur et éclat. Elle est à accompagner d’un soin hydratant pour les peaux très sèches.
Ne pas prendre des douches trop longues : la chaleur de l’eau réconfortante n’aide malheureusement pas à conserver une peau en bonne santé. Et pour cause, l’eau chaude à tendance à fragiliser les différentes couches protectrices de la peau, et son équilibre. On favorise alors l’eau tiède, ou les douches plus courtes !
Eviter un intérieur surchauffé : des températures intérieures trop élevées ne favorisent pas non plus la bonne hydratation de la peau. Et pour cause, trop de chaleur suite à des températures glaciales à l’extérieur peuvent renforcer ou créer un assèchement de la peau. Mais si la frilosité s’empare rapidement de vous, il est possible d’utiliser un humidificateur d’air afin d’amoindrir les effets desséchants du chauffage.
Un petit coup de main ? Si les cheveux et le visage ont tendance à ressentir les effets du froid (déshydratation du second et pointes cassantes du premier), il reste un autre endroit qui est souvent oublié : les mains. La peau est parfois tout aussi sensible que sur le visage, si ce n’est plus, à cause de tout ce l’on touche à longueur de journée. Elles affrontent aussi les températures, les micros-agressions de l’extérieur, et pourtant, on prend rarement le temps d’en prendre soin !
Ainsi, si l’hiver apporte son lot de flocons parfois bien embêtants, cette saison froide reste également une jolie saison. Et avec une bonne routine pour la peau, vous ne la craindrez plus autant !
Il existe, de plus, d’autres soins qui permettent au corps et au visage d’affronter toutes les saisons et les changements qu’elles entraînent sur notre organisme. C’est notamment le cas du drainage lymphatique ou encore du drainage du visage. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences, j’exerce à Paris.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.J’organise également plusieurs fois par an des retraites bien-être durant lesquelles il est possible de se reconnecter, de se découvrir, de partager avec soi et autrui tant de moments et de soins qui s’oublient rapidement dans les quotidiens. Dans un cadre naturel et paisible, il sera possible de vous retrouver pleinement !Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. -

Un conseil santé et beauté : de la crème solaire sur le visage même en hiver !
Petit retour en arrière… Nous sommes en juin… on se prépare pour l’été. Et qu’est-ce qu’on trouve dans son caddie ? L’indispensable crème solaire bien sûr ! Mais je ne vous dis pas le casse-tête quand, pour ma part, je dois faire un choix face à toutes ces marques, leurs compositions et les différents indices UV. Bref ! Je m’arrache les cheveux, ce qui, je ne vous le cache pas, ne m’aide pas beaucoup ! J’en choisis une, un peu au hasard, avec un indice intermédiaire, en me disant que ça fera bien l’affaire.
Fin août, retour des vacances, au revoir le soleil et la bronzette et bonjour à la déprime, aux jours qui raccourcissent et à la grisaille de l’automne… On a rangé les valises, lavé les serviettes de plage et rangé les produits solaires au fond du placard. On les ressortira l’année prochaine. À quoi bon mettre une protection sous un ciel gris et pluvieux ? Eh bien, détrompez-vous ! Qu’il neige, qu’il pleuve, qu’il vente, on doit se protéger contre les ultraviolets tous les jours de l’année !
Pourquoi ? Un peu de patience et de lecture et vous saurez tout…
Se protéger contre les UVA, c’est toute l’année !
Si les Japonaises et les Américaines ne sortent jamais sans leurs crèmes blindées d’anti UV, en France, c’est loin d’être le cas ! Et pourtant… Même si le soleil ne frappe plus aussi fort, si la chaleur n’est clairement plus de la partie et que la grisaille de l’automne pointe le bout de son nez, prudence ! En effet, bien que les rayons ultraviolets ou UVB, responsables des coups de soleil, diminuent l’hiver, les UVA, eux, qui ne brûlent pas mais qui abîment la peau et provoquent des taches brunes (entre autres), sont toujours présents.
Petit aparté « mnémotechnique » pour savoir qui est quoi et qui fait quoi car on peut vite faire la confusion. Retenons : A pour Âge et B pour Brûlure.
Les UVA sont donc responsables du vieillissement de la peau et les UVB, des brûlures causées par le soleil. Donc si vous me suivez toujours, tandis que les UVB diminuent avec le soleil qui disparaît, les UVA eux, persistent toute l’année et toute notre vie. Invisibles et indolores, ils sont les plus sournois des deux.
C’est pourquoi, les lunettes de soleil restent également indispensables, surtout si vous avez des yeux sensibles. Eh oui, ils nous suivent partout ces coquins et peuvent même traverser les fenêtres de chez vous ou de votre bureau. Je vous l’accorde, c’est assez incroyable !
Vous l’aurez compris… Une protection semble s’imposer tout au long de l’année.

Les dangers d’une mauvaise protection…
Un peu de rayonnement UV réchauffe le corps, et provoque un réel bien-être mais il est surtout indispensable à l’organisme, car il stimule la production de vitamine D. Celle-ci a un rôle important puisqu’elle accroît l’absorption du calcium et du phosphore présents dans les aliments et joue un rôle décisif dans le développement du squelette, la fonction immunitaire et la formation des éléments figurés du sang. Il ne fait aucun doute qu’un peu de lumière solaire est bonne pour la santé mais jamais sans protection et surtout pas une journée entière ! Car le danger nous guette…
En effet, les effets nocifs de l’exposition au rayonnement UV l’emportent malheureusement sur les avantages. Outre les effets à court terme d’une surexposition au soleil, tels que les coups de soleil, insolations, vomissements ou réactions allergiques, les effets à long terme font courir un risque à vie. La surexposition au rayonnement UV a des effets sur la peau, les yeux et probablement le système immunitaire, mais cela n’a pas encore été prouvé.
Ses effets sur la peau :
- Photosensibilité
- Augmentation des rides
- Les cancers cutanés non mélanocytaires
- Les épithéliomas cutanés basocellulaires. Ils constituent le type de cancer le plus courant
- Les épithéliomas malpighiens spinocellulaires de la peau. Ils sont la deuxième forme de cancer la plus répandue.
- Le mélanome malin. Il est le cancer le plus rare mais aussi le plus dangereux. Il peut se présenter sous la forme d’un nouveau grain de beauté ou d’une modification de sa couleur, de sa forme, des dimensions ou de la texture d’une tache de rousseur ou d’un grain de beauté existant. Il a tendance à avoir des contours irréguliers et à être polychrome.

Ses effets sur les yeux :
- La photokératite et photoconjonctivite
- La cataracte
- Le cancer de l’œil
Euh… ça refroidit plutôt tout cela…
Qu’en pensent les dermatologues ?
Les dermatologues, en France, commencent à éduquer la population aux effets du soleil l’hiver et à l’application d’une crème solaire. Déjà, sachez que le nombre de cancers de la peau a fortement augmenté ces dernières années avec cette mode d’être bronzée à tout prix.
Mais pourquoi préconisent-ils un anti UV toute l’année ? Pour préserver notre peau du vieillissement et surtout pour éviter les cancers cutanés provoqués par les rayons du soleil. En Belgique, par exemple, le nombre de cancers de la peau a augmenté de 350 %, oui vous avez bien lu, en 10 ans. Les preuves, ici.
Et bien sûr, cette protection permet aussi de retarder la perte d’élasticité de notre peau, son épaississement, et l’apparition de toutes les taches brunes que l’on voit souvent sur les mains des personnes qui vieillissent. Donc, pas de doute sur ce sujet, des UVA on se protège toute l’année si on ne veut pas avoir la peau toute fripée à 50 ans (dans le meilleur des cas) !
Mais bien sûr, tout dépend aussi de votre activité ! Quand on pose la question au dermatologue DR Michel Jeanmougin, voici ce qu’il répond : « Je ne vois pas l’intérêt d’utiliser une crème d’indice 50 lorsqu’on part à 8 heures pour le bureau et qu’on rentre chez soi à 18 heures, quand il fait nuit ou presque. » Effectivement, s’enduire de crème si l’on passe 8 heures dans un bureau, c’est très certainement inutile. Mais alors quand est-ce nécessaire ?
Lorsque l’on prévoit de rester exposé 2 heures ou plus, là il faut se protéger des UV, quelle que soit la saison, surtout entre 12 heures et 14 heures, lorsque le soleil est au zénith.
Alors quelle crème l’hiver pour une peau saine et rayonnante ?
Une bonne protection, d’accord mais laquelle ? Parmi toute cette offre de produits cosmétiques et pharmaceutiques, quels choix faire ? Avec un nombre incalculable de marques, comment savoir laquelle choisir ? Comment se retrouver dans la composition de tous ces produits surtout quand ils sont aussi compréhensibles que le chinois ? Comment éviter de passer une journée entière à parcourir les magasins, les sites internet et les pharmacies afin de choisir THE crème qui nous protégera parfaitement ?
En ville, un indice 20 suffit à une exposition de la vie quotidienne à condition que votre crème contienne aussi un indice UVA.
Petit truc pour choisir sa crème : l’indice UVA doit être égal ou supérieur à un tiers de l’indice UVB : Exemple : Pour un SPF 15, l’indice UVA devra être de 5.
Mais, nous sommes tous différents par rapport aux effets du soleil sur notre peau. Pourtant, l’application de cette fameuse crème est la phase indispensable de notre quotidien afin de préserver au mieux notre capital santé. La question n’est pas qu’esthétique, elle est surtout vitale.
La meilleure solution, selon moi, est de demander un diagnostic de notre peau à un professionnel qui vous aidera à faire le choix d’une protection adaptée à votre peau.
Et bien évidemment, même si je n’ai pas abordé le sujet, la crème solaire est incontournable si vous avez la chance d’aller skier… ! Mais cela, j’espère que vous le savez déjà.

Conclusion
Nous l’avons tous bien compris, notre comportement vis-à-vis de l’exposition solaire détermine aujourd’hui les chances que l’on a de présenter un cancer cutané ou une cataracte à l’avenir ! Alors si l’on veut préserver notre capital santé « peau », prudence et surtout protection ! Car si les rayonnements du soleil nous apportent chaleur, bien-être et production de vitamine D, une surexposition à long terme nous apporte plutôt rides, cataracte et parfois mélanomes, ce qui est pour le coup beaucoup moins sympathique !
Alors on adopte une rigueur absolue et on se protège été comme hiver. De l’indice 50 toutes les deux heures minimum l’été, et un indice 20 l’hiver sous son maquillage, dès lors que l’on s’expose au soleil. Et surtout, on prend un rendez-vous chez son dermatologue pour un petit check-up complet !
Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

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Les bienfaits du magnétisme sur la cicatrisation
Aujourd’hui, j’aimerais aborder un sujet qui me tient tout particulièrement à coeur : la cicatrisation.
Cet article est destiné à celles et ceux d’entre vous qui sont concernés par ce problème, et qui en souffrent. En effet, nous sommes tous différents, et nous réagissons tous à notre façon, surtout pour ce qui concerne la cicatrisation. Certaines personnes se blessent et cicatrisent en quelques jours, tandis que pour d’autres, le processus prendra beaucoup plus de temps… Beaucoup trop de temps.
Je ne le savais pas encore auparavant, mais j’ai pu constaté que je faisais officiellement partie de ce dernier groupe pour lequel la cicatrisation donne l’impression de durer une éternité.
Bien sûr, tout dépend de l’endroit où se situe la blessure… Si elle est sur le corps et que le temps est hivernal, nous pouvons alors la cacher sans aucun souci. Mais, lorsque nous sommes marqués sur le visage, ce qui est mon cas, il est alors beaucoup plus compliqué de le cacher.
Après tout, est ce vraiment nécessaire de se cacher ? Je me suis souvent posée la question. À ce propos, je me suis dit que ce serait interessant de se pencher sur ce culte de l’esthétique. Je pense rédiger prochainement un article sur ce thème : Pourquoi les femmes s’obligent à un rapport si exigeant avec leur corps et pourquoi vouloir être toujours “mieux” que ce que l’on est ? À quoi bon ?
Mais en attendant, j’ai réagi un peu comme tout le monde, et j’ai voulu accélérer les choses.

Retour sur ma motivation
Pour vous rappeler les faits, j’ai subi une séance de laser YAG, en novembre dernier, pour éliminer d’anciennes cicatrices d’acné persistantes et très voyantes selon moi.
Je ne me suis pas lancée dans cette aventure à l’aveuglette. J’y ai pensé de façon plus ou moins évasive pendant quelques années, puis de façon très sérieuse quasiment tous les jours, l’année qui a précédé ma décision.
Retenez déjà que je savais ce que je voulais, et ce que je faisais.
Cependant, n’ayant jamais procédé à des traitements moins agressifs en amont (du type le peeling), il était quasiment certain que ma peau allait mal réagir. Et en effet, les brûlures liées au traitement laser ont du mal à cicatriser. Les médecins, que j’ai vus, m’ont expliqué que j’avais brûlé (c’est le cas de le dire), les étapes, et je prends conscience, avec du recul, que j’aurais dû procéder différemment.
Il aurait fallu que je commence par un peeling doux, puis un peeling un plus fort au TCA, et pourquoi pas par une microdermabrasion. Et ensuite, envisager le laser si les techniques précédentes n’avaient pas fonctionné.
Cela dit, ce qui est fait est fait, et revenir sur le passé ne changera pas la donne. Mais comme toute expérience de vie, j’en ai tiré une leçon… Il ne faut : ni être excessif, ni se montrer impatient. Le corps est fragile et ne doit pas être torturé. C’est notre meilleur ami, et nous devons nous y adapter.
Les étapes de ma cicatrisation après ma séance laser
La séance laser s’est déroulée le 15 novembre. Ma peau était brûlée à vif. Et cet état a perduré 4 longues journées et 4 longues nuits… Puis, s’est finalement formée une croûte superficielle sous laquelle on pouvait entrevoir de légères rougeurs.
Grâce aux crèmes que j’appliquais, la peau s’est refermée rapidement, ce qui a atténué considérablement la douleur.
Je m’étais mis en tête que les rougeurs auraient disparu, au bout de 15 jours maximum. En effet, comme beaucoup, je suis allée lire les expériences des gens sur les forums (la chose à ne pas faire, mais que l’on ne peut pas s’empêcher de faire), et la majorité des témoignages évoquaient ces fameux 15 jours.
Foutaise !! Deux mois, après je me retrouve toujours aussi rouge sans maquillage, et l’inflammation est encore bien visible sur l’épiderme.
Au bout d’un mois, j’avais quand même appelé mon médecin en urgence. Pour me rassurer, il m’avait répondu que cela pourrait durer entre 3 mois et 6 mois. Mais qu’en général, cela durait 3 mois. Il n’avait absolument pas l’air paniqué, mais MOI je l’étais ! Pour en avoir confirmation, j’ai consulté un autre médecin. Je suis allée voir un chirurgien renommé du 7e arrondissement de Paris. Il m’a finalement dit exactement la même chose que le dermatologue qui a pratiqué l’intervention.
Hypochondriaque… bonjour ! Lorsque vous avez un problème de santé, ne vous focalisez pas que sur lui. Cela devient obsédant et c’est une véritable prise de tête qui vous pollue le quotidien.
Pour résumé, il fallait juste que je sois patiente, et les taches finiraient par disparaître.
Accélération du processus de cicatrisation
Celles et ceux qui me connaissent, savent que j’ai un rapport à la patience plutôt très compliqué. Disons qu’il est très proche du stade 0. Ce qui, je dois le reconnaître, me dessert assez souvent.
Je me suis alors renseignée sur les méthodes qui existent pour accélérer le processus de cicatrisation.
Et je m’en suis tenue à 3 méthodes, ce qui me semblait déjà suffisant.
- Un apport en protéines – ” Les protéines sont un enchaînement d’acides aminés. Ces derniers sont indispensables pour le bon fonctionnement de l’organisme et ne sont pas produits directement par lui. Ce qui nous oblige à amener cet apport en protéines via l’alimentation. “
- Des applications d’Aloe Vera – ” L’Aloe Vera est une plante médicinale majeure pour soigner et protéger la peau. En usage externe, elle permet donc de lutter très efficacement contre les brûlures, les coups de soleil mais aussi les diverses maladies de peau (eczéma, prurit, psoriasis, acné), elle est extrêmement génératrice et protectrice.”
- Des séances de magnétisme – ” Le magnétisme repose sur la croyance en l’existence d’un fluide magnétique capable de circuler d’un corps à un autre, et permettant la transmission d’une énergie positive en vue de créer une sensation de bien-être. “
Et c’est de cette troisième méthode dont je veux vous parler, car c’est celle qui m’a le plus convaincue jusqu’à présent.
Après en avoir parlé dans mon cercle amical, la mère de l’une de mes amies m’a donné les coordonnées d’un bon magnétiseur. Elle avait fait appel à lui, suite à un énorme hématome qui était apparu suite à une chute. En 5 jours, il avait disparu ! Alors qu’il en faut au moins 20 en temps normal.

Qu’est ce que le magnétisme ?
Le magnétisme n’est pas une science certifiée que nous apprenons à l’école….
C’est un don que vous possédez ou non.
Ce qui peut paraître, je vous l’accorde volontiers, très lunaire… Pour ma part, j’y crois et je suis entourée de plusieurs personnes qui ont réussi à soigner de nombreux maux grâce à cette médecine dite ” alternative “.
J’ai donc pris rendez-vous avec monsieur Mariault, magnétiseur, dont le cabinet est situé dans le 17e à Paris.
Déroulement d’une séance
- La première étape consiste en un questionnement en vue de comprendre la raison de mon déplacement.
Quand je lui ai dit que je venais pour diminuer une brûlure liée au laser, il n’était pas surpris. 50 % de ses patients le consultaient pour cette raison. Il m’a alors fait part de son diagnostic. Je devais bénéficier de 4 séances pour atteindre le résultat que je m’étais fixé. Les 4 séances devant être espacées de 8 jours, à peu près.
Sur le moment, j’étais un peu dubitative… 4 séances espacées de 8 jours, cela faisait tout de même 1 mois.
Je partais du principe (sans fondement scientifique aucun) qu’après 1 mois, l’évolution naturelle de la cicatrisation pouvait également opérer, et que je ne verrais pas la différence entre une accélération de la cicatrisation due au magnétiseur ou due à la nature.
Mais il m’a assuré que compte tenu de mes taches encore bien présentes sur le visage, une cicatrisation naturelle en un mois relevait du domaine de l’impossible. J’ai donc accepté le protocole.
- Le praticien harmonise alors les températures entre sa main et le corps, avant d’apposer les mains sur la ou les zones à traiter. Je suis bien sûr restée habillée et assise sur une chaise. Ce que je ressens à chaque séance c’est une espèce de chaleur qui circule entre ses mains et mon visage.
- La séance dure environ 10 à 15 minutes. Ce qui ne prend pas trop de temps dans sa journée. En revanche, le tarif est quelque peu prohibitif, pour une pratique qui dure si peu de temps (70 €…).
Où en suis-je ?
À ce jour, j’en suis à 2 séances. Et je prévois, comme convenu avec monsieur Mariault, de réaliser les 4 séances qu’il m’a conseillé.
Croyez-moi, je commence à voir une différence notable sur les rougeurs, qui étaient bien plus imposantes, il y a encore quelques semaines. À ce rythme, je devrais être satisfaite d’ici la fin du mois de février. Et je ne manquerai pas de vous tenir informé !
Et cela tombe bien, car j’aimerais, comme tout un chacun, pouvoir profiter du retour des premiers rayons de soleil au printemps revenu !
À très bientôt !
Charlotte Vallet
Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue
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Mon expérience du traitement des cicatrices d’acné par laser CO2
Avant de lire cet article, je souhaitais vous informer que je propose (en 2024) des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Paris 19.
Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Je propose les deux.
2018 : Cela fait quelques années que je souffre de vilaines cicatrices d’acné au niveau du visage.
Et même si mon entourage ne m’a jamais fait de remarques, et qu’apparemment j’étais la seule à les voir, je le vivais mal. Comme quoi, quand vous avez un complexe, vous ne voyez plus que cela.
Ce blog étant consacré au bien-être corps et esprit, il m’est apparu important de partager avec vous mon expérience, car pour se sentir bien dans sa peau, il est tout de même plus agréable d’avoir une peau saine.
Alors, si tout comme moi, vous souffrez de problèmes de peau, cet article est fait pour vous.
PS : cet article date de 2018, je souffre considérablement moins de problèmes de peau en 2024...
On trouve toujours des subterfuges, mais ce n’est pas évident pour tout le monde. Pour ma part, je suis une fan inconditionnelle des soins pour la peau et du maquillage, et j’ai la chance de m’y connaître assez bien. Assez naturelle mais glamour de nature, j’arrivais probablement à les cacher avec mon sourire et mon rire constant (rires).
Ci-dessous, vous verrez la photo de ma peau avant le traitement. Alors, soit mes amis sont des petits coquins qui ne me disaient pas la vérité, soit je mettais ma peau très en valeur. Quoi qu’il en soit, pour moi, je le vivais assez mal.
C’est pourquoi, j’ai décidé de m’en débarrasser et de pratiquer une intervention au laser CO2. Et bien sûr, de partager avec vous mon expérience, qui je l’espère vous aidera.
QUELLES SONT LES DIFFERENTS TYPES DE CICATRICES D’ACNÉ
Quand on pense ” cicatrices d’acné “, on imagine tout de suite des grosses cicatrices en creux (aussi appelées cicatrices en pic à glaces), ce qui n’est pas mon cas. Quelques petites cicatrices font partie de cette catégorie, mais elles ne sont pas majoritaires. Cela dit, j’en ai quelques-unes de cette catégorie au niveau des pommettes.
Il existe, en effet, différentes sortes de cicatrices, et pour ma part, j’ai surtout des cicatrices déprimées à bords prononcés (cicatrices larges, rondes ou ovales, donnant l’impression de trous poinçonnés dans la peau. Elles peuvent être profondes ou superficielles) et des cicatrices hypertrophiques (ces cicatrices, qui sont moins courantes, sont le résultat d’une cicatrisation excessive, c’est-à-dire que trop de collagène s’accumule durant le processus de cicatrisation).
À l’origine, cette satanée acné, qui a duré assez tardivement dans mon cas ! J’ai subi 3 vilaines crises hormonales suite à des arrêts de ma pilule et de la reprise d’une nouvelle pilule qui ne me convenait pas.
J’ai aujourd’hui 28 ans, et ma dernière crise (la plus dévastatrice) s’est déroulée lorsque j’avais 24 ans.
Cette année là, je travaillais au journal Le Monde entourée de beaucoup de personnes sérieuses … et moi, j’avais des boutons (rires). Je n’ai aucune photo de cette période… car vous comprendrez que ce n’était pas ma période la plus glorieuse (selon moi). Mais croyez-moi… je m’en souviens très bien et ma peau aussi.
En résumé, voici ma peau avant l’intervention laser (ce ne sont pas les photos les plus objectives, je les ai prises dans la rue en marchant, oui… j’aurais pu faire mieux, je l’avoue. Mais, je vous ai fait un vrai zoom donc il n’y a pas plus représentatives comme photos). Vous pouvez constater le type de cicatrices que j’avais sur la peau.
Cela dit, et sans aucun chichi, mes cicatrices se voyaient suffisamment pour avoir recours au laser CO2.

APARTÉ
Petit aparté des plus importants. Comme j’ai fait ma séance de laser hier, je suis en semaine de cicatrisation, et je ne sais pas si je dois parler au présent ou au passé.
Étant très marquée et rouge par la puissance du laser, je n’ai aucune idée de ce qui m’attend en dessous des rougeurs.
Patience, j’en ai apparemment pour une dizaine de jours, je le saurai donc d’ici peu. Du moins à la fin de cet article, vous aurez quant à vous le résultat, puisque j’écris cet article jour après jour.
À savoir aussi : je vous conseille de débuter ce type de traitement en hiver. C’est l’idéal, car suite à l’intervention, vous ne devez pas exposer votre visage au soleil pendant au moins 4 mois.
Me suivre sur instagram.
RENSEIGNEZ-VOUS LE PLUS POSSIBLE
Cette intervention n’est pas anodine. Et il est impératif de bien se renseigner avant de se lancer dans cette aventure…
La solution la plus simple est de faire appel à ses connaissances. Y a-t-il quelqu’un qui connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un…
Pour ma part, personne ne pouvait me conseiller. La seule solution que j’ai trouvée, c’est de me renseigner via le Net. Et après quelques heures de navigation et de lecture, j’ai pris rendez-vous dans plusieurs cliniques.
J’ai entendu différents discours, et le choix n’était pas simple. Mais que faire sinon que de se laisser guider par son intuition. C’est donc ce que j’ai fait.
Croyant beaucoup à la bienveillance des médecins et des gens qui m’entourent, j’ai craqué sur la sympathie et la patience d’un des médecins de la clinique FOCH dans le 16e arrondissement de Paris.
Et si pour nous, c’est angoissant, là-bas, c’est leur routine… et vous avez l’impression d’être dans une usine. Mais le médecin que j’ai rencontré, était vraiment professionnel. Il n’a fait aucun forcing et m’a particulièrement bien expliqué la démarche. Il a pris son temps pour répondre à la multitude de questions que je me posais.
En résumé, il m’a proposé de traiter mes cicatrices à raison de 2 séances espacées d’un mois. Et il m’a suggéré, à suivre, un traitement à l’acide hyaluronique pour un rendu encore plus parfait.
Bon… je n’en suis pas encore là… J’avoue qu’à cet instant, j’étais plus préoccupée par la réussite de cette intervention. À mon âge, comme à tout âge d’ailleurs, une intervention sur le visage est toujours un peu préoccupante. J’étais donc plus guidée par la peur que par l’acide hyaluronique !
Mais, il a réussi à me convaincre. Le rendez-vous fut fixé au 15 novembre.
LE PRIX
Bien évidemment, c’est un élément important. Selon les centres ou les cliniques, les prix varient considérablement et peuvent attendre des montants aux alentours de 700 €.
Pour ma part, le prix de la séance est de 285 €, un tarif tout de même plus raisonnable que certains qui sont complètement abusifs.
LE TRAITEMENT LE JOUR J
Le rendez-vous était fixé à 16 heures, et je ne vous cache pas que même si vous avez tout de même beaucoup de choses à faire dans la journée, votre esprit est focalisé sur le rendez-vous.
Le stress est monté progressivement. Et à juste avant de partir, ce n’est plus ma tête qui me guidait, mais mes jambes… qui disons-le étaient quelque peu vacillantes.
Heureusement, le médecin ne m’a pas fait trop attendre dans la salle d’attente.
Et voilà, c’est parti… !
Une fois installée dans la salle de soins, je lui ai demandé s’il pouvait tester le laser sur ma main pour que je puisse évaluer la douleur. Sa réponse fut sans appel : non… sinon je risquais d’être marquée. Pas très rassurant…
Voici à quoi ressemble l’appareil :

Petite précision dont je ne vous ai pas parlé mais qui a tout de même son importance… Il est possible d’appliquer une crème anesthésiante (EMLA). Mais les écoles, à ce sujet, divergent. Certains médecins pensent qu’elle atténue les effets du laser. Mon médecin en faisant partie…, j’ai donc opté pour une intervention sans anesthésie.
Puis, le médecin m’a demandé d’entourer, avec un crayon blanc de maquillage, les zones de mon visage qui me dérangeaient le plus. Son objectif est d’appliquer le laser à l’ensemble des zones que je définissais.
J’ai alors dessiné des cercles sur le visage (je ressemblais à une sorte d’animal un peu fantastique).
Une fois, ces zones délimitées, et il m’a dit : « nous sommes partis pour le laser ».
J’appréhendais beaucoup la douleur. En effet, j’avais lu de multiples avis inquiétants sur des forums…
Alors soyons clair… Sur une échelle de 1 à 10, je mets tout de même un bon 7 pour la douleur ressentie. À tel point que j’avais des petites larmes qui coulaient.
Sachez que l’intervention ne dure que 7 minutes par joue. 7 longues minutes… sans crème anesthésiante !
Mais le pire finalement, ce n’est pas la douleur… c’est l’odeur de cochon grillé qui émane assez rapidement de votre visage et qui se répand dans la salle.
14 minutes se sont ainsi écoulées ! Et je suis repartie avec de belles compresses sur les joues sur lesquelles j’ai appliqué une crème apaisante.
Heureusement que je n’habite pas loin… Car j’étais tout de même très ” repérable “.
C’est pourquoi… avant le traitement…
Vous devez penser à tout ce dont vous avez besoin. Car inutile de vous préciser qu’une fois la séance passée, vous ne pouvez plus vraiment vous déplacer.
En effet, compte tenu de l’agressivité du traitement, la peau est ” brûlée ” une bonne dizaine de jours. Il est d’ailleurs conseillé d’attendre que les croutes tombent pour remettre un pied dehors.
Bon, on ne va pas se mentir ce traitement vous demande d’avoir quelques jours devant vous.
Donc, il faut anticiper cette période. Pour ma part, j’ai prévu la rédaction de quelques articles, de lire et de regarder des films. Je vais également essayer de travailler à distance avec mes patients, et commencer à préparer mes nouveaux ateliers bien-être. Mais pour une hyper active comme moi, ça va être très long ! Ce qu’il me manquera le plus, c’est évidemment le sport, même si je pense bien en faire à la maison.
Mais surtout, avant le traitement, il est indispensable de se procurer l’intégralité des crèmes dont vous aurez besoin après l’intervention. Voici celles que j’ai achetées.

LES SUITES DU TRAITEMENT
Jour 1
Le pire. J’ai vraiment mal dormi, car la peau me brûlait et je sentais les sensations de picotements et de chaleur jusque dans mon sommeil. En termes de résultats, ce n’est pas vraiment très glamour, je vous laisse apprécier l’état de ma joue sur la photo ci-dessous.
C’est très rouge et ça peut saigner par moment, et surtout c’est sur une surface beaucoup grande que celle que j’avais dessinée sur mes joues.
Lors des premières 24 heures, j’ai mis de la crème CICABIO de Bioderma tout au long de la journée. Il fallait impérativement que la sensation de grosses brûlures s’estompe. Car croyez-moi, c’était plutôt très désagréable.

Jour 2
C’est un peu mieux. Je ne ressens plus la sensation de brûlures, mais cette fois, je ressens des tiraillements. Je sens que ma peau est très sèche. D’ailleurs elle craquelle légèrement. Les rougeurs se transforment en croûtes.
Mon médecin m’a préconisé de ne pas mettre de crèmes en tous genres les 3 premiers jours (après la phase des premières 24 h où j’avais le droit de mettre une crème apaisante). En effet, il m’a expliqué qu’il valait mieux laisser la peau faire son travail naturel : la création de croûtes.
Une fois que celles-ci seront tombées, je pourrai alors utiliser de la Cicalfate d’Avène ou du Cicaplast de la Roche Posay.
Sur certains autres blogs, je vois que des jeunes femmes, qui ont eu recours à la même intervention que moi, ont quant à elles mis de la crème grasse dès les premiers jours… En fait, je ne sais pas trop quoi faire. J’ai décidé d’écouter mon médecin, en tout cas pour cette première séance. J’aviserai lors de ma deuxième séance, si nécessaire.
Jour 3
Je décide de ne pas toucher à ma peau encore pour cette journée. Elle tiraille un peu et me joue des tours, mais je sens que les croûtes se forment naturellement. La peau est magique, elle peut réussir à se reconstituer seule.
Je vais donc attendre que les croûtes tombent d’elles-mêmes avant de me badigeonner de Cicalfate. Et à ce moment-là, ce sera des couches épaisses durant toute la journée et toute la nuit.
Je compte alterner de la Vaseline en couche pour éviter que des marques restent, par la suite, sur le visage et de la crème Cicalfate d’Avène pour que ma peau cicatrise plus vite.
Une fois que mon tube de Cicalfate sera fini (c’est un vieux tube), je passerai à la crème Cicaplast toujours en couche.
Je tiens également à préciser qu’une autre crème assez fantastique existe. Mon médecin ne l’a pas évoquée, c’est FLAMIGEL. Elle semble géniale pour cicatriser dans les débuts, avant même que les croûtes ne se forment.
Pour ma part, je l’ai mise une fois les croûtes tombées, mais lors de la 2eme séance, je la mettrai avant.
Jour 4
Peu de différence avec hier. Il me reste encore de nombreuses croûtes, mais j’arrive à percevoir ma peau qui a la couleur d’une fraise TAGADA, photo à l’appui…
Je commence à devenir très impatiente !!! J’aimerais sortir de chez moi.

Me voici au 7e jour…
Voici à quoi ressemble ma peau, aujourd’hui. C’est certes encore très rouge, mais nettement mieux. Je peux même me maquiller, et c’est particulièrement appréciable, car ça y est, je sors !!!

Heureusement que je ne dois pas attendre la fin des rougeurs, car apparemment ma peau restera rouge et dans cet état durant encore 10 jours.
Je vous mets ici ma peau maquillée, vous pouvez constater tout de même que de nombreuses cicatrices ont disparu (à savoir qu’avant mes cicatrices se voyaient même lorsque j’étais maquillée). J’étais d’ailleurs maquillée sur la première photo.


Mais selon la luminosité, je perçois tout de même que toutes les cicatrices n’ont pas disparu, raison pour laquelle la 2ème séance sera très utile…
CONCLUSION
Traiter des cicatrices liées à l’acné par un laser CO2, est un ” soin ” agressif qu’il ne faut pas prendre à la légère. Ce n’est pas un soin de confort que l’on décide de faire pour resserrer les pores, par exemple. D’autant qu’ils finiront par se dilater à nouveau… Vous risquez par ailleurs, d’abimer prématurément votre peau, et de constater l’apparition de taches.
Il ne faut envisager ce traitement que si vous souffrez à la fois physiquement et psychologiquement de cicatrices en tout genre, voire de marques prononcées.
Au moment où je vous écris, je suis à mon onzième jour, et les rougeurs s’estompent petit à petit, mais sont encore bien présentes sans maquillage. J’ai pris mon rendez-vous pour la seconde séance, et la jeune femme de l’accueil m’a dit ” j’espère que l’intégralité des rougeurs seront parties d’ici là “. Ce qui prouve que pour certaines personnes, les rougeurs mettent un peu plus de temps à disparaître que d’autres personnes.
En tout cas, les résultats sont là ! Désormais, il n’y a plus qu’à croiser les doigts !!!
Résultats en 2024…
Ma peau va beaucoup mieux, et cela n’est pas uniquement dû au laser, que j’ai d’ailleurs abandonné après une première séance médiocre. En réalité, c’est grâce à une combinaison de techniques efficaces et naturelles comme le micro-needling, les skin boosters, les peelings, et les massages du visage que j’ai réussi à retrouver une peau éclatante et en meilleure santé. Ces méthodes nécessitent du temps, de la patience et, surtout, de l’amour de soi.
Je vous informe que je propose des soins de remodelage du visage qui peuvent vous aider à retrouver un visage plus harmonieux et une peau plus pulpeuse. Ces séances sont également bénéfiques pour la cicatrisation après un traitement au laser. En ce moment, je propose un forfait de 6 séances pour 460 €, soit une réduction par rapport au tarif habituel de 780 €. Ces soins peuvent être complétés par des séances d’hypnose pour accompagner le travail sur la confiance en soi. Paris 19.
Tu peux me suivre sur Instagram
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Régler ses problèmes de peau avec Miltaderm
J’ai testé pour vous : les séances Miltaderm pour régler mes problèmes de peau
Voici plusieurs années que je teste différentes techniques & machines de soins pour la peau.
Ancienne acnéique tardive (je sais … ce n’est pas très glamour et pourtant ça arrive) à cause d’un choc hormonal (vilaine pilule qui m’a mal été prescrite), j’ai été obligée de trouver plusieurs solutions pour régler ce soucis.
Tout y est passé : le Roaccutane, la pilule Diane 35, le laser , les soins du visage en tout genre … les dermatologues , les naturopathes , les endocrinologues ! Que Nenni, lorsque les boutons ne veulent pas partir , ils ne partent pas , je vous le confirme. Il n’y a que la patience qui fait évoluer un choc hormonal , afin que le corps et les hormones s’équilibrent de nouveau.
Bon , avec le temps ,(j’ai maintenant 28 ans) et une nouvelle pilule micro dosée de la génération 4 (Zoely), ces coquins ont disparu; mais jusqu’à quand …. ? je ne sais pas!!
Il suffit d’un arrêt de pilule et l’envie d’un bébé … et je suis bien consciente que ces vilains ennemis peuvent revenir du jour au lendemain avec le dérèglement hormonal et la situation. Sans être défaitiste bien évidemment , car j’ai une personnalité très optimiste bien au contraire. Mais une femme peut avoir des boutons jusqu’à 40 ans.
D’après le Docteur Valérie Leduc de chez “Médecine de la beauté”, notre génération souffre davantage d’acné tardive et hormonal que sa génération à elle.
En attendant , ma peau s’est plutôt stabilisée , mais il me reste encore quelques cicatrices d’acné. L’acné m’a réellement ravagé la peau à une période de ma vie (trois grosses crises a l’âge de 18 ans , 21 ans et 24 ans), forcément il reste des séquelles (c’est ça que d’être parfois un peu tête en l’air et d’en oublier sa pilule en vacances , du coup de sauter des jours/mois … et hop c’est parti pour la crise ! ).
De plus j’ai encore quelques boutons en période de règles; mais ça comme tout le monde je pense…
Mais bien maquillée ma peau paraît quand même bien saine et lumineuse.
D’ailleurs sans maquillage , j’ai aussi une peau relativement saine , mais avec des pores parfois dilatés, des cicatrices et des légers microkystes; je suis la seule à le voir j’ai l’impression ainsi que les médecins spécialistes qui trouveront toujours des irrégularités.
Comment j’ai connu Miltaderm et qu’est ce que Miltaderm?
Je suis tombée récemment nez à nez avec une page Instagram se prénommant « Médecine de la beauté », et ses photos archi vendeuses de femmes bien dans leur peau, grâce à une hygiène de vie irréprochable … et à une belle peau. Je suis bien dans ma peau ça tombe bien, mais ma peau laisse parfois à désirer.
Il est vrai que je n’ai pas atterri sur cette page par hasard, car certaines blogueuses influenceuses en parlaient déjà. Ça faisait un certain temps que j’avais envie de faire un bon soin pour régulariser ma peau et soigner mes anciennes cicatrices profondes.… alors au vue des bons commentaires , je me suis dit « pourquoi pas ».
Apparemment d’après ce que j’avais vu , cette machine fonctionnait sur ces petits tracas.

A quoi sert cette machine ?
Il s’agit d’une machine pour toutes les peaux, du plus clair au plus foncé. Procédé novateur associant un laser froid fractionné et des LEDs. Le rayonnement photonique est ensuite potentialisé par des tunnels magnétiques qui stimulent la production de nouvelles fibres de collagène et restructure les fibres existantes, d’où une régénération en profondeur avec un résultat exceptionnel.
Soins anti-âge
* Réjuvénation cutanée.
* Tâches de vieillesse.
* Effet liftant.
* Imperfections.
* Anti-rides.
Soins médicaux
* Biostimulation.
* Cicatrisation.
* Acné.
* Oedèmes.
* Inflammation.
Soins du corps
* Détoxication.
* Vergetures.
* Raffermissement.
Soins minceur
* Amincissement.
* Cellulite.
* Drainage.

Comment se déroule une séance Miltaderm ?
Le médecin me met dans une salle un peu à l’écart (la salle spéciale pour le Miltaderm, pas n’importe quelle salle ;)) et souhaite s’assurer que vous n’êtes pas claustrophobe.
En effet , le médecin m’a mis une machine au-dessus de mon visage , à quelques centimètres seulement de ma peau. Au départ ça peut être un peu impressionnant et surtout très peu commun.
Une machine qui allait par la suite diffusait les lumières rouges et bleues.
Elle n’a pas oublié de me mettre des petites lunettes (un peu les mêmes lunettes que lorsque vous faites des UV – ce qui n’est pas préconisé).
Elle m’a annoncé qu’elle restait avec moi en début de séance pour être certaine que je sois à l’aise et qu’il n’y aient pas d’effets indésirables durant la séance. (Ce qui n’arrive vraiment jamais , à moins que vous soyez justement un peu claustrophobe sans le savoir , ou que les lumières bleues et rouges vous surprennent).
La séance passe très vite … en début de séance je discutais avec le médecin (qui est d’ailleurs une superbe femme à la peau PARFAITE), puis j’ai fini par m’endormir.
Une micro sieste réparatrice ne dure-t-elle pas 20 minutes ? Parfait combo pour repartir avec une peau lumineuse , et requinquée grâce à la sieste.

Les résultats sur ma peau
Le médecin m’avait indiqué que je ne verrais pas les premiers effets tout de suite. Seulement après 2,3 jours le temps que la peau comprenne qu’on venait de lui faire un traitement d’attaque.
En effet , les 2 premiers jours j’ai même eu des boutons qui sont ressortis ; comme si la peau se libérait de ses impuretés.
Mais lorsque les deux jours sont écoulés , mon teint était bien plus lumineux , et surtout régulier.
Les pores resserrés , la peau moins fatiguée , disparition des microkystes et des cernes moins marquées.
Comme quoi , il y avait encore beaucoup de choses à améliorer (rires).
Quel coût pour une séance Miltaderm ?
Ceci-dit , on ne va pas se voiler la face , ce type de soin c’est quand même un vrai budget : 120 euros la séance , et le premier mois 1 séance / semaine est préconisée , puis 2 séances / mois, pour finir sur « une fois de temps en temps ». C’est donc un soin qui n’est pas miraculeux , il faut du temps et de la patience.
Mais de tous les soins que j’ai fait ces dernières années , il fait partie des meilleurs. Et le médecin Valérie Leduc vous conseille avec patience, professionnalisme, et empathie.
Sans oublier le salon du docteur qui est magnifique !!!
Depuis la salle d’attente on est déjà impatient de faire le soin.
Contact : Médecine de la beauté – 5 rue Chambiges 75008 Paris – 01 45 63 07 82

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